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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1933-05-11

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 11 mai 1933

Description : 1933/05/11 (Numéro 20526).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : BIPFPIG37

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k627725c

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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Aux terres! hostiles

d'Ethiopie par Henri de M0SFRE1D

Nous arrivons enfin au point! d'eau. Il est formé d'une succession de cuvettes rocheuses où séjourne

une eau un peu magnésienne. Il semble être abandonné. Mes deux hommes me dissuadent d'en goûter l'eau, car sait-on jamais ?. Puisque le bétail n'y vient pas boire, il y a peut-être pour cela des raisons majeures.

Pendant ces réflexions, Abdallah, dont les yeux sont toujours en éveil, me signale trois indigènes se dirigeant vers nous d'un pas assez rapide. Ils portent en travers des épaules quelque chose comme un bâton ou un fusil. C'est certainement un fusil, car autrement ils auraient une lance, jamais un indigène ne circulant dans ces parages sans être armé. L'assurance avec laquelle ces hommes viennent vers nous me surprend. Je n'ai avec moi qu'un revolver Mauser dont l'étui en bois peut servir de crosse. C'est une arme à répétition excellentermais pas assez visible d'assez loin j'aurais préféré, en la circonstance, quelque chose de plus décoratif, dont la silhouette, à distance, puisse inspirer le respect. Cependant, l'allure • tranquille des trois individus me rassure. Quand ils sont à environ un kilomètre, l'un d'eux agite ni» étoffe pour attirer notre attention. Ce geste a plutôt l'air d'un saint que d'une menace. Il faut donc qu'ils nous aient reconnus mais ce sont des Issas, et ce détail est loin de rassurer mes deux Dankalis.

Ils s'arrêtent et se concertent comme si, de leur côté, une crainte analogue les mettait en défiance. Un seul s'avance. C'est un Bédouin typique de ce pays sans eau. Nerveux et maigre comme un insecte, des muscles d'acier se meuvent sous la peau noire jetée sur son torse nu, une étoffe couleur de poussière se relève sur l'inséparable djembia, ce long coutelas aux montures de cuivre. La tête est auréolée d'une opulente chevelure crépue, soigneusement taillée en boule, où le long peigne de bois est planté comme un poignard. Des goutelettes de graisse brillent au soleil dans cette toison épaisse, et ce détail de toilette indique un homme de condition.

Il vient de loin ses sandales de cuir, relevées en avant comme les barques du Nil, sont usées par une longue marche, et la poussière rouge de ses jambes, aux veines gonflées, parle des steppes lointaines tout là-bas vers le Sud d'où, ce matin sans doute, ces trois hommes sont partis.

Où donc ai-je vu déjà cette figure en triangle et ces yeux de félin ? Serait-ce seulement sa ressemblance avec le lynx qui me donne cette impression de déjà vu ? Mais non, il se nomme, c'est Hassen. Je me souviens, il était notre guide quand la mission Kessel quitta Ali-Sabiet. Lui, de très loin, m'a reconnu, et d'autant mieux qu'il soupçonnait, me dit-il, ma présence dans ces parages. En passant à la gare d'AliSabiet, il y a quatre jours, j'avais demandé certains renseignements à un Issa de ma connaissance, j'avais parlé du lac Assal et cela avait suffi. Tout à fait rassurés maintenant, ses deux compagnons approchent. Même type, magnifiquement sauvages, souples comme des félins malgré la fatigue empreinte sur leurs traits.

Groupés en cercle, à l'ombre chaude d'une roche, assis sur nos talons, nous écoutons déglutir celui qui boit, car la première chose à offrir, et la plus précieuse, c'est l'eau. Une outre de six litres est vidée par les trois arrivants.

€ Al hamdullillah s, murmure chacun d'eux après sa libation, puis, un instant, ils se recueillent, en manière d'action de grâce, pour honorer cette offrande à la vie.

Les nouvelles maintenant se racontent; d'abord vagues et générales, elles se précisent peu à peu par des détails toujours nouveaux. Les troupes abyssines, parties dans le début du mois de la province de Harrar. sont arrivées par petits! groupes aux environs d'Araoua où elles sont actuellement rassemblées. Elles comptent près de deux mille' hommes et doivent s'avancer vers le nord-est.

(La suit* Jq quatrième page.)

M. ROOSEVELT EN POSITION D'ATTENTE QUANT AU PROBLEME DES DETTES DE GUERRE l<es milieux politiques américains, inclinent à admettre que des décisions sur ce sujet ne peuvent pas être prises à la conférence de Londrés

M. Roosevelt, devant l'opposition du Congrès à la' réduction des dettes, hésite en ce moment à demander pleins pouvoirs dans cette matière

Washington, 10 mal.

DE KOTRB CORRESPONDANT Les milieux politiques américains qui suivent de près la situation internationale sont enchas à penser que les négociations sur les dettes de guerre, qui auront lieu concurremment avec la réunion de la conférence économique mondiale, se tiendront à Washington plutôt qu'à Londres. Ils font remarquer que le. chapitre des dettes de guerre ne figure pas au programme officiel de la conférence et que la déléI gation américaine n'aura donc pas officiellement la question de la revi-Ision des accords sur les dettes, comme cela semble inévitable, les représentants américains à la conférence de Londres ne pourront qu'en reférer au président à Washington. Le public américain serait tenté d'accueillir avec suspicion tout accord qui serait négocié et conclu et aboutirait a une réduction de la créance des Etats-Unis. Les conseillers du président le sentent nettement et lui conseillent de garder entièrement le fil de la négociation.

M. Roosevelt n'a toujours pas pris de décision définitive sur le point de savoir s'il demandera au Congrès des pleins pouvoirs sur les dettes. Il hésite. Il estime qu'il n'y a pas encore de péril à attendre. Les dettes sont sa grande arme pour amener les puissances à coopérer avec les Etats-Unis dans les domaines économique et financier.

Dans les milieux de Washington, on estime que les puissances européennes ont encore montré peu d'empressement. Par ailleurs, M. Roosevelt mesure les objections que lui soulèvent les parlementaires, même dans son propre parti.

M. Albert Lebrun visite le Salon

Le Président de la République est allé, hier matin, visiter au Grand Palais le Salon de la société coloniale dea Artistes français.

L'ATTACHE MILITAIRE RUSSE REÇU PAR M. DALADIER

Le général \mtz«w (;\ gauche)

et son aide de eauip

Les "Meilleurs Ouvriers de France" reçus par M. Daladier

De gauche droite, uu premier ranfi MM. KiboHtt, (fetitetain, fi«mrpt, Conteaot,! Klotz, Simon. Au deuxième rang M31. Kadurei, Fatigant, fctlt, Verger.

La plate-forme du parti démocrate contient des assurances contre l'dau- j lation des dettes o. et plus de la moitié des députéa et sénateurs démo-.crates élus en novembre ont fait leur membres du Congrès à se déjuger, il faudra que le président leur fasse sentir la nécessité urgente de reviser les dettes.

Plus il attendra pour demander les pleins pouvoirs, plus il bénéficiera de être créée s'il apparaît soudain que saas revision des dettes la conférence économique est vouée à l'échec. On m'assure qu'un conseiller étroit du président en matière do dettes lui recommande de demander au Congrès les pleins pouvoirs en représentant au Congrès que nous sommes encore dans une période extrêmement critique au point de vue international et qu'il faut agir vite.

On 5e rappelle comment, dans la furent heureusement employées. M. Roosevelt dit en substance: « Faites confiance à votre président ±>, et le public entier le suivit.

« Faites confiance au président dans la question des dettes x, telle semble être la formule magique qui pourra peut-être permettre à M. Roosevelt de faire face aux demandes de revision avec une liberté complète. Un député de Boston, un républicain qui n'est pas tendre pour la politique nouvelle de M. Roosevelt, me disait aujourd'hui

Le président jouit encore de tant de prestige qu'il obtiendra ses pleins pouvoirs s'il les demande.

Pierre DENOYER

(La suite à la troinlè?ne page.)

MORT DE M. GAILLARD CONSEILLER MUNICIPAL

On annonce la mort de M. Henri Gaillard, conseiller municipal du quartier de la PorteDauphine, qu'il représentait à l'Hôte! de Ville depuis 1929.

M. Gaillard avait | succédé à M. Erneat Gay qui, après 1 avoir exerce son près de t pendant ans, avait décidé de se retirer.

Avant d'exercer :on action dans le domaine municipal, M. Gaillard avait joué un rôle

de. plus- utiles à la chambre de commerce de Paris. où il a attaché son 1 nom à l'œuvre des ateliers-écoles. dont Il fut le créateur. Ce tut en professionnel qu'il n'a cessé dencoura- ger et dont, aussi bien à la chambre de commerce qu'à l'Hôte! de Ville, il a'est attaehé, en collaboration avec son col-! légue, M. Contenot, à poursuivre le déve- loppement. Esprit réalisateur et plein d'initiative, M. Gaillard aura marqué son oeuvre édilitaire par la mise en train des divers projets qui intéressent l'embellissement des quartiers avoisi- nant te bois de Boulogne.

Il a notamment apporté une utile contribution à la réalisation du projet de transformation de l'avenue de Neuilly et de la création de la porte-! monument de la Porte Maillot, amorce de la vole triomphale de Paris Saint-Germain, GIBOULÉES DE *MARS EN MAl Le printemps s'était montré avare de giboulées. Celles-ci avaient été rares en mars, plus rares encore en avril. Mai paraît devoir être plus prodigue. dans la journée d'hier et aujourd'hui il il y en avra encore. principalement [ sur la moitié Est. Ces giboulées sont nausées par une dépression qui se trouvait hier sur la mer du Nord et qui liera située aujourd'hui sur le nord de l'Allemagne. Les vents d'ouest tendrontl à passer au nord et 1a température restera très fraiche. Hier, les maxima n'ont pas atteint sur la moitié Nord du pays tandis que, sur la moitié Sud, ils n'ont pas atteint 20", sauf dans quelques localités de l'extrême Sud. C'est l'époque de. saints de glace et un

Une concierge assaillie chez elle par deux bandits ILS TENTENT DE L'ASSOMMER AVEC UNE PINCE MONSEIGNEUR Déconcertés par sa résistance, et dérangés par des voisins, les malfaiteurs s'enfuient en taxi Grâce à sa nature athlétique et à sa courageuse attitude, Mme Hélène Bonnal a échappé, hier, une tentative d'assassinat exécutée avec une rare audace encore que tout laisse présumer que ses agresseurs ne s'étaient introduits chez elle que pour cambrioler.

Mme Hélène Bonnet. qui est âgée de trente-cinq ans à peine, est concierge 10. passage du Charolais, voie du quartier de Bercv qui donne, en tournant

à angle droit, d'un côté sur la rue du Charolais, pour déboucher de l'autre rue Baulant.

L'immedble, d'un étage seulement, compte peu de locataires et Mme Bonnal, dont la loge donne de plain-pied sur la cour, n'a en somme d'autre mission que de garder un dépôt d'eaux minérales, Installé au fond de cette cour. Tous les matins, son mari. qui est livreur, quitte la loge vers 7 heures pour se rendre à son travail. Sa femme est donc seule jusqu'à l'heure du déjeuner. Cette particularité devait être connue de ses agresseurs. Ils devaient également savoir que, le mercredi. la concierge s'absentait pour aller faire un ménage dans les environs. Aussi bien, croyaient-ils les époux Bonnet déjà loin, quand, hier matin, vers 7 h. 45, ils se présentèrent, 110, passage du Charolais.

Toutefois, par mesure de prudence, Ils frappèrent à la porte. A leur grand étonnement, Mme Bonnal, qui t'était 1 un peu attardée, leur répondit. Avez-voas un logement à.louer? Du coup, le problème ee trouvait changé mais comme ils n'étaient pas hommes à reculer, les malfaiteurs ne s'effarouchèrent pas d'un meurtre, bien qu'ils ne fussent venu, que pour cam| brioler et, pensaient-ils, en toute quiI tude.

| -7 N'avez-vous pas un logement à { louer ? dit l'un des visiteurs, grand, pals, au visage maigre et très mince, cependant que son compagnon sa vivante antithèse, petit, très corpulent et rougeaud, forçait en quelque sorte la porte de la loge et pénétrait à à l'intérieur.

Je n'al aucun logement à louer, répliqua Mme Bonnal, que cette Irruption dtS-sïnvolte ne laissait pas de sur-

prendre, biea qu'elle n'en conçût aucune inquiétude.

C'est étonnant fit l'homme. En même temps. il se rua sur la d'une barre de fer qu'il avait habilement dissimulée jusque-là, cependant que son complice fermait la porte de la loge, qu'il barricadait avec une table preBtement tirée.

Le visage en sang, Mme Bonnal roula à terre, tout en opposant à ses agresseurs une résistance désespérée. Une lutte sauvage s'engagea, dont 'l'écho risquait d'être perçu du dehors et qui pouvait être fatale aux agreeseura. Aussi les malfaiteur tentèrent-ils de pousser la blessée dans un petit réduit servant de cuisine, agence au fond de la loge et qui prolonge celle-ci. Mais Ils avaient compté sans leur victime, qui ne cessa de se débattre et dont les appels, bien qu'étouffés, alertèrent une locataire occupant un loge- vaquèrent enfin son intervention. Malheureusement, saisie d'une intense frayeur au spectacle qui s'offrait à sa vue, cette locataire ne put articuler un son et les bandits eurent le temps de s'échapper.

Sans doute auraient-ils du être arrêtés sur-le-champ si M. Kubzer Sussmann réparateur de radiateurs, auquel ila se heurtèrent dans leur fuite précipitée, n'avait perdu quelques secondes précieuses.

Lui au^si avait entendu des cris l'endroit' d'où ils provenaient et se fût rendu compte de l'attentat dont avait ¡été victime Mme Bonnet, les agresseurs avaient pris du champ.

(La suite à ta deuxième pa^e.)

A H UNE FAMILLE DE FGUX M0NNAYEUR5

AVAIT MIS EN CIRCULATION FRANCS DE JETONS Toute la bande est urêtée dana le café tenu par son chef et où il écoulait la plupart des fausses pièces

Lyon, 10 mai (dép. Petit Parisien.) Une bande de faux monnayeurs toute une famille habilement orga- nisée, vient d'être découverte et arrêtée par le service de la sûreté de Lyon. On signalait depuis quelque temps à M. Sarbach, chef de ce service, que de fausses pièces de 2 et de 1 franc étaient mises en circulation en assez grand nombre en ville et dans la banlieue. L'enquête fit dès l'abord supposer que la fabrication de ces pièces était installée dans les environs de Lyon. 0 mais peu à peu les recherches s'orien- < de Pusignan, dans le département de l'Isère, à une quinzaine de kilomètres C de Lyon. Hier soir, on s'aperçut que t le temps pressait. M. Beaubrun, procureur de la Répu- c blique, qui s'intéressait à cette enquête £ depuis son début, décida aussitôt de r charger de l'Information M. Cohendy, juge d'instruction, bien que l'affaire se déroulât sur le territoire d'un départe- a ment voisin l'article 464 du code C d'instruction criminelle permet en etfet aux magistrats d'étendre leur juridic- C fausse monnaie. Deux substituts, I MM. Roux et Tuja, accompagnèrent le ( juge, la nuit dernière. avec MM. Cou- faux monnayeurs- fut cernée. £ C'était le café Cadorct, une maison r à leur travail clandestin. Toute la bande on y travaillait en famille fut capturée sans résistance. Les j coupables étaient le cafetier Etienne née Louise Gauthier, quarante-trois ans; Maurice Liversain, cinquante et 1 un ans, et sa femme, Albertlne, qua- ç On devait effectuer par la suite d'au- très arrestations, ainsi qu'on va le vol Magistrats et policiers procédérent immédiatement à une perqutsisive de 1a culpabilité de la bande. Les enquêteurs découvrirent cinq cents I fausses pièces de 2 et de 1 franc, et. caché dans le jardin situé derrière Je café. le matériel nécessaire à la fabrication des fausses pièces: presse, creusets, etc. Puis, enterrées au fond d'une fosse, de nombreuses pièces dont la fabrication avait été manquée.

Le café Cadoret où opérait la bande Le cafetier Cadoret a un fils, qui demeure à Lyon, 198, rue de Créqui. Magistrats et policiers se rendirent chez lui, à 4 heures du matin, mais ils frappèrent en vain. L'appartement était vide. La porte fut enfoncée, et l'on procéda un* perquisition en règle. Les locataires qui, probablement. s'attendaient à cette vteite, n'avaient rien laissé de compromettant-

On découvrit seulement de nombreux tickets de caisse d'un grand magasin ou, ainsi qu'on devait l'apprendre par la suite, les complices des taux monnayeurs faisaient des achats pour écouler des pièces fabriquées.

On devait d'ailleurs arrêter à Puslet sa femme, née Gabrielle Lotte, vingt-trois ans. Ils avaient fui dans la nuit en auto, avisés par le jeune fils Cadoret, âgé de quinze ans, de l'arrestation de son père. L'enquête établit par la suite que ta fabrication de cette fausse monnaie avait commencé au mois de janvier dernier. Les fausses pièces étalent fabriquées par L1versain et Cadoret père, avec l'aide de la femme Liversain. Chaque semaine, dans un local attenant au débit de boisson, ils faisaient deux c coulées de V500 francs. En vue de t; fabriquer, par la suite, de fausses piè- Il ces de 10 francs en argent, ils avaient [ procédé à des essais infructueux ces mauvaises pièces, retrouvées, furent saisies. Les fausses ptèces étaient écou- q lées principalement à Lyon, par la d femme Liversain, par son mari et par I le le fils Cadoret, dans les grands maga- j sins, dans les bureaux de tabac et sur d les marchés. Le fils Cadoret, accompa- d encore, dans un grand magasin. divera c objets qu'il avait payés avec de fanasee a pièces. Celles-ci ont été retrouvées ce t matin dans les caisses de ce magasin, c On estime le total des fausses pièces c écoulées à 80.000 francs. e II rendait aux clients Ci de la fausse monnaie t Le cafetier Cadoret est propriétaire de l'immeuble où se trouve son débit. r La maison a été payée 120.000 francs. 1, Il tenait un poste d'essence sur la bilistes de passage, le plus souvent r étrangers, des fausses pièces de 2 francs c fabriquées par lui-même. Il rendait éga- c lement cette même monnaie aux clients de passage du café. t Alin d'établir la composition du métal »*npioyé à la fabrication dea pièces éritables de 2 francs, Liversain avait limé une de ces pièces et fait analyser c les limailles. Les faux monnayeurs pre- c naient le soin de peser leurs pièces, t afin qu'elles eussent exactement le c poids des véritables. Elles étaient déca- é l'impression de pièces authentiques. La femme Liversain a fait à M. Cou. r plet des aveux très complets et dé- s noncé ses complices avec dea précisions qui rendent imposeible toute dénégation de leur part. UN IMMEUBLE NEUF MENACE DE S'EFFONDRER

récemment construit, rue du Dessous-d es-Berges, s'est lézardé par en- droits et a donné des inquiétudes aux services municipaux.

Coulisses et secrets du cirque HENRY THÉTARD

Les peuples du voyage, devraitm dire plutôt. car il y en a deux es banquistes et les romanis. Les premiers sont ceux que hanta Carl von Holtei, le romanique auteur de ces Vagabunlen » que seul pouvait écrire un nembre de la grande famille de la oute.

Ces banquistes, dont les ancêtres %ont les jongleurs, les mimes, les lanseurs de corde, les montreurs le marionnettes qui depuis la ,bute de l'empire romain, parcouurent les routes de l'Europe de Charlemagne et du moyen âge, se eont toujours recrutés un peu parout. A ces troupes ambulantes qui illaient quêter leur pain aux portes des châteaux forts et sur les places où se tenaient les marchés, es jours de fêtes patronales, se joignaient tous les amants de la rie libre, les passionnés de l'avenure, les. suggestionnés de cette mpérieuse marotte de la culture corporelle qui représente pour tant le jeunes hommes la plus intense

M. de Monzie visite

la salle du Jeu de Paume 'exposition de peinture chinoise

De gauche à dn-ile ::un. l>«xarrois, \Y«llin£toB Koo, du Teon et de Monile POUR ET CONTRE « Prends l'éloquence et tords-lui son cou L. a a dit Verlaine, qui n'avait pourtant pas à subir les harangues officielles, les discours électoraux, les disputes politiciennes.

M. de Monzie. qui est de la génération qui sut admirer et aimer Verlaine, a décidé d'agir autrement avec l'éloquence. Il la prend et il la commande. Il la prend et il la brise. On ne trouve, dans les discours de M. de Monzie, nulle trace des misères ordinaires de l'ordinaire < éloquence Pas de flonflons de comice agricole Pas de couplets d'inauguration. Pas de refrains vainement démocratiques. M. de Monrie dédaigne les mots, et surtout les mots bruyants, vides et trompeurs, les mots « haut-parleurs qui font si souvent résonner les salles de banquets. et les Parlements. M. de Monzie préfère les mots qui c raisontient Il y a, dans tout ce qu'il dit. de la substance. de la méditation, de l'idée. Présidant, J'autre dimanche, une petite fête locale dans le Quercy. M. de Monzie n'a pas manqué à sa méthode. Il a parlé de la campagne et il s'est bien gardé d'user des lieux communs habituels qui, par bonheur, ont fini par lasser le paysan. Il ne s'est pas complaisamment étendu « sur le rude labeur des champs et sur les difficultés de l'agriculture. Sur ces sujets. on peut le croire. les ruraux possèdent des lumières particulières et n'ont pas besoin des commentaires citadins. Mais. comme il s'agissait d'Inaugurer un réseau électrique, le ministre de l'Education nationale a dit des choses positives et simple.ment justes. Il a dit qu'il était temps de songer à c revaloriser a la campagne et à lui assurer un minimwn de confort. Revaloriser la campagne voilà un programme en trois mots. Et ce n'est pas un programme fallacieux. Il suffirait de reconnaitre une vérité première; cette vérité: les ruraux. comme les citadins, ont droit au progrès et à ses applications. Les ruraux ont droit à la lumière électrique, comme les gens de la ville. Ils ont droit à la poste, au télégraphe et au téléphone.

Ils ont droit â la route. Ce n'est pas leur faute s'il leur arrive d'habiter tout au bout de tout petits chemins vicinaux. Tout le monde ne peut pas habiter le long de la route de Rambouillet. Ils ont droit à des routes carrossables, partout carrossables. S'ils ont des autos. s'ils ont des camionnettes, ils paient les mêmes taxes que les Parisiens.

Enfin. le village a droit à de l'eau.. Il a droit à de l'eau potable. Ce n'est pas une question communale. C'est une question nationale. C'est une question d'élevage national. Il n'y a pas de santé sans eau pure. L'eau polluée. 1eau souillée tue. chaque année. des milliers et des milliers de Français. Il y a des villages qui ont été anéantis par la typhoïde.

Oui. il serait bien temps d'assurer à la campagne < un minimum de confort ». Maurice PRAX.

exaltation de vivre, voire des gentilshommes ruinés comme le capitaine Fracasse de Gautier, qui s'attachaient aux jupes d'une Isabelle errante. sans doute aussi quelques mauvais garçons en délicatesse avec leur justice locale ou nationale.

Les romanis gypsies, tziganes ou zingari sont les héros de Richepin. Au contraire des banquistes qui se sont recrutés un peu partout avec prédominance de certaines races, ils sont un peuple très distinct des autres. Teint bistré, tignasse sombre, yeux perçants sous des arcades profondes, nez hardiment projeté en bec d'oiseau de proie, leur type est exactement symbolisé par le portrait du maréchal-roi Bernadotte, ce Gascon que le vieux Blücher appelait avec dédain le « « Zigeuner et qui, de fait, on ne sait par quel caprice de la nature, avait tous les traits d'un chef de bohémiens.

(I,n suiiB d la quatrième page.)

Le petit Martial Valade

avait succombé aux tortures que lui faisait subir sa mère nisme révoltant les supplices atroces qu'elle avait fait endurer au petit martyr

Guéret, 10 mal (dép. Petit Parisien ) Récemment décédait, à l'hôpital de Guéret. un enfant de deux ans et demi. Martial Valade, dont les parents originaires de Limoges, étaient allés se fixer, il y a un an environ, à Bénévent. L'enquête a révélé que le bébé avait été martyrisé par sa mère. née Louise M&gadoiix, dans des conditions atroces. Cette mégère pwg* ea ce moment, rantc-«inq jours pour vol. Son mari, Léon Valade, treate-neuf ans, est un bon ouvrier qui avait d0, une première fois, se déparer d'elle à cause de sa cruauté et qu' la redoutait.

Marie-Louise Ramet, quarante-six ana, débitante à BÊnévent. était intervenue pour protéger le pauvre petit. Un jour. elle l'avait trouvé gisant ensanglanté sur le plancher au milieu de détritus. Un autre jour, en plein hiver, elle l'avait découvert, grelottant de froid et le corps couvert de plaies vives, dans un réduit obscur. Un journal enveloppait son Petit corps amaigri. La pauvre petite victime gémissait doucement Mme Ramet, à la suite do nouvelles constatations. avisa la justice.

L'enquête devait révéler des faits La première fois que ma voisine a trouvé mon enfant blessé à la tête. avoua la misérable. je lui avais fendu le crâne à coups de sabot (effectivement, transporté à l'hôpital. Martial Valede avait dû être trépané). La deuxième fois, a-t-elle ajoute, je l'avais placé sur je favais retourné pour lui brûler 1e dos et lui avais posé les pieds sur le poêle rouge. Puis, comme il ne criait plus, je l'avais enveloppé dans un journal et mis dans le réduit où on l'a il ne voulait pas manger, je lui ai brisé forcé à les avaler.

C'est eans doute ce qui causa sa mort. En effet, transporté à l'hôpital une fois de plus. io petit martyr ne tarda pas à succomber.

Interrogé, Léon Valade, le mari de la mégère, a déclaré que sa femme n'aimait pas les enfants.

Déjà, a-Ml dit, quand nous étions à Limoges, je l'avais quittée, emmenant avec moi mon enfant. Mais elle était venue le ravir en mon absence chez ma mère et avait tenté de l'étouftemps pour l'empêcher de le faire, Bile avait déclaré qu'elle voulait couper le petit en deux pour en garder la moitié et me donner l'autre.

Cette odieuse créature a eu deux autres enfants Marie-Louise et Lucien. aussi. L'un d'eux a, en effet, une main brûlée. Ils ont été confiés à l'Assistance publique. On ne croit pas que la femme Valade soit folle. Cependant. le juge d'instruction va la faire examiner par trois médecins.

Au tribunal militaire d'Orléans Le réserviste Armand Roland objecteur de conscience

condamné à un an de prison Orléans, 10 mai (do notro env. apéc.) Certains Etats admettent plus ou moins l'objection de conscience. Sans qu'aucune loi ait établi le statut de ces citoyens prétendant refuser le ser.vice militaire par scrupule moral, ils les traitent avec une certaine indu].une tâche utile à l'armée en les dispensant de porter les armes. C'est même ce qui permet d'affirmer qu'un tel traltement de faveur laisse en contradiction avec eux-mêmes les objecteurs En France, La loi est muette là-dessua et la coutume n'a pas encore entamé la loi. C'est ce que fut bien obligé de dire et de redire le conseiller Babille, président du tribunal militaire de la 5- région, devant lequel comparaissait le caporal réserviste Armand-


nrotnS" .qu'on. peut -écrire est gn'elle apparaît comme un exemple d'inso- lence appliquée.

Un jeune avocat. MI Claude Lewy,

est au banc de la défense. L'accusation est soutenue par le colonel Paffet. commissaire du gouvernement.

Le président Ouvrier serrurier,

vous aviez été en chômage. Vous aviez ainsi contracté des dettes dont vous vouliez voua aoquitter. Vous fîtes donc une demande de sursis, qui parut ai demande était rédlgée en termes correcta. Comment avez-vous changé de

sentiment ?

En effet, Armand Roland, devenu

anarchiste (il avait eu une jeunesse de

socialiste chrétien), écrivit au général

qu'il lui expliquerait bien ses raisons,

mail qu'il ne l'estimait pas « en état

de les comprendre c.

Paternellement, c'est le mot propre,

le président donne à l'accusé toutes le.

chances de faire oublier sa rébellion

il le presse de se soumettre, après lui

avoir montré les conséquences de son

attitude. Ceat en vain.

Le président. Vous persistez ?

Armand Roland. J'ni bl<m réfléchi.

Le président Je ne puis faire da-

vantage. Allez vous asseoir.

Maintenant, les efforts du président

tendront à épargner aux juges mllltaire» l'Inutile conférence, tout en laissant aux témoins c moraux une réelle liberté de parole.

M. Marc Sangnier, ancien député.

directeur de l'Eveil des peuple*, dêclare-t-il, est le premier entendu. n

donne des exemples étrangers d'accueil fait à l'objection de conscience. Il Invoque le pacte Kellogs. qui met la guerre hors la loi. Il cite Einstein, a qui la France vient d'offrir une chaire malgré non antimilitarisme. et il cita même le saint curé d'Ars.

M. Marc Sangnier. Désormais, une

grande question morale se pose, Infiniment troublante. Si des hommes, dont je ne suis pas, sont persuadés que servir ut un crime, Il appartient aux tribunaux de constater leur lnaptitude.

Le Rotour a été exempté dans ces con- ditions.

tribunaux, dominée par la loi, n'ont pu leu attributions des conseils de réforme.

Membre de la Jeune République.

fondée par le précédent, M. Ingrain parle dans le même esprit

est plus caustique. Il rappelle le cas des officiers démissionnaires lors de» affaires des inventaires, en et Il cite l'exemple du professeur Bernamont, objecteur dispensé, comme Le Rotour. C'est ce qui lui permet de

conclure

Si vous condamniez Roland, le

peuple se demanderait à partir de quel grade on a le droit d'avoir une conscienee. Il se demanderait à partir de

quel enseignement on n ce droit. Enfin,

sachant que d'autres paye admettent scrupules d'un Roland. il se demanderatt à partir de quel degré de latitude M. Han Ryner. qui appartient à l'en-

seignement, a réservé ceci pour la Un Le président. La loi est la lot.

M. Han Ryner. Napoléon I" a dit:

e L'empire de la- loi finit là où comCe qui pas empêché le Petit

Caporal d'avoir la réputation de quelqu'un qui nourrissait un solide mépris des idéologues.

Après uns exhibition de l'objecteur

exempté, Le Rotour en personne, et d'ironiques déclarations de M. Victor

Mérie, qui attristent visiblement le président, c'est l'heure de l'éloquence. Ferme et brève est celle du colonel

Paffet, réclamant le maximum. Splrttuelle est «alla du défenseur, tout cuirusé de cette « haute culture qui

aût protégé mon client des rêveries dangereusement primaires.

Après une courte délibération, le

jugement est rendu. Armand Roland fera un an de prison, maximum réclamé par raccueatlon.^

la chute de l'avion français en Espagne

Lea travaux de sauvetage organisée

àdtôt la chute de l'avion Prançais qui tomba en flammes prèa de Barcelone à non retour de Casablanca, et qui coûta la vie à six personnes, ont été malheureusement vains, Il était, en effet, lmbrasier, et les quelques personnes témoins de la chute durent attendre

la an de l'incendie qui ne laissa aucun espoir de sauver un seul occupant de l'avion.

On possède maintenant quelques ren-

saignements sur les malheureuses vicLe pilote Emler, né à Paris le 23 fé-

vrier était coté comme l'un des meilleurs cbefe d'équipage de TAéropostale. n totalisait 4.2-15 heures de

VOL Emler était le fils de l'artiste de cinéma Narlay.

Le radiotélégraphiste Guyomar, né le

fi septembre à Lautarec (Côtes-duNord), avait effectué de nombreux Récemment, il avait accompagné de Verneilh pour le voyage de Dakar à Paris du constructeur Couzlnet. Son

mariage était de date récente.

Riguelle, né à Charenton le 29 décem-

bre 1901. avait été un pilote très réputé, ayant totalisé 2.345 heures de vol. Au coura d'une panne en Mauritante en

juillet 1928, 11 avait été secouru de justesse par le pilote Duménll peu avant

Tarrivée des Maures qui avaient l'Intention de le capturer. Il assurait à Dakar les fonctions de chef de secteur de l'Aéropostale.

M. Valette, agent maritime, demeu-

rait à Paris, et M. et Mme Subervie habitaient Khe misse (Maroc).

Les condoléances

Le ministère de l'Air britannique a

envoyé le télégramme suivant à M, Pierre Cot, ministre de l'Air

Au nom du conseil de l'Air. Je désire

vous exprimer notre profond regret d apprendre la perte d'un avion marchand

français avec ses paasarers «t son éauipage, et je vous demande de bien vouloir transmettre aux parents dea victimes l'asde notre profonde sympathie.

6. Feuilleton du Petit Parisien, U-6-33

L'ENF ANT Il TROP CHÉRIE P. Il

Il (suite)

Un péché de jeunette

tata Germaine avec cette ténacité dont

elle avait fait preuve jadis. Janine ne

pourrait-elle pas être la fille qu'un de

camarades de guerre aurait eue

d'une maîtresse, et ce camarade, en

mourant, ne pourrait-il pas avoir ob-

tenu de toi la promesse de veiller sur

la mère comme sur l'enfant ? Eh bien,

la mère n'étant plu», n'auraU-tu pas le

devoir de t'occuper de la fille, pour

obéir au voeu du mort ?

Cela était déjà plus ingénieusement

conçu, mais il n'en demeurait pae

moins que le fait, par Gérard, d'intro-

duire pu surprise Janine dans la mai-

son d'une épouse envers qui Il se sen-

tait déjà tant de torts. constituait une

de ces petites Infamie» dont, tout léger

de caractère qu'il était, 11 se entait

radicalement Incapable.

La malade, qui lisait en lui comme

Copyright by René Vlncy 3KJ3 Traduction

et reproduction interdites en '.ous pays.

Le débat budgétaire au Sénat

Hier deux budgets ont été votés agriculture et marine marchande Le Sénat, que présidait M. Maurice Ordinaire. a poursuivi le débat budgétaire et a adopté les budgets de l'agriculture et de la marine marchande. dlnalre exigeait deux ou trois jours pleins de discussions, a été voté en une grandes questions agricoles n'ont pan été agitéea les différente orateurs l'en sont tenus à de petits détails sans Haute-Loire, qui attire l'attention du ministre, M. Queuille, sur trois produits qui intéressent le département qu'il représente et dont l'écoulement est, à l'heure actuelle, assez difficile lee lentilles, l'orge et le bois. Pour les lentilles et droit de douane et l'établissement d'un contingentement. Pour lea produits forestiers, les propriétaire. de forêt demandent. à détaut du remaniement du tarif douanier, le rétablissement d'une taxe sur les licences d'importation compensant la suppression de la taxe compensatrice de l'écart de chan ge et ils réclament une protection plus effective de l'Industrie des pâtea M. d'Andlau, sénateur du Bas-Rhin. appuie la réclamation de eon collègue de. la Haute-Loire.

Aux demandes ainsi formulées, M. Queuille répond qu'il a pris des céréales secondaires et réduire tes MM. Garrlgou et Joseph Faure voudraient qu'on rétablisse le crédit pour la création au ministère d'une direction des services des calamités publiques, mais le rapporteur général. M. Marcel Régaler, s'y oppose. c Tout le monde, dit-il, veut faire des économies, mais chez le voisin. Le meilleur moyen d'ob!1son personnel, c'est de ne pas lui aceordr tee moyens de l'augmenter. Nous exlgeons que lez administrations centrales se réforment et travaillent.

M. Donon demande et obtient que les quantités de blé stockées soient portées à quintaux au lieu de 5 millions.

Long échange d'observations ensuite entre MM. Joseph Faure, François et Chartes Dumont au sujet de la simplification des formalités pour les allocations à verser aux agriculteurs sinistrès.

Au chapitre qui connerne le traitement du personnel dea haraa, M. d'H&rcourt demande un relèvement de crédit de 30.500 francs pour Je maintien du poste d'inspecteur général de l'exportation.

Relèvement impossible, objecte M. Marcel Réguler. L'exportation du à 1.200 en Cet abaissement dans l'exportation dee chevaux eat là pour démontrer l'inutilité du poste d'Inspecteur général.

Et l'amendement est repoussé.

Une brève Intervention de M. Albert Mahteu. au sujet de l'éleotrificatlon M. Queuille affirmant qu'aussitôt le projet d'outillage voté l'électrlftcatlon des oampagnee sera poussée, et le débat est dloe.

Les chapitres du budget de l'agriculture sont adoptés.

Marin* marchand*

On aborde ensuite le budget de la marine marchande. Le rapporteur, fait sentir sur notre flotte de compar la diminution du trafic des marchandises et des voyageur*,

compagnie* ont augmenté. L'armetionné, l'aide que lui apporte l'Etat est insuffisante si on la compare aux efforts que font les autres pays étranLe ministre, M. Frot, reconnaît que. en effet, la crise a dee répercussions graves sur notre marine, mnie déjà des remèdes partiels peuvent être comme l'a demandé M. GasnierDuparc, l'activité de notre flotte charbonnière et, déjà, les fournitures des services publics utilisent pour 60 la flotte française; il faudra aussi prévoir un système de primes pour l'armement libre et rechercher un régime nouveau Quelques mots encore sur la situatien de la Compagnte Transatlantique. avec le régime provisoire, mais il faut que le projet définitif aoit voté avant le 15 juillet pour que l'organisation nouvelle soit mise sur pied avant le mois d'octobre.

M. Rio se voit refuser une augmentation de 10.000 francs pour l'emploi gatlon à Parta.

sur le chapitre 29 (encouragement à l'industrie des grandes pêches maritime M. Gasnier-Duparc demande le rétablissement du chiffre voté par la Chambre et de porter en conséquence le crédit de 8 millions à 16 millions. Il s'agit de primes à l'exportation pour la morue. En signale M. OaenierDuparc, il n'y a plus que 37 bateaux morutiers pour en 1926. Les marins période, de 8.500 a 1.600. C'est la fin avalent considérablement amélioré l'exportation de la morue au PortugaL Le ministre du Commerce, fait observer l'orateur, a, dernièrement, augmenté les droits sur les vins de Porto immédiatement, le Portugal a majoré de 80 les droits sur les produits français et, de ce fait, toutes les rai «on de cette situation. M. GasnierDuparc demande qu'on maintienne les

en un livre ouvert, ce tordit tilendeu. sèment les malna sur le drap qui la recouvrait.

j Ah gémit-elle, j'étals donc folle tagèraee Mais penser que ma fille serai plus la pour ta protéger, ah c'Mt I Ce cri échappé une mère et intlmement torturée pénétra Jusqu'au coeur du frivole mondain et le secoua dans 1 son égoïsme de toujours.

Ne vous désespérez paa ainsi, vous dis que j'abandonne Janine ? Si la fatalité vaut qu'elle perde sa mère. je ne l'abandonnerai pas plue que je ne vous ai abandonnée vous-même. Mais gardons notre sang-froid, vous comme moi. D'ailleurs, quoi que vous pas fatalement à une crise d'urémie. Votre morticole n'y entend rien. En vous quittant. Je pousserai Jusqu'à Paris et vous ramènerai un aa de la Faculté qui vous tirera de là.

La malade eut un sourire désabusé, Je suis une femme finie, dit-elle. On ne remonte pas une femme finie. Et votre grand médecin ne pourra pas davantage. je la craint, que cet excellent docteur que j'ai et qui me connaît depuis quinze ana.

Vous n'avez pas la foi, mon amie, et c'est la fol qui guérit

Je n'ai foi qu'en voua, Gérard, qui moins triste.

En trois mots?

ce que je vous et demandé, répondez le veux bien, et le m'en irai en vous bénissant Gérard.»

Elle lui rendit au mains qu'elle lui

primes et qu'on rétablisse le chiffre de 16 millions.

Néanmoins. à la demande de M. Joest maintenu.

Et, sans autre discussion, les derniers chapitres sont adoptés avec les Chiffrée proposés par la commission des finances.

Les négociation! franco-américaines M. Georges Bonnet a consacré une partie de la journée d'hier à l'étude des divers problèmes d'ordre économique et financier soulevés par les négociations entre la France et les EtatsUnis et, notamment, par le projet américain relatif au règlement de notre dette.

Le ministre des Finances a travaillé notamment à l'examen de ces questions avec MM. Elbel et Coulondre. les deux spécialiste» des problèmes com- merctaux qui avaient accompagné K. Herriot à Washington en qualité d'experts.

M. Bonnet s'est ensuite rendu en compagnie de ces deux techniciens, à 1a présidence du Conseil où il a conféré avec M. Edouard Daladier.

LES CONSEILS GENERAUX' Félicitations au gouvernement

Alpes-Maritimes. Le conseil général a voté l'adresse suivante au gouvernement

Les membres du conseil général des Alp«emaritimes soussignés, réunis hors séance, «dressent leurs félicitations au gouvernement pour le. etTorta qu'il & accompli* en vue de raffermir la confiance internationale nécessaire à la paix du monde à laquelle la Frar.ce reste obstinément attachée dans le respect de la sécurité. lia comptent sur lui pour faire voter es mesures d'économie propres a. rétablir le plus rapidement posle crédit public.

D'autre part, l'ail emblée a voté à l'unanlmité, sur la proposition de M. Henry Torrès, la motion ci-après Le conseil générai adressa l'expression de sa vive gratitude a M. Laurent Eynac. de. P. T. T., qui. pour défendre l'intérêt général, poursuit la réalisation sur la Cote d'Azur d'un poste d'Etat de radiodiffusion qui donnera i la propagande française un Instrument la la mesure de ses ambitions.

Côtea-durtford. En ouvrant ta ses- sion, le président de l'assemblée, M. Ch. Meunier, sénateur, prononça un dis- cours dans lequel Il examina les difficultés dans lesquelles c se débat l'univers entier ».

Lea grandes démocratiea qu'inquiètent le. dictatures instaurées au pront de nationalismes nuralgus, déclara- Ml, très applnudf, semblent vouloir faire front au principe ennemi, qui met en dent$, la paix et la liberté humaine. La France, par son sang-froid, par la s&xeaee de son opinion publique éclairé*, parait devoir être le pivot de la résistance démocratique. Faisons confiance à nos gouvernants et que no* vœux les accompagnent dans leur mission difficile.

LE TOURISME EN ESPAGNE Sur Invitation du Patronato Naclonal del Turismo, organe du gouvernement espagnol, un certain nombre de journalistes représentant les principaux journaux européens vont se rendre en Espagne pour un voyage d'information générale en ce qui concerne les conditions actuelles du tourisme dans la Jeune République.

Partant de Madrid, première étape. Importante du voyage qui aura déjà touché Saint-Sébastien et Burgos, les invités du Patronato emprunteront 1a route pour visiter successivement Aranjusz, Cordoue, Se vil le, Xérès, Cadix, Algeslras, Malaga. Grenade, Murcie, Alic&nte et Valence.

Tous ceux que l'Espagne attire et qui désirent être renseignés exactement sur les conditions dans lesquelles doit s'organiser un voyage dans ce pays trouveront dans les comptes rendue que nous publierons de cette randonnée tourlstique les plus utiles indications. La C. A. P. socialiste examine le sort des réfugiés allemands Réunie hier soir sous la présidence de M. Gaston Lévy, la commission admlnistrative permanente du parti socialiste S. F. 1. O. a examiné la situation des réfugiés politiques allemands en France, envisagé un certain nombre de d1apoettions et nommé eet effet une sousJean Longuet, député Grumbach, Séverac et Blumel.

Les crédits pour les calamité* publiques M. Camille Chautempi et M. Guy La Chambre ont reçu hier une délégation des maires de l'arrondissement de Sarrebourg, conduite par MM. Corbe- députés, venua l'entretenir des crédits destinés aux calamités publiques, La politique de l'or de la France M. George. Potut, député de la Nièvre, a fait à Baie, sous les auspices de la Société d'économie et de statistique do cette ville, une conférence sur la politiques de l'or de la Fraace. Le conférencier s'est consacré à l'examen des problèmes soulevés par cette politique et a réfuté les critiques selon lesquelles notre pays aurait volontairement stérilisé le métal. En terminant, M. Georges Potut a insisté sur la volonté de la France de maintenir sa fidélité à l'étalon-or et indiqué que son attitude à la prochaine conférence économique internationale ne pouvaft que s'Inspirer de ce principe.

LE GALA DES FAUVES

A LA FOIRE AU PAIN D'EPICE Aujourd'hui Jeutfl, en soirée, aura lieu A la ménagerie Marcel Jouviano, A la foire au pain d'Êpice, place de la Nation, au coin du boulevard d« Chaionne. le nia des veuve* et orphelins de l' Association de. secrétaires de rédaction. Le programme en cet de. plus attrayants, il obtient chuque année le plus grand succès.

avait retirées et, d'un accent suppliant Ne les dlres-vous pas, Gérard, ces trois mots que j'attends avec tant d'an81 je les disais. répondit-il avec hésitation, c'eut que le serais résolu à Srésenter Janine à madame de Guisans aucun des subterfuges que vous me conseillez.

Vous feriez cela ? s'écria doucement la malade déjà transfigurée. SI je m'y engage, je le ferai assurément, maia c'est là une démarche bien grave et à laquelle je dois réfléchir avant de voua promettre de la tenter. Ne me brusquez pas, mon amle, le suis pour l'instant profondément troublé. Il est du reste trois heures du matin, U est temps que le voua laisse, voue avez besoin de repos. Je trouverai bien un hôtel ici pour passer le restant de la nuit ?. Je reviendrai vous voir dane la matinée et nous recauserona à vous dire tout de suite que je me décideral sans doute à faire ce que je viens de vous dire. Out. presque certainement Vous savez que Janine m'est devenue bien chère. Si nous devions avoir, elle comme moi, le malheur de voua perdre, il n'est rien que je ne sois disposé à faire pour lui retrouver cette affection et cet appui qui lui auraient manqué. Et madame de Guibraye est une de ce. âmes d'élite qui sont capabien de toutes les abnégations.» Gérard eût pu ajouter

Et c'est justement parce qu'elle est une ame d'élite que Je l'ai tant méconnue.

Mais il dit seulement

Que cette assurance que le vous donne vous mette l'esprit en paix. At-

UNE CONCIERGE VICTIME D'UNE AGRESSION •UITB as LA PJtKUltllI FAO1

Il eut beau «élancer à leur poursuite, avec un facteur que la fuite éperdue des bandits avait surpris. Il ne parvint pas à les rejoindre.

Favorisés par le hasard, les deux malfaiteurs avaient réussi à sauter dans un taxi qui, d'aventure, panait avenue Daumesnli, et à s'éloigner vers la pare de Lyon.

Prévenu, M. Rigaud. commissaire par Intérim de Bercy, se rendit en hâte Impasse de Charolalg et fit transporter la blessée à l'hôpital Saint-Antoine.

Bien qu'elle porte à la tète des bles- danger et eile a pu faire au magistrat le récit détaillé de l'agression. Un inspecteur de la brigade spéciale de la police judiciaire, immédiatement mandé. a commencé son enquête. Il a déjà deux indices importants: une caequette grise appartenant au plus petit des deux agresseurs et qu'il perdit dans sa fuite et la barre de for une pince monseigneur abandonnée dans la loge même.

présence de cette pince monnelpeur, Interprétée par les enquêteurs comme l'indice même de la seule tntention de cambrioler, terrible réduire le champ des recherches.

n n'eat, en effet, pas douteux que les bandit, étaient parfaitement au courant dea altru et connaissaient les habitudes du ménage. Celui-ci passait pour assez aisé et le cambriolage de butin.

Mais la présence Inattendue de la concierge bouleversa le plan mûrement étudié et poussa les bandits a leur tentatlve de meurtre.

Les meilleurs ouvriers de France reçus par M. Daladier

M. Daladier, président du Conseil, a reçu hier, rue Salnt-Dominlque, une Importante délégation des meilleurs ouvriers de France. Ceux-ci étaient accompagnés par les membres du exécutif de l'exposition nationale du travail MM. Lucien Klotz, secrétaire général de l'exposition; Contenot, conseiller municipal, commissaire général; Caste lai pre3ident de l'association des Ouvriers de France; M. Flouret. qui reçut récemment la Légion d'honneur, au titro de meilleur ouvrier de France, et de nombreux décorés au même titre. M. Lucien Klotx présenta les meilleurs e Les meilleurs ouvriers de France ont tenu, monsieur le président, à venir apporter leur hommage au plus grand travailleur de France. » Pull le sacré- taire général fit le procès de c l'hymne à la production » qui, trop écouté dans le monde entier, a été une sorte d'évan- gile néfaste, avant-coureur de la crise mondiale.

cale, a affirme toute sa sympathie pour les admirable* efforts produits par les travailleurs spécialisés.

L'artisanat français, a-t-il dit, fait la force véritable de notre pays. Le gouvernement doit encourager les ouvriers ayant le culte et le sens de leur profer.ion. Dans la période tourmentée et dramatique que nous traversons, ce qui fait que la France résiste, c'eet qu'elle maintient son trait distinctif: la que.lité Et ce trait vous le possédez toua Les réceptions de M. Panl-Bonconr M, Paul-Boncour, ministre des Affairée étrangères, a reçu hier matin M. Etienne Fougères et une délégation de l'Association nationale d'expan.ion économique. M. Dollêans et une délégation de la chambre de commerce internationale.

LE CONSULAT D'ALLEMAGNE CHANGE D'ADRESSE A PARIS L'ambassade d'Allemagne à Paris nous prie d'annoncer qu'à partir du 1B mal prochalnsa section consulaire et son bureau des passeports, dont la siège actuel est 78 bb, rue de Lille, seront transférés 2. rue Huysmans, Paris (Vï*).

Mme Mary Féraud, d qui les exploits hippique» sont familiers, a accompli un nouveau raid. Venue de Moulins sur sa fidèle jument, elle est arrivée hier aux partes de la capitale après avoir accompli sous t*no puis batt.nte l'étape Corbetl-porte d'Italie. Puis, de là, elle se rendit près de la place CUchy, toujours sur sa monture, et ne mit gudre que trente-cinq minutes pour parcourir 8 kilomètres en plein Paris 4 une heure d'intense circulation Mme Mary Féraud, parvenue au terme de sa randonnée, signa dans une librai- rie un certain nombre d'exemplaires de son Uvre Une femme do cheval.

suis certain que ai voua voulez litre sage, vous allez vous trouver tout de Germaine s'était caché le visage dane les mains et pleurait, maie ses larmes étalent des larmes bien doucee. Elle voyait sa fille sauvée, et que lui Importait le reste ? Le reste, c'était son salut Or elle savait bien qu'elle était perdue.

Gérard de Guibraye, ainsi qu'il s'y était engagé, revit Germaine dans la matinée et lui confirma nettement la promesse qu'il ne lui aveit faite que sous condition.

Bon parti était pris en effet

Il avait causé avec ce docteur d'Orléans qui soignait la malade et la con. naissait bien.

Cet homme de fart ne lui avait laisse aucune illusion.

Le cas de Germaine était de ceux qui ne prêtent à aucun. confusion. Il y avait toi un organlsme us, qui ne pouvait plus offrir une résistance suffisante au mal qui l'envahissait. Un miracle même n'était point à envisager. Gérard parla de son Intention d'en appeler à la sommité qu'était le protesseur Fauveau. le médecin out un sourire aceptique.

Je serai très heureux de me trou.ver en consultation avec un confrère d'un aussi illustre mérite. faites, cher monsieur. répondit-il.

Gérard petit pour Parts, en ramena le professeur, qui, après un examen attentif de la patiente, confirma purement et simplement le diagnostic du médecin après avoir approuvé le traitement ordonné. Et 11 conclut dans le même sens que celui-ci ce n'était qu'une question de quelques jours, sinon de quelque» heures.

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du Souvenir sera ravivée, à 19 h., par la Société des foyers de l'Union franco-américaine les Foyers du euidat. Frite d'arme* 14 h. 30. pour la remise de décorations, Invalide*.

Vtntet de ch*rit* De l'Abri (aoctitê de -or. au moment du tarma), et ban lieu?, toute la journée. De la Crotx-Rouye française, 10 à A 19 h.. d'AuteuIi, 14 h., 40. rue La-Fontaine. Œuvres de ¡'Union Lorraine. 18 heures, avenue de Tokio.

Réunion» d'anciens combattants 32W R. L, SU h. 30, 4 &{*, rue du 4-Septfimbre. A. C. des chars d'asnut, 20 h. 30, rue Saint-Lazare. Union de. anciens de L'Edelweiss, anciens chasseurs de Savole-D&uphlnâ, 21 h., boulevard Montmartre. 12" cuirassiers pied et rri>upe l^jfsr de la 7* D. C, 20 h. 30. 3. place de la Bastille.

Réunions Académie polonaise des sciences et du lettres, 17 h., 6, quai d'Orléans. Union de. femmes de France (Croix-Rouge), 18 h., du Il-. AsHoctation philomathique, » h. 48, mai8, rue Danton.

Fnire au pain d'eplee place de la Nation et cours de Vlncennee Cirque Fannl, 15 h., élection de la Bscneralda du torains 20 h. 80. gala des faure» au profit des veuve* et orphelins de l'Association des de rédaction.

Fétcs commerciale* de quartier Associatriels de CUchy. Quartier de la Chapelle-Goutte-d'Or. H 11.. jeux divera pour les enfants. 4, de la Chapelle conde ballonnets organisé par la Petit de. têtes de la rue Saint-Antoine et rues adjacentes, grande Journée enfantine, élection du roi des gosses et de »a reine. couree de cerceaux, trottinettes, aux oeufs, etc. Kermesse de l'avenue de Verdun, 15 h., « La Bonne Compagnie 21 h., square de Vaugirard et rue de la Chapelle (face rue J.-F.-Lèpine). Courses à Longchamp, à 13 h, 45. Sénat séances à 10 heures et à 13 heures (budget).

M. Daladier a reçu hier matin le général Ventzow, attaché militaire de l'U. R. 8. S-, et M. Bellsano, ministre de Panama.

Dans le tableau de concours pour officier de la Légion d'honneur, publié par le ministère de la Guerre, nous relevons l'inscription de M. Ramon, directeur de l'Institut Pasteur, de O a r c h e vétérinaire militaire de réserve, auteur de la méthode d'immunisation par le* anatoxines contre la diplitérie et le tétanos.

Les obsèques de M. Henri Gaillard, Ingénieur E. C. P., conseiller municipal de Paris, membre de la chambre de commerce, commandeur de la Légion d'honneur, seront célébrées demain vendredi, 12 mai, à Il h. 30, en l'église saint Honoré d'Eylau. Réunion à h. 15 à la maison mortuaire, 78, avenue de Malakoff.

Il n'y aura pas de faire-part, te pré- ment avis en tiendra lieu.

De la part de Mme H. Gaillard, sa veuve, de M. et Mme Gilbert Gaillard, de M. Paul Gaillard, de M* et Mme Maurtce Goddet. ses entanta, et de au pe* tita-enfanta.

Llly Darnlta, Huguette Duflos et Marie Bell vendront, au publio du 8alon, vendredi prochain 12 mai. à par- tir do 14 heures, l'insigne au profit des artistes dont la situation est momentanément diminuée.

taire de l'ambassade américaine, assistera demain soir jeudi, à 20 h. 15, au diner intime qui aura lieu, 65, quai versaire de la fondation de l'église américaine de Paris.

L'exposition internationale du cinéma et des Industries annexes qui vient de recevoir le haut patronage de M. Datala Guerre, et ae M. Cnàutemps, ministre de l'Intérieur, ouvrira ses portes le 20 mal, 29, rue de Berri.

Jeudi, vendredi et samedi, vente annuelle de pyjamas et de robes de oham* bre pour hommes, à LA GRANDS MAISON DE BLANC, place de l'Opéra, vente limitée à trois jours en raison des prix exceptionnels consentis. Pyjamas zéphyr et popeline. 49 et 89 tr. Robe. de chambre, 143 et 195 fr. Prix de 40 à 60 fa au-dessous de la valeur réelle.

EVITEE LES EPIDEMIES

Buvez de l'eau vivante et pure. Filtre pasteurlsateur Maillé, 135, faubourg Poissonnière, Paris, et maisons d'articles de ménage.

Leu négociation! franco-canadiennei Une mis. au point

Le ministère du Commerce communique la note suivante

las Informations de source anglaise concernant la signature d'un accord commercial franco-canadien sont prématurées. Les négociations continuent. D'autre part, lee précisions contenues dans ces mêmes informatioas et relatives à des concessions qui auraient été faites de part et d'autre sont partiellement inexactes.

HISTOIRE SINCÈRE

DE LA NATION FRANCAISE par CharUâ Ssignoboa

La vérité ne contentant jamais tout le monde, ce courageux ouvrage vient d'être violemment pris à partie par ceux que sa franchise embarrasse. Il restera, malgré cee attaques, le t livre de raison » de la famille française iRied_er. 520 p., 16 fr. 50).

Uérard de Guibraye quitta alors (;etmains sur des paroles d'espoir quand mime qui ne parvinrent pas à abuur la pauvre femme. mais elle De chercha pas à le retenir.

et embrasse-mol puisque nous ne de- vons plus nous revoir. Ma dernière pensée sera pour toi et pour celle qui me remplacera auprès de ma fille. Il embrassa celle qui n'était plus que le fantôme méconnaissable d'un amour depuis longtemps défunt. puis reprit le chemin de 1. Pacaudière, le cour alourdi d'une profonde tristesse. Mais, chez lut, les plus profondes tristesses n'étaient jamais de longue durée.

fait son devoir, il pouvait avoir la conscience tranquille.

Et après s'être dit qu'aussitôt rentr6 à la Pacaudière, il ferait à Armande la confession entière qu'il lui devait afin de l'Intéresser au sort de Janine, l'esprit en repos là-deesus, il se mit à repenser éperdument à Eléna. Cet homme ne pouvait pas vivre sans avoir l'euprit occupé par une lntrlgue galante.

Il avait toujours 6t6 ainsi, U n'avalt aucune raison de changer.

Eléna était sa passion du moment. Commencée à Paria. il fallait, à son sens, que cette intrigue trouvât son dénoûment naturel k la Pacaudière. Et elle devait l'y trouver, en effet, mais tout autrement que cet Incorrigible don Juan l'Imaginait.

m

La pièce vue des coulisses

Le soir du départ de Gérard de Gui-

Programme des spectacles Jraaçal*, 2 h., le Dépit amoureux; le professeur Kienow. A dam et Eve.

Opéra-Comique. 8 a. 15, Krasquits, | Oâ«an, 1 h. U. Napoléon 8 h. 30. Un Co- I quin, Tempet? sur lea côtes. CbâteJet. 2 h. 30, h. 30. Nina- Rom». Variétés, 9 ii.. Chat, en Eepagne (Guitry) Porte- 2 h. 8 h. 30. Rip, Th*itrt de Pwf», 9 h., Ma mur de luxe. Gymnase, 2 Il. 45, 9 le le Bonheur. | Mogador, 2 30, 8 30, Aub. du Cheval-Blanc. Ambigu. 2 h. 45. 8 h. 46. la Fleur des noln. Empire, 8 3 h. S 46,1a Démoli, de Mamers j Antoine, 8 h. 46, Trois pour cent (Signoret) S b., le Vol nuptial.

I AtCénéfl, d h. 10, le Paradis perdu. | Madeleine, 9 1. la Troisième Chambres Nouveau.*», 3 h., 9 b.. Ot) Papa <opér.) Comédie Cfeampi-Elj'iéei, 9 h.. Intermezzo. Th. Daonou, 3 h. et 9 h.. Dix-Neuf ans. i Th. Micbnl, 9 h.. Kunn. en blanc i Avenue, 0 h., les Ganta blancs,

i F.-Waxram. S 45. Une fem. com. les autres MuntparnaHitv, 9 h., Crime et Châtiment. lactée.

Vx-Colombier (Cle dea Quinze). 9 h.. Loire Coma.dltt. B h.. Suzannf a «ta violée. D«j»»ct, 9 U.. Tirc-ftu-flanc <P. Darteutl). Honecy, 8 h. 46. le Chant du berceau. tittbelUs, 8 b. 30. Georsius.

MUSIC-HALLS

Alhftmbra, 9 h.. Luc. Boyer, Grand Hôtel Dix- Heurt», 10 U.. Martini J.Rleux, Partsy* 8 9 h.. Peut Colline, revu» nouvelle. L.-B«ua»e, 9. Dorin, Miehel. Dac, C.VIdlaoe Pavillon, ;n.. 5., Revue njaraeill. (AJibert) Doblnn, Cyrano, Ourdont Valller. attr. Eoropé*n, m. s.. Lys Gauty, ga, px dlsq.93 Ch. les Nudistes U6. r. Pont.), 10 h-, et min, 1. lis, theetaolrée, Taxi girlë. Lido. thé, dlncr, soirée dansante, sttrac Luna-Park, ts les jr* mat. 30, soir, 8 30. Jardin d'AccIIm., entr., 8 fr,; enfants, 1 fr. P*mp«i*n (16, r. Monceau), 9 h., bal du jdl CINEMAS

Madeleine, la Belle de eg

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Mir^le., 2 h,, 4 h. 30. 9 h., Don Quichotte. Capucines, les Prisonnière*.

Envente I 1 POLICE ET REPORTAGE Quand sonnera minuit, roman policier complet p^rMARULPRiOiitT ̃ Des dualités, etc. AUX ABONNÉS

retrouvèrent chez eux. la comtesse posa au comte cette brusque question Qu'est-oe que cette histoire que vous contiez tout à l'heure à propos du départ de M. de Guibraye

L'histoire de son départ pour Rennes ?

Oui, auprès d'un ancien camarade de guerre à la dernière extrémité. Ce n'était pas une histoire, mon amie, mais la verité même.

Oh voua lavez, Boni, la vérité de* hommes

Est-ce que vous voulez dire, Marie, qu'elle ne vaut guère mieux que la vé- j plaisamment.

Marie-Chantal lui adressa un regard facbé.

cela, insista-t-11 aveo sa grosse bonne humeur, car, pour ce qui vous regarde. on mit que vous ne ment" que lonque voua ne pouvez pu faire autrement mais».

Je vous en prie, l'interrompit-elle sèchement, je ne suis pu en train de plaisanter.-

De falc, elle paraissait nerveuse et elle exagéra tout de suite dans ce qu'elle avait à dire

Car monsieur de Guibraye disparu el subitement, je me suie inquiétée tout de suite de savoir »I lady Exmoor était toujours IL

Bonlface de Jarvts ouvrit de grande yeux.

Comment, toujours là Que voulez-vous dire ?

Pas autre chose que, comme 1e venais de les surprendre exactement dans le. bras l'un de l'autre. Je ma suis demanda s'ils ne s'étalent pas sauvés ensemble. Sauvés ensemble T répéta le comte

Studio-Plgallo, Fannenber?.

.U«illol> Palace, les Surprises du divorce. Camêo, l'Agent eecret.

JLord-Byron, ttie Kid from Spatn (E.Cantor) Ait rie ulte un, Maryrose et Hos«tnhry. Bonaparte, Maryrose et Rosemary. Fol l>r»m.. Hl m pari, yiddish, Oncle Uoser. Uatttt-Kocherli., Maman, Quatre de ravlat'oa Lutfitla-Fatbé, lea 29 Jours de Clairette. Clné-Opera, l'Ile du Dl Moretu.

Itd-p.il îlrt. Lady Lou i Ma* C. Grant). Agora (S4. bd CUchy), le Juif Polonais. St- Marcel- Pat., le de chex Maxim" Mt-8«b. <U7. r.), Haim le Jult. uort du Zeppet. Slleet-PathtS le Chasseur de chez Muim't Carillon, les Rivaux de la ptste.

>l«BtparRB»se-ralbé Une faible femme. Lyon-fat).», le de chu Maxim*.

nuffoquè. eut une plaisanterie, n'est* A peine.

Ma fol, presque. Le marquis est capable de tout.

• Et lady Exmoor du reste. le le sais, mais enfin.

De sorte qu'à eux deux Ils étaient Parfaitement capables de cette folie et ma crainte première n'était pu 41 sotte.

Allona.. allons. Vous divagues, ma chère. Un galant homme Comme Guibraye y regarde à deux fois. quelque pareil ecandale dans la maison d'un ami Sapristi, Marte. réfléchissez avant de parler Gulbraya enlever la femme d'un de noe hôtes alors qu'il est lui.même notre hôte? Ce serait, proprediable 1 candidat à la douche ni tributaire du cabanon

DU cabanon, peut-être paa. De la douche», c'est une autre question. Est» ce que ça calme vraiment, les douches ? Comme le ne comprends pas un traître mot ce que voua me dites en ce moment, permettez-moi de voua lnsi*fattpment absurde.

Absurde ? Si voua aviez été avec la marquise et mol lorsque nous les avons surpris, monsieur de Guibraye parti, ma parole pour l'emporter d'à» saut, et Elèna ne se défendent que tout juste, eh bien vous auriez pense avec mol, mon ami, qu après cela tous les esclandres étaient possibles.

Oulbraye serrait lady Eamoor d'auaat préa que cela ?

De plus près encore Que cela Et voua assiette» .la scène (A suivre.}


M, ROOSEVELT

EN FACE DES DIFFICULTÉS D'ORDRE EUROPÉEN

ET D'ORDRE INTÉRIEUR

SUITE DE H PBEMliai PABK

Ceat un sentiment individuel très Significatif, mais il n'est pas facile de faire un pointage complet des sentiments de tous les députés et sénateurs. M. Roosevelt. avec raison, ne veut pas risquer sa popularité et son autorlté sur la question des dettes de guerre. Il serait tenté de faire un sondage préalable dans un domaine épineux mais moins dangereux celui de la revision des tarifs. Mais ses projets sont encore vagues.

L'atitation des vétérans

Des problèmes domestiques sérieux a'imposent encore à son attention. Aujourd'hui même. arrive à Washington une avant-garde de deux contingents d'aaciens combattants qui, suivant l'exemple- de l'armée du « bonus viennent porte. eux-mêmes leur doléances au président et au Congrès.

Un des deux groupes réclame le paiement du bonus et le rétablissement de toutes les pensions supprimées par le décret du mois dernier. L'autre réclame seulement le paiement du bonus. Cette situation, qui n'est pas Inquiétante, exige pourtant du doigté.

Pour mettre en oeuvre la politique d'éJévation des prix qui s'impose après l'abandon du « g o d standard », M. Roosevelt doit s'entourer de collaborateurs de confiance.

Il a désigné aujourd'hui M. Eugène Black, gouverneur de la Banque de Réserve d'Attanta pour remplacer r M. Eugène Meyer comme gouverneur du Fédéral Reserve Board ». De nombreux projets sur la réorganisation des chemins de fer, des banques, sur l'amorcement de grands travaux publica doivent encore avoir son approbation.

On le voit, si pressant, si vital que nous apparaisse le problème des dettes de guerre, M. Roosevelt a quelque excuse à ne pas le mettre encore en tête de son emploi du temps.

L'AMERIQUE ACCEPTE

LA FORMULE BRITANNIQUE

DE TREVE DOUANIERE

Londres. 10 mai (dép. petit Parisien.) Le Foreign Oftlce a été informé aujourd'hui quc le gouvernement américain avait accepté la formule britannique pour une trêve douanière. Cette formule, dort les termes définitifs ont été arrêtés au cours des conversations qu'a eues M. Norman Davis avec le représentant du gouvernement britannique. assure à la Grande-Bretagae les sauvegardes qu'elle réclamait en raison de sa position particulière. De plus, aux termes de l'accord, le Board of Trade restera libre de poursuivre les négociations qu'il a engagées avec certalmes nations pour la conclusion d'accorda comrosrolaux' et de eompHtw ceux déjà concius avec d'autree paya Enfin par 1*9 modifications qu'introduit la formule britannique dans le texte ~<6rigfnen*tîft*tït*' proposé par "ton Etats-Unis, !es accords d'Ottawa restent Intacts.

La Grande-Bretagne et les EtatsUnis ayant ainsi identifié leura points de vue dans un texte définitif, toute diligence a été faite aujourd'hui pour que le comité d'organisation de la con.férence économique mondiale puisse tenir sa première réunion demain après- midi au Forelsrn Office.

Sir John Simon présidera la délibération. Le principal sujet de discussion sera le projet de trêve douanière. Dans les milieux britanniques on espère que le texte de la formule anglo-américaine sera unanimement accepté.

Les fermiers du Minnesota

adhèrent à la grève agricole Montevideo (Minnesota), 10 mai

(dépêche Havas).

4.000 délégués des fermiers du Minnesota ont résolu d'adhérer à la «rêve nationale décrétée pour samedi par les fermiers des autres Etats.

Les fermiers de l'Oklahoma partielperont dans une proportion de 90 à la grève, qui consistera à arrêter la UNE TORNADE MEURTRIERE DANS LE TENNESSEE

Livingaton» (Tennessee), 10 mai

(dép. Havas.)

La nuit dernière, une tornade a ravage la région de la frontière des Etats de Tennessee et de Kentucky.

il y a 67 tués et de nombreux blessés. M. JEDRZEJEWICZ A CONSTITUÉ LE NOUVEAU CABINET POLONAIS Varsovie, 10 mal (dép. Times.)

Le Président de la République a confié à M. Janusz Jedrzejewicz, qui était ministre de l'Instruction publique dans 1e gouvernement de M. Prystor, le soin de constituer le nouveau cabinet M. Jedrzejewicz a aussitôt désigné ses collaborateurs qui ont prêté serment cet après-midi. Le nouveau ministère est à peu près le même que le précé- dent. Le président du Conseil a gardé le portefeuille de l'Instruction publique qui a changé de mains, été confite à M.

REMANIEMENT MINISTERIEL EN AUTRICHE

Vienne, 10 mai (dCp. Petit Parisien.) L'aprèâ-mldi et la soirée ont été consacrés à un important conseil des ministres où, en plus des questions d'actualité urgentes qui sont posées, le ehanceliier a résolu en un tournemain 1a crise ministérielle. En effet, le conoeil des ministres a parachevé l'accord avec les créanciers étrangers de la Kreditanatalt. entre temps accepté par plus de 75 d'entre eux. Cet acte amena la démission du ministre des Finances Windenhoffer,

Mais sa démission s'accompagna du remaniement plus ou moins complet du cabinet. En même temps que lui démissionnèrent le ministre heimwehrlen du commerce Jakoncig, depuis quelque tempa en désaccord avec le prince Stahremberg, le ministre agrarien Bu. chinger et le secrétaire d'Etat à la mûreté publique, M- Fey. Le président de la République, aussitôt averti de cette démission qu'il il a acceptée, a nommè au ministère des Finances le gouverneur de Baase-Autricha, M. Buresch. ancien chancelier. chrétien social au ministère du Commerce, M. Stockinger. représentant du monde des affaires. sans couleur politique suivie. mais sympathisant avec les Helmwehren: à l'Intérieur, l'agrarien Schung. Enfin, M. Fty, ex-secrétaire d'Etat, devient mintstre de la Sûreté.

LE CONFLIT DU CHACO

LE PARAGUAY

DECLARE LA GUERRE A LAJJOLIVIE

Londres, 10 mai (dép. Petit Parisien.) Un message Exchange Telegraph de Buenos-Aires annonce que le Paraguay a déclaré la guerre aujourd'hui à la Bolivie. Des combats se déroulent depuis le début de l'été dernier dans le secteur du Gran Chaco que se disputent les deux pays. Ceux-ci refusent des républiques neutres de l'Amérique du Sud, des Etats-Unis et de la S. D. N. L'IMPRESSION A WASHINGTON Washington, 10 mai (dép. Havas.) A la suite de la déclaration de guerre du Paraguay à la Bolivie. l'opinion pré.vaudrait dans certains milieux officiels qu'il est impossible de continuer à faire pression de Washington et que le différend pourrait seulement etre réglé par la D D. laquelle appartiennent la Bolivie et le Paraguay.

Le départemtnt d'Etat souligne que la Bolivie n'a pas adhéré au Pacte de Paris et que, par suite, des négociations basées sur cet accord apparaissent impossibles.

Certains milieux envisagent comme possible la déclaration, de la part de l'Argentine, d'un embargo sur les expéditions d'approvisionnements faites par voie ferrée à destination de la Bolivie. Toutefois, on s'accorde à penser qu'un embargo de ce genre aurait peu d'effet. à moins que le Pérou et le Chlli se joignent au mouvement, ce qui est fort Incertain.

LE COMITÉ DES EFFECTIFS S'OCCUPE A GENÈVE

DE L'INSTRUCTION PRÉMILITAIRE Genève, 10 mai (dép. Petit Parisien.) En attendant le résultat des négociations engagées par le délégué britannique, M. Eden, avec M. Nadolny, visant la transformation de la Relchawehr, le comité des etfectifa de la conférence du désarmement a aborde. ce matin, l'examen d'une autre question également délicate, celle de l'instruction prémilitaire.

Il est entendu que les jeunes gens de moins de dix-huit ans incorpores dans le. ballUas et les avant-yardistes du parti fasciste ne seront pas comptés dans le calcul global des forces hitlériennes. Mais la situation est toute différente en ce qui concerne les jeunes gens de dix-huit à vingt ans au nomreçoivent une instruction militaire beaucoup plus poussée et qui font, chaque année, vingt séances d'entrainement de trois heures chacune. A leur entrée dans l'armée régulière, cette préparation leur est d'ailleurs comptee comme un service actif de trois mois. Comme le montra le délégué français, le colonel Lucien, si l'on additionne le service fourni l'existence représente au bas mot, pour l'armée Italienne, l'équlvalent d'un contingent annuel régulier de 24.000 hommes. Par esprit de conciliation, le colonel Lucien proposa néanmoins qu'ils ne soient comptés chacun, dans la fixation de l'effectif total, que pour deux jours et demi de service par an.

Cependant, le représe ntant de l'Italie combattit vivement cette proposition en *É*tarant que les organisations incriminées avaient un caractère essentiellement sportif. Il ajouta même que si Uk, conférence passait outre à son veto, Ww décision pourrait remettre en question l'adhésion donnée par son gouvernement au projet de convention britannique. Là aussi, la situation parait donc assez tendue.

D'autre part, le comité de sécurité a repris l'examen des propositions françaises visant la conclusion du pacte européen d'assistance mutuelle. Mais là encore le délégué italien a fait des réserves en déclarant que cette question dépasse les compétences du comité. Paul Du Bochtt.

L'ADHESION EVENTUELLE DES ETATS-UNIS

AU PACTE CONSULTATIF

Washington, 10 mai (dép. Bavas.) Selon l'opinion qui prévaut dans les milieux influents de la majorité démo- crate du Congrès, l'acceptation évenUnis d'adhérer au pacte consultatif en vue du maintien de la paix, n'aura pas besoin d'être soumise au Sénat pour ratification. En effet, le président des Etats-Unis a, dès maintenant, le droit, en vertu de la Constitution, de déléguer un représentant à toute conférence internationale quel qu'en soit l'objet. Mais un tel représentant a seulement le rôle d'observateur et toute décision prise par la conférence qui engagerait les Etats-Unis doit être ultérieurement soumise au Sénat pour ratification.

Après un violent combat les Chinois en désordre refluent devant les Japonais Changhaî, 10 mal.

M NOTtfl COKRGSPONDANT PARTICULIER De très violents combats se sont déroulés durant la nuit dernière et la journée d'aujourd'hui à l'est de la rivière Luan. Deux brigades nippones ont opéré dans ce secteur. Celle du général Hattort a attaqué la division du général chinois Sun Che Yuan au sud de la passe de Hsitengkow, tandis que celle du général Hirata se lançait en direction de Tung-Ping. Les Japonais déclarent que les Chinoie ont laiaaé sept cents morts sur le terrain et qu'eux-mêmes ont eu deux cents tués ou blessés après cinq heures d'assauts répétée.

Les forces chinoises se sont détendues Ping. La brigade Hirata s'est emparée de cette localité cet après-midi, après un combat qui avait duré toute la nuit d'hui.

Le front chinois étant rompu en deux endroits, les Japonais avaient la parue Ce soir, Ils traversaient la rivière Luan. au nord de Luan-Tchéou, talonnant ¡'ennemi en pleine déroute. Les milieux bien Informés se demandent si l'état-major nippon ramènera cette fois zen troupes en arrière René LAURENS

COMMUNISTES CONDAMNÉS A LA COUR DE SAIGON Saigon, 10 mal (agence Indopacifique.) Le verdict du procès des commu. nistes a été rendu par la cour criminelle dans la nuit de samedi à dimanche. Sur cent seize accusée. huit sont condamnée à mort, dix aux travaux forcés à perpétuité, dix à la déportation, soixante-dix-sept de cinq à vingt ans de travaux forcés.

Onze ont été acquittée.

UN HOMMAGE DE RIGA A ARISTIDE^ BRIAND Riga, 10 mai (dép. Havus.)

Le conseil municipal de Riga a décidé de donner le nom d'Aristide Briand à lai rue où est situé le lycée français.

Dans l'ancienne Chambre n des seigneurs de Prusse s'est ouvert le congrès du FrontjouYTier

Berlin, 10 mai (dép. Petit Parisien.) cienne Chambre des seigneurs de Prusae v s'est ouvert, sous le protectorat d'Adolf l Hitler, le congrès du Front ouvrier F allemand, qui comprend 600 délégués composés d'ouvriers nazistea, des mem- bres du gouvernement, des divers etaat- halter. des présidents des conseils des l ministres des Etats confédérés, des chefs des associations nazistes locales, des représentants de la Reichswehr. e de la milice brune et du Casque » d'Acier. Etaient invité. à titre de spec- tateurs des délégués du Front paysan et des organisations patronales. La salle était décorée de guirlandes de fleurs r et derrière la tribune présidentielle pen- dait au mur un Immense drapeau c croix gammée.

Le chancelier a exposé le principe de a la création du front ouvrier allemand. 4 Il a montré la nécessité de trouver une 6 solution aux antagonismes existant entre patrons et ouvriers. antagonisme» « que la crise économique a encore ac- a ses on peut placer les principes qui ont présidé au développement politique et a économique des dix dernières années, t En 1918, l'ouvrier allemand a été le seul vaincu la révolution nationale n'a pas voulu exercer de représailles sur ses adversaires, sans quoi les na- tionaux socialistes auraient eu a com- < battre des dizaines de milliers d'indi- j vidue. La démocratisation de la vle t publique, qui marche de pair avec le développement du marxisme, avait mis j l'Etat aux mains d'une classe poesé dante qul n'avait pas qualité pour assu- rer le pouvoir politique. Cest ainsi que la conduite de l'Etat était devenue de plus en plus dépendante des facteurs économiques.

Ensuite, le chef du comité d'action pour la protection du travail allemand, docteur Ley. a annoncé la convocation Imminente du Sénat du travail, qui comprendra soixante membres et qui vailleurs sous le Troisième Empire. ON CONFISQUE LES BIENS DU PARTI SOCIALISTE

ET DE LA BANNIERE D'EMPIRE Berlin, 10 mal (dép. Petit Parisien). Sur l'ordre du parquet de Berlin, tous bine du parti social-démocrate et tous ceux de l'Association républicaine de la Bannière d'Empire noir. rouge et or, ainsi que leurs iournaux viennent d'être confisqués et mis sous séquestre. Le. journaux reproduisant la thèse gouvernementale expliquent cette mesure par la découverte d'irrégularités constatées dans le contrôle des mouvements de fonds des syndicats, ainsi que dans l'examen des comptes des banque. ouvrières.

Des dockers d'Anvers refusent de charger un vapeur allemand arborant la croix gammée Bruxelles, 10 mai (dép. Petit Paris.) Cet après-midi, à Anvers, un groupe de dockers désigner pour charger le vapeur allemand Watussi, de la Woermann Unie, ont refusé de commencer le travail parce que- navire arborait le pavillon a la croix gammée. Le eapltaine ayant refusé d'enlever le pavillon hitlérien. les ouvriers quittèrent le 1 bord.

Vers 6 heures, le chancelier du consulat d'Allemagne est venu se rendre compte do la situation, puis il s'est rendu à l'hôtel de ville où il s'est entretenu avec M. Camille Huysmans, bourgmestre. Le soir, le travail n'avait pas encore commencé.

M. DE FLEURIAU EST RENTRÉ D'ANGLETERRE EN FRANCE M. de Fleuriau, ambassadeur de France à Londres, est arrivé à l'aérodrome du Bourget hier soir à 19 heures. Au moment de son départ d'Angleterre, M. de Fleuriau avait été l'objet d'une manlfestation de sympathie. UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS ETAIT MISE EN COUPE REGLEE PAR CINQ DE SES EMPLOYES Laon, 10 mal (dép. Petit Parisien.) A la suite d'u- e enquête, la gendarmerle vient d'arrêter le. nommes Oscar Schmidt, vingt-quatre ans, Gustave et Jullus Grymonprey, demeurant tous trois à Hirson: Camille et Adolphe Grimonprey, demeurant à Tavaux. tous les cinq employés dans une entreprise de transports rapides ParisHirson.

Ces cinq individus, qui appartiendraient à une bande organisée ayaat des ramifications jusque dans la banlieue parisienne, mettaient en coupe réglée les camions de l'entreprise. Leurs agissements Indélicate duraient déjà depuis plusieurs mois. L'enquête se poursuit.

Un meeting au Trocadéro pour les intellectuels juifs persécutés

Le Comité français pour la protection des intellectuels juifs persécutés avait organisé une grande réunion. hier soir, nu Trocadéro. L'immense salle était archi-pieine. M. Rollin, député, ancien ministre, présidait ayant à sa droite le R. P. Sanson et, à sa gauche. M. Piétrl, député, ancien miM. Rollin souligna que toutes les personnalités qui l'entouraient sur la tribune n'étaient pas de la même fol. mais que toutes avaient tenu à affirmer leur volonté de ne pas laisser prescrire les droits de la conscfence. L'antisémitisme est un redouta^ ble recul de la pensée et de la civili- sation.

M. Rollin lut un court mais énergique manifeste signé des plus grands noms de la médecine. Et lorsque l'orateur signala la présence à ses côtés du commandant Rayoal, t'ovation fut telle que l'héroique défenseur du fort de Vaux dut se lever plusieurs fois.

Mo Piétri eut des formules particulièrement applaudies « le souci raciste, ce paradoxe de pédants cette haine qui n'a pu naître que d'un calcul ou d'une fantaisie de tyran l'hospitalité de l'Intelligence est la plue sacrée; la postérité ne pardonnera pas 1e5 excès hitlériens ».

Le chanolne Desgranges, député du Morbihan, fut salué d'une ovation lorsqu'il exprima le souhait que. traversant la frontière, son appel à la charité chrétienne trouvât un écho auprès des évêques et prêtres allemands.

Le professeur Jean-Louis Faure, le pasteur Wi1frid Monod, M. Claude Farrère furent également applaudis. Enfin. le R. P. Sanson parla avec son Immense talent habituel et fut remercié par de longues acclamatlons.

DANS LA RÉGION PARISIENNE AISNE

La fille d'un marinier

tombe à 1,.Au et se noie

Alors que te bateau Pingouin, apparteant M. Jean- François Van Horde, lemeurant à Anvers. passait sur le canal atérai Il l'Aisne, à hauteur de Vilters-enPrayèrea, la fille du marinier. Mlle Simone fan Horde, dix-huit ans, qui manœuvrait gouvernail. fit un faux mouvement et :omba A l'eau. En dépit des recherches mssltôt entreprises, son corps n'a pu être ̃e trouvé.

La bouquet provincial

des société» d'archen de P Aisne Les fêtes du bouquet provincial et du championnat des compagnie d'archers de l'Aigu et du Nord auront lieu SaintQuentin. le dimanche 4 fuin.

r.*nt le mattn, tir à l'arc sur cible A il heures, menue Pn plein air, rue CharlenPléard; à midi 30. réception a l'hôtel de ville A 15 heures, grand défilé historique. Le concours fédéral comportera deux cents prix; le championnat, vingt-cinq.

1-en «rchert de la valléede la Marne, de l'Ourcq et du Clin»..

Le bouquet provincial et le championnat des compagnies d'arc de la Ronde des vallées de la Marne, de l'Ourcq et du Clignon seront tirés à Bell eau. le dimanche 4 Juin. La société de musique de Marignyprêtera son concours. La municipalité de Belleau offrira un vin d'honneur. L'épreuve finale du championnat aura lieu le 18 juin, ainsi que la distribution dea prix.

BEBZY-LK-SKC. La fête patronale aura lieu dimanche prochain attractions diverges concert à 16 h. par la fanfare de Belîeii le soir, grand bat gratuit. BRAINE. La cour d' appel d'Amiens. saisie de l'affaire d'avortement de Bralne, mois infligée à la veuve DufOBsé; elle le te bénéfice du sursis & 1a temme Jarot, condamnée à trois mols. La troisième Inculpée a vu confirmer sa peine de trois mois avec sursis.

BKASLES. Les gendarmes ont arrêt* le nommé André Nlnout, dix-neuf ans, do& pénétrer dans un Immeuble portant la ni) 9 de l'avenue de Château- Thierry. Il dé- clara qu'il n'avait pas mangé depuis deux jours et qu'il avait l'Intention de voler quelque argent pour acheter du pain. CHATEAU-THIERRY. Demain, réunion des sous-officiers de réserve, à 20 h. à l'hôtel de ville.

Le Vélo Club lera disputer une course le 21 mai ainsi qu'une épreuve de marche. FEBE-EN-TABDKNOIS. 20 h. 30. A la mairie, aura lieu une réunion en vue de la formation d'un syndicat d'initiative. MAKIZY-SAlîST-MARD. Les gendarmes ont arrêté le Polonais Henrl Kaezavait quitté depuis deux jours femme d'un compatriote et emportant une somme de 1.000 francs appartenant celui-ci SAINT-QUENTIN. Le concoura départemental de pouliches aura lieu Ie 16 mal, à 14 h. 30. aux Le tribunal civil

SOISSONS. Le tribunal civil a prononcé hier la destitution du notaire escroc Pleuvry, déclaré en faillite et actuellement en priaun. L' instruction ne poursuit, et l'on pense que l'affaire sera jugée aux asaines d'août.

VERVINS. L'Union commerciale et Industrielle tiendra son assemblée générale annuelle ce soir, à 20 h. 30, Balle de la Justice de paix,

EURE-ET-LOIR

Au conseil général

Le conseil général d'Eure-et-Lotr, saisi de la question des tramways, a décidé de continuer pendant deux encore l'expérience de l'affermage. D'autre part, en ce qui concerne la fourniture d'énergie haute tension au département, il a accepté les accords par lesquels la Société de distriment à l'Energie industrielle. La baisse des tarifs sera Immédiatement pratiquée à la suite de cette décision.

BROU. De3 récompenses aeront décernées lora du comice agricole aux vieux serviteurs employés chez des cultivateurs membres du comica. Des primes en argent seront également attribués ux pères de familles nombreuses du canton. Les demandée doivent ttre adressées arant le 15 mai au secrétariat du comice, rue SaintLubin, à Ch&teaudun.

BU. Viril.. d'un vol de 2.770 francs. M. Pauf Faucheux, rentier, a porté plainte à la gendarmerie.

CHARTRES. La ligue des groupes de gauche du canton a élu président M, Brune. en remplacement de M. Vayasié, démissionnaire pour raisons de santé. M. Vayssie a reçu le titre da président honoraire. La police a arrêté la femme Amêlle Leble-d, âgée de cinquante ans, qui, Utulaire de quarante condamnations et de cent quatre-vingts ans d' Interdiction de séjour. était revenue & Chartres.

OISE]

ATTÏCltY. Des malfaiteurs se sont introduits la nuit dans la ferme de l'Arbre appartenant à 3L Jacques Cugnlères. Après 400 francs d'argent se trouvant dans la salle à manger. Dans le salon lie ont enlevé le coffre-fort et l'ont traîné dans le Jardin où Ils ont essayé de le fracturer, mais sans y parvenir, M. et Mme Cugnléres qui doraient au premier étage n'ont rien entendu. BAILLEUR- LE-SOC. Dimanche prochain, fête patronale attractions diverses, BONLIKR. Neurasthénique, M. Eugène Doblgny, cinquante et un ans, cantonnier, s'est pendu dans an chambre.

BREGT. Neurasthénique, M. Emile Salomon. âge de quarante-quatre père mise attenante non

CREVECŒt'B- LE- PETIT. Un Jeune garçon de six ans, Maurice Jullien, est venu .se jeter sur l'avant d'une automobile. Sérieusement bieasé à la tête Il a été transporté au domicile de au parents

FORHERlE. Le congrès départemental de l'U. N. C. aura ileu dimanche prochain. A 9 h. 90. à t'hôtel de ville, assemblée générale sous la présidence de M. de PontaJba; à Il h. 45. cérémonie du souvenir à 12 h. banquet arnica! à 15 beuconcert par les trompettes de la garde et et la fanfare de FormeHe. Une de décorations aura lieu ensuite. GANSES. 3L Balzar été élu conLIANCOURT. La sectlon des Jardin. dimanche prochain, à 14 h. 30, salle Baële. MORTKFONTAINK. Un ouvrier, Martel Jeurquin, figé de trente-deux ans, marlé et père de quatre enfants, est tombé accidentellement dans un fossé plein d'eau ot 11 s'est noyé. Son torpa 8. été découvert hier matin par la receveuse des postes. Jardins ouvriers dimanche prochain, à j 10 heures, au siège Conférence par le pro- SERIFONTAINE M. Leopold Tabary, marécha. ferrant, habitant HébA'-ourt (Pure), ayant jeté Involontairement une cigarette non éteinte IL proximité d'une meule de blé non battu appartenant A M. Henri Delylle, agriculteur, le feu prit à cette meule qui fut entièrement détruite. M. Tabary itéra poursuivi pour incendie par Imprudence. SEINE-ET-MARNE

Auteur de quatre incendies

Lorin fera dix ana de bagne

Eugène Lorin, âgé de trente ans, manouvrier a Jouy-sur-Morin. marié et père de trois enfants, a comparu hier devant la qu'il commit quatre fois.

En novembre 1932. il mit le feu chez IL Vignot, propriétaire d'une scierie puis, le décembre suivant, il Incendia deux meules de blé appartenant a H. Lucien Doublet. cultivateur le lendemain, c'était un hangar situé dans la cour de la ferme de M. Gaston Hucher, au hameau de Hardoy, qui flambait enfin, vingt jours plus Papeteries du Marais. Lorin fut découvert puis 11 fit ultérieurement dec aveux com- plets. A l'audience, il a prétendu qu'il a agi sans aucun motif de vengeance et sans savoir pourquoi. M. Sudako. substitut du procureur de la République, réclamait un châtiment sévère pour l'incendiaire, que M' Rossignol avait la lourde tâche de défendre. Le Jury ayant rapporté un verdict affirmatif. mais mitigé du circonstances atté- nuantes, Lorin été condamné A dix ans de travaux forces et à dix ans d'interdic- tion de séjour.

Mise en .¡ce de nouveaux traîna A partir du 15 mal prochain, des trains légers accélérés facilitant les relations avec la capitale seront mis en marche entre Paris et Lagny, Paris et aux. Paria et voitures de deuxième et troisième classes, ne feront point le service des bagages et

Un orage de grêle m sévi dans tonte la région de Provins Dans la soirée d'hier un violent orage l'est déchaîné sur la région de Provins u cours duquel une pluie torrentielle s'est les dégâts importants aux arbres fruitiers Unsi que dans le8 jardins.

LAGNT. d'Arc, de la fête natiolébrée dimanche. 9 10 heures. Le panégy- R. P. Janvier. Les sociétés patriotiques se rendront ensuite aux monuments de 1 hé- roïne et de la Grande Guerre. L'après-midi, concert public par l'Union musicale. amicale de* anciens élèves du collège de Meaux, réunis en assemblée générale, ont réélu président M. Lugol, sénateur. M. Boutroue, préfet honoraire, a été appelé à remTORCY. Mme veuve Hudry, âgé© de soixante-dix-huit ana. a été frappée de congestion en ramassant du bols mort sur le chemin de la Glaisière. Son cadavre a été SEÏNE-ET-O1SE

Un camion défonce une roulotte L'autre soir, près de Jiaspy. un camion rtvargé de pierres s est Jeté contre une Gurhen et ses sept enfanta. Le choc fut si violent que le frêle véhicule fut entièrement démoli. Mais, par un huard miraculeux, les enfants furent dégagea dea désans abri, un fermier de Massy. M. Jouve, leur a charitablement donné 1 hospitalité. Apre» l'interdiction de la réunion du Mouvement républicain réformiste L'interdiction de la réunion organisée à réformiste, qui devait avoir lieu hier soir. do M. Marcel Dénia, le grand mutilé si populaire dans cette ville, ont causé certaine émotion. Dès le début de la matlnée d'hier.des tracts dana lesquels Il s'élève vivement contre cette interdiction.

De son coté. M. Marcel Denis, malgré la vive pression de quelquea-una de ses électeurs, ne veut pas revenir sur sa déciraisons d'inimitié envers ses collègues ni laisse le champ libre aux parti» révoluMme Forgous. 61. rue Caron. son une grosse torpille à ailettes que l'on suppose avoir été déposée par dm ouvriers travaillant aux environs. le service compémanœuvre un motocycliste, M. Antoine Damos. est venu se jeter à toute allure contre un café. Il a été transporté à l'hospice de Versailles pour y subir l'opération du CORBEIL. Le Football Club de Corle stade municipal, un grand match de Femlna-Sports champion de Paris et de France depuis sept ans. contre Hirondelles Femlna (1), club de division d honneur, Coup d'envoi A Il; h. 30. En lever de rideau, S.C. Vigneux (1) contre F.C. Corbeil (1).

UVBY-GABGAN. Impotente et neurasthénique, Mmf Marie-Rosé Mallet, quatre-vingt-un ans. demeurant 39. allée D'autre part, M. Raymond Hersemeille, vingt-neuf ans, demeurant 28. allée Didetea de aes blessures à l'hôpital du Raincy. MASSY. Des cambrioleurs ont pénétré ont dérobé de la lingerie, de la literie et divers objets.

MANTBS-SUB-SEINE. Pour célébrer 1rs vingt-cinq ans de mandat municipal de joint des fêtes auront lieu dimanche prochain après réception et vin d'honneur à l'hôtel de villa banquet A midi à 14 heures dans le square, grande fête populaire, avec le concours éf uoof étés locales et des enfants des écoies le soir, fête de nuit et

Inconnus se sont Introduits dans le pavillon de M. Henri Bruyer, situé au hameau du phonographe, divers bijoux et des objets d'art, d'une valeur totale de france environ.

LI Compagnie des me suit sa chambre de discipline pour président H» Ml chaud, de Dourtiau ̃ syndic. M- Drouot, de Hermeray; rapporteur, M" Bellet, de Roche fort-lessecrétaire, M8 de Rambouille! trésorier. M* Mugnier. de SaintVEBSÀII.I-ES. On a retiré de la pièce d'eau des Suisses Je cadavre de M. Albert Délier, âgé de soixante et un ans, menu!lier, demeurant 20. rue de Satory. Il n'a pus été possible d'établir s'il s'agissait d'un accident ou d'un suicide.

LE CAS DE M. HULIN Poitiers. 10 mai (dép. Petit Parisien.) Le conseil de l'ordre des avocats de Poitiers qui avait, on le sait, ouvert une enquête au sujet de faits articulés contre M. Hulin. soue-secrétaire d'Etat à la Guerre, par un de ses confrères du barreau, devait rendre sa décision demain 11 mai.

Or, hier après-midi, M. Gaston Hulln. qui était venu assister à la session du conseil généràl, adreseait à la cour quatre membres du conseil de l'ordre, Invoquant notamment leurs opinions politiques.

Dans ces conditions, le conseil de l'ordre ne peut prendre de décision avant que la cour ait statué. Celle-ci aura à dire si l'objection de conscience juridique est valable. Au cas où elle rejeterait ce moyen. 11 est probable que le sous-secrétaire d'Etat, qui a regagné Paris dans la soirée, se pourvoirait Plus de quatre millions de timbres volés à l'enregistrement d'Çvreux Evreux, 10 mai (dép, Petit Parisien.) La nuit dernière, des inconnue ont cambriolé les bureaux de la direction de l'enregistrement à Evreux et soustrait pour pius de 4 millions de timbres fiscaux. C'est vers 8 b. 30 du matin que M. Feuillette. directeur déparlementai, fut informé par sa femme que la porte cochère de la direction, donnant 2, rue Vilaine, était largement ouverte et qu'un carreau d'une fenêtre était caasé.

Après avoir escaladé le mul de clôture donnant rue Vilaine et sur lequel on a relevé des traces, les malfaiteurs avaient soulevé la barre de fer maintenant la porte cochère qu'ils ont ensuite ouverte dans la cour, devant la fenêtre du magasin aux imprimée. plusieurs registres étalent déposés à terre un carreau. coupé au diamant, avait été enlevé de ce magasin. Lee cambrioleurs avaient pu gagner ensuite le premiers btage, où sont les bureaux, et fracturer l'armoire aux timbres, enlevant 306.000 francs de timbre de dimension. francs de timbres fiscaux. 3.000 francs de timbres pour passeports, 345.000 francs de timbres pour cartes d'étrangers et 2.000 francs de timbres pour la taxe communale des Andelys, soit un total de francs. Les cambrioleurs n'ont rien trouvé à leur convenance dans les bureaux des rédacteurs et ne sont pas entrés dans le cabinet du directeur.

Les malfaiteurs n'ont pas manqué d'audace car l'enregistrement est eitué juste vis-A-vis de la caserne Amey, où se trouve le peloton de gendarmerie mobile, et à cent mètres du bureau de police le voisinage n'a d'ailleurs rien remarqué d'anormal.

MOUVEMENT DIPLOMATIQUE Le Journal officiel publie ce matin un Important mouvement diplomatisulaire.

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~LB» (JOUTES DU PETIT PARISIEN | BEHEMOTH par Jacques CONSTANT

A la station de Valence, Sébastien Ri-

gaudie ne put y tenir. Depuis Marseüle, il Souffrait le martyre et les balancements du rapide lui procuraient d'incoercibles valises et descendit grelottant sur le quai de la gare. LA, il rentlt le sol tourner autour de lui et n'eut que le temps de s'allonger sur un banc pour «viter la syncope.

Le pauvre vieux, dit avec commisé-

ration le porteur. il est mal en point.

Rigaudie n'était pas vieux, puisqu'il at-

teignait à peine la quarantaine, seulement ü revenait de la côte des Somalis où il avait longtemps séjourné et, depuis quinze ans. il ne cessait de parcourtr l'Afrique, du Transvaal à l'Ougmda, de la Mauritanie au Congo, cheminant dans la brousse. traversant les marigots naviguant sur les Heuves. roulant tn auto à travers les déserts, empruntant même à l'occasion l'avion ou le chemin de fer. Il avait trafiqué de toutes les marchandises possibles, raflant Ici le café, trus'tant à Elisabethville le cuivre. ailleurs le coton, l'arachide ou ¡'Ivoire, prospectant des terrains susceptibles de recéler du pétrole ou du radium, se livrant mime, à à la tralte des noirs. On affirmait aussi que ce terrible aventur:er avait piraté l'océan Indien à bord d'un loutre arabe dont il était le capitaine. Bref. il avait exercé tous les métiers, mais au moment de jouir de la fortune immense qu'il avait réalisée, il avait tout risqué sur un coup de Bourse, s'entêtant à louer la hausse, alors qu'une wn-ie de baisse déferlait sur le monde.

Le tempérament de Sébastien Rigaudie

était complexe et plus original encore que ne le supposaient ceux qui Ignoraient sa double pe.r- -ina'.ité. Avant la guerre, durant laquelle Il s'était conduit en héros. il avait publié dans la Revue libre. sous le pseudonyme de Lionel Dorigny, une série de poèmes qu'il avait ensuite réunis en plaquette sous le titre Bêfiémoth.

La jeunesse avait accueilli avec une

telle fa veur ces vers d'une ironie hautaine et subtile que, du Jour au lendemain, Lionel Dorigny, devenu célèbre. était proclamé chef d'école par les e moins de trente Tous les éphèbes assoilfés d'idéal littéraire savaient par coeur le fameux poème intitulé Astres et qui commence ainsi

Le terrestre univers n'ert plus qu'un

[champ de foire

Ou des pitres abjects clament leurs

Coqueluche et de Montparnasse,

Lionel, vêtu de puil-over flamboyants ou de pyjamas somptueux, connut des bonnes fortunes éclatantes et fut la proie de tous les hebdomadaires.

Et puis. brusquement, on apprit que le

poète. dégoûté de Paris et de la civilisation, venait de partir pour l'Afrique et qu'il renonçait définitivement à la littérature.

journaux et revues discutèrent pendant

un mois ou deux sur cette détermination inattendue, les uns se portant garants de la sincérite de Lionel et cherchant à percer l'énigme do cet exil. les autre.! laissant entendre qu'il s'agissait d'une publicité tapageuse destinée au lancement d'- .e œuvre nouvelle. Mais, fidèle ses déclarations, Lionel avait gardé Jalousement le silence.

Et l'oubli était venu, plus rapide peut-

être que ce dernier l'eùt désiré.

Tel était le passé de l'homme au visage

ravagé, au front chauve. à la barbe preaque blanche qui venait de se trouver mal en gare de Valence.

Il avait été certainement d'une vigueur

peu commune. mais l'alcool, la malaria, la dysenterie amibienne avaient eu raison de ce colosse. Grâce aux soins du porteur et du sous-chef de gare. Sebastien revint à lui et demanda qu'on lui indiquât un hôtel simple et modeste. où. mieux que dans' un caravansérail International. ü pourrait x soigner en paix pendant quarante-huit heures.

On lui indiqua l'hôtel du Commerce.

que fréquentaient les représentants. Le patron. M. Amour=, faisait lui-même la cuisine, aidé par sa femme et par sa fille. Laure. Bien que celle-ci eût reçu une excellente instruction au collège elle était bachelière, hé elle ne dédaignait nullement de mettre la main à la pâte. Va pour l'hôtel du Commerce 1 ac-

quiesça Sébastien.

Une demi-heure plus ard, Installé dans

une chambre confortable. il absorba une dose sérieuse de quinine et. tous voleta dos. il s'étendit sur son lit. écoutant battre à ses tempes le grondement sourd de la la fièvre.

Deux jours plus tard, il allait mieux. Il

avait recouvré sa lucidité sinon ses forces et il songea a reprendre le voyage interrompu. Et puis. à la réflexion, il se de.manda ce qu'il allait faire à Paris Il n'y avait plus de famille. plus d'amis.

Quant à celle pour laquelle il s'était ex-

patrié, à la suite d'une déception sentimentale. elle avait certainement rayé de son souvenir cet amant d'= jour.

Il en était là de xs réflexions quand

M. Amourous vint s'informer de sa santé et l'inviter à descendre au salon.

La petite voua tiendra compagnie,

dit-il. Elle sera enchantée de faire votre connaissance.

Sébastien Rigaudie en était il une de

ces minutes où la volonté est atteinte d'une sorte d'ankylose. Il suivit M. Amourous. qui le présenta à Laure.

Sébastien fut tout surpris de rencontrer

une charmante personne au visage agréable. éclairé de beaux yeux noirs.

Quand elle eut pris des nouvelles de la

santé de son hôte. elle rinterroqea sur ses voyages, elle écouta les exolî^rionn

11. Feuilleton du Petit l'arUlen. ^JULIE

|r»« roman laédlt

GUY THOMEBY

PREMIERE PARTIE

UN AMOUR MALENCONTREUX

La machine s'arrêta. Sur le sol, une

lanterne sourde éclairait da son unique rayon une sorte de tunnel étroit, étouftant. Guidée par son compagnon, elle a'y engagea. Ils marchèrent ainsi quelquel minutes, toujours sana mot dire, et arrivèrent enfin à une porte qui

s'onvrait au fond d'une cave. Encore

quelques marches et Lucrèce déboucha dans une salle poussiéreuse. encombrée' de meuble. et disloqués. où

les araignées tissaient leurs toiles. Les volets en étaient fermés, mals on y

voyait suffisamment grâee au soleil qui glissait entre leurs lamea.

IL Darcy. Nous sommes ohez nous. Même si M. de LumI s'apercevait à l'instant de votre départ. il ne pourrait nous rejoindre. Ce chevalier ignore. et

ignorera toute sa vie. que la belle villa

ou son bon ami Darcy l'a logé à bon

marché a été machinée naguère par Copyright by Guy Thomery Traduc-

Il= et reproduction inttxditM m tous p*ys.

[boniments.

précises qu'il lui fournissait sur les Sumalis. sur les Touareg, sur les Abyssins et, prise au charme qui émanait du récits de cet inconnu, elle murmura. toute rose de plaisir

Oh 1 comme vous expliquez bien cela Vous êtes à la fois un peintre et un poète.

Sébastien songea avec quelque peu d'amertume qu'aucune des femmes frottées de littérature qui J'avaient distingué jadis ne l'avait aussi bien compris que cette pefite provinciale.

Vous aimez la poésie ? 1 interrogeat-il ?

Le regard de Laure étincela.

Oh oui, répondit-elle, et le théâtre. SI mes parents ne s'y étaient opposés, je me serais consacrée à la carrière théâtraie.

Quels sont, parmi les modernes. vos poètes préférés

Elle cita quelques noms et elle ajouta: Mais celui dont le ne me lasse jamais. c'est Lionel Dorigny. l'auteur de Bêhémoth.

Une idée vint tout naturellement à Sébastien, c'est que son incognito était percé à jour. Pourtant, il demeura impassible Je ne connais pas celui-là.

Oh quel dommage, dit Laurc, et, de mémoire, elle récita le poème Astres. Un terrible accent méridional gâtait sa diction, mais elle mettait une telle ferveur. elle nuançait si exactement les vers que Sébastien fut soudain convaincu de la sincérité de la jeune fille.

De ce jour-lô. une tendre intimité s'établit entre celle-ci et le colonial. De jour en jour. il recula son départ. Il se trou.valt bien à l'hôtel du Commerce.

Il y demeura six mois au bout desquels 11 succomba à une rupture d'anévrisme en se mettant à table.

Avant de mourir, il dévoilé à Laure qu'il était Lionel Dorlgny et il lui avait légué le peu qui lui restait avec tous ses droits sur Béhémoth.

M. Amourous ne fut pas autrement reconnaissant de cette maigre libéralité. Mais personne n'ignore comment c? recueil de poèmes, émergeant soudain de l'oubli où U semblait enlisé. a acquis une gloire qui va tous les ans en s'affirmant.

Laure Amourous, exécutrice testamen.taire de Lionel, est maintenant une riche héritière et le patron de l'hôtel du Coin.merce a pris les vers en considération, Constant.

ET DELBONO COURT TOUJOURS.Son dernier passage a été relevé au cimetière parisien de Thiais où il vint d'Argenteuil en taxi

Bien que depuis huit jours toutes les brigades de gendarmerie de la banlieue soient alertées pour le capturer, Delbono, l'auteur de la tuerie de Savigny-aur-Orge, réussit à déjouer leurs embûches et, comme une bête traquée, ne ccsse de brouiller la piste. Mardi soir, .il était à ArRenteull. Se rendant compte qu'on l'y guettait. Il se hâta de se jeter dans une direction opposée. Vera 16 heures, il héla un taxi et se fit conduire à Thiaia. où 11 descendit à la porte du nouveau cimetière parisien. A 18 heures, comme le gardien venait fermer les portes, le chauffeur lui signala qu'il attendait toujoure 3on client entré dana la nécropole. Une ronde fut faite, sans résultat L'homme avait dû disparaître en franchissant le mur de clôture. Le chauffeur, pris d'un soupçon sur la personnalité de son client, revint à Argenteuil conter aux gendarmes sa mésaventure. Le aignalement qu'il fournit de son client correspondait fidèlement à celui de l'insaisissable Italien. Une fois de plus, toutes les brigades de la région parisienne furent alertées de nouveau sans succès. Cette lutte durera sans doute jusqu'à ce que le misérable, sana ressources, épuisé. s'avoue vaincu et se rende, à moins qu'il ne préfère, comme il l'a dit, ne faire justice luimême.

Nous avons dit que le parquet de Corbetl avait envoyé au juge d'instruction de Brest une commission rogatoire à l'effet de recueillir les déclarations d'un Instituteur de Kernonès (Finistère), M. Cartier, qui avait signalé l'inquiétantê disparition de sa tante, deux mola après que celle-ci eut, en 1924, épouaé Delbono avec qui elle habltait à Savigny.

Or. hier matin, le commissaire de cette localité. M. Loumont, recevait la visite de cette personne qui avait appris par les journaux les Inquiétudes le- mées à son sujet par son neveu et, après lui, par la justice. Elle déclara au magistrat que, lasse des mauvais traitements que lui faisait subir son mari, elle l'avait quitté, puis avait de- mandé le divorce qu'elle avait obtenu. Depuis, elle vit à Paria à ^ne adresse qu'elle a toujours tenu à laisser ignorée de son ancien et redoutable époux. Une réunion de commerçants

et industriels du I" arrondissement Les commerçants, Industriels et artisans du I« arrondissement ont tenu une réu. nion présidée par M. Lhonoré, assisté de groupements C. A. des arrorwlisaements de Parla.

M. Lhonoré fit une allocution sur la situation générale du commerce et M. Col'entente. M. Sudraud souligna la nécessité pour la de comprimer ses dépenses àlM. Qu&ntln et Brunosseaux, conseillers municipaux. prirent également la paroll!, aiiui que M. TaltUnffer, député de l'arrondissement.

Un ordre du jour fat adopté, par lequel les groupements représenté* s'engagent à faire trtompher, par tous les moyen. en saut contre la menace d'inflation et tout Impôt nouveau. Ils ont omis la voeu que •oit créée, à côté de I* Chambré politique,

notre fidèle Spin. Connaissez-vous Spin, mademoiselle ?

Lucrèce, encore tout émue de J'aventure, fit signe que non, de la tête. Spin est un artiste que les rois s'arracheraient s'il n'était aussi modoute. C'est l'homme le plus habile du monde à vous fabriquer une maison à secrets Il vous dissimule des escaliers dans les murs, dea fenétres invi. sibles dans les planchers, des machines qui montent et qui descendent à travers les pièces sans que personne ne des conjurés. Nous avons, mademoiselle, dans Paris, dix caches semblables à celle-ci. Voua y entrez par une porte, la police y pénètre derrière vous apree avoir cerne la maison elle la fouille de fond en comble. percute les murs à coups de crosse et n'y trouve personne. Voilà. Si le roi. que Dieu garde, remonte sur le trône de ses pères, nous demanderons pour mérité.

Monsieur Darcy, dit Lucrèce, vous m'avez sauvée. Ja vous remercie du fond du cœur et je dirai toute ma reconnaissance à M. Spin lorsque j'aurai la joie de le volr. Mais, excusez-moi de vous presser de mon Inquiétude. Qu'allons-nous faire maintenant ? Maintenant ? Nous allons attendre tranquillement que Picot revienne il est allé chercher chez un de nos amia un vêtement d'homme que je voudrais bien vous voir endosser, afin que vous puissiez circuler sans crainte dans 1Paris. Puis vous viendrez chez mot. et Ce serait bien le diable si nous n'y trouvions pas des nouvelles du général Georges Cadoudal, car j'al su. par la vole habituelle. qu'il devatt arriver à Parle ce matin m&m*. Vom cozaprenei

Aux terres hostiles d'Ethiopie

SUITE L PftEMlËKB PAGB

Les difficultés pour ces troupes sont chaque jour plus grandes à cause du ravitaillement. On comptait sur les razzias de bétail, mais, depuis quinze jours, les Issas ont émigré vers l'est, poussant devant eux leurs troupeaux. Les guides, amenés do force par les Abyssins, retardent encore l'armée en lui imposant des itinéraires longs et pénibles sous prétexte d'atteindre les points d'eau.

Les Abyssins avaient escompté quelques orages comme Il y en a chaque annéeàcette époque avant la saison des pluies. Mais le ciel, en ce moment, semble décidé à rester limpide, implacablement bleu.

L'eau est peu abondante et mauvaise dans les rares puits qui subsistent encore. Certains même sont bouchés, et rien ne dit que quelques autres ne soient pas empoisonnés.

L'herbe dure du désert est toute jaune et à peine les mulets peuvent-ils la manger.

Les hautes trombes de sable montent du sol brûlant et s'élancent dans le ciel comme de gigantesques serpents. A leur passage, les mirages s'évanouissent comme si le météore les buvait d'un seul coup. Ce sont les génies malfaisants de ces steppes maudites ils dansent leur sarabande Infernale et boivent, dans ces lacs de rêve, la dernière illusion du voyageur assoiffé. Les B é d o u i n redoutent l'approche de ces tourbillons porteurs de maléfices à cause des esprits malins arrachés aux buissons et a la terre.

L'armée abyssine s'enfonce dans ce pays meurtrier où tout lut est hostile. Malheur à celui qui s'écarte, une sagaie silencieuse le frappe entre les épaules et, avant qu'il ait poussé un cri, il gît sur le 901 atrocement mutilé. selon la coutume barbare de l'Afrique. On le dépouille de son fusil et de ses cartouches on le laisse nu, mort ou agonisant. et quand se lève le prochain soleil seule la tache brune de son sang se voit encore sur la terre sans herbe.

Ces admirables soldats s'en vont pieds nus, un peu de grain noué dans terre, la tête posée sur une pierre, et sans murmurer parcourent en un Jour plus de quatre-vingts kilomètres. Quand ils trouvent des troupeaux, la viande est mangée crue, et ils en absorbent de telles quantités qu'ils sont repus pendant trois jours. Une fois lancés dana le combat, emportés par une fougue sauvage, plus rien ne les arrête car ita ne connaissent plus le danger. Ils sont alors féroces et cruels, et sans quartier pour le vaincu. En cela, üs sont comparables à nos Sénégalais Bambaras, dévoués comme des chiens à leurs chefs, doux et bons enfants quand l'instinct de la guerre n'est pas déchaîné.

SI de tels guerriers étaient menés judicieusement, ils formeraient l'armée la plus redoutable qui soit au monde.

On comprend la terreur des Issas devant ces hommes qui défendent leur vie et qui savent quel sort les attend si, par malheur, ils se laissent t surprendre.

LE DÉJEUNER DE L'UNION

BU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE Le déjeuner de l'Union du commerce et de l'Industrie,' que présidait hier M. Louis Dubois, ayant à ses côtés France en Italie, a été suivi d'une conférence de M. Wladimfr d'Ormesson, qui a exposé ses vues sur notre politiM. d'Ormesson a examiné d'abord les difficultés auxquelles la politique extérieure française s'est heurtée des l'armistice, du fait des intérêts divergents dea adliéa et de la double nécessité ou intérêts propres et de rester d'accord avec les pays qui avaient combattu avec 11 a montré que. du fait même de sa victoire, la politique extérieure 1 française se trouvait dans une situation I guerre- elle était plus brillante et plus forte aujourd'hui. Cette situation est, Le conférencier a cherché à dégager les points faibles de notre politique extérieure et Il a particulièrement critiqué le goût inné des Français pour l'universalteme et les constructions trop abstraites qui les empêchent de pratiquer une politique réaliste et de naislr les occasions, car, aelon le mot de La Bruyère, cité par Albert Sorel L'art du diplomate est de savoir offrir il. propos. »

C'est ainsi que la politique extérieure française a été trop souvent agia au concessions en pure perte.

M. d'Onfesson a souligné combien il était nécessaire de redresser la diplomatie française et de lui redonner son allant et son sens traditionnel des reanos moeurs politiques, car tout le mal vient de là.

En terminant, M. d'Ormesson a passe en revue la situation actuelle de l'Euprévoyants, fermes, résolus tout en restant parfaitement calmes et rétablissement de la situation extérleure.

bien que noue ne tenons pas à le l tisser dans l'inquiétude

Et, passant aussitôt à une autre Idée, M. Darcy ajouta en riant

Mais il est un spectacle dont le regretterai bien de ne pas jouir celui de la tête de M. de Luzel quand 11 s'apercevra que, de cette chambre barricadée du dedans et surveillée du dehors, l'oiseau n'est envolé

Or ce spectacle, qu'un plus tragique devait suivre, était en effet assez réjouissant et se déroula peu après. Car à l'heure où Hippolyte, le valet de M. de Luzel, monta à la chambre où 11 pensait trouver Lucrèce Mercier. avec son plateau supportant le pain et lui-même, désireux de savoir en quels sentiments était la jeune fille et si elle comptait se décider à écrire ses mémoires, emboîta la pas du domestique et arriva en même temps que lui sur le pali

Comme la veille, Hippolyte tira bruyamment le verrou, puis frappa du doigt à la porte. Pas da réponse. Il frappa plus fort et plus longtemps même silence. Il se retourna aiors, sur pris, vers M. de Luzel.

Entre, ordonna c*lui-ci.

L'autre tourna le loquet poussa, sentit une résistance. hésita, si bien que son maître, Impatienté, donna dans l'huis un coup d'épaule vigoureux. La porte s'ouvrit, au milieu d un grand fracas. Lucrèce n'avart pas pris la peine de démolir son échafaudage et chaises et fauteuils gisaient maintenant sur le plancher.

Quelle diable d'Invention est- là, mademoiselle ?.. commença M. de Luzel.

Mals s'arrêta, sidéré La chambre étau vide* U crut d'abord que Lucréoe

COULISSES ET SECRETS DU CIRQUE -»̃ BU1TC LA. LA PBCJ1IÊRI PAOB

Les romanis sont tresseurs de corbeilles ou chaudronniers, par surcroît diseurs de bonne ferte (ou bonne aventure) et dompteurs d'ours et de singes. 113 sont aussi parfois, surtout pendant les périodes de morte-saison, pécheurs de poules égarées et maquilleurs de chevaux adroitement subtilisés. On peut les considérer comme ayant joué un grand rôle à l'origine de nos ménageries foraines. Mais Il ne parait pas qu'ils aient eu la même influence aux temps héroïques du cirque ambulant.

Ces éternels errants que sont les banquifites ont leur halte de prédilection, la province où beaucoup possèdent un domicile fixe, un fief familial: c'est le quadrilatère de terre italienne compris entre e Bergame, Brescia, Parme et Plaisance. C'est là surtout que le recrutalent, au xvtkr siècle et depuis fort longtemps, ces compagnies de danseurs de 'corde, d'acrobstes et de bouffons qui, par leur fusion avec les cavaliers anglais, créèrent les premières troupes de cirque.

Comment, depuis la fondation du cirque, ont voyagé et joué nos banquistes ambulants ?

Au contraire de ce que l'oa suppoae généralement, le cirque-constructlon », comme on dit dans le métier, a 1 précédé le cirque sous la tente. Avant 1840, il n'y eut pas, en Europe, de grand chapiteau forain. Les cirques qui, pendant la première moitié du XIX* siècle, faisaient les champs de foire n'étaient que de petits c paraplules » avec un mat central et ne donnaient que de médiocres spectacles. Les bonnes troupes foraines de l'époque, celles de Tourniaire, de Loyal, de Loisset, de Cuzent, de Guerra, etc., travaillaient dans des « constructions » en bois quand il n'existait pas de cirque en pierre dana la ville où elles se rendaient, ce qui était généralement le cas. Ce sont des directeurs de cirque américains, Howes et Cushing, qui, en 1846, montèrent, pour la première fois en Angleterre, une tente ambulant* d'un grand modèle la nouveauté fit fureur et les banqulstes du Royaume-Uni l'adoptèrent très vite, notamment lea frères Sanger.

Sanger! C'est un nom célèbre dans les anmles du cirque à l'égal de celui de Barnum.

n existe encore actuellement un cirque Sanger en Angleterre. Cest un établissement ambulant qui, sana présenter un spectacle aussi varié ni aussi luxueux que celui de Mills, donne cependant d'honnêtes programmes. Son directeur est le fils de John Sanger, l'un des deux frères qui créèrent la firme en 1854.

C'est dans sa ferme de Finchley, un de ces longs bâtiments de briques qui foisonnent dana la banlieue de Londres, que le plus célèbre des frères Sanger. George, fut assassiné, dans sa quatrej vingt-cinquième année, en 1911. Il était universellement connu sous le nom de lord Sanger.

n n'était pas plus lord que vous ou mot. Son titre, il se le décerna luimême quand Buffalo Bill, vers 1885, envahit l'Angleterre pour la première fola. Le colonel Cody se présentait, sur colonel George Sanger estima qu'un lord quand un showman yankee prenait le titre d'honorable. Présenté, peu après, il la reine Victoria, qui l'avait mandé à Windsor en représen- tation parttaulièrei «anger s'entendit saluer par sa gracieuse souveraine en ces termes:

Lord, George. ? croîs?

Sans s'émouvoir, il répüqua:

Certea, s'il plaît à Votre Majesté. Dès lors, il se considéra investi en bonne et due forme.

Cette entrevue de lord Sanger et de la reine Victoria est demeurée historique. Sanger avait l'habitude enracinée de garder son chapeau gibus sur la tête en présence de n'importe quel interlocuteur, alléguant que son père, qui avait été sous-officier de la marine royale et avait combattu sous Nelson a Trafalgar, n'avait jamais quitté sa perruque et qu'il n'y avait aucune raison pour que le fils quittât son chapeau. Toutefois, avant d'aller à Windsor, le lord-chambellan fit comprendre son confrère qu'il lui faudrait déroger à sa coutume quand il serait en présence de la reine.

Sanger le promit, mais avec une arrière-pensée. De fait, quand on l'appela pour être présenté à la souveraine, qui se tenait sur le perron de Windsor, le fameux banquiste arriva avec son chapeau sur la tête, tenant à chaque main un ravissant poney de Shetland.

Je supplie Votre Majesté, dit-il, de bien vouloir agréer ces poneys pour la promenade de ses augustes que je dois enlever mon chapeau en sa présence, mais, si je le fais, je crains que les poneys ne s'échappent et 6e soient que difficilement rattrapés. La reine, qui connaissait les manies du showman, rit beaucoup.

Les Mémoires de Sanger sont le livre le plus intéressant que l'on ait écrit sur la vieille banque. Dans un style caustique et plein d'humour, lord George conte les aventures incroyables qui lui advinrent, ainsi qu'à sa famille, quand la roulotte paternelle allait de foire en foire ces pittoresques c t&irs u u Roysume-

s'était cachée derrière le baldaquin ae son lit ou sous ses couvertures. Mais non. Réellement elle n'était plus là. Or elle n'avait évidemment pas pu passer par la porte l'échafaudage qu'il avait renversé en entrant le prouvait ai par la fenêtre elle était toujours enclouée. Par la cheminée ? Imposslble. elle n'était, au-dessus de la hotte. pas plus large que las deux mains M. de Luzel pensa que des lumières lui viendraient peut-être de l'extérieur. Il envoya le domestique, aussi ahuri que lui-même, chercher le jardinier, afin d'interroger cet homme. Tandis que l'autre s'éloignait, Il examina les lieux avec soin. frappant lui aussi les murs du doigt, comme avait fait Lucrèce le soir de son arrivée, donnant des coups de talon au plancher. lième on ne eait jamais il voulut vértfier la cheminée, se jeta à genoux et engagea sa tète dans le trou noir, sans autre résulta que de provoquer sur sa tête, savamment coiffée et poudrée. une chute de suie qui le fit souffler comme un phoque.

Il recula, toujours à genoux, en sacrant et en secouant sa perruque. Il était dans cette position ridicule quand, entendant un bruit encore Inexplicable, 11 tourna le cou vers la porte et aperçut son valet suspendu entre le ciel et la terre, ou, plutôt, entre le plafond et le plancher, et gigotant consciencieusement le pauvre garçon masquait une forme humaine, énorme, qui avançail C'était Georges Cadoudal. Georges Cadoudal. au sortir des Tuileries, avait sauté dans un cabriolet et s'était fait conduire. ventre à terre. à l'adresse de M. de Luzel, qu'il connais. aait depuis quinze jours par l<*s soins de M. Darcy. Il s'était engouffré dans la vUI*> ea bousculant le portier, avait

Uni qui, souvent, coïncidaient avec un meeting de courses de chevaux ou avec une antique cérémonie populaire, dans un cadre rustique, comme celle du chêne séculaire de Falrlop. Sanger dévoile mille trucs de foraine, par exemple, la manière dont on fait d'une femme de bonne taille une géante, avec un escabeau dissimulé sous la jupe traîne de la dame, Du bien encore une « lady a face de porc », avec un ours rasé de près et affublé d'une robe Il falbalas. Il conte ses débuts à la foire de Stepney, et comment il gagna l'argent de son premier cirque en exhibant l' c huttre qui fume C'étatt une coqutlle d'hultre percée d'un trou imperceptible à travers lequel un enfant dissimulé sous le tapis de la table. soufflait un filet de fumée.

Ses souvenirs abondent en récits pittoresques, comiques ou tragiques. Ils évoquent les combats de boxe à poings nus que se livraient les champions des forains presque tous juifs avec leurs rivaux, les gypsies. Souvent, ces matches en plein air dégénéralent en bagarre générale, comme il advint à Moulsey, où les gypeles attaquèrent la police Il coups de ces maillets dont ils se servaient pour le jeu des couteaux. Ailleurs, Sanger retrace les batailles entre forains, notamment entre les employés des ménageries et les acteurs des théâtres ambulants, pour la possession des meilleurs emplacements.

La relation de la mort de Bill Wombwel4 tué par son éléphant, le c Big Jimmy sur le champ de foire de Coventry, et du sinistre pressentiment qui troublait le vieux dompteur quelques Instants avant le drame, alors que Sanger le vit en train de surveiller la marmite où cuisait la soupe de la tamille, sur un foyer en plein vent, est fort émotionnante dans sa simplicité.

Vous me paraissez bien grave, Bill. Qu'y a-t-il donc ? dit Sanger à son vieil ami.

Je me le demande, mais j'ai, depuis ce matin, la sensation qu'une mauvaise histoire va m'arriver, et je pensais. à l'instant, que je ne pourrai pas manger les légumes qui cuisent la.

Ne faites pas l'imbécile, Bill c'est une crise de foie, simplement. Et Sanger retourna à sa voiture. Quelques instants plus tard, un tumulte s'élevait et Mrs Sanger allait aux nouvelles. Elle revint blanche comme une morte. Mon Dieu Le pauvre BU1 Wombwell est tué.

Le dompteur était allé voir ses éléphants dans leur wagon, et le grand mâle c Big Jlmmy ¡'avait écrasé, pour se venger d'avoir été molesté par un cornac en cours de route. Le 28 novembre 1911, lord Sanger eut-H un semblable pressentiment de sa propre fin ? Depuis six ans, il ne voyageait plus et vivait dans sa ferme de Kinchley, en compagnie de quelques-uns de ses anciens employés. L'un d'eux, renvoyé pour une Indélicatesse, fut pris d'une crise de folle et c partit amok ?, comme disent les Malais. brandissant une hachette. Lord Sanger, qui était toujours valide bien qu'U fût tout près de son quatre-vingt-cinquième anniversaire, survint aux cris, et le furieux l'étendit mort en quelques coups.

Le Dieu des banquistes avait envoyé au vieux showman une fin aussi ftnpfévOe tple ta" plupart des étranges péripéties de sa vie d'aventures, et suscité un meurtrier pour donner au roi du- cirque rIa moxt!><f}aà guette les têtes couronnées.

(A suivre.) H. T. UN DINER FRANCO-ITALIEN Le Comité International des amis de la paix, affilié aux Amitiés internationales, et dont M. François de Tessan est le président, avait organisé hier un grand dîner franco-italien. Le général Piccio a exprimé 8a conviction de la nécessité d'une bonne entente entre les deux pays,

M. Lionel Nastorg, vice-président du conseil municipal, représentant la Ville de Paris, a dit la profonde impression faite mr lui par les grands travaux de Rome au cours de son récent séjour. M. François de Tessan a salué la présence du commandeur Guilio Tlan, l'éminent urbaniste italten.

lectuelle et artistique, a ajouté M. de Tessan, l'Italie et la France ont, depuis des siècles, appliqué de fructueux échanges.

Il n y a aucune raison, quelles que puissent être à certains moments les divergences de leurs conceptions politiques, qu'elles ne travaillent pas ensemble dans bien d'autres domaines et pour qu'elles ne redoublent pas d'ardeur dans la recherche du beau. L'amitié franco-Italienne est tatue d'une noble communion dans l'esthé- tique et d'une forte croyance dans la quoi. en dépit des nuages passagers qui ont paru quelquefois l'obscurcir, nous croyons en sa vitalité.

la Mentlie forte qui réconforte

traversé un salon et un bureau sans rencontrer personne, puis il était tombé sur le pauvre Hippolyte courant vers le jardin Il l'avait cueilli au passage, comme un enfant attrape une mouche. Là-haut fît Hippolyte, à demi étouffé, car le chouan le tenait par le col et le secouait machinalemeet. Montre-mol le chemin. Et vite Hippolyte crut avoir le temps de rajuster son habit, et de respirer. Cette prétention exaspéra Cadoudal, qui 1. saisit une seconde fois au collet comme on falt d'un chat ou d'un lapin, le répétant

Où est-il ? Où ut-il ?

C'est ainsi que tous deux firent leur entrée devant M. de Luzel. à quatre pattes et noirci de suie.

Le chevalier sauta sur ses pieds, Hippolyte enfin lâché tomba sur les siens, et Cadoudal souffla.

File. Et n'ouvre la bouche à quiconque, si tu ne veux qu'avec cela je te réduise en chair à saucisse. Et il lui mettait mous le nez une main large comme une côte de boeuf gras.

Hippolyte comprenait très bien ce genre d'argument Il disparut comme par enchantement

Monsieur de Luzel, dit alors Cadoudal d'une voix rauque et en regardant le chevalier d'un oell navvage, où est ma fiancée ?

M. de Luzel haussa les épaules et les bras.

Je n'en sais rien, flt-11 elle est partie. Elle m'a laissé ce mot « Adieu monsieur de Luzel n, qui vous prouve que je ne mens pas. Mais comment voulez-vous que je sache où elle est ? Cadoudal s'était crois* les btmsfl au

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Vous aveu eu la grippe et votre convalescence se prolonge de façon anormale. Ne vous laissez pas déprimer, dit-on. Certes, mais vos nerfs sont atteints. Vous le sentez vous-même.

Vous avez repris vos occupations sans être guéri. Il le faut bien. Mais votre rendement n'est plus ce qu'il pourrait être. Tout effort vous pèse. Vous avez des mouvements d'humeur que vos amis eux-mêmes constatent. Vous voudriez vous reposer et vous ne pouvez trouver le sommeil. Voilà un état qui ne peut durer,

Vous avez fait faire une analyse. Elle prouve que vous perdez trop de phosphates. Vous ne manquez pas seulement de phosphore, vraisemblablement, vous manquez aussi de fer et d'iode. Vous voua déminéralisez.

Ne voua inquiétez pas outre mesure. Le remède est près du maL Il est el facile de faire une cure de Proton Mais pourquoi devez-vous faire une cure de Proton? Pourquoi ?

Parce que le Proton contient du phosphore qui entre dans la constitution des phosphatee organiques en vue de la nutrition des cellules nerveuses. Parce que le Proton contient des sels de fer solubles qui activent la recons- titution des globules rouges du sang, Parce que le Proton contient de l'iode qui facilite l'éllmination de. toxlnes.

Le Proton n'est pas un remède à proprement parler, mais un reconstituant qui, depuis plus de dix-huit ans, a fait ses preuves. Il n'est pas nécessaire d'être malade Pour faire une cure de Proton. Ressentez-voua un peu de fatigue, une lassitude sans cause, ayez recours au Proton. Toujours le Proton fortifie et donne la santé.

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épaules formidable. et ses jambes, écartées comme celles du colosse de Rhodes, barraient la porte.

Je ne vous le demanderais pas, monsieur, dit-il sourdement si voue plicité de votre Fouché. Du moment où elle a mis le pied dans cette malson. vous en êtes devenu responsable. Monsieur de Luzel, où est ma fiancée ? T Eh Que diantre Je vous répète que je n'en sais rien et que je ne puis le savoir. Cela tient de la magie Monsieur, je ne crois pas à la magie. Mais je crois à votre Ignominie.-

Monsieur, le n'ai pas toucb6 Un cheveu de Mlle Lucrèce.

Je ne suis pas obligé de vous croire. Qui s'attaque une femme est un lâche. De plus. vous êtes un traitre, monsieur de Luzel Vous avez été le lieutenant de Bourmont et vous l'avez abandonné pour venir tel vous vendre ce Fouché et à ce Bonaparte. Bourmont, débordé, a dû se rendre, comme moi. Vous avez mordu la main du roi qui vous nourrissait naguère. monsieur de Luzel. Vous avez aussi tenté- de me faire assassiner, ce qui a valu à deux pauvres bougres une mort désagréable. Voua avez enfin essayé de me casser les reine en me séparant de tout ce qui fait ma joie en ce monde. de celle qui sera ma femme un jour, de mon seul amour de proscrit. Monque vous vous mêler de mes affaires. trop longtemps

Tout en parlant, Cadoudal avait fermé la porte derrière lui et avait marché lentement sur le chevalier. Cflui-cl ne manquait pas de courage physique. Bien au contraire. Mais *a

L'ECZÉMA Dartres, boutens, ulcérations TRAITEMENT PAR L IODi NAISSANT La science moderne a enfin découvert un traitement des plus ramarquables de l'eczéma, ma:adie des plus rebelles, contre laquelle tout avai: été essayé en vain. C'est par l'iode naissant employé sous forme de double traitement que l'on est arrivé à obtenir ces résultats réellement merveilleux. De toutes les régions de France. des lecteurs de ce journal écrtvec; pour dire le succès de cette nouvelle méthode. Nous rappelons ici en quoi elle consiste

Traitement intcrno au milieu de chacun des deux principaux repas, prendre deux à quatre comprimés viviode dissous dans un quart de verre d'eau, vin, bière, thé ou café froid. 2° Traitement externe chaque soir, avant de vous coucher, mettez dans le fond d'un verre une demi -cuillerée à café d'eau. Jetez dans cette eau deux comprimés Viviode. Quand leur dissolution presque Instantanée est bien terminée, ajoutez une cuillerée à café de glycérine. Mélangez bien. Puis, avec un petit tampon d'ouate Imbibée de cette solution, tamponnez longuement la partie du visage ou du corps à traiter. Laissez sécher sans essuyer.

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ses yeux insoutenables sa colère encore endiguée était telle que ses mus. cles tremblaient l'approche de cette force prodigieuse et exaltée eût fait reculer le plus brave. Aussi M. de Luzel, pris de panique, se jeta sur la fenétm et s'arc-bouta en la secouant de toutes ses forces pour l'ouvrir: mais elle était solldement enclouée et il dut la lécher, épuisé.

Cadoudal, railleusement, saisit à son tour la poignée.

Vous manquez d'air, monsieur ? Moi aussi.

Et. appuyant son pied contre le mur, d'un seul effort de son bras, il fit eauter fenêtre et carreaux dans un beau fracas. M. de Luzel vit avec joie le Jardinier sortir de son pavillon. Hlppolyto se précipiter pour se rendre compte de ce qui venait de ee passer, tandis que les chiens aboyaient furieusement. Mais Cadoudal semblait n'avoir cure de ces témoins ou de ces auxiliaires de son hôte. D'un mouvement Imprévu il avait repoussé M. de Luxai dans un coin de la chambre et comme l'autre ouvrait la bouche pour crier. l'avait saisi à la gorge d'une seule main. Mais cette main suffisait cette main. d'un geste Invincible, avait serré. Quand elle s'ouvrit. M. de Lusel s'affaissa sur le plancher comme un linge mouillé. Il était mort.

Cadoudal, quelques instants plus tard, redescendit l'escalier d'un pas lourd les domestiques de M. de Lusel, qui s'étaient, rapidement concertés et volaient au secours de leur mattre. s'arrêtèrent épouvantés devant son regard. Puis. comme 11 approchait et qu'il mesure ses mâchoires se contractaient, lia s'enfuirent en se bousculant. U- **ivre.)


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-o- EMPIRE, Il n'est pas du tout 1 Empire. Katinha, qui atteindra ces Joursci sel centième représentation, continuera sa brillante cerrière cotte saison et la saison prochaine.

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-o- A du anniversaire de sa CHAUVE- SOURIS, fondée à Moscou en 1908, M. Nlkita Ballfft va donner une courte série de représentations au théatre de la MADELEINE, à partir de mercredi 17 oourant. La répétition générale de ce spectacle, qui comportera plusieurs créations. sera donnée dans Ja soirée du mardi 16. Car M. BaUefT n'a pas oublié l'accueil chaleureux que lui firent, il y a tre-Ue ans déjà. au théAtro Fémina, la presse franCet et le public parisien 11 estime que c'est-à-dire que les succès Inouïs qu'il a connus, aussi bien aux Etats-Unis qu'en Angleterre, sont en grande parti* due a, la Ausaî tient-il, avant de repartir pour de lointains paye. à reparaître pour quelques soirs devant le public qui lui est le le plus cher au monde ».

MUSIQUE

Concert de la Petite Entente

Salle Gaveau a eu lieu mardi soir un concert de gala consacré à la musique de la Petite Entente. Il était intéressant de passer ca revue toutes les ressources artistiques de ces pays dont nous connaissons à peine les représentants les plus qualifiés, Smetana et Dvorak, deux Tchèques.

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et Georges Enesco, le célèbre virtuose et compositeur roumain. Le programme du concert comportait quelques pages d'orchestre, un quatuor, et de nombreux mor- ceaux de chant.

Le quatuor de M. Slavenski, Yougoslave, subordonne la poésie populaire à l'écriture moderne, très moderne seul l'andante développe un chant assez agréable MM. Spiller, Ilin, Sijannec et Antolek, l'ont joué avec art. La chanteuse, Mme Pis Igy, de l'opéra de Bucarest, possède une voix d'un timbre sonore qui a assez de souplesse pour aborder alter- nativement le chant soutenu et les voca- lises elle a été surtout appréciée dans les mélodies d'Ale&saadresco. dans des chansons slovaques de Provaznik et surtout dans l'Attetuia de Mozart, qu'elle a chanté m bis. L'orchestre que dirigeait avec une belle conviction M. Théodore Mathieu, l'animateur du Poste Parisien. a enlevé en un rare ensemble la trépidante ouverture de la Piancée vendue, de Smetana. J'ample Prélude à l'unisson des cordes de M. Georges Eneaco et le tumultueux Kolo symphonique, du Yougoslave Gotovac. récemment applaudi au concert Pasdeloup. Louis Schneider.

MUSIC-HALLS

A l'AIhaunbn. Lucianna Boyer, Billy R«y, le. Ptarrotys

Lucienne Boyer obtient en ce moment à l'Alhambra un succès très vif. Quelques mois après avoir chanté à l'Empire, elle reparait sur une vaste scène et non sans avoir eu le souci de renouveler son répertoire. C'est un effort méritoire et dont il faut unir compte à l'artiste en ces temps de pratique exploitation. Beaucoup qui tiennent un filon, comme on dit, ne l'abandonnent pas aussi facilement. Cet hommage rendu à Lucienne Boyer, lui dirai-je cependant que ses nouvelles chansons mont paru un peu lentes. Lucienne Boyer. d'un charme efficace et sans défaut, m'a semblé, le soir de sel débuts à l'Alhambra du moins, manquer un peu de potentiel. Je crois qu'il suffirait d'un rythme un peu plus rapide pour remettre les choses deur place. Ce n'est qu'une suggestion, mais le pense ne point me tromper.

Billy Çey est un jongleur amusant et adroit. L'art du comédien entre pour beaucoup dans J'attrait de son numéro. BWy Rey brûle les planches avec beaucoup d'entrain et il bonimente avec facilité. En. train et facilité ne font qu'ajouter à sa dextérité.

Les Pierrotys font toujours ma joie. Non seulement leur forme acrobatique mérite la plus sincère estime, mais leur humour très personnel, admirablement conduit et d'ailleurs parfaitement naturel. les

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classe parmi les meilleurs excentriques du moment. Les Pierrotys placent leurs équilibres de main à main dans un sketch tout à fait amusant et bourré de trouvailles Leur invention primesautière, ou qui semble telle, fait d'eux de vrais artiste

Marianne O.Wald

Marianne Oswald *est depuis que peu de temps à Paris et déjà elle déchaine les passions. Les uns l'admirent. les autres 1a détestent. Le certain est qu'il faut prendre parti. Il ne m'en faut pas davantage pour être certain d'emblée que Je me trouve en présence d'un tempérament véritable. Mo!, d'ailleurs. j'admire. Et j'ai mes raisons.

Dans aa première chanson, Marianne Oswald parait un peu mécanique. Il sem.ble. non pas que ses gestes partent en réflexes, mais que seule la volonté \ea commande. Mais, dès la deuxième chanson, nous sommes rassurés. Nous avons affaire à un de ces talents synthétiques qui nivellent tout ce qui est secondaire pour ne s'attacher qu'à l'essentiel, mais pour lui donner quel étonnant rtllef 1 Et quand Marianne Oswald chante la Fiancée du pirate, elle atteint réellement au grand art. Ni sa laideur acide et pain..tue, ni son rictus cruel. ni ses regards en lclalrs de poignard ne sont du hasard, croyei-mol. On frissonne à une méchan,ceté froide et mystérieuse et ce frissonlà, elle est à peu près la seule à le donner. Louis Léon-Mahtw.

-0- CASINO DE PARIS. Aujourd'hui plus grande vedette. lA Joie de Paria, Je plus beau Place» 1 Dartir de -o- ALIIAMBRA. Vendredi 12 mal, nouveau spectacle sur >& scène. Pola Negri. la célèbre star, chantera des romuncea tzigane*, aocoaipagnée par le chœur et les instruments de Bort, OolOvkoff. Elle chantera «n français les airs du mm m Pnrndis, tourné a Hollywood. Enfin Jean Tranchand a écrit pour ene une chanson réaliste qu'elte créera. Pilla et Tabet. créateurs de Cnushês dans ta foin, avec len %\r\n réremment nrrhées d'Amétique. les News Aihambra Gfrls, dont chal'une est une véritable artiste, apparaîtront au cours de ce spectacle. Sur l'écran Lune me to itight ce soir). .0- EUROPEEN. Cette ««m., Lyi G*uty, grand prix disque 1983. Tous les J. maL CINEMAS

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LES SEMAINES COMMERCIALES A Clichy

La c semaire commerciale » de Clichy se déroule avec un succès sans cesse croissant.

Samedi et dimanche auront lieu de nouvelles braderies. et dimanche une cran do cavalcade parcourra les ruea de la ville. Elle comportera de nombreux chars, parmi lesquels celui du c roi Dagobert » et celui de la Muse entourée de ses demoiselles d'honneur. A Montrouae

Des fêtes commerciales sont organisées à MonUouge pour les 13, Il et 15 mal prochain. avec le concours de la municipalité, au profit de la caisse tion d'une maecotte dimanche, à filé d'un cortège 1830 avec chars. Peu.dant la durée des fétes, distribution de billets de tombola gratuits.

Mort de M. Frankiewicz la troiaième victime

de l'accident de Saint-Denis Lundi dernier, alors qu'à Saint-Denis ils démolissaient une cheminée d'usine iL la centrale électrique. trois ouvriers, sujets russes ou polonais. avalent été, ainsi que nous J'avons annoncé, précipités dans le vide d'une hauteur de trente-cinq mètres, pnr suite du glisse- ment d'un échafaudage. Deux d'entre eux, MM. Lissidzine et Mauwik, furent tués sur le coup. Le troisième, M. Jean Franltjewtcz, trente- huit ans, 14, rue Joseph-Barra, à Houilles, atteint d'une fracture du crâne, avait été trépané à l'hôpital. Il y est mort hier sans avoir repris con- naissance.

LA FETE DE JEANNE D'ARC A l'occasion de la tête nationale de Jeanne d'Arc, qui sera célébrée dimanche prochain, les organisations catho- liques de Paria préparent un cortège qui se déroulera le 14 mal de la ptace Saint-Augustin à. la place des Pyrami- des, entre 9 heures et 10 h. 30 du matin. A 17 haures, une cérémonie solen- présidée par le cardinal Verdier, aura lieu à Notre-Dame. Panégyrique de sainte Jeanne d'Arc par le R. P. Dieux, de l'Oratoire. Procession de la bannière de sainte Jeanne d'Arc. Salut solennel.

Les prix de peinture

de la Société des Artistes français Le jury de peinture de la de. a dKcenv) les récompenses suivante» m£- daillc» d'or. M. Stéphane Leroy Mile Msr- <-elle Aekein M. Paul-Emile Legouez Mlle Gabriel!» Gutilot M. Maurice-Robert Mimot Mme Jeanne Lauvernay-Pet It Jean Robert -Albert Mnicot. Mlle Anne Ftnir'ft. .%file £lfl*b«th Zabeth, Mme Jeanne RILe prix Rosa Bonheur a été attribué à M. Gabriel le le prix Corot k M. le prix Havard à Mme Germaine M»rcel-Béronneau et le orlx Théodore Ralli i Bille Paulette Legni.

LES CONGRÈS Mutilés et invalides du travail

I,a. Fédération nationale des .aille., et invalide* du travail tiendra son la- congre» national, du 4 aU 11 Juin Jnolu*. a Bordeaux.

Pîu» de deux le délégués des (truupede protectorat assisteront a ce congre.* A l' ordre du jour figurent les qu&sttoii» suivantes refonte de la loi de 1898 exten- des de majoration aux victimes d'accidents mirw.nu* après le a janvier 1927 tension de'! Iota de majoration aux mutitée de J0 à 19 de lait letton des mnttl- et Invalides du travail aux muttiég de guerre CONCERT? PUBLICS} Cet après-midi à 18 heur..

{M. Dupont). Marche solennelle (G. Sporck) ouverture du Joyeuse* Commère» de Windsor {Nicolal); la Bob» de Lantenay (Blçot) le Vol du bourdon Baton) polonaise (Cliabrier), .et c« soir à 21 heur..

de Vaug;Ir»rd. Musique den thgè carnavalesque (Razigade) Egmont (Measager) Marche des arctwra l3oldev^lle).

Léplne). Lyre amicale du XVIII*. Cent le printemps de Paris (Mauprey) )n Poupée de Nuremberg (Adam) Galant

3 filma, 3 éclata de rire NOEL-NOEL dans L'O. Ne M. .MILLION DOLLARS LEGS cinéma"

des Champs-Elysées If 1 HlOÎMIilON semaine Chez les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique

Hier it eu Heu à la salle des Ingénieurs civils l'assemblée générale de In Société des auteurs, composite urs et éditeurs de muni que, sous la présidence de M. Leo-LcHM-re. Après avoir adopta certainea modifidu règlement général et approuvé les M. de la commission des comptes, de la commission des retraites, de la commission des programme., l'assemblée nomma par voie d'élection trois membres du controis administrateurs sortants non réélieibies.

Ix-s trois nouveaux «lus «ont MM. Eugène Lemercier, auteur Casodeaua. compositeur Marc#l Labhé, éditeur. Pnla l'assemblée procéda à l'élection d'un certain nombre de membres doa diverse! commissions.

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Disparition d'un* fillette

Mme Pesci, marchande foraine, dont la roulotte est actuellement stationnée route de Provins, Ch.aropi{rny-sur-Marn«>, Il *lgn\lé A la police la disparition de ss fltetttj Yolande, Agré* de neuf ans. L'«nfant. châtains elle était rttue d'une robe bleue, d'un manteau marron et coiffée d'un béret bleu clair.

Mme Léonlïne Eaurfer, âgée de soixante ans, demeurant nie F£i:c-ZiAm, tente de se sulrJder en J Jfttant du cinquième étale dans la rue. A EJrfiat

Lois Perez. vioct-aeuf ans, demeurant 5, passage Dolsy, tente da se ouvrant les robinet8 à gaz de «on appartement. Ranimée par les pompiers, la désespérée a été admise à Beaujon.

Attaqué ae plein jeu,

Hier. à U h. 30. en face du n« 41 de la rue Rame}', M. Renf Gobin cloquante et un Il. vendeur aux demeurant rue «arcadet, était trouvé inanimé sur la chaussée.

Entendu L l'hopitall I^arlbolsdère, où il avait été transporté par M. SirI, ilqu'il avait été attaque par un ancien camarade de travail sur lequel fl ne pouvait croit-on, frappé avec une matraque et on craint une fracture du cran*.

Manifestations de sympathie

Les rrasfe** et canllens de !a paix du dence des hri ra4i«r*-ohaf i LevmllotB Leconte. médaillés militaire*, ont, au coure d'une réunion charmante, remis, un mage!fique souvenir h X. Victor DouMOt, promu quête faite au profit dea oeuvres de la pré- 190 francs.

Les i«genta en le du IX- réunis sous la préaidenoe de IL inspecteur principal, ont offert un souvenir au brigadier Marceau I, o s e a u promu brigadier rhef au arroodiflsemeirjt-

Le personnel du commissariat des Qulnae-Vingt*. ayant à a. tête M. GiMudet, «mmiasAire, a manifesté son affectueuse sympathie A l'inspecteur bien connu Fran- çois David*, qui prend retrait. aprè* trent«-fltx an* de services. Un superbe «avenir lui été offert

Le. accident* de la me

Boulevard Haussmann. IL François DeTtnok. demeurant avenue Lemlgnon. à ColonïOT*, est renversé par une auto. Beaujon.

Avenue Henrl-M»rtln. trois chevaux, appartenant au lieutenant de Niort, du larâflraent de dragons. demeurant 33, avenue Focfa, a Vincennes, qui revenaient bier du Polo de Bagatelle, ont échappe à leur conducteur. le soldat Colas. Deux des chevaux ont regagnf le quartier Fon ténor, •après avolr occasionné un léger accident de personne, proximité de la le Je

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Aux MoullnK de Pantin, m maaoavrr*. U. Stanislas Kupaxylc, trente aae. M, ne de la Réunion, même tocaltté, «ait tooM à travers une verrier* eértaisement tilint. été transport* à l'hôplt.! Tenon. DU la cour d'une maison d'alimentation, 7, rue de la Liberté, 4 Pantin, on chauffeur. IL Sebastien Michel, trente et un ans. rue de Paris, même tootllt* a été serré entre une auto et un mur. Gravement blessé, il été traoeporté 4 liiopltat Tenon.

Le médecin de l'état civil n'araat pu Emma Lacour. quarante-neuf ane, awrt* en son domicile, 2. allé* du Chenet, à Dugny. le cadavre a «té envoyé A l'ItwtltDt A rAuocbtioa des arijatti méànt Hier, dans la sai'e d'orgues du Conmrvatolre national de musique, a eu lieu l'assemblée générale du wwWtair^s de l' Association dea artiste* mauriciens. Différentes que«tlona étalent L l'ordre do Jour et ont donné lieu k d'intireeatnta échatigwi de vues.

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LA BANDE DU "ROI DE LA COCO" EST SOUS LES VERROUS

La premier îhutwnant avait continu. le trafic du eh*f, empriMonni devait émux an»

On •̃ souvient que Louis Arter, dit c Rlton surnommé le « roi de 18 coco », fut arrêté, Il y a deux ans, pet des inspecteurs de la brigade mon.dalne. Il purgo depuis une sévère conapprit que c Riton avait organisé, comme une véritable société anonyme, un trafic de cocaïne, d'héroine. d'opium, qui avait bien vite pria les allume d'un trust

Il ,'agissait donc de mettre la main sur sa bande. C'est ce à quoi s'employa patiemment M. Priolot, chef de la brigade mondaine, aidé des brigadiere Martin, Mettrat, et des inspecteur» Redler et Aymard. La correspondance d'Arter ayant été minutieusement eu..minée, on parvint à apprendre que d'entreprise » était restée entre les mains d'un ami du détenu, Joseph Boitmendil, dit c Jo l'Algérien trente ans, sans domicile fixe. On sut que Boumendil était en relation, avec un nommé Marcel Amaneé, vingt-huit ans, demeurant 57. rue des Abbesses. C'est à cette dernière nue lu collaborateura de M. Priolet arrêtèrent, l'autre soir. « Jo l'Algérien et Amancé. Ceux-ci ne tarderont pas à livrer le nom d'un de leurs complices. Et .,est ainsi qu'on put mettre la main sur Lëon Lerah, quarante ans, chauffeur, demeurant 19, rue Bridaine, qui mettait son logement à la disposition de ses amis. Rue Bridaine. M. Prlolet découvrit un stuc Important d'héroïne. de cocaïne, d'opium, alnel qu'un matériel de fumerie, et une certaine quantilt de lactose servant aux mélangea frelatés que la bande vendait Montmartre. Mais, l'enquète continuant, on ne tut_pas peu surpris de saisir, dans autre stock de stupéfiants au milieu de poussiéreux Bottin !Cette réserve était détenue par Louis Matin vingtquatre ana. demeurant 8. cité du Midi, connu dans les milieu. de sporta, et aussi ceux de la galanterie, sous le nom de Boxeur Francis.

Toute la. bande a été envoyée au dépôt Soue peu. le « rot de la coco » «ers entouré, à Fresnes, de »au princi. paux collaborateurs.

Une Américaine tente de se suicider dans un hôtel à Montparnasse

De bar en bar, et notamment dans un bar de la rua Delambre, un couple d'Américains, M. et Mme Oglé, errait l'autre soir. Lui buvait, et elle le suivait, navrée peut-être, mais attentive et prêts a le conseiller, à le soigner. me, bouleversé Jusqu'à, l'écœurement, le laissa là. Rentrant l'h6tel, rue Canette, où son mari et elle occupent une chambre, elle décida d'en finir avec l'existence. Elle fit couler un bain, s'installa dans la baignoire et a'mtvrit les vaines du poignet droit avec un rasoir.

Vals, bientôt affolée, luttant déeea périment contre la faiblesse envahissante et Tempriso de cette mort qu'elle voulait tant, Mme Oglé cria, appela au secours, se débattit.

Un employé de l'hôtel accourut une médecin fut mandé qui procéda aussitôt à une ligature du bras pour enrayer l'hémorragie.

On transporta alors la désespérée à l'hôpital américain de Neuilly, où l'on Le mari, prévenu dans la nuit, se rendit au chevet de sa femme, à demi inconscient. Mals il ne semble pas que la douleur de sa compagne, cette trarance.

UN PAVILICm CAMBRIOLE

BOULEVARD DE LA BASTILLE Mme veuve Raoux, qui habite seule un situé 46 bis, boulevard de la Bas- tille, est actuellement en villégiature dans le Midi. En venant au pavillon, M. Alphonse ïtaoux, son nia, industriel, âgé de cinquante-sept ans, domicilié 33. boulevard Henri- IV, & constaté que des cambrioleurs avaient pénétré dans la maison sans qu'il 7 alt la moindre trace d'effraction sur la porte d'entrée. Tous les m«ublea ont été fouillé».

En l'absence de sa M. Raoux n'a pu Indiquer le montant du vol.

M. Gueudet, commissaire des Quinze*Vingts ouvert une enquêta.

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BULLETIN FINANCIER Cours de la Boom il Mercredi 10 Mai

agitée et nerveuse aujourd'hui, bien que le volume de. affaires Ait enwre diminué de façon sensible. La bourse n'a fait en agisj Hîreet la veille, où des fluctuations assez fournies par les matières premières sur las même rien de bien encourageant Aussi, l'alde notre place a-t-etle été aaeei oahoté« aujourd'hui, Passant p des alternaU] vos de baisues, suivies de redre^ement. I puis de nouveaux tassements et de reprise*, Pour se terminer mur une note assez Indecure main non dénuée de résistance, car lea écarts, dans un sans comme dans l'autre, | n* mont gu<>re appréciables. il. l'ensemble, Le* rentes sont très soutenues au ParAux changes, le marché continue d'£U-e de terrain a 86.62 conlr» La dévide américaine eat également un peu plu* faible il contre Le florin suit l'ambiance et se tassa à après L021.fiU Dernlers cours aux rentes 3 le perpé78,M contre 78.45 4 in série B, à 40 contre (-f U15). 1 Le! autres emprunts abandonnent quelque» fractiona. Aux bimriuea Banque de France,

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Clôtura de la téftnce

i Tendance ferme. le» premiers cours de i New-York étant en reprise sur la veille. j dan Paclllc. 299 Central Mintng, RIO Tinto, 1.523 Royal Dutcb UAHCHKS KTKANGEBS

tondre*. L'allure générale eat plus satii Le* et 1** pétrole* I »' améliorent. Les raUl&a d'or gagnent du terrain. Lee diamantifères font bonne contenance, da mftme les Le« valeurs industrielles locale* témoignent d'une bonne fermeté, notamment lea soles

plus ferme, Dèt l'ouverture de ne tiurutt, l'ensemble de la cote «inscrit en reprise et le raffennl*««m«nt des cours s'accentue les plus hauts, avec d'apyréciublea prugrè«, j

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12 h.. dwtnettM hlstoriquaa, chronique du tourisme. concert

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variqueux et Maladies des Femmes.

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J*at maintes fola obaervé des résultats analogues dans les affections de 1a peau «cramas uea ou «îtntants, paorinste, aycoils, érythème, furoncles, acné, dartres, impétigo, llehen, rougeura, maladies du cuir chevelu disparaissent sans lalsser de tracts apràa une cure bien suivie; cependant que dès les premiers jours du traitement les atroces démangeaisons de la peau cessent.

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S'alimenter sainement

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Le beurre, aliment savoureux quand il est cru, mettez-le sur votre table. et sur les tartines de vos enfants. Cuit, il perd son parfum et ses vitamines, et il est défendu aux estomacs délicats.

La graisse provient d'un animal qui a vécu, donc souffert. Elle contient des déchets albuminoldes qui peuvent provoquer des altérations microbiennes.

L'huile d'arachide, corps gras végétal, contient tous les principes vivants et bienfaisants fixés par les plantes qui ont poussé en plein soleil. Supérieure en ceci à tous les autres corps gras, elle supporte, sans s'altérer, les plus hautes températures.

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L'homme d'autrefois, l'homme sain, l'homme vrai ne connaissait pas les médicaments. Il se maintenait en bonne santé par une alimentation simple et naturelle l'huile était le seul corps gras qu'il employait.

Pour éloigner la fatigue et la maladie, revenez aux vieilles pratiques d'hygiène, et suivez ce conseil

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