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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1934-03-29

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 29 mars 1934

Description : 1934/03/29 (Numéro 20848).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

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Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k628046j

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 05/12/2008

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Le cabinet Doumergue va prendre

les décrets d'économies Un sacrifice général et temporaire peut redresser la situation. Sinon, nous courrons à l'inflation avec toutes ses conséquences

La mise au point des décrets-lois destinés, en réalisant 4 milliards, à assurer l'équilibre budgétaire et, par vote de conséquence, à stabiliser notre situation financière est entrée dans sa dernière phaae.

L'ensemble du projet va être soumis à M. Albert Lebrun, président de la République, au conseil des ministres Et-d'ici quelques jours les décrets contregignéa paraîtront au Journal officiel

Les ministres se sont prononças tour à tour sur les mesures qui atteignent leur département La pluepart d'entre eux ont donné leur accord. quelques points de friction subsistent, notamment en ce qui concerne la réduction de la dotation des assurances sociales. waia il ne s'agit que d'une somme relativement faible. et l'on ne discute que sur un principe dont la nécessité peut faire justice si la situation s'aggrave.

Où. en sommea..nous ? Pourquoi faut- Il que le ministre des Finances & pallie a-t-il fait voter le oudgei sait contraint de rechercher encore 4 milliards Peut-on Boutenir de bonne foi qu'un gouvernement, quel qu'il soit, fût-il de trêve des partis, envisage de gatt# de cœur une révision des contrats passés entre l'Etat et ceux qui Le servent ou ceux qui prélèvent sur sa caisse des Indemnités correspondant à l'age, aux services rendus, aux blessures reçues, aux maladies contrectées au service du paya ?

Depuis juin 1932, la vie politique a'a-t-eile pas été dominée, chaque jour, par les préoccupations budgétaires Que de discours prononcés contre le déficit, contre les libéralités passéea, que tous les partis votent pour mieux regretter ensuite de les avoir votées yue de projets tinaneiers qui devaient éteiadre le déficit et n'ont fait que le réduire: dans la mesure où les Chambres, tenues par leura promesses électorales, en laissaient subsister une faible part

Aprèa avoir voté la conversion et la réduction des dépenses militaires. le Pariement n'a marcûé qu'à pas compta dans la vole de la déflation, espérant confusément que ta crise cesserait, que le mauvement des affaires, values fastueuses grâce auxquelles la trésorerie s'engraisse..

Il n'en a rien été. A cette époque, M. Edouard Hérriot pouvait proclamer justement Noua aooimea un 4£tat pauvre dans un pays riche. En 1'Etat est pauvre et le pays ausai. Quoi que l'on dise et que l'on fasse, qu'on ae révolte contre la déflation et les économies ou que l'on fasse miroiter le mirage décevant d'une deuxième inflation, mesurée, ceile-là, dit-on comme ai l'on canalisait les torrents et les chutes monétaires, il faut prendra parti sans retard.

En ces matières, le sentiment devra toujours céder le pas à la raison, et le rftnea, qui porte la lourde reaponsabilité d'un. avenir incertain encore, a choisi sa voie.

En optant pour tes économies, Il en- gaga sa vie même pour assurer le salut du pays et il compte que l'opinion comprendra que t'heure n'est plus aux demi-mesures, mais aux réalisations immédïstÉS-

Les économies qu'il va proposer atteindront incontestablement toutes les parties prenantes du budget, sauf tes prêteurs. dont le tour est venu déjà, et qu'U faut tout de même ménager, si £'on ne veut pu s'interdire tout jamais la possibilité d'emprunter. Ces économies, que auront-elles ? On en parle beaucoup, mais les chiffres fantaisistes. Ce qu'il faut retenir, c'eat que la chasse aux abus constitue ta baae de t'action gouvernementale. Qui donc pourrait s'élever contre une telle volonté de nettoyage et oserati demander que le pays fasse faillite pour. garder aux profiteurs de règlements vieillis leurs sinécures, leurs postes confortables tuunt quinutites ?

Pendant trop longtemps, pour éviter de porter la hache dans les abus, il a fallu augmenter les impôts, mais on est au point od l'impôt se dévore toimême, où l'augmentation dea- taux amena la diminution du reveau, contre toute attente. Et l'industrie, le commerce et l'agriculture ne peuvent supporter de nouvelles charges dans le moment où la crise économique se développe dans le monde entier.

Sur les bases actuelles, le déficit est continu. Pour le combler, il faut emprunter, puis payer des intérêts, qui, en augmentant les charges de l'Etat, accroissent le déficit, C'est la descente impitoyable vers le néant, avec la culbute, le jour où les prêteurs, ayant perdu toute confiance, n'osent plus risquer leur argent-

Un effort de redressement est encore possible. SI l'on veut comprendre, il n'est pas trop tard, mais ü faut le redire après tant d'autres tl n'y a pas de temps à perdre.

Le gouvernement a fiûreuaent e.xaminé l'autre solution, celle de l'ïnflation. n se refuse A l'adopter, car fi pense qu'elle ne provoquerait que des catastrophes. Il faut donc choisir entre un sacrifice volontaire et passager et la ruine complète qui résulterait d'une nouvelle dévaluation de îa monnale. Après la tranc à quatre sous, le franc A trois sous, à deux sous, les trattements et salaires ampvtés de 30 à la misère installée dana toutes les classea laborieuses, avec ses conséquences. hélas trop prévisibles. Il faut donc choisir. Pour les gens rai90Hft&ble^ et qui, malgré les critiques qu'on peut lui adresser, estiment que ce régime doit être défendu et coaservé, le choix est fait.

A ceux qui cherchent l'aventure. il faut dira qu'elle n'amène pas souvent ce qu'on en espérait.

Répétons-le. La décision est grave,

MIEL GennBJn-Mfkrtta H

et ¡'heure est venue de la prendre. SI la gouvernement est compris, est suivi, il pourra entreprendre la réforme des administrations, pour le£. rendre plus efficace» et moins coûteuses les plus vieilles maisons peuvent être rajeunies sans qu'il soit besoin de les démolir. si le gouvernement n-est pas entendu, Il sera contraint de se retiré*, et de laisser aller il l'aventure notre destin financier.. Chacun sait que les sacrifices ne sonc jamata acceptes de gaieté de cœur, en Franc*, quand il s'agit d'argent. Mals chacun doit aussi comprendre qae d'un mai relatif et temporaire peut sortir un bien général.

Nous sommes à l'heure où l'avenir s'engage puisse le pays savoir choisir

René MAZEDU3R

LE CONSEIL DE CABINET A DISCUTÉ LES DÉCRETS Le conseil de cabinet a' entendu 6ler un-exposé de M. Germa ïn-Martm, ministra des Finances, sur les mesures destinées a résoudre le déficit dudgétaire, et qui feront l'objet d'une première partie du prochain décret-loi. Un accord complet a'êst affirme sur les principea et les modalités de ces mesures établies en fonction du programme. de relèvement de l'économie nationale. Elles seront arrêtées aujourd'hui en conseil des ministrea.

On a beaucoup parlé de ces mesures, mais rien ne transpire au ministère des Finances et il convient de s"armer de patience si l'on ne veut pas donner de renseignements Inexacts. La discussion qui a suivl l'exposé du ministre des Finances a été tort longue, divers membre du gouvernement ayant développé, comme M. Marquet. des conceptions personnelles, touchant les essurances sociales. Mais on peut escompter que l'accord nécessaire va intervenir.

Il faudra ensuite mettre les textes en forme, ce qui demandera nécessairement quelques jours.

Inorganisation judiciaire

M. Henry Chéron, garde des Sceaux, conseil des ministres, le projet de décret relatif à l'organisation judicialre qui a été contresigné par M. Germain-Martin, ministre des Finances, et d'où résulteront de notables économisa dans le budget du miné¡.tère de la Justice.

Le contrôle des armes

-M, Henry Çhéron et, M. Albert Sarraut, ministre de l'Intérieur, ont Antretenu le conseil du projet de décret qu'ils ont préparé sur le contrôle des armea et qui a été soumis au conseil d'Etat.

L'expoaition de rat déeidée Le gouvernement a décldé la participation de la France à l'exposition de Bruxelles et n'est prononcé pour la réalisation de l'exposition de à. Paris,

C'est bien M, de Cardenas qui serait nommé

ambassadeur d'Espagne à Parie Madrid, 28 mars {dêp. Havo*.) On annonce de bonne source qu'au cours du conseil de cabinet, le gouvernement a pris la décision de nommer ain-

1 m. de CftMenM y Hn4TïEtie* de Rivai bassadeur d'Espagne à Paria M. Juan V. de Cardenas y Rodriguez de Rivas, actuellement ambassadeur à Wasbjnp. ton, diplomate de carrière distingué.

LE MEME

DES H1EINT5

ENTRE HUIS UNE PHASE FLI5JPE

M, Bat'thou a rendu compte à M. Albecf Lebrun et à $ci, collègues du cabinet des heureux résultats de son voyage à Bruiellçi

Une note britannique rtmitt hier au Quai d*Ortay dtmande des précisions sur certains points du dernier mémorandam français

Le bureau de la commission géaérale da désarmement est convoqué pour le 10 avril à Genève

Reatré mardi soir de Bruxelles, Mo Louls Barthou s'est empreasé, dès hier matin, de rendre compte au Président de la République du résultat de ses entretieas avec les dirigeants belges' Le ministre des Affaires étran- j gères a également transmis à M. Al- bert Lebrun l'expression dea senti- ments de fidèle amitié dont lé roi Léopold m avait bien voulu le charger à fadresse du Président.

Au cours du conseil de cabinet qui s'eat tenu hier après-midi, M. Barthou a renouvelé cet exposé devant le prudent du Conseil et ses collègues du ministère.

Le voyage à Bruxelles, où le chef de notre diplomatie a été regu avec la plus exquise cordialité et de touchantes marques d'attention, a été non seulement réconfortant, maia des plus utiles.

Il a permis à M. Barthou de s'expliquer en toute franchise avec le premier miniatre belge* M.- de Broqueville, sur le sens et la portée exacts d'un discours qui avait produit chez nous une certaine sensation.

Notre ministre des Affaires étran' gères a, bien entendu, formule ce sujet des réserves qui s'imposaient. L'attitude de la. Belgique en face du réarmement allemand a d'ailleurs été définie d'une Jfaçon tout A fait satisfaisante pour nous, dans un ordre du jour du Sénat, et au coursde la longue conversation qu'ont eue Les deux hommes d'Etat, le malentendu provoqué par te discours a pu ainsi être entièrement dissipé.

Quant à l'important entretien Barthou-Hymans, il a bien porté, comme le précisait le communiqué de Bruxelles, sur le problème du désarmement et le réarmement de l'Allemagne. Entre le dander de laisser librement ae développer ce réarmement et l'autre danger, celui d'une course générale aux armemefata, les-deux interlocuteurs ont choisi 'délibérément, là voie d'une convention. internationale qui serait susceptible de conjurer ce double pérli, à conaition d'être solidement étayée par de substantielles garanties d'exécution.

Au moment où la question des armements entre dans une nouvelle phase et va probablement faire l'objet de négociations Internationales autrement orientées, il est particulièrement précieux pour la sécurité des deux nations voisines et amies qu'une complète communauté de vuea entre Paris et Bruxelles se soit aussi clairement affirmée.

Bien que le communiqué n'en ait pas fait mention, MM. Hynaans et B a r t h o u ont envisagé également, croyons-noua savoir, les moyens qui pourraient être recherchés pour rendre plus immédiate et plus efficace l'aide que les nations ^arantea des traités de Locarno seraient, te eas échéant, tenues de fournir aux pays signataires qui se trouvaient menacée. de point. on le conçoit, est un de ceux qui intéressent au plus haut degré tant la sécurité française que la sécurité belge.

Deux autres faits qui se sont produits hier et qui ont immédiatement suivi tes conversations de BruxelJea montrent que le problème des armemeats va entrer dans une période plus active.

M. Barthou a, en effet, reçu hier la visite d'un membre de l'ambassade d'Angleterre qui est venu lui remettre une note de son gouvernement demaadant des précisions sur certains points de la dernière note française, A la vérité, le Foreign Office avait déjà posé officieusement cea questions à notre ambassadeur a Londres M. Corbin, mais cette fois H s'agit d'une démarche écrite et officielle, ce qui, bien entendu, lui confère une portée plus grande.

Après avoir étudié ce document, M. Barthou en fara sans doute part dès aujourd'hui au conseil des tions britanniques appellent des réponses, on peut vraisemblablement s'attendre d'ici peu à l'envol d'un nouveau mémorandum français à Londres.

L'autre fait nouveau c'eat la convocation, pour le 10 avril, a Genève, du bureau de la commission générale du désarmement. Malgré les désirs de remtse manifestés par certalns pays. M. Heoderaon a adressé dès hier des Invitations aux quinze membres tle ce bureau qui comprend, on le sait, outre le président de la conférence, MM. Benès et PolitlS; ainsi que tes représentants ctea grandes puissances. Cette réunion aura pour but d'échanger des vues sur l'ordre du Jour de la commission générale, ce qui pourrait avoir pour suite une réunion assez prochaine de la commissioo elle-même. Ainsi i&a événements semblent vouloir suivre la courbe si finement t esquissée par notre gouvernement dans son dernier mémorandum au cabinet de Londres.

Lucien BOURGUES.

Tuée sur un passage clouté nue de Moscou. S'auto de M. Adolphe Robette, demeurant 208. faubourg Saint- Martin, a renverse, sur Un passade clouté. Mme Isabelle Bouasst, soixante demeurant 30. rue de Pétrograd. SI la seconde ne tut que légèrement portée à l'hôpital Bettttjon, y a *uccombé peu après aon admission.

La journée a été consacrée à l'audition de M. Jean Chiappe Après avoir démontré qu'aucun grief ne pouvait être adressé à la préfecture de police, qui a fait tout sdn devoir, l'ancien préfet de police a réporulu aoec précision à toutes lea questions qui, durant quatre heures, lui furent posées par les commissaires

La séance de la commission d'enquête sur les affaires Êtaviski a été dominée et, pour les trois quarts, remplie par la déposition de M. Jean Chiappe. L'ancien préfet de police, pendant quatre heures et demie, sans une mi- nute de repos, n'a pas seulement fait, avec méthode clarté, d'une voix ferme, l'exposé de l'affaire Staviski ytie du côté de la préfecture de po ce, il il encore répondu avec netteté, précision, humour, indignation parfois, aux Innombrables questions qui lui ont été posées.

L'impression générale qui se dégageait, d'après tous les commissaires, est d'abord que l'on se trouvait en présence t d'un homme de grande Classe, et ensuite que les services de la police judiciaire avalent rempli avec intelligence, ctwoyauté leur devoir d'informateur. Beaucoup d'ombres, quelques légendes aussi ont été dissipées.

Avant M. Chiappe, la commission avaü entendu le commissaire la sûreté générale Henné tt, qui n'apporta Aucun renseignement intéressant, et deux membres de aon bureau. u. MM. Vallat et Corsin, qui ont analysé le dossier des remises sans cesse renouvelées dúnt bénéficia Stavîskt de'\tant la juridiction correctionnelle; le r61e de MI André Hes&e fut examiné et aussi la singulière complaisance de médecins délivrant un certinoat

M. Jean Chlappe

amriibua sur lequel des prédsions seront demandées.

Voici le communiqué de la journée La commission à'enquiter réunie âoita ta présidence de V. Guernut, a entendu ka rapporta dg if M. Xavier ValUtt et Vorsin sur la mise ex liberté provisoire de Staxiiski en et sur les remises successives dont bénéficia l'affaire d. !S2fi.

Elle a décidé de suspendre l'auditiondes témoins les mercredi 4 avril, jeudi .5 avril et vendredi avril afin de laisser & son bureau le temps matériel de préparer, par l'examen des dossiers, lea interrogatoires qu'elle reprendra d6a le mardi 10 avrtl

.La commission ci prùoédê d l'audition de 9SM. Hennett et Jean Cftiappa. Elle entendra aujourd'hui MM, Zim.*

DIVERSES OPERATIONS JUDICIAIRES SE DÉROULÈRENT HIER A PARIS L'inculpé Bannaure quitte Bayonne ce matin

donneau, juge d'instruction. M. Ame

Jo-U- Terreur

clalr&fl, a ouvert hier matin le. barrages deux malles un* et un carton à chapeau saisis à Boulogne^urSein. domicile de Georges Main-

Celui-ci, extrait de 1a prison de la Santé, fut amené au quai dea Orfèvres à 10 h. -15 et conduit dana la cabinet de M. Anielina.

Lee scellés une folâ brida, on examina soigneusement bagages. Ils contenaient surtout une abondante correspondance personnelle, en majeure partie d'origine féminine, mais aucun document pouvant intéresser l'Instruction. Le magistrat saisit eu outre un passeport établi le 17 janvier puis prolongé, et sur lequel figure un cachet des autorités de S"oTk&3tnue en date du TA février

Un revolver tout neuf et chargé « trouvait dalle une valise. Four am<êm~rer ma sécurité personnelle », tpliqué Jo~la*Terrtur.

Irts scellés ayant été réapposêa sur lea bagage £, l'inculpé a EU reconduit à 1. Santé.

L'AUDITION DE M* GAULIER M" Georges Gaulier qui fitt, pendant puis de Mme Btaviskir a 6t6 extrait hier de la Santé, où fi est détenu pour recel

M. Mnssê Inspecteur général au mtaltte» de l'Intérieur

mer, Xavier GvÀchard, Ametinç et Peudepièce.

L'audition de M. CbJappe

Après avoir prêté serment, M. Jean Chiappt tient à apporter à la commission une déclaration d'orcrê personnel

Je n'ai jamais connu Sta.vlski; je ne l'ai jamais vU, en dehors d'une très audience de sur laquelle je m 'expliquerai en détail tout i l'heur*, Je n'ai jamais déjeuné ou dinè avac lui et Je n'ai jamais été au spectacle en aa compagnie.

Jamais Il n'a fait la moindre fibéralité à la maison de santé des gardien! de ia paix. S'il en avait eu l'Intention, tnutes précautions étalent prises pour qu'il ne put la réaliser.

Au surplus, ni directement ni indirec- tement, et pour quelque affaire que Ce soît, Il n'a été en rapports avec moi ou J'ajoute qu'à aucun moment il n'a pu avoir 1 lnipresalgUi soll par l'audience dont j'ai parle, soit par l'attitude de mes que la surveillance dont i1 faisait l'objet était auscapUble de Je veux ensuite prendre acte de l'appréciation formules dana son -rapport par M. Mogsé Aur -la préfecture de police

« Mon enquête/ dit M. lAoaai, ne m'a révélé de la part de fonctionnaires de la préfecture de police aucune trace de fautes lourdes ou même de. négligence apparaissant volontaire, a fortiori de naires paraît devoir être, mise hors de cauw. »

En ce Qui concerne le. préfet luimême. M, Mûasé, dana une nota gdnseaée au président du Conseil, en annexe à son rapport. déclare

< Ma conclusion sur l'enaernblt dea allégations portées contre M. le préfet de- police est qu'aucune d'elles ne saurait être retenue dans un sens péjoratif vis-à-vis de ce haut fonctionnaire. Sur cette note, M. Chautemps a écrit et signé la mentlon Il Approuvé. > Mais il ne suffit pas de constater que La .préfecture et son ancien chef n'Qnt pas manqué $ leur devoir je veux démontrer qu'ils l'ont rempli tout entier. (La suite à la cinquième page,}

des talons de chèques Stavïakl, et amené cat a déposé, puisqu'il a été mis en cause par Sylvain Zweifel, lequel afplusieurs mois, dans son portefeuille, les docteurs P. Vachet et Auguste Marie et non datêg par le» deux médecins, certificats: constatant l'état de santé lamenM" Gauiier a protesté contre cette déconnaît pas le texta des certificats dont a'agtt, qiVïl ne les a pas eus en ea pos- session, qu'ils n'ont pas été produite- par lui le 20 octobre 1933 lora de 1a dixneuvième remise accordée par la treizième chambre carrectionneïle dans les affaires Stavtaki-Labbé-Ijaforcade. Jamais je ne me auia entremis, a-t-lï dit. pour obtenir de tels certificats; ne connais d'ailleurs pas le docteur Auguste Marie, et je connais le docteur Pierre Vachet depuis, une dizaine Au surplus, l'avocat est lié par le separait-il, au bâtonnier de Salnt-Auban de le délier de ce secret.

M. Sylvain'1 Zweifeï eat revenu hier au cabinet de M, Hude afin de se conatituer partie civile dans l'affaire des faux certificats. Il a consigné une somme de 500 francs au greffe et a déclaré qu'il avait pour avocat M* Théveûot.

{La suite il la deuxième page.)

Ganller et «o« HTWftt, M Zevaèa

L'assaasinat du conseiller Prince Deux individus sont actuellement, l'un à Paris, l'aut à Marseille, soumis à une enquête très serrée DEUX AUTRES SONT RECHERCHÉS Et les magistrats du parquet de Dijon ont été appelés d'urgence à Paris

Une maffia

On en avait d'abord parlé un peu k la manière des enfants qui font devant la glace des grimaces pouf se faire peur.

Qui a d'abord pensé à ceci vne bande de redoutables « gangsters î- sévissant chez nous, parmi noua ? mancier

a-t-on Inconsciemment admis que la fable était une réalité, une réalité épouvantable ?

Aussi bien, cela importe peu.

Les faits. lea faits dont non l'kvidence aont venus, en assez grand nombre désormais, s'imposer a notre compréhensioa pour qu'il ne nous soit plus permis de douter.

La maffia ? Une vérité tragique dont chaque heure confirme l'eslflteoce et qui apparaît tel un monstre aux têtes Innombrables,

Le Froltc'a ?

Une des têtes sana doute..

Du moins la sûreté générale avait tout lieu de le penaer. Et c'est parce qu'alla le pensait qu'elle ne s'en est pas tenue h des hypothèses.

Depuis plusieurs jours eUe travail.lait silencieusement, mais avec acharnement, avec persévérance. Laissant a des enquêteurs parisiens le soin d'élucider le cas peu original de certains de ces mauvaia garçons, dont on est convenu de dire qu'ils sont t du milieu t pour Indiquer tout justement qu'ils vivent en marge de la société, dea commissaires étudiaient, loin de 1 L'inapèCtéUr principal Bonny, notamment, on Je ;disait avec quelque mystère 4 travaillait e a Maraeillû. Comment le policier fut-il amené jusque dans ta préfecture le$ BGuCb.esdu-RhÔne ?

Cela importe moins que de connaître les résultats de ses investigations, comme de celles de mes collaborateurs. Et le résultat n'apparalt pas oégligtteble puisqu'il a permia aux enquêIndividus redoutables et de retrouver îa piste de quelques autres non moins e Intéressants »

On demandera les du cOimëlUer Ftï&oe ? ,̃- -"<̃> Ce aérait laisser entendre rWtculement que les Policiers s'étaient mis en

Aime îmtM*

route pour aller tout directement arrêter des aas&sains dont Ils ne connaissaient pas les noms

En vérité, ce qu'ils recherchaient, c'étaient plutôt les gens susceptible! de Les conduire jusqu'aux assassins de l'infortuné magistrat que ses assasBina eux-mêmes.

"Dos trois individus « consultés s-, deux, cette nuit, ont été interrogés a Paris, à la .(¡roté générale. L'autre, à Marseille.

Rue dea Saussaies, c'est l'authentique baron Gaétan L'He,bon de Lussatz, né le 7 août 1888 à Monaco, Issu d'une famine qu'on affirme fort honorable, qui a été Interrogé. Sans doute Il a bien d'autres noms. Au Frolic's pourquoi faut-il qu'on en revienne toujours au FroliC'a ? il est tout simplement le baron Ce soucl de cbanger souvent d'état civil parait indiquer celui, plu. significatif, de brouiller des pistes. Des pistes sur lesquelles des policiers ont pu ne trouver lancés.

Car, on l'a bien compris, baron a eu maintes fois, et ainsi qu'on a accoutumé de dire, or; maiüe à partir avec ceux dont la profession constate à réprimer le crime.

Il est de ceux dont on dit encore qu'ils ont un passé chargé On dit encore qu'il a des attache? politique. ». Mais on ne prête qu'aux richea.

Que salt-it sur 1r meurtre du conseiller Albert Prince Et ce qu'il peut savoir, en fera-t-11 la « confidence aux policiers ? Voilà ce qu'on nera1t tarder à savoir.

Avec le baron, on interroge Paul Ventura, qui, on le pense bien, s'appA|l« aussi autre chose. Par exemple pVul Carboni, et qui est né le 26 août k Albritichia, en Corse. Et l'on en profite pour questionner un gara glfite du boulevard Gouvïon-SBtint-Cyr, M, Muller, chez qui le baron remisait une de ses deux voitures.

Revenons Jt Marseille.

Mdm RoamgbïAo quittant la sûreté fénàtll* L'homme qu'on y a entendu cette nuit c'est François Spirito qui, pour ne point demeurer en reste avec la baron, s'est affuble au ltasard des évfr- nements et quels événement* de sobriquets qui ont pour le moins le mérlte du pittoresque.

Le Grand kydio, c'est aussi Spirito. Copani, c'est encore Spirito.

Il est né le 2 janvier 1900 à Marseille, moins que ce ne mit dans une vîile d'Italie. Au vrai, il est bien difficile de se reconnaître comme cela, d'un seul coup, dans son état civil. Ce qu'il peut avoir dire sur la mort du magistrat parisien, on ne tardera pas non plus A le savoir. S'il parle, devrait-on ajouter î Et s'il faut parler de celui qui court encore et que l'inspecteur principal Bonny aurait quelque satisfaction de joindre dans un proche avenir < à tuoutes fins utiles », il s'agit d'un « certain M. Johaston .qu'on dit Américain et dont on ne dit rien de plua pour I'iij3tant+

Donc quatre individus.

La police dit z et 1. Haissant sufnsamment entendre que, -du quatuor, le baron se détache bien nettement* les trois autres ne pouvant être des indicateurs ;) que de deuxième zone. Elle laisse, au surplus, entendre que les quatre garçons pourraient fort bïea être capables de reconstituer à quelque chose près le scénario de la mort au conseiller Prince.

Et cela, aussi, Incite à coûseiHer la patience.

Ces < meadeurs » se décideront peut-étre il. rendre a la police le mervice qu'elle attend d'eux

La moindre conclusion qu'on puisse tirer pour l'instant de leur intervention assez imprévue, c'est que la maffia était encore plus vaste, plus mystérieuse, plus puissante aussi sans doute qu'on ne l'avait pensé.

Et l'espoir qui demeure découvrir énân la -t tête », la. principale, la vraie dU. Monstre et l'écraser une bonne fois, irrémédiablement,

L'INTERROGATOIRE DE SPIRITO A MARSEILLE

Marseille, 28 mars idép. Petit Paria.) Il. y a quelques jours, certaina tcbSeîgnemeût3 parvenaient à M. Cale, chef de la sûreté de Marseille, qui lut vidu habitant notre ville pourrait étre Impliqué dans. l'affaire Prince.

M, Cals, après avoir compléta ses renseignements, se mettait aussitEt en Bonny et s'asaurait de la personne de l'individu en question-

On amena dans le bureau de.IL cala un nommé Spirito, &gé de trente ans environ, très tiltffanunent vêtu. qui hf. faite dans notre ville. rue du Coq. Depuis quarante-huit heure» il est soumis à un interrogatoire serré et ses réponses sont, au fur et mesure, transmises la sûreté générale a Parts.

A l'heure actuelle. ces Interrogatoire^ se poursuivent et M. Cals attend le:! indications de Fada pour prendra une décision définitive il. l'égard dé Spirito.

Quoique le chef de la Sûreté de notre ville se refuse absolument à nous donner une indication quelconque sur .cette arrestation, nous pouvons indiquer qu'on ne pense paa se trouver en présence d'un personnage de premier plan qui aurait trempé dan4 l'affaire Prince.

Mme ROMAGNINO

A NOUVEAU ENTENDUE

Dissimulant son visage derrière aes fourrures et faisant l'impossible pour échapper A l'objectif Indiscret des plietogmphes, Mme Romagnino a fait une nouvelle apparition hier' à la suret* générale. Elle était, cette fols, eccompagnée d'une de ses amies Intimes, Aille Datbis, Mme Romagnlno eat, on !e sait, en contradiction avec 1e dîneteur de son garage, M. Cîermont-Tonnerre, et avec le veilleur de nuit, M. Fougeray.

D'après ceux-ci et M. Fougeray nous Ta encore répété, la voiture de Mme Homagatno n'aurait pas été remisée dans ia nuit du au février. Précédemment entendue, Mme Romagnlno n'avait pu que rester très hésitante. Revenue hier, après avoir rassemblé ses souvenirs et vu quelques amla avec qui elle avait pu confronter ses Impressions, elle a déclaré qu'effectivement dans la nuit du 20 au 21 février elle était sortie avec Mlle Ditbii qu'elle avait, avec celle-CI, assisté à une représentation dana un cinéma des Boutawde; qu'elle


avait ensuite accompagné Mlle Dathls chez elle et que, comme il était tard, eBe n'avait pas jugé & propos de renter au garage sa voiture et qu'elle avait laissé celle-ci en station devant son domicile.

Ces nouvelles déclarations vont faire l'objet de vérification:

On a également vu dans les couloirs du contrâle des recherches le concierge de l'Immeuble 1, rue d'Obligado, qu'on désigne encore Bous te nom 40 Monsieur Emile,

M. Emile, À l'issue de L'entretien qu'il a eu avec les enquéteurs, a été prié de dresser la liste exacte des personnes avec lesquelles Mme 8tavtskt a pu communiquer lorsqu'elle était rue d'OWig-adù. Le téléphone n'étant que chez te concierge, toutes les communications passent par lu] lorsque ce sont les locataires qui les 1 fondent,

?mdia que, devant la porte de l'imable, rue La-Bottief stationné le jajà fajrieux cabriolet rouge de Mme Hélène Romagnino, celle-ci veut bien nous recevoir dans un des salons de la maison de Couture qu'elle dirige avec »[Le amie,

Cette histoire, déclare la jeune famm*, a véritablement trop, beaucoup trop duré. Non seulement elle me prend ̃un t*mpfl précieux, mal» encore me catiee un grave préjudice au point de vue Commandai.

Convoquée encore une fois ce matin à la sûreté générale, j'ai donné à M, Val^a, des explication» concfirpajit l'emploi de mon temps le février.

6ea explications sont Identiques à déjà fournies par moi à ce sujet. Maïs fai que les vérifications étant terminées ce soir. je serai enfin définitivement mise hors de cause. Et comme nous l'interrogeons quant aux dépositions de M. Clertnont-Tonnarre, directeur du garage de la rue de la Batu, et de son veilleur de nuit M. fougeray, dépositions indiquant que la voiture de Mme Roma&nino n'aurait été ramenée par elle au garage que très tardivement dans la matinée du 21, elle nous répète, en la précisant, la déclaration faite par elle Il la sûreté Je n'ai jamais Indiqué d'beure de rentrée au garage. Ayant, le 20 au loir, pris l'apéritif avec des amis dans un ç*rl voisin du boulevard de 3êba*topoï. et cala juqu'à 17 h- 30 environ. J'avais remisé ma voiture dans une rue voisine. Ceci a été contrôlé et établi. Puis, revenue chez moi, rut La-Boétie, en voiture, j'ai dtnëH eomme toujours, en famille» auia allée au cinéma avec des amis et ai reconduit une amie chez eUe aveo ma, voiture. Etant donné l'heure tardive à laquelle j'ai regagné mon domicile, i'a! préféré laisser ma voiture devant la porte.

L'ai-Je, le lendemain, conduite au garage dans la matinée ? C'est possible, mata je ne le crois pas.

En tous les cas, à 11 heures, le 21, le me trouvais rue Caultun court afin d'y prendre mon associée et amie qui souffrait d'une entorse. En raison de la grève des taxie, J'allato 1a chercher et la reconduire chez elle journeii&nsMit. A Dijon, l'on cherche toujours l'homme à la barbiche grise

Dijon, 28 mars (dép. Petit Parisien.} Voici encore quelques c pistes qui s'évanouisse ntj Certains avaient publié qua Romagnino et « lo-tes-Cheveuxblanc: allaient in-continent comparaltre devont le juge Rabut, à Dijon.Première nouvelle, .'écria tout à l'heure le magistrat instructeur que j'ai questionné $ ce au jet Pour que Je puisse entendre ces deux personnages, U faut que je décerne contre eux des mandats d'amener et partant que je les Inculpe. Or aucun élément de mon dosBiar riè m'y autorise, WlaTme permet de lancer un mandat d'amener sur témoin, soit! Mal» {^.aerait^'encore un peu osé. Je me suis borné, pour l'instant, à prier M. Barra, procureur de la- République à Dijon, près 1. tribunal de la Seine, que tout de l'affaire Sta.viski pouvant avoir un lien de connexité aveo l'affaire Prince me fut Communiqué. Je qui. d'ailleurs convaincu qu'un juge d'instruction. aussi perspicace que M. Ordonneau, et qui, de plus, connaissait Intimement le conseiller prince, ne manquerait pas de prendre toute initiative utile. Donc, du moine pour l'Instant, je ne longe pas à autre chose qu'à de modestes commis- siens rogatoirea. Si la aulte de l'enquête l'exige, je prendrai peut-être d'autres mesures.

Par ailleurs, le parquât a mie définitivement hors de cause une personne de que l'on a crue un instant mêlée à l'affaire Prince, à la suite d'une histoire da location d'une automobile dans un garage de la ville qu'elle habite. Encore une « plste » de moins.

La blonde automobiliste du garage voisin de l'hôtel des Postes n'est pas encore identifiée mais, comme je voua l'&vaia laissé pressentir, il ne semble pas qu'il s'agisse de la jeune femme récemment entendue par M. Ordonneau dans l'affaire St&viAki, Il est bien prohabit que le but du voyage effectua dans la capitale des ducs de Bourgogne par cette charmants personne rien d'homicide.

Pour en terminer avec les Informatiens d'ordre Judiciaire, je viens d'apprendre que M. Rabut a reçu ce matin de'la sûreté générale une communloatittD officielle destinée à lui faire connattm le nom dea experts chargé. d'effectuer un examen chimique des restes de M. Prince et de rechercher

N- 5S. ganlUeton. du Petit Parisien. mars 1934

LES 4 SERGENTS DE LA ROCHELLE GRAND ROMAN INEDIT

Arthur BERNÈDE

DEUXIEME PARTIE

POUR L'AMOUR

ET POUR LA LIBERTÉ 1

IV (suite)

La de. Suiisai

sur un ton de faussa autorité, le re&réaeat&nt Au. gouvernement poureulVoici en effet un rapport que je r«QaÏB à l'Instant. Je vais vous en donner

« Il ressort de nos premières investi> rations, le le qu. La Il querelle, qui s'est terminée par une » véritable mitée entre les gardes > suisses, quelques civils et une vlng.» talne de militaires appartenant au de ligne, a débuté au café de la » Fleur Il. Lys. Deux sous-oZflciers euiaaes, le aerg^nt'iztajûr Kauffmann et le sergent UJrich, ayant cordiale» ment invité le gergent-rnajor Bories et le fuBllitr Lefèvre à boire avec eux un verre de bière-, ont VU » leurs dénuées de toute arrière-pensée, refusées avec grosslèreté. Le servent Bories a même » repoussé avec violence la sergent Kauffmann qui renouvelait son offre. » tout en lu- disant

Coùyfiglit by Arthur BSrnèd» 19S4. Traduction et reproduc&iA iM«r<lltaft en tùue p*y».

1a nature du toxique ayant servi à anesthésier le regretté conseillar à la cour d'appel de Paris. Ce sont MM. Fabre, professeur à la Faculté de pharmacie de Paris Kling, directeur du laboratoire municipal, et KohnAbrest, directeur du laboratoire de toxicologie.

On prévoit que le travail de ces experts aera d'assez longue haleine. A la brigade mobile, les collaborateurs du commissaire divisionnaire Gabillot recherchent toujours l'homme à la barbiche grise qui, décidément, intrigue policiers et magistrat.

La « clinique »

du faux docteur HelîngCT

Je peux étendant dozmer les précisions suivantes

La commission rogatofre donnée par M. Rabut à, M. Gabttlt prescrit à celui-ci non seulement de rechercher « l'homme à la barbiche mais aussi d'explorer l&s rues voisines de la rue Dans cette rtle est Située la clinique chirurgicale Bénigne-Joly, tenue par une communauté religieuse. Détail qui a !On importance dans l'affaire, le docteur H&linger, rnédecin de Mme Prince mère. a coutume d'y envoyer des malades. Cette eirconstance autorise par conséquent l'hypothèse selon laquelle l'homme à la barbiche c'est-à-dire le faux docteur Helîn^er, aurait pu offrir à M. Albert Prince de le conduire à « sa » clinique et qu'il l'aurait fait entrer dmoa uoe maison du quartier ayant seulement les apparences d'une clinique. C'est dans cette maison que le magistrat parisien aurait pu être aiïesthôslé avant d'être conduit sur la vole ferrée. Les recherches ordonnées par M. Rabut ont donc un double but 10 rechercher l'homme à la barbiche grise, c'e9t*à-dire le faux docteur HelingeT. et, rechercher la fausse clinique. A la fin de la soirée, on apprenait qu'un coup de téléphone appelait d'ur* ^ence à Paris MM. Coudiepia, procureur général près la cour de Dijon, et Rabut. M. Cotîclx&pln étant souffrant, c'est M. Barra, procureur de la République, qui accompagnera le juge Rebut. Leg deux magistrats ont pris l'un des trains de la soirée en partance pour Paris, où lia arriveront demaîn mutin.

Le but de leur voyage est, à coup sût, de voir sur place, avec M. Lapeyre, doyen dea Jugea d'instruction, où en est l'enquête. Mais on peut se demander s'U n'y a pas, pour MM. Barra et Rabut. de nouvelles responaaûliités à prendre et de nouveHea directives a donner dans cette affaire. Michel HIBCHWALD

UNE FAUSSE PISTE

Un individu récemment condamné avait Indiqué que des médecins pouvaient apporter des renseignements Intéressants s sur l'assassinat de M. Prince. Ces médecins, les docteurs Haddad et Blzard, ont été entendus par M. lApiyte, juge d'instruction. Et leurs déclarations ont montré que le repris de justice avait inventé sa c révélation espérant peut-être toucher une des primes promises à ceux qui fourniraient des Indications permettant l'arrestation des coupables. A propot de* meturci budgétaira Fédération généraJle des P. T. T. nouVallu ̃ mtfflM» ticulièrement sur lea personnels à petits trait cmenta,

Se référant aux possibilités d'action affirmées antérieurement par le synDéclare vouloir s'opposer avec ténacité aux attaques g-ouvernementalea Décide à cet effet de convoquer à une réunion extraordinaire tous les militants responsables des organisations postales pour leur faire prendre en commua les mesures que conubasde situation.

LA C. G. T. PREPARE SES ETATS GENERAUX La commission administrative de la C. G, T. a'est réunie pour prendre connaissance de la façon dont ge déroulèr«nt le réunion* régional** du 18 et 25 mars.

Les délégués ont rapporté que les auditoires e composaient de représentant. de diverses Catégories aociskles qui, tous, avaient applaudi le programme de la "G G. T.

La. C. A s'est ensuite oncupée des dispositions à prendre en vue de la réunion des étatj généraux du travail qui doivent se tenir le 7 avril, à la Maison 3a mutualité, rue Satet- Victor. A ces assises doivent assister de nombreux adhérents dea départements, La démonstration fixée au lendemain des étata généraux et qui doit réunir un grand nombre de travailleurs de toutes catégories au Vélo- drome d'Hiver fait également lobJet des préoccupations de la C. A. Elle a envisagé les mesures 1 prendre afin que la manifestation se déroula eh bon ordre.

M' W

Tu û'ea qu'un sergent, quoique » tu portes les. galons de sergent-major,- Tu ea une canaille comme les autres Tandis que Lefèvre et les trois témoins de Ja Fleur de Lys faisaient entendre simultanément une exclamation indignée, Borlea se contentait de hausse les épaule 3.

Le préfet continuait à. lire

Lea deux Suisses n'étalent nul]ement gris, tandis qU6 leâ Français étalent visiblement en état d'ébrieté. C*, c'est trop fort! protestait lièvre.

Taiseî-vous, ordonnait M. de Toustain, ou je vous envoie immédiatement en prtaon.

> Ëtk état d'ébriété. reprenait le représentant du gouvernement. > Le gradé surtout était très aurex- 1 cité. C'est lui qui. le, premier. a porté a la main à son sabre. et 11 eut certai» nement dégaine al son compagnov. » moins excité que lui, ne l'en eût » empêché.

n a alors défié en duel le sergentmajor Kaaffmann auquel son habileté » bien connue d'eacrime lui assurât »une prompte et décisive victoiffè«. » Mais ce soue-ofacier, désireux par» tout de ne pas répandre le » aang d'un camarade français, char» geait le sergent Ulrich d'alerter le b poste voisin qui est accouru unique » ment en vue de désarmer le sergent » Sortes, de rtncfnentr et de la tenir

L'AFFAIRE STAVISKI SUIÎB EU LA FKIUltftE Ft&I

AUTRES OPERATIONS

JUDICIAIRES

Accompagné de Mr Tailleur, son greffier, M. Carreau, juge d'instruction, J ea n-J a cquee-Kû naseau, dans l^s bureaux de M. Tcxier, de nombreuses aociétèa, Le maglflrtj'at a trait la la Société foncière et d'entreprise générale de travaux publics, criée par Stavlski, place Saint-Georges. On sait que £ta.vl»kï avait réussi, d'autre part, il mettra la main sur la société dite la S. I. M. A. Pour cela, Il avait obtenu te vote de l' augmentation de capital dont 11 avait souscrit la presque totalité des actions, 11 avait pu alors renverser le conseil d'administration et la I. M. A. fut absorbée par la Compagnie fonçlëre et d'entreprise générale de travaux publies. FI était les conditions dana lesquelles cette manœuvre avait été effectuée. C'est ce que M. Demay, juge est allé demander hier à M. Bertault, ancien président du conseil d'adminittratiûn de !a S. I. M. A. M. Bertault, aJité, a néanmoins pu ré.poïnïrehdant heures, aux questions du magistrat, çt de nombreuses pag^s de procès-verbaux ont été rt&igén Dar le grefaer. M. Ouenn«.

M. D'UHALT EST RENTRE

A BAYONNE

Bayonne. 28 mars idèp. Petit Paria.) Débarquant du train de Paria à 19 h. 20, M. d"Diha!th juge d'Instruction, qui venait de conférer plusieurs jours durant avec le magistrat parisien qui a pria après lui l'enquête sur les escroquerdss du crédit municipal de Bayonne, est venu qiu&lgues instants seulement au palais.

Le magistrat, en dépit de la fatigue du voyage, n'a pas caché qu'il était enchanté de 1!Ion oéjour à Paris. Il va maintenant retrouver, en re-pr&nant les afraîres courantes, le calme habituel de son cabinet dFln3trucUon, .ET BONNAURE RENTRE

AUJOURD'HUI A PARIS

'En traitement à l'hôpital de Bayonne pour dea crises- d'emphysème et clés oriaea cardiaques, Gaston Sonnaure. député du IH" arrondissement de Parle, Inculpé dans l'affaire Stavldct. est de .dans un état qui a paru aeaez «attaf&iaaAt aux pratieïenfl pour perm-ettra aoa transfert à Paris. C'est donc jeu4i matin que le député Boimaure quittera Rayonna et l'hôpital où les docteurs lui ont, aux dires d'un de ses défenseurs, sauvé la vie, H prendra, *n ga.re de BiajLi-!Eits!-L«, TTÇrgresae, le premier eiprese du matln. UN JOAILLIER DE GENEVE SE JUSTIFIE DEVANT M. PETIT Genève, mars idép. Petit Parisien.) Agissant but commission rogatoire délivrée pat M. OrdûnneauT le commissaire spécial çi'Anûeinaaae, M. Pegenevoises,

Sur ses indication^ un Joaillier, qui qui avait quitté la capitale française la veille même du départ de Staviski, a Été interrogé et des perquisitions oat été entreprisea il son domicile. II a expliqué que, à la suite de mauvaises affaires, il avait été contraint de venir a'îtabiïr à Genève et que son départ n'avait riea iL voir avec tes affaires Staviaki. Ces déclarations ont été contrôlées et reconnues exactes, UNE DÉCLARATION

DE M. J.-F.-L, MERLET

Bordeaux, 26 mara (dép. Petit Parisien) rUn de no» «fwfFèree parviens a mie en cause, au sujet des affaires StaviflkîOelmot, l'écrivain et- journaliste connu Jean-Prançois-Ijoutg Sterlet, qui habite près de Bordeaux. M. Merlet nous a lait la déclaration suivante

Cette information est erronée. S'il eat exact que j'ai été, une année durant. le secrétaire politique de Jean Galmot, depuis 1921, je ne rai revu qu'une- foia, à la fameuse plainte pour chantage, elle a été reconnus ridicule et frappée sur-le-ciïamp de nullité.

Yvonne I*ErM, amie da Galmot en 1&20, et Ariette Simon, tout à fait différente comme type de femme, qu'il ne connut que Un 1925, J'ajoute Que je ne coimate pu ni n'ai jamais vu M. Philippe Hemtiques tout à fait opposées aux miennes. L'ENQUETE JUDICIAIRE

Le tommiftsaire Peudepièce et le joaillier Seror rentrent à Paris Lomlroa, 28 mare idép. Bavas.) M. Maurice 3eror, l'expert joaillier, a fait ce matin une nouvelle visite à la maison Sutton pour y examiner un lot livres sterling certain&a des pièces de ce dépôt étaieat C&nsidétées comme ayant quelque ressemblance avec plusieurs joyaux da la collection* Stavlskl, Après expertise, M. Seror .s'est convaincu que ces bijoux ne faisaient pas partie de cette collection. L'expert et le cdmmiseaire pandapièce regagneront Paris dana la matinée de demain.

LE DOCTEUR PFEIFFER NOUS DIT. ̃Nice, 28 mars (ddp. Petit Parisien.) Le bruit a couru qu« la justice recherchait le docteur Pfeiffer, parti de Dijon le lendemain de l'assassinat de

» bous bonne garde, jusqu'à ce que .,on Ivresse fût dissipée.

e Mais BorlËâ, au lieu de ne tenir » tranquille, a ameuté la foule contre » les Suisses. Des pierres leur ont été lancées.

» Le lieutenant Appeîiïell, quimandait le détachement, a défendu à ses hommes de riposter et a sommé la foule de s'éloigner.

Ce moment une cinquantaine de aold&ta du de ligne, qui se trouvaient d*n-3 les et aubergesnants, sont acourus et, dégainant leur coupe-chous, Ils se sont jetés sur le.! Suisses, qui ont dû former le carré pour se: défendre contre leurs assaillants. Grâce à leur intrépidité, tempérée par à tenir en respect sans blesser grièvement aucun de leurs adversaires. A ce moment, une vivandière du 4P. sa joignant aux hommes de son régiment, s'est jetée dans la bâ£&rre, frappant à coup. de massue plusieurs Suisses qui -portent encore sur le crâne et sur le. épaules de fortes contusions et ecchymoses. quant au sergent Bories qui tentalt de Il il s'est jeté maladroitement par deux fois sur la baïonnette d'un Suisse qui lui barrait le paa- sage.

Finalement, l'avantage est resté aux gardes da Sa Majesté, qui ont pu leur prisonnier sans trop d'encombre jusqu'à leur poste. Après avoir reçu les soins que née es allaient eea blessures, d'ailleurs superficielles, il a été conduit sous bonne escorte Jusqu'à de Ville. Sa lecture termin-ée. le préfet concluait

L'auteur de ce rapport est l'un des meilleurs agents de police de !:et. sûreté Il Il s'appelle l'adjudant Choulet! lançait Bories d'une voix vibrante. Le préfet eut un haut-le-corps, car le rapport qu'il venait de Ur& à haute voix était, en effet, du moucfaard du

Se ressaisissant, la haut fonction. ualre a'écriait:

-.Vous vous trompez, aergent-ma-

M. Prince et dont Ie signalement correspondait à celui da la personne que l'on vit sur le quai de la gara de Dijon en compagnie de M. Prince peu après &on arrivée.

Le docteur Pfeiffer est, en ce moment, à Niûe. Noua avons pu le voir dans ["appartement où il est descendu, rue Saint-François-de-Paule, Il n'a pas paru être très ému dre bruits qui ont couru sur son compte.

Toutes les personnes qui ont habité Dijon. dit-Il, vont êtr& accusées d'être les auteurs de cet assassinat. En ce qui me concerne, j'ai quitté Dijon le février et je suis venu à Nice pour prendre la direction d'une climlque que le vleng d'acheter. Je suis donc bien tranquille.

Effectivement, noiia avons vu le directeur de le docteur Çharle. Pfe1¢er est descendu à eon arrivé» à Nice. Il ûous confirmé que son client était arrivé à Niae le l" février dans son établissement, où H Avait rejotnt sa secrétaire, Mlle Couturier, qui, à Nice depuis quelques temps déjà, avalt cherché une clinique pouvant être achetée par son maître.

LA PERQUISITION

A LA « LORSAR »

M. Tasbille, nommé parc nous comme ayant en qualitéteur de la Lorsar, La pe-rquàhSÏtlon qui fut faite lundi, dans les biireaux de oette soofété, par M. Hude, noua informe qu'il asaieta à cette perquisUlûn uniquement comme témoin, aar la demande des personnes Il Il ajoute que sa personnalité ne saurait être mise en cause en quoi, que ce Soit dans l'affaire ea question.

LE DROIT DE DISSOLUTION SERAIT DONNE

AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE La du pouvoir executif de la commission de rétorme de l'Etat s'est réunie hier, sous la préaU dence de M. Gourdeau.

Après une diecussion générale, il a été déidé de soumettre à la prochaine réunion une modification, de l'article de la Constitution, tendant à permettre la dlasolutlon de fa Chambre de. dêputéa par le Président de la République à la demande du président du conseil et eaaa agrément préalable du Sénat. La prochaine réunion aura lieu le ia avril.

Le temps ne sera moins beau que passagèrement

La. situation atmosphérique devient molae belle, car une dépression couvrira ce matin nos réglons Sud, où le baromètre descendra Jusqu'à 750 mm., après une baisse de,18 8 mm. sur toute la France. Le changement de temps sera assez accentué sur nos régions Sud où Il ne fera pas beau et où pluies et aversBs orageuses sont probables, par vent aases fort de sud-est à est. Sur la moitié Nord, disons tout de suite que le changement de temps ne sera paa accentué et il ne semble devoir étre que tout à fait passager. Quelques plulea tomberont par places, mais elle. ns seront que locales et sane grande durée le temps toutefois sera moins agréable que durant les journées précédentes, car le vent du nordegt ou de l'est et la tempête Pourra même atteindre la Manche, la Bretagne et le pas de Calais. D' autre part, la température sera assez rafraîchie. Il est probable que le retour au beau temps fera très rapidement sur ka moitié, Nord et un peu plus lentement sur la. moitié Sud-Dès maintenant, on peut escompter une .beUfl. fin de semaine sainte et peut-être même un beau dimanche de Parties ataie ucl .et .encore qu'un pronostic un peu incertain. Jean Martin,

LES RECEPTIONS DE NI. LEBRUN Le Président de 1a République a reçu bler après-midi le président de l'Association générale des fabricants et raffineurs de sucre néerlandais, délégué du gouvernement de la Haye au 3' congrès international technique et chimique des industries agricoles, qui a fait don à l'Elysée d'un tableau rapréaentant l'arrivé* par mer à Amsterdam du président FaMièrea en 1911.

M. Albert Lebrun a reça ensuite le directeur de l'office national des combustlblea liquides au ministère du Commerce; M. Caquot, directeur honoraire au ministère de l'Air,

UN ORDRE DU JOUR

DES CROIX DE FEU DU MORBIHAN Le colonel de La Rocque a préaidé, hier, deux réunions tenues par les Oro-ir de ï"en de-S sections de et de Vannes. M. Léopold Marchand* tiques, membre du comité directeur Croix de Feu, a pris la parole au coûts de ces réunlons, dont le succès fut con- sidérable. L'ordre du jour suivant a été voté par acclamations

solidarisant avec toute l'association, les Croix de Feu et natl-wiamt du Morbihan les efforts vainement tentéa pour décapiter leur association d'un chef loyal et ferme dont ils sont fiers, expriment à ce dernier leur confiance absolue et s'engas-etï't à servir l'intérêt supérieur de la Francs «u-desm* de toutes les quereileç d«s partis.

jor. et Je vous plains si voua n'avez pas de meilleurs argumenta pour votre défense,

J'en al, monsieur le préfet, posait Boffcô». Je vais tout de *ulte vous le faire connaître,

Ce- rapport, je le déclare et ie le jure, nier, n'eat qu'un tissu de naenaousen* Par exemple!

AfTectûnt de ne s'adresser qu'à .Ion supérieur hiérarchique, Soties pour' suivait

Les témoignages que voua avei déjà recueillis, mon colonel, ne dâmenEent-ila pas formellement les aasertiona de ce poitcler ?

L'enquête mipplémentatre gue vous allez certainement ordonner ne pourra que tes renforcer et établir d'une façon Irréfutable la preuve que Lefèvre. et mol nous avons été attirés dans un véritable griiet-apetifl.

Un guet-apena! sursautait M,- de

Ourdi par la pollca, qui a regu l'ordre de sa débarrasser il tout prix de moi!

Aîorii, protestait le lieutenant-colo- nel des Suisses, vous accusez mes a«1data d'avoir trtmpë dans un complot qui est incompati bî& avec l'honneur des militaires de tout pays ?

C'est en effet Inadmiaaible! appuyait &L de ToUstftin.

Voua aggraves votre cas! aurenChérissait le préfet

Mott colonel, reprenait Bories, je constance le sergent-major RauiTmann e-t le ûergent Ulrich se soient faits les auxHLairea bénévoles de 1a. police de cette vllie ou d'aineurs.

Pour formuler une ai grave accusation. il faudralt que J'en eusse la preuve, et je ne l'ai paa. Et puis, comme l'a si bien dit M. ls lieutenantcolonel de Maillardoz, un aussi bas procédé est contraire àneur militaire que ie me refuse h, croire sang-froid.

de les aecuaer en dation de leur pri>

M. SARRAUT RÉORGANISE COMPLÈTEMENT

LE SERVICE DES JEUX En attendant de ri former toute la • ûret* générale

Une importante réforme ïtîtéressant le service du contrôle des courues et des jeux de la sûreté générale vient d'être réalisée par M. Albert Sarraut.

La nécessita était, en effet, apparue au ministre de j'Intérieur de réorganiser complètement un contrôle qui s'est révélé insuffla an t, souvent même ¡ne!.ficace, et de donner à celui-ci une: impulsion nouvelle sous la direction d'un haut fonctionnaire' de la sûreté générale, Paur qu'un esprit nouveau soit ap-. porté dans cet important A pour que des méthodes nouvelles. y soient gueur qui n'excluent pas la. $[en des intérêts tort lég-itimufi qui aant parfois en cause, il fallait des hommes nouveaux. En conséquence, toux les dé- l'intérêt du service «ont d'oreç et <têià décidés.

Sur la proposition du directeur de la bùr^té générale, le ministre de l'Intérieur a déjà commencé à procéder à des mutations de persûanel, effectuées d'ailleura daas le seul intérêt du service et qui n'atteignent en aucune manière les fonctionnaires qui en sont l'objet. Lu mutations utiles se poursuivront au tur et mesure dea posalbllitéfl et des ne,cessités ïL-tkainiatratives,

Indiquons que, par une note de service en date du mars, le ministre de l'Intérieur a décidé que la. durée d'application des arrêté* portant exclufilon des jeux sera au minimum de deux années et qu!aucune mesure de bienveillance (Autorisation provisoire ou retrait) ne pourra faire l'objet d'un examen tant que ce délai ne sera pas écoulé.

La direction du service de contrôle des Coûta e» et des jeux, rattaché au point de vue administratif au 2. bureau de la sûreté générale, a été confiée au contrôleur général Débraillé, placé en contact étroit et direct avee le dlreeteur de la sûreté générale.

Cette réforme n'est qu'un dément d'une réorganisation de. services de 1e sûreté générale actuellement à l'étude et dont la mise au peint sera prochainement achevée.

Voici le text* du décret qui paralt a* matlll au Journal officiel

ARTIGLç ~UartiCie l'r du cret du 23 mai 1932 est modifié alnai qu'il suit

LB service des courts et des jeux constitue un organisme spécial de la sûreté générale, rattaché au point dt vu« administratif au bureau de la sûreté générai*.

ART. 2. Le décret du 21 novembre est abrogé.

A et. & Le présent décret aura son effet à compter du l1" avril 1934.

En attendant sa libération

qu'elle espère prochaine

Germaine Huot signera son pourvoi Heureuse du verdict de mardl, Germairie Huot a reçu, hier, la visite de ses défendeurs, et a décidé, «ut leur ban a cil, de signer son Pourvoi en cassation.

Non pas, certes, qu'elle désire 1. voir aboutir. Au contraire 1* président Devise a magistralement mené les débats, et aucun vice de forme sa été relevé. Il s'agit donc d'un pourvoi « blanc », non motivé, et que la cour de cassation n< pourra que rejeter. Mais tant que ce rejet ne sera pas prononcé, Germaine Huot restera c » et et chacun aait que le régime des prévenus est infini m-ent moins désagréable que celui des condamnés. Autant de gagné cour Buprème, la condamnée sera donc Germaine Huot en «ITet, est c ISb*- table », car elle a accompli plus de 3a m.itté de sa peine. Déjà edle a adressé un recours à la commission des gr&cAs, au ministère de la Justice. Elle a été fort bien notée à la PetitsRoquette, et les sœur3 et le perso-an*! la tiennent pour une détenue modèle. Le Cartel des services publics contre les projets gouvernementaux Dèa qu'il tut connaissance dea pro- J&ta goiwerne mentaux, le comité ceu» trttl du Cartel confédéré des services publie!! décida de tenir immédiatement une assemblée extraordinaire. Lflfi délégués de toutes les fédisriti&ns qui le cûmpCrsent, et qui groupent fonctlonnûlres, agents des se-rviceç publ'lûB, de l'Etat, postiers, etc., ee sont donc réunis hier, he.rea, au siège, de la C. G. T., 211. rut Lafayette, sous la présidence de M. Lenoir, secrétaire confédéral adminiatratjf.

Un échange de vues* a eu lieu au et aussi çur la mise a la retraite anticipée de SO.O00 Il Il s'est terminé par un. protestation où le cartel juge injustes lea lourds aaeri- il.. réclamés aux agents des BerviCM public? et néfastes aussi au bon loue. tionnement desdits services.

Le Cartel regrette que le gouvernement n'envisage pas plutôt l«s moyens de résoudre la crise économique- et d'empêcher les eoandalea dee fraudes fiscales ».

Il ne a' incline pas, d'ailleurs, devant lea mesures qui menacent ees affUtês et, comme premier moyen de protesta- ntain soir vendredt au meetEn^ org-anlsé la Bourae du travail!.

sence, il eat un fait certain: c'est qu'à l'Inverse d« ce qu'afûrme le rapport de police, Lefèvre et mol noua n'éfcloa» nullement gris, mais que le sergentmajor Kauffmanu et 1e sergent Ulrich étaient plutôt éméchés. Il serait intéressant, mon colonel^ de savoir dans que1s calés ils se sont rendus avant de pénétrer dans où flous noua trouvions, avec quelles gena lia se .sont rencontrés, entretenus et at, parmi «U3C, la tête

Voilà, mon colonel, achevait Bories, ce que j'attends de votre impartialité, de votre justice.

L'enquête sera faite, et dans la plus bref délai! concédait M. de Touedéclaration de Boriea dont. en son for intérieur, il ne pouvait s'empêcher d'apprécier la parfaite franchise et le A quoi bon, colonel! observait U préfet.

La défense de votre eergent>major n'est bade que sur de* hypothèse tandIs que ce rapport repose sUr dee affirmations et quand je ma «rai porté garant de leur authentfcité, Voua voua serez fourra le doigt voix qui résonna dans la saila comme un appej de trompette.

Et qui, depuis un Instant, venait d'apparaître avee son fl!3, s'avançait vers M de Toustam et. se mettant au port d'armes, la main droite $ hauteur de son bonnet de polie*, elle s'écriait

Mon colonel, moi qui al Vu, al-je Partez!

Et mon garçon aussi?

Il parlera & son tour.

quelle est cette femme? Interrodière d'un &ir hostile et scandaliséQui que je aula.? ae rebEffait déjà Marie.

D'un regard Impérieux, maJs tempéré par.toute l'amitié reconnaissante qu'il lui portait, M. dâ Toustain lui imposait «itance*

MM. HULIN ET PROUST DEVANT LE CONSEIL EXÉCUTIF DU PARTI RADICAL SOCIALISTE social iste avait à examiner, hier soir, le cas de Mit Hulin si Proust, memdu groupe parlementaire. On sa ments de procédure députés de la Vienne et de Tladre-et-Ijoire ont été amenés à répondre devant ie comité executif juridiction aupreme du parti. de leur attitude dans l'affaire Staviski. La commission d'cnquêto les entend. Leurs explications ne sont pas jugées déciaivea un doute subsiste. Le rôle des commissaires n'est pas de le lever, ciers. Sans pousser donc leura investigations sur le plan judiciaire, lia transSceaux. A lui. au parquet de déterminer si la. culpabilité doit être retenue ou al :ea deux députés doivent être, au contraire, innocentés.

Mais MM, Proust et Hulin sont aussi, noua l'avons dit, des parlementaires membres d'un grand parti et relevant à ea titre 4'une autre discipline, nI! s'est trouvé justement qu'au lendemain même du jour où ils ocmpat&iasaient devant la commission d'en-quête, les dépositions qu'ils y avaient faites avaient été évoquées au groupe radical aoci&Jlste de la Chambre. Comportaientelles une suite ? Una brève discussion élut paa. Le groupe était-il même habit'on de torme, ensuite de quoi tis sa comité exécutif le aoln de trancher au fond une affaire qu'ils estimèrent en dëftDltiYË, te paa être de leur compétence.

TeUeo sont les conditions dana lesquelles le comité exécutif était appelé k ae prononcer.

NOS ÉCHOS Au)Oitrd-hui

La ftunnie du Souvenir sers riT+ré*, k 18 h. 30, par l'Union dH *.y«4g-t€a de

20 h. Ht, âalnt-Germain-rAuserroia, Cltib d. Fui bout*. 4. 30. S, rue IWl^.ti. mique dea Induatrtea visite diverses aucr'ej-les da.ns la Somme, départ A 8 b, &. du Nord. F. N. de.! directeurs et dfrectricea d'écnlee publiques, 14 h. 30. Sorbonne. National des cours complémentaires, h. 30. Muaâs pédagogique.

Rxpa«itlAAB Salon des humorletes, II, ru« Ftoyal-e. Kpétr«5>BcUTe, de Pompon. Muséum, Honoré Doumler. oranEïrle des Tutlftrlea.

Réunion d'ucten* çouib *«#*(# 15& et R, I.. 21 h., 1O1, rue de HWoll.

Mai In 14 h. 30, Théâtre Q«IgncA, parc de Jlontaourla.

Volrt k la ferraille et »x jara.b«ii Con^Hi-* hippique, au Grand PaJals, Connu i Aut*uil, a 14 heur».

Bans la matinée, le président du Conseil a reçu une délation de La Confédération nationale des commerce* et ind-Tistrieis de ralimentation et une délégation de la Confédération générale de la production française.

M, Louis Barthou. ministre des Affaires étrangères a reçu hier après-midi M. Roflenberg-, chargé d'affaires de l'U, R. S. S. à Paria.

M. Germaln-ilarlin, minJatre des Finances^ eu hier matin un long entretien avec M, Henry Chétoa, ministre de ta

De M. Georges Mmtgert rue de Chantilly, 4 Paris

Pâques tombant juste un premier Envoyez le poisson d'avril

D'un flacon de « Cherry Rocher NAISSANCE»

IL Pierre Waraler et Madame, née Jourdain, Aile du sénateur du HautRhin e, de Madame, née Dupont, ont la joie d'annoncer la naissance, à Aitkirchr de leur second fils, Bertrand. NECROLOGIE

Les obsèques de notre regretté confrère Paul Lord= ont eu lieu hier au ea présence d'une nombreuse assistance d'&mia et de Journalistes qui avaient tenu à rendre Un dernier témoignage d'estitne et d'affection au camarade disparu. Au .columbarium, Où le corps a été Incinéré, H. Jean Rogier, représentant le comité de l'Association des journalistes parlementaires, a pronûneâ, au nom des membres de cette association, un discours dans lequel il Il retracé en terme? émug la carrière toute de dévouement, de probité et de droiture professionnels du défunt.

On Annonce la mort de le. coûtasse da Coaeé Bris«acr née du Boutet, déoédée en son château de Crepan, près de dans &a cent unième année,

PAUL REDOUX

LE PHARE

mman

C'e4t Un apletidide Sujet que celui du Phare. CdOutlB on COOLprMld qlw Pfcul Ret>iïU* mette cet extraordinaire roman au premier rang de sa. produotton, ei vaste et Si preatigifrUM Voua partagerez sans doute cette préférence

de l'auteur. 12 francs.)

Cette femme, monsieur préfet repli quai Ml, est ma. vîv&ndlere, et je réponde de la. sincérité autant que de la mienne.

N'est-ce pas voue.» la fameuse Interrogealt le maire d'Orléans avec bienveillance. En chair el en os, martelait ï'héroïne du 4S*.

Alors, Interrompait M. de Maillai"* doz, vous qui, ce e&ir, Avu assommé plusieurs de mes hommes? Pas assommé sonné, rectifiait Marie. Kt si je l'al fait, c'est parce que j'étais là quand 1e bal a commencé. Aussi, quand j'ai vu Une trentaine de vos soldats se jeter sur deux âest nôtres et taper à coup de crosses aur les civils qui cherchaient à protéger mes amis, mon sang n'a fait qu'un tour dans mes veines. Je n'ai pas été Ion.. gua à dévisser mon pilon, et en avant la musique!

et sont les Suisses qui ont attaqué? formulait U m*ire.

Indubitablement, sc*»d*ll la vivandière.

Sans sa départir un seul instant de l'attitude de modération et de tact qu'il avait si sagement et 91 chevaîerggquemttit adopté*, AL de Maillardoz supposait

Peut-Atrs -en soldats voulaient-lin simplement empêcher la rencontre projetée entre le sergent-major Eorles et lu sergent-major KaufTmann, Pas du tout, mon colonel, répliquait Marle-J&Hibe-en BoU avec cette robuste franchise à laquelle rien ne résistait.

» Tous ceux qui Halent là et qui sont de bonne foi, comme mol, vous diront qu'ils étaient absolument déci- dés à faire Un mauvais parti à Sorte». J'en ai même vu un celui-là je pourrais vous le désigner. car je le reconnaîtrais entre mille qui cherchait à lui le. yeux avec sa baïonnette. t Heureusement qu'il a manqué mon pauvre Jean-Françoia. Oui, mais aussi, quel coup de pilon U a reçu sur la margoulette. S'il n'avait au son bon.net pour la gar«r, j8 crois que je lui XendalJ U CttroulLL* en deux

Programme des spectacles pjèmea, Polyeucte â h. 15. ia Passion. Oaén-Cirn,t 8 h, 16. les Pècheura de perlas. lt>H Nepes de Jeannette.

Odcvii, 2 h. Troïlua et Cr^wida 8 h. Goil^.Lj'rhjs», 8 h. 15, le Paye du «mrJre, Tftaivn-l^rlqae, 2 h. 30. le* HJfyndell» 8 h. 30, Mangeur Papillon.

Cb*t*M, 3 h. 30, 8 h. lfih Ruse de France. Vsrtâtfa. 9 ll.+ Mon crime .iu IHpur AvenL Fie-3t-HarUitT au. Var. de V. Théâtre de Parle, 6 h. Tovaritch. Mojr*d(ir, 8 30. Aub. un Ch s va] -Blanc. S»rah Bernh.f S h. 15, Cyrano de HaHçBy. B h. l'Ecole de^ conLritjiwbl'ae. PiK»iI»r 2 h. S h. 45. la AmbuNMlfiun, h,, la. Bfcte noire.

3, 9, la Famine Vauberlain. JHl«liodfôr^. 2 30, I«j Temps difficiles. Attelée, 8 h. 4Õ. File

Ma^e^hie, 9 h., iiïa Princes. Alhambn, 2 Clives de CornsTille. 9 h., rHoniH.

XoiiTewrté», S 45, Ici P^rlfl (revue de itlp). Cont. CH..Klrfl«efl, 9 fl.r Au ifrand ïane, tiiand-Gifcig<n,|, 9 h.. l'Auberge rouge. DkuitQu, 9 h.. Trois cœura.

Mlrhrf, reJAche.

Théâtre de» Awtn, § h. Ces dame* MwntpunftdHo, 3 h.. 9 h.. Crime et châtiment Ateli* S h. 46, Richard ni,

Th. Miysl. S h. 45, la Madone du pfWnMiolr D«Jkc«t, 9 h., Ju1«b. couclje-toi (Dirtéuil). MUSIC-HALLS

Ffl-Ues an folie (Hl«t.>. Caa. de PsxiB. 2 S 4û. Vtv« Parts taon!]). Ï-An^, 5 h.. Par ni DIs-HearM, 10 h.. MarUtti. J. Rjeux, »mc. Lau-UtQffi^ 9 h., Pactifoiona.

Mira Heïy. Le Perchoir, 9 h., Basttfi, ValJJer, la Revue, M^driMo. a h. 45, 9 h.. Rl^oletto Krm. Luna-Farlt, dn.nc. 3, J., v. j. d.; mai, L 4. Atbéalu* (lflk r> Vr.n.^su). 3. mal.; S, «d b, CINEMAS

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Marie, ménagez vos eacprt*HtoB6, grondait M. de Touatain,

Puis il crut devoir ajouter:

Excusez-la, meseieurs, c'est une brave créature qui ne mâcha pas ses mots.

Tandis que le préfet Intensifiait Kpû air offusqué et que le m»Ire, au contraire, accentuait son sourire. M, de Maiïîftfdoz reprenait

Personne ne peut en vouloir à cette brave temme de parler en Bftîdatï Mari e-Jambe^n-B ois regardait l'qffleler étranger avec et mfme un commencement de sympathie. Cs me fait plaisir, ce que vous dit.. là, mon colonel, C'est malheureux que tous VOIS ttûmmes ne disent pas.

Marie, coupait M. de Toustatn qui ne demandait qu'à arranger cette regrettable affaire.

Mon colonel

Vous p'avei plus ricn à me dire ? Moi, non, mon. Mais il y a Tl&nnot,

Votre 111s

Oui, mon garçon, et je cre-U que ce qu'il va vous raconter n'en pu préTambour Bergeron, appelait l'offiPrésent mon coïoheï.

Le préfet, qui sentait que les événements ne prenaient pas une tournure favorable aux gardes de Sa Majesté, iatervenait

Cette enquête n'est-elle pas prémaIï n'est jamais trop tôt pour faire éclater la vérité, ripostait vertement le Colonel français.

Je suis tout à fait de votre art*, approuvait le colonel auiaae.

Mieux vaut en finir tout de suite, appuyait le malre d+Ortéans, Cai% c'est en faisant traîner de tels Incidents que l'on arrive à surexciter les espriti et à envenlmer des conflits déjà as&ez graves et assez, regrettables par eux-mêmei. Les lèvres pincées, le préfet gardait la silence,

Parlez ordonnait M. de TtmstaJn au jeune tambour. u «vivra.)


DERNIÈRE HEURE BEHVICES et Tfcl.ftl>WOmi<HJES SPfiCIMnt ,or. PttU PvrUtcn et dn Tttnem J

Le cabinet anglais examine à nouveau l'état du problème du désarmement Londrea. 28 mars (dép. Petit Parisiens) Le cabinet britannique est réuni Ce mat la à. Downing Street soua ia pré aide net de M. Ram^fty Maedonald et it procédé à un nouvel examen de la question du désarmement. ïl a surtout discuté, déclare-t-on, le problème dea garanties d'exécution d'une convention de désarmement au sujet duquel îïf John Simon, a pu Informer ses collègues des vues que lui communiqua hier soir M. Corbin, ambassadeur de France, ainsi que dea précisions qui lui ]' ampleur des garanties auxquelles la Grande-Bretagne est disposée à sous-

Il e.st vraisemblable aussi qua le cabinet s'est occupé de la réunion du bureau de la conférence qui est prévue pour Le 10 avril à Genève. Ce sujet a été également discuté entre air John Simon et M, Henâerson au coure de l'entretien qu'Ut ont eu vera le milieu da r&prè?-midi.

On émettait ces jour? dernière, dans lej cercles oracteme. l'opinion qu'il aerait peut-être souhaitable que, en raiM. Henderaon a néanmoins fait connattre, après son entretien avec air John Simon, qu'il enverrait dès demain les convocations aux gouvernement! qui composent 1e bureau. En agissant ainsi, le président de la conférence se conforme strictement h la recommandation du petit bureau, qui d« réunit à Londres en février, et qui décida, on le sait, que la séance du bureau devait avoir lieu au plus tard la 10 avril.

Mais revenons à la délibération ministérielle du matin. :mile aurait fait apparaître le désir du cabinet d'entrer dans les vues du gouvernement fran- «traitement, on le Ao.lt» les garanties accordées aux sacrifices consentir. C'est apparemment pour examiner dans quelle mesure il peut rejoindre notre thèse que le cabinet interministériel du désarmement s'est réuni dans la soirée, Cette séance, suivant de près Cent du cabinet, prouve clalre.ment que celui-ci n'eat pas arrivé à des nonsous-comité technique d'étudier à fond certains points précis sur lesquels portent Ses échanges de vue* en cour* *atr» Iy>nflr*s et Parla.

LA SESSION DU « PETIT BUREAU SERAIT DE COURTE DURÉE A GENEVE

Genève, 28 mars (dtfp. Petit Parisien.) Lors de la dernière réunion qu'il a tenue à Londres, le comité du bureau d» la conférence du désarmement avait décidé que, s'il ne se produisait pas d'ici là de fait nouveau, Le bureau luimême se réunirait en session pléulèra le 10 avril, à Genève.

Se conformant à cette décision, le président de la conférence, M. HendeTson, a télépnoné aujourd'hui de Londres, nil Il se trouve toujours, au secrétaire général de la S. D. N., M. Avenol, pour Ib prier de îaitcer lea convocations. brève. Après avoir entendu daux ou trois «posés concernant les conversations directes qua les gouvernements dès grandes puissances ont eues aoit entre eux. soit avec le gouvernement de Berîln, le bureau se prononcera aussitôt sur la question de la reprlse des travaux de la conférence et fixera la date de la réunion de la commiaalon générale.

que le gouvernement britannique serait déjà intervenu de façon pour obtenir un nouvel ajournement qui. cette fois-cï, serait irrévocablement le dernier et qui ne devrait être que de courte- durée,

SI. tel est vraiment le cas, on en peut déduire que le cabinet de Londrea n'a nullement perdu l'espoir d'arriver à mettre sur pied un texte de convention acceptable pour tous,

Cependant, on annonce également, dans l'entourage de la S. D. N,, que les représentants de plusieurs Etats ne se preteraient il. cet ultime ajournement que ai les perspectives d'aocord préalable entre les grandes puissances se précisaient vraiment, et que, au caa contraire, Ils réclamerai eiit la eonvorale, afin d'obliger tous les gouvernement. à préciser publiquement leur point de vue et à prendra toutes leurs responsabilité

UN NOUVEAU TYPE D'OBUS AUX USINES DE SHEFF1ELD Londres, 28, mars (dé?. Petit Parisien)- d'hui, à la réunion de la firme Hadïleld Linilted, de Sheffïeld, l'existence d'un nouveau type d'obus. Ce projectile serait l'engin le plus efficace qui Mit au II pèse près d'une tonne. Lorsqu'il est lancé but une plaque de blindage moderne à surface, dure ayant une épaiscanon, il peut non seulement la perforer et en sortir aana se briser, mais «nen» garder une vélocité suffisante de neuf milles. Cette vélocité le porte jusqu'à une distance de onze milles el la plaque qu'il a perforée a une inclinaison de trente dej?ré&.

Le constil des ministres belge* s'est réuni hier soir

Bruxelles, mars (dép. Ravage) Les membres du gouvernement se sont réunis en conseil ce soir, sous la présidence da M. de Braque ville, pre* mter ministre. M. Tschoffen, ministre des Colonies, n'ouùtiit pas à la séaura. Commencée à 20 heures, la réunion n'a pris fin qu'à 23 h. 30.

qué n'a été remis à la presse.

Un ministre a. déclaré que !e conseil avait procédé un échange de vues sur Sa politique extérieure et le chômage et qu'il avait adopté le principe de la consministériel.

Un groupe d'entente franco belge s'est fondé à Nantur

Bruxelles, mars (ddp. Pttit Paris,) Il s'est fondé à Namur un groupement d'entente pour aider à renforcer l'amitié entre la Belgique un grand nombre de personnalités parlittéraires, industrielles et commercialee de Belgique MM. FranCorbuster, agent de change Graffé, bâtonnier de l'ordre des avocats Materne, président des combattants et Invalides, etc.

L>a première manifestation de ce grousamadl 21 et dimanche 22 avril. Le samedi réception à l'Hôtel de Ville et part Ici patioa à. îa cérémonie de la Flamme à )'Arc de Triomphe, à OTiTHinrï pubjS aqauBtti[P oC au Paiate d'Orsay.

Pourquoi la Chambre des députés américains a passé outre au veto du présidenUooseYelt Le président était mû par un souci de boue, finances les tl épaté démotffttei qui retournent à l'aalorane devant leurs électeurs ont craint de perdre leurs lièges

Washington, 28 mars.

Pi HQTÏÏ CQRHIMSPQ^nfcïJT La puissance électorale des vétéran créa uns foi. de plus pour te président des Etats-Unis une situation extrême. ment délicate. M. Rooaevelt avait im* posé. veto à une loi tendant à donner aux anciens soldats de L'armée amiricaine dea compensations onéreuses pour le Tréear. A peine le message préetdentlfll annonçant le veto était-il parvenu au Capitale hier que la Chambre des représentan ta votait par 310 voix contre 72 la même mesure. La majorité daa deux tiers nécessaire pour annuler un veto présidentiel était donc large*Cette révolte passagère du Congres po*6 un problème très sérieux pour le gouverBeme-nt. M. Roosevelt est opposé au bill parce que Bas dispositions entraîneraient plus d'un milliard et demi de dollars de dé pensée et que le budget de l' année prochaine risquerait d'être naiq en déficit. Il opposa son veto pour détendre la cause des finances saine*, 3a. position est claire.

Mais quel. sont les motifs de la majorité parlementaire qui n'héeite pas à Be dresser contre lui ? Incontestablemftnt, Plus grand nombre des dépvtés ayant voté po,ur le bllï malgré le veto du président ont obéi à des préoccupations électorales, si j'en crois ce qu'on me rapporte de tous c&téa dans les couloir. de la Chambre,

De nombreux député? démocrates sont arrivés à Wa-shlngton grâce à la popularité de M. Roosevelt. Des elrconacrïptlong tradltîonneJlemenc répu. blicaitiea sont devenues démocrates aux dernières Parcs que M. ne.sevelt apparaissait comme le a&uveur. Mals à l'automne, la Chambre tout entière retourne devant le pays, les députés soumis à la réélection, surtout les plus récente élus, ont une préoccupation dominant qui est de garder leur siège. Or les associations d'anciens combattants, grâce à leur admirable organisa- tion commandent un nombre de voix important.

En passant nar-de&BUs le veto du Président, une majorité de député. a espéré s'attirer leurs faveurs aux prochalnes élections.

il ne faudrait nas conclut. do cette dlspaaitton d'esprit que-le prestige du président se soit amoindri, puisque des candidats n'hésitent pas à a'opposer à lui pour gagner les faveura populaires. Ce serait erroné.

M. Roosevelt est toujours exceptionneUement populaire dans la pays, même mi les critiques s'expriment un peu plus librement depuis que-lqu&g semaines h Washington. La même majorité qui ae dresse contre M. Rooaevelt pour se gagner les aynipatîii^a des vétérans lui probablement sur diverse* autres questions une fidélité compensatrice.

Toutefois, cette révolte passagère da la majorité démocrate contre la politi- que du président appelle une réaction de la part de M. Roosevelt, qui ne laissera sans doute pas sans réponse cette preuve manifeste de de son parti. C'est là le point sensible- S'il réagit trop fortement, ne rlsque-t-îl pas de s'aliéner une traction de son part! S'il montre trop de mollesse, nTencoura^era-t-il pas les pire. d'une majorité un peu veule ?

Le bill des vétérans marque donc une étape décisive dans les relatlona de M. Roosevelt avec le Congrès.

Le président ne changeant rien à ses plans, malgré la gravité de Sa situation qui avait amené aujourd'hui dans les galeries du Sénat des masses énormes de curieux, s'est embarqué ce matin sur le yacht de Vlûceat Astor pour une partie de pèche d'une huitaine de jours, Pierre DENOYER

LE SENAT, LUI AUSSI,

PASSE OUTRE AU VETO

WaishlngrtOB, 28 mars (dép. HavG3,) C'est à la majorité énorme du 63 voix contre 27 que le Sénat passa outre au veto présidentiel*

Les contingentement* allemande des produits français

pour le deuxième trimestre Berlin- 28 mars (dêp. Havaa.) Une ordonnance du ministre de î'ïûconomie nationale et du ministère de l'Agricu1ture et de l1 Alimentation, en date du 27 mars, fixe pour le deuxième trimestre de 1934 les contingents d'Imde. produits français contingentés par l'ordonnance du la janvier 1934.

Les différences par rapport aux contingenta pour le premier trimegtre 1934 s'expliquent, déclQre-t-Dn dana les milieux allemands, du fait que les chiffres prévus pour le deuxième trimestre sont baséa sur les chiffres effectifs due importa lions allemandes pendant l'année 1933, tandis que les contingenta pour le premier trimestre avaient été calculés en prenant pour base les ata-tletiquea des onze premiers mois de l'année derplus un supplément de- 1/11, car le chiffre des importations de décembre n'était pas encore connu.

Ces différences de chiffres n'entrainent cependant pag un. différence quant A valeur du montant des mesures allemandes de contingentement L>pi1opie de la tentative

de meurtre contre le roi Alexandre Londres, 28 mars Idêp. Petit Parisien,) Un message Reuter de Belgrade annonce que les nomes Qreb, Podgoretetz et Beg.vitch, inculpés de campiot contre la vie du roi Alexandre de Yougoslavie, ont été condamnés à mort aujourd'hui. Ils devaient le .ouverain durant récente visite à- Zagreb. Mais la police eut vent de l'affaire et après une bataille rangée au coure de laquelle un détective tut tué et un autre blessé, elle parvint à arrêter les trois Individus qui ont été Jugés aujourd'hui.

Oreb a déelarà qu'il devait recevoir une somme de IRO.000 francs environ. Armé d'une b.mbe, 11 s'était mêlé à la foule pour attendra du roi. mais, iQraque l'automobile royale passa, il n'eut pas ie courage de lancer son engin.

LA VISITE OFFICIELLE

DE M. TITULESCO A PARIS Il se confirme que M. Titulesco, ministre des Affaires Étrangères de Roumanie, viendra prochainement en visite Officielle à Paris. Ce voyage aura probablement lieu dans les premier. jours de mal, Par contre, rien n'est encore axé en ce qui concerne une visite officielle de M. Barthou à Bucarest.

Le remaniement de la Constitution en Autriche

s'annonce prochain Vienne, 28 mars (liép. Petit Parisien,) La g-ouvernement fédéra! a émis, en date du 23 mars1, une ordonnance publiée aujourd'hui et modifiant lessitions de la loi électorale paur le N&tïonairat avec effet rétroactif Jusqu'au 13 février dernier. Cette loi prévoit la nécessité dans les circonscriptions où la. moitié au moins des mandate cesseraient d'être pourvus. Ce -eu se pré cents à l'occasion de l'annulation des mandat. aoclal-démocrataâ k la suite du putsch de février. L'ordonnous.. pour but de maintenir les pouvoirs du Nationalr&t actu&l et d'éviter de nouveflilea élections jusqu'à- c« que la nouvelle Constitution ait assuré en Autriche un État de choses stable. On prévoit pour une date prochaine une modification de la Constitution et un rernaaiiôment du gouvernement, Le mouvement des Heimvehren, qui avait au Jusqu'ici un caractère essentiellement militant, a décidé d'adjoindre, à ses formations de combut une organisation purement politique et c ci- vile » destinée à rallier les nombreux sympathisants qui ne voulaient cependant pas être dea sailltaaU.

D'autre part, suivant certaines informations1, un accord aérait intervenu entre le Front patriotique et les Hehnvehren pour délimiter leur rôle réciproque. Liû Froat patriotique demeurerait chargé de toute l'action politique et matérielle de régénération du Pays, tandis que les Helmvehren assure* raient le côté défensif du mouvement patriotique,

L'opinion en Grande-Bretagne sur la question autrichienne Londres, 28 mars \Aép. Petit Parisien.) Sir John Si-on, secrétaire d'Etat au Foreign Office, a déclaré aujourd'hui à la Cbambre dea commîmes que le gouveraemeiit britannique ne jugeait pas opportun da prendre l'initiative de soumettre la question autrichien ne et celle des difficultés actuelles de l'Autriche au prochain conseil de la Société des nations,

Le gouvernement hindou

ayant voulu interdire près de Madras des pratiques inhumaines

de graves bagarres s'ensuivent Bombay, 28 mars idêpêche How».) des autorités gouvernementales dans la pratique de très vieilles coutumes hindoue» vient d'occasionner un véritable drame dans un village de la résidence de Madras. La population de cette bourgade me voyant presque entièrement contaminée par Une épidémie de petite vérole virulente, cinq mllle fanatiques avaient entrepris de s'Infliger des blessures Corporelles en se perçant le corps au moyen de lancea et de harpons, par esprit d'expiation, en présence da l'idole de Ifarlammoi, déesse hindou. de cette Épidémie.

Le gouvernement. qui Interdit de telles, pratiques. avait fait placer des forces de police pour réprimer ces acte» de fanatisme. Majeure uaemenk rien n'a arrélé ces malheureux. et la police, recourant 8. des moyens plus énergiquoi, s. tiré sur les fanatiques sans armes et en a tué plusieurs,

Pris d'une violente les fanatiques se sont alors jetés sur magietrat hindou qui avait donné l'ordre- d'ouvrir le feu, et l'ont enfermé dans le temple de la déesse, en présence de laquelle ils l'ont tué.

Les policiers se sont -le alors à tirer Jusqu'au moment où Us ont dû s'entuir pour échapper à une charge dea manifestants l'officier qui les Cotnma-ûâalt été blessé mortellement à coups de matraque.

Bon nombre de ces fanatique* étalent accourus de bourgades lointaines pour remplir des voaui qu'ils avaient falta en l'honneur de la déesse hindoue. Le gouvernement considère cette coutume comme une pratique immorate, mais les fanatiques hindoue prétendent que la proclamation de la reine vention des autorltéa dans l'exercice de leur religion. !la estiment que leur pratique consistant à s'infliger des mortifications corporelles pour attirer sur eux-mêmes les faveurs de la déesse qu'ils vénèrent, n'Implique pas plus l'idée de turpitude que ne le font les jeûnes auxquels, se soumet M. Gandhi* Un employé de banque suites arrêté pour détoumement

de près de trois million» de francs Genève, 28 mars (ddp. Bavas.) Un employé de la Calsee hypothécaire cinquantaine d'années, a été arrêté pour détournement da titres d'un montant de plus d'un demï-million de francs eutasea et pour falsification d'un titre dont Il avait porté la valeur, par une sur100 francs à francs.

Interrogé par le juge d'Instruction, Dlck a reconnu ausaEtôt les faits qui lui étalent reprochée. II a expliqué que.le livrant à dee spéculations hasardeuaos* il avait successivement dérobé un certain nombre de titres qui furent déposés en nantissement dans des banques de la place.

Pour ses opération* de nantissement, se servait d'un Intermédiaire. Celni-^I a déclaré au juge d'instruction qu'il avait agi uniquement pour rendre eervice à son aloi il a reconnu. toutefois, avoir requ une gratification de près de 3.000 francs. Le magistrat Il. renvoya après avoir attiré son attention *ur les conséquences que pourraient avoir pour lut :!les Ces.

M. Etter est élu en Suisse chef du département fédéral des Finances

Genève, 2a mare {dêp. Petit Parisien.) L'assemblée fédérale suisse a procédé, ce matin, à l'élection du successeur de U. Musy, le chef du département fédéral des Finances, qui avait donné sa démission à la suite des complications politiques provoquées par Je départ de son collègue à l'Intérieur, M. Hsaberîîn. Pour faciliter une entente. les cantons romands ont provlaoi rement renoncé à revendiquer le siège qui était occupé par un de leurs représentante.

Le Candidat du parti eatlio-liqua conservateur, M. Etter, qui recréa en t&it déjà le canton de Zoug au conseil de* Etat*, a été élu par Ils voix contre 218.

Le gouvernement fédéral se retrouve ainsi au complet mais l'on prévoit déjà que de nouvelles démissions pourralent se produire cet automne. Dans la séance qui a eu lieu aujourd'hui au conseil le le conseiller fédéral Motta a déclaré que la politique monétaire du conseil fédéral reste Inchangée et que le gouvernement suisse est plu* que jamais résolu à maintenir la-parité or 4u franc.

Un train heurte

une masse de schiste éboulée sur la voie DEUX MORTS DIX BLESSES Brloude, 2a mars (dép. Petit Parisien.) Ua accident de chemin de ter s'est produkt ce matin, de- bonne heure, à 1.500 mètrw de entre Bleslo et Lempdea (Haute-Loire), dans les circonstances suivantes

Le. ligne d'Aryant à Aurillae passe dan. la vallée de l'Al1agnon, valléa très encaissée. A cet endroit, la ligne passe entre dea masses de schiste qui forment des failles verticales. Au cours de la nuit* un de eeg mnas schisteux d'un volume de 1.000 mètres cubes environ s'&st éboulé près de BruEeillea, à l'endroit 1e plu« encaissa de la ligue et un plains courbe. sur la voie, l'obstruant sur une hauteur de huit à dix mètres. Le train n" 3159, quittant Arvant à 5 h. S0r aborda la courbe à la vitesse normale de cinquante kilomètres à l'heure. Le mécanicien n'était plus qu'à soixante mètres de quand Il aperçut la masse rocheuse qui obstruait la passage. Il bloqua ses freins, mais, en raison de la vitease acquise, la locomotive grimpa jusqu'au faite de l'éboulis. Elle fut néanmoins enfouie eous un amaa de quatre mètres.

Lea deux fourgons attelés à la locomotive mais le premier wagon de voyageurs vint s'emboutir fur 1a voiture qui le précédait, heu victimes

Une voyageuse, Mme rue rue Sêbastopol, à Bric-uoe, a été tuée. Les blessés sont Ange Nicolu, un enfant de quatorze anaT flb de la précédente, qui a les jambes broyées; M. Auguste Roche, cultivateur à SaintVert, près de Brioude Mme Jeanne Thlrîet, demeurant à Poîminhac <Cantal)r jambea fracturée*; Mlles Marguerite Johany. à Satnt Sfrdan (Cantal), et Marie-Louise Rougier, étudiantes; M. et Mme Jean Filliol, 11, rue Grelot, M. Filllol a une jambe fracturée M- Gilbert Mançot. marchand de bestiaux, au la tète, fracture des qui eu,combé à l'hôpital de Brioude Edmond Farnler, de Brioude, quatorze ans, amputé d'une Jambe Régis Pondianne. à Parentignat (Puy-de-Dôme}, blessures aux jambes, au bassin et au thorax, à l'hospice de Friou4e M. Jean Thlret, à Folminnae (Cantal ..(ligné à Briou.de. M. Glacûbbt, préfet de la Haut£!Loire, et M. Lapeyrie, sous-préfet de Brioude, se sont rendus à l'endroit de l'accident.

Deux puissantes grues, venant de Brive et de Nevera, sont arrivées sur le* lieux. La circulation, interrompue entre Aurillac, Neuasargues, Arvaut, Clermont, se fait par transbordement. Les premiers secours ont été fournis par la gare d'Aurïllac, qui a envoyé une machine de se cour des médecins et le personnel nécessaire avec des médicaments.

Farouche ` acte de banditisme à Anvers

Anveri, 28 mars (dêp. gavas')

Un acte de banditisme dans lequel les auteura ont fait montra d'une audace particulière, s'est déroulé co soir à Anvers. M. Norbert Lemùerger, âgfr de quarante uns, exerçant 1a profession d'agent de change et dont les bureaux sont situés rue du Pélican, rentrait tous les soirs à son domicile, rue du Cupérus, muai d'un petit coffre contetient des valeurs. Ce soir, la précieuse mulette contenait 1AÛ.000 francs. Un parent de l'agent de change avait reConduit M. L.emberger jusqu'à la porte de son domicile, A peine M. Lemberger BT«talt-U engagé dans le couloir de l'immeuble, qu'il tut assommé à coupa de barre de fer. Ses appels au secours ameutèrent le. locataires et attirèrent l'attention de son parent qui n'avait pas encore mis sa voiture en marche, Il se préparait à intervenir, lorsque trois individus sortirent de l'immeuble l'un d'eux braqua un revolver sur l'automobillete, L'obligeant à rester à l'intérieur du véhicule. Pendant ce temps, les deux autres agresseurs prenaient la fuite, Le parent de M. Lemberger mit pourtant à la poursuite des deux fugi- tifs, mais au croisement d'une artère, il lut arrêté par d'autres voitures et 1&3 malfaiteurs en profitèrent pour s'échapper. Le troisième Individu ava.it; entre temps, également disparu.

L'état de M. Lemberger est grave- Un vapeur brésilien en détresse Norfolk (Virginle), 28 mars Cd. HrtWS.) Une station de garde-côtes a intercepté un message par T. S- F. du vapeur brésilien. Afandw conçu en ces termes

Hmis avons été télescopés par le pétrolier Ganne-Thuilng, aujourd'hui à 7 h ,3.0 La collision a. été rude. Noua faisons de notre mieux pour atteindre Baltimore. Notre position est 37'4& de latitude nord par 71°4D de longitude ouest.

Les pactes de non-agression de l'U.R.S.S. et des Etats baltes seraient prolongés de dix ans Moscou, 28 mara (dep. Petit Partie*,) Le gouvernement soviétique a proposé à l'Estonie, à la Lettonie et à la XJtbuanl-e de prolonger pour dix ans les pactes de non-agression déjà conclus avec ces trois pays.

L*g trois Etats baltes ont répondu favorablement k cette proposition Il s'agit là d'une réponse au pacte germano-polonais, également conclu pour dix ans.

MARCHES ETRANGERS continuent à m tenir aur la et et Les aDairea ont été aujourd'hui plustTSJieactlBra ont porté sur S4Q-000 Utrea L'owerture a été et le début entraînées par par minière. Quelques valeurs progressé. Lea s.flalr« ont été lourdes en séance d'&pr&s-mkll.

La clôture a é·té «touftllfl. mats les cours n'avaiBtit enregistré ai» peu de ttfMTîgementa.

Borne. Le Lwt>ro its Gènes publie un &rtlci« aur i* désarmement, Prend pour base 1a réponse de la France &u mémorandum anglala et dêfend chsieureuB*. ment les idées contenues dana cette rése réjouissent de ce que le ToyRçe de M. Lù\x\3 Birthou ait donné lieu 6 une véritable manifestation d'Amitié francoWBihlnfton. M. K«nn*y, député democr&ta de New-Jersey, a déposé à la der au «avant Albert Elnateîn, axilA d'Aïlemapie, la qualité de citoyen américain. Londrefl. X-« serplca heUnOfrrapÏLiqua de-, Lyon. Maratille, Nice et Strasbourg S*r»jo»»e. Les ouvriers affilié» aux syndicats appartenant &̃ la Confédération en grève.

Badapest. L«a experts <CDtiûmldu«e Berlin. de et *t Mme Frsnqols-PoTwet tint doone un dtnar de

Revue de la Presse LA SITUATION FINANCIERE Agence .Economique et financière (M- Chartea IXimont).

Je n'ai pas attendAi ]a fin du de I93t pour être et et pour d'ira put>llciuemetlt que. dans l'étal des partie en Fj-aiic^j la de. -,le- combattanta aérait appeiéfl, p*r le. de, événements, a prendre sa part du gouvernement du pa/g.

Lorsque M. HivoUet et ait co-^Lèçuca Ou bureau de l* coïrfiédAratioii vlrareat au Si!n&l, dana mon cabinet de rapporteur génAral. me demander de 8-jmenir La fljii combat tant- i-o leur dis d'abord t&ut&a les rés&rvfls que 'avais a faire sur leurs pour 1b âépçnse, puis J'ajoutai» < Aujourd'hui, plus que Jamaia, vous prenez congplewM de votre force autant que caille de vos droits. Effectivement, vous année, r Allocation au combatMûlB lorsaue la cr que au 3£natr dana mon rappûH, sera juriwee, vtnw voua ùhcCâptef les de la loi qui de-

Riivc-aiet et aea CQfl'Sftffuea, Bîle m'&utorige à croire qu'ils seront le, premiers à df^l que le Président paoton fairg entendre.

ENTRE ROME ET PARIS

Concorda (M. Frangoifl de Tesson, sur rentrêtlen de Chambrun-Museollni). D' après 1 ea qui noua son fomrniea, cet Imporlant entretien témoignerait par conséquent de la. part de M. Muaauiinl, d'un effort tr&a sérieux pour ai»laer lea auaceptttiilltés de 1a France et pour assurer avec il. des contacts Nous les enr^Kistrona vofontJera. La port* restant eu vert 6 pour do nouvelles suggestions, au sujet du désarmement, c'*ot là. qti« noua verrons de mime que pour l'organisation danubienne si ces bonnes disparition? sont vi-fiiment efncaces.

LES ANCIENS COMBATTANTS AU-DESSUS DES PARTIS

Courrier do la (M. Jean de

Lea éréîiemefttB ont prouvé et prouvent encore combien noua iTlona ralaon. C'eat u lait indiBcutabk que depula 2914, oe sont la. gouvernements à large majorité comme celui de M, Polncaré, en 1926. qui -ont bénéflcié du maximum de con.fls.nco et qui ont réussi ce que nuMç autre aorte qui qui le Plus servi un homme d'Etat depuis taire est jouée actuellement par M. Gaston combattants Posé. au lândenudn de C'est pourquoi le. ancien* combattants ceux qui aont pourvus da riches prébendes et on[ Isuir UberW mais tous ceux unis par le vteH idéal co-mmun, nutiilfcater leur volonté et prouver que pour tenter m que nous avions tenté il n'est pas encore trop tard.

Ga tantt de la dachetse â*À ùtlt Rome, 28 mars {âép. Havax>)

Le Dulietin de santé de la duchesse d'Aoste publié ce matin constate que 1a journée passée a marqué un faible progrès dans 1 amélioration.

Une épicière attaquée à L orient par trois de ses clienb

qui tentent de l'élruieler

LorleBt, 28 mars idêp&che Havns), Trois individus pénétraient hier soir dans la boutique de Mlle Tréla, épfclère. soixante ansr et se faisaient servir des consommations. Soudain, un des consommateur» se Jeta sur Mlle Tréla et tenta de l'étrangler.

Malgré les cris de la vietime, qui furent entendus par les voisLnc, les bandits ont pu prendre la fuite et disparaître, en emportant francs que l'épicière avait chez elle et qui étalent destinés à payer l'éohêance d'un* maison en construction.

A PROPOS

DE LA RENAISSANCE SANITAIRE Une lettre de M. Titiôt

Mis en cause par M. Montigny dans une lettre que ce demter adressait à M. Guernut, préaident de la commission d'enquête sur les affaires Staviski, et que le Petit Parisien a publiée, M. Tlssot, ancien directeur général des agsurances sociales, nous adresse la lettre suivante 1

« Paris, le 28 mars 1934.

Monsieur le directeur.

Je vL&na de lira l'étonnante lettre de M. Jean Montigny à M. le président de la coauttissioa d'enquête, que vous avez publiée aujourd'hui.

M, Montigny, se. faisant devant la commission et devant l'opinion publique l'avocat de MM, Dahmler et Chipot dans l'affaire de la Renaissance sanitalre, a cru trouver une diversion et il Insinue tout simplement que François Albert et moi-méme aurions voulu « étrangler t> la Renaissance sanitaire pour faire place libre à Staviski qui ambitionnait, paraïMl, d'effectuer l'outillage national et sanltair*.

J'avoue que cette extravagance porté beaucoup plue au rire qu'à l'Indignation.

Renaissance sanitaire a la commission de prévoyance Il Tl s'est employé longtemps dans l'ombre étouffer le scandale, Il s'essaie maintenant au grand jour, mals là il ne donnera pas le change.

Bt, puisqu'il célèbre à l'envi le rôle de la Renaissance sanitaire, je citerai, quaat à moi, ce qu'en dit M. l'inspecteur générai Auzenat dans son rapport de septembre 1932

c La Renaissance en dépit de sa situation juridique de société reconnue d'utilité publique, n'est pas purement philanthropique. D'un© part, à à l'articla Il de ses statua, elle n'a aucun mouvement àe cotide dons du de legs.

D'autre part, les circonstanceste? dé sa. fondation montrent qu'elle eat due à l'inspiration d'un groupe d'architeetes et d'entrepreneurs Impatients d'assurer sous le couvert d'une entre- de constructions susceptible d'assurer des bénéfices très rémunérateurs. » Voici, au surplus, comment s'ex- prime M. Pormann à la page 0B de taire à la commission d'assurances et de prévoyance sociales

Le! mutualistes semblent avoir été abusés par ceux qui ont recherché leur Es ont ainsi apporté à J'oeunu brevet d'honorabilité qui. Ils l'3gTioralen.t de bonne foi, couvrait malheureusement dea aRlssemenU condamnables. »

MM, DormaCD et Auzenat s'accordent à relever un manquement de 4 millions dans las écritures.

En vous demandant l'hospitalité de vos colonnes. je vous prie d'agréer, monsieur le directeur, l'assurance d0 mit haute considération.

Signé C. Tissût.

LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Mort du coureur motocycliste Boudry Lille, 23 mars (dêp. Petit Parisien.) Le coureur Boudry, qui, revenant de l'épreuve motocyclisteRqubaix, avatt fait une chute au et et s'était fracturé le crâne, a succombé il. l'hôpital.

AU « JOURNAL OFFICIEL » Le Journal officiel publit ce matin TYcHXMitt pu Vn décret nommant, dater du ]or avril len membres Prystea et télégraphe*. Un décret portant fixation- des tarifa de location d' mt*aux d'Informations et aux Journaux.

MM. HULIN ET SONT EXCLUS

DU cours d'une séance tenue durant la nuit par le comité exécutif Après la réunion tenue cette nuit par le comité exécutif et en fin d'un débat qui fut long et très houleux, le communiqué suivant a été remis il. Ia presse

Le bureau du comité exécutif du parti radical et radicai socialiste et la commission de discipline réunis, après avoir recueilli I*b explications des délégués du groupe radical socialiste de la Chambre à la commission Stavtekt et procédé à l'audition de MM. Huiin et Proust

Considérant qu'Il résulte des faits exposés que MM> Hv-lin et Proust ont accompli dea actes qui, a'ila ne tombent pas sous le coup de sanctions jttdiciaires. sont cependant incompati* oies avec la dignité du mandat dont ila sont investi* j

Qu'ils ont ainsi manqué A leur devoir envers leur parti

En conséquence prononcent leu, exclusion,

DES MANIFESTANTS TENTENT DE TROUBLER UNE REUNION DE L' c UNION POUR LA NATION Vtn> réunion de l'Union pour la nation a eu ïfeu bfer soir dtna lea salons de 1a dencB de M, Jaoouea Detni-Bridel, de la IL- «action, qu'entçur*lent des rede dlveraea aasotMatkma répudu XIV» orrundlasement. la général Erécard et MM. Fltulli, Arawnd Mas- M. Frank] in -Bouillon y fît unertnee eur le de réaliser Tunicn natlorisLle ftu-dfieavifl dos partie et eipOsù Un programme de reâreaaeroent.

De. manifestants spparteîmnt aux grauï>*meiits et et caironunletefl ayant résolu de troubler cette tonréreutîe un Impale, avait été aux abord.. de la aaXïf de reunion. Il dispersa deux cçnta manlleataotg qui a'^talent jfrouo43 ne de Gergovle at en arrêta quatre pour porf, d'arm* prohibée. A la aortl&, le» luren: des cria divers venant des calé* votairta où s'étaient masses d'autres manifestants. GracB au dont fit preuve le service d'ordre, il n'y eut aucuns bagarre et tout se un, inoldint.

SOURIRES DE PRINTEMPS La vie est encore belle, il suffit de savoir la regarder' C'est en s'inspirant de ce thème que Clsud: Blanchard, Simone Ratel, M. de Wa'efto, Tteyna, M, dalabordarie, Germaine Beaumont, Henri Duvornois, Marsan, UDelarueMardrus, Brunon-G-rdia, Emile Henriot, M. Prax, E. Vuillermoz, Leuls Léon-Martin, P. La Maiièrs, P. Mat-Orlan, Cumomly, Alain de Caters, H. Clouzot ont écrit pour LE MIROIR DU MONDE une brillante série d'articles variés, touchant tous les domaines de l'esprit itous magnifiquement illustrés par la F hoto ou le pinceau d'artistes) et qui font de ce numéro spécial de Pâques un véritable petit chef-d'œuvre. Retenez dès maintenant votre exemplaire, rendu e)K*p£;> nellement 5 frunes seulement.

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A LA COMMISSION DU 6 FÉVRIER

La commission d'enquête sur les événements du 6 février n'est réunie hier après-midi.

Rappelant que M. d'Audiffret-FaS'%Mier a invoque l'exietence d'un Becond rapport Moasô, M. Forcinal désirerait savoir si la commission est en posses- sion de ce document.

Le président fait connaltre qu'il ftst entré par téléphone en cammunication avec le ministre de t'intérieur, lequel lui a dit qu'il croyait qu'on avait tout envoyé à la commission. D'autre part, il aurait eu par téléphone de M. Bertiïûin l'affirmation qu'il y avait non seulement un rapport, maia une feuille annexe de deux pages qui, selon IL Berthoin, avait da être eavoyée à la commiâslon. Le; président a procédé aux vériflCjsiions nécessaires et, n'ayant trouvé que te rapport dans te dossier de la commission. il a de nouveau téléphoné La sûreté générale pour denjauder que ce rapport complet soit transmis d'urgence à la commission.

Le colonel Josac

Le colonel Josae, président de l'Association des décorés de la Légion d'honneur au pêrlï de leur vie, et le général kavigne* Del ville, sont introduite

M. Joase fait connaître que l'aseoelail- qu'il représente compte environ tfèiB mille membres. Son but est de défendre 10 prestige de l'ordre de la. Lésion d'honneur-

D. Avez-votia participé à de. manifestations antérieures à celle du 6 février?

R. Jamais. Comme l'U, N. C. avait décidé de manifester, nous avions pensé que noua avions 1e devoir d'être de la manifestation^ et d'autant plus qu'à div«TS£3 reprises bous avions estimé qu'il serait bon que toutes les associationa patriotiques se concertent pour agir dans l'Intérêt du paya, étant donné le* faita graves, auxquels nous avions assiste.

D. Rue Royale, personne ne a'est occupé de vous ?

R. Le barrage des gardes mobiles à cheval s'est ouvert. Nous n'avon3 pas au la moindre difficulté à atteindre la piftCC de l'Opéra- Place du ThéâtreFrançais, noua noua sommes arrêtés pour protester contre la mesure frappant M. Fabre.

'.Voyant qu'il n'y avait pas lieu <Tiasiflter pour aller & la Chambre, nous .sommes repartis pour les ChampsMyaéaa dans ta direction de 1'Elysée et nous avons trouvé un barrage de police mobile. Nous pas insisté et nous avons marché vers l'Arc de Triompha Il était environ 22 h. 30. La colonne est ensuite repartie vers la place de la Concorde, après avoir franchi deux barrages. Le calme régnait ûut la place. Il était environ 23 heures. Rge Royale, une autre colonne arrivaU dirigée par un conseiller municipal de Paris. Renforcés par file, nous revînmes sur la place de la Concorde. Ce que nous voulions exprimer, c'était la protestation du pays contre la protection dont bénéficiaient le. pilleurs de l'épargne, A ce moment, il' eut cinq ou six charges extrêmement brutales de la garde mobile à cheval. Notre association fut dispersée de tous côtéa. A ce moment, J'attire tout particulièrement votre attention sur ce point j'entendis ce qui me parut être ̃d'abord le tir d'un fusil mitr&ilisur taç_, tac. tac. C'était la pistolet automatique, paraît-il. 60, 80, 100 coupa Jurùnt tirés. Je pensais que l'on tirait à blanc pour effrayer les manifestants. MflJ* je vis peu aprës un jeune homme de vingt à vingt-cinq ans tomber. le corps traversé d'une halle. Les balles sifflaient au-dessus de noirs. Je pensais qu'un gradé avait donné rwdre.de dfs de nouveau le même tac tacpencîant plusieurs minutes. Ia tir était donc réfléchi, prémédité. 14 foule, affolée, se dispersait dans toutes les directions. Le général Lavigne-Pelville

général Lavîîrne-Deîvilîe. J'ai demandé à être entendu sur deux que._tions: du commandement dans les troupes appelées et celle des Nous avons demandé- à M. Marchand la permission d'aller- il la. Chambre, M. Sdarchand a déclaré que nous ne passerions pas. Nous sommes alors partis dans une direction différente. M. Marchand était en tête d'une sorte de magma d'agents en civil, de gardas mobiles, de sardes municipaux à cheVal. H donnait a cet ensemble des ordres semblables ceux que pourrait donner un caporal ou un sergent d'fnfanUtlc à ses hommes. En un mot, il ne commandait pas et ne pouvait d'ailleurs pas commander, car ceux qui ont rait la guerre savent que. pour donner des ordres, il Ea-ut être à en ce qui concerne le second point de 3a déposition, j'ai entendu de nom- breux coupa db pistolets sporadiques ou groupés. Comme sommation, rien du tout- A mon il il ne semble pas qtïT*ile3 aient été faites dans la forme legala. En tout cas, entre 23 heures et minuit, je n'en ai Pas entendu. S'il y avait vraiment eu commandement, Il y Aurait eu quelqu'un pour enregistrer existent, il semble que ces sommations ont été fait.. dans des conditions irré*giïUèresr et c'est un crime a'ils n'existent pas, c'est que l'organisation mitérJùlie du commandement a été tliauvaï&e et elle a dû être sanctionnée par vu blâme.

Je me résume pas de sommation et protection, avec une brutalité accrue, du Falaia-Bourbon vide. Des sonnerlea de clairon Non. De. coupa de langue de temps en temps, tout au plus. qui me semblaient plutôt un signal de marcher en. avant qu'une sommation eua émeutiers

Et. t Le coloflel Jqbsq a dit qu'il e'&KfeeaU de protcattr contre las pillards de l'épargne.

Le colonel Josse. Oui.

LE POIGNARD 1

CHAPITRE XXXIII (suite)

Tram»

II e'énferma dans sa loge, résolu à Ignorer ce qu'il adviendrait.

Mél&k pénétra dans le palals.

Thérèse la suivit, impressiotinée.Mélak tui parut piua pâle, avec une expression hagarde sur son beau visage. Que redoutait-e41o donc? La crainte de Thérèse s'en accrut.

Mélak monta directement & (orj appartemâDt et appeïa sa propre femme ïlirflle Alcha.

Que Se pas»fl-t,il le) ? ïtiterrogêat-elle vivement. Où sont mademoiselle Od(lQ et monsieur Philippe ?

La jeune fine- se mit à parler avec tant de volubilité que Tberèaa ne put suivre la conversation. Mél«k posaït des tj usât tons d'une voix fébrile. L'autre ré- pondait avec vivacité.

Mêlek se tourna vers Ja jeune fille.

U Vous n'avez cependant jamais protesté contre ceux, bien plua notoi(lui sont à la Bourse ?

R. Nous nous élevons Contre tous les pillards de l'épargne, où qu'ils se trouvent.

P. Maïs vous ne contestez pu que. voua préférez diriger une manifestation contre le Parlement que contra la Bourse ?

date Ou.trie, de I Aéropostale, du Métro

K, Alors, le gouvernement a tait son devoir en demandant la commission d'enquête.

(Le témoin se retire).

M. Thitblemont

M. Proepcr Thiébl&mont, dlrecte-ur du reâtHuraiît Weber, prête eermentSI déclare que c'est spontanément qu'une organisation de secours été créée au restaurant Weber. Une quinzaine de bis sa es, arrivés les premiers, furent soignés par le Service du lavabo. Mais, bientôt, les biea&és affluent en si grand nombre qu'on doit pour les recevoir ouvrir la salle destinée à la limonade. On a d'abord usé des premiers moyens de secours dont dlspoee l'éta-* bassement pour les soins à donner à son personnel. Des pansements furent faits par une doctoresse et un docteur qui se trouvaient parmi les eonsominateuns. Vers 20 heures, le docteur Bralnos s'est présenté. Il envoyé un chus- aeur à la pharmacie de la j>lace du Havre pour aV procurer les médicamentit ta Tout cela fut Improvisé. Puis vint, le docteur Walter, en uniforme de médecin de l'armée. Aucun point de «suture ne fut fait. n y eut à soigner plue de deux cents blessés. Afin de maintenir la foule qui voulait entrer rt crialt ̃« Assassina > un service d'ordre fut assumé par les garçons de l'établissement. Puis, à la demande du docteur Bralnœ, on fit évacuer la salle OÙ se trouvaient 1>M blea&éa.

Le Mme la. maréchale Lyautey, accompagnée de Mme la comtesse de Oaiaivî, ayant organisé une am.buian.ee de la Croix-Rouge, vint, le matin, noue demander de nous mettre sa dlspo aitlan,

hl. Keffer, propriétaire du reetaurant, y un journaliste vint vers lui et demanda Que ferez-vôus au* jourd'hui ? Ce que j'ai falt hier si c'est nécessaire, répondit M. Kefter. Mais, aujourd'hui, nous aurons dea communistes »j reprit le journaliste. M. Keffer répondît No 11*5 saiffnerons les blessé 3- »

Vers 8 h. 30, des ble&sës arrivèrent. C'étaient de vrais apaches. Plusieurs étaient ea-Cia cbemï-se, d'autres sans chaussures. Ils étaient fort sales. Un notre client, qui était venu dîner, le docteur Gardet, aldé d'un autre docteur, donna des soln^ aux blea&é.H. Il a fait quelques points de suture, car l&a dames de la Croix-Bouge avaient apporté ce qu'il fallait pour cela. Le docteur arriva ensuite. Pour faire des drapeaux d'ambulance la Crûix-ïtoug-e demandaient des crayons à lèvrea sux clientes qui se trouvaient là. Le docteur Walter revint lui aussi. A 10 heures, il y avait 135 blessés. Le nombre des blessés qui furent soignée jusqu'à 2 heures du matin doit être envlron de 200. Certains ne paraissaient pas aaUsfalfcs d'Être soignés et, sur la table où ils étaient étendus, ils criaient encore contre 1a société.

Le président. Après les premiers saine, vous avez envoyé les blsasés aux hôpitaux ?

H. Voyant que les bleaséa affluaient, jon de nous envoyer des voitures et des ambuteTiees, qui sont arrivées un peu après. Je dols dire que le service a été admirablement fait

Le l&n.de*maln 7, la Croix-Rouge a or^ Lyautey cet venue noua remercier. ̃iie présidiant. "̃ .ïe tiens k vous f élïctter de sa qu. vnng avez fait et à voua remercier des efforts qui ont été accomplis par voua et par le personnel de votre établissement

D. Vous avez trouvé une différence, au point de vue social entre tes manjfeetanfcg de a et ceux du Ceuxci voua Ont semble de condition plus modeste que ceuv de la veille ? R. OuI. le 7, la majorité des matifestaata était composés de « clochards ce qui ne veut pas dfre, d'ail- leurs^ qu'il Da se trouvait pas parmi eux des jeune-s gens de bonne famille. Le témoin se retire.

Mlle Sumpt, tntirmière

Le témoin prête serment et explique qu'elle est de la CroixRouge. La matin du 6 février, elle a téléphoné pour savoir s'il y avait des postes de secours prévue. On lui a répondu que non. EUe Il alors téléphoné à l'U. N. C. pour demander si ontait qu'elle se joignit à la. manifestation. On y a consenti.

Le témoin pousfiult en ces termes A 19 h. 50, j'ai essayé de quitter la rame du métro à la station Con- corde Las employée ont crfé c Per- sonne ne descend, on mitraille s Je suis alors deâcendue.à la Madeleine la Un homme ensanglanté est sorti de la foule et est entré chez Weber, qui était le seul éta-bltesement éclairé. Je l'y ai suivi. pansaient un il il y avait là un médecin qui a demandé s'il se trouvait parmi nous une lnUrmlfere. Je me suis immédiatement offerte et J'ai commencé à travailler.

D&hflï-s on entendait la foule qui criait i Assassins » Je tiens à dire, tout de suite que nous n'avona eu a soigner aucun blessé à balle toua ceux qui avaient été at- teints d'un projectile avaient été trans- portés dans les hôpitaux. Nous. nous n'avons reçu que des blessé. à coups de matraque. A un moment donné, nous avons en- tendu des crîs de terreur; Ha étalent poussée par des personnes qui voyaient avec effroi dea gardiens de la paix e'ef-

Hartclêe ne mit pas où est parti Philippe. Elle ne l'a pas vu sortir du palais. Le domestique qui Je sert habi- tuellement, Ibrahim, un garçon k la dévotion "â'IJcoïâtt reste muet comme une carpe. De plus. Hariçiée et une autre femme de chambre ont cru entendre des appels provenant de la Chambre de Philippe.

Des appela répéta Thérèse, effrayée.

Méleb parut hésiter, puis déclara brusquement:

Allons dans la chambre de Phi. lippe et tâchons de dieouvrlr un Indice. four Thérèse, élevée à, 1'anglaise, le fait de pénétrer dans la chambre d'un jeune homme en son absence n'avait rien de très répréhenafbld.

Alloua 1 d.t-elia avec empresse.ment.

Thérèse suivit Métefc le long de couloirs interminables dont les dalles de marbre répercutaient iugnb rement l'écho de leur pas.

Sans ralson, Thérèse se sentait oppressée, comme à l'approche d'un malheur. Mélek lui communiquait son

Devant, l'appartement occupé par PhIlippe, les deux femmes eurent une brève hésitation. Mélek regarda autour d'elle: d'un air craintif, puis frappa à la porta. Personne ne répondit.

Philippe appela-t-«2ter c'est mot, Mèlek

Rien ne bougea à l'intérieur.

RegindeE! souffla Thérèse, très excitée. Philippe est prisonnier. La clé est sur la porte, qui est rermée de l'extérieur. Essayons de l'ouvrir

Elle tourna la clé dans la serrure. Le pêne céda alors sans difficulté,

D'un même élan, les deux femmes se précipitèrent dan. la pièce. Celle-ci était déserte.

forcer d'entrer, la matraque à la main, lés dans le restaurant. Un monsieur, que j'ai au êire le .colonel Gouet, d'est préciplté à leur rencontre en criant « Vous pas » A 22 h, 40. le sénateur Viellard est entré et a qu'il arrivait de la Chambre et que le ministère n'avait pas en- core Il Il est venu aussi une dame qui cherchait du matériel de pansement je lui aj .donné un peu de tout ce que J'avais. A 23 heures. nous avons prie le paru de conduire blessés dans les hapita.uK.

Nous sommes sortis, le major et moi. La rue était complètement vide. Le majet a choisi un homme grièvement bleasé, un agent et un homme que j'ai reconnu être un Alsacien, et noue gommes partis pour Beauj<m,

Arrlvés sur la place de la Concorde, nous avons qu'elle était trèa sombre. Seul l'autobus qui brûlait jetait des Lueur». Nous avons vu un groupe d ageots près d'une voiture d'ambulance et des voitures du train dea ëquipages.

Le côté gauche était complètement vide trois personnes à gauche qui paraissaient des journalistes contre les statue a, quelque. De l'Avenue au cours la Reine, un groupement compact ivm des drapeaux, D. vous êtes resté jusqu'à qu&Ke heure' sur la placé ?

Il. Jusqu'à minuit. Pu.la, j'ai vu trois manifestants qui Jetaient des pierres. Je les ai surppliés de n'en rien Faire, leur montrant que les gardes étaient en a&rvîce commandé Voilà deux heure» qu'ils nous tirent dessus », répondu.

Une minute après, les garder à chaval ont chargé. sur un rang je me suis effacé contre une grille ttïtna laquelle un cheval a'eirt pria le pied. Le garde est tombé et leg jçen* autour de lui criaient: A mort! Noua l' avons ramassé et ramené à roa came- rades. Comme nous la le tir s'est d4clenffhê du pont, Une cadence astteî rep&le, et il. cinq ou six reprises différentes, les balles ont frappé lu cara qui étalent derrière moi. On a amené un homme qui eet mort devant moi c'était Rossignol. Il avait été frappé par derrière. Il était environ 23 h. 45.

Je n'ai entendu, ni sommations, ai cotips de clairon, j'ai été surpris par le bruit des ballse,

J'ai également vu eoïimeaer un autre mort, Co^4r*au, qui avait été tuê quelques minutes auprès le premier. La séance est suspendue à 17 h.

M. Sol lier

M. Maurice âoïlier, du XVIII- arrondissement prête serment. Il explique minutieusement lea conditions dans lesquelles 11 prit part au service d'ordre, au cours des manlfeatations, au moment où, le Peu venait d'être mis au ministère de la Marine. .1'étais en train de rejoindre mon poste en £a.ce de chez Cook, quand un inspecteur des renseignementa généraux vint m'annûoCer qi)a le cortège de VU. N. C, se dirigeait vers la Madeleine. Je donne immédiatement l'ordre à me? effectifs de ae Tout le mondé, sauf l&a soixante agents restés devant le ministère de la Marins, se replie donc sur le trottoir est de la rue Roy aie. Nous étions installés devant Chez Cook quand J'ai vu arriver le cortftjre de drapeaux et pancartes en tête.

Le cortège venait de fran-eJalr la place de la Madetelrje quand M. Boulanger me donna l'ordre de l'a£com.pâ.gner Jugqu'à l'Opéra, J'ai donné un. partie de mes gardiens de suivre la colonne C'est de là que vient le fameux « Suivons-leg qu'on a paru interpréter comme une intention de notre part de nous mêler aux manifestants-

Un brigadier-chef avec vingt gardi&iia, un peloton de garde mobile avec son lieutenant sont venus jusqu'à l'Opéra,

D. Ca lieutenant appartenait il la garde républicaine ? ̃ R. I^fen; a là. garde inoWle." P, Vous n'avez jamaia eu de Çaa> ttes républioaiiiB êùwë voa ordres ? K. Non, je n'ai eu que dee gardes à cheval.

D. Et le lieutenant Croaafond. R. -™ il appartient à la garde mobile, Le président. Non, à la garde républicaine,

R. Il est possible que je ne trompe en tout cas, il m'était annoncé comme tel-

Au de 1s nuit, meâ gsrdlene n'ont pas fait usage de leurs armes, bien que la situation ait été très critl' que à certains moments, mais j'avais Interdit qu'on tire sans mon ordre. Le président. Quand vous avez dit à vos agents « Suivons-les », comment était composé le cortège des an- clens combattants ?

fi. En tête venaient des drapeaux, une dizaine peut-être, et une pancarte, puis la fouîc.

Ce début du eûrtefff, tout au moins. ne m'apparals-aait composé que d'uncionâ coBùbattanta ,mais quand (^autres cortèges sont revenus, j'en ai vu un notamment très hétéroclite certains chantaient la Marseillaise et d'autres, un peu plus en arrière, réclamaient les Sovîeta.

Il m'a semblé que ce dernier cortège avait de nouveau la îH&tûe pancarte en tête, et j'al l'impression que iea membres étaient plus Jeunes, =.la je na puis l'affirmer. Il fallait que je sur veille de très près les faits, car le lieutenant, M. Crozafond+ voulait faire ueage de seg armes, et j'avais à faire attention pour éviter dea faits irrépa-

Le président, Au moment où cet ofifoier ne vous a pas suivi. à un moment, oîi était-1] ?

R. Je n'en sais rien. Il est vraiment extraordinaire qu'il se sait avisé du fait que l'ordre n'avait pas été transmis régulièrement. Chaque tel% qu'on lut disait quelque chose Il ne comprenait paa. Ce que je suppose, c'est qu'il s'agit d'un nerveu* qui a perdu son sang-froid et qui partait d'employer d'autres moyen il les plstolets et j'ai dû lui répéter d'attendre mes ordres.

Ainsi J'ai été content de me défearraser de lui vers minuit quand je l'aï mis dana un car avec ses hommes.

CHAPITRE XXXIV

Révélation»

Qu'«Bt-ce que cela signifia ? mur- mura Mélflk, effrayé* comme devant un tour de magie.

En trouvant la chambre de Philippe vicie. Mélek et Thérèse éprouvèrent une déception intense.

La. serrure était fermée dfl l'extérieur, dit Thérèse. Il devrait être là. barreaux intacts interdlsaient toute idée de fuite ou d'évasion.

La salle da bains était également vide.

EUes virent qu'un guéridon avait été renversé. Un vase de fleura gisait à terre, en mille morceaux, l'eau repandue et déjà sèche. Le» fleura avaient dû être pietlnÉââ,

Il y a eu une lutte ici, remarqua Thérèse d'une voix tremblante. Lea deux femmes s'observèrent en silence, la même expression, angoissée eur leur? vi&agea.

Voyons, dit Mélek+ ne noua affolons p&4rf. II y a évidemment à tout ceci une explication fort simple, phillppfi serait-il sorti en fermant la porte à clé derrière lui ?

Dana quel but ?.« H aurait -.Ion emporté la clé.- Non. il y a ià un myatère que je veux percer.

Mais, asuf le guéridon renversé qu'efis remit d'aplomb, Thérèse ne remarqîiait rien.

Soudain. Mélek poussa un cri d'effroi. D'un geste, elle désignait à terre rèse n'apercevait paa.

Là, dit-Éïle. voyeï

Thérèse, qui était myope, se pencha. Intriguée, Alors seulement elle rematqua que les losanges du parquet dessi-

Quand je l'ai vu apparaître, 31 venait du boulevard de la Madeleine et il échangeait déjà de* coups de poing avec des manifestants. J'ai trouvé qu'il allait un peu fort, et qu'aurionaM. Pomma ng-e. Quand vous êtes remonté au ministère de la Marina un Inspecteur vous a annoncé 1'arrîvèe du Cortège de l'U. N. C. et vous a, dit de le laisser passer. Et le lieutenant Crozafond a déclaré qu'en tête du cortège marchait un inspecteur qui lui a demandé d'arrêter ce cortège.

R. Ni mol ni M. Boulanger ne comprenons ce qu'il veut dire. L'inspecteur qui m'a renseigné, qui appartient aux renseigne méats généraux» était en civil et devait précéder le cortège de tenant parle d'un inspecteur principal qu'il s'agit.

M. Domnnayt, Le lieutenant Crozafond parle de votre barrupe qu'a, .sa grande surfitiafl il vu g'ouvnr devant Je cortège.

pas de barrage. Que^u'un a-t-H pu Le président. Hier, MM, Lebecq et Desbreaux noua ont égaiime&t parlé de ces cavaJIera qui formaient barrage.

R. II n'y avait paa de barrage. Led Le président Les man If estants ont eu l'impreâelon d une force qui bouchait le passage,

R. Je vous assure qu'il n'y avait pas de barrage. D'aiUeura, à ce moment, H y avait un tel mouvement, une telle folie, que îes anciens combattants eux-mêmes pouvant n'avojf que des souvenirs imprécis*

C'eut ce qud apparaît, d'ailleurs, dans lea ré-ponaea de mes gardiens, lorsque M. Doïumange, Devant la Madeleine, écrit M. Maurice Beaucbamp, on apercevait des agents et dea gardes à cheval.

R. Il eat évident qu'il y en avait, Maie au moment où le cortège a débou- ché, les cavaliers étaient rabattus. C'est net

La président. C'étaient des cava- liers de la gare républicaine ? R. Qui. La vérité, c'est qu'il a dû tus et l'arrivée du cortège à l'entrée de la rue Royale.

D. C'est pourquoi ils auralent pu s'être rabattus. au moment où le cortège s'est engage rue du Faubourg- Saiat-Honorâ

R. Si l'un me disait que les m&- nifestafits ont de loin vu tes cavalEers, je dirai possible. Mais a qu'à la haunoré, 11 y ait eu des cavaliers, non. D. Ils ont dit « Entre le café We-ber et la Madeleine x,

M. Edouard Boulier, La. contesta*lion porte sur une affaire de minutes. Le président Noua vérifierons. R. En fait de barrages, il n'y en a eu qu'un, pour Va Solidaritéfetidre. J'avais seulement pour mission d'éviter les dévastations et ie désordre* M. Rivière. Si lea anciens combattant$ s'étaient présentés devant vous; qu'aUTiet-vous fait ?

R, J'aurais laissé passer. Un membre de l'U. N. C. s'approchànt de mol m'a dit « Vous n'allez pas envoyer voa cavaliers >. J'ai répondu que ce n'était pas mon intention.

D. Quand avez-vous pria la tête do la colonne reconstituée?

R. J'étais en réalité sur 1e trottoir à hauteur de la. tête. J^ l'ai prise an coin de la rue Royale et de la place de la Madeleine.

D. Cette troupe était encadrée, disciplinée, avec ses emblèmes, pancartes et drapeaux?

D. Oui, elle chantait la JtfarseUIaîsç> ffillfl ne donnait pas rïm&ressiott de gens davant faire de- déprattaUOùa. D. Et la même colonne, faim rr Le. cris étaient plus vîolents. Quelques pierres btaient lancées- La partie communiste de cette Colonne disait aux gardiens « Venez donc nous chercher »

Le président, Voua avez parlé d'une conférence qui avait eu lieu le matin. Qui la présidait ?

R. M. Bonnefoy-Sibour est venu. IL est reeté quelque* minutes. Il noua a dit que c'était la première fois qu'id prenait contact avec noua et qu'il comptait sur nous. Je crois me rappe* 1er qu'il a. déclaré que l'on ne puisse aller à la Chambre et que l'Elysée- fût protégé. Puis il est paru. La conEérence a été tenue par MM. Marchand, Meyer et de Courvel.

D. Tous les cc-mmlsaa.ire3 étaient le. ?

R. Tous les divisionnaires et tous les Commissaires d'airrondisseiDents. D. Quelles Instructions gétiéroles et quelles m=rtructiong particulières avez-vous reçues ?

R. Les Instructions géaéraJeç turent celles que j'aj déjà indiquées. Pour ceux qui n'avalent pas un point ̃spéelal à défendre, elles m r^suTnalent dans te le maintien de l'ordre et la protection des propriétés.

Pour caua qui avaient à dktendrt l'accès de la. Chambre, les Instructions étaient ne pas laisser passer et j'ai compris: ne pas laisser passer d'une maaière absolue,

D. Les mots t par tous les moyens » ont-Ils été employés ? R Je ne m'en souviens pas. Mon impression êta^t que je ne devatg pas lajseer passer du tout. de même qu'à l'E!y*ee et au ministère de l'Intérieur, Leur accès Il toujours été défendu, Il doit l'être de nouveau. Voilà la selle. D. A-t-on parlé de l'itinéraire de IU. N. C. ?

R. Je crois que c'est M. Perrier, directeur des renseign&ments généraux, qui a donné des renseignements sur le. endroits où se rassemblaient les parti. politiques.

Ç'est à ce moment, me aemble-t-il, qu'il dit Le cortège de l'U. N. C doit suivre cet itinéraire ChampsElyséea, Concorde, Oranda Boulevaxda. i Je crois qu'à Ce moment M- Marchand a dlt < S'ils :se dirigent

naient un carré très apparent et un peu enfoncé, comme celui dune trappe Papa prétendait qu'il i avait dea maison, dont le secret était perdu, dLt Mélek. Nous ne lea avions pas découvertes.

Philippe aurait-il fait, à son Insu, jouer un ressort demanda Thérèse. le Quelqu'un, plutôt, qui connaîtrait voulu le faire disparaître ? murmura Mélek toute pâle. Mon. mari.

L'Idée horrible qu'Ikmet avatt peutEtra bien perpétré ce crime venait de lui traverser ï'eaprit,

Thérèae, accroupie matafînant au Philippe, êtes-vous là 7

Mais personne ne répandit.

Essayons d'ouvrir cette trappe, dit Melek, H doit y avoir un moyen de faire jouer le ressort.

Peut-être eufftrait-H d'appuyer sur le panneau de bats, dit Tnérèe* en loienaat le geste :il. la parole.

A peine, en effet, avait-«lle touché ta trappe, Que celle-ci s'écarta, laissant béer une ouverture assez grande pour qu'une personne pût y passer. Un escalier de pierre «'offrit à lew* regards.

ce puits, dit Thérèse avec décision. Je voua accompagne, renchérit ïielek, mais il noua faut une lumlernCette bougie et ccb allumettes sur la table de nuit feront notre aSaire. Elle alluma la bougie et s'engagea voûtes obscures.

Avec Intensité, Thérèse revivait le rêve qui l'avait si fort impressioniièe

sur les Grands Bouîevarda, il n'y aura D. Voua avez vu une colonne de manîfe*t4Pt3 composée de groupes diles autree un drapeau trinMlore ? R, Oui.

D. Le groupe derrière le drapeau rouge était-Il important R. à 2+000 manifeatants. La séance en levée il. 20 c. A PROPOS DU DEPART DE M. CHIAPPE

MM. Fourès, député de la Seine, et Laniel, député du Calvados, viennent lettres suivantes

Paris, la 26 mars 1934.

t Monsieur le Président,

Je m'empresse de déférer au désir de 1a commi&sloa au eujtt de l'entre*tien que j'ai eu av<m M. MartinaucïDéplat après Ja formation du mlntslèrB JDaladlar et à la veill* du départ de M. Chiappe.

Le 2 février, je crois, je reçue un coup de téléphone du cabinet de M. Martin au d"-D£plat, alors saus-aeerëtaire d'Etat :iL la présidence du Conseil. m* demandant ne passer le volt dans la matinée. Je m'y rendis h. 30. say. Je vie paraitre M. LanlelT mon collègue du groupe du centre répubïication- -comme moi-mem*. Introduit avant lui auprès de M. plat, j'ai signalé celui-ci la présence dans l'anticbambre de M. Laniel et je priai pour gagner du temps de le faire introduire, ce qui fut falt

M. Martlnaud-Déûlat nous dit qu'il et il noua parla de la situation politique qui résultait de la mesure prise par le centre républicain à l'égard de M, Fabry, ministre de ta Guerre, et du proposé. Il nous flt obaerver que le sou130 voix aocialistes et qu'en outre Il perdrait un certain nombre da voix r&dtaaiea. II ajouta que le jour où le gouvernement se présenterait d ^Tant .sa Chambres, M, Bergery monterait ta tribune pour demander la téVe de M. Cblfrppe, que M. DaLadier qui n'avait rien reprocher à M. Chiappe s'trp&ù1 serait à la motion Bergcry et poserait la question de confiance.

Il conclut en demandant si, députa de Paris, je laisserais sacrifier le préfet de police. Je lui ai répondu que si je n'ôtaio pas déeidé voter pour le résolu à m'associer une mesure itir juste prise contre un fonctionnaire irréprochable, d'ailleurs de mes amis. Notre entretien ae iwma là.

M. Lanïel et moi lui avons déclaré, en manière de conclusion, que puisqu'il e'agissait d'une question politique, noua désirions nous en entretenir avec ]ee membres dE! notre groupe.

J'aJ été stupéfait le lendemain d'apce qui m'empêcha de saisir mon groupe de la question telle qu'elle m'avait été posée par M. Martinaud-Déplat.

Signe Louis Fousas,

d«puté de la Seine,

Monsieur le Président,

Pour déférer au désir que m'a exprimé en votre nom M. de Nadaill&c, je viens bien volontiers voua faire part M. M&rtlnaud-Dépiat, à la veille de ia. révocation de M. Chiappe.

Mon groupe celui du centre républicain venait de désavouer l'entrée de M. Fabry dana le mLniatère Dalad-ier. C'est dans ces que M. Martinaud-I^éplat, sous-zoorétaire d'Etat à la présidence du Conseil, me téléphone le- 2 février en me demandant de venir le voir le matin même au quai d'Orsay. Lorsque M. Martinaud-Déplat m'introduisit dans son cabinet, M. Fourès, membre du même groupe politlque que moi, s'y trouvait déjà.

Le d'Etat oommenc* par. nous dire au* c'était à titre personnel qu'il noua avait convoqué©, désirant s'entretenir avec nous de la situation Mlitlque. Il flt aJhïslott au départ parla en ceç termes du problème de majorité qui.sa posait pour Je gouvernement

« L'estrême gauche demande 1a tête de Chlappe Berg-ery montera à la tribune pour l'exiger. Fourès, vous oon- ualâûez mon amitié poiu* Chlapp*. et voua savez qu'13 n'y a rien à lui repromaintenir en tonctions. Daladler posera la question de confiance. Est-ce que vraiment dee hommes du centre comme vous allez vous associer à la manœuvre d'extrême gauche contre Chiappe?» J'ai répondu à M. Martmauû-Dép-lat que je ne connats-gaig pu personnel le* ment M. Chlappe, mais que, surtout ja-près ce qu'il venait de noua dire, je n'avaie aucune raison de m'asaocler à que, en ce qui concerne le vote à émettre, il s'agissait de savoir comment la question ae poserait et que je me con- certerais avec mes amis politiques. La conversation, d'ailleurs assez courte, se termina sur cee mots. de n'ai pas besoin d'ajouter qii'apr$s en apprenant le départ obligé de M. Chlappe.

Veuilles! agréer. etc.

Slgn-é Lanul.

Députe du Calvados. »

LE RETOUR DE M. PIÊTRI M. Hétri, ministre de la Marine,, qui était parti dima.nehe soir pour accompUr ua voyage d'études à Bre&t et à ^orient, est rentré hier matin à Paris à 7 h. 15.

Quel Temps fera- 1- il pendant les Fêtes? Qu'importe puisque voi quelques jour. de vacances, et due dana leur dèpiacemeui elle» leur flacon de RJcqlè», la. inentha farte qui car HIcqîfes c'est du ciau-îî ou du froid, h. votre choix,

Philippe étendu mort dans la crypte funéraire. Elle éprouvait la même finpression d'angoisse et d'irréalité. L'escalier s'arrêtait net, au bout d'une soixantaine de marches.

Thérèse, qui ne s'attendait pu à ae trouver si tât sur le terrain piat faillit se tordre les chevillée.

La lueur falote de 1a bougie éclairait vaguement le 801 de terre battue, les murs suintants et verdis de mousse. Le pied de Thérèae buta contre un corp. Elle retînt un cri d'épou.vanté

Philippe ? Est-ce vous ?

Les deux femmes se penchaient d'un même mouvement. Elles reconnurent le visage chéri et le battement de leurs cœurs s'accéléra,

Méiek appuyait non oreille contre la poitrine de Philippe, tandis que Thérèse saisissait le poignet du jeune homme, le te pouJa.

Il vit dirent-elles d'une seule voix. Philippe appela Méiek, c'est mol. Méleh, parlez-mai, je vous en conjure Penchée sur les lèvres décolorée», elle guettait un &ouffle, une parole. Thérèse secoua le bru du jeune homme qui retomba, Inerte.

Pourvu qu'il ne soit pas blessé Il ne peut rester ici, affirma, àtêlek à noua deux. noue la rtmonterajka don sa chambre.

Essayons, dit Prenez-le par les pieds, je soutiendrai le buste, Il leur semblait qu'elles emportaient Un mort.

Non sans peine, elles hissèrent l'infortuné Philippe 1e long de l'étro.t escalier et le déposèrent sur le lit. La lividité de Don teint le» frappa péniblement.

Pourvu Que nous soyons arrivées à temps murmura Melek atterrée.

AU GROUPE RADICAL SOCIALISTE DE LA CHAMBRE

Le groupe radical et radical «oeïaIl3te E'eot réuni hier matia bo-ua la présidence de M. Chaut em.pe.

Il a entendu le rapport de M. Archlmbftud sur la réforme électorals Le député de la Drôroe a exposé avec clarté et leurs grandea ligne. cinq systèmes de votatlon qui peuvent taire l'objet des délibérations de la commis* aion du suffrage. En l'absence de M, Marchondeau, président de la commission de la réforme de l'Etat, M. H. Ducoa a rendu compte des travaux de cette commiitsioa en ce qui concerne les que«tloa& électorales.

Soh m i $ t, le président Chautempa, ce sujet, indiqué le sens dans lequel Ils comptent Intervenir ou voter au congrès Beaucoup ae «ont montrée hostiles aux oy&tème-s compliquée de la. R. P. 1 Mais devant la complexité du problème, le groupe a décidé de continuer l'étude de cette question.

Sur la proposition de M. Pierre Colomb, le groupe a constaté avec satisfaetion la vigilance et ï' énergie de ses dédègués dans les diverse* commissions.

M, Cirard a fait remarquer au groupe que les décisions prises par J'aasemWée dea anciens combattants rejoignent l'esprit et sur la plupart du pointa les rêaoJutloaa des congrès du parti, ce Que le groupe a comment6 et enre^iatré avec satisfaction. Diverse» observations ont été ensuite échangée* sur la question des armements des ligues et Sut la politique générale.

Ajoutons que M. Arcbimbaud décrit le mécanisme des principaux modea de vbtatEon connus t scrutin d'arrondissement, scrutin de l$ate majoritaire à deux tours, le ̃d-èpartemeiit étant considéré comme circonscription; scrutin uniniMEjual départementaJ, représentation proportionne il* Boue ses diverses former

tion du nombra des députés lui paraissait Jncomp&tlble avec le maintien dv aorutin d'arrondi aae meut il cet d'avis que pour obtenir ce résultat Il faudra recourir au acrutln uninominal départemental ou à la R. P. intégrale. Une nouvelle réglementation du port et de la vente des armes

Nul b* pourra acheter un* arme La conseil d'Etat, réuni hier aprèsmidi en Assamblée générale floue la pré- sidence de M. Théodore Tissler, a. adopté un projet de décret qui lut a été soumis par le garde d*s Sceaux et le ministre de J'Iatèrreur, relatif au port et à la vente des armes prohibées. On sait qu'aux termes d0 l'ortfcîe 1" de lu toi du 24 mai 1234 Tout indi- ou par dea réglementa d'admlaistration publique sera puai d'un emprisonnement d'un motg à un an et d'une amende de 16 francs à 500 francs. Celui qui sera porteur dea dites armes sera puni d'un emprisonnement de six jours à 200 ir&acE,

Le décret, rapporté par M. Peyromaure-Debord, maître des requêtes, énumère dana son article VT les armea dont le port donne lieu à l'application deaaus pistolets et revolvers da tous modales, palgaatds, couteaux-poignard matraques, oaaie-tatea, cannea a épée, ca.nnes plombées et ferrées (saut, bfan entendu, les cann&e ferré*a à un bout seulement), ainsi qua tous onjeta pusceptibles de constituer une arme da-ag»reuse pour la sécurité publique. article 2, que toute personne ae livrant au commerce des arme dont le port est dantes, est tenue d'avoir un registre spécial, coté et paraphé à chaque feuillet par la préfet, la aouB-préfet ou leur par jour, sans blanc ni rature, les oanu> ainsi que îes nom, prènoma et domiolle de l'acquéreur, avec l'indication dea pife* ces ou attestations administratives comportant photo graphie, fournies par ledit acquéreur pour justifier soa identité. Le ministre de la Justice et le mlittstre de l'Intérieur aeront chargéa. chacun en ce qui le concerne, da l'exécueu Journal officiel.

La Jeune République demande la R. P. intégrale

Conformément aux décisions récemment prises, le comité directeur ae la F&derctïon du Nord de la Jeune Repu'"lique vient cCadresser aux partis politiques une lettre annonçant qu'il va entreprendre dans le Nord une campaen (aveux de la R. P. Intégrale, Au comité républicain

du commerce et de l'industrie On noua communiqua 3a note aulEn présence de ta démission de M. Louis Frqiî3tT lés membres du bureau et du comité de direction du comité républicain du commerca, de l1 Industrie et de l'agriculture, démisâkmnaires, dont ]es noms ont été pubïife, retirent leur démi»ton an vue d'affirmer la solidarité qui unit tous les membres du comité républicain du commerce, de l'industrie et de l'agriculture. >

N U P T I A pMk. Iitiuble, .lia porta tn>»beur. Prl, \annat, J, 6<l i lit tnuub

Thérèse avisa un flacon d'éther sur une cdnHota. EUe le déboucha et le flt respirer au jeune homme.

Les narine chatouillées par I'odeur plquan:e, Philippe s'agSta. revint à lui et, soulevant des paupières appesanties, promena autour de lui un regard vague.

Il ne s'expliquait paa la cause de .on évanouissement et restaJt lea yeux ouverts, Immobile, comme diMoua. avec îa sensation d'un clou enfoncé daaa la nuque qui te rivait à son oreiUer. Dea mûuchea volantes s'Interposaient entre eeg yeux et les hautes fenêtres grillagées, les arbres du parc et le grand ciel.

Il remua un bras, se souleva sur le côté et, avec un effort énorme, U parvint à se mettre debout et à s'échouer dans un tauteuil.

Sauvé décria Méiek, élevant au cie-î une action de grâce*

Philippà reconnut lea d«u* femmes ef parut stupéfait.

Que nVeat-iJ arriv.6 ? demanda-Ul d'une voii faible.

Il froDça, tes aourdiB, faisant effort pour comprendre. Un trou béait dana te parquet, cette vue lui Indigea un choc La mémoire lui revenait peu 4 peu. I! revécut sa dispute avec Ikmet, revit la. trappe cédent sous ses pas, se sentit Le bandit l murmur*-t-Ht U bien il passa la main sur son. front. Soudain, les souvenirs -affluèrent, 1I eut une sourde exclamation

Odile ?. Où est-elle ?. Mou Dieu! Pourvu qu'Ikmet n'a4t pae mla ces Ignobles menaces à exécution î Il se dressa, livide, Impressionnant, comme Lazare sortant du tombeau.

zsrûBacATioïm s*nrjurciBBaa Comptoir National ^Escompte de Paris L-aa«iabt-?« générale, tenue 1. 37 mars, l'exercice et a déelSô la Pépùrtitloix d'un dividende ds 50 franc* par actioa et de il'. ÛâS3 par part dE londa-teiir.

La nomination de HM. Pftul ErneatFlord et Charles lpattnktl idinfai»EratC^ra a été ratifiée.

MM. A. de M. Robert et A. Bour£4oJa ont été nommée ans comptes.

La Tuberculose

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PETITES ANNONCES CLASSEES

Quelles menaces ? demanda, Méiek, qui se sentait d4fai-MLr.

C*Us de déshonorer Odile, de la perdre, pour se venger, Méiek, de notre mutuelle tendresse. (EU pour œil, dent pour dent, a-t-il dit. En réalité, écarter Odile et la réduire jamais tre

Et je suis la causa da toua ces malheurs! gémit Méiek.

Aîlon* donc Voua n'êtes en rien responsable, ma chérie.

Où est Odile ? interrogea vivement Thérèse,

Philippe laissa tomber sa tête dans ses mains avec un sourd gémissement, C'est ce que j'ignore, d!t-il. ComMais je vais Interroger ce bandit et Il montra sur le seuil, et parut médusée à la vue de Philippe. EUe s'approcha de Mé1ek et lui chuchota quelques mots rapîâea.

On téléphone da ï* maison de MUité que maman s'est révelHée et me récîame. Son état inspire des tudes graves. Quel malheur'- I] f»ut que j'aille là-bas 1 n'écria Mékk déchirée. C'en est trop, Je ne survivrai paa pas voua abandonner, Philippe

Allez ,vlte, chérie ef du courage, dit Philippe en pressant tendrement le» mains de la Jeune femme. Retournez auprès de votre mère. Pendant ce temps, je rechercherai Odile et réglerai mon compte avec Ilcmçt.

lA suforv.)

Copyright bf'Ev* 1934.


A LA COMMISSION D'ENQUÊTE SUR LES AFFAIRES STAVISKI SUITE DE LA PREMIERE PAGE

I* ancien préfet de polico explique le fonctionnement de la direction de la tance de son rôle Judiciaire, c'est-à-dire Boiua dû la, Justice aous 16 contrôle du parquet. il précisa que les commlaaaires aux délégations judiciaires sont des magistrat» qui reçoivent leur impulsion fet de police.

C'est du procureur de la République et de ses substituts qu'Ile sont les auxiliaires, aux termes mimes de la loi.

Les rapports et actea da procédure qu'ils établissent sont envoya au parquet sang avoir à être soumia à l'approbjB-Uon préalable du préfet de poUc*. dt polie* sur l'activité des commissaires aux délégations judiciaires est stricte*ment limitée. Cependant., M. Jean Chiappe a estime qu'il était indlapenaable de confier iL des fonctionnaires epéclaliséa le soin de aulvre les affaires financières.

C'est dans ce seattnient, et de ma propte initiative, que j'ai créé, en tévrier 1930, une brlgade financière camptant un brigadier et deux inspecteurs. L'importance et la valeur des résultats obtenus par ce nouvel organisme m'amenèrent h le développer et à la réorganiser en avril. L'effectif de la brigade fut sensiblement renforcé. H est aujourd'hui de huit inspecteurs ou gra- dés, dirigea par un inspecteur prlnclpal, sous l'autorité d'un çommiuaire aux délégations.

I*s rapporta établis but l'activité d. Staviski furent remis directement AU parquet par le commissaire Pachot La collaboration qui, dès lors, s'étabUt entre la brigade1 financière de ta police judiciaire et 1& section financière du parquet ne se limite pas à des trans- missions d'actaa de procédure ou de rapports. Elle comporta entre ces organismes des contacts pereoan&ia fréquenta.

Si îe parquet seul a OU da ces rapports, est-ca à. dire cepenrites de la. sûreté générale ? Certes non. car il ejrfgte bien une Liaison permanente entre la préfecture' de police et .la sûreté générale.

auprès de j'autre des inspecteurs et des commissaires qui vont sur place consulter les dossiers et prendre connaissance des rapports et des pièces de procédure.

A ce titre, cinq commissaires spée1aux du contrôle de police administrative de la sûreté générale et un oommiaHaire spécial du contrôle des recherchea judiciaires sont habilités pour signer les bulletins de recherches qui dossiers qui peuvent les intéresser dans 1» archives de la préfecture de police. La même faculté est spécialement accordée à huit commiaeaires de la première brigade mobile dé la. sûreté générais iL Parla,

En fait, la liaison entre tea daux maisons est effective pour les affaires judiciaires. Les consultations réciproquel!: des dossiers saut presque jaurnaltèr&s. Dans l'affaire Staviski, les duẽUra ont été consultée par leç inspectoujours restés à leur disposition.

Cela résulte des déclarations mêmes du personnel de notre brlgadç ttnan- «1ère, de ces hommes de devoir qui s'appellent 3evette, Loub et Cousin et à qui je ne saurais trop témoigner m* reconnaissance pour le dévouement et la perspicacité dont ils ont fait preuve dans l'affaire Stavlski,

M. Chlappe expose ensuite dans quellu conditions il a eu à s'occuper de Staviski.

Ce lut pour la première foie, en I&2S, alors que J'étais directeur da 1a flûretÊ générale. J'al pris l'initiative de jeu*. Lorsque je quittai la sûreté générale, l'arrêté était toujours en vigueur. 3ta.v&Jcl n'a plus reparu dans les cerdans les casinos de province où il parvint à -outtratr? 1.200.000 francs à M. ZagTa.ph.os, avec des cartes maquîU-ées-

C'est la seule relation qu'il y ait eu entre Stavigkl et M, Zographoa. Ce dernier en fut la victime pour une forte somme et c'est assez dire que ai moa. amitié pour lui avait pu avoir quelque influence sur mes actes adminiatratifa, c'est dans le sens de la rigueur contre Staviski que cette influence fie serait exercée,

Alasi donc, al Staviski fréquente a*»idûment les casfnoa, on ne le voit jamais dans les cenîle a parisien*. San activité s'est portée ailleurs et s'exerce dans diverses Entreprises ftnanclères.

Après avoir fait mots deson, U est mis en liberté provisoire le 29 décembre 1927. M*is moins d'un an après il donne Heu & une Cûaimiaefoa rogratoïre à laquelle la police judiciaire répond par un rapport en date du 27 novembre 1928.

D&s lors, la police judiciaire 1. reprend en surveillance et cette surveillance devient plus active lorsque je crée la financière. Le® divers rapparia que cette brigade a fournie depuis le 38 mars suivent d&ns^tcuE leurs développements le! entreposes de Staviski.

Alnsi dis-huit rapporta furent transmis au parquet, dont cinq étaient des rapports d'initiative émanant toua de la potfce judiciaire.

M. énumère ces rapports en aoulignant leur importance M en appecelul de mal 1P31, de l'inspecteur Couatn. Le parquet de la Seine ee rendit pleinement compte de l'importance de ce rapport et il en donne connaissance au parquet d'Orléans. C'était incontestablement la voit normale, s'agt&eait d'une affaire judiciaire qui devait être traitée de parquet à parquet.

C'est ce rapport Cousin, de mai 1B31, qui signalait l'orientation vers Bayonne de l'activité de gtavtelci et contenait k cet égard un passage prophétique. Voue eavez que M. Frassard ne manBayonne et, l'affaire terminée, de trans*mettre tout le dossier au contrôle des recherches de la sûreté générale. Nous gomme$ en 1931.

Mais )es services locaux de la police de Bayonne, lorsqu'ils ont été par l'initiative* de M. Fressara". requis lui-même par les parqueta de Parla et d'Orléans, mit en pc-SMwic-n de ce rapport Couata, ne lui ont pratiquement donne aucune auite.

C'était cependant à cette période des derniers mois de que l'on pouvait agir utilement.

testera, la sûreté gén^ rate, le contrôle des rechercher aussi bien que la commissaire de Bayon&ê étalent dûment alart&i.

L'ensembta de ces rapports et de ces eemmunicatloTifl est la preuve manifeste de l'activité, de la diligence et de la perspicacité de la pouce judiclaire.

l'audience de service accordée par moi iL Staviski, sur la demanda et en présence de M. Dubarryr un rapport avait été retenu indûment à mon cabinet pendant quelques mois. Ainsi aurait été entravée l'action de la justice.

Il n'en est rien je vais le démontrer.

Le 3 février 1933, M. Dubarry demandait une audience au préfet de police pour l'entretenir de différentes que®tions et entre autres de Staviskî, qui avait à se plaindra de la police judiciaire. Audience lui fut fixée pour le M. Chlappo invitait M. Xavier Guidard à lui fournir une note pour lui rappeler les antécédents- de Staviakt, Ies faits nouveaux relevés à aa charge

Cette note fut envoyée le soir même. Je la parcourus rapidement et je constatai qu'elle ne contenait aucun ̃fait nouveau et n'était que la rétapitulatton de rapports antérieurs déjà transmis.

Le lendemain même, je reçus Dubarry. Ce dernier, après quelques Instante de conversation qui avait porté sur d'autres objets, me demanda de recevoir Staviski, qui êujt dans la salte d'attente et qui prétendait qu'en raison de son passé la police judiciaire exerçait Contre lui une véritable par.sécution et se rendait coupable d'abus de pouvoir.

Je reçus ce plaignant. SI 18 préfet de donnés contre d'Jnjustei! attaque», il ne saurait refuser à écouter les doléances de ceux qui prétendent accuser tes services.

Cette audience de service dura deux minutes elle eut lieu debout, car je n'invitai pas StavisM à s'asseoir. Il me dlt qu'il avait à se plaindre de 1a police judiciaire, elle jugeait uniquement sur son -pMEé^ faisait preuve d'un parti pris systématique à son égard et l'empêchait ainsi de ae relever.

Je lui répondis que je ne pouvais accepter Une dénonciation générale et Imprécise et J'ajoutai « Adressez-moi une plainte écrite e, Sur ce, je le congédiai,

M. Chlappe démontra que des Informations régulières suivi" par le parquet correspondaient à l'activité de la police judiciaire. Depuis la mise «n liberté provisoire de Stavtski, trois 1nformations Judiciaires avaient été ouvertes contre lui. Les deux premières ont abouti s des ordonnances de nonlieu et la troisième au deasaaïsaemûtit du juge.

Prenez l'ensemble du dossier et vous constaterez que. après l'avoir arrêté en 1925, on a suvi, paa à pas, dans ses entreprises, Staviski. libéré provisoire. Mes services ont fait preuve d'une perspicacité et d'un zèle d'autant plue méritoires que dans d'autres affaires les Initiatives de la préfecture sants ou à des résultats dérisoires (afraire des laitiers, affaire Hanau). Lorsque la police a rempli sa mission dans 1m conditions que je viens d'indiquer, lorsqu'elle a persévéré dans son rôle qui est de surveiller, de dénoncer, de tout mettre un oeuvre pour déterminer l'action de la justice, il n'est que justice de reconnaître qu'elle a attetnt les limite. de ees possibilités, Elle n'a pas le pouvoir d'intervenir pour condulre les informations judiciaires en cours et pour en régler la conclusion. L'autorité Judiciaire est seule maltress» de son action toute immixtion de la police dans le domaine qui est réservé à la justice lui est légalement interdit. En ce qui concerne le passeport délivré à Staviski, M. Chiappe fait connaître que la demande remonte à septem- bre Le juge et le parquet consultés $ l'époque ne s'opposent pas à la. délivrance. Se basajit sur cet avis, le passeport est renouvelé l'année sui- vante. Quant au passeport Nlemenako. l'enquête qui a été faite établit que ce passeport a été. contrairement à ses aîflrmatloîla, délivré à l'Intéressé luimême et dans les condition. les plus régulières, puisque aussi bien rien jusqu'alors de sa conduite n'aurait justifié une mesure exceptionnelle de rigueurOs Griefs formulés au sujet des paseeportB ne sauraient donc être retenus, pas plus d'ailleurs que celui adressé à M. Ameline dont le préfet fait un brillant éloge à qui l'on reproche à tort de n'avoir pas surveillé Stavlakî au cours des derniers mois de sa vie. Il n'est pas de tâche plus décevante 'Une filature, surtout lorsqu'il s'agit d'un homme comme Staviakl, posetssenr de voitures puissantes et domicilié daîia un grand hôtel Plusieurs La préfecture de police a usé via- à-vis de Staviski de tous les moyens d'action dont elle dispose,

Je sais blen que ,'on a prétendu que des influences se seraient exerceôa autour de moi pouir diminuer son activite. Cette activité ne pouvait pas, cependant, être plus grande, De plus, je tiens à vous préee-ntpr les collaborateurs auxquels on & fait alluoton M. Zhmn&r, mon chef de cabinet, est mon COlia-borateur depvis plus de dix ans. Au couirs de cette longue collaboration, j'ai pu apprécler non seulement sua dévouement et sa fidélité, mais aussi sa parfait. probité. Jamais iï eu à Intervenir dans l'affaire Si.ni à l'intérieur ni à l'extérieur de la préfecture de police.

Quant à l'affaire citée par M. Fret devant la commission du 6 février, je la connais bien puisque j'ai signalé les agissements de ce banquier étranger au ministère des Finances et aussi au ministère de ^'Intérieur en vue de provoquer une sanction admlnlstrative à son éeard. De ce banquier roumain mes au même titre qu un autre de *its collaborateurs, M. Duc,

Analogue est le cas de M. Pierre Botiar<ii, Ses fonction. après de moi avaient surtout un caractère de collaboration affectueuse, Il m'aidait dans la recherche de docum&nU historiques et administratif :pour tou2 ce qui se rattachait aux questions d'ordre général étudiées ou e*po&éea au conseil municipaî. Il n'avait aucun titre lui permettant d'intervenir dans l'admlaistrat.on de la préfecture et, in talE, jamais Voilà ce qu'était la pretendue oamanlla. qui n'a jamais existé que dans l'Imagination déréglée de M. Frot. Rien ne m'étonne plus de lui, ma,is j'ai tout de même été sttapêfait d'apprendre qu'il lait mJa en cause M. Zimmer, qui était Précisément celui de mes colla6orateurs auquel il stressait princiPaiement quand il venait à la préfecture de police, et cela lui est arrivé souvent.

L'opinion publique a pu encore être frappée des combinaisons de prend de Staviaki qui était devenu un important commanditaire de journaux et avait sensiblement étendu le cercle de se. relations politiques. Elan-il possible au Préfet de faire obstacle à ces combinaisons de presse Il n n'y avait aucua moyen juridique de les faire avorter ou de les. briser.

En ce qui concerne la Volonté, je n'al connu la combinaison que lorsqu'elle était déjà définitive. M. Dubarry ne m'a en effet jamata prie n1 comme confident ni comme conseiller 4e ses affaires.

Notre vieille amjté était d'ordre pu.rement personnel, Dubarry, dont la plupart des hommes Politiques recherchaient l'amitié lorsqu'il était directeur d'un important journal d'opinion, compte maintenant ceux qui veulent se souvenir de l'avoir connu. Ja ne suis pas rhomm* de ces petite a latiês.

J'ai connu Dubarry. 11 y t quarante AJaccio un journal pour soutenir la candidature d'Emmanuel Arène aux élections législatives. J'avale seize aas, Il en avait Il Il était opportunlste, j'étais radical, ce que nous sommés restée l'un et l'autre.

Ce qui nous unissait surtout c'étalent □os souvenirs de jeunesse.

Je ne crois pas, quoi.que ait pu dire Mme Staviski, qu'il me soit arrivé- un soir de l'embrasser pu. bliquement dans un grand restaurant Il aurait fallu, pour cela, une circons- tance exceptions e-lle. une grande joie ou un grand malheur arrivé l'un dé nous deux. Ce était pas le cas à cettp époque.

Je ne me souviens d'ailleurs que de d'être livré, use fols, à une telle dépublique, Ce n'était pas au restaurant^ c'était face à un conseil de guerre qui venait de condamner un innocent.

M. Chiappe donna même des conseils de prudence à Dubarry pour qu'il ne

ae lalsaât paa déposséder d& son journal la commandita de. Staviski.

Pour la participation de Staviski à d 6& affaires de presse, je répondrai d'un mot au reproche qui m'a été fait de ne pas avoir averti les hommes politiques du danger de leurs relation était partout, invisible, mais présente. Du moins est-ce aiatL que j'avais com- pris mon rôle de préfet J'a1 fait la police je n'ai pas fait de la police. On pouvait on a pu le rencontrer avec sans que j'en fusseformé. Lui-même provoquât ces rencotttrea par surprise. Au aurplue, raient été le? premiers se plaindre de la surveillance exercée autour de me référant aux travaux de votre commission, que ceux qui ont H& incriminée pour leurs relations avec Stavtskl étalent beaucoup plus des complice* F&naeignéa que des victimes Imprudentes.

Vous connaissez maintenant le tôle et l'activité de la. police judiciaire dans l'affaire Stavïëkl. Il n'a pas dépendu de mes collaborateurs, auxquels je tiens à rendre un hommage pwtlcuU&r pour leur dévouement et leur perspicacité, qu'une action décisive ne soit pas venue arrêter plua tôt Jê coura uns exploita de l'aventurier.

Nous n'avions pas la possibilité leSpaîa de mettra fin au régime de liberté provisoire dont bé-neâclart Stavtaki et que seule une décision de justice pouvait faire Mous n'avions pas davantage compétence pour suivre hors du département de la Sains l'extension en province de î1 a et [vite de Stavlekt que noua avions cependant aitmalée dès le mois de juin 1931.

C'aet pourquoi aux informations position de la sûreté générale, seton lMs ordinaires et aana compter les leficroquerie do Bayonne qua vint s'ajouter une enquête effective tant d*a e1Je, a exactement rempli sa miaalo-û. pas Staviski et signalé au fur et âmesure le développement de aea diverses entreprises.

aemeuts de Staviaki il n'était qu'un rerant-ila orientés avec persévérance vers l'autorité judiciaire d'où pouvait seulement venir Sa décision.

Pour atteindre ce but, tout a été mis En <£UVre. La préfftcture de police, par l'ai-R-ane de son ancien chef, peut se présenter devant vous sans crainte. Elle & fait tout son devoir,

M. le président. Je vaia, ci voua le voulez bien, ln*tsrros*rer M. Ohiappe, puis le préfet de poltce-

n'a jamais été ni de vos amia ni et vos relations ? Voua n'êtes Jamais allé chez lui ? H n'eît venu chez vous? Voua n'avez jamais dîné ou déjeuné avec lui ?

R. En dehors de l'audience de jamais vu Staviski.

D, Vous pouvez afflirner la. mêms chose de votpe famille et de votre cabinet ? (Le témoin tait un afftrm&tif) Maïs certains fonctionnaires de la préfecture ne l'ont-ila pas connu

R. Une foie, au téléphone, il demandé audience pour me parler de ltfâ.

Une autre fols, M m'a parla de sa combinaison avec lui; c'est alora que je l'ai mis en garde.

Enfin, CjUand il s'est séparé de lui, il m'a dit simplement Sta/riskl est bien ce que tu croyais,

D. Vous n'avez Jamalil ml* affectueuaement d'autre ami en garde contra Stavi»kl ?

R. J& me garderai bien de répondre sur ce point Je ne veux nuire personne,

D. Je retiena de votre répons* que vous en avez prévenu d'autres. D. M. Pachot nous a dit que, pour moins une fois. Est-ce pour voue entretenir de son différend avec M. Gui' l'autre, vous aviez qualité pour arbitrer le différend.

R. Je voyais rarement Pachot, dont 3e D'ai qu'à fa.ira l'éloge. Il avait des difacultés avec Xavier Gukhard qui, spécialisé dans les affaïrea criminelles, était enclin à donner moins d'attention aux affaires financières. Il ne m'a pas parlé de l'incident. D. M. Pachot ne venait doue pas vous parler des transmis s ions au parquet

R. H ne m'a jamais parlé de l'affatre Stavïakl Si m'a parlé surtout de la Banque Ouvrière. Je lui avals dit d'agir activement Bans se soucier den interventions de parlementaires ou d'avocats.

D. Le rapport du septembre 1&33 n'a pas été tranamia. Pourtant vous avez dit, à un moment, que c'était le plus Important.

Non, c'est celtiî du 11 septembre le plua important.

Dt Le 29 juillet, le Journal de la Bourse fit des rêveJattons sur ataviski et sur Bayonne. Le commissaire spécial de la. Bourse, Interrogé à ce sujet, a allégué que ]e journal paraissait le samedi, veille du repos dominical. Et M. Ameline a dit, lui, que le servie* n'était paa abonné oe journal. R. Le commissaire spécial de la Bourse n'a pas à lire lea journaux il est chargé da l'ordre et de la sécurlté à la Bourse jamais il ne remplit un rôle technique.

nêra]e£ûent vos subordonnés,

R. Il le faut.

D- Le 8 octobre et le 22 décembre, ger Staviski ail eujet des bon» hongrois et de la caisse autonome or il connaît l'activité fâcheuse de Btavlski. notamment à Bayoane, et il ne lui en parle pas

R. C'est dana le rapport du 11 septembre que M. Aœeliné réclame l'audi- tion de Staviski, dont il rappelle le paosé taré. IL a porté le rappott section ftnancière du parquet. Dana son rapport, if. Moaeé regrette que la police judiciaire ae eoit bornée M, Ameline répond que ses Interventions ont anéanti deux tentatives nouvelles d'escroquerie de Staviski. D. Il Jnterrûge 3t6Vi9lii et c'est le 23 qu'éclate le coup de foudre de.Sa fuite de Stavlgkî,

R Nous aurions été heureux de le p. Des consultations mutuelle» de dossiers étaient, dites-vous, organisées entre la sûreté et la préfecture or une fois aeulement on trottve trace de pareille* consultât îors.

R. Le8 Inspecteurs de la sûreté sont venus .plusieurs foi9 à la préfecture, mata en n'a gardé qu'une fiche de consultation. Cependant, le 29 sept.embre et le 17 novembre 1931, M. Bay&rd, de J sûreté générale, a consulté lea sommiers j*ai Ici la photographie de dosa Sera, on ne les a consultés, que trop souvent, d'où les vola constatés, D. Vous deviez savoir que StavJaki rodait un peu partout où il ne devait pu être. Votre devoir n'était-il pas d'avertir l'intéressé, ]c ministre de l'Intérieur ?

R. n faut distinguer entre l'activité de Stavlski dans la presse et ses affaîr*e judicialrea. J'ai eu des conversations avec te ministre de l'Intérieur. Je ne pourrai pas préetetr à quelle date. Nous ne sommes plus au tempe où Clemenceau disait « Du moment remets donc aux déclarations qui seront faite* k cet égard.

D. Vous aves certaJrwnent regretté la dualité quî existait entre la sûreté générale et la préfecture de poHce. Qu'avw-vou* fait pour y remédier ?

R. J'nl pria deux fonctionnaires de la sûreté générale pour les mettre à la tête de la préfecture de police. Je regrette que le directeur de la. sûreté générale lie soit pas venu me prévenir moi-même que, iL son les ebopeg allaient mal et qu'il ait attendu d'être devant la. commis*! on.

D. Une des conséquences de L'fttfaire 9tavigkl a été <ï'api>eJer l'attention du gouvernement sur cette dualité. Un projet a été déposé. Qu'en pensezvoua ?

R. Là, je ne suit pas Impartial il y a du bon dans le projet. maifl je ne crois paa qu'il soit excellent Comment imirnaç-nflUB ce qui ee passe dan* la VU« ? Il faudra toujours un service des renseignements généraux à la préfecture de police.

D. Avez-voua considéré comme user: exceptionnelle l'entrevue que vous avez eue avec Staviaki

H- Du tout,

D. Est-Il donc arrivé, dans d'autres circonstances, qu'un escroc en Uberté provisoire ait obtenu de vous audience 7

R. A la. sûreté générale, j'ai dû en recevoir à la préfecture de police. je ne le crois pas. Mais on a bien reçu COmby la sûreté général? J'ajoute qu'après l'incident Benoît j'étaia obligé de recevoir toutes les plaintes.

D. N'avez-voue pas accordé cette entrevue parce qu'elle vous était demandée par Dubarry?

on. M. Dubarry ne m'avait pas même prévenu qu'il amènerait Staviski il. la préfecture,

D. Avez-voua eu l'occasion de aign&ler le. de Staviaki aux de l'Intérieur qui se sont succédé place Beauvau ?

R. Je ne le crois pas, Mais le danger n'a pas échappé a la police judlclaire. le me suis demandé quelle était l'origine des de Staviaki et quels étaient ses buts en recherchant des relations politiques.

Nous avons cru quH avait trouvé des fonds dans la Compagnie foncière. Quant à ses buts. la police judiciaire a émis l'avis que Staviski comptait aur le plan d'outillage natlonal poux obtenir des commandes de grands travaux. D. Ne vous est-il pas paru utile d'aller avertir le président du Conseil R. Mais c'eat seulement après que l'affaire de Bayonne eut éclaté que nous avons au toute Sa vérité.

D, Vous saviez quelles étaient les relations politiques de Staviaki ? R. Garat et Bonnaure.

D. Aucune surveillance n'a été exercée au Claridge après l'audition de Staviski ?

R, Aucune. Je l'aj Indiqué tout à l'heure. Nous faisons parfois suivre un Individu pendant un mois. Puis le parqu'et ne le fait arrêter que deux mois après. Nous n'aurions même pas la possibilité d'empêcher l'individu de prendre un train.

D. N'avez-vous pas eu le sentiment, connaissant Staviski, que les lien. qui se nouaient entre Dubarry et lui pouvaient coaduli'e Dubarry où Il est aujourd'hui ?

R. Je ne les ai connus que lorsqu'il* étaient déjà établis,

D. Un, de vos collaborateur» et R. Oui, à t'occasion d'interviews qu'il dçvqlt prendra de certains hommes politiques pour la Volonté. Je lui al dit « Mé^e-tol, Staviski est un bomme capable de tout. »

D. M. Bûnardi publié une Interview de vous dans la Volonté, N'avez-voua pas craint Que cela fût pour les affaires de ce journal une aorte de couverture ?

R. Pas une minute.

D. Que aavea-vou& sur la remise par M. Oudard à M. Flytas de- la note quf a abouti à la suspension de M. Bonny ?

R. On veut savoir ai le préfet de police 4 exerce une vengeance contre Mmo Staviaki,

C'est M: tSoes-è qui a demandé au directeur de mon cabinet de lui remettre le doseter 'd'une affaire Bonny.

Ce do&sier n'existait pas.

Alors, sur les instances de M. Moût, le» Inspecteurs ont établi la note Oudo>rd qui ne porte aucune mention de mol.

Je n'avala aucun sujet d'anlmoaitè contre Bonny.

D. Il y a eu là une transmission directe qui est anormale.

R. La été faite à la demande de Jtf. Mossé à l'inspecteur chargé de l'enquite, ea dehors de toute Intervention- de ma part

D, Est-il à votre connaissance qu'Amelegâ Eattlsti ait fait l'objet d'un arrêté d'expulsion qui n'a jamais été exécutê ?

R. C'est mol qui al provoqué l'expulsion des lrèras Battiatt, coupables dans la gestion financière d'un cercle.

D. C'est voua qai avez favorisé la naturalisation de Zographos ?

R. Qui, entre 1924 et Î&26.

D. Nous le retrouvons, non pas avec des passionnés du jeu, mais avec des industriels du jeu, avec des booksa profession de bookmaker ?

R. C'est sur mon insistance quJi! a cessé d'aller aux courses.

Il fréquente les casinos et joue correctement. M. Mittelhauser voua dit sur ce point tout ce qu'il y a à dire. D. Zogr&pboa n'avait votre connalsaanee aucune relation avec Staviski ?

IL Aucune.

D. Ils avalent au moins des- relations de jeu. Vous connaissez l'affaire de Cannes mieux que nous.

R Pourquoi mieux que vous ? En aucune façon

D. M. Montabré a dit que le princlpal partenaire de était Zographos. Donc, Ils se connaissaient Après l'incident de Cannes, il y a eu entre eux un entretien dune demiheure, suivi d'un accord après. lequel on a estimé qu'H n'y avait pu lieu de porter plainte,

IL Le fait d'être suis à U même table de jeu n'Implique pas nécessairement des relations.

D. Et le coup de téléphone dont On a parlé ?

R. Jamais Mme Zoffraphaa n'a téléphoné à Mme Stavïskl.

Les relations de jeu n'existent que s'il y s associât ton de jeu.

Etre assls a la même table ne «lgmifie psa relations de jeu.

Je vous assure que Zogfaphos et Stavlskt n'avaient aucune relation. D. Est-ce que M. Bernard! n'avait pas un bureau chez Cûstachesco et n'a-t-il pas un compte débiteur de B4.0W francs à sa banque ?

RT Je ne peux pas le savoir. D, +– Quel rble a joué Loublié dans l'affaire Staviski

R, Je n'en ai paa entendu parler D. Un certain Sartorl sa serait Introduit dans rassemblé* générale d'une affaire Staviaki et y aurait été rossé sur l'initiative de Lnublié. R. Je l'Ignore. On ns'a seulement dit que des Corses qui avaient battu Sartorl.

D- Dans l'affaire Prince, on. Il arrêté lu gens du Frolic'g, dont Gauvln. Le connaissez- vous ?

H. Gauvtn n'a pas été interrogé, Je le connais.

Il a toujours été mon aml. Je regrette qu'il soit président de ce rote, Hais Il a été placé là par Henri Céard. D. N'ètes-voua pas le parrain de ea fille ?

R. Ou!.

D, On a parlé de vous comme d'un homme redoutable, parce que vous auriez un fichier sur les parlementaires. Est-ce exact ? N'auriez-voua pas des dossiers sur lea parlementaires qui auraient usé de îéui influence en faveur de Staviski.

R. Jamais, Jamais je n'ai fait de dossier mur le. parlementaires. Je fais la police, non de la police.

D. Vous ne niez pas votre amitié pour Zographos. Il a été bookmaker, R. Il cessé de l'être.

D, Aseez tard.

R. En 1922, alors que j'étala chef de bureau à l'Intérieur,

D. –̃ ï*ens«z-vmiB que vas subordon-

nés n'aient pus été enclins il. certaines bienveillances ?

R. Ce eont des histoires. Il y a en aura toujours.

homme de conscience et de courage. D. Voua avez prévenu à un moment donné votre président du Conseil dea intentions qua Vous prêtiez â M. EYot.

M. Georges Mandel a, d'autre part. rappelé que M. tépina avait appelé l'attention du chet du gouvernement sur Rochette. N'auriez-vous pas pu voue Inspirer de ce précédent ?

R. M. Lapina Cherchait Un platgnant. D'ailleurs il y avait Liépine et il y avait Clemenceau.

M. Georg-ea Mand.61. C'est exact et un parlementaire a dénonce alorsmixtlon des p&rlem&ntalrea dans la Justice M. Dalimier

D. Noua savon* que la bande Stavlskj existait depuis aasea longtemps A la générale n'en avez-vous ja- mais entendu parler?

R. Non, Staviski était alors sous les verrous et je n'ai reçu aucune Information spéciale,

D. Ici, on a surtout parlé de deux professions de Zographos bookmaker et professionnel du jeu. Celle-ci serait singulièrement avantageuse, puisque le consortium aurait gagné un milliard en dix bus. En vous eu connaissance ?

R Jamais on ne m'en a parlé je croyais même que les casinos ne faisaient plus d'affaires. Bien mieux, il y a deux ans, voua avez exonéré les ca-atao* de certain ea taxes.

D, Vous sft-vle* que Zographos jouait gros jeu, puisque Staviaki l'iL depouïllë. Où cela !S'est-il passé ?

R. A Cannea.

D. Après ce gros incident Zographoa et Staviakl seraient Tepartte jouer ensemble. Je suis donc sceptique quand j'entends dira qu'ils ne se connaissaient pas.

R, Zographos n'a eu avec Stavlskt que la relation d'une victime avec son voleur,

D. Dana un régime qui te Htmocratiqufr, jugez-vous recommandé qu'un haut fonctionnaire ait parmi ses relations un homme comme Zographoa? R. J'ai connu Zographos quand j'étais simple rédacteur et j'ai pensé que je n'avais pas à rompre avec une échange de services parce que J'or cupais un poste plus élevé-

D. Cet homme a vécu de paris cland'un préfet de police parmi ses fréquentations, ne -croyea-vous pu

R. De mes fréquentations, ]è aills libre. Je croyais être k la comnataelon Staviski et non à la cummiiïiion Zograpïioe.

Zographoe a été mon am!, Je l'ai défendu, f aidé k da naturallsatlon paree qu'il s'est admirablement conduit penrection de jeu je lui conserve mon amltle.

D. M. Bonardl était votre collaborateur. A quei Lltre ?

R. Chargé de mission, Il cherchait dea documenta historiques ou administratifs pour mes travaux mais pas pour l'affaire Staviski.

D. II a été en relations avec Sta- vl&ki Comme collaborateur de la Volonté. Il n'est pas ittd(ffér*nt quil ait étà appointé par 1a préfecture de police. R. Vous n'avez pas le droit de dire monde littéraire, était de la Société des gena de lettres. b. ConaaJ^ez-voua M. Ke-ise! ? R, C'est un ami à tool t't un ami de mon gendre.

qu'était Staviski ?

R. Non. Je via peu.

D. La démarche de Dubarry, le février constituai t-elle un service insigniftant, alors que Staviaki voua demandait de le Ifcl&ser circuler plus libreRf _1. de le crois. Cetta démarche n'a pas eu les conséquences que vous en Ures. Si même Staviski était venu seul, je l'aurais reçu.

Voua n'avez pas le droit de dire que dont Il ne oç souvenait même plus. D. En lors du premier rapport Cousin» voua voyiez M. Pachot joud6 Bayonne. Or, je crois que cette banque a été fermée en 1&30.

R. Ja ne me souviens pas qu# Pachot m'ait parlé une b*u!b Î*ib de l'affaire Staviskî, je vous 1'aj déjà dit.

D. Cousin et Sevestre connai!îsa!.ent le passé de Staviski et preaMntaienî' parlé en 19S3 T

on ne pensait pas uniquement à Bayonne.

M. Garat lui aurait dit spontanément: # J'ai connu à la table de M. Chi&ppo

R. Je a*al -Jamais fait Il M. Garât J'honneur de l'admettre à ma table. Je n'ai jamais eu la mauvaise fortune de 1e rencontrer à la table d'amis, car je !e co-nnaiaaaia pour l'avoir vu à. la casino de Biarritz.

D. Quels sont lea états de service de M. Duc

R. Je rai nommé secrétaire de commissaire de police je me suis réservé, en effet, une nomination aur cinq.

Eh Quand vous av«zi Qïlitté la. préque. vous avez dit c Je auis entré riche fcl, j'en sors pauvre ». Si les haut* fonctionnaires s'appauvrissent ainsi, 31 y a des mesures à prendre. Comment peuvent-ils se ruiner en rempllssant leurs fonctions ?

R. Quand un fonctionnaire ne s'occupe que de sa fonction, 11 oublie ses affatrea particulières et c'e8t comme cela que j'ai été ruiné par des financiers qui sont encore en liberté. M. Vallat. Voua avez été moine eêpas venu seul quelques jours avant K. Je ne m'en souviens pas. D. Vous ne pouviez pas ne paa aavoir que Dubarry truffait ses conseils de gens honorables comme U. R. Ceo nwis c'était trop tard,

D. Le mémoire Staviski porte Une mention de vous au crayon sur la. couverture. Il se termine par un éloge du parquet et par une Vive critique de la police judiciaire.

R- Je l'ai annoté sur la couverture, en effet.

D. L'opinion a été émue parce que Staviski n'a ptt être arrêté à temps. Vous nous objectez les difficultés matérielles, les multtpl&s surveillances à effectuer.

Mais, à partir du 22 décembre, s'il y avait un escroc à iurvalller, c'était bien celui-là.

R. D'accord. Mais la sûreté ffétêraie ne nous a pas prévenus.

D. Il semble que la prêf&ctura au fait son devoir. Mais alors qui, à votre sens, est responsable de l'impunité de Stavi8ki?

R. L'escroquerie de Bayonne aurait pu être arrêtée à temps si la police locale avait fait tout son devoir ainsi que ]«a services techniques du ComD. Peneei-voua devoir aux rapports £*lyta* et Mowé votre départ de la préfecture de police ?

qu'ont auivi des explications improM. Daladier m'a téléphoné. M, Renard avait été convoqué par M Frot qui lui offrit de cholsir entre l'Indochine et l'Algérie. Il a'agrlssait donc à ce moment d'élever leurs chefs à préfecturc de la Seine et à la préfecture de police.

avez que Staviikl commanditait la Volonté, l'avez-vous fait savoir au mi* ttt&tre de l'intérieur ?

que Stavlskl aubventioanait 7a Volonté. de suis à peu près certain d'avoir prévenu le ministre: de l'Ialerieur» mai je n'c-aftrals affirmer.

D. Un escroc commandite Un jour- Il le préfet en est averti il en parle au ministre de 1'Intérleur, c'eat son devoir, et, à cette occasion, il ne peut maaquer de 1ui dire son passé. H. Dans une note du 21 janvier 1933, nous signalons que Btaviski, qui a procuré des capitaux à la Volonté, se préparait à s'occuper du Rempart. Or .,est à la fin de 1&32 que la commandita avait commencé.

D. Mal voUs n'avez pas traité 1a question seulement de cette façon Occasionnelle, vous avez du en parler, dire au quelle était l'origine dea capitaux et la qualité de eut qui était à l'origine- de opt effort.

1 R J'ai d1i en parler, je n'ose l'affirmer,

D, Il me paraît impossible qu'un préfet de police n'ait pas parlé d'une question telle que le lancement d'un journal au ministre de l'Intérieur, E. Je ne voudrais pas avoir de nouveaux démentis, J'en al tant eu Aussi vous dis-je simplement, je ne sais plus.

D. Voua avez dit que le parquet était le grand responsable. Mais cela ne suffit pas. Vous lui avez envoyé 18 ou 19 rapporta- N'aviez- voua pas le devoir .da dire ministre de l'intérieur votre surprise de ce qui se passait ?

R. Si le but poursuivi par Staviski n'avait été connu, il n'est pas douteux que j'aurais parlé au ministre de l'aspect judiciaire de l'affaire maie je voyais surtout chex Stavlskf le désir de satisfaire sa vanité et de 6'entourer de concours politiques pulâaanta

On vous dit que M. Guichard avait fait cette recommandation à M. Pachot; Soyez. bien sûr de vois informations! choses se passaient Toutes nog initiât!' Vis, aboutissaient à des réeultats désolants. Peut-être al-Je commis une erreur, mais il est navrant qu'à la tête du parquet il y ait eu des homme6 qui n'ont peut-être pas fait tout leur devoir.

D. Quand vous avez connu les remises accordées à Staviokl, pourquoi n'en avez- vous pas parla ministère de l'Intérieur

H. Parc* qu'il m'aurait fallu me plaindre de l'inertie du parquât M. Laeranre- Staviski a présents à une banque une carte d'identité au nom de Serge Alexandre.

R, La est un faux.

D, Le volume des affaires de la Foncière était important ?

K, Très important.

D. Vous avez dit que les ministres de l'Intérieur savaient que Staviaki était en relations avec Garât et Bon* naure ?

R. Ces relations étaient sûrement connue» par lea renaejguemeata généraux.

D. Avant les élections ?

R. ̃ Pas avant les élections.

D. Le rapport du 25 septembre était d'ordre intérieur aelon voua. N'avait-il pas cependant une Importance considérable ?

IL. Ti n'était que le résumé d'Informations parues dam les journaux. Nous noua sommes dit puisque le Travail est rassuré, nous 1a sommes aussi

D. Si ce rapport avait été connu de personnes connaissant d'autres éléments, il aurait pu permettre d'arrêter l'affaire

R. Il a été Connu de la sûreté géDérale.

D. Mais non du parquet

R. Non du parquet.

D. Un rapport a été conservé votre cabinet par M. Zimmcr de jan- vier à octobre. Voue le considérez cornu» une note. Il aurait cependant dû suivre Bon CQura ?

R. Il n'avait aucune importance. D. C'est Une opinion. C'est ce rapport qui aurait du être envoyé au parquet en réponse à la lettre anonyme R Oui. Maie Il était si peu important que le parquet ne fa reclassé qu'en janvier.

M. Gout. Avez-vous J'impression que les services de la préfecture de police ont été vigilants, actifs et que tout y a été fait pour empêcher Stavisld, escroc notoire, de nuire R. Mes services, sûrement, ont été très vigilants, très perspicaces, La seule question qui se pose est celle de savoir ni le préfet de police aurait dû interpeller le ministre de l'intérieur ou le président du Conseil et si c*UX-ciF interpellés par lui, n'au* raient pu agir sur le parquet Pour ma part, je ne le crois pas.

En tout cas. mes services ont fait tout ce qu'ils pouvaient et devaient faire.

M, Guillon. Mime Avril n'a aucun rapport avec la préfecture de police ? police

R, Non.

D. N'a-t-elle pu un coupc-Ol* de presse ?

R. Je ne sais pas.

Ea tout cas, Staviski, qui aurait pu en avoir un, n'en a c'eat une chance jamais eu,

témoin se retire à 20 2l 25. M. Hennett

Au d£but de sa séance, la commission avait entendu M. Bennett. Le témoin déclare que, 1e 15 octobre il reçut, au sujet de l'assassinat de Dutreane, un coup de téléphone

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de Paul Comby, avocat radié du barreau de Paria, individu qUd l'oU. retrouve dans toutes les adalres où. U y due prfmes a toucher.

Comby à Vers le 15 novembre, Comby rendit visite au témoin pour lui parler de l'affaire des vola de timbres ûscaux. Il ne tut pas question de l'affaire Staviski au cours de cette entrevue. L'Inspecteur Simon, dans, son rapport du 6 janvier, signale qu'il avait appris que Staviski devait détenir un grand nombre de timbre* fiscaux. Dès le mm* d'octobre Simon était au courant de J'affaire de Bayonne 11 aurait dû faire un rapport à .en chef dur ces questions, Il et a rien fait.

D, M, Simon, voua le Bavec, raconte les choses autrement Il assure vous avoir parlé de J'affaire de Bayonne et voua lui auriez répondu « de connais atavisltl et se* comparées si je ne m'en occupe pas 0-est que j'ai mes raison: »

R. Jamais ]e parlé de Sf.avl ski ni de de Bayonne avec- âlmon. le lui aurais demandé de m** remettre une note écrite. Nous t'avoua parlé que de l'affaire des timbres Il.. caux,

D. Comby a écrit à Simon qu'il ne perdait paa le Ai de de, Bayonne. Il a écrit d'autre part le 6 janvier, à l£, Lassalle que U. Simon était empêché de marcher. Par ailleurs, M. Bayon-Tajrge, qui a reçu Comby le le novembre, déclare que ce dernier lui a parlé de Staviakl et do bon. de Bayonne. Enfin, dans son rapport à M. Dueloux l'inspecteur Simon affirme' également qu'il a appelé votre atten. tion but et les faux bons de Bayonne et que vous lui avez répondu; « SI je ne m'en occupe pas. c'est que n'est pas au point

D. C'est bien vous qui avez *t* chargé de la recherche des chèques ? R. Oui, et j'ai oonflé cette nai«lon k M. Peudeplèce. D. AJors, comment expliquêS-Vûlia qu'ayant envoyé une réquisition au Crédit Industriel et Commercial le- 5 janvier, et ayant reçu de lui le mima Jour l'avis qu'il avait des chèques, cel. chèques n'aient été eaïnis que trot* Semaines plus tard. U. A ce moment j'eta,!» dfiflS&Ii&i et "intérieurement du reste le courrfot Concernant les chèques était passé ̃ M.

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BRONCHITE grave ou bénigne Vous pouvez éviter rime et l'autre: que eo soit la suite d'an rhume "tombé sur la poitrine traduisant par une bronchite aiguë bénigne, «u que ce soit une bronchite pins grave, parc? que de obture chronique.


COMPTOIR GtNERAt DE RASOIRS DE SUttTË Î.A- C BJÎ TOWCO!S-I-, TAHS-»

L'AFFAIRE D'ESPIONNAGE M, Juge d'instruction, & fil venir hier à son cabinet les -époux. SwtU et Lydia StahL Il ne s'agissait pas dg les Interroger, maia Birnpieirjeiii d'etit&oalnér quelques acellês,

Li6a ëpûLut Switz ant natft.mm«nt affirma au mag*9tra.t instructeur que, dans les pièces mous scellés, sa trouvaient les preuves de la véracité de leurs déxlcmciatlans.

Us ont pradâé que le lieutenant-colonel Dumoulin, lorsqu'au lui montrera Ïbs docuEnen-tji auxquels ils font allusion, ne pourra plus persister dans ses dénégatjoaB,

UN VICE-CONSUL DE FRANCE INCULPE D'ABUS DE CONFIANCE M. Aubry, juge d'instruction, remis hier après-midi à 3ff. TîaiTtn, ootnmia.aire spatial à la pouce judiciaire, un mandat d'amener concernant M. Syl̃v-alD-Jeatt-Jacquea Qéra.!dl, viee-consul de France en disponibilité, In.cuj.p4 d'abus de confiance et da détournements.

Ceei pendant qu'il se trouvait en Bulgarie que M. Ctéraldl, qui *st né en 13S2 A. Zèle, en Belgique, se serait rendu coupable de çes détournements.

De l'hôtel où il habitat, 24, rue de MiromaBBil, rex-vice-oonfful a disparu depuis avant hier. M. Badin la recherche. LE JEUNE LUCIEN DELABARRE EN LIBERTE PROVISOIRE

Lors du dernier tirage de la Lcrterîe jjaUûnale, Un arrêta nous l'avons conté un Jeune homme, Lucien Delabarre, qui avait voulu toucher un Itrt maquille. M. Vcrdier, juge d'instruction, a refais ea liberté provisoire l'inculpé, de très bons renseigne méats ayant été fûttral* «îir lui,

UN CONDAMNÉ A MORT VOIT SON POURVOI REJETÉ la chambre criminelle de la cour de Cassation vient de rejeter le pourvoi du condamné à mort Eidmand Louæelo1. à, Sainte-Maure (Aube), rtfonnu coupable d'un aJeaaein&t coiha\ë en cette le le $ sept&mbre 1933 eux la personne de WL Lu-eten Rouaselot.

POUR LES ARTISANS Le Centra d'action artisanal, qui datt au cours de laquelle seront dfo-sloppéea les mnflflS li|rn*9 de «etta otîaitiwiwra, d'envoyer leur adresse ttu sikgn rodai, il, rus L*™*9-Bïiuiç, Alfortville.

LA SEMAHiE ^DOSTOLOGIQUE ce fut Mer J«mî-4e de la Société *tomatoluaÉqiw ilatifcrrae plftO*e aous la haut pBbnmaefr de lieu un banquet amis de a€. AdrtHl ministre du et de Ia Prévoyance sociale, et un bal onert par présidents des deux sociétésniratrlcta avec de mile Paria 1934 ainbaaairtee Se

Jeudi 29 mars.

AU POSTE PARISIEN

Le- vendredi 30 mais, 20 h. Ï0, Te Poste Parislen fera en-tendre à sts auditeurs ia Pareion fis Kertre a^frweiir J^ma-CJJirist, pièce en 4 &Ct*B et tade M, Jean Froment,

Ce mystère. qui n pas encore vu les feux de: la rampe, est donc une création; rjue 1L André Aljôhnut et sa troupe ont eu I'«xcellente idée de présenter aux auditeurs de la radia le jour du vendredi saint.

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

POSTE FA1M91KN 1S13 ïL»-ï9k e/il Au odws du nos de de la Journée. à 13 h. 6, 13 h- M henres. « fin ce= tt deraitr**

Dans le but d'alarmer le publie, des jeunes gens posaient sur les murs de la capitale des inscriptions suspectes La police sinqulétait depuis quelques jours de certaines inscriptions faites sur de. immeubles dans différents q.u&rtiers de la capitale. Ici, Il s'agissait de trois flèches dont les pointes étaient dirigées vers le sol, rappelant ainsi le Signe de la social-démocratl* allemande; là, d'autres flèches étaient surmontées dea lettres S.F.I.C.

Uns surveillance étroite fut ftiercé* plus particulièrement aux endroits qui devaient 3e plu-3 tenter les anonymes auteura de ces inscriptions Et. hier. dts }eunaa gens Purent surpris au moment où ils en posaient de nouvelle^ sur un mur, dans 1e centre. dû la capitale. Il. appartenaJent à un groupement politique dont la but aurait été selon eux d'alarmer publie en lui faisa.nl croire julx préparatifs d'une maclfest*» tion.

Aucune u-r&station n1* été «qrôrée. L'ASSASSINAT DE Mme HEREL Les magistrats belges ont visité l'appartement du crime Les deux magistrats belge! dont houb avona relaté la venue à Paria pour enquêter sur l'assassinat de Mme Hérel, MM. Jean juge et du roi, se sont rendus hier, à 10 heures, rue Quentin-Baucfaart.

La visite dea lieux du crime, à laquelle ag^ietait M. Boyreau, a consisté en un simple examen de la chambre at de la, naignolre où a'est d&roulé le crime. L'app&rteBoent ûést, plus placé sous et aU-ûiiîi proeèaverbaI de *ette vlsite n'a été LÉGION D'HONNEUR COLONIES

OJJîders (au titre civil) MM. J**n Matcnesaoa. gouverneur des colonies Xavier Lasaaile, président de la. tour d'appel de Tananarive.

MM. Uh*rlwi Àrcfcr. rataveur du cadr« métrepulitttin des Il. T. T., directeur ded P+ T, T.. P. aü CB-at^ roua i. Claude Chiorioa, Dr Être mLaajooIr. Po^ydore CharbannLer, adrtiliiistrBteur ûfl3 colonies Louis Eumao, dlrertear d'-sntraprlge «oioDlaJa en A. E. F. rtnl tjefebvrÉ. de la Rétml&n; locai de la Santé *n Annam Victor Lubirt, de cour û'a^p&i cheï de burcoti de l'fidmiiiiHt ration pénîPécbin, aumdiu«T miiitsdTé protestait Rt>g&T Henry, *drm^ nistrûUur des CoJoniiïs ETtimaDuel Brondeau, oûj ois t prlflclpnl hors classa de* fCxvJcÈs clvila tn reLrflitfc.

la |4 tttr* r ïlùmji Frant, Ingénieur de deuxième clause du cadre ..général travaux publics des coîoiïfes.

b. Enr«aiBtteiu«a4i «• Onfk .Le ̃qua tuer d. oiarmetteu assai au U h. 10. concert offert par a G*fi 4c» h. la IlMttan.

là IL la, concert gat offert par Il h. 1U, concert o«çrt par UvnnalUl». 13 1s 3&, 3* :la Oon«ille-rnuinrffie Il l'Amour médecin » 4cèi» du auuc4±,and d'xurvié^n (Crama DE le le Bourgeois gentilliomme Calmanie turtrit* de damseï U h. 3E, cours iiaaaclers.

du Petit- Moncl*, amis la direction dE IL Pierre Hutnbi*.

15 îl 3Û. Journal parlé du poste, par M, Bourdat.

19 h. Se. cauîej-ie .Il b&tona rompus -4e tUtniun-hp-îlluttpf, par m. Camille 20 h. 10, concert offert par Xadlo-'H'ao2u b. 65, concert &ve^ la concours d*s « Cosaque* d. \hm <da Serrée JatoIï »[«rt p*r Ariane),

a h. u>,

£rnrn>an rf* iwmfrWi mirtin

T Jk^l rfTOU e. faufara et Cûacttt 4. musique enrfig-tstréa.

LA VIE SPORTIVE LE CIRCUIT DE NORMANDIE 4prntt>w d* marche

par VU. F. M.

avec eoncintTM du t Parmen 1 LE$ engagements pour la première élimina lotre en vus de Paris-âlrubourg sont ouvert» l'union de Cette épreuve se disputera îes T et 8 avril, sur un parcoure de kilom*trcEf avec départ à Elbeuf, contrôle à Erreuîs, Concbes, Bernay, Usieitx, et arrivée à C*eo-

Le circuit de Normandie, organisé par l'U. V. M. avec le concours du Pettt Pari#*e», qualifiera 10 rnarcheuit pour Paris-Straabourg 10 prix de valeur récompenseront les et tous le=! arrivants terminant daM les délaie (c'est-à-dire huit heures après le pr«mier) recivroat une indemnité de route de 200 fr-anca,

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A bord d'un* v<ïitUïe de LIDO CïïnX, Horton a battu, dut l'aotodrania de Braoklaad, six records internationaux c«lyJ de l'heure km. de 50 km. imoyenne horaire 1M km. 16Q) dm &0 miilsa (moyeno* horaire 18S km. 446); de@ 100 km. f moyenne horaire 1S6 km. JCSOJ; des 100 milles (moyenne horaire 186 km. 960J des 3W km. {aacyeaae hûraire 187 km. 2M).

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La nouvelle superhulle EsBûlube, l'Easo des huile. été soumise en lots à l'épreuve des courses, bous le nom de Standard Motor OU R&cer et eut un palmarès unique îft victoires sur 31 courses on grandi prix.

L'E&Boiube réunit les cinq quaJtté» fond»mental*s de l'huile parfait» vUoojtt-6 rçEiptance, pompabillté, consommation minions, calamine négligeable, stabilité.

EssoïutM n'est pas seulement une huile nouveïl* obtenue par l'application de procédé* d.e fabrication entièrement nouveaux, .,est un« huile totalement différente d» terates ceUe» qui ont été produites et vendues jusqu'alors. UN MEETING ¡¡'AVIATION

SUR L'ASBOOKOME D'HNCHIEN A MOI5SELLES

Vu zaseitag aura lieu dimanoliB snr l'aérodrome d-e i-a ville à à Moiadm baptêmes Ge l'-air et dss décnanstrattoois de toI 6. voit* &iM eu proïffiJUiiue. Cotte manife^tatian d-e jwopag-fuva* se arçiWi£»*a par YAâtù-Olyib de ¡'arrondi.ment de i^oatois^a, avec de conconrs ttviinique de î* Société paur le de l'aviation.

On accède a l's^odrom* de ttnit pu te mute aattoiiftia de -BeanveJs (IL km. de la porte de ViWctt*), aoit par EjiçhleriHles-BaiiLg Dtm>trê)l*;i-.

Koutfl Ja!onT:é« et nédi4« à parttr de. gares d'Eng^Men (lot Ermont-KauboTnifi, d'où partiront des atftoeùra aux. beorra »ulF8Bt*B :UlL,Uh,lî h. la h., 13 h. 30 14 heure».

Départ de Puis: autobus Citroen et B*Baull (rcf£on4e de la Ylllett*).

M. Aimé B«rtbod a reçu hier les délégués des instituteurs Une délégation de la Fédération os- ticm«la de. groupements profrssktnnelis des instituteurs et institutrlcta publics a été reçue» hi«r matin, par M. Aimé Berthod.

M. le Gan (Parla), président de le Fédération, a rai&pelé les principes de la Fédération des G. P. Ubertè poii- tique, neutralité religieuse, souci caastant du devoir- et de la dignité de ia fonction. Puis il a eipnaé le point de yue de cette fédération sur les grandw questions corporatives tra!t«n«&tgH indemnité, retraites, etc.; U a insisté tout particulièrement sur la. de modifier lit compflBiïion et le de comité conisultatif départemental, dont l'organisation actuelle des abus regrettables. Le ministre a félicité Ses (tëtëg-uia pour l'excellent esprit qui anime leur fédération et pour Ses Justes priDCtpM dont ellç Il a rendu hommage aux maîtres et qui, le février dernier, ont accompli loyalement tout leur âevtiiT d'éducatrar. Puis il a affirmé son vU souci de contribuer la. prospérité de V école laïque et de détendre les Lntéféta du enseignant. Enfin M. Aimé Berthod a déclara quVi revarrait très prochamement le bureau- des G. P. pour étudier avec lof diverses queallons, notamment la ré- forme du consefl départemental et du Couse 11 consultatif de l'enseignement primaire,.

ELECTIONS LEGISLATIVES Les électeurs de la deuxi^inq circôi»- crlptioa de I^ri-ent ^UTorblhaTi), de la première circonscription du IX* sirott- diesfement de Paria et de la erreanacrip- tion de Mantes (Seine-et-Oiee) sont conroqués pour le dimanche Ï2 avri-l 1934 i l'effet d'éllfe «n député en ment de MM. duu-rier et Oudia, décé- dés, et de M. Bergei?, rlémi«ajonnaire.

IMfilfi de-la Tîodeisï) Poivrifaua CBourges Spenle million CTuckflrral) 1* Kol do* Ahmod BJili rirtur (PrlOr) Qui le le tttéChiQt Bartc

Au d« L 4m^tot\H à 7 h. et à g h. Sl)r rvrom i3t la presse. proooMtics 4fl De & heure* h. 2(1. concert citer; par

KACIO-PASIS ar«U ïn.î. IL 46 et 7 h. 46, culture phj-ai<iu-a.

13 h., ioin de toi Csaràtit iO*oUr-> et /lirt <mon 9 (T1 tww) Au fW-lU^t) £hiriH*tjn<: peur .la ïr*re ('le Fa.Ua") 1s Glunuon de la watt 18 b. 20,agricole causerie.

18 h. 45, causerie Juridique.

SQ GRANDS MAGASINS 1^^

LES COURSES Hier k Mkitiml-LkfËttB. L» râalUU

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19 h, 30, ia vie prtijque.

çjmn Variât).

Vers SI h. 30, Informatioai ciroaAqne. en la bémol (Schobwt) Première et deuxième E*tumpev <D«biiB8y> Demnittoe Kapmdtp fLlsatJ,

Toea BairpaL ti-aas ql^. 12 h, 1H heures 16 h. h. 30. chronique» diverses. 17 h. 45, Journal parlé.

]fr™ (Hwv4el).

PA1U&-P. T. T. -l-iill tt. Tfc. U b., InformalJons.

lu K 30. re:«la de f^Jç concert,

12 h,, chronique tûurlane; Jju/t>TTn«- tians.

12 h. S0, de» animaux; S'ouaîff^rienH^

iL. Jfo*ncnt m«rtcnf <Bcbiibert) Ptsr tly*t IGrtee) i-'B^î*- triait {tiitriliku} Comtrtw îa nuit (BùûhtnJ le Eonotre [Nfr. vin> Jeï ffr^Titii*» (Maeeenrt) Ave Maria ISrbubert) Tristan pt Iseult &iwiftto?, <?!(*̃ dv ikne ïB&cUwtM) R9vt4*«*in* <BlK«t) J Goûd £ys tT«tI).

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Welter-iiaDdicap. hjjh» tr., 2,ffl» m. 1. C&A&riàra (A. Caboaisat). .& 1S1 à Mme A. IXtLiCFiiUler .P 90 SB 3. Î411e ftoj^ie (A, Habbe) P 14 t. ForUtud* &L AtlfematMl). Non plitstm SavonetU (F H*rrt) Etoile du P!na (A. L*v:ali«l Dune do Turf [R. Viuce&t): lsnDt (N. JFslatï Braïas iO. Dufores) Cîuj-mimt Il iJ, 6Ul*so> j Croix de Feu Í HMbette) Jflrewater IF. Ai3coc1t>. Distances 1 îoiw. i. courte tttt, de Iras. Douze partants.

FRix zAcrara

frases, 1.30Q mïtrcj

1, KoupaJo (B, S 1S E0 à IL Robert Ltward ,<,+P E4 2. P. a C. I.F. Herré) ü » E! &hfta (A. flM.bbe). .P A 4. 3fo£78r fGr, Draforat). Non placés: Bourb^analj <A. ChaltAHe ih, SegufrbJ AmaJek fJ. Pn<»tt> SÀaap tA, tc-ui (IL Tondu) fUu-huicio rJ, floaso>; Alpha (J. T*plnU) Guerrero (J. Thiwnp!jT.ïiî i H^w^t gadt (F. Roch*ttfï UoTteen <1B, Julllta (A. J£«ii««fcn (W. SîWwritt) Durrlïle (G. Gm-ww^î Tlcsb (P. Tsrt&r) ̃; Jfilian Çyfflord (M, Ph>queiin), 1 long, 4, 1 iQftf. i- Vingt partants.

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Haies. 8.(OU ïranas, mètre* L BB.na tfOrfé £J. Larrtea), G 17 50 A ]IL Gaillard P B 2. Vitrine (R. Peltler) P 7 Br*sik (Tt, MouriluJ i 4. Ange Pitou (G. d'ABaezat) L-a'^di;- IA, H^il!> I>u-]c Hill fF. MorelK DiSt&ttcPjS 4 tMW.* 2 ion* 5 long, Sept pvtants.

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Pris de la Ffl1gjuid*rta j^tïes, 15.«W fr 3Jaû jb.# Amùtir Secret» Tttdd/'a XhtuMa.

18 h. U, radlo-^oamaL

1B h, 34, »ars a'tttfiinKnd âUaae& 5OL1£, anaeric ctriooâaï«.

SU h. 30, eorutri de rau^iqiw aa dbiunbre pN- le QnîHteU* uiAniUïUbaUl a. 'Parts /a nrffuntr saisit) Pwml*wwi Iwptempbit [fourè) Bmirrfe ;itaa«HS (X. rp» en •{ bfrnot Ocfinbert) [&u&6itt ®oom*Tttj tGratcujuii- RAlnf>L. L iMILin.CK UU. ».

19 h. 4S, la demi-heure du cabaret mont* nutMla,

U h., .!nJûrmâlJOTl.i

h. 15, prlaentaMon o^tme r^raonnàmt dn ïtiwtaB polHîqtit, îttt*rMT«, te* ]f^icaquetaire> ou (V*rn«y> Eoycrdî 4a Tcwa (PuMlai) Si4^nwl« (Pierre) BèraâAndt etblnatefn>.

21 h™ J'ai to*rf owitti ta CTtimmd«Ii ««rhw i>rej [ObfrteW». b. N, 4teqaM.

m. 1. «t ffiurrfts de Bach Bwifo en r6 ;pour ercha*-

Le renouvellement du bureau de rA**ocïnlkm

de* officiers d'académie

L'AHOclaUâD EaiiowU* de» officia™ d'aeaee54 flOli bureau pour ratine de la tacon suivant* présidtnt d'honneur ]e ministre da fondateur :̃ 3C, César Gririier pres!iî*wt lE L*jpoia FbaU-* Tice-pr4BHleatB ItM. René de Buxeuit, Henry M&rtin, JJ*red Klûneii^ub Adri»n Forg»t «erétïtre généra] M. César Gk>ri3er adjoints MM. René KniHtiR, Jeurfan trésorier M. Bitch adjointe MU. Rocher, ^rçy ftrcMvtSte W, A«dT^ Brandon.

Ea fiTnr de reiptuMon lit 1937 grouj>eiB6nt« d'artlstea et toutes lu chajnbrea Eyn4ica.lea dea métiers 4'art AL Dounwigue, p.résid*iJt du de rimj»rîaoce vitale, pour les ar- tistfcs, ludustrieils, artisans et ouvriers français, d'uùfl «rpositlûJi d'art modéra* en 3937. et dlalt*nt ««Semraent maindana le monda, a assuré Les déléguâc de Cette déclaraîlonf«erareii*!tiBr«*pûit au cœur dea chôiaeîl» de ces cwpar*dont, particulière aieJit atteinte? par la criaa.

qojfcouns HIPPIQUE EMraJtatiL d'iii^

aieubenazit GinliB de TaUerks) i^rogra^ifta «L'ftujourd'kvî

m p;nft 4t ituniM a tinst «t un ne (U. S. M. t\} imM*i»am ift broaxe^ 10 k. 30, Prix Uu-iffiwal ak* jnmr jnu «t >œne« de 15 h., Prix Nmfine ï«pr«w< *>K*0#M j [MBunau *t g«BiUeawi),

tre Arlow 4t ic Pmtton vtkrn *ri*t Jca* Cowerîo jtQw flAte et wtefcn Arioio air de to gela* *atnt Matthieu.; muvrea de H. Wapwr ParaVoi m. m h. lï K. la b. 5, 18 h. Ta h, .» DWocrt, Ji.t A.. VM4Ï* la Vlùtc [Uaaartî V* E4vt *!& (Heyflian.ru Vtui petitt le- dans le train (Farta et Vu; Parys> ta du c«wj- le le ^«n tsyiRat}* wwjuiei Ar toiœnowt. btrrgm in iC^wwiJ-j5î(r>ic (Bemitikyj ia rigoa!)

23 h, pppspffi* hmrrv<W «le «' 8 e» iwî IBe^tnovËJi) AlleÇrc da ia o h, U. la Fi* «orMvwnfl «. £T ÉTRAXGtRES

HATŒWTRr fl*» ra.î, J3 fc, P*r V«itvtto (CEJbulka>; J^rfluda m âo <Eï&« ml-

UN APPEL AUX ANCIENS DES 101' ET 301' R. L

Les ârapeauE pas )<»• et «M." dittCinÈSïM •ûBt dans un état ai lamentai)]* qu'ils » -gLue sortir mu mneée de lTLran6ft nyivat d'avoir suljd une cciLsoiiaïLiQnteuse. Les Cadeta Uffarenya priant lu ««rmïunr Paj-is-WV. aai est charg* at- «nten j!uod& pour les W Muva,. état de iâura elo-rieuX Us les cciTTvtent *£a.lament â leur .fête. du I4 -d&nnée dajia ce but.

Ua aére-club se crée dura le V: Mo m si^calùTa à l 'mitent! du de noa kicieura iMbLtant >b V*tiQs de TA^ro-Ciiib d« T?a pour l'irrgajiisatlon et la dlffiiaimi di> l'aria-, «iftpe bocîaI, te, me Lhomoad, CHEMINS Df FER DE L'ETAT T»l n jn>6 r tri ««̃ d« P&qnca. On PAquat hk 1H occasion d'un iaiportaat nsaumneat 4e afin ^e donner toutes tãtHiitia u puMic d&na Jeura déplac«ta«nff, Ita Qwmiiia de 1er de lStat appitauaraiLt lus.

Lfgne de Hûuen A Dleppa, Les traîna DCM et ÏÎGD de Rouen au man. 'le traîft ï?C&i le vendredi 30 mua et le mardi B avril f^Apart «3* IHeppe-Gw* à b h. SOI. la train UCD i* Jeudi 29 mars et le lundi .-Il <arrL¥*e A JXapï*-<ïar* i 22 .IL Vnrlcine et J« de trains seront, cea jonn-là, a«.4s A Ûlepp*MariïJn^e où Ils aeronc en corr^poodànc* le. bateau:1: de e1 pour à Cherfatuirç-. TrouTiile. A 17 h. 30 A î^rin-SBlnt-Lazare (arrivé* ïl 47» remplHMra Ib« 2 et avrtl te trafn S8S qui part de CkerbiMirr à 17 b, 30 et ce» JourJi-là le trnln 3SS sors mit un marciii? entra Ca*n {dÊpart t 29 et P»ria-Salni-Ïjazare à h. a 20 4. 2 sera mis eo marche le 3 *vri]. Le train tjjituri de Caftn t le L 10 lej j&arj a i«rlJr d& 1* avril.

iHAtt (Ttatlunanicofflt JOnitFP dn frwleJwMra ^«ntotoie m/anttfw, fE. OanîïnW) Récit <fw n#?h««f ide Pallp.^ jH^nn Yeen {IL Woud), 2$ U, 3 Si, essoert écossais L Ouverture à RofmMl; OuBcèTiE» ctenjipêtrrv (FlûtcAvr).

36 IL 30. quatuor la (Beatlnmai). 2D heures, Playing the gatne^ un* ftnt M L. du G&rde Fflftrn.

h. 35, concert miltUira

J3 îi, «. orcheetre.

I-IjXBICBOTTPjG m.). oS h. «. U i.r tu i. 1S h.. concert

rKlwAïnailii) WipntHa '[CI. D&ut«t)", ff^fltoi+es de ïn fo*èt RttrattMl, Geneert* en' t* m«;ew W«r rtol&n *t OTchestra iBecth^ren).

Str*u*s>,

21' b- 20, danses.


A Saint-Denis, deux femmes sont grièvement brûlées

par une explosion de benzine Dana son logement, 5, rus de la Courtine, à Saint-Denis, Mme MarleIfOUlae Troger. &g"Èe de trente-huit ans. procédait, hier, vers 14 h. au nettoyage à la benzine d'un couvre-pied, aidée dans cette besogne par «ne voi- sine et amie, Mme veuve Crérardta, mème age.

Lie 3 fenêtre et 1a chambre où T»fl deux femmes se tenaient étaient fermée* et la porte de Communication avec la cuisine était restée ouverte. Dana cette pièce une cuisinière rougeoyait. Soudain, les gaz éminemment volatiles du liquide s'enflammèrent une explosion violent» ae produisit et en un clin d'ceil le. deux femmu flambèrent com-

Mme» MmhllH et Tn|*r

du des torches. Des voisins accoururent et réussirent à étouffer les flamqui. déjà, Isa avalent prièveme-nt brûlées! On les transporta il. l'hôpital de Saint-Denla où leur état a été jugé excessivement grave.

Cependant, un conataencetaeiit d'lacendie s'êt< déclaré dana le logement dont toutes les cloisons, même celles extérieures, aont en bois, et c'est miracle que la maison entiercj y compris un cinéma qui se trouve au rez dechaussée, n'ait pas été la proie dgs flammes.

La rapide Intervention des pompiers permit de limiter les dégâts au seul logement qu'occupent M. et Mme Ttoger. Au groupe municipal

de défense des contribuables Le groupe do défense des Intérêts des fondé récemment à rHôtei de Ville, a tenu hier une im.portante réunion.

Après avoir entendu 1e compte rendu de la visite faite au ministre des Finanees par la délégation du groupe et pris note des données concernaat les délais de paiement des Impôts, les poursuites exercée. contre les contribuables de bonne foi, la réforme projetée des patentes, les impositions concernuat les constructions neuves et lea économies à ré&llser, l'assemblée a, sur la proposition de M. Victor Constant, déterminé la méthode et arrêté la programme de sea travaux. Puis il a entendu aucce3sL\xm&nt MM. Mtchaut, président du syndicat de FhAteUertB. et Louis Ntcolle, secrétaire général du Salut économique. Le preml«r a exposé la situation présente de l'Industrie hôtelière à Paria et formulé diverses observations sur les moyens pEûpreo à l'améliorer. Le second a apporté au groupe son étude sur les économies à envisager au budget de 1a Ville, ce travail chiffré ayant Pour objet de permettre l'examen de diver* ses suggestions et d'étudier leurs possibilités d'application.

LE DRAME DE BAGNEUX C'est parce que son mari s'attardait au café

que Mme Guigne fit feu sur lui Le drame qui ee déroula l'autm soir, à Bagneux, rue du Progrès, et au cours duquel, comme noua l'avons brièvement relaté hier, une jeune remua de vingt-cinq ans, Mme Marguerite Guigne, blessa grièvement d'une balle de revolver son mari, M. Robert Guigne, trentequil semble ne pouvoir être expliqué que par l'état morbide où ee trouva la meurtrière, atteinte de neurasthénie aïpufc

La journée terminée, M. Robert Guigne crnt bon, au lieu de rantrer au lûgta familial 18. rue G-usU-ve-Trlcan, blt de la rue du Progrès, tl Ht là une premlère partie de billard et entamait la seconde Quand survînt Sa femme qui 1. preaaa de rentrer au Jûgi?. Robert Guigne la prla de patienter tt demeura. La partie se détoula joyeusement. Quelques instants plus tard, pour la d'une voix que î'iTritatton altérait, Invita impérieusement son, mari à la suivre. elle su mit en route vers la demeure familiale, son mari la suivant à quelques mètres. Soudain, m retournant, la jeune femme, sortant de son sac à maln un revolver, ajusta son mari et fit feu. Le msîbeureux plomhier reçut une balle dans îc ventre. Cependant, Il eut la force d'aller vers, la meurtrière dans le but de 1a désarmer. Mais Mme Guigne, littéralement folle, ne voulut pas ae dessaisir de son arme. Les deux époux, se colletant, roulérent sur le ml. Accidentellement, &, un second coup de feu partit, qui. par bonheur. n'atteignit personne. Dea passants, puls des agents survinrent. Le blessé fut transporté à l'hôpital Cochin. où l'on procéda à l'opération de la lapa- rotomie. Les médecins qui le soignent déclarent son état fort grave. Quant à la meurtrière, contre laquelle M. Gutgne se reïuse énergique ment à porter plainte, elle a été laissée en liberté provisoire- par M. Farinet, commissaire chargé de l'enquête.

L'ELECTION MUNICIPALE

DU QUARTIER DE LA MONNAIE .Le préfet de ta Seine a pris hier un arrété convoquant les électeurs du quartier ude la Monnaie (VI* arrondissement). pour le dimanche 15 avril, pour l'élection d'un conseiller municipal par suite de l'annulation de l'élection de M. GLllmln.

DEUX NOUVELLES PLAINTES DE BLESSES DU 6 FEVRIER MM. Alfred Bourquin et Georges Àïanassief» toua deux blesaêa le 6 février, place de la Concorde, ont déposé Une plainte entre les mains du procureur de la République.

Ils ont choisi comme avocats le bâtonnier Marte de Itoux et M. Georges Calzant.

r

Une jeune fille de quinze ans disparaît

M. Thuilller. Inspecteur du VII- diH- trlc4 signale lap&mkm de sa nièce, Mlle 7/vcmne PlubôTt, hgéo de quinte ans, nul a quitté, depuis le 4 TONS. le domi' cite de ses parents. 12, rue Tain., à la aulte d'unemanda. Voici aon signalement chevaux fin fit a in», taille. 1 m. Ç0 petite cicatrice éoim un eu.

Explosion boulevard des Batignolles dans un salon de coiffure

DEUX BLESSÉS

Une très violente exploelon c'est ptfr duite hier après-midi dans lE:! salon de que dirige. 61, boulevard dea Il Mlle Pau Chauveau. LI était environ 14 heures. Une employée. Mlle Suzanne MlohaiKl, vlagt-sept ans, demeurant 6. rue de Lévie, était occupée à préparer un produit à base d'éther. Soudain. les vapeurs qui se dégageaient de ce produit a' enflammèrent eu con- tact d'un poêle Une explosion s'ensuivit.

Toutes les vitre* de l' établissement volèrent en éclats flacons et glaces

briaès jonchèrent la soi. Un passant, M. Olivier r^I^borde, hçé de vingt-deux ans, demeurant 19. rue Bernpuïlli, qui se trouvait à ce moment but 16 trottoir, Sa hauteur du salon, tut renversé et bleasé, assez légèrement, d'ailleurs. par des éclats de voire. On dut le faire soigner il l'hôpital Beaujon.

Bientôt intervinrent les pompiers de la caserne Blanche, qui maîtrisèrent bien vite i'incendte qui. provoqué par la dênagration, a'étatt déclaré à l'intùrieur du salon.

Seule une personne avait été blessés. 1.1, Elle avait été atteinte, elle aussi, par des éclata de verre. Qn la transporta à Beaujon, ou lion déclare que son état, quoique sérieux, ne parait pas Inquiétant.

M. Couturier. commiasaire du quartier de L'Europe, procède à une enquête afin de. préciser les circonstances exacte? dans lesquelles cette explosion a'eat produite.

Le X9 congre* des éciÏTaim de France se tiendra en jnin à Orléaoi

Le dixième congrèa das écrivains de et 24 juin Il est placé fou. le patronage d'honneur du Président de la République, du ministre de l'Educa. tion nationale, de l'Académie françaijae, de l'académie (Concourt et dea grandes association a d'écrivains Irançais. Il groupera notamment dea adhérents de la Société des gens de lettres, de la Société dea écrivains de province. de la Société des écrivains combattants et des autres groupements nationaux et à tous les écrivains de langue française pouvant Justifier de çe titre. sans distinction de tendance ni d'écol Le programme du congrès et les conditions d'adhésion seront publiés ultérieurement.

Pour tous renseignements l'adresser au secrétariat général, 63, rue Royale, Orléans.

AU CONSEIL MUNICIPAL Les allocations nombretutë. la nro^fc!iUT6 actuelie.

pliste uu ti soJt Ce sont., tes imirsv, *it-ilr qui ét&bhaawlt lea de l>ér»ânciair«fl. Il Bâ iant paa toulftEoia conîondr*, aJoute M. Vliiey. laa condiUo-ns et celil^a de la loi d'e-saiataûct &OS npee par la toi. Au surplus, M. VLWey déOLtwâ (¡,fil s«rfor<*ra d'appJî^or le» rëglea d*Jia le aew 1e plus Ub4r&L

HL Ferraudi, le conaetl a, malgré Igb ob .lac-tions lormulées Par M- Andrg Mirty, connu luiJatft, détJâé i'wîiat de vingt-deias ex6Dsplaire€ du livre intitulé Paroten ftPpUilKit & l'iwtlvft* da l'inûtl prtfflt à* poi-lce, qu"il raîH«u da l'apprûsenrliear de Parifl.

chand a. f&Lt adopter un vCQu tendant la coordination et 4 Vexieoston de la. l^ia* iatlon relative au sewura de oftomag* en siiia, dw ii&vaiUeuni isotéa. dea 1-BVH- permettant de etvre, oont <J*ru un déaueinenl de3 plua rompt-et,.

La défense fru&uive. M. George» Lemurthaiiil, en retinitirt; la queetlun avait Honandé i poaer au ï»r*f*t de la la ûèfenise passive, a demaTrié du personnel eauvetaget déalnfectJon, soins il donner, etc., et que, d'un autre côté, la vente au public des contre les paî asphyxiants soit réfftement6ê.

M. Laideron, préfet de jwlice, a bailsementa. 1]WJb U a t&a-U à apéciflor que eon action eM pour L'iaeUut Cûùdttionné* Dar le projet de loi aciueltenient en préparn- !Ion, qui doit procéder à la reparution dea dét>enefM4 entre l'Etat, les et las oooununes.

La Cité untverultairtL On a «îtln dL»> cuW la question que IL F&rraudi a posée avec M* JfcuMil brandon au préfet de la Seine sur la ùétrease du petit erao (San* 16» quartiers <iea V* et VI" arrondis- ai* par des âtudlaatâ &̃ la Cité dans le débat, M. Vltl«y, préfet de la Sftine, «est TôUcltÉ Je eu *iu' aucun de L'amerntriée n'ait corïtegté de la créaLion de la Cité et a rendu un Jnillale. iltm o'*wt aévelai>P*« et une grande été été réalisée. un préjudice nui commçrçtLnta du quartier Latin ? M. Ville? ne le pense pas ka (albie proportion d*i de ^m Robert Sua et ftalia, a voté un projet de délibération dëïKJSé par M. Rayroond L*urem émettant le vrsa 1- que la Cité ne wlt pas détournée de n but phitenthropl^ivte et que les chambreu aolt^nt uniquement attriHuéeg ftui étudiants peu fortunéa 2<- qu'il soit mis dn 6. tout* ext-anaion abuâi'vo revotant un caractère *opamarciaJ.

L'abattoir de la charcuterie. Le protêt relatif e la conwructlDn d'un abattoir porcs moderne ans abattoirs de Ia ViMette, rapporté par M. Lhenry, a éké renvoyé à la proonaine ^ojalon-

CHEZ LES VEUVES DE GUERRE Les de guerr» remariées ou non remariées, reoréoentée* au conseil natlonaJ de la Confédération de. flJlfiien» combattantiî et cleUmes de la guerre par L-enta dél^utea do leura org&alsa.tlcrH8 otfl.et présenté différents raine rar le» OrpheUna, les «mplaia réservés, la titularisation, etc.

Tous ces vœux ont Mé adoptéa Par 1*Mle p]ié!rifere et les é*îégTiée-B des veuves trete?iue av«e le préaMent du Conseil de la a t tua Lion financière, d&& mrttena COîïïbftttnnia et des victimes de la. guerre.

FAITS DIVERS PARIS

Un faux policier arrêté

M. H. était entré ittuiB u«e vç^paaienne, bouiewitrd DJderoL 11 fut aoewtâ par Un inconnu et, au*8itot un de oe aarII voulut les conduira, aisait-ll, au oamlnlaflariat, mm en route. préhendé et envoyé au dénAt, C'eat un nommé Henrl Parcxt, trente'deui aîlft. domicilié 43, avsnuâ Fauteur, il. GenUUy. Le. »ccid*Dt» d* U ra&

Place de la Concorde, IL Armand Gutrant 7, m« est renversé une auto dont le chauffeur s'enfuit. Besujon.

Mme veuve Georges Schmitt, «ilsaititetreiz« ans, habitant Ifi, rue du Draçôrt, &4 fracture la hanche droite en tombant sur la chaussée. Charité,

Sur le pont Rltguet, M, Hflnri Bouzon, trente juib. demeurant 10, avenue de la PortiMlft-Ménilmontant, est renversé par un* auto. L&rlboiirière.

s'aftaJsae aur le pont Caulalncourt et meurt Route de Hortexnart, au tois da Vine^nfLes, on a trouvé un homme'pendu a une branche d'arbre, IL avait *pinglô a aes vêtements un papier se terminant ainsi corpa est a l'Institut m^dlco-lëgai. fil. I^eon Rldel, vingt-cinq ans, sana 119. faubourg du Temple, tombe par la fenêtre de ea chambre, située au deuxième étage, dans 10 cour. SaintLjoujs.

SEINE

Une j*un* femin* tant* île »'aiphyTiï«r *t«c ton bébé

Désespérée d' avoir été aba.nâonnââ par son m»rl, une jeune femme de tflngt-*lx ans, Simone Gulart, demeurant à SaintMaurice, 22, rue Edmûnd^ocert. résolut de a'wpayxier à l'aide du gaz â'eclah-age. en etitTalnant dans la mort n bébé âgé de vingt mois.

De* voisina, al«rtéa par do gaz, pénétrèrent dans le logement. Sïtne Gruia-rt et son enfant, qui n'étalent qu'ëvanmilB. reçurent des tojna énergiques et purent être ranlméfl,

De. g-réviitat molettsat

d*s travailleur* m, 5aiat-Deni* Trente ouvrier» «nployé* par ret^treprts* Wan-Deval à la construction d'un égout d'Eptnay, a Saint- Denis, ont été attaqués hier, vers le heurea, par qusEque train cents grévistea qui leur Jets*rent dee pierres, les oblige&nt à. ceener l&ur t ras-ail.

t-09 de Sauit-Denlj ayant été avisée Envoyèrent des agents qui, sous les ordres de MM. Cauqnelln et Roriiefl. et aides en outre par un détachement de ptriice-seuours, procédèrent & quinze arrestations qui toutes ont été maintenues.

Lu délinquante ont été mis a lail.. du parquet pour entraves A la liberté du travail.

lAn a.srwta ont arrtt* l'autre niM. rue de Vlncennes, d un nomnuS J*an KarveadoUn vtngt-aiï \S, rue de J'EgrllJW, A Yincennes. qui vena1t de dérober dans un chantier de la S. T. C. EL P. un* à i. 6ns remplit de, matériaux de construction.

Frwédant ftu ravalement An la façade vtlllers, ïL Désiré Le Bleu. soixante ane. est tombé d'une échelEe et «ut mort Dans une cris* de- Mme Eugénie Cojean. trente-aix ans, eroployee à la la T. C. R. P-, 9'nt suicidée Préposé a le de. trains aux maçasiTiB B^TtÉraui:, 35t avenue VM orHugo, M. Jtan Bernard. TîiiLgt-cinq ans, rue dea Bleuets, a Drancv, a été écrasé par une locomotive haut le pied.

La Ghanubr* syndicale des marohanrf-s de et de Elbiers dea depaj-temeote da la S*1n« et le S*ine-*t-Ola* vient de. constituer «on bureau comme suit pour 19S* preaiâent, M. Boueee&u; vlce-pre«id-ente, KftL 9MUâe et BencUn; c^crfrtaire général, M. ttarquet; secreUlre, M.t«nm&tï trésorftr. M. Barbe: trésorier adjoint. IL Ucooge.

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THEATRES

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-o- TB. H00AD0B, Aujourd'hui jeudi, dimanche et iunrfl 2 fcvrtl (Fflqu*a), mattInterprétalloa.

-o- TH. BABAti-ÉlSRNHAltDT. CI! wlr. seconde représentation de Cyrmw de Bergerac, dont iej prenniti-efl matinées Paquta.

-o- A.TlïEKEE. inlerpmS* par BonCrtt, BlaTit*e Montel, Almé Clarlond et ̃Pulau tâte d'afflebe. File indiens eat « Pièce gale, ap«tacl« chareiiant dédare dtmanche et lundi de Pique*

-0- PALAIS ROYAL, Aujourd'hui, dimanche et lundi de Pâques, a 3 b.. mâtine» du tfr&nd oisccfeç de rLre la Familla Vavbertain, quL Bonne. vttvv la 1M" avgc DirvaBèfl, Suzet Maï? et MlreHie, MonA Doll. £"b.u( Pal-rrc, Carnet Qoy Rapp. MM. Georges Pitoëfl et Benjajnln Creniieux. -o- T> baryton Mazzanti tHantera le rôle NON -LYRIQUE. dimanche d. en matinée-

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LES CONGRES =-

Le. maître* 01 In tarait

La eongrèfl du syndicat national des maître» et martrensea clinterTwt s'est tenu bai Il a (l'abord approuvA la rapport moral et le compte rendu flnsncîçr présentai par le bureau national, pu la rapporta des les délégués jayrrdloaux.

Une séance entière été consacrée à g l'examen de la situation syndiCale à la au du mouvement de grève du 12 Cevt-ï-er ̃». L'assemblée été unanïnw à déclarer que Ses M. I. sont prêta a. détencondition que la C. G. T. leur donne « des mots d'ordre pliw décisif» i. SU© & déclaré Éaj.ra *çj réwves le.9 plus *orme lie» en ce qui concerna les plans d'économle dirige de la C. G. T. Enfin !e congrès h réclamé nouveaux statut? do Va maltrl*» d'Internat qu'elle sclHeii» deputa deux âne.

Les directeurs d'E. P. S.

M, R. SI! <de Bourges) a présidé, au d'AcoIeh primaires supérieures.

Après Approbation du rapport moral et du rapport fliw_cfer, j'assemblée a adopté les motions BuEvfiiitei

Au sujet de la liaison entre 1'école primefre élémentaire et l' E. P. S. entrée onze à douze _ia deuxième fciméé préparatoire de douze à treize an<s pour lesvés ne pouvant aborder le second degré. A Drûûos de la création d'un enseil'organisation d'un tel ecwlgn émeut, qui peut rentrer âana 1e cadre de l'école -unipratiques et d«a A 1*

Réunis au lycée Louis- le- Grand, r&Mem- blée générale de 1a Société des professeurs de français d. de latisu«j ançtesnea. 1* demande que le nombre d'élève» soit fixé iL 30 par classe au _t__iii. afln que 1* proreaseur suisse diriger Indlvtducl-

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3" déciare qu'elle ne saurait accepter le rétaWlasament pt'e ou moins avoué de l'ancienne vivantes ni la retour ati régime de

demande le rétablissement d'une épreuve de langues anctennea au réât de phlloaaplile et la mîse dur !« mCmf plan, ê. cet examen» de* langue» anciennes et dea lan-giiea vivantes,

Le congrès intenutïonul technique et chimique des tadu&tcles afTlcule» Lbs différentes actions se sont réunies. De nombreuses quMtnjîij y ojix ete traitées, notamment ta diffusion continue en auererte et en distillerie et 4eg appitca- tlona en France et en Belgique, l'épuration de. jus sUcréft,. l'évolution du matériel oléicole et br&wicots, la récolte et le transport du lait au Danajiiarlï, les *nachocolat, lrextra.ctîon de la peptine du ration den plantattona des caféfera. En outre, II. Wft.lîlhlerwicï a fait Un rwnar' quablft exposé de la situation des Indu.triea agricûïea en

L*b congressistes *e sont rendu. dans Vaprèj-mldi à l'Hôtel de Ville Ils ont été reçus par M. Fi que t, préaldent du conWtl municipal» et le préfet de la Sftîna qui, en présenta de nouribreux consaUlers wuntelnaux et conaeillerj! généraux, leur ont .ouhaité la bienvenue. M. le- David, Î président du congrès 1T. Smolenakl, proesHitr à l'écûle piMyteohnlque de Vartovte. directeur du laboratoire de 1s Socl et é buc rlère p alojiajfle, au nom de» délégués et et M. Mrkvan, cosseU'or municipal 4e Prague, au nOm Ce la ville de Prague, ont pria tour A tour la parole.

Un-8 brillante réception fut enatttte don.née en Jn honneur du congre?.

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BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 28 Mars

gêné-le de notre place a été marquée par une trÈa légère nuance d'aroélioratfon, en particulier sur le compartiment des rent es françaises. Le reste Uu marcha a éte dénué d'intérêt et n'a présente que peu de variations, les avatitea La de noa fonds publics a prodoit une bonne impression sur la Bourse. Elle été d'agtant plus remarquée que certaines divergences de vue paraissaient et'. manifestai entre Le ministre dea parties prenantes de certain avmitugsa. Ce redressement, si mlnîme soit- a donc été considéré comme un l'arbitrage du pré»l(]«nt du Conseil. ftii de que réduits par l'absence- compLite d'activité, reasortçnt nésnde G.3S Noa granda roseaux nt continué à se replier. Le compartiment montré encore qixJqu* indécision. P&rnii les Lnternatlonalflg et lea titres étrangers, on Tint. et la Royal Dùteh a« &ont un peu mieux ctéferidua. Le. mfnes d'or 0t les trusta ,Il été empreints de que! que hésitation, quelques-uns sont en progrès, mais d'autres tendent fléchir un peu. comme M. Randfontein notamment. Peu de âiffârences sur les CfiOutchout libres. Aux la livre sterling clôture à Tî.t» contre le dollar, Ûerniera cour» aux rentes, per- pétuel, SSrlS 5 1U3.40 (+0,36) l&Sa. 1. série A.

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