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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1933-12-14

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 14 décembre 1933

Description : 1933/12/14 (Numéro 20743).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k627942j

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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LES ENQUÊTES GU PETIT PARISIEN Promenades et regards

à travers

tellMleich

ppr Pierre FHEDERIX

S. A. ET S. S.

Les 3. A. (Sturm Abteilungen sections d'assaut) sont, à propre- j ment- parler; le- le rappelle, les Chemises brunes, Les S. S. {Sturnt SfMffp.ln échelons de protection) s$nt habillés de noir. En principe, dix fois moins Nombreux que les S. A. et recrutés à part, ils ont aussi une administration indépendènte et un commandement. partku-

lier leur chef, le Reiehsfuhrer Himraler, est pourtant subordonné au chef de l'état-major des S. A-, Rœhm, et, bien entendu, au chef suprême des milices Adolf Hitler- Bruns et noirs dérivent des

anciennes « troupes d'ordre du parti national socialiste, organisées militairement à Munich à la fin de 1921, lorsque les réunions nazistes commencèrent à y provoquer des bagarres. Aujourd'hai, les bruns constituent en quelque sorte la troupe ordinaire. On les voit en dehors des jours de revue et des défilés réguliers assurer le service d'ordre dans toutes les manifestations du parti, c'est-à-dire qu'à ce titre seul ils ont fort à faire. Quand le Führer ou un personnage important paraît,le travail eat çqnj$ da préfèrent* aux && Seules, quelques compagnies de cette élite noire semblent jouir d'un pr(vilège recherché celui.de se montrer en public, les jours de cérémonie, armés; de fusils et coiffés du lourd casque gris de campagne. C'est parmi les noirs également qu'est recrutée la: garde personnelle du Fuhrer un minier d'hommes casernés à Berlin et qui portent sur la manche de leur manteau le nom d'Hitler en lettres d'argent,

Tout S. A. ou S. S. est nécessaire-

ment membre du parti national socialiste. Le parti, si l'on en croit un chiffre publié par.la presse allemande, comptait en septembre dernier 3.900.000 membres.

Et les milices hitlériennes ?

Depuis un un, elles ant doublé.

En septembre 1932, leurs effectifs

étaient d'environ 400.000 hommes. En février 1933, de 600.0ÛD

hommes.

En août 1933, de 75Q.000 hommes,

ce chiffre étant admis par l'étatmajor hitlérien qui, en deux mois, essaya, semblât-il, de « noyer le; poisson » en laissant parler de deux millions d'hammes.

En réalité, l'addition des effectifs

qui figurent périodiquement dans les revues, congrès» ete, indique un total actuel d'environ un million de rtiîiciens groupés en unités constituées. Ce chiffre comprendrait une ^centaine de milliers de S. S. noirs, ainsi que les quelque 150.000 Wehrstalbelm (Casques d'acier de dix-huit à trente-cinq ans) en cours d'incorporation dans les S. A. Par contre, il ne comprendrait pas les S. A, de plus de trente-cinq ans, ni lea jeunes aspirants (Aniverter) Chemises brunes, qui ne portent ni écussons ni brassard et sont versés pendant six mois dans des compagnies d'instruction.

Un million de miliciens voilà ce

qu'il est bon de retenir.

(La suite à la, vinquièyne. page)

L'HEURE DES Réquisitoires

AU procès DE leipzig

LA COMMISSION SÉNATORIALE DES FINANCES

AM09IFIÊKOIÉMEIÏT LEWIipSSEIP BUDGÉTAIRE

Mais il est probable que pour éviter un conflit avec la Chambre, la Haute Assemblé* modifiera à son tour les texte" qui lui seront soumis

Le projet de redressement budgétaire vote par la Chambre des députés h été complètement bouleversé, hier, par la commission sénatoriale des finances. L'article relatif au prélève.ment sur les traitements des fonctionnaires, qui causa la chute de trois miniatures et dont l'adoption fut obtenue par M. Camille Chautempa après une série d'habiles négociations et un remarquable discovrs à la tribune un dea plus beaux, à tous les points de vus, qui aient été prononcés au cour» de la période d'après-guerre le fameux article 6 a été, aux dires mêmes des sénateurs qui réclamaient des modifications, exagérément aggravé x.

La Chambre, on le sait, a adopté un barème ('font l'application doit assurer un rudement de 275 millions à prélever sur le traitement des ̃fonctionnaires^ partir de 12.000 francs. La commission sénatoriale des finances Il voté un prélèvement qui serait, eu principe, de 6 sur tous le. traitements. Toutefois, il serait réduit il 3 pour les traitements inférieurs tranes et accru respectivement de 2 et 4 pour les tranches supérieures à 50.000 et 100.000 francs. D'autre part. les indemnités seraient réduites, a partir du janvier 1934, de 15 au moins.

Sur beaucoup d'autres points la manière de voir de la commission est toute différente de celle de la Chambre. Rien n.e servirait de dissimuler que. dans le cas où le Sénat ferait siennes les propositions de xa un conflit éclaterait, à l'état aigu, entre la Haute Assemblé* et la Chambre des députés, Et l'atmosphère de détente, la confiance renaissante constatées de*puis le vote de la Chambre sur l'ensemble du projet de redressement feraient rapidement place à une atmosphère d'inquiétude et, l'incertitude régnant en maîtresse, la situation s'aggraverait bien vite, rendattt plus compliquée «ncore la tâche de ceux qui ont le devoir de veiller sur les finances publiques et de protéger le franc,

Les décisions de la commission des finances ont causé, atu Sénat même,' une surprise et une émotion, que tout le monde comprendra aisément. on savait que la. commisaîoa ferait une mais tout de même pas de cette Importance.

Les premiers votes émis dams lA. matinée par la commission ont été connus en Bourse dès l'ouverture des opérations, et nos rentes, dont la bonne tenue avait été remarquée ces derniers jours, ont été affectées dans une proportion sensible. Il serait vraiment dommage que les efforts accotaplis depuis deux semaines l'aient été en vain. Le pays, à l'annonce du vote final émis par les élus du suffrage univer&el, avait poussé un énorme soupir de soulagement. il redoutait une nouvelle crise parce qufiï devinait quelles en seraient les conséquences désastreuses et tmmâdiates pour l'économie nationale. A la réception de la bonne nouvelle il se montrait rassuré et se félicitait de l'attitude prise par la majorité. Ce que nous avons écrit ici même plusieurs reprises :redressement d'abord et rapide s, est plus ^ue jamais justifié.

Le rôle du Sénat est important, il s'impose. son contrôle doit s'exercer rigoureusement. Le cri d'alarme Jeté à maintes reprises par les plus autorisés de ses membres était nécessaire. Le train de vie de 1a nation doit être réduit.

Il appartient donc à la Haute Assemblée de maintenir son point de vue, que nul ne saurait d'ailleurs contester sérieusement.

Mais. comme dans le passé lorsqu'il s'est trouvé aux prises avec les plus sérieuses difficultés, il doit s'efforcer de trouver, tout *n sauvegardant les intérêts supérieurs de la nation, des solutions qui puissent être votées par les deux Assemblées. L'accord doit se faire entre élus du suffrage restreint et élus du suffrage universel. Or, nous ne saurions trop le répéter, avec le projet de la commission c'est le conflit, et le conflit c'est le gâchis- Mais la nuit, dit-on, porte conseil. Or d'ici à lundi il y quatre nuits. C'est lundi, en eifet, que s'ouvrira devant le Sénat la discussion sur je projet de redressement et non vendredi comme on l'avait dit tout d'abord.

Les deux séances tenues hier sous la présidence de M. Caillou. n'ont pu épuiser la discussion et à 7 h, 30 du soir, heure il laquelle cette seconde sré-ance s'est terminée. il restait h examiner la question da la retraite des anciens combattants et de la carte du combattant. Cette question sera examinée dans la réunion que la commission tiendra cet après-midi k 4 heures. Ainsi donc, contrairement à ce. que l'on avait pensé tout d'abord, la dis.en séance publique ne pourra demain.

C'est donc lundi que s'ouvrira le ^rand débat. Pour la raison que nous venons de dire, le rapporteur général, I\i. Marcel Régater, n'a pu rédiger son rapport. Il ne le pourra terminer que demain soir au plus tôt- Imprimé avec la plus grande diligence qui soit, il ne pourra être distribué que vendredi dana l'aprèa-midi ou dans la matinée de samedl.

Charles MGK1CE

la d««irtôi3te pa.gr., le compte rendu de la séance de la A la 4" page 1 L'audition de M. Pierre CO'E à la COmmMNon de.. affairei étranfèrti de la Chambre.

La neige a fait son apparition DANS L'EST ET LE CENTRE ELLE FUT ABONDANTE A Paris, dfin§ l'après.. de légers flocons ON ANNONCE QUE LE FROID Va A NOUVEAU S'ACCENTUER Le thermomètre a marqué hier 4° h Paris, 8* à Belfort, Perpignan, h7° à Biarritz et à Ajaccio

LE RAPIDE VALLORBE PARIS SURPREND DES OUVRIERS IE LA VOIE HUIT MORTS, HUIT BLESSÉS

Dijon, 13 déMmbrr (dép. Patit Par-") On terrible accident s'est produit ce matin sur la ligne de nherain de fer de Pontarlier à Mouchard, entre lea gares de Pont-d'Héry et de MesnayA^bois. Le rapide Vallorbe-Paris n"50S a. fauché une équipe d'ouvriers dont huit ont été tués et huit autres blessfc*. Sur le théâtre de la catastrophe, situé au kilomètre 405.600 est installé un chantier mobile de pose de baUaat. Une centaine d'ouvriers travaillent pour le compte d'un entrepreneur de Morteau. Il était 8 h. 50. Un train de marchandises allant de Mouchard à Vallorbe vint à passer sous un des petite tunnels QUI, à cet endroit, se succèdent à do brefs intervalles. Uqb ouvriers, pour se garer de ce convoi. se pIacer sur la voie parallèle, mais à ce mument, le rapide 506, foulant, paraît-il, à vive allure, s'engagea le le- même tunnel. Les ouvriers qui ne l'avaient pas vu arriver essayèrent de fuir à son approche maïa plus de quinze d'entre eus furent happés par le convoi, Quand le train eut stoppé on s'empressa autour des victimes. On compta sept morts et six On sut, plus tard, que trots autres malheureux, moins grièvement atteints, s'étaient

d'Arbois et de Ufrte.

En arrivant à Arbois, l'un des blessés expira^ portant à huit le nombre des décès. Parmi les cinq blessés huapltallsés,: trois sont dans un état irrav*; l'un d'eux., notamment, a eu la colonne vertébrale brîeéfi.

Les victimes connues sont un, Yougoslave, M. Nicolas Pagel, et cinq Ha. liens, MM. Giovanni, Possenti, Vincent Mery, Rc-berto, Abodaiti, Lmo Rocca- et et Sorandi.

Le rapide qui arrive d'habitude à Dii jon à 10 h. 14 subit plus d'une heure de retard. Le mécanicien Nectoux pt pôt de férrigny-Iàs-Dijon, furent interrog-és aussitôt par leur chef, M. Girard, Visiblement ému par le sentiment de sa rEspO-naa.bïlttë, le mécanicien reconnut avoir reçu le. ordres de service lui prescrivant de raÈeplir aux abords du chantier. Il déclara également que tous Ses pétards avertisseurs, avaient bien été placés à mètres du lieu où s'effectuaient les travaux. Une défail* lance passagère devait avoir les conséquences tragiques que l'on aait,

Aucune nouvelle

du vicomte de Manneville Pilotant un avion dm il il était parti mardi matin. de l'aérodrome da Croydon pour Pari.

Londres, 13 dêrfimbrs (dëp. Petit FdO, On est-toujouïa saris nouvelles du vicomte de qui quitta Croydon à destination de Bour^et hier à S lî, Son appareil n'a pad été aperçu depuis qu'il eurvoîa. Lymptie à lft h. 15. Des techerehee se août poursuivies toute la nuit dans le détroit, mal. n'ont donné aucun résultat. De même tous les bateaux alertés par te Croydon et le tniftiatère de l'Air ont pu fournit' aucun renseignement sur l'avion disparu.

Interviewé aujourd'hui par un cûireapondant de l'Evening News, M. L Burgue, pilote' de 1'.Air-Franc,, fait les déclarations suivantes

Le vicomte de Manneville aurait dû être de l'autre côté du détroit à 10 h, 45. Or à cette heure* venant du Rourget, je me disposais traverser le Détroit moi-même avec un passager. Le cid était clair entre Boulogne et Douvres, et du milieu du détroit je pouvifs distinguer nettement les deux rives. Si donc le vicomte de MannevilIS' s'était trouvé dans le§ airs, je l'aurais oertaînement aperçu, Il se peut cependant que le vicomte ait choisi la traversée la plus longue -c'est-dire celle de Beachy Haed-Dieppe. En ce cas, naturellement, i1 m'auralt été impossible de voir un avion. Le brise-glace « Pollux » recherche deux avions disparus Le poste radiotélégraphie-us de Boulogne-sur-Met ayant algnaïë qu'un avion de tourisme portant les marques G. A. C. Gr. L. avait disparu en Manche, la préfecture maritime de Cherbourg a fait appareiller le briaeglace Polfox avec mission de rechercher l'appareil et son équipage, ainsi qu'un de transport franc s.is parti mardi matin de Croydon et perdu. Les recherches du Pollua? n'ont encore donné aucun résultat; la tempête est extrêmement violent* et le vent, par fiiidrolts. souffle à la vitesse de 3n â la seconde,

Une actrice se tue à New-York en le jetant par la fenêtre d'un hôtel Londres, 13 décembre (dép. P. Paris.) Un message Reuter de New- York annonce que l'actrice bien connu* Mlle AdriHnne Laçhamp, femme du fameux M. M. KeJn. s'est écrasée aujourd'hui sur Je sol- après être tombée de la fenêtre de la chambre qu'elle occupait au quinzième étage d'un fcôtel de New-York.

Deux messages d'adieu ont été trouépingles â sa robe l'un deux, était adressé à la police et contenait cette poignante requéte c Prière d'avertir ma mère, Mme Lachamp, à Ch&ngtmî. Le me^eage n'indique pas à qui était destiné le second adieu. Mlle La^hamp est représentée par certaine journaux d'autres comme Hongroise.

[[ CABINET ANGLAIS

A EXAMINÉ HIER

LEUR ENSEMBLE LES PROBLÈMES DE Sir John Simon a exposé à *e$ collègues l'état de. conversations franco-allemande. et de la question du désarmement Loodrëa, 13 décembre.

DE Non' de la PS.HTICUI.IBR c* matin à Downing Street «ras la présidence de M. MactfonaJd. le cabinet britannique s'eat spécialement orcupé de la question du désarme1 mont. Sir John Si- pu fournir à se* cntlèg-ues des informations détail- lées sur le cours des eut diplo- matiques bilatéraux que recommanda le bureau de la conférence du désarmement en vue de trouver une Issue à l'impasse créée par le retrait de l'Allemagne.

Cet exposé du secrétaire d'Etat a fourni au Cabinet le moyen de procéder à une revue d'ensemble de la situation et à un des positions entre il il peut se trouver un jour ou l'autre obligé de faire un choix, mais il ne semble pas que la discussui-Q ne aoî-t close par des déclsions définies.

Pour l'instant, Pattitucte britannique est encore ^expectative nafcia 3a séance d'aujourd'hui aurait fait apparaître des tendances vers une orientation, On est évidemment toujours d'avis ici que les conversations bilatérales doivent se poursuivre, et l'espoir subsiste que tes rieux qu'ont déjà eus à Berlin M. Françols-Ponoet et M. Hitler seront suivis d'un trofeîèiïie, mais, sachant les ex!gences du Reieh et les réserves fran- qaiseî!» on ne se fait guère d'illusions sur son issue.

Dans cea conditions, le gouverne- ment britannique se trouve contraint d'envisager comment iïL conviendrait de faite face à la de !a situation présente.

Il semble qu'il ait écarté l'hypothèse d'une politique d'attente consistant à proposer un nouvel ajournement de durée plus ou moins longue 4 la conférence. du déa&rttïeJûejït, Le courant qui manifeste ici on faveur d'une reprise des travaux, non seulement dans les milieux d'oppositien mais dans certaina groupements dont le soutien lut est indispensable, est d'une telle netteté qahll ne saurait l'ignorer. Il se peut, au. surplus, qu'à la lumière tfes eteignera entretjeos dj.plomatîquei5, il ait acquis la conviction qu'on tenterait en vain dT«D»eDer la R«iett avec les autres nations Européennes sur des -bases rai*ft&na;blEs. Toujours est-i] qu'à défaut d'un accord détermi- nant l'Allemagne à reprendre sa place à Genève, il s'orienterait vers la con- tinuation des travaux de la conférence en vue de la conclusion à'imù convenlion de désarmement.

Sur quelles bases ?

Tout permet de penser qus, dans cette éventualité, le gouvernement bri-Itannique, avec son goût ïnné du une formule intermédiaire entre l'accord angfo franco américain du 14 octobre- qui était déjà un compromis et la convention britannique proposée par M. Macdonald le 16 mars dernier.

Telle est, pour Finstant, l'orientatien générale que parait avoir prise la pensée britannique sous le double effet de l'Intransigeance et et de la. fermeté française. lî est hors de doute. en tout cas, que la situation européenne éveille ici, jusque dans les sphères les plus élevées, des préoccupations croissantes, sir John Simon est allé en entretenir le roi George V cet après-midi, au palals de Bucking- i ham, et on annonce par ailleurs gue air Eric Phlpps, ambassadeur britan- nique à Berlin, est parti cette nuit pour Londres.

Jean MASSIF

M. fanés arrive aujourd'hui à Paris en visite officielle

M. Edouard Benèss qui a quitté Prague hier, accompagné de Mme Benès, et de son chef de cabinet, M. Kucéra, arrivera à Paris aujourd'hui, â Il- h. 40. par la gare de l'Est.

Le miniatre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie vient cette fois en France comme invité de notre g-auverpameat. A 11 heureu, il sera reçu par M: Paul-Éoncour et s'entretiendra avec lui jusqu'au dîner qui sera donné en son honneur au Quai d'Orsay. Le voyage de M, ayant, dans les circonstances présentes, une haute portée politique, ce premier entretien sera complété par un certain nombre d'autres conversations que l'éminent homme d'Etat tchèque aura les jours suivants avec nos principaux dirigeants, Il &e pourrait que 3e séjour de M. Benèa à Paris se prolongeât jusqu'à mardi.

UNE FETE DE BIENFAISANCE A LA MAIRIE DU Xe

De droite gauche, M. Ftbry, Mme Chitppe. M. Verrier, m«lT« do X« Xme» ftbry» tette da X* et la reine de Pari..

A El-Goléa avec l'escadre Vuillemin

Notre tiiviqrê accueillant *Hi aviateurs sur le terrain d'attetriffage reçoit de la bauche du chef cette répontt qui résume le iucccs de la croisière Tout va bien » M. COT SE RENDRA A ALGER POUR L'ARRIVEE DE L'ESCADRE Ki-Goléa, 13 décembre.

M XorRR ENVOYÉ SFtÇtAL

L'aimable, l'émouvant décor qu'avalent, cette nuit, préparé tes indigènes à l'aérodrome Partout dey banderoles aux plus f*Tltarâtes embiiètnes et rentra de l'immense terrain arraché au désert par la main des hommes, une manière d'arc de triomphe pavoise aux trois couleurs.

On ne pouvait faire mieux, disait ce matin le lieutenant- colonel Belandan, commandant le territoire de Ghardaïa, car nos moyens aunt limitée. Comme si l'intention ne dépassait

pas la réalité dans l'échelle des qwtl»ments Ce que comprirent le3 dnquante-gîx équipages en sautant de leurs appareils. Ils arrivaient le visage fardé de sable d'une de leur plus rapides étapes. Songea que, pousaéa par le vent du aud. ils sont venus d'Adrar à El-Goléa à 200 km.-heure de moyenne, ce qui n'est tout de même pas une vitesse ordinaire de croisière. Le général V-jjllemin, dont nul n'ignore qu'il est l'exactitude personnifiée, fait aujourd'hui un sérieux écart dans son horaire. .,est pesé à El-Goléa avec une heure tf'av&nçe, exactement à 9 h. Suivent vingt. quatre avions en formation d'escadrtlia qui, souciait, se détachent sur un fond d'azur sans tache, dans un joyeux ronronnement de moteurs Seule la celIule du «pîtaEne Pennes avait quelque ennui par suite d'un accident mécaniqUe survenu au départ d'Adrar. il quittait â. peine son zinc qu'il armait déjà. une cigarette.

Vous voyez, dit-il en riant. q«e tout va bien,

J* vouô dïrài dematoce qttù peftse- de la randonnée de son escadre et comment. sans incident d'aucune sorte. grâce à l'énergie de chacun, pilotes et mécanos, la « croisiète transafricaine a magnifiquement accompli sa mission. Elle est aujourd'hui dans la ligue exacte de l'horaire idéal arrêté au départ d'Istres. Après l'escale de Touggourt, elle atteindra Tunis vendredi et Alger dimanche.

Maurice BOURDËT

UN FAUX MONNAYEUR

AG£ DE SOIXANTE-QUINZE ANS DEVANT LE JURY DE LA SEINE

{Voir d la ^atfëwe page.)

Des commissaires de police de Bruxelles

commettaient des escroqueries au procès-verbal

BruxeHei, 13 déco Petit Parisien) Nous avons aanonoé, il y a deux jours, r&iir*6taUoti pou-r- escroqueries du en chef de la pi>lic* de Schaarbeeck. Cette affaire a pris depuis lors de srajldes proportions et trois autres de police de 1 agglomération bruxeltDise viennent d'être arrétés è leur tour.

Voici quelques détails «ur cçitc bruit.

M. Pouwès, einquante-hult ane, comde police pensionné, exploitait diepuia quelquoe années un commerce d'huile pouir auto. avait comme asâocié M. Vandeinneulen, commissaire en chef de la police de Sehierbe*ek. Ce dernier ©lassait les procès-verbauTt dressla aux automobilistes qui consentaient à acheter de l'huile à 1a firme Fouwès,

Trop heureux de s'en tirer à m bon compte, les» délinquante de faire une commande d'huila à Pouwès, dont le commerce était chaque Ce commissaire se faisait, avec Commissions que lui payait son assocté en huJie-, des sommes très rondelettesCe fut le jour où le commieeaire jugea que l#g commissions étaient insufflEantesh et où le marchand: d-huile estima que le concours du commissaire de police lui était stîpftrflu. que les deux hommes se diaputerent ferme. Pouwès dénonça Vaadcnmeuien au procureur du roi. ce qui déclencha l'Intervention du parquet L'enquête démontra bientôt que d'autrés de îMrflce ee livraient au même trafic, et o'*st ainat que furent arrêtés MM. Hasebrouck, ancien commandant de la gendarmerie, commissaire de police en chef d'Ueeïr, 0L-paiBUr commiççaïre de la 5-" division de Bruxeîles,


LE BUDGET DES DEPENSES POUR L'EXERCICE AIR

M. Henaudel, rapporteur du budget rie l'air, a exposé les grandes lignes de ;on rapport, acceptant, sous réserve de modifications dans les chapitres, le chiffre global de millions demandé de 30 millions sur l'exercice Les réduction portent sur le personnd <– 37 .millions), sur la construction de prototypes millions), sUr lès p'ïmaa des compagnies de navigation aérienne (– 22 millions), Il y a augmen- \-r & mlUianaJ.

L'effecttt des f«*es aériennes est prévu pour 2.128 officiera et hamAu cours do V«uunen des chapitres» MM- de Lasteyrin et Bernier s'élèvent contre la création envisagée de services d'intendance et de faisant dou- ble «oiplûi-aisec <*hk du ministère de ia Guerre. M. Bedouee réclame que les disponibilités provenant de! -rabais d'adjudication ne soient plus laissées à ia discussion des services.

Les primes aux compagnies de naviaérienne sont flsées à 160 milIkms, dont ISO millions poup l'exploita' lignes actuellement en service, et 10 mtlliûïtà pour l'exploitation de la nouvelle ligne France-Conso-Mau&gaaobv, Sur qutfetton de M, Malingre. le rapporteur annonça çu'un accord est intervenu entre la France et les divers le transfert des contrats liant ceux-ci à i "Aéropostale il ajoute que les obligataires de l'Aéropostale vont recevoir fis) de leurs créances. Sur queBlioa tXs M. Joseph Denaïs, le rapporteur titiclar* que si la B'rance a laissé tomber son droit au monopole d'escale aux Adores elle n'a pas renoncé à toute possibilité d'accord avec le Portugal. Les fraiù du pereonuîî navigant des réserves sont portes de franco à 2Q millions, non .sans observatloa de M- Bernter sur le* gaspillages auxquels donna lieu ce chaA M Malingre, qui réclame des renseignemeats sur les avions de chasse de nuit, le rapporteur répond qu'une lïf.tre récente du ministre de 1 Air assure qu'avant îe 1" janvier l'équipement sera aasuré pour cette catégorie comme les autres en avions ayant une vite^ie de 370 kilomètres.

Le rapporteur plaide en faveur de la création d'un arsenal aéronautique pour lequel 4 million* de francs apnt prévus au budget il demande une augmentation de 1 million de francs. Par contre, U propose unt réduction de 4 milIions sur tes travaux et lnatalEn ce qui concerne ces travaux et Installations, M. Joseph Denais iwlsr* sur la nécessité d'assurer l'équipement de la région parisienne et en aérodrome et en hydrobases, Le rapporteur répond que, à cet effet, 175 millions sont prévus au projet d'outillage national. II. Germain Martin appuie l«ob«rïat;one de M. Joseph Dirais. MM, Paul rkeyniiud*et Emtst garant, tout en se ctfCîl*rant favorables à une politique de stricte économie, crbient également une la France doit perfectionner son 6qoipom«it 1 ils protestent oOfltrt .t l'Émiettement ? d*3 crédita en la multiplication des aérodromes.

DlveiflW observations sont formulées Hur les prévisions en majoration de pour les journées d'hospitalisation. Le chapitre *st réservé jusqu esplicaiiehs du ministre.

Les autres chapitres sont adopta ^iins observations ainsi que tes ^red"3 nécessaires l'aéronautique en Algé-i^au Maioc, au Levant et dans les fe rapporteur conclut de manière opttaqlBte sur H présent et sur .rave' nir de nûtr* aviation, tant mfotalr» uu* civile. IL insista sur « 1 effort de qualité > actuellement poursuivi.

CONVENTIONS

M Moch» rapporteur, expose les condition» dans lesquelles l'exploitation tin chemins de fer été influencée par la loi du, S -juillet 19&3 les ̃ administrateurs d'Etat sont nommée la taxe d'Etat Sur Ves billets a. été réduite à partir du 1" novembre, la communauté d'intérêts entre l'Orléans et le Midi jouera à partir du janvier, lea sim- plifications réglementaires ne sont pas opérées* la réintégration des révoques fi 235) ne sera terminée qu Ja fin de 193S En .somme. cette ïol n'atténue que de 80 millions le déficit des chemina de fer en 133S<

Or le déficit du fonda commun pour Us 400 millions dont il est débiteur vis-à-vis de l'Etnt pour lea insuffla anceg antérieures. Les recettes ont bataM de 330 millions sur 1&32, les charges nouvelles de capital se sont élevées à 1S7 millions et les êconomt&s réalisées à 402 millions- Le total des recettes est iTenviroîi 12 milliards, Le: rémunération des actions non amorties n'absorbe qu'une quarantaine de mtttloos, garantis par l'Etat.

Les avances du Trésor .s'élèvent a 1.895 milliona. Le réseau de l'Etat ne verse, sur sa part dans ces avances, Le déficit du réseau de l'Etat représente ft&4 millions (soit 23 du déficit total).

Au cours de t'examen des chapitras, M. Joseph Panais proteste contre le décret par lequel le ministre des Tradiction faite aux « administrateurs «l'Etat dû percevoir tantièmes et ietuns de présence en prévoyant que ded Indenuxïtés d'importance égale leur seront attribuées. MM. (i«r main-Martin, Emile Bore], Lûfoat,noyers sont partisans du prmeip* de l'indemnité, mai* la veulent modérée. Entre les nombreux chiffres fuurnia, il convient de retenir celui de 623 mil. itons (contre 55S en 19S2) pour lesrêts des. emprunte étals (13. milliards

7. Feuilleton du Trtlt V*rtyîew, lj-13_-3g ILE MÊVEOIL mnu

PASSÉ pu Oabriki, BERNARD PREMIERE PARTE

Vtlï (suite)

La maUon de maître Yarraga étant en majorité à bord de ta Pamptt, Geor&es avalt eu quotidiennement de la pratlque de l'idiome de Cervantes, qu'il connaissait surtout srammaUca- jcment,

armé eju'un Français peut l'étre pour évoluer une dans cet étrange pays kilomètres de longrueur, limitée à l'E^t par la cûîoaaale chaîne de CorflUlère de* An^es et, à l'Ouest, par ie, Pacifique,

repoe à Valperaiso. Mais ce n'étaü pas cette ta ville qu'il comptait commencer ses recherche*.

A\3nt d'à s'embarquer à bord de la

afin de couvrir le déficit des réseaux depuis 1929.

Le., divers chapltr&e du budget des Conventiona sont adoptés. POUR LES H. B. M.

Avant de se aéparez\ la comm-leaion ar sur rapport de M. Dézarnauld, et après observation^ de H- Bonnèvay, tion pour une année de ia toi Loucheur. ce qui exige 1 milliard de crédits. Les capitaux néceasaires seront Il l'Etat ou par lea collectivités secondaires avec garantie d'intérêt de l'Etat. d'nul pour les budgets de ïa Légion el PatenÔtre-Des-noyers, (M. JùJBDiy SchHîJdt, rapporteur!. M. Constantin Bratiano rencontre an Quai d'Orsay les porteurs de bons roumains Une importante déclaration du misûâ* tre des Fiûtnttl de Roumanie M. Constantin, Bratianc, qui quitte- ce soir Paria pour refttrtr a Bucarest, à eu hier après-midi, dans un des salons du Quoi d'Orsay, une importante uonfï;titrer Cette avait pour but d'obtenir l'ajournement à la fin de jajivier de la riunion d'experts qui avait été précédemment fixée au 15 décambre courant, à Bucarest, et qui de.vait déterminer la capacité de paiement actuelle de la Rcnnnanit en vue du règlement ultérieur des Cette demande d'ajournement était motivée par de. élections généralts roumaines qui vont se prolonger jusqu'au 2fi décembre et qui n'étaient pas prevues lors de la fixation de la date pri.mitiVËr Pour des raisons analugnea, la Roumanie demande également que soit ajourné l'envol sollicité par ellemême il y a quelques mois desperte français de la S. D. N. dont la tâche tache de longue haleine serail de présider au rétabliâ^ement économique et financier roum&in.

A l'issue de cette réunion, le communiqué suivant a été publié

« M. Constantin Bratiano, ministre des Finance:=: de Roumanie, accompagné de M. Zeuceanu, ministre plêaipoten' tiaire, a eu cet après-midi, au Quai d'Orsay, un entretien avec les repréacntsnts des ministères des Affaire, étrangères et des Finances.

M. Bratiano a exjxrté le point de vue du gouvernement roumaln sur les nigoqui doivent s'engager au début de l'année prochaine pour le règlement de la dette extérieure roumaine et sur f -procédure à suivre à cet Il Il fait notamment connaitre qu'il avait, d'ores et déjà, donné les Inatruo- tions nécaaaalres pour la mise en paie- meat sous peu de jours de 50 w prévus par 1'accord du 2E octobre en ce qui concerne l'échéance au octobre de l'em- prunt 7 <S I&3X.

M, Zeuceanu été. habilité par M. Eivatiano pour donner à Paris et à Londres les précisions complémentaires qui appareitTaient utiles et pour conclure tes accords nécessaires.

Avant son départ, le ministre des Finances de Roumanie Il tenu à réunir tas ra présentants de la presse et à leur dire combien il avait été touché de l'accueil sympathique rencontré par lui, non seulement dans lea milieux officiels, mais dans les milieux politiques et financiers. Au cours de cette déclaration, M- Constantin Bratîano a insisté sur les sentiments d'admiration .et de reconnaiâsanca de la Roumanie pour lst France, sur les intérêts communs au^ deux pays qui rendent tiécegëaire leur étroite et et enfin sur cette idée d'une vérité éclatante que « plus ta Roumanie sera forte, plw-s Ifia efforts de la Francs pu., let\on de la, paix seront aowtenus dans cette partie de t'Evtrape ̃».

Parlant de la crîsR écono¡nique que travexae la Roumaniû a ajouté

e Noa cteïfcisr sent Rites QrnpëcJient Ut reçtmsHty,t{on êcvn(tmîque de notre pays.

Pour s'a«surer que leurs créances seront payées, il faut que les Créanciers ûQïttprerxnent qu'ils ne pourront €tre que si notre économie nationale est consolidée.

C'e&i flow** réaliser cette oeuvre que le parti natltitml Libéral a été appeif d sation de notre monïtaic, seul de pouv&r faire des paiements à 4cvnoiii.iqveâ de îe$ autrn3 nations. La Roumanie cat une des seuïe» nations qui jusqu'en juillet ou( dans Pavenir.

U faut nàanm&ina que les détenteur* de rentes roumaines aient de ta patience Le gouvernement national libéral, conscient de la lourde tache qu'il a assumée, espéra métier & bomflç fia le plus qu'il a dans le, rangs de san parti des éléments pouvant faire le travail nécessaire, qu'il a la confiance du pays et de la couronne et la volonté de air,

Les obsèques du duc de La Trémoille auront lieu ce matin à Thouftri Thouars, 13 dêc. (dép. Petit Le cercueil contenant les restas de du. de La Trémoille, prince de Tarent et de Taïmotït, vicomte de Thouars, qui vient de trouver la mort au cours d'un incendie en Angleterre, est arrivé à Thouais. La eu dernier de cette famille aristocratique est exposée dans la nef de l'église Salnt-Médard. Le est recouvert d'un simple drap mortuaire sur lequel ont été dêpo- des gerbes de fleura.

L'inhumation aura lieu demain matip, à 10 h. 30. La levée du corps aura lieu funèbre à l'a chapelle des ducs de La

&.fïeç tueuse, dan -5 iaquelle Il loi disait en substance qu'il ne voulalt devoir rien que son propre effort, qu'à son iropre labeur. Il ne donnait pas la moindre indication au L'endroit où il avait résolu de se reodre et terminait par une émouvante protestation de gratitude. ajoutant que, dès qu'H aurait obtenu un réeultat positif, il s'empresserait de le mander à celui qui l'avait élevé comme s'il eût été son Véritable fila. Afin dé brouiller sa piste, Il s'était adressé à un. da ces agences apéclaîas qui se chargent de faire partir une lettre dé n'importe quelle ville. La lettre de Georges avait 4té mime à la poste au Havre.

Donc. après être demeuré deux jours à Val parafa Georges prit 18 train pour Santiago.

A peine installé dans un hôte! moyen de la capitale chilienne, car Il entendait ménager aea ressources, Il s'enquit de l'a-dresafl de ['avocat Yarraga, auquel Banceltn avait demandé de* renscignements sur les circonstances de La mort de Gaiipai'd Legrand. et qui s'était borné fi lui envoyer un papier administratif et à l'Informer sommairement que l'ancien directeur généra de la Société de.5 Pétroles Marocains avait succombé à la suite d'un aceldent, dans un chantier où il travaillait comme Avrier.

Georges trouva i'a dresse de M* Yarraga dans l'annuaire des téléphonée, mais il préféra je présenter directement chez lui, plutôt üue de lui demander un rendez-vous,

Santïago est tïûe ville superbe. Ses maisons blanches s'essaiment dans la

LES PROJETS FINANCIERS DEVANT LA COMMISSION 'DU SÉNAT

SL'fTR &K LA P.1OH

La commission des finances du Sénat a siégé le -matin efc l'après-midi. La séance de la matinée été presde l'article 6, relatif au prélèvement sur les traitements des fonctionnaires. M. Marcel Régnier, rapporteur général, trouve insufhsant le rendement du projet de la Chambre, et il propo.x une réduction générale sur les traitements et pansions, avec taux réduit pour les tranches inférieures. Une question de forme s'est posée tout d'abord certains commissaires, notamment M. Eien^enu- Marti ont demandé que le texte de la Chambre fût pris comme base de discussion. La proposition du président du groupe de la gauche démocratique a été repoussée par 21 voix contre M. L'article 6 nouveau présenté par M. Marcel Régnier a été alors voté par division, Le premier alinéa, qui pose le principe du prélèvement général sur tous les fonctionnaires sans exception a été voté par 23 voix contre 5 et 1 absten-'tion. Le second alinéa concerne 1'échelle du prélèvement, qui aérait ainsi tixé

de 6 Toutefois, il serait rédaït IL pour lea traitement inférieurs à 9.000 francs et accru respectivement de 2 et -1 pour les tranches supérieures a 50.000 et 100.000 francs. Ces dispositions ont été adoptées par 23 voix contre 4.

Les pensions danciennelé

L'article G bis nouveau, qui a été ensuite voté sans opposition, sur ta proposition du rapporteur général, vise le prélèvement sur Ies pensiona d'ancienneté. La réduction serait effectuée dans des conditions analogues à celles du prélèvement sur les traitements. Les chiffres de 6.000. 25.000 et 40.000 étant respectivement substitués à. fl.000, 50.000 et 100.000 francs. La révision dès indemnités

L'article 7, relatif à la revision des indemnités, a été réservé.

Un article nouveau 8 septièsi qui stipule de nouvelles règles génératrices d'économies en ce qui concerne les bénéficiaires d'allocations militaires, a été enfin voté sans opposition, sur la proposition du rapporteur général. Outre le président. M. Caillaux. et le rapporteur général. M. Marcel Régnier, sont intervenus dans les débats: MM. de Blois, Pierre Laval, Henty Ftoy, Léon Perrier. Sary, BienvenuMartin, Mahleu, Henry Chéroo, Valadfer, Milan, 1-ancien le général Hirschauer, MM, Farjon, Schrameck, Pierre Robert et Tournan.

A l'issue de la réunion de la commission des finance! M, Joseph CaUlaux a reçu de M. de SalaC-Auban, bâtonnier de l'ordre des avoaats, qui est venu l'entretenir du contrôla des revenus des professions Tibéralea. Dans sa séance de l'après-midi, la Commission a examiné l'article 7 prévisioa des indemnités). File l'a adopté avec une modification suivant laquelle, en tout état de cause, les indemnités sujettes à rovision seraient réduites, à partir du ltT janvier 1934, de 15 au moins.

Puis, pu, la proposition de son rapporteur général, la commission a voté deux articles nouveaux, générateurs d'ôcoitoiBiçè permanentes pour un montant total de 108 millions l'articie 8 ter relatif aux versements de l'Etat pour les assurés Sociaux agricoles et l'article 8 ïjojiiea, aux termes duquel les rabais d'adjudication obtenus sur les travaux subventionnés par l'Etat ne pourraient plus être utilisés en travaux supplémentaires et donneraient lieu à des annulations correapondantes de crédits.

Dispvutitiom diverses

légère modification.

Les articles 12 A {institution d'une et 12 qninqitiea ttaxe sur la maind'oeuvre étrangère) ont été rejetéa. A l'article 12 ter (imposition des bénéfices agricoles dont le principe a été adopté, le texte a été remanié Seraient imposées d'après leur revenu réel Luutes les exploitations agricoles dont le revenu cadastral dépasse 10.000 francs, alors que le texte de la Chambre prévoit ce mode d'impositioa pour les assujettis dont le chiffre des ventes difficile à connaitre escède 150.000 francs,

L'article 12 quater (imposition à l'impôt sur les traitements et le5 pensions civiles) a été voté sans modification.

Sur la proposition de son rapporteur général, la commission a voté un article 12 sexies (nouveau) qui relève le droit de timbre des permis de chasse à 180 francs et 60 frames fpart de l'Etat).

A l'atide 13, portant création d'une surtaxe sur certains spiritueux, le texte du gouvernement a été repris. Après avoir adopte sans modifiâttien [en articles 13 bis Itaxe sur les Hcehces d'importation) et 14 (réglemcntatlon des prix de détail», la cnmmisslon a procédé à l'examen des articles précédemment réservés. L'article 10, relatif à la frappe sup-

contreforts da la Cùrdillèra des Andfta dont les somme majestueux terment l'horizon à l'Est. C'est une ville d'art et d'agrément où lea monuments abondent Son cllmat est celui de notre Côte Le domiefîa de M* Yarraga est situé dans 1`un des plus charmants quartiers de Santiago. un quartier presque compose de riches habitations de plaisance. Comme doit faire bon vivre daus cette espèce de Georges découvre bientôt la maison de l'avocat. tapie au Tond d'un luxujardin qui fait penser il quelque oputent -ioniatne de Saint-Raphaël ou de Monte-Carlo,

ri sonne au portail de ce Jardin. Quelques minutes s'écoulent. Enfin, une manière de concierge-jardinier, vrai- araucan dans les veines dont la téta eût enchanté Velasquez. paraît sur le f Je désirerais, dit Georges en esParis spécialem&nt pour causer aveo lui. Le jeum homme a préparé ces deux phrases, qu'il débite d'une traite. Cette façon de ae présenter lui évitera. C'est ^e ses encêtres de se que le méUa tient sans dioulo nante impasaibliitè qui caraûterîss hùd j visage et son attitude, exprassion, Il est regrettable que voue ayez fait pour rien un aussi long voyage- IF y » trois mois que moa maitra a éLè nomme conactiter juridique il,

pJêmentaîre de monnaie d'argent et de' nickel, a été rejeté sans opposition. Regrèvement»

L'article 12, pétant suppression de ,-?ur des droits d'enro^atrement;h il donné lieu à un imper* tant débat. Finalement, sur la proposition du rapporteur général, la commission, a écartè^outua les impositiona nouvelles dénommées « regrèvements » et leur a substitué l'extension de l'impôt sur le chiffre d'affaires aux servlces cûncéïïéa.

L'article 12 bis, qui supprime les droits de circulation s«r les véhicules 50 francs par hectolitre sur l'essence a été ensuite voté tel qu'il est sorti des délibérations de la Chambre. Un article additionnel 12 eis A (nouveau) qui précise les conditions s d'application de l'article précédent a été réservé.

Outre M. gp^^v»* et le rapporteur général, ont ^pr^s^ jiftrt à ces débats MM. Mounié, Tournan, Laval, Herveyv Laudier, Bienvenu Martin, Perrier, Hoyaux, Sari, Milan, Lancten, Henry Chéron, Cuminal, Fourcade, général Hirschïtuer, MM- Manceau, Ctauveau, Farjon, Lebert, Schrameck, Roy, CahvIIIoq, Guy de Wendel et Morizet. En résumé, la commission sénatoriale des finances a, quant à présent, rëapJu de proposer au Sénat de nombreuses et multiples économies s'éle· vent t au çhiffre indiscutable de 2.100 millions. Elle Il uniquement retenu au titre de la fiscalité, indépendamment d'aménagement de taxes déjà existantes, la transformation de l'impôt sur les automobiles et l'extension de la taxe sur le chiffre- traffairea aux services concédés.

Le cartel des services publics proteste contre les décisions Ide la commission des finances du Sénat Le cartel confédéré de; services pu- blics, qui suivait attentivement les échos des travaux de la commission des finances du Sénat, décidé, aussitôt qu'il connut les dcci&lons priS£S+ de ae réunir pour en délibérer. Cette réunion a eu lieu au siège de la C. G. T., 211. rue Lafayette. soua la préeiden-ce de M, Lenoir, de 1a C. G. T. Elle a duré environ deux heures. A Tlsaue de cette le le texte suivant était communiqué « Le cartel confédéré du eervic*s publics, réuni d'urgence pour examiner les conséquences inévitables de l'inqualifiable provocation à laquelle vient de se livrer la commiseion des finances du Sénat, décida de répondre avec la dernié,e énergie à Cette provocation. Il invite ses adhérents à appliquer unanimentent, et au moment précis choisi par le -comité le, mots d'ordre qui leur seront donnés. Il leur demande instamment d' observer la plus stricte discipline et do n'obéir qu'aux instruc- tions qui leur seront comuniquées par leurs fédérations respectives agissant en plein accord vec elles.

Il ae peut qu'aujourd'hui 1e cartel se réunisse de nouveau ce n'est pas ce" tain, cela dépendra des événementsL'Association des sociétés par actions contre les projets financiers

Une lettre au président du Conseil Dams une lettre adressée hier au président du Conseil, M. André Baudet, président de l'Association nationale des sociétés par actions, souligna que le projet de redreaaement financier voté par la Chambre et actuellement en instance devant le Sénat comporte un certain nombre de mesure.!5 incluses à l'article 12 qui sont spécialement graves po-yr la vk des sociétés par actions.

Les épargnants, tcrlt M. Baudet, ont été lourdement atteints par les ^rénemeiita at I lea Les revenus m réitaloeM tous les capitaux aont aniputéa par lu de. vaJeura lu rente? Ont été CI- certains înipotf notamment la ca-^e de trammlaaion ont dgjà été maJOTéa. La. loi nouvelle ne feraitver une Blttiation ùéjh péri lieuse.

Après avoir fait remarquer que l'augmentation des impôts frappant les capitaux devient un élément cerfain de découragement pour l'esprit d'épargne et aurait pour conséquence inéluctable d'inciter plus encore à la thésaurisation, le président de lAaaotiatlon nationa'le des sociétés par actions précise' que ces sociétés, actuellement, « travaillent déjà deux jour. sur trait pour Se fisc s.

Et M. Baudet de conclure &q protestant Contre le projet financier li crifte, 3<jnl à bout do Souffle. Une aug- dé conduire nouvelle ruine un grand nombre d'entre elles au grand (jomnmg« tfu re- qui est une de vop des non combattaali Le Journal officiel publie ce matin un décret du ministre des Pensions 1 portant règlement d'administration pu* bîîque pour rapplïcation des articles 126 à de 1a loi de finances du SI mai 1919, Cette révision lie vise que les pen,ion. concédées, sous le seul bénéfice de la présomption d'origine, aux anciens militaires non titulaire de la carte du combattant et aux veuves de guerre remariées et non sedevenuc$ veuves.

Le ministre des Affaires étrangères grec passera les fêtes de Noël à Paria | Athènes. 13 décembre tdép- Ravas.1) Au sujet de la nouvelle parue dans I le journal sur le voyage du ministre des Affairas étrangères, M. Maslmo*, à Rome, l'agence d'Athè- nea annonce

I « M. HnxitaoB ira paas&r les fêtes de Noël à Paris. A son voyage d'aller ou de retour. Se ministre passera, nome.

la légation de la Hêpublîque du Chitt à Paria, Vous auriez pu le voir là-baa. et cela voua aurait évité la peine de franchir les océana, Mais qu'avez-vous donc, senof ''̃ Vous sentez-vous malade ?.

En dépit dé son impassibilité indienne, le métis n'avait pu se défendra de marquer quelque émotion.

C'est que Georges était devenu son- dam horriblement pâle. Il chancelait au point qu'il dut chercher un appui contre l'un des. montant,,¡ du portail. M4 Yarraga. installé k Parla, AÎora éléments de ses recherches C'était pour le fils de Gaspard Legrand comme un brutal rappel du destin.

Ce n'est rien, balbutia le jeune homme. C'e&t assurément une grosse déception pour moi que M' Yarraga ne soit pas à Sautiago, Mais,

U ne put en dire davantage. D'évidence, il se trouvait maL Avant que !e métl* eût pu prévenir aa chute, il perdit l'équilibre et s'affaîsaa sur Je su], mals sî malheureusement que sa, tète heurta l'arête aiguë d'une pierre.Le jardinier s'emîtresea. le prit à brasM' Yarraga avait grand'peine à Je soutenir. Un mïcce fliet de sang coulait d'une blessure que Je faune homme faite au front appelèrent de nnterteur du Jardin Pedro Pedro

i Venez vite Pedro c'était !e nom du jardinier

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

Invalides. Au profit de l' Association des de dû de de carrjèr&, 14 h. k 1& h.. 2, avenues Portails. Des œuvrer Père* de rûratoire, S. ru* JeaBfioujan. Protection dfl U jeune Jllle tatholiïiue, 10 Il. !t 14 îi,, ni* I>enfert-RocliereB.u. Crèchfl jnuûLcipoïe et œuvre dea Tout Petits, h., mairie Cuiigtôs d M et Km tpanç»i*«\ 9 b. 30 et de l'aviation français. Petit Prtlais. .Salon de la qualité Grand Pdlale. Artisanat féminin, ÏT, m. rue La

Héunloa 18" el L'Ed&ifreiiSa (anciens chaaseure aï pins de Sa.voie-Dfluphiné>. :IL h., bdule^-ard Miirttittartw. ̃– Aj"tl!lwiiH de montagne. hêunlami LÀ Jura français (présentation de La reine de la Franche Comté), 15 h., Mlr de- Club du Faubourg. 30 h. 30, rue Dajiton. Comité natiode l'Orgajiiaatlon fraiigaîise. h. 45. HUnrfie. Amicale A. E. de lYcole 30 h. 45, 101 txui- Ibique. h. *5. mairie du X», Centre Concerta. F*^5 Studio FnCtijUiii. U h, 45, Ihéatre du VJbuji -Colombier. Four iceu* vre de- vacaurea dea 1: Tout Petits 14 Il., théâtre Alb«l*I". F. N..rie.? 21 h., M9, rue Saint-Jacqitas. Le!! Normands de Pe.rÎ8, 21 h., boulevard Banquets du lycée- Condorcet. 30 ii.. m« de Petro^rad. 45, Revue du Slfîcle, 30 h., hôtel Lutetia.

levartî de Maeent^,

tard à l'eRpositicin dE' SDUT«nirs de raviallûîl française, au Petit Palais. M. Paul-Boncûur, mlnlûUe des Affaiétrange- a reçu cet après-midi )iL Hhitfh WilBon, délégué des Ktatsunis à la conférence du désarmement, qui est sur le point de S'embarquer pour Washington.

Le lieutenant-colonel d'infanterîe Baudouin edt nommé chef de la mission militaire française au Brésil.

Le comte Volpl, ambassadeur, ancien ministre des Financer d'Italie, prononcera le lundi 18 décembre, à. 21 heures, & la Sorb-annfl, pour la No-uvsLle «coït de la paix et sous la présidence de M. Henry de Jouvenel. une conférence sur « X/entente irajico-ltaJîenne et son avenir

M. René Fiquet, président du conseil municipal, et iee membres du burcau du conseil, ont rendu hier matin visite à M* Camille Ch au temps, président du Conseil, ministre de l'Intérieur. M. Carde, gouverneur général de l'Algérie, est arrivé hier soir il. Paris. sons la présidence de M. Anatole de Monzie, ministre de l'Education natiode, aura lieu lundi prochain, a 11 heu* ref, 1'à.p-poslttotl d'uns flaque comme- sur sur Ja maison natif du grand peintre Paul Gauguin, riie j Notre-Dame-cia-IjOKtte.

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Je nc peux pas, n y a un a«eiQuelque» BûcOndes plus .lard, deux jeunes filles accouraient, 'fout en rent autour du blessé, que Pedro de réussir à asseoir sur un banc riisti- que. mais qui n'avait pas encore repris, F etlro, commanda l'une dea jeunes flllea, allez vite prler maman dt vous donner son flacon de sels anglais.. Apporter aussi de l'eau fraîche. Comme il est pâle, ce pauvre garçon! dit l'autre jeune fille avec compaa- .Ion. Le mieux serait d'appeler tout de suite le docteur Sanchez.

Cela ne sera î>eut*ëtre pas si grave, reprit la première, Voyez. chère Anna. Le voilà qui remue les lèvres.

Da fait. Georges commençait à reprendre eea sene. Il ouvrit Ito yeux et. la conscience des réalités lui revenant, ii ne fut pas peu surpris de voir ces deux jolis visages penchés vers C'est qu'elles étaient même mieux que Jolies, îa senorita Mercedes celle qui avait parlé la première -et la & norita Anna celle qui semblait la plus émue et qui avait proposé d'en- Mercedes Yarraga était la fille de l'avocat Anna Peru était sa meilleure amie.

Bianîfestemeut de pure race espag-noî^, les ne se ressemblaient nullement. Autant Mercedes était ardente et vîve, pétulante rnèsnt, autant la beauté d'Anna s'imposait par son charme rêveur, harmonieux et languide".

au secours C'est l'huile d'olive qui donne on n'a jamais trouvé l'équivalent de l'huile d'olive pour l'embellis- sèment de t'épiderme

La franche couleur vert olive du Savon Poimoiive n'est elle pas pour vous une garantie précieuse? Elle révèle qu'une quantité impor- tante d'huile d'olive entre dans la fabrication de chaque pain de ce savon. Palmolive ne contient aucune raisse animale. aucun co- lorant artificiel.

Voilà pourquoi 20.000 spécialistes en soins de beauté le recomman- dent pour maintenir la fraîcheur juvénile du teint.

A 3 fr. 95 dmi « LES BONNES LECTURES. UNE JOURNÉE DU PAPE

par Georges COYAU

de l'AudéniB française

et Paul LESOURD

Les « Bonne* Lectures cette nouvelle et prÉStigifiuâô cùlltctiûïi, publient ausil DépouvtTtq du TKibet, par le P. Hue de sales, par Henry Bordeaux, dâ V Aca- démie française Imagos de sainl Louis. par Franc-JJûhain. Voici une collection sans analogue en France, qui répondra je ne crois pas mais-qui s'avouent! c Mais j'envie ceux ^ui «oient, parce que j'ai beaucoup réfléchi (3 fr. 05 volume magnifiques illuatratioits Prochaine à Paris Prochaine Paris du comte Volpi

sur l'entente franco italienne le lundi 18 décembre, il. 21 heures, la la Sorbonne. pour la Nmnjcïte Ecole de la pakc et sous la présidence de M. He;iry de Jouvenel, une conférence sur l'entente et enn avenir s.

L*a contrustis de Castille semblaiBnt se refléter dana les yeux som* bre& de Mercedes, s'exprimer dflns $*̃$ gestes d'une capricieuse véhémence, dans le.! inflexions tour à tour âpres et chantantes de sa voix.

Anna, c'était toute la suave et sêclkiisaote pg«ie de l'Andalousln résumée dans un être çxquis, très probablement Inconscient de la toute-puissance de ses attraits.

Or, la réalttê- ne faisait pas mentir les Yarraga était effectivement la plus jeûna deacendante d'une famille castillane établie au bien avant la guerre de l'Indépendance Anna née en Espagne, était authentiquement Anda.lause, et elle pas depuis longtemps

Lea deux amiea avaient le même âge dis-neuf ans.

La se no râ Conchita Yarraga-, lamèra de iiercédêa, n'avait pas voulu confier à Pedro son flacon de sels. anglais elle l'apport* ella-même.

C'était encore une fort belle personne que la femme de l'avocat, en dépit de la de depuis long*t«nps stranéfl. Elle arriva prés de Georges accompagnée d'une autre dame respectable. mais ton aidé r&blf: ment plue effacée, le assiéra Conçapçion PerezF tante d'Anna.

La blessure de (xeorges Leçrand était infiniment moins grave que la nouvelle s«COUSse morale qu'il venait d'éprouver. I*an&é avec autant de dextérité que de sullicHude par 1a senora Conchîta ïaira^a. que secondaient & l'envi la senora Çoncepcîon Perez et !ps deux jeunes fllles. il ne laissa pas rtp manifester certaine CaîtfUsiûn lorequ'îl fut tout à fait revenu à lui.

Programme des spectres da l'^iuaur et du ha=a.rd S 1) Çïwiolan. S ij. 4g, le Juir 8 h 30. la Rq&* de JfrlcHo» la

\Arl.;té.. 9 ]i.. E'iorcstan I".

2 S la Subwrry. Théâtre de Paris, S h. 4j. Tuvaritcîi. ^yjiiwoM, 3 9 Messager. (JH, Berna t«i«, h. t*Altrlon. 3t«B»(I^P, 2 30. 8 30. Aub. du Chevrtl-BIirJO KmptM!. h. 30. S II. 45. EWui i^ua de fleur* Arabica, 2 IL 4Õ. S b. 43, raars«iHaiB^ ïToulln-Bnnirp, Ffthi., Victoria et EOD hussard HHrlKfiy. S h- 45. Un Jfcrû.

A m bu 68* deurs, S b. 45. PranziaL

S h., 9 h.. Mamelle MalskoH. B.-F&rlHL»nH, S H. 45, O mon bel inmnou. >llrhtti)l*i*. 9 h. Un tour au Ëaratfla. AUi£n<e. ft h. Prier* pour lea ïiv&ftt*. XadeUïne, h., Passai des .Princes. Alfraifibnii 2 h- 50. S h. 30, FIclif dBawaï. s»]]it-Gw>rg*3. 9 h.. "Trtiis -et Une.

ThrÀln- ftfllleff, râlàthe.

lirttJid-iiniicnol, & h., l'Hurfible l>aniiDu. 3 h.. b.. loulou et aca fcûya. Mithr), 9 h., Paricz-mol il'amour,

9 h-, arnotir.

Art* 3 h,. PlalSïr d'HUOUi1.

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L.-Bjrfui. Vie VIII (Laughtott) RasnaM "ïlfi, Amet-itnn

An aii et Eliiabatfi

Ban a parte, Xnzm et Elisatiitli.

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Kélect-ratbÂ. Adieu les içnirs. Capïtole-rath^ Ah T q,veftt gare

JjBaxor-rallt*, Obqulett*.

Barb»s-r«thé, Ah quelle. CCre

Tftwncty, Révolte un Zoo. Je suis un ̃lutfinil-Bnii-Cin^mft,

Th. Popotatre Tour France par LUCIEN ROM 1ER

SI LE CAPITALISME DISPARAISSAIT

QutsttuQs d'une dramatique actualité par c* temps de crise financière.

Que faire en et mo- ment au les fortunes s'effondrent si aisément ? Que va-t-H sa pasaer ? En France, dit M. Romter. la disuarition du cRpftalla-

rae. st eUc ea produisait, aboutirait soit tance, comme en soit un retour k l'êcotiomie patriarcale. Quel guide inestimable en ces heures troulilea. Hachette i& francs.

Je ne sala raniment vous reniereter, mesdames et ditil avec un embarras bien compréh^n1 sible, et en même temps je m'excuse. Ce qui m'est arrivé là est rid$cul«. Je j ne ma pardonne pas d'avoir appoTté'le trouble chez voua.

Au -fait, fnon'ieur, interrompit la j fienora Conchita Yarraga, qui était cfi que l'on nomme familièrement une gaüvé ?.“ Cet imbécile de Petiro m'a dit qufr vous Allez eu une défaillance et que vous Hiez tombé sur une pierra tranchante. Mais ces ] ne se produisent pas «ans cause, et i<t rien compris à ce qu'il m'a expllVoua vouliez voir mon morî, à ce Mats Pedro a ajouté Cet choae t invraisemblable, il. -98-VOIT que vous aviez fait le voyage d'Europe au Chilt pour le voir, dans que M* Y»r- raga «ût été nommé conselllfr Juri[dique de ootre iôgati&ïï.à Paria et qu'il eût déjà rejoint don poate.

C'est non moins exact, madame. Savez-vou= que c'est épouvantable, [ cela s'exclama la seiiûfa Conchita. Les autres femmes donnèrent le- j signes d'une aincère comoilsé ration. Anua Perez surtout, soit qu'elîe eût un très sensible et s'apitoyât facile- ment, soit que le jeune Français lui eût été particulièrement sympathique à pren>lèrc vue.

Aussi bien, Anna Pereï se prit-elle !dire, de sa. tante Le motif qui vouq amenai? chea M" Yarraga était donc bien grava


Les Etats-Unis

demandent à la France des compensations

pour l'entrée de ses yins Ils estiment insuffisantes celles qui leur ont été offertes New-York, 13 décembre,

DE KOTBH OOUBTCSPOMUAWr Les négociations franco -américaines sur l'augmentation du contingentement des vins français aux Etats-Unis sont bloquées actuellement par l'insuffisance. de» compecaationa offertes par la France. On sait que le gouvernement américain a autorisé l'Introduction, au Eours des deux mois de décembre et janvier, d'autant de vins de Champagne et de liqueurs que la France en importa en moyenne pendant les quatre premiers mois de la période 1910-1914.

D'autre part, il a'est déclaré prêt à augmenter le contingeatement alloué Sur cette base si les pays d'origine consentent des avantagea il. des produits agricoles tunéiicains* J'apprends que les autorités américaines ont été péniblement surprises par la médiocrité des avantages offerts par le gouvarnement français et auraient décidé de ne pas accepter les propositions transmises hier par notre ambassade. En échange d'un contingentement double pour les vins français, le gouvernement français a proposé d'élargir le contingentement des pommea et du porc selé provenant des Etats-Unis pour l-e premier trimestre 1934. Suivant le point de vue américain, il y a un manque de proportion absolu entre les avantages offerts et les avantages d2mandés par la France. Le contingentement de pommes propoaé est a p£lne supérieur à celai du premier trimestre et nettement inférieur à celui de

Les autorités américaines pensaient qu'll serait facile de s'entendre dana oe domaine parce que la production française de pommes ne suffit pas à la consommation locale, que les pommea françaises se vendent dans le dernier trimestre de l'année et que, par conséquent, rentrée d'un large contingent de pommes américaines dans le premier trimestre de l'année ne constitue en aucune manière uns concurrence pour lea pommes françaises.

Les Etaia-Unia sont disposés à doubler, même à tripler le contingentement des vins français mais raoyennant des avantages sensible meiit équivalents. Si le gouvernement français ne peut amétiorer aes offres 9«r les contingentements de produits agricoles, les Etats-Unis sont préts à envisager des compensations dans le domaine industriel, mais 1'effet aur le Con^rèa américain ne saurait être le môme.

M. Maurice Garreau-Dombast*, notre actif attaché commercial, qui dirige la négociation aux côtés de M. André de Laboulaye, ambassadeur de France, aujourd'hui il Washington avec les eïperta américains.

Cette question de pommas et de pore «alâ est plus importante qu'elle ne le partit de prime abord parce que l'avenir des importations de vins et liqueurs de France en dépend. Un projet de loi contre les vins français Les ressentimenta qui subsistent ici contre la France depuis la suspension du paiement des dettes de guerre vont se concrétiser au Congrès lors du dépôt d'un projet de loi tendant à éliminer les vins français du marché américain, M. Harold Knutson, député du Mdtmeaota, vient d'annoncer qu'il introduirait dans le WU sur la taxalion des liqueurs, un des premiers bills dont le Congrès va étm saisi en janvier, une proposition tendant à doubler les droits sur les boissons provenant des pays ayant fait défaut sur les dettes de guerre.

Le sénateur Walsht consulté, eooftrma que plusieurs parlementaires étaient disposas à soutenir cet effort pour harrôr la route aux vins de France:. L'Association des vignerons flattforniena fait naturellement tout ce qu'eâe peut pour encourager ce mouvenrent dirige contre dea vins concurr«ïi£. Mais cette tentative de représentes échouera probablement si, avant la réunion du Congrès, la France fait avec. les Etats-Unis tm accord coneddant des avantages aux produits

agrlcôl&a ,américains.

En eïïet, ]'marnée des grands producteurs de fruits de et de rpregon neutralisera celle dos vignernûfl californiens, et le Congrès hésitera contre le. vu^s français ai cette discrimination doit nuire par contre-coup l'exportation de produits M. Herbert Feis, conseiller économ1que du département d'Etat, qui participe aux négociations franco-améridoit être entendu prochainement au sujet des représailles envisagées par la commission permanente des voies et moyens de la Chambre des représentants.

Pierre DENOTER

LES ALLOCATIONS ACTUELLES Londres. 13 décembre (dép. P. Farts.} Suivant un message Exchango Telegrah de New-York, les contingentetnents relatifs aux Importations de spiritueux aux Et&t&-Uni@ ont été établis comme suit

Italie 43.720 hectoa; France, heetaft; Grande-Bretagne. 27.436 hectos; 18.034 hectûfl Espagne, 1T.SS4 hectoa; Jupon, 8.452 hectos; Holland e, 4.872 hectos; Portugal. 2.712 LA SITUATION EN ESPAGNE Madrid, 13 décembre Idêp, Havas.) Le ministre de l'Intérieur a. déclaré quatorze individus qui avaient fabriqué les bombes qui ont servi â la catastroPar ailleurs, cinquante-huit détenus se sont évadéa de la prison de Barcelone ig. police en a arrêté trente et et un détenus qui se trouvaient bord de Y Uruguay ont pris H fuite.

A Parnpelune, une tentative de déraillement a été commise sa.na succès Quelques bagarres sans grande gravité se sont produites à Saragoase. A Gijon. les organisations ouvrières reprendront le travail demain. Au Ferroi et à Se ville, la grève a Cessé. Pour conclure, le ministre de fintértôur a déclaré. aux premières heures de l'aprèa-midi, que la tranqiïillité était complète daaa toute l'Espagne.

LE ROI DE BULGARIE A QUITTÉ BELGRADE ET REGAGNE SOFIA Belgrade, 13 décembre (dép. P. Paris.) La dernière journée du séjour du roi Boris et de la reine Glovanna à Belgrade a donné lieu à des manifestations iea plus symboliquesat émoudo toutes qui se sont déroulées au cours de ces trois derniers jours.

Ce matin. le roi Alexandre fêtait saint André, patron de la mais-on des Kar&géoi-gévttcîi^ et Ofctte fête connue sous le nom de ta Salva est tout apéune féte de famille.

La présence des souverains bulgares aux cérémonies qui eurent lieu à cette occasion est donc particulièrement significative. La famille royale et les souveraine bulgares assistèrent au aervice religieux dans la chapelle du palais.

Puia le roi Alexandre, le roi Boris et un soldat de la garde royale ont fait bénir le gâteau rituel qui resteraposé aur la table de la salle manger du palata pendant toute la journée d'aujourd'hui.

A l'iSaue de cette le.verains bulgares et yougoslaves se retirèrent dans 'leurs appartements parti*fîuliers et prirent leur déjeuner en commun.

A 14 h. 15, les souverains et leur suite arrivèrent à la gare de Belgrade où le train royal les attendait.

Les troupes de la garnison faisaient la hale sur tout le parcoura, depuis le palais jusqu'à 1a gare, comme à l'arrivée des souveraitiâr

Malgré une tempête de neige, une foule considérable attendait pattemment et stoïquement le passage des souveralns qui furent l'objet d'aoelamaticma délirantes.

Dès leur arrivée à la gare, le roi Alexandre et le roi Bons passèrent en 'revue la compagnie d'honneur aligné* face a-ii train royal.

Le roi Boris. la main portée à la visière de sa casquette plate de généraj d'infanterie bul^a^, salua I*è sola Bos Pornos! Junaci (Que Dieu vous aide, vaillants D. Ce à quoi les Soldats répondirent par le cri de « Bog te Pomosi » (Que Dheu te protège ;). Pendant que la musique joue t'hymne royal bulgare, les aouve-raïnes pénètrwit sur le qual et le roi Boris et la rein« Giovaaua prennent dbng-é de leurs hôtes.

Le roi Boris étreint longuement le roi Alexandre et la reine Marîe, qui embrassent à leur tour la reine de Bulgarie.

Lee souveraine, vïaibl&ment èmtls, échangent quelquea mots. puis le roi et la reine de Bulgarie montent dans leu, dent le. stores levés laissent apercevoir de magnifiques gerbes de lilaa blanc et de mugtfet. diaposées aur de petites tables,

A 15 heures, le train ^ébranle lentement. Le roi Boris la reine Glovanna, penchés la la fenêtre du wagon, agitent leurs îft&inij dans un. "geste d'tfdteu et Au revoir l

Le roi Alexandre et 1a reine Marie re&tent longtemps Mit le quai, saluant 100 souverains bulgare* qu« lee « hourras » et les « ziveos de la foule accompagnent.

LE SEJOUR A LONDRES DE M. AVENOL

Londres, 13 dên. (dêp. Petit Parfiiea-) M. Joseph Avenol,. secrétaire gén-éral ner, de M. Arthur Hettderson, président de la conférence du désarmement, qui avait également invité certains leaders travaillistes, dont M. Attisa, chef de l'opposition parlementaire en l'absence de M. Lansbury, immobiUsé par son accident. Dans le courant de raprèa-midi, M. Avenol du -on entretien avec M. MacdonaJd, premier ministre, avec qui il a discuté les affaires de la S. D. Son départ de Londres est prévu pour samedi. Il s'arrêtera à Paris avant de rentrer àAu déjeuner à Londres

de l'Anglo French Luncheon Club Londres. 13 décembre (dêp. P. ?«*"̃) Pariant aujourd'hui à un déjeuner organisé à l'hôtel Par L'Anglo French Luncheon Club en l'honneur de la colonie française, air Robert Home, de l':fiehiquier et député aux Communes, a rappelé les sacuiairea qui unissent la France et l'Ecosse et exprimé i' espoir qu'en dépit des entraves commerciales qui se dressent actuellement entre tous les pays, cens amitié et cette cgûpératiûîi frajicoèflog^aiaea seront maintenues.

Parlant en particulier de la. S, D. N. et des dangers que lui font courir cettains év&nemeïïta de date récente. l'orateur a souligné que rien de plus désastreux pour la paix du monde ne pour.rait arriver que la disparition de cette institution.

En fai-t, a observe 1 orateur, si la 3. D. N. devait disparaître,, mieux vaudralt qu'elle nTeût jamais été Créée. J'espère donc que la France et la Grande-Bretagne uniront cordialement leurs efforts en faveur de tout mouvement qui se donnera pour objet de maintenir l'tnetitution de en pleine vie, en pleine force et en pleine activité.

Sans doute, a ajouté l'orateur. les méthodes de 1a S. D. N. ont été lent« et dilatoires, mais comment s'en étonner lorsqu'il s'egit d'une organisa-tiQn créée pour représenter- et combiner les Intérêts de tant de nations diverses ? Pour lea peuples do bonne volonté, R-t-ii Conclu, le devoir est non pas de briser l'institution elle-même, mais de remédier à ses imperfections.

Le président Hintienburg a reçu hier 1W. Suviteh Berlin, 13 décembre (dép. Havas-') Le président von Hiûdfinburg a reçu aujourd'hui Ni. Suvitch, aous-secrétaire d'Et.t aux Affaires étrangères eu ïtaJle, qui séjourne actuellement à Berlin. M, Suvlteh était accompagné de l'ambassadeur d'Italie.

Le ministre de 1'&onomit du Reicb le rend à Londres

BerJio, lï décembre (dép. H&vo*.) Le Dl Schmitt, ministre de TEconomie nationale du Reich, est parti pour Ijondres. où Il doit assister à un mariage chez des aJûls.

« On ne se trompe 3s.tjs doute pas, déclare à ce sujet une note officieuse, en admettant que, pendant son séjour en Angleterre, le ministre de l'Economie nationale aura, l'occasion de prendre contact avec des personnalités dirigeantes de la politique et de l'économie ^ritannique.

Toutefois, tient à préciser La note offlcîensi?, 11 ne s'agit que de Conversations et non de négociations formelles. B«]-liB. Le capitaine Rœhm. chef d'etat-raajor général de î'annôe bnint. mftlatte dit-on de la grippe. vient de prendre un de trois semailles,

Crmd-JoneilûH tColorado». Huit personnes ont été tuées et deux autres grtèv«mtnt blessées à et suite d'un éboulecette vf II*,

Un important article' de M. Charles Rist sur l'opportunité de rétablir l'étalon or Cet exposé paraît aujourd'hui dans la revue américaine « Foreign Affairi

New- York, 13 décembre.

DE NOTEE COBftESFONDAUT PAltTlCULItS La très importante revue américaines Co reign Affaira p u bl iera demain un article de M. Charles Rist sur J'or et la crise qui est appelé à avoir un très grand retentissement dana les milieux politiques et financiers anaêricams. M. Rist, qui, on le sait, fit une grosse Impression sur le président Rooaevelt lorsqu'il vint à Wadhington avec la mission Hertiot, Insiste sur la nécessfté d'un retour à l'étalon or des grandes monnaies internationales pour permettre à la reprise économique déjà apparente de se manifester librement. Il écrit en particulier ̃: e Le rétabli asement de l'étalon or est BUJOUrd'Hiiï derrière nous. Des signes a d'amélioration apparaissent dans le monde entier depuis près d'un an déjà. Une certaine stabilité générale ûes prix se manifeste de nouveau. C'est un des nombreYix paradoxes de la conférence économique mondiale que» convoquée pour apporter une solution à la erise, elle s'est réunie quand la crise avait franchi depuis longtemps sa période aiguë et coinmençaït k céder la place à un état voisin de la. convalescence.

Ainsi les problèmes auxquels elle devait s'attaquer se posaient, en rêalité, sous une forme toute différente de celle qu'ifs revêtaient au moment de sa convocation et chaque jour qui s'est écoulé depuis a marqué plus nett&meut ce changement. ?

M. Rist prétend que l'étalon or n'est pas à incriminer dans la crise mondiale

E>em andons-nous afu oo ntraire dit-il, puisque le rajustement nécessaire des prix semble aujourd'hui a peu près terminé, si ce n'est pas l'hésitation de beaucoup de pays à revenir à l'étalon or qui prolonge la. crise et la rend plus intense. Les prix dans le monde sont tombés à un alV'fiaïî inférieur à celui de 19'la les chiffres sont trop connus pour que j'y insiste. On les trouvera d'ailleurs avec tous leurs détails dana les derïii&i'a rapports de la S. D. N. su? ta situation économiqua mondiale. D'autre part, la quantité d'or existant dans le monde est de beaucoup supérieure à celle qui existalt auparavant. Elle atteint fin .1932 douze- 'milliards et demi de dollars contre huit milliards et 773 militons en 1913 la production des mines n'a cessé d'augmenter depuis la fin de la guerre. Dans la décade 1920-1929, elle a même été supérieure à ce qu'elle avait été dans la décade 1900-1909, période de imusee rapide des prix.

Le* mobile* des tfaéiauritea» M- Riat analyse le phénomène de La thésaurisation de l*ftr qui,. loin de diminuer, augmenbe tous les jours. Nul doute possible, dit-il, c'est l'incertitude sur le sort futur des plus gr&iwles- monnaies du monde et sur le taux auquel elles se fixeront en droit ou en fait par rapport à l'or dans un avenir prochain qui explique ,les héntation. des producteurs et des entrepreneurs.

Tout le monde est convaincu que tant que cette fixation n'aura pas eu lieu, de grands déplacements de prix peuvent de nouveau venir boulereraec tous les calcul» et çue, d'autre.part, les grandir flux et reflux de capitaux qui ont trouble tes marchés monétaime depuis dix ans restent toujours possibles avec toutes les catastrophes qui cm sont la conaéq-iien-ee.

On en conclut qu'il faut attendre et voir venir et, dans l'intervalle, abriter lee fortunes menacées derrière le seul métal qui n'ait jamaàa trompé ses détenteurs J'or,

Car, et c'est une constatation que les événements de ces dernières années obligent tout spectateur impartial à faire, l'or lui-même est considéré de plus en plus comme _le seul Instrument sûr de conservation des richesses. Entre les spéculations des théoriciens présentant l'or comme un étalon désormais périmé et les sentiments profonds du public, il s'établit tous les jours un divorce de plue en plus éclatant tandis que les premiers cherchent à persuader le publie et les go-uvernements qu'une infime quantité d'or, la quantité juste suffisante pour assurer, lea versements des soldes internaUanaire* suffirait à maintenir la confiànce monétaire et que pour le teste le papier, même à cours forcé, répond à tous les besoins. le public dans tous les pays m'est mis thésauriser avec intensité toutes celles des monnaies qu'il considérait comme convertibles en or sans restriction. Faut- énumérer tous les phénomènes qui montrent aujourd'hui la volonté toujours plus impérieuse du publie de ne se confier qu'à l'or ? Pepuia quelques mois, sur le marché de Londres, les prix normaux de l'or tels qu'ils résultent du change entre la livre sterling et le franc sont augmentés d'une prime qui traduit l'intensité de la demande d'or an vue de la thésaurisation* Tout récemment, de Londres, constatait que l'or ainsi acheté est accumula dans les coffrea-forts de8 banques anglaises. On estimait, il y a quelques semaines, qu'il devait atteindre plus de 70 millions do livres sterling. M. Rist estime que le jour où la stabilité des monnaies «t leur convertibilité en or seront rétablies, on verra cesser comme par enchantement les grandes fluctuations de change et de capitaux qui faussent tout le jeu normaî des marchés monétaires.

Pour terminer, il fait une critique sévère des projets de monnaie dirigée. Pour conclure, Il écrit

J'espère avoir montré que l'intensité de la.' crise que le monde subit, depuis quatre ans n'est pas due :Il une imperfection Intrinsèque de l'or comme étalon, mais bien .plutôt aux erreurs peut-être inévitables commises quand on l'a réintroduit après la guerre. J'espère avoir montré aussi que, au mondlate est en vole d'achèvement, ce qui manque le plus pour permettre à l'économie mondiale de revivre, c'est la confiance dans les monnaies et la certitude sur leur sort 'futur*

LU PREMIÈRE CONFÉRENCE DE M, UERRIOT SUR lA Ce aouci constant d'objectivité, de sincérité, de probité intellectuelle qu'il est indispensable de garder lorsqu'on aborde un sujet au&sï délicat que celui que traitait frlor soir M. Et HerHot. l'orateur ne s>et pas contenté sa confèrent bout en bout, jusqu'à ses conclusions, inclusivement. Et, par 'une longue, ovation, le public qui l'écoutait lai a témoigné sa. gratitude.

T a-f-iL lieu, s'est tout d'abord demandé M. Herriot, pour des Français, (î'ètudier avec objectivité et sangfroid le.¡ problèmes créés par la transformation de l'aBcteane Ruûsïg ? Oui, certes. Et pourquoi ?

M. Roosevelt a reçu M. I*ïtvinovt et l'on sait les conséquences de leur en.ttetiens. M. Mussolini accorde le plus grand intérêt à toüt ce qui se passe en Ru&ùe soviétique. Il existe depule peu des conventions entre Moscou, la Pologne et la Petite Entente. Des de.ux groupes de puissances qui be partagent l'influence en Europe, celui qui est pour le statu qa« et celui qui est pour la revision des traités, la Russie a opté pour le premier. Enfln. des difficultés se préparent en Extrême-Orient où la Russie aura un rôle à jouer.

Ce sont des raiao-ns puissantes, Et puis, ce pays de 21 millions de kilomètre. carrés, de 161 millione d'habitants, peut-il être Ignoré ? Il y a dans Il. chiffres des argumenta décisifs. Ce qu'il faut dire, avant tout, c'est que les problèmes qui se posent en Russie ne ae posent pas dans les conditicns d'espace et d'esprit qui sont les nôtres. Cet Immense empire est équilibré sous deux forces essentielles Une très grande force de centraliflatiotïj et le rôle très important des nationalités. Ces deux forces ne viendront-elleB pas en contact ? N'y aura-t-il pas des heurta ? Il y en a 4ejà- L'orateur indique ce, difficultés mais il se garde sagement de vouloir prédire l'avenir. L'influence de Lénine règne encore, comme s'il était toujours vivant De i'homme gisant dans son cercueil de verre, sous le mausolée où viennent l'adorer des peuples, 34. Edouard Her- riot trace une .effigie hallucinante. Et U pense à la. parole de Dçstûïiweky, gue « toute société, pour vivre, a besoin d'admirer on quelque chose >.

'Puis il entreprend l'étude de l'activité agricole et industrielle du paya Qu'il vient de vlait'er pour la seconde fois. TI note que. la Russie est a d'une lnvraiSflmbiabîe insuffisance de terres cultivables ». Les rendements sont minimes. Citant M. Victor Boi-et, il îaiase entendre que cette terrft, dans les Conditions actuelles, ne saurait nourrir dana quinze ans la population fterue qu'elle portera.

Et pourtant aujourd'hui il n'a point retrouvé lez stigmates de la famine dont il avait, en 1922, éte si terriblement ému. Il invoque le témoignage des voyageurs anglais. Et il souligne rîmportaace des méthodes scientifiques matière de culture, largement appliquées là-bas.

Passant à l'industrie, M. Edouard Herrio: signale l'ardente fièvre de production qui s'est emparée de in des Soviets. Et il note ausai que cette république communiste se défend d'âtre une république égalitaire à chacun selo& ses CEijvrea, et non selon ses besoins. 1.08. naissance d'une aristocratie prolétarienne, l'augmentation de la production, la rechercha « américaine de recorda, les examens de conscience publics et les bulletins de victoire alternant avec les aveux de défaite marquent les traits essentiels de son visage. Le honheur ? Ici, des hommes le sacrifient à une conviction. M. Herrïot s'incline devant tant de grandeur, Il dégage la nouveauté. le libéralisme dont sont empreinte les principes £e Enfin ayant bressé un tableau grandiose de l'activité industrielle, et dévoilé Ea puissance et la perfection de l'armée rouge, il s'achemine vers ses premières conclusions.

Ce qu'il a vu était hautement impres. sionnant. Ce pays le $en. de I* « en bite. Il est une République non pas' strictement égalitaire, mais fondée sur le travail. mérite, la tâche à accampllr.

Lorsqu'un peuple devenu de cett2 force cherche à se rapprocher de nous, est-il prudent de l'ignorer, de l'écarter? L'opinion publique française rénéchira.

Yves DAITTDN

Le projet de fusion en Angleterre de deux grandes lignes maritimes aurait d'importantes, conséquences Londres, 13 déc, idèp. Petit Parisien.) On se souvient qu'au moi. de novembre 1931 les travaux de construction du grand paquebot 53!f, de la Cunard Line, furent brusquement interrompus en raison des difficulté. financières auxquelles &e heurtait la compagnie. Le qui avait été mis en chantier dans Ia Clyde en décembre 1930 et qui était destiné à devenir un superpaquebot de luxe capable de reconquérir tous les recorda de coûter environ millions de Une somme d'à peu près livres avait été dépensée lorsque la construction fut arrêtée. Depuis deux ans le gouvernement se trouve salHclté de venir en aide aux construçtfiurâ.

Après de longraes hésitations, Il s'est résigné. M. Neville Chamberlain, chancelier de l'Echiquier, a annoncé aujourment avait l'intention de proposer friau Parlernent le vote des crédits nécessaires Il. Tac-nèvement du est toutefois subordonnée à la fusion des deux grandes compagnies de galion la Cunard Une et la Whitt Star Lînc.

Les négociations laborieuses qui se poursuivent entre lu deux Compagnie concurrentes dans l'Atlantique nord sont sur le point d'aboutir, et c'est d'après M. Chamberlain,, parce qu'elles aboutiront souh peu à l'accord aouhaitê que le s'est -cru justifié à promettte son aide. La déclaration du chancelier de l'Echiquier a été accueillie avec une grande satisfactlon dans tout le paya.

On estime que la repris^ des travaux sur le Canarder SS4 aura pour elfet de donner de à à 3.O0Q ouvriers spécialistes doPs les chantiers de la Clyde et que pïila de 20.000 ouvriers des industries subsidiaires en profite,tout. le désir des Anglais est de recoriquérir lE! ruban bleu ;'1 de l'Atlantique, que leur ont ravi les bateaux allemonde Brem.en et Europa, et de concurrencer le. plus récents paquebots Italiens ainsi que les plus modernes des paquebots de luxe français.

Une éruption du volcan fiferapï La Haye, 13 décembre (,d4p. P, Par.) Li'&geneé Amïta mAnde de Bsndoeng- file de Java) qu'une forte éruption du volcan Merapi s'est produite hier soir et iL durê cïor.ze minutes.

Aujourd'hui, vera 3, heure, une pluie de cendres est tombée, tandis que vers 5 h. 80, le même phénomène se protoisalt & Djogakarta,

DANS LA RÉGION PARISIENNE

Cal! il ion d'auto. m Clacy-ot-Thîerrçt Une ooHiïJûa s'ôet produite, hier tntri à Lia.jn, et Henri Maréchal,clan A VJeux-iaa-Aaf&ld lArdennte). La voiture <ie oe d&rïiler, t)u( débouchait du ch«niJn vicinal na T, fut p-rtae en 6charpa par de M- Bea-umont, qui roulait a un« allure vive sur la route Le choc projeta l'auto de M. Marcha! parun taa de macadam, à lfl de là dans. le toaaé. M. B*aumont a L-Ûtès fracturées et des CCnituaiOniB profonlias à le. jarab* i. la tète et aux epu3«s. II ï«t trati»p<irté & »ûn âonrtictleles débris de d&o p^îiiea prjfDndfcs au front «t dea contualona multlplsa. Iï a et* transporté & l'hôtei-Dle-u de Laon.

BKSMONT. La des tvtàia de la gtiêrra est accordée à M. Vlnolx, g&rfte forestier,

ETBEP1LLV. M. DernowllTi s. donné sa dc?rpls-RloTi de conseiller munfe[paL, SAINT-QUENTIN. Le banquet aniiueï de l'harmonie municipale surs lieu dçmsln. h. 45, DU buffet de ta gare.

EURE-ETT-LOm

enquête

sur la mail *utp*cte de M. Téton M. Robin, de rr&Uce le Chartres, agissant en vertu d'un» eC-ttiitiiBston TOg$.loÎT8. a interrogé à rhftpltal M, débitant de boigaona, nous l'&voi» annoncé, avait été trouvé >iea#é chez lui d'une baliLe de Il la. tête.

Au magistrat qui lui demandait Ifts raisons de i*a teataUve de suicide, M. Téton répondit

Mais je n'ai pae tiré de ba$« de reet et personne n'a' tiré sur mot; d'ail]*utB une arme de a mm. Je me aérais bien arrange

La hKxrsA a succombé à l'bftpttad. La ba.H-ç avait traversé tête de gauche droite, ce qui semble bizarre, att&niïu que poudre. Le parquet a donné l'ordre de pratiquée par un médacLn CUAnmESi, Alora qu'n suivait la rue du Bourg:neuf en tenaivt sa. bicyclette à la main, le jeune René ana, apprenti menuisier à Chavannea, fut renveraé par un camion dont le9 rou&â lui 3 siwegmbé à l'hôpRaJ aprèsputatien.

L/Ac&d&nie fie médecine a décerné à titre de récompense pour ta vâcCÈnation antidiphtérique, la médaille d'argent A il. Legay, docteur en pharmacie k Char- la médaille de bronzé à M. Chartrlar. de Chartres.

Une fête de bienfaisance, au bénéfice du dispensaire aùtitub*i\;uile.iix. aura Hflu &s.nwdl au th^Atre municipal th*-ctaicert le aolr, t>al dan» la grande. Halle. Etes aoupers seront servla au foyer. On trouve des cartes chez les membres du comité, à 1-a mairie et au a th&aïre, DBEO3t. Un homme et une femme, qui aralftiif de.. aUla-uces. en or dans une bi-j&uterie de Dreux et qui avaient tenté de coimliiettre des v»la swïïblat>l«J dana d'au- tres bijouteries, ont été arrêtés alors qu'ils descendaient du train en gare de Varnames. Il s'agit du nommé Courtin, vingt -sept ans. chauffeur, et de sa remine, nêe Georgette Efeltour ans, domeatiqua. ide- 6&jis domicile. L'homme a été trouvé porteur de quinze tUJiancea.

La* accident* de la route

Conduisant un att-eŒ&ge «ur 1« route de Mille v&trice iL Avrignv. prit soudain sa gauche pour 6-riter un rendu Au de M. Jean Del&v&uït. ajusteuc il S^mt-. Quentin, quf vint tamporane-r l'arrière du véhicule. Le choc tut flea phis vWents et M. AiVfred Xiemaîr*. qui accornpa^matt MLle Dumortler. fut sérieiwernent Wemé plusieurs parties du oorp».

A la suite d'une ëoMI&Iûii qui a*«rt produite au MeuâH Îb Bota-Jiipiaux. près de Cèiroont, entra de M- Meunier, chauffeur à. LiSle, et aeAia de M. Jean Dubin. Jngéniéur à F&rLs, la femme de ce d«rnl«r a été sérieusement au et Stot dl^wttes p&Ptt6E du corps.

on a baptUé à Monchy-Saint-Eloi UD filleul de M. Albert Lebrun M. Mb«rt Lebrun avait bien voulu accepter d'être le p*rr&™ d'honti&ur du ortzlâms ônfaflt réeemmfiiit n6 à Monchy&ahit-EloI dans un ménage de modestes travailleurs, lea êpou« Le b£npdu bébé vient d'être célébré en parotaaiale. Le Président de la RépiïbUflue ^tait représenté par NI. Bail, raine de

Mûignelay et de Kûntiffns", communes IImltrophSB, ont obtenu du mlntatre Agriculture une subvention de 36-570 d'eau cljUijiIujI,

SEINE-ET-MARNE

Le* accidents de la route

deuil, et un camion venant en aen« In-vereft conduit le 1« ohauffe-ur Loub Çouieron, d-iHïlicilié à Trayea. Tous deux ont été bras et à la jatïïba droites.

Place de Gare. à Oua&uer-ie-Voul*s'«t J«tè contre te mur d'une propriété, au pied duquel} il eet reaté inanimé, Tr^uaporté à rhOpItal de Tournan, La y est mort dès son arrivée dea suites d'une fracture du crfcne.

La chambre d'agticuhuaw protatts contre la fermeture hebdomadaire du boulanger*

Noua Qu'un unMi été ccrwilu par les groupementa dsa et et ouvriers de en vue d'ofrtenir la. fwmeture dea boulangeries du lu Jeudi, il. l'exception de quelques localité* La rJifunlii'o d'agrlûultins e eat émue de l'év&ntualité de oette fermeture A de protestation, la chambre pr&çiae qu1 « «n une période où la mévente du pain et, en bien de. cas. obligerait les de le. terre à uorwommer du pain raaats deux Jours par semaine.

CHtLLES, Sur la route de Montdeux ana, qui été relevée de multiple» contusions et transporté* & t'hw- plce de LafTHy.

IHEAIFX. Une jeune bonne de seize Uiàin^ï était an e*TVice d'un agent d'asaurancea de la rue d*8 Eàpulnea, a dérobé. dans le veston qu'un employé avait Buapendn au vestiaire, un ponefeuUïe contenant l.ûfio Peu après. pJI^ s' «si r. dans un magasin de nouveauté et 8. fait l'acquisition de divers objets. L'indélicate donvastique, qui p fatt dea aveux a «té mise à la. déposition du parauet, qui ra fait écre.uer.

Le comité de la Crèche organise pour la décembre une fête de l'arbre de Noël, en vue de laqu&Hf plie sol-Hçtte ôçk duqui peuvent être adresses au secrftariBt de La inairift ou celuf de La Crèche.

îjÀINT-SmiFJPLRTS. As3i3 sur Un de. ses chovaiiK ùtteléa & une voiture, le charretier François Dèstlemie, trentequatre ans, est tombé sand son' Télilcuïe, dont la jnmbe de force lui a occasionné de graves léaiona à la tête et au thorax. Le bleaaé été h-aitaporté A de Meaus. oui son état a éi& 5ugÇ nqui^tant. SEINE-ET-OISE

Victime du froid

Mme veuve Bardin. igé^ de aoiiante- Aeus. ans. deoieurant chea so^n neveu, M. Martinet, 5, aittée dee Chftnes, Li,ry. venait de prendre place Chênes, un wagon du train de 11 Ji. 9 à la gare de loraqu'e-tle a'affaiew, owblUïUtnt frappa* dé

AISNE

la Le docteur Caiitsune. -ise] ec le décès.

ALLNAY-SOLS-BOliï. Cet aprÈS' nue du Clocher, lea « Jttrâjs âe la jeune sa* s donnent une matinée revue niaen 2 actes et 12 tableaux, par La der de la Saéiêtè d'enRourit^omant au bien rient d'6tre ûécernia à M. Martel G#vln. président de VAstoct*tion familles nouibreuSea; et ]a médaille d'arrefll h M. Mayrlce Catitellc. AXHIS-MOJtS. De=, prélèvements de l4lt ont été effectués aana ta région, dans ea poftiires de laitiers vfinûant sur- la voir publique. Ltfl Tïrélfevwnenta o.m été enbile a renversé un cycîlste. M. Emile L«nnette-, quarante- quatre ana, ouvrier il. la Compagnie au gaz. demeurant à Praveli: frant de contusions Intemçg. Il des sont Introduira dans l'appartement de Mitia de Vsiireix:, iL avenue Jeanned'Arc, et se aont empara de 15-5M ïranra de bijous et d'argent lÉquide.

PAIAISeAU. Aptê-a une absence, M. fèanard, notaire..b«il«TsrtS Bûrrn. a'çgt apergu qu'un malfaiteur *HWait Introduit chez lui et avait fait main basse sur divers objets d'une valeur de francs.

VKLIZT. A la suite d'une collision avec une auto, deux 'Crccusauta d'uftMM. I.ucien Wattfer, habitant 1 Il et Marcel A&jmger, été bl«aséa. dit les Mouaaeaux, un cycliste, M. Joseph Eateves, quapante-neuf ana+ 17. rue de MainvlUe. a été renversa par une et blessé &ssez aérteugement, LA QUAUT^ FRANÇAISE Ce qu'il y de remarquable au âttlOn de la qualité française c'est que les productions > ]sa plus » une. des autres y Toiginçjit, reliéeg cependant par le signé dE la qualité. Par exemple, A tfttf dea de la couturo, noua y avoua admiré leg eharrua^ MflgTiier-Bedit. de Groalay (Seine-et-Oiae), q.uî rôpréBeT>tent ta qualité française par la beJle pièce de forge en acier dur et leg Incollables Jupiter passant partout. LE LAROUSSE DU XX- SIECLE est terminé

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LES CONTES DU « PETIT PARISIEN

Rien de plus obscur que le phénomène Cet iparpilletncnt de pétales 3 tous les vents, ces fusées jetées dans tous les sens, cette élasticité et ces dépressions, ces tra- Iveatis et ces plaintes, ces métamorphores et ces dangers, ah comment en comprendre le secrer quand on l'a une fois je raffole de ses délires et de se* faiblesse*, mais SUÎS-ie encore sur de pouvoir la Suivre à travers ses bonds ?

La tienne s'est Écoutée au bord d'un grand fleuve, dans une région de sables et de tourelles. Les villages, les petites Villes se suivaient sur les rives: de loin en loin, ua antique château étendait au- soleil discret vignes; il y affale des habitations creusées dans les roc*. Le vent apportait un faibie écho des chansons légères de Roiuard,

Mes dmx frères mot nous étions amoureux d'une leune fille qui habitat une vieille propriété avec un* grand'mère .spirite et des fermier* pieux. EH& Rappelait Marguerite Angoulvedt. Elle avait La meilleure amie de Marguerite étail Béatria GaJlandat c'était la petite-fille d'une héroïne de Balzac nous ^'aimions et la respections pouf cela. Un de nos camarades. Albert Saint-Denis, avait un frère officier de marine Léon Trébutq se préparait a l'Ecole normale,

Ce fut pour moi un grand chagrin quand lettre d'amour de Marguerite. Je lui avais caché mon secret il me lassait voir le sien. Je le quittai j'allai me perdrE sur la rouie, le long du Seuve paresseux et miroitant Des larmes me montaient aux ycui r j'aurais voulu mourir. Heureux :Age où la mort est ai lointaine qu'on peut encore la désirer et qu'on n'y croit pas. même quand ou se tue

Je ne me tuai pas; je pris de grandes résolutions, dont celle d'oublier Mlle AnAprès quoi, j'enfourchai ma bicyclette et je courus la rejoindre, Elle er- rait iorabremen* dans uûe aliée écartée. Elle me reçut comme un messager: elle me parla de Melchior. Le cceur déchiré, je lui répondis avec chaleur dis que Melchior l'aimait plus que tout au monde. je me trouvais juCorneille. Mais cela n'allait pas sans un certain plaisir; i$ en a toujours un quand on- se loue la comédie la voulut que M*l.chior, dont la nature Etait revÈche et maladroite, assez égoïste vent aussi taquin, sec et hostile que. parlant en suit nom (sans en avoir reçu mis- ore et dévoué. Tétais de célél'entretenir de celui de Melcbior Elle s trompa longtemps. Mais un soir que nous noua prcai£ûiona dans une allée de cadres, voistne de sa maison, elle me dit soudain • Urbain, votre voix tremble. Qu'avezvous?

Rien de plus qu'hier rien de moins que demain.

Vous n'êtes pas sincère. Vous ne voulez pas me dire laverie.

Marguerite. le ne peux pas vqqs ta <Ut«J

Cest donc cela J t'avais btea compris Vous m'aimes

le baissai la tête saas répondre.

Ouir oui, le le sais. Vous me pariiez de l'amour de Melchior avec un tei accent suasion, noua ne serions pas où nous en sommes.

Je ne peux pas trahir Melchior- Il ne a'aait pas ici de trahison. Voua m'alm«z et Melchior n'a que de rameur propre.

Je résistais encore. Elle me prit dans ses bras. Je l'embrassai. A ce moment, t'epiendU un bruit furtif dans les fourrés fuyait.

Le soir, je lui reprochai sa conduite. Tu nous espionnais, lui dis-je. PourRageusement, les larmes aux yeux, il se renversée il état amoureux lui. aussi de Mlle Aûfioulvent J'essayai de le consoler il me repoussa avec. brutalité et se jeta au dehors, dans la nuit, dans le vent, haineux, exaspéré.

Pierre n'avait pas mon goûr de l'heimsme sa rancune, sa |alouiie furent plus fortes que tout. 11 nous dénonça a Melchior. ï'eua avec celui-ci une acêoe d'une estrêtue violence sans la brusque apparition de moa père. attiré par nos cris, aous en fassions venus aux mains. Son arrivée noua sépara.

Peu de [ours après. Melchior devait J'ai beaucoup réHichi, dit-il. Au fond, tu avais raison. Tu aimes Marguerite plus que moi, Soycî heureux si vous pouvez, mais méfie-toi d'elle c'est une coquette. Tu croîs lavoir séduite c'est elle qui ta attiré,

Tu la calomnies. Mekhtor.

mon îugement une certaine rancune. Cependant, |e ne pense pas me tromper. je ne croyais pas Melchior; j'aimais Marguerite avec ce demi-délire qui caractérise sauvent les premières amours et que

51. Feuilleton du Petit mrinfen, 14-12-33 L'AMOUR

pat INÉDIT

JEAN DE LA

TROISIEME PARTIE

LA RAFLE aux secrets

VI (suite)

Midfiloa Ma petite Maddon L.. Pierre L'-lss&u n'a pas cessé de veiller sut toi et de aurveiïie-t les menées de Marpiiuriua, qui à lui comme à moi était devenu dea plus siispects.

il C'est grâce à ce détective que fa-1 tout apprls et que j'ai pu pénétrer près de loi pour te dire d'abord que je n ai pae te pardonner, puisque, maigri [ou Involontaire et ai brutale iojufltice^ je n'al pas cessé de t'almer.

Madelon!

Ce soir, toutes noa aagolaaea auront cessé et noua pourrons repren. Copyright by Jean do la Périple 1M3. Tradnction 'et reproductioa on tous para.

l'on ne retrouve plus par la suite. Nous étions trop jeunes pour nous fiancer; notre accord demeura secret. Pierre nous boudait; il devenait acariâtre et sournois, nous causait des ennuls de tour ordreMarguerite le voyait quelquefois et lui pa rJak avec affection. dans l'espoir de détourner sa colère elle craignait que Pierre ne nous dénqnçât à sa fam:lle. qui aurait vu nos projets de mauvais ceil, puisque l'avais deux ans de moins que Mlle Angoulvent. Sa grand mère était faible et tranquille, mais Marguerite avait un onde très sévère et qui montrait des idées fer. mes sur l'éducation des enfants et sur leur rendement social.

Aux vacances,, nous vîmes arriver le frêre de notre âmi, Albert Saint-Denis. Il revenait du Tonkm où ü avait séjourné deux ans. il avait grand besoin de soins et de distractions. Nous nous empressâmes autour de lui, éblouie par ce grand jeune homme au visage ravagé déjà, à t'allure nostalgique et eux propos séduisants. Quelques semaines après, nom ralfolions tous de lui.

Comme nous. Marguerite lui rendait de nombreuses visites^ elle te faisait surtout quand il était seul. mais je n'y trouvais rien redire; les mois passèrent. Pierre, toujours sournois et aux aguets, reparut soudain sur la scène de notre existence ce fut pmu m'apprendrç les rendez-vous de Marguertte avec Achille Saint^Denis. falîais avoir dix-huit ans j'eus le courage de reconnaître que l'enfant que j'étais presque encore te pouvait pas lutter avec cet homme de trente ans, déjà mûri par la vie. Séduisant et bien trempé. mais le souffris beaucoup, l'obtins de mes parents de finir mes études à Paris et le quittai notre province. J'écrivis à Marguerite une lettre d'adieu, elle ne me répondit pas et tout fut fini. Peu après, j'appris les fiançailles de Mlle Angoulvent avec Achille SaintDenix

La vie me prit à mon tour; l'aimai de nouveau, le luttai, je souffris encore je connus d'autres épreuves, mais elles ne fu* rent pas plus douloureuses que la première. Les chagrins de la jeunesse sont peut-être lesplus vifs; ils sont aussi plus courts. lavais oublié Mlle AngoulvenL 'Cependant. j'appris à la longue qu'elle n'avait pas épousé l'officier de marine. Et je l'appris par Pierre, qui la voyait toujours il ne connaissait pas d'ailleurs la vraie cause de cette rupture. Plusieurs fois, en traversant notre pays, Íe pensai à rendre vistCe a Mlle Angouiveot Un accident fortuit, au dernier moment, m'en empêcha toujours.

Quand je la revis, il était bien tard, tard dans sa vie et tard dans la mienne. Nous étions âgés tous les deux, lorsque le franchis de nouveau la grille rouillée er quand je m'acheminai le long de Yaiïét de cèdres. L'ombre qui vint Et ma rencontre ressemblait encore à la Marguerite de ma leunesse. male comme une caricature ressemhle à un portrait Nous parlâmes Ion..guement du, passé. sans amertume et sans rancune- Mais, à la lia de notre conversation. le demandai â mon ancienne amie' Pourquoi ne vous éfeû-vûua pas mariée à SaJnt-Denis?

Elle demeura un instant rêveuse C'est moi qui ai rompu.

Vous ne l'aimiez plus

Je l'aimai trop. Quand on aime profondément un être, on ne peut pas accepter de le partager avec la vie. Je n'ai pu sup- porter Vidée d& faire avec lui un ménage. un ménagg médiocre connue tous ceuxque rai vus. le rai fui pour le garder. la me suis Ici, toute seule, afin de l'aimer Et je l'aime aujourdlhui encore comme le l'aimais vingt ans. Edmond Jalc

Obsèques de l'explorateur G- Bonvalot C'est hier matin qu'en l'église NotreDame d'Autauil ont été célébrées les obsèques dé l'explorateur Gabriel Bon" valot, ancien député de î*arish préaident du comité Dupleix, otftcùer de la Légion d'honneur.

MM. Heinrich. beau-frère de l'explorateur Casati-Ollier, J&rr&SBo-n et Chardlny, âfcs neveux, conduisaient le deuil,

A cérémonie, au de rendus, le ministre des Colonies était représenté par le capitaine Bouningue. général Weygand. Mgr Lafiier, dtrecteur de l'CEuvre d'Orient Mo Désir* Ferry, ancien ministre M. Lémery. sénateur les généraux Feraud, La ftïind, Mordacq et Rûfldenay Le comte de Saint Aulaire, ambassadeur de France; les PP. Jalabert et Poidebard; M. Louis Madelin, de L'Académie française une députatlon de l'Union pour la nation, etc.

T^e cercueil a M6 provisoirement déposé dane les eaveaus ds l'église. .et de M. Augure BlositviLle Le? obsèques de M. Auguste Blossevine, geerétaire général de la rédaction aprèa-mkli à Châ.tUlon-flouBrBftgn*tus. On notait dans assistance la' présence de MM. Alexandre Israël, ministre de la Santé publique; Armand Mayer, directeur général, et CamUte général dent de la Maison des journalistes; Rogier, préaident de t'Aaguciatton de la Jjç corps fut transfert au cimetière de Châtillon où a eu lieu iynHupa.tïonT aoncéfi par MM., Dantheeiae, au nom &* cat des Journalistes, et Lsgros, au nom de ragenc« Fournier.

d'amour qu'un cauchemar atroce avait îpterrompue, mais ne pouvait paa bri-

Mais ce reçu ?.

Tu vaa l'avoir.

C"«st Lusaau qui va noua le rapporter ?-

Oui, oui,

Mt nu^, que dots-Je faire ? Attends-moi et et dès que Je serai de retour. nous iroos ensemble càercher notre petite Jean-Louis au lycée

Madelon

Alex

Ils s'étrelgnïrent et I«ur3 nœura, qui s'étaient retrouvés avant leurs lèvres, vibrèrent de ce sublime élan que seuls connaiasent les gtaadea âmes et lés vrais amants.

Attends-moi! recooimttfvda.it en*core l'admirable jeune femme.

A tout à rheura fit Amplement Alex.

Et Madeleine partit, emportant dans son sac le revolver de son -art vu

La

MarphuriMs avait regagné son maga.la de: la. rue des Saint-Pères dans un état de nervosité qu'à force de volonté il avait réussi à dissimuler à toua. Mais Il n'en était pas moins. furieux du résultat de son entrevue a?eo ThoGrande, en effet, avait et* sa déailiusion.. Il se figurait que le jeune inventeur, d'une part envoûté par la star, et, de l'autre, terrorisé Par lut. allait lui céder sans la moindre ré g 15-

Les travaux parlementaires L'AUDITION DE M. PIERRE COT A LA COMMISSION

DES AFFAIRES ETRANGERES M. Edouard Herriot a présidé hier une intéressante réunion de la commlstion des affaires étrangères, au cours l'Air. a fait un intéressant exposé de son voyage aérien en Russie soviétique.

M. Pierre Cot, relatant aee Jmpresaime, a tout d'abord exprimé tout lTintérêt qui se dégage de tels voyages d'éludes. aussi bien entendait-il d'aU.leurs se borner à l'organisation Indus- trielle de l'U, R. S. S, et à l'état présent de sort aéronautique.

Après avoir montré comment la Bus.le a organisé la production des matières premières et des produits semlouvrés, et développé de façon extraordinaire l'emploi des machines-nu ti le, le ministre de ['Air, abordant les questions de technique aéronautique. a fait n'importantes révélations.

Il y a Ik-baa, ft-t-ïl dèclarér de? !Ilstallations prodigieuses. J'ai vu, dans un hall d'esaaia, vingt appareils de 17 tonnes, alors que ce type, le plu- gros que nous possédons en France, n'est construit annuellement qu'à quelques exemplaires. Les Russes construisent chaque année 150 appareils de ce genre, et ont à l'étude des avions de 40 tonnes, capables de transporter des poids énormes.

En général, les avions russes sont du dernier modèle, et peuvent accompur les mêmes performances que les meilleurs appareils français. On est parvenu à faire des cellules parfaites, mais les moteur à puissance égale, sont plus lourds que les nôtres. On travaille d'ailleurs à, leur perfectionnement.

Bref, a dit M. Pierre Cet, A ce rythme, l'U, R. S. S. aura dans cinq ana l'une des flottes aériennes les plus puis1mantes du monde.

Après avoir noté la grande volonté de collaboration qui existe dans l'armée russe vfs-à-vis de la France, le ministre de l'Air, affirmant la francophilie des autorités soviétiques, a fait une importante déclaration

J'estime, a-t-il dit, que les Soviets travaillent pour la paix, dont Us ont besoin pendant de longues année avant de pouvoir économiquement vivre seuls. Pendant longtemps ils ont pensé que c'est par une alliance avec l'Allemagne qu'ila parviendraient le plus facilement à maintenir la paix. Âpres Iea événements qui se sû-bt produits outre-Rhin, fis constatent que 1 c'est plutôt dit côté de la France ytftt faut se tourner pour obtenir ce résultat, Ils ne se tournent pas vers nous par sentimentalisme, mais dans l'espoir que nous saurons maintenir la paix. M. Pierre Cot a conclu en évoquant la cordialité de la réception dont il fut l'objet puis, au nom de la commission, M. Edouard Herriot lfa remerdé pour son exposé précis et impressionnant. Le rapprochement franco allemand IV exposé sur la Russie avait provoquê de nombreuses questions de la part des membres de La commission et, à cette occasion, fut évoquée la question des conversations directes entre la France et l'Allemagne.

M. YbarnÊgaray, particulièrement favorable à cette tnèse, s'est montré disposé à accepter les suggestiona allemandes qui seraient justes, a-t-il dit Mais M. Vienot a objecté que les propositions hitlériennes étaient encore mal CQùtiuea. Un débat assez vit s'est engagé sur ce point et, M. Ybarnégaray ayant fait part de ses préférences personnelles qui vont à l'Allemagne et non point à la Russie, M. H*rrlot a exprimé le désir qu'un large débat s'engage aussitôt que possible à la Chambre sur ces points de grand6 Importance.

Les commissaires ont alors demandé à M. Edouard Herriot, leur président, de s'informer de l'état de ces questions auprès de M. Paul-ëoncouç.

L'AIDE A LA FLOTTE

DE COMMERCE

commission de La zïiannie maltchande de _la Chambre a. adopté le rapport de M. Léon Vincent sur 1a proposition, de toi tendant à étendre nw inentanément le bénéfice <îes allocations de chômage à toute. les catégories d'inscrite maritimes.

Elle a ensuite examiné le nouveau texte du gouvernement concernant la proposition de loi de M. Tasso sur les mesures à prendre pour venir en ^de à la Hotte de commerce,

Aprèa avoir entendu un exposé de M. Le Bail, rapporteur, la commission, tout en regrettant que le principe des coefficients déjà retenus par elle (bs.tonnage. vitesse) n'ait pas été maintenu, a décidé de ne pas renvoyer une nouvelle fols le projet du go-uvernement, son vote étant attendu par toutes lea industries marittmee du Elle en conséquence, adopté les textes qui lnd étaient présentés par son rapporteur.

LA PROTECTION DES PLANTES A PARFUM

La commission du commerce et de l'industrie de la Cambre a approuvé les conclusions du rapport de M. Zay sur les propositions de loi déclarant nulle la eLauae de non-corwiwTMice dans les contrats de travail.

Ëllïe a tnaulta e-nten-du j'espofié de M. Eugène Pierre tendant à organiser la déclaration obligatoire des récoltes de plantes à parfum et â réprimer les fraudes et usurpations de qualité pour les produits naturels issus de fleurs et herbes à parfum.

Elle enfin examiné la question de la protectlon de de fleura naturelles de lavande contre tous les similaires d'oiiÊln*; botanique et synthétique par une appellation d'origine spéciale.

A LA COMMISSION

DE LEGISLATION CIVILE

La commission de législation civile et criminelle a adopté le projet de loi tendant à garantir le remboursement de* dépota etrectuéa dans les étude*

tance. Et voilà au contralto qu'il se trouvait en présenCe d'un homme qui réagi aaait- et qui opposait un refus catégorique à une proposition <jii il croyalt si bien acceptée d'avance. Auraia-je commia une erreur paychologique ? se demandait-ll. Cela m'étonnerait. car ce serait la première fois que Je me serais trompé aussi Grossièrement sur dont j'ai pria la peine d'étudier attentivement la mentalité et le caractère-,

a Après tout. J'ai peut-être tort de !n'Inquiéter ainsi. La. lettre que ] dictée à Maggfe Dr&mar et qu'il a reçue très peu de temps après mon départ du Palace International du lui donner à. réfléchir. et je ne serais nullement aurprie si ce soir, lorsque je viendrai lui demander sa. réponse définitive. il ne faisait pas camarade s. Il en était là de ses réflexions, lorsqu'une de ses employées s'en vmt lui apporter une lettre, tout en disant C'est une dame qui attend une réponse.

Marphnrtus décachetait l'enveloppe, qui contenait une carte de visite.. Alex Thorins

1 personne qui se présentera avec ce petit mot.

Tiens Tiens ï. se dit l'antiquaire, Et tout haut, il demaada

1 Comment est cette dame ?

A vrai dire, monsieur, répliquait dëe. Mais elle a l'air très bien. Ne scaipgùaïiaiit ua* un Instant que la prétendue- envoyée du Jetme UnxA

notariales. Elle a également adopté l'avis présenté par e Oçofgea Peniot sur la proposition de lui de M. Albert Bérol tendant à définir le salarié au sens de la loi sur les assurances soeiaQUATRE CONSEILLERS PARISIENS ET DEUX CONSEiLLERS GENERAUX QUITTENT LE PARTI S. F. L 0 MM. Mau rice Levillain, Alphonse Loyau, Henri Sehnltzer et Georges Thomas, conseillera municipaux, et MM. Anne et Cresp, conseillers gênéraux, ont donné leur démission dû parti S, F. ï. O.

Ils exposent Iea de leur dé- part dans une lettre qu'ils ont adressée à M. Farinet, secrétaire de la fédéra- tion de la Seine, et déclarent notam- ment qu'il» ne jwuvent accepter la decision du CongeH national qui a exclu MM. Renaudel, Mantagnon, Déat, filar^ Puis ils ajoutent

national a violé le pact« d'unité de qui avait admis toutes les fra«Uona dans le parti.

Cette raison doctrinale n'est Pas le seul motif de notre attitude. Noua avons eu avec la (édÉrattcn de la Seine Iea Incidents divers de de M3 La discussion du congrès de Pantin, en ÏS30 4 oropoB du rapport du ce qui entraîna la démission du secrétaire, le citoyen Flancette, ce poète députa près de treize ans.

Deux ana aprôs. la la suite d'un vote du coneel] fédéral sur Lft mandat Impératif 8 donner aux élus, Le nouveau aWrétaîre du groupe, le citoyen Georees Thomas, donnîi sa demi selon.

Enfin, au cours (te cette année, le rapremplaçant Thomas. fut également r$bûussé par 1 conseil redirai. Scbnïtzer donna sa â émission,

D&puis c*tte époque, le groupe aociaIftte .pas eu de rapport avec la îéiè- ratlon+

En a»mni«, lea Sloa qui mandat d'une façon pratique et réaliste et la fédération de la Seine, de plus en plua nol chemisante, souhaitait une attitude 4ul, en aucun cas, ne peut Bflrvir Isa cî&gaes laborieuses qui le, ont envoyés siéger à ;,Hôtel de Ville. Nous avons évité par notre attitude antérieur* bien îles déaaSTéments aux trasienne. SI noua avions suivi à la lettre les instructions qui noua étalent Par îe conseil f£âôral du sa commission, execu- tive, noue aurions cr^ des qui auraient eu déa rên*rouaaloti3 dans tes loyers ouvriers et qui auraient souvent abouti a dea désordres fart jçravee. Noua avaru été œaintea foie blâmé. cause de cette attitude nous en prenons l'entière responsabilité pûwr le passé et et noua sommes décidés il. maintenir notre point de vue dans. l'avenir.

Les de Cette lettre déclarent anfin qu'ils avertissent les tvailleurs du département de la Seine de se retirer de l'organisation a f. i. o.

La contribution des patentes et la réduction des loyers M. René Coty avait pusé à la direc- tion ffén&raîe des contributions dlrec- tea une question Intéressant da nombreux commerçants, à comment Il sera tenu eompte, pour l'établisse- ment de la patente. dee réductions de loyers obtenus à la faveur de la lot du 12 juillet Le directeur général des contributions directes vient de lui répondre que, conformément la la loi de le droit proportionnel de pa- tente est établi sur la valeur locatlve que les locaux Imposables comportent au l*r janvier de l'année de l'imposition. Or la loi de 1933 stipule (art. 1.) que les réductions de loyers obtenues soit à l'amiable soit par décision de justice sont applicables à partir de la demande en révision. D'après ia même loi (art 7,) les demandes en révision peuvent être présentées jusqu'à la un. des six mois suivant le jour de sa promulgation, Le directeur général des contribution» directes ajoute

Des demandes do- être encore de de loyer* 411» en Têsuiteroni l'établissement au droit, de Par contre loa ti- du. prix dffl Rxéa, aùlt par trBJlatitîion Mnable, (tes en reuisien qui auront été faites avant en matière de patente, à compter de CBtte «3^te. m4foQ i« transaction OU la di&Hoa. n'interviennent que postérieurement. Daru ce eus, ûûnune 3-U93Î dans calul où les r«uotltm9 conrrenu*s *>u prononoéBa avant 1* le!' Janvier Ï9S4 ne seront parvenues â la ciHiiiaiB&anee du contr61«ur correspoadanie de leur patente en idree-. au aireoteur départemental des cuntributtons directe*, dana le délai ordinaire de* réûlamatloiLS, c'««t-ii-tSire dana les trois mol* qui suivront de la mlise .;on recouvrem&n-t dni rftlfl, une demande appuyée de Juatlrlfiatlona uttl««.

Si la décîaion de justloft eat encore en tnatton, une eu rMuction de p&jêtre reitilee, avant la. fin de ce délai, au directeur des contribution» directes. Le. ûéjfociaiioni franco'ioviètiqutj M, Raymondtaire d'Etat à la présidence du Conseil, chargé de l'économie nationale, eu. aocorrl avec M. Lauréat Eynac. ministre du Coium^rce, a réuni hier dana son cabinet les représentants des divers départements ministériels Intéressée à la poursuite des négociations économi-

Ces négociations feront l'objet de nouvelles conversations entre le président de la délégation commerciale de Ï'U.R.S.S. dès Sa arrivée à Paris et MM- Laurent ïïynac et Raymond Patenôtre.

L'ENTÉRITE VAINCUE par traitHînflnt. nouveau permettant de mnoge!1 Brccliiiw gratuitement

par A, FOUCHfi,

7. toiilevurd de Grenelle, 77, PAUiaiiA'J

n'était autre que Madeleine, le nmr.chand de curiosités décidait

Faites entrer

Comment, vous. madame Thorins

Oui, aionaltur Ma-rphurius, réplifroid que rien ne semblait capable de troubler.

C'eet. Thorine qui voue envoie ? Non,. monaiçur. Craignant, at je me présentais brusquement chez close, J'ai use de ce subterfuge. Vous avez eu tort, déclarait ie chef de la Rafle aux secrets. Car je n'avala aucune raison de ne pas vous recevoir.

Et sur un ton plein de déférence, H ajoutait Ce que voua avez à me dire est Oui, monsieur,

Alors, madame. je vais vous demander de me suivre dana une autre pièce où nous pourrons causer plus tranquillement qu'ici.

Commençant à flairer un piège, ou plutôt une attaqué, Marpburiue prenait ses précautions-

Mais, se gardant bleD de révéler à Madeleine l'existence du passage secret bibliothèque eoû cabInet officiel et son bureau secret, il revenait avec eïfce dans le magasin, la faisait passer par une porte s'ouvrant sur un couloir intérteur qui aboutissait à une autre porte donnant accès à cet antre mysté-

Un moyen nouveau pour modifier aisément l'acidité des vins,

des huiles et vinaigres les résultats de rechercher scientifiques remarquables vannent d'être communiqués 4 l'Académie des sciences de Paris par 1$ professeur de Pcreira ForjaZ} secrétaire perpétuel demle de» sciences du Portugal et du laboratoire do chimle de l'Université de Litf&orme* Z/CS tra-oaux de ce «avant ont éta- bU que les ondes ëiççtramagnétiqueq modifiant les caractéristi- ques chimiques des mélangea de eprpa Qrganiquea, Le professeur Forjaz a bien voulu T&nimer pour ne$ lecteurs la gens de ses travauœ très originaux qui ou.des perspectives nouvelles à la eftimte indv,#tTiçlle.

Depuis quelque- années, les physiciens et biologistes de divers pays ont expérimenté avec succès, dans les branches les plus diverses de la science, les effets du circuit Oaillant inventé par Georges Lakuovsky.

Rappelons, entre autres, les résultats remarquables obtenus avec les circuits oscillants Lakhovaky par Vincenzo Rivera, professeur à l'Institut royal supérieur agraire de Pérouse, pour la guérlson des tumeurs rï'ïa végétaux (1928) par Je professeur Castaldî, do L'Université do Ca^Uarl^ sur la métamorphose des têtards et la développement des végétaux aquatiques (1931) par le professeur Mezzadroli, de l'Université de Bologne, sur l'accroissement du pouvoir germinatif des semences et sur l'augmentation de poids des vers à soie de N. MétalnikofE, de Paris. sur les êtres uniceîlulairea, infusoires et œufs des insectes; du professeur Attill, à l'hôpital San Spirito, è Rome, sur le traitement du cancer (sur vingt-cinq cas de cancer abandonnés et inopérables, deux ont été radicalement guéris et les autres considérablement améliorés).

A l'Ecole d'agriculture de Montpellier et dans le .jardin de la Société d'horticulture de l'Hérault, M. Lab&rgerie, à la suite d'études de M. Jagneraud, directeur des services agricoles départementaux à Rennes, a fait avec oes circuits dea recherchÊs trfea lntéressantes sur la dégénérescence de ta panama de terre. Sur tous les pieds, munis de circuits oscillants Lakhovaky, Il a remarqué l'absence totale de destruction des tuoercules par les ravageurs souterrains, tandis que les tubercules des pieds-témoins étaient presque entièrement détruits par ces animaux.

Ayant pris connaissance de ces résultats, je résolus à mon tour d'eacpértmenter le circuit Lakhovsky dans un domaine encore inexploré celui de la chimie. A cet effet, j'utilisai un circuit oscillant Lakliovsky en cuivre de 20 centimètres 4e diamètre, ayant 1.25tf mètres de longueur d'onde. J'easayat d'utiliser ce circuit pour changer les vitesses de réaction et les équilibres chimiques, J'ai obtenu quantité de résultats fort intéressants en matière de chimie pure, mais qui sont trop abstraits pour le grand publie. La périodicité de ces phénomènes fait penser, en effet, à une aouvette chimie quantique, relative.

Je me contenterai de citer ICI les expériences susceptibles d'appUcatâons pratiques qui pourxont intéresser les agriculteurs et industriels Lrançaia. Ainsi il résulte des nombreuses expériences que j'ai faites dans mon laboratoire de l'Université de Lisbonne que, au bout de deux jours, l'acidité de l'imite d'olive expasée au circuit osclïiant tombe de 0,4 à L'acidité volatile d'un vin descend, dans les L'acidité d'un vinaigre (acldo acétique), de 4,8 g. L'acidité d'une huile d'arachide baisse de 1,130 il En cinq jou-, l'acidité d'une bière tombe de 1,103 à 0.931 (en acide sùlftfrique). En huit jours, elle descend de 1,666 à 0,956. La même indl- cation s'est présentée pour vingt-deux examina différents. On voit que leu circuits oscillants Lakhov&ky jouent le rôle de catalyseurs et déterminent un vieillissement du vin, l'abaissement de l'acidité des huiles, ainsi que d'autres améliorations.

On obtient des résultats encore plus marqués avec l'appareil à ondes multlples Lakhovsky, notamment sur les fermentations. Il y a là des applications d'une valeur incalculable pour la fabrication de l'alcool. Ainsi, dans la fermentation du moûth après une vingtaine de jours,-on a déterminé un retard d'environ 20 cm3 dans la production d'acide carbonique.

Dorénavant, en chimie, 'on doit consldérer, il côt6 du champ gravïtiçuc, le champ électromagnétique.

Pour le chimiste, pour l'industriel, pour le biologiste, il y a dans cette mécanique chimique osciIlatoire un nouveau et très grand chapitre d'un très grand avenir. De nombreuses expériences sont actuellement en cours dans divers pays et l'on doit s'attendre à en recueillir de nouveaux résultats dont nous ne pouvons pas soupçonner la portée.

Prof. D. Antonio de Pereira FORJAZ membre et secrétaire

de l'Académie des sciences de Liebonue. directeur d-u laboratoire de chimie de l'Université de Lisbonne.

reprisée tenir conseil &VêC son complice SaucisÊe-è-FaUfiS-.

Fort courtoisement, 11 invitait Madeleine à s'asseoir et, a'installant dans non fauteuil, devant son bureau cyltndre amérIcain, il appuyait, sans en avoir 1'air, sur un bouton électrique, ce qui eut pour résultat de bloquer en même temps l'entrée de la bibliothèque et visiteuse entièrement Il sa merci. Maintenant, madame, Invitalt-tl avec un sourire tout paternel, veuillez m'exposer Ic but de votre démarche.. .Sana forcer le moindrement la voix, avec le naturel du monde, Madeleine reprenait

Voua avei prête derfctèr.ement â M. Alex Tborina une soaatae de cent mille francs, en échange de iaquelle vous lui avez fait signer un reçu en boureer cette somme en espèces dès votre première réqui<ion, ce qui, au serait à de graves poursuites judi- claires-.

^'antiquaire eut un sigû& d'acquies- cement.

Mme Thotina poursuivait

Mon maci na peut voua rembourser la totalité de la somme- Mais je euïs prête à vous verser de sa part un C'était le restant de la somme qu'elle avait tirée de ses* bijoux engagea par elle au Crédit municipal.

Votre geste, madame, faiaait l'an* avant .d-y répondre, permettez-moi dé vous demande" comment et par fl«t vous- avez été mise au courant des trke-

Les obsèques de Camille Julîiaii auront lieu demain vendredi Les télégrammes de condoléance venant de France et de l'étranger ont afflué hier au domicile mortuaire de Camille JuUtan.

à 10 h. au tempta protestant de la rue Madame. Après la cérémonie, Je3 restes de Camille Jullian seront dirigés aur Bordeaux, où le grand historien sera inhumé dana un tombeau famille.

M. René Flquet, président du conseil Ville de Paci«, un* lettre de cooflo- lêanees Mme Camille JuU1a.n. veuve du savant historien.

.AINSI QUE CELLES DE M. BONAL Les obsfeq'ufs de M. Jean Boira!, maire de la GarQtiiiS-CcvtombeaH membre et an4 ÏO taures a ia m&lris le aervfte religifrUï wra c^lébrô à 10 H. 15. en 1' «flirt ¡'inhumation aura li*u au cîmetiàra

AU CADRE DE RESERVE coloneta en retraite Strehl, Delpech, OiuHanL et Chambert,

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toutes les invitations Lorsqu'on lui passait un plat, il répondait presque toujours « Non, merci, Il Il se sentait gên&. et son hôte. l'était encore davantage. Aussi flnlt-U préparait un régime spécial.

II a lallu qu'on lui indique le Digestif Hennie pour qu'il recommence à vivre comme tout le monde. Depuis, ni la langouste ni le foie gras ne lui font peur. Après le repas, 11 suce simplement deux délicieuses pastilles Rénale. Quel dommage qu'il ne iea ait paa Le Digestif Rennie contleflt les principes naturels quï remédient l'Insuffisance des sucs gastriques et neutralisent les acides en excès. Esaayez-ïs dès aujourd'hui et vous retrouverez d'écolier. Toutes pharmaclea fr, 95 !a boite de perche 12 fr. 75 ie grand flacon,

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tatlûLa engagées entre M. Thorïaa et moi.

Peu voua importe, monsieur, répliquait Madeleine, puisque je suie prête a. voua remettre dèb présent cet acompte de la somme qui vous est due et dont je voue garantît qu'avant un mois vous serez entièrement déaintéresaé.

Quelle garantie m'offrez-voua Ma parole appuyait W&deleine. Et fixant bien dans les yaux son Inter- locuteur, elle martelait

Et EîtëUE'qiie personne, monsieur, vous savez que je suis une honnête femme

Marphurlus se dit

Attention Elle en sait plus tong qu'elle en a l'air.

Ét sur un ton de conciliante bonhomie, il reprenait

Ne croyez pas, madame, que je mette un .seul Instaut en doute votre bonne foi ainai que votre honorabilité. Je ne puis même que vous approuver et vous féltclter de chercher à sauver l'honneur d'un homme dont votre fils porte le nom-

Mais. à mon vJï regret. je ne puis donner suite à l'offre que vous me falte, Ainsi que je S'aJ dit. U me faut avant ce soir, non pas une part, mais la totalité de cette somme

Et alora ?

L'affaire suivra son cours-.

Vous allés; déposer une plainte contre mon mari ?

Hélas oui, madame.

Monsieur Marphuriu.a..l- Je viens d'avoir tout à l'heure un entretien avec mu

4JU L c'est .^onc cela ?

Circulation du sang hypertension, troubles du retour d'âge

Votre mauvaise circulation est la cause non seulement de vos migraine en mais des bouffées de chaleur, des engourdissements passagers aux jambes ou aux bras, des varices et de tous lee phénomènes congeatifs qui se manirestent toujours chez l'homme et chez la femme à partir d'un certain âge. Les plantée, lorsqu'elles sont choisies judicieusement* ont une action lnéralable sur ces Misère$ physiologiques. C'est à elle que les malades s'adressent Instinctivement pour se soigner, CAS' elles seules rétablissent la santé de façon sùre en agissant sur les causes, du mal. Mais encore faut-il suivre un traitement sérieux, ayant fait ses preuves, qui diffère de tous les autres qui diffère de toue les autres traitements exiatanta

Le traitement pour In circulation (nI! i}, pour 12 jours, est vendu 18 tr. en tienne, et IS *!̃- 50 en gr&nutô à la Phîte Julien, pharmacies, Ed cas de diîfk-ulWa et pour toua renais ignem enta, écrira au Laboratoire E. Benûit. 6. rue (Seine). TRAITEMENT E. BENOIT L'art de se moùcher Se moucher est un geste que tout le monde fait et que chacun lait mal. La santé dépend cependant de ce geste-la. Les les otites et beaucoup de maiadiea contagieuses sont dues à Ia façon fautive de se moucher les deux narines d la fais l'effort que nous fa.tSOn.3 alors projette le mucus nasal (oU pullulent les microbes > dans l'arrière-nez et dé termine souvent des phatyagites, des laryngites, de la taux, puis des bronchites qu'il s'engage dans les trompe a {qui réunissent le ne» aux oreilles) et ce sent des otites avec écoulements purulents qui conduisent à la surdité ou bien encore le mucus nasal Infecte les sinus et ce sont lès douloureuses et terribles sinusites.

Mouchez- vous donc avee le plus grand soin, une seule narine à -la fois, puis, votre tube de Nuinette en main vous Introduisez gtros comme un grain de blé de cette merveilleuse pommade dans chaque narine. Le:! malades atteints de sinusite doivent, tout en se mouchant, pencher très fortement la tête en avant, afln de vider leurs sinus infectés, que les essences Volatiles de Nazlnette viendront ensuite apaiser et débarrasser des microbes, causes des suppuration». La Nazinette du docteur Gilbert s emploie toujours avec plein succès dans toutes les affections du nez, de la gorge et des. bronches et évite leurs complications. Mais exigez bien la Nazînette du docteur Gilbert dont l'efficacité est garantie.

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Apflïoede poitrine. Néphrite, ApopJexk, Vertigm

Et de cet entretien, ainsi que des renseignements qui m'étaient parvenus de source très süre, R m'a été facile de conclure que vous étiex un misérable Moi pâlissait le bandit.

Ce que vous voulez, n'eat-ce pasr ee2t le secret de l'invention qui est en ce moment déposée dans un coffre-fort du ministère de la Guerre.

Madame

Et jouant la partie avec «ne maîtrise incomparable qu'elle devait uniquement à la grandeur, à la :force de son amour, Madeleine scandait

Cette invention. je peuz, moi. la la livrer, puisque j'y ai travaillé et que j'en connais tous les plans et toutes les formulés-

Eh bien. donnes se MarphurSusr qui ee figurait qu'il pouvait jouer Impunément avec cette femme.

Et il ajouta avec une sorte de candeur qui n'était que le cynisme d'un gredfci qui se croit maître absolu de la situation

En échange, je vous remettrai le reçu qui fait en ca moment l'objet de notre litige

Enfin. je vota tiens vibrait la vengeresse.

Et braquant sur le chef de la Rafle aux secrets son revolver qu'elle venait. de tirer brusquement de son sac. elle tançait au bandit

SI vous ne me livrez pas immédiatement le reçu, je vous tue!

En un geste instinctif, Marphurius appuyait la n&aln sur un papier étalé sur 3fm bureau et qui n'était autre que le document en. question.»

4A enivre-}


Promenades et regards à travers le IIIe Reich SUITE DE La PREMIERE PAGE!

Os miliciens, comment vivent-ils ? II ae faut pas se représenter une troupe d'active puisque, à de'rares «reeptloûs près, Les éléments n'en .aont pa? casernes. Il ne s'agit pas non plus de reserve daaa le sens où nous entendans le mot en France le S- A. n'accomplit pas,. comme notre réserviste, une série de période,% fixées par la Lot ïi s'entraîne un peu chaque semaine et souveat quelques semaines chaque été, pendant un nombre d'années pratiquement indéterminé. Il est donc à la fois moine et plus qu'un de nos réservistea. Tout se passe en somme comtac si un miltion de civils consacraient A une org'ariis&tian paramilitaire leurs dimarohea, leurs vacances d'été,- teurs loisirs.

Le milicien brun OU noir beat pas payé. Le gouvernement ne £'aide qH'exceptloDneîiem&at en matière de logement, de chauffage, de nourriture, d'uaiforme, (Tou;* ceux qui défilèrent à Nuremberg, l'été dernier, furent néanmoins équipés à neuf aux frais de fEtst.) On &&t S. A. &a même temps qu'on eat étudiant, ouvrler, fonctionnaire du parti. chômeur. Au printemps de cette année, dans l'enthousiasme qui suivit l'avénûmant d'Hitler, aucun S. A, ne voulait plua quitter soa uniforme on servait derrière un comptoir. on jouait aux quilles en chemise brune. Aujourd'hui, le S. A. devrait rester eu civil tant qu'il n'est pas de service- Je doute d'ailleurs que la règne soit obaervée.

J'ai côtoyé uu fréquenté assez de 3, A. pour m'asaurer aisément de leur diversité on en rencontre d'enthousiaatea, d'ambitieux, de débrouillards ou de pag&lfs; j'en sais qui regrettent coup de force, et d'autres qui se sont enrôlés x parce que ça peut être utile ou même pour se blanchi^; beaucoup sont éreintés par les aervices d'ordre et par les marches qu'on leur impose; beaucoup dorment debout la lundi an rentrant il leur travail. Telle est cette masse humaiue; et je manquerais à l'honnêteté en ne témoignant pas ici que ces hommes qui me savaient Français, m'étant battu contre leur pays et décidé à défendre les jwsLttona du mien, ne m'ont point, en générai, paru mai veillant ni désireux d'une guerre.

Voua pour l'extérieur et les exécutant!

Leur organisation ? Exactement pelle d'une armée. Les S. A. sont répartis en sept régions correspondant aux sept c territoires & (Wehrkreise) de la Rçicûswehr, plus une région c Autriche avec régiments affectés à Linz, siège principal, et a Vienne, Les régions sont divisées en g. Gruppen les Gruppen en bri- grades, les brig-adeseurêgrimentafStaiîdart&n ) eux -mêmes subdivisés cn bataillons et compagnies et qui portent. TtR numéros de l'ancienne armée, sou- vent même celui de l'unité qui tenait autrefois g-a rnisern au siège de la. c Standarte

Ajoutez au sommet un état-major généril comprenant, sous des dénomi- nations un peu modifiées, les bureaux et aeettona de n'importe quel grand état-major {plus une section pour ;e aport et une section pour les étu-;dianta) mettez en ligne le fait que bon nmttbre de postes importants les S. A. sont occupés par des officiers de l'ancienne armée ou de l'Ancienne marine impériale, par 2'anciens membres de la Raichswehr, par des chefs anciens ou actuels de la police, et )j voufi deviendra clair qu'on a coulé 'es effectifs bruns ou noirs dans Un mouie qui est bed et bien colui d'une année allemande régulière.

Lorsqu'on demande à un officier nazlste l'objet de cette mobi II action, Il vous répond immanquablement Les «' chemises brunea sont des soldats politiques dont la tâche consiste répandre dans tout le pays 1x ductrine nationale socialtste et à convainl'«emple. » C'est vrai. Mais à qua enfant fera-t-on croire que si ce rAe était le eeui à envisager, on apporterait un tel soin à compléter les forao&tlcns brunes par des unités apécïaïea d'aviation, d'automobiles, de trinraisaion, de sapeurs et de santé? Pourquoi les comptes rendus de manœuvres, qui étaient donnés aous une forme banale par une partie de ia presse allemande. ont-ils subitement disparu des journaux vers te mois île Juin dernier, à ¡'époque précise où commençait une instruction intensive? Il est maiheureusamaat vrai, et connu des gouvernements étrangers depuis plusieurs mois que certaines c écoles de sport en campagne p fonctionnent en UaiMrj directe avec la Reichswehr ou y lance la grenade i1 est prouvé les démentis ny y chftnffgnt rien que «les officiers de de compagnie ou S. A. des cours dû six semaines, répétés au bout d'un semestre Il est prouvé que des batailIons de S. A. ont été incorporés dans la Rçichawehr pour y accomplir des Stages El est prouvé que l' Offtce national pour la. formatiou de la Jeunesse » iReichskuratarium fil, Jugend Brtîtchtigungl organlse, au besoin, dans des casernes, sous le nom de cours mobties des périodes d'instructlon militaire. Pourquoi, s'il ne s'agissait que de politique tes jeunes gens auraient-ils été. dans certains cas. avertis qu'un bavardage pouvait entraîner pour eux six ans de

réclusion ? Pourquoi ce foiaonn&ment d'ordres secrets et de consignes de silence aux S. A., aux étudiants. aux Journalistes ? Pourquoi ce brouillard projeté sur lotîtes choses ?

Et qu'importent les hommes. objectera-t-on. enfin, alla ne sont pas ou ne sont que peu armés ?

Je connais trop mai, ment, la. question du « désarmement » de l'Allemagne pour émettre ua avis. de désire simplement rappeler une phrase qui se trouve la page 365 de l'édition allemande de Mein Karupj. Cette phrase n'a point trait à un programme dont on peut essayer de soutenir qu'it a été modifié. La voici e La quesfîon d'un rétablissement rie la force allemand* ne s'exprime pas par les mots fabriquer des armes ? mats par comment engen- drer î'esprlt qui rend un peuple capable de porter des armeg ? Lorsque cet esprit possède- un peuple, la volonté trouve mille voies, dont ckaCulte conduit à une arme. »

Pourquoi le chancelier Hitler auraitil changé d'avis ?

Pierre FREdERIX,

A LYON, UN AVEUGLE TUE SA FEMME

A COUPS DE COUTEAU C'est au cours (ffuic ^iscunsion rela- tive à des réparations faire une fenêtrm que l'informe, frappé par son épouse, se jeta sur elle et, dons Vobscuriti. la massacra

Lyon. 13 déco (dêp, Petit Parisien.) Un horrible drame s'est déroulé, la nuit derniére, dans une maison purtant le n" Il de la rue HontgolUer Un aveugle de guerre a tue ea femme coups de couteau, au cours d'une discussion.

Les époux PI anche t avalent dlné chez leur fils, Joannès Planchet, qunraate-qwatre ans, aveugle de guerre, l'occasion de la tête de leur belle-fille, Mme Flanchet, née Lucie Buslllet, trente-quatre ans. Le dîner avait été très gai.

Une légère discussion s'était élevée, a la fin du repas, entre l'aveugle et sa femme, au sujet de réparations à faire à une fenêtre. Les parents me retirèrent.

La discussion, qui avait pria fin. reprit dans la nuit, plus violente. Mme Planchet ayant frappé son mari avec un verre, l'aveugle, perdant tout son sang'-froid. s'empara sur là table d'un couteau et, saisissant sa femme d'nne main, la frappa dans l'obscurité Atteinte au visage et au cou. la malheureuse s'affaissa mais l'homme s'acharna sur elle et lui porta plu- sieurs autres coups.

Joannès PEanchet descendît aiorfi l'escalier et alla sona&r à la porte de M. Lucien Charvet, qui demeure â l'étage au -dessous. M. Charvet monta chez sou voisin. La port* était resté, êatr'ouverte. Il la poussa et ae trouva en présence du corps inanimé de Mme Planchât. Celle-ci était inondée de sang.

M. Ctiarvet Wla avertir le poste de police de la rue Cuvier. Peu de temps après, le commissaire de permanence, M. Fablani, arrivait sur les lieux jtùut procéder sux constatations d'usage. Le meurtrier a été arrêté.

LA CROISIERE AERIENNE DU GENERAL VUILLBMIN PRENDRAIT FIN A ALGER Le ministre de l'Air, suivant le désir exprimé par le gouvernement général de l'Algérie, a estimé que ce magnifique voyage à travers nos colo- nies devait avoir son épilogue en terre africaine. Il a donc décidé de termiDer la croisière à Alger où de grandes fêtes seront organisées en l'honneur des équipages,

M. Pierre Cot se rendra Alger le 17 décembre pour accueillir le général Vulllemin et ses valeureux compa.- gnons qui auront effectué le plus long voyage collectif réalisé à ce jour. Enfin, Paris fêtera les avtateurs au cours d'une réception ultérieure. Au cours de la v&ste randonnée qui s'achève, on a particulièrement remarqué la régularité de fonctionnement des moteurs Lorraine 450 CV dont les 2S avions T.O.E. sont équipés. Plue de Si) et autant de décollages effectués normalement jjra.ee à la. maîtrise des pilotes et â l'excellence du matériel ont mis à. 1'épreuve les pneus Hutcbison qui don- nèrent toujours entière satisfaction. Deux mineur* retira veut leur «œur dont ils étaient sans nouvelle» depuis le début de la guerre

LUI*, 13 décembre (dép. Petu Par.). La guerre a provoqué dana debreuse& familles de la région do Nord de crueJl&s séparations* C'est ainsi que deux mineurs de Masny, MM. Albert et LrfïuU Leteneur. étalent sans nou.velles de leur sœur ainée. Angélique, dont Ils étalent séparés depuis près de vingt ans. Grâce à, Vobllgeanoe de M. Splnassc, directeur départemental de rA&sistance publique à Xilïet il; viennent,après de- multiples dé marches, de la retrouver au Havre, où elle a épousé un matelot de A l'heure actuelle. MM. LflUneur sont encore sans nouvelles d'une autre sœur. Vlî"Kînier cma-r^nte et un ans.

Au procès de Leipzig l'audience d'hier

a été marquée

par deux réquisitoires Leipzig. 13 décembre idéf. HavatA Le procès de J'incendie du ReSehstag a «pria ûe matin, après une semaine d'interruption. A p r 8 a un Intermède amusant, qui met aux prises Dimitroff et un brigadier de gendarmerie, le prédonne la parole au procureur général Werner.

Le bâtiment du Relchstag est t'un des plus importante d'Alternant, dit-il Il parte sur sa façade la dédicace « Au peuple allemand, ï L*s incendiaires savaient bien &e qu'ik faisaient Ils voulaient ailtimtr le fanal de la rêvolution.

Le procureur général aborde la queation du Livre brun qu'il qu&Hfle de est faux, dit-il, les nationaux été en rapport Van der Lubbe et on a menti en prétendant que lt> ùiaçoiï bQ-Uandaî-a était

communiâtes, dit-il, sont 1m Tous les accusés ici présenta sont dea a communiâtes.

La 'réquisitoire se poorgult, tandis que Dlmitroff, qui en note fiévreusede temps à autre pour contempler le procureur général Werner avec un sourire qui semble iL.. la fois ironique et compatissant.

Après une brève suspension d'audience, le procureur général Werner poursuit son réquisitoire pendant plus de deuï heures.

Toute personne raisonnable, dit– est obligée ^'admettre que les commucabinet Hitler, au mois de janvier 1935, chance qui s'offrait à eus et tenter le soulèvement armé, afin de se défendre révolution nationale.

L'audience est ensuite su&peadué pour une heure et dtmie.

L'avocat général Pan-tarna requiert Pendant plus de quatre heures, M. F&rrisiua a limité son accusation â Van der Lubbe. En conclusion, il & déclaré

ADRESSE DE FELICITATIONS A M. CAMILLE CHAUTEMPS Gray, 13 décembre (dép. Bavas.) L'ordre du jour suivant a été adressé il M. président du Conseil « Les à élu** cantonaux et les maires Gray, réunie le 13 décembre à Gray, sous la présidence de MM. Berthezenne, député du Gard Henri t*artlltey, président du comité de TUnio-o dea gauche:,¡. et Théodore Valensi, députe de Gray, adressent lajîaurance de leur vive admiration et de leur indéfectible dévouement au président Ca. mitle Chautempa. ll« le félicitent pour quelles il préside aux deetinêea du pays et expriment leapoir que tous les républicains iseus des élections de 1932 comprendront en toute circonstance le haut devoir qui leur incombe d'union Et de discipline.

leurs sentiment? dévoués à M. Jules Jeannençy, président du Sénat Le coukin du président du Comeil légçFemcnt bleisé en auto uulro, M1 Chau temps, avocat à Tours, cousin du président du Conseil, a hr-ê lès-èrement bleasé ce matin, prèa due Thouaraf dana un ticclittit d'automobile. Il a été admis à l'hôpital de ceUe ville, où H a reçu des soins, 3on état n'inspire aucune inquiétude.

M. Carde, arrivé hier à Marseille est parti aussitôt pour Paria Marseille. 13 décembre tdép. P. Par-h Par le paquebot Timgad, courrier d'Alger, est arrivé ce matin M, Carde. gouverneur général de l'Algérie, accompagné de M. Annet, chef de son cabinat civil, et du capitaine Garde!, son offlcier d'ordonnance. M. Carde, qui ae rend iL Paris a déclaré que, si activité économique de l'Algérie s'était simplement maintenue, par contre le trafic maritime accusait une notaMe augmentation sur l'année dernière.

Quant à la situation politique, a-t-11 ajouté, elle est absolument «atiafaisante.

M. Carde» qui a pris aussitôt le train, arrivera à Paris ce aolr, à 23 heure?LES AUTEURS DU CRIME DE MAISONSLAFFITTE VONT ETRE TRANSFÉRÉS DE DIJON A VERSAILLES Dijon, 13 décembre (dép. Petit Par.) Le 22 novembre damier, la cour d'aBalse3 de la Côte-4'Or coadamnait à douze ana de travaux torcés Serge $auvag^eot et Pierre GruMleminot, et à huit ans de la même peine René Anchisi, tous trois poursuivis pour vol qualifié commis To-rnVce des pupilles de la nation. Ces trois malfaitoura qui sont Donald RoBa. de MaisonfHUffltte, quitteront demain jeudi la priaon dé Dijon pour être transférés Versailles où ils doivent être interrogés sur cette retentisaanto affaire,

Le procureur de la République à Saint*Lâ meurt subitement

Saint-Lo, 13 déc, {Aép. Petit Partûien.) M, Ernest Leloutre, procureur de la République iL Saint-Lo, est mort subitement à la portf de son cabinet, alors qu'il arrivait au palais de justice, pour assister à l'audience civile.

M. Letoutre. âgé de nô, est originaire de Coutances. COSTES EST ARRIVE A ROME Rome, 13 décembre {dép. petit Pans.) Costes, qui va effectuer un voyage 15 b. -45, venant de MarselHe.

ON ANNONCE

UNE RECRUDESCENCE DU FROID

L'ado ne is&a ment de la température. Commencé dans la nuit du 12 au 13, a continué toute la Journée d'hier et, Paris, le thermomètre a dépassé de peu G". DiL-ra l'après-midi, Ifr temps fut partout couvert le vent d'est A pria de la force et a même soufflé en tempête sur la Manche et la Bretagne enfin, la neige''lui avait dêbuté dans la nuit sur la région lyonnaise, s'étendait, d'une part vers le audf et de l'autre vers le nord de sorte qu'à la heures i neigeait de Montéiirpar à StrasVers 15 heuraa, la neige débutait sur région parisienne tprviis que le ther-mètre descendit" de nouveau aude Il de 0.

Voici quelques températures enregishier à 13 heure.

à Dijon 4^ à t^on, Epinai; 3" à Nancy, 'Strasbourg et Châteauroux 2o à Tours, Calais, Bourges et Poitiers 1* à Metz, T&ionViller ArK&ntan, Abbeviile à à Reims -f- V â Paris et Montéllmar -f 2- à Brest -h 3" il. Rochefort + 5u à Cherbourg + 7" à Marseille + a« à Pau et Tonlouse -r 9- Biarritz et Bordeaux. Aujourd'hui, la dépression qui a amené maintes chutes de neige en France et qui se trouvait sur le sudouest du pays, sera sur 1a Méditerranée occidentale et centrale, où là temps aéra mauvais avec pluie» ou neiges, baisse. Une autre dépression s&rà obaurvée sur les parages nord de la Fin&ade, tandis qu'un anticyclone s'éien- dte. de l'Ecole au sud de U Suède, Les neiges tendraient à cesser sur la moitié. Nord et le ciel couvert de dégraderait ensuite maid les vents d'est, souffleront en bise gïecce et la température se refroidira à nouveau avec l'éclaircie. Jean Mahtix. IL FAISAIT HIER A MIDI DANS LA CAPITALE

Le froid n'a pas, jusqu'à présent. marqué le recul appréciable que certains espéraient, tandis que d'autres lea patineurs le redoutent

En somme, température plus êgulç, mai. réchauffement de peu d'Impor- tance.

Il lut, toutefois, plus sensible au cours de la matinée, par suite du ciel couvert qui s'opposait au' rayonnement. Dès avant midi, le thermomètre avait; atteint le zéro et les passante ee ren-lent compte que la froid était moine agressif que îea jours précédents. Nous n'allons, toutefois pas encore j vers le dégel. Les patineurs pourront se pendant quelques jours, à leur sport car le vent reste à l'est comme précédemment.

dure de la zone n-e£geujs&. Uns poussière de neige y tomba pourtant dans l'après- midi, poudrant légèrement les toits et le sol. Elle disparut à peu près dans le& rues sous les pas des promeneurs, maïs persista dans les jardina et en banlieue. La Seine continue à charrier dea les barrages ont dû être abattus et 1a navigation a été Interrompue entre Fontainebleau et Farts. On vit hier. comme les jours précé- dente, de nombreux patineurs évoluer sur les lacs de la banlieue parisienne, ainsi que sur le grand canal V«rsa:lies.

On a vu, comma on verra encore sans doute, 1".jours qui vont venir, las étaloges extérieurs aupprimés et dea grou3>ee de pauvres hère. se grouper autour des braseros instailés çà et là mur le. vole publique.

Les grouillots de la Boume, qui, de midi à. 15 Heures, n'arrivent guère à se réchauffer sur lea marches glacées du temple de l'argent, ont été l'objet de la sollicitude de ¡'Armée du Salut qui leur a distribué abondamment des quarts de Et le goir, pour les clochards qui ont leurs raisons de redouter. bien à ton d.'aineurs. l'hospitalité des postes de police, la mu me ûrganjaition charitable va porter sous les ponta et sur les tergea de la bonne soupe chaude et du pain.

Deux péniche» quai Jemmapei Peu, le, saoï-loffi»

JL Raymond Suaset, député du XI ar- rOttdiasement, a hier matin à la dis- position de la préfecture de police deux p&s, sur 1-e canaJ j des mîsêreux. Cent cinquante sana-logis poutront coucher dans chaque hateau qui sera, par les soin-, de la préfecture de police, meublé de paillasses, couvertures, tables et bancs. L'Armçe du Salut fournira aux « hospitalises soupe et boissons chaudes.

Une de ces péniches a, dès hier soir, abrité des

EN PROVINCE, LA NEIGE

A FAIT SON APPARITION Nos coireeîlGfidaflts Dûua signalent qu'il est tombé de 1% neige en d'assez nombreuses régions.

A Lorient, après un adoucissement de la température, abaissée & 1°, quelques rares ont commencé à tomber.

A Châ-Ions-sur-Marne, le thermomètre est remonté de -18° à -il°, mais la blset hier matin, eta.it glaciale. La neige a commencé à tomber l'aprèsmidi. Le marché d'hier matin à Châlons était Bans affaires. A Sêzanne, M- Auguste Hanin, aoïiante-treize ans. a 'té trouvé mort de froid.

Un froid vif sévit sur toute la Touraine. Cependant, la température s'ut adoucie. La neigé est tambée assez. abondamment Un chiffonnier, âgé de soixante-dix ans. M. Alfred Hainaut, a été trouvé mOrt de congestioa dans la cabane en planches où il vivait.

Dans la région de Châlûn^ur-âa.ône, la température 8'est un peu adoucie et la neige est tombée aur tous les coteaux.

A Màconh où le thermomètre a marqué une nouvelle baisse pour atteindre par endroits -Il-, la Saône a eprn- mencé à cbarrîer des zlaçona de nombreux étangs sont gelea. La neige est tombée en dés Mardi soir.

A Clermont-Ferraûd, la neige cet tombée hier sans discontinuer depuis le matin, en ville et dans la plaine de la LImagïîe. La couche atteignait déjà tagitaux. où elle tombait depuis vingt»

quatre heures. Les communications deviennent difficile». Toutefois, le thermomètre a remonté; k midi, II marDans le Ve1ay, 1a neige tombe en flocons serrés depuis mardi. Certaines routes ne se plu. qu'au jalonnement des poteaux télégraphique Au-dessus de Plnola, tes de 1a Margeride sont bouchée.

Dans le Bourbonnais, la couche attelnt en certain. points de la région montagneuse, dans rari'ondis^ement de Lapinant», 15 centimètres. La circula- il 0. e;,t interrompue ea plusieurs points. A Vichy, une coucha épaisse Couvre la ville et la campagne. A Gap, la nuit, il eat tombé 30 centi- mètres de neige et, après un arrêt de deux heure., la chute a repris. De Pougny. on signale qû neige gros flocons sur le paya de Gêx et la. Savoie.

interrompu* tur la Loire

Une, légère détente s'est produite la nuit dernière. Le thermomètre est de.. cendu seulement à moins 8°5. Dans le port, deux remorqueurs aillonnent les eaux pour que la navigation entre Iea deux rives puisa* continuer. La descente des g-lacea n'en a paa moins i obligé la Société nantaise de navigatîon ô vapeur à interrompre le. aer- vice» Nantea-Le Pellerïn et Nantes- Saînt-Nazalre. Par contre, les navires de haute mer continuent sans incon. ventent la montée ou la descente de la Loire. Toute batellerie est arrêtée Le froid a fait plusieurs victimes & Nantes Mlle Melanie Le Fort. neurs, et au hameau du Merle-Blanc, sur la route de VertOu, M, Arlhur Surget, quatre-vlngîa ans. ei se aœar Bléla.nie, veuve Sauvage, sotxanLe-eeize a.n«. Une voisine était venue leur rendre visite en revenant de 1a conduire. U. au rget fut, dana s son jardin, frappé de congestion. il put appeler sa sœur à son secours avant d'expirer. Urne Sauvage ,sortit précipitamment de ait cuisina bien chauftëe, sans pren. dre la précaution de se vètir. et fut à son tour terrassée par le froid, Il y eut jusqu'à 21* dans la Meule Bar-te-Dut 13 déc. (d. Petit Parteieiu} La vagua de froid n'a pu épargné Bar-le-thic et le Bairoi5t On a enre6 jusqu'à 21 degrés au-dea&ous de zéro. Le canal de la Marne au Rnin. la rivière fOrnaln et le canad des usines «ont pelés. Ce matin le vent était très Il Il a neigé.

A Stenay, Mme Céleetine MaJot, cinquante ana. vivant seule rue de Cnanzy, a été trouvé. morte de froid. UNE VIOLENTE TEMPETE

SUR LE PAS DE CALAIS

"BûUlûgTie-sur-Mer, 13 déc, {dép, P. P,) Les services maritimes de Boulogne.aUr-Mer et de Calais ont été avisés en fin de matinée qu'une violente tempâte (Test soufflait sur le pas de Calais, rendant impraticable l'accès au port de Douvres.

En raison de cette situation, les paquebots Cûte-d'Azur et assurant le service Calaîa-Pouvres, ont été détoUrnés sur Folkeatone. Le ser- vice de Ylsle CI Tanet, qui devait assurer cet après-midi, il. 13 h. 45, le transport des voyageurs allant de Boulogne à Folkestone, a été supprimé. Les soixante-^ Uatre voyageurs qui devaient se rendre dans cette ville ont été dlrig-fo sur Calais, ou lia sa sont embar. qués à bord du Canterbury. Le paque- bot venant de FollïestOne, est entré norcnti.iement dans le port, à ti h. 80, avec cinquante-deux voya- Le du !loir avec Folkestone a été supprimé. Les voyageurs arrivé par le rapide de Paris ont passé la nuit dans les divers hôtels de la ville, Les officiera du port annoncent que ta tempête atteindra son paroxysme à minuit et on prévoit que demain le trafic redeviendra normal.

M. Pierre Cat a présidé

le banquet des « Vieilles Tiges » L/AE*acla,tion des Vailles Tiges a donné hier dans les salons de l'hôtel Lutetia, un banquet que préaidai l m. Pierre Cot, ministre de l'Air, assisté de M. Léon Batnlat. président des Vieilles Tïgea. Aux côtéa du ministre de l'Air, on notait la préaeaûe de MM. Delesalle, soue-secrétaire *Etat à l'Air; J.-L. Dumaenii; des généraux de et ftt D«nain de MM. Louis Blériot, Sadi Leiîointe, Paulhan, Eugène Re- naux, René Lefèvre, L*moine, Maryse: Bastiê. etc.

Après que M. Léon Bathlctt eut pris la parole, les insignes de chevalier de la Lé.2ion d'honneur turent remis il. Robert Dangolse Gaslon Digbreult, René Paulhan, Jules Flschtx et Eecheler.

Le ministre de l'Air clôtura la série des discours.

UNE AUTOBIOGRAPHIE DU CAPITAINE RŒHM blicaine allemande qui para.it à Parts, publie cette semaine un article sur le nouveau ministre de Hitler, le capitaine Rœhm. La revue annonce qu'en même temps que M. Rœhm était nommA ml. nistre il publiait son autobiographie* nouveau ministre de Hitler, çhtl d$s troupes d'assaut du Retch, écrit Qu'importe que l'Europe, que te mondé entier soient la proie des flammée t Cela ne nous Intéresse pas. L'Allemagne doit1 vivre et être libre.

Cette phrase. dit la revue républicaine allemande, est la toute dernière du livre du capitaine Rcchm. Pendant le premier mota du régime hitlérien, Rœhm était resté au second plan. Hindenburg ne l'aime pas à cause de sa vie prtvée dont an a tant parlé, et Gcerlng a eu exploiter cette répulsion de son. protecteur pour devancer le rival (en se faisant nommer général). Entre temps, des changements se sont produits qui ui s1 expriment au j o urd'hui par l'entrée de Rœhm dans le gouvernement A l'avenir, on entendra moins parler de Gû&rlng1 et davantage de Rœhm-

Rœhm ne dissimule paa Ses intention Il aimê la guerre et il le dit. Deux ans durant, il fut officier dans l'armée bolivienne et fut un chaud partisan de la guerre entre la Bolivie et le Paraguay, a Peu après mon arrivée en Bolivie, la ta paix édatait. Ce fut un« situation douloureuse, cae j'espérais cueillir des iauriera sur le. champs de bataille. Je suis un homme mauvais, et la guerre et le désordre me plaisent davantage que le brave ordre hourgeois, (Page 363 de l'autobiographie de Rœbïii,)

Quand on rate un lièvre. Qui se dit la premier fllall du monde fit présente cette particularité assez décQDCffrtante que c'est toujours au moment précis or. le li^vr» aaute le foiaé il 20 mètres que notre artiste eat en train de chingeir de cartouches. Et .IL. 100 mètra» plua ti'n. hêUi. LI crie bleu haut que c'est son lièvre qu'ils ont m La dans Itur Cartiler.

A.ralr de lu clairvoyance, c'est #tre pr8t SI l'on récapitule, en nette fin d'année, lea faits de Duitlop en 1933. on voit çu'H a (̃a-ujoura lancé, au moment précis où le besoin ie le 18 pneumstlqua aire. Il n'a Jamais raté le lièvre. Je rapr^Ueral rapidement que, par exemple, son remarquable pneu Part est apparu sur le marché exa^temflnt à l'imitant &d les. voitures de tourisme iL accélération rapide et à freins pui&aantfl ne trouvaient 'Il pût teur convenir. La crlsa géviE. arteint îoul le monde, même lea grûa vOiXarleta à Chevaux, ]ea de barriques de vIm, de Jusque dans Iti détails de £' exploitation, Qua rut Daninp Il u tour donne tout de suite le pneumatique qui leur convient exactement. Ça roule beaucoup mieux. Alors vous remarquerez que les chevaux qu'utilisent ce* gi-on vrtturiers mont pEuo petite cju'ftutrctoliB, donc d'un prix d'achat biwlna frlevé et d'au eTitrttien motiiS coûieux. On on eourlt tout d'abord, puis, a La rén'exfon, on applaudit.

Quant au pneu Agraire qu'a lancÉ cette année Dunlop. iL constitue une de ces troumlHes dont («i ne vantera jamais trop les méritée. Je lea résuznata î-cî Il 7 quelques jour8. Il va noua f&fre du» l'agriculture Ja plus bienfaisante d«« révolutions. Noua aiirûllfl souvent i *H reparler.

Snnn l'homme cmJrvoysnr âtpnfl q«« repartis au delà de atni nombril et de pieds. Qiiaad dans l'InduatHe du rhrjuc on a anqufa la célébrité, on a le droît et Ie devoir d'éteTidre l'emploi du caoutchouc; à tout«« le. indu*! ri éb qui peuvent 1« comporter à la faire adopter tàs. par celles qui, il. première vue. sont tout à f.iit éloignée» de lui.

Le chemin de fer. par exemple, quet besoin peut-îl avoir de ciLautctiouc. t-on communément ? Dunlop IL trouvé que certaines mtmea voitures peuvent router. tantAt aur rails, tantôt aur macadam. Il k Inventé une rouo qui, en quelques inatailta, prenant Ou abandonnant son bfiflds.ffe devient 4 votante roue de terre ou roue da 'se le, 'Et c'ert là un« brillante solution du problème du porte A P 'autre part, j'aurai & dire bleu tût ce latent d'une apupleaae Inconnue jusqu'à, ce jour, d'une Wçftrete « d'une de MontluQon ne chômeront pag en 1934. SoyjïiiB clairvoyants ? N'ayons jamais sont affaire qui inangHent le moins, IfflTElt.

Ou arrête i Lyon

an employé de banque

qui aurait détourné 1.200.000 franc* Un nommé L.» employa dans un êtablissement financier lyonnais, & été arrêté ce matin. Cet individu aurait détourné une somme de francs encaissée pour le compte d'une société mar.^î]Ui3c II était déjà l'objet d'un mandat d'arrêt du parquet de Bourgt*. Invité à se tenir à fa disposition de 1& justice.

Tous deux seront interrogea pair M. Raugê, juge d'instruction.

Ua appareil français fait

on attemuage forcé prit d'Athinw Athènes, 13 décembre (dép. SlOvos.) çais Mailly-NÊsles a ïait, hier, à 13 heures, un atterrlaaaga forcé dans ta banlieue d'Athènes.

L'avEaUur est indemne, maie l'appa- reil est gravement endotnmag'ë. Qui me débarrassera de mes

Cors ?

~Le RADIEUX,

évidemment^ en moins

d'une aemaine.

Le Rjumetjx wt un nouvel antidurillon on ceil-dç-perrfrnï ne ]td r^aîftte pins de «x joim. Ancru» hr&lure .il craindre, Effiwfjt* g4mttUe. 3 ftw 95 toutes phiumadM et Laboratoire» CoursaRet, Bk>is, GRIPPE Maux de gorge

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Montparnasse d'aujourd'hui LES FRONTIÈRES ET LES ENVIRONS

-Montparnasse a ses frontières, des frotttlèrta extrêmement irréguilèrea, et que les Initiés connaissent d'îngtitirt snas avoir jamais cherche a les (téli- miter. Par exemple, un Montparno n'aura jamais l'idée de descendre Je boulevard Raapail au delà de la rtfe Stanislas. De même. la rue de Rennes lui échappe tout entière et il ne se zisquera pas sur l'avenue de E'Obser- vatoire« mais il est des coins de ta. rue de l'Arrivée où il peut poser ses pas. Montparnasse a des ilots en dehors de ses frontières, boites de nuit en avant-garde dans des quartiers boun geoisement habités et où, le jour, les Moutparnos ne vont pas. pâmasse; à partir de Notre-Dame-des- Champs jusqu'à la gare de l'Etat, il cesse d'appartenir aux artistes. Mais de l'autre côté de la place de Rennes, à l'angle de la rue de Vaugirard, la soir, il est permis d'y fréquenter. Uae boite même. l'an passé, s'installa dans les environs de la rue de Sèvres. Par 'bonheur, le ministère des Colonies est une rude barrière franchir, sans quai Montparnasse irait jusqu'à la place Vauban et rejoindrait les Invalides, Les frontières de Montparnasse ont ceci d'original qu'elles apnt mouvantea. Ainsi, le boulevard Edgar-^uiaet a été assez récemment annexé. Ci n'y & fallu que deux -établissements: la Faux-Col, od je vous ai déjà conduit, et te Phénix, qui est una attraction sans mystère, malgré son caractère un peu spécial. Actuellement encore un gligaeitieat se produit vers fa porte d'Orléans. Il est, en cet extrême-sud de Paris, des cafés où fréquentent Les peintres dû Moatsouris proche. Mais est-ce encore Montpar- nasse ? Kiki le prétend que 4'on y rencontre. Disons que c'est une filiale. Cependant, quelle que soit sa force d'expansion, Montparnasse semble ne devoir jamaia s'emparer de deux réglons la vérlté bien différentes, mais fidèles à leurs traditions respecttvea la rue de la Gaité et la place de Rennes. Si vous me demandez pourquoi, le vous répondrai que Je n'en sais rien. D en a toujours été ainsi. Du temps du boulevard, certaines parties du trottoir lui demeuraient étrangères. Les phénomènes urbanosociaux sont à répétition.

La rue de ta Gaitë, frôlant le cimetière Montparnasse, canalise vers Montrouge à Pt aisance les foules des faubourgs. Sa rue étroite et brève, mais «rtraordlnairement animée, est comme un dernier trait de joie part.sienne avant Les zones réservées aux logis médiocres et a la vie sous: ta lampe. il moins que ce ne soit chez le une couleur a soi. Les petita maga* s-iïtà voisinent avec les petits bazars maroquineries et bijouteries alternent avec charcuteries et pâtisseries, cellesci Iargement achalandées. On y semble d'avantage < porté aut La gueule excusez-moi que eut autre chose. Maie un semblant de Luxe, tout un commerce de bagues, chainettes, épinglas et pacotilles diverses présentent aux sentiments de vanité et de coquetterie des évenUifes propres à les satisfaire dans l'honnête Mesure qu'il ne faut pas dépasser ici.

La rue de la Gaîté n'est. d'ailleurs, point seulement une voie de passage.Derniére région de joie parisienne, elle se doit d'offrir des plaisirs, De vrai. lei établissements n+y mangueut pas. Bobine, la le te Casino-Montparnasse, le théâtre Montparnasse- sont quatre pôles d'attractions diverses et Juxtaposées. Les mécanas. les midinettes et tes petits ouvriers qui sont allés rigoler au vaudeville de la Galtê ou a la revue du Casino rencontrent, l'entr'acte, autour des mêmes populaires marchanda de gaufres, les amateurs de variétés Lâchés par Bobina et Les inteLtectuela venus applaudir aux efforts de H- B&ty La confrontation est, d'ailleurs, sereine et cordiale. LI n'y a que La bourgeoisie constipée exeusaa-mol encore laquelle n'est populaires.

On dit que jadis tee Établissements et plaisir de la rue de ta Gaité battaient estrade. J'imagine très bien, à la porte du Casï no- iVUrat pa-rû aase. des pitres faisant la parade. Je ne sats quel écho en demeure encore. Dans La rue de la Gaîte, on vit dehors. Les petits bars qui ne peuvent avoir dû terrasses, vu l'exiguïté des trottoirs, sont complètement ouverts sur la rue Les marchands de crêpes, tes iuarchauds de marrons, les le cacahuètes ont leurs cercles d'amateurs. On parle: en mangeant, aD blagve en mangeant, on flirte en man-

geant. Cela tient de la kertnesae et de la tête foraine. Et cependant n'y a-t-ll pas de la poésie en cette rue] dont un bistro s'intitule e Aux Des Marquises exploité par ce person- nage devenu littéraire par L'opération de M. René Benjamin j'al nommé Gaspard. Une telle atmosphère ne pouvait manquer d'attirer les Parisiens. Déjà j les Goncourt fréquentaient dans la rue populaire. Legrand-Cihabrier en a fait le cadre de ton roman Christine. Et les riverains se rappellent Jean Lor* raln et Liane de Pougy dans une vie»toria à deux chevaux lui, avec ses paupières lourdes obturant le regard liquide, elle, dans ses manches à gigot et ses plumes de revue à grand spectacle, Ils montaient ainsi vers la Galté. Montparnasse et te peuple, sur tes trottoirs, les enguirlandait robuste'ment. Et tous étaient ravis les engulrlandeurs et les enguirlandés, Aujour- d'bui, un tramway, dans un cahot d'Apocalypse, brinquebaïle difficilement dans la rue étroite. Le tramway ne remplace pas la Victoria. 1 Place de Rennes, c'est autre chose. l^es cafés de l'endroit sont fréquentés par une clientèle traditionnelle et que Je placerai consommateurs et coasommatncfls, ceux-là fonctionnaires ou négociants, celles-ci dames de vertu inachevée dans le voisinage immédiat du jeu de loto- On imagine que le loto est. ici, symbolique.

Angèle. Germaine, Blanche et Sol leurs assises au le café de Marly et de la MaUnaison réunis ». Elles ont leurs tables dont elles ne sauraient changer. Le& garçons stylés montent ta garde raient pas que l'on usurpât, entre cinq et sept, avant dîner, et de neuf A minuit, le soir. Des années de pratique en cet endroit leur ont assuré une répu- tation solide, si ce n'est quelque noteriété, en tout cas les meilleurs de leurs ami

Qu'on ne se méprenne pas. Je n'en-! treprends pas une manière de réhabi- litation à la Doatoïewsky. Je demeure sincèrement objectif- Encore faut-il reconnaître l'habitude de certaines ver. tus domestiques en ces dames paisi- i blea et donc ta vertu au aena que i J'on donne communément à ce mot i n'est pas -ressentie] mérite. Une atmos- j i phère de paix règne en ces cafés à la [clientèle sérieuse, où la tentation a toutes les apparences de la bienséance, dt où le personne! féminin, d'accord avec le quartier bien pensant, recrute, à défaut de l'ami unique, des liaisons régulières, alternatives et durables. Car le tout est de s'entendre. Ces messieurs n'admettent les frasques qu'à ia condition qu'elles soient absolument sans danger, j'entends qu'allas ne nuisent ni à leurs affaires, ni à leur réputation dans, le quartier- Quant il ces dames, résignées à la médiocrité du train-train quotidien, elles ont compris que les avantages extérieurs ne sont pas tout et que, souvent même. 11a se revoient bien trompeurs. En corollaire. l'expérience des quinquagénaires ne leur parait pas méprisable et elles j considèrent leur conversation comme- un .Or et solide profit Bref, elles con'1 naissent leur rôle qui est de tenir pério. diquement auprès des célibataires j recommandablcs l'emploi de la compagne attentive, empressée et sans I complications.

Ainsi, la place de Rennes, vouée à la galanterie, ne saurait êtro exactement considérée comme un endroit de débauche. à â Montparnasse, les dames d'inconduite y tien, nent leurs assises sous l'aspect d'un commerce à la lettre régulier. Par contre. la moindre idée inédite est tenue 1 pour subversive.

On voit que les points de we diffèrent Jusqu'à se trouver opposés. La place de Rennes sur ta frontière de Montparnasse, presque = enclavée dans Montparnasse s'oppose â lui. C y a cloison étanche. L'oisiveté et ses petits piaistrs le verre de üne, Je domino, le whist et a occasion Angèle, Blanche ou Germalne résistent A ('envahissement des mœurc nouvelles.

Certaines barrières sont laCrftnçfrîs¡ sables. {A suivre.)

Louis Léon-Maktin.

LE POSTAGE MARITIME Le ministre des P-'l',T. fait connal- tre nie les paquebots poste (Ii3 Mes?£g£rl£â maritimes desservant la ligne de Marsetl'e à Madagascar et il la Réunion, partiront de? le 4 janvier pror-haid. i3fl le te jeudi à midi tous de-) au lieu du mercredi à i& heures-

Paris va forer à Villemomble un puits artésien de 800 mètres Le conaei-1 munloipal a, on le sait, sur la proposition de M. Beautl, voté un crédit de 1,700,000 franca en vue de dons la commune de Villetout à côté de l'aqueduc de La Dhiiis, d'un forage destiné àter le débit de cette d&rnlère dérivation. Le conafiilïcr de Saint- Vincent -de-Paul est en effet convaincu qu'il existe dans le âous-sol de la banlieue nord-est dç Paris une importante nappe d'eau ala- mentèe. par un fleuve souterrain, dans laquelle on pourrait trouver d'abtmdantea re»Kùurcs5 en, vue de l'approvi- si dt Va Capitale en eau potablc. M. Beaud a estime que l'opération donnera les résultats envisagés. Il base pour cela sur le travail analogue qui a été effectué à Aitlnay-soua-Bolg, pour compléter I*ï b*«>itis d'allirtenta- lion en eau potable de cette partie du la la préfecture de la Sein-e on donne sur le forage qai va être réal^Ë les Les coan,3.issance« qiie l'on possède sur La topographie goutetrain-e des' sables ftlbi*ûi; permutent de panser que l'on atteindra les nappes aquifères de CBte formation une profondeur moyenne approximative de 800 laètres. j A cette profondeur, ia température cûûy;enn<! de t'eau doit être un peu; supérieure iL 3{) degrés.

Cette température »era abaissée par ûiolaryrfc avec les eaux d'autres prove- na-tk-ces, notamment c«il«9 pouvant être tirées de nappeg à t«mp«r«.tvK plus La groase épaisseur des sédiments compacta à traverser (plus de 750 mè- tresy et les mesures prises par les fier- vicae techniques, qui ont prévu notam- ment la poae d'un double tubage tueft- dré dans la tête de la craie aénoblenne mettent pratiquement ces 4)aux iL t'abri des causes extérieures de contamina-* tion.

Ajoutons Que la débit minimum garanti par l'entreprise chargée de l'exécution de l'ouvrage est de 2.000 mè- très cub*8 par vingt-quatre heurea. Il: est vraisrmblBhle tontefoia q.uo le forage tournira au moins 5.000 mètres cubes par jour. Cette quantité aeta-t-eile sufÛÉànté pour faire le plein de l'aqueduc de la Dhui. ?

Cela dépendra, exp]ique-t-onh du débit maximum qu'est susceptible de porter la conduite placée cland la traversée de la région pari-.sienne et qui n'a pu être encore évalué du fait du faille ré- j sécheresse de l'année 1938. le nouveau président de la F.I.DAC. reçu par les anciens combattants français

Le ministre rfej Pensions tkttiitûit à cette manifestation

La Confédération, nationale des hq- ciens combattant^ a re-çu hier boit, dans locaux do la rue des Mathu- riTïs, M. Cadère, nouveau président de la Fédération des anciens combattants. L*s représentants de* légat iona j a]lïéea avalent été Invités à cette réu-| aion guaai familiale, ainsi que MM. Kerkhols, président de la. :section de président de ta Fédération des combat- tants belges; Dunnlng, commandeur; de J'ATaerican Legion en France: Ha-' mld Smith, du poste numéro 1 de 1'American L*jlon les colonçls Fred Abbott et Sbérlff, de la British Légion MU. Fletro Merllnc, présidant de la. sec- tion de France de l'Association nationale des mtitiit3 italiens Fr&ngialli, des mutllêa italiens Huftvgvl, président da l'arn*é« française Oindra, prés[- dent des volontaire et, bit. entendu, les représentants de plusieurs associa tfona française d'an- j M. Du. ministre des Pensions, j avait bien voulu venir présider Cette fête d'anciens combattante. Le non- v*au président de la F. I. D. A. C., qui est mjnistre plénipotentiaire de la Rou- manie en Pologne, fut présenté à l'a*- semblée par M. Rivoli et, secrétaire généreî de la Confédération nationale. M. Victor Cadère répondît à l'allocution du représentant des anciens combatLa F. L D. A c., dit-il, est une force morale. p coneidérable. Par ma voix, elle affirme son désir de paix, mais, dit M. Cadôre, avec force, dans le respect des traité.. Je eoilligna que la camaraderie et la solidarité qui unissent les anciens combattants de dix nations alliées sont a.ctivea et qu'elles ne se îaïaBeront entamer par aucune CoqsidéraUons» d'où qu'elle vienne. Le nouveau président fut vigoureusement applaudL

Le ministre des Pensions parlant ensuite, dit éloquemment les raisons qu'avaient de s'unir et de a'aimer. le8 anciens combattants des armées alliées et fit un brillant éloge du nouveau I président de la F. 1. D. A C., de la et et termina en citant des vers de Carmen Sylve qui fut poétesse en France et reine en son pays. de la caisse natioade d« retraites Conformément à l'article 26, paragraphe 5. de i& loi sur les assurances sociales et au décret du 2 décembre 1933, les conseils d'administration des caisses départe mentales et. des caisaes majorité Inscrits les la Caisse nationale des retraites- sort appelés il élire, le assurés et des employeurs au comité consultatif départemental de Îb caiseft nationale des retraites. En ce qui concerne les départe mont h j de la Seiiio de Selne-et-Olse, un arrêté du préfet de la Seine, en' date du XÎ décembre, a fixe comme suit la liste des tain-5 admis" à participer à cette élection, Ainsi que les effectifs retenus pour la détermination du nom-; | &re de voix attribué àchacune d'elles Caisse interdéparte-

mentale de Seine et Seine-et-Oise 7S8.43S assurés Société générale du

crédit industriel et

j commercial 1,847 Caisse primaire de

l'Association amicale

de secours mutuels

[ du peraortnç! des cta-

bUgaemente Schneider

et Cle 330 | Caisse primaire du

j notariat de parla, 919 Toute réclamation concernant la liste des caisses éîectrlceH et leurs effectifs j de base devra parvenir avant le 17 déi cambre au service départemental on interdépartemental des assurances euciales (contentieux).

Au comité inpéneur d'économie* comité supérieur r d 'é co n omie dans ses derolèrea réunion», sous la !>sam*n allouéas auw log-ônieiirs des différents departflmente ministériels et n rechertation actuollcrr.ant en «4guem/. Il Continuera l'étude de cette question au cours de ses séances ultërieu-

Un faux monnayeur septuagénaire derani le jury de Seine et -Oise! Joseph Lozanp, accusé. de fabrication et d'émission dé fau&se monnaie, qui comparaissait bi&r devant les aaeïata de Beiïi'e-et-OiSfl, n'«st plï*» ^u'unfi j épave. Il a Boixaafe-qutaw ans, ̃étant né en ïtalte en Il sourd et borm*. sonnels étant trop âllrtés, il a dû quitter la box des accusés pour venir se placer plus pris du président De-, dent réduit presque à un monologve. On n'entend que ces quelques mots

Je n'en :lais rien. Je, na m« rapII était beaucoup plus Joquac*. ptt- raît-Uj lorsque, durant cette »olr*e du mois de mai dernier, il écoulait de débits û'Argenteul!. Ce jour-là, en Il de deux dira l'un d'eux, « la j foire D. Mais tourna pour 3ui et se termina, dans la ehambr* de sûreté du commissariat.

En effet. l'un de ses compagnons. M. Hemmer, qui aperçu dans la poche du septuagénaire une somme a&ges importante^ le que&tionna. Comme Lozano lui répJi(nia-lt qu'il venait de fairs un héritago, M. Hètamer, te&pLes questions 9e SUlveot' rapidement. IiO23.na prétend' que il-- rencontrés près d* la gare d'ABniyrça, IllJ avaient vendu quinze fausnoa pièce* de 10 francs contre la remise de la somme de 30 franc

Waîa la perquisition le le iendemain de Varreatttton, dan* ta ̃ ehaaacontenant des parcelles da métal blanc. du charbon de bots et, autour d'un Je n'ai jamais, fabriqué de pièces, a'ôorfe-t-il. Pourquoi ? D'ailleurs. je ne mie pas les faire, Ici, on évoque la ftgure d'un soudure qu'il trajisEOrmaJt en bâton- -Mais mort depuis deux ans s écriera. le ministère public, M. Cérède. Ces débrÏÈ ne viennent pu du lui.

Je ne peux pas Savoir

Et, de fait, on ne saura rien.

ilfciaratlon du ptopriôlairs de l'accusé, IL Verthe. qui. jovialement, dira, a la barra vieux renard-là ne vaut pas plus cher que lui. demande le président.

SI. des puces (UHaHté.)

Et il ajoute

Four mon compta. U n'a pas de me refiler de miuueJeea pièces car depuis des années il ne payait plus aon loyer. Après l'audition du commlasaire de potice, M. Suaenet. et celle de disfers débitants, le président avise les jurés que, bien la peine des tra- vaux tùttea à perpétuité, on ne peut songer à appliquer Losano cette wn- tence «i raison de son grand e. pour nue peine farme, maie mitigée toutefois par des circonstance*; atténuantes- C'est «asiate au tour de M1 Freytï de solliciter pour son client Après une Joseph Lo£a.no est condamné à cinq ans de réclusion. Les juré6, en Cûnsidération j du grand age du condamné, ont signé, la suite des débats, un recours en grâce, Auguste Dupau, Le procès Raymond Patenôtre contre Travellers Bank Elier est venue devant le trtbunid de la demande en paiement de: M. Raymond Patesdtre. tt sur laquelle la premiënt chambre de la cour d'ap- pal avait déjà donné son avis «n .main* tenant au profit de M. Patenôtre les oppositions précédemment aiitorieées par la président du trHjunal civil La Travail ers Bank a soulevé divers moyens de procédure tendant à faire surseoir au jugement de l'affaire, c'astrànlire à en retarder l'issue. Le tribunal ayant .pnr un jugement rejeté les moyene opposés par la Tra- vellers Bank, cette dernière déclaré faire défaut, et c'est ànne. ces conditions que; statuant quant au fond, le tribunal a condamné par., défaut la. Travellcrs Bank au paiement des aoapmts qui lui étalent réclamées.

M. Laurent Eyn&c offre vu déjeuner en l'honneur de la délégation polonaise ̃ M' Laurent Bynùt, rokiistre chi Commarre, a offert hier uni déjeuner en l'honneur de la délégation pOlon*lse chargée des négoctationa commerciales franco polooalsîs actuellGment en cours.

L'ambassadeur d« Polngn* à paria, Ste^raki.Kôïiopski, Staude, Zoltowaki, Ratwsfei, de la délégation polonaise.

Dé son côte, M, Laurent Eynac était des meîrtbrea de la délégation française et des principaux collabora- teurs de son cabinet,

La Ugioa dTîonmrar

d« matil^t de guerre à Le /wtfiw! officiai publie co matin uqû liste de promotions et deUoits flâna l'ordre naticma! de la Légion d'hOnneur en faveur de mutilés de gn«rre de 100

Cette liste comprend 4 commaadeuns l'ex-tieutenaht Faracbette, du R I.; rex-soua-lieuttnant Duprê, du 2V R, I.; l'ex-adj'jdant ©isard, du B. C A-; l'«at -lieutenant Ponsmrd dit S31 d'artilterier 56 oïSclerB, 439 chevaU«rs.

Le comité de défense

de l'enseignement des beaux,arts Le comité national de' a««in* de^nement Bnpérteyr de.et ri! uni hier A son siège saçis-ï. patali de un wîdor préaidenL, bflftTji-artfl,

Aprèa fectiirc du rapport de M. Mordrçt, ïénftral, et de relui 1 de M. Bropsr. MM. LanJe Hourticq, des beaux-arUi P*ul Pferrln, député, secrétaire s^n^rai du troupe de l'art Uoaide l'art muaicfl!, et aa-fignûl, si?nit«ut, prirent tour ft tour le parole pour rappeler Qnttwprl«â et tracer son action future r«7*ur Au .développement L'orfsnuation

des < Journées areaehonnahes Le cûmiîé d'orffùbiaatfon des journées ]ses des 12, 13 et 14 Janvier prochain arrivé hier à Paris. Latégati&n, composée de MM. Maroel OounouUhou, maire d'Arcachon du docteur Lttbesque, président de l'Association ostréicole du bassin d'Arcachon et de ta f-locfét^1 du docteur Louis Bèzlan. conseil i&r d'arrondissement de M. Daniel Valleau, président du eyndlcat d'initintive ri« M, G&orde la Compagnie d'Orléans, été reçue par M. Didéputé de la Gironde, qui Il a de la participation de M, Frût. ministre do la :Marine marà Tinaugit ration de ceite ma.nldu vin. dâ

M. Paganon a présidé le banquet des maires de France

Une Miemb|â« j[in#ï-»]*, pr*Hdée par tarent de nombreux AèltigMi* du orgachambre* d'Industries, des atstiOTltt tû&rniaJea* climatique et touristlquea. s'est tenue hier il. l'hôte] Continental, aûuS la présidence de M. Hous-ancré taire dTCtat à la présidence iqaire de Vichy Çazagnaire, matre de Cannes Hiriffoyen, maire de Biarritz; Melllon, maire de Cautère ta de Lapé' rouse (la Eini*) Bouyonnet liront- Romeu).

M, Léger a exposé dans ses grandes ÏïBuds te programme et d'ÊmbellLâsemcnt» dw aUiticms ther- fa création d'égouts, l'adduction d'eau potable. Après quoi il a demandé qu'une propagande méMliuiiquc et effl- cane Boit faite tant en France qu'à l'étranger, pour f^ïre connaître les qualité. des eaux tiM>rmale« que noua' oiïrons à no»

Apres que doe- M«iilon et iA. Bouyoanet eu.rent donné lecture du rapport moral et du rapport financier de l'Association, l'assemblée -tend. un expœà de M. (Dax) sur ment des taxes perçues sur las billets de chemin de ter et apé- ciilônsant sur. les places de luxe un de M. Lindon (Etretatl sur las modalités de perception de la taxe de séjour dans les stations. Ces rap* ports ont été approuvéa par l'&saem- bli:e, qui Il émis un autre voeu demaa- du tourianae, aous la réserve que les place dans son conseil tion.

la préaide ace de M. PaganoUi miatatre de s Travaux publics, entouré de MM. L&moureux, ministre du Travail; MarcombGS, aous-eecrétaire d'Etat; Fi- quet» président du -Il municipal; Fernaild David, Antoine MillièsLacroix sénateurs; Henri Garât, Henri Clerc et Appel 1, députés; Chair, prési- ) dent du Touring Club de France d'Etat, «t Morel, président de l'ASso- j dation nationale des maires de France, D«$ allocutions ont été prononcées par MM. Léger, Ftquet et Pa^anon, tourisme en France, Le ministre des Travaux publics a notamment exposé: clans des grandes lignes le programme dès le début de l'année prochaine en faveur due station h thermales, clima- tiques et touristiques francjaisGg, en collaboration avec noa compagnies de chemin de fer, les wagons-lits, les grandes ag-flnce& et les compagnies de navigation.

Un accident en gare de l'Est Une machine httit 1. pied heurte un eof>tu*i«nHc*

Un accident, qui fort beureusement n'a pas eu de gravea conséquences, S'ast produit hier matin en gate de :Le train accéléré 13ffl, qui part à 10 h. 10 de la vole 13, à destination de: Meaux, avalt à peine effectué mètres quand, sur un stjrnal d'un sous-chef de ff&re, tl dut ralentir et j du Pilotant une machine le rejoignait son dépôt en suivant la même vole. Un choc ae produisit, au cours duquel douze voyageurs fuient légèrement contusionnée. Il s'agit de MM. Marcel Ray, employé à j'Ëst, 44, avenue du Rond-Point, Villemomble G«ofgem Moula^uier, 8r allie des Espaliers, au Raincy Crer- main Crette, de Tiiorigny Reaé Caraud, 102, rue Blanche, IL Parie DaUaglio-EzIe 143h rue Brocca, à Paru; lette, $ Paris Gustave Che-Oîînel, 2, allée de l'Orne, à Bondy fîdmond Dupont «l, rue de Vaugirardt à Paris Mmes Aurousaeau, 10, avenue de la Porte-Montmartre, -il. Paris Kubuck, 10 bis, rue Alexandre, à Villft- j momble Drenati-Astié, 10, rat de Navarin- à parie.

Toutes ces après avoir le des soios à l'inArmerle de la gare purent rejotndre leurs domt- elles.

Une enquête a été aussitôt ouverte par le commissaire spécial de la gara et par le service administratif, afin leâ responsabilité

Une femme engageait au Crédit municipal les machines à écrire

qu'on lui livrait à condition Dactylo d* profession, mais escroc j par temps de crise, Marie DesjaxdJns, de Richelieu s'était fait livrer à condl- tien des machines écrire qu'elle avait ituosltôt engagée au Crédit Neid machines furent ainsi c laveea » pour un produit total de 2.000 france. Ses fournisseurs s'inquiétant de n'être pu réglés à l'échéance convenue, Marlu Desjarims leur prodigua les plus maenlflquea promesses, qu'elle ne tint d'ailleurs pas plus que ses premiers engagements. Laseé, de ces fournisseurs porta plainte au eoramiaaariat ViVîénne. Convoquée et confrontée avec le plaignant, la peu scrupuleuse dactylo ces. du mcnt-de-plété.

Inculpée d>scroquerie, Marie Desjaràïas a été expédiée au dépôt

LA TAXE DE STATIONNEMENT DES TAXIS-AUTOS

H. Ltvillfùn et un certain nombre de ses coUèguCB ont déposé au canaeil mufti cipal une proposttiOD tendant, en raison des circonstances économiques ftctueilea. à. réduire la taie de stationïiement perdue sur les taxis-autos parisiens de 14 francs à 10 francs par jour. Les auteurs de la proposition font valoir qu'actuellement les conducteurs de taxia, qui sont ni nombreux pour une clientèle si restreinte, doivent. pour arriver à s'assurer un salaire journalier non pas suffisant mais admlaflible soit 20 à 25 franc. en moyenne rester sur leur siège et rouler âana Paria quatorze et ueis» heurta durant

UNE REUNION DE CONTRIBUABLES A la veille du congrès n&ttoo&l des syndicats d* contribuables. la sj*îïdÈCft.t dea contrtbuebîes jurisLena donné hl«r-so4r, 7, ra* une réunien sous la présidence du colonel Bat- testt. Après que divers orateurs eurent exposé le!! desiderata des contribuables, l'assemblée vota un ordre du jour pto- testant contre toute auglatnt&tlon d'im- pôta,etprécïnî.aint un» politique d'économies de rt de reformée profondes

Création d'un square quai de la Gironde Le quartier du Ï^Et-de-Flandre était le aeul quartier de Paris qui ne comportât aucune promenai*. Cette lacune Va être eotnolâ*, M. Lhsnry vient. en effet, à la sutte d'un rapport (avorable de M. Loal^j Gella, de décider ia création d'un square quai de la Glronde. à r an.gl« de U rue de Cambrai. comme il est deàtiné mstx enfants, il sera bordé û'nue haie de troènes. On piirse pouvoir l'inaugurer au début du

LES VITRAUX DE FECAMP Dana l'affaire d«a vttraUjt t«b à l'élise abbatiale de Fécamp, M. juge d'Instruction, vient j d Jmculper M. Ren^ Marcys de recel, au prtjtidi-ce de l'Etat, à propos -iflfl morceaux de vitraux dérobés par lu1 A M. liiicien Demotte, ce qui lui avait déjà vs4u d'être inculpé de vol sur la plainte de Mme D^tmottc, M. Tlcraé Marque, en effet, est allé de 15OO0 francs. Mlle Huré ne voulut rien verser; elle eut quand même 1«& panneaux qu'elle restitua aux beauxarts maia cite fut alora dénoncée par M. René Marcyg.

Celui-ci avait également dénoncé M- Lucie a De motte comme ayant des vitraux provenant do la «ath«âral« de Cler mont- Ferrant!. Les panneau» suiaiti ont été montrés au maïtre-verri*r Godln, qut travailla .iL la réfection de cette église. et l'artiste déclaré ne prOvenaieut point de la cathédrale auvergnat.

IL Fougery rscueillard le. déclarations de M. ÏAfCten Demotte, retour d'Améritfii^.

L'INAUGURATION DE LA STATUE DE SIMON BOLIVAR

En raison de la température, la cérémonie d'inauguration de la statue de Simon Bolivar qui devait avoir lieu dimanche prochain à 10 h. 30, place de la Porte-de-Champsrret, aura lieu dans îea salons de l'H&tel de Ville, le même jour, à la même heure.

AU CONSEIL GENERAL Après un dftbat qui « par moments ét4 ou, ïo floneeil bôîiét»! a adopté ta «BjcftaJetis d'un rapport da M. Anne. -lattl au nudutton ou & la de cwtaiirts lignas d'autotus. L'a4inJ'rïl*t ration », d"(L-iatre mrt, reçu misalcm de protiàxr taj.rm. eane diatltïcttoù de dates de créa- tion, H «agit de remédier aa déficit des M. FlanceLtÉ. ittpporlfiw général du serait à la œr^ation mime éventuelle de CttlbtfHa additiciiiKto pour cambfe oe cléfl- at. Il h ajout* Qu'il avait toutfl*oïs dem*ihifc au coniKé «wordînatlon l'audition intérweéï 6rftPt de touche:¡ aux Uçhoû & awpprfniBr.

tée de M, Fianeetle, approuvé le projet d'^q^iiRgeineirt de plate-form» c«ntra.i*s dana lfl« autobiig. Le but poursuivi, a-t-il Èûtzltgné. PBt 6e tra-napiirter le p!im çr*nd po-ttite, A cet eftet, quatre ai-èges nataMea de deux persoï) ma pou iront, certain** hfiWôd. et- sLippriméo. permettant doit mettra un pJua gr-d de plaoes lu diAposltion dws voj"affotir3. Les flnaai- le rapportgiîT, y de» non On «ITat de oôtLe Ttifesuire un su,ppltinent de recet*tee de 3 mllHOTia par au.

Ut tariftCAtton du Métro. M. a«Hrl r*ffirae à adopter *n vtie a* r*ïp]ôi(Atl&o des (rpoia prolflugemente du M-*tro wi ban- le-, ri la la faibl* tf>ncueur raun toiïwU et d ép&rt m«ntfrl de trâïtsrHH-ta oc à l' adoption d'en. tard UJliqiK.

A LA COUR_DE CASSATION (Vaucll»*}. corufltltu* pour défe»*»» de cette et « TttytêtmTLlê par son actl( prèwd*iit, le baron Le Roy de Botseavunarié. a dû entrepï'eadw, ea de sauvegunl«r l*s droits de ses membre^, tant au tlviï ^u'au qui ont rfhambnw Jie la cour â« cs^s&UOn autant de ç-ictol r« jtt-dici^ir à i i'&vasxage du Cette lutte de ïirfcs ds dix ftnn^o Tient d'avof* sa ̃WftClît*i*tl. <K1!iK«t# aa*j ffl rtcflïït errtt de la Mambre d«g rnnûiu Bur le ooietto] dt 4* worwtétairw civil d'Or&nfc*. le le 3i mer? 1530, juâUce L« droit à rapp*LlœtJon En exécution de la lai du 6 mai lflitf, l«a propriétaires du cru fmneux de C!hât**uTiftuf Daudet dans ira cliïrsuuit conte universellement connu ftreot dresaer un plaû très détaillé 3éU"d'oriplna, sui-rWlt l« iM&e« locaux, taiun&irf-du-Fap* dut citer deTarrt Jfi tribucivil clvi! d'Orange A\.v*ra ptoprlétair» d« cinq communes lntér*s»éee. pour voir dire Iti vftw provenant de terrea d"THM compo- sition g*ologiiî'Jé de eépflffei non aditmlJ à l'arrosa** et titrant au moiitti 13"Br

n'autres intervinrent pli» tarit parer de 3t tHbun&l !'i««>j»3 dit confirma ^a. décision.

vrérùt par le minLstftrs de M< H*rBftHt. B mai 1&19 par çôK« du Ji*ill« Ïft37>, ainsi que de* atttatas U34 et du ;c<lti

Cntifùrméraent .iu rapport du expert?, et on aêelaj-*nt que îe de Pierre JoTmiMEt,

Inquiétante disparition

d'une fillette de quinze aux Ls police tant il Par. que dans la région de Salnt-Germaîn- une fillette de quinze Madeleine Gouin, dont le père, employé aux chemins de fer de l'Etat, hablte à Adhères, 35, avenue de ÇonfiaiiB, Cett* enfant qui, Il y a quelque temps, avatt déjà fait une fugue, était revenue après qu arante^huit heures d'abaeiice. Inquiétante, ear, cette fois, ]a jeune Madeleine a disparu depuis vendredi dernier. Ce jour-là, elle avait pris comme d'habitude le train de 8 h, 9 à destination de Paris où elle prétendait être vendeuse d'abord dans un grand magasin du boulevard Haussmann, puis au nB 97 de l'avenue de l'Opéra. A cette de mière adresse, an ignore complètement la jeune Couin. On craint qu'elle n'ait été victime d'odleus trafi- quants ear, de forto corpulence et me. surant 1 m- 65 de taille, elle parait beaucoup plus â?ée quelle ne l'est en réallté.

La Jeune fille a les cheveux longs, blondis et frisés, les yeux gris; elle était vêtue, le jour de sa disparition. d'un manteau vert avec col de fourrure noire et chaussée de souliers noirs à barrettes elle avait un sac à main de velours avec fermoir de nickel.

AU CONSEIL D'ÉTAT Le bon coin du secrétariat administratif de la Drt&idenct da conseil municipal de Pari». Un arrtté du préfet de la Saine, date du 13 février 1931, & affecte M. Lafiée, ftûus-cîieî du bureau & la direction, du; contrôle central, au secrétariat, -du cem*eelt municipal et du nonwïl générai pour itilnlitratiî à ta présidence du aiuiiicipal. Cette noailimUnn était cùntih Lr« au pi-ganique du 10 octobre Le consftil d'état vient l'ar- pfttfi trr%uUer crititiué par M. Noror *ré- teurs de le préfecture de la 3*ine. Il a annulé en m&ro« tempa un at**t* préfectoral du S mai fixant une éclielL» de traitementB en faveur de M. Loliée, BorerBemcnt ù l'Etat d'Intérêts perçus «a ps, UU ittnlMt» ftur der, laflemnltés donnent lieu à des nombreuses çonsT esta ti uns, surtout lorsque le ainlstré constitué débiteur a reçu dm avance non seulement pour bp>e domœag&s pirpour des dommages dont U if'eat rendu ceasionnafps.

Un arrN du u conseil d'Etat rendu sur un ïwurvofc lormé par M. Charles EgrCU en f«rtu de Ynrticïs 47 de la. loi du avrft 119 Il conÉtiiuent un compJément de l'inflenv n(16 de dammaçes. Comme tels, tla sont de de révision s'il y a eu erreur datia leur liquidation et ce la bortiie ici du sinistré qui n'eat pas admis- en pareil caa, iL m retrancher derrière les articles et E5f] du code civtl relatifs à l'appropriation des fruits par le possesBref, Il devra être procédé à un nouvel examen au compte de M. ïïgret, constitua débiteur d'une somme Cïcédant montant réai de sa dette.

Les enlisements sur les route* de monLe. 6 at;ût tin autocar ayant dû nées, tomba âan.s un champ à la Hutte de l'affaissement du bu coté de la. route. La de de l'autocar, estimant que l'ao cident était dO à un défaut d'entretien d-e Ift voie publique, demanda au conseil de préfecture une lndemnité qui lui fut ra-

A son toat-, le c.oaselï d'Etat, sur le rapport de M. Dayras, maître de, requAtes et conformément aux conclusions du commisdu gouvernement ilousselier, a rt?J&té te du propriétaire de l'autocar ettendu que jsen chauffeur ayant aperçu 1 automobile dans une ligne droite pouvait garar cinquante mètres a^snt I'eo4roft où s'est produit t'acctdent dnns une section plus large du chemin, Il s flono commis une Imprudence «n engageanî un véhicule îtmrd et large sut I'aT«te eiierleur* de la banquette de la rouW. Dana ces conditions, l'accident ne pouvait dtre imputé il Un defrmt d'entretien du cfceîïiin. FETES ET REUNIONS La Société centrait 3ps arçhltectEs a prooéd* ans. $l*ctions générales pour renoiiTie.UflffB&iit du bureau, dea Ce et du eonartî d'adiainiair-ation pour L'exercice 19S*. Les iltjcti-ûaa pour le bureau ont donné suivants préaidftnt, X, Touraalre, membre de l'Instltilt ̃rice- non résidant. A. Louve* (dft VeranJiîteaî p$n«rft3, IL E. MaSB^ot tréMri«T. M. U VareolHflr.

Ta Bed.I*n du cdntta«rcç du Conœiî de de Paria a célébré le 25» ande ag. fondation au coura do ;Ion banquet annuei qui réunissait srae oiftmbrw, patrons M. J&ôquèg qyl- à Je *ectlpn oc prftce ^uxqoa!!«a cette dernière jouit d'une: autorite Incanleat^ff et rend mie justice particonciliante,

A do de sa fotldatlqa, V Entente dev ttasodationt d'oneieno combattant* dit XVI* arrandlssemtmt «. donne, au TtocsuMpo. une rc* très rftuselç H on fut de même pour la soirée Au Ccmiti du commerce, de l'totitHBtrte et de l'açricuiturp, gave la pr6?idEnc« de M. LaijIb Proust, député. ot£t eu M*U tanf ér^ ncfts, ne de Tcanbouctt™, aur notre armée coloniale et concours ni/eUe nous apporte »; l'autre &q M, Llaiidol* sur on sujet fait nouveau, Sa Bon unique ». qui est appelée & rendra de tria grands aux commerçants et aux in^ustrlfrls.

Victor-Emmanuel -TII ̃* eu Mi StETT 4e Joyvenei, eënateur. ancien de France. Après lecîare -et du de la ^n^ra'S. an proc&la. au rcnouvelleine»! partfp1 du comité. Fuis M. Chatnipnani f.t un d1 et de propasanda.


Une vente de charité à la mairie du Xa Une vente de cllarito Org^aiaée par thropique et l'Œuvre des tout petite du ati ondi*ks&nif nt, de s'ouvrir à la mairie au faubourg Saint-Martin. A l'occasion de cette mafrifestafion' de- Mme Jean Chiappe. dont on connaît l'inlassable dévouement aux œuvres de charfté, avait tenu à assister à cette petite fête, ainsi que MM. Fabry et Sus- pet, députés du X* Verrier. maïi:e Au Xe. La reine de Parta, Mlle Henriette Pointai Mlle Lucienne Portzeiy reine leu-r concours à Cette charmante fête de 'Cha- rité, dont le^ bénéfices seront versés aux de bienfaisance de Vairondiasement.

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A propos

des objecteurs de conscience Une fé\ini6n du Cercle d'études poliijqyes de l'Alliance démocratlque eu les instituteura», au ̃cours da Laquellg M. Mafcet Héraudr député, ancien miUobjÊCtion de CànBcitâce t'est qu'une des formes de l'anarchie. Elle pose, en principe, qu-a l'individu peut refuser, d'obéir ;aux lois quand il les dé»appf6Uve, et le raisonne m-ent qu'elle aPplique au service militaire quératt tout aussi bien à n'importe qu'elle., autre obligattaii sociale. ffénérfll doit céder le pas au sentiment particulier.L'Wéfl républicaine du devoir national disparait. Du tnometlt que le tttoyan A'&ttQg* îe dï-oit1 de çhofeïr parmi les fois œîïes riu'il accepte et celles qu'il refusé, il Ji'y a plus de pouvoir souverain, il n'y a ptue de société.

LES NOUVELLES RUES DE PARIS Les noms suivants Sont attribués à de ̃nom-BjIes rues.; nûi+TOll^ projetée sur T ̃emplacement du 4 Tl&pe du rmctenr-N'aî'arre a Yflspace prani^ iya à ]'inu«S«1tî*n des ri*a NatlorSTIT^J. du vote npu^le au le prolyneedient de rue SaimFarseau (KX«>.

Les « Grande* voyajeuseç françaitei » au comité France-Amérique

que du comité va donner une série de ré-uniona consacrées aux Grandes voyageuses franÎClleg aerosnt Inaugurées 1R semaine prochaine, bous la présidence de Mm« MarceUe' Tlaayre, par la camtesee Jean de Pange, qui pariera de son ydyage aux Etats-Unis et il ïorktown, et par Ja comtesse Madeleine de Bryas, d'un voyage en Algérle et en Tunisie. Les consommateurs d'eloctritïté et de gaz demandent

des améliorations de tarifications -L'Union des consoiamatéiirs ̃ fle gaz eut d'éiftctrteitû âe Franc-e. dahsi une lettre au préfet de la Seloe» a demandé que l'arfmlriiïtraîiçn. les f^gt«B«trrs et 1. Mire, àes distributions df électricité at de g-*z da la ̃ région pa.rlgiêiwiê' radoûWept tè'fiftVirta pour ftuo les' ï»tr moyenB d? l'ôtterpîe électrique et du gaz baJasent, notaihmeïit en provoquant, avec \in aen3 t;oirimerdal l'eileasion de la vente de ^lâaiEïita de ïjien-fttvç doits toua lea de iews

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Les Parisiens sont mis en garde contre la fièvre typhoïde La PrétecturA de Police cpïtimuïiique \n Bute suivante

Le nombre des cas de Aôvre depuis le 1" dé^embre dt-paBsant la etuff« il il est expressément recommandé la la population de n'utiliser, pour le lavage et là préparation, des aliments, ainsi que pour Le lavage des ustensiles et récipients de cuisine,' que de l'eau provenant exclusivement ,des conduite^ Té̃àetjfèia à l^eau. d'alimentation. Les eaux de toutes autres proyeaabces ^oï~vent Être rigaureutiBinenÉ1 exclues de tous usager alimentaires..

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ManifËjtatiou interdite place de l'Opéra Des groupements syndicaux commu- nistes invitent les et les ouvriers des services publics à partic:per à une manif estât îcn aujourd'hui, à 18 h. 30, place de l'Opéra.

Le préfet de police fait connaître que cette manifestation est formellement interdite Comme l'ont toujours été les cortèges ou démonstrations de Cette nature sur la voie publique.

Ljeg mesures nécessaires seront prlses en vue d'apurer le maintien de l'ordre et. d'appréhender tous ceux qui provoqueraient au participeraient à un attroupement

POUR LA MAISON DE SANTE DES .GARDIENS DE LA PAIX Le Syndicat générai du personnel de la préfecture de'police organise pour samedi, 16 décembre. à 20 h. 30. salle Wâgram, iin gr^nd gale de bientalaanoe au profit de la maison de ganté dea gardiens de la paix et de leur caisse de aecour3f sous la présidence d'honneur de M. Camille Chautemps, président du et et la présidence effective du préfet de police et de Mme Jean ChJappe.

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Les comités de fin d'année la Comédie Française M. Sacqué sera nommé »□ ci é taire Rarement. en cette Maison de Molière où, dès les premîery jours de décembre, on te en vue des réunions extraordinaliva du çotnité, ia « fin d'année aura provoqué moins de curiosité que cette îila, C'est que la ̃situation, a priori, parait nette et qu'elle ne semble point devoir subir de changement. Le comité, en effet, après avoir Téglé le départ de Mlîç Edwige Feuillère pensionnaire trop vagabonde et pris connaissance de *a lettre de démission de M. Gra.nvalT souhaitera, ains 1 doute que ce brillant sociétaire revienne «ni* sa décieion il a d'ailleurs six mois pour réfléchir j et procédera à la distribution de la part enrtSère de Mme Cécile Sorei.

Tenant la promesse formelle qu'il flx Vaa dernier H. M, Bacqué, 1e gotnttê nommera sociétaire à trois douzièmes l'excellent artiste, puis donnera, ainsi qu'il le doit Un douzième à M. Veber et à Mlle Nizan. Ce ne aéra là. d'ailleurs, qu'un mince en couragement, personne n'ignorant les services nombreux que rendent à la ComédiB-BVançaîa« ces deux jeunes et sympathiques sociétaires.

Les sept douzièmes qui resteront serviront à d'autres augmentations et le choix des sociétaires les plus mèritanta ne sera peut-être 'psa 'alors fies plus façîles. Tous ont, en effet, des méritas ne peut donner que ce qu'elle a, Il est certain que queloju-ea se m-acif esteront. Maïs, en ces Il la mauvaise humeur ne saurait durer en quelques jours l'apaisement renaît uhacun n'ayant qu'un but servir avant tout le Théâtre français, pltcs grand quel Jamale après la magnifique réalisation MAM 2ELLE M.XLAKOFF A « LA RENAISSANCE n Mam'Eelle MatakafJ. Sous ce titre défini- pièce nouvtjUe de M. DuJtsiil. ̃ intitulée tout d'abord le Bureau da tabac de la calanelîe, puis MalabafJ. Malcifco// n'est pas une pièce militaii-e, pas plus une pièce historique. Simplement une comédie dont le personnage principal est un type de Jeune filïe moderne, qut pas moins hormela, C'est aire que, «ri tint une trottoir dèrorrnaU acquise au théâtre de la flue M. Rûnter Gia^obbî en a pris 3a VaiaHoî! esttieltement une centre saine, que: toutes le, familles peuvent écouter.

M. Félix FLust»r Glarabbt 1. la bureau de Ubac a Paria, genre « Civette lUte petite villa d'Asntkrea et un salon luxueux dam un notel particulier du bou- l&v&rd Su^Viet.

Lfia interprète* seront rtom&reuï, H n'eat Txrnr en ju?er qnp d'en parcourir la I5ste, ob l'on relève les nattas de Mm«s Frd.n?e Ketty PLeimn. Nfcole Yoghy, LMy Perret, Violette Leroy, fire LyM. Lya Fer«etir gabat *tc. de" lutte France 1* âvwi et des plus où. AITTOUTID'HTn. Tïi. de Dtx-Franca CeK-QK'i-de-Pa'ris». 9 h.. ÉrénArai* de On e'eri une trawelis, revue de MM. Po-

thicr -et JeaJi V^riiey. -RiMia.is&aniji?, S h.r prenw^re de en quatre et olaq tableaux de la où Mile Ktumiy .Heldy -EerB ùft rentrée. le d ï« roac a&ra dansée par MMe O&nii.Lle B4>s et M. Serge Lifar. -0- La donnera le 19, en soirée, & Virv*nnes, au des œutxee de la munietpa.il té, une répétion officielle d'On iw biïtjintt t»a* Qtec ï'atnûw et ie,Coçj*r a ses raisons, La Inxitlon £st oiiv*rtt pour la matlSanleii 39, ft 1 h. 3&, au bén^flee de I'Ahoemttoit dos artistea d ramai i dues. Au programme figureront Les o/Jaires sont Jea plus en renom des spectaotes oe Pari.9. RENAISSANCE.. CE SOIR, PREMIERE

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et 24 artistes

Décors de M. R. Carrère UN SEUL ENTR'ACTE

C'EST UNE COMEDIE TRES GAIE L* locattan pst cqveft^ peur il;

REVEILLON

SAWKDl 16, FBK3IIKRI: Psétçrs qui obintera samedi soir la rMe de Jlirfjeau débuteront [«s r&lM reepee* tiis de Suïa,aiïe ei di4rui>in. Les autres interprétas da de Mozart seront iVtiL Jean Vi&uillle. vieille; et

venûredi 22 courant en soirée.

-o- CHATELET. Aujourd'hui. à2K 30, matinée d^ Rf>*e Frcwoe, l'opérette grand apeotaole av. Roger a. l'Opéra-Comkiiiw. Arnaud/ r>îini_lE Brégia, Monique Bert et le grand comique Baçh.

Matinées de;¡¡ fÇtca de NoSi diftiaînihe 24, lundi mardi 2«h jeudi 28 sanwiU SO et dimtuich« 31 <tec.f à 2 se.

Matlrn*e3 den fêtes du Jour de l'an totndi 1er. mardi 2, jeudi 4 janv,, A îi. sa aamedï 6 et dimanche 7 janv., à 1 h. 50. -o- PAJ^AIS-ROYAL Le service de

ipvlx des places, de 4 fr. à 32 *r.>. av, André B&iif^, Mt'le Lucienne Tragin e-1 -o- ATHENEE. La location eat ouvert*, Prière pour le-3 onmitîa, prâ{"JiaIn matin*

Cetln, pianiste. Ce récital sera donné au profit de rCËu-vK* â&e vieux muaLcleu* Ul DU SFB^TA[(• ca-oip<xs!t«ur MLobel 'DU chanter» dispensaire. Le BpMtacie *ei» prâsent-é par Joë Bridge-

'0- BON PETIT DIABLE <IO, av. d'ïétia, théâtre gai des enfanta). Nouveau specs flajj«é fe million t cin^. bal, et Joft Bridge. Mat. jeudis et dimanches. Loc. Passy et Op. 97-93. HENRY GARAT AUX VARIÉTÉS Ier. FBJNCK de» ryprêtif.n talion» de l'vpôratt^ Hacha ftiriTBÏ, Aib«t W1TA-K.Hï:TZ et W. Eichard HEYMANN

CONFÉRENCES

-o- TH. UES AMBASSADEURS. Auji>\n^i"hiil, âih, 30, sonféretwe de M. Louis M>irln Avant Jea ou après ?

-o- C'est vendradi, à lUniversitù des ta vifîM op-^ra-ocmiiiiue de nos péam Ajurfra ̃A. H&nry Malherbe, le public aura la joie tiolta qui en. firent l'inépuisable auccêB. L'admirable Lucien FuE&re. de l'Opérade de leur verve §tottrdis&&nw. vendredi 15, la la salle Gay-

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H SALLE PLEYEL Ht VENDREDI 15 déc. GALA UNIQUE art béiréfloe du Dis jicn sairï Maurice-Chevalier arec le ct?BC0»rfi et et assuré de- HiHitt JUABÏ SIAKÏÏIJKT

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en t!ibl«Aui: d* Sacha. Guitry. Aujourd'hui matinée et Boire*.

GABAROCHE ̃) triomphe

̃ la là plTlH Eltacutt-# lï« l'Âpa^UK [Marianne OSWALD (FOLIES WAGRAM I FtLut, de 5 1 J8 fN Promenoir 3 fr. 0 -6^ Mue Maiianne Oiiwajd, vedette du programmée actuel.^«ûterar du l5 au 31 décembre, unveau répertoire, eii tête d'un prograianie entièrement renoua

-o, Xoaa les Jours mati2.50 «t 3.50 soirée fr. et 7 fr. -o- PERCHOIR. A 21 h., X Butta. V. r&Mî«r. La Hetiw de P, Bernard ex R. Eu-' zelln. PaiH. W rr., 16 fr., 2D Ir. On loua p, Aujourd'hui, à h. 45, wmeert Twuclie.

CINEMAS

DERNIER JOUR

KNOCK

AVKC

LOUIS JOUVET

CINEMA DES CHAMPS-ELYSEES

Samedi 16 décembre REUNI IN AVEC

John BARRYMORE

Diana a WYNYARD

Frank MORGAU

<FII,M METttO.G0I.I*WïN'MATER} AU

CINÉMA DES

CHAMPS ÉLYSËES XI», CHAMPS -EtïSEES, 11B

La location est ouverte

Le congres d'Action française de *'£3t ouvert hier rnatin, salle des Sociétés savantes, sous la présidence de r&miraJ Schwer&r, président dû lu Lt-gue d'A. ï\, assiaté du membrçs du comité de «jUireeticm.

Dans l'exposé qu'il fit de la gittiation générale et de 16 situation de Ligue la prtmitre est 1. eecon-de, par contre, est du plus encourage&n- si .,en rapporte au nombre cL'adhéaktris recueillies au coups d* ïds dernîera mois.

Pendant la séance de l1aprê?-m_iîilf gué. lut Jfl compta rendu de l'Action française dont la prospérité s'affirme, en dépit de la Crise et qui attelndra' bientôt le tirage record de Ift28. M, Charles Maurras, directeur de V Action française, parla ensuite de la situation de- la politique française

FAITS DIVERS Un dêcÀi lusptct

Martin. a. envoyé à i'Iaetitut médico-lés^i. a us fins d'aatû-jiste. le cadavre du garçon de VJnceivt Caipe, vingt-Haut ans, donbem^ 12. HftuârJettïô, Pris de malaise au cours de !!On travall. il avait tt# où LI a aucI terabé peu ^.pr&a. sB.as qu'on pulaea déterminer les causes du déû&a.

A vingt jour*, au volant d'une auto il. de la peH*, a'ér&nnaleiit âe voir aaçls sur te alè^e d'une auto en atattoùneiiient, devant il vwant, un hébS de qninze Et. vingt Jours. Le propriétaire du véhicule, untant de «ominftTca, sortant de ohex un nliaftt. ne fut pa» moina stupéfiait. Une passante avait, durant sa cow-t« absence, rtbajKionnt; ainsi tiiletie, vêtue comme E' Assistance publique.

M. Colombet, tMmmlaaaire de S&Jnl& fait ramenw 1a petite abandonifée A publique et rechercher la mère coupable.

Le. accidents de la tu« Rue du une c&iïil^on a'eat produite entre deux awtoa. oonduitM, l'une, par boxeur Marcei Thil, avenu* Partnentier l'autre, par M, Reibei, fi, rue Sljrha. Dans te cIwkî, Mme Thil a été légèrement contusionnée et a pu ragaLiuliis à Vtrîpltal LaiTbv^^e,

TTne eollîsJcm s'est produite !lier rue Freyolnet entre deux autos. 31. Rica. rt&meuraïLt S. boulevard du lïagent&t qui la teu et ad™i& *l Beaujon.

«amti'iolfur^ oivt pènëtr*, l'autre 97, rue de Rome, Mime LLos-tte.

Ha ont fait main basse »ur de-! objets ont nu ignore la v^teur.

A suite de chiSfrlina imimçs, si- 8«velil«F vingt-«Énq arts. demftiirant 4?r me Fontaine, tente de sa suicider en absorbant- un SoliHlilèrç. Lanbûisïère,

Tïït*t*»e Jn-M-jinti, vingt ana, dûinieatlque M. a, homme fîe lettres, demeurant rue Bcrfwchouart, a dérobé 3,20Q frauKia à »on patron et prLa la fuite, Près de aoû domicile, lfi, de Ctwullot, aime Adediae Evetlflaixi eat prise de Tïiuiliifiéi Eeaujon,

Pseulo ëtudi&Qt. livtoîtffliies, aux étrangère, AJexaDdre dit S&chB. vingt arts, t2, vire-t^tu* 19. rue Pascal, à Paria, cambrtoldJeni*, à ]'aJ4e de fausses &éa, des d'hfltel dat quartier LaUïL Ils ont et et envoyés au <î4p0t SEINE

Le feu dani un ciném» à Saînt-Mindé Un conUnencement dû a an déclare l'fttltre soir. au ^.Hbut de la séance, darta la cabine de Le feu tes exWnctêurs de la cabine, mala L'opéraleur, M. Paul foyer, vingt-deux ana, ai- rue dîi Baig, ft a été Insère' men-t hr\ï\é aux et au vlaa^re. îi h pu aprèg pansement dans u2»ç pharmacie resagîïftr son cîonUûtl<s. La futRoule deà a Salnt-DRnLs, tm Cjràlistft, M, Maurice Gktuksnlenque, quarÈtnté-hult an», mécanicien. 14. ru» LoubAt. «i cette loc&litfl a été renveroé par une ftutû. Le «rln& fracturé, il n été à -rin&pitai.

Par suite d'émanations de gaz, les ioearaires de ï'iwneutoLà «itué 2. rue du. .-ne- .le. pour établir L'origine de

TJn fncenidS«, flont on le, causûs, détruit, hier" aprèa-raidi, ual-e maiboti en bois. Située 30, avenue Victor-Hugo. et habitée par «on propriétaire. St Victor Séria.

Les «rtiaant du taxi demandent la revùion de i'article 12 Ait

de la loi de finance!

Les artJsaita du iiixl protestent contre le r^gkne apécM qui deur est rteérré pU' l'article bis de 1a loi de finances. TSlocav* partition de 39, d'aloool aa-na iftseenc* ert pjiat]qiH»menî îmix>«n>!e avec !m ithj" te^ra actuels auua envisager dea tranitfor" mailona f^rt onéreuses. D'autre parti raug-mÊmutlon de la Consommation rendra l'économie rà&Haée sur le prix d'achat. Cette piesure est donc abaolunienC contraire aur inféréta dune corporation, alors que dans Js pensée de se» aute-arq elle lu la sauvegarder.

LE CABINET DE 1 MARCHANDEAU Le cabinet du miniatre du Budget a été composé ainsi qu'il suit

Directeur du cabinet M. Plerr» Ch*brun, iruapMtftiir de. finances,

chef de C«»*n«t char^ du xecrttertat particulier M. René Genm. jmjrimlUrtfc chef, «djoiwtï MM. Paul FraKcin, Ins^ pecteur des flnanuea Raymond Oudot. chef de burfiHu H raûininiatratirm centrale du ministère dea Finances Ernest Darg&ud, igoua^chef de bureau à 1 "ftd mini at ration ceatrate du ministère des Finances.

Attachés MM. Clament Vleu, Licencié «A droit Roïtert Wetîl. réiiacieuf à l'adml.nistration <Mjntr«lô du ministère de. FlnanOharsis de «iis*iott MM. Fernand Bi* dauK, sous-préfet de 1™ classe Marée* Ribollet, percepteur.

Chronique judiciaire *CCIOEXTS D'AUTO

Au mois rj'aofit. tSSl, Se vxtlture sitt Mme d'Ornano, conduit* par le cflauffetar Machinal. provoquait un grave Acdident renversé et taè. tandis aue 3a femme» qui avai2 pris place derrière IuL eat au* Jo^urd'hul encore, en traitement, Le ohaufteur Machinai a été admis au bénéfice de l'atnnzstle. M-i:t. Au, plaidoirie» tîe M" Mat4 de ûlolènes et Lot, le tribunal a accordé il. SoiKtt SG-OOtt francs de provision que francs a ta mère de la lit- tiwe. Le total des dommage sera fixé JMO{ état.

ïl'autre part, un commis principal au ministère des Finances là. qui avait perdu une jambe à La ftidçitt. M secon.ie jambe, Le tribunal condamna Le chauffeur à un mois d* prisoît francs de réparation.

tnt; maison A bon MARCHE

Le camionneur Zanotti, au service de la maison R6in>uff, au avait détourné. une grande quantité de made construction et les avait cëdés h son &ml Michel ftuggtorl. lequel s'en aer- vit pour bâtir une maison. L* tribunal « condamné Zanotti et ainsi mis. de quatre & trelae mola de prlBOn. 3tif In» de M. Kobert Lrpwel. p*rH« clvile, la maison flenouft a obtenu 1B-00O francs de dommages- tntérê ta.

MinK maroquinerie, 159, rira Saitit-:Miur> act. B.d.c. Emila-Henri Carriat-, &Pp**reilg automatiques et fournitures poar ralim*ntatl&n, ù. Levai lo 3a- Perret, 78, rue et Albert Clianû, importation, 48, rue de, Landrea act. pans dom. connu. Société: veuve MoutaiJlei-, née STsiie- Joséphine et et Pierre-Edouard Groussin, teintarerie de peaux. U, rue Pascal. Emïie Maidant. ulunentation, à Chûtnion- so^H-Baffneuï, 70, avenue de la PaLx. Roae-Marguerfte Mlatrai. v«ure Bon*t, agence de location. & Boutonne. 43. KalEÔ, 4O0.0G0 fr&nC&. espJoitd.t^n de ddmainea éthlopierjsH 90, rue Saint-Htinoré* J. Larâot et A. Eoïcm1. cap. fr., bronzes et marbres, 55, rue SaJnt-Sôij&stien. Rosé Klein, veuve Hitler, cpnt* miaaiontuiire en marctiafldiïes,. Si, m* d'Hautevilte, LIQUIDATIONS JUDICIAIRES. EtabïiB.BBments A.-G. Vilette (en liq.), cap, aouï-Bol3, 4. rue des Meuniers. Maurlca Coch*net. menui'&erïe, 20, rue Torrfcelîl.


Dangers pour le Cerveau de la Constipation

bans tous les cas de congestion, libérez d'abord l'intestin

CbatuflSatttju'unedigestiop laborieuse pousse au sommeil et réduit la vivacité de l'esprit Cet état passager devient Fanlement diroiiique chez les constipés car l'in testai. trop yncorabic, congestioane tous ïes organes et en particulier le cerveau. Les persoanesipi'bne ten- ¡¡ion artérielle trop élevée prëdisrwse à lu causes» tinn cerûbraltîetàlapui-aîysie doivent garder î'iotestiurégiilièremeai libre. De même tes persunnes congestion né es uprès les repas sauveront leur ce;, veto d'un enrourdisse-

inènt progressif en êvitant toute consti- pation, même légère. CesGruinsCléranv bourg. le laxatif qui assurent l'évacuation l'intestin sans M pousser". Ceci est important, car ceux qui "poussent "pour la selle, congestiunnent leur cerveau. Deu x Grains Ctéram-

L'arrestation à Bruxelles du voleur de livres rares Un aigrefin International, qui s'était fait une spécialité du vol des livres rares, vient d'être r^tromvé, ainsi que noua l'avons annoncé car la sûreté getvérale, à. Bruxellea, où il se trouvait incarcéré la prison de Saint-Gilles. Habitué à ane réussite totale, cet Individu, qui répond l'identité d'Alexandre )(atone. de nationalité hongroise, né le 22 novembre 1&&6, avait négligé les plus élémentaires précautions et, comme fait pincer, au début d'octobre, en flagrant délit de vol, chez un. iîbralr-fi anversols.

Quelques aemaines auyaravent, l'aigrefln opérait encore en France où sa dangereuse activité S'était à plusieurs reprises manifestée à Paris. Chez divers Jforaires, il avait raflé quelque^ Iivr*a de grand prix revendus ensuite à de4 bibliophiles toulousains et tourangeaux.

Et furent les première surpiia

Hâtons

s'était présenté soue les noms de Nothès, Strehl, Keller, Kellermann, Ktttty ou. Heîfer, étatt un Hoagroia, ce •que ne permettait pas de soupçonner sa conaaiaeauce parfaite du français. Le.6 victimes d* Katona. sont nomIjr*(J5&s mais ceur: qui eurent le plue ^ouffTir des agissements du Hongroia sont des libraires La plupart, en effet, des Uvres écoulée à Toulouse provenaient de la librairie Gtraud, Badin, et Richard, boulevard Saint-Germain.

L'enquête qui fut conduite Par l'inspecteur Bianc-Garia, du contrôle des recherches, a .établi que Katana avait été condamné déjd, en France pour faits de nième ordre, 6OU3 les noms de Sandor et Sanver. et que sa femme, Hélène Kejnitss, rtvalt également: été frappée d'une peine de six mnis de prison pour complicité.

L'extradition de Katona. a été demandée. Mais il est vraisemblable qu'elle ne pourra être accordée qu'après ]a «ompamtion de l'escroc devant la justiGe belge, et sa peine purgée.

LES CONGÉS DE LA BOURSE DE COMMERCE DE PARIS lA de ï-<t Boiirne de de congés pour

X" J*JWi*r, Jota- de lan 2 ^ou™, du ider .iiLCJU» S Irtara. 1 jour; W, SI marw. 1*' et 2 avril, Pàquca 4 jouira du't«vdr*d-t' au iqaïdi 2 avn-l inclus; 10 marv. A.acen*ton 1 jour 19, 20 et 3 jou.r« au fiâmÇiai le au [uridi 2i ihéluà 13. 14. 15 et 16 JuJHei. .Fête 4 -t joitt-s, clou vendredi 13 au londi l€ Inclus 12, 13. 14 et 15 août. ̃Àa&ompLiûn 5ouraH du Aimancîie 12 aii «»inf I jom- 11 de 1a l i«w a4 et décembre, 3(*te S jours, du dimanche1 33 au mardi Sïn 191S 31 décembre et jan- *W 1935f Joqr &$ V Aïs 3 jours, du dirtiaii«ùft 3U décembre 1934 au nwcU l*r jûuvier mole iii jt*J.; Jtjïti, JuWliet, août et aepdu woisl, li aoftt (Téponae flefl prîmes) et 20 septembre ^dernier 'jonr ™- j

.foudl. H décembre,

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

fOSTK PARISIEN i^3 m, litï

Au cours de nos émissions -de la. journée, a 12 iieurçs, 13 h. 5. Il, 14 heures, 1S h. 16. ta h. 4â. l(i h 50. VJ heures, a) h. 20 et en fin d'émission, cours et dernières lutorwaitona

12. h. H. il! Earcpifitremeuti d'irrlïaa lOEfen.i>Jicii) Cwt une gainjnt charmante. d. L'opAi-ette Phi- Phi » (Christine). 1S h, 20. !a minute de l'Iutrau.

n. 30. concert Offert pur la Maison Il. il. WDeerC ofterl par rOtumalline, 18 h. 4E..1 Berèîufce de Joctilyn Berjrfero 16ç*re et Jeuhe Fillfttte.

1S h W. Reoiez-roua fhea Lehar (air. Hnibry Valae de Faust

LA h., schersg en ml mineur (AJendtelsirobn, tri. A* 76ljj.

18 h. 5. causerie par JJ1. André Maurois. «ion de» pendant rhtv«r ï-, par dç [a Touche. Ingénieur âïfonoaie, rédacteur :Il « ttmnU*

petits du avec 14 concours de 11 troupe du de M. Pierre Humble.

de avec le h. gala < ï a Tirades «t grands a!rjt 1, (prfde M* Robert Bri»aeqï, le le rOBMuH cia M. Jî&jf&r dp la Coméâia-PraniîalS* Mite fermai ne Ce, de l'ûpéra-Cciralqircr M; "André L^vy, -violoncelliste; M, René

pris suirjibéreront votre cerveau de la menace intestinale. Le Quinqumaïju'ilseun tien!lent. en tonifiant les cen Eresuerveux,au£inenterq voire facilité et votre capacité rie travail .Il aurez itu esprit vif dans ua corps sai Et c'est lorsque vous a niez re irouvéliisensatiofldupar lait équilibrer et du bien être, grâce à votre cure que vous vous rendrex réellement compte dos dangers que la tonstjpaNe laissez pas le votre en

,la ei mettez-vous aux (mims Lfo rambunrg. La boîte de 30 grains: 4Ir. ?0 ((mtespharmecies.A défauteuvoi wnmèdiat contre mûndulde4fr.50au:t Laboratoires Cléramhourp, fournisseur du Mi ntstêre des Colonies, 10, rue St-Antoïne, Paris (4<). Tous renseignements gratuits

LE COSAQUE YVAN LAZAREFF TÉMOIN AU PROCÈS GORGULOFF CONDAMNÉ EN CORRECTIONNELLE A QUATRE JOURS DE PRISON. .JM MOTION A UM ARRÊTÉ D'EXPULSION M" J.-Ch. Jjegrand, on est allé en grande pompe chercher la cosaque Ivan dans la ferme de$ Hautes-Pyrénéea où il travaillait depuis et la cour d'assises a subi ses interminables discours. Quel changement de décor aujourd'hui! Voici le même qui répond devant vous. messieurs, d'une infraction à un arrêté d'expulsion!

Que s'est-U passé? On ne .ait pas exactement, mals on croit savoir que ce Russe titane a eu (les démêlés à propos d'une ? colonie de Cosaques » qui devait être créée dans l'Afrique du Nord. A-t-il joué le rôle de provocatour? Est-il victime d'une vengeance de ses compatriotes? Quoi qu'il en aoit, le 10 août, un arrêté d'expulsion était pris contre lui, mats la notification ne lui en fut faite que le 27 octobre, 11 devait quitter dans les cinq jours le territoire de la France-

Fruste et presque illettré, le cosaque du Don entreprit alors un long voyage, Il gagna Tarbes, puis Paris, faisant ce long chemin presque uniquement il a'adr&SÉa à H. Maklakoff, une i eu ambassadeur dfl Russie Paris, qui lui donna c'est Lazareff qui le dit le Conseil de ne pas partir. M, Faon, ,saisi de l'affaire et s'occupa de procurer au .cosaque un passeport Nanaen, Le Huâse lui-même, pendant ce temps, sigTiait un recours en j^r&ce et rao"r*S- sait au ministère- de l'Intérieur, Il se rendit enfin à la préfecture de police pour voir a'U y avait une réponse et, tous délai. étant épuisés, Be fit arrêter séance tenante.

Au proc&g GorKUlofF, Lazareff avait parlé longrue-meirot, et avait t affirmé avoir été martyrisé, à Roetafl, par l'aseasalti du président Paul Doumêr. Il avait fini par se mettre à pleurer à la barre et le procureur généfa.lT M. Dona.t-Gutjçu« avait pu ® Crier en Tûqué-. rant

Jfr croîs cette douleur sincère hii rîute u adopté très exactement la même attitude. Plusieurs foi^, il entreprît tout Iannoyaot de se lan-c&r dans de confus«3 explication^, mais ïe président, M. Pugriièse, coupa court à cette Dite' lui. à l'interpràte, de se résumer le tribunal ne se montrera pas eévère

un seul témoin devait être entendu. M.. Tchebychott, ancien procureur imnèrial Moscou, devenu, à Paris, directeur du quotidien russe la. Rentys-

LaiarefT, déelara M. Tehe-Hyc]ioîrf est un homme brave et un brave homme. Mais il a la manie de toujours dire vérité intégrale

Et eela finit toujours mal! coupa M" J.-Cbl Le^rand+

L'avocat prononça alors une ardente plaidoirie en faveur du cosaque errant expulsé on ne sait pourquoi » et qui, faute de paaseport, ne peut se rendre I nulle part: ij serait, en effet, refonte de partout

Qu'où lui fournira les papiers nécessaires, et il s'en ira. Il ne demande rien de plus

Le tribunal prononce cependant la peine de quatre jours de prison, depuis longtemps- accomplle par, la détention préventive.

Eugène Qudtchb.

LES COURSES LA REUNION D'AUTEUII. EST ANNULÉE

La réunion annoncée pour aprèsmidi à l'hippodrome dAuteull a été annulée le terrain étant impraticable.

des Noctambules

22 h. 30, dernières

Au de de 21 heures, chronique de mode du c Jardin des madq Emittioti dt Vendredi matin

7 h. io, f éveil en lanîiî-e et conûeit d0 muslqufl enregiatrée,

Eflpana, valse iWaldtéofçl) Lfe Premier r«xd«z-vou3Mng} Ton sourire lEWJneerj l'ndl^aLeur de de (.et': Ilne plume au vpfit iPaul Well) par le jwUi doigt la Tteman-de en mariag*. (Botrel) CSante^, iîraiiil'm^re <Aubi*t'Lellèvre) lea A.nge3 bel!> CJLHZQnstU (d'AJBMMJSiQ) i iHNOOts de eannette, « Enfin me -pollà B*ul IV. 3lAiï£é) le le Comte de Luxembours. n'est-ce pas toi ? » (Leliar!. Ay de rémtsston il y it, yi> et à 8 h. Ï0. revue de la presse par Il. Henry S h. 45. menu de Ja ménagère donné par ]' Huile Les leur.

De b heures 9 8 h. 20, sonoea offert par les Etahlltientent» Ttlo-Landi.

TOUR F.fFFEL m. 8) 12 h. 30. relais de Paria-Pr T. T,

13 h, il 1$ h. Si), chroolqisfrg 17 la. 4&. journal parlé.

Communion dit ffflmhi {Chepfeif* Clair de U&na IMbCer iPotrae) Vaine Voniïé (Widouft) la Danitev.it de Sévill* i.^ou- neuifl Marche dv Fëterabaurg. 1Q h. 30. relais de Liïle.

t2 i.j. ^hroniqu*' du tour 1 ru*. Disqu«a, h., dlffuaton du pomfî putjllc donne 4 la Ifacîilty des lettres de Parie.- par k pro- fpfseijt- Bruno

Il.. muâL4ue enr*sifitr^«v

15 h. li, Pad£o-îûTtrnft[.

10 h. 30, Mure 20 h.l5,«njMPlft-

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 13 Décembre

t*a séance d'aujourd'hui a. étô rrwquÈu par un nut-r^Ëme COm&let des affaire» et par ur> g-f'nérHt de la cot«. par rapport à la veille, aont impwtaates. sion â«e de du Sénnt par la 4 l'élQ- paraiBàent avoir ému notre h& ment.. par cette commisaton, et surtout la création d'un prélfevement de "} */b sur la la base, ont pruvociué rér- t a Inès pr4c!C3iii34tioJi3 au aujet des il], cuites éventuelles d'ordre intérr&ur, t>s rélé nt que de La clientèle. La s grande partie du terrain reconquis' tea deux iïorniers jwura. Il en a t'fé de nitma bancaire et les' industrielles locales ont Atà également éprouvés, pour la plupart. Le redf esaement des monnaies anglo- saxonnes n eu a& répcrcufl^Eon pur îes minea dor et les trusts qui .se puni ïïibvements Importants à signaler.

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Le souvenir de la Voix humaine est demeuié vivant en nos mémoires. C'est à nouveau Bertfre Bovy, qui anitrifl ^^ortïej 1.:1.ne acèn^ conçue Pour .le dtudio par Robert Brj&aati. C'est i'hletqlre triste et simple des dernier instants d'un être qu'une vie faite de grandes misères et de petites joies a toujours unie une sœur idèle. Berthe Bovy incarne qui reste. Toutes les nuances qui traduisent l'espoir Bu- prême avant tout le désir de rattacher à la %,le celle qui s'en va par révocation d'un passé commun, enfin l'affreux désespoir qui éclate quand tout est consommé passent dans cette voix prenante et brisée, L'art de Berthe Bovy est fait d'une sensibilité signe guidée par une subtile intelligence. L'atmosphère créée par les broit& de scène habilement ménagés en fait un disque remarquable. (O. 1&6-&&4), Tout a été dit sur la paychologie de le chef-tï 'œuvre satirique de Jules Romains. Tandis que Louis Jeuvet en ciaçie chartue réplique par son <k jeU » direct et habile, dans la scène de la Dame en noir, Iza Keyner, est artificiel par son ton faussement paysanne enrichie j>, mais Romain Bouquet est d'une vérité savoureuse da&& le tambour de ville. <Coï bf un. Instrument* et orchtttr*

La délicieuse légende de Psyché et de l'Amour dont César Franlt fut le chantre inspiré, revit dans tout «on charme poétique au travers de l'inter- et da l'orches- légèreté de. contours mélodiques, tendresse du phrasé sont gravés avec une remarquable finesse. (Fol. 566-I59-60fi)n C'est une bonne fortune que de trouver aur un même disque les noms de deux princes de la baguette. Wilhem Mengelberg et sir Henry Wood. Le premier retrace avec son art eonstrttctif qui n'exclut aucun détail, Y Ouverture. do Weber oeuvre conforme à son tempérament, cependant que le second anime avec un art de précision et de nuances une Dame tftoijtf colorée de Dvorak {Coi. lfx 3173S).

Yves Nat nous devait cet enregistrement du Ctittceriq en in mineur de Schumann. sous ses doigs fervents, la phrase s'éveille, les sons se libèrent et l'œuvre s'épanouit. Son jeu plastique s'inscrit d'étonnante façon dans la cire. Serviteur fidèle de la pensée de Schumann, il en rend le romantisme ardent Bans excès déclamatoire, trouvant la vérité des accents persuasifs dans la pure beauté de la matière musicale, (Col. ifx 320-21).

Le Concerto en la mineur de Vivaldi» Bach est à l'honneur puisque deux enregistrements consécutif viennent d'en être faits. On peut déceler des artistes de valeur sous l'injuste anonymat de. quatre pianistes qui le jouent dans un style excellent où la mise au point des plans et la franchise des attaques dominent,

SI la génfele transcription que Bach lit de ce concerto pour quatre violons de Vivaldi est un hommage au maitre italien, elle n'en est pas moins un riche apport à la musique. Grâce à l'une des faces qui reprodult l'Adagio dans sa version originale, on pourra ce.quer combien la transcription de Bach V& magnifié. (UH. gp 1079).

Les commentalies musicaux que Mau.rice Ravel fit des Contes de Tito. Mûre FOyet sont d'une délicate et frértiiasanté sensibilité. Que ce soit la tendre et mélancolique Pavane de la. Belle au Bois dormant, l'orchestration chatoyante du jardin féerique tout vibrant de Sorts et de parfums. l'atmosphère enveloppante de la forêt du Petit Paucet créÉe par 1a monotonie des notes êgr&nées sur un rythme sans aspérité, chinoiserie spirituelle de Laïdcrannette l'enchantement se poursuit. Piero Coppola et l'orcheatTe du Coiiitrvatoire sont de précieux collaborateurs (G. db 4S9$-Q9>.

Horowita porta en lui cette mélancolie passionnée qui transparaît dans ia ifasurka la fa mineur de Chopin. La est exquise, d'une finesse de colorfs qui fait penser à des tons de pastels anciens. Puis son jeu devient pin. (G. da 230Sh

Quand l'archet d'Enesco imprime le rythme de la danse au Tempo di Mi*nttetto, de Pugnani-KieE&ler, la vision, surgit, évocatrice des fautes d'&nta., mais s'il modèle la longue courbe mé. du Largo de Pugnani, la pensée rievient méditatrice, grave apaisée. (Col. dfx

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chez les Toya^un de commerce Deux contre la taxe sur l'axaence

La Fédération nationale des ayndleab de vpyageurat représentants et placlere rue Berttn-Poirée. à Farie) %dent d'élever auprès des sénateurs une vJvfi proteatatltm contre les dispositions de l'article 12 bis du projet financer, tendent à remplacer les impôts actuels sur 1'automobile par une surtaxe de cinquante centimes par litre dVaaen^e. Les voyageurs de commerce, pour lesquels .et un instrument rie travail, vont être frappés d'un superImpôt Important, sang possibilité -le récupération par une augmentation de salaire impossible à réclamer das De son coté, 1'Union syndicale nationale (12, rue de la Victoire, à Paria) a transmis à M. Caîllaux, président de la commission des finance» du Sénat, la. protestation de de. adhérents contre la taxe sur l'essence.

Elle a fait remarquer qu'un voyageur de commerce dépense environ vingt litres d!e3Ken«e par jour. La nouvelle taxe de 50 francs par hectolitre qui sera probablement portée C0 francs se traduira pour CI'! travailleur pa: une dépense minimum. de 12franea, sait, pour 300 joure ouvrables, 3.S00 francs par an. Or, un voyageur de commerce possédant une 10 CV. acquitte af.îfjellement ni% droit de 840 francs. Ia nouvelle taxation lui Imposera donc un surcroit de charges de l'ordre de 2.TÇ0 Cr. Le groupe le la région parisienne de lu, 3. N. organise à ce pro- poa. un meeting da protestation oui aura lieu samedi prochain, courant dlcalis, rue 1.'hôtel l^ajioryH nos abonnés toute

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