Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 10 sur 10

Nombre de pages: 10

Notice complète:

Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1934-05-08

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 08 mai 1934

Description : 1934/05/08 (Numéro 20888).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k628086x

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 05/12/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 89%.


Après le Aitcamt du D' Cœbbtl. LlilSÂTlI

DU PLÉBISCITE SARROIS DEVANT LA S. D J.

Comment: le conseil ra-t-ii soustraire la population aux représailles hitleritnnti et maintenir Tordre absolu autour des arma ?

3[. Cvbbcis, vu par Garratto

Le discours extrêmement violent prononcé dimanche à Deux-Ponts par le docteur Gc&bbels et les manifesta- ttaas qui se préparent a. Mayenee et à Trèves pour exalter le patriotisme des Sarrois manifestations qui vont se poursuivra du 18 au 25 mal montrent à la fois l'inquiétude dea milieux dirigeants Hitlériens sur l'Issue du plébiscite qui doit avoir lieu, l'an prochain, dans ïe territoire de la Barre et la nécessité de prendre au plus tôt les mesures d'ordre tndlspensabJes pour assurer, gulvant les termes mêmes du traité, la liberté, le secret et Ito sincérité de ce référendum populaire.

Cette Importante question est Inscrite, on le sait, à l'ordre du Jour de la prochaine session du ecms&U de fa S. D. N.f dont l'ouverture est Axée pour le 14 ma! et à laquelle M. Louis Barthou va représenter la F rance. Le «onaell entendra, son sujet. le rappart que lui présentera le comité spéciaî de trois membres désigné par lui A sa session de janvier dernier et qui comprend le barn..Alois!, délégué de l'Italie; M. de Madariaga, délégué de rEapagnB, et M. Cantilo, délégué de l'Argentine.

Bien qu'il ait été particulièrement Chargé « d'étudier l« les moyens aPpropriés pour mettre la population J'abli d6 toute pression et de lardcution, de toute menace de nature d affecter la sincérité du vote les suggestions que pourrait lui présenter la Commission de gouvernement en ce qui concerne le maintien de l'ordre pendant tu période du plébiscite il ne semble pas, en dépit de tous 'ses efforts et de son Indiscutable Impartialité, que ce comité apporte, sur ces deux points essentiels, des suggestions très nettes.

L Attitude de la France

Pour soustraire les électeurs «ajrrois aux pressions extérieures, il en l'idée de demander aux deux gouvernements français et allemand, principalement intéressés au résultat du plébiscite, de prendre l'engagement chacun de son côté de ne SE! livrer à aucune repréfiflille contre ceux qui se seront pro» nonces soit pour l'union a la Errance, soit pour l'union à l'Allemagne. Nous ne surprendrons personne en déclarant que les ,sondages exercés dans ce sens à Parla ont été auaai favorablement accueillis que possible. Pour quiconque se rappelle l'éloquente et courageuse intervention de M. Paul-Boncour la. séance du 20 janvier, il n'en pourrait être autrement. Le ministre trançaia n'avait-il paa été le premier, en effet, à rappeler la garantie donnée par la S. D. N. aux fonctionnaires sarrois qu'ils ne seraient en aucune façon inquiétés et à réclamer la même assurance pour la population quelle qu'ait été son attitude > lors du refe- rendum Y

Notre pays, qui estime que le peu- pie sarrois a seul la droit de .le prononcer sur son sort futur, s'est donc déclaré prêt à prendre solennellement l'engagement suggéré. En revanche et cela non plus ne surprendra pas,le gouvernement de Berlin a opposé à la même démarche un refus absolu. Persistera- 1-11 dans cette attitude ?. Le A ïa charge, mafs il ne pas. jusqu'$ présent du moins, que ses efforts aient été couronnés de succès. Les menaces plus ou mains voilées dont le discours du docteur Gœbbela était émaillé, sans parler de l'activité déployée, sur les directive. de Berlin, par le chef du Frant allemand en Sarre, sont la pour prouver que, même s'il était pris, cet engagement serait insuffisant. Il faut, comme l'a décktrê M, Paul-Boncour au nom de la France, que toutes précautions soient prises non pas contre telle oit telle naïfcn, mais pour garantir le libre choix des populations sarroteG*, c'est-à-dire pour maintenir Vor&re absolu avant, pendant et après là scrutin.

Albert JULLIEN

(la suite à la troisième page.)

La santé du maréchal Hindenburg BerUn, 7 mai idép. HavasA

Contrairement bruit. qui ont couru, Il est Inexact que le maréchal vott Hindenburg ait subi l'opération de la prostate. Le président d'Empire a souffert récemment d'un catarrhe de le vesster Il a été 9Oigné par 1e profes.sur Sauerbruch et non état s'était améliore. f Il a d'ailleurs reçu. hier le chancelier Hitler et s'est entretenu avec lui des affaires courantes,

Ce qui a pu donner naissance au bruit d:une opération, c'egt que ia nouvelle de Hti disposition du maréchftî causé une certaine Inquiétude dans la population da Berlin.

LE PEiIT PARISIEN EN ESPAGNE Une conversation avec M. Gil Robles le jeune chef du parti de l'Action populaire Ta&dix .qae monarchistes et extrémiste* de gauche t'agitent et répandent les bjttiti les plus inquiétant*, M. Cil Rabltt fait front a ver nn toaraffe tranquille à haies les dit Acuités da moment

Madrid, 7 mâî.

De jsotxs ïnvoï* artcun.

L'Homme qui. à cette heure, tient et maintient la politique espagnole, c'est incontestablement M. Gü Robles, le jeune chef de l'Action populaire .Sftna lui la majorité serait dafjà dispersée et morcelée; saps lui il n'y aurait au Parlement ni direction, ni cohésion, ni action, ni majorité posaible.

Mais il commande et onkmjae. il fait front avec un covrage tranquille et optimiste à toutes les ditflcultés du moment. On n'ent&mi, aux Cortès, que propos désencbuité'a ou rancuniûrs, Les gauches annoncent la dissolution fatale et prochaine de la Chambre après la faillite de la majorité actnelle. Les radicaux flottent entre ies droites et leg -gauchaB agitant %t désftttiparéa. Les monarchistes s'agitent. Us !r1psent entendre que le retour de l'ancien minîstre, le dictateur M. Calvo Sotelo, bénéficiaire -de la loi d'amniatie, leur donne de grands «spofrs. Ils voient en M. Caivo Sotelo, animateur du paru de la Rénovation espagnole, un chef qui pourrait bientôt avoir une autorité non moins grande que celle dû IL Gil Hoiries. Et les bruits contradictoires. inquiets, Inquiétante. courent, sa croisent, se heurtent

Les Cortea sont en vaceacea dans huit Jours.

Elles continueront à .siéger* Le cabinet de 3L Samper a la vie assurée pour Jusqu'en octolwe. Une nouvelle crise est imminente. Et l'on, dit aux journalistes Tout est réglé. La crise est terminée.

On leur dit aussi

Surtout, ae partez pas, La crise rnnttaue n va se passer des choaes, des choses

Datts cette confusion, dans ce désarroi, on est heureux de rencontrer M. Gil Robles. Il reste calme, d'esprit clair et de tête froid*, ,Sa physionomie qui n'est pas typiquement espagnole eaU attachante. Elle est extraorcïinalremerifc mobdle et vive. Le regard est attenta Maurice PRAÏ

(La suite A ïa trtrisi&ma page.)

M. Albert Lebrun sur la tombe de M. Paul Doumer

II y. exactement deux ana, nom le rappelons hier, le Président F&uî Poumer tombait sous les coupa de Gorçu» loff à la vente annuelle des Ecrivains anciens combattants.

Hier matin, à l'occasion de ce dottloureux annlversaire. M, Albert LebTun, président de la Ké publique, a t-?Qu à renârs un pieux hommage à son prétombe et 1a fleurir.

Accompagné de M- André Maçre, secrétaire général de la présidence; de l'amiral Le Bigot et des colonels NolrotNérin et Collette, de aa maison militaire, M. Albert Lebrun est arrivé au cimetière de Vaugirard à 10 h. 15. A sa descente de voiture, le Présldent a été reçu par M. Pierre Etienne Gandin, ministre des Travaux publics, qu'accomM. Jean Perrault-Pradler, qui fut éqadent Doumer. On notait également la

A LA COMMISSION DU FEVRIER LA NUIT DES TEMPS AVANT LE CONGRES DE

LA PRESSANTE NÉCESSITÉ D'UNE RÉFORME FISCALE Notre législation ci. tt compliqué* consacrt btancovp d'injustice* et d'intokëreMet

Réforme fiscale Est-ce une formule dont les magiciens de la politique rêvint de se faire une arme contre le ffouvememest ? ° Est-ce le remède aux maux qui accablent 1'Etat vieillis- sent ? N'est-ce qu'une expression dont le mode se fondra au creuaet de l'oubli ? On ne le sait pas encore, car. avant même que nous connaissions toutes lea données du problème, les partisans s'affrontent, substituant la passion 'a ta ralsan, le sentiment iL: la logique. Et pourtant Si l'on veut bien regarder en arrière, on constate que tous les partis, lea plus modérés et les plus avancés, n'ont cessé de la pré- comser, cette réConne que certains repoussent aujourd'hui, avant même de savoir ce qu'elle contiendra. Bornons-nous aujourd'hui à dire pourquoi elle semble nécessaire. AU point où nous en sommes, c'est te gftchid. Pas une toi n'est votée sans que, tout auasitot, le législateur ne tils-

pense diverses catégories sociales de son application.

Quand on a greffé sur le raïs^eau eu texte légal toutes les boutures d'amendements, on s'aperçoit qu'il eet mort. En effet, personne ne paie plus. Personne c'est trop dire. Il reste une phalange de Français moyens qui c'a pas bénéficia des .faveurs parlementaires. Hftro sur ces gens qui ne f demandent rien 3 Ils paieront pour toua.

C'est ainsi que lentement, par le jeu des exonérations, on doit recaurir aux taux élevés, qui entralaent fatalement t la disparition de la matière imposable» £rt, font ja vie plus chère.

René MAZEDIER

(La suite la deuxième page.)

présence du gèoèt&l de Irlande, Commandant mtHtaire du Sénat du général Goura ud, gouverneur de Parla de MM. Lange ron. préfet de police Eugène Biondeau, directeur du cabinet du président du Sénat, représentant M. Jeanaejiey, et Georges Huisman. directeur général des Beaux-Arts. Le Président de la République ee rendit aussitôt sur la tombe de aon prédécesseur, autour de laquelle ai trouvaient déjà M. et Mme Emery, beau-frère et sœur du défunt: Mme Pasquier-Douûûer, M. André MHe Françoise Doumer et Les petitsenfanta du président Doumer. Après 3'étre longuement reeuellii sur îa tombe, M. Albert Lebrun y déposa une gerbe de fleura qui vint sa joindre à celtes qu'avaient déposées quelques instants plue tôt MM. Ï*ierre-Etiedn4 Flandln, Elriery et Hulsmàn, au nom des an ci an a collaborateurs du président Doumer.

Les régions militaires de Rennes et de Limoges disparaissent,

par moite des prises le 28 avril dernier, qui réduisent de 20 1S le nombre dea régions militaires, le m&jécha] PçtaJn, ministre de la Guerre, fait paraître deux nouveaux décréta, dont le premjer détermine. Lea aubdlviaione des régions militaires du territoire métropolitain et la deuxième fixe le tracé de ces réglûm.

étaient Rennes et Limogea.

Aucun changement n'est apporta AU siège des dix huit autres région.. LES DECRETS D'ECONOMIES ET L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE Le ministère de l'Education nationale communique

Certains journaux ont récemment publié la nouvelle que le ministère de l'Education nationale se proposait de supprimer douze mille postes d'instituteure.

Cette indication est dénuée de tout fondement. Dèa le premier Jour, le ministre -IL déclaré, d'accord avec aea collègues du gouvernement, qu'aucune ne serait faite dans l'Éilseignemont primaire qui pourrait compromettre la posalbilité, pour dam enfants, d'âge scalaire, de fréquenter une école publique at ferait ainsi obstacle à l'ilapérteuâe obligation scolaire.

Ue plus. Quelles ?»* »oient les' mfrsures pris« si les 'circonstances matérielles ou moral ea imposent ultérieurement 1a réouverture d'une classe le miniature de TEducation nationale mettra au-dessus de toutes considérations la ttsceasjtfl d'aeflurw sus enfanta l'instruction gratuite et laïque à laquelle Ils ont droit.

LA RÉORGANISATION DU CONSEIL D'ÉTAT La décret partît ce matin au C Journal officiel »

Nous avone annonce qu'ail cours du dernier conseil des ministres. M, Çhéron, garde des Sceaux, avait soumis à îa signature du Président de la République un décret modifiant. l'organisatlon du conseil d'filtat. Le texte de te décret parait ce matin au Journal officiel, I1 comporte quatorze alti. cles, desquels il que les grandes lignes de la réforme sont les suivantes: L'une des sections administratives dite « section dé législation > *at supprimée. 8&s sgnt transférltja aux trois sections administratives subalfltantee, Ii est procédé, en outre, à une nouvelle répartition entre ces aeçtipns des diffwenta départements mînîstériela pouf tenir compte des transformations successives, eulji^s par Chacune de? ««cfioàg administratives qui survivent Voit son effectif accru et porté à q'm. conseillerai en outre du président

2e- Au point de Vue du contentieux, 1a section spéciale, actuellement Chargée de juger les ^ffairag d'élection, de eotittibutioûa directes et de taxes asuimlléea, se trouve supprimée en tant qu'organe autonçm-e leadites affaires étant rattachera à la section du contentieux proprement dite et réalisant ainsi l'unité content levuie du conseil. Enfin tant dana un but de simplification que pour assurer aussi sûrement que poesïble l'unité de jurldlctiOTl, diverses modifications sont apportées à la composition, de la section du contentieux et de rassemblée M. Gaston Doumergue s'entretient avec sir George Clerk

R Gaston Doumergue a reçu hler après-midi, au Quai d'Orsay, la visite de air George Clerk, le nouvel ambassadeur de Grande-rBT-etagTie Paria, qui avait présenté. il y quelques jours, ses lettres de créance à M. Albert Lebrun. L'éminent diplomate britannique et le Président du Conseil, qut s'étalent déjà rencontrés autrefois t notamment en Hu#si9 lora de la mission de M. Dou-orgue à Pétrograd, ont pu, à cette occasion, tout en a'oçcupant: de. prontèj mes RCtuels, évoquer des souvenirs anj ciens.

Il est vraisemblable que la question du désarmement, qui préoccupe vivement le gouvernement britannique et au sujet de laquelle notre gouvernement a pris et maintient une position logique et très nette, constitué un dea principaux objets de cet important entretien.

UN ACCORD FRANCO-ALLEMAND SUR LA DOUBLE IMPOSITION Berlin. 7 mai (dép. Petit Parisien.) engagées depuis plusieurs mois entre l'Allemagne et 1a France pour arriver à conclure une convention destinée à éviter aux ressortissante d'un paye habitant dans l'autre l'Inconvénient de la double Imposition. Dea négociations ont eu Heu à Berlfn du 4 au 7 mat. EU* ont abouti à établlr des règles d'assistance administrative réciproque en matière d'impôts En attendent l'approbation par les deux gouveruement», l'accord a été paraphé

LA COMMISSION STAVISKI

A ENTENDU HIER CINQ TÉMOINS

M. HbdelD

La commission d'enquête sur l'affaire Stavislti a entendu hier M. André Benolatj aaelen directeur de la police judiciaire^ M. ancien préfet de police; M. Satteatini, sous- directeur A la direction des affaires criminelles au ministère de la Justice: M. GUiet, chef de bureau à la direction du mouveulent des fonds au ministère des Finances, et M- it»rcel C&es, Que dire de la déposition de M, Apàré BéGoist ? Il né connalt rien de ̃ ^'affaire Stavlaki; pressé d'apporter des précisions, il se retranche derrière l'incertitude de ses souvenirs.

D'un tout autre- ton furent les déde IL Hudelo. L'ancien prétet de police, qui a présidé pendant t ai* mois aux destinées de la CompaRate foncière d'entreprises, se défendit d'avoir été de quelque manière informé de la personnalité d'Alexandre et proteste de sa ferme et constante volonté de ne rien faire qui pût être incorrect Il s'appliqua à le mon. 1 trer en racontant ses vlsites à 1 M. Pletre Laval dont le rôle tut d'uae impeccable correction et son parti de donner sa démission dès l'instant que le ministère des Finances et le parquet relevaient des infractions pénalea.

Les dépositions de M. Battestînl, sotia-dî recteur au ministère de ta Juslice, et de M. Ullîet, chef de bureau au ministère des Finances {direction du mouvement des fonda), achevèrent la mine au point des correspondances échangées entre les deux ministères au sujet des poursuites contre la Coml pagnle foncière et dhentreprlses. Enfin M. Marcel Caen a rappelé le. souvenirs relativement précis qu'il a gardés o>s démarches de M. René R&floult en faveur de Stavii3lîi, soit auprès du juge Decante, soit auprès du procureur Prouharam. Il a apporté de telles rectifications à la déposition de M* André Hesse devant la coint mission d'enquête que celle-ci sera ° obligée d'ouvrir de nouveau son dossier.

(Voir lea débats a ta cinquième page.) Une manifestation de sympathie envers M. Lescouvé

Les magistrats composant la chamt de la cour de CAASfttlon aâ sont rendu., r à l'issue de leur. audiences d'hier, dans i 1. cabinet du président. M. Leacouvé. et et ont apporté au premier magistrat 3 de la cour suprême l'expression de 1 leur sympathie- et de leur respect Voif en L'Angleterre décide de protéger ses marchés contre 1. concurrence des textiles japonais.

Joséphine Ogée qui tua son amant l'ingénieur Hardorff est acquittée

Drame classique de la rupture deux jours soi-disant après que l'infortuné André HtrdorfT, ingénieur, eut annoncé à sa maîtres», Joséphine Louise Ogée, aée Jack, qu'il allait la quitter pour se marier, elle est revenue chez lui et fa tué. L'accusatioa précisera qu'elle l'a tué pendant qu'il dormait, et qu'elle a longuement prémédité ma vengeance. Elle avait souffert, elle aussi, dana son amour-propre et dans son amour t. Est-ce assez pour justifier un assastâ&at ?

Elle pleure, maintenant, anfouiasamt un pauvre visage fripé dans un mouchoir. Née à Bluta, près de SaintBrieue, fille d'un marin, eüe n'est en 1UZ4, mariée en Bretagne avec M. Qgé&. avec qui elle vint à Paris. Elle dirigea une petite épicerle, rue de la Félicité, puis, les affaires se révélant décevantes, devint calssjfère d'abord dans un magasin, puis cfeess un entrepreneur. Ceat là qu'elle rencontra M. Hardorff.

.que voua avez révolvirïsi jette tout de suite le Président Blondel. Et Il était méchant.

Bla quoi 7

En tout

Elle invita son amftût à <Uieuner chez elle les deux hommes* Ogée et Hardorfl", ae connaissaient. Le mari devina qu'on le trompait et, par la suite. observa le couple, si bien qu'il le surprit en tiagrajat délit. L'tccus^fl regrette a peine Cet Incident, car elle ne pense qu'à HardorS

T'étala maJheureuso il avait une maîtresse

Et elle ajouta à voix plus basse Je ne Vaimsia pas d'amoer je l'aimai. d'amitié

Il Il avait copeciant peur de vom on noa.

Il l'a même conâ& & ne amis, M. Carré et M. Mathieu. Et l'on a retrouvé dans ton buvard, après sa mort, Une lettre dans laquelle il a écrit Il S'it m' arrive un. malneur, ce sera Joséphine a.

Elle Insinue elle nleat pas la première recourir à ce système1 de défense que on amant fa poussée à d'inavouables abdications. Est-ce vrai? Il faut s'en tenir à son récit, car Hardorn* n'est plus là pour se défendre. Elle acheta bientôt un revolver. Je voulais me &uidd#r.

Ou!. Mais vous aviez annoncé Que vous tueriez André avant.

Et tout en annonçant qu'alla le tuerait, eue le trompait. Elle allait de pro-

mener au bois de Boulogne, où elle se révélait prête A toute aventure. On ne comprend donc pius ce qui a pu se pu..str dana le cœur de cette: étrange femme.

Eugène QUINCHE

(La suite A la deuxième page.)

u

A Co ur be voie

UN WmW A PIED TUE SON CONTREMAITRE ET BLESSE GRIEVEMENT UN DE SES CAMARADES Puis il tente de sa donner la mort, après, ne;' fait feu sur le* ouvrière de l'usine et jur les agents

d'Ancre, a été hier le théâtre tfw» ecêne tragique au cours de laquelle un ouvrier, mis à pied, a tire pîusiéurt belles de revolver sur son contremaître» puis lui. a froidement donné la blessant grièvement. en outre, un de ses compagnons de travail.

Samedi dernier, dans l'usine Laotitu qui occupe une trentaine d'ouvriers, M. Reft4 Sc&mltt, contremaître, vingts neut ans, 54, rae Jules-Ferry, la GarennCy.; faisait, au sujet de aon travail, une légère observation A un ouvrier qui eat-depuis cinq ans à l'usine, Emile Cuvelier, cinquante ans, tôlier, demeurant 12, rue Jules-Verne, A Futeaux. Dans ud mouvement de mauvaise humeur, Cuvalier. qua l'on représente comme un homme taciturne et même un peu sauraus, abandonna son travail, disant

Ces bon. je m'en vais.

Le co&trejûattre peasa que l'ouvrier était rentré efeee lui..

(La suite à la deuxième pagm.)

De grandes assemblées d'anciens combattants vont avoir lieu

Elles vont exprimer le* idées, les sentiments et les aspirations de ceux qui, généretrsement, veulent prendre leur part de la rénovation nationale

Deux grandes associations d'anciens combattants, mutilés et victimes de la guerre, les deux plus çranâôs numériquement. vont tenir chacune leur congrès annuel dans quelques jours l'Union nationala des combattants A Meta, du 10 au la mai; l'Union fédérale A Vichy, aux jours de la Pentecôte.

La première compte environ adhérenta et la seconde 1 million, Ceat dire par IL même l'importance de leurs gestes et de )cura décisions- C'est la dire mieux encore en aoullgn&int qu'elles repréaeut&nt ainsi, à elles deux, une forte majorité au sein de la Confédé ration n&Uân&*e dee anciens combattants. qu'elles contribueat à constituer pour partie.

Cette constatation numérique ne saurait naturellement avoir d'autre objet qu'elle-même et, par conséquent, ne préjuge en rien ni .1'im.portanee, ni l'activité, mi le caractère des autres associations ou groupements qui forment l'ensemble de la Confétiératîon natioanle, dou plus que celle-ci, il va de soi.

Signaler à l'attention ces aasembléea prochaines, ce n'est point aeuiement marquer le vif Intérêt qui Leur est dû, c'est aussi rechercher l'occasion d'un plus étroit contact avec l'état d'esprit des anciens combat1 tant» et ceci noua ramène par un détour à leur Confédération.

Dans un désir de clarté et d'immédiate compréhension, le Français le mieux averti simplifie trop souvent à xnt pas prSseDter pour lui un intérêt direct et. pour avoir réeumé le problème à une seule donnée, il arrive qu'il ne peut plus ta ré*ou^r&. Ainsi dit-on les anciens combattar.ta point de ne garder qu'une Étiquette, au risque de discerner niai etisuit* leura vocables divers et les raisona de leurs réunions multipliées.

Afin d'aisément retenir des et*'ment» en somme fort simples, Il faut dônc ne pas perdre de vue les modes variés du groupement des ancien* combattants et leurs £Û*eta particuliera.

A part les membres de quelques associatians non adbérentea a la Confédération nationale, l'immense m&jorit£ des combattants t'y trouvent actuellement réunis, puisqu'elle compte trois


mmiaiw cinq cent miue cotisants en viron. Mails ils y sont réunss wus le raison sociale de leur assScfatirm e rDûiia avons vu plus haut quels effectif! apportaient certaines d'entre eUes. Un; partie de ces association sur les qua tre-vingta et quelques conatituant le gbonf édératlon est fournie par dea grou coup comprend soit des association! centraliaéej avec groupes cWpartementaux et sections locales, soit des unîont ou fédération» de sociétés départementale 3 parfois régiOA&J&s ayant elles- mômes leurs groupes locaux.

Certains départements ont vu se créer des comités d'entente voire des Ï4d4ratlooalluiitife3 ce cadre adminis- tratif et eux objectas qui y correspondent par des associations en des groupea qui n'en demeurent paa moins ratt&it&és & leur organisme principal* Telle est, résumée d'un mot, l'articulatlon générale de l'organisation des combattants, auxquels M. Gaston Dnumerggue s'est adressée en appelant dana son ministère M, Georges Rivallet, aecrétaire général de leur Confédératlon nationale et aujourd'hui ministre des Pensions. Nous noua excuaerians de ces explications qui apparaîtront superflues beaucoup si une expérience en quelque sorte quotidienne n'enseignait, qu'elles ne seront paa complètement Inutiles h un plus grand nombre.

Elles ne sauraient qu'aider dans tous les caa la mise au point d'un certain nombre de faits, objet même de ces lignes et de celles qui pourront Bulvre.

Le moindre examen des 6vénementa révèle un étonnant bouillonnement d'idées, de sentiments, d'aspirations, de besoins, de nécessités auquel lea anciens combattants ne peuvent point ne pas participer ne tilt-ce qu'en tant que citoyens.

Mais dana quelle mesure y participent-ils es qualités ?

La question semblait h beaucoup réactua par la négative quand les événements que l'on sait sont venue Jeun damer ua démenti. Sera-t-U suivi d'autres et sous quelle» fortBra ? Il est sage de le prévoir, Il serait imprudent d'en préjuger.

Mais, au fait, qu'est-ce donc qu'un ancien combattant Chacun pense un Français aujourd'hui comme les autres, a raison, mais tout le monde a un peu tort.

Certes, le combattant moyen est le plus proche parent du Françai» moyen. Mais s'il aime l'ordre, c'est £arce qu'il a mesure toute la gravité todlvidueïïe et coHectiv« du désordre. S'Il soutient la décision, l'autorité, d'est qu'Li en Donnait mieux les bienfaits.1

3'îl défend la liberté, c'est qu'il èompte sur ga propre discipline. ,S'il basltit De profiteur, .'est au souvenir du prix de ses sacrifices.

Quand il appelle te justice, il songe juaqu'où a a poussé l'ég&Ut^ civique au service de la grandeur et de £a Quand il réclame des réformes Sociales, il est fcmppégnd de cette fra|lua pures de la 'générosité et du ÇAvouement.

Quand il s'étonne de la lenteur des 'transformations et des Adaptations économiques, son esprit avertt par une expérience qui lui est venue bien malgré lui, fait le tour d'horizon d'autres difficultés et des moyens rapides de lea yaiftcre. Il aime son foyer parce qu'il sait le prix de la paix. Il hait la guerre parce (ju'il en cannait l'horreur. il en farde l'inquiétude et c'est pourquoi il est si aQ«ti&fc.:e£ pr^errer teft autres de toute sa bonne vokfHté; due fôute sa Tottjnté1. Voilà pourquoi il est tout wfla un peu plus sans doute que 1A Français moyen.

Modeste, raisonnable, confiant en dépit de multiples déceptinas, L'ancien combattant si;en est remis vaàoûtîera à d'autres du soin, d'affaires dont la bonne marche ne pouvaient que lui permettre de rétablir les siennes, longtemps négligées.

En attendant, il s'est uni à ses camarades pour faire améliorer une législation qui le concernait et semblait sur certaine points aiissi prise au dépourvu que lui-même.

Tt s'est uni si bien qu'il est dervtftm numériquement multimillion-DaiTe, sa seule fortune bien souvent. Et juste à ce moment, entre une génération qui naturellement décline et une autre qui monte grande allure, Il s'entend dire que l'on a perdu la sienne.

Cette génératiaa soi-disant perdue se rçtrouvera-t-elîe ? C'est toute la question. Il est Indéniable que l'ancien combattant se la pose.

A Mets comme à Vichy vont continuer des recherches commeneées à vrai dire depuis un certain temps pour y répondre et que nous rappôiiierons prochainement,

Loutt DAUPHIN

L'abbé WmUrf élu

au Section* municipale* d'Oran l'&bbe Lambert et neuf de s«e colistier? ont été élus. Les vingt-sept autrea aont en baîloîtege.

Puli vienaent les socialiste*, avec vois- d'écart.

N- SS, Fealiletott du Petit Parisien- M mai _ljg*

LES 4 SERGENTS-. DE LA ROCHELLE GRAND ROMAN INEDIT

Arthur BERNÈDE r

DEUXlHiMB PARTIE Et vcniB, ma chère marie ?

POUR L'AMOUR Et il la police apprend que 0 Vous xxni (mita) it m'utotg dessu»

Pnur lai .amT.p t Choulet J'espère bien na plu> jamais le rencontrer sur ïna route

de manteau relevé, sa casquette enfen- matin. on l'a trouvé étendu devant le ce» sur les yeux, si bien qu'on ne pou- palaJs de justice. un de vos Poignards vait pae distinguer Bon visage, n'engage &B plein cœur,

dans un véritable dédale da petite qui a pu faire çl cbemim de traverse Qu'il semble fort JE n'En Bai3 En tout cas, bien connaître. a'eat pas mol. Car je ma aeraia servit Eh bien,, mon p'tit (fars, Bécrie dit mûn pilon

MirieJanlbe-fln^Boia, t'es content Le cheval, une bile de sang superbe, SI ja «uia content dévorait Uttearatametit l'espace. Et la p'tlte, donc Rien que I «s- Noua arrivona annonçait Mute. pair de te retrouver lui a rendu ses Et non amls questionnait Borlei. farces. Et puis tout est arrangé, Botte Ils doivent nous suivre des déniiwments différents, vous aller jeau-FrancolB peocaa la tête au depouvoir tous les quatre gagner Diappe, regarda en arrière. i«uvé rien 1 Le ne flltralt aucume lumière. Copyrignt by Arthur &*rned* iâM. Troduc- trois coup, de sifflet- Une porte *'OULion et rtproduaioa mterdiits en tous pay*» vrait, Une ombrt 8 ̃avançait vers la

L'ACQUITTEMENT DE JOSÉPHINE OGÉE ̃ai™ sb u rsnuk*5 FMI

Hardorlï, c'fist certain, avait un, autre liaison et devait épouser cette autre femme. A quelle époque a-t-il révélé ce projet à Joséphine Ogée ? Si 1 l'on en croit quelques relation* du mort, Il avait mis cette encombrante amie au courant de ses Intentions depuis loaigtempa. Elle le ale et aasure qu'il l'a brutalement jetée à la porte que le jeudi 12 octobre. Elle lui attribue, à cette occasion, des propos d'une grossièreté déconcertante. Elle le dlt coureur,- vulgaire, brutal, mais eUe le relançait à chaque instant, barcefeit de aei vioftea et eapér&It qu'il l'épouserait. Nouvelles contradictions, mais inévitables faut Men qu'elle ae défende 1 HardolT cherchait à â'évader. Bile le pourchassait sans cesse. Et le drame allait survenir. Le samedi suivant, elle alla l'attendre devant son domicile, 4, rue Rouannet. Leur liaison, officiellement, était rompue. Après huit années de vie conjugale, Mme Ogée avait quitté son mari, espérant devenir la femme de L'Ingénieur, EU-e avait, en réalité, tout perdu, Il lui offrit 500 francs par mois jusqu'au jour où elle aurait découvert une nouvelle situation.

n pleuvait et Hardorlï ne parut qu'un peu avant minuit. EHe était trempée et l'invita à moater Chez lui « pour se séCher La nuit s'écoula. Vers heures du matin, une discussion se serait engagée dont nul, dans le vofsinage, n'a perçu le bruit. Et l'accusée précise

Il m'a dit des mots grossiers. J'ai perdu 1a tétc, J& regrette beaucoup.

C'est aller un peu vite en matière En réalité, eUe ae leva, circula dans l'appartement et se rendit à la salle de bains pour y prendre, dana aon sac à main déposé son revolver. EUe rentra dans la chftnoftir* où son amant «posait c les. paupières baiasées k Elle tsra, le tuant net, puis courut chez la concierge et s'écria Je crois que J'ai blessé André. Tel «»t le drame, et le. témoins commencent a dealer, donnant bien contra leur gré, une suite ininterrompue de queatiaas et de commeptalres. Enfin M* Campin-cfri, partie civile au nom de Mme Hardorff mère, restée a Gd-enobte, démontre «.dmtra<blement que Joséphine Ogée, déçvw dans se» acnibitiotis, a recouru ta vengeance. L'avocat général, M. Lédia que ]e défenseur, M" J.-Ch. Le-grand, plaide la déception, lé geste tou d'une amoureuse repoussée.

Au cours de ses explication», x* J,-Oh, t^tgrand avait Indiqué que l'on ne détourne pas saas risque une femme de ses devoirs, et surtout qu'on ne l'aban- donne pas ensuite, sans risque, pour en épouser une autre. Les juréa ont admia cette explication et ont acquitté ment de la délibération civile, les cui- santa reproches de M* Camping, stupéfait de cette « autorisation de tuer > une fois de plus délivrée.

Mme Hardoff mère obtient un franc, plus le montant des frais du procès à titre de réparation, c'est «Ile, qui eût dû les dépens. Le prochain concret de 1. Fédération de* mutilé., victimes de guerre st. Anciens cwnhattftntt prochain fioitgrfèa fédéTEir '1m S." 9, et 11 Juin, proohala.En dehors des queutions relatives aux intérêts matériels et moraux des membres de la fédération, les congre siatea éxamin*ront un certain nombre de problèmes généraux reâr*aaem*tit de la moralité, Intervention d*s anciens plan internattonal en faveur de ta paix, Le du complot contre le roi Cat-ol

est fait officier

Bucarest, T mai (dép<

Le sergent Çanu, dont Tés révélations ont permis la police d'arrêter, y raient un attentat contre le roi Carol et qui furent récemment condaïunéa à sir &ns de réelueidn. et dégradêE Bancdt matin. a été promu hier au grade de

à une cérémonie aoleanellâ devant les troupes de la garaleon de Bucarest. INFORMATIONS POLITIQUES a adressé une lettre M. Gaston Douimergu« et & M, GarmainniEirtin p4ixt ft.'Ppèlfrf' Jeur Attention sur deux ordres de conresrett&bteii » dw décrets par lesquels a été aa*uré te redrtaSfflTiÊIlt àea flnancea et d* l'équilibre du budget. Ha'&glt en premier lieu de le situation nom-eili; des r^tpaft^s et etuniitô, et tout du sort tait auxïesseura et de aureci»«vhes adintiflaiMfl et B'eTWçant aucune profession libérais rémunératrice.

Moi Mais ça va très bien.

LE DRAME

DE COURBEVOIE Cuveller, pourtant, ne devait rentrer A son domicile que dans la soirée, l'air plus «ombrg encore que tfhabi- tvde.

Cependant, Il ne flt part à sa femme d'aucun de ses soucis ni de ses intenlion.. Sans trop de mauvaise grâce il Consentit à se rendre le dimanche avec sa famille à la braderie de Puteaux et ne se montra pas plus préoccupé que d'habitude.

Le dramt

Hier matin, Cuveller se présenta à la tôlerie Lantln comme à Taccoutu- mée. Le contremaitre Schmitt était th entouré de nombreux ouvriers et, aper- cevant Cuvelier, pour lui reprocher son coup de tète. lui dit

Tu t'es reposé aumedi, tu te repaseras encore aujourd'hui.

Cuvelier, sans geste de colère, répondit aeiïïement

Eh sien je vais attendre le patron.

Délaissant la compagnie de. autres ouvriers, 11 laissa ceux-ci se diriger vers une petite soupente où sont placées tes armoires métalliques qui servent te. ranger les vêtements des travailleurs.

Tous étaient groupés dans cette qui mesure environ 4 mètres sur 3. Béjà les ouvriers, quittant leurs vêtements de ville, s'habillent de leur cotte bleue. Le contremaître Schmitt, à la limite du vestiaire et de l'atelier, tournait le dos aux établis.

Cuveller errait dans cet «.telfcf, les deux main. dans ses poches. Il a'approcha lentement du vestiaire» puis, de derrière une espèce de bac en cours de construction, tirant un revolver automatique de aa poche, Il fit fou sur le contremaître et sur le groupe formé par des camarades d'atelier. Lorsque fut vidé le chargeur de ce revolver et que Schmitt se fut affaissé, touché le premier de plusieurs balles dans le dos, le meurtrier, prenant un second browning dans une autre poche, coatinua Bon tir meurtrier, blessant un de ses camarades, Alphonse Brenp, cinquante ans, 13, rue de la Rampe-duPont, k Courbevoie, qui fut atteint d'une balle Il la màchoire et transporté h l'bopitai municipal dana un état grave. Les autres ouvriers, épouvantés par cette fusillade qui ne s*nibl*ifc pas vouloir n'arrêter, a'étaient diarimuléa comme ils avaient pu derrière le? armoires métalliques, Revenant vera son contremaitre, qui criait c Au secours, lea gars 1 Cuvalfer, après avoir en quelques instants remig des balles dans ses deux cnarireura qu'il avait complètement vidés, froidement, go pencha. vers sa victime, couchée à. terre, et lui tira, bout portant cette fois, une balle dans la tête.

Un autre ouvrler, Français Tareili, demeurant 107, rue de la Source, à ment il était à peine 8 heures, courut vers le pont de Neuilly et averUt trois gardiens de la. paix do la brigade da circulation appartenant au commissariat de Putç&ux,

Les agents Thomas, Botte et Chas..sagnette accoururent aussitôt. A peine entrés dans l'atelier, ils furent reçus à coups de revolver par Cuveller, et lea balles vinrent s'écraser sur la tôle de la porte d'entrée, à peu de distance de leurs têtes.

Les agents. pour Intimider le forcené, tirèrent atara a ,.|eux coups de revolver ,'en* rair.'pn, disant,; Jette ton revtrtvef

Mais le meurtrier s'y refusa, criant Pas ai bête, vous m'auriez comme vous voudriez après.

Puis il se dirigea vent un pU&r de soutènement de la charpente de l'atelier s'adosaa à une cuve et, à son tour, se tira une balle dans la tempe droite. la s'écroula grièvement blessé, mais non mortellement, semble-t-U.

M. Vanêgue, commissaire de police de Courbevoie, aussitôt prévenu, se rendit sur les lieux du drame. Il fit transporter le meurtrier Il l'hôpital municipal où. étaient déjà tes deux victimes, Mais, avant d'arriver L cet établissement, le contremaître avait rendu le dernier soupir.

Cuvelier, quoique sérieusement touché, put être interrogé par le magistrat. Il indiqua que, quittant l'atelier samedi après-midi, il avait aussitôt acheté les deux revolvers chez un armurier d'une localité qu'il n'a pu désigner.

Ancien blessé de guerre, Cuveller a-t-ll agi dans un accès de démence? Son acte fut cependant exécuté avec un sang-froid et une maitrise absolus. Il déclara toutefois regretter soa geste et avoir agl dana un coup do folie, AU JOURNAL OFFICIEL a locales d'Aistiea et de L^iTaliiO le tfécret du 4 Avril portant réforma du régime Décret portant modification de certaine du code deq «qatirancae flocislea XBhln. du Haut^Rhltl ef et la Mos#H*. *n vvm du au bUdget de l'Etat par finan-

voiture. C'était 1e patron du c Hol CJovls »- .auquel appartenait le pavillon que, depuis un certain temps, Il avait ses gluis et lui-même, serréa de trop près par la polio@. auraient besoin de s'y réfugier.

Lea autres sont là ? talle était la première question que lui po$ait Bort#«. Pas encore répliquait son hôte. Mais H y a là quelqu'un qut a. grand* hâte de l'embraaebr.

L'évadé s'élançait vers 1. maison. Jean-François s'écriait Fanchon Marie-Jambe-enBoîa, tout en lea rejoignant,

Je t'avala bien dit que Je te Ifr ramènerais

Tous trois pénétraient à l'intérieur du pavillon, Le cocher qui, lui aussi, avait mis pied k terre, restait auprès le aon cheval, 1'ore.me aux aguets, tendue vera la route enveloppée d'ombre.

Seuls, dans-igue petite mole à manger modest«, et et sa fiancée se la muette et dlvine allêgresae d'aman ta qui ae sont Crus séparés pour toujours. II la tenait dans ses brai, et elle lui souri aï à travers 1« larmea de Joie qut roulaient sut eon joH visage.

Soudain, des voix élevaient de Vautre côté de la dea voix atnaçantti, furiousea, demi. nées par le cl air on de Harie-Jambe- en-Boi»

I>fl bandits Les canailles Borifts tressaillit comme s'il avait ri mpre salon subite d'un malheur imminent.

Il quittait Fanehon toute frissonnante de la angoisse et ouvralt 1a porte qui donnait dans la pièce voisine. Il se trouvait en face de ]a vivandière rouge de colère, de t^fèvre- pâle de fureur et de Goupillon, l'acquitte de la qui essuyait du revers de ma manche les goutten de sueur qui ruisgelaient sur son front.

La pressante nécessité d'une réforme fisscale *um JtB LA rtaMrtm tua

H faut bien le dire notre régime fiscal entrave l'activité générale, pouiue les possédants à la thésaurisation et accule les fabricants au* prix de revient élevés. C'est, en quelque sorte, l'organisation de la paralysie. Veut-on, pour s'en rendre compte, prendre un. exemple ? S&vez-vous quel prélèvement subit le bénéfice réalisé par une société avant d'être versé a l' actionnaire sous forme de dividende ? La société paie d'abort au titre des bénéfices Industriel. et eommerciatLK. L'actionnaire pate 17 d'impôt sur le revenu dea valeurs mobilières. Il paie enfin l'imp6t général sur le revenu dont le taux monte Jusqu'à, S8,5

Sur un bénéfice Industriel ou commercial de 100 francs, l'Etat peut donc prélever Jusqu'à fiS fr. On comprend pourquoi les capitaux ne s'utilisent plus

D'autre part, le taux des Impôts cédw&jres eat toi qu'il exerce sur lea prix de revient une telle pression qu'il devtent à peu prés Impossible de rivaHwr avec l'étranger.

Ce qui fait la faiblesse de notre régime fiscal, c'est l'exonération érigée en dogme et la néceeaité de faire payer davantage ceux qui sont atteints puisque les trois quarts des citoyen» sont épargnéa. Cest ainsi qu'en 19Û7 le projet d'impôt sur le revenu de M. Joseph Caillait prévoyait un taux de 8 Le projet voté en 1917 portait ce taux à 3,75 et

Aujourd'hui, tes traitements et salalrag paient 10 les bénéflees commerciaux les valeurs mobiHèrea 17

Mais, par contre, l'abattement la base. qui osctllaH à l'ortgine entre et francs, est paaaé- A 10.000 francs. On en arrivé peu peu .Mule dea iJénéfice* commerciaux, des fcJMwJettis paient 65 de l'impôt. pana la cédule des traiteMenta et aalairea, aur un montant annuel de 133 milliard. de salaires, 3S milliards paient l'Impôt, 100 milllardfl ne paient rien.

En. 1933, la France a compté, au titre de l'impôt aur les salaires, moins de 2 mULLons d'asaujettis; en Allemagne, pays pauvre, 13 minions et demi de HJaiiés versent leur quote-part au trésor.

Ua impôt mai étaWS provoqua to«iours la fraude. Ctsat pourquoi nous assistons au paradoxe de ohar^g fiscales dont le rendement décroît il. mesure que les taux augmentent. Peut tes bénéfices commerciaux, le petit commerce a trouvé dans le système du forfait un refuge commode. Pour lea bénéfices non commerciaux, c'est pis. En moins de citoyens exerçant des professions libéraies ont reconnu gagner p£ue de 50.000 Et il s'est trouvé &.5Q0 citoyens héroïques pour déclarer qu'ils avaient totalisé plua de 100,000 franc8 dans Tannée.

Pour les bénéfices agricoles, eoân, le résultat eat risible. On a recueilli, en 1S33, un peu plus de 20 minions. Avec un peu de temps, cet impôt finira par coûter plus qu'il ne rapporte. Ce jour-la, Il faudra illuminer, Noua aurona trouvé le moyen de mardiûr sur la tête.

Et pour toutes choses Il en va de même. Les Impotr indlrecta, bâclés, eutaiaf&tr aanar des ̃eseaiplea digaes Lisez plutôt. La taxe mur le chiffre d'affaires, qui eat de 2 q, n'est paa appliquée à la viande de porc culte, sal'ée ou tra.v&m$e,

Mais si le cnarcnïtler fait un pâté de porc auquel Il mêle du veau, tout change, car le veau pâle lu 2 %̃ Alors, on fait des moyenne S'il y a plus de porc que de veau, on ne paie rien, et Si le veau l'emporte, on paye plein tarif.

Même chose pour les poissons et crustacés. Le poû&on cru ne paie que 0 fr. 55 par faveur spéciale. S'il est cuit, Il paie plein tarif. Il y a cependant une exception pour les cre· vattea. La crevette cuite est exonérée, mais si vous cuisez homard, langouste ou crabe modeste, vous Paierez taxe entière. On croit rêver. Et, cependant, ces règlements existent. Les fonctionnaires, en lea appliquant, remplissent leur devoir. Le ïégiaïateur se rend-il raient être multipliés, A quoi bon ? Il dire que de grandes réformes a 'imposent. Certes. elles sont délicat** et nécessitent du doigté. Mais elles sont nécessaires.

L'objet de la réforme qu'étudie actuellement la commission qui siège rue de Rivoli est d'ajiord de simplifier la vieille marine, puis de limiter les exonérations, de réduire lw tarifs et enfin de réprimer la fraude fiscale. Le jour, peut-être proche, où les Français auront compris que la vérité et l'avenir sont là. il n'y aura plus de crises budgétaires. Et le mot « déséquilibre 5 disparaîtra du dictionnaire

Qu'y a-t-il ? questionnait Bcries. fallait que c# fût bien grave pour que Marie-Jiflûbe-tn-Eoia, elle-même, s*rilàt nos *mia ? s'enquérsit le soua-offlcïer,

Dift-luif Parlsita invitait 1a vivan- dière. Jean Français n'est pas un homme auquel on petit cacher 1a v£rîté, Ils ont été "pris 1 déclarait lAfèvre.

Oui.

Et par qui

Par Monsieur Vle. le chef dit la police sicr+tB, qui, au moment où nous les faisions monter dans l'autre voiture est arrivé à cheval, guidant une escorte de qui noua a cernés en moins de temps qu'il n'en faut pour allumer une pipe. C'est par que nous avons pu nous enruir. Goupillon et moi. au grand galop. aur daux mont.res de gendarmes qui avaïent perdu Isura cavaliers.

Et nos défenseurs ?

Il y des morts* des bl«sés, des prisonniers. Quant aux trois sergents, ila doivent étre déjà depuis un moment enfermés dans la prison de Bîeêtre.Ce aaeré Vie! la VlvâJldière,. Lui qui était sol-dlauit malade pour ne pas venir à l'audience. Il s'est rétabli pour reprendre mes pauvret gars' 11 ne donc Jamais celuilà. Quel malheur que je n'aie paa pu l'assommer avant

Le cooh*r, sa casquette toujours enfonoée jusqu'aux oreilles, appanlsaaft en criant

Borlea Partea vite. II n'y a pas une minute à perdre. Vie est sur votre trace.

reconnaître Coi-Ium, Vous t a'écrlalt-11.

Une chaise de poste vous attend derrière la maison. Montez-y avec Votre flancée. au voua êtes perdus

Uft sangiot s'élevait

M. Germain-Martin au banquet de l'Ecole des sciences politiques aoir le banquet annuel de J Aiâool&tJofl dts dccten? élèves de 3'Scote des Kiencas polltJquta. Au dessert le ministre dea Finance^ après avoir fait part de aympathle qu'il 'il Entretient pour l'école, rappel. quiï y avait naguère professé

J>w la tache Ingrate, dit-11, de [l*ftmire le concept de 1a monnaie dont la vaJtur a pour support colle du métal accumulé dans les banques d'émisaïtais. La coruflanoe des auditeur* me permit de penser que la théorie classique, fruit d'une longue expérience, n'était point entachée d'erreur,

Vous acceptiez de «uivrt un homme de bonne foi qui vous invitait à aocept+f des méthodes qui imposent aux âirltfeant* et aux mtïMs un effort constant pour obtenir l'équilibre budgétaire cet équïïïbre étant à la base de saines flna,ûc«a, et de saillies finances. étant ind-ispensablts a«x gouvftrn*-la qui ne veulent pas recourir à la facilité d*s manipulât ton» monétaire* pour règlac les dépenses araesstvev de rEtaL

Est-il possible, poursuit le ministre, de remplacer, lorsqu'il faut dirlger lu hommes et tes capitaux ven les emploie les meilleurs, tant aur le plan international qua »»tloiial, le régulateur automatique des prix par i' action et la volonté d'ua ou de quelques hommes Les plana lu plut audacieux, inscrits aur le papier, se heurtent aux difficulté^ qTJotidieane-s des réalisations qui sont le lot de- toua les gouvernement

Si un esprit Impartial procéda à l'étude comparée du ptojît*» matériel et moral dans deux milieux, l'un capitalise et de liberté, l'autre d 'économie collective et autoritaire, lea réaultats 1es plus humains ne a'inatrivetit pas à 1 "actif du bilan de l'économie dirigée par la bureaucratie.

Est-ce à dtre que, attaché à ridés de liberté et croyant à son efficacité, out n'acceptions P** que l'Etat ait dea devoirs qui ne pu à 1. plupart iëa gouveraementa au cours dw xix* qlécla î" exigé dans toux 1- cimaines t' intervention ûûu gouvernements, a rendu impossible la pratique du intégral. La conduite dea hostilités et bob conséquences Inévitables ont créé une vit nationale dirigée dont les effets persistent à travers le moud*, vingt ans après de la lutte.

L'Etat a donc le devoir de venir .au secours d'une économie qu'il ébranlé dans le paue par son action sur toua les ta de la. vie économique et sociale.

Après avoir évoqui brièvement les difficultés auxquelles la France a eu à faire face, M. G«rmain-Ua.rtln conclut

Il n'est pM d'exempt», messieurs, que las méthode. de facilité aient permis de de. économies Btagnantes. I/îllu&lon qui natt de la hausse artificielle des prix ne correspond pas à la création accrue de richesses réélla. et le }eu des incidenCca de &rix aboutit fatalement à des équivalences qui font apparaître la fragilité de meaurai telles que la dévaluation et l'inlîatlon,

par contre, toute méthode qui donne au paya da preuve que le «ne de l'autotlté, allié l'idée de justice, pt^ald« 0. IVITort Qui tend à substituer .l'ordre au désordre, à assurer l'ëqulHbre budgétaire, i, la stabilit* de la monnaie favorise la circulation des capitaux dévriopp* l'activité del transaction* et, en fin de conLpCer re*taure l'économie,

Telle ««t notre méthode, mesaleurs. Ellle pourra réeerver ceux qui ont la responsabilité de l'anpHquer de dura et qui jamais manqué qu'on l'invitait agir pour bien aervir la patrie,

LE BEAU TEMPS EST RETABIJ Après 1a belle et assez chaude journée de dimanche, la journée d'hier lundi a été a£a6E médlûcrB par ciel très nuergeux ou couvert avec quelques cfrtitav de pluie, les vents &ouf3&nt assez fortement du nord-ouest. Tandis que la température était en baiue ff4une dépression, dF«.iIUurs faible, passait rapidement sur la France, de l'ouest à l'est.

Mais, dès aujourd'hui, le temps sera complètement rétabli car l'anticyclone du- lange, qui a' étendait jusqu'aux îles gagnera notre pays ainsi que lea Iles Britanniques et se reliera à nouveau à un autre anticyclone qui tubsiste sur la Finlande les dépressions seront ainsi refoulées vers le nord-oueat du continent et ne doivent pas notre pays avant quelque jours. En France le baromètre, aprés une assez forte hausse, doit atteindre 780 mm. vers le pas de Calais. Aujourd'hui, datis la capitale et sur le reste de notre pays, les vents auront coitipïètftment changé et viendront du nord-est. Après une nuit assez fraîtbfl, mais naja-a gelée, la.née demain doit être: également une belle et assez chaude journée et il y a d'usés fortes probabilités pour que la journée du jeudi de soit en- cote belle et chaude. Jean MARTtw. Deui «ttremt moCvcrcliftea teb en Allemagne

Ch einai tz, 7 mai (dépêche HavfM.) Daux motocyclistes qui prenaient part aux championnats d'Alleomgrne as sont tué. à

C'était Fanofaon qui venait a joû tour de pénétrer dans Ia pièce.

cienne espionne du roi qytî, pour Movtr à tout prix celui qu'elle aimait, eut reculé à l'infini lea limites du sacrifie* Merci. On oui, merci de tout mon Boriea. Mais c'est impossible.

Impossible répétait Paneton, en reiombant do nouveau du haut de son doux réve.

Je ne puis demeurer libre quand Je&n-Fraiïçoi* avec une grandeur d'âme magnifique,

Un le seront demun, martelait Corinne.

Non Car on ne réussit pu deux fols de iulte une pareill* teat&Uve», Bûrtefl le voua en supplie! haie- Et s'adreasant à Fanthon, elle 1'aimez, vous qu'il aime, vous qui ète« toute- puis suite sur aan cœur, aidezmoi, dltas^lui vous Qu fa,ut qujn avec Vous, oui, avec vous pubque c'est voua qu'il aime

1 suppliait Vainement la pauvre petite.

Et vous, ma bonne Marte gdjucomme un fila. dites-lui donc Gravement, l'héroïne du déclarait

Mon fais tun devoir Tu as raiaon, Marie, reprenalt Borlea. Pommier, Goubin, RaQua et mai nous avons juré de vivre et de que fflttende ici l'arrivée de ceux qut sont à ma poursuite. Car ce serait vous compromettre toui, Inutilement, de vais donc partir au-devant d'eux. Adieu. ni. F&Dchon.

Mon aimé

La pauvre enfant pleuraît la tète appuyée contre sa poitrine. Doucement, 11-ries la remettait à la vivandiers. Encore merci, Marie, lu i dit-il. Maintenant Il faut que tu vives pour

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du SouTnmtr aéra ravivée à 1S h. *> par ta FM*r*t!on naUonaie des «mlcales dea ijanliatai A, C. <1?s armées de le et né mw.

Swnlce pour lea PoïytechiricleJïa décédé* lfl h. 30. Saint-EUer.ne-dEj-Mamt. des de 3»lnt-VincMit-tîe-PauïP du Oardinaï & bit. •▼«mie df14na, De la S&rrmin» natlo* nalè de li U h. i 13 h,, mairie du IIK ne j'Orne@ «entrai dea de bienfaisance, 14 h., hola) G<KirR«-V. archU«ctM, 17 n., con£*r»n», De ¡'En.fanae.

F*t*4 î du quartier Latin. Du quartier eu Montparn^Be (CoTtcourB Au plus h»« b*bé>. De ¡'venue de Cl Ichy.

Club de » b. 30, salle Tfrajram, fi*imloiin de la SUn^îJiajiire Palaltr. Foyers féminin* de 17 h,. 47, rue de Ponthlç-ii, F. N. pour Lerée. Oîub d« Tévrier, b,, 1É. rue de SwDcnne. institut Pl« Xl, 3J h. S, 238, faubours Saiîit-Honorf, pabliv> 16 la.. Tuileries SL K, pl&ne V»rderet.

h- Eiljrhktt à 14 hsur*i. Le Cercle MHltslre donnera eon grand bal de clôture de la ualaott la samedi 12 mai, à 22 heure. dans ses salons de la place Saint-Aug-ustfn, SAGESSE.

Lever et MTj coucftrr à âke,

A ctotqu* repas dêgwster

Un verre de t Cherry RocKor >t Voilà pour vivre diar fois dix.

Se maqulller ent un art que peu de femmes possèdent parfaitement LA GRATfDS MAISON DE BLANC, avec le concours -de LESÇUEJTDIEU, a décidé la Création d'un coura de maquIHaçe et li. 30, daiis les salon* de la place de l'Opéra, une personnalité parisienne qualifiée fera une conférence avec démonstration* sur l'art de .se maquUtar. Comment ètn phH belle, NECROLOGIE

On annoncé la mort. *pr&£ une dousecrétaire en cong'ê du commlsfiariat de

Mme Victor Haruen, né« Ffuquelle, Mme Eug-fene Bagues, Mme et II. Robert Bagués et leurs enfants Mme et M. Bancetln et leurs enfants, vaue font part du déco* de M- Victor BaffUta. Les obsèques auront lieu à l'église Saint -H o noté d Eylau, aujourd'hui mardi S, à S heures.

ton til*,» pour elle. pour tes deux enfants. Adieu Adieu, voua tous1 Cammc il ,élançait au dehors, un sanglot tout proche lui fit tourner la. tête. C'était Corinne qui t'était agenoufilëe devant lui. Il lui tendit la main et elle la porta, â aes lèvres aanx prononcer une. parois..

De$ torchsa brill&ieat dana la. nuit, dea bruits de fer à cheval résonnaient sur le pavé. Eories s'élançait vers les huaMtds et dès qu'il fut à portée de voix Il ea mit à crier

inutile 4'aller plua loin. Je suit le sergent-major Boriea

un cavalier sans uniforme s'approchait d* lui et ïautant terre s'écrit en lui passant lea menottes

Je savais bien que tu n'échapperais pas à la justice du ïol

Mais toi, alertait Borieat tu n'échappera* pas à celle de Dieu xxrv

La justice du roi et la j'utUc* d. Dieu .Le. 21 septembre suivant, vers S heupiquet da gendarmes attendaient dans ta grands cour de Bicètre. La. de Bories, de Pommier» de Gûubln et de Baouix, pour leur annoncer, ainsi qulls a'y attendaient déjà députe plusieurs jours, que pour eux l'heure d avoir du courage venait de sonner. ou courage Ils tn avalent à re- a'avaient-Us paa ïaït le sacrifice de leur exieteace ? Et, si douloureux leur ÉÛUl de quitter à tout jamais ce rçuïSs aifaiblir devant la mort.

Véùiculea dans lesquels lia devaient effectuer leur détaler voyage. On les fit monter dana ie plus petit «abres et de leurs pistolets. La plus

Programme des spectacles Ope», rïJ4ch*,

Fr«ç*ia, S h. de Tri««n- Lyrique 8 h. Comte OblJs&dù. Variétés, Celàeht.

8 Si r*Mli HOI fBaugéJ, Théilre tf P»ri». S h, 45, Tovwitdh. Sarkh,B«nili., S h, 16, C^rsnn da Bergenc. Ambi«:«. S U. 4S, La Train de 8 h. Pigaflt. 3 h, <5, la Chauve- Sourta. & îi-. Issb&n*. tkiufff>K-Pftris.l«n»> 8 h. !e BOTiheur Mn^es AtHéjifte, 9 h., M. PYjtE Franz Neumann. Ha4«l.< 8 la B^l» Hlst. (de M. Tvata). Nnuveftwt* S h. les ^œura Hortensias. Cm. Ch.-Ely* 9 h.. la Machine infernale. l.Hwd-Guïjnol, 9 h,, Auberge ((Juge. Midi*], 9 h., rfev. Rtp (R*p.lîar«no,P»rtayB> Atellrr, 8 (ih les Ctjqa, îtanirtfa, M»thnriiu, 9 h.. le Mari que J li «rtiu. Mnnlpanuu,

Capu^lBtB, 9 h.. Hltzi-HUzon (opérette). MUSIC-HALLS

P*lie«-lkrfèr*». S 30. FWlea en toUe QIliL) CM. de Parb. 8 h. Vtve Parïs IC. 3or*t) Alc*i,H 3. S h., ̃caf fïtx-H»iir«i, 10 h.. Marlirih J, R!«utc. ReTU* Jïiir-FruLef, rfian»Dïin.4 rfsv. de Marc HHy.Européen, m., a. Fréda Gardon) et J. Cyrano Murssio Le Pereholf, B h., Eaatift, ValHer la revue. Il 30, Naut.; 10 &tt UédPtao, 9. Ûhami Bros, clowns. Mat. j.,s.,d. I Jiitn Part, Clfiture.

MMmlm, jdi, dim., aofr.; dïm. m,, a. CINEMAS

le Tourbillon de 1* danse» P»r«monfflt, RothchMiî (Harry Baur>. Olympia, Judex 13M,

B«ï, l'Enfant du Carnaval CI. Mo»JoUkloe). Cft^E]ys*ei tllS, Jaune. tfarlTatix. Ces MM. de lA. Santé (Ratmu), Ctrtoca de Rio). 3Iu-JJndfvï-Fsth«, Pécheur 4rtffl*Jlde. Tumulte».

Victor- ftn jn-FathÉ, la Bataftie.

Kdouard-VII. Llttle Woinen iK. Harbumj. Rojai ra.lhê, Mltïvette et Sa. mertlM-Simon) Csiim. Théâtre, Sérénade à trois (nra. fr.) Apoilo, W&nder B»r.

C*méo, Tn n\ghV& Ute nlgbt. CÀgolt, Un jour Tiendra (Kate de Ha«T>>

Stadla Soupe aux canarda (4 M*m BP.l- A#m (.PU, le Bai3«i- devant le miroir. F.-T»r*m., midi à 9, OïJv., Twi.çt{D.Motkré) Lntetla-Pat-, Sérénade tfoli.viTK.ar^t.fT. B*t*elM, m,, s.. Fftlro Illusions, Paya noleil Artiatle, Sérénade & trois (vera. or., jk-t. fr> SKinl-Marcftl-Patli*, Cette nnit-ï&,

St-Ssbin, Gard. le sour.. l'Ara, qu'il f. f«n. Maptcu-tm, la Foire aux iMualons.

S«Mt-F*t., D. la nuit des pigodfts. Nortrro» r.fil.^ln F.lhé. Cetto nuJt-iâ.

DIRECTION ET ADMINISTRATION

4BONNPMEMTS 3 malt 6 mol* t«n ^̃rtftS«tri.«Srtn«.M.aM ̃ 100. MO"

grande voiture prit leu devants, escortée, bien que vide. La préfecture d6 Police redoutait, en effet, quelque nouveau coup de main sur les Prisonniers et comptait que, dans ce cas, -elle eut ainsi donné 1e change au; assaillants. Mali Ce n'était pal verB le Heu de iMeaijttoa que i'on emmenait les accu«es. Auparavant, les quatre victimes de M. Vie devaient faire une aorte d'escale à la Conciergerie' que v«r» Heure», le (sinistre cortège atteignait sans encombre,

Pria de pitié pour cea gens qui respiraient la Jeunasee et la. force. ie directeur de cette prison qui lu1, du moinBh n'avait pas perdu tout sentiment d'humanite, cherchait à les par. suader qu'il ne s'agissait pour eux qua Mais Botte. lui disait

Noua ne sommes paB des enfants qui ont besoin d'être trompas; non» savons ce qui nous attend iL la An de la journée, et comme vous le rayes nous n'cn a animes p&g plus êmua. Merci, tout de même pour votre bonne pensée,

Il. se laissèrent emmener sans pro- tester dans des cellules séparées mais continues. I/hujaaier de la Concterg-e- rie venait leur «ignifler offlcfellemeot que leur exécution était fixée à 4 hccir^ de l'après-midi. Ils ne firent pas entendre la moindre protestation. îa mjlndre plainte. PLUS leur martyre approchait, plus ils semblaient prêts à la subir avec une résfgij&ti on. héroïque. Ils recevaient ensuite la visft* de l'aumônier de la prison, le vénérable abbé Montés, qui appartenait à la religion réformée ne pouvait acc«p-' avec déférence et lui exprima sa rWon* naissance pour les paroles de réconfort qu'ii lui apportatL Pommier, Goubln et fit Rftoulit, bien que cathollquis. refu1 aèrent e'jagj f&8 gervlcea religieux de l'aumônier, tout en rassurant, eux ausâl. de leur respect et de leur ?ratltude.


Conversation à Madrid avec M. Gil Robles

chef du parti

d'Action populaire

J'ai entendu maintes fois M. Gli Robles aux Cortès. Ses interventions sont rapides. d'une précision mathématique, d'une concision frappante. Il ixnoe les mots comme au fronton les pelotari lancent la halte et il toujours» en toutes occasions, une formule de bonne humeur qui met les rieurs de son coté.

On s'en doute peut-être, M. Gil Roblea a hlen voulu, ea décembre dernier, exposer aux lecteurs du Petit Pm-isien les Idées maîtresses de L'Actioa populaire.

C'est encore à lui que je me suia adressé à cette heure d'incertitude et de confusion,

Il conduit toute la politique espagnole, Il est Le maître, présentement, de la partie.

Je lui ai demandé l'autorisation de lui poser quelques questions emoarraasantes. Il a souri sans embarras. Il m'a répondu sans embarras avec une franchise parfaite. Certaines de ses réponses seront retenir.

Je lui si dit

Considérez- vous l'incident soulevé par la publication du message présidentiel qui a provoqué une si vive émotion comme clos ?

Oui. m'a-t-tl dit. Je considère cet incident comme clos. Néanmoins, Ut La publication de ce mepaagï a Été interprétée, du moins par les journ a 1 2 a t e s étrangers, comme une manœuvre contre votre parti, contre les droite*. Il n'en était donc rien 7 Je ne crois pas que ce message soit interprété comme un acte hostile contre les droites. Je le considère plu-ILôt comme un examen critique et réservé de tous le. débata qui ont eu lieu sous tes gouvernements antérieurs,' anmme il s'est agi du projet da loi d'amnistie.

Croyez-vous, ai-je demandé à M. Gil Robles, que votre majorité actuelle puisse gouverner pendant toute la durée normale de la législa- bilité de prendre directement les responsabilités du pouvoir sans laisser la présidence du Conseil aux radicaux ? La majorité actuelle, qui a soutenu le cabinet Lerroux et qui soutient le cabinet samper, doit permettre au gouvernement de vivre normalement pendant toute la durée des Cortès. Il est possible que les droits ne tiennent pas a prendre directement le pouvoir. Mais S'il le fallait nous le prendrions avec le concours des radicaux, bien entendu,

Mais, monsieur le député, on parle beaucoup de dissolution dans les couloirs de. Z* Non. Il na fautj^fts penser a une dissoîutiofl. Ce serait une décision extrêmement grave pour le régime luimême, Cette dissolution risquerait de déclencher en Espagne une période d'agitation et de violences qui aurait bien du mal à. ne pas se terminer tragiquement.

Mais j'ai une grave question a poser à M. Gil nobles, la question du jour, puisque maintenant on emploie partout, à tort et à travers, les grands mots de fascisme ou d'hitlérisme. C'est la mode aujourd'hui et, pour confondre un contradicteur, il n'est que de Vous savez bien, monsieur le dé- pot*, que les journaux de gauche, que les partis de gauche, veulent voir en vous vn faséiste déterminé. La manifestatioa que vous avez organisée l'autre dimanche à l'Escvrial a été dénoncée comme une manifestation fasciste. Parce que tous lee- manifes- tants portaient le mème insigne à leur boutonnière la- croix de San Isictorio, Il n'en faut pas plus aujourd'hui M. Gil Rnbles me répond avec une netteté catégorique, Il n'y a paa la ̃moindre orront- sntioti fasciste parmi les droites qui se trouvaat représentée* pnr Positon populaire. Pas de fascistes. Pas méme de sympathiea fascistes. Les gauches, du reste, le savent bien, mais il leur plaît de répandre cette erreur qui peut leur servir de prétexte à certaines agitations.

J'ai encore une importante question a poser à M. GH Rotttea qui n'a jamais prononcé un mot contre le régime républicain, mais qui n'a cependant pas encore donné son adhésion au régime,

L'observateur impartial, sl je fait, croit pouvoir noter que leg Idées monarchistes ont pris quelque vigueur depuis tes élections dernières en Espagne. Une restauration monarchiste vous parait-$le possible, je ne dis pas acmhaitabte On parle beaucoup du prince don Juan, troisième fils d'Alphonse XIII.

M. Gil Robtes me répond encore avec une franchise absolut

Je ne crois pas que les idées trionarchistes aient fait des progrès en Espagne ces temps-ci- Je crois, an contraire, que l'Immense majorité du peuple espagnol, qui n'aspire qu'à la paix et qu'à la tranquillité, ne souhalte d'aucune manière un changement de régime qui pourrait avoir des conséquences désastreuses. Ce serait mettre en péril la paix puolïque que de soutenir la tbèse contraire.

On reproche parfois aux hommes guës et de mots à double sens. Telle n'est pas, on en conviendra, la manière de M. Gil Robles qui répond carré'ment aux questions qu'on lui pose et qui ne craint Pas d'affirmer nette- ment, sans détour. sans vaine formule de rhétorique politicienne, sa manière de voir et sa manière de commander. Dans les circonstances actuelles, qui demeurent troubles et difficiles, M. Gil nobles parle avec clarté, avec méthode. avec sang-froid et autorité. Quand on l'A. entendu, la situation politique espagnole semble s'Être éclaircie. On a affaire à an homme qui sait au moins ce qu'il veut et qui sait où iï va.

Et pour terminer. j'ai voulu poser une derntère question au chef de fac- ttoa populaire député, l'occupation d'Ifni 7 Etes- vous partisao d'une politique d'amicale Maroc ?

Abaolurnent. nettement, m'a ré- pondu M. Gil nobles M. P.

L'ORGANISATION DU PLÉBISCITE DE LA SARRE DEVANT LA S. D. N.' BU ITÏ DE LA FfcLiiiÈRB PACB

Et cela nous ramène au point le plus important qu'avait à étudier le comité spécial du conseil de Genève. Or il n'apparaît pas que cette étude l'ait mené à des conclusions précises. Par quei moyen permettra-t-on à ¡a commission de gouvernement dont le président, M. Knox, n'a pas caché aon impuissance a'il en est réduit à ta. de maintenir cet ordre absolu ? Recour ra-t-on, comme cela a été sug- géré, à l'organisation d'une force internationale, ce qui semble être effectivement la aeule mesure susceptible d'empêcher les passions de se donner libre cours, d'éviter les coups de main cazistes, de les réprimer au besoin, (la faire, en un mot, régner la paix autour des urnes ?

Lorsque cette question s/est posée, sir John Simon, qui représentait la Grande-Bretagee au conseil, n'a tait preuve que d'un enthousiasme très modéré pour l'institution de cette force, de crainte, sans doute, que son pays nombre de soldats, A moins de manquer à son devoir et aux obligations qu'il a spontanément contractées, il va bien falloir que le conseil prenne une décision énergique et que ceux de ses aaeïn&res qui le peuvent, et dont l'im nécessaires. Iva-t-II pas, par sa résolution unanime du 20 janvier, s affirmé sa volonté de remplir tous les devoirs gwé lui incombent en ce qui concerne la préparation et l'exécution de la consul- la Sarre en 1 Déjà, on prévoit que les discussions en séance et dans la coulisse se prolongeront pendant quatre ou cinq jours- On peut compter sur le représentant de la France qui n'a jamals songé a Incorporer tout ou partie de la aarrft contre la volonté de ses habitants pour placer le débat sur Bon véritable terrain et pour exiger non seulement ta stricte exécution du traité, mais t'application loyale d'un dea droits les plus sacrés auxquels la S. Dr N. ait donné sa garantie: le droit des peu- pies à disposer d'eux-mêmes. A. J. Deux incidents de frontière ont marqué la manifestation naziste de Dem- Ponts

Sarrebruck, 7 mai {dép. Petit Pari.) Dans la journée d'hier, deux iuciidenta de iront ière se sont produits à l'occasion de la manifestation aarroise de Deux-Ponta, à Einod, près de Homm«- roise qui dftig'featt le servies d'ordre fut happé par un gendarme allemand qui eseaya de le tirer de l'autre côté de la ligne de démarcation, Mais le gendarme allemand n'avait pas compté sur la force physique de aOa adversaire qui put 3e dégager. Pendant cette lutte, le fonctionnaire français fut abandonner son chapeau sur le territoire aïlemand,

Le second Incident fut plus grave. Un habitant d'Einod, M. Huaeung, .membre du parti social-démocrate, qui se trouvait un peu plus tard à la même place que Je fonctionnaire sarrols, fut attaqué par le même gendarme allemand et en» trainé vers le territoire allemand où il fut arrêta sous le prétexte qu'il avait voulu chercher le chapeau du fonctionnaire. Les nombreux nazi$ ae trouvant à cet endroit applaudirent gendarme allemand et crièrent -iL plusieurs reprises « Très bien Cela. démontre clairement que le Sarroîs avait été dé- noncé à la police allemande.

M. Hussung fut d'abord interrogé par le gendarme et ensuite par le ohef de la police de Ûeux-ponta. Celui-ci le déclara ( provisoirement arrêta Ce niest que le matin que le Sarroi? tut relâché. La coEomisefcm de gouvernement a ouvert une enquête sur les deux Un accueil chaleureux est fait à M. Jevtitch Sofia

3ofla, 7 mal I4$p, Petit Parisien). M, J e v tl tch et ses coilaborateurs, MM. Martinaz, Markovltch et Koitch, tière de Dragomaft où lia ont été salués au nom du gouvernement bulgare par tree de Bulgarie à Belgrrada et de YougosEavfe à Sofia étaient également préqu'accQïnpajrnenr une douzaine de journali&tes yougoslaves, demanda de transde collaborer pour leur part au rapproA. Sof1a, où le train spécial est arrivé à h, 30, les représentants du roi Baris. le président du Conseil et les membres du gouvernement, le président du Sabrante, le maire de Sofia, ainsi que la plupart des chefs de missions diplode la gare et eur tout le trajet du cortège officiel qui, suivant les rues principales décorées de drapeaux aux couleurs des deux pays. gagna l'hôtel du Centre où doit séjourner M. Jevtitcb. Après Un court repos, ce dernier alla s'Inscrire au -palais royal, puis rendit vialte A M.MouchanoS et à M, Mali no (ï après quoi i\ fut reçu par le roi Borts qui 1. retint plus d'une heure et demie.

Un nombreux public, stationnant devant le pa!ala salua a sa sortie M. Jeytltch qui gagea la légation yougoslave M. Mouchenoff, fut donne,

L/après-midï au thé offert par l'Association bulgarû-yougos]a.veh dont le prétea fois pris courageusement position en faveur du rapprochement dee deux paye, a donné à l'homme d'Etat you» gojlave l'occasion de rencontrer de nombreux représentants dea milieu* Intellectuels et politiques.

Contrairement à leur programme primitif. MM. Mouchrnoff et Jevtitch se sont rencontrés à la fin de l'après-midi à la présidence du Conseil où. aaaistoâa de leurs Collaborateurs immédiats, Ha ont eu un entretien prolongé. A l'issue de cette entrevue M. Mouchanoff a'eat borné h. déclarer que la conversation se poursuivrait le lendemain.

Cette première prise de contact a permis toutefois de constater que la mL=je au point des problèmes envisagés dfi la visite du roi Boris à Belgrade fctfalt très heureusement progressé. Un djnflr suivi d'une réception, donné ce soir à M. MoGchanoff, a donné lieu è. un échange de toasts.

L'Angleterre décide de protéger ses marchés contre la concurrence des textiles japonais En face de la concurrence que le Japon fait aux textiles anglais sur toua lae marchés du monde, le gxmver- nement juge qu'il a suï- fisamment temporisé et que 1 heure eat venue de prendre d'énergiques sures de défense. C'est ce qui résutts d'une importante déclaration que M. Runciman. président du Board of Trade, a faite ce soir aux Communes et dont voici lea points waentfels Ayant rappelé qu'en réponse au Aifi^ faire pour régler ce problème le gouvernement japonais déclara, dans sa communication du 31 mars, qu'il était disposé à examiner toute proposition nouvelle du gouvernement britannique- mais qu'il ne formulera lui-même aucune *Ug"ge&tiDn, SA .EluciinEUi a. ajoute -Il II a déjà un an que j'ai attiré l'attention du gouvernement de Tokio sur la. grave situation créée par la compétition japonaise. Dur&nt cette période, lea Japonais très naturellement de îeur point de vue- ont développé d'une façon continue leurs exportations sur nos marchés au détriment dea produit. du La.ncaHb.lre, tandis que nous avions, hous, Jas mains ]un conséquence, le gouvernement de Sa Majesté est arrivé à la conclusion qu'il ne pouvait pas ajourner plue longtemps, dans l'espoir d'un accord qui ne se dessine pas, telle action qu'il jugera de nature à sauvegarder les intérêts coiPBmercUiiK britanniques. M. annonce alors qu'il a informé jeudi dernier l'ambassadeur japoftalft que dans les circonstances présentée le gouvernement britannique se voyait obligé de reprendre sa liberté d'action et i1 l'a assuré en même temps que les mesures auxquelles il se réanudrait ne seraient pas prises dans un esprit lnamleal.

Mais il existe un traité de commerce aiiflo-japonais qui réglé pendant vingt ans les relations entre las doux pays. or M. Rurtetmen a fait connaître ce l'loir que les dispositions du traité n'interdisaient pas à 1a Grande-En. tagne de prendre des dispositions suffisantes pour protéger son commerce et que. en conaéqueccÉ, il n'y avait paa lieu de le dénoncer.

Après cette remarque, le président du Board of Trade a annoncé les déci.ions du Elle. ont de deux ordres

En ce qui concerne la &randB-Erelagne. le comité consultatif des tarifs a été invité à compléter aussi rapidement que possible son rapport sur la question de droits additionnel» à éta Il, sur la sole

2° Pour Ce qui est des marchés coloniaux, le Secrétaire d'Etat aux Colonies va demander aux gouvernements coloni,de fixer immédiatement des contingents d'importation qui, Sauf dans le cas de l'ouest africain, s'appliqueront à toutes les importations étrangères de cotons et de soie artificielle.

Ces contingents seront établis sur la base de la moyenne des Importations des années à 1931, En outre, et afin de prévenir des importation 3 massives' ont les délais de, préparation âe la' législation nécessaire, l'as contingftnte^ metïtg aurpnt un effet tétros^tlf à compter d'aujourd'hui 7 mai.

Une lettre au a Times »

de M. Gilbert Murray

sur les armements et la sécurité Londres, 7 mai (dép. Petit Parisien.) Le Petit Parisien a publié vendredi dernier une lettre adressée au Time* par lord Lothian qui démontrait pourquoi la ne pouvait pas assumer sur le continent des obligations collectives comportant des sanctions automatiques. Lord Latnlan se demandait, en outre, s'il ne convenait pas plutôt. de s'en remettre au pacte Ke-lioe"ff et fi préconisait, en iout cas, un accord entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis pour la sauvegarde de 1a paix par l'union de leurs puiseantea forces navalea.

M. Ctlbert Murray, Tû-«aïdent de l'Union pour la 2. D. N,, lui donne la répllque sur ces deux points particu- liers du. lettre que le Times publiera demain

Lard Lothian propose de baser la aécurité sur le pacte Kellogg parce qu'il est universel. C'est là, pour M. Gilbert Murray, proposer de lâcher 1a proie pour l'ombre, car, écrit-il, le malheur est que le pacte Kehogg ne fait rien pour la sécurité. Les Etats-Unls ont été maintes fois sollicités de prévoir quelque sanction pour assurer l'exécution du pacte, mate ils s'y sont obstinément refusés. Eu vérité. il est à craidre que si toutes lea nations ont signé d'un cœur léger le pacte Kellogg c'est précisément parce qu'il ne comporte pas d'obligation définie. Ces pays renoncent à la guerre comme instrument de politique nationale, mals Ils eardent le droit de se battre pour se défendre et chacun deux reste seul juge de ce qu'il être sa défense légitime. Si an tjoute à cela les diverses échappatoires créées par les « réserves », ajoute M. Gilbert Murray, il est difficile d'accorder une grande confiance au pacte Kellogg comme instrument de sécurité ».

M. Gilbert Murray aborde ensuite la seconde proposition de lava Lothian celle d'une enf.enta entre la. Grande-Bretagne et les Etats-Unis qui assureraient la paix du monde avec leurs marines. Il estime comme fort peu probable qu'un parti quelconque aux États-Unis recommande une telle politique. Et d'ajHeurç, observe-t-li. si cette politique était mise sur pied, le reste du monde tentative â'établisaem&n d'une tyran.le par lea Anglos-ga^ons. M, Gilbert Murray. ayant lait remarquer que les dominions n'interviendraient pas volontiers en Europe, mais qu'ils seraient les premiers à agir a'i! tallalt se battre contre 1e Japon, ajouts que 1 article 16 du covenant donne lieu à des obligations puisque le ca*v& /œderis qu'il envisage n'existe que lorsque la guerre a déjà éclaté par conséquent, l'action à entreprendre aux termes de cet article ne diffère guère d'une guerre. Le m-oyen de sortir de cette grave situation, écrit-il, est assurément de choisir un casus fasderiç qui diffère précisément beaucoup de la guerre et de Convenir d'arrêter l'agresseur avant qui! ae soit livré à son Agression. » Ce moyen, M. Gilbert Murray le voit dans la limitation des armements « Que l'intervention générale se produise, dit-il en conclusion, dèe qu'on a. des raisons de croire qu'une puissance arme au delà de la limite autorisée. Dès lors, cette peu prendre la forme, non d'une guerre, mais d'une pression diplomatique et économique. C'est ce qui fait que c'est une nécessité vitale d'aboutir à. un traité de limitation des armements car je crains, comme lord Lothian, que, si certaines puiarances européennes rendent toute limitation Impossible et nous plongent tout? dans une course aux armements, ni Locarno ni l'article 16 ne sauveront la France, l'Allemagne et aous-mémea de la ruine. »

1

Les fêtes de Jeanne-d'Arc ont commencé hier h Orléans Orléans, T mai (dép. Petit Parisien.) Cette année, une quinzaine commer:ia.ïe » prëcftdè le., fêtts traditionnelles Se Jeanne d'ArC. De nombreuse. manL- *sta.tloo!3 ont été organisées et, pour es présider, on a une gracieuse £&demotaell& Orlêana qui, avec aM deux iemoisçlles dhonneur, été de toutes A midi le glorieux anniversaire a été in non ce par le! fanfares dll'Htaires du haut de la Tour de Ville et sur î'emp-la- ·ement du fort des Tourelles. Fuie la :loche- du beffroi a réaonné gravement de quart d'heure en quart d'heure. Ce soir, une salve d'artillerie a été Urée et un corps de troupe a traversé îes rues illuminées et pavoisées, pour évoquer Centrée de Jeanne d'Arc dans sA bonne ifllle.

Le corps munîcIpRl .'est rendu, pré- cédé de la bannière historique de Jeanne, devant la basilique Sainte- Croix, Là, au nilHeu de., de la Joule et des chants liturgiques, tandla que les tours e'e no b rasaient de mille feux, l'évêque d'Orléans, Mgr Courçoux, e'Bfit avancé pour la M. Turbat, sénateur, maire, qui sneflt exprlmé ee ces termes

J'accomplis une fois de plus, ce soir, avec la même émotion, le geste symbolique par lequel noua communions dans le souvenir de l'humble! nil* qui. Il y cinq tente ans, délivrait notre bonne villa et sauvait la France, A un moment où lea égoïsmea sont déchaînés et où la raison semble ne plus avoir raison, il est réconfortant de constater que- noe compatriotes savent oublier leurs préférences personnelles pour réaliser cette union, qui meure le succès de QQa manifestations. On ne peut que regretter qu'une pareille compréhen*sion des intérêts cotlectifs n'anime pu tous Ses peuples.

Mgr Courcoux. recevant la bannière de Jeanne, a répondu

Parmi séa compatriotes divisés depuls longtemps par les intrigues des partis, avec quelle chaleur commuai- eative. avec quelle obstination inlassable ne prêcne-t-elle paa Ia réconciliation de tous, sans trahir sans affaiblir aucunement l« exigences de 1a vérité, ni les prérogatives du bon droit ? Elle qui menaçait l'envahisseur. sTil ne se retirait pas. de beaux horfona tels qu'on n'en avait pas vus en France h l'égard des Frauda aveugles qui se dérobaient encore. • EL, J'union nationale, ¡¡ne de paroles de sympathie et de conciliation, e Maintenant, s'écrt ait-elle, il ne faut pluç penser qu'à s'aider les sainte de la patrie léguait à toua les siècles à venir.

Mgr Courcoux a présenté ensuite à M. Turbat les prélats assistant» Mgr Gaillard, archevêque de Tours Mgr Besson, êvêque de l>ausanneGenêve et Fribourg Mgr Megnin, eveque d'Aîigoulême Mjçr Harsrouët, évo- que de Chartres, et Mgr Audollent, évêque de Eioi«.

Demain^ après le panégyrique de la cortège commémoratif, comprenant le. autorités civile!, militaires et religieuses, se déroulera solennellement par lu nies de la ville jusqu'aux Tourelles. L'ENQUETE STAVISKI Un démenti. 4e M. Je.. Chiapp* M, Jean Chlappe, informé de 1a déposition faite hier par M. André Benolst devant ta. commi&slûri d'enquéte Stavigki, noua prie de déclater qu'il n'éat jamais intervenu pour faire classer à la direction de la sûreté générale une affaire financière. quelle qu'elle aoit, et qu'il ae réserve d'adresser aujourd'hui au président de la commission une lettre qii fera justice des insinuations du témoin.

DANS LE PAYS DE BADE Carlamhe, 7 mai (dép. Havas.}

Un incendie s'est déclaré vei« 10 h. dans une mine de potassç à Bugfftngenj près de Carlaruh^ dans le pays de Bade.

Le. naine devra demeurer fermée her- métiquement de dix à quatorze jours. C'est seulement aprè* ce lape de temps que le.% pourront être dégagés, On estïme qua leur nombre élève 'iL 86.

UN INCIDENT A LA FRONTIERE AUSTRO. BAVAROISE

Un jeune nazi de préparer un attentat bleue un gond*"»* autrichien qui allait TniretCf "Vienne, 7 mai idêp. Petit Parisien.) Durant toute la soirée, Jea bruits les plus ont couru à Vienne a-u sujet d'un Incident de frontière ou d'un attentat contre le chancelier. En fait, venisi les éléments exacts de la réatltê les autorité. allemandes ont tait récemment savolr aux autorités autrichiennes qu'une jeune militant rit,- zigte 'avait formé un projet d'attentat contre le chancelier Dollfusa et comptait ae rendre prochainement en Autriche pour exécuter son plan.

Le gouvernement donna aussitôt A tout- les autorités de la frontière le du suspect, un jeune homme, Hans Gûnker Pataig, qu'un gendarme reconnut danç 1. localité d'Oberkappel, en H a-ute-Ati triche. Mats Patzig, au moment où le gendarme Emet RJtter allait l'arrêter, tira sur lui deux coupa de revolver, le blessant assez légèrement d'ailleurs, et parvint à s'en f ni

L'alarme avait été do-rmée 1a poursuite «'organisa et, au bout de quelques heures, Pabslg était de nouveau arrêté. Il n'a pas convenu expressément qu'il voulait commettre un attentat à la vie du chancelier Dollfuss, mais il a déclaré qu'il était venu « se battre pour la cause du peuple autrichien Il Il a été déféré. au tribunal de la prison de Uni.

Arrêté en quelque sorte en flagrant délit, son cas relève de la loi martiale LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Un chien cause la chut*

da deux motocycHatci

Melun, 7 mai {dépêche Petit Parisien). Près de Ponthierry, un automobiliste M. Eugène Fanta demeurant à Paris, 1S, rue Eichat, s'était arrêté et traversait la route suivi de son chien quand survint une motocyclette montée par M. Loula Legrand, vingt-six ans, mécanicien. 63h boulevard Kellermann, à Paris, et Mlle Lucienne Hathangue. vingthuit ans, vendeuse, même adresse. M. Legrand ne put éviter le chien et les deux motocyclistes furent projetés sur la route. Le jeune homme ne fe^Ut que de graves contusions, maïs sa com. pagne, très grièvement blessée à la tête, dut être transportée à l'hôpital de Fontainebleau.

Un est tué

par Tauto d'- de a.a ami. M. André Béguin, 22, avenue GalHênl, à BèCûn-lea- Bru /ères, suivait la route de Mantes à motocyclette, suivi d'une auto conduite par son ami. M. André Alric, 10, des à à Paris, qu'accompagnait Mme Madeleine Fenezerg'ue. 10, rue ArEnand-Moiasan, à Paris, lorsque, au hameau de la Maladrerie. commune de Paissy, il fut tamponnA par l'auto du son ami et tué sur 1e coup. Bleaeée à la tête, Mme FenrtergTie été transportée à l'itôpitaJ de Saint-Germain.

phona» XIII passerait, iLvëc *a fartilî! r#té à PoertwhMh, en

Hlti. La flmtt aiî«m(un3e est partie hie pour les grandes manœuvres.

La réforme de la Constitution Une c(mf#t**rtt* d M. Joieph Sous les auspices de la Nouvelle Ecolo ifl la. paix, MT Jogepti Barthélatoy, ire de l'Institut, professeur à la F*cuité de droit, a fait hier aolr, à la SorHïnne, une Intéressante conférence sur Ut de ia Constitution. Après quelques mots de Mme Louise iVeisa. M. Joseph Barthélémy, avec la rigoureuse et persuasive éloquence qui ïaractériee aon talent, a, en un exorde Éblouissant, cette inquiétude actuelle de l'opinion publique à laquelle Il faut répondre en faUant quelque chose. Mais ce qui est nécessaire avant tout dans le désarroi de ce temps, c'est lie choisir, de savoir ce que l'on veut sélection dea chefs, la dictature. L'orateur ne cache pae qu'il «c pronOnce dans le sens démocratique, maifi qu'il convient de raje-uniir cette Constitution de 1815 qui, malgré l'attaque sournoise de maux nombreux, est tout de m&zn* restée debout.

La grande maladie de notre Constitution, dit-1£, c'eet de vieillir. En l'adaptant. et c'est »os&ib3er aux exigences de la vie moderne, en organi*SJlt la Ètbabiîltê naLnletêrielle et la technique dx la rwpoa&abUité gouvernementale, en revivant les valeurs mole. car rien, au fon-d, ne remplace la probité, la coneclence des devoirs de chacun on atteindra à cet équilibre tant souhaité et à l'amélioration des lûsUtutlonS.

I*a séparation de i& République et démocratique et, par le téferendum dont la vertu cet pacificatrice voilà Ci-- préconise M, Barthélemy, qui e«t chale-ure use ment s-pplaudl par une iarti «t image a enthouaiaamé-

Mnie Kmemer-Bach, avocat à la cour, an nom de française pour le outrage des femmes pdlie Chaltffour, représentant l'Union nationale pour le vote dea femmes, prennent ensuite la parole en faveur des droita prie dans une éventuelle reviaiDU puis an tour de MM. Cornu, député des Côtea-du-Nord, memhre de la commission de la réforme de l'Etat Raphaël Alibert, I*ouis Mûrlio et Marcel Déat autre orateur au taient puissant et évocateur de donner leur potnt de vue, sur ce problème qui ne laisse pas d'être complexe la révision de la Constitution, celle-ct impliquant avant tout pour qu'elle soit rationttelie et efficiente une réforme po Dans l'adittinit frai ion des Finances MM, Lecohte et Magne, conseil 1ers référendaires M, P&illy, directeur de l'administration des et medaillea, sont nommés à la Cour de? comptes.

M. Saint-Raymond, conseiller référendaire à la Cour des comptes, est delégiié aux fonctions d'avocat général près Court en remplacement de M. Lee on te.

M. Moenecla«y, chef des services des prestations en nature, est nommé directeur de l'administration des monnaies et médailles en remplacement de M. Uailly M. Georges-Picot. aoua-4irecteur â l'administration centrale des Finances, est nommé en remplacement de M. Moeneclaey, et M. Rlpert, Inspecteur des nnaness, est nommé sousdirecteur à l'administre tien centrale de. Finances et affecté à la direction du budget et du contrôle financier en remplacement de M. UN EMPLOYE DES POSTES S'ETAIT JETE DANS LA SEINE Il ett uUvs par un ingénieur Vers 23 h. 45 h pour de famille, M. René Derniasy, âgé de tr.ente^ejnq ^ns, employé des P. T. T. à Reims, se jetie dana la Seine, non loin du pont Mirabeau.

Un passant M. :René âoulasâiet, înçénieur, 77, rue Leblanc, entend ses appels, prend une boue. et eat assez heureux pour ramener sur la berge g-iqiies et fut ranimé.

La conférence du blé réunie à Londres nomme nn sous comité technique Puis eue a'ajourne èf mercredi Londres, 7 mai (dép. Petit Parisien.) Le comité consultatif international du hlé tenu aujouinj'huf une réunion au Board of Trade sous la présidence de M. Blng-ham, ambassadeur des Etats-Unis. Dix-neuf, sur les vingt et un paye exportateurs et importateurs de blé qui aigûèreiit de Ladres, y étaient La conférance avait pour but de taire connaître le point de vue des gouvernement sur lea propositions adoptées par le comité, à sa récente réunion de Rome, en vue de la réglementation des prix du blé sur les marchés mondiaux et de l'encouragement à la consommation du blé. Un grand nombre de délégué. n'ont pas été en mesure d'apporter une réponse définitive sur les propositions de Rame,

En conséquence, la contérence s'est ajournée iL mercredi après avoir chargé un sous-comité technique d'établir une Hete provisoire des prix minimum à adopter. Les délégués ont été le» hôtes du gouvernement britannique à un déjeuner que présidait M. Runciman, président du Board or Trade. Revue de la Presse VERS LE SALUT ECONOMIQUE Concorde.

Le premier eftort contre le. chômage portera sur la répiou p&rUierme et sur Le Nord où la cria* sAelt avec le plim d'Intensité mais Il conviendra de ne- paa négliger lea autres régions et. en dehors des travaux urbains, de songer a revigorer l'écomainle rurale par des travaux dont les plana aôîit établis et que 1a de ressourcée a trop longtemps fait dîfïérer. Le gouverament a le naturel souci de ne point arftner les privés nécuualres A un mouvement de reprise de. affairés dont les grande travaux publies doivent -constituer le volant. auquel ils doivent donner une fort» et décisive pulsion.

ïl .il paa S'entreprendre ici ou Ift des travaux au petit bonheur sous pr£teite de triompher du cLiômaçe M. Marque! et le j?ouv?.rnement que c'&st par une action sérieusement conçue, m*thodiauement développée et rigoureusement contrôlée que le programme de çrj»ncts travaux peul ai>porler au tout d'abord un joiilaeernent à se!! maux et enttuJI un rttrtMe efficace, il. de la cris», la santfi et l'activité le saint. MARCHES ETRANGERS L,(>nAre9, Le mfirdné témoigne de bonnet) disqMWitlot»,^ et la tendants d'enflsmble est Très asiLlsfalannrG. L«« de OtiomctlOuC sont partifriLHèrftm*n.t »nltnéas et feaTnea. \je& p*tro!çs et i« mines nn5ta.ttîqur.s sont é^ai^inflnt bien orienté^. Lim sifnen d'or sont cependant, irrépuli^rea. Valeurs traitas, Berlin. L/ailur* *wt plus ferme rt^s l'ouvertiire de la aé&nte. L'évolution d#s à à t* des transferts rionrH* liftu à des pliis fjpttet valeurs <JJrig*4ute« **am(;tiorewt.. Par la uti-te. est plun MM finatameTit, la. cote est A nouveau bien dinposée.

NtufTorir-. 7 mai. Arec 2.360.000 tltru affalr*i Ont été aujourd'hui lea cojisld-érablefl dapuis la m! -février. Mata la Wftdsnc* du raarcii* à été fallri* et la ha.iw&e dee principales -deitrewi *ss*ntt*llr3 n'a eu aucun effet sur le Stock Excitante. Il apparaît que la portée de la future loi d* centrale d«s bourses de vaconstitue tou jûun go facteur d'ih-

Apr*s une ouverture lourde une ce tain* reprise avait earaetérlA* 1* Maia le? gains ne se sont: paa maîntenua et de Ma ventes a.boncluitea st «ont pn>iuJtfta. pour alimenter encore On de »é*n(reT I^*a p^r-tei» ont alors atteint 3 pointa et la atôLure a été falbîfi.

G" CHARTREUSE I

SlULt

rAOttOJtC

PAS DtS

MOINES

tE

aV ^^rA ^bV A^aaai aaaaaaV A^VaaBH Hi^aa B ^^| I ^^1

vous boutez qui vous intéresse* dons

lES PROPOS DE LÀ PARISIENNE LE MIROIR DE LA FEMME Pour lAncer une affaira faite* de ]a publicité dans !̃ « Petit Parùimn 1


LES LETTRES DEUX PRIX LITTERAIRES Prix de la Rpuaiwance Drieu La Rwhelle c La Comédie de Charleroi (Gallimard) Grand Prix de la littérature coloniale Maurice Martin du Gard; « Le Voyage de Madagascar »

M. Drieu la Rochelle, à qui l'on vient d'attribuer Je prix de la Renaissance, est. avec Henry de Montherlant, non seule- ment l'un des meilleurs écrivains de sa çénéralian, mais encore l'un des premiers écrivains On lui doit du vellf s « Confessions d'un enfant du siède Il est- l'auteur d'essais politiques, où nar l'Europe, Genève, Moscou abondent des idées neuves, hardies et pratondea ii y a en lui du moraliste: il y a également du conducteur d'hommes il a i'&m* d'un chef et, s'il n'était pas un cérébral. un intellectuel qui perd son temps à «'inter- roger, à ratiociner sur l'action, il en serait un chef dans la paix comme il en fut un dans la guerre, ce qui ne signifie pas qu'il en est revenu couvert de galons et de croix il ne peut noua montrer, comme tant d'autres. qii« ses blessures. Commeiit ce \eune Qui avait vingt ans en Î9H, assez vain de ses études, de son milieu, de sa famille, Indi- vldualiste délicat et d'un sot orgueil. a-t-ll pu devenir et se révéler un chef 7 L4 Comédie de Chnrltroi nous en fournit la r#pon«, ou plutôt ks réponses, car la question eat assez compta* ainsi qu'on le devine. et c'ut ce qui donne à ce livre viril, probe et par maints endroits admi- rable, une signification pathétique, un iqestftnanle prix. la pçnse tout net qu e, si l'en veut «mcaîtr*. les sentiments et Jes réactions ks moias nobles et les plus sublimes, ks plus véridiques en tout cas, de toute une Jeunesse qu'on jeta toute dans le brasier et la il faut 1* Comédie de Char- icFoi t est piua qu'un récit, un témoignage, J'un dea p3u& aigus. l'un des plus- poignants qti\uï ait écrits sur les débuts de la guerre: or II y a ici deux questions différentes la question de 1 homme sur le thamp da bataille moderne et la question du chef dans l'action. Je suis, parti de Charleroi comme chef sans emploi et non comme homme, car le faim* avec les hommes: 1 Homme. C'est pourquoi le- suis revenu souvent au front. lai refait et approfondi mon stage dans les ordres mineurs. dans 1e rang, dans la ligne et alors, refusant d'fitrç officiel. D'ailleurs, ne vous y trompez pas, ce n'était qu'un détour de I'orgueïL Comment accepter d'Hit embusqué quand on peut. dans k combat, conquérir Jamais l'autorité 7 Cela vaut le rlsqu* d>tre tué dans un trou & vingt ans, sans avoir connu les femmes, ni rien fait, fil rien dit. >

On ne se trompe pas à pareil accent; il est d'un beau métal que les épreuves treaipertirt au lieu dt l'user. Pour quelle raïsen, demandera -t-on, le mot de comédie a-t-il été joint par M. Drieu la Rochelle à celui de qui n'a rien de plai- sant pour tous ceux qui savent ce que représente de désarroi* de stupeur, de panique aussi. Celte première rencontre de ia jrimessc française en pantalon rouçe « qui ne que l'exercice Imbé- cile dans la cour d'une Caserne et la théo- ne » avec l'année allemande coiflposee de ioldats entraîné» depuis toujours au ser- vice en campagne et à la guerre ? C'est ta que 1'art du romancier Intervient, faisant d'un récit d'une «tonnante intensité dramatique, non pas tout à fait la satire d'un* société artificielle, vaniteuse et mon- daine. mais le criblant l'entrelardant de pointes, dTépk»3i d'observations d'une .ftiri Btftrati*, Jl^Sv irriter, de Jouffle?, de reprertét* par moments un pied dans la vie bête et quo- tidienne c'est d'un curieux effet. Ainsi i'eipUiIue ta Comédie <fe Chatlêrci.

Crtte comédie, une femme, veuve d'un riche banquier, nous la donne, bien entendu son tans, c* qui la rend plus Joyeuse encore, bien que le sujet en soit asseii macabre; Nous sommas en 1919. Mme Prasen dédié de R rendre en Belfli^ue avec son secrétaire en l'occurrence l'écrivain pour retrouver la tombe de son Als Claude, disparu à Qiarleroi elle part, cûîtumèe en infirmière major, toutes dicorations dehors el)e a besoin de Drieu pour ta guider aur k champ de bataille Vous vooi repTiseiitei la comédie l'arrivée de la protectrice dans le village belge, les honneurs qu'on lui tend, les diScOuts qui M sont faits, les questious ridicales et souvent touchaafejs -.qu'elle pose en composent les épisodes et le dialogue* Mais les horrtUM de la guerte ont marqué le sol, l'atmosphère et le paysages Drieu les retrouve à chaque pas et il bchh emmène sur ce champ de bataille pour nous les faire sentir et vivre. le ne conoaia pas de récit plus direct, plus saisissant et plut simplement humain dans la littéraivre contemporaine» nous fait comprendre, saisir. partager lu terreurs, les agonies, les défaillances de cette jeunesse devant le rouge fléau de la guerre il nous fait assister en ménie temps à ees sursauta à ce4 réveils, qui transforment des eafanta en soldats, qui fabriquent des chefs. L'homme se dépouille dans la combat des fausses parures de la civilisation il retourne à de* instincts primitifs il devient chasseur et jfttemer. « Des les premières balles, connus encore mieax.l* paysage minuscule, à ras de mes yeux. qui bornait désormais mon destin d'hômo» le ne connaîtrais plus le monde qu'à l'échelle da'ptneBlH.* je ne pouvais tenir ta place. Autour de moi. les hommes étaient très étonnés, lis me regardaient avec inquiétude, car Ils pressentaient tout de suite que ma lubie pouvait les mener loin. Mais pourtant, il ne leur pas de reproches. la n'al Jamais VU vn homme

L'HOTESSE

frapd ran« iRitNI

m Marcel FRAGER

TEOISÎEME PAATIE

.XXIII (autte)

ï^rè» d* la porte, dans la, pénombrt, un grabat. méme 1^ aol, une couvertare que Gtoriosa. reconnaît tout de suite, cette que son mari lui avait dit préciiplte, s'agenouilla d avant le malheureux qui eat étendu la, blême, inerte, I» tète bandëe de Ua£ca et qui sembla tCûrtnlr,

Elle t'empare de sa main moJie reposant sur ta Sillage pciUBBléreui et Sa porte fajifl-tlquetDftnt à sea lèvres passionnées, oubliant Bûudaln soient rogTMse-ireûUfcre et son odieux mari Mais une etopeUr la rejette en arrière, la dresse debout, suffoquant d'indignation, l'inatant où s'ouvrent pour la regarder des yeux étonnés et mornes qu'elle ne reconnaît pas

Ce n'Mt pas lut Ce n'est pas lui outrée. Misérable ta aise menti t«- Tu. t'es parjuré!m Le C»pyr(ifht by Marcel "Ftarw 1M4. Traduc-

̃eprocW à un autre d'être brave. 'Les domines ne peuvent rien refuser à un lomme qui porte loin et haut la nature. > voilà comment la guerre fit, de jeunes heureux et g A tés par leur milieu et la fortune, des soldats et des chefs. Il y eut pour toute notre nation un apprec:tssage de la guerre (elle-ci a ressuscité des énergies, ranimé des forces mais à :juol peuvent-elles servir aujourd'hui Vers quelles idéologies et quelles réalisa:iotu faut-il les porter ? Drieu la Roçhdte veut les Utiliser, si J'ai compris le sens de son beau livre, à 1 union et l'harmonie de l'Europe, voire même à la fondation des Etats-Unis européens Peut-on leur souhaite, meilleur emploi ?

Ceàt A M. Maurice Martin du Gard que le Grand Prix de la littérature colo.le a, cette année, été décerné le choix, aussi, eat des plus heureux, car le Voyage de distingué par le jury est non seulement un livre remartuable par sa sincérité et sa documenta ion; c'est de plus un ouvrage plaisant: :eat^à-dire destiné au public un ouvrage lui peut et doit être lu par lui, ce qui l'est pas d'un mince doge pour une étude sur nos colonies- 11 faut bien confesser que ai ces sortes de récits ne sont gère ïarvenuï jusqu'à présent à nous passim1er, c fcït de la faute des auteurs qui se ;ûnt faits, pour la plupart. ou les apoJojistes fanatiques des gouverneurs qui les >nt reçus, ou les détracteurs systématiques des colonies qu'ils ont visitées On s'est qu'il que deux moyens il louange ou Je scandale» pour faite :onn&Itrç notre empire colonial il en est ia troisième et le meilleur de tous qui l'appelle la vérité- Or le Voyage de Wadâffaacar de Maurice Martie du 3ard me donne de la vérité; il est, de pliL», suggestif et distrayant 'écrivain par la magie de îcrji talent et de son style, à nous faire sentir l'atmosphère daas laquelle il se trouve, à nous y promener par les yeux, par la peau m2me du conteur, nous soyons les paysages tels qu'ils sont; nous devenons sensibles eu froid, à l'humidité et à la chaleur des lieu* qu'il décrit. Ce pouvoir de suggestion est indispensable i ^écrivain qui voyage il lui faut par surcroît de la culture, le sens de la poésie et ne conception de l'homme. Nous trouvons tous ces dons réunis dans le Voyage de Madagascar, comme dans Coutritc i'A[ri<pie et Te«ti dioines. le, précédents récits de M. Martin du Gord, rapportés iu Soudan et du Sénégal, de Palestine et de Syrte,

du voyageur que noua le le plus de fantaisie non que nous pensions en ce moment au dicton: c A beau mentir qui vient de loin nous avons déjà dit la sincérité de M, Martin du Gard, mais parce que nous savons ce que valent les itinéraires officiels dans toutes lés parties du monde. On dait, lorsque J'écrivain débarqua à T*unatave, à et qu'il nous racontât- sa surprise. nous, décrivit les travaux du. port; il n'y peDJSfra qu'à la Bn de sa randonnée, avant que de quitter l'Il£ pour l'instant, il ne dsiflne pas honorer du moindre coup d'oeil il il ne pense qu'à rejoindre Pierre Benoît qui se trouve 3à, qui l'a convié a une chasse au crocodile. O prestiges de ]' Académie et de l'amitié Cependent M. du Gard n'1» pas franchi les merfi, ainsi qu'oa écrivait vers 1830, au temps de Jean Laborde, le premier joues au TartaHn sur le BîlaikoBa r 1T~ïf de nous faire Visiter J'iïe tout entière et le voilà nous entraînant sa suite vers TananarlvC. Eu route, nous ferons la de ptrwnttaflÊÉ curieux dont les uns prêtent à penser, les autres A rire, quelquefois les deux car notre voyageur ne se montre point dépourvu d'ironie quand il en faut, ce qui pimente agréablement les éloges dont Il n'est point avare. C'est ainsi que nous lui devons, au passage, des portraits spiri- tuels çt de Lyauiey et de Gai.lieni, qui de me nie le plus grand dieu de Pile. Partout vivent son exemple et son souvenir partout règne son génie. Notas arrivai* à Tananarive, que je n'avais pas lmaginëe et comprise avant la description de. M. Martin du Gard. Ses tableaux de 1a vie mal g aube fient chantants. YgifiJ, par «tçjispki à la aortie de la lu jaunes fille* < avec le lamba blanc sur l'épauiCh dont elles se servent comme les de leurs matjtîOe* ies jupe* courtes de soie aune, rosé ou bleu t endre. et l'ombrelle chinoise ouverte sur la tête qu'elles penchent légèrement à l'avant ». Les la la religion, les superstitions du sud de nie fournissent au voyageur i'occaiion de pages savoureuses. Il note avec fierté tout ce qui a été entrepris la- bas en fait de routes, d'hôpitaux, d'écoles. Il a raison. Pareils résultats ne peuvent que renforcer le seutimenî impérial qui doit animer chaque Français lorsqu il pense nos Ces résultats nous rendent confiance en et composent les matériaux de cette mystique que cherchent, à Pour agir, tous Ici eccu^râ Avides d'une grande fâche. Jean VICNAUD,

OBSÈQUES DE M. WOODI;Ï Btrwïck (Pennsylvanie), 7 mai (d. Hav.) Après une courte cérémonie reli:rieuse d'une extrême simplicité, l'inhumation de M. Woodin, ancien secrétaire au Trésor, a en Heu dans son village nata). Une foule immense défilé au cimetière.

Christ te damnera, car tu trahi ton serment sur la croix

Pans la fureur de :sa déception, elle Crache eur le le mehace elle la frapperait ai, aussitôt, il n'avait saisi 1 se. poignets pour lea maîtriser et les tordre.

La voûte retentit d'in Jures, cependant que l'être allongé sur le gtabat regarde avec un effarement douloureux, essayant vainement de se soûlede Comprendre, mais rlvi à terre par une a&kyloaa insurmontable. incapable de discerner plus qu'un bourdonnement confus dans VelrangTft engaur* dissement qui l'annihile.

Ne criez pas ai fort, essaie de voix aigrelette. Le « povte ? est encore bien faible; le bruit peut Celer son sepveau

SadK'c- Madotma je me moque de cet homme Ce n fist pas mon France hurle Glorloaa frèml^eante de colère. Ce fourbe damné Ce fils d'un chacal et d'une truie, cette pourriture de poisson m'a dupée, m'a. vù\èê ignoblement, férocement !h pourtant 1J avait jure, sur la croix. oul. sur le beau crucifix d'îvoire de l'église Soit-il damné par tous l-:s diables et brûlé pour toute l'éternité 1.

J'ai tenu mon serment puisque je faî amenée. lei. déclare calmement CûccLoll.

Maudit! Rebut de. gueux Tu avals juré de me conduire auprès de François Gibier CI

J'ai juré de t'amener à l'endroit où ton amant., mont. Pers avec lut quand ta voudras, où tu voudras™ Voua êtes libre* tous les deux

Pour paraître demain "ORIENT"" par Edouard HERRIOT ï titre Orient, un nouveau livre dit président Edouard Herriot, ministre d'Etat. On retrvtwertt dans cet ouvrage dea qualité. de force et de 1 charme^ d'cmalyse, de pénétration et i d'exactitude sur lesquelles s'est tondée la haute réputation du sadolo- gué qui étudia dans nos colonne& la Russiù des HovieU, du prestigieux Avocat eu? de la Forêt normande et de la porte océane, de t'hivtonen c précis et coinprèhensif de Beethoven et de Mme Récamier, t Noua avons la bonne fortune de s pouvoir offrir ici Il nos lecteur.! la 1 primeur d'un des chapitres d'Orient consacré à Kropoîkine, d ses théû- ries et à son action r Kropotkine demeure le type du coin- ( moniste anarchiste, partisan de la f libre Aasociation, hoatii« à toute contrainte. Il reproche aux collectivistes de commettre une double erreur, t puisque, tout en parlant d'abolir le t régime capitaliste, Us maintiennent le gouvernement représentatif et le sala- liHi, Il combat le social: ?me scfeïi- tiflque» ï'*eh«H6 des salaires et le l marxisme, la théorie d chacun selon ,hss œuvres, t Etablir ces distinctions, écrit-il, c'est maintenir toutes les iné- galités de la aociétâ qctueile. C'est tracer d'avance une démarcation entre t le travailleur et ceux qui prétendent j le gouverner. » (Brochure le Balariat). La morale de Kropotkine s'interdit d'ordonner quoi que cq soit eue laisse pleine et entière liberté à Findividu. On peut dire que la révolution bol- cheviste se développera en opposition absolue avec cette doctrine, qui interdit tout rôle à l'Etat. L'opposition de Bakounine et de Mars réapparaît. Kropc-tkine refu» toute coercitLon, supprime, dans la société qu'u rêve, toute police, abolit toute hiérarchie, n'impose mtow pas à sea partisans Je respect de la vie humaine. La société t entrevue par tut « « cherche le plus complet développement dç Indlvtdtut- ( lité. combiné avec le plus haut développement de l'aaaociatlon vo'lontaire sous tous les aspects, à tous ]en degrés possibles, pour tous les buts imaginables association toujours changeante, portant en elle-même les éléments de ( sa durée et revêtant les formes qui, à i chaque moment, répondent le mieux f aux aspirations multiplia de tous ( Formule bien vagi» ou, même, phra- ] aéologie plus que doctrine. Mais Kro- 3 potkine entraînait des adhésions par 1 son exemple, par la fougue et les aouf- trances de sa vie, par l'étendue de son Information, par aon humanité et aon. désintéreasement. Ses violences peuvent s'expliquer par son long séjour dans la terrible forteresse de Pierre-et- 1 Paul. où Pierre I" avait torturé et tué son fils Alexis, où Catherine II faisait enterrer vivants ceux qui lui reprochalent d'avoir a-ssaasljuS son mari, où avait commencé le martyre des Dêoeinbrtetea, où B&kouninç avait souffert. ïtans la caille où tl poursuit gon travail sur la formation des gla- cîera, en ce silence que troublent seuls le glissement du judas, le craquement des botter de la aenttnelte, le tintement des c9ochea sonnant, de quart d'heure en quart d'heure, l'appel t Seigneur, yez pitié ,dç, 31ite les théories qu'il exposera piua tard à \A Fédération Jurassienne et dont 11 désertera avec le professeur Guillaume, ca Robespierre de Pieu- chatol. Ce qui le passionne, dent la lutte, l'effort de propagande comme celui qu'il tente dans Paris, avec Jules Guesde, au lendemain de la Commune; ou à Lyon, plus taro, après le congrès anarcho-co-mmuniate de 1880. La société Terre et Liberté, ZenULa i Vqlia, fondée en 1876, poursuivait sa pmpagande elle donnait naissant», en 1879, au parti de la Volonté du peuple, Narodnaïa Voila. Vers 1880 conune&ce le mouvement ouvrier proprement dit, avec le joyrnai 2'Aube des travailleurs. Edouard HERRIOT.

M. Herriot a dédicace de nombreux livret au profit de la cûm des ariiitei et icrivains de Lyon.

Lyon, 7 mai (dép. P. F,).

A l'hôtel de ville a eu lieu la vente des artistes et écrivains lyonnais organisés par le Cercle lyonnais des ralations intellectuelles au bénéfice de sa côtoie d'entr'aide, Les œuvres exposées et vendues consistaient en livres, tablaux, dessins et .compositions muaicaJes. Une foule très importante se pressa tout raprfea-mîdl dans les grands salons de l'hôtel de TUTfc

On remarquait notamment parmi les visiteurs MM. Bollaert, préfet du Rbone Lirondtfle, recteur de l'uni* veroité Witkûw&ki, directeur duLe plus entouré des écrivains était M. Edouard Hen-iot, qui dédicaçait de nombreux ouvrages.

LA FETE DE JEANNE D'ARC Le maréchal Pétaint ministre de la Guerre, devant ne rendre le dimanche 13 mai à Arras pour y assister il. une cérémonie militaire, le général De nain, ministre de l'Air, le, remp-iscera à i; prise qui aura Ucu le même jour place des Pyramides k l'occasion de la fEte nationale Jeanne d'Arc.

Tu m'a* jouée, fourbe Chien enragé Tu me disais que c'était François que tu tenaia séquestré à ta merci Assassin sana fot Langue de porc poison de serpent I.

Quand j'ai promis de te meo^r û.yprè3 du e bie&sé n, reprend lira pasavilie GÎnoia, je n'a! prononcé aucun no-m. N1 avais- tu pas, tol-m*ma, proclamé que cet homme « que j'ai sauvé était c ton amant » ? pas chargé Dogara de me le dire. ep me dénonçant vos rendea-vous ?“. Ne tu pas affirmé devant la propre fiancée dâ ce malheureux, en de. gistrats '> Alors 7. Est-ce ma faute si tu changea d'amant chaque semaine M'esMl possible de savoir le nom de chacun. et Le moment de leur faveur ou de leur dtsrraca

Lâche, menteur Hypocrite maudit Bourreau Que Satan vous em- porte au plus tôt dans sa fournaise, toi et ta mama sorcière qui n est bonne qu'à enfanter des pourceaux pour l'enfer.

C'est toi que le «Sevrai*, en vérité, traiter de chienne raragée. Mais j'ai pitié de ton délire. Seulement, prends garde de ne pas l'empoisonner et' 3,valant ta bave.

Effare de cas clameurs, le convalescent s'efforçait de vaincre sa torp*ur; la raideur incompréhensible qui Il clouait sur gon grabat Il parvint par syllabes coupées à formuler quelçuos phrases

M*apport fis- vous une lettre ?.. une iéponae ?, Quand m'emportera-t-on d'ici ?.^ Quand Léone vlendra-ï^elle ï. Et monsieur Pascauâ ?.“ Que font-Ha Car c'^Lalt celui qw'on accusait d'êtrï un meurtrier en fuite, celui dont Leone pleurait la trahison, qui gisait la* hon

Jn magnifique hommage la mémoire d'Albert 1er Éat-ïl pour un Français plaisir p1us que d'entendre parler par un itranger aa propre langue aomme font variée Malherbe ou Rousseau ? Ce plaialr, r*asi*tance qui ag pressait lier eoir dans \ra saiona du Cercle mi.itaire, autour de M. Piétri, ministre de a Marine du général Gouraud, du >arôn de GaUuer d'Heatroy. ambayaleur de et de très nombreuse» personnalités françaises et beigee, l'ont M. Pï&m Goemaera, directeur de la ffievwe ùetffe, qui eat un écrivain de -ace et un orateur exceptionnel (deux lUA-Htéa rarement réunies chez: un nème homme) évoquait le visage p-re«Jgrieuît du roi Albert en termes magninluement émouvants.

limé comme ont pu l'aima' ses propres lUJets et dont ils gardent si pieusement a mémoire, le conférencterj qui fut un Le ses familiers, composa un iWrtr&U faialBsant,

T Le rot Albert loin dea foules )uel thème fervent pour parler de celui lui fut un souverain d'une ni exquise implicite, qui n'appela }amais la reine jue « ma femme it, lea princes nue t. mes fll&

Pour évoquer cette figure d'escepiodp M. Pierre Goima«re Et conten* a de faire parler le disparu. Cea >aroles du roi Albert, que je cite en ?rac, d'aprëa l'ara t«ur, le font vérita- lUil tut.

Parlant des souverains détrônés lî y a beaucoup cle chômage dana Sur les musées de Londres

Si on laissait faire ies conserva- eura de mu&ée», nous retrouverions un jour les Pyramides sous globe. Sur la solitude

On ce s'ennuie jamais quand on !8t seul. C'est piufl souvent à. cause des Lutre* qu'on devrait s'ennuyer. Les •sprïts médiocres s'ennuient dena la solitude parce au'iia a'y rencontrent iux-mêmea.

Sur la Belgique en guerre

Noua avons été «ceulé* à l'he•oïsme.

Sur la nature

La montagne est belle parce qu'elle ist tout à tait primitive elle se eoaComme vous ressemelez au roi Belles,

On m'a déjà dit cela maïs vous l'im&gitxçz pas, monsieur, comme cette ressemblance m'ennuie.

Son éloquence

Soyûna bref par égard pour ceux lui nous écoutent. 1'si toujours réussi l dire tout ce que je pensais en Un iu*rt d'heure- C'est Bans doute parce lue je ne auia pas orateur,

Cet esprit profond fut l'homme que 'on sait, et un gr&nd roi. Sa mort deneura à l'Image de sa vie. De cette mort, l'orateur brossa un tableau splen* lide. Une mort de légende. car les ,Eur mesure.

Albert fut un de ces hommes, Le iernier. sans doute. Et di^tie de 1'épée lue la France lui offrît, sur l'acier de aquelle étalent gr&wéa ces deux vers « Droite, sana tache, sans effroi. J'ai pour âme ton -ime, ô roi !» Ytfes DAUTUH.

L'orsMiwalifia J» _U jemaffift de Parie Le mïmlntre du Commerce a réuni hier apree-midi dans son cabinet un cepUWes de collaborer il l'Organisation de- la Semaine e de Pan». Assis- taient a cette réunion lea représen- tants de ia Vlïle d* Pari et de chaaibM.de caromerce ainsi que cettï Air, Santé publique et Education phyairtuft.

Au coure de cette conférence, M. La.moureux a jeté lee tas6a d'un programme de fêteis nombreuses et très aelan le désir du gouvernement, dama la semaine qui précède le Grand Prix. un grand nombre de touristes de province et de l'étranger.

Le programme définitif sera arrêté au .début de la semaine prochaine. Une bigarre à Bordtaui à l'issue d'une conférence de* « Croix de fen » PluiLtturi bleuet. Douxe nrr«Utioni Bordeaux 7 mai (<«p. Petit Parisien.) Hier a eu lieu 'Bordeaux le congrès des Croix de feu du Siïd-OtWGt. Après la. remise de fanions aux nouveîtee aectiona, le colonel de La prêaident une salle comble, une conférence qui lui valut de chaleureuses acclamations. M. Claude Popeîin. volontaire national, vint affirmer la fui patriotique des ffénératioaa d'après guerre,

A la sortie de la conférence, un certain nombre d'auditeurs, parmi leavers la place G&mbetta, ou ae troulice, afln d'éviter une collision grave, décida de refouler définitivement les quelque deux cents^ personnes occupant encore la place. Plusieurs chargée furent opérées, à la suite desquelles on releva plusieurs blessé», dont deux grièvement-: M. Duboa, trente-deux ans» qui a été transporté l'hôpital et un agent atteint au visage- Douze Vers 0 h. le calme était rétabli Conseil de la semaine la respiration sifflante et de l'oppression au moindre effort, aux aathmattquea, aux bronchiteux, Il faut conseiller la F&ilâra Louis Lep-as. Ce merveilleux remède estime n moins d'une minute et de l&can durable et guérit progressivement. Boîte 5 îr. 25 Impât comprla, toutes pharmacie».

d'état de ae mouvoir. aéquestré dans cette tour. insoupçonné, gardé par une apparence de remèdes, le raturait de narcotiques qui risquaient de lui faire perdre la raison-

Eussl lenfermer dana cette tour infernale. Glorfosa bondit vers la porte, heureusement nu verte, et s'échappa, épouvantée, hurlant au secours ccnpjne une dans ces galeries noires, si¡, meurtrissant aux «uigii* des détours, risquant de se fendre la tète contre une aalUle de pierre.-

CacciolL la rejoignit dana la chambre de la rebouteuse et la retint

égarée ? Au lieu de t'en prendre à moi, n'eet-ce pas plutôt contre ton Dogara que tu devrais jeter tes malédictions ? MH63t-ee pas lui qui t'a trompée ? Ne conatatea-tu paa qu'il t'a traita et abandonnée ?.. tu aa la prouva mainteaant qu'il est libre et vivant. et ne Où est-il ? récl&me farouchement Gïortoaa,

Ce lerait plutôt à mol de te le demander. n est étonnant. et humiUant pour toi dé ne pal le lavoir Le le reconnaître e'wt Marjac qu'il a essayé de tuer, maia que moi j'ai défendu, puis aauvé. Si ton François a pris le maquis, en toua lea caa les pour porter ses messages. Comment se fait~il qu'il ne t'ait point prévenue ?.“ Tl lâcha se* maina, car l'inquiétant dépit qu'il lui suggérait l'Immobilisait sa Kouailltr» uufflËalt maintenant pour Vaccabler.

LES CONSEILS GENERAUX En ouvrant la session du conseil général, M. Léon B*tréty, ancien soua-secrètalre d'Etat, a prononcé un discours dans lequel il a dit notamment, après aveir parlé de l'œuvre flnanclere accomplie par le ministère d'union ntttlofl&le

g-ouvernementalo doit être orientée vers ta baisse du taux de L'intérêt et, au point de vue nacal, vert) la réduction des ch*xge& exçesaive« qui frappent la production de lourde impôts incorporés dans les prix de revient rendent la vie en France trop chère, entravent l'exportation et éloljjn&nt les touriste g étrangers de ;notre paya. Dès que le programme d'as&aJniM&ment financier aura porté Bea fruits, de* réformes fiscaîe» devront le compléter. Les mesurea que vient de prendre le gouvernement demeureraient sans portée durable si un uffort de réductioa du prix de la vie ne venait atténuer sensiblement le sacrifice demandé aux différentes catégories de citoyens.

le vœu suivant « Le eo-raeil général du Cantai adre*ae au président Doumergue l'eicpresBion de sa gratitude pour le courage et l'abnégation avec lesquels il s'eot mla à la disposition de la nation après les événements du <1 février. Il fait confiance son gouvernement pour consolider dana le maintien des libertés républicaines i'tauvre de redressement administramoral et financier heureusement commencée. »

Eure. Le docteur Briquet, députe. a prononcé un dicoure en ouvrant la jeaaion du conseil général de t'Eure, dont il est p-résldcnt. Il a remercié et félicité M, Gaaton Doumergue et lui a fait C0QflB.nce au nom de l'assemblée départementale.

A l'unanimité, le conseil général a décidé de transmettre le texte du ajoure de aon ^résident au chef du gouverne.ment.

du toù&ejl général, M. Lepettetier, discours OÙ il & dit notamment Une fote de plus la Françe a trouvé dans son patrimoine dea reaMorts incomparEblea d'énergie et dans son personnel politique cïea ressource Itlimltêe* de volonté indomptable pour rettrer le pays de la situation pérîîs'enliser. Le grand citoyen s'est undétresse, n'a p&a hésité à quitter la palBibta retraite et à reprendre le f6rdeau- écrasant du jwuvolr pour remettre de l'ordre dans 1& xnaiaon avec le cancourâ du représentant^ Iob plus qualifiés de tous lea p»rti&. Une trêve France aurait pu mourir, et ce geste vices pûBHéû auraient dû préserver pour toujours d'une Charge aussi lourde eat venu révéler au monde de quel! vitalité et de quelle force de résistance notre -cher pays eet capable.

Meurthe-et-Moselle. Le conseil gênéra] H'ewt réuni ce matin, sous la préstàeoce de M. Albert Tourte), En ouvrant la aéance, le président extrayons les passages juivants qui se «eillsra généraux ont télégraphiée & M. Poumer^rue avant de se séparer Le Parlement a fait confiance au flion* qui n'avalent pu intervenir au aein des assemblées législative*. Rien n'était plu» souhaitable qut la collaboration de» partie politiques qui ont en et non lea intérêts ègoïstea de telle ou telle fraction. Depuis que cette collaboration a'ent Instituée, noua aBaiatonï à uns restauration de cette conRance daca crédit de l'Etat et dana la proeveux pour ,preuve que la hausse des renies ftauçalàes eutvifi de -celle de nombreuaes val sur

Savoie* A l'ouvertur* de la sesftioa sident, M. mïcjatre, a prononcé un discours qu il termina ainâl

̃– Chaque ff>ig qu'i1 ett eat heaOin, des hommes sivrglaaeat du aein de la nation pour lui servir de guide. M. Gaston DoumerEue est de ceux-là. Il n"a pas hésité à sortir de aa retraite en un moment particulièrement grave il s'est décidé, conformément au voeu du pays, à prendre lea rênea du gouvernement. Comment ne lui pas notre reconnaissance pour l'abottatkm dont II fait prenve ? Les rérpuconcours.

Haute-Savoie. M. Fernand David, sénateur, président, a dit notammetit, Le début de la présente année a connu des troubles politiques nés à la fois de la citée économique et de crise financière que la France traver- sait. Le gouvernement de M. Gaston deuz Chambres, a dû prendre dea megyres rigoureuses pour conjurer un extérieur menaçant. Voua voudrai certalnement que .t'adresse au président du Conseiî et à ses collaborât aura nos vœu* de succès dans la tache patriotimettrez d'y joindre l'expression dfl mes sentiments d'affection personnelle envers Vêminent homme d'Etat qui m'a fait autrefois l'honneur de m'appel** à se* côtés dans les conseil* du gouvernepouvoir à une heure rsdotitabie. Beine-et-Oine, La première session ordinaire de l&M du conseil général de Selne-et-Oige s'est ouverte hier aprèsmidi

Dèa le début de la sfonce. **̃ André Simon, vice -présbde nt, remplaçait M. Amiardr aouffraiit, prononça une allocution qu'il termlna par ces mota de ne voudrais pas conclure aana adresser notre respectueuao admiration M. Gaston Doumergue, ce grand Français qui, uns heure tragique comme H n'en, rencontre la charge la lourde du pouvoir, sortant de la re-

ginais, il t'aurait fait dire de le rejoindre, ou tout au moina t'aurait S'il pettfiait à tôt. il ne t'aurait pas lalasée te mortondre et te désespérer d'une GlOïiosa. reculait contre la murailï*, atterrée, stupide, Son exaspération cédait sous Ve n van isse ment d'un nouvel effroi la réalité de l'abandon, de la trahison qui frappaient la tols aon orgueil, son amour. Maia aa vanité na voulut pas cédet vite, Elle se ressaiaIt pour prote.;ter.

Allooe donc François ne peut Atrç un fourbe comme toi î– S'il ne m'ft pas prévenue, c'est qu'il n'a pas pu. qu'il n'*rt paa libre, parbleu ou bien que toi ou ton chien de valet vous av*z intercepta ses messages

et Pablo T, T*ont4l3 raconté oit at eafihaït ton France 7.- Et pourtant ûs le Tu ne «àU que ment1r 1 crachatraite,

Ils Ie savent f. IntejrroB^ -lta 1 Mai* devant lui, elle ne voulut pas reconnaîtra son humiliation elle nt vçulut pas croire encot* La pensée que ce féroce époux l'avait bafouée, dépouillée, ruinée, aana résultat peut-être, sans comnouveau, elle réfléchit également que dans ce souterrain diabolique ell-e restait à. la merci de ton bourreau. Si eiîe criait ou menaçait, il pourrait la tuer Terrifiée, elle te regarda. Il ti'ftviSt

traite où il prenait un repas bien ga. gn* par une vie entière pae^ée au eervice de la France. U s'est placé au-deswu* des panBÏora dàt^min-ëbs par des événements malheureux et a au don- geaaB déalntéresaèe, II a a mai offert le plus haut exemple de dévouement absolu à la chote publique.

Cette péroraison été Saluée par les acclamation» unanimes de l'ameniblée. Betne-Qt-Mufite. Le conseil général s'est réuni sous la préstdeace de H. Eugène Penancier, ancien garde des Sceaux, conseiller générât du canton de Br-ay-aur-S&lnc. En ouvrant la aêanee, Il a dit notamment

L'heure n'eet pas aux discoure. Le paye attend autre chose que dea discours ou des ordres du jour, quels qu'ils eûient. Néanmoins Il convient de volr 1a situation dans lion ensemble et de rendre hommage au président Doumergue. dont l'action ne peut que recueillir l'unanimité des suffra-ffes,

Yauclu&e. En ouvrant la preanlère -.on ordinaire de 1934 du conseil général de Vaacluae, le président, M, Ulysse Fabre, a exprimé à M. Daladler les «entlments de fidélité des populations vauclusiennes. Il îl ajouta -Un impérieux besoin de calme, d'ordre et de raison s'est manifesté dans l'opinion qui a accueilli avec une recOît naissance i nfinie le haut exempîe de civisme du président Dmimerçue, répondant couraseuaentent à J'appel du pays. se haute autoriti était nécessaire peur ramener la palx dans les esprits LA HERNIE N'EST PLUS UNE INFIRMITÉ

depuis qu'un tioiiveau mnne de contention vraiment Ingénieux et pratlque a été ml» A la disposition de eaux qut en Mnt atteints. Toue 1er» intéressés i*v*Rt qu'en dehors de l'opération, il n'existe d'autre moyen de se défendre contre le» dansera de ee mal que le port d'un .bandape Mais ]«h alia#liB appareils ^Ift1«nt mun*s de pe- lotçs dont le volume était proportionna à celui d# 1* Uim«ir et qui la méthode du rélfbre inventeur, unt nria de BiipprlmeT cet cru ;ndi3~ Le ne comporte aucune pelote 31 maintient cependant tûUte-s les hernies r^âuctiblea qwe) que sott leur voluma, comme u main naaita A plat sur l'orifice. C'est une véritable vfvoHîtlon (ïans l'art dont du mil- item de hern'eux ont Ji^jà aprouvé les bl«n- fHlts. La. preuve Irréfutable en est donné? aur-ïe-ch*mp r*w Vantai du Néo-Barr*re du Dr L. 3. du Palais, Paris, tmi vous feront parvenir discrètement tous îem rflimrtgiîementa nfcessuLros les Adrttsutii dès 1M âépositaïres de la m^hode Bm-rto. Médecins, Pharma-et a Aïe, ma dent Ne pouasez plue ce cri de d curie ut et oaimeî immAdiatement cette souffrance Peiïtobrol. Orâoe a ttli, voua ne &owf' frirai plue d«a dents. Aussi, ayez-en toujours wrufl la main en cas de raga Imprévue. Ne brûlant paa les gencives, ne 5*sant ni l'émail ni î'ivoire, Deirtob-rel Ht le spéciflqiK de to«tea 1M douleurs d'origine dentaire. ToîiL&b pîiarmaci«e, le flacon 7 fr, 50 ou franco contre mandat aux Ijsbraratoïies du nen+obrol, me de la. Jonquière, Paris (17V.

Végétations des enfants

Amygdalites- Maux d'Oreilles- Rhume de canrecru

des troubles «raves, L enfant s'eurbume pour un rien, toûwiot*, a'affail>jit, devient fléyrux sa respiration «t Insuffisante, sa rtiBes, ttmdntaant à 1« «crdtté. D*fand«£ devenir »onrds^ et pmr cela ioign«s unr tin et soir gros comme un pots de N*adnette. Ce baume naul bue d'ettence*

iMcmnew e du u LriiDerr

pas d'arme en maln et paraissait est- vaincue, soumise, comme en vtnanL Elîa n'avait plus que peur en ce mu- ment, peur pour elle, uniquement, mais atrocement 1 Avant tout 11 fallait qu'elle sortît de cet antre

Elle ee mit à pleurer. non pour l'api- toyer, elle était trop certaine de son (□sensibilité, mate pour le raseurer. Je n'ai plus qu'a mourir, gémit- elle. Idiote fit-il en éclatant de nre. j Sima a oser le dévisager, elle attendit, frissonnant davantage, car elle «aUJt que aon ricanement perstBtalt dana l'affreux silence- Après un tempi oppressant eUe ajouta Tu ea bien vengé maintenant. ouï. tu u bien vengé.. Qu'exïget-tu de plus? Il ne répondit pas. A la dérobée alla chercha l'entrée du caveau. Il D'yen d'ombre et il se tenait devant. Impassibte, maia sûrement implacable. Tout ces membres tremblent une moiteur d'angoisse l'inondaiL En. tm- ptora

Laisse-mot partir

Quï t'en empêche ? répliqua-t-lîcrainte encore paralyea. Cette per^. mission trop facile ne maequa-lt-ell* point un piège 7.- Dans ecs Coulolre souterraine, si noirs, qu'elle ne connais- EaU pas, elle pouvait K perdre, tomber de se débarrasser d'elle, en A épargnant 1e geate

Sa sueur I4 glaçait et elle dut s'appuyer contre le mur.

Comment retrouvèrai-Je le *î*e- min ?. conduia-moi, si vraiment- Suts-mol, dit-il et cesse de- trembler.» de- ne veux aucun mal à ton

Rapide augmentation de poids pour les

enfants chétifs

Mamans &[ voir?qae, maigriebon, s'il E'a pas d'&pp^Ut Ou s'il est en retard pour eea éluder dodjiez-lul des PasLilîea JESSEL à. ase d'Huile de Foie de Morue pendant un mois et voue verrez avec plaisir &oa appétit augmenter de jour ta jour, ses Les Pastiltea JES3EL sont vendues dana îotiteia les pharmacies à 12 fr. 75 la boite. Comme «llea sont recouvertes d'une couche de sucre, les enfants les prennent facilement en été Comme -en, hiver

Vous «bt tendrai, avec les Pacttlllvs JESSEL, tous les excellents résultats de THulle de Foie de Morue ]a plus pure. sous une forme agréable à toue et, ce qui est particulièrement toutes saisons. Une femme a gagné R kilo» en 5 semaines. Un enfant très chétif a rcpiis livres en 3 aioia.un échantïlîoit gnituit autoire JESSEL, U. boulevard H&U3&mann> Paria.

Victoire

veut rendre son tablier Sa bonne caisint n'a plus d'amateun C'eat une famille de dyspeptiques. Monsieur est aux nouilles et 4 l'eau de Vittftï Madame déjeune d'un oeuf & îa qui est un cwdcn bleu accompli, meB&-C4 de donnée ses huit Jours.

très connaissaient le Digestif Rennie Ils apprécieraient alors ses talents cuH- Deux délicieuses pastilles sucées lentement, après ïe repaa, et l'on digéra tout aana aentir son estomac.

Le Digestif Hennie contient lea prln. cipes naturels qut suppléent à l'irurcffltempe, H neutralise l'acidité de l'estomac. Achete£-en aujourd'hui mijme et finissez-en avec voa mauvaises digeationa. Toute» pharmacies, 3 fr. WS la boite de poche; 12 fr. 75 le grand flacon. Si je

n'avais pas

ces maudits

Cors

dUttit'iL^îlnetavaUpa*

que Le RADIEUX entèvm

en quelques jours le* Car*

qui TéêUtent il tout

•Bieo qw tze* utif «ont» \m

«n, dnrillmis, œil de p«dr«,

RADlluX n'est pas «orruffiL H n*

part jurais brûler. 3 fis 9S tante*

pharmacien «t Laboraterires Cobï-

̃aget, Bkû. Succès garanti.

votatilH n5t-ftbQt ches l'enfant uns boa* respiration nasale, «n même temps q* le évite la rhume% maux de amygdalites, auxquelii il ert n™^ SoadQcftctU on cettabus vaut

Extgoz la

Nazlnette du tr GHb«rt Le tube da Nacfnette: 6 Fr. toutm pharmacies. A défaut rLabofatab* Dtotoglqtitt il' J' Gilbert, «,i* du Lan, Ptft* <1M)

:orps» parce que je «uU oncors plus ?aralesais, mà vengeAnce finirait trop vite Je ne pourrais plus m'aiùilfer > à te voir souftrir

Et, en effet, piua rapidement que ne ismblalt le permettre l'épouvante qui continuait à peser dur elle, elle par- vint, à sa suite, au bout de cette infernale gâterie, KUe atteignit le fond du ptiiU, cercle du lumière, de délivrance unies sous de l'ouverture béant sur le ciel

Les marches branlantes et dlfflcHes !ul parurent merveilleuses- n ï'afda à grimper, à sortir Et elle sa trouva. dehors {,“

L'lvrt»e d'aepîrer l'air pur, vJvlfllUlt» l'oppressa si fortement qu'un moment elle demeura sans bouger, essouffle*, l«a membres gourds* Oui* c'était bien l'endroit par où ils étaient arrivé* IJ l'épargnait donc.

Dans l'éclair de joie qui futpura dans ̃es yeux se méla une lueur de haine, je menace

Lui, tris simplement, dit

Vart'-en présent* seule, puJequ» Voici le p*esage-. Tu regarderas bien les roches, pour ne pas glisser. En bas, tu retrouveras le gué. la rivière co- suite te guidera.» Quand tu arriverai au village, ton premier soin .sera de ine dénoncer. SI je te laiasa libre, c'est justement pour que tu fasses cette chose», parce que, en TaccompUseant, de» gens ici, M, Mmjac lÊmolifnerftqtie je l'aj aauvê et que Dogara a voulusassiner. Puisqu'il t'a trahie, tu a£ bien le droit de le venger. et mol de jn'tft (A tuftire.)


DflElUIftE ne* vices et t&L&nuunQvKm nréciAvx ̃ ̃ Mu PETIT PAKiaiBM TIMB» M ̃ A la commission Staviski ™ SUITB bJS LA fit EM1 feue FAOlt

M. André Bcooist

de la police judiciaire, a été entendu hier après-midi, sur sa demande, par Ia commission Staviski. réunie .!JOUI!! la présidence de M. Guernut.

Après un rapide exposé des conditions dans lesquelles tut créée la. aect jcm (la ancière de la police judiciaire. M. Benoïst a eu à répondre i, un eer* tain nombre de question^ du préaident: D. L'affaire SUviaki remonte a 1926. eu rimpreaslûti que da 1926 à 1930 l'on ait accordé des faveurs particulières à Stavigki ?

R. Non,

D. Saviez-vnQ5 qu* Stavlskf était un indicateur de 1a aûreté générale ? H. Non. je considère qti c'a Jamais été indicateur de la sûreté. M. Bat test i ni

Audition de M. tour à la direction des affaires criminulles au ministère de la Justice.

D. Est-ce v&us qui aves écrit la note qui :il trait à une cpmmu nidation téléphonique de M. Mouton relative à une te'ttre du ministL-e des Finance touchant des poursuites contre la Fon-; cière ? Comment le directeur pouvait- Il Savoir à cette époque qu'une lettre devait arriver des Finances.

R. Il rignoraJt certainement.

D. Et la mention « A surveiller » que je lia en bas de cette note ?

R. Elle que je devais surv&lller l'arrivée de le lettre en que tion et que je devais aussitôt cette let- tre parvenue entre mes mains en aviser la directeur.

D. EspUqueïs-aidi pourquoi toutes J*i pièces partent à cette époque le visa du directeur ?

R, Parce qu'il l'aval demandé. D. Et la mention « Ne rien faire a trait à toute cette affaire ? D. En mime tttnpa que le directeur téléphonait il faisait suivre sa communication d'une note ?

R. Non. pas en même- temps. D. Ainsi, cette lettre part le 15 octobre du de Finances. Elle signale la notice de publicité qui avait pour objet de provoquer des souscriptions en faveur de la Foncière et vous demande d'ouvrir d'urgence une Information sur lez opérations de cette .société et sur l'objet précis de son activité

R. Qui.

D, Est-Il d'usage de procéder R, Non. La formu1e habituelle, c'est la formule de la note. J'ai ignoré d'ailleurs tout cela à l'époque et je ne pouvais pas ne pas l'ignore?.

D. Ijc prxureur général répond If 13. Est-il d'usage qu'il aille .si vite? R. Non. Mais noua avions signalé le caractère urgent de cette affaire et j'avais fait porter la lettre par un attaché.

P. Dans les autres affaires, aveiVous vu apporter la même h4te ? Qui, quelquefois.

D. ̃– Dane toutes ?

R. .*Ah non De- l'espèce. Il s'agissait d'unie émission qui eJ annonçait comme étant imminente.

D. Avez-voua étudié l'affaire au fond ?

R. Non. J'ai la la notice par curioailé profession?] elle, aiMi que le rapport de 5J. Prince et la lettre du miBistre des Finance?,; trç des finançai, 'la cbancSleTre a «stixnâ quil n'y avait pas lieu de ̃uivre?

R. Elle faisait sienne L'opinion du parquet

D. Àvfli-vous vu le rapport Prince de

R. Out L'affaire était différente alors. Mon attention n'a paa été appelée sur lut spécialement. PergonntUement, je n'ai joué de rôle actif que d'août à octobre 1931.

M, Mande!. C'est bien par le rapport du procureur que vous avez entendu parler de 3taviski pour Sa prenuire f oj« ?

R. Par celui du mole d'août,

Le témoin sa retire à 17 h. 5.

Audition de M. Rudoie

ancien préfet de police

Le- témoin. introduit il. 17 h. prête arment.

Le président. En octobre 1930, voua fait une visite à- M, Laval.' -ou$ la relater ?

R. Nous avons appris qu'une p-la-inte avait été déposés contre Je Foncière par la, Caisse des dépôts et consignations.

Nous en fûmes surpris, car nos Consels nous avaient dit que notre société ne tombait paa ROUE le coup de la loi. Dans ces conditions, nous avons voulu consulter un conseil autorisé.

Sur 1'avis de M. Verrier, noua allâmes M. Verrier, M. Monod, M. Alexandre et mol voir U, Laval. Nous cïtpliqiiâ^mes que nous étions de bonne fol. Nous posâmes certaines question a relatives au caractère pénal da raJTalre.

J'appris avec une profonde émotion que nous pouvions être tradults en cerrectionnelle. Je demandai si je pourrais obteair d'être Interrogé par untrat plutôt que par un commissaire de police. Il me répond que je pourrai en faire la demande plus tard. Au moment de quitter M. I^avai, je lui dis que j'avais l'intention de quitter cette seciété.

Telle fut notre première visite, en octobre.

D. Quand donné votre démission du conseil d'administration ? RT Je crois que c'était le 19 octobre, D. C'est M. Verrier qui Vous Il con- semé de voir M. Laval ?

R. OuL

D. Vous avez vu M. Laval par la suite ?

R. Oui, en compagnie: de M, VerHer, M. Laval n'ayant pas voulu rece- ver M. Aie* an cire avec nous. Il désirait que la consuItatlOP qui lui était de- mandée demeurât amicale et non offi* ci-elle.

D. M. Verrier «'est retiré avant voue ?

R. Après.

D, --Et M. Ltnarèa?

E. Ega3em«it aprèa. D- Que s'e&t-ïl passé au coure de votre visite à M. Mouton ?

R. J'avais connu M. Mouton, et je pensais pouvoir lui demander ai pouvais £tre interrogé, le cas échéant, par un magistrat plutôt que par un commissaire. Il prit note de ma de- mande et me dit qu'il ferait le néûes- eaire en temps voulu sans pouvoir1 d'afllenrs rien me promettre. D. Aviez-voua une préparation technique des affaires ? R. J'Avais «ne préparation de ce genre par le fait que j'avais géré longtemps un grand département. tion suffisante pour discuter les con- j dus ions et le. affirmations du rapport R. Je n'avala que las connaissan- \té» financières que j'avafa pu acquérir .0. De combien d'actions était constitué le capital de la société î.R. Vous qu'il y en avait <-84Û par un petit comptable ? Je rtVi pae assisté à la consti- .-ttitton de la Mociété. D. Voua avez été administrateur d'un grand département il n'y a pas besoin d'être financier pour être surpris de voir actions a souscrites par

un Individu sans fortune. Ça. ne vous a pas frappé ?

D. Et vous, comblen avez-voue versé ?

R. Vingt-cinq actions de mes deniera propres.

D. Comment avez-voua connu Atesandre ?

R. Ja ne te connaissais paa avant. J'al «lé appelé à la société par M, Delavenne qui m'a présenté à deux admi. niatrateura, lesquels m'ont dit que les diamantaires qui avait à aa tête Alexandre.

D. A quelle date ?

R. En avril

D. Pourquoi avcK-voua quitté la. société et à quelle époque?

R. En octobre de cette même année. J'ai quitte parce que j'estimais mes fonctions incompatibles avïc celle de contrôleur des habitations il bon! marché que j'occupai alors. Je croyais avoir pria toutes les pré- cautions poaaiblea j'ai reconnu que, malgré me? efforts, je n'arriverais à aucun résultat. Je ne pouvais donc D. Quand vous êtes entré dans la soclBte, l'incompatibilité dont vous avez parié exiat&U déjà ?

R. Oui, mais la société ne s'occupait paa de constructions à cette époque,

D. Occupiez- vous une fonction administrative h ce moment ? R. Contrôleur des H. E. M, Ces un statut spécial. Nous ne sommes pa< payéa sur le budget de i'EEat et n'avons aucune stabilité.

D. Vous n'avez pas demandé s'il y avait incompatibilité ?

îl. Non. Je fuis parti quand on me Ta signalée. D. Il n'y avait jHïiit-etre pas d'in- compatibilité légale mais moralement vous n'avez rien vu de délicat dans votre aitu&tion 7

R. Non.

P. Ancien .préfet de police, vous aviez cp pendant des moyens d'informaR. Je l'ai été cinq mots, en J'avab en 392& perdu tout contact avefl raduimi&tretion de la police Personne na ai vu dans un ministère depuis- ma fonctions.

Et les cautions des. gena qui m'avaient présenté me paraissaient sufD. M. Prince disait un jour M. Penaucier « Ce qui a'dominé nos préoccupations, c'est la présence de M. Hudelo la tète de la société, qui Un scrupule supplémentaire n'eût-11 pas dû naître en voua de ce saur fait ? R. Je n'ai jamais eu l'ombre d'un ciété, et voua reconnaîtrez que je ouïs durement châtie. SI j'avals eu le moln- droit soupçon, je n'y aerais jamals entre, D, N'y aura.it-l1 pas des moyens de préserver dans l'avenir des hommes comme vous de pareils accidents ? Des barrière* législatives ce doiventelles pas être misea contre la naiveté et la crédulité des meilleurs ?

Ne doit-on paa lea. défendre Contre eux-mêmes par des. interdictions légaR. Leur défense peut être assurée par de a avertisaemeota.

.Q^ .Uii, peuS&B Jeu.¡; â&tfBdre purenwnt certalnêa

H- Pour ma part, j'ai perdu le ront peut-être plus avertis. Je me auis trompe, je le paye durement.

D, C'est pourquoi il faudra peutêtre légiférer.

M. Cath&la. il était bien de règle préfet était mis à la retraite, de lui R. C'est exact. On proposait meme mieux. pour les préfets d'une cerchiez à compléter une retraite peu en rapport avec la dureté dea temps par Vous êtes reaté «lx mois à la société, avez das Inquiétudes, n'est-ce pas? D, Mj Prince vous a entendu ? Vous lui avez dit qua vous étiez déR, Oui

D. C'était donc un peu rapide, de la part de la chancdlerle, de parler de l'affaire Hudelo.

R. Je proteste contre cette dénomination.

Le président. Nous ne l'avons, nous. jamais employée.

M. CatJiala, Si voua avez aervl de chancellerie se sert de vous (omme d'un paravent- Vous avez touché du R. 3.000 francs par mois. M. Nouetle. Que receviez-vons, comme contrôleur des H- B. M. ? R. 40.0W tranca comme contre- leur. 30.000 francs comme ancien pré- fet. A partir de sOtaK&nte*cïnq ana, J'arrivais à 40.000 francs de retraite. mais j'abandonnais la moitié de ma retraite à cau-e même de ce que la recevais aux H. E. M. D. Vous avez rencontré Staviski à la foncière 7 R, Oui. E en était directeur gé Itérai. i M. Ernest Lafont. Bans quelles conditions M. Delat*îiïie. président de Introduit dans la sociéts ?

R. Il m'a appelé et m'a présenté à MM. Schroîdt et Tixière. des entre- preneurs sérieux.

D. Qui allaient travailler rur le b&-=itïon 29 ? ft> tfB terrain avait été vendu par D. Comment étés-venin passé de M. Schmidt a la Foncière ? ( R. J'ai été convoqué à la première ?H!ince du conseil â'adrninlFtratïOTi. J'al été Introduit dans la société eeute- Uùt-nt anres sa Le témoin se retira à 1& h, Audition de M. Gilet, chef de bureau t au mouvement général des fonds Le témoin est Introduit à 18 h. 5S J et prête serment. J M. Mandel. Le lendeaiain de feu- 11 tien de M. MaspétloJ, fat reçu une lettre d'un ancien rédacteur au rainis- tère des Finances, M, Léger, qui vous [net en cause.

D'après cette lettre, vous auriez reçu la visite de M. Gtilhoud-Ribaud. tt c'aet la suite de cette viaite que V0U& auriez rédigé Ïa lettre du 31 mai. R. La lettre de M, Léger contient B cinq affirmations. L'une en exacte t i'ai reçu M. Ouiboud-Ribaud, ï^es qtlatre autres sont fauaaes.

R. Au début d'avril. Mon huissier ̃n'a annoncé M. Gulboud-Rlbaud, atta- j, :o.ë au cabinet. Il venait m'entretenir le la Foncière. J'avais perdu de vue d lit à M. Gutboud-Ribaud. Celui-ci ma >ffert de me remettre une Dote. J'ai t 'igure au dooeiçr. J'ai inscrit It numéro de téléphone de M. Guiboud-Ribaud Je n'a 3 pas dû fair» diligence car,

der si j'avais vu cette affaire.

J'ai flnî par la voir et i'al appris que M. Guiboud-Ribaud avait été avocat de la Foncière. Ceci m'a Incité à la réserve.

Audition de M. Marcel Caen Le témoin prête serment.

Le président. Voua avex été l'avocat de Staviski ?

R. Oui, en et XI m'avait chargé de deux ou trois affaires d'ordre aecondalre.

D. Voua seriez intervenu auprès de M. Décante pour faire rapporter un mandat d'arrêt 7

R, Ce n'est pas exact. J'ai reçu babtement en avril 1M6. Il m'a *xposé que Staviski était inculpé par le juge Décante et que des amis étaient di^pofiés il. mettre des sommes importantes a sa diïtposltïoa pour lui permettre de désintéresser lea parties civiles, U â'agiasait de plaintes dépoaéea entre les mains du doyen des jugea d'instruction; or, dans ce caa, ce sont les platnteg civiles qui mettent J'action publique en mouvement et non le parquet.

M" G&uîier m'a exposé qu'il ne con. »ve« celui-ci, parce qu'il y avait des que lui Gautier était bien jeune pour Voua avez (ruteuJu M. Decaate, je lui sur divers points. Quand je auls allé chez lui, jy ai accompagné M. René Renoult, et lorsque j'y sula retourné c'est *n compagnie d'autres avocats des parties ciliés. M. Décante situe cette visite quelques jours après la fuite de StaviHki. Or, M. Geulier ne m'a pas parlé ne 1 affaire immédiatement et s'est. passe quelques jours avant que M. René Renouk ait accepté de Be mettre en rapport avec lea avocats des parties civiles.

En l'occurrence, lorsque M» G&uller sala pag la nature, et mon râla a conHi&te à mettre en rapport mon confrère et M. René Renoult.

des parties civiles, il a accepté de «'ocM. qu'à ce ment* moment M. René Renoult avait fait visite à M. Froubaram. Voyez comment situe à la fin do juin, ainai que votïa l'a dit M. Cauwèu. Or le début dea né-'gociationa entamées par M. René Re- noult remonte à plusieurs demalnes auparavant.

J'affirme que c'est donc avec Il. René M. Décante il est bien évident que Je ne m'y serais pas présenté je Savais eu aucun argument de nature à ob- tenir la liberté provisoire ou la levée d'un mandat.

D. Combien de fois fttet-voua allé chez ML Décante avec M. René Renault? R. Je eroïg me souvenir que j'y parties civiles.

D. Voua êtes le collaborateur de M. René Renault

R. Oui.

D. Vous l'avez accompagné chez M. Frouharam. Qu'a- 1 demandé i celui-ci ?

RT J'ai eu l'impression que les termineralent utUcment pour Staviski, C'est à ce moment que M. René Renoult 3 cru devotr ee rendre chez le procureur de la République pour lui exposer 1a situation. C'était fin juin. plusieurs semaines après début do négociations et M. René Ronoult a demande il W. Pr^uharam quelle serait, éventuellement, si lea parties civiles apportaient leur concours, l'attitude que prendrait te parquet.

Et comme te procurem de la République ne connaissait pas le dostler, il a répondu quTil 1 ¡'étudierait.

D M. René Renoutt a dit avoir demandé le retrait éventuel du mandat d'arrêt- au* cas où les partie* £Ivil** Bfr, R. J'étala aux pa- tron, je ne m'occupai pas de cette affaire je me borne à vous indiquer le D. C'est M" He»e qui vous a succédé ?

R, Oui. Un témoin a dit qu'en HÏ2T, à la Santé, Je suivais 1 "in a truc tion. II m'informe qu'il avait été Inculpé dans et me demande de la plaider. étonnement de recevoir le 10 juillet une lettre de M.' Hesse m'annoncant que Stavlafci l'avait chargé de l'affaire. Je me rendis compte alors que M' Hesse avait vu Staviski à la Santé et je ne laissai pas d'en être chiffonïlê+ Le 14 juillet, Stavtakl m'adressa une lettre explicative me dégageant du donsiar

D. Staviskï était autorisé à reps* voir M" Caen, GauUer, Mile Arlette.Simon. M1 Hease eat-U allé le visiter ? R. Je l'ignore.

D. Du 28 juillet 1926 au 29 décembre 1927, est certain que M' Hene a visité Staviski en prison. Neuf avocats l'ont viaJtë. Il en faisait une telle consommation ?

R. Je ne les connaiR pas toua. M. Georgea M&ndel. M. Prouharam noua a dit que, lorsque M* Renoult lui avait demandé si, le cas échéant, le- d'arrêt pouvait être révoqué, H souvenirs les siens R, Il me semble qu'il n'avait pas refusé d'agréer, éventuellement, la demanda de M* Renoult, mais me3 souve[tirs sont vleux de huit ans.

D. Hayotte nous a dit qu'il avait tait Staviski- Est-M exact ? Ou bien M* Renoult a-t-il été commis aux seu- R. Je crois qu'il était seulement chargé de transiger.. D. M* Hesse a-fc-H été voîr Staviakl à la Santé ? R. OuL J'ai Compris lea choses j aînal d'après la lettre de juillet dont J« D. u* Rtsis nous a dit Ici qu'il j n'y avait été. Voua êtes donc eur :e point en contradiction avec i-iL Au reste, rçui est-ce qui s'occiipo't 3e Stavt6kl lors de sa mise en E3, N. C-. voua î'avfï vu. Ces dem^fde* le mise en liberté, fondées sur t'état le santé, lent rur un rsipper; du docteur Paul, autan jùi -en ttmpS *a. inact.'t-n à ce aitict.. Ji tst vtai une je l'instruction, puisqu'H s'agtsaalt d'une lemande fondée aur état de santé cer.ifiée par des experts autorisés. Et j« j rus remplacé par M* Hesae. L'pffalre était finie pour mol. :he pour la libération de Stavi3ki ? R. Aucune. tvez pasaé le doèsîer a M' HeMe. avez- rous dît ? R. C'est le Ï2 janvier 1&28 que Sta- mon concours. Mais je n pas. passé le d û.aeier à M* Hesse, qui voyait déjà r Havlskl. r>. Vous saviez, depuis le 12 ai Met, 1 lue M* André Hesse voyait Stavinkl et t laquait de voua enlever dossier. 1 Je m'étonne^ dans ce^ conditions, que poub n'ayez paa fait ]e nécesaaire pour a mise en liberté.

levant la chambre des misée pour la D+ Vous n'êtes pas entré en conructeurs ? r H, C'est et que Stavltkj m'a repro* j D. Votre client est, paraît-Il, en c Langer de mort Voua l'assistez depuis i

192t et vous vous désintéressez de sa mise en liberté et dea conséquences qu'une prolongation de détention peut entraîner pour son existence ?

R. Ëtavisfcj me paraissait maladeLe docteur Paul fe visite. Que puis- faire de plus ?

D. Dans f pire interview voua avez parlé de liberté provisoire obtenue sur un prétexte de santé,

R. Il $,agit d'une interview donnée par téléphone et non d'un texte écrit par moi. Staviski était .malade. Son état de santé devait entraîner sa mJaç en liberté provisoire,

M. Gftarg-eg Mandé\ En comme Il a suffit qu'il fût mis en liberté provisoire pour être guéri de son appendicite. LE témoin sa retiie r 20 h. 30. L'ASSASSINAT DU CONSEILLER PRINCE La pré*e&c« de de Lu«»t* à RoquaDijon. 7 mai {ttèp. Petit Parisien.) Les derniers douter que le juge Rahut pouvaH encore légitimement conserver quant à l'exactitude de l'alibi fourni par Gaétan de Luasats, viennent d'être dfsalpès d'une façon qu'on peut qualifier de définitive.

Le baron avait constamment affirmé, an souvient, su cours de l'enquête que le jour de la tragédie de La Combeaux-Féea, il se trouvait à une vente Judiciaire â Es, villa Agda, à Roque- bru ne-Cap- Martin {Alpes-MariUmes). Or cette affirmation vient d'être appuyée par la déposition du commiasaire-priCelui-ci, M. Jean Terri3, été entendu en venu d'uns commiaeion rogatoire du juge Rabut par M. Courty, commissaire de police à Nice. Le procèsverbal de son audition, reçu aujourd'hui par le magistrat instructeur dijonnala, ïndîque en aubstan.ee ceci

M. Terris procédait à la villa Agda d une vente aux .enchères, qui Coupé les journées des 19 et 20 février dernler. Parmi 1es objets devant étre dispersés me trouvaient deux automobiles RollsRoyce. Aucune n'a pu trouver d'acquéreur. Mais le £Û février, ers Il h. 30. un homme disant se nommer de Lussat« a' est présenté au ccmmlssairepriseur peur le prier de remeltre en vente ta seconde des voitures, Ayant jugé que la somme offerte par le baron ne correspondait pas à la valeur du véhicule, l'offieler ministériel ne put lui donner satisfaction.

La résence du barc^l, à cette même est attestée également par un employé de M. Terris, M- Vincent Gadgrgio, file d'un entrepreneur de transport, et qui connaissait parfaitement le seigneur monégasque, dont Il est d'ailleurs compatriote.

M. Terris indique dans sa déposition les produites dans ce sens par M. Vincent Oadggio.

LE BARON. AU CABINET DE M. LAPEYRE

Gaëtan de Lussats a été amené hier après-midi au cabinet de M. Lapeyre, doyen des^ufres d'instruction, Il s'agissait d'examiner les documenta saisis a son domicile et les scellés « couverts .et été transformés en scellés c découverts

Simple formalité qui n'a présenté aucun Intérêt pour l'enquête,

LES DERNIERS PREPARATIFS DU CONGRES RADICAL

Le bureau du parti radical pris hier, comme nous l'avions annoncé, ars dernières dispositions en vue du congrès de Clertnont'Fcrrand, dont M. Colle debœuf, secrétaire général adjoint.chargé depuis quelques jours de l'expédition des affairas courantes, prépare l'organisation matérielle.

Aucune ïKûdïncatfon a'a été apportée à Tordra du jour publié samedi par Je Petit Parisien le débat politique ne bureau a envisagé minutfèu Miment h* conditions dans lesquelles se se dérouterait, après avoir constaté que la plupart des fédérations avaient voté dea ordres du jour où M. Herrîot et les autres minLatres radicaux mont félicités pour 1a collaboration qu'ila apportent au ministére Doumergue. Dix-sept fédération* seulement se sont prononcées dana un sens opposé. Toutefois la teneur de certains décrets-lois a provoqué quelque émoi dans plusieurs autres.

Après un bref incident auquel a donné lieu la présence de M. André Hesaa, 1e bureau 'est occupé de savoir comment serait composée la commission d'épuratien et qui présiderait, tour à tour, les séances du coogràg. I] a été d'ores et déjà entendu que la pré3ldence serait offerte, vendredi AiatJd, à M. Rlûault, maire de Châtetlerault vendredi aprèsmidi, à M. M&rcottibés, député de la première circonscription de Ci&rmoût-Fertend, président de la Fédération du Puy-de-Dôme, et samedi matin M. Jogeph Calïlaux, et dimanche matin à M. Psrnéy, président de la Fédération de 1a Seine,

Nous croyons que M. Steeg a également été pressenti pour occuper le fauteuil présidentiel.

Il convient de remarquer que les membres du bureau ont renoncé à donner leur démission collective à la veille du congrès Il. avaient tout d'abord semble en manifester l'intention,

da la Seine

De son côté, la Fédération radicale socialise de la Seine s'est réunie hier sous 1a de M. F*mey\ Au cours d'un débat parfois houleux auquel ont pris part des orateurs de toutes nuances» l'assemblée est appa- rue comme partagée en deux parties à peu près éjralea,

M. Lebrun, qui avait critiqué a&seï présenter au cong^èa M .Emile Roche et M. Roger Huge, président dea Jeu- newea radicales de France, qui a re- proché aux chefâ radicaux d'avoir abandonné leurs doctrines initiales et la politique en faveur de laquelle s'était présenté deux ordres du jour hoetites, l'un et l'autre, à la politique de trêve et à l'attitude de M. Herriot et des mi- □istrea radicaux, l'ordre du jour de M. Lebrun concernant plus spéciale- ment le problème économique.

Finalement, l'ordre du pu, et ilmpie, présenté par partisans de la politique de trêve, a été adopté par 71 voix contre 66. EN VUE DU CONGRES SOCIALISTE DE TOULOUSE

Le* fédération* d«pmrteni*nUlw diA- niiMot leurs position»

fédération socialiste de fa Haute- sienne a désigné les huit délégués qu'elle compte envoyer au congrès du parti, & Toulouse, mais elle n'a pas vdté le motion fixant l'attitude que tes derniera devront avoir. Si les congressistes mt été d'accord' paur constater que la politique électorale du cartel et la polE- :émol£né de divergences sérieuses sur 1 le tactique qu'il conviendrait de suivre ïésormais, Les uns voudraient briser léânitivernent avec la parti radical pour faire de la politique de classe et se rapprocher du communisme le$ autres cet, ment que l'heure de l'intransigeance i l'a pas encore sonné et qu'un certain tpportunlsme La fédération se 1 ̃anjrera finalement aux. décisions qui i MORT DU CONTRE-AMIRAL ROMAN t Toulon, 7 mal idép. Petit P«ritrten.) On annonce le décès à l'hàpj tal f du COfitrt-amiral Roman, iè en 1880 à Montpellier, ancien ma- d |nr de la flotte à Touloin. L'amiral Roman avait quitté son tùmmandement il y a quelques Jour*

'L'AFFAIRE FROGE La détention de l'inculpé prolongée de quinze jours Beltort, 7 mai Petit Parmen) Le juge d'instruction, M. Cordler, a rendu une ordonnance par laquelle l'intendant Frogé est maintenu en prison pour la période légale de quinze jours. Il se réserve de statuer demain sur la demande de mise en liberté provisoire formulée samedi par M* Jean- Charles Legrand, avocat de l'inculpé.

Il est toutefois peu probable que donne satisfaction à la demanda du défenseur.

On annonce, d'autre part, sous réserve, que l'espion Krftn» serait à Betfort vendredi. L'interrogatoire de Krauii à Paris Le Polonais Stanislas Krausa a complété hier ses déclarations de la semaine dernière, ayant été interrogé tout l'après-midi, en présence de M- de Véaine-Larue, par M. Benûû, juge d'instruction.

La question va se poser du transfert de l'espion & Belfort, Il a affirmé qu'il s'était bien rendu au bureau de l'intendant Frogé, où il avait été reçu, en l'Absence de celui-ci, par son chef hiérarchique, le commandant Derenquet et par la dactylographe. Krauss s'est également présenté au domicile ,de Frogé, où une bonne l'a introduit c'était un jour où avait lieu une réunion de famille dans une petite pièce.

Il est donc indispensable, puisque Frogë proteste de son innocence, de confronter le Polonais Krausa non seulement avec Frogé, mais avec les trois autres témoins.

A ce sujet, M. rlolamd Andrieiuî. substitut, chef de la deuxième action du parquet, est venu notifier à Krausa un mandat d'amener de M. Cordier, juge d'instruction, à Belfort, teievant contre lui le délit d'espionnage. Comme il s'agissait d'un mandat télégraphique, Krausa, sur les conseils de ses défenseurs, M" de VéainneLarue et Noël PéHd, a déclaré qu'il faisait opposition ce mandat. Il faudra donc que M. Cordier renouvelle &on mandat. 9

Et si Kraua3 part cette semaine pour Belfort, il devra être de retour a Parie â la fin de la semaine prochaine. Il a été arrêté, en effet, le 29 avril et placé sous mandat de dépôt cinq jours après. Ce mandat arrive à. expiration le tnai- Il faudra donc que l'espion comparaisse le 18 au plus tard devant la chambre du conseil du tribunal correctionnel de 1a Seine. Ajoutons que, à la fin de son interrogatoire, Krauas poursuivi aon récit sur la façon dont les Allemands l'avaient employé pour faire de l'espionnage en France, Il a raconté que, pour ramener à trahir son pays, puis, sur son refus, à l'espionnage, il aurait été tantôt soumis à la torture, tantôt, eu contraire, il. un régime de faveur avec restaurant chfc, boites de nuit, théâtre. dancing.

n Il a, endn, affirmé qu'il avait freBcontré Frogé pour la première fob à Parts, alors que ce dernier suivait des cours à l'école supérieure de guerre. Jaloux de sa patronne

un domestique de culture la tue alors «rç'elle était dans soft auto Puia il «Vnfuit et va ae suicider dans un herb*c<i voiain

Caen, 7 mai '(ddp. Petit Parisien.) Un drame S'est déroulé ce matin près Depuis Noël dernier, une veuve- de vingt-neuf ans, Mme Yvonng Lamer-. eler, qui avait habité jusque-là SaintI>oup-de-Frlbois, était venue exploiter une Petite ferme au de Moult. Elle était accompagnée de ses deux nlietteaP âgées de six et aept ens, et d'une servante, Mme Jeanne Lucas. Mme Lemercier avait pour voisins lA, famllle James dont le fils, Maurice, était devenu aon domestique attitré. Récemment, Jeune veuve avait acquit* une camionnette et, un jeune homme du voisinage lui avait appris à conduire. Quoique personne n'ait jamais entendu de entre Maurice James et sa patronne et que la conduite de celle-ci ait toujours été irréprochable, On trait que le domestique vit mal l'intrusion de cet étranger dans l'existence de Mme L.emer<jler, qu'il aimait sans doute en cachette ou sur laquelle il avait des visées matrimoniales. Ce matin, au petit jour, Mme Lemercier. James et la domestique avaient été, Comme à traite le. vachat. Le retour s'effectua en autv, sous la conduite de Mme Lemereier. Aprèale le déjeuner, Mme Lemercler annonça qu'elle allait ae rendre à Moult pour aller chercher de l'essence, maie comme aile n'avait pas encore son permis de elle dit qu'elle demanderatt au voisin qui lui avait donné Ces leçona de l'accompagner. Elle resta ensuite, quelques Instants seule avec James. puis se mjt en devoir de sortir l'auto de la cour de la. ferme des Tamee, où on la remisait habituel lement. C'est alors que le drame se pro.iuisit.

Mme Lucu, ayant entendu de Ia la]terie, où elle faisait manoeuvrer ré&réTieuse, un coup de reu, accourut et :rouva sa maîtresse au volant, la tête renversée et portant une horrible blesiurs derrière l'oreille. Elle avait été tuée d'un coup de fusil à bout portant. Seul Maurice James pouvait être 'assassin. Personne n'avait remarqué n'il fût assîdu auprès de Mme Lemer:ier, mata son caractère renfermé et brutal était connu et les gendarmes de «ouït avalent déjà eu affaire à lui à llvers^s reprlse*.

On le rechercha donc Jusqu'au moment où un voisin. M. Mallet, déclara Entend. vers 8 heures. et à cinq n Imites d'intervalle, deux coups de 'eu, le premier étant celui qui avait la mort de Mme Lemercjer, On battit alors les herbages et et ilentôt où découvrit, au pied d'une laie en fleurs, le cadavre de Maurice Famés, qui s'était fait sauter la cer/elle. Xl avait eu la précaution d*atta•her une corde à un arbre, puis de ixet à cette corde la gâchette du fusil iu\ll avait recharg4 après le meurtre le sa patronne. Tenant à deux mains l'arme, dont il avait appuyé le canon i sa tempe. Il tira, et fut foudroyé. Après l'accident de Gisors Des trois coureurs cycHste» hospitalisée à la suite de la colti&ion avec me automobile seul Yvan Marie reate du- nu état grave

Gisors, 7 mai <d<*p. Petit Parisien.) Son état n'inaptrûnt pas d'inqulêude, Foucault, Tun de^ blessés du ;rave accident d'hier, pu quitter 'hôpital cet après-midi pour rentrer laftâ sa famIBe, L'état de Eertelllo est raUrfaîsant, Reste toujours ce].[ le Yvàn Marie, qui est tnutefoîs sorti lu COma.

tjes bleaséa ont reçu ce matin la ̃islte de M. tt Mme ort émus de l'accident qu'ils apprirent )se les Journaux alors qu'ils rentraient îre reconnu par le malheureux Yvatt ifaHe.

En rentrant à Paris, Franc!. PéU»* lier a examiné lés. lieus de l'accident.

Martyr de son estomac pendant 8 ans

.Maïs ma femme eut un jour une bonne idée

t Depuis huit aïu que je auia mariée écrit cette femme fai toujours vu mon mai-j souffrir de l'estomac comme un vp ritable martyr. Il a suivi des régimes et pris des cachets de toute? voir J'étais lorsque, voilà de ne pas voir lorsque, voilà un j'ache- tai des Se 1b Kru^chen. Le premier flacon lui fit beaucoup de bien et il en prit trois ou quatre autres. Maintenant, Il ne souffre plus deu tout et mange de tout. » Mme J. C. à 'f. (Manche), Lettre n" l,S76,î

Les digestions pénibles, les muni d'estoînac, les migraines, les malaises, sont la aultc norinaJ* d'un fonctionnement relâché de l'estomac. Les Se]., Kruachen rétablirent ce en stimulant le:! sécrétlOftd ^Mtriques. Vous pouvez alors mander de tout sans un sang pur coule dans vos veines, qui vous remplit d'entrain, d'énergie et de bonne humeur.

Lea Sels Kru&chân sont en vente dans toutes les pharmacies fl îr, 75 le na- eon 16 îc. le grand flacon (aurasant pour 120 Jours),

UN MORAL SOLIDE est: l'apanage de quicouQUe est doué d'un boa appétlt, donc d'un bon eetomac, surtout pat les temps agités que nous vivons. L'un et J'aulre voua seront assurés par le Dtgér&nal (formule du Professeur Pouchet, membre de l'Académie de Médecine), à base deblédamy- lase, tirée de la cuticule du blé, Prix 3 fr. Ttes pharm. et Ets Ch&telaîn. 2, de Valeuciennea, Paris. Rênseig. gratuits. Demandez Ia notice n" N. WAGONS LITS

avec la comp*gn|6 du Chemin de le, Nord, la «H-tétf nalionaJe de, chemins de ter belg*a et le* Chemina de fer daii, mettra *n à a partir du 15 mal Krocîiain. un nouveau de wajons- 0 h. 15 Bruxelles, hit. g h. 27, dép. 6 h. «; Amaterdam Il 11 tu 30. Retour Anisterà&m dép. £0 h. 34 Bruxelles err. 0 h. 33. Le wason-Jlt de da-iae sers acoeasible A tous voyageurs munis û'uu billet de c&e- miifi de fsr de 3* classe et d'un supplément 77 francs pour le parcours dsjn. En acquittant ces suppléments. voyagsurs de 3* seront assurés de T>as»*.r une nuit confortable, fena un de pl^^ta- a'idreaser aux-- asedees WaïORS' LAls-Cook.

Moi seul, et c'est assez! LE DIABLE enlève les cors en 6 jours pour toujours TOUTES PHARMACIES 3 FR. es NET l_E FLACON

Soignez.vous par

liodenalssanl- ViViODE C'est le plus puissant remède sous le plus petit volume. Un comprimé Viviode dans un peu d'eau dégage 5 milligrammes d'iode naissant qui se révèle par une légère teinte jaune et une odeur caractéristique.

La solution, d'iode naissant Viviode a des propriétés thérapeutiques remarquables, qui la placent bien audessus des autres remèdes sérieux à base d'iode

Versée sur une plaie, même effroyable, la solution d'tode naissant détruit toua tes germes sans causer de douleur. Elle procure un soulage* ment immédiat et permet aux cellules meurtries de Se reconstituer à uns rapidité jamsis atteiate a ce jour. (Aucune nécrose, aucune toxicité.). La solution d'ioda naisnant, but! jeun, constitue la cure d'iode idéale. En quelques minâtes, 1es muqueuses de l'estomac abgor&eot les milliards d'atomes d'Iode frais dégagés qui passent directement dans l'organisme où ils chassent tes toxines et les urat&s, tonifient les tisaus, a, assonplUiaent les parois des veînea et des artèresMême dans le caa grave d'ulcération de l'estomac la solution d'Iode oftisment Viviode agü avr. l'ulcération comme sur une plaie collaborant à sa guérison rapide.

La solution d'iode naissant doit être prise à jeun ou avant les repas, car ai elle est mise en contact avec les aliments, elle se fixe aux graisse -fle lait eat dans ce cas) et se trouve perdue pûtkr l'organisme. C'est ce qut se produirait en particulier si l'lode naissant arrivait juaqu'à l'intestin.

Seul l'Iode n&iasônt produit par le Viviode realiaç la merveillcu9& et nonvella thérapeutique de Hode dans toua les caa connus anémies, prétubercuiose, lympbatisme, ganglions, goitre; étatx infectieux grippe, maux de gorge, etc. asthme, emphysème, maladie du cœur et de la circulation, varices et Hémorroïdtfl artériûscléi rome, arthritisme, goutte, rhumatismes; eczéma, dartres, boutons, ulc^raLlqn;' blessures, brûlurçs, coupures et plaies de toute nature stérUisatioo de l'eau; des fruits lég^imea, etc. soins de la bouche hygiène intime.

fÏTioda d «a pîaw dans toute, le# le.file., Le tube 6 fr. du, rEarut toutes.lee VIN 3 échtuvt. gratia.


Une conduite explose dans une dynamiterie prés de Nemours

Un ewtremaitre «t tué, deux ouvrier» M SM1I HWiY* aPfrïJO.

«au&é hlar matin la mort d'un excellent contre-maitre et grièvement blessé deux ouvriers travaillant a la dytiamiteria de G*n*vraye-Cugïiy, à 12 kitonaètreg L'mine de Genevraye, appartenant & la Compagnie française des explosifs,

Jaone* et Ssfaonret

eat située sur un vaste domaine boisé, au hameau de Cugny, dans la région de Nemouro. Cette usine occupait naguère un. grand nombre d'ouvriers mais, de-. puis quelques années, celui-ci & été réduit il. une centaine environ, Tous ces ouvriers sont des artificiers ou poudriers rompus au métier et d'une haute coogetence profeœtoïmea.îe. Parmi ceuxci, on notait le contremaître François Normant, âgé de quarante-six ans, marié, père de trois enfants et demeurant dans la groupe de coquets p&vflïotis où ploy* et qui forment, à eux seuls, le hEUneaa de Cugny.

Ancien adjudant en retraite des «fr* vices des poudres, Et. François Normast dlrigeait un atelier. La préparation des poudres demande de longues et précises manipulations. Le travail de nuit s'y déroule de 3 heures à 7 neures du maUn,' en quatre opérations différentes. Hier matin, wn 6 IL dCM. François Nonnant surveillait une salle où «e trouvaient des barbotages de c .aumure » de riitratâ. Il était entouré de *!x ouvriers, parmi lesquels le chef mécanicien. Yves Jatraçn. âgé de. quaï*nt«^ïtlq Uns, ttUkUé, père da famille, et le piambier André saoouret, âgé de trente-sept ans, également père de famille, demeurant tous deux à Cufny. Soudain, IL Normant s'aperçut que la conduite d'un appareil de nitratAitlcm semblait fonctionner anormalement. H prévint le directeur. 18. Hyêraniimis, qui, par tÔéphorw, de *on pavillon, lui annonça son. arrivée, itntre tempa, le contremaître tenta de manœuvrer une vanne de réglage. C'est alors que, pour une eausq inconnue, un: jet de vapeur jaillit d'une pompe de la vanne, établissant un contact direct avec la saumure et déterminant une explosion sèche et brisante.

Trois «uvrterti, un peu éloignas de la v&njKf purent se retirer à tenxpâ. Mais M- fîorcaant fut tue sur le coup par des tronçons de tonte et de plomb. Quant au chel mécanicien Jaouen, Il reçut en plein abdomen de ta limaille de fer, tandis que- le plombier Sabouret avait la Jambe £a.ueb*! et le bras droit affreusement mutHè*. Leurs camarades se pbrttrtnt Immédiatement à leur secours* alors que M. HyérOfiîtaus arrivait sur les lieux.

On juge du désespoir des à campagnes et dea enfante de4 trois victimes dès tju'îla appuient l'affreux accident. Le corps du malheureux contremaître fut déposé à son domicile, tandis que le. deyx blessé. étaient transportés à. l'hôpital de Fontainebleau. M. Jaouen y subit l'opération de la laparotomie, et M: Sabouret l'amputation des deux membre atteints par les éclat*. Leur état est désespéré, En outre, l'amputaLion du bras droit de M. Jaouen sera rendue nécessaire et la victJtw survit à &4S blessures.

La Maison des étudiants a fermé ses portes disparaîtra ?

La maison de « l'A. le le. «éiêbre et vieil tel Colbert de la rue de la Bûaliwffi[e, vient de fermer ses partes peut-dn lire iur uirS.vis «Jalché derrière les grêles qui en interdisent l'accès. Mais d'aucuns prétendent qu'il n'y aura pas plus d'élection à çeiAe date qu'après et que l'association a vécu. En fait, es n'était un secret pour personne que, depuis quelques Années, l'A. G. battait de l'aile. Des dissensions intérieure!! ka minaient Ses membres n'avalent plus 1a toi et l'abandonnaient les uns après les autres. Quelques fidèle» demeuraient pourtant mais pouà à eux seuls, combler un déficit de trésorerie lourd ? Ne parîe-Ê-on pas de francs? il fallait, pour redresser la maison, un changement radical. Bannir d'abord 1 toute. politique, puis mocUfler profondement certaines méthodes financières, mener enfin un*, campagne hardte et veau. Il y a bien des jeunes geaa, parmi les milliers, qui fréquentent les universités, qui répondraient à un te! it'A. G. doit renaitre, Trop d'anciens ijui lut sont attachés par tant de «ouventre Da demanderaient pas mieux que de battre le rappel en sa faveur. Mal* en outil. les moyens ? On nous assure que, pariai les étudiants en il est de nombreux partisans de l'A. qui pourraient contribuer cette résurrection. On sait qu'ils avalent à leur disposition, rue de la Bûcher le, une très belle bibliothèque. Mais il« ne veulent pas être les seul. à taire un effort, et cela se comprend, Quoi qu'il en golt, lôï ftPCUns,. et parmi eux plusieur. de ont pensé que, dans l'alternative, 31 n'y avait pas à hésiter. Ils ont élaboré un projet de réorganisation qu'Os ont soumis a la haute compétence de M. Canet, maître des requêtes au Conseil d'Etat, Ce projet, dont lea statuts donneraient satisfaction tous, aurait, dit-on, reçu l'approbation de l'Université, Acceptons pour notre jeunesse fctudfeuse cet ultime espoir de voir, par une action énergique, se créer un mouvement d'opinion en faveur d'une nouvelle maison des étudiante qui continuera les meilleures traditions de l'ancienne Un QttTrîéT tirant jbt jon rirai W«K le fil* Xt II maîtresse !Un dram* &* 1. qui fait l'autre soir, 23, rue Camilla-DesmoulInE, à Bedons. A cette adresse vivaient depuis treize an5 le mécanicien Albert R£ûU6t et Sa maîtresse, Jeanne Duchauj «oy. quarante ang, ouvrière d'usine mère de deux enfants dont laine, treize mois, le taux ménage avait pria un pensionnaire, figé de tretze quarante-huit qui ne tarda pas à devenir l'amant de ï fut Invite à laisser Il place libre, ce | qu'il flt en Allant habiter i Vétngn supé- rieur. Mais chaque fois qu'il passait devant le logement de son ancienne amie 11 Hait, selon lui, pris à p*rti* p*r son heureux rival, qui l'Aurait même reprises menacé de mort. dimanche Riquet, pour oublier Bon infortune, but peut-être un peu pîtis que de raison. puis teùtra ch.ez lui dans la soirée. Il entendit ou crut entendre la femme Duchanaoy et son arol se moquer de tul Toujours est-il qu'il donna dans la porte un violent coup de pofng qui mIt en miettes la partie supérieure qui est Vitrée.

Il va nous tuer, cria îa. femme Duchauaoy, prends ton revoJver et tire. Pays obéit aussitôt et flt feu sur EiquetT mais la balle, manquant son but, alla Albert Clément qui, à ce moment, jouait dans la cour avec son frère. On transporta aussitôt la garçennet à l'hôpital, tandis que M. Iforetlon, cemi- mis^aire de police, mettait en état d'ar* restation Riqtwt et Pays, qui ont été l'un pou» l'inculpation 4« violation de domicile et bris de clôture. 5`autre sous Cfrlift dt tflOtativa de meurtre

L'Exposition internationale de_1937

Le conseil municipal a longuement diacuté hier le projet de Convention concernant l'organisation de l'Expositlon internationale de 1937. Dans un long et consciencieux expo* le rap- porteur,- -JL- Maurice Quentin, -̃a-ftrtt' resaorUr l'intérêt, da ..cette manlrtsïa- tlon au*si bien au point de vue écononuque Que des avantages que la. VLlIft en retirera. !La dépense de 285 mtllions que cécea<era l'opération aéra ] couverte par une loterie que gérera la Ville.

Au de 1a commission. M., des ïsnards donné d'intéressante* prêeiMlanm sur le projet.

La. commission, a-t-ïl dit, V*»t â la lois, d'assurer le succès de la de réduire la. sarj vitudes de l'emprise et de tlter un bené] flee permanent du point de vue d& j [ Les accès prévus seront faciles- et ) nombreux, desservis par des votes îargts et de nombreux moyens de transport. cadre de ee ?siisfaiaani. Le terrain mesure 28 he&t&rés, est pourvu de verdurt et présente la magnifique perspective1 du La Seine qui le traverse se prêtera admirablement à des manifestations nauttque. attrayantes. Irfs environs sont peu h&hUés la pêne qui en résultera pour 1es riverains sera donc réduite au minimum, de mgme que le trouble apporta à 1a circulation publique. On verra enfin disparaître la Manutentlon et installer à la place vn magniaque musée d'art. disparaîtront encore le Garde-Meube et le dépôt des marbre». Le pont d'Iéaa sera élargi, "La gare du Champ-âe-^fiffara sera «gaiedu chemin de fer de Versailles qui sera couverte. Aux Gobelins sera créé un parc de grande surface qui assainira avantageusement le quartier.

réjouit que l'exposition ait lieu dans 1e centre de la Ville. Elle viendra ainsi, dit-il, apporter une aide au commerce de luxe et i l'industrie hôtelier .si éprouvée par la. cria d'artT poursuit-11, attendent, eux aussi, cette manifestât fan avec une grande Impatience.

répartition du crédit de 10 millions vnté en faveur des artistes n'ait apporté à leur situation qu'un soulagement inaufflaaat.

Dans une intervention très applaudie, M. Frangoia Latour demande également que Salt approuvé le projet de convention à intervenir entre la Vine et l'Eté Le rapporteur général du budget souligne toutefois rinc*nv«nknt qu'il y a à paraître subordonner la. r^slisatian de i 'Exposition à la slgriaLure dMn accord en ce qui concerne la gare Montparnasse. Il souhaite que lea conqui auront lieu Il cet égard arec le ministre dea Travaux publics aboutissent à la suppression de cette Clause qui fait l'objet de l'article 1 du projet de convention.

après diverses intervennon: notamment de MM. Noël Pinelti, Contenot, Brandon et Jolyf la suite de la discussion a été renvoyée iL auiour- d'hul.

A la conférence internationale sur la propriété industrielle Le français mte seule longue ofûci«tle

La délégation française à la contérence internationale de Londres sur la propriété indu*trîeîle vient d'obtenir. Que notre la.ïi£rue reste la seule langue de l'union pour la pTOte«ïtiOn de la projritété Industrielle et que. en conséquence, la convention qui doit Intervenir entre les quarante puissances siégeant à 1a conférence eotk uniquement. réâtg^e en français. L* discours de lemande qui a soutenu la thèse jfraoçalw a produit 1 plus vive impression sur lys délégations étrangères.

LÉG ION _P_1_HQNNEUR TRAVAIL

TS. Glltrd. de

ON INAUGURE AU MUSÉUM LES SERRES TROPICALES Avec les beaux jours revenais, tes serres chaudes du Muséum ont l'OUvwt leurs portes. Le public peut, depuis hier, à 13 itçurôs, aJler iê^ viffiter et y oontempter, dans un décor tropi- cal comme latin ûsphere, l'une <fos îdus to«l)l«s caUMtinn* de pjftntoa qui s«ît- au -Bi^TMie.- C'*Bt lravaiTt-groût -<¥«,n bol Uè (35* k l'ombre) et un. voyage, plein d*en»ei£nexrrante dai^a les tropiqaea qui s'offrent la portée de toutes les bourses.

Dans trois grandes sarrefi sont cod.centré. dea merv*illefl dee quatre par- il- du monde.

fi faut terminer 1a visite par le palmarlum, vrai décor tropical où la vegét.ation e#t très Jévéln&pée. Tel ce paitûier, t'arbre de Robin son Crusoé, qui le le dont la sève donne du sucre et du vin, et le tarakto g:éno*-kurïL qui fournit une huile avec laq-uetîe on guérit la lèçre; tel^ encore les arbrea à cacâhuêtea, caoutchouc (hér&aeî, pain, à bols précieux aoo.joua caïêtere, oaca-otiers.

Mentionnons enfin, pour terminer, l*s curieux tiUandeia qtai vlvent sur d'auk Içurs dépens et savent si bien s'accrocher aux fils têtégraphlqUÊâ e.n Amérique, jusqu'à en gêner leu communier L'inauguration

de la bibliothèque allemande des Livres brûlé.. »

La bibliothèque allemande des Livres brûlés. 65, boulevard Arago, pavillon 17, sera officiellement inaugurée jeudi 10 mal, à 11 h.

MM. Lenormaïiâ, Edmond Fleg, Alfred Kerr, Egûù Erwin KlïCh, les représentants dee associations et syndicats culturels, des comités d'aide et du comité anglais d'initiative prendront tour à tour la parole.

Une dame beige de passage à Paria volée de 150.000 francs de bijoux Mme Henriette Vlemfnra, habitant avenue des Nations, il descendue dattt un grand hôtel des BoulevaMsr a déclaré au commissariat de la Chsussêe-d'Antin qu'hier matin, à 11 heures, au bureau de poste du boulevard Hauasnaann, on lui avait volé son sac à main contenant, notamment, un braceîet de plathae orné de brillants, d'une valeur de îrH un collier de et une bague en or blanc ornée de brillants, estimée 40.000 francs. Ta police enquête,

CHEMIN DE FER DU NORD NvDTeltet *rnéHiir»tia*3 *piMirtéM au ïPrvlca i partir da 15 in»i A l1 occasion âe la ni if» en aentica de ses horaires d'été, la C*ip*£me On Gùemtn de fer du Nord Tient d'apporter, intention des vûyairftjra de a- classe uttli»ant ses TOiea pour se rendre rn ÀnçJe» &a en revenir, des mfxliflcadoria de n&tnrv k ftUrlilter leur

C'est alfïsi <iU4 voyageurs empruntant les traîna express qnUiaitt Farlfl à 8 h- 67 et à 15 h. 10, ne spfooî plus astralnla A un transbordement en ffare de Boulopr»*Ville. Par la premier de cet traîna. 11* serons amenée directement au point de départ du bateau vtr& l'Anjcteierrc. 1 12 h. 1S. et. dans le second train, ils trouveront, au d6ps.it, lin xrqype de voitures de 3* ctuses qui le' déposera i 18 h. 41. & J3oul&gncMaritfnvs.

En Inversé. Un de de S* classe quittera Boulogme-lf&rltJme 4 la h. 30 pour ftre Lncorpuré au train esprès? arrivant k 17 h.

EîiflD, le. passager» utilisant la vola maritime Douvres-Calafs tro*iY#roîit à à Calai s-Marittme mflniP, Ott son point de i3ép«rt eat reporta, dan» >a tratn eirpr«9V arrivant 4 Part* à Î3 h. M.

Un meurtrier parisien

condamné i. dix ans de réclusion Mehïn, 7 mai Idép. Petit Pariftien. La deuxième session des de Seine-et-Marne, qui est ouverte OU. jourd'hui à Melun bous la présidence de M. Devi-ie, conseiller iL \s. cour d'apII fl'aglaaait d'un homicide déjà jugé,$ Paria par 1a cour de la Seine et pour lequel Tlcculpé Letourneur, trente-ttois ans, a étédamné à sjï ans de travaux forcé a Mais, la cour ̃dfc cassation ayant annulé l'arrêt pour vice de forme, l'affaire revenait hJer devant le Jury de Seine-et-Marne, L'aoeordëtMiiate Letournfi ar, dit l Fopino Emile Koussey, dit Milo, et Raycaud, dit Bébert. éUIètit en discussion sur un dïttérend, d'ordre professionnel alors que tous trois étaient engagé-s dana On à â Trourilli* à.a.n$ le courant de l'année 1932. Au mois de janvier tous trûia se retrouvèrent Pari. dans un bar du boulevard BelleviUe avec le frère de Raussey et un nommé Haymond Crab. Uae querelle eut Ueu après boira. a'armant d'un revolver, fit feu sur Cr&b qui 3'âcrDUla mortellement blessé, Raynaud reçut également une balle aux relna Aprèa p3aidoïrie3 de M' Sueur, représentant Mme Crab mère, partie civile, réquisitoire de M. Cé>*de, procureur de la République, et plaidoirie de M1 Constant, la cour et le jury réunis ont condamné Irftourneur h dix ans de rrcluslon, vingt ans a'Jnterdlctton de séjour. Mme Crab mère obtient 5.W0 franc:; de domm &tre 3-1 nt é rëU.

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Lundi 7 Mai

VALEURS SE NÉGOCIANT A TERME COMPTANT Isa,. aîfl Ml,, VALEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT fi C«m»T« 347 4. J4ft iki apus» « « -̃ Worf r «s.. »j.. S « « SS Kî î^biS Uï 4" SSB-– = î^⥠ÎS:: SJ-: <ia F»n«. de Pétiole» "& -̃ 730 or]é»n.a 4fia ,» = .to 5 S Si: S:: H:: 2Î- SESi'SS, 'S» ™» litSIÎïl: US:: Sî:: S:: S:: il:: BËïiiï'S^ S^ I;; iB- Bh SI BANQUE aSaSC: S:: S!' ^^l;:f;:Ëif^|:l:;SÉ™i::i"

MAGASINS OUVERTS

TOUTE LA JOURNÉE

JEUDI DE E'ASCENSION

80 MAI

(Fermés Oimanoh» ot Lundi de Pentaaûto) DE SPORT

Pour Unûtr une *faire falfts 08 la publlolté dan» la Petit Parisien!

Les cadavres de microbes représentent 75 0/0 des selles. Il faut se débarrasser vite de ce danger interne

proviennent des bacilles iioin: Us y Sont pn partie ivés par la bile et se mélangent aus tkVhet.K alimentaires dont ils se posant Ha iibprent 1« plus (laugereus poisons et dU!-1 vent donc en èLre expulsés der la santé et wd*r le travaiUiufuie. it faut alter au

mains xœ fo$s chaque jour à la se! te. Pour la î intestin et y font ainsi des"brèt-faes"qîTÎpermetkntaHX poisons micrabifiw de se répandre dans te sang et les organes internes, ^itapceptez^ au <|urun laxutiî doux (non i m tant), ton ique sous un petit volnme frenlocçaïit finiestin au lieu de le distend*} et chnlagogne (fecilitapt par le foie d'une <viacHtions nécessairftî que réalisent au mieux tes Grains Clêrambour^. laxatif

tonique au qumquiua, que plusieurs géutraiions de médecins ont PU prescrire avec sucrés à leurs mala* des constipés ou hépatiques. Les Grains Gérnmbourg stimulent l'estomoc, l'intestin, le (oie et les glandes dtgestives. Par leur action antibilieuse, ils aident la salutaire évacuafjon de la bile qu'ils empê- rhentderemonterdansl esiomat. Loin de provotiuer

par leur usage prolongé de la diarAiêe (rirrîtatinn OU de la cuDstipaiiun d'ac- coutumance, ils régularisent la fonclion intestinale et assurent la dépura.tion des humeurs de rorgunisine, cause de dyspepsie, migrainfrv gaz intestinaux, maux deleine forte, dépressioE, idées noires. Ils EMt'itwrnt remarquable sensation de ien-êtrp. Toutes pharmacies 4Îr. 50 la boîte de 30 grains. A défaut, envoi immédiai contre mandat «un Laboraiojrcs Cltrainbourg, 10. rue Saint-Antoine, Paris U-ls Tous renseignements ^ratutis.

Le Xaît la boursière sers. Avant « a rendu notre pl»«a beaucoup plus calma aujourd'hui. D'autrfe part, au mf)tn*Jit où l'icîivltfi a étSdrt. de de aoraA lii cote une aJluns un peu décousue ou tant au moine Indécise. ce. ré&3 isatis n'ont rian de surprenant après la nnUTall* étape de haussa qui t *tft franchie 1a tiui- tiLne pr*céd-gikLe- IL est pûssLblo que quelquse-UTiea nient été provoquée» pa.r viù~ tent âjjccours prononcé à Dzux-P^nts TWf le Dr Gœbbela nei»ndanU !1 faut remiirquer que le ne 9'«n egt point ému outre mesure,, 14 YouOg et la Dawn d-iiïi*uTint trè-a pouteno*,

Un peu de flottem*nt a* est Ggaitment produjt Sur nos ÈTànd» le tompartLaiflnt bancaire, on rtlèvq 1n nouveau bond en avant de lu Banque de Fr*ùrt. alors qup I«s aatn»g titres du groupe ont fléchi lég&Tenient. Aux indijatriallea IùcbJht, On remarque la résistances de câfLaln«a et et de qu&lqu«a produiîJî ohlmï(ïiifrs. Parmi !?̃ i ntematicttal«H et les va- leuM ^trsng^î^a. Je Suez,,le le Rio Ttcto et la Boysl ont êtA fermes, toutefois, a auf le premier, terminer au plue haut. Lts caoutchoutSères. stiiniiJéea par les soutcaux progrès de la. matiferp, uut réajisi de Du.. villes avanças gourent appréciables. miné fc 77.Î& coùtre et le dollar a 1&087& au lieu de l%.ftS6Û.

(– S0>; Banque ii« Paris. 1.530 (– 32>: Cr*dit Lyonnais, { 2fr>. Aruc éL«etrtqti«ii: Lronn*is« 3es Baux, S.Mp f– 15). Aux lntertt*tkinii&9 Sues, 1S,9W (-( Sfil Rio Tinta, i,491 trusta ange, Royal puïah, ClA(nr« de la séKP.»

TendAn» calme,

Central Minine, Gedu^, Rio Tïnto, 1.4S6; Royil CutCh 1/10*, l.Hi* MAHGBS DES r.TTANGKS

CMtarc. O»nra traiiés A. 3ft

Londres. 77,23 New-ïork, i Btl-4 PrajTJfi, B3.20 Houmjml*, SuM«T Les temps difficiles- font un devoir à toute Maison jritieui» de baisser m pris à J-e*tr<me. « à tout* personne «eneée de profiter da «h b*ctIde produits de régime ds pramler thoiz. cacao, biscottes, huile J'ûIIt», aue la organisa du aTril au 15 mai. attire tant LAINES A MATELAS la.)le laine purt Ja**fc à tond

HUIT FRANCS LE KILO

COUtila, Crins, Ou^rturea. SaitliDÈei1». Ets H. DEBRO. r. du Rocher, ]Paris-81 OrIUiii« ntr. DÉFENSE PASSIVE contre le BOMBARDEMENT AÉRIEN FICHET

de Ia SECHBlUi

ncHKTjtniijjgi, firu (in), cintt n^i VIN tt- 'v- r6 (r '*̃̃ la *•• ''̃«YlIVjKtr, prapr.. au F«th-Bntaru Ntm«#.

LA

EN SACHET BLANC a fait $»Prouvas la grand* jolsda mil- il. do tnénagir» 1 A vous aussi, elle

garantit la réussie de$ 9àfec5n'fsalij:a; échants, ••<* ou fourré*.

caku

ou pniitt four».

Rsmarquez bien qis« vous «cnplorarez tous las Ingré* dlentx à froid et enfourne. r*z otjss^ât b pale faite Vous gagnerez

ainsi du temps et

LE TEMPS, C'Eir DE L'AHOCHT I" Mal* ftssayaz ainsi

los omres spéciales

A N C E L

SUCRE VANtLLINE CftÈMf AHCEt SUCRÉE

ANEEL CAKES

PUDDING

PUDDING Gala

̃ au Chocolat

granul6

aux Macarons aux Ralslni

P«r tien-irnwiVT», *a Ûtna toutes bonnes mmtsona ADOLPHE ANCEL S.A. SmASBOURG-MflNAU


THEATRES

-o- GTMNASE. Ce soir aura Titra la des de pi^ce en trois actes, de M Henry Berartaln. de g^ti^riile et la prçmtÈrç auront données demun et aprén-dflmatn.

-0- TH. Ï>B3 CAPUCINES- Cfttf le 18 nul, en poirôe, qu'aura lieu 1b généra] d. la Tfsprlw dea 3VtfWn.ua; d'Hweufr, On sait que la curette, de. C, A. de Owïlavet «i R^be^t Fils™, musique de Olaudc Teorame, tut en 1901 aux et et r«prifle au ^théâtre Femina. Kilt aura cnmzns interprètes NTme ifartb* Ferfare. dont sers luirée 4 Parts MM. Urtun, Jean Crânien Markus Lambert. Dilua. Bazin Fans et mi- -il où ? ° aux CAFUCINKS.

COMEDIE DES CHAJHPS-BÎLTSEfiS. 4* M. R6tf*r Caccia et dan photographiée rte Bine Krt.ll, le. pièce de M. Jean Cocteau.

-o- Mifsl-MiÉTOUj mais où 7 aux CAPUCINES,

-o- Jj"asB«mbl*e de l'Association nlw r«g-i«Murs de th-fAtrw e.ur4 lieu 4omnln mercredi, 10 heure», au cinéma Sfttact, 4. ivenu* de Olichv.

MUSIC-HALLS

-o- TH. DE DEfrrftAKCS. M. André retient la date du mardi 15 niai, en «oirée, pour la jçéjlftraiù de Jlulre tràpjr, -ii- IROP Tous j.«* jours2 2.5M et en BoLrSe 5 Il. et 7 il, -a- CIRQUE MECftANO. Ce »ir les *Uectateiirit auront la surprise d'une attraction supplémentaire. En effet, invité* pajjmr lu soirée A M^dran.j, 18 trente enfanta qui composent 3a magnlâqUÊ oto-

J U D E X TRIOMPHE AU

QAUMONT^PALAÇEJ

15, ne dn Fauta orr-Montmarir*

5, boulevard tf«a Italien

GARE UOTTTFABNASHE

AU CONSEIL MUNICIPAL M. Le Troquer s'explique sur ses déclaraliQns à la commission d'enqulte Les récentes déclarations faites par M. André Le Troquer à la commisaion d'enquête du 6 février aussi bien que lu allégations formulées ailleurs au sujet des dépenses de pybilcits du Métro, ont donné lie. hier un débat usez animé au conseil municipal. En réponse à une question de M. Ferrandi, lui demandant de citer les noms de Ceux des conseillera qu'il avait M. Le Troquer se déclare surpris de }'-émotion provoquée par ses déclarations qu'il maintient et bb borne à évoquer îes conversations jrartlcullèrea qui a'échaoçent fréquemment entre conseillera et au cours il il eat âûuvent parlé de collègues Indésirables, beureusem^Dt en nombre 11 conclut en coûvUnt tous les honnêtes gens de rassemblée à s'unir pour ou'aucun acte, à l'avenir, pùt alimenter le. critiquas et les accusations de la presse ou du pu» blic.

Intervenant dans le débat, u, Fernand Laurent a "élève contre les attaquer demi il a été t'objet au sujet de certaines dépenses du Métropolitain. La compagnie, expllque-t-ll, nfa dépensé les sommas en question que sur ses fonds propres, ou Bon -domaine privé. Il rejette comme diffamatoire Portée contre certaips conseillers et appute ees déclarations sur âivfira votes de l'aasemblée intéressant le MétrOfuiitain ou la S.T.C.K-Ï*. L'incident été clos par la vote d'un ordre du jour de blâme à ] adresse de M. le Troquer, adopté par voix contra 11.

Une iuterv»nt.km do M. An-irè Marty •. soulevé a ce moment un toi tumulte que la séance a dû être Buapân3ue, iMupuration de japonaise de l'art à l'écrié

Àujùurd'hut, à 15 heures, aura, lieu au musée Pédagogique, rue d'Ulm, la céréiaoniB d'Inauguration de l'exposi- tion de fart scolaire au Japon.- organisée par la Société japonaise de l'art à 1 ré co 1 Cj sotia le haut patronage du ministère de l'Education nationale et de la Société franco japonaise, en prés*ncfi de MM. Berthod, ministre de: VîiducatJOQ nationale; Satu, ambassa- deur du Japon à Paris, et Honnorat+ sénateur, ancien ministre, président de la Société L'expoalUcn comprend 800 dessins et 80 objets choisie parmi dessins t ohjela d'élèves et d'écoliera japonais. Y figurent également diverses oeuvres manuelles toutes dû*@ ltfl du Japon par les élèves eux-mêmes. Eli* restera ouverte tous le» jours jusqu'au 28 m&L,

FETES ET REUNIONS Le tafiquet de l'Union des Jt- A. T. du. Bénie a «u Iffru *Xw le J>résldftuct d* M. Doussahi, dépiît-é. aiwien <i' Eut, q ijJ prononça me aâiocibtioa es L,i Con/*fT«cf /niticfiw. association et amicale de cojirtfrpn^-Lers, cie teftlr «on bureau sortant a a&A rMki twiir 1084-35 e2 est *lns< Mm* 1);neet

spectacle. On la chorale Zanglmt, renu» a Paris à l'occasion dee F4prtMntatkML& de Mme Ida Hu&ïfiiHe.ii De chanter* que peu de foia à

1, ABK gAITfT-T.AÏABK

FAITS DIVERS PARIS

Le» accident! de I* ru«

Au carrefour im taxi enttdnit par M. Maudln, 7, avenu* de la Clair* GuJHi>n, di*nkilié*s rue des Pyré» Béai. bl«Mi^e« aux BU*ft furent transporté* a Laribotaiwe où «îles requr«iU d*a aoinfl. ainsi que I43 chauffe- léBèr*m&n't blessés.

A porte ds Il ViJLetlt, l'autre nuit, un rtia.rwS.UTre, M. Valentin Liants, babîtai)! rue du Poteau, a été renversé par un taxi dont le chauffeur a pris la. iuli^. SàJnt-Louia. Eu« da MaifltM. M. René Biaiser, saîsante-quinze ans, -demeurant 109, rue Lamar^k. est pris de jna!ai*e et meurt J*nîjïconnu. rue Caat-agneiry, un conducteur de trot« ans. habitant rue des HorlLloiui. a «te bLwwé ir 1a ttte. Hoaxtlâ« de Venlftifard. SEINE

La baigneur sVit-il noyi 7

On a 4fcotrv*>rt sur les berges de la le-ftoi, un veston natr et un pantalon 4 blfttvt fitre cëuï ft'mi horiunâ que M. avait vu, ^ufllquAa li* ures auparavant, du- la Seine. Le baigneur Inconnu a-t-ii cout4 jtlc ? De? recharchtfl entreprises «Uns le ClfuVc n'ont donné aucun résultât. Ecrase* par un camion

Avenue WUaon, à Sattit-Dènio, un tnécadu Chemin de f«r du Nord. Emile Leurre, trente su*. 183, na*me vole, qui circulait à bicyclette, a ét-g renveraé par un caenion, dont une roue lud a «cr&aé la tels.

En i«a«tit» un gtrfimnat blesse un camarade d'une bail»

Deui jrajçonngts dfl qufttorw ares joiuLlent près du champ da <XRir«es de la "DeJong-, dont les parents demeurent fi, SaintD«JW8, 8, rue Plfrrre-Cîlfî*. qui était armi d'un pistolet de peut caJïhre, déchargea si malenccintrtuacmont que son. camarade ïtayroond I*quôré, domldlJé à Saint-Déni*. 3, nu Plefrt-Curie, fut atteint au Iront Par bonheur, la blessure est aana graTlté, Hue de Mormandle, à Courbwoie, un ouvrier de la IL Victor Bugnard, quarante ana, a en la pivl .g'U.uchp- écrasé par la <*mJoJi qu'il accompagnait. Il a dû subir du membre blessé à l'hôpital.

Quai dv Frésideiit-IJaunw» à Courbw&Je, on & repAcfré la corps <iJici inconûu quajitaînq d'années» vêtu d'un vestoa noir et d'un ptntaJon A rayures,

q ii*J du Pont. 1. c*da*r« d« M. Gabriel Lîiûfijï, tran-ta peintre, 18, rue du Rosés, Paria; Il l'&fU d' un auiclde» Franco j, 2,1.000.000 de francs. 21. de de l'Arcade, Banque cap. 3-iOO.{lOO M.ÎEïaW. Nadal, c«pr 1.24U.600 Traftes. du PcHtO», tiïln*a, 5. pasABRe Dsgorrto <10, ruft dee Pyr*ne*s>, Oabrïel Qùugnienheim,. bonnetçrie, 7, ru* de _Matfbfiu£e. A.tic. etabl. chauflage, i&i. avenu* du Maine.

PBTITKS A^ïtfU.NCES CLASSEES ft, aaca trasisp. ou tout Jki. rrvt'L Longue expH Paria, p.g Petit Pa.rialtn traiann. ^tudl&nia ailein. dés, situât, ri. lamWle au pair, pour BABPJ D'JgTAlITB

Dent. «oupeuse p. ponfett, enfant, tr. presa. Bo vréo, mutin. Gerber. 2G, ïg du Dçni. jni flllB et et manutwit. courant ^-rtnieg. robe. WOLF, H. r. Apprpntffl pour pet. mécu.n. Pr^ par DûXftîitH, 15. rue C«arbevai», Or dam." un twm tourneur, r, Boïiret an riem. bfin* onlilieufR outils à dé«oup«r Btg Reypaud, S. clt^ TanTObgrt. Fana 15-. Très tous ajusteurus-outilleurs. r&îér, *xig£pB. SE V., 2fi, r. G-uynemer. I5SY, Olga PB BiBOB

Deiti. tionii* A tout falrp, «.na. »ftch. otJJJiiner. 2 maîtres. 55. av. rie BretetiH (7Q. Dem. bonne cutaLnière, riié.T. exlg. Éadr, B. tt rre. CheVroïêt/lO7.~H-v. de Vil^ pgMAjriHMi bb mMgmainrajjrTa Représ. introd. boutiquiers p. placer ririprs A leurs clients. &rtw bén. Guillemet, 32. rue &aasenijj. JE*Rrig, ggrtra Chainipa^tje Eugëtie ChandOn. àètoi. p. Paria placiers et repr. hom. on dom. Ftea comnitSÎM SJt. Int. à vend, actifs. Se prén. le matin, 4, rus Fa i il- Saunier fi. Farts pour produit nouveaiu, placem*nt facile c^ffig, bsTB, Ubftea. diap» P^j-i». &v, imp. client, faite, rep-réa. intr. mjkrch. eaulh tLfrr. -3 Fcïlt FïHrjfliert, StntJlATtJt nE

Il à t. ne CHOMER PAS. Mme REDON. r. Kéaumur. Arch. 77-7S, place de nuit.3. 37, d. Dragon, p]. b. AUTQKOBII.BB

Particulier vend voit. C. I- fi-CV N N 3, bon -état. Prix 4.500.

54. rue des Afrljesagg, F^Ij^ Dé«. eohet. c&inoin à tonne», bach*. bon ^tat. Eflr. botte poataJe na 1. Baiitin

Pour BANLIEUE

A OUVERT SA SUCCÏIR3ALB ALEfllA, |H av. Maine. Sut ̃ W-J3. Fort, dept, 50 fr. BASTILLE-ECOLE T%IiLs Extena., M; touriste, 150; P. L, M toyr. 200 Pap.-TUi, Ifi. bd Hr>q. SS-42 Tn.rrEara.i:iTitBa

A louer saison d'été à jsroximité Juan-les-Fina, çrajuda vU'la. meublé*. "bw».u Jfljyiin. ombrage. confwt moderne, gnra£8. S'adreeser E. Mas, au Petit Pariaie-n. A louer 3 maubl., 9 km Angers, gar. pelauae-, H^vft». Angers ttn 26^213 NOUVELLE BAISSE A LOUER DANS PARIS

PETITS APPARTEMENTS MODERNES & 4.QQ0: 3 p. entr.. de b. in?t., w.-c 4.B00 à 5.400 tt eh, eompr, F. vi*it, et louer: Bureau de local,de la Sté Fropriêt. Sur place, S, r. GujitaveFlaJwir-GrigJi^Mi Hères. tout canfort, jandln 600 m. Prix 4.000 Mme Ivftdanr. 2fi. bout du Nord,

S"ac« Samaclt. loc, tomm., bbc. 6.IMH. G*r. Meyar, $2, bd 3>ijreirg, à h A. <iti. 40-75. ACHATS HT TBarTM PB TBOFMIZTEg. CAUSE INDIVISION OBLIGE VENDUE iDordogne. près ville, domaine 80 hectares, seul tenent. Mala* malt, modest*. ferme ev, F&tfvj et ohasaç, A av. 80.000. FEAN. COL expert, 140. bd Hauasjnann. Cam. 60-17 vue sur vnUéa et foret, rég. lïRBUX, maison, 2 pièc, garas», Jardin, TitiiCB Eura à 10o m. Prlx lr. Le Logis, 24, rue Laffitte. P. Brie- Comte-Robert, B p.. jd i.OOU mq gar. Pi 28,600. MetzEBT. S&. r. Faul-Bert. [S.-et-O.>.

Ligne* électrique P. à min. de La gare. Beau pavilton de <;ontruction r^eftr^e en amiiKrts, :0 pifecea. Prix 150-000 à la gare Aft BO^mAY T)* min. Paris, nb trains, ocq. pav. 3 gd P, 8. d? b.. 400 m. Jd.. e.. Prix av. 15.000 cpt. 3ola« com. FETTT LOYER. Einnlre OTJDELTX, 46. villa JauchaiM- (to*). Loiret. Wals. camp- av. M, Bon état 10,000. Cent. Off. ru* Aiîolphe-Cre.Tpin, Orléana. Sulfl acheteur c&t Me î»rvudété av. ard. Rayon S0 km. Ecrire prix et détail. Edouard, 64. boulevard: Strasbourg, pour santé, vend Joli terrain, à 15 m. Parla, toute* ^ommodit^s. Long crédit à. acheteur sérieux. Ecrire 4 CHEVAL.

18, ru* d'Alsace, d CLICHY (SelnaJ. Na pa*j se

Votre home, dans la banlleu»

vreJment proche

minutes Paris, toute. c&minodlt*» nombreux traîne et autobus directs, terrain et mataon.

On peut visiter

8 partir de

150 franc» par mnia>

Aucune çurprlse,

TERRAINS

rue Unique sur Saint-Lazare 2 francs L« mètre

du terrain nain, bnisé mi son

bien isltué. près Paria,

Su ri aces à volonté

Grandes facilités

de paiement

Pour renacismement» et visites çr&tuites, Urgent, voir ou écrire

42. ruer PARIS 9*.

Je ternxiti mr bftifle 3vw eau, éiectriolté. 1S km. Parla. fr. PaclHtés. Berére PALOT?. 34t ^rue^St-Martla. JPAJSIS, Parift Bon imTneub- Rev. 10026. Pri% fr. Cahn, 36, rue Anaolot. 5 à 7 ji- h. 19'. Aff. except, im. pJerr. A. & loy, moy,, foncier cons. Hev. 1nt Px s'aflServiûft d. Immeubles, 12, r. d. Fermier», 17»OCCASION MAE=JU!N Auto« capitonnées, libres A Marseille, Nie*, Toulon. Lyon, JHér&uJt, Q-htà, Ain, Dordo_file-. DU parcours sur Paris ou région, lî. boulevard pari*. OOOAaiOMtt

Machina Singer, bon_éta.t._53. bd St-MarceU Faute d'a'f penC" ïi3ïïïë~~<ie™iïîe«bïea (fondée liera de cliamb., a. à msng., etuflloa, de 600 à G. 000 fr. Visib. Il l'usine mÈnHf, 17. r. S-Dltmanta (pi*, bl. Italie). Ouv- ég. sun. aprfca-mîAJ ainsi que le jou-r de Urge. rai^ae "moub, v*ad tr. prix stock imp. ch., e. à m. dep. 600 fr. Ate- *nimifrs. Ou' *îfaï. 1* Jo-tit- de <ht chx chenil, i84, av. italie. _Çqb1_76-g&j Qû chx îtca races, i-14, r. Castasuary, Part»

DlTft!

I fi», bd agbaj&tapoI.Atrh (8 A h.) F. e*tels 121, r. St-L^are (g. St-LM.) Bur. TtgjimiatL, S. r. Ftdéttté fg. Est). Ouv. dtm. JOUBERT, ex-insp, ppl srtr. Ttra mi*, dop* 1S fr, t;f·f. bd S^fcn^rijpQl. Areh. dame ay. été blsas. Scr. F-D Petit Parisien. Fonds de Commerce et Industries

¡ BUREAU DU avec &euEem. C»tl.KUHS-tlflSC. baiil. us. B. ti a., loy. BAINS .-=0.000. Avec «5,000, Qpêr, grave. Balnii de Franco, 70, hd SAhaRtopol a.) ÇOMMEKCB Du JHMB8

TKÏMTUKERIK f. métro. B. bout. L. 3 p. c aL Aff. k ùév. B. 9 a. L.3.000 Cftdft av. 20,000. BaMrmiM, 4T, mr. Op^r*. lier:. 33C, Aat. Jx. S.Ui 4 p. Opt 1S.0OD. Fflyer Cammertial. 46, rue de Potifly 5 W". AV. 10.BM

Ville Ofw. B, à vol, L. 2.0O0; 4 sai. Propr. IfUMiniEll tenu graii, Lrtf L"tlUlIXfr. n" oonf. Jd., terra* car. de.* «biffrç» ias^-if. Limoil^d* 120.U00. Rest. ebamb. Bén4f. 6O.flO0 p. 3. On Ced. dir. se inter. mon lus. f^p. Laljs. net p. a. Bien logé. Long ban. El n« tant que 10-COO ]pr maj-ch, Vr urç. perUNION DES VINS DE FRANCE Volr enaemti. I>lr. Sft. r. GHH>wt, Paris. rais, basa i vol. 2.000. L. p. Lim. 200 p. j. Mb.BV. 16.000. Kta jLiniinci, t. fléaQuinr TABAC-CAFE 3 SALLES

Rit. & 35 k. de Paris, ni. centre, face marché. VIEUX COMMERÇANTS flup. Dép. À Paria. B. log. 4 p. Hénéf, ?.000 Mt p. a. I?t It CAVES 2 S 4.00Q p. m. Gar. exig. Voir de suite MA FEMME VENANT DE MOURIR Cède à «r^dit et laisse 8 ans pour payer A 35.000 l'an. S pièces Il Il faut 8.00G fr. mai-fthanâlaej. DEBEÏ, tV< r. VEUVE DEPUIS PEU

i*d« »r NOTAIRE mon EPICEBIE-V1KS FINS. Beilo rue. Elil M Los. 3 p. (Mon affaire IaIshc nat pu od.) Heslflt-al t&mpa voulu nv. débutant* disp. de Mme MOIMB. M. bd MENAGES et DAMES pt DfpH rlol nod. Farta et b»nl. Logée. Mise au courint. Ëts KKBOt;, 41, bd Ma jenta. M^ûie dltnatic. TABAC-CAFE-BILLARD

Situa à 40 km. de Paria, pi. c«nt. arr. C. et 58.000 t>4n. pr. 1933 p. ept- CAFE'ËFICE^GfiJUNËT. ÂV, 15.»0 Rue princ. ville Olae. B. 15 a. Loy.CiFE-BItL.BAL. AVKC 13,000

Ville 20 km. Paria. Hte natlonaie. B. a. Loy, norm. 2 sa. dont 1 de 60 m2. Terrassa. IHflbCTlKn VI, ça DEPOT V1NS-BUVF-T. AV, Ut.fm

ÛirUrCP Air. 1£>2.(XW. B. buv. Px 22.000. [TtAbHim Mn. en gras, 92, bd WbftitopoL pfrantB, dam. et ménag. 1'1); et L0£. F*t+ U ear. ode, Préa- te matin. BONS VltfB JDE FRANCE, 11, n.g Mqgador, IL Voîailtes, ïibie-r. Emplae. uniq. Eaii 17 ans. Bup. inatall. Aiï. 1 million. Prix Çftl>iirt bd Bengamrhal» (Baat. j La cImb grand choix en E-pk.-Coofifl.-D^pGt», 6JMp. vios. Gér. !I5 p. J. B. log. Av. 6.000. Caveg 186, LUI Joli bénéf. asaur. de AUm. et Dépftt# vins. if Tr, JtT. 7-QQO, M|M J^rU, MT F, Maubangi.600.000 DE ?^IÏÏ;S

daïlS EFICKBIE DE CHOIX- CON FIS BftlE VINS FiyS-LI^tTEUBS, Pari* arr°nd.) Matériel de raiteilr. Comptafatlité i l'appui ou Basai. A enlever

GD CAFE MODERNE ViS^KSë Travall forcé. Mater, sup. S, H 4 3.500. CKDUKS A PERTE MOINE not. en, im. linnlprii S(bm»p»l. 8.000 fAFF D Al camp&g. & là km., face mairl«. »Vl 17H. i-n« da Temple. Mfitro Rèpubllqua. NI INTESÎMEBIAIB-K Oac déc, de mon mari rfedfl mon sup. I>ép9l Vfnn-Liq, Rec. oct, 30fl p. Jr, a tripler. R tfortnnnil. Va gr.. 1S-15, r. Berry LES ETABLISSEMENTS DES VINB DE dames gles. Sit. ffar 2 il fi,000 P. mois Voir *jg.?-. JPg*iJîJ!Jt_geBn|r- M° DaniHisnli. HfcPOT VISS. QtJABTIFa POPULEUX £AA p. jour parant, Log, p. Tenu malade cMe Ort AAA Meutey «t Clet AGES ET "FATÎGUKk

CAFE-TABAC AVEC 20.û00 dans aaus-préferture, route natlanale. Belle terrasse. 2 !talle: .billard. TélApn. TabaC Buvette ISO p. jonr, à BTigmenlBr. GODET, m, JPP rie Bltèli

Accaa. *ianj3 préeM. Mu femme partie, je 3t^Martin, Gras, rewt. Vu Je PIKRBK, FnyoT Vinlcol*, 15f rue Alturay. LttJiury) de 2 A. fl ^OOQ^y AVEC 12.000 mefte ciimpagnt îio kil. AFTAlttËS GARANT. 75.WW. mieux a faim

COMPTOIR ALIMENTATION GEN*H en vu* de la baliSte des prix.

demande des gérants n.v. P/ Contentiez* Hallea, rue du j^ XjIUJjE BEL 3ftf bfiultiTfd Mai«»<aT M. RÏIVnTF tJASSK c|HO"yTK EPICERIE' Ville i8,000 hab. PRES GARE. F.u de iuyer S' '-a" (kg, Cple.-Buv. Vr 7Q a, Pt tôt. 3O.ddtTdt S.000 opt. LJPgyla> 1. r, Aat^Tnlifta-ll'. ocCÀsïoN A MÀisixÊ

EnCESIE-BUVETTE °fîS*uSïï." b. ÎOCé bénéf. Femnw p*rtic obîigt QQDETr M. rue Blvo» Av. _>Wjj SITUATIONS INTERESSEES

pr le second. Bel. tittiat. App. 30.000. Gar. Err. oti voir JHJ.KC. 3, Et. traj^ae. r.oaimBrc. Centre" Paris r à c*d. Mise -ri;. 7^.000. Franqncii..W. bd Masent*. G' d ""Irïi'ïatre Parie. ridi! S.-Dlr«t. 85-40 a. CHFHCH. COLl^ABOBAT. AV. AfPOttT. et références. Situation 40.000 Ir. Voir CAPITAUX

FONCTIONNAIRES

eimpriuiter sans usure ? OABntKI,, n, me PAPia-fr1 voua avancera dise rétament et rapidement. Fr 1.000 tr. vom Jf™ 1.100 fr- g" 10 iwpIb- Aucune ni risque. Dem notice ou Pror+ 92-80 LE PBET IMH£.1>3AT

FONCT-. il- Tiçite. Tk tr, bas. NET Rens. grat.^9 9 à 19 h., 98. bout, Il ParticuLiera, Commerçants CAZKS, 12S, r. ISt-Laiare, f. ç^-r*. Bur. hyp. CAISSE L'Ail lSf Ut, r. LaCarat1« FRETS A TOUS FONCTIONNAIRES Le Jour même à & NET L'AN

CohàttioTis imbaltublfto. Bien d'avance. GASTON, rue Rei-de-chaTuaee pRETS i Fonctioa. aArlaux. Rien d'avancs. A. T. F., B7, rue Hifthar, Parie

BAVr v°t. v*rit*ls. Sté FINANCFEBE est Prêto taux Paris. PRETS

partie. Aiûe p. s'^tab. P, p. ffér., p. conatr. Tx bas. DiKTfit, E4p. grat. et fftp. Ne trait. nulle part .de confiance, CAISSE (ÏK.NPHALÏ

le, m» Montmartre, Paris

FOSCTIOS^ FKN8I0NM. SEBV. PCIlL. Arg. raD. Dlacr. Label, H, g. <*tw. St-Laa. n M, me St-T^mw t&artr> FONCTIONNAIRES

la IM O*«T», 43, de «ta **»» ne intermédiaire.

rKÈlj TOUS Aide pour ETUDE PB L'EST, fie, bd de Stmbourg. pessionkeS, BiirBAiTES. toschonk. Vrtt imin&llat. BOJUAL, 10, M Btrbi». tj.rn.al». COHrASB: A.VAJJT TRAITER. à A personnes Discrétion. Eliid»

4f, rue LaraFMtt (Mttro Pratft immèd, à 7 L'AN

saJiB comiiUMloo ni courta««9.

SW CHED1T, SJ, M »!.(«»>» «• *t.> Bat. LES CONGRÈS Le cORféa de f ynécolvs;}

Le ouvert hi«r i I'Jl4t«I de la preaLdeiMe d'honneur du professeur Kœfeaseur Rouwy, doyen de la Facult* de sident de la Swi£té française de gyriéco- manie (prnfflsjeur Joneacoï. d'IUMc (pro. (easeur Ce-, de Turtn) et de nombreu* déiigu^B des université* àe province. Le congrès, cette année, porte sur la queatfon de J'fnmifflaajice ovarl«niié. Après lea df*ûûurs d'ouvertur* de. Dm.fesseur présenta sur et la son de qui [Jt iiscut^e et «t fit l'objet de communication* Intéressante, entre mitres raitea du doc- teur Lœser. ils Berlin, qui présenta un fl!m( (Paris).

Mlles Hlrach et Vonaui, au nom de feu te (.iwîeur LéopoW LevL, sur la «fltlonA récianatiJte discutée par MM. Fierra (LuxeuU>P Douay et Jaylftg (Parfsï.

Après la séance, les âél4sufâ «e remirent danj un ïifrtel de. l'avenue des Ctiampa* Elyséen.

Le touffes tet«nAtt«BAl du «««iitifn» M. fjerro Lavai a reçu hier au talnifldu conerè* rie tenir ses assises au Trocad^rO. La maréctial Lyautey et M, Bourderï*, «crStair* de de. «cL«ncei CCflOM. Pierre L»v*l, qui avait prl* la cepltalne de suivre en son nom venue aux ââléçuea et les a f éilcitéis de l'esprft qui les anime.

CONCERTS PUBLICS Cet npria-midl à 16 heur*»

TBll«riei. Qafde réputilloftine <tf. Dupont>. Ouverture d'Buryanthe (Webftr); et par le» chemins (C Debussy) Poèofie iL (R. 3tiaus3> Eacalcs (J. T\v* VerfeMt, Harmonie d'AuteuM- che (T urine) la Poupée de Nuremberje (Adam) ïe Gran-d ÏAogol (JmArsvi Si étale Ko) {Aaam) F FArfum d'«vent&i< CNico Mika).

et vins. 4 Putïaux, Î54, av. du Prtsideat- Wilooru Contlintln Rammer, Gémf- rat HadJa i-, 1, bout, de SefasJtopcl. EmHe-rmncolB L*uï>r. mécanique de Mnrpwnt» Vidal, v«uv« Dupont, carton- nase, 47, rue 11 ont orgue uiJ, rêne et Albert Dembas, garage à rue KtabL pour <Mt, cap. C3.'000 franc», raquette» et article* de Sport, n, rue K«|er. SfW. des Grands Chantiers, cap. t.4OÛ.ûOÛ frizia*. tfttm-dftg-iteti tiers. E*atv* et Mîdiel Lldsky pellsteriçfl 3B faub. Poissonnière. P. et et 8. aerni. cap. 125.000 Il. rat, 47, ru« nauï. ÎS. faubourg Mon.tma.rtre),



La vie sportive LA COUPE DE FRANCE D'ACROBATIE AERIENNE organitM par rAïx<-Prop*j»nd»

avec e eonçouM da rOu*4t*V«Hirfla? et du Petit Pwititn

Détroyat, voici la Coupe de France d'acrobatie aérienne, organisée par avec le concours de et du J^iif Parisien, et daté» de francs de prix,

Les meilleurs pilotes d'acrobatie participeront iL cette compétition nouvelle qui désignera le champion franchi de la «péclalité.

Le règlement d# la Coup* cl* Frmc* mi&E^on sportive de l'Aero-Club de France nue les pilotes Intéressés Téturoter. parvenaient au grand club national.

avion CV. Le vainqueur du match du 29 avril, dans et 21 mal sa réputation magnifique, .formée par sept années d'étude, d'etforta et de succès. Michel Détroyat se ivec lu volonté bien arrêté» de briller. Mais ta compétition s'annonce très serrée. Avec Michel Détroyat il y aura valU, dont ta souplesse de pilotage est remarquable, dispose depuis puniques jours d'un aviott StfUptê itpéûJaiainent pour l'acrobatie, un monoplan. moleur iliipŒBO 350 CV.

René Paulhan, le ffll du béro* de Lonùrea-Maftclsetter, volera sur son petit biplan spécial il fera certainePaulhan est, lui ftUftat, un pilote d* jrrande classe.

Dftroyat, Cavalli et Paulhah sont Parisiens. La province sers- représentée d'excellente façon par Fernand Malinvaud, da liimoyeH, et par Bllger, de Rouen. Malïnvaud, pilote de guerre, «tft venu à l'acrobatie après avoir rcprlfl l'aviation en touriste. V. « tra- vaillé énormément et a fait des progrès qui Font impose d*put* quelques maie, Son avion est français, actionné Bilïer, lui» est connu depult peu comme pilote d'acrobbtie, il a. acquis allemande, CV. de l'as suisse Victor Glardon, et s'est entraîné très «rleugement. ?

DEUX MATCHE3 DE FOOTBAIX AU STADE DE COLOMBES

Jeudi, au stade de Cotombea, Manchester City, vainqueur de ta Coup* d'Anffleterr*, la plus prestigieuse et la plus populaire dea équipes britanniques, jouera contra le Raciaff-Club de Paris. finaliste de la Coupa de France contre )4 G. A. P. aura Heu en lever de rideau. LE PREMIER PAS DUNLOP

La finale du Premier Pas Dunlop de la Métropole se dérouUra dans la matinée de Jeudi, sur l'autodrome de Montlhéry. Des dispositions spécial*» ne permettent pas d'emprunter eetté année la putera donc sur la piste routière d'un développement de 9 km. Sept tours setotale À parcourir à environ 86 kilo"llTjeudl à MoaUheryr l'Union Vêtoc!pédlflue de France organise cycliste pour la. rtslon parisienne, rallye dont I« Jleii d'arrivée est l'autodrome, LE CIRCUIT. DU CENTRE

ifkmv* d. marth*

c P*tit Porwî.n âattiedl wt dimanc&e. l'Ut ton FratiTîtit année, le Circuit du Centre, qiiaïineu'ttf a. Parla-Strasbourg, sur un parcours de 200 kilomètre*, avec départ et arrivée à Bourges.

Cette important* épreuve comporUfrhun, Vierzoa, ReaUly* Tssoudun, Saint-Florent et Bourra. La boucle par Bourses, Dua-aur*Auron, SaintAmand, Cbâteauaeuf, Saint-Plotent et EoUTgea. Au total, kilomètres. J>a 10 premiera recevront un prî* l4n premiers aeront qualités puur Parlfc-^traabourg (1" août) et toi» les ..prit. la premier une Intieftiralté de route de 200 francs.

Les engagements: ( S fraw». licenciés U. F* M, 10 francs pour le» ladéDJCidanta) sont reçus à l'Uniùn Fransaise Marcbej, 4S, faubourg Montmartre, Parla.

A L'ORPHELINAT DES 'CHEMINOTS La conseil <l"adminsiratli>n de l'Orphe- linat national des chemina de fer de séria de demandés de renseignements que des Coopératives de France, eotn- muniqufl une note dans laquelle li déS'îl eït «taot qu'un* iomm* ithë importante aat Immobiiiaée du fait de la mise en liquidation de cette banque, la vie de l'œwvrç n'eut aucunement paraJyflée, sa situation nullement compromise. îvÉa comptes -terme dépoj&s disponibilité sont suffj&a&imept ImpûttanUs pour faire face ajoutes no? obllïratlons. r

oûeminota et, eu particulier, a.ux adhéranb de l'œuvre et" à ses bénéficiai rea, tion* car aucune consécun gaertflee n'est à envisager. » Cha Sunte-TItérin de l'Enfmt-J<«ni TJttS des OSwwea lïa plUfl populaire» et 4'AuteuM) donnera, l*i 10, 11; et 13 tnsîr de 14 à 13 heures, sa Tenta d« iea Jucaux, 4fl, rue La Fontaine, Parla (19* l'ombre du ai joli sanctuaire de SainteTh^rtoe de yatroiuw de l'œurre.

COURRIER DES T Q T

LES PRINCIPALES

EMISSIONS FRANÇAISES

PO9TK FABlâïKN lili m.»~»k. k- cours de nos émissions de Se Journée. 1S heures, 13 h. Ifi, 13 fa. 30, 14 heures h. 1&. 15 h. 54. h, 18 h. 45f à20 h. 40 et in tln d'éralsaioii, cours ·t derglerea informât irma financières.

12 h, 6. inteirnècta avec le coneonra de Michel Leduc et Ma£pt* tfràt,

La h. 3&. pt-fesetiLAtLûn des Jfonr«SDtAt Crbrtal.

13 h. 15, qmjlqyM disques.

18 h. 35, présentai Van du Vemwwtit fint»,

h. 25, émission protestante, organiste par c la C&ua« p.

le h. 45, cours ânanciars.

18 h. 49, causerie aur le music-hall par )la Bina. Vais, de* Attira 19 h. par aï. Fierra Baa^uaifle.

Le 4 Succès DE L'AMATEUR Photographe par Kodak

LE CEKTENAffiE DE LA WORT DE LA FAYETTE

r. Bod^té des Amis américain» de lA Fayette vfent de désigner, pour la représenter aux. fêLeg du centenaire de la mort da La Fayettet M. Warrin^toa P&wson4 attaché apêeta] à l'ambassade des à $ Parle, A cette occasion, ce dernier donnera son domtcil*. rue du ] Marêcha:-J^fTra. à Versailles, deux ré- i Ceptiona dont l'une aura îleu aujour- e d'hul 16 haurea sous les auspices de société 4ont l'attaché est le vice-présldftnt. et la aeeondo di- J manche prochain, pour les descendants en Amérique et les sûCiétéi patriotiques. Au cours de ces cérémonÎM, M, "Wap- rJiigtoii Dawson prononcera des allocuv tionfl dacï Jpfltiuelîea il rappellera te j r premier débarquement de La Fayelt* aux Etats-Unis en juin 17T7 tur iea côtes de la Caroline. lA programme t comportera de musique et t des chanta spirituels et religieux ainsi a que de pittoresques chansons nègres de q la côte carollnienne. Ce programme artistique sera placé sous îa direction d de IL Pedra de Freîtas Brancot directeur de !'opéra de Lisbonne. c Une note dit comité d'action «Bttfucîlte r et de v^tinnM

vi^îlance, constitué 'au lendemain du Is 6 février, mantfesU l'émotion que lui 1< cause le décret du avril aur les p < nominations et mutât ion-a du person- P net y dans eertalns bureaux télégraphe e que., téléphoniques et radloÀlectrl^uefi Rappelons que ttéaonaaia la ministre prononcera, directement le!! noniinatjpnfl et les mutations du personnel d* cas nalrtar agent. ou ouvriers ayant encouru .une saneWon discipUnft-lre pour cessation CcMctrtée (le travail. Le comité, déclarant que les mesurai d prises contre csrtaing tg-ents déplKie.- j d mente,. poursuites dlacLplIûftlrsa par- tent la première atteint. aux droits syndicaux. élève contre elle$ sa prote.. tation et demande qu'elles «oient Abroî!îl

Noyé au court d'une partie de bmrqae Au cour» d'une: prommada en barque mur la soin*, à Vlllemies, Il Fotdliiand Molinat, âgé de cinquante et un aïish directeur d'un cabinet de contentieuîc, T, rue Chaptal. à Paria, ut tombé et s'est noyé. âon corps été rep&ch« quelques instant* plus tard,

Chez les anciens combattant» M, Georges Rivoliet, minier* des Pensions, a reçu hier mft-tin !• tureau de la Confédération nationale d*a anciens combattants et victimes: de la pierre,

Le bureau, lui a remis 1'ordre du jour 2 mal rappelant les décisions des conseils nationaux des 25 m*i,*t 12 avril et renouvelant au ministre :Ion entière confiance,

Le bureau a ensuite Insisté tout* parti- oull*t*ment pour que les modlfloations itltii.ïpcn3ô.b!ea soient apportées à cer- a décrets-lois, notamment en ce qnl p concerna 1& âuppr«iaion des majora- t lions pour enfants, question qui a déjà & lait l'objet de conversations avec le président du Conseil, précisée par une D du bureau de la Confédération. g Enfin, Se bureau a rappelé. au ministre n ta doctrine Lavariable de la Confédéra- d t'on nationale relative au non-ïtaieiïient I dea pommes réclamées par les Btatfl- b Unïg, p Le ministre a assuré »«t camaradèa s- que, sur ce point comme sur tous ]es a autres d'ailleurs, il défendrait stricte- d Ment le point de vue confédéral au sein e Ces consens du gouvetnetnent. h

U. Edmond Rimbaud, de l'Opéra. MHe Lstla Bfln Swlira, de r Opéra-Comique ̃ Mme Tbi-O* Rabior, ÏL Paul de î'Qp*ra- Comique de Barbier dv SerlUe San ,Iaaa (Moaart) La Travlata (Verâi) Bornéo et Juliette (GOUnod> Carmen (Elaetj Mireille IGoaaod), (Offert par Rftdîo-MiifraïJne

22 h. 10, Une denu-h^ure de œuaiqasi en.reglltré^ ûfttrtâ par lea EtablliMHeata

22 h. 40, derniirfl» Informatfcns.

jTmûaiVn J. mtrtritli mmiîn

7 h. 10, r^v«U en fanfw» et C0n«rt de tnualQue

Alonto. p*3O doble (Henri G&ttr#) MârrJi« SévttQan iHT.vih*! YtimcH) Ya-lae dm mariiifi (Redi) la. Poupée du divan Rua Ferle riu monde (Abraham FWdM, On nous prend tout Mccet) (JiMna on wt bien b(U*ïic* {Jean ?Al>mlM.ml Tantaial* sur dee airs .4e J. Strauss

Un* .histoire sombre

à la basilique d'Argenteuil le bedeau ne trouva pas le sacristain à son poste La bruit courait hier matin, dana. Lrgenteuû, qu'un malfaiteur s'était ntrodult, pendant la nuit, dans la basilque pour voler la sainte tuniqua qui est, comme 1e on îe sait, actUeJl«ment xposée et que, surpris par le bedeaü, il tvalt bîessé ce dernier.

On précisait que l'agression a' était .roduite au cours d'une ronde Inopinée [Ue fft le bedeau Uaaa le but de t'a&auOr si le sacristain, chargé de veiller t précieuse relique était bien à Bon teste.

Cependant, Il semble bien qu'il .'agit à d'une histoire de brigands née dans esprit du «éuI bedeau.

Donc ce bedeau, M. Gérard Damer. igé de cinquante-deux ans, alertait l'aueur dUsirniilé derrièra un piller l'avait .ttaqué, frappé et s'était caché dans quelque coin de la basilique pour voler a. sainte tunique dont le gardien avait Uapatu.

M. Susst, commissaire de police, detata, aussitôt quelques agents qui foui!àrent l'édifice de la crypte au clocher ans rien découvrir. Poursuivant leurs ecberches, ils apprirent que le aacria- ftln était allé simplemant ..coucher; liez lui. au menton ss de Vsglise. En tout cas, Invité i, Kirter plainte, M. Damer a déclaré qu'il ^référait attendre quelques jours ncore.

LA MADELON DE 1934 iiU « PETIT PARISIEN » Au cours du brillant gala organisé u Palais de la mutaaUté par le Journal '.es mutilés et combattants au bénéfice e l'Union, des aasocialon6 de la Seine, cinquante-quatre

charmantes jeunes filles s/étalent dis- elfadtlon. des combat* tan ta pour 19a4. Et pour succéder i Mlle Liliane Darhan, Mlle Simone Neveu, Hadaïon de la F..N. C. R. de tut élue. Accompa- gnée d'une de sea démoïSellfis dhoaVile Ifarguerite Deray, Madelon de l'A. G. M, G. du Bourget-DraneyDugnvf et do MM. Pineau et Mvy, la blonde et fine Madelon des Combattants pour est venue hier aU Petit Parisfen.'Ttes cadeauï furent à a ces aimables jeunes: filles au nom de la direction et l'on but gaiement UOÀ coupe, la santé été gracËeuses Mame-

Au wuni flfl l'émtMton, 7 n. » et 8 h. 20. revue &*> la pr««M par M, Henry géra donnas par l'Hall* X^tUnr,

De 8 heures à h. M, Concert par le1 Eta-bliiuiuenti Tlto-landl.

STATIONS PU RËSeATI 1VKTAT («Auf Riili-j-r'*rl5). SU L 30. depuis la HlU OaTïBUî b~Jl9< *wîflrt ïu* (livret de MM. B, brier). iiational -et acnu la dJr*t*ioll de M. D.-E. Jneelbrecht, RADtO-FARIS a.fift) m.). 6 h. Ot 7 h. 45, 'culture physique*

h. et 8 h., diaqusa,

toti] Tfte old epiniiino Wheeg CHill): ZJflttfl et dit Snrdara (Ippoiitow ïvfl,now) Victoria et non kitMard (Abr«(Ptdl*)' ftapsodie slave' {Volpattfi; l'Oliteau riaiw ira bnia iCoaten) PiJHf «om ^ti^tw, iGliirfc) Dmtx Quitartê (ilfttto) S«J«( d'amour IFegar) Feuillet du malin n 16 h. 30, cours d'anglais.

LES COURSES Hier à Saint-CIond. L« résultats f K1X DES CLEMATITES

3. Soda (A. Rabbe) P 26 80 Katugha (J. T>iniiip*on>, Non plaHeby (C. PJnard II {C. Carratt) net (H. BreHiés> Vsrdllle (M. tarct) AHc« ri il.. ValxainwhJ Jéro-min (U Lynty Adonia (M. Lollierûur Tebesas. (A. ChéreÈ} Kamway (G. BrfdfflaiMi). Diatances pane ïahida

1, Tour de Bafr*t (C, Bouillon). 6 1& M 2. Châtaigne LA. ÏUïibe} 9 S lce (G, wyberg) i. La BocbeUe (A. A Ailé4 l«. Aliemand}. TBIX DE TRAPPES

1. (C. KUu) a ZC » LadY Râtelât Jli (J. iant) La Prière (N. Petet* C16 d'Or (G. Bridg-land> r BcMa Combinazïorm (W. Hol1. Taddy'a Double (A. I>upTitt> .»̃ !*̃̃•»̃̃ À M. ITanry ïtfaaaon, 1. .P 7 » RobLn des Bois (A. RabtM) 750 M 3. L'Orlfiamme IW, Slbbrltt) 4L Leto (C.-H, Semblât) Non piacés Bra&uro <G. Butorer) Oiftteau ds 'Fer (L.5 lonf. St^ partants.

1. OénïpL <H. M au eau > O » B0 Marylana (F. Hervé) Lh.,P U 60 4. Caasftiiflr* îa, Cafly^g-sat). Non pladln) mSusId» (N. pçiat) fUcarasua <1T. Hoch*tU) Itepeater (L, SUTVkio (CL Lombard) Céd«on (E. Mentel«t>. Distances 1 long;, 1, 1 Ion* encoP&1X EPINARD

IL Simon Guthmaim^P 33 60 2. KMçnâiefiW (U ChflatEe) P 38 B0 Flom) (Et. Hubert). Distin«s 2 long., 1 ïùûfvt encolure. Douze partants

FJtEE AV*C

1, Œctirîfl Mas dç Riyamï .G u » Mon <?her <J. Peverini) F 8 » SontiMiinM (R. Ricard). F 16 80 3. Safnt Blme (E I>erourj ,P » flyphar [W. B*.rtholtmxvr) Eadhîtd (A, Sourftn^ ïmpériaJ (A. TJfitotH Fuir Boy (E. Loriot) Hableua* (J. Thompson). LE GRAND PRIX DE CASABLANCA des apeclatpurs. de tout le Aïarac. I! a'eat couru an présùnc* du sultan 81dl Mohamined. et de AL'Hellea, d^Wtfué A Js résïdftncs, et p ét4 4nlevâ par CflfflKM, devant un M Onival,

Aajaurd'hui à i. 14 hmH NOS PRONOSTICS

Prii d'Arrn vendre, 6.000 fr,. 3.LVn> m.): Prix en rA<[u:t*J*« (ateepl«, bandican, 12.OW lr.f m.) Le Erouaté, Q^isujwÏ; Prix M«llbé* <ateejMe. ir., S.fiQÛ m.H Agitato, Prinoe Htnri.

Prit de la Gaceoffiip (bi., htndJcAp, Prix da la Garenne (haies, lr.^ 3.100 Trlx Mâche (trot mOTtt T.ÛOO îr., iK» mètre:!) Harlette S. Hop,

commuai que 18 h. 40, cours d'allemand.

19 h.r causerie

16 h. 30. chronique* dlvarats.

PARIS Il. T. T. m. 7). 8 h.. Inform&tîona.

10 h. 30. t*t[4lfl de Toulouse, concert. 16 h., relata de la staUoû coloniale,cert.

17 il. GOUrd d'ftïi«&lBAd.

18 h. 15, radio- journal.

le h. SU. dtSqtWa.

20 h., dlaquBfl.

10 h. të, causerie.

le h. 53. causerie.

h. B0 (voir station du réseau d'Btat). RADIO-L. IV <S«* m. 5V –> 13 h. concert

le h. a5, ta demi -heur* mante! Mai», h. et 19 h., infomM-Uana.

EADIÛ-VITUS m. 6). U.,

BULLETIN COMMERCIAL; MUnd AUX aisTiiux oi LA villitte cou». «riaïLa oi li cmunBsiojT m« oovbi

Tua. S.45S 52^.428 17? S70 47 Mouron* 9.SSS 1M3379J 2SS t.SSU 860 Ji.9Oul2.S8fi S^o «A Csnra ûfflcl< S\ S* quai. otflo. ttXtni V**UX + W30 MmiURie,f 16.30 13.40 lO.fiO 1T.W Porcs. Ê.« 5.2S 3.88 7.14

lit* 4 60; deiwfème «w^ltt 8 70 troi- 3iâme qualité, 70 brebis, S10 1.MO Icb 100 klios, poids net, On cqt« approiinutfvwneJtf !«̃ 60 *#<» t nitures. 200 a &Û. G^nfaxea. Choix, A 410 ordinaires,

vlwde Bauciison, 120 à 170.

Tftdtea-nx:. Extra, 3ffi fc ordinaires. 300 h £»0.

M^atoin, Choix, 670 à TlQ ordfnalraa, 550 & 670.

Urvbls. Bonnes, <W a S00 Ti«LU«s, h, 330.

Porc* <1« kilo peMa vif> extra, 4 ft 6; Midi, a &o so OMBtTi ad à io «cu-iû >3* PATduetH, 3 70 à 3 flO coches, 2 50 à COTONS, i, fffiTTff; 7 mai terme, les 50 klios mai, 226 Juin, 334 ̃ Juillet 23S aûftt, 226 B«ptexnbr«, 225 octobre vlei\ 229; février, mers, avril. 2S9, CAFES. L« mat terme, les S0 ktltw mat, lfiS Juim, 168 Julî]ftt. août. tSS septembre, 1*8 octobre 165 novembre, 16S -dScemEre, lfiS mn- rier, les férri«r 185 mars, 1$S,

SUCHICS, Ten44twe îourde. Otrver- & 233 P; juttlet. Î2l M P août, F septembre, M P J <r<» 50 P. Cl&ttîre: courant, B23 A Pf juin. 322 fe 222 50 P; juillet. SI Pi août. tobre, A 306; 3 de uorembre, 306 REIGIiES. Incoté*. AVOINES. Courait. t1 d 40 P Juin. ̃ 42 S0 Pf Juillet, 43 BQ P août. 44 M P 3 d'sdût, 46 *t 45 » P ï î d« sapt«mb«, P: d'octobre, il TO et BLES. tncôtéi. Cote officielle da Wê dlepanfble, 1M B0. rendu Pari»,

FAHINES. Inwtées,

ALCOOLS. Courent, Soî P, feito, 515 P 3 de juin, &12 EO i 520 t Juillet- août. 0. septembre, S15 P. FARINES PAPTIFTABLES. Les f«rines p*fli{iabïes valent actutllBnieajt 303 francs les 100 Itilos (prix maximum), AUX HALLES HIER Hauwe de 0.EO ait kilo sur quartier de derrière de bœuf, 9 50; de devant., a 4 aloyau, 7 & 17; train «ntitr, 6 a, IL £0; dâ'O 90 sur le veau, 6 K> & 12 50; î!e O.ÈO HausRs de 0 50 sur ]ea Fêtas da pora, T t 9TE0 i«i longefl. S à 13 M,

a 1S: t-rdijïîiire*, & i 12: et 1ea œuIs de 1S0 a 360 mine, Les brLs moyen moula valaient & u <Uz&lna, d» 100 & 1.4&U laibtrtu de Noiroandift, a, SM- divera, marolllea, 500 A 750: gournay. 100 & 13&i neufchAtel. 50 à SOi pont-l^vêque, a 33G; mont-d'or, 80 30; chfrurçg, h 325 le cent. l'emmenthal. 650 à 900; comté «t dtvMil, 600 4 900; framafn Ucu 360 à B00; munater, 400 à «»; jWH-ialut, 1

J2oma«0« Ilottff^^«*« Chant roumain (3anbouiienfl* <Beriaai) J^t» d'tuoli (V, Swtto> i te <3(riou*«t (Bôreil+--if*i*r (Heliohar) ou Tvralmel> Scftos du Tyraï (Servan) j?n touau rot de lu nota* (Jaffer) A ta manière de Radetxlsy (S«da> (Burke) (Boyer) le ftoi au cirage Bouquet de valses (Bach) vHll» (Pnjnl) Sa mar «tnmaj dn ÎVdLfer (Retter) £tmitt«fe U^lnd^ay) A crlls qui viendra (G»tjftrocJiH) Vieux Camarade r*th) Blwndtni&nv (flonucyer).

19 b.. Der Frri/ichûtx (Weber) Jcis .fit <A«3pîffhl): le BerMer de {Roealnl>; la Traviattt CVerdi).

h., Eitcamlllo (Gilbert) Sicprio rf'J*. h. 1Ç. A^oeritr (tVAixnkaJin) A'iwCu* (Cbôpta). ï jlricor> <Sadi> Jfenurf CBoccho-

Zkpuli ^nc k photo d'amateur ni. tous 1a perfectionnement i toute! lu taaovuîont, tout la maiscei bits par Kodak Tout été dans ce lent but Simplifier la photographie et murer le med» nifene i «ui qui n'ont tueunc cûniiaîteaflŒ de k photo.

UNIE VEKTE-SAISIE

PROVOQUE DES MANIFESTATIONS A 14 h. 5, hËer, membres environ du Syndicat dee hôtelier.. et de. membres de groupements corporatifs dlv«ra se sont rendus devant 1'étude de Ma Karoux, notaire, s, rue du Louvre. où devait avoir lieu une vente-sfifaie conaernant M, Lagaeiw, hûteiier, rue du Cinquante manifestant@ réussirent à pénétrer dana l'étude les autres manifestants se massèrent rue du Louvre arrestations non maintenues ̃ furent ûpêtéea pour refus de circuler. D'ailleurs, leë maiûfestants se disperqu'une était intervmufl: Cârtaina d'intra eux se rendirent alors fiS, nie de Rivoli, devaht le cabi" net d'affairée Prost et poussèrent des ïïH,meurel criant < A baa les voleurs! saurs da l&^uell* quatre agents bat été blesses.

H y vu quatre artestationt dont uns et* maintenue pour coups portés S.UX ï*tdi*!na de la paix

Pour Ici artittM frus-i* cMrMon Le comlt* d«* (êtea d« crgaTif»atloTii W-rfMBiojitioJio» du »î»ciB«l« continue ̃p*cti/*es d««tln-âs -aux «rtlster wi ilttiation si

Le premier îftJ* 4* p4*ln ajr Hr& dont donné dcoisitA tn«rer«dit i » ho 30. tu théâtre de verdure du square Sa[nt-Lambart, dans ia XV* fcrîirtea d'attractions. de chaut, de dame, lu' ira lmçH>rt*nt çrchestrç. accompagTiera.. Le omit* «*p*t* que t* publie. trut ot ret* ],or. dernier aux artistes présentés, tUnâft cttt* iBiwSft plu nombreux encore. &fln d'accomplir un« bonn* action tout en passant une -.il- eoïrét pour le prix extrêmement OKMÎÎque de 3 frB.n« an du 5

aelftTflur» l la matn pour et et cora2b» »aï. adr^swes et A ?our ta 8t modèât* du trg. rail a-rati», to-ira gtabllM. B. Sertit. Lyon. IMPORTANT GlîOUFBi D'ASSURANCES »mpl*tajit ses dispose de p4ua. ïcatea d'agents sfinftraux pourant par SAUVRCARDB^ fi. rue de la. Douane, Paris JN DEMANDE p. difltiser n-ouveaui art. i>r*v, nomb. repr., 2 sex. Grosse com. Eth. p. dëmonstr. Etr, Hfoet. H9, fg St-Denia. OOPTM MV I.BÇQga

XŒAS. JOOÏiNAUœRlJB, ttea diiecticnB. t>ém. FartBiengjJj^j^. VaJola. Ceût.| 8S-aO. ̃TÏOIALWslS PQTTfe rOJkAtWV FORAINS, MERCIERS, BAfiAPii Dentellea. Broder i*s. Ooliflchet*, Ïî1d4a.ux, y'jJJ) BRBTOJJWERIE. PARIS (-i«).

:oa!ld,. Enquêtes^ rech,. filait, t, de l'Idy,

rini> JÎWffé« (Fiw^) Arthur On a l'btffiri* tGtWÎMTt),

22 h. et 23 h.r UMMiqu* l«sère et dsnsfca,

RADio-TOUtOUSB (336' m. 2). 8 IL, Il h.. U h. B, 18 ho 15, h., concert, 30 h., fdsr <3i*«î tGrjpffi teo Jfottr** ^anl^Ufs (Wafnar) Thaïs (Massenet> Su bordée (Bousquet) Chanteur ïnctmitu <Bylviano> J'Inprcmf délit (îïollawidftr) Ir eat charmant (MorettO îa. H«*t>cto> (MMaager>; Cùrmt* (Bizetj; JH-ijnon (Thomaa> ifanou (MaMe.net).

:Il h,, t**t *rtr de rdturtfton {Morettl> Marche des gardit» blancs (Jureck) Paie et fraternité (DeUrtCq) J^oJha des benflaIfls (Prod homme).

22 mélodies ni*r« (Schubert* Ramana* &>wn soir [MoPfttti),

22 h {B«rf;er} VaJH d*4 IfhflliiJf* {T-flînr) Valtd d'en- (l^orU) la fto»« noir* lAubry).

a3 h.. operetln te Paym du toloii (Scotto) Ras* de Tfiwçe (Ronib«rg> Z>evj: -ffifte 4e ;(«tiM (Bonatxkyî fa Devis» û* la DnJrarn/ (Marrkehen) dsna«a. 0 h. H, Au Causait de minuit, fantaisie

FONDS DE COMMERCE ET NDUSTSffiS

CAFE-TABAC

I.MO hablt. Fsoe mairie, plOA^ d«s Tète*. t-oy. 1.-WXI. cotïT. par 6 n- A U 1 Ç AAft p. m. -f-% a Bien. et 300 +-r/c a dame, Lag* Vr av. Nord), URGENT. M. NICOLAS et Cet, &St ig Mo»tn« oarr. Jnrr JP»^, bmtt. Sit, flte or IMPORTANTE SOCIETE VINICOLE demande gérants pour tenir D*P4t» Tins, Paria, Banlieue. S. log. Situât, fixe. Gr. CAVES EEX. pt, U HrpgllUq'W, PARIS. ne "Ji- C£*t«aadil)l, à rAïtlS

1.500 ff. et 3 a»r raeette. Faut fr. CAPITAUX

COÎÏSITL-TATIOÎÎ GRATUITE

I.OriS, tua de ChAteanduai

f Ullbl i, jBtu intima vta. Rem, hBEÏ lnunW, SjïifL. "CUBA. DE FBK, rUntl ^rEg4 3j, r. Çe^ntimni. --il* HallM ETÇDKJTILT-OT, B, r=m M^n^Pf. PARIS PRETS, Propr. Vanta tn fonda éommerct. Aide pour a'étaW. K«a9> "3*t V«ir ou écr. PIC, r. du Fj'-St-PMiiw (G. Est), Pari» Pb^TS A fABTJJÏ DE VILASCH s'établir ou prendre gérante. TAUX BAS. Il. rindu&ti- Aqrlcuit.. Foflctlmm. Etude arat. DUROC. bd Bonne- Noht*1 le, Part*. IF PRETE Faim a. ̃9S. -qui i._ Parju. IS" Olacifere. et toutes personnes aolvabl^s, blwfstloii. CAISSE MUTUELLE JM, inB^9âSi CHEMIN DE FER DU NORD meneur étonné ltur aspect le plus aourlant. «n acquérir une en lildtffc«bl«. Cette vialtt. vçus pdurez L'eflectusr faoll*- ni. le jeudi 10 mai (Aactlmlûn), vea 14 ïsns passeport, &u déport de Farii. Amlatu. Demander tous ransâlimementa «.nx cbBts d« princlpa-les gana «t aujc bur«ui Nord. Saint-CWiïs, Amiens, Lirtle et BouId* fpjg, ?rii du voysgt adî«r et retenir, ton* fra.it compris r ^hem(n de Tfr et blttenu, visite de reîwa, au départ d« Paris 198 francs d'AmlMB 175 franc»; d'Abbevil« l£2 fraaca de UUe 1M (r. MOUVEMENT DES NAVIRES du Nord, Four Nair-ToTlt les 12/Sr \jia Cherbourg l«a t.'î. 10/fi. via le Havre S/5 via Msr^am*. Pour KontrAftl te 12/5, tria i« TlKtre. Pour Baltimore, le 14/5. nid le- Havre.

RIME

ET ETRANGERES

LATÎGEÏÎBEKS (4M m 7 hVIH, musqué mllltiUK. 12 iieut**» 41«u« 13 heurea. musique iâgèrft.

heures, i* Payiufn, un fripon (Orornk.i; t>«nd»« (Snwtuia); Ffl«te fintte (BUet) Polonaite m fa T>tflj«(r fwiÉ.biawaky); Motfha (Blotov>; SvhHa, baQat 23 heures, danses,

DAVÊNTRT (1-500 W.V 13 iWnl*a. convvruntion, valee (Conrad) OrpatmtHx (WaJlcer) ̃ Marche honprotse ^Arlln) Vois* joj/ruae iJ. Slata); Mdrtini^u* <F&rslna» r ra»ûo {AJDeniis> JHStïw'i (H. le h. 20. airs le Xwmsay la.AiwfA «W h. 10, soirée de Variétés au Lowton Palladium, en pr««nç# du ro4 et de lai rdne.

22 h. 45. orciiastr*.

LUXEMBOURG (L3M m.). 7 h. 13 h., 19 h., .concert.

21 h. 3B, Carmun (Bla&t); Sabbat infmmai (Dowei) Gavotte eaptftv fBorUtlffiriCB) DwunrMex Uos. fltrauia); fivrïtu ffitnt a £l 10, CdWffrto (Etîar),


Une Femme de 60 ans écrit

"Cette Recette

M a Fait Parafe 20 Ans Plus Jeune"

En deux mois, toutes mes rides disparurent

A mou Age» il était naturel que mon visage soit ridé, et cotte pensée m'a souvent consolée. Un jour, cependant. Je Lus que de remarquables essais, d'un nouvel Aliment po*U la Peau, avaient produit d'étonnants résultat». complètement disparu en ti semaines* Hésolue en faim l'eiud mot-même, j'appris que cette récent découverte Aliment p&ux la Peau. Après deux semftïnoâ. pus constater une améliora* t4bt«9 des ayant disparu, mea jeune E ». Mai ntenant» ma peau est clair* et délicieusement voûtée, aussi Je Age Ressayer la Crème Tokalon, Aliment pour la Peau. C'est un œerveitteui raieunîrdç jour en jour

garantissons contre Francs que la Crème Toka1on, Aliment pour la Peau, aontfent lea éléments nutritif» granda spécialistes déclarent indispensables à votre peau pour qu'ttte se la moindre ride. Employez la Crème Tokaion, Aliment pour la Peau, de vouacoucher et ta Crème Blanche, le matin. Vnus aérez étonnée de l'amélioration» même en une nuit. D'heureux résultat» sont jrarantis, sinon, l'argent est remboursé.

Horoscope Gratuit

Vous ne devez plus ignorer VOTRE DESTINÉE T^ prolwmqr KETODJAH, le orÉmS Astrologue jkcieattftqiia lriTidou. affina* qu*

Il -roua .tous «ateur»pt,Tmn :fiuidBrB paur **&« ̃m ••cr.t. d* l'lnd< «lui toi» «̃matiront d* «m» faire -im*r FârOSMOl (i, i'ilro choisi.

FroleastLir KEVODJAH, «-vi^ aïB

80. ru» dv Mont ValàriBo, SUKE3NE3. f^anc*

nèiTiPtvt. procureaf le ïpnnneit, J.t.ir usage iortifie les le m« et ses suites, mime os urcier» et rc- bri]eâ. Notice gnt. La. car* 1 5 if, T- L^inU. rOLSSELET t HOIST-LE-MC (Sri«ijjJ

FLACON GRATIS

D'UN REMÈDE CONTRE ÉRUPTIONS DE lA PEAU Gela paraît incroyable, premièrea ^outtea du Du D.D.D. mangflalflOTi ou jrrttation de la. t>«au, car il: pénètre ud dalis lits pOr«Br tue disparaître J'eczéma, piaî? dM janibea et toutes autres maladies de la peau et du cuir chsvelu. Il ne manque Jatnats de donnep un Pourquoi E-aHilt il. SfoW. 3*8f ryfr P»intLe D.D.D. thei toua lea ph«.marient Fi-i 6. le flacon.

ETES-VOUS NE sons une

Mauvaise Etoile' GRATUITEMENT

'Le proîegaeur OX offre de TûiiJ venir en «««ret* de ïotr« rte. X4 professeur OX, qui est dîllb sérieux, dan Hstmlrtenpji rta tinl-r*

voua guidera dana la vie comme il le fait pour d«a peraonvoux pouvez envier la fortune et :le-Õ amours. II o simple du prdfe»*e«r OV vont atdM-» jt roua taire Menu pu qui Sessur votre et la.Ion de- calculs. depuis la data de votre naissance lusau'a

JOUr, lui permet de voua dire ce que v»ub fareft demain. Cette étude précisa voua aerù envoyée gratuit ement par le profeflBeur OX lut-mem». nom. prénomi date de nalxsjtnce et adressa: Joignes, voua le voulez, 2 (j-anca en timbree-posle pour" les Trala de rédaction, frofeaseur OR, Service 860 K. 1, avenue Pilaudo, ASNIEEES (Seine) Maurice Bernard, Ittp, tftr,, T. d'En^hlen

r RÈGLEMENT

LA CERTITUDE feiartagtr '.000.000 LA POSSIBILITÉ de gagner 5.000.000 il rau* tuifu* d'acheter une boit!: de cWtin de<« «KceUtnTt pr*dult, LUX-PAILLETTES et PERSIL- «nd «jU'un p.m de trUX-TOlLËTT£,^OPit voui vnm chujue jour,, SUJET DU CONCOURS >

Publie woui uuliKïimjtnd(cmtnl notre LUX «o> déliait, notre PERSIL. pour tout et ci notre LUX-TOILETTL pour votre toilette

question principal*. Dïlu-nouv San* Ordre tau employer, chaque jour, ce* diJffmtf produit* commencez -vout pu Voii« toilette pernnnclEe, ou pu fe de de motte liage. eu Répùntlti en Votre wdlt de Li d» ̃rc panse* biffa la li«e lypç d'flpre* Jaquette !en prit seront 7 question ptincipal*- Qud «fc p«™ Em. 3 piodalrs ̃ PERSIL, LUX-TOILETTE. LTJX-PAILLtTTES. ttM qui, d'ipli* voui, est Le pLui inJiipenuble danf rpirc ménage :Le produit le le pki de voix la. ja rcponic type à £ctio Pour nou* de dépactaper T» «t-dt^uo. (I trt cbKjWWï* 1™ queition «ubsidiaire. 10 inotT itmpln ont été infeirsupprimés Jarrt !? Ecxle du i£glemenl dv concourt ce tr »'*«it de icconrtiWcl de ces diw mou qui fltfl âî cTwiri» p«t Mv" Piene GUEST. la A Paris. L'otîgîrii) du son campe» Ion! lai 3&jnolisuppiiméi a été pWéiciu Kdiéi.parMaiircCUESl^ iuiv«nt Févnri 1934 il dûment ̃ '̃ ̃• ̃ ̃ • Vous devrez »ini ni luicftarge Chacun- de» moi> menti onr été prévue dan> Je coupon de repontç U j Le* moi* intervertit, rature» aiim que Tr» m** flEtAle* w bmI pu le vainqueur der Tour de France «• 1934 ? {Oli^- «preuva étant de 4.342 kme.). Ce ttmpi officiel las celui puthç par le journal "l'Auto" et icmia erul de- bue au

Uo« caravane PERSIL wivra le T«k de Fiuice rt l*w» 1 Pour CD vu* cakuï». pou* vou* indiquons qm te vainqueur de Tour de Fiance en 193 MAGNE .en J 77 Heures. 10 minuM, 3 i«iwd«il« 5.095 Ecm* que cooipott*4 cette épreuve; «n I9Î2. LEDUCQ ea 1 W hewie.. 1 1 r™nu<em, 49 ie«H.4« le. 4.520 Ln» es I93Î. SPEICHER

AS COUPON DE RÉPONSE 1" QUESTION PRINCIPALE

Classez les 3 produits PERSIt, LUX-PAILLETTES. LUX-TOILETTE par ordre de leur emploi journalier

i__ 2 3,^

2-' QUESTION PRINCIPALE

Des trois produits PERSIL, LUX-PAILLETTES, LUX-TOILETTE, Ta plus indispensable dans mon ménaga est le

QUESTION SUBSIDIAIRE

Les mois supprimés sont

2-: QUESTION SUBSIDIAIRE'-

La temps officiel réalisé par la vainqueur du Tour de France «ara de: heures minutes secondes (Écume tues trsiBLnreNT et s»ns r*turei

NOM NOM^Î:

ADRESSE ADRESSE .>>• IIIIMIirillT Ps< *f'» *°'»I>It, 1* coupon 4» r«poiua doil «t'a oErii'gofoir«n<!r^ pures doivent élre prél«»*ei sur tes emballages ou boires des Iran produits qve vous achèterez <d«i votre tour- «mur. le. 3 découpures ainsi prélevici devront *rr. calléai au bas du toupon de rèponi..t non pas .pio- rt1*m Les liaurin#» rsaroduit»! ci-deiioui en réduction ne rtwroient 6ien «nleftau *tr* ccceprè« eo aucun ça*.

féafca » 147 Ii«a»f, 5tr-Wct 37 ^™J« W 4.395 W Le. réponin leront cUiiéei chaque jour tuivant leur «tdre d'animée <k timbre de la poale fmmM foi) et <Un* te cm où tt y munin <wwç eî«t ci-cquo malgré la deux questions mbiïdùùrf** c'eM l'wdce d'arnvée qui Tei départagcriu

M cit dam l'intérêt de chacun de répondre Itf pliw tJt

trtKOM** trt té*et*é Sun tMWftimatcurt de. toute U FlMCt J'Algérie, U Tunisie et le Maroc.

AtL 1. Pout prendre part i ce concour*, if c*t (^ •OU4 p«m< de fiallii*. dVfôyw ta féponw, non ncamqiftndée, itic dn Imtlelim nguracit tue tel cnnoncei de.. ou ̃ut In EpuiN« de r^-poiiK que vour irtwivwçr th*i voHC fouraîa* ̃cur à à no» Emlitub- Peint du dans nn nuarant* Pcrnf. Art. 2. Les querïioni lubadiaiie» ne Krvent qu'a d^poilAfer le». concurrent! ex-squo itif l«t qimtioiu prinçïpâkt, flùii il «t. tout peine de nullité, de Ici ré>audr# pour que ta réponse il (j*.

Art. 3. Chique répûrwe nr de»t* que k rAiHetin de COnCOu* tîn»ï que la 3 déMrtpuce* delLUX-PAILLETTES. LUX-TOILETTE. PERSlL(«n.bUbl« à «Iles ™^> Artt Oi«(Ju< çtiocviiteni dtvm, sur de réponse le du Emirniiscui'. çheç Dam l# Cah Ou 1r concurrent («tait «w achat âaiti les i Art. 5. Unt ftiême p#f *« peurtent de répontcl qu'elle te dcfict. qu'elle jttgnt à ch^cun^ ttntnt aux Nouvriln Savonne*:» LEVER & LA VtEItGE, REUNIES de prendie part au picsenl Art. T- Le répor»*» n«<#rom idmi'ifi qu'a paiiîrdir 16 ÎVfar» (d.it de la Le concou»i »rra clat le 30 juin 1934,. demie* •ei devront eue Savonneries LEVER & LA VIERGE. REUNIES. de 1. République i AUBERVILL3ERS <S«ine>, CC drvrœit porte. 11 SERVICE CONCOURS". 4 ArL S- Tous envoi* Frtenunandè» eu ïrwufGiimMenB ifrtlù- A«. 9. • Tmu, l« opéiairon* de, ® ̃* d« etpermanentde MaitreGUEST.huHsiec

pure et »î(nPB> du pFcwnt rê^emeni* Art. Il. Ln réwh*» du concoure Kront aiacmn in y ..nI de leur prii, ainb que le ou le» billera de 1. LOTERIE NATIONALE qu'iU amont pu a**™.

a* ;ia" ̃*

FOURNISSEUR