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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1933-06-29

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 29 juin 1933

Description : 1933/06/29 (Numéro 20575).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

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Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k627774q

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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A LA CONFÉRENCE DE LONDRES Les hésitations britanniques sur la stabilisation des monnaies

Le gouvernement anglais semble incliner comme l'opinion publique vers la stabilisation, mais seulement quand serait survenue la hausse des prix

Le bureau de la conférence a établi un rapport sur l'état des travaux, non sans que M. Georges Bonnet ait réservé fermement la position française dans la question monétaire

Londres, 28 juin.

VOIT M NOS BHVOYtB «tCIAUX

La situation ici n'est pas particulièvous ai signalée çwut la possibilité aune action concertée de la GrandeBretagne avec les pays attachés à l'étalon or afin d'éviter en Europe une cascade de dévaluations monétaires est, ce soir, aussi complète qu'hier. Or une incertitude qui se prolonge de la aorte sur une question de cette importance et en dépit de contacta répétês entre représentants des banques centrales, des trésoreries et des gouvernements intéressés ne saurait être envisagée sans quelque inquiétude. Je crois pouvoir dire que, dans les milieux de la conférence, elle est même, jusqu'à nouvel ordre, considérée Les motifs de cette impression générale sont nombreux. Je vous ai dit hier les raisons de l'hésitation du gouvernement britannique, partagé entre les tendances stabilisatrices de la Banque d'Angleterre et le désir très net de la trésorerie de suivre l'exempie américain, c'est-à-dire de nt atabiliser qu'après avoir enregistré une hausse des prix. Il semble de plus en pluMo'Qt que c'est actuellement cette dernière tendance qui l'emporte. Non seulement elle a en M. Leitn Ross, dont on sait le crédit auprès du premier ministre, un partisan aussi convaincu qu'éloquent, mais l'influence de la délégation des Etata-Unis eUem6me n'est certainement pas étrangère A cette orientation du cabinet. Je tiens d'une aource excellente, en effet qu'au cours du conseil dea ministres qui s'est tenu la nuit dernière sous la présidence de M. Macdonald pour examiner la situation monétaire dans son ensemble et en particulier la suite donner aux démarches des délégués des pays européens attachéa l'or, dont M. Georges Bonnet avait été le principal porte-parole, quatre au moins des représentants des EtataUnis, spécialement appelés, ont été consultes.

Ces délégués sont at. Cordell Ruïl, Im sénateurs Pittmann et Covzens et M. Mac Reynolds.

Cette consultation, dont il est superRu de souligner à la fois l'importance et le caractère exceptionnel et qui a, d'autre part, été tenue soigneusement cachée, n'a vraisemblablement pas été sans Influence sur l'attitude constatée aujourd'hui dans les divers milieux anglais.

La brusque élévation des prix le c boom > qui s'est produite sur les diverses marchandises des Etats-Unis, et que signalaient déjà les dépêches d'hier soir, ne peut agir d'ailleurs que comme un encouragement a adopter la thèse de la trésorerie et que venir A l'appui de l'argumentation américaine.

Ce qui est certain, c'est qu'aussi bien ce matin A ta nouvellt réunton qu'ont tenue à la Banque d'Angleterre, cette fois dans l'espoir d'éviter let indiscrétions, lea représentants des banques centrales de France, de Belgique, des Pays-Bas, de Suisae et de Grande-Bretagne et plua tard dana les conversatiens qu'ont eues de leur côté, toujours sur la question de la stabilisation, les représentants des gouvernements intéressés, on a au le aentiment de la part des Anglais d'une répugnance plus itrande d se prononcer et d prendre Certains de ceux qui ont participé à ces entietiens ont méme eu l'tmpressien de ae heurter à une résiatance réfléchie, à une volonté presque arrêtée de ne rien faire du moins tant des petits pays. Si cette impression était exacte, elle indiquerait, en ce qui concerne notamment la Banque d'Angleterre, un mouvement de recul assez sensible

En est-Il ainsl

Cet après-midi, une entrevue a eu Itou entre les représentants de la Banque de France. MM. Farnier et LacourGayet, auxquels s'étaient joints, nous dit-on, le professeur Rist et les hauts fonctionnaires de la Banque d'Angleterre. Cette conversation, à laquelle n'assistaient cette fois aucun des délégués de la Belgique, de la Hollande et de la Suisse, devait avoir sans doute pour but de plaider la cause de leurs devises que guette la spéculation. A-t-elle abouti des résultats satisfaisants ?

Bien que le florin et le franc suisse aient fait preuve aujourd'hui d'une plus grande fermeté grâce à l'action concertée d'hier, et bien que M. Colijn, le premier ministre hollandais, qui préside ici la délégation des PaysBas, ait énergiquement affirmé la volonté de son pays de rester fidèle à l'étalon or, on se montre assez sceptique, dans les milieux financiers, concernant l'appui à escompter présentement de l'institut que dirige M. Montagu Norman et dont nous avons dit pourtant lee dispositions favorables à la stabilisation.

On ne saurait trop répéter, d'ailleurs. qu'une grande partie du public anglais -et nettement partisan de la politique

M. Faxaier

de dévaluation américaine et verrait sans déplaisir se généraliser en Europe les abandons de l'étalon or; celui, bien peu important cependant, qui s'est produit aujourd'hui en Estonie n'at-U pas été, aussitôt connu, accueilli ici avec satisfaction et présenté dans les journaux comme de nature à fournir des débouchés plus étendus aux exportations britanniques ?

Il y a là un état d'esprit dont il faut tenir compte car il n'est paa sans influence dans les sphères officielles.

il eût été intéressant d'avoir, sur ces divers points, l'avis de notre ministre des Finances qui maintient, de son côté, le contact le plus étroit non seulement avec son collègue britannique, M. Neville Chamberlain avec qui il a déjeuné et dîné aujourd'hui, mais avec M. Macdonald. Malheureusement, M. Georges Bonnet est aussi discret qu'occupé.

La thèse française

La nécessité où il se trouve, en sa qualité de rapporteur de la commission monétaire et de président des aous-commisalons, de participer activement à toutes les réunions qui se tiennent au musée géologique, les multiples démarches auxquelles le condamne sa situation de représentant de la principale nation attachée à l'étalon or et, enfin, les obligations mondaines auxquelles, en tant que chef de la délégation françaiae, il ne peut ne soustraire ne lui laissent d'ailleurs aucun loisir.

Albert JULLIEN

(La suite 4 Ia troisième page.) M. Louis Renault, président du conseil général de la Seine

(Voir à k, quatrième page.)

Les pièces de nickel pleines de 25 centimes

n'auront plus cours le 1" octobre Le Jounuiî officiel publie ce matin un décret relatif au retrait de la circulatlon des ancienne» pièces de onnale de nickel de 25 centimes. Ces pièces de nickel pur, pleines, visées aux articles 1 et 2 de la loi du 4 août 1913. cesseront d'avoir cours entre les particuliers et ne seront plus admises dans les caisses de l'Etat, en France et en Algérie, à partir du oCtobre 1933. Jusqu'au 30' septembre, elles seront échangées dans celles de ces caisses qui seront désignées par le ministre des Finances,

DEAUVILLE A 125 MINUTES DE PARIS

Les Chemins de fer de l'Etat ont procédé, hier, à un essai officiel d'une automotrice Renault sur le parcours ParisDeauville.

Assistaient à ces essais les présidente et directeurs des grands réseaux, ainsi que M. Colam, maire de Deauville, qui avalent été reçus à la gare Saint-Lazare par M. Dautry, directeur général des Chemine de fer de l'Etat, entouré du haut personnel de la Compagnie, et par M. Louis Renault, accompagné d'admi-

à le poule de pllotate, A drolte M. Dantry mentut dans la loromotrlc*

UN EXPOSÉ A lA CHAMBRE DE M. PAUL-BDNCDUR DEVANT LA COMMISSION DES ffFHHBjTMIKÈKS M. Paul-Boncour eat venu hier devant la commission des affairée étrangères de la Chambre. réunie sous la présidence de M. Herriot, qui a d'abord. en son nom et au nom du bureau récemment «lu, adressé se. remerciemente à ses collègues, Le ministre des Atfaires étrangère!! a été ensuite entendu aur la conférence du désarmement, Bur l'emprunt autrichien et sur la réorganisation des services d'information.

M. Paul-Bon cour a fcxpiiqué de la façon 1a plue détaillée comment l'ajournement de la conférence du désarmement avait été proposé aQïi de permettre des négociations efficaces sur les problèmes soulevés par la première lecture du projet britannique. Il a insisté sur ce fait que, loin d'aboutir à un abandon des travaux en cours, ce délai de trois mois allait, au contraire, permettre aux délégués de mieux approfondir certaines questions, et que la deuxième lecture, à laquelle procéderait en octobre la conférence, pourrait donner alors des résultats tangible M. Paul-Boncour a déclaré, en outre, qu'il ne fallait pas attacher un sens défavorable à l'attitude de l'observateur américain a Genève seul M. Norman Davia parle au nom du gouvernement

américain.

En ce qui concerne l'emprunt chien, M. Paul-Boncour a énuméré les démarches fait- et le* disposititma prises par le gouvernement pour aasu- rer l'achèvement de l'opération inter- natlonale entreprise par la Société des natlons dans le sens den vues exprimécs par le Parlement français. Répondant à M. Fontanier, le ministre a déclaré qu'il n'était pas possible, juridlquement, de consentir un «m- jprunt conditionnel et que le versement aérait ertectué avec des réserves priatable.. A son avis, l'octroi de cet emprunt est 1e seul moyen de sauver l'indépendance de l'Autriche, si vaillamment détendue par M. Dollfu&s. M. Fonau chancelier autrichien de respecter le» 'droits de Ja démocratie.

Sur une autre question, M. Paul-Boncour a répondu qu'il 11 n'y avait rien de vrai dans les bruits suivant lesquels le Quai d'Orsay serait favorable à la restauration des Habsbourg. Il a donné lecture à la commission d'un document daté du 17 mai et établissant d'une façon irréfutable que ni le ministre ni «es services n'ont jamais songé à la groise. Le pacte à quatre a été conclu surtout dans le but de réaliser l'ordre, de consolider la paix et de ramener la prospérité en Europe centrale avec le concours bienveillant de f Italie. Il de de réorganiser économiquement les pays danubien», comme y avait déjà pensé M. André Tardieu, en comprenant dans ce groupement aussi bien les* pays de la Petite Entente que l'Autriche et la Hongrie.

Cette partie de l'exposé de M. Pml- Boncour a été écoutée par la commis.Ion avec une particulière satisfaction. Enfin. le ministre des Affaires étrangères a renseigné la commission sur la méthode qu'il appliquait au développement des services d'Information. M. Herriot a remercié M. Paul-Boncour pour les communications très intéressantes et très détaillées qu'il avait fournies dans son exposé remarquable de clarté et de précislon.

M. Edouard Daladier

devant la commission de l'armée M. Daladier a été entendu, hier, par la commission de l'armée de 1a Chambre, sur les divers problèmes concernant la défense nationale.

Après avoir demandé aux membres de la commission de garder le secret mur ses déclarations, le président du Conseil a fourni des renseignements détaillés sur la couverture des frontières et l'état actuel des ligues de fortification édifiées sur les fronts est et sud-est-

Il a exposé ensuite le plan établi pour parer à l'insuffisance des effectifs pendant les années creuses, c'est-à-dire les années correspondant, vingt ans de distance, avec la période des hostilités pendant laquelle la natalité fut très intérieure à la normale.

M. Daladier a également exposé la situation en ce qui concerne la défense contre les gaz asphyxiants et sur les mesura de protection envisagées aussi bien er. ce qui concerne l'armée que la population civile.

Sur toutes ces questions, la commis$ion de l'armée s'est déclarée en complet accord avec le président du Conseil. Aussi son président, M. Fabry, a-t-il exprimé à M. Daladier les remerclements de la commission, qui a trouvé dans las déclaration. très complètes du ministre de la Guerre l'information nécessaire à l'étude des problèmes relatits à l'organisation de la défense nationale.

Ajoutons que l'exposé du chef du gouvernement a produit une profonde impression et que tous les membres de la commission se sont déclarés complètement satisfaits de l'attitude énergique, franche et rai sonnée prise par

nistrateurs et d'ingénieur. de ses uaines. Cette automotrice. munie d'un moteur Renault à huile lourde de 250 chevaux, dont la consommation de combustible n'entralne qu'une dépense de 20 à 25 centimes au kilomètre, a effectué les 220 kilomètres du parcours Paris-Deauville en deux heures cinq minutes, soit à 104 kilomètres à l'heure de moyenne. alors que le train le plus rapide met actuellement deux heures cinquante minutes pour le même parcours.

LES HOMMES DU JOUR Le maréchal Lyautey

La commission X^sirls ptopoae exceptionnellement à rassemblée pUnitre dea cinq Académies d'accorder. cette année. deux prix de JOO.0O0 francs, dont un trait ettribué au maréchal Lyautey.

J'ai vu très souvent le maréchal Lyautey. Mais le garde de lui trois images qui font vivre dans mon souvenir le conque.tant du Maroc.

La première évoque l'homme. Elle m'apparut à Aïo-Setra, et. si le me souviens bien, c'était au mois d'août 1905. Sur un bat-ganc de cellule, dans les locaux disciplinaires de la redoute. le réfléchissais sans joie aux suites des Infractions à la loi militaire. J'avais sauté le mur et fait une absence illégale, Un coup de cafard, comme on dit dans l'armée d'Afri- que. La porte de mon étroit domicile s'ou- vrit dans un fracas de verrous. Dans le soleil éblouissant. un homme se tenait très droit, me regardant d'un ait amusé. Tunique blanche étoilée aux manches. képi en bataille. moustaches fauves, c'était le général Lyautey. revenu la veille à son poste de commandement sud-oranals après une cure Vichy. Je me mis au garde-àvous.

Eh bien 1 mon petit, il paraît que tu cherches la difficulté. Tu choisis, pour faire le mur. l'endroit de la redoute où il

est le plus élevé: huit mètres, tu pouvais te casser les os.

A la vérité, le ne l'avais pas fait exprès– Mais la garde me poursuivalt et l'avais nuit-la, dans les bouls-bouis du village nègre.

Le général me dévisageait. Puis, brusquement

Tu as mérité une peine disciplinaire aétUmsm Te l'auras^ J*n>itiets-aioi de supporter en homme courageux On ne t'embêtera plus et. à l'expiration, tu viendras dans mon escorte. J'ai besoin d'hommes iestes avec mol.

Ce fut la fin du cafard qui aurait pu me faire sombrer. Le général Lyautey m'avait sauvé de moi-même.

Ce qu'il fit pour moi, l'homme qui écrivit, alors qu'il était simple capitaine, une étude sur le rôle social de l'officier dans la Revue des Deux Mondes. cet homme l'a fait aussi pour d'autres. Et cela explique pourquoi Lyautey a toujours été entoure de collaborateurs enthousiastes. comment le jeune général sut créer cette admirable phalange Henrys. Poeymi- rau et tant d'autres qui permit de conquérir le Maroc.

Une deuxième fois, le vis le chef dans une attitude Inoubliable. Cétait sur les confina marocains. alors que le Maroc était encore Indépendant. Une tribu de pillards quelque fraction des Beni-Guil ou des Doui-Menia. le ne sais plus faisait sa soumission et demandait l'aman. Ces pau.vres diables étaient des pouilleux, des meakinea. comme on dit là-bas. Un vieux chef à barbe blanche. tout loqueteux, s'avança en trébuchant vers Je général, fièrement campé à cheval dans son burnous rouge. comme un proconsul romain. De,,rière lui. le mur des spahis impassibles sous le tarbouch bl

Le vieil homme tfburçt prendre l'étrier du vainqueur pour le porter ses lèvres, cérémonie rituelle de l'aman. Il n'en eut pas le temps. Déjà Lyautey avait mis pied à terre et saisi le caïd dans ses bras. Une barbe. blanche. dit-il au vieux tout ému. ne doit pas s'incliner à la botte d'un homme plus jeune.

Une exclamation d'enthousiasme monta du groupe des vaincus. Sur ces figures sauvages se peignit la joie naïve du pri- mitif qui retrouve sa fierté perdue et le goût de la vie.

Ce jour-là. je compris que l'homme était vraiment un chef, celui qui sait vaincre et qui n'humilie point.

La troisième image est plus récente. Le maréchal. connaissant mon amour pour les animaux, venait de me nommer directeur du Parc zoologique de l'Exposition colo.niale. Le lendemain du jour de l'inaugu- ration officielle. il vint. en Jaquette et haut de forme. suivi de ses officiers d'or.donnance et de plusieurs fonctionnaires visiter le Zoo.

Peut-on monter là-haut ? me demanda le maréchal en désignant la petite rocaille artificielle qui surplombe l'enclos des lions. On le peut, dis-je, mais le décline toute responsabilité.

Les rochera étalent hérissés d'aspérités, tout glissants de la pluie qui ne cessait de tomber. et il n'existait aucun sentier. En bas, rugissaient les lions, qui venaient de se battre et de tuer un de leurs camarades dans la matinée.

Viens avec moi. dit le maréchal. Et suivi des officiers d'ordonnance, tout amusts de J'aventure. cet homme de soixante-quinze ans. leste comme un jeune homme, bondit de roche en roche, sous l'ceil désapprobateur des fonctionnaires bureaucrates qui restaient en bas. un peu piteux. Le maréchal leur montrait qu'un organisateur doit pouvoir aller partout dans le domaine de sa création.

Trois images: l'homme, le chef, l'organisateur. C'est Lyautey l'Africaln. tel qu'il vivra dans la mémoire des hommes, en dépit de ceux qui ne pardonnent aucune supérioriti, surtout point celle du caractère. Henry Thetaro.

LE PONT DU 14 JUILLET DANS LES ECOLES

Le conseil général a adopté. hler, à l'unanimité, un vœu présenté par Mo Julien Roger, tendant à donner congé zux élevés des écoles le samedi juillet prochain.

UNE FEMME

ÉTRANGLÉE

RUE DES MARTYRS Elle y était arrivée hier aprèsmidi avec un ami de rencontre Après être resté trois quarts d'heure auprès du cadavre de sa victime, l'homme quitta l'hôtel en saluant tranquillement let patrons

Vers 15 h. 40, Mme Marguerite Joly, femme de chambre dans un hôtel, 71, rue des Martyrs, entrait au commissariat du quartier Clignancourt et faisait la déclaration suivante Une femme vient d'être au-.1née dans l'hôtel où je suis employée. Tandis que M. Slry, commissaire, se rendait aussitôt sur les lie-ox en taxi, auprès avoir alerté la police judiciaire. la femme de chambre qui l'accompagnait lui raconta tout ce qu'elle «avait sur le drame

Vers 14 h. 30, un couple .'était présenté à l'hôtel, demandant une chambre. Mme Joly les conduisit à la chambre du premier, située au fond d'un couloir et dont la fenêtre donne sur la rue. La femme, mince et de taille moyenne, âgée de vingt à vingtcinq ans, était vêtue d'une robe de crêpe de Chine noire, d'un manteau de drap noir usagé serré à la taille par une ceinture de cuir noir avec boucle rectangulaire en acier. Elle était coiffée d'une cloche de feutre noir, chausdès de souliers bas en cuir bleuté- Son compagnon, de taille moyenne, mince et pâle, aux cheveux blonds, était âgé d'environ vingt-cinq ans. et portait un complet veston bleu ou noir; Ayant demandé de l'argent.on compagnon, la jeune femme tendit à la femme de chambre un billet de cinquante francs pour régler la chambre et lui dit « Apportez-moi un paquet de cigarettes Laurens ». Quelques instants plus tard, en recevant le paquet demandé et la monnaie, la cliente remit 10 francs de pourboire à Mme Joly qui s'éloigna.

Elle vit, une heure plus tard. passer devant le bureau de l'hôtel, l'homme qui était seul et qui dit en s'en allant « Bonsoir messieurs et dames J. Il s'exprimait sans aucun accent étranger. Pensant que la jeune femme était «ans douta sortie la première. Mme Joly manta aussitôt au premier étage pour mettre de l'ordre dans la chambre. terrifiée, Assise au bord du lit et le corps renversé en arrière, la femme ne donnait plus signe de vie. Une flaque de sang couvrait une partie du front et 1'oeil gauche de la morte. C'est alors, conclut la,femme de chambre, que j'ai couru vous prévenir. (La suit» 4 la troisième page.) LE COLLEUR D'AFFICHES LA FEMME ET LE MARI. EN CORRECTIONNELLE roué en pleine rue un collenr d'affiche* qui affichait. sa bonne fortune Le peu discret don Juan avait répliqué à coup. de couteau

Bouton et loi époux Bedouet

Colleur d'affiches, Raoul Bouton, client assidu du restaurant tenu, 42, rue d'Argout, par M, et Mme Bedouet, était vite devenu l'ami du mari, puis l'amant de l'épouse. Du moins, Il affiche avec un égal orgueil cette double et grande amitié.

Finalement, le restaurateur apprit, après toute la clientèle de son établissement, qu'il était trompé par Bouton. Sa femme jura ses grands dieux qu elle était Innocente et fidèle et que le colleur d'affiches ne vantalt tout sim- Néanmoins, M. Bedouet fut pris d'un doute si cruel qu'il se résolut au sui- cide et. ai lee cinq tentatives qu'il fit ratèrent coup mur coup, il n'en faut rendre grâce qu'au hasard.

Le restaurateur, en effet, voulut successivement se couper la gorge avec un rasoir, se jeter dans la Seine. se tirer un coup de fusil de chasse, puis un coup de revolver, et enfin se frapper avec un couteau.

Reprenant goût à la vie, M. Bedouet songea à attenter à telle de c l'autre » qui persistait à le narguer et affirmer tous les coins de rues où l'entrainait son métier d'afficheur l'infortune conjugale du restaurateur.

Benificialre ou non de cette infortune, Raoul Bouton devait c écoper » de M. Bedouet quelques coups de bouteille qui eurent pour résultat de lui faire surgir deux grosses boues mur le front.

Le restaurateur était vengé.

Mais l'afficheur n'en continua pat moins à ridiculiser M. Bedouet et à lacérer la vertu de sa femme. Le 21 mal. alors que le restaurateur passait avec son épouse rue Sauvai, ils aperçurent Bouton. M. Bedouet se jeta sur Il Il le frappa avec une matraque en caoutchouc, tandis que Mme Bedouet, munie d'un bec-de-cane, lui martelait la tête. Le colleur d'affiches s'arma alors de son couteau et blessa ses deux agresseurs, fort grièvement d'ailleurs.

Hier, les trois combattants. poursuivis pour coups comparaissaient devant la chambre correctionnelle. Un témoin vint afflrmer à la barre avoir, 4e visu, constaté la bonne tortune du don Juan colleur d'affiches. M. Bedouet ne récria sans être écouté par le tribunal qui, ayant à juger uniquement la bataille à trois s'étant déroulée publiquement. prononça, après les plaidoiries de M" Chanu et Legrand, une amende de 50 francs contre les épcux si versés dans l'art de la boxe, et une peine d'un mois de prison avec aurais contre le colleur d'affiches ayant eu le tort de n'avoir retenu ni son couteau ni «langue.

LE TOUR DE FRANCE CYCLISTE Guerra premier à Charleville LE FRANÇAIS ARCHAMBAUD EN TÊTE DU CLASSEMENT GENERAL DES AS Dans la catégorie des individuels le Belge Louyet doit laisser la première place à son compatriote Hardiquest L'étape Lille-Charleville fui très dure sur les pavés du Nord rendus extrêmement glissants par la boue

CharlevUle, 28 juin.

Cette fois le rythme du Tour de Franceest retrouvé. Il est acquis. Ce qui pouvait manquer encore de saine frénésie est désormais gagné. L'hon- j ueur en revient pour une bonne part a Charleville qui, ce soir, s'en donne à coeur joie. S'il pouvait revenir sur ia planète, le poète Arthur Rimbaud, cet adolescent de génie qui railla les bourgeois carolopoli tains, ne reconnaîtrait plus sa bonne ville. Où sont-ils, entre tous, ceux que sa verve cruelle dénomma les assis 1 Tout Charleville est debout pour acclamer très sporti'£-ment l'italien Guerra, vainqueur de l'étape, et se réjouir de son succès. gaphones les immensw chars publici- taires sont aux divers points de la ville comme autant de baraques foraines autour desquelles les badauds en belle humeur s'assemblent. Un commerçant a eu l'idée d'un lâcher de petits ballons-réclame. Mille mains à la fois ne les disputent, se les ravissent et se les renvoient et l'éclatement final se perd dans les éclats de rire. En vérité, je vous le dis, les pauvres nommes accablés de tAches terriblement aé- un regret dé l'enfance, et Us n'oïit paâ assez d'occasions de jouer au ballon, et surtout pas'assez de prétextes honorabléa à triompher de ce respect humain qui empêche les grands > de jouer comme les petits. Un philosophe écrirait là-dessus des choses dénnitives. Mais que n'aurait-il pas à écrire sur tous les instants du Tour de France Ce matin a Lille, au départ, on de- meurait t un peu sous l'impression du terrible massacre de la veille. Huit éliminés et défaillants! Et parfois qjels éliminés Sieronski en était, Nouvelle effarante et dont on vou- lut douter jusqu'à son affichage a>u j café du contrôle. Je crois bien que Sieronski lui-même ne la connut pas plus vite qu'un autre. Toujours est-il qu'après le réveil je vis le pauvre Herbert descendre l'escalier de l'hôtel en sweater de laine grise et pantalon long de ville tandis que ses camara- des de l'équipe allemande se M- talent, impeccables dans leurs maillots blancs bande noire et rouge qui, on ne l'a peut-être pas encore assez remarqué, ont remplacé l'ancien maillot aux couleurs républicaines jaune à bande noire et rouge. Ici, maillot égale drapeau.

Je n'ai posé à Sieronski qu'une seule quesUon, très brève

Et alors ?

Sieronski, qui parle fort correctement notre langue ou à tout le moins celle de nos vélodromes, m'a laconi- quement répondu

On ne peut pas se crever.

Mais j'ai lu, malgré certain sourire courageux, bien de la vraie tristesse dans !es yeux clairs du pauvre coureur si brave

On parUt donc uns lui, sans Joly et sans six autres seigneurs de moindre importance.

Les < Lillots > des faubourgs les acclamèrent. On fit surtout tête aux Individuels, à ceux que d'importantes victoires n'ont pas encore trop éloignés du milieu originel, à.ceux qu'on sait moins bien partagés, à ceux qui, du premier jour, firent de si méritoires efforts.

A la barrière d'Hellemmes, un ouvrier me disait

Mol, je lève ma casquette pour les isolés, les malheureux avec, dans la voix de gorge, un fameux accent

Après une longue et pénible journée de marche les chômeurs nazairiens sont arrivés à Nantes

l'enduit nu alite im la route de La U distribulloa du «la (voir mwo 3.)

à à Cksrlevllle

circonflexe sur Yé d'isolée et combien d'r h malheureux

La chaleur populaire nous fit cortège si le soleil manqua souvent à la petite fête de famille. Des cars déposaient un peu partout des Belges venus de plus loin que de Mons. Quant aux frontaliers des deux côtés, il. ne confondaient. On dit que la frontière est une ligne Idéale. L'idéal franco*belge avait supprlmt cette ligne comme une corde qui barre désagréablement la route. Mineurs, forgerons et cultivateurs ae betteraves se pressaient dans les villages. Le douanier et le fraudeur discutaient les chances de Rebry ou d'Archambaud un fumant eune pipe d'un tabac qui enrichit guère la régie. Des vieux !OUrlalent à tous au seul) de maisonnettes de briques qui seraient si triâtes sans ces jolis rosiers qui leur font de menues portes triompha:es.

Cependant, nos garçons allaient leur train. Un fier train. Les pavés ne furent jamais et cruels. Comme et ce n'était pas assez, il fallait encore qu'hommes et machines plongeassent littéralement dans les crevasses de la. route qui étaient autant d'immondes piscines. Ah 11 était beau le maillot jaune qu'Arcbambaud détendit si chèrement

Maubeuge connut une émotion certaine en voyant filer droit devant tout seul, Charles Péhsster, si content d'avoir du coup retrouvé ce bruit d'acclamations sans lequel Il ne saurait vivre. Beaucoup crurent que Charîot gagnerait l'étape. Mais quelquesuns n'avaient pas suivi sans beaucoup déduire les efforts de Guerra, enfant ce la belle Italie souffrant sur les pavés du Nord.

Les supporters belges eux-mèmes, venus si nombreux dans l'espérance tellement légitime d'assister au triomphe de Rousse ou de Rebry, ne connurent plus de repos jusqu'à ce que les ondes leur vinssent confirmer ce que les meilleurs sportifs d'entre eux avaient pu prévoir la victoire de Guerre. La ruée de Guerra, flanqué de Ronsse, d'Aerts et de Rebry, sur la piste du vélodrome de Charleville fut un spectacle superbe. Un sprint magistral décida de tout

La tête continue. Pane- et et, censés. Pour ce qui est du cirque, grâce à la foire publicitaire et aux accordéons d'un chanteur populaire, on ne fait pas mieux. Pour ce qui est du pain, mon hôte m'assure qu'on en manquera.

In fine. Néanmoins, le massacre continue. Trois hommes sont ce soir hors de course et non des moindres Benoit Favre, oui, lui-méme, le mangeur de cols vaincu par les pavés; Bisseron, champion de France en 1931, et Erne, l'un des as de l'équipe nationale suisse, si peu chanceuse. Où allons-nous ? A Metz en attendant. André SALMQy

L'ambassadeur d'Espagne est blessé au visage

au cours d'un accident d'auto M. de Madariaga, ambassadeur d'Espagne, passait en voiture, à 23 h. 50, sur le cours Albert-I", lorsque, à la hauteur du numéro 34, son chauffeur, voulant éviter un taxi qui arrlvalt en sens inverse. fit faire à J'automobile una embardée qui la projeta contre un arbre.

M. de Madariaga, qul a été blessé au visage, a été reconduit à l'ambassade. Le chauffeur du taxi qui a été la poste de police des Champs-Elysées.


Le débat au Sénat sur la défense

du marché du blé LES NOUVELLES PROPOSITIONS DE LA COMMISSION

DE L'AGRICULTURE

Le Sénat a repris hier et continuera l'organisation de la défense du marché du bit

Le rapporteur de la commission de l'agriculture, "M. Marce1- Donon, expose que, après une nouvelle étude des textes en présence, la commission de l'agriculture regrette de ne pouvoir l'application de la loi. Elle a maintenu la date du 15 juillet. Le rapporteur ajoute que, sur la fixation du prix minimum, la commission soutiendra le prix de 115 francs et n'acceptera sur ce point aucune transaction. Par contre, elle a adopté le point de vue de la commission des finances en ce qui concerne la majoration à accorder au cours de l'année, soit 1 fr. 50 par mole au lieu de 3 francs par trimestre. Elle a également autorisé le ministre de l'Agriculture à augmenter ou à diminuer francs, selon les variations du poids spécifique du blé.

M. Marcel Donon examine ensuite, article par article, les dispositions cond'eux, fait connaître les décisions de la commission de l'agriculture. C'est ainsi que le ministre de l'Agriculture serait autorisé à ber par décret le prix maximum, dans chaque département, de la farine panifiable. Cette mesure, assure M. Donon, a pour but de réduire au minimum l'augmentation du prix du pain qui résultera de l'élévation à 115 francs du cours du blé. Pour réprimer la fraude. le texte aoumet au controle tons les minotier. travaillant au moins 12.000 quintaux Le régime de l'admission temporaire sera suspendu pendant une durée de deux mois.

La commission propose également de modifier le système de cotation des blés au Heu d'étre faite à la Bourse de Paris. cette cotation devrait être fait* par région.

Enfin, la commission de l'agriculture réduit à 10 millions, sans toutefois! le supprimer, comme le demandait la commission des finances, le crédit de 16 millions voté par la Chambre à titre de subvention pour la constitution des coopératives de stockage et de minoterie.

La discussion des articles

Après l'exposé de M. Marcet Donon, on passe à l'examen des articles. L'article décide notamment que pour la période qui s'étend du 15 juillet 1933 au 15 Juillet 1934 le prix minimum au-dessous duquel le quintal de blé destiné à la consommation humaine ne pourra être vendu est fixé à 115 francs. Ce cours sera majoré de 1 fr. 50 par quintal le premier de chaque mois. Ce prix est exclusif de tous frais de courtage. commissions et transport. Il s'applique aux blés de bonne qualité. saine, loyale et marchande, d'un poids l'hectolitre.

Ce texte est adopté à main levée. On repousae ensuite un amendement de M. Maullon stipulant que le, contrats portant livraison de quantités de blé ou de farine après 1e 15 juillet 1933 seront résiliables automatiquement. L'article premier donne au ministre le pouvoir de fixer par décret et par département le prix de la farine, cela en vue d'éviter toute spéculation. Ce texte est, de l'avis de M. Chéron, un peu obscur, et il sollicite du gouvernement quelques précisions sur les répercussion» de la loi quant à l'augmentation du prix du pain.

Les pouvoirs donnée au ministre, dit-il, ne me donnent pas, à cet égard, une garantie suffisante. Je lui demande l'a*surance que la farine ne dépassera quand le blé était à 115 francs. Il faut aussi que les commissions consultatives soient de nouveau réunie. et que les préfets exercent leur contrôle. M. Marcel Donon tient lui-même à faire savoir au Sénat quelles répercusslonm,e le prix du blé aura sur le prix du pain.

L'augmentatlon de 85 francs par quintal de blé, dit-il, aboutira à une majoration de 25 à 30 centimes par kilo de pain. Mais, pour éviter des abus possibles, nous autorisons le ministre à taxer la farine dans chaque département.

A son tour, M. Queuille assure 1e Sénat qu'il interviendra auprès des préfets pour la taxation de la farine. Quant à ramener le prix du pain à 11S francs, le ministre ne peut s'y engager, car la loi en discussion a abaissé le taux de blutage et prévu de nouvelles taxes. Mais il reconnatt que la revision des primes de mouture et de cuisson peut abaisser le. prix de revient, chose à laquelle le ministre s'emploiera activement

L'ensemble de l'article premier est ensuite adopté dans le texte même pré8enté par la commission d'agriculture. L'article 2 prévoit que tout expiai.tant de minoterie ayant broyé, au cours de J'année précédente, plus de 12J»0 quintaux de blé sera soumis à un contrôle permanent des services des contribution indirectes. Ce con-,trôle, M. Marcel Régnier l'accepte, mais il ne veut pas qu'il 'îevlenne per manent Il demande également que des sanctions soient prévues contre les mi- notiers qui se refuseraient aux vérifi- cations et il propose de traduire celte sanction par une amende de 500 francs. La commission accepte la suppres- nion du mot permanent ainsi que la quotité da l'amende de 500 francs. L'article 2 est alors adopté.

Paa de discussion sur l'article qui a trait au blutage des farines et dont le taux d'extraction sera fixé par dé- cret ni pour l'article 4, qui exige, à partir du lulllet 1934. dans les

10. Feuilleton du ciel/

IV (suite)

L'identification

Monsieur Hendersoo, poursuivitIl gravement, Il est Indispensable que que je puisse en juger d'après les appa- m'avez dit, votre tille était une brave main sur la bn1te qui l'a si sauvagement assaseinée. Je voue demandera) donc de me repondre aana réticence et de voir dans mes questions non pas une indiscrétion, mals seulement le souci que J'ai de résoudre une énigme troublante. Votre fltlv était-*lle fiancée ? Avalt-elle un amoureux ?

Ce fut sans hésiter que Henderson répondit

Depuis qu'elle a rompu «es flanÇ&lUe* avec Ted Wllklnson, le facteur, il y a un an environ, je ne cache pas Copyright by James Corbett et Jean Interdites en tous pays.

Bourses de commerce Que la cote dot farines soit accompagnée de l 'indica- tion du taux d'extraction.

L'article 5, qui suspend pendant deux sion temporaire, est adopté, après une intervention de M. Queuille sur les' répercussions de la mesure dans les minoteries.

L'artfcle 6 est supprimé.

Rapidement, on adopte l'article 7 sur les déclarations des emblavurea, ainsi que las article. aulvanta jusqu'à l'article 14 bis qui est lui-môme adopté avec un amendement de M, Victor Boret

Adopté sur simple lecture l'arti. cle 15, relatif au stockage des blés et à l'organisation de la vente échelonnée. Mais, la demande de M. Lamouroux. on disjoint l'article 16 qui pré.voyait un crédit de 10 millions à titre de sgbventlon pour la constitution de coopératives de stockage de mjnoterie. Demain. dit M. Lamoureux. sera déposé devant la Chambre un projet qui met 70 millions de crédits d'enga.gement à la disposition du ministre de l'Agriculture. Il pourra ainsi donner satisfaction à toutes les coopératives à caractère agricole.

L'article 17, qui permet le a(ockage de la récolte excédentaire. ne donne lieu à discussion. Il est adopté, ainsi que les articles 18 et 19, qui ont trait à la quantité minimum de blé indigène admie an régime du report. L'article 20 est adopté avec un amendement de M. Victor Boret fixant lea conditions dans lesquelles s'appliquera la prime.

La suite du débat est renvoyée à ce matin 10 heures.

La réorganisation de la Transatlantique La commission de la marine mar- chande a adopté en deuxième lecture l'avis favorable de M. Maurice Vincent sur le projet de loi qui avait été renvoyé au fond à la commission des financea concernant la partie financière de réorganisation de la Compagnie Transatlantique après diverses observations sur le montant des charges financières. les actions à vote plural, le droit de réserver à l'Etat un nombre d'administrateurs proportionnel à sa participation au capital de la Société. La revision des baux commerciaux La commission sénatoriale de législation, réunie sous la présidence de M. Lugol, a examiné la proposition de loi sur la révision des baux commetcieux, à laquelle la Chambre avait apporté un certain nombre de modifi.cations. La commission a accepté la plupart de ces modifications et elle a autorisé M. Jean Bosc a déposer son rapport. Elle demandera au Sénat d'exa.miner de nouveau cette proposition dans sa séance de vendredi.

Une réunion de la majorité du groupe parlementaire S.F.I.O. Les députés socialistes qui font partie de la majorité du groupe ont tenu hier au Palais-Bourbon une réunion dans laquelle ils ont surtout délibéré sur les projeta qui doIvent être examinés par la Chambre avant la clôture de la session Transatlantique, chemins de fer, crédits de report, outillage national, pleins pouvoirs en matière douanière.

Considérant que, à l'occasion de ces divers projets, la problème politique et parlementaire peut se trouver posé, Ils ont procédé à un échange de vues au cours duquel ils ont conçu l'ldée de proposer ce matin au groupe d'entrer en contact avec les autres groupes de gauche et avec 1e gouvernement afin d'étudier la position à prendre pour contribuer au maintien de la majorité du 8 mal. Ajoutons que les députée qui assistaient à cette réunion se sont montrés hostiles à la mise en discussion du projet sur les pleins pouvoirs douaniers, dont Us ne sont pas partisans. La réorganisation clés graada réseau de chemin de fer

H. W. Bertrand

C'est demain que la commission des finances de la Chambre se réunira pour examiner à son tour le projet relatif à la réorganisation des grands réseaux de chemins' de fer.

On sait. en effet que la commission des travaux publics a approuvé la convention nouvelle. après avoir entendu M. Paganon et le rapporteur, M. William Bertrand dont l'esprit de conciliation a facilité la tache du ministre.

On arrête à Paris un voleur recherché par divers parquets Recherché pour vol au rendez-moi par les parquets de Marseille et de Carcassonne, un vieux cheval de retour dont le casier judiciaire s'orne de onze condamnations, Jean de Ribeyroilee, né le 13 mai 1904 à Lyon, avait, jusqu'à présent, mis en défaut la sagacité des policiers,

Récemment, à l'occasion de surveillances exercées à la gare du Nord pour dépister les voleurs opérant dans les trains, l'attention des inspecteurs Reynier et Cavalier, de la première brlgadd mobile, fut attirée par un voyageur effectuant presque quotidiennement des voyages sur la ligne ParisCreil.

Cette fréquence inusitée, comme les son identité, il affirma s'appeler Joseph Verne, interdit de séjour

Mais, vérification faite, Il apparut que Joseph Verne n'était autre que de Ribeyrolles, qui, en déclinant une fausse identité, avait espéré donner le change aux policiers, car il se savait recherché par plusieurs parquets

qu'elle ait fréquenté des jeunes gena Elle sortait surtout avec une amie, Mary Brookes, qui habite au 19 de la 8a confidente et je suis certain qu'elle vous dira la môme chose. Mary et Ruth étalent Inséparable* et je ne crois pas qu'elles faisaient grande attention aux jeunes gens, monsieur Dacre. Et. à dire vrai, il y a eu tant de chômage à Weymouth, .dernlèrement, que je crois que ni les garçons ni les jeunes filles ne pensaient guère au mariage. L'Inspecteur, qui n'était pas un sténo- fut heureux d'uns passe qut lui permit de terminer la longue phrase. Pas de lettres ? demanda Dacre préoccupé. Votre fille n'a jamais reçu de déclaration d'inconnus ? On ne lui a Jamais demandé de rendez-vous ? Mais Menderson eecoua la tête. Oh non, monsieur, répiiqua-t-il. Ma fille était sérieuse et rien ne me permet de croire qu'elle aurait entretenu une correspondance clandestine avec uo étranger.

S'Intéreasait-elie particulièrement A l'Aviation?

Paa que je eache. Je l'ai bien entendu dire de temps à autre qu'elle aimerait faire une promenade en avion. mats sans y attacher beaucoup d'Impor- tance. Et voyez-vous, monsieur Dacre, à mon avis, voilà ce qui a dO arriver Elle a rencontré un chenapan quand elle est sortie pour faire des courses aujourd'hui, hier peut-itre il lui aura offert de lui donner le baptême de l'air et elle aura accepté. Mais pourquoi a-t. elle été assassinée ? Cela me dépasse. Croyez-vous qu'il ait voulu abuser d'elle ? On n'abuse pi. d'une fille en avion, que diantre Peut-être voulaitil l'emmener au loin, à l'étranger. et, devant son refus. il l'aura tuée ? Cela

Les pleins pouvoirs en matière douanière Dans sa séance d hier, la commission dès finances a examiné le projet de loi portant modifications à la loi du 31 mari art. 32, qui a porté de à 8 le le taux de la taxe d'importatlon eur leu produits semi-ouvrés et ouvrés le projet accorde au gouvernement le droit de modérer ces taxes, qui ont sonlevé la protestation de divers pays (notamment de l'Angleterre, de la Suisse, des Etats-Unis).

M. Patenôtre Desnoyers demande quelle serait la répercussion budgétaire ? 300 à 400 millions, répond le rapporteur général qui annonce que le gouvernement pourrait demander aux Chambres l'institution de taxes compensatrices. M. Vincent Auriol fait des réserves et demande l'audition du gouvernement. M. Mandel souligne la parenté de ce projet avec celui qui confère au gouvernement de large. pouvoirs en matière douanière et que la Chambre a écarté la veille.

Il est décidé que le ministre du Bud- get sera interrogé sur les conséquences budgétaires et économiques du projet. M. Lamoureux a fait connaître que le gouvernement désirait être assuré pour le cas où la conférence de Londres prendrait certaines décisions pen- dant les vacances parlementaires. M. Vincent Au riol demande comment serait couvert le déficit budgétaire qui pourrait résulter des décisions à Inter. venir.

M. Paul Reynaud fait remarquer que ce qui est demandé c'est exactement de transférer au gouvernement des pouvoirs qui appartiennent en propre au Parlement. M. Pâte nôtre- Desnoyers s'inquiète des répercussions possibles pour l'économie nationale.

Le ministre du Budget répond qu'il d'importation a provoqué des représailles et qu'elle en pourrait provoquer d'autre8.

M. Joseph Denais demande quelles corrélations existent entre les opérations financières effectuées à Londres pour le placement de bons du Trésor et les réclamations de l'Angleterre contre la surtaxe sur les Importation.. Le ministre répond que les protestations anglaises sont fondées sur des engagement., pris l'an dernier Lausanne. A M. Georges Mandel qui demande si la liberté du gouvernement subsfate en matière de tarit, douanlen et de contlngentement, Je ministre répond affirmativement sur le principe, mais ajoute que le gouvernement ne pense nullement à compenser de cette manière les pertes résultant de l'abandon de la surtaxe d'Importation. M. Paul Reynaud souligne qu'il s'agit non pas d'une éventualité incertaine, mais de la volonté arrêtée d'aceorder au gouvernement le droit de consentir au profit de l'Angleterre une mesure qui relève du Parlement.

Le ministre revient sur la convention passée avec l'Angleterre à Lausanne en 1932 cette convention interdisant tout régime discriminatoire au préjudice de l'Angleterre. Il tient à maintenir la distinction entre le terrain fiscal et le terrain douanier. Une fois la sur.taxe supprimée, le gouvernement pour- rait prendre des Initiatives en matière douanière qui compenseraient le préjudice budgétaire.

La commission renvoie à sa séance d'aujourd'hui la décision à intervenir. A LA COMMISSION DU COMMERCE Sur le rapport de M. Aubert. la commission du commerce IL décidé de donner un avis favorable au projet de loi te1 qu'il a été établi par la commission des douanes tendant à autorteer le gouvernement à établir par décrets des surtaxes douanières exceptionnelles et temporaires.

AU GROUPE

DES REPUBLICAINS DE GAUCHE Les républicains de gauche réunis sous la présidence de M. Bonnevay ont examiué les projets de pleins pouvoirs en matière douanière, la question de la suppression éventuelle de la surtaxe des change. et de la majoration de la taxe à l'importation.

Après une discussion à laquelle ont prie part notamment MM. Piétri, Plandin, Amat et Coty, le groupe a décidé de se prononcer contre le projet de pleins pouvoir. dans sa forme actuelle. Il ne pense pas qu'il puisse être question de la suppression de la surtaxe des changes, au moment oh le désordre monétaire aggrave le déficit de la balance commerciale, et de ta suppression de la majoration de la taxe à l'importation, qui augmenterait le déficit budgétaire.

M. Flandin a été mandaté pour Inter.venir dans la discussion. Le groupe a ensuite procédé à un 'change de vues sur la situation financière et 1. projet d'outillage national. Enfin, il a décidé de charger M. Flandin d'interpeller le gouvernement au sujet des mesures que celui-ci compte prendre pour assurer la défense des porteurs d'obligation. Young, menacés par le moratoire allemand.

SAMEDI, CONSEIL DES MINISTRES samedi matin à 10 heures, à l'Elysée, sous la présidence de M. Albert Lebrun. M. Gîgnoux est nommé président de l'Union du commerce et de l'industrie Au déjeuner mensuel de l'Union du commerce et de l'Industrie pour ïa défense sociale, qui a eu lieu hier. M. Louis Dubois, président, a présenté à l'auditoire son successeur, M. ClaudeJoseph Gignoux, ancien sous-secrétalre d'Etat à l'Economie nationale, nommé président de l'Union.

M. Louis Dubois n'en continuera pas moins de s'intéresser activement à l'union, dont il devient président d'hon- sur.

La parole a ensulte été donnée à M. Berthélémy, doyen de la faculté de Paris, membre de l'Institut, qui a traité d'une façon magistrale la question de la réforme du parlementarisme.

mon plus n'est pas très plausible, k Moins qu'il ne tUt dément

Dacre eut un évasif. Il vaut mieux ne pas faire encore d'hypothèse», dit-il, ou nou* risquons de nous égarer sur une mauvaise voie. A quelle heure avez-voue quitté votre maison ce matin, Henderlon. et quand J'avala un travail à exécuter à Portland, Ce n'est pas très loin de quitté la maison à neuf heures et je ne au rentré qu'à six heures ce soir. Ah je n'oublierai jamais cette Jour- née Le travail à Portland m'a retenu Jueqn'a cinq heures. Après, j'ai bu un v#rro avec un ami cela m'a pris une vingtaine de minutes.

Et quand avez-vous lu le Journal ? Pas avant d'être de retour à Weymouth, monsieur Dacre, A vrai dire, c'est une voisine qui me l'a apporté. Une vieille amie de la famille, Mme Hepburn. Elle arriva en coup de vent et me dit 4 Oit est Ruth ?» Je répondis c Je ne ..le pas. Elle a dû aller au cinéma avec Mary Brookes, je pense. » Alors, elle m'a montré le jour- nal et, toute tremblante, m'a désigné la photographie. Et quand J'ai vu cette Dacre le remercia des informations qu'il lui avait données et ne leva pour terminer l'entretien.

Je vous préviendrai du jour de l'enquêta, dit-il doucement Il faut que vous ayez le temps nécessaire de faire les arrangements pour l'enterrement. Et si vous découvrez quelque chose de nouveau, si vous entendez parler d'un aviateur invitant les jeunes fille. de Weymouth à faire de. promenades en avion. prévenez-moi tout de suite. Certainement, monsieur Dacre, promit le pauvre père, qui se leva p6ni-

Un trésor de tapisseries

du temps de François Boucher Hier, à l'hôtel Jean Charpentier, Mme Jean Chiappe, qu' entouraient MM. Anatole de Monzle, Botlaert et une nombreuse élite du monde des arts, de la politique et des lettres. a Inauguré l'exposition de tapisseries du xvur siècle, organisée au profit de la Maison de santé dea gardiens de la paix.

Est-il besoin de décrire l'aspect des salles de la fameuse galerie du faubourg Saint-Honoré, des vastes salles dont aujourd'hui les parois disparaissent sous des ouvragea choisis dans ce que les manufactures de Beauvais et du Gobelins ont donné de plus parfait, de plus élégant, de plus savoureux, ces suites des Dieux, des Fêtes villageoise»,

De gauche à droite Mme» Lrhrun, (.'hiajipr et M. de Monxla

de. Opérât, de Don Quichotte et ces séries roses avec médaillon* enguirlandéa qui firent la joie des jolies châtelainea de Choisy, de Bellevue, de Trianon ?

On peut s'imaginer l'ambiance d'opulence, de goflt extrême, de grâce et de raffinement qui règne parmi les chefsd'oeuvre de cette ancienne industrie qui commanda ses arodèles à un Coypel, à un Desportes, à un Jaural et, surtout, au prodigieux Boucher qui était l'ornement fait homme et l'âme de la décoration Louis XV.

Pour compléter la fête, on a posé au pied des pièces accrochées des écrans et des meubles de l'époque, entre autres un somptueux ensemble à fleura rouges au Régent, provient lu château de Randon puis une autre t famille » de sofas et de fauteuils à motifs Imités des camées de Wedgwood bleu et blanc, véritable merveille de mesure et d'harmonie.

Unique en son genre et ouverte au public dès aujourd'hui, cette manifestation en faveur des « braves gens auxquels Incombe le dur devoir de veiller sur notre tranquillité sera, sans aucun doute, un des gros succès de la saison. Vandkrpyl.

LES CONDITIONS D'ENTRÉE DANS LA CLASSE DE SIXIEME DES LYCÉES ET COLLÈGES Le ministre de l'Education nationale rappelle aux familles qu'une circulaire du 10 juin dernier, adressée aux rec- teurs, 8. précisé les conditions auxquelles est subordonnée au mois d'octobre prochain rentrée dans la classe de sixième. Les proviseurs pourront, sur ce point, De manière générale, il a éti décidé que les commissions Instituées par la circulaire du 21. juin 1932 feraient subir, dans la dernière semaine de tannée scolaire, $ toua les candidats, à l'exception des enfants reçus et classés au concours des bourses première série qui seront admis de plein droit. quelques-unes des épreuves qui servent tradltlonnellement pour décider du passage en sixième et qui portent sur les programmes du cours moyen deuxième année et de la classe de septième identifiés par 1 arrêté du Il février 1928 et les instructions du 27 août 1927. Les sujets des épreuves seront choisis, sous la présldence du chef de l'établissement, par ceux des membres des commissions qui appartiennent au personnel d'enseigne.ment de direction et d'Inspection c'est eux également que reviendra le soin de noter les copie..

Une seconde session réservée aux seuls enfants qui n'auraient pu prendre part aux épreuves de juillet aura lieu dès le premier jour de la rentrée. La réunion de la commission d'admission se tiendra aussitôt après.

la commission du suffrage universel se prononce au Palais-Bourbon contre la représentation proportionnelle dence de M. Mandel. a procédé à fa dé- algnatlon d'un rapporteur pour les propositions de loi de M. Louis Martin et de M. Bracke tendant à l'établissement de la représentation1 proportionnelle. M. Léon Baréty a déclaré qu'il convenait de connaître par un vote l'opinion de la commission sur le principe de la R.P. avant de procéder à la désignatlon d'un rapporteur.

Après que M. Renaudel eut demandé que ce vote soit reporté à une prochaine séance, la commission s'est déclarée, par 14 voix contre 9. défavorable au principe de la R.P. M. Baréty a été nommé rapporteur, M. Guemut ayant déclaré ne pas être candidat.

Par 18 voix contre 0 et à la suite de l'intervention de M. Mandel, la commission s'est prononcée en faveur de l'égalité politique des deux sexes et a nommé M. Bracke rapporteur de la proposition de loi de M. Proust tendant a accorder aux femmes l'électorat et l'éligibilité.

blement de sa chaise. Il semblait écrasé par le poids de sa douleur et soudain vieilli.

Pou rquoi ne re*te riez-vous pat» ici ce soir, Henderson? demanda le commissaire avec sollicitude. Je vous trou* veral une chambre à Cottingdale et ce sera moins triste pour vous que de retourner à Weymouth dans une maison vide. Voulei-vous?

Mais Henderson ne redressa et non visage exprima la détermination. Non, non. Je tiens à retourner à Weymouth ce soir, déclara-t-il avec fermeté. Je veux m'informer. Je veux voir tous les amie de Ruth et principalement Mary Brook«; Je lui demanderai .1 ma tille lui a jamais parlé d'un aviateur. Elle me dira la vérité et si elle .ait quelque chose, je vous préviendrai ferai tout mon possible pour vous aider et et jamais je découvze le misérable qui t tué ma fine. que Dieu ait pitié de son Ame! car je n'aurai pas pitié de lui.

Sur cette menace, Henderson sortit, accompagné de l'inspecteur Murray, et lorsqu'ils eurent disparu, un silence pesant tomba sur les deux hommes. Dacre réfléchissait profondément. Puis, se tournant vers le commissaire de police

Dites-moi, Muir, vous êtes absolu- ment certain qu'il n'existe pas d'aérodrome près de Weymouth?

J'ai déjà vérifié cela, répondit le commissaire avec vivacité. L'aérodrome le plus proche est celui de Bristol. Ce qui ne veut rien dire, car ce n'est que l'affaire de quelques minutes pour venir ici de Croydon. de Farnborough ou même de plus loin encore. Et puis. nous avion privé et, dans ce cas, le Ciel nous vienne en aide! Depuis quelques années.

NOS ÉCHOS

lA flimmê du Senre&ir s? m ravivée il 18 h. 30, par tes A. C. de la Ligue maritime et coloniale française; Entre Nous. société des blessés mutilés de BoulogneS*a»t Séances à 10 heures et heures (défense du marchA du blé).

Chimbr* de. député. Séances 9 h. 30 et à 15 h. 80 (projet sur la viticulture). visite de la Samaritaine > présentation d'une oeuvre sociale par IL Ferpend Laudet, membre de l'Institut. Concours de ConMrvatoIre Piano (hommes). 14 h., 2 bit, rue du Conservatoire. d'ancien* combat tan tg 4* hus15» et,21 h.. 104, rue de Rivoli, Union des crapouillots. 21 h.. 8, rue Sain t-D« oie.

Manuscrits de la donation Henri de Rothschild. Bibliothèque nationale. Salon des Tuileries, 285. boulevard Haspall. Salon de la Nationale et des Artistes français. Grand Palais. Fete d'eduratlon phyafqne de. Ateliersd'apprentissage, 14 h. 30, porte de VerFête de quartier Avenue de Neuilly. Concerts publies 15 h. 30, Luxembourg; h., parc Monceau. Chain o-de- Mars, square de Ptcpus 21 h., equarea de du Temple, de la Nation plaws de la Réunion. Carpeau* et de ment. Colombe! (square Edgar-Qulnet). Gentllly (place de la Mairie). Course» à Auteull, à 14 heures.

Le Président de la République a reçu hier après-midi l'ambassadeur de France à Berlin, le délégué de la France à la caisse de la dette égyptienne, le président et les membres du nouveau bureau du conseil municipal de Parla.' M. Daladier a reçu hier M. Fiquet, président, et le nouveau bureau du con.seil municipal de Paris.

M. Henri de Segogne, fondateur et président du groupe de Haute Montagne et secrétaire général de la seclion parisienne du Club Alpin Français, vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur, au titre de l'Educa.*ion phyaique et des sports.

A l'occasion du « Vldovdan », fête nationale yougoslave, une cérémonie religieuse a eu lieu hier au cimetière yougoslave de Thiala. Elle avait été organisée par l'Association des Amis de la Yougoslavie, l'Association parisienne des Poilus d'Orient et la colonie yougoslave de Paris.

M. Emile Kohn-Abrest, directeur du laboratoire de toxlcologle de Parts, vient d'être nommé membre correspondant étranger de l'Académie de médecine de Belgique.

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On annonce le décès de M. Victor Allard, Imprimeur à Parts, 111, rue du Mont-Cenis. survenu le 13 juin 1933, à Cour-Cheverny (Loir-et-Cher). lA service d'inhumation provisoire a eu lieu à Cour-Cheverny, dans la plus stricte intimité.

Le service religieux et l'inhumation définitive auront lieu ultérieurement à Paris.

On annonce la mort de M. Charles Delalé, conseil ler à la neuvième chambre de la cour d'appel de Paria. décédé la. suite d'une longue et douloureuse maladie.

OBSEQUES

Les obsèques de M. Karcher, maire du XX. arrondissement, officier de la Légion d'honneur, auront lieu cet aprèsmidi à 14 h. 30, à la mairie, place Gam-

M. PIERRE BERTRAND EST NOMMÉ MAIRE DU 1" ARRONDISSEMENT M. Pierre Bertrand est nommé maire du I" arrondissement de la Ville de Paris, en remplacement de M. Poulalion, décédé.

M. Charles Chedeville est nommé adjoint au maire du X" arrondissement de la Villede Paris.

LA LEGION D'HONNEUR

A L'ECOLE SUPERIEURE DES MINES Sur la proposition de M. Paganon, ministre des Travaux publie. la croix de la Légion d'honneur est conférée à l'Ecole nationale supérieure des mines de Paris.

LA CHATTE

ROMAN

par COLETTE

« Rarement volette atteignit pareille mnttrise. Voici un «Chefmatin o écrivait hier matin un grand critique et de.* plus sévères. Le grand publia ratifie ce magnifique éloge et fait à la Chatte un succès prodigieux. (Grasset, un volume. 12 francs.)

ils se sont multipliés comme les petite palna de l'Evangile!

C'est exact, fit Dacre, pensif. Scottiques et Je compte mur vous, Muir, pour peut exister comme avions privée. Je lundi. 3 heures, mai a je vous confirmerai cela plus tard. Merci de m'avoir prévenu de la présence d'Henderson. Il ne noue a pas donné beaucoup de renseignements/ mais l'Identification est certainement Importante et elle oriente ne. recherchée sur Weymouth. C'est Muir se leva et l'accompagna Jusqu'à baignait le village endormi d'une clarté dure et découpait l'ombre des maisons sur les pavés inégaux de la rue déserte. pas la moindre brise ne troublait le calme de la nuit. L'air était chaud et les animaux accablés sommeillaient. Mais aux deux hommes silencieux, cette paix profonde était comme imprégnée de tragédie et la vue de Cottingdate aesoupl dans cette sérénité nocturne ne pouvait effacer la vision atroce de cette fille assassinée. Malgré eux, ils levèrent la tête comme s'ils s'attendatent à voir soudain, dans la céleste féerle étoilée, apparaître l'avion porteur de mort.

Le commissaire fut le premier à ne Bonsoir, monsieur Dacre, dit-il. J'espère que vous êtes confortable au « Cheval-Blanc Je vous al recommandé moi-même au patron et si la nourriture n'est paa à votre goût, prévenez-moi.

Je suis très eonfortable, merci, Muir, répondit le détective. L patron

Programme des spectacles Opéra, relftrhe.

France! 2 b., le La. le Monda où l'on reux. Monsieur Venut, le Voyageur et l'Amour.

8 h. 80, Madame Butterfly. OdAo«t 2 h. 30, l'Etourdi, Un caprice 21 h., le Rosaire.

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'on craint la vérité. niTMAiu tu VINTI PARTOUT

de votre auberge est un brave type; seulement je crois qu'il s'imagine que je Voyez-vous, Muir. je suis fataliste de tempérament et le métier que J'ai adopté a exagéré encore cette tendance. Je suis intuitif aussi et je possède des aortes d'antennes. Lorsque je commence à m'occuper d'une affaire, je sens tout de suite si je parviendrai rapidement à une solution ou si le criminel me donnera du fil à retordre. Eh bien je ne sais pourquoi, car cet assassinat est particulièremant mystérieux et je n'ai pas grandes données mur lesquelles marCe crime-là n'est pas le fait d'un indlvidu de sang-froid. Pourquoi s'être débarrassé de ce cadavre en le lançant dans la campagne, alors que la mer était mi proche ? L'homme a du perdre perd la tête est sûr de commettre des l'autre. Il suffit parfois de mi peu de chose pour perdre un homme Souhaitons que votre intuition ne vous trompe pas, monsieur Dacre, condu jeune détective.

J'en ai le pressentiment, acheva Daere. Maintenant, j'ajoute qu'il est Indispensable "aider les pressentiments! Il y a une vieille opinion basée sur l'expérience et qui veut que les criminels retournent souvent au Heu de leur crime. C'est exact Voulez-vous donc donner ordre à vos hommes de surveiller le ciel et s'ils voient un avion survoler Cottingdale. qu'ils tachent d'en noter les particularités ? Que l'on note la direction d'où il vient et qu'on m* prévienne Immédiatement.

Alhambra, le Provocateur.

Maitlot-rat., ['Allemagne vue par le rame, Lerd-Byrm, the Kld from Sp*in t£.Cantor) Agriculteur*, la Vie commence.

Bosap. la Via commence, do monde Uixate, Conduisez-moi, madame (A.Beroard) Mitétla-Fatké, Marias.

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Que Peau noua ait été donnée pour noua désaltérer, nous le savons tous. Qu'elle puisse aussi remonter nos forces, voilà ce qu'on sait moins, et dont on a pourtant la preuve indiscutable lorsqu'on a fait de Rosana pendant quelque tempe son eau de table habituelle.

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journée, sur place, il Versailles.

Le commissaire promit d'affecter ses meilleurs agents à cet effet.

C'est peut-être une précaution inutile, le pilote assassin peut ne pas commettre la faute de revenir constater que sa victime a été découverte, mais les avlateun sont Imprudents de nature. Et la justice immanente n'est pas toujours un vain mot. Unir

V

Où Dacre reçoit un* visite inattendue Une surprise attendait Dacre au Intuition, en défaut cette fois. n'avait pas eu deviner.

En arrivant à l'auberge il devait être près de onze heures Il l'encan.. tra le patron qui J'attendait dans l'entrée. en proie k une impatience extraor- dinatre. Sitôt qu'il aperçut Dacre, Il se hâta vers lut. bafouillant une explication que le détective dut lui faire répéter. A la fin, Il comprit qu'une jeune da,me l'attendait dans la salle k manger.

Qui est-ce? demanda Dacre.

Je crois que son nom est Lena Somerton, répondit le patron, qui avait recouvré un peu de calme, Elle a pris une chambre pour ce soir, niais son écriture eet illisible. Elle est en train de dîner et a demandé à vous voir aussitôt que vous reviendriez. Une bien Seulement, elle n'a apporté qu'un sac à main et je me méfie un peu dé eu voyageurs sans bagages. Il y a environ une demi-heure qu'elle est arrivée. Dacre sourit. Il verrait cette jeune deme dont la personnalité av-1t si tort Impressionné l'h6teller. Il accrocha mon chapeau, s'arrêta pour allumer une cigarette et et dirigea sans hâte vers la aaUe à manger. lA «uivraJi


'DERNIÈRE HEUJME ̃̃«vice» « rtu&mw.vvtm artexwx am rmm fmrtmfm «• «̃ hmi

LE PROBLEME

DE LA STABILISATION DES MONNAIES

RESTE EMEU A LONDHES ̃UIT» on LA PltEMltftl PAO!

Malgré ce surmenage, U faut lui rendre la très grande justice qu'il ne perd pas une occasion d'affirmer avec autant de fermeté que d'à-propos les principes qui, depuis le début de la conférence, ont inspiré l'attitude de notre pays, spécialement en ce qui concerne le rétablissement de la stabilité monétaire dont nous faisons la condition de toutes les décisions susceptibles d'intervenir au sein des diverses commissions.

Une de ces occasions lui a été fournie à la fin de cet après-midi par la réunion du bureau, qu'avait convoqué IL Macdonald pour prendre connaissance du rapport aussi complet que volumineux établi par le secrétaire général, M. Avenol. sur 1'état des travaux de la conférence.

Ce rapport. dont il a été décidé, sur la proposition de M. Hyznans, de ne publier, pour le moment, qu'un résumé, indique comment la conférence a organisé ses travaux et l'état des différente» questions en discussion. C'est donc un document dont le caractère provisoire doit être d'autant plus souligné que les divers résultats obtenus jusqu'3 ce jour demeurent. ainsi qu'il déclare lui-même, c subordonnée à la réalisation d'accords parallèles dans les autres domaines Tant que des accords définitifs ne seront pas intervenus, on ne *uMtai* évidemment tenir pour acquises les conclusions qui y figurent et qui mont actuellement toutes conditionnelles.

C'est pour cette raison que le document complet, qui se divise en un certain nombre de chapitres commission monétaire et financière. politique de crédit et niveau des prix, endettement 2° commission économique, politique commerciale, coordination de la production et de la vente, mesures autres que les droits de douane et les prohibitions affectant le commerce international, travaux puDlics et autres mesures propres à r6cuire le chômage, etc., a été réservé t l'information exclusive des membres du bureau.

Bien qu'il en soit ainsi, au cours de la discussion à laquelle ce rapport a donné lieu, M. Georges Bonnet a récStmé avec Insistance et obtenu que •Oit nettement précisé, en tête du chapitre relatif à la commission économlque, que < les conclusion auxquelles aboutirait cette commission seratr nUes-mêmes subordonnées à la toc ,*û» d'un accord à la commission monétaire sur les problèmes alléreins la stabilité des monnaies ». La condition que M. Daladier a posée dès le premier jour 6 la tribune de la conférence. et que M. Bonnet a précisée depuls à plusieurs reprises, se trouve ainsi non seulement affirmée une fou de plus, mais acceptée par le bureau, puisque, avant de se séparer, ce dernier a adopté à l'unanimité l'ensemble du rapport.

La situation, en ce qui noua concerne, se trouve donc, de la sorte, pleinement sauvegardée, mais la solution du problème de la stabilisation des monnaies ne conserve pas moins tout son caractère d'urgence.

Dans l'entourage de MM. Cordell Hull et Moley, qui ont eu cet aprèsmidi de nombreux contacts avec les diverses délégations et notamment la délégation britannique et qui ont en Un de journée reçu la presse Internationale, on laissait entendre que la hausse des prix qui vient de se pro- hâter ie moment oû une stabilisation provisoire deviendrait possible. Enregistrons cette parole d'espoir, mais gardons-nous jusqu'à plus ample informe d'y attacher trop d'impor- tance. UN DISCOURS DE M.P.-E. FLANDIN AU BANQUET ANNUEL DE L'ALLIANCE DEMOCRATIQUE M. Pierre-Etienne Flandin, présidant hier soir le banquet annuel de la Fédération de la Seine de l'Alliance démo- erotique, a prononcé un grand discours où, avec son éloquence habituelle, ai claire et si précise, et parfois nuancée d'ironie. Il a passe en revue les grands problèmes qui retiennent en ce moment l'attention de l'opinion française, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Le succès de l'ancien ministre des Finances a été des plus vifs, et c'est au milieu d'une longue et chaleureuse ovation qu'il a brillamment conclu, après avoir expose la doctrine du « libéralisme » économique et politique des républicains du centre

Après avoir défini « le rôle des partie dans la démocratie », M. P.-E. Flandin en est venu à préciser l'attitude de ses amla en présence de la majorité gouvernementale actuelle. c Il n'a pas dépendu des républicains du centre, a-t-11 déclaré, qu'une collaboration féconde s'instaurât entre eux et le parti radical socialiste Il est convaincu du moins que l'entente radicale et socialiste « se heurtera fatalement aux événements ». Et d'évoquer, à ce sujet, les difficultés du budget de 1934. La formule du redressement budgétaire, ajoute t il. t aboutit à un fossé quT faut finale* ment sauter Et plus on attendra, plus il s'élargira. D'une manière ou d'une autre le c cartel devra être rompu.

L'orateur parle ensuite de la conférence de Londres et critique certaines déclarations de nos négociateurs. Puis il fait le procès de l'étatisme et de l'économle dirigée « formule de décadence et de lâcheté devant le risque éternel de la vie ». Il se peut que ceux qui prê Mais « Us auront leur revanche le Joui où les Français secoueront le joug des théologiens du désordre réglementé ». Et M. Flandin termine par une éloquente apologie de la liberté, au milieu des acclamations prolongées de l'assis- tance.

Avant M. Flandin avaient pris la parote MM. Pierre Godin. conseiller municipal, président de la Fédération de l'alliance de la Sein.. Delobel, président d'un groupe de jeunes, Doursaln, député, Jean Fabry, ancien ministre, qui i avalent pris comme thème de son dis- cours les questions intéressant la délenee nationale, enfin M. Paul Reynaud. ancien ministre, qui avait traité plus spé- cialement de la question financière et qui, après avoir rappelé les graves dif flcultes du budget et de la trésorerie, pour sauver le gouvernement à tltrt provisoire, risquer de perdre le pays à titre définitif ». l'opposition, du moins, question l'opinion publique >.

L'organisation

du prochain congrès national du parti socialiste

Réunie hier soir sous la présidence de M. Qraziani, la commission administrative permanente du parti socialiste a d'abord entendu M. Salengro, député de Lille. rendre compte d'une délégation qu'il a accomplie au congrès du parti ouvri er belge.

Ensuite, la commission a adopté le projet d'organisation des travaux du prochain congrès national. présenté par le secrétariat.

La première journée (14 juillet), le congrès examinera les rapports administratifs divers. Les trois séance. de la deuxième journée seront consacrées à l'examen du rapport politique de la commission administrative permanente, établi par M. Paul Faure, secrétaire général, et le rapport du groupe parlementaire. C'est à ce sujet que viendront en débat les divergences politiques qui ae sont élevées entre la majorité du parti S. F. 1. O. et la majorité de mon groupe parlementaire.

L'ordre du jour de la conférence socialiste Internationale occupera la troisième journée. Le même soir et le matin de la quatrième journée siégera la commission des résolutions, et, enfin, l'après-midi du 17 juillet, le congrèe votera sur les textes issus des délibérations de cette commission, et renouvoile- les organismes centraux du parti socialiste.

Enfin, la commission permanente a voté hier soir la motion suivante En application des congrès de Lille et de Clermont-Ferrand. Interdisant aux membrea du parti d'entrer dans d'autre. oresnisations créées pour une action politlque suivie, et le groupement connu sou* le nom de c Front commun contra le fascisme > ayant les caractère. d'une formation Politique, la commission administrative permanente estime que les membres du parti doivent s'abstenir d'y entrer.

E convient d'expliquer que le « Front commun contre le fascisme a été créé. il y a environ deux mois, Il l'insugatlon de M. Georgee Monnet, député socialiste de l'Aisne, en opposition au c Front unique a, créé par les communistes, lesquels on, convoqué. pour le mois prochain, à Copenhague, un congrès mondial contre le fascisme. LE CRIME

DE LA RUE DES MARTYRS aotn oi la rasant» r&os

Dans la chambre où MM. Xavier Gulchard, directeur de la police judiciaire, et Guillaume. commissaire divl.sionnaire, accompagnés du brigadierchef Slquet et de l'inspecteur Lucien Schmitt, devaient peu après rejoindre M Siri. les policiers constatèrent que le corps était déjà froid.

La victime. allongée dans la position Indiquée par Mme Joly, était toute vêtue. Sa ceinture était bouclée autour de son mai. t eau et son chapeau se trouvait encore bous sa tête. Les bras allon. gés le long du corps, elle avait ses vêtements relevés au-dessus des genoux, une serviette de toilette enroulée autour de son cou avait servi à l'étrangler. Au milieu de son front on remarquait une plaie produite par un instrument du genre d'un poinçon. De cette plaie du sang avait coulé sur l'œil gauche et sous la tête. Entre ses dente serrées, la morte retenait une partie du couvre-lit qul lui avait été enfoncé dans la bouehe pour étouffer ses cris.

Sur le Ht, près du corps, un sac en cuir noir verni portant l'initiale a M » contenait 40 centimes, trois ticketa de métro pris il y a quelques jours aux stations € Barbes » et c Abbesses atnai que des bons primes d'un débit du boulevard Barbès.

Dans une soucoupe. sur la cheminée, on retrouva les cendres de deux cigarettes. Le crime avait dû se dérouler presque au début de l'entretien. Après avoir fat, photographier dans la soirée par le service de l'Identité Judiciaire la position du corps et quelques empreintes sur le cendrier et sur le aac de la victime. les enquêteurs ont poursuivi leurs investigations tant pour Identifier la victime que pour retrouver les traces de son assassin.

Ni 1. Toi, ni la vengeance

n« paraissent être le* mobiles da crime Le brigadier chef Piguet et l'inspecteur Lucien Schmitt devaient, dans la soirée, identifier la victime Marcelle- Eugénie Puissant, née le 17 avril 1901 à Bar-sur-Aube, demeurant en hôtel, 31, rue Germain-Pilon. Elle y habitait, depuis dix-huit mois environ, avec un ami, chautfeur de taxi, actuellement malade et en chômage.

Aucune discussion. nous a déclaré l'hôtelière, ne s'est jamais produite entre eux. Ils s'entendaient parfaite» ment Mlle Marcelle était d'ailleurs très douce. Depuis le chômage de son ami j malade, elle avait, discrètement, modifie quelque peu son genre de vie. Tout en prenant régulièrement ses repas chez elle. elle sortait chique Jour. l'après-1 midi et le soir.

Le cadavre a été pria, iL 21 h. 30, par un fourgon qui l'a transporté à l'Institut médico-légal aux fins d'autopsie. Les éléments recueillis ont amené les enquêteurs à Inclinel en l'état actuel de leurs investigations vers l'hypothèse d'un crime de sadique.

La mise extrêmement modeste de ta victime et ce que l'on sait de son existence permettent d'écarter l'idée que. son compagnon de rencontre l'ait tuée pour lui voler argent ou bijoux. D'autre part, s'il y avait eu meurtre involontaire au cours d'une vive discussion, 11 est vraisemblable que l'homme, se ressaisissant aussitôt, aurait pris la fuite presque immédiatement, au lieu de a attarder trois quarts d'heure environ près du corps ensanglanté de sa victime.

JOURNEE DE DEUIL HIER EN ALLEMAGNE

Berlin, 28 juin (dép. Petit Parisien.) Toute l'Allemagne du III- Empire a célébré comme une journée de deuil national le quatorzième anniversaire de la signature du traité de Versailles. de l'Empire ont mie leurs drapeaux en berne.

Ce soir a eu lieu, au Lustgarten une grande manifestation contre le traité organisée par le parti naziete. Une autre manifestation a eu lieu au Reichstag. Deux autres grandes manifestations ont eu lieu ce soir à J'université et sur la place de l'Opéra. Les sections locales du mouvement naziste ont. de leur côté, organisé des meetings avec conférences dans tous les quartiers de la capitale.

UN DISCOURS DU Dr FRICK SUR L'EUGENISME

Berlin, 28 juin {dép. Pct\t Parisien.) Le ministre de l'In térieur d'Empire Dr Frick. a prononcé aujourd'hui une intéressante allocution sur la situation dêmographlque de l'Allemagne. En volet Le régime révolutionnaire prépare une loi destinée à empêcher la reproduction d'individus atteints de tares hérlditaires. Une telle mesure est plus humaine que d entretenir par de coûteuses allocations les rejetons de ces Individus, diminués au point de vue physique. La loi accordera de sens! bles réductions d'Impôts aux familles nombreuses et melllera à ce que les mères de famille travaillant au dehors soient rendues à leur foyer.

La Chambre

poursuit en séance de nuit le débat sur la viticulture La discussion générale sur le projet de loi relatif au statut de la viticulture s'est poursuivie, sous la présidence de M. Henry-Paté, hier.au cours d'une séance de nuit, par l'audition de M. Roux Freyssineng, qui a fait entendre la voix de l'Algérie et s'est attaché à exposer la nature et la cause du conflit producteurs français Si le projet était voté, dit-il. seuls les producteurs algériens verraient leur production bloquée. Pourquoi nous Imposer un maximum de 12 millions d'hecto@ ? Sur quelles règles se baget-on ? En réalite, c'est l'arbitraire pur et simple. L'Algérie est une province française, comme le Languedoc. C'est donc un débat entre deux provinces. L'orateur ajoute que, jusqu'Ici, le Languedoc n'a pas souffert. La cause véritable de la crise doit être recher- chée dans la mauvaise qualité du vin et son prix excessif. M. Barthe, lance-t-il malicieuse- ment, quand voua êtes venu en Algérie, tous vos discours se terminaient par ces mots L'Algérie, c'est la France. » Alors ?..

Poursuivant son plaidoyer passionné, le député d'Oran expose que l'Algérie, pays neut, s'est imposé de lourdes charges.

On prétend, conclut-il, que nos agriculteurs sont avantagée, payant des salaires plus bas et des impôts moindres. Salaires plus bas. certes. mais rendement moindre; quant aux lm.pâte. Ils sont plus élevés qu'on ne pense. De plus, l'Algérie supporte des tléaux spéciaux en tête, le airoco. les sauterelles,

Et M. Roux-Freyslneing termine en rappelant que l'Algérie a fait large. ment son devoir pendant la guerre. M. Jean Félix défend une thèse différente. Il demande quelles cultures autres que le vin le Languedoc pourrait mener à bien. Faire de la betterave, du blé ? Il y a en déjà trop. Le député de l'Hérault s'attache ensuite à montrer que la crise est causée par 1a surproduction, d'une part, et, d'autre tient Que la « folie » de plantation sévit sévi surtout en Algérie et que seul le contre-projet socialiste portant création d'un office national du vin pourrait résoudre la crise.

M. Parayre, des Pyrénées-Orientales. s'étonne de l'hostilité qui se manifeste contre les viticulteurs du Midi et proteete contre l'idée que le producteur du Languedoc veuille séparer la métropole de l'Algérie.

Ce que demande la viticulture de la métropole, dit-il, c'est un aménagement respectant les intérèts des une et des autres. Depuis dix ans nous n'avons augmenté ni notre superficie ni notre rendement.

M. Fiori fait alors remarquer que si en Algérie il y a eu augmentation de production, il y a eu également augmentation de population, mais M. Pa- rayre reproche a Algérie de ne pas vouloir se restreindre et termine en disant qu'il faut mettre fin à l'anarchie de la production.

La séance eat levée à 23 b. 35. Le débat continuera ce matin et cet aprèsmidi.

Soeur Jeanne-Marie

une soi disant franciscaine poursuivie pour escroquerie devant le tribunal de Mantes Mantes-sur-Seine, 28 juin (dêp. P. P.). Le tribunal correctionnel s'est efforcé, dans son audience d'aujourd'hui, de taire la lumière dans une affaire d'escroqueries assez embrouillée qui a fait grand bruit dans la région et dont la principale Inculpée est une religieuse. eœur Jeanne-Marie. dont on est venu discuter à la ba rre si elle avait ou non le droit de porter l'habit du tiers-ordre franciscain sous lequel elle a'est présentie à ta barre.

Cette soeur Jeanne-Marie, qui fut jadis mariée à un lieutenant-colonel, avait fait la connaissance à Paris, au début de 1930, d'une commerçante retirée des de son projet de fonder aux environs de Parts une maison de repos pour les jeunes (11 les catholiques. Séduite par cette Idée, Mlle Salles accepta de prêter à sœur Jeanne-Marie une somme de 200.000 francs, au taux de 8 qui devait servir de première mise de fonds. Soeur Jeanne-Marie se mit aussitôt en campagne. Aux environs de Mantes, le château de Tilly, qui appartient à l'amiral de Grasse, était à vendre. Il convenalt parfaitement à l'œuvre que voulait entreprendre 1a soeur franciscaine. Elle

So-iir et l'uignet

chercha dans la région des concours, les trouva. et bientôt était constituée l'Association de Notre-Dame-de-laPaix, à qui soeur Jeanne-Marie apporta les 200.000 francs de Mlle Salles, Le château de Tilly fut acheté par l'intermédiaire de M. Foignet, agent immobiner à Mantes, et de grands travaux y turent entrepris.

Malheureusement, quand, un an plus tard. Mlle Salles réclama l'intérêt de son argent, la caisse était vide. La prêteuse se fâcha et finit par déposer une plainte en escroquerie contre sœur Jeanne-Marie et contre agent immobilier qui avait réalisé ia vente. contre qui son mari avait fait trans- former en divorce le jugement de sé- paration prononcé précédement. s'était vu refuser par lofftcialité du diocése de Versailles le droit de porter l'habit religieux.

Soeur Jeanne-Marie ne cessa de proI tester contre cette décision et. à l'audont le supérieur des Franciscains, un sénateur de J'Est, vinrent dire au tribunal l'estime qu'ils continuaient de porter à srmir Jeanne-Marie.

Le tribunal. après avoir entendu les ptaldoiries de M- André Picard pour la parti* civile. M' Lespiné pour sœur Teanne-Marle. M' Maurice Garçon pour M. Foignet et M- Latour pour l'Associatien de Notre-Dame-de-la-Paix, a mis l'affaire en délibéré. Le jugement sera rendu à huitaine.

Les chômeurs nazairiens sont arrivés à Nantes Nantes. 28 juin (dép. Petit Parisien). A 6 h. 30, ce matin, après une nuit douce et réparatrice, mal. plutôt fraîche, le clairon a sonné dans le camp tmprovlsé du Llévreau le réveil dei Autour des cuisines roulantes, les chefs de groupe, munla de larges et profondes bassines, s'empressent pour la distribution du café qui doit réveiller les énergies, remettre en place les cœurs.

Bref, on ne restaure le mieux possible. Le soleil se lève à l'horizon. Il lui faut percer de gros nuages blancs qui apparaissent à l'ouest et qu'on interautre*, et quand; à 7 heures, on sonne le rassemblement et le départ toute crainte d'averse est écartée. A vrai dire, les jambes de beaucoup qu'elles avaient nu départ de SaintNazalre. Les visages eux-mêmes sont lus tirés, mais sur tous «a lit la volonté ferme d'arriver au but. Et c'est ainsi que, sous un soleil qui se fait plus pesant, la longue colonne arrive, après vingt-quatre heures de marche, au gtte. si l'on peut dire, du Croisy 20 kilo- mètres sur les 25 qui restaient à par- courir sont couverts.

Les de M. Blancho En somme, la deuxième étape a été couverte sans trop de peine et Bans défaillance.

C'est au moment où le député-maire de Salat-Nazaire, M. Blancho, va recevoir. comme le plus modeste des chômeurs, sa ration à la roulante que nous l'accostons pour recueillir de sa bouche ses Impressions sur cette ta deuxième journée

Mes Impressions, nous dit-il. ce mont celles de tous les braves gens qui m'entourent. Cest à vous de les juger sur leur attitude et de faire connaître à l'opinion leur obstination tarouche dans la recherche du travail et leur horreur de l'oisiveté. Vous pouvez le constater aussi bien que mot; lee hommes qui s'Imposent pareille épreuve pour mettre fin à la situation douloureuse dont ils veulent sortir sont de. hommes énergiques dont le pays peut être fier.

Et sur ce M. Blancho nous quitte, approuvé par ses collègues Lambot et Gouret, maires de Trignac et de Montoir.

L'arrivée à Nantes

A 18 h. 30, les chômeurs nazairiens ont fait leur entrée à Nantes, à la jonction du boulevard Boulay-Paty et de la route de Vannes. Une demi-heure plus tard, environ quatre mille ouvriers nantais venaient tes rejoindre et leur exprimer leurs sympathies.

La musique de Mean-Penhoët prit la tête du cortège qui !le forma et conduisit Nazairiens et Nantais au vélodrome Petit-Breton, terme de 1a marche, et or 5.000 ouvriers participèrent à un ternationale. Puis M. Leroux, député socialiste de Nantes, en quelques mots, déplora la crime de chômage que les pouvoir. publics ont laissée se déve

M. Pineau, secrétaire départemental des syndicats confédérés, félicita les chômeurs nazal riens de leur énergie. Tout le prolétariat français, dit-il, devra bénéficier de l'acte des chômeurs nazairiens.

Enfln M. Blancho remercia les organisateurs de la manifestation. puis ü donna a lecture de l'ordre du jour qu'une délégation alla Immédiatement porter à la préfecture- Un léger repas était alors otrert aux marcheurs qui, peu après, prenaient place dans les autoi, camions et cars mis à leur disposition et regagnaient Immédiatement SaintNazalre. La manifestation des chômeure nazalrlens était finie. Elle s'était déroulée de bout en bout dans un ordre et un calme qu'aucun incident ne vint troubler.

L'ordre du jour de. manifestants Voici le texte de l'ordre du jour que les manifestants vont remettre au préfet de la Loire-Inférieure

Les chômeur», auxquels 8e mont Joints leurs camarades de Nantes, viennent d'accompllr un dur et pénible effort pour venir auprès du représentant du gouvernement lui faire connaître leurs desiderata. il connatt ceux-ci. puisqu'il a accepté de recevoir les déléfrttlons syndicalistes et les délégations Alues venues pour l'en eatretenir. La manifestation suffit pour marquer la volonté de ceux qui chément depuis de longs mois de vivre en travaillant. Dans la région nazalrlenne. on compte plus de 4.000 chômeurs a Nantes, plus de &U00 c'est donc, au total, un minimum de personnes qui n'ont pas leur suffisance. Est-il possible d'atténuer cet état de chose. ? Nous l'affirmons.

Pour S&int-Nazaire. un ministre de la Marine marchande l'a affirmé avant noua. Il l'a fait verbalement à l'occasion d'une cérémonie solennelle, par écrit ensuite, puisqu'il a fait la promesse de commander des paquebots pour la ligne MarseilleAlger. Il Il promis par écrit <fe tout mettre en œuvre pour les nouveaux plans d'aménagement du Normandie. Huit mois se sont passés: rien n'a été fait. Le chômage s'est aggravé, d'où déception vrière. La situation financière des cummunes devient tragique. Trignac ne peut plus équilibrer son budget, et pourtant on 8 bien donn6 3 millions aux usines de la Basse-Loire, qui sont fermées depuis. I#es autres communes seront dane une situation telle qu'il leur sera dttOcile de pouvoir emprunter pour boucler leur budget. La i:rise Industrielle du bâtiment est terrible; le trafic des ports baissa considérablement d'où chômage Important chez les dockers. trouvé auprès de la population un accueil çants, les cultivateurs nous ont puissamment aidés. L'heure est crltique nous avons le terme espoir que les gestes de sacrifice des meilleurs des chômeurs recevront leur légitime récompense.

LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Une auto capota*, an* femme est tué», deux autres Toyageur» blessés

3 en lis. 28 juin (dép. Petit Parisien.) A la aulte d'une collision avec un camion survenue sur le territoire de Lamorlaye, l'auto que conduisait M. Georges Boire, camionneur, demeurant 145, rue de Flandre, à la Courneuve, et dans laquelle se trouvaient sa femme, son fils Gaston, et un ami, M. £mile Lebaron, s'est complètement retournée. Mme Boire, née C therlne Ficha=, a été tuée sur le coup. M. Gaaton Boire, légèrement blessé, est rentré chez lui après avoir reçu des soins à l'hôpital de Chantilly, ainsi que M. Lebaron qui est blessé à la tête. Les réceptions de M. Paul-Boncour M. Paul-Boncour, ministre des Affaldes étrangères, a reçu une délégation composée de MM. Néron, président, et Victor Lourdes, secrétaire du groupe forestier du Sénat de Nicolay. président du comité des forêts Dangon, président de la Fédération des communes forestières Chemin. président de la Fédération dee syndicats de acieura et exploitants forestiers Jean Blanc, président de l'Union forestière du Sud-Est Sargos, président des propriétaires du Sud-Ouest Thillier. président du Syndicat de la Solojrne Bocq, président de la Fédération du reboisement de Lassuchet'e. Jagerschmldt. secrétaire général du comité des forêts.

La délégation a appelé l'attention du ministre sur les conséquences désas- treuses pour la forêt française de t 'apPlication éventuelle de l'arrangement franco-autrichien qui autorise l'introduction de 1.2O0.00O mètres eubee de pins et sapins sur trois année., avec ristourne de 25 francs par mètre cube de la part du gouvernement français. Le ministre a écouté la délégation avec la plus grand 3 bienveillance. Frappé par ses arguments, il lui a promis de revoir personnellement la question avec le désir de concilier, d possible, les intérêts opposé».

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

M. Albert Lebrun est la parrain d'un enfant de Saint-Quentin M, Albert Lebrun, président de la Républlqle, a accepté d'être le parrain du quatorzième enfant que viennent d'avoir les époux Vasseur, demeurant à Saint-Quentin, route de Guise.

Un* fête aârianna à Saint-Quentin L' Aéro-Club de l'Aisne organise pour Saint-Queniin-Roupy, une grande manifestalion aérienne avec le Pour la première fois en France, de Robert Kranfeld, champion du monde de vol à voile. Samedi noir, salle de la Société Industrielle de Saint-Quentin, KronfeM fera une conférence, eur le vol à voiJe ar«o projection de Aima.

BOHAIN. A la sulte de nombreux vols commis dana la réjion, la gendarmerie arrêta il y a quelque temps deux Indi!on, rue de Vaux. Chez ce dernier, on a retrouvé plusieurs objets provenant sans doute de vols, Les enquêteurs recherchent si Macogne ne serait pas l'auteur d'une agression suivie de vol commise cet hiver contre un commerçant de Vaux-Audlgny. main le prix du kilo de pain sera porté de 1 fr. o5 1 fr. 85. soit une augmentation de 0 fr. 30 au kilo. Cette augmentation est motivée par une hausse soudaine des fa- dont le coure est passe de 130 178 tr, à la aulte de la décision du Parlement dans la question du b:é.

_Depuis lundi les biefs de la Marne L partir de l'écluse de Courcelles jusque mage. La pécbo y est interdlto Jusqu'au HIBSON. Etant ivre, André Culpln. vingt-six ans, employé de chemin de fer, a menacé sa femme, puis tiré deux coupa de fusil, sans toutefois l'atteindre, sur un voisin, M. Louis Draptln. contremaître d'usine. L'irascible Culpin a été arrêté et écroué.

LE NOLVION-EN THIEBACHE. La jeune Chrlatlane Macca^-ny, dont les parents demeurent au hameau de Harleml'automobile de M. Guérault. ingénieur agronome a Fêre-Champenoise.

BIBEMONT. Malgré un coup de frein, un train allant Ters la Ferté-Chenevts a buté sur une grosse pierre placée sur un min de quatorze tien habitant Parpevl.le. EURE-EI'-LOIR

Cinq personnes blessées

dans une collision d'autos

Dane un carrefour, à Lormay, une colltsion s'est podulte entre un camion d'une laiterie de Maintenon et une auto eondulte par M. Ernest Dervlllers, vingt-six ans, Le cboc fut ai violent que l'auto se renbourrelier a Maintenon, ne furent que légèrement blessé. par des éclate de verre. Biais trois autre. personnes qui se trouvalent dans la volture M. Maurice Gandon, quarante et un ans. hôtelier à Epernon Mlle Germalne Bordier, vingt ans, et Mlle Simone Aubry, dix-huit ans. furent plus sérieusement blessées. Mlle Bordier dut être transportée à l'hôpital de Nogent-le-Roy. Mlle Aubry reçut le. soins d'un médecin dans une maison voisine du Il.. de l'accident

CHABTBKS. La Mutualité maternelle d'Eure-et-Loir a tenu récemment son assemblée générale. Il résulte des rapports 2.772,et et que les dépenses se sont élevées à francs.

Ce soir, à 20 h. 15, salle Salnte-Foy. Mlle A. Bazy, secrétaire générale de la Fédération nationale des fer. une conférence sur les devoirs des femmes en face de la crise actuelle.

EPKAVTBOI.LKS. La gendarmerie a arrêté l'ouvrier agriote Gabriel Chauveau qui. profitant du sommeil de son camarade, VUXAMPUY. MM. André Douaxt et Jules Cottin ont été élus conseillers municipaux.

VOVES. La foudre est tombée sur un hangar appartenant M. BIzard, brocande bonneterie, de. peaux et des rétament*. Les pertes sont évaluées à francs. OISE

La championnat cycliste do l'Oi.. Le championnat cycliste de l'Oise des 100 kilomètres sera disputé dimanche pro..hein sur le parcours Beauvals-FroissyCrèvecœur-le Grand-Beauvais à couvrir deux fols départ à 9 heures, boulevard de Assaut engagements reçus chez M. Débris, k Hontataire, jusqu'au 30 juin, dernier délai.

BBACVAIS. Par arrèté municipal, le prix du pain, pris dans les boulangeries, sera de 1 fr. 55 k partir d'aujourd'hui, teur du Fay-Saint-Quentin a renversé un cycliste, M. Bragotin BrukeLa. vingt-cinq ne, scieur de long, qui à été blessé à la OHANDV1I.I.IEBS. Le Jeune Pierre Roter, dix ans. qui traversait en courant 1s route nationale a été renversé et blessé par l'automobile d'un cultivateur de La HABDIVILI.EBS Le préfet de attaché à l'ambassade d'Angleterre, une plaque commémoratlre apposée à la mairie en souvenir des aviateurs britanniques tombés sur le territoire de la commune et des enfants du pays morts pour la France, NOGENT-SCJB-OISE. M. Adolphe Gulllon, trente-cinq ans, journalier,rant rue de l'Aubier, se trouvait en barque l'autre soir sur l'Oise lorsque, l'emnoya.

SAINT-LEU-D'ESSEBENT. Rentrant chez lui la nuit dernière, M. Georges Casson. manouvrler, demeurant rue de l'Hôte]-Dieu, a constaté que pendant son absence des cambrioleurs lui avaient dérobe divers objets d'une valeur de francs.

SYI.LT-TItlJABD, Au cours d'une enquête qu'ils faisaient chez M. Ruelle, débitant de boissons, de. gendarmes ont été insultés et menacés Dar ce dernier. Au comble de la fureur, M. Ruelle, (l'armant d'un couteau, en blessa légèrement le gendarme Canivet. Il a été maîtrisé et écroué. SEINE-ET-MARNE

se. MM. de et Morconseiller général Benoist. conseiller d'arrondissement, et de la municipalité de peinture de la vallée du Grand-Morin A cette manifestation d'art participent 75 artistes de la région, dont les «uvres ont secrétaire général du salon des Tuileries. SEINE-ET-OISE

Collision d'une moto avec nue auto Un motocycliste. M. Michel Pillot, Inspecteur du métro, 108, rue de l'Ourcq, a Paris, passait à Argenteutl lorsqu'il entra blessé. U été transporté à l'hôpital de Saint-Germain.

Un enfant tué par nu. auto

Alors nu traversait la chaussée devant le domicile de ses parent.. rue Franclsde-Pressennsé, à Bezons. le jeune Marcel Rejrnnrot. Agio de sept ans. été renverii* par une auto. Le pauvre petit a été tué sur le coup.

Trois blasés dans un* aulo renversée

Une auto pilotée par M. de place M. Paul Jacques, Industriel aux et le commandant Julien, maire de Bnieii heurté. hler matin, à Olnvtlle, le mur de la papeterie Par 'mile d'un mauvals fonctionnement de 1a direction et s'est renversée dans un coure d'eau.

Les victimes ont pu être retirées aussitôt par des ouvriers de la papeterie M. Debangue avec plusieurs côtes fracturées M. Jacques, la Jambe droite brisée et de nombreuses contusions, et le cbinm-mdant Julien avec la Jambe gauche brisée. Un garde-chasse blesse sa voisine d'un. balle de revolver

Dans l'Immeubie situ* 8. rue du Prieuré, & .deux ménagea vivaient en complète mésentente, celui des époux Duch&fl et celui des époux Jsnnequin. L'autre soir Mme Marie Jiinnequin vuulut rentrer du linge qu'elle avait mis à sécher dans la cour et «aperçut qu'il était souH'é. Elle pensa que c'était la encore un coup de ses ennemis et elle ie mit 6 les Invectiver. Jean Duchatel, un ancien lad devenu garde-ehasee, parut 4 sa ftnâtre et saisissant un rev»W«r tira «ur sa voisine

ABOENTEUIU On a repêché dans la Seine le cadavre d'un homme portant une L'enquête a conclu 1 un suicide. CHILI.Y. Avenue de la Gare, la roue avant de sa bicyclette s' étant détachée, M. Boucheron a fait une chute et s'est blessé grièvement. Il a été transporté a ETAMPES. Le tribunal correctionnel a condamné il 100 francs d'amende et €.000 francs de provision M. Achille Delaloy, Apiculteur à Andllly, responsable d'un accident d'automobile survenu à Angerville, le 18 mai, au cours duquel un motocycliste, M. Marcel Drappier, demeurant en cette localité, a eu une Jambe fracturée. JUVISY. Route de Fontainebleau. un cycliste. M. Roffln, seize ans. villa des Oivoaux. A Athls, s'est Jeté contre une voiture de laitier. Blessé à la face et au Côté droit, il a été transporté à la clinique. MORSANO HIB-OHOE. Un garcoo coiffeur nommé 27, avenue des Cerisiers, a VJry, profitant que Mme Aubradot, demeurant avenue Jeanne-d'Albret, était allée chercher de la monnaie, fit main MONNEBVILLE. Un motocycllate, M. Montarnal, demeurant 15, rue de l'Eglise, a Antony, accompagné de sa femme, heurté un camion. L'un et l'autre, blessés assez grièvement, ont reçu les MONTERSON. Au coun d'une rixe surgrièvement à coups de bouteille un autre maraîcher, Pierre Goeselln, 76, ruePALAISEAC. Des malfaiteurs Be sont Introduits dans un pavillon appartenant à M. Louis Jouatte, et situé rue de Vau ballon. Le butin des cambrioleurs est assez important.

SAVICNY-SUB-OBÔE. Rue de Morsang, un motocycllate a renversé M. Duvai. rentier. 74. avenue de l'Orge, 4 Morsang, VAUJOtTOS. Route nationale, en tranais. M. Jean Ozut. âgé de trente ans. demeurant rue du Limousin, été renverse par un camion et blesse t la ttte.

Concours du Conservatoire PIANO {femmes)

Hector Berlioz raconte plaisamment en ses Mémoires que le piano de concours au Conservatoire s'était mis à jouer tout seul le morceau que quinze ou vingt élèves avaient exécuté pevdant la journée. au'au..rait dit l'auteur de la Damnation de Feust s'il avait vécu en notre temps, où cinquante et une candidates (sur cinquantedeux inscrites) se sont disputé hier depuis 9 heures du matin jusqu'à 8 h. 30 du soir les prix et accessits qui les récompensaient de s'être escrimées sur la Deuxième Ballade en ia majeur de Chopin (op. 38). Cette ballade a le mérite d'être la plus courte de la série mais combien elle est difficile à traduire Car il ce faut pas seulement des doigts. mais il faut de la pensée, de la profondeur pour rendre cette mélodie qui apparait au début de l'oeuvre comme un souvenir tendre du temps, jadis, et qui fait place à un preato con fuoco strident, semblable à un éclair qui déchirerait la nue c'est la révolte d'une âme blessée par la passion. Evidemment. demander à des jeunes filles recrutées entre quinze et vingt ans d'exprimer tout cela est pure utopie elles ont du mécanisme et c'est dfJà bien. Ajoutons que le long mor.ceau de lecture à vue de M. Georges Hüe. avec ses continuels changements de me- sure et de tonalité, a dérouté la majorité des candidates.

Le jury. présidé par M. Henri Rabaud. directeur, assisté de MM. Alfred Bachelet. [aoques de la Prcsle, L. Deere us, Llorca professeur de musique d'Alger). André G. Hugon et J. Chantavoine, secrétaire, a tenu compte des difficultés des deux morceaux et du travail assidu des élèves, en accordant trente-quatre récompenses aux cluses de Mme Marguerite Long et de MM. PhilLpp, Lazare Lévy, Riéra et Staub. Le résultat a été proclamé 10 h. 15 du soir; la journée a été lourde pour tout le monde. Juges. élèves et audi- teuu. Premier» prix Mlles de Sirbenthal, déjà primée au violon, Obolensky, Delbert. Cardon. Bigot-Dusaek, Bernard. Fournier. Leclercq.

Seconds prix Mlles Bentéjac, Hamilton. Cannes. Haas. Robert. Lioux. Cormier.

Premiers accessits MHes Rend. Saint. Collinson. Billard. Veau. Vignalou. Gué- lis. PinaulL Seconds accessits MHea Cavard. Guindé. Combecave. Cabos. Merlault Guérillon. La flèche. Rémion. Milkine. Vioux. Barthélemy.

Puisque le jury était en veine de libéralité, Il aurait pu ne pas oublier Mlle No~ viks, un réel tempérament musical, et peutêtre aussi Mlle Berruyer, certes moins doute, mais exécutante studieuse. A vrai dire. la lecture à vue est la cause de bien des méfaits dam les classements et déclas- sements de l'interminable séance d'hier. Louis SCHNEIDER.

a nommé une commission de huit membres, hargée d'élaborer un ptan général de ata- bilisatlon de l'Industrie du sucre. ÇA FAIT TANT DE BIEN Une bonne friction avec un bonne aprfe le bain Mais ce bien sera le mieux si vous employez l'Eau de Cologne Forvil, strictement naturelle. vraiment Idéal. Essay ex-la,

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La commission des finances examine les projets

que le Parlement doit voter avant les vacances

Les crédits de report

La commission des finances revient aux crédits de reports. M. Bedouce a déposé une proposition aux termes de laquelle les rabais réalisé% sur les adjudications publiques entraineraient des annulations correspondantes de crédita. MM. Chevrler combnttent cette proposition en faisant valoir que le rabate sur le devis estlmatit des travaux vise les prix unitaires, non pas Le ministre a fait connaitre qu'il était d'acord sur le fond, mais que la réalisation serait difficile.

La commission accepte la proposition de M. Bedouce en ajoutant qu'un décret en réglera l'application.

Le ministre du Budget s'est expliqué devant la commission dos finances sur les crédits de report. Il dit que lion sen.tlment personnel a été. députa plusieurs années, hostile à cette procédure et qu'il a réclamé à ses collègues de mettre fin à l'exagération des reporta. Mais Il lui a été répondu que les crédits n'avaient pu être utilisés en raison du délai trop court écoulé entre le vote du budget (avril 1»32) et la fin de l'exercice les jets au point en fonction des crédits acoordée.

Le ministre de l'Air Intervient alors pour commenter les déclarations du ministre du Budget par l'exemple de son propre ministère le matériel aéronautique n'est jamais, étant donné les perfectionnements incessants, livré dans les délais prévus au moment de la commande pour les prototypes, la durée minimum est de deux années et le plus souvent. de trois années.

Le régime des bouilleurs de cru Devant la commission des finances, le ministre du Budget a fait connaître que le régime de liberté envisagé par la commission des boissons pour les bouilleurs de cru entraînerait une perte de 135 millions pour le Trésor et de 35 millions pour le fonda commun, sans compter les pertes pouvant résulter L'extorition de 1937

Interrogé sur l'Exposition de le ministre du Budget a fait connaître que le conseil des ministres n'en avait pas délibéré.

L commission des finances ne sera donc saisie qu'ultérieurement de la questfon des crédits nécessaires. Uoutillmge national

Interroge par Je préaident de la commission sur la question de l'outillage national, le ministre du Budget fait Savoir qu'il apportera un projet comportant deux parties I" la liquidation des engagements du passé (1.400 millions) 2" des possibilités d'avenir. Le projet sera distribué dès aujourd'hui aux membres de la Chambre.

Pour trouver les crédits nécessaires, le gouvernement renonce à l'emprunt sur le marché, à l'émission d'obligaUona trentenairea Il par voie de bonification d'intérêts département. et communes émettraient les emprunts, Ils seraient couverts par l'Etat de la charge des intérêts et de l'amortissement,

Le gouvernement réduirait d'autre part le pourcentage des subventions accordées par l'Etat. On sait que ces subventions s'élèvent, dans certains cas. à 90 <

Il sera. dans te projet, proposé d'importante crédits d'engagement pour les chemins vicinaux, les constructions scoSi la situation de et trésorerie

Si la situation de la trésorerie et du marché le permettait, un projet plus large, comportant une émission publique, serait apporté aux Chambres en octobre.

La commission a firé à une séance qui sera tenue spécialement aprèsdemain samedi l'examen du projet d'outillage national que le gouvernement fera distribuer aujourd'hui.

La convention des chemina de fer La commission se réunira vendredi pour l'examen du projet de convenUon des chemins de fer, adopté par la commission des travaux publics, sur lequel elle doit donner son avis. Il semble possible que la question puisse venir à par.tir de mardi devant la Chambre, le gouvernement en fera la demande.

INFORMATIONS^ POLITIQUES La commission de renseignement et de» de 1. Chambre a adopté hier le rapport de M. Francis Mertaot sur le projet de 101 modifiant la compoM* tion du conseil de* muaée« nationaux. La après avoir entendu un rapport de IL Dasgrange* sur la proposition dfl M. André Cornu, tendant 9«*nt>)e de la France au juillet de chaque année la date d'ouverture des viur&noes scolaire*, institué une*ton chargée d'étudier d'une façon spéciale le problème soulevé par la fixation de i. **•» Un Important de dépoté* est constitué un groupe ayant pour but d'oryonlser la rapprochement franco-américain et de resserrer Ifs Mens politique» et économiques qui existent entre les d*ux républlquee. 3L Marquet, maire de Bordeaux, a été #hi président.

la. M. Auguste Brunet a été chargé par la commission du suffrage universel de présenter un rapport d'Informations *ur la proposition de lui dont l'initiative a été prise par lui en faveur de l'extension de la représentation parlementaire aux citoyens français des colonie» de la Nouvelle-Calédo- nie et de Madagascar.

**» Le Sénat a adopte hier le projet déjà La commission das affaires étrangères a dielgné M. Mari- Moutet comme rapporteur du projet de loi relatif 1 lavranee des certificat» d' identité aux réfuliés russes et arméniens.

Le gouvernement a saisi les Chambres d'un projet relatif au crédit aux coocurrence de 5 millions prélevés sur la super- redevance de la Banque de France. Sur le rapport de M. Marehandeau. la commission, avoir entendu M. Lafont, transfère du mînletère du Travail au ministère du Commerce la gestion de ce crédit.

Feuilleton du Petit Part. L'ENFANT TROP CHÉRIE La marcha à l'abîma

Et le beau Guy. qui manifestait en toute occasion un magnifique mépris pour la galerie, s apprêtait à remettre Ça sur les joue. de Janine. trouvant la chose bonne et gentille, maia celle-ci .e déroba, fAchée. Elle paraissait d'ailleurs triste et préoccupée.

Est-ce que vous êtes fou, voyons Et s'il y avait dans ce train quelqu'un qui me connût ?

Comme Fi c'était des choses possibles bougonna Guy, refroidi. Un convoi d'enterrement qui ne transbahute que des péquenots et leur volaille Et puis, les gares, est-ce que ce n' est pas fait exprès pour s'embrasser ? Enfin 0,0. ne fait rien vous venez, Jeanneton ?

Janine ne se hérlesait plus à cette appellation familière.

Ils sortiront de la gare en même temps qu'un couple de paysans qui les Copyright by René Vlncy 1833. Traduction

L'escroquerie au mariage

UNE VEUVE TROP CONFIANTE VOLÉE DE 40.000 FRANCS Il y Il quelque tempe, Mme veuve Lucette Durand, habitant rue de Paris, à Montreuil, lisait dans quelques journaux une annonce ainsi conçue « Monsieur, quarante ans, sentimental, propriétaire d' u cinéma, recherche dame pour mariage ayant avoir en rapport. »

Elle écrivit aussitôt et reçut une réponse lui donnant rendez-vous place Gambetta, Paris. Là, elle fit la connaissance de l'auteur de L'annonce qui déclara se nommer Maurice Coquette et habiter rue de Fassy, à Paris.

La sympathie étant réciproque, la veuve et son flirt sortirent plusieurs fois ensemble. On fit des projets de mariage, et M. Coquette apprit à Mme Durand qu'il venait d'acheter un cinéma rue de Belleville.

« Il faut dit-il, que j'aille aujourd hui mème chez le notaire pour veratfr une somme de 40.000 franc. sur le prix d'achat de mon ci né, faute de quoi, j'aurai un dédit important à payer. » Mme Durand ne c pouvant » laisser son « fiancé » dans cet embarras. s'offrit à lui prêter la somme et la lui remit quelques heures plus tard. Plusieurs Jours passèrent. M. Coquette ne donnant plus signe de vie, son amie commença à s'inquiéter. Elle alla demander au cinéma de la rue de Belleville des nouvelles de M. Coquette. On lui répondit qu'on ne le connaissait pas et que le cinéma n'était pas à vendre. Comprenant qu'elle avait été victime d'un escroc, elle ne décide à porter plainte entre les mains de M. Voltx. commissaire de Montreuil. Le magistrat ouvrit une eaquéte. Après de patienter recherches, le brigadier Hélianax et l'inspecteur Lajcie arrêtaient hier l'escroc à la terrasse d'un café à la Croix-de-dhavaux, à Mon treuil. L'aigrefin finit par reconnaître avoir usurpé un faux état civil et se nommer en réalité Georges Suzanne. trente ans. habitant villa de la Paix, à BoteColombe..

Ce; Individu, qui au moment de son arrestation était porteur d'un pistolet automatique chargé, est déjà titulaire de douze condamnations pour escroqueIl a été envoyé une fois de plus au dépôt.

L'ABBE BETHLEEM CONDAMNE La 12" chambre correctionnelle, pré- aidée par M. Delegorgue, vient de rendre son jugement dans le procès intenté par le syndicat des romanciers français à l'abbé Bethléem pour diffamation et refus d'insertion.

Les deux délits sont retenus. L'abbé Bethléem, récidiviste, est condamné d 500 francs d'amende à 10.000 francs de dommages-intérêts et à l'insertion de la réponse du syndicat des romanciers dans la Revue es Lectures sous astreinte de 1.000 francs par numéro de retard.

Au cas où l'abbé ne s'acquitterait pas de l'amende, des dommages-intérêts: et des dépens, la contrainte par corps nt fixée a quatre mois de prison. Les habitations à bon marché La commission d'assurances sociale de la ""hambre a adopté. sur le rapport de M. Cors in, la proposition de lot de M. Bonnevay, tendant à assimiler à la vente ou à l'attribution prévue à l'art. 11 de la loi du 13 juillet 1928, les contrats de location-vente ou de location-attribution, afin de donner une impulsion nouvelle à la loi des habitations à bon marché.

LE LOYER DES CHOMEURS Au Palais-Bourbon, la commission d'assurance et de prévoyance sociales, réunie hier matin, a accepté, sur le rapport de M. Perrein, la proposition de M. Jardel et celle de M. Fié, tendent à instituer une Indemnité de loyer en faveur des chômeurs.

D'après le texte adopté, il appartiendra aux juges de paix de axer le montant de l'indemnite. qui, en aucun cas, ne pourra dépasser 50 du prix du loyer.

Ce texte va être transmis. pour avis, à la commission des ftnances, et ce n'est qu'à 1a rentrée d'octobre que le parlement sera appelé à l'examiner. LA PROPRIETÉ COMMERCIALE La commission du commerce a adopté sans modlftcaUon le texte voté par le Sénat sur la propriété commerciale afin d'aboutir au vote de la loi avant la séparation des Chambres et d'éviter ainsi des expulsions auxquelles seraient exposés un très grand nombre de commerçants.

La commission déposera dès le début de la nouvelle session une proposition qui complétera les lacunes du texte actuel,

LES GRANDS PRIX DE L'ACADEMIE La commission des prix de l'Académie quai Conti afin d'arrêter les proposi- tions qu'elle doit faire aujourd'hui à a.prés avoir discuté dur divers aome d'écrivains, a retenu trois d'entre eux pour le grand prix de littérature, du roman et de langue française. L'Académle qui, nous le disions, en sera saisie cet après-midi. aura huit jours pour réftéchir. Il est très vraisemblable, croyons-noua savoir, que les Quarante- qui ne sont officiellement que tsente-hult MM. Lenôtre et Mauriac n'étant pas encore reçus, ratifieront les choix de leur commission. Il n'en fut pourtant pas aln%i l'année dernière, par suite d'une Indiscrétion de la dernière heure qui. modifiant les votes, fit retarder jusqu'à l'automne l'attributien des grands prix. Et ne donne-t-on pas déjà cette année comme lauréats possibles deux dont l'un. conteur incomparable, est aussi l'un de nos meilleurs auteurs dramatiques? On verra, le 6 juillet, ai ces pronostics se- ront confirmé*. M. B.

regardaient comme des phénomènes et s'installèrent dans la petite auto louée par Guy et qui roula, bientôt. sur une route ombragée ou le soleil, déjà haut. jetait, par Intervalle. de larges bandes d'or.

Son voile de voyage ramené sur la figure, Janine, qui était assise auprès de son conducteur devenu grincheux. lut demanda pour rompre les chiens Que me dlslez-voua, Guy ? Que vous aviez failli me manquer ? Comment cela ?

Une panne. Heureusement, j'ai pu réparer tout de suite, mais je pouvais te rater et qu'aurals-tu fait si tu ne m'avais pas trouv6 ?

Eh! bien je vous aurais attendu. Bien sûr, mais Enfin. taut que J'avise à çà pour l'avenir.

Ce n'est pu la peine, nous rentrons à Paris. immédiatement, et c'est vous qui avez failli ne pu me trouver à notre rendez-vous.

Guy tourna anxieusement la tète. Pas possible dit-il. Le Maure de Vents@ s'humanise finalement ? BarbeBleue a enfin assez de sa tour ? Aprés tout, Il sy embêtait peut-étre encore plus que toi, dans son castel. cet homme noir-

Janine avait, ce matin-là, une mine préoccupée.

Ccat marraine qui nous rappelle. dit-elle brièvement. Son mari n'est pas bien du tout.

Ce pauvre Roch. fit le jeune homme avec Indifférence. Dire que je te l'ai pas revu depuis la Caponniere. Mais que veux-tu, Nine. j'avais Senti là-bas que ta marraine ne m'avalt guère à la bonne et, pour me risquer rue Barbet-de-Jouy, j'avais toujours le temps*' C'est égal, sl le cousin est si

M. LOUIS RENAULT EST ELU PRÉSIDENT DU CONSEIL GÉNÉRAL Au début de en session, le conseil général de la Seine a procédé hier au renouvellement de son bureau". La séance était présidée par M. Chausse, doyen d'àg..

C'est IL Louis Renault, conseiller général de la première circonscription de Noisy-le-Sec, candidat des groupes d'union républicaine, qui a été désigné présidentiel, par 63 voix sur 116 votants. M. Cresp, conseiller général de la prece circonscription de Sceaux, endidat des groupes de gauche. a obtenu 49 voix.

Le nouveau président du conseil général est un Parisien de Paris, où il est né en 1864. D'abord employé de commerce, puis instituteur, il revint au commerce pour raison de santé. Il s'est de très bonne heure mêlé au mouvement politique dans le canton de Noisyle-Sec, s'attachant à talre triompher lee idée» d'union républicaine. Il re. présente depuis 1919 ce canton à l'assemblée départementale, où il s'eat particulièrement consacré à l'étude et à la solution des problèmes intéreesant l'instruction publique, tout en apportant la plus utile collaboration aux nombreuses œuvres d'assistance et de solidarité sociale qui relèvent du domaine départemental. Il n'est, à l'Hôtel de Ville, concilié de très vives sympathies. par son affabilité et aussi par son consciencieux labeur, son bon sens averti, qui se manifestent dans les travaux des diverses commissions dont il fait partie et où chacun appréde son jugement et sa courtoisie. MM. Albert Besson, conseiller municipal du quartier Saint-Fardeau, et Georges Prude. conseiller municipal du quartier du Parc Montaourls, ont été élus vlce-présldenta, le premier par 82 voix. le second par 58 voix. Comme secrétaires ont été élus MM. Biacarre, Colaveri, Heulle et Herson.

M. Victor Bucaille a été maintenu par acclamations dans ses fonctions de syndic.

En prenant possession du fauteuil présidentiel, M. LouU Renault a remercié l'assemblée de sa manifestation de sympathie et a rendu un hommage très applaudi à son prédécesseur, M. Béquet et à M. Chausse, le nouveau doyen d'âge, qu'il a loué pour sa droiture, son labeur et son Inébranlable fidélité à ses principes. Il a, enfin, reati comme secrétaire général de la préfecture de la Seine et associé à ses félicitations M. Cabouat. appelé à diriger 1e cabinet du préfet de la Seine. Le gardien de chantier fut-il victime d'un attentat ou d'un accident ?

L'enquête relative à la découverte, dans un immeuble en construction de la rue des Marais, à Meudon, de M. Victor Point. gardien de chantier, mystérieusement blessé à la tête, avance difficilement.

H n'a pas encore été possible d'établir Bi M. Point a été victime d'un accident ou d'un attentat criminel. Le blessé, soigné à l'hôpital de Versailles, est toujours dans un état très grave. Dans son délire, il ne prononce Ah le bandit »

Ces paroles laisseraient supposer que M. Point a bien été attaque. La blessure à la base du crâne peut également étayer cette hypothèse. Car il semble qu'en cas de chute elle serait située au sommet de la tête. Par ailleurs, on a découveri dans l'escalier de l'Immeuble un solide gourdin. Cette arme appar- Mais, d'autre part, on ne sait pas très bien ce qui aurait pu attirer un malfaiteur dans le chantier de Meudon. M. Point, nouvellement arrivé de la gens Paris. ce qui permet d'écarter l'hypothèse d'un attentat commis par esprit de vengeance.

Il faudra donc attendre, pour être fixé, que la santé du gardien s'améliore et que celui-ci puisse parler.

FETES ET REUNIONS La Société de médecine publique et de génie sanitaire a tenu na séance menà h l'Institut Pasteur. Le. docteur Dequieu. présidait La réunion été consacrée à l'étude du docteur Aublant sur l'inspection départemental d'hygiène en Selne-et-Olse.

Le récital donné par M. Paderewski au Drofit du Comité français pour la p des intellectuel* juif* persécutés, a obtenu le plus magnifique succès Le j Ala Ligue française pour le droit de. femmes, M. César Chabrun, ancien député, a pari.. du « programme du parti sodaLe comité national de défense de l'enliste devant la crise économique ». geignement supérieur des beaux-arts a "ffert an Orrie Interallié un déjeuner 4 M. Ch.-M. Wldor. secrétaire perpétuel do l'Académie des beaux-art IL h l'occasion de son élévation à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur.

Deux cent cinquante personnalités Maintalent à oe déjeuner. parmi lesquels de nombreux parlementaires, des membres de l'Institut, de r Académie des beaux-arts, de l'enseignement supérieur et de nombreux admirateurs de Wldor.

A la table d'honneur, auprès de Il. Georges Leyguea, qui présidait le banquet. on remarquait notamment Mum Wldor, le duc et la âucbwae des Cars et Mlle Berthier de Sauvigny MM. de Monzie Berthod. Germain Martin, Lui. Marin, Paul Chabas. Serges Hue. Le.couvé. Bollaert, Paul Léon, le général Gouraud, etc.. etc.

M. Hourucq, premier vice-président du comité national, prit la parole au dessert et souligner son dévouement à la cause et du Conservatoire. Apres le banquet, des «•uvres célèbres du mattre furent tées par des artistes du Conservatoire. La Société des «avant» et inventeur» annuelle A la Sor bonne à l'occa*ioQ de cette réunion, l'assemblée a renouvelé les voeux exprimés au dernier congrès, conloi sur les brevet* d'invention en instance devant le Sénat

I mal, faudra tout de même que le me décide.»

Janine haussa les épaules.

Restez chez vous, mon aml, Vous pouvez vous dispenser de cette corvée, votre présence rue Barbet-de-Jouy n'a jamais été moins indiquée que maintenant.

En voilà une Idée Pourquoi ? Janine lui jeta un regard colère, Comment ne comprenez-vous pas que l'amant de Mme de Domplerre n'est pas à sa place chez la marraine de Janlne ?

Ah! au diable! pesta Guy de Vardes un peu confus. Mais au fond, ce que j'en disais, tu sais. Après tout, Roch d'Ourscamps ne m'est pas de grand chose. L'embètant, c'est que ça va changer diablement nos relations. Je m'étaie habitué à faire kilomètres pour te voir. Je trouvais ça original. pa. ordinaire. Seulement, toi à Paris, ce sera tout de même plu. commode. et puis le te verrai plus souvent Allons, tout est bien.

Janine était devenue froide.

8i Roch est vraiment très mal, dit-elle. Je crains qu'au lieu de te voir plue fréquemment, je ne puisse q u1 asse?: rarement, au contraire, trouver une heure pour courir rue de Miromesnil. Les traits de Guy se renfrognèrent. Une heure Assez rarement ? Allons, ça s'annonce bien et ce sera gai Janine était dans l'un de ses jours de méchante humeur.

Mais, mon ami. renvoya-t-elle d'un ton pincé, si et ne doit pas être gai pour vous, le pourrai même me dispen- ser d'aller vous déranger.,

Guy retlnt un geste d'Impatience. Quel Qchu caractère vous avez, Jeannette •'•xclama-t-11. Je vous vols

La revision de la carte scolaire de l'enseipement primaire L'insuffisance dea effectifs scolaires dans certaines écoles primaires élémentaires a permis à M. de Monzle d'effectuer la suppression du près de 1.200 classes au cours du premier trimestre de J'année scolaire de 1932-1933. Grâce, en partie, à cette première économie, classes ont pu être créées dan. les établissements primaires publics, où, par contre, la population scolaire est en augmentation. Mais la création Immédiate de classes engagé, à elle seule, presque totalité des crédits de l'exercice budgétaire 1933, dès la publication, le 29 mars 1933, du décret portant dérogation à celui du 2 janvier précédent

Depuis. les propositions de créations de classes se multiplient. Plus de 3.000 classes compbemt #̃ 50 100 élèves. Au 1° octobre jlrocâain, l'ouverture de sité Inéluctable dans les grands cen- tre». Or la situation financière ne parl'Etat, d'une part, et, d'autre part, il importe, cependant, de satisfaire aux exigences du développement de notre primaire national. En présence de ces considérations qui retiennent lmpérieusement l'attention, le ministre de l'Education nationoie a décidé de tenter de résoudre ce grave problème en assurant un meilleur aménagement des crédits accordés par le Parlement. Il vient, en conséquence, d'inviter les Inspecteurs d'académie à procéder d'urgence à une nouvelle revision de la carte scolaire. Instructions aux inspecteurs d'académie Tout d'abord, dans ta circulaire qu'il vient de leur adresser, le ministre spécifie qu'aucune mutation, aucune nomination ne devront être arrêtées avant que soit achevée la révision de la carte scolaire. Celle-ci devra être opérée sur les bases fixées par les derniers décrets en vigueur. Il ne pourra être pourvu aux emplois régulièrement créés ou de-I venus vacants dans les écoles primaires des élèves dans chaque salle de clause ou le nombre total des élèves de l'école tel qu'il est prévu à l'article 36 de la loi du 30 mai 1899 exige le maintien de prévoit la suppression tituteur ou d'institutrice dans les écoles qui, ayant deux f lasse* reçoivent moins de 50 élèves 3 3 classes, moins de 80 élèves, 4 moins de 120 élèves. 5 moins de 160 élèves, 6 classes, moins de 200 élèves et ainsi de suite.

Toutefois, le ministre se réserve le droit d'arrêter la liste des emplois vacants et celui de procéder à la fermeture de classes. De plus. afin de hâter la revision de la carte scolaire, il convie les Inspecteurs d'académie à lui transmettre la liste des écoles, dont les effectifs sont intérieurs à ceux prévus par la loi, sans omettre de joindre leur avis à celut du comité consultatif sur ta suppresion éventuelle d'une ou plusieurs classes dans une même école. Les écoles de hameaux

et les écoles mixtes à une classe Tout en recommandant aux inspecteun d'académie la plus grande circonspection, M. de Monzie indique que Irg écoles de hameaux et celles mixtes de garçons et ftlles n'en doivent pas rrioina être l'objet d'un examen Aussi, en terminant, le ministre rappelle les dispositions administratives suivan- s Aux termes de l'article 8 de la' 101 du 20 mara 1883, les écoles de ha- meaux ne sont obligatoires que lonqu'elles réunissent un effectif d'au moins 20 enfants d'Age scolaire et que le hameau est distant de plus de 3 kilomètres de l'école la plus voisine. Jusqu'à ce» «Miniers temps, l'existence d'une école spéciale de filles étalt obligatoire dans toutes les communes de plus de 500 habitants. La loi du 12 février 1933 permet de réunir, à titre provisoire et quel que soit le nombre des habitante de la commune, les deux écoles spéciales en une école mixte à une classe, si l'effectif global des deux classes ne justifie pu le maintien de deux classes. »

La caisse des retraite* de la prease française tient son aasemblée générale L'assemblée générale de la caisse générale des retraites de la presse française l'est tenue, hier, dans la «aile des fétes de notre confrère le Petit Journal. M. Henry Simond présidait, entouré des membres du conseil d'administration, et assisté de Mme Rochebrune et de M. Armand Villette, désignés comme assesseurs.

M. Chauchat. secrétaire général, donna lecturo du rapport du conseil d'administration sur l'exercice 1932, puis M. Georges Soustelle lut le rapport des commissaires aux comptes. Ces rapport. approuvés à l'unanimité, ainsi que le bilan et le compte de pertes et profita, font ressortir que l'actif net au 31 décembre 1U32 était de 31.871.372 francs, xomprenant des espèaux chèques postaux pour 371.273 francs, et des titre. en portefeuille pour 18.764. 228 francs.

Quant aux 12.735.871 francs formant le solde, et qui représentent les cotisatlons encaissées depuis la constitution de la caisse, ils ont été virés à la caisse nationale des retraites pour la vieillesse aux fine d'inscription sur le. livrets Individuels des sociétaires et des conjoints.

Après avoir enregistré ces heureux résultats, l'assemblée, avant de se séparer, a adressé ses vifs remerciements à AL Henry Simond, président, et à M. Chauchat, secrétaire général, ainsi qu'à tous les membres du conseil d'administration qui, malgré le, difficulté éprouvées dans l'accomplissement de leur mission, ont au assurer le succès de l'oeuvre.

encore un coup bien mal partie aujourd'hut EdL-ce que nous allons, comme la dernière fols, passer tout notre temps nous disputer ? Mais aussi, vous êtes extraordinuire, vous répliqua-t-clle irritée. Est-ce que je suis libre ? Est-ce que je m'appartiendrai davantage à Paris qu'ici ? Est-ce qu'il ne me sera peut.être pas justement plus difficile de justifier de mes sorties t N'est-ce pas déjà bien étonnant que j'ale pu disposer de moi aussi facilement depuis des mois ?

Guy ricana, énervé par l'attitude de Jeanntne

Très étonnant, en effet. M, de Dompterre est fait d'une pâte de mari très agréable.

Oh fit Janine. la souffle coupé par cette Impertinence

Puls, devenue écarlate:

Je ne souffrirai pas. Guy, grondat-e!le. je ne souffrirai pas, voue enten.dez, que vous parliez jamais de mon mari sur ce toc-là Le beau mérite qu'a une femme de tromper un homme dont le seul tort est d'avoir confiance en elle

Ça, c'est bien vrai, de moqua cruellement le jeune homme. Ces peuvres maris. c'est toujours le trop de confiance qu'ils ent en leur femme qui ne. main enfin J'essentiel, c'est que nous soyons là. noua.

Si vous deviez continuer, Guy, coupa Janine outrée. peut-être ferlezvoua mieux de me reconduire à la gare.

Pourquoi faire? Vous n'avez an train qu'à dix-huit heures trois. Entamée aur ce ton, la conversation se poursuivit sans agrément pour les discoureurs, au ronronnement du mo-

entre repris de justice

Dix ans de travaux forcés i l'un des antagonistes. Cinq ana de réclusion à l'autre

Pierre Massonnaud, dit René. fixé 8, rue Blanqui. dans la zone annexée, près de la porte d'Italie, se dit comptable. Mate il n'a jamais tenu aucun livre. Originaire de Surgère, il a été condamaé, en 1915, à Ribérac, Depuis lors, «es condamnations se sont écnelonnéea sans répit il ne sortait de prison que pour y rentrer, et l'on a calculé qu'il a pu vivre librement à trois reprises quatorze jours la première foie. un mois la seconde et six jours la troisième.

Le second accusé, Hippolyte Devez, à il-age de dix ans. avait delà été condamné deux fois. Depuis le début d'août 1931. toutefois, Il n'avait donné lieu à aucune tAcheuae remarque. Tels sont les deux accusés. Le drame est aurvenu dans un décor désolé. au delà des fortifs, autour d'un baraquement aux cloisons disjointes. Masson- naud et Devez, qui s'étaient connu. en maison centrale, étalent de vieux amis. Le drame s'est produit le soir du 11 août dernier. Massonnaud et son l'homme est détenu s'étaient retirés dans la bicoque qui leur servait de domicile. Devez, accompagné de sa sœur et de Henri Léon, dit Martin, se rendirent chez Massonnaud qui refusa d'ouvrir, et une fusillade s'engagea de part et d'autre à travers :a porte, Un mort, un blessé, tel est le résultat de cette fusillade. Mais qui a commencé? Le président, M. Deviee, s'efforce en vain de le faire préciser. NI Devee ni Masaonnaud ne veulent avoir tiré le premier.

Le défilé des témoins ne fait que 11 est impossible d'obtenir aucune autre précision. L'avocat général, M. Bra- chet, requiert une peine égale pour les deux coupables. Mais lets jurés font une discrimination- Il. condamnent Massonnaud à dix ans de travaux for- et. partant, àla relégation. Devez s'en tire avec cinq années de réclusion. Une bande de perceurs de coffres-forts Entérinant une ordonna nç de M. Bau, juge d'instruction, la chambre des mises en accusation vient de renvoyer devant la cour d'assises de la Seine, sous l'accusation de volt qualifiés, les frères Adrien et Auguste Marros, Leguyon, Lenombre et Pignot. On reproche à ce. cinq délinquants, que défendront M" André Lejeune, des usines de Paris, de Champigny et de Salnt-Ouen, où lis ont percé les coffres-forts pour s'emparer de l'argent qu'Us contenaient.

Un Italien, membre d'une bande de voleurs à l'entôlage

est arrêté gare Saint-Lazare Le 22 mai dernier, le commissaire du quartier de la Madeleine envoyalt au dépôt un certain Philippini, dit c Ar- théo >, né le 10 juillet 1906, à Saint-Galt (Suisse), de nationalité italienne, représentant en tissus, demeurant à Paris, 27, rue Lemercier. Cet Individu avait, quelques jours auparavant, dérobé une somme de 1.200 francs à un étranger de passage à Paris.

En raison des condition. un peu epéciales de ce vol. Philippin!, avant d'itre écroué, fut dirigé sur les bureaux de la brigade mondaine.

M. Priolet, chef de ce service, e 'aperQut alors que cet Individu était, depuis février 1931, bou* l'inculpation de vol, l'objet d'une demande de renseignement. de la police de Berlin. Le magistrat acquit bientôt la certitude que Philippini appartenait à une bande d'étrangers spécialisés dans le vol àl l'entôlage et fit poursuivre l'enquête. Lundi, le brigadier Thenon et l'inspecteur Moretti arrêtaient aux abord8 de la gare un individu porteur d'un passeport au nom d'Auguato Verones, né le 2 juillet 1902 à Bologne (Italie), et qu'on savait être en relations avec Philippini.

On reconnut que le passeport avait été falsifié. Le détenu donna un autre état civil Antonio Cima, né le 17 août 1898, à Turin. Il était porteur d'une somme de francs, de deux bons de la Défense nationale de 1.000 franc*, qui avalent été achetés le matin même de son arrestation au bureau de poste de la rue d'Amsterdam, et d'un trous- seau de cinq clés.

Cima refuse d'indiquer son domicile et n'a pu expliquer l'origine de la somme trouvée sur lui.

IL Prlolet, qui recherche les plaintes dont le soi-disant Cima a pu être l'objet, l'a envoyé au dépôt.

teur et au travers de la nature en joie, Jusqu'au moment où Guy arrêta sa voiture devant une villa d'apparence fort coquette, que précédalt un Jardin à la barrière fleurie de clématite et de chèvrefeuille et dont le rayonnant soleil dorait la façade.

Ce fut sans entrain que Janine des- cendtt de la voiture, tandis que Guy en tirait le haut panier de restaurant qui entermait leur déjeuner.

Diable de diable bougonnait-il en guignant la boudeuse de côté. Quelle contrlatante maltresse voua devenez, Jeannette! Et ça va bien que je sois toujours sérieusement chipé, mais l'heure venue oh vous ne me direz plus rien. ma petite chérie, vous verrez comme je vous laisserai tomber, vous verrez cela

XVI

La fin d'un martyre

L'aspect de Domplerre n'a rien de seigneurial, encore que dans le pays on le dénomme courammeat le château.

C'est une vaste construction de forme longue et écrasée, à haute toiture d'ardoises moussues, à façade grise percée de fenëtres étroites et dont un large perron de trots marches est le seul ornement.

De vastes bols lui font une ceiature de moutonnements violâtres, qui Incite davantage à la mélancolie, qu'à la gaité. Ua vaste pré devance la maison, pré qui n'a d'autre agrément que quelques sombre verdure.

Et pula, dans le. brumes et sous les neiges de l'hiver, et lorsque les grands venta font s'envoler les ardoise. de la toiture et sifflent en gémissant dans

[UN NON-LIEU M. B«nou, Jthm d'inrtracUon, vient de rant 8. rue <1< la Cerisaie, à Stains, qui fut arrêtée, 28 avril dernier, par les leurs du commissariat de Saint- DenU-Nord, tenu l'inculpation d'avoir participé à une attaque nocturne.

28 juin 1933. A Boulogne, pêcbedante en merlans etgères, Mangez du merlan et de la merluche.

De 'Vieux La BOULEVAOO

respirez à votre aise I.. n n'y a rien de pins pénible qu'âne gêne de la respiration. Que cette £éne leurs souffrances s ils faisaient uoe cure avec le «Sirop des Vosges Caat» qui a déjà soulage des quantités de malades, comme en font foi les nombreuse* Asthmatiques, Catarrheux. n'arez- tous pas envié ces personnes qui sur- chent d'un pas allègre, sans gêne et sans euorts ?

Si vous voulez être comme tout le monde si vous voulez jouir C toat' les joies de l'existence, si vous voulez vivre enfin, suivez nosdes bronches et toux incessante.

Sirop^tegesCazé a

Pour arrêter Instantanément la douleur d'un cor et vous en débarrasser pour toujours, appliquez tout simplement dessus unZino-pad du D' Scholl. Voua oublierez que vous avez jamais eu un cor. Vous supprimez ainai la. eau. du mal la pression et le frottement et le cor disparait naturellement de façon définitive. Méthode rapide, et la plus efficace au monde. Les Zino-pads se fixent sans bandes et ne peuvent pas brûler ou infecter. Au contraire, adoucissants, ils s'appliquent sur tout point sensible ou meurtri. Se font pour cort, oignons, durillons, ceils-de-perdrix.

IL EXISTE UN APPAREIL OU UNE SPÉCIALITÉ DU Dr SCHOLL POUR CHAQUE TYPE CONNU DE MAL AUX PIEDS.

LA TALONNITTB WALK-STftATF

«npécbs i« Ft«l «̃ Unrmm, ment, tot contrefort* d« • do piad, MBpfek* U àttot-

les longs corridors déserts, le séjour du château, puisque château il y a, s'avère comme franchement désolable, et il fallait toute la tendresse que portait Phllippe à cette maison où Il était né et où les siens étaient morts pour en juger autrement.

Il tenait encore à ce domaine pour toute la peine que 8a reconstitution lui avait donnée après l'armistice, car la barbarie boche avait sauvagement sévi à Dompierre et ses dépendance. métairies incendiées, cultures boulever. sée», verger» détruits.

Mais Janine, qui n'avait pas les mêmes raisons de tenir à Dompierre, l'avait estimè sinistre dès le séjour qu'elle y fit aux temps premiers de son mariage et, lorsqu'elle y arriva, au moment le plus mauvais du mois de mars, il lui fallut le souvenir de la vengeance qu'elle avait Urée de Bon mari et la perspective des affronts qu'elle avait encore à lui Infliger. pour lui faire accepter ce qu'elle appelait rageusement son exil.

On la contralgnait. Elle ne soumit, en apparence seulement.

Comme il lui fallait apaiser son mari afin de gagner la liberté qui lui était nécessaire, elle rusa, la ruse étant la seule force des faibles.

Elle se fit hypocrite pour écouter Philippe qui. décidé à la regagner, s'adressa à son coeur comme à aa raison eu de longs entretiens où il s'efforça de mettre moins de gravité que de tendre persuasion.

Mais il parlait dans le désert. Elle Lorsqu'il ae taisait, croyant l'avoir convaincue, elle ne jetait dans ses bras en souriant, mais elle n'avait pensé qu'à Guy et au moyen de le revoir selon

L'AGE CRITIQUE

il mérite bien son nom car il pour cor- Irg-e verlisfcs, boulftes de chaleur! boursensation d'eau glacée ou bouillante dans le dos, début de rhumatisme déformant (qui rruii les doigts et les poig-nrls noueux avant de des doiyts et des bras survenant il et faisant croire à (a paralysie, caracléie instable, iuîwmnies, jambes (ronflées, cûDjrestioo et couperose du vlwffe. ele., etc. Cette période, que toute femmr doit suliir aux approches de la doquantaine, est plus ou moins longue et ses manifesta lions plus <>u moins violentes. (J'esl un véritable soulagement que de pouvoir en abrrjpt-r la durée et eu atténuer les douloureux effets. Et c'est ce que l'onobtienl, pendant i"à«-e critique, «vec le traitement si sfmplede la Mf-novarioefad rayées à avaler a chaque repas Les extraits de plaates (marron d'inrfp, hnmamélis, viburnum, se» qui ia i:omposcDt, renCurO'8 par un catalyseur le manganèse, lui permeltfiil d'abais- ser la pression et de diminuer la viscosité saOHTifneel parla decorobaUreffncacemeQt tous les troubles de la fonction ovarien De. Uemaodez à votre Médecin ce qu'il pense de la Méouvarine. Toutes pnarmncie», le. Sa le riacoa et Laboratoires Moodolau, rue |i sane

GNtttiiC0IISTIPATt8N0fmc0/isR'(7t»MM £z:tisane BONNARD La botte: «fr.25.- TOUTES PHARMACIES

CUw». de la brochure du Dr. Schoti. nr demande gdretté* S, Boulevard des Italiens, Paru. Zinopads du Dr Scholl Sa« afpUmtét doulear supprimé*

les arrangements qu'Un avaient pris. Philippe acquiesça d'autant Plus aux premiers voyages de Janine a N^ncy Domplerre manquait de bien des chose*, et comme chacun de ces voyages avalanche d'envoi de magasins, prouvant une débauche d'achats, comment eût-il soupçonné qu'il n'y avait là-dessous que de la débauche tout court ? plus prétendre qu'à une distraction dans ses absences hebdomadaires, s'll y consentit encore, c'est que la rusée devenait raisonnable et profitait sérieusement de ses amicales leçons. En l'amenant ici. 11 n'avait voulu du reste que la séparer de lady Exmoor, et il eût été fou de penser que cette trajet de Paris-Nancy pour revoir JaQuant pressentir la vérité, c'est-àeon coupable, Philippe en était à mille voyait point perverse.

Au surplus. elle savait si bien lui mentir que ses mensonge* éloignaient jusqu'à l'Idée du mensonge.

Son Intention était de demeurer en- core tout l'été à Domplerre et de ne rentrer à Paris qu'en octobre. Janine y consentait volontiers, discutait sagement des économies qui seraient ainsi réalisées. D'ailleurs, Dompierre, aux beaux Jours, prenait une image moins elle s'y était faite.

D'autre part, Armande lu encourvçeait dans leur in Un tion.

U suivre.)


AUX BOUFFES PARISIENS « Phi-Phi avec ses créateurs a rehroové son succès de la création Le théâtre des Bouffes- Parisien* a eu l'heureuse idée d'afficher de nouveau son légendaire succès qui n'a rien perdu de sa première fraleheur.

On a retrouvé avec joie les fameux créateurs Urban, Inimitable Phidias, et Dréan, étourdissant de fantaisie dans le rôle du Plrée,

C'est Mlle Mireille qui Incarne la « gamine charmante » et détaille d'une façon adorable :es couplets d'Aapasie. Mlle Régine Paris, sculpturale Madame Phidias. Gustave Ne:aon, Arrftmédon plein de charme, Hennery, amusant Périciès et Mlle Wanda de Muth, la célèbre danseuse, complètent avec les plus jolis petits modèles cette écla- tante distribution.

Et vol1à Phi-Phi en route pour la L. M.

Ce soir à l'Opéra-Comique,

représentation de Mlle Fanny Heldy La triomphale série de représentation. que vient de donner il. l'OpéraComique Mlle Fanny Heldy va se clore aujourd'hui. Après avoir Incarné tour à tour avec une admirable virtuosité IjOuIsc, MI mi et les trois héroïnes des Contes d'Hoffmann, la prestigieuse cantatrice reprendra ce soir le rôle de Mme Butterfly, marqué par elle d'un cachet Si personnel et qui lui valut constamment de magnifiques succès. Elle aera entouree de Mlle Deva-Dassy, MM. Mlcheletti, Tubiana, Hérent Ce spectacle sera l'a^ant-dernier de la saison pour le théâtre de la place Boieldieu qui, après Carmen avec Conchita Supervta, fermera ses portes demain Jusqu'au août. Comme on le voit, M. Gheusi s'est montré soucieux d'achever en beauté la première direction, Sans aucun doire. la salle Favart se révélera trop petite ce soir pour contenir les Innombrables admirateurs de Mlle Fanny Heldy.

AUJOURD'HUI. A la la «aile d'Un., 2 h. 3(1. représentation nu profit de l'Ecole spéciale de. enfanta du spectacle. Studio des Champs-Elysées. 9 h., première des Rapacc», pièce en trofn actes de Mil. Uset Thamin et Georges Basse.

COMEDIE-FRAWÇAISE. Cest au début de la saison prochaine qu'on reprendra l'inditerel, de Il. Edmond Sca. On a déjà commencé les études sous la direction de M. Riphn&l Duf !l>

•O- GAITE- LYRIQUE. Le Pays du «o-urirfl triomphe tous les jours, Interprété par Wllly Thunls, Georyette Simon et CœeUia Navarre.

-o- L'A-vb*>rQ6 du Qui obtient toujours un formidable triomphe au THEATRE MOGADOR. sera donnée en avec toute sa brillante interprétation du soir, en tête de laquelle figure Georges Ml (ton.

-o- PALAIS- ROYAL. La d€ Moment fait rire tout Parts. Autour- d'hul mâtinés. Une direction intérimaire donnera, cet «té. aux VARIETES. une série de repré- de Cil, la comédie de -MU, Félix Gansera «t Claude Oevel. Mlle Carmen Boni y fera aea débuts sur la Elle aura comme partenaires MM. Iliéronlmus. Gaston Dufray «t Larquey. quatre dernières soirées de la Fille « d seront données jusqu'à dimanche prochain 3 Juillet (maflm*» et soirée). La réouverture du théâtre aura Heu le samedi 12 aoAL

-o- Cet aprèa-midl. 4 heures, aurs Ueo. au Salon des artistes décorateurs, une raatfnée poétique organisée par notre Camœdia, au Grand Palais des Champs- Elysées (porte d'angle place Clemenceau), De nombreux artistes de la Comédie- -'i- TH. SATNT-GEORGEP. MM. Be- nolt-Leon Deutsch et Jacques-Albert, m voulant pu faire doubler i«* principaux créateurs de Tnrix et une, partant en vacances, ont décidé d' arrêter les représentations du grand succès de M. Denys Amlel à la 290, le dimanche 98 Juillet La reprise aura Heu la la réouverture au' début de septembre, avec tous les créateurs. -o- POTINIKRE. Rappeluiw que M. Petrolint changera son programme dernière semaine. Il Jouera ce soir Amori di Nette de nuit) et Oarofano (Œillet), et vendredi Ca*tiga*uitti (Celui qui châtie le» fous) pièce en trois actes de MM. Petrotlcl et Svetunl.

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Paw Honecaa. £• d'Inf. (M. Barat>. Drôle de marctte (J.-Kd. Barat) Ouverture pour une comédie (Lary); Putoraie (Marguerite =pion) Tament). Marriie solennelle (G. Sporck) Patrie (G. Biset) Menuet gothique (Boellmnnn) Deux Petites Pièces (Barat) SylMarche militaire (Marguerite RœsgenChatnplon) Intermezzo (Plerné) Danses nire (C. Saint-Saens) ballet d'Etienne Marcel (C. Salnt-Saôns).

.et <• soir à 21 heures

Square de Vsngfrard. Société philharmonique du XV. (M. Quentin). Marche du couronnement du Prophète (Meyerb«er) Si j'étais roi (Adam) chœur de. pèlerins du Tannhœuser (Wagner) ): la- pacheurs de perles (Bizet) Sabot!! fleurs Païex) les Cloches de Cornevllls (Planq nette).

Square du Tninple, Harmonie ouvrière nod) .et (Gounod) ballet de Faust le Coeur de la France (Popy). Place de la Henni». Harmonie de la Ballevilloise (M. Plllot). Roger Bontemps (Allier); le Secret de Pierrot (Popy): la Veuve joyeuse (Lehar) Introductlon et al legro (Blémont) Boccace (Suppé) Cbamp-d«-Msrt. Union du finances (M. Lambin), Ls Sirène (Ul bini) Mascarade (Lacome) Ballet égyptien (Luigini) Fiançailles le le Bnttes-ChaimoMt. Harmonie du Chemin de fer du Nord (M. Bey). Scènes poétiques (Benjemln Godard) la Bursonde (Vidal) fantaisie sur Rigoletto »q nare C.rpeaux. Echo philharmonique Paris > (M. Iiuys). Ouverture de Semlramia (Roasini); Suite de ballet (LIpaeher) l'Artésienne tBizet) Ballet égyptien (Lu*gini>.

nique du XIV (M. Cochepaln)T Les j tl'ivresae (Popy) Marche Indienne (Sel* j 8qoar« de la >'atl*a. Hartnonl» du 8: Petit Parisien » (3C Coquart). Marche des sultanes (Ailler) ouverture de Poète (Balay) Ballet de la statue (Reyer) Très jolie (Waldteufel).

Colombes (square Eklrar-Qulnet). Har- monie municipale (M. Morlce). Marche lurralne (Ganne) Ouverture de concert tGiraud) Napoli <Mt>»acs.po) Conoerto (Leroux).

Vanvea (jnrdln de la mairie). Harmonie municipale (M. Mirbei). Le Président (Voussure) Mireille (Gounod) ma- zurka du ballet de la Source (Dellbes) GratUly (place de la Mairie). Fanfare l'Amicale Mpu Arlett« (Sa- (Labole) Mon seul amour (Egal) l'Echo guez) l'Amour filial (Gadenne) Euterpe du Reculet (MarUn).

NOCES D'OR M. François Chevallier, soixante et onze ans, et sa femme. Brama, soixaate-tr«ize ans, un irros, demeurant 92, rue Caatagnary, viennent de célébrer leurs

Rosaire, r de Vanvea. au milieu de leurs s enfanta, peUU-eniants et de leurs nombreux Pour lui permettre d'envoyer le plus grand nombre d'enfants en colonies de vache prochain 3 juillet, dans ses cours et locaux, 174, rue de Vanves, aa grande kermesse annuelle.

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LE SECRET DU SPHYNX Le secret du npkyns, s'est-ce pu celai de ee. deux ravtauata amoureux qu'a clair de lune auiu myoas esciladi-r les pattes de granit de colosse ?

{)NE IDYLLE AU CAIBE. une Idylle knpré* de. palmiers à l'ombre de. pyratant 1. 1. olnifs d'Europe et d'Amériqnc.

U fant vl*r« dès demain an MAKIGXAN <-«-tt« idylle ru rai"' tette double idylle entre rt (itsorge* Blfaud, d'autre part entre lenrs parent, 1 AU CAIKK est un fil. le. plus duction (i. fttapeahant de 1. lia, harmonie utr-ment realUAe par la Srhuntfl, assisté Par CI. Ile y mann. Une lecttet spirituels de Jacques Bousquet font d'LNF IDYLLE AU CAME une vraie

PHI STUDIO 28 XoSl-Ko«l d&B« l'U.N.M. Ch.rllc CllHlla dans LE PKLEBIN Tou» les Jours matinée d pris réduits ? j MB Le spectacle du rire La Semaine des nations américaines Au cours de la seconde journée de ricaines, organisépar le comité France- Amérique, a eu lieu hier au Trocadéro la vigile des expositions ethnographi- ques. Les visiteurs étrangers, guidés par M. Rivière, parcoururent les diffé- et Amérique. un thé leur fut ensuite offert par la direction du musée. Les obsèques

du champion cycliste Jean Capot Les obsèques du champion cycliste Jean Cugnot, VIctime d'une chute au vélodrome municipal, ont été célébrées hier matin, en présence de M. Léon Breton, président de l'U. V. F. et de l'Union Cycliste Internationale. De splendidei couronnea de fleura naturelles avaient été offertes par le gères et françaises du Tour de France, ments. Les ancien* champions Stetn, Contenet. Sérè*. Schtlles et les plus réputéa coureurs assistèrent à 1a cérémonte célébrée à l'église Saint- El oi. L'inhumation eut Heu au cimetière Montmartre, dans un caveau de famine. LES CONGRÈS Les retraites de l'Etat

Le* trava.ll leurs retraité. de l'Etat ont t*mu hier, À la do travail, un rapporta more! et financier péter.4té adoptés. Approuvées également les démarché» faites auprès du minatre au sujet de 1 augmentation de taux du forfalt

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cliat*. M. Jean L«roux. trenle-six ans. 22. rue de Bols-Colombes, à OennevUliers, merl* entre ua autobus et un camion, a eu le crâne fracturé et une Jambe broyée. M. Artbur Thibaut, cinquante ans, sur ia tfiauseée, rue FéUx-Pinault, et se b leas«. Bichat. rin, seize ans, demeurant 30, rue de Va.girard. renversée par un taxi, est admise 1 Laënnec.

Roulant k bicyclette 1. jeune René Nerrée, demevrant 161. rue du Cfcevaleret, est renverse par un camion, place ValhuI A l'angle du boulevard Bupsll et du rers* Roger au i centre maritime de l'aérodrome d'Orly. Rue de Varennes. Mm* Marte [,au. | rent, soixante-dlx-hult ans. demeurant 28, i rue JdartiKnac, rt&vertée par un« auto, meurt à Laè'nnec

Boulevard Raspali. l'automobile du 1 d" Allemagne, a renier»* sur ans, demeurant 7, rue Charité.

Commo L1 passait avenue AristideBriand. A Montroug*. un motocycliste, M. Antoine Corradl, rtngt-sept ans. 27. fait une chute. Grièvement blessé la la tête, il a été transporté à l'hôpital de Vaugirard.

Un voleur s* dissimulait sous un lit En rentrant à son hôtel, 19. rue MaltreAlb«rt, IL Jean Bonnet. marehand de primeurs. trouva un individu caché sous son lit. A 9t* cris, un IL PUncoulalne. vint lui prêter assistance pour arrêter l'in-

Celui-cl, Ertek Qulntin. né en Sarrebrurk, garçon glacier, sans domtcfle ni travail. a avoué au commissaire de police qu'il s'était Introduit chu M. Benles mêmes conditions, soustrait 100 franco. Ménltmontant. nous prie de déclarer qu'il avait demandé de bonne fol un secours de rhbmag*, m» raivs clients nt suffisant pal à le faire vivre ainsi que sa femme. Un audacieux Yoleur

Mme ^excellent, qui tient un débit. 3, rue Farart. et qui était montée au premier f.tage servir une consommation, un indi- de famille et des titres, une somme de plainte au commiss&rtat Vtvlenne. huit trente au», grand, mince, rasé, teint Manifestation d* sympathie»

par l'Inspecteur principal Rey. les gradés et gardiens du I" arrondissement ont ofrert un souvenir A leur collègue Emile Duboux, promu brigadier au II* arrondissement

francs, repartie par moitié l'Orphelinat mutualiste et i 11 Maison de santé des gardiens de la paix.

Dea Inspecteurs de la police judiciaire ont arrêté dans un café voisin de la porte Saint -Martin deux individus qui. Il y a quelques jours, avaient volé deux montres

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MM. René Venot. 110. boulevard de Sébastopod, et Tcherkassy. rue Turbigu, n* qui ont d'ailleurs reconnu les faits incriminés, mont Jean Lfthouthe et Gabriel Bernard, forains, demeurtuit l'un et l'autre 1. rue de Bretagne.

Place Saint-André-des-Arts, trois lndividus, porteur. d'- complet d'homme et de coupons de tissus, bu vendre leur marchandise à des prix dMlant toute concurrence. 5« voyant suspectés par la patron du café. Ils d^campért-nt. abandonnant à 1. terrasse leur ballot d'étoffes et s'enfuirent par la rue HautefeuUl*. M. Peltler. commtojalre de Saint -Germai o-desPrés. les recherche.

De- une crise de neurasthénie, im livreur. X. Camille Lalgros, cinquante et un ans. demeurant 95. avenue Jeun -Jaurès, à Aubervilllerj, .t'est pendu. en gare de Paa. Un, dans un wagon qu'il avait mission de décharger.

Dans on chantier, me de Paris, Pantin, un serrurier. M. Henri Deuil. dnquante-six ans, reçu un outil «tir la tête grièvement blesse, Il a été transporte d l'hôpital Tenon.

En l'absence des époux teclere, entrepreneurs de transports. 22. rue Palousler. à Saint-Ouen, un voisin Pierre Dumoulin, même adresse. l*ur s dérobé 700 francs 1e voleur eat au dépôt.

Rue SaJnt-Jacques. Mme Albertine Destroel, vingt-huit an*, dont on Ignore le domicile a fté trouvée; inanimée sur la chaussée. Cochin.

M. Loula-Kapmond Le Csiff, vingt-six ans. 6. rue Thouin. garçon de café, est frappé de roncestton boulevardAu cours de son travail, un couvreur, sur-Maro# est tombé du toit d'un Immeuble 75 bix. NI Lamartine, à Nogent-sur-aiarne. 11 a Hé tué sur le coup.

Un commencement d'incendl. s'est déhier après-midi ver 14 heures au théâtre de la Gatté, y y arait audition d'artistes et matinée privée.

Les dégâts sont et et la représentions normale*.

CONTRE LE RACOLAGE La préfecture de police communique la note suivante

Depuis quelque temps m pratiquait aux entrepris** commerciale» un rw»ia#;e de le eltentèle au profit de concurrents p!u scrupuleux

Pour mettre fin à ces abus, de nature troubler l'ordre public et i nuire la la commodité de la circulation, le préfet de police vient d'interdire, d'une façon fréne- quelconques, ainsi que le racolage 4. clients éventuels, lorsque cest opérations sont pratiquées sur La vote publique, UNE SEMAINE COMMERCIALE A COLOMBES

Une semaine commerciale organisé* par le groupement d' action de Centre au profit de la caisse des écoles et du bureau de bienfaisance s'OQnombreuses attractions seront données tj cours de cette manifestation.

Dimanche, à l'hôtel de ville, h. «0. de la reine des relues de Colombes eu présence de la reine de Pari* »frci*t«e ds ses demoiselles d'honneur. des Mar-aiioes de France, de Fnris et de la paix, de '.a commuas libre du VICtixMontmartre avec son moire. M. P>rre Labric. A h.. grand cortega de chars et de véhicules Ileuris.


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LA VIE SPORTIVE

Le Tour de France cycliste ILS NE SONT PLUS QUE 69 quatre-vingts coureur» quarante groupés représentant cinq nations et quarante individuels ont quitté Paris mardi dernier pour disputer le Tour de France.

Hier soir. après l'arrivée à Oharleville de la deuxième étape. ils n'étaient plus que soixante-neuf ayant terminé dam les délala réglementaire. soixanteneuf qui, ce matin, seront autorisé. à s'aligner pour la troisième étape, Charleville-Metz.

Encore faillirent lis n'être que soixante-trois. N'avait été la décision du directeur de la course qui porta de 8 à 10 du temps du vainqueur l'heure de la fermeture du contrôle, quelques vedettes et soua-vedettee auraient été éliminées: Péglion, Fayolle, A. Bull ThaJUnger, Di Paco qui souffrit tout le jour de l'estomac et Bergamuchl turent les bénéficiaires de la clémence directoriale. Par contre, Bisse ron, Erne et Benoit Faure n'ont pu obtenir leur grâce.

Dix-sept hommes sont donc déjà éliminés huit mardi sur Paris -Lille, trois hier sur Lille-Char le ville, par mesure spéciale.

Un tel déchet peut sembler anormal. Il ce fut jamais, depuis que le Tour existe, aussi important, surtout dans lu étapes de début qui, par surcroît, sont relativement courtes et uns difficultés excessives.

Il est cependant assez explicable et et justifie par les deux principales ralsons suivantes

Les coureurs. vont trop vite: la moyenne du vainqueur a été. le premiel' jour, supérieure A 33 km. à l'heure; le deuxième jour, elle a atteint près de 34 km. Ce sent dea allurez que tout le monde. ne peut pas tenir. Et pour « tout le monde nous» entendons mime certains hommes de grande notoriété.

Hais, si les eoureurs. vont vite, cela tient au règlement qui accorde dea bonifications de une, deux ou trois minutes aux vainqueurs des étapes, et aussi au désir de briller qui anime toute la jeune génération

V On sait que, pour être classé, tout coureur doit terminer dans un temps qui ne soit pas de 8 au lieu de 10 l'an dernier supérieur à celui du vainqueur. Mais pour hier les dix pour cent ont joué ainsi qu'on l'a vu. Or un accident matériel devient, pour celui qui en est victime, un handicap parfois très sérieux.

Evidemment Il est un peu tôt pour tirer des conclusions définitives, à ce par exemple, que, à la dixième étape, tous les coureurs seront éliminés. Mais il est incontestable que la qualité aportive du « Tour » s'annonce comme devant être de tout premier ordre. Et tous les amatenrs de belles coursas sur route en seront enchantée. L'étape d'hier

Tout autant que mardi, sinon plus l'étape d'hier fut celle des pavés. De Ulle à Charieville 11 y en ont des centaines de kilomètres. Dangereux parfois, fatigants toujours, ces pavés étaient hier sur une grande partie recouverts d'une boue glissante qui força le* concurrents faim preuve de prudence. Il y eut néanmoins de nombre.ses chutes, heureusement peu graves La course de bout en bout fut toujours animêe. Ella eut trois phasea dis- tinctes et se termina par l'arrivée au vélodrome municipal de Charieville d'un peloton de douse coureurs qui, dans le tour de p'.ate qui !es départageait et mettait à la première place l'Italien Guerre les autres se rangeant dans l'ordre qu'on trouvera d'autre part. La première phase de la course eut comme principal acteur Charles Félisstar qui, à vingt kilomètres du départ, à la suite d'un brusque démarrage, dis-

tança tous les autres concurrents. Mais l'alerte avait été rapidement donnée et Pélissier était bientôt rejoint par deux Belges Rooaemont et Degraeve. A Valenciennes, la triplette de tête avait une avance de sept minutes sur le peloton duquel le Français Cornez «'était détaché et suivait les leader. à une minute seulement. Peu avant Maubeuge. Pélissier était victime d'uue crevaieon et Cornez, au prix d'un bel effort parvenait à le remplacer dans le groupe de tète.

A Maubeuge, les trois Individuels Avalent toujours leur avance de sept minute. et Charles Péllssier se voyait c absorbé » par les poursuivants qui. ayant enfin compris le danger activaient l'allure, ce qui leur permettait de reprendre une partie de leur retard. Un peu avant Hiraon, Roosemont. Degraeve et Cornez étalent rejoint. d'abord par Bulla puis par plusieurs autres coureurs. Si bien que les antmapayaient leurs efforts du début et ne cessa plus Jusqu'à l'arrivée effectuée en. présence de milliers de spectateurs. La classement d. l'éUp*

1. GURU. couvrant les 192 km. en o heures 88' 52"

2 Jean Aerts 8. G. Ronsse 4. Rebry i. Le Grèves 6. ArchambaurJ, 7. Wauters Hardiquest (premier des isolés). 9. es œquo Buse, Vervaecke. Magne. 16. Plemontesi 17. Martann; 18. Camusto: 19. Stoepel; 20. Charles Pélissier. même temps

21. Lapéble, S h. 37 25" TmeM X. Geyer; 34. Ignst; 25. Mondera; M BDetcher: 27 Louyet; 28. Level. 20. Thierba.cn; 31. Albert Bucht; 32. Alfred Bucni 33. Deloor 34. Decrotx Rlnaldl 36. Le Calvez 37. Bettlnl, SS. Leducq 39. Scbeper» 40. Driancourt 41. Nsiihard 42. Cornez 43. Batteslnl 44. Brugére 45. Giacobbe. même temps Grandi, à h. 37' 48. Gaillot, h. 43' 57" 48. Degraeve. S h. 44' 40" 49. Le Goft. 6 h. 45' 11" 60. Roosemont. m£me temps

51. FIrpo. 5 h. 49' 18" 52. Il- 53. DiAltenburger, 5 h. 60' Pasto-,il 57. Blattmar.n 5& Plpoz 59. Lui63. Antenen 54. Pégtfon, 6 h. 2' 13" 65. rayoll* 66. A. Bulla 67. Thalllnger 68. E»i Paco a Bergatnaschl, même temps. Ces six derniers coureurs ont été cluses du fait que le directeur de la course a porté de 6 à 10 du temps du vainqueur l'heure de la fermeture du contrhlt.

Ont été éliminés Bisseron, rna

Le classement général

I. Archambaud. 13 h. 20' 37" 2. Aerts, 13 h. »̃' 3. Lemaire, 13 h. 25' 9" 4. Rebry. h. 25' 9" 5. Guerra, 13 h. viduels), eu h. 37' 8" 7. Wauters. h. 37' 8. 8. Louyet, 18 h. 271 42" 9. Buh, 11 h. 28' 10. Stoepel, 13 h. 29' 47" II. Ronsse. 13 h. i. 30, 12. Ch, Palle•1er, 18 h. 30' 40"; 13. Cloarec, même temps: 14. Decrolx. 13 h. 30' 41" 15. Speicher, Bull», h. 35' 15" 25. Monciero, 13 h. Grandi. 13 h. 39' 28" LapAble, U h. 41' 28" 38. Cornez, m. t. 34. Bet18. Trueba, 13 h. 46' 11" 39. Plemontepf, h. 47' 51" CamitsBO. m. t, eaU, 13 h. 49» 43. Roosemont. 13 h. M' 26" 44. Alfred Buchl, t3 h. 31 Bernard. 13 h. 50' 46 Dignlef. 13 h. 5V 13 Glaccobe, 13 h. 51' 48. Degraeve, 13 h. 52' 23" 49. Albert Buchi, 18 h. 54' 60. Le Calvez, m. t.. etc., etc.

Classement internationt

1. 40 h. 14' 27" 2. France, Italie. eo h. 41' 5. Suisse, il Il AUJOURD'HUI TROISIEME ETAPE% CHARLE V ILLE-METZ

Charlevine [départ), 11 h. 30 Montm*dy C. S., U h. 20 Briey (135 tan.), C. S-, M«U km.), arrivée boulevard

LE MEETING DE FRANCE

DES CANOTS AUTOMOBILES M. Jean Dupuy remporte nn< troisième victoire)

Hier, dans le bassin d'Herblay, ont trième et dernière journée du meeting automobile, organisé par le Yacht Moteur Club de France, avec le concours du Journal.

M. Jean Dupuy, confirmant les présur le hors-bord ExcrlMor-U il dépassa la moyenne de 71 km.

Résultats

Coupe Jaoaura ilenier (épreuve réservée aux « hors-bords »). Classe A 1. K. Vermeersch (Belge), couvrant les 60 kilomètres ^'parcours ea 1 h. 18' (9" S/3* Moyenne Classe B 1. H. Van Uossevelde (Belge), l a, 4' 59" 1/5. Moyenne 40 km. 816 2. K. Le Feitvre tFmncala). en 1 h. 5' 41 Course de dinghies, classe B i. M. Margaxiti (Français), couvrant le» km. en 17' 42" (moyenne 33 km. 898) Ï. M. Steen (Norvégien), en 17 48".

Classe C L Et: Valette (Françale), cou- 41 km. M. Galopin (Français). JO" 3. M. de Connlnk (Français). M. Jean Dupuy (Français), couvrant les 25 km. fn 13" (moyenne 71 km. 228) 2, H. d'Abbadle d'Arraat (Français). Pris du Prétident de la République Dtvo. couvrant les 30 km. en (moyenne M km. 491).

en 19' 6 (moyenne 75 km. 390) 2, M. dAbbaJle d'Arraat (France), en 31' L Galdiz (Eapagne), en 31' 18".

racer. n'excédant pu 12 litres de cylindrée). 1. Niniette-11, au prince Charles Rustoll (Italie), couvrant Les 40 km. en 3T 3/5 (moyenne 85 km. 970) 2 Incognito-lX, i M. Guton Meyer (France). en 38' LE TOURNOI DE TENNIS DE WIMBLEDON

He) bat Ontfen (fVanc«), 6-S, S-6 bat i *îî* «*«> (Franc.) lnlaiSi Hardwlch (Crande-Bretagne). 6-3. LA SUPÉRIORITÉ

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UNE BAGARRE

AU QUARTIER MONTPARNASSE Deux agents «t un étudiant sont bleasés

Pour un motif futile, une bagarre éclatait, l'autre nuit, dans un établissement du boulevard du Montparnasse, entre une trentaine d'étudiants. Policesecours ayant été immédiatement alertée. deux agents intervinrent mal. furent légèrement blessés en procédant à l'arrMtatlon de deux des perturbateurs, Georges Blanc, pianiste, 49, rue de Paria, à Gentilly, et Arsène Rouaaut, étudiant, de, boulevard saintGermain. qui furent conduit. au commiaenrlat de la rue Delambre. M. Maurice Kas, interne des hôpitaux, âgé de vingt-cinq ans, demeurant rue La Harpe, qui avait été légèrement blessé dana Ia bagarre, fut admis l'hôpital Necker.

Le» agents, Ernejt Maialeirat et Garnier, du XIV arrondissement. étaient blessés, l'un à la face et à la main droite, l'autre au poignet, mais leurs blessures sont superficielles.

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BULtfeTIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 28 Juin

rhtfe par une certaine agitation sur le mar- commencement de la Bourse, de la n.l.e avait stimulé celle-ci, la reprlae de devise hollandaise, en fin <tn séance au tante. Ce redressement «accentuant aujourd'hui, à la suite des mnvtriatloiis francobollandu-suinca à allure de notre rité. Le nouvel accès de faiblesse du dollar, la hausse souvent très Importante des céréales et de nombreuse* matières «rleoles aux EUts-Unlg n'ont pas toujours en quelque sorte la du marché Quant à nos fonds nationaux, malgré quelques Yfl.im^a de e il@ ont été franchement lourds dans l'ensemble. abandonnant parfois un demi-point et au Seuls, nos grands roseaux, la suite de l'adoption par la commiMion des travaux publics de 1* Chambre du projet sur la réorganisation des réseaux, ont fait preuve d'un. grande fermeté, tous sans exception. V. progrès de c«s titres, par rapport aux niveaux de 1a veille, sont souvent très appréciables.

Parmi les titres «gaiement bien disposes, la vive du Suez et les valeurs dviectrlcltc.

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Aux changft.1!. la livre est alourdie k 86, contre 88,57 et le dollar est faibi* a 19,96 contre 20,41, cédant presque un demi-point. Par contre, le florin se raffermit i 1.031,25 contre 1.U17, tendant ainsi à stt rapprocher CîCtnre de la d*axt*m* séaace

Métropolitain. Young, 458 Fonciel' Egyptien, 2.435: Canadlan Pseiflc, 859: Central Mining. 1.378 Rio TInto, 1.839 MARCHES JBTHAKGEBS

Londres. L'orientation générale reste satisfaisante et le volume du affaires est asiiex Important. La. baisse du dollar et la hausse des prix des marchés commerciaux M! mu lent l'ensemble des comp&rtlmanU. Aux Industrielles. Jes tttree de tabac. de distillerie et de soin artificielle sont en vedette. Enfin, on remarqua des demandes Importantes sur les chemins de fer argentin».

Berlin. L'ensemble du marché est mieux disposé et progresse même sensiblement aprèa les premiers cours. On est en elfet mieux impressionné par les négociations de M. Schar-ht avec, les créanciers du Relch. La fermeté de N'ew-York a égaletue dans ta deuxième partit de la séance mais on fléchit de nouveau en clôture.

COURRIER DES T S F AMATEURS DE 1 • O* F Jeudi juin.

LE POSTE PARISIEN assure la du TOUR DE FRANCE CYCLISTE de 27 JUIN 23 JUILLET Ce radio- reportas;» est orj»nisé p.r g î LE PETIT PARISIEN | et

LE MIROIR DES SPORTS Radio-reporter: Georges BRIQUET 7tll!ll<[|llltl|tlll!|II|lt|]l|4lll|llli:|ill!I|l(|lt||[|llllltllitlll]|It|]lK LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANCAISES

POSTt PARISIEN (»8 m. Il)

AU cours de nos émissions da la Journét, 13 heures. 13 h. 13 tu 35. 11 heures. 15 h. 15, IS h. 45, IS 2 M, 19 h. 15 20 h. 20 et en fin d'émission, cours at dernières Informations financières.

13 h. 10, < Enregistrements de Bach et Larerne )0; Chez le chapeHer; Un Joyeux malade; Aux bain. de mer; Zs.Ilo z'illo 12 h. b h: 35: 30 la minute de « i'Jntitui m. l'A b. 35, concert avec le concours de Oar- donl et de son «osemble, offert par la maison Beuscher.

13 il Extrait. d'opéras et d'opéras- eomique» » Ouverture de Guillaume Tsll (Roasini); AIlle héréditaire iRoasinl) Le RoI d'Ys (Lslo).

13 h. c Quelque» enregistrements de (Ooublier): Petit Ctiagrln (Vauralre) Le Coffret (Xavier Priy«); Le Tango de MaVers 17 heures, arrivée de l'dtape « Chtr- îerilie-Meti radio-reportage du Tour de France, par le Miroir des Sports et 1. Petit Parisien.

la h. ï5, la la Demi- Henni pour le. Ptiti avec le de la troupe du théâtre du Petit-Monde, sous la direction de SI. Pierre Humble.

h. 16, Journal parlé du poste. par U. Maurice BourdeL

19 h. 30, Commentaires de t'étape c Charlevllle-Metz », du du Tour de France, par la Miroir des Sports le I* Petit ParUl«a.

19 h. cause ris. de la Francs mutualiste.

h., présentation, par M. Derral, d'attractions des Fol les- Berger*.

20 h. 45, disques.

21 h. 30. « Une demi-heure avec Offenbach » (première séance) « les Befratnt célèbres chantés par Suzanne* BrlndeJont-OfTenhach, commentés et accompagnés par Jacques Brlndejont-OfTenb&ch. la Vje parisienne c la Veuve du colonel la chanson de Fortunlo la Grande-Duchesse de Gérolstein a) le Sabra, b) la Déclaratlon la Péri choie; a) Il grandira. b) la Lettre Madame Fava.it « Ronde des vignes > Is Pille du tambour-major mann « Barcarollfj » Orphéa aux anfers « Evohé

22 h. concert d« raustqus de chambre Quintette de Schumann. avec le concours de MM. Beilanger. Pain. VMlaJn, Marches) ni et Jacqulnot

22 h. 45. dernière. informations. EmiâMton de vmndrmdi matin

7 ho 10. ré* )ll en fanfare et concert de musique enregistrée La Marcùe de. torton ((Mlohaells): Perle fine (Ffquet); Tommles and aammiei (Prod homme); Chanson Interrompue; L'Enclume Quatre Mots (Erwin); Gosm de Paris (Sylviano); Au (Grief) Pot pourrl viennois (KomsaJc), Au cours de l'émission. a 7 M. 30 et 8 h. revue de la presse par .IL.Henry BAnaxet. Informations, propos de bonne humeur par M. Michel 8 h.. Fer 4&7. pronostics ménagers donnés par De 7 heures a 7 h. 30, concert offert par les « RUbllasemeats Tlto-Lamdi ». TOUR EIFFEL (1.445 m. 8). 18 à 16 h. 30. chroniques diverses.

15 h., les Matinées musicales de la Tour piano et poésie,

18 h. quart d'heurs de la Société universelle du théâtre, par M. Paul BlancharL Il b, 45. compte-rendu ds la troisième Wendelssûhn Ruy But», Chant sans paro:es, la Fileuae, Chaînon de printemps, le

Soufra d'urui nuit d'ttd. Deuxième partie: musique la la Bayadère (Kalman); Ma Ratine (Habt): Une cabane en bois (DUf ss) Eumoresque (Dvorak); les Fleurs que noua aimona (Créjnleux); Rêve de la vachère (I-abitzki); et fleura (Taboni); Je Chemin du axur (Lincke); Deux dan* un» voiture. De tout mon cœur (Bayle). RADIO-PARIS (1.724 m. 1). 7 2 46. disques.

12 h., conférence protestante.

12 h. 30. musiques populaires et régionales Danse sur un thème rustique (A. Rond. française (Boelmann); Qavotte bretonne (Bourgault-Doucoudray) VieWea Chansons et Vieux Airs français champêtres Casa(Lohr) Danse villageoise (Chabrler) En Bretagne (Fontbonne): Bourrée d'Auvergne (André Colomb); Marclie lorraine (Ganne); Suite béarnaise (Decq) Nuits algériennes Suite savoyarde (Chanaud); Berceuse gas13 h. 10, ci us* rit agrtcol*.

18 h. 80, le Petit Duo (LecoeqJ; Im Mn- sesne iavnt

18 h. JS. causerie Juridique.

19 h., causerie.

(Lévadé).

20 h, théâtre te du Satnf-ffavement (Prosper Mérimée); ia VMenn* du roi (Henri Lavedsn).

PARia-P. T. T. m.). Compte

rendu du Tour de France. 8 h., informations.

IS ho et 19 h. 45, Mat.

18 h. 46, Radio Journal.

19 h. 30. cours d'allemand.

20 h. 10. causerie.

20 h. chronique internationale, h. Jeanne, Jeannttt» «t Jeanneton, RADIO-L L. m 1). U ho 30 et 19 h. 45. concert.

13 h. et 19 h., informations.

RADIO-VITUS m.). M heures. radio aux aveugle* allocution du général gouverneur des Invalides com22 h., musique légère.

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DAVENTRY m. 4). 12 h.. BalM ouverture (Lincke) Valse caprice (Rubint(Barrett) les Tsiganes (HJgfs) les Clo>chef bleues d'Ecosse (Zalva).

14 IL 15, coacert écossais

h. 43. îa Patrouille de cosaques (B11trm) Germain* (Bosc) Un lour à Naples 18 n. 30, les bases de la musique. 21 IL 35. Préluds et fucus en sol mineur (Bach) Albarado âel (Ravel) Conte féerique (Chasfns); Pastourelle CPoulanc) Caprice ne 2 (Paganlnl).

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BLES. Courant. 108 50 a 109 U5 P Juillet. 105 25 à 103 50 P août. 103 et 102 P 103 et 101 75 P 3 d'octobre, loi 26 et 101 P 8 de novembre, 101 50 P. Cote offidu tilt dispontbla ll«.

6g 50 a 67 50 P; août, 67 75 à J?; 8 d'août, 70 50 P 3 de septembre, 71 à P 8 d'octobre. 73 à 72 50 P 3 de novembre. ALCOOLS. Courant, 705 à 725 Juillet, 710 à août, à 730 septembre, panlnables raient actuellement francs FARINES. Courant. 166 P Juillet, août, 3 d'août, 3 ds septembre, 3 d'octobre, 8 de novembre. Incotées.

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le 14/7T via Marseille, CHEMINS DE FER DE L'ETAT Des améliorations très Intéressantes «ont apporté« sur leu lignes suivantes Hontparnasse aura Heu à 13 h, 10 au heu de 11 h. c'est-à-dire après le déjeuner. Il arrivera Royan pour le dtner & 19 b. Au retour. Il partira de Royan a 11 h. 6o L 18 h. 40 au Heu de 18 h. 20. Llgne des Sables-d'Olonne du 29 Juin su !•• octobre. les relations de jour s'établiront pai le train rapide a* 709 (départ de Paris h. 45) lieu du rapide trajet aura réduite de 30 minutes. Lignée de la Rochelle. Chatelatllon. Fouras. le Chapus du 29 Juin au l*r octobre, le» relations de Jour Parts- la Rochelle s'établiront par le train rapide n6 709 (dépari rée du trajet sera réduite de trente mlnutée.. Du 30 Juin eu 80 septembre tes relations de Paris née Chatelatllon, Fouras et le Chapus. établies par la train ra- >ide n° le 779 (départ de Paris- Mon tparnaaae a 12 h. 10) seront réduites respectivement de treize minutes, trente-trots minutes et une heure sept. Du 30 juin aa 2 octobre au retour, la relut t^n la RochelleParia .'établira par le train rapide n» 7UB (départ de le à à 10 h 18) au lieu du tratn rapide n* i98 (départ i 10 h, elle sera réduite de quatorze minutes. De Ohatelafllon à Paris, les durées de IraJet seront réduites de quarante-neuf minuss par le tratn rapide n* 778 (départ le train rapide a» 708 (départ 9 h. qui sera utilisé au lieu du train 738 De Il à Paris, les durée. de trajet par ce. mêmes trains seront réduites respectivement de une heure sept et quaentre Paris et les plages de la Charente.liorées. clin. du 1-1 Juillet au 23 septembre, pour faciliter les déplacements de du Centre pendnnt la, saison balnéaire, un train sera mis en marche le samedi, avec départ d'Angouiéme a 12 h. et arrivé* « Royna k 15 h. 19. Au retour, le lundi, départ de Royan à 11 h. 50 et arrivée Pour tous renseignements, sadreasex ux gare» du réseau de l'Btat.


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