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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1933-03-29

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 29 mars 1933

Description : 1933/03/29 (Numéro 20483).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

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Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6276820

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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"Le Petit Parisien" en Autriche |l»llillHI«ÉIHI(tlllllllH(lllllllllll||H||||||||||(ntlIllllll»lttllllllllllllll|IIHl||||li|||||iHltllllllMIIIIIII|HMIIIMIIIIIIIIIIHIIIIIIMIIIII||l»l|| LES GRANDS COURANTS D'OPINION Dans la diversité des partis politiques, un point commun le mécontentement et le désir de sortir du « statu quo Deux grandes aspirations l'une tendant nettement à l'Anschluss, l'autre à une Fédération danubienne L'INCONNUE DU PROBLEME

Le coup de barre que peut donner le chancelier Dollfuss

ne générale de Vienne

Vienne, 28 mars.

DE NOTEE ENVOYE SPÉCIAL

Dans une belle vitrine de l'Operngasse, où sont rassemblée les échantillons les plus variés de l'ingénieuse bimbt loterie nationale, je viens d'acheter un crayon adapté à mes rendez-vous de la semaine. Il a quatre mines verte, noire, bleue, rouge, correspondant respectivement aux quatre couleurs officielles des partis chrétien social, agrarien, grand allemam et socialiste.

Quant à mes rendez-vous fascistes, je les indiquerai par une croix gammée verte ou noire, selon que mon homme brandira le faisceau autochtone ou le faisceau hitlérien.

Ainsi j'aurai mis de l'ordre. tout au moins dans mon agenda. 1 ni m Mm i lorsqua M. le chancelier bollfuss m'aura fixé une date pour notre entrevue, de quelle mine me servirai-je ? La nuire pour son parti ? Les verte et bleue pour son ministère et sa majorité ? La rouge pour la ligne principale de sa politique extérieure confondue avec la ligne actuelle de la sociale démocratie le neutralisme autrichien ?. Je vais tourner et retourner longtemps au bout de mes doigts mon crayon quadricolore de l'Operngasse

Je ne veux pas dire que M. Dollfuss soit un caméléon Bien au contraire. On le sait guidé car un grand souci de paix. Et, sans abandonner mon image, jc voudrais conclure que Na dictaturt est un arcen-ciel.

Je voudrais. je ne suis qu'au début du voyage, je n'ai pas encore tout vu ni tout entendu. Et ie ne suis pas certain, d'ailleurs, qu'au terme de l'enquête je. pourrai coiffer ma dernière dépêche de ce titre prétentieux « Conclusions..» En attendant, j'estime opportun le retard que le labeur accablant de l'éminent .homme d'Etat impose à raudienef sollicitée. Je désirerais mettre à profit ce délai pour étudier la géographie morale et sentimentale de la nouvelle Autriche, non plus à la loupe, sans plus tenir compte des colorations artificielles de la cartographie politique, mais en m'attachant aux reliefs. aux courant? aux climats.

Alors peut-être pourrais je mieux compreudre la vraie structure de la contrée, déterminer l'orientation des vents, mesurer la température. Je pourrais ainsi mieux établir la position du chef qui con duit aujourd'hui ce pays, connaître les forces profondes qui peuvent le soutenir ou s'opposer à sot action, entrevoir, parmi les fluctuation? apparentes du jeu gouvernemental une volonté stable et continue. Les reliefs sentimentaux que l'observa- tion directe doit révéler ne corcordent nas exa^tci^nt avec Ips Hp1! mitations assez arbitraireq des partis. J'ai déjà noté dans ma dernière dépêche une grande chaîn» de mécontentements avec des arêtes de misère, des sommets rTorspieil et des pics de révolte. J'ai dit qu° la petite Autriche hydrocéphale n'a pu s'adapter en quinze ans au train de vie que lui imposaient ses dimensions nouvelles.

Vienne était le centre d'un vaste système économique elle recevait et distribuait les matières premières et les objets fabriqués; elle harmonisait la production et la consommation agricole et industrielle sur un territoire de 676.000 kilomètres carrés, parmi 51 millions d'âmes. Cette capitale, dont les deux mil1 i o n s d'habitants représentent maintenant à eux seuls le tiers de la population au pays. n'est >lus. du iour au lendemain. qu'une ville historique. Et, dans le même temps, l'Autriche elle-mêmr se trouve transformée en région touristique, réduite à exploiter, pour tout patrimoine, l'aride beauté de ses paysages montagnards.

Ce bouleversement brutal a eu

pour conséquences matérielles la fermeture des usines, le ralentissement des marchés, la pénurie alimentaire entraînant le chômage et les privations. Je ne pense pas que la gêne ou la pauvreté aient fait une distinction entre les partis. L n'y a pas un Autrichien qui ne croie avoir été atteint par les suites des opérations radicales de Versailles et de Saint-Germain. Louis ROUBAUD

(La suite à la quatrième page)

POUR ET CONTRE Je n'ai pas l'intention d'intervenir indiscrètement dans le procès de l'Aéropostale. Il me sera permis tout de même de dire que c'est un procès qui manque. de femmes. C'-îbt es- ntiellement un procès masculin. C'est un procès âprement. durement. cruellement masculin. C'est pourquoi, sans doute. il a est pas très beau»Un témoin féminin a pourtant fait» à l'audience d'&Vant-Hier. une' fùrtivè mais charmante apparition. Il n'en a pas fallu davantage pour éclaircir un peu cette morne journée judiciaire. L'élégance sobre mais sûre de Mlle Mannequin a été plus remarquée quc son court témoignage. Grande, blond». ondulée, portant avec un chic de bon ton une toilette noire qui lui allait à ravir, Mlle Mannequin 'a produit une impression tout à, fait heureuse. Je suis sûr que, parmi les quelques specta- trices privilégiées qui suivent'– sans les suivre. les débats de cette affaire ̃«éro- parisienne, plusieurs auront noté avec beaucoup d'attention < l'ensemble gracieusement porté par le témoin. Nous retrouverons cet ersemble à à Auteuil. ou à Long champ, bientôt Le Palais est, aujourd'hui, un des endroits les plus élégants de Parts, et les five o'clock des assises -sans oublier les c défilés de l'instruction n ont pas moins d'éclat que les thés dansants les plus huppés de nos Champs-Elysées. Nos couturiers qui gémissent sur l'impécunfosité des temps, ont-ils pris soin, au moins, d'observer cette tendance nouvelle de la vie parisienne ?.

Il: y a. au Palais, des « chambrées qui valent les plus fashionables répétitions générales. Des affaires, quotidiennement. se jugent au Palais qui passionnent un public de plus en plus choisi et de plus en plus recherché. La qualité des auteurs fait celle des spectateurs. Nous avons aujourd'hui des meurtriers et des meurtrières infiniment distingués. Nous avons aujourd'hui des accusés, et des accusées extrêmement lancés. Il est tout naturel que le Palais devienne, petit à petit, le rendez-vous de tout ce que Paris compte de célébrités et d'élégantes. 1: est tout naturel que les modes s plus nouvelles e les plus prestigieuses se lancent aujourd'hui dans les salons d'assises.

Les témoins du s xe auquel nous devons nos prix de beauté ne sauraient négliges leurs < ensembles » quand les meurtrières exhibent elles-mêmes des toilettes signées des plus grands noms de la rue de la Paix. On s'habille beaucoup, aujourd'hui. en prison. Les messieurs eux-mêmes, qui, 8' la ville, montrent quelquefois un certain laisser-aller. deviennent d'une correction rare dès qu il leur arrive d'avoir à répondre en justice de quelque assassinat ou de quelque frauduleuse banqueroute. Les dames-accusées, elles, changent de toilette deux fois par jour à la Petite Roquette et font sensation au Palais avec des robes de tulle, de mousseline ou de crêpe romain. (un crêpe qui n est point de deuil.) simplement étourdissantes.

La prison i le Palais deviennent d'un chic si rare et si coûteux que la petite femme jalouse mais pauvre hésitera bientôt à commettre son petit drame passionnel. Elle songeia, mélancolique

Je tue.ais bien Gustave. mais le n'ai rien à me mettre.

Maurice Pbax.

Une belle journée encore. Des températures extrêmement t douce? et presque chaudee se manifesteront aujourd'hui sur toutes nos régions. par suite de l'affaiblissement progressif de l'anticyclone continental On ne notera plue que des paressions vo.sinee de 765 millimètres Les venuencore faibles ao'iffleront du sud sur 'oiite la France et nous apporteront 'n température très supérieure à la normale et assez élevée les maxima lépasseront sur la moitie Sud: et itteindront ce chiffre sur toute la moi tié Nord à part peut-être quelques régions voisines du littoral.

Quant au bea< temps Il persistera encore aujourd'hui mais l'affaiblissement progressif de l'anticyclone continental va peut-être permettre aux dépressions du large de se rapproche? de la France, et elles menaceraient ainsi cette belle période.

Catastrophe aérienne en Belgique Un avion anglais s'abat en flammes près de Dixmude LES QUINZE PERSONNES QUI ETAIENT A BORD SONT TUEES

Bruxelles, 28 mars.

M NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER Un tragique accident d'aviation le plus tragique qui ait eu lieu en Belgique jusqu'à présent s'est produit cet après-midi à Woumen, au nord de Dixmude, et a coûté la vie aux quinze personnes douze passagers, le pilote, le mécanicien et le radiotélégraphiste qui se trouvaient à bord. L'avion trimoteur (1.200 CV.) G. A. A. 0. 1., de l'Imperial Airways, qui assure le service entre Londres et Cologne, avait quitté sans incident l'aérogare de Haren Bruxelles à 13 h. 36 à destination de Londres. L'avion, qui disparut rapidement à l'horizon, volait normalement lorsque, arrivé aux environs de Dixmude. des flammes jaillirent de l'appareil qui, tout aussitôt alla s'abattre dans la propriété Vandenberg et Seys, sur le territoire de la petite commune flamande d'Eessen.

Les villageois témoins de l'accident accoururent aussitôt pour se porter au secours des victimes. Mais dès les premiers moments on se rendit compte que tous les efforts seraient vains et que tous les occupants avaient été tués ou carbonisés.

Aux environs du point de chute, à des distances de 30 à 300 mètres, quatre corps furent retrouvés. On suppose que ces malheureux auront essayé d'échapper à la catastrophe en sautant de l'avion en plein vol.

Le corps du pilote a été dégagé: il était complètement carbonisé.

Malgré les efforts des sauveteurs, il n'a pas encore été possible de dégager les cadavres que l'on aperçoit à l'intérieur de ce qui reste de la carlingue, coincés entre des fers tordus. Les pompiers travaillent sans relâche sous la surveillance du parquet de Furnes, qui s'est rendu sur les lieux dès que l'accident fut connu.

On suppose qu'un des réservoirs a explosé et que les flammes se sont communiquées très rapidement à la carlingue.

Parmi les douze passagers, il y avait trois Allemands, huit Anglais et un Belge. M. Robert Kreglinger, le cousin du grand financier anversois disparu il y. a deux ans dans des circonstances mystérieuses.

En dehors des malheureuses victimes, l'avion transportait 450 kilos de La gendarmerie a recueilli trota colis postaux presque complètement intacts. Ces colis ont été remis au parquet de Furnes. qui en a assuré la transmission à Londres.

Aus.tôt qu'elle a eu connaissance de l'accident, la direction bruxelloise de la compagnie anglaise a envoyé un avion de secours sur les lieux. De son côté, une société belge a envoyé une ambulance. Les personnalités dirigeantes de cette société ont quitté •Bruxelles à la fin de l'après-midi pour ae rendre sur les lieux de l'accident

(La suite A la troisième page.) La composition du contingent à incorporer en octobre 1933 La fraction de contingent à incorporer au mois d'octobre 1933 comprendra sept mois de la classe 1932; elle sera composée des jeunes gens appelés nés du 1" mai Inclus au 30 novembre inclus de l'année 1912.

1 Les hommes du jour L'AMIRAL GUÉPRATTE Devenir, du jour au lendemain, une figure de légende. c'est là un sort rare. Et quand, le 18 mars 1915, l'amiral Guépratte accomplissait simplement, bravement, les gestes qui allaient t imposer à l'admiration et faire de lui un de nos héros nationaux, parmi les plus grands et les plus purs, le chef de la division fracçatse des Dardanelles était loin de penser qu'il inscrivait son nom dans l'histoire avec un si puissant relief.

Présidant, lundi soir, au Cercle militaire, la fête ém uvante que les Bretons de Parts. les anciens combattants des Dar- danelles, les Croix de guerre avaient or- ganisée en l'honneur du héros, M. Georges Leygues o'eut au! besoin, pour magnifier notre héros, de recourir aux extraordinaires ressources de son lyrisme. Il se borna à rappeler l'exploit dans la forme même dont usa le journal du bord. L'amiral britannique de Robeck qui commande devant les Dardanelles a décidé de pénétrer de vive force dans la mer Noire et de s'emparer de Constantinople. Avant l'attaque, il demande à l'amiral Guépratte

Quel poste choisissez-vous dans le combat ?

Le (jremiei au danger l'avant-garde. Les quatre cuirassés de Guépratte se sont engagés dans les détroits et rispostent comme ils peuvent au feu nourri des canons et des mitrailleuses dont les Turcs et les Allemands ont abondamment garni les rives.

Leur mission accomplie, nos cuirassés se retirent pour céder la place aux navires anglais qui les suivent. C'est à ce moment que le Bouvet est touché par une mine. Cependant qu'il il coule en quelques secondes, un autre de nos vaisseaux, le Gaufois, est atteint à l'avant. Une énorme voie d'eau se déclare. Le cuirassé est désemparé -t en perdition. A bord, pourtant. hacun garde son calme. L'équipage. en enue blanche. est rangé sur le pont. •orame à la parade. La fin s'annonce proche et toute cette activité des torpilleurs. des sous-marins, des chalutiers. des ba.'eaux de sauvetage empressés autour du navire prêt à s'engloutir l'indique assez Mai« que se oasse-t-il

Une chaloupe a abordé l'épave.

Cependant qu'à la coupée le poste rend les honneurs. la sonnerie Aux champs retentit. C'est l'amiral Guépratte qui a réussi à rallier le Gaulois: Il entend être avec ses hommes pour partager avec eux le sort du bâtiment.

LES SOUSCRIPTIONS II L'EMPRUNT

f MILLIARDS 100 MILlIONS M. Georges Bonnet, ministre des Finances, a fait hier la déclaration suivante

Les résultats de l'emprunt sont maintenant connus. Ouvert le 13 mars, il a été clôturé le 25. Dans le bref délai de douze jours, le total des souscriptions a dépassé 5 milliards 100 millions, alors que le chiffre prévu au début de l'opération par le gouvernement n'était que de 3 milliards. Encore faut-il préciser que tous les titres ont été placés uniquement sur le marché français et sans aucune souscription des caisses publiques.

Le succès de l'emprunt assure à la trésorerie une aisance qu'elle n'avait pas connue depuis plusieurs mois et il a permis dès aujourd'hui au ministre des Finances de diminuer le taux d'intérêt des bons du Trésor à un mois. Il écarte la perspective d'émissions prochaines sur le marché faites directement ou indirectement pour le compte du Trésor.

L'emprunt avait pour but, on s'en souvient; d'assurer la liquidation d'engagements antérieurs. Nous veillerons désormais à réduire au strict minimum les obligations de la trésorerie et nous remplirons ainal le devoir que nous impose l'empressement avec lequel l'épargne a répondu à l'appel du gouvernement.

M. Georges Bonnet a termine en remerciant tous ceux qui avaient assuré la réalisation de l'opération en apportant leur concours au gouvernement. Ajoutons à ce communiqué que, depuis la guerre. l'Etat n'avait jamais obtenu un tel résultat en un temps aussi court. Grâce à cette très belle réussite, M. Georges Bonnet peut éviter toute nouvelle émission prochaine. Mis dans l'obligation d'assainir une situation qu'il n'avait pas créée, le ministre des Finances, ayant liquidé le passé, entend désormais se préoccuper de l'avenir en diminuant les engagements de la trésorerie Il entend dès aujourd'hui diminuer l'intérêt des bons du Trésor à un mois, ce qui est l'indice d'une situation plus stable. Le décret ramenant l'intérêt des bons à un mois à 1,7/8 paraît ce matin à l'Officiel. Enfin. il remercie les comptables du Trésor dont le zèle efficace a été l'un des facteurs du succès.

L'incident dans le Brunswick entre les autorités nazistes et les formations du « Stahlhelm »

M. Klagges, national-socialiste, qui a ordonné la dissolution immédiate des formations du c Casque d'acier » et des organisations affiliées pour tout l'Etat de Brunswick dont ü est le ministre de l'Intérieur

Li taui ure le télégramme que 1 amiral de Robeck envoya à l'Amirauté pour célébrer la bravoure de l'amiral Guépratte et de la marine française.

Pour nos marins qui le connaissaient. ce que Guépratte avait fait là n'avait rien de surprenant

Entré dans la marine à l'âge de quinze ans, Guépratte y ayait^conqtris tous ses grades et sa haute réputation par sa seule valeur, comme jadis les Jean Bart, les Suttren. les Duguay-Trbutn. Mais pour les Anglais qui le voyaient pou la pre. mière fois. l'impression qu'il leur laissa fut extraordinaire.

Ils ne pouvaient comprendre qu'un chef demeurât constamment exposé aux coups de l'ennemi avec son uniforme blanc k' quand ils eurent constaté que, bien qu'il s'offrit comme un cible, l'amiral français n'était jamais touché, Ils se mirent à l'appeler < le mangeur de feu » et ils donnérent ce titre à une chanson qui obtint aussitôt la plus grande vogue et qu'ils fre.donnent encore.

En 1918. l'amiral Guépratte atteignan sa soixante-deuxième année et passait au cadre de réserve.

Ce héros allait désormais vivre modes tement et simplement.

Peu de temps avant de quitter le ser vice actif, il a été fait grand-croix de la Légion ''honneur.

On m assure qu il n'a pas la médaii'e militaire Ce ne peut être là que le ffii d'un oubli.

Pourquoi ne le réparerait-on pas 1 Léon Faraut.

La situation exterme a été évoquée hier matin devant la Chambre Après des interventions très applaudies de MM. Daladier et Paul Boncour, les interpellations de MM. FranklinBouillon, Louis Marin, Péri et Pezet ont été renvoyées à la suite par 369 voix contre 212

« Le gouvernement, a déclaré le président du Conseil, est résolu à accueillir tous les efforts qui seront faits en vue de l'organisatio'n de la paix. Il défend ce qu'il considère comme l'intérêt français. Il a conscience de n'avoir rien cédé. Mais il se refuse à aborder dans un esprit de polémique des questions qui doivent être examinées avec calme et sang-froid. »

Ainsi que nous l'avions annoncé, la Chambre a été appelée hier matin à fixer la date de l'interpellation de M. Franklin-Bouillon sur ta politique extérieure. M. Louis Marin s'était joint au député de Seine-et-Oise et aux deux autres interpellateurs, MM Pezet et Péri. L'Assemblée, répondant à l'appel

M. Louis Marin

M. Franklin-Bouillon

de M. Daladier, a renvoyé les interpellations à la suite par 369 voix contre 212. Au surplus, la Chambre ne se séparera pas pour Pâques sans qu'un grand débat se soit déroulé sur la situation internationale. Le président du Conseil en a pris l'engagement au cours d'une déclaration dont la ferme concision a été très vivement applaudie par la majeure partie des députés M. Franklin-Bouillon avait soulevé deux problèmes les incidents qui ont eu lieu dans la zone rhénane démilitarisée et la position de la France visà-vis du désarmement.

Sur le premier point, M. Paul-Boncour a rappelé, dans une intervention fort chaleureusement approuvée, que la France avait fait entendre les paroles nécessaires, et le résultat c'est que, depuis quelques jours, ces incidents ont cessé.

Sur le second point, M. Daladier, après avoir annoncé que rien ne serait fait ni signé sans que le Parlement ait fait connaître sa volonté, s'est affirmé résolu à accueillir tous les efforts qui seront faits en vue de l'organisation de la paix, sans rien céder des droits ni intérêts de la France. Mais il se refuse à aborder dans un esprit de polémique des questions qui doivent être examinées avec calme et sang-froid.

M. Franklin-Bouillon

M. Franklin-Bouillon avait commencé par s'en prendre à la majorité de gauche à qui il reproche d'accepter la loi du silence.

Serez-vous, dit-il à ses collègues. le seul Parlement qui accepte d'être traité d'une façon aussi méprlaante ? A ces mots, des exclamations éclatent. Elles redoublent lorsque l'orateur ajoute

Vous savez où une telle attitude nous a menés dans la dernière, législature. Vous entrez dans la même voie. Du moins sera-ce un homme de gauche qui vous le dira aujourd'hui. Quel est cet homme ? demande M. Pierre Michel.

Celui qui vous parle, riposte M. Franklin-Bouillon, en ajoutant qu'il n'a de leçons à recevoir de personne au sujet de la laïcité et de, la bataille républicaine.

Le calme rétabli, le député de Seineet-Oise énumère les faits qui démon- trent à ses yeux l'urgence du débat incidents du pont de Huningue évo- qués l'autre jour par M. Wallach occupation par les nazis des ponts de Kehl et de Cologne, où ils ont brutalisé le député socialiste Sollmann, attitude de la France au sujet du désarmement.' On a eu tort, termine-t-il, très vivement applaudi au centre et à droite, d'accorder à Hitler l'égalité des droits qu'on avait refusée aux gouvernements de gauche.

Et d'autre part, la France a sa part de responsabilité dans la collusion Maodonaid-Mussolini, dont nos alliés risquent d'être victimes.

MM. Péri, Marin et Pezet

M. Péri. communiste. attribue l'avènement du fascisme en Allemagne à la politique adoptée via-à-vis de celle-ci au lendemain de la guerre; mais il recueille les applaudissements de toute la gauche lorsqu'il fait allusion à l'éloquente protestation d'Einstein contre les persécutions ordonnées par M. Goehring.

Ce que veut M. Louis Marin, ce n'est pas un débat académique à propos du budget des affaires étrangères, c'est un vote.

La question essentielle, aux yeux de M. Pezet, c'est celle de la revision des traités. Le député du Morbihan pense qu'il est temps d'éclairer l'opinion publique en désarroi et cite cette phrase de M. Herriot « Il y aurait avantage

M. Péri

M. Peut

à connaître les données qui intéressent si gravement nos destins. »

M. Paul-Boncour

C'est alors que M. Paul-Boncour se lève. Il ne pent, déclare-t-il. tout d'abord. laisser passer sans les démentir ou les rectifier certaines affirmations de M. Franklin-Bouilllom

Le gouvernement a fourni à la commission des affaires étrangères tous les renseignements qui lui. ont été demandés et aujourd'hui il retournera devant elle. Quant au ministre des Affaires étrangères lui-même, il n'a jamais aidé à exagérer les inquiétudes. Il a simplement marqué que les négociations en cours sont graves. Pourquoi ?

Parce que, déclare M. Paul-Boncour au milieu d'un très vif succès, de leurs résultats dépendront non pas des événemenda dont on parle vraiment avec trop de facilité, tnrsis un état de l'Europe dont ces événements pourraient découler plus tard.

Et le ministre ajoute, à propos des incidents de la zone rhénane démilitarisée

J'affirme que ta France a fait entendre les paroles nécessaires. D'au.leurs, le réaultot de ces paroles est que depuis quelquea jours, les incidents ont cessé. Le gouvernement a eu suffisamment aussi le sens de sa dignité et de ses devoirs pour ne pas admettre que la démarche d'un ambassadeur fût tra- vestie dans le pays où elle avait eu lieu. Il a obtenu la rectification de presse qsvf était aéceasaire. Nous sommes vigi' lants. La France peut avoir confiance. Les bravos crépitent. Mais M. Franklin-Bouillon revient à la charge S'il y a huit jours, s'écrie-t-il, le Parlement avait parlé, M. Macdonald serait-Il parti pour Rome ? Et si. aujourd'hui, les idées de revision marquent un temps d'arrêt, ce n'est pas à la France, c'est à la Petite Entente qu'on le doit

M. Daladier

Le centre et la droite battent des mains. M. Daladier se lève rien ne sera fait, rien ne sera signé sans que le Parlement, dont le président du Conseil respecte plus que quiconque les droits, ait fait connaître sa volonté. Pourquoi donc refuser de fixer une date à l'interpellation de M. FYanklinBouillon ? Parce que nous sommes à une heure où les débats de politique extérieure amorcés à travers toute l'Europe prennent toute leur force et toute leur complexité.

Cela dit. M. Daladier élève une protestation contre les paroles prononcées à l'égard de M. Macdonald

Je lui suis reconnaissant de la pleine loyauté avec laquelle il a conversé avec nous. Après avoir fait le procès de M. Macdonald faire le. procès de M. Mussolini et d'autres chefs de gouvernement. c'est là une méthode détestable. Le gouvernement est résolu à accueillir toua les efforts qui seront iaits en vue de l'organisation de la paix. Il défend ce qu'il considère comme l'intérêt français. Il a conscience de ne rien ayodr cédé, et. faut-il le dire. de n'avoir riei^ trahi. Mais il ne confondra jamais le patriotisme avec on ne sait quel nationalisme, et il se refuse à aborder dans un esprit de polémique des questions qui doivent être examinées avec calme et sang-froid. La Petite Entente T

quana aonc avons-nous abanaonne j l'amitié de ces peuples née de la vic- toire commune p

On a parlé de menaces dirigées contre nous. La France a assez conscience de son droit et des moyena de le faire reapecter pour ne redouter aucune menace, de quelque point de l'horieon qu'elle vienne.

Il faudrait pourtant bannir de nos discussions cette sorte de psychose de guerre que rien ne justifie.

Sur la majeure partie des bancs, de chaleureux applaudissements retentissent. M. Louis Marin intervient de nouveau. M. Marquet suggère d'examiner le plus tôt possible le budget des «Affaires étrangères, procédure qu'accepte le président du Conseil. M. Franklin-Bouillon s'entête. M. Fernand Bouisson lui fait alors observer que le débat qu'il souhaite peut venir a propos des douzièmes provisoires.

Je m'inscris, s'écrie aussitôt M. Franklin-Bouillon, ainsi, le dêbat, vous l'aurez jeudi

Là-dessus. On vote. On a vu plus haut les résultats du scrutin.

Pour permettre aux contribuables de se mettre en règle avec le fisc M. André Fribourg, député radical socialiste de l'Ain, avait, ainsi que nous l'avons signalé, déposé une proposition de loi tendant à accorder un délai de trois mois aux contribuables afin de leur permettre de se mettre en règle avec le fisc.

Hier matin, M. Fribourg a déposé à la commission des finances un article additionnel reprenant les dispositions de cette proposition.

M. Lamoureux. pressenti à ce sujet, s'est déclaré disposé à accepter le principe de ce texte et à l'intégrer dans la prochaine loi de finances.

UN ENTRETIEN DE M. BECK AVEC L'AMBASSADEUR DE FRANCE A VARSOVIE

Varsovie, 28 mars (dép. Bavas) M. Beck. ministre des Affaires étrangères, a reçu, à 15 h. 30, M. Jules Laroche, ambassadeur de France, avec qui il s'est longuement entretenu des problèmes actuels de la politique internationale.

M. Benès retourne à Prague et M. Titulesco se rend à Paris Genève, 28 mars (dépêche Fournier.) M. Benès est parti ce soir pour Prague. M. Titulesco se rendra demain à Paris.

34 ouvriers soviétiques inculpés de vol et de sabotage

Leningrad. 28 mars (dép. Radio.) A Oufa, trente-quatre ouvriers d'une coopérative ont été arrêtés et vont être jugés pour sabotage, vol de matériel et de marchandises. Ils revendaient euxmêmes ces dernières à des particulier. A la qu»trl*n» page LE CONTE m**O 1 LA REVANCHE DE TOURLOUROU 1 o t Dtr H«nrl «CnAZCT

LE PROCES

DE TRAHISON A LONDRES

Le conseil de guerre a écarte trois sur dix des chefs d'inculpation relevés contre le lieutenant Baillie Stewart Cet officier reste incarcéré à la Tour de Londres jusqu'au moment où interviendra la décision du roi sut la proposition de l'autorité militaire supérieure

Le lieutenant Baillie Stewart et son avocat Londres, 28 mars

US NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER

Le procès du lieutenant Saillie Stewart, qui se poursuivait depuis le début de la semaine dernière devant la cour martiale siégeant dans la caserne du quartier général du duc d'York, à Chelsea (Londres), est terminé.

Pour bien comprendre comment s'est clos ce procès, il faut savoir qu'en Angleterre une cour'martlale ne fixe pas de sentence. Si l'inculpé est déclaré non coupable, son épée et son ceinturon lui sont remis immédiatement et il sort de la cour homme libre. Si, au contraire, la cour rend un autre verdict, l'accusé est prévenu que la sentence Rera fixée ultérieurement et promulguée. Cela signifle que l'ensemb1 du débat est complètement passé en revue par de plus hautes autorités militaires et que la peine proposée par la cour est fixée ultérieurement.

Dans ce dernier cas. il peut s'écouler de quinze jours à un mois avant que la sentence soit publiée par le War Office. Et en attendant, l'inculpé est maintenu en détention.

(La suité à la deuxième pag*

Les faux documents de l'aviation

LE VERDICT SERA RENDU CE SOIR Hier, les avocat. de. la partie civile ont plaidé

Aujourd'hui, réquisitoire et plaidoirien des avocats des quatre accusée

fe*n naut Me le Coq de «*ci*i..iiu.

En bas le bâtonnier Boueset.

Voici que s'ouvre la huitième audience. Dès le début, le président Texier donne la parole à M# Le Coq de Kerland

Quel pénible spectacle, messieurs de la cour, messieurs les jurés, que celui de voir déferler à vos pieds la marée de la calomnie, commence l'avocat de M. P.-L Weiller. On nous a accusés, nous partie civile, de vouloir détourner le débat, de plaider le procès de l'Aéropostale. C'était encore un faux, le dernier. Je tiens uniquement à laver Ici le nom de mon camarade de guerre, Paul-Louis Weiller. qui a combattu à mon côté. dans le ciel

L'orateur se propose uniquement de démontrer comment M. André BouUloux-Lafont, < dont le destin eût pu être magnifique, est devenu un faussaire ».

Il n'a rien inventé. A s'est con-


ténté d'attribuer à Weiller les négociations avec l'étranger qu'il avait luimême entreprises

Et cette terrible accusation, M· Le Coq de Kerland va i'étayer de précisions inédites, tirées non' pas du dossier, mais des archives de l'Aéropostale.

Dès la fin d'avril M. André 'Bouilloux-Lafont télégraphiait au représentant de l'Aéropostale à NewYork pour lui demander quel prix, aux Etats-Unis, serait offert pour :1'achat de cette société. Ce correspondant, M. Baud'huy, répondit assez évasivement il fallait négocier, proposer, attendre des offres. Sur quoi, nouveau télégramme de M. Bouilloux- Lafont, ainsi conçu Nous n'avons pas l'intention de vendre, mais désirons obtenir, à titre indicatif, en vue de négociation avec le gouvernement français, une base d'évaluation. » Ce qui .permet à Me Le Coq de Kerland ce cri indigné

De deux choses l'une, et il faut choisir ou bien vous vouliez vendre l'Aéropostale à l'Amérique, ou bien vous vouliez faire chanter le gouvernement français

Après s'être tourné vers l'Amérique, M. Bouilloux-Lafont si l'on en croit le représentant de la partie civile -*̃ s'est tourné vers l'Allemagne. Le 13 mars 1931, il délibérait, toute une nuit, avec M. Browsky, directeur de la Lufthansa. Une semaine plus tard, le 21 mars, c'était le déjeuner en cabinet particulier avec le docteur Kurt Welgelt, et l'on sait, par M. Brun et par le général Duval, les propos qui y furent tenus, sans résultat d'ailleurs. Dix jours plus tard, le 31 mars, l'Aéropostale déposait son bilan. Le jeune administrateur de cette société, qui s'intitulait lui-même le Bonaparte de l'Aviation, ne pouvait céder l'Aéropostale. Il pouvait vendre la Sudam. Or la Sudam détenait 80.000 actions sur les 90.000 qui ont été émises par l'Aéropostale

Mais ce n'est pas tout. MI Le Coq de Kerland va tirer de son dossier.

M* Chertés Bonnet

une nouvelle correspondance. Il s'agit d'une note envoyée, à l'époque de la naissance des faux, à M. Bauer, correspondant à Berlin de l'Aéropostale Envoyez-nous » câblait André Bouilloux-Lafont < la liste des membres du conseil d'administration et du conseil de direction de la Lufthansa ». Le 20 février, M. Bauer répondit qu'il suffisait de consulter les statuts de la société allemande, page 3. Et cette page était jointe à la réponse.

Comprenez-vous, messieurs ? Le faux bordereau de Lucco était signé Bohn et Wirth. La page 3 des statuts, arrivée aux mains de Bouilloux-Lafoht, ne comporte aucun de ces deux noms. L'accusé savait qu'il s'agissait de signatures imaginaires. Il tenait la preuve du faux, il s'était prouvé à luimême le faux, il n'ignorait rien de la triste machination

Grosse émotion M* Le Coq de Kerland, qui a voulu uniquement limiter son effort à établir ces précisions, termine par un pathétique appel à la réhabilitation et à la justice et il cède la parole au bâtonnier Raoul Rousset. .Le ton change, la forme s'affine. M* Le Coq de Kerland tournait autour de la vitrine des pièces à conviction somme le pilote autour de sa carlingue.. Le bâtonnier va se lancer dans une démonstration stylisée, ordonnée, parfaite de forme. Le z vieux palais > à côté de la génération nouvelle. Le bâtonnier Raoul Rousset rappelle l'impression produite par l'apparition des faux.

Lucco, messieurs, n'a pas agi seul. Or qu'avons nous éprouvé la douleur d'entendre ? Le complice nécessaire, l'homme Initié, a-t-on dit, ce serait M. Weiller ? M. Weiller qui aurait donné les verges pour se faire battre ? Je vous prouverai, moi, que M. Weiller ne peut pas être l'inspirateur du faussaire virtuose

On entendra le bâtonnier faire un saisissant parallèle entre le directeur de la Cldna et de Gnome-Rhône et l'administrateur délégué de l'Aéropostale. -M. Weiller, messieurs, était un rival heureux. Il réussissait dans ses entreprises. Il trouvait du crédit et de l'argent, tandis que M. André Bouil1ouxLafont n'en trouvait pas

Qui est M. Paul-_xmis Weiller? Le bâtonnier le dit avec une sorte de paternelle tendresse: M. Weiller a été, au front, le plus jeune capitaine aviateur do l'armée française. Il a reçu

48. Feu llleton du Petit Parisien 29-3-33 LE Secret DU légionnaire I grand roman inédit

d 'aventure* et d'amour

par

Arthur BERMÈDE

DEUXIEME PARTIE

LA BATAILLE POUR L'AMOUR VIII (suite)

Le rayon de lumière.

Léona s'arrêtait pour demander à Jacques:

Je ne vais pas trop vite

Mais non, madame, je vous suis très bien.

Et puis. reprenait-eUe.

Et puis. répétait Jacques.

» Ce qui m'effrayait, me boulever» sait, mon aimé. dictait Mme Telluri, » c'était de me dire que tu aurais la charge si pénible d'une compagne a aveugle. Les attentions dont tu » in'a comblée, l'affection si touchante » que tu m'as prodiguée depuis mon accident me prouvaient mieux que tout que je pouvais entièrement compter sur ton appui.. Mals quel t/iète boulet, mon pauvre Gérard. » tu aurais traîné là! A tes préoccupationa journalières il aurait fallu ajouter ce souci, cette tristesse.» Certes, j'aurais fait de mon mieux pour te cacher mon désespoir». Je Copyright by Arthur Bernède 1933. Tr£duction et reproduction interdites en toua pays.

cinq blessures et obtenu quatorze citations. A vingt ans, il était décoré par Foch. Il est de ces héros de rare qualité comme Guynemer. Sor père, d'ailleurs, M. Lazare Weiller, Alsacien, opta déjà pour la France et fut élu sénateur.

Pour Bouilloux-Lafont, messieurs les jurés, retenez bien ces deux dates 9 septembre et' 23 octobre. Le 9 septembre, l'accusé avait appris, par le juge, qu'il détenait des faux. Jusqu'au 22 octobre, il a'feint de n'en pas convenir. Car, homme qui a perdu pied, homme traqué, 11 était aveuglé de haine. Il colportait des faux, des faux qu'il présentait, mais ne laissait aux maina de personne.

Et quelles capitulations Quelle existence ♦

André Bouilloux-Lafont et « monsieur Lucco » vont désormais vivre en frères. Mlle Mannequin fera partie de cette nouvelle famille, Les petite papiers, passent sans répit de l'un à l'autre. Des communications ? Des articles de presse ? Non, non, non, messieurs les jurés, c'est de cette louche collaboration qu'étaient nés et que naissaient encore les faux, ces faux qui ont soulevé partout des objections, saut chez les experts

Le bâtonnier va recommencer le périple de M. Bouilloux-Lafont dans les ministères où, contrairement à son attente, la politique qui a pour nom <i pas d'histoires » ne sera pas pratiquée. Une pièce, au premier regard, a intrigué M. Guernier c'est le faux de la sûreté générale.

Cette pièce disparaît donc du dossier et M. Portais la dissimule dans un chandelier. M. Portais, depuis lors, est parti pour Madrid Il y a aujourd'hui, pour nous, des Pyrénées! Mais ce document mal venu sera remplacé par un autre l'usine aux faux est bien montée

L'orateur, avec simplicité, avec autorité, établit, jour par jour, l'enchaînement des événements. Il montre qu'à ia plainte de M. Painlevé M. André Bouilloux-Lafont, « aussi audacieux qu'intelligent riposte par une autre plainte en corruption. Et la corruption n'est établie que par les faux dictés, au fur et à mesure des nécessités, à l'inséparable Lucco. Vous êtes rivé à l'infamie, monsieur Il vous faut la soutenir jusqu'au 6out Voilà votre bonne foi Un préjudice énorme a été causé. Le bâtonnier, cependant, ne réclame rien. L'honneur n'a pas de prix. M: Weiller ne demande à la cour qu'un seul franc symbolique de réparation. M* Charles Bonnet va enfin prendre la parole au nom de M. Chaumié En me levant au nom de M. Chaumié, je ne puis me défendre d'une pointe d'émotion.. Nos souvenirs d'enfance restent mêlés. Je connais ses frères aussi bien que lui-même.

Mais tout le monde sait quelle est l'honorabilité de la famille Chaumié, et l'orateur évoque les jours d'angoisse et de souffrance du mois de juin >. Le directeur de l'aéronautique devinait partout autour de lui une insaisissable suspicion. Et pourquoi ? Pour le comprendre, il suffit de préciser quelle position a prise M. Chaumié lors de la faillite de l'Aéropostale. Il va donc subir l'agression des deux accusés.

L'un, polytechnicien, issu lui aussi d'une grande famille, et qui était appelé à gérer une grande fortune. L'autre, faussaire, repris de justice, rel.égable. Et c'est de cette association qu'est née l'abominable délation MI Charles Bonnet d'en appeler, lui aussi, à l'équité des magistrats populaires.

Aujourd'hui réquisitoire et verdict Eugène QUINCHE

[Comme suite à la déposition qu'il a a faite devant le jury, et contrairement à ce qui pouvait résulter de notre compte rendu, M. Jean Goldsky noua prie de préciser qu'il a écrit à Lucco, en tout et pour tout, deux lettres de Genève en septembre 1930 et qu'il a démasqué publiquement l'indicateur-faussaire-escroc en octobre ».] On repêche au Ferreux

le corps d'une jeune inconnue M. Lucas, prud'homme marinier au Perreux, a retiré, hier soir, de la Marne, en cette localité, devant le n° 22 du quai de l'Artois, le cadavre d'une jeune ftlIe âgée de quinze à seize ans et dont la tete portait plusieurs blessures.

Le corps, qui parait avoir été immergé pendant une vingtaine de jours, a été envoyé à l'institut médico-légal. L'Union coloniale fête M. Lamy gouverneur de la Guyane L'Union coloniale francaise vient d'offrir un déjeuner en l'honneur de M. Lamy, récemment nommé gouverneur de la Guyane et qui va rejoindre son poste.

Ce déjeuner était présidé par M. RouxFreissineng, président de la commission des colonies à la Chambre, entouré de MM. Jacques Bardoux, de l'Institut Léon Perrier, sénateur, ancien ministre des Colonies Outrey, Perreau-Pradler, Talttinger, viceprésidents de la commission des colonies Monnervtlle, député de la Guyane Boussanot, président du syndicat de la presse coloniale Albin Peyron, commissaire général de l'Armée du salut, etc.

Au dessert, M. Jacques Bardoux s'éleva vigoureusement contre l'Idée simpliste qui, dans l'opinion française, associait trop souvent les mots Guyane et bagne. Il fit féloge de cette colonie, pays sain, aux possibilités agricoles et minières certaines. MM. Lassalle et Monnerville, députés, ftrent l'éloge de M. Lamy puis celui-ci affirma sa volonté de rendre la prospérité la Guyane, dont Il étudierait les problèmes sur place. Enfin. Il. Roux-Fr«issrneng félicita l'Union coloniale de l'œuvre qu'elle poursuit.

me serais efforcée de t'accueillir « toujours par un sourire, de te per» suader que j'acceptais mon sort » avec résignation, que je m'étais » en quelque sorte arrangée une vie » intérieure faite à la fois d'une sélec» tion de beaux souvenirs et de per» ceptions nouvelles. Mais il n'en est » pa3 moins vrai que j'aurais toujours » redouté que la nuit qui était en moi » se répandit sur toi et t'enveloppât à son tour de son manteau de deuil et » de ténèbres

Comme elle l'aime songeait le 1!!Une officier, qui transcrivait avec émotion ces phrases si sincères. Léona poursuivait:

Il n'en est rien! L'abominable cau» chemar est fini. Et, si je repose » encore dans l'ombre. bientôt une 3 main géniale va rouvrir mes yeux à *la lumière.

Quelle leçon pour moi! Si J'étais » restée là-bas, à Thoune, bien tran» quille, ainsi que je te l'avais promis, »je t'aurais épargné tous ces tour> meuts!

» Mais Il faut que je te fasse un » aveu. Car je ne veux pas qu'au seuil » de la vie nouvelle qui va commencer {.jur noua, il subsiste entre noua )} deux aucun sujet de malentendu. Je » tiens surtout à te prouver que, si j'al » été jalouse, oh oui, très jalouse, beau» coup plus même que tu ne l'as cru, grâce à toi, je suis tout à fait guérie » de cet affreux mal L..

Lorsqu'en arrivant à Marrakech » je t'ai dit que je ne pouvais pas vivre » plus longtemps loin de toi. je t'ai » menti. Pardonne moi, mon aimé, » d'avoir usé d'un tel subterfuge pour s expliquer, sinon pour ju3ti!ler, ma présence. Rends-moi la justice que » jusqu'alors. si douloureuses furent» elles pour moi. j'avais accepté sans me plaindre toutes tes absences. » Car ma raison dominant mon coeur » me disait que ta vie d'homme d'affais res t'I n t e r dl s a it de t'embarrasser » d'une femme. surtout au cours d'un voyage d'études où tu avais tant

LE PROCÈS DE LONDRES SUITE D8 LA PKEMXtKE PAGE

C'est ce qui se passera pour le lieutenant Baillie Stewart. La cour, en effet, l'a déclaré innocent sur trois chefs d'inculpation, mais elle a décidé de soumettre ses conclusions sur les sept autres points à une autorité supcrieure.

Ce résultat est intervenu à la fin d'une journée imprégnée d'une atmosphère de drame.

Le juge avocat a fait un résumé du drame, puis la cour a délibéré et le président a déclaré

La cour reconnaît que l'accusé Norman Baillie Stewart, des Seaforth Highlanders, attaché au bataillon des Coldstream Guards, n'est pas coupable sur les troisième, cinquième et dixième chefs d'Inculpation. » Après une légère pause, le président a demandé lecture des états de service du lieutenant Baillie Stewart. A ce moment-là, le frère et l'avocat de l'accusé se tenaient près de lui, mais ni le père ni la mèré de l'officier n'étaient présents.

Le lieutenant Baillie Stewart était toujours au garde-à-vous. Il était d'une pâleur livide et paraissait extrêmement nerveux.

Sur un signe du président lui indi- quant qu'il devait se retirer, il s'est de nouveau avancé devant la cour, a salué militairement et, faisant demitour, il est sorti suivi de son officier d'escorte pour être reconduit à la Tour de Londres.

Il y restera en attendant que ea ^eme ait été décidée, examinée par le conseil de l'armée, soumise a. i approbation finale du roi et annoncée publiquement par le War Office.

Une délicate affaire au Puy Le Puy, 28 mars (dép. Petit Paria.) Le juge d'instruction du Puy mène actuellement une délicate enquête qui met en cauae le commissaire de police de cette ville et cela pur fes déclarations d'une tenancière d'une maison spéciale.

A la suite d'un arrêté du maire fermant pour un mois l'établissement, où un vol avait été commis, la tenancière était allée exposer ses doléances au commissaire. Celui-ci lui aurait proposé epontanément d'arranger l'affaire moyennant 4.000 francs. Dans la suite. le fonctionnaire aurait exigé une somme de 10.000 francs. C'est alors que la tenancière avertit le parquet et donna les numéros des billets de banque qu'elle devait remettre au cours d'une nouvelle entrevue. Une souricière fut tendue par le chef de la brigame mobile venu de Clermont-Ferrand. A la suite de l'entrevue que la tenancière avait eue avec le commissaire dans son bureau, on découvrit. glissé sous le sousmain, une enveloppe contenant dix billets de 1.000 francs, dont les numéros avaient été Indiqués par la tenancière.

Le commissaire a protesté de son honnêteté, affirmant être victime d'un traquenard motivé par la vengeance. Il a été suspendu de ses fonctions en attendant la fin de l'enquête.

L'assassin de la petite Soleau a été arrêté à Angers

Angers, 28 mars (dép. P. P.)

Vendredi dernier la petite Simonne Soleau, âgée de six ans et demi, de Saint-Barthélemy-d'Anjou, était trouvée égorgée dans un fossé, près du domicile de ses parents. Le coupable avait jusqu'ici réussi à échapper à la police qui. malgré un signalement assez pré-j cis, n'avait pu l'appréhender. Or, mardi matin vers 8 h. 30, deux gendarmes, après une minutieuse enquête, réussirent à identifier le criminel et se rendirent chez son patron, M. Guibert, épicier rue de la Roë. La piste était bonne. En effet, le coupable était à son travail quand, apercevant les gendarmes, il quitta brusquement son poste et réussit à gagner la rue par le sous-sol et à s'enfuir malgré l'alerte donnée aus- sitôt.

Vers midi, il était enfin arrêté par des passants qui t'avaient reconnu, près de la caserne du 6* génie. Il offrit, toutefois, une résistance farouche, menaçant ses adversaires de son revolver. Quand la police vint arrêter le criminel, il commençait à subir un' mauvais sort. C'est un nommé Pierre Gueurie, âgé de trente-deux ans, originaire d'Angers. Il venait de subir cinq ans de prison à Fontevrault pour coups et blessures et avait précédemment été condamné à deux ans de prison pour viol.

Il fut gardé assez tard au parquet, pour éviter des incidents, car la foule, massée autour du Palais de justice, attendait patiemment le coupable pour le lyncher.

Des rôdeurs blessent un cafetier à coups de couteau

L'un d'eux est lynché par la foule, l'autre est en fuite

Lorient, 28 mars (dép. Hovos.) Deux repris de justice ont attaqué, la nuit dernière, un cafetier, M. Clerque, âgé de quarante ans, qui a reçu un violent coup de couteau entra les épaules.

Le meurtrier, Joseph Joubain, vingtquatre ans, est recherché. Son complice, nommé Maurice Bourgouin, vingt-cinq ans, a été lynché pas des passants.

besoin de ta liberté d'action et d'es»prit.

» Mais je t'assure que je ne son» geais nullement à me départir à ton égard de cette attitude de discrétion »dont j'avais fait une ligne de conduite. Lorsqu'un jour, une lettre ano» nyme m'annonça que tu étais éper»dûment épris d'une jeune fille dont » le père occupe une haute situation » officielle au Maroc, mon premier » mouvement fut de déchirer cette »lettre, ainsi que je l'avais fait de » tant d'autres.

Mais elle contenait des précisions d'une telle gravité que je ne pus me » résoudre à un geste aussi catégori» que. Et je la relus, en pesant bien » chacun de ses termes.

» Cette fois, il ne s'agissait plus » d'une de ces Intrigues passagères. de » ces aventures sans conséquence, sur » lesquelles une épouse ou une maltresse Intelligentes doivent prudemment fermer les yeux. Ma rivale n'était autre qu'une jeune allé de dix-huit ans, adorablement belle, et dont la vertu était à l'abri de toute » attaque jt de tout soupçon. Cela. m'affirmait celui qui se don» nalt pour un ami inconnu, oui, cela Me peut finir qut par un mariage. Pour achever de me convaincre, il » me citait même le nom de cette jeune fllls EUen Gardannes Ellen Gardannes répétait Jacques, dont le stylo tremblait entre ses doigts.

Dans l'impossibilité de ne rendre compte du trouble qui s'était emparé subitement du jeune officier, et se méprenant sur le sens de son interruption. l'aveugle commençait à épeler E. L. L. deux L._

Je sais, madame, Interrompait Nanteull.

Vous la connaissez. peut-être?- Oui. madame, je la connais Surprise par l'émotion que trahissait la voix de Jacques, Léona s'écriait Qu'avez-vous ?

Rien.- ,r

LE CAMBRIOLAGE

DES BUREAUX

DE L'ENREGISTREMENT A STRASBOURG

Strasbourg, 28 mars (ddp. P. Parisien.) Malgré le message lancé par radio par M. Robert, chef de la sûreté, on n'a pas encore pu mettre la main au collet des cambrioleurs qui emportèrent pour 25 millions de timbres fiscaux des bureaux de l'enregistrement, des domaines et du timbre du Bas-Rhin et du HautRhin.

Les policiers ne chôment pas, depuis ce matin. Au cours de la dernière nuit, plusieurs rafles ont été opérées dans les milieux interlopes pour recueillir des indices sur le passage possible de certains Individus douteux et pour rechercher les personnes qui auraient pu remarquer des automobiles en stationnement non %la des lieux du vol. Les différents fonctionnaires, et surtout les employés préposés aux timbrages, ont été successivement entendus par le chef de la sûreté.

Le concierge de l'immeuble a fait une déclaration complémentaire, dans laquelle il a dit qu'il avait été absent toute l'après-midi du dimanche. La rue de la Toussaint étant une des plus tranquilles et des moins passagères de Strasbourg la circulation des véhicules moteur est interdite par suite de l'existence d'une clinique à proximité de la direction de l'enregistrement rien n'empêchait que des individus au courant de ce fait n'aient commis le délit pendant cet après-midi,

Par ailleurs, la vieille gare, transformée en marché, la semaine, a pu permettre aux cambrioleurs, qui devaient avoir une automobile, de stationner non loin de l'enregistrement, sans trop se faire remarquer.

POUR LA STABILISATION DU COURS DES BLÉS La Chambre a voté une proposition de résolution par laquelle le gouvernement est invité « à déposer d'urgence un projet de loi tendant à stabiliser, à partir de la campagne 1933-1934, le cours des blés à un taux équitablement rémunérateur pour les cultivateurs r.

Cette proposition, rappôrtée par, M. Bérenger, député S. F. I. 0. da l'Eure, avait été substituée par la coinmission de l'agriculturt à la proposition de loi de M. Triballet qui avait pour but de fixer le prix minimum du blé dans la période s'étendant du 1" juillet 1933 au 30 juin 1934.

Le député d'Eure-et-Loir se rallia d'ailleurs au texte de la commission, de l'efficacité duquel douta M. Gaston Martin, tandis que M. Maxenoe Roides, en attendant l'institution de l'office du blé, invita le ministre de l'Agriculture à déposer un projet accordant une réi.munération raisonnable aux productours de blé.

A l'heure actuelle, déclara M. Queuille, grâce aux possibilités que possède l'intendance, l'opération souhaitée par M. Maxence Roldes est en voie de réalisation. Mais il faut regarder le problème en face s'il y a aur le marché un excédent, rien ne peut empêcher la baisse de se produire si ce n'est le stockage.

Après avoir déclaré que les solutions communistes préconisées par M. Ramette mettraient vite le blé à 40 francs, le ministre a déclaré que le gouvernement, pris à la gorge par toutes les questions à la fois. n'avait pu encore prendre de décision au sujet du proI blème agricole, mais il a assuré la Chambre, qui l'a très chaleureusement applaudi, qu'il mettait il. défendre les agriculteurs tout son cœur et toute sa raison.

Les récentes révélations

sur l'incendie de l' « Atlantique » manquent de vraisemblance Cherbourg, 28 mars (dép. Petit Paris.) La lettre adressée à la justice française par un ouvrier de Londres, qui aurait été pressenti par un personnage mystérieux pour aller déposer un paquet suspect à bord de l'Atlantique, quelques jours avant l'incendie de ce navire, donnait le nom Echveaus comme étant celui porté sur le courrier que cet individu recevait à Cherbourg et Berlin, où il se rendait souvent.

Or ce nom n'est pas connu à la poste de Cherbourg le parquet et la police n'ont d'ailleurs pas reçu l'ordre d'enquêter sur ces révélations tardives et trop sensationnelles pour n'être pas quelque peu suspectes.

Rappelons, en effet, que l'Atlantique ne se dirigeait pas vers Cherbourg, quand l'incendie n'est déclaré à bord, mais vers le Havre.

L'allusion faite aux séjours de cet Echveaus à Charbourg est entachée d'invraisemblance.

Grève générale des étudiants en droit jeudi, à Lyon

Lyon, 28 mars fdép. Petit Parisien) Le Petit Parisien a relaté les incidents qui ont éclaté à la faculté de droit par -suite de l'attribution à M. Antonelli de deux chaires, l'une au Conservatoire des arts et métiers à Paris, l'autre à la faculté de Lyon et de son remplacement à Lyon par M. Labrouquère. Afin de décider les autorités à remédier à cet état de choses, une grève générale des étudiants en droit aura lieu jeudi prochain, jour où doit revenir M. Labrouquère, qui, profitant de la grève de ses élèves, était allé faire une tournée de conférences en Suisse. Il est possible qu'une grève des étudiants de toutes les facultés ait lieu ultérieurement.

Ne dites pas cela. SI je ne vois pas, j'entends! Sans le vouloir, j'ai dû vous faire de la peine.

Monsieur Jacques, revenez près de moi. Dites-moi la vérité.

Et, avec une Intuition qu'ont presque toujours les femmes qui ont beaucoup souffert, elle reprenait

Cette jeune fille, vous l'aimez? Incapable de se maîtriser davantage, Jacques s'écriait

Oui, madame, je l'aime!

Et elle?

Elle m'aime aussi!

Mon cher enfant! s'écrialt. Léon, Je suis navrée de vous avoir fait de la peine.

Mais, madame, vous ne m'avez pas feit de peine, assurait le jeune officier. Je suis aussi sûr d'elle que de moi. Ses parents, sa mère surtout. s'opposent à notre mariage; mais mademoiselle Ellen m'a promis d'être ma femme dès qu'elle serait majeure. Et elle m'a déjà donné trop de preuves de sa sincérité pour que je ne sois pas sûr qu'elle tiendra sa promesse. J'ai été surpris, voi!à tout, par ce que vous m'avez dit à son sujet. Je vous prie de m'en excuser, et voue pouvez continuer à me dicter votre tettre.

Parlez-moi d'elle! demandait l'aveugle.

Oh! madame!

Mais si. Ce que vous venez de me dire de votre fiancée a suffi pour dixsiper le peu d'inquiétude qui subsistait en moi. Et j'ai hâte de mieux la connaître.

Comme Jacquee hésitait encore répondre, afin de le décider, de le mettre en route, elle questionnait: Il y a longtemps que vous vous connaissez?

Un peu plus d'une année.

-Ce n'est donc pas à Marrakech que vous l'avez rencontrée pour la première fois?

Non, madame. C'est tout un roman.

Racontez-le-moi.» >̃

La Chambre

poursuit activement le vote du bugdet Elle en a terminé hier avec les crédits de la marin» et des travaux publics La Chambre a p.chevé hier matin le vote du budget de la marine militaire et amorcé 1 examen de celui des travaux publics qu'elle a poursuivi l'après-midi et terminé le soir, en moins d'une heure.

MARINE MILITAIRE

Sont intervenus, à propos du budget do la marine, M. Cadoret qui a salué en M. Georges Leygues le rénovateur de la flotte française et a Insisté, ainsi que M. Bremond, pour que la défense de nos côtes et de nos communications soit bien assurée; M. Morinaud. qui s'est plaint que les batteries des côtes algériennes n'aient pas. été réarmées depuis la guerre M. Henri Tasao, qui juge nécessaire de n'accorder de licences d'importation de charbons étrangers qu'à la condition qu'ils soient transportés par des bateaux français M. Capron, enfin, qui s'est fait l'écho des revendications des ouvriers des arsenaux.

TRAVAUX PUBLICS

M. Guérin a ouvert l'examen du budget des travaux publies en regrettant la diminution du crédit prévu pour l'entretien des routes M. André Hesse a montré combien Il importait de construire des digues, dans les zones côtières basses MM. Lacourt. Mldol, Riffaterre, Cointreau et Sérol ont présenté tour de rôle, sur des questions de détail, des observations dont M. Paganon n'a point manqué de prendre bonne note.

L'après-midi, M. Dewez a exposé les revendications des syndicats unitaires de mineurs. M. Ramadier a dit de son côté combien lui semblait grave la crise minière et dénoncé « la mauvaise organisalion du marché charbonnier français et international

Etes-vous toujours partisan du décret de 1931 ? coupa M. Tardieu. Ce sont les socialistes qui l'ont obtenu de M. Laval reprit M. Ramadier.

Et c'est pour cela qu'on noue a accusés, aux élections, de nationalisme stérile riposta l'ancien président du Conseil.

A quoi le député de Villefranche répondit que ses amis et lui avaient toujours réclamé, outre le décret de 1931, un effort international qu'ils réclament encore.

L'Office national du tourisme La commission des finances avait supprimé la subvention de 1 million prévue par le gouvernement pour l'Office national du tourisme. Finalement le chapitre, sur la proposition de M. Bedouce, rapporteur, a été réservé, après que M. Henri Clerc se fut montré, au milieu d'un vif succès, partisan du rétablissement du crédit.

Il s'agit, Intervint, très applaudi, M. Pierre Appell, sous-secrétaire d'Etat au tourisme, de subventionner, non plue l'office, mais les diverses organisations qui font de la propagande en faveur du tourisme en France.

MM. Ernest Lafont, Xaxier Vallat et Baréty avaient fait, de leur côté. divers observations sur la gestion de l'office. M. Chatehet s'est demandé s'il n'était pas possible de revenir sur certaines dispositions, contestables à ses yeux, du code de la route, en ce qui concerne la signalisation.

Le débat s'est poursuivi à propos de la voirie, avec MM. Niel et Lasserre, Amldfeu du Clos, Brom et Auguste Reynaud. M. Garchery jugeant insuffisant le crédit prévu pour l'entretien des chaussées de Paris. M. Paganon lui a rappelé quels étaient, à ce snjet, les rapports entre l'Etat et la Ville.

Les cantonniers

Quand la discussion a repris à 22 heures, la Chambre, après avoir entendu MM. Amat. Selâfer et Mariua Moutet. a réservé le chapitre consacré aux salaires des cantonniers, M. Lamoureux ayant d'ailleurs fait observer que leur assimilation aux fonctionnaires, préconisée par M. Moutet, grèverait lourdement les finances départementales. M. Sixte-Quenin a parlé des travaux du canal de Marseille-Rhône, M. Auger des inondations qui désolent la région de Provins, M. Evrard du canal du Nord, M. Gallet de travaux entamés dans la Vendée à Saint-Gilles-Croix-deVie.

Un échange de vues a eu lieu au sujet du service des forces hydrauliques entre MM. Paganon, Bedouce et Gaudiol, à qui M. Lamoureux a annoncé que les sommes nécessaires aux travaux de barrage du Verdon seront comprises dans le projet d'outillage. De son côté, le ministre des Travaux publics a donné l'assurance aux diverses députés qui étaient intervenus à propos des voies navigables que celles-ci ne seraient pas oubliées dans ce projet.

Ainsi voté le budget des Travaux publics, la Chambre a renvoyé à demain après-midi l'examen de celui de la Guerre, la séance matinale étant réser- vée au débat sur les opérations électorales des quartiers de Bercy et des Quinze-Vingts, où le docteur Péchin a été élu contre M. Le Troquer.

Mais Il est à peu près certain, que le budget de la Guerre ne pourra venir en discussion, la Chambre devant être appelée à examiner le projet accordant deux nouveaux douzièmes provisoires. On annonçait, en effet, que MM. Louis Marin et Franklin-Bouillon étaient fermement résolus prononcer, à cette occasion, les discours qu'ils se proposent de faire entendre au sujet de la politique extérieure.

Comme ils tiennent par-dessus tout à. un vote, il est vraisemblable qu'ils réclameront une réduction des crédits sur l'article premier du projet de loi.

Timidement, d'abord.. cherchant ses mots. puis, bientôt gagné, enveloppé par cette atmosphère de confiance réciproque, qui amène peu à peu, mais lrrésistiblement, les échanges d'âmes et les communions de pensées, le jeune officier révélait à Léona toute l'histoire de son cœur.

Elle écoutait d'abord avec intérêt, puis avec une ferveur sans cesse oroissante, Jacques lui faire revivre simplement. sans phrases recherchées, avec ce don d'évocation qui n'appartient qu'à ceux qui ont vraiment vécu ce qu'ils narrent, les phases de cette bataille pour l'amour qu'il avait menée et qu'il devait mener encore jusqu'à l'heure de la victoire dernière.

Quand i: eut terminé, l'auditrice, qui ne l'avait pas interrompu une seule fois, s'écriait avec un sourire qui n'était pas exempt d'une certaine mélancolie:

Comme voue devez être heureux Oui, madame, affirmait Jacques. Trop heureux, même.

Ne dites pas cela!

Certes, je suis le contraire d'un pessimiste.

Tant mieux

Cependant, j'ai tellement souffert que, par instant, j'éprouve une sorte de nvjflance contre le destin, surtout quand, par suite uniquement d'un retard de la poste, ou d'une erreur de transmission, je suis vingt-quatre heures sans recevoir sa petite carte postale quotidienne. Alors je m'inquiète. Je me fais des idées. Je me demande s'il ne lui est rien arrivé. si sa mère n'a pas surpris une de mes lettres-. ou bien si elle n'est pas malade.

Je connais tout cela, murmurait Léona

Depuis deux jours, je n'avais rien reçu. j'étais très tourmenté. et puis, ce matin, une lettre, une vraie lettre, m'est enfin parvenue.-

Alors, vous avez dû être rassure ? Certes, mai* je ne vous cacherai pas qua ces trols années d'attente D4

Aujourd'hut

La flamme du Souvenir sera ravivée à 19 h. 30 par la D. I. (68'. et 1U« R. 1. et R. I. T.)

Conseil des ministre» à 10 heures l'Elybée.

Cerémeale» religieuse! Mission de CarAme pour les hommes préchée par l'abbé Hénocque, 12 h. 30, NotreDame-des-Victoires par le chanoine Audoin, 20 h. 30. Saint-Roch.

Congrès Semaine odontalogique, 14 h., 16 h. et 21 h.. Grand-Palais. Alliance démocratique. 10 h et 15 h.. 44. rue de Rennes.

Vente de charité Orphelinat du SacréCœur de Montmartre., 106. faubourg Saint-Honoré.

Réunions Chambre syndicale des propriétés Immobilières, 14 h. 80, salie Warram. Accueil social franco-américain, 16 h.. hôtel Crillon. Cerole de l'Union, 17 h. 80, au cercle. Organisations juives au suiet des incidents extrémistes d'Allemagne, 20 h. 30. salle Wagram. Centre spiritualiste. 20 h, 30, 16, avenue de Wagram. Orient-Occident, 21 h., 10, rue des Messageries. Club des payehiates. 21 h., 184. boulevard SaintGermain. Institut national agronomique, 21 h., 16. rue Claude-Bernard. Concours: Ecole pratique de coiffure, 21 h. 12, rue Pierre-Levée,

Soirée de gali» Syndicat des romanciers français, 20 h. 45, 8, rue ttaru.

Banquets Salon de la qualité française. 12 h. 30, 33. faubourg Saint-Honoré. Syndicat de la presse coloniale en l'honneur de son président. 19 h. 30. buffet de la gare de l'Est.

Courses au Tremblay à 14 heures. Concours hippique au Grand-Palais à 14 heures.

M. Paul-Boncov.r, ministre des Affaires étrangères, a reçu, hier après-midi, M. Pignatl Morenodi Cuatoza, ambassadeur d'Italie à Paris.

o–

Le mariage religieux de Mlle Monique Leclerc, fine de M. Jaritea Leclerc, gouverneur du Crédit Foncier de France, et de Mme, avec le comte de Poléon-Saint-Georges, a été célébré hier à midi, en l'église de la Madeleine. La bénédiction a été donnée par Mgr Flynn, évêque de Nevera, ancien curé de la paroisse.

Lea SOIERIES F. DUCHARNE solderont, le samedi 1" avril, à partir de 9 heures, et le lundi 3 avril toute la journée, des coupes et coupons de soieries unies, fantaisies, Impressions. Comme la main, le NSO BARRERE sans pelotes, dernier perfectionnement de la méthode du Dr L. Barrère, réduit, sans taxis, les hernies les plus volumineuses et les contient sans gêne. Broch. essais gratutta aux Etablissemente du Dr' L. Barrère, 3, Bd du Palais. Paris, 130 suceurs. ou dépôts. NECROLOGIE

On annonce la mort, à Paris, du chanoine Antoine Baston, qui était depuis trente ans curé de l'église SaintMichel des Batignolles.

La prochaine réunion de la chambre futionele de. corporations

La chambre nationale des corporations de France et des colonie» a lancé un appel le 28 mars dernier, suggérant le rassemblement de tous le» présidents de groupements commerciaux et Industriels de France. Les nombreux encouragements qui lui sont parvenus de tous tes pointe du pays l'engagent à persévérer dans cette voie.

Estimant que le moment est venu do passer à l'action, elle lance un nouvel appel aux présidents des Associations corporatives et groupements commerciaux, sans aucune exclusive et leur demande de bien vouloir assister à la réunion qui aura lieu le vendredi 7 avril, Il 14 h. 45, à l'hôtel des Chambres syndicales, 10, rue de Laocry, Paris.

Le président de la chambre nationale des corporations, M. Maurice Llévln, exposera au cours de cette assemblée les raisons de cette réunion. Il précisera notamment que « la chambre nattonale des corporations ne veut nullement absorber les groupements qui seront présents à cette réunion qu'elle n'imposera nullement ses dirigeants pour mener l'action nécessaire. Elle se contente de rassembler les présidents pour créer l'organe supérieur qui, non seulement aura pour but de lutter pour le commerce et l'industrie, mais aussi, en travaillant à résoudre la crise économique actuelle qui s'aggrave a cause des charges fiscales qui pèsent sur le pays. de sauver la nation elle-même du chômage et de la ruine. »

Un pointage sera établi 6 l'entrée de la salle. Ne pourront entrer que les présidents dûment mandatés par leurs groupements ou leur représentants qualifiés. (Adresser la correspondance 10, rue de Lancry, Paris.)

LE CHEMIN DU MAUVAIS SORT par Cayatte et Riboa

< Ce livre mérite de prendre plac8 au premier rang des romans policiers. » C'est en. ces termes que 4f. Bourdet analysait ici même l'Assassinat du Président, début des aventures de Julien OazaXis. Le Chemin du Mauvais Sort est tout aussi vivant et pledn de péripéties angoiasantes, (1 vol. 6 fr.) DU VISAGE

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sont pas sans me causer quelque frayeur. D'elle et de moi, je ne crains rien. Mais il peut se produire des événements!

Quels événements ?

Vu soldat n'est jamais maitre de sa vie Oh! n'allez pas croire, madame, que je manquerai à mon devoir ?. Je le ferai jusqu'au bout. Notre prochaine campagne s'annonce très rude et même très meurtrière.

Mon cher enfant Interrompait Léona.

Je n'ai pas peur de la mort pour moi s'écriait le jeune officier. Mais j'ai peur de la vie. pour elle Et il ajoutait, avec une gravité bien au-dessus de son âge

Plus un bonheur est grand. plus or. doit craindre de le voir s'écrouler. Et, s'arrachant, en un sursaut d'éner. gie, à l'étreinte des pressentiments auxquels il se laissait aller, 11 s'écriait: Madame, vous voulez bien que nous finissions votre lettre ?

Non, mon cher ami.

Oh! madame, je vous en prie! Pas aujourd'hui, demain!

Pourquoi?

Parce que.

Jacques, qui se dirigeait vers la table, revint vers l'aveugle. II la regarda et tressaillit.

Son visage, si calme et si reposé un instant auparavant, se crispait., en une expression de violente souffrance. Jacques eut l'impression qu'elle pleurait sous son bandeau.

Oh! madame! s'écriait-il, qu'avezvous ?

Mon petit! fit l'aveugle en un sanglot

Il lui prit la main. Elle était brûlante.

Oh pardonnez-moi, faisait le jeune officier, te vous ai fatiguée, tourmentée. Vous qui étiez si heureuse SI heureuse! soupirait Léona. Et c'est moi qui, inconsciemment, maladrottement, en vous révélant mes inquiétudes, ai ravivé en vous vos

Programme des spectacles Opéra, 8 h., la Damnation de Fauat. Suite de danses.

Franc*!», 8 h. 45, Christine.

Opi-ra-Comlque, 8 15, les Contes d'Hoffmann Gaîte-tyrïqne, S h. 45. le Pays du sourire. Trianon-Lyrlque, 8 h. 30, les Saltimbanques Châtelet, 8 h. Nina-Ross.

Variété», 8 h. 45. Une poule sur un mur. Ptft-St-Xartla, R 80, la Fille de Mme Angot. Théâtre de Paris, 9 h.. Monsieur le comte. Gymnnse, 8 h. 45, le Voleur.

Sarau-Benihardt, 8 h. !5, la FUle a Lévy. Mogador, Auberge du Cheval-Blaac. Benaissacce, 9 h" la Main dans le sac. Ambigu, 8 h. les Misérables.

Palnis-ltoyal, 8 h. 46, la Maidon d'en faae. Kmplre, 8 h. 30, Katinka.

Antoine, 8 h. 45, Mon aimée.

Bouffes-Parisiens, 8 45, Soir de Réveillon. Mtchodière, relâche.

Athéaée, 8 h. 45, Peau d'Eapagne.

Madeleine, 9 h., Cette nuit-là.

Ambassadeur*, 9 h., Bonheur.

Se»lB, S h. 45, le Progrès s'amuse.

Suint-Georges, 9 h., Trois et Une;

Nouveauté», 8 h. 45. Oh Papa (opérette). Comédie-Champs-Elysee», 9 h., Intermezzo. Grand-Guignol, 9 h.. la Goule (AnltA Solai). Dannou, 8 h. 45, Diz-Neuf Ans (opérette). Théâtre Michel, 9 h., la Femme en blanc. Capucines, relâche.

Théâtre des Arts, relâche.

Avenue (Pitoëff), 9., Marc-Aurèle, chien fld. Montparnasse, 9 h., Crime et Châtiment. Atelier, 9 h., la Paix.

Fotinière, 9 h.. As-tu le droit ? Excltlnc. Mathuriu», 9 h.. la vote lactée.

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angoisses passées. Comme vous devez m'en vouloir

Un cri jaillit du coeur de la blessée: Vous en vouloir, à vous qui venez de me donner l'illusion que j'avais encore un fils!

Madame!

C'est étrange! Je dirai même: c'est presque surnaturel. Depuis le jour où. pour la première fois, vous êtes venu vous asseoir à mon chevet, j'ai senti la paix revenir en moi. et avec elle l'espérance. Vous avez été comme un rayon de lumière dans mes ténèbres. Il M'a semblé qu'à travers mon bandeau je vous apercevais, que je vous découvrais tel que vous devez être: grand, mince, le regard clair, la physionomie à la fob vivante et douce. comme votre voix! Et quand je vous ai mieux connu, quand j'at pu apprécier votre intelligence, votre bonté, tous ces grands sentiments qui font de vous un être exceptionnel-

Oh! madame!

Laiseez-mol tout vous dire.. Et surtout depuis que tout à l'heure où, m'ouvrant votre coeur comme à une seconde mère, vous me l'avez révélé à la fois si pur et si magnifique que fai voulu me figurer un moment que c'était mon vrai fils qui me r-»*«C. que c'était là, près de mot, q-u'il étai. revenu!

» Et c'est en m'apercevant que ce n'était qu'un rêve que je me suis sentie de nouveau 'déchirée.

Vous le voyez, madame, c'est moi qui ai réveillé en vous.

Non, ne me dites pae cela!

Et se dressant, elle fit, les mains tendues vers celui qu'elle faisait mléux que voir, qu'elle sentait tout près, si près d'elle, et dont l'immense pitié la baignait comme d'un fluide de grâce: Voilà plus de vingt ans que je n'ai parlé de lui à personne. Alors, je voudrais.

Elle s'arrêta, suffoquée par les itnglote.


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L'obstruction

italo allemande

s'exerce à Genève

au comité des effectifs Les délégués italien et allemand ont déclaré vouloir s'abstenir de participer à la discussion et le comité examinera la situation cet après-midi

Genève, 28 mars (dép. Petit Parisien.) Un incident significatif s'est produit cet après-midi au comité chargé par la conférence du désarmement d'étudier le problème de la limitation des effectifs.

A la suite de l'ajournement de la commission générale, le président, M. Westmann, représentant de la Suède, demanda aux membres du comité s'ils désiraient, eux aussi, suspendre leurs séances jusqu'après les vacances de Pâques. Cependant, la grande majorité fut d'avis qu'il vaudrait mieux examiner d'abord les répercussions que le plan britannique pourrait avoir dans le domaine des effectifs.

Afin que les gouvernements puissent se prononcer en connaissance de cause, il importe, en effet, de savoir quelles sont les formations des divers pays qui rentrent dans le cadre des réductions globales proposées, avec chiffres à l'appui, par M. Macdonald.

Au vote, seules l'Allemagne, l'Italie, l'Autriche, la Suisse, la Suède et la Russie des Soviets se prononcèrent en faveur de l'ajournement. Logiquement, le comité aurait donc dû poursuivre ses travaux.

Mais le representant ae i liane, le général Riccardi. déclara que, en présence de cette situation, il s'abstiendrait de participer à la discussion, sur le résultat de laquelle il faisait d'avance toutes ses réserves.

Le représentant de l'Allemagne, M. von Wardowski, fit une déclaration identique. Par esprit de conciliation, le délégué français, le colonel Lucien, répondit alors qu'il accepterait l'ajournement à la seule condition que le comité décidât à l'unanimité que les experts se réuniraient à nouveau le 25 avril, en même temps que la commission générale.

Mais le représentant des Etats-Unis, M. Strong, trouva la concession exagérée

Je n'accepte, dit-il, ni le procédé de certaines délégations qui se livrent ici à une véritable obstruction, ni l'ajournement.

Le représentant de la Grande-Bretagne, le général Temperley, s'exprima dans le même sens. Le délégué de la Pologne s'associa, lui aussi, à cette manifestation. Dans ces conditions, le colonel Lucien retira sa proposition transactionnelle et le comité décida de se réunir à nouveau demain après-midi afin d'examiner la situation.

Après cet incident, la journée fut marquée par la réunion du comité consultatif chargé par l'assemblée extraordinaire de la Société des nations de suivre le développement du conait sino-japonais.

Au cours de cette séance, le comité a enregistré la démission du Japon comme membre de l'organisation de Genève et fixé le travail des deux souscomités qui s'occuperont, l'un de l'organisation du boycottage du Mandchoukouo, et l'autre de la question de l'embargo sur les expéditions d'armes destination de l'Extrême-Orient La France était représentée à cette réunion par M. Massigii, qui repartira demain pour Paris.

Paul DU BOCHET.

Le nouvel ambassadeur

des Etats-Unis à Paris

s'apprête à rejoindre son poste New-York, 28 mars.

DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER M. Jesse-Isidore Strauss, le nouvel ambassadeur des Etats-Unis à Paris, a prêté serment aujourd'hui au département d'Etat à Washington.

Il rejoindra son poste au début d'avril. Dans l'intervalle, un bureau lui a été aménagé au département d'Etat où il va se familiariser avec les développements récents des relations franco-américaines.

UN ENTRETIEN CLAUDEL-HULL SUR LE PROJET MUSSOLINI New-York, 28 mars

DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER M. Paul Claudel, notre ambassadeur à Washington, s'est rendu aujourd'hui au département d'Etat et a mia M. Hull, secrétaire d'Etat au cou- rant du point de vue français sur le projet de M. Muasolini.

M. JACQUES STERN

REÇU PAR M. HULL

New-Yor" 2E mars

DU NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER M. Jacques Stern, député des BassesAlpes, ancien ministre, a été reçu aujourd'hui par M. Cordell Hull, secrétaire d'Etat. Leur conversation a roulé principalement sur le programme de la conférence économique mondiale. Des avions nippons

auraient lancé des bombes sur une mission américaine Londres, 28 mars (dép. Bavas.)

On mande de Pékin au Dailly Express

Le consul général des Etats-Unis à Tien-Tsin vient d'informer le ministre de son pays près te gouvernement de Nankin que deux avions japonais avaient bombardé le siège d'une misalon méthodiste américaine, à quelques kilomètres à l'est de Pékin.

Trois bombes auraient été jetées et neuf Chinois, hommes, femmes et enfants, auraient' été tués. Les missionnaires eux-mêmes auraient échappé de justesse à la mort.

Le message ajoute qu'au moment du bombardement le drapeau américain flottait en évidence sur la maison occupée par la mission.

Le sous-secrétaire d'Etat italien à l'Aéronautique

a atterri hier en Tunisie Tunis, 28 mars (dép. Petit Parisien.) M. Ricardi, sous-secrétaire d'Etat Italien à l'Aéronautique, a atterri aujourd'hui à 13 h. 15 sur le terrain d'aviation de Laouina. Venant de Tripolitaine, il était accompagné, comme k son voyage d'aller, par le commandant Mazzarini, pilotant un second appareil.

Le résident général avait chargé le lieutenant-colonel Beucler, chef du cabinet militaire, de saluer M. Ricardi à son arrivée.

UN BOYCOTTAGE "FOUDROYANT" MENACE LES JUIFS EN ALLEMAGNE Berlin, 28 mars (dëp. Petit Parisien.) Le parti national socialiste a préparé un appel, qui a été publié ce soir, invitant les Allemands a ne plus rien acheter aux juifs, à ne plus consulter ni un avocat ni un médecin juif.

Dans quelques villes d'Allemagne, à Glewitz, Schwerin. Essen, Duisbourg, des magasins juifs ont été fermés, selon la version officielle, par les nazis simplement pour éviter des incidents.

LE MANIFESTE HITLERIEN Munich, 28 mars (dép. Havas) Le manifeste du parti national socialiste invitant l'Allemagne à boycotter les commerçants, les avocats et les médecins israélites, en réponse à la propagande antiallemande à l'étranger, a été publié ce soir.

Le parti reproche aux juifs de déclencher à l'étranger une campagne de mensonges contre l'Allemagne hitlérienne. En conséquence et par représailles, des comités d'action, chargés de boycotter les magasins juifs, les médecins et les avocats juifs, seront établis dans chaque groupe local du parti. Le boycottage devra être général et les journaux seront l'objet d'une surveillance tendant à faire connaître dans quelle mesure ils participent à la lutte contre les mensonges juifs de l'étranger.

Le boycottage méthodique et « foudroyant » sera étendu aux campagnes afin d'atteindre tous les commerçants juifs.

Enfin, le parti invite les comités d'action à s'abstenir de tout sévlce contre les juifs, mais il conclut en affirmant que quiconque s'attaque au gouvernement Hitler déclare la guerre à 65 millions d'Allemands.

LES REACTIONS

A L'ETRANGER

A New- York

Plus de 35.000 personnes ont assisté hier soir à la réunion de protestation organisée à Madiaon Square contre les excès antisémitiques en Allemagne. Comme la foule ne cessait d'arriver, deux autres réunions ont été improvisées sans pourtant pouvoir accueillir tous les auditeurs. Des haut-parleurs ont été installés aux portes des trois salles, et les discours ont été ainsi re- transmis à la foule qui se pressait dans les rues.

Le rabbin Stefen Wise, président d'honneur du congrès juif-américain, a déclaré que la protestation n'était pas dirigée contre le Reich, mais seulement contre l'antisémitisme du gouvernement.

L'ancien gouverneur de l'Etat de New-York, M. AI. Smith, de religion catholique, s'est exprimé en termes vifs au sujet de l'intolérance et des attaques contre les libertés politiques et individuelles en Allemagne.

Le révérend Manning, évêque de fEglise protestante épiscopale, a afflmé que le fondement de toute vraie foi était la croyance en un seul Dieu qui a fait tous les hommes du même sang, égaux et frères.

M. Bernard Deutsch, président américain du congrès juif-américain, a fait une critique véhémente du régime hitlérien.

M. William Green. président de la Fédération américaine du travail, a assuré les israélites de l'appui des masses ouvrières.

Parmi les autres orateurs, on cite te révérend Mac Connell, évêque presbytérien de New-York. et le sénateur Robert Wagner, qui est d'origine allemande.

A Belgrade

Une délégation de la communauté Israélite de Belgrade a été reçue aujourd'hui par le ministre des Affaires étrangères, à qui elle a demandé si le. gouvernement yougoslave ne ferait aucune difficulté aux juifs allemands désireux de se réfugier en Yougoslavie. Le ministre répondit que le traitement appliqué aux réfugiés israélites allemands serait identique à celui en vigueur jusqu'ici, mais que les réfugiés ne pourraient pas obtenir le droit à un établissement définitif.

Au Brésil

On mande de Bello Horizonte que des israélites, au cours d'une réunion de protestation contre l'antisémitisme allemand, ont adressé une motion de solidarité à leurs coreligionnaires d'Allemagne. Cette motion préconise, en outre, le boycottage des produits allemands.

CONTES HORRIFIANTS » ECRIT L'EX-KRONPRINZ

Berlin, 28 mars (dép. Bavas.) L'ex-kroaprinz a adressé à l'écrivain américain Georges Sylvestre Viereck une lettre protestant contre l'agitation antiallemande et qualifiant de menson- eers les récits d'atrocités qui auraient été commises en Allemagne. « Ces nouvelles, déclare-t-il, sont des contes horriflants comme ceux répandus contre nous pendant la guerre ».

La dissolution dans le Brunswick des Casques d'acier

Berlin, 28 mars (d. Petit Parisien.) C'est avec stupéfaction qu'on a pu lire ce matin, comme le Petit Parisien l'avait annoncé dans ses dernières éditions, que l'organisation nationaliste dite du Casque d'acier venait d'être dissoute dans l'Etat de Brunswick, par le ministre Klaggel.

Jusqu'à présent, on croyait que l'accord parfait existait entre cette association d'anciens combattants et la milice naziste.

Selon le communiqué officiel, l'organisation du Casque d'acier de Brunswick était en train d'engager un nombre considérable on parle de 1.200 individus de transfuges venus des associations républicaines en décomposition (Bannière d'Empire et Front d'airain). L'admission de ces transfuges marxistes constituait une trahison de la révolution nationale et, pour éviter des erreurs, la milice naziste a arrêté tout le monde, cadres et anciens afdliés, en tout 1.350 personnes.

Cet incident extraordinaire a donné lieu à une entrevue ce matin entre le chef des Casques d'acier, ministre du Travail Seldt, et le ministre naziste de l'Intérieur Cïœhring. Les choses, paraîtil, se seraient arrangées. Au fond de l'incident, il y a la concurrence entre le Casque d'acier et la milice.

L'incident de Brunswick comporte d'ailleurs, outre son aspect de concurrence entre Casque d'acier et milice fasciste, une signification politique en ce qu'il souligne que l'accord est loin d'exister entre le mouvement naziste et son associé, le parti Deutsch National. auquel est relié le Casque d'acier. nationaliste et monarchiste.

Munich. Le professeur Auguste LévyMeyer, savant bien connu à l'étranger, et qui était conservateur de la Pinacothèque. a été arrêté par mesure de précaution pour sa propre personne.

Hambourg. Des joyaux du, vj" siècle ont été dérobés au musée des beaux-arts.

Une interview

du prof esseur Einstein à son débarquement hier à Anvers

Le savant allemand annonce qu'il ne retournera pat daa son pays tant qu'y existeront des restrictions à la libre expression des opinions

Bruxelles, 28 mars (dép. Petit Parisien) L'arrivée du professeur Einstein à Anvers, après une excellente traversée, a été l'occasion d'une manifestation de sympathie de la part des représentants dee universités belges et des délégués des associations juives de Belgique. Voici les déclarations que le professeur a faites à son débarquement au sujet des événements actuels en Allemagne

Il existe une ressemblance profonde entre la situation présente en Allemagne et le début du fascisme en Italie. Cependant, les circonstances ne sont pas identiques. Aussi, je considère qu'il serait impossible de faire des prophéties. Elles seraient uniquement basées sur l'analogie.

Je désire faire observer à ce sujet que tout ce qui a été publié en ce qui concerne ce que j'aurais dit au cours d'un meeting pacifique à New-York a été mal interprété. Je n'ai jamais rien déclaré qui manquât d'amitié envers la nation allemande. J'ai caractérisé la période actuelle comme une sorte d'état de maladie psychologique et j'ai déclaré, en outre, que, aussi longtemps qu'il existerait en Allemagne des restrictions à la libre expression dee opinions et qu'aussi longtemps que la protection intégrale de tous les citoyens ne serait pas assurée, je ne retournerais pas là-bas. Le professeur Einstein prononce ces derniers mots en Français. Il rit de bon cœur.

Vous voyez, le français me revient. Mais il faut pour cela un certain temps.

Avez-vous l'intention de vous fixer en Belgique ?

Je ne puis que vous dire simplement que je resterai en Belgique pendant quatre ou cinq mois.

Où avez-vous l'intention de vous établir.

Je l'ignore. Je me rendrai probablement sur le littoral où je travaillerai avec mon assistant, le professeur Meyer, de Vienne, qui va venir me retrouver.

Une nouvelle question est posée au professeur Einstein

Que pensez-vous de la situation actuelle des juifs en Allemagne ? Elle est extrêmement dangereuse et je considère que le danger n'est pas autant dans le fait de la violation de la légalité constitutionnelle que dans la création d'un état psychologique qui rend extrêmement difficile l'existence économique et sociale des juifs dans mon pays.

Estimez-vous possible une réaction prochaine en Allemagne ?

M. Einstein répond en riant, suivant son habltude

Je ne suis pas prophète.

Un journaliste juif pose à ce moment la question suivante:

D'après une déclaration de l'association juive allemande et de l'organisation sioniste, les violences que les israélites auraient subies ne seraient pas aussi graves qu'on l'a dit tout d'abord. Que pensez-vous de cette déclaration ?

Je puis dire simplement qu'il n'est pas impossible qu'elle ait été dictée par des considérations d'ordre politique. Le projet italo anglais d'accord à quatre

Washington, 28 mars (dép. HavasJ M. Augusto Rosso, ambassadeur d'Italie, s'est rendu au département d'Etat, où il a donné des précisions à M. Williams Philipps, sous-secrétaire à ce département, sur le plan de M. Mussolini destiné à assurer la paix en Europe par un accord entre l'An- gleterre, la France, l'Italie et l'Allemagne, contre tout règlement par la force des différends internationaux. Cette démarche est considérée à Washington comme un désir des principales puissances européennes de tenir les Etats-Unis entièrement au courant du développement des questions concernant la paix et le désarmement. EN ESPAGNE

Madrid, 28 mars (dép. Huvas.)

A l'issue du conseil de cabinet, qui s'est tenu aujourd'hui, M. Zulueta, ministre des Affaires étrangères, a communiqué une note où il affirme la politique démocratique de l'Espagne et la volonté de son pays de poursuivre une politique de paix et de solidarité entre les peuples.

S'inspirant de ces idées, a dit M. Zulueta. le conseil a pris connaissance avec sympathie des nobles efforts faits par la Grande-Bretagne pour flaciliter les résultats de la conférence de limitation et de réduction des armements et pour arriver à un accord entre les quatre grandes puissances qui sont l'Angleterre, la France, l'Italie et l'Allemagne.

EN ROUMANIE

Bucarest, 28 mars (dép .Havas.) La presse roumaine, s'occupant des problèmes posés par la visite de M. Macdonald à Rome, continue à s'élever contre le projet de directoire à quatre puissances suggéré par M. Mussolini et surtout contre le revi- sionnisme que le long discours de Macdonald à la Chambre des communes a de nouveau porté au premier plan des préoccupations des hommes d'Etat européens.

Un raz de marée s'abat

sur le rivage de la mer Ionienne Rome, 28 mars (dép. Havas.)

Les journaux apprennent de Catane qu'un véritable raz de marée s'est abattu hier sur le rivage de la mer Ionienne et a causé d'énormes dégâts. De nombreux navires ont rompu leurs amarres et ont subi dea avaries. L'un d'eux, le Sacro Cuore, a été jeté par la mer contre les maisons de Riposto. On annonce de Reggio-de-Calabre que le voilier l'Andnce 3'est brisé sur la côte et que sa cargaison a été perdue. L'équipage, néanmoins, a pu se sauver. La ville de Messine, où la voie ferrée a été arrachée sur plusieurs centainee de mètres, a été privée de lumière. A Galati, la mer a envahi la plage sur une profondeur de deux cents mètres.

Deas voleurs d'auto arrêtés à Marseille Marseille. 28 mars (dép. P. Parisien.) Ce matin, rue Ferrari, deux inspecteurs de la sûreté ont pu arrêter, après une poursuite mouvementée, René Coquelin, trente-trois ans. né à Paris. titulaire de deux condamnations et interdit de séjour, et Henri Batifolier, vingt-quatre ans, demeurant à Boulogne-sur-Seine. Ils ont avoué avoir volé la voiture à Parts, il y a quinze jours, mais ils se sont refusés à donner aucune précision.

La catastrophe aérienne de Dixmude

Deux témoins aperçurent des Bammes s'échappant de l'avion avant que celui-ci commençât à tomber

SUITE DE LA PREMIÈRE PIGE

Dixmude, 28 mars (dép. Havas.) Un témoin de l'aocident d'aviation d'Eeesen. M. Achille Seys, a déclaré qu'il vit l'avion voler entre Eessen et Clercken. II aperçut bientôt de la fumée à l'arrière et, à un moment donné, une flamme. L'appareil commença à planer, puis, subitement, fit des tours sur lui-même pendant 500 mètres environ. Il s'écrasa brusquement sur le sol. A ce moment, dit le témoin, il se produisait une explosion; une aile tomba à 70 mètres du point.de chute, à proximité de deux fillettes.

Un autre témoin, M. Edouard Staelen, qui était sur la route d'EessenDixmude, a vu aussi de la fumée à l'arrière de l'avion, fumée qui devint subitement noire il aperçut, lui aussi, une flamme avant que l'avion s'écrasât sur le sol.

Les témoins ont l'impression que le pilote s'est efforcé de diriger son appareil jusqu'au bout.

Les victimes

A 20 h. 30, les autorités ont communiqué une liste des victimes. Les premières Indications sont incomplètes. La liste a été dressée comme suit le pilote Leleu, habitant Londres, marié et père de famille M. Kreglinger, industriel à Anvers M. Aubert Voss, de Manchester, qui doit s'être embarqué à Cologne, son passeport portant un visa de cette vilie miss Vonn, M. Rowland, M et Mme Ilrath, M. et Mme L.-A. Diddin, M. Thomson, Mlle Valérie Forrester Thomson, qui habitait Bruxelles mais possédait un passeport anglais M. L. Dibbin, M. Rowsell.

On ignore encore le nom du radiotélégraphiste et celui du mécanicien, sujets britanniques.

Les condoléances officielles

Aussitôt qu'il a eu connaissance de l'accident, M. Forthomme, ministre des Transports, a immédiatement adressé au ministre anglais de l'Air le télégramme suivant

Nous ressentons douloureusement le terrible accident qui vient de se produire à Dixmude et qui frappe cruellement l'aviation commerciale britannique. Veuillez présenter aux familles des victimes noa condoléances émues.

L'EMOTION A LONDRES

Londres, 28 mars (dép. Petit Parisien.) Le désastre du City of Liverpoo! à Eessen a causé une très douloureuse impression en Angleterre. Aussitôt la nouvelle connue, le major Brackley, l'un des directeurs de la compagnie de l'Imperial Airways, a quitté Croydon en avion avec un ingénieur consultant et d'autres officiers de la compagnie pour se rendre sur les lieux de la catastrophe. L'Impérial Airways a publié un communiqué donnant les noms des victimes et déclarant que les causes du terrible accident n'avaient pas encore pu être déterminées d'une manière définitive.

L'une des victimes, le pilote, était le capitaine Lionel Leleu. Né à Londres en 1897, élève au ColLège de Streatham, il entra dans l'aviation comme observateur en 1915 et servit aux Indes et en Egypte. Il débuta dans l'aviation civile en 1923 et il était pilote de l'Imperial Airways depuis 1926. Il était marié et résidait à Purley, près de Croydon. M. Charles Frederick Rowsell, de South Nutfield (Surrey), était président du conseil d'administration de l'African and European Investments Cy Ltd et président ou directeur de vingt-cinq autres compagnies, dont les plus importantes étaient d'origine sud-africaine Fraulein Lotte Vonn, âgée de seize ans, revenait de chez ses parents qui habitent près de Cologne et se rendait à son école d'Ivy House à Wimbledon M. L. Dibbin vivait à Carshalton et il était membre de l'institut des ingénieurs de Sutton. LES ACCIDENTS DE LA ROUTE

Une moto de jette contre un poteau M. Raoul Faurent, 8, rue Pierre Vigner, à Paris, revenait hier à motocyclette d'Andrésy, lorsque, en arrivant à proximité de ChanteloupJes-Vignes, Il eut quelques secondes d'inattention. Sa machine qui roulait vive allure escalada le talus qui borde la route et alla se briser contre un poteau télégraphique.

Des témoins de l'accident se précipitèrent au secours du motocycliste qu'ils relevèrent inanimé. On transporta aussitôt M. Faurent à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye où son état est jugé des plus inquiétants.

En forêt de Fontainebleau un cerf se jette contre une auto M. Bestard. marchand de primeurs, rue Grande, à Fontainebleau, se rendait l'autre soir en auto à Marlotte, en compagnie de son fils Paul qui tenait le volant, quxnd, ébloui par les phares, un cerf vint se jeter contre la voiture. M. Bestard put s'arrêter très rapidement et les deux automobilistes durent mettre pied à. terre pour dégager les bois du cerf enchevêtrés dans l'avant de la carrosserie. Quoique blessé, l'animal a pris la fuite à travers bois.

Inquiétante disparition d'une jeune fille

M. Alphonse Gallet, entrepreneur de ma» sonnerie à Sammeron, a signalé à la gendarmerie l'inquiétante disparition de sa fille Madeleine. âgée de vingt-quatre ans. Cette jeune fille avait quitté jeudi matin le domicile de ses parents pour aller mettre en état un pavillon voisin appartenant à un commerçant parisien. Depuis lors, on ne Ta pas revue et il a été impossible de retrouver ses traces.

M. Gallet est convaincu qu'il ne peut s'agir d'une fugue ni d'un suicide, décisions que le caractère de sa fille ne permet pas d'envisager. Il ne pourrait donc être question que soit d'un accident, soit d'un attentat.

Les prix de vertu de Versailles Le conseil municipal de Versailles a attribué pour 1938 les prix de vertu aux lauréats dont les noms suivent

Prix de la Ville (3.000 francs) Mme veuve Chrétien, journalière, 44. rue de l'Etang; prix Jaze (2.487 fr.) M. Pierre Galopin, menuisier, rue Coste; prix MarieGabrielle Lepine (1.200 fr.) Mlle Kurtz, couturière, 30, rue Saint-Nicolas: prix Lemardelé fr.) Mlle Debras, 98, rue de la Bonne-Aventure, et Mlle Santerre. 65, rue de la Paroisse; prix veuve TraveH (368 fr.): Mlle Dedlinger. 48, rue des Sentiers; prix Loudieu (500 fr. chacun) Mlle Mignon, 34. rue du Vieux-Versailles. Mlle Garel, il, rue Hoche; Mlle Blondeau. 1, rue Jouvencel Mlle Bardeau. 45, rue Porte-de-Buc. ACCIDENTS DE MOTOCYCLETTES Un motocycliste, M. Maurice Bourdon. âgé de trente-deux ans. cantonnier au chemin de fer du Nord, roulait, à vive allure, avenue de la Gare, à Fleuquières, lorsqu'il flt une embardée suivie d'une chute sur le pavé. Le crâne fracturé et la colonne vertébrale brisée, il fut tué sur le coup. Rue de la Gare, à Cauvigny. une collision «est produite entre une camionnette et une motocyclette montée par M. Emile Duchatel, trente-huit ans, et sa femme, née Marcelte Corroyer, trente-deux ans. M. Duchatel a été grièvement blessé à la tête et à la poitrine; sa femme a été atteinte à une jambe.

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

La feu ravage

vingt hectares de marais

Un incendie dû à une imprudence a éclaté dans les marais de Malssemy et s'est propagé vers le sud. Les gendarmes et la population ont arrêté ses progrès aux abords du hameau de Vlllecholles. Il a ravagé plus de vingt hectares de marais plantés.

ATHIES-SOUS-LAON. Dans une bagarre survenue entre plusieurs jeunes gens de la localité, l'un deux André Collard, vingt-huit ans. marchand forain, a eu la jambe droite fracturée. Il a été transporté à l'Hôtel-Dieu de Laon.

EFFBY. Un incendie a détruit un vaste hangar abritant des balles de paille et des machines dépendant de l'usine Briffault. Les dégâts s'élèvent à 50.000 francs. Le feu aurait été occasionné par des étincelles jaillies d'une locomotive.

JUVINCOIJBT-ET-DAMMABIE. Un Incendie attribué un court-circuit a détruit un hangar appartenant à M. Nielsen et abritant pour 120.000 francs de récoltes. LE CATELET. La gendarmerie a arrêté le charron Alexandre Thuliez, cinquante-neuf ans, demeurant à VillersPlouich (Nord), qui s'était fait reconduire de Paris jusqu'à Nauroy par un chauffeur de taxi qu'il n'avait pu régler. Thuliez a déjà été condamné à la prison pour un délit analogue.

MAISSEMY. La gendarmerie a arrêté les nommés Victor Croquet, vingt et un ans Robert Laberguerie, vingt-quatre ans. et André Satizelle, de Pontru. auteurs des nombreux vols de lapins commis récemment.

SISSY. L'automobile de M. Eugène Terrier, cultivateur, a renversé un attelage conduit par M. Marius Savreux, cultivateur à Thenelle. Le conducteur et sa soeur, Mme veuve Savreux, soixante-sept ans. furent contusionnés sa nièce, Mme Lécaillon. de Regny, fut assez grièvement blessée sur diverses parties du corps. VADENCOURT. Un cycliste, M. René Lecat, a été renversé, sur la route nationale, par une automobile qui en doublait une autre restée en panne. Assez grièvement blessé, M. Lecat a été conduit à l'hôpital de Guise.

SAINT-QUENTIN. Des conférences avec démonstrations sur la défense contre le danger aérochimique seront soumises à leurs adhérents par les Assistants du devoir national, demain et lundi, à 20 h. 30, au palais de Fervaques, salle des conférences. S'inscrire 28. rue de Cronstadt. Rue de Guise, un motocycliste, M. Pe- titcolin. vingt et un ans. employé de banque, 149. rue de la Fère, voulut stopper trop brusquement. Il fut projeté sur le pavé et blesaé assez grièvement à la tête. On a dû l'hospitaliser.

On a effectué, en gare, un lâcher de 46.160 pigeons voyageurs venus de Belgique.

EURE-ET-LOIR

DREUX. M. Paul Langeois, âgé de trente-deux ans, journalier, demeurant route de Fontaines. a été renversé par une auto. Blessé, il a été admis à l'hôpital. SAINT-AIABTIN-DE-NIGELLES. Chargé d'entretenir le jardin attenant à la maison de campagne que possède M. Léon Drouet employé à Paris, le jardinier Sylvain Gouju, cinquante-trois ans. récemment expulsé de son logement, s'installa dans un bâtiment à usage de débarras sans demander d'autorisation. Comme M. Drouet s'étonnait de son attitude, Gouju prit mal l'observation et sortant un revolver de sa poche tira sur M. Drouet qui, heureusement, ne fut pas atteint.

Incendie de bois

Plusieurs hectares de bois ont été la proie des flammes à Saint-Sam3on-la-Poterie, dans le domaine du château de Mercastel appartenant au duc de Yolignac, Le personnel et la population des environs sont intervenus pour enrayer le s)nistre que l'on attribue à la malveillance.

Un enfant tué par une auto A Roberval, un jeune garçon de neuf ans, Jacques Caune, qui traversait la chaussée, a été renversé par un camion d'un grand magasin parisien et fut tué sur le coup. BEAUVAIS. L'assemblée générale de la chambre syndicale des débitants de tabac de l'Oise aura lieu demain à 15 heures. à l'hôtel de ville, sous la présidence de M. Pipe, président de la Confédération nationale. Le soir, un banquet amtcal réunira les congressistes à l'hôtel d'Angleterre sous la présidence du préfet et des parlementaires du département.

Un individu d'une trentaine d'années. se prétendant envoyé par un grand cirque dont le prochain passage est annoncé à Beauvais, s'est présenté en différents hôtels pour retenir toutes les chambres et assurer le ravitaillement de nombreux convives. Il a réussi à se faire remettre certaines sommes à titre de commission. Il s'agit d'un escroc qui a opéré de la même façon à Chantilly et dans la région. ESTREES-SAINT-DENIS. Un incendie dont les causes sont accidentelles s'est déclaré l'autre nuit dans le fournil de la boulangerie Georges Colle, 57, rue de Flandre. Les époux Colle n'ont eu que le temps de s'enfuir avec leurs enfants. Les pompiers ont pu sauver une partie du mobilier et préserver les immeubles voisins. Les pertes s'élèvent à 100.000 francs. NEUILLY-SOUS-CLEBMONT. Plusieurs habitants, émus par l'état de maigreur des quatre fillettes du manouvrier Marcel Droit, trente-six ans, avisèrent le parquet de Clermont. L'enquête apprit que le père indigne, resté veuf, s'enivrait avec le produit de sa .paye et laissait ses enfants sans nourriture.

Les pauvres enfants ont été confiés momentanément à des voisins charitables ONS-EN-BRAY. M. Théodule Clabot et M. Emile Barnay ont été élus conseillera municipaux.

SE1NE-ET-OISE

Incendie de bois

Un incendie, causé, croit-on, par l'imprudence d'un fumeur, a détruit dix hectares de taillis dans le bois de la Grange, à Yerres.

AULNAY-SOUS-BOIS. Des ouvriers travaillant sur le chantier du nouveau groupe scolaire Paul-Bert ont été pris à partie par un groupe d'autres ouvriers qui tentèrent de les débaucher. Une bagarre s'ensuivit au cours de laquelle des coups rurent échangés. M. Lagier, commissaire de police, recherche les perturbateurs. BOISSY-SAINT-LEGEB. Mme Jeanne Léo, âgée de cinquante-deux ans, demeurant 8. rue de La-Fontaine, a été renversée par un cycliste et grièvement blessée. CORBEIL. Deux braconniers. Roger Barbe et Georges Frappa. 21, rue Boulay. Alfort, ont été surpris, l'autre nuit, par l'agent de police Mathieu alors qu'ils péchaient dans la Seine avec un filet de 30 mètres de long. Procès-verbal a été dressé aux deux délinquants qui sont des récidivistes du fait. Frappa, seul, a déjà eu 158 condamnations.

LE BAINCY. La gendarmerie a arrêté les nommés René Damet, Georges Boutben, sans domicile fixe, auteurs du vol commis au préjudice de Mme Blanc, propriétaire du café du Casino. Damet avoua avoir commis précédemment un autre vol chez Mme Blanc. Les deux malfaiteurs ont été écroués.

LIMEIL-BBEVANNKS. Circulant bicyclette, le jeune Roger Kerberiaux, âgé de treize ans, demeurant chez ses parents, 28. rue Louise-Chenu, à BoissySaint-Léger, s'est jeté contre une automobile. Grièvement blessé il a été transporté à l'hôpital Trousseau.

1ONGJUMEAU. Grande-Rue, une remorque attelée un camion se détacha soudain et, projetée sur le trottoir, heurta un groupe d'enfants qui se rendaient à l'école. L'un d'eux. André Gabriel, neuf ans, demeurant dans la même rue, fut blessé à la tête. Après avoir reçu des soins dans une pharmacie, il a pu être ramené à son domicile.

MASSY. Un vol de cent litres d'essence a été commis par un inconnu au poste de distribution de M. Amerigo Ciapono, 234, route d'Orléans.

OBSAY. Un incendie s'est déclaré dans un bois à proximité du lotissement de la Troche. Les pompiers de la localite se sont rendus maîtres du feu après une heure de travail.

PERSAN, Ce soit. à 20 h. 30, salle de la mairie, sous les auspices de l'U. P.. M' René Idzkowski, avocat à la cour de Paris, fera une conférence sur lé trafic des stupéfiants.

VERSAILLES. Au cours d'une cérémonie intime qui s'est déroulée à la clinique du docteur Aumont, 52 tar, avenue de Saint-Cloud, Mlles Colomb et Denet, présidente et vice-présidente de l'Union des temmes de France ont remis la médaille d'honneur de ce groupement à Mile Thierry, directrice de la clinique, en témoignage du dévouement dont elle fit preuve en donnant plusieurs fois son sang pour des transfusions.

Le conseil municipal a décidé la suppression des grilles d'octroi qui s'élèvent fre, avenue de Villeneuve-l'Etang et rue de l'Orangerie. Ces suppressions ont toutes pour but de faciliter la circulation. Four raisons de santé, M. Martin Saint

OISE

Léon vient de donner sa démission de conseiller municipal.

Avenue de Sceaux. M. Auguste Martin. âgé de soixante et onze ans, 22, rue Royale, a été renversé par une auto et blessé à la tête.

:5bttez lpj- bSAorotu pou pouopouopo VILLENEUVE-SAINT-GEOBGES. Ce soir, à 20 h. 30, au théâtre municipal, conférerîce sur l'histoire de l'aviation par M. Léon Coué: projection du film « Tourisme aérien au mont Blanc s; entrée gratuite.

SEINE-ET-MARNE

BOISSY-LE-CHATEL. Aux papeteries Sainte-Marie, un ouvrier coupeur. NI. Gilbert Moreau, âgé de vingt ans, happé par une courroie, a été mortellement blessé et a succombé presque aussitôt.

CLAYE-SOUILLY. A Bel-Air, 1'auto de M. Moreau, électricien à Paris, est entrée en collision avec le taxi de M. Loreiller, de Drancy, dans lequel avaient pris place plusieurs personnes de Meaux, dont une. Mme Jubin. a été contusionnée. Elle a été ramenée à son domicile après avoir reçu des soins.

MEAUX. Plus de 300 commerçants et industriels ont assisté à une réunion du syndicat du commerce, tenue hier soir à l'hôtel de ville. Après un exposé de M. Gas- ton Bennefoy, délégué de la Contédération des groupements commerciaux et industriels de France, l'assemblée a voté un ordre du jour protestant contre les aggravations des charges fiscales et réclamant la suppression des fonds de subventions et des monopoles à rendement déficitaire, la revision des assurances sociales, la réduction du train de vie de l'Etat et l'égalité fiscale intégrale.

QUINCY-VOISINS. La compagnie d'arc a procédé au tir de l'oiseau celui-ci a été abattu à la septième flèche par le chevalier Clément Roger qui a été proclamé président pour 1933.

SAINT-CYK-SUB-MOBIN. Un incendie a détruit un hangar appartenant à M. Rossignol, cultivateur. Les dégâts sont évatués à 120.000 francs environ.

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LES CONTES DU « PETIT PARISIEN t LA REVANCHE DE TOURLOUROU 1 ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ par Henri BÊNAZET

A l'état civil il s'appelait Eniest Gridois. Sur les affiches. Tourlourou. Un comique troupier à l'instar de feu Polin, mais en long, en maigre et qui, pour connaitre une notoriété moindre, n'en faisait pas moins son effet à la scène. Il brillait, vous le devinez, au temps lointain d'avant guerre, où le café-concert jouissait d'une vogue que n'éc&psaient ni le music-hall, son futur vainqueur. ni le cinéma vagissant alors dans ses langes, Affublée? d'appellations romantiques, Alcazar, Eldorado, des salles sans lustre, aux lambris fanés, vous accueillaient dans une atmosphère de tabagie. 0 époque bénie 1 Point d'autres déb6urs que la consommation obligatoire. cerises à l'eau-de-vie dé préférence. Commander whisky ou cocktail, au garçon poussif qui se traînait de table en table, autant eût valu lui parler hébreu. Mais si la ltfflonade était classique. l'éclairage pauvre, le chauffage médiocre, la ventilation déficiente. ces beuglants ne manquaient point d'un étrange charme. A les évoquer, d'aucuns éprouvent une nostalgie.

Sur ces plateaux sans prétention, Gridois apparaissait après le chanteur à voix, avant la gommeuse, pioupiou au képi avachi, au pantalon tire-bouchonné, mais ganté de neige. Accompagné par un piano anémique, il modulait la babillarde aux vieux, détaillait des grivoiseries pour jeunes bonnes, disait son fait au juteux et entonnait la marche de la classe. Tour à tour tendre, polissonne, plaisante, patrio- tique. sa chanson flattait les goûts les plus divers.

Son morceau de résistance, son triomphe constamment bissé, c'était l'air de Tourlourou. scie populaire, d'où Il tirait son pseudonyme, rengaine ni meilleure ni pire que d'autres et qui, avec un peu de chance, devrait figurer dans l'anthologie des comiques.

Ce répertoire si complet, les godillots du' troupier le rythmèrent un quart de siècle sur les planches de tous les cafés chantants de province. Vint la guerre qu'. en fauchant tant de pantalons rouges, sonna par voie de conséquence le déclin de Tourlourou. Mué en poilu. Bidasse n'était plus possible, sous peine d'indécer-ce. Et. qivand les bouis-bouis rouvrirent à l'armistice, les histoires de caserne passée? de mode-exhalaient le son vieillot d'un harmonica égaré dans un jazz. j'ai tenté la chance, me dit un jour Gïidcis, en veine de confidences, mais ni mon falzar. ni mon mouchoir jaune, ni mes bêttses ne déridaient le publilc. En me voyant, les gens pensaient à trop de choses. J'avais l'air d'un revenant. quo: Renorçant à s'accrocher, ü abamion.vi son genre pour celui du comique idiot Hélas' reconquérir les salles sous un nouvel aspect devient périlleux lorsqu'on a franchi 'a cinquantaine. Dans !e complet sous le feutré sans bord, l'artiste, ne retrouvait Plus l'étincelle.

le me sentais gêné aux entournures. Et puis, eejtè «aérée'' habitude' dé scander mes refrains avec mes croquenots quand il aurait faHu des cabrioles Tourlourou en. péjwn, ça ne collait plus.

Ii se retira, prématurément peut-être. Là tésuireçtion de la tenue d'autrefois, qu'on nous annonce prochainement, ne relèvera-t-elle pas l'empioi ? Il est vrai que iui- avait passé l'âge.

Maigre la légendaire dissipation des artistes, Gridois disposait d'une modique aisance, de quoi joindre les deux bouts dans une bicoque la campagne. Distractions ? La pêche, la lecture, de rares parties de manille au cabaret du village. Comme tous les professionnels du rire. il se montrait dans le prive triste et presque misanthrope.

Son intérieur révélait le vieitx garçon qui se néglige. Aux murs. des affiches pisseuses de 1900. Dans un placard. la défrçque militaire, rongée de mites. C'étaient là tous les vestiges d'antan. Son passé, il n'y songeait plus, comme tous ceuz qui. persuadés d'avoir manqué leur destin, évitent de se souvenir.

Un raté I marmonnait-il quand on le mettait sur ce .sujet. Et de détourner l'entretien.

Peut être redoutait-il une autre souffrance. Ce passsé, c'était aussi celui de Lola Mado. une fantaisiste, longtemps compagne de sa vie errante, morte phtisique, et dont le portrait cravaté de crêpe. figurait le seul ornement de sa chambre monacale.

A se confiner dans le bled, on s'ennuie à 'la longue. L'hiver surtout. Un jour, après bien des atermoiements. Gridois fit placer un poste de radio. La musique des ondes vint désormais distraire sa solitude.

Au début, il se défendit d'écouter ses émules de l'heure.

De la gnognote! tranchait-il sans réplique. Aujourd'hui, le comique sain fout le camp.

Car, sans être un m'as-tu vu, il possédait une juste conscience de ses mérites de naguère. Sa curiosité l'emporta pourtant sur sa prévention. Bientôt, il n'eut de cesse d'ouïr ses successeurs, attentif à critiquer leur manière, censeur impitoyable. Et les sarcasmes dont il accablait leurs chansonnettes lui rendaient sa retraite moins douloureuse.

Un soir qu'il bougonnait contre les parasites, cette plaie de l'audition, la voix du speaker annonça

26 Feuilleton du Petit Parisien, 29-3-33 LE POISON

DE LA HAINE

qnml roman Inédit

par

̃ Jacques LA CHERCHE

DEUXIEME PARTIE

UN HÉROS

X (suite)

Ce qui se préoare. à la Battide

Une fois, sur la route de Labressac, Etienne croisa l'auto dans laquelle se trouvaient les deux jeunes femmes. Leur voiture était découverte et allait très lentement parce qu'un troupeau de moutons affolée barrait la route. Au salut d'Etienne, Solange et Lucie répondirent par une simple inclinaison de tête.

Elle boude, songea Etienne, et veut jouer à la grande dame. Cela lui passera!

Il ne lui était plus possible, à présent, de se renseigner auprès de Suzanne Saulier elle n'habitait plus Vandeul. Son mari avait été nommé à Thonon. Etienne. ne recevait plus d'elle que de rares et brèves nouvelles. D'aüleurs. il la croyait en froid avec Solange. Cependant, des domestiques de la bastide avaient dit au village que Mme Halrelle attendait des amis. Et le soir même du jour où il l'avait rencontrée sur la route. Etienne vit trois autormobiles inonter la côte et entrer dans la cour du château.

Copyright by J. La Guerche 19S3. Traduction nt reproduction interdites en tous pays.

Veuillez écouter une sélection des vieux succès français.

Gridois dressa l'oreille à ce pot pourri où la Boiteuse précédait Tout le long de la Tamise et la Matchiche succédait à la Petite Tonkinoise. Un flot de souvenirs coula dans la bicoque où surgissaient les ombres des camarades qui avaient lancé ces flonflons.

Nous continuons, dit le parleur, par un air bien oublié qui fit fureur à l'épo- que Tourlourou. Interprété par son créateur.

Médusé. Gridois porta la main à sa poitrine. Il étouffait. Mais déjà se déversait la cascade des premières mesures. Un silence. Et soudain, claire, sonore, entraiaante, sa voix retentit. Il respira, délivré. Ce disque, le seul de ses morceaux qui fût enregistrée, il le devait à l'insistance de Lola, aux premiers temps du phonographe.

Plus tard, avait-elle dit. nous serons heureux de nous entendre, quand nous prendrons nos invalides dans une maisonnette de banlieue.

Pour son compte, elle avait choisi En revenant des drags, son succès. Il pressentit qu'il écouterait tout à l'heure le timbre de sa compagne morte. Par quel chercheur ces deux disques désuets, point destinés à la vente, avaient-ils été tirés de leur léthargie, dans le stock d'une marque disparue? Il s'en réjouit intimement. Rasséréné. durant que s'égrenaient les dernières notes pimpantes, il se revit, saluant sous les acclamations. main droite à la visière, avec une gaucherie affectée. Une bouffée d'orgueil lui souffla au visage. Mais Lola, comme il l'avait prévu, prenait son tour. Tandis que grésillait le timbre acidulé de la fantaisiste, les larmes lui vinrent aux yeux, Une voix depuis trente ans éteinte

Son amie, il se la remémorait en amazone, un gibus crânement posé sur ses boucles blondes et stick en main. Quel galbe Quel chic, comme on disait alors, de ce mot à la mode Que de conquêtes elle eût pu faire Pourtant, elle lui était restée obstinément fidèle. Chère Lola Il lui devait tout le bonheur de sa vie.

Pour terminer notre sélection, le bal musette, duo par Lola Mado et Roger Valbor.

Cela l'assomma comme un coup de masse. Un instant hébété, il rugit de rage. Roger Valbor Ce bellâtre qui soupirait la romance, en habit mauve, un gardénia à la boutonnière. Ce don Juan toujours environné d'un harem de femmes frétillantes. Ainsi Lola, elle aussi. Et au point qu'ils s'étaient fait enregistrer ensemble. Ah les misérables

Il se sentit défaillir et crut qu'il allait passer. Avec peine, il étendit le bras vers le bouton pour arrêter cet infernal supplice. Mals. dans l'intervalle, Valbor eut un léger couac.

Cornichon murmura Gridois en laissant retomber sa main.

L'oeil allumé, le cœur repris par sa jalousie d'artiste, plus forte que sa rancune de mâle, il guetta, avec délices une-défaillance vocale de son riva! d'autrefois. Henri Bénazet.

DANS LES GROUPES DE LA CHAMBRE Chez les radicaux socialistes

Courte réunion, hier matin, au groupe radical socialiste, sous la présidence de M. Herriot.

M. Jean Hérard. député de Maineet Loire, a été élu vice-président, en remplacement de M. Bergery.

D'autre part, M. Marchandeau a été chargé d'étudier et de soumettre bientôt au groupe un texte réglementant le dépôt et te vote des projets et propositions portant augmentation de dépenses.

Les socialistes S. F. 1. 0.

et la loi de Finances

Au groupe socialiste, les représentants à la commission des finances ont rendu compte de leur entrevue avec le n.inistre du Budget, relativement à la laide Finances. Le groupe a confirmé sa décision de n'accepter aucun texte frappant les anciens combattants et aucun relèvement des droits de douane sur lee cafés. Il n'acceptera pas non plua que les retraités civils soient soumL à un prélèvement.

Il a réservé sa décision sur les amendements qu'il envisage de déposer. Pour information, le bureau du groupe et ses commissaires aux finances ver ront les représentants du groupe radical socialiste.

La chambre de commerce franco asiatique

et la question mandchourienne Une importante réunion s'est tenue hier à la chambre de commerce franco-asiatique, 97, rue Saint-Lazare. Elle a été conaacréa à l'étude de la question mandchourienne.

Parmi les nombreuses personnalités, on reconnaissait MM. Hloki, représentant de l'Etat mandchoukouo; Chin Ishi Shiba, secrétaire à l'ambassade du Japon de Wendel, André Citroën, C!avery, ministre plénipotentiaire, président de la Société franco-japonaise M. Pierre Lyautey, qui revient d'Extrême-Orient, traita de l'organisation financière, administrative et politique du nouvel Etat M. Massenet, directeur de la Banque franco-asiatique, fit une communication sur le marché mandchourien, ses ressources et ses besoins, et M. Leune parla des relations maritimes franco-japonaises.

Les jours suivants, d'autres voitures encore arrivèrent.

Mais combien de monde va-t-elle donc faire venir ici ? demandait Mauroc, mécontent et Inquiet.

Elle va nous empoisonner le paya! gronda Etienne.

Par Victorine, il tenta d'obtenir des renseignements sur les invités. Elle montait parfois à la bastide, où Solange l'invitait pour la distraire. Emile, pris à la pharmacie tout le jour, prétextait la fatigue pour ne pas accompagner sa femme. Sa timidité lui faisait appréhender de se trouver avec des inconnus. Solange envoyait donc prendre Victorine en auto, et de traverser le pays en si bel équipage la gonflait d'orgueil, bien qu'elle n'en détestât que plus fort sa belle-soeur.

A la vérité, elle se sentait dépaysée au milieu dg ces gens qui parlaient de musique, de théâtre, de mille sujets auxquels elle n'entendait rien. On ne s'occupait guère d'elle et elle en éprouvait du dépit. Peu à peu. ses visites s'espacèrent.

Ce sont des musiciens, des gens de théâtre, dit-elle à Etienne. tous plus poseurs les uns que les autres. Les hommes, quels sont-ils? Sais-tu leurs noms?

I1 y en a un grand, très beau garçon, mais qui le sait trop; Il s'appelle, je crois, Jacques Bernard!.

C'est un ténor de l'Opéra. Je le connais!

Un autre, qui doit chanter aussi, s'appelle Edgar Ladevèze.

De l'Opéra également! dit Etienne. C'est un excellent baryton.

Il y a aussi Jean Farety, Francis Casamer.

Tous des chanteurs! Quel est celui avec lequel Solange parait le mieux? Le mieux?

Oui, enfin, selon toi, lequel est son amant?

Ça. le l'ignore! Elle est bien avec tous. tres libre, comme sont les femmes de théâtre, flt-elle avec une moue méprisante. Mats quant à savoir lequel

« Le Petit Parisien » en Autriche Les grands courants d'opinion

SUIT! DE LA PEEMIERC PAÇB

On peut donc affirmer que les six millions et demi de citoyens de la jeune république sont tous mécontents et, en grande majorité, révisionnistes. A quelque classe sociale qu'il appartienne, aucun d'eux n'est un vaincu résigné, aucun n'accepte comme équitable et définitive la situation qui a été faite à sa patrie et dont il éprouve personnellement, avec plus ou moins d'acuité, les répercussions.

Voilà un relief général, réel, et qui échappe à toute classification politique. Il va de soi que, selon leur altitude et leur configuration particulière, tous ces mécontentements n'ont pas le même horizon ni ne reçoivent les mêmes courants atmosphériques. Pour déterminer ces grands courants qui animent actuellement l'opinion autrichienne, il faut se garder de simplifier à l'extrême. On ne doit pas négliger les doctrines, les aspirations ou les réactions sociales ou religieuses. Il y a ici une démocratie ouvrière, un catholicisme paysan, un germanisme, un nationalisme autoritaire, un monarchisme légitimiste. Mais, pour peu que l'on s'élève, on s'aperçoit que tous ces partis reçoivent leur aération de deux sommets principaux, respirent et aspirent en deux directions.

Le premier courant remonte le Danube jusqu'à la Forêt Noire; le second redescend le fleuve jusqu'aux Portes de Fer.

Si je reprenais mon crayon, je devrais employer sur la carte mes quatre couleurs indistinctement en amont et en aval car chaque fraction est plus ou moins divisée par l'une et l'autre attraction et subit, au jour le jour, telle ou telle influence, selon la force des vents et les fluctuations météorologiques. En clair, ceux qui n'acceptent pas le sort de leur pays envisagent l'une ou l'autre solution l'intégration de l'Autriche allemande dans le grand corps germanique ou la reconstitution, sinon de l'ancien Empire, tout au moins d'une union fédérale suffisamment étendue et harmonieuse pour former une nation économiquement et politiquement viable.

Je crois indiquer un sentiment profond qui n'est pas toujours conscient ni avoué. On s'exprime souvent ici avec plus de prudence on se sert de circonlocutions « Accords douaniers ou financiers, traités de commerce, concessions industrielles, ententes agricoles, contrats de travail Internationaux, etc. ». Par contre, ceux qui ne se croient pas tenus aux mêmes réserves de pensée et de langage parlent plus nettement et ne déguisent ni leur colère ni leurs vœux.

Les deux tendances ne se heurtent pas toujours violemment parfois méme elles s'interpénétrent. Si elles ne visent pas au même effet, elles sont commandées par une cause unique l'inadaptation de l'Autriche à son statut d'après guerre.

L'inguence de Rome

et de Berlin

A l'extérieur, elles sont plua, ou moins secrètement encouragées, l'une par Berlin, l'autre par Rome.

La solution allemande, ainsi que je l'ai noté précédemment, compenserait exactement en territoire et en population les pertes du Reien' elle satis- ferait aussi le sentiment de la grande familla germanique.

D'autre part, la solution fédérale danubienne atteindrait directement la Petite Entente et créerait automatiquement la fameuse zone d'influence souhaitée par M. Mussolini.

Parmi les partisans du rattachement à l'Allemagne de l'Anschluss, puisqu'il faut l'appeler par son nom on pouvait ranger, hier encore, les sociaux démocrates subissant alors l'attraction naturelle de la démocratie allemande, une partie des chrétiens sociaux, les Grands Allemands, etc. Dans l'autre camp, nous retrouvions des chrétiens sociaux, à côté des agrariens, des monarchistes, etc.

Mais, depuis quelques mois, l'une et l'autre tendance semblent se débarrasser de leur bariolage politique et paraissent se simplifier sous le signe du faisceau allemand, faisceau autrichien. Les deux fascismes progressent, absorbant les forces, colorant les nuances de tous les partis de droite chrétiens et agrariens, pangermanistes et habsbourgeois. Ils ne rencontreraient bientôt plus devant eux qu'une grande opposition de gauche la socia!e démocratie.

J'ai déjà écrit que les deux faisceaux ont de nombreux points de contact et que la croix gammée verte pourrait bien devenir noire depuis qu'Adolf Hitler est monté au Capitole.

Dans quelle mesure peut-on mesurer la température, établir le climat moyen de cette Autricha ? Le thermomètre et le baromètre électoraux ont été prohibés comme des instruments dangereux.

Le gouvernement et l'opposition s'accordent sur un pronostic.

Des élections législatives, aujourd'hui enverraient au Conseil national

est le préféré?. Elle cache bien son jeu, je t'assure' Il y a aussi un violoncelliste, auquel elle témoigne beaucoup d'amitié.

Ah Qui donc ?

Attends. Comment s'appelle-t-il? Tous ces noms, tu sais, moi je m'y perds. Il a un nom étranger Wenceslas, je crois.

Wenceslas Barjanski, peut-être ? C'est ce!a Oui, parfaitement Tu le connais aussi ?

Il est célèbre C'était un iamarade de Franz Noél. Mais cela ne veut rien dire c'est peut-être lui, aujourd'hui, qui remplace son ami

Peut-être! répéta Victorine, sans remarquer la nervosité d'Etienne. Mais, vraiment, tu n'as rien remarqué entre eux ?

Pas plus qu'avec les autres. Ah je t'assure qu'elle est rouée Peut-être agit-elle ainsi pour me donner le change? Parce que je m'imagine bien que, lorsque je n'y suis pas. elle se tient tout autrement, et ses amis aussi! Et les femmes, sont-elles jalies ? C'est difficile de se rendre compte, elles sont si fardées

Pas plus que toi, fut tenté de dire Etienne.

Mais il tint sa langue pour ne pas fâcher Victorine.

Sal»-tu leurs noms ?

Il y a d'abord Lucie Raibel. Oh celle-là ne compte pas elle est trop lalde

Solange semble ¡'aimer beaucoup. Je le sais ce n'est pas nouveau Il y a aussi une grande brune qui a une belle voix grave: Madeleine Gramand.

De l'Opéra encore. Un beau contralto!

Et puis une autre brune qui est là avec son mari. Tous deux ont un fort accent étranger. Lui est violoniste. Ils s'appellent Almire7, je crois. Des Américains du Sud. La femme est une chanteuse très connue

ou une majorité ou une énorme minorité d'hltrérienirà côté dîme forte minorité socialiste conservant les positions acquises. C'est pourquoi le cabinet de M. Dollfuss, qui s'est, depuis, libéré du Parlement, ne compte pas se soumettre a l'épreuve d'une consultation populaire. Et c'est aussi pourquoi les nazis, autant que les socialistes, désirent cette consultation. Résumons

Une réaction commune la mécontentement. Il faut sortir du statu qito Deux aspirations entrer dans la maison allemande ou reconstruire la maison autrichienne. Mais chacun des deux courants se heurte à des obstacles. D'une part l'Anschluj8 n'est pas admis par certaines puissances européennes il éœure nettement la démocratie autrichienne depuis l'instauration du régime dictatorial et effraie les catholiques autrichiens attirés par la Confédération germanique, mais rebutés par la centralisation prussienne et l'exemple bavarois. D'au- tre part, la fédération danubienne, avec ou sans restauration monarchique, ne pourrait être acceptée par la Tchécoslovaquie, ni la Yougoslavie, ni par aucun des membres de la PetiteEntente. Elle risquerait de déterminer un conflit balkanique.

Entre Charybde et Scylla, M. Dollfuss gouverne sort navire.

Alors se pose une question angoissante.

Le pilote, en de telles circonstances, est-il de force et de volonté ? Est-il vraiment le maitre de la direction et de la manœuvre ? Son équipage ministériel exécute-t-il tous ses ordres ? N'est-il pas, volontairement ou non, déporté d'un côté ou de l'autre ? Puisqu'il veut se tenir à égale distance des deux écueils, pourquoi n'utilise-t-il pas le fort courant neutraliste de la sociale démocratie, maintenue par une évidente et même répulsion à égale distance d'Hitler et d'Otto de Habsbourg ?

En ce moment, j'observe au jour le jour la marche du navire dans la passe dangereuse et je vois osciller l'aiguille de la boussole.

Dans une interview accordée a un journal hongrois, le secrétaire d'Etat à la Sûreté publique parait ignorer Charybde lorsqu'il déclare Les hitlériens ne représentent, pas, à mes yeux, un danger grave.»

Le gouvernement semble donner un coup de barre vers Scylla lorsqu'il laisse annoncer par une agence de presse alliée, sinon officieuse, ses intentions de garder les milices de la Heimwehr, mais de dissoudre les formations socialistes du Schutzbund. Dans le même temps, chaque nouvelle élection municipale est une victoire de la croix gammée. Des personnages éminents par leur talent et leurs fonctions volent au secours de cette victoire. C'est M. Slaina. l'ex-ministre de la Justice du cabinet Sohober, qui se fait inscrire au faisceau d'Hitler; c'est l'e x-p r é f e t, de police de Vienne, M. Brandi.

Ainsi, le Fuhrer allemand fait chaque jour des élus et des convertais dans toute l'Autriche.

Alors, ne peut-on se demander ce que veut le pilote ? Que peut le pilote

Voilà pourquoi, malgré le verbotem de l'écriteau traditionnel, 3 voudrais parier au pilote

Une déclaration du comité d'aide aux victimes de l'antisémitisme Le comité d'accueil et d'aide aux victimes de !'arrtrsêmitlsrne allemand, qui s'est constitué Paris et à la tête duquel figurent MM. Paul Painlevé, ancien président du Conseil; Justin Godart, ancien ministre le baron Edmond de Rothschild et M. Israël Lévi. grand rabbin de France, nous communique la déclaration suivante: La conscience française a été, comme la conscience universelle, profondément meurtrie par le réveil de barbarie qu'est l'antisémitisme qui sévit actuellement en Allemagne.

Elle proteste au nom de l'humanité et de ta civilisation,

Elle s'indigne des violences criminelles dirigées contre une minorité ethnique et confessionnelle.

Elle s'attriste de volr la culture germanique, qui a donné tant de génies au monde et qui était fière du niveau qu'elle avait atteint, montrer sa fragilité et son Impui»aance à l'heure où les passions politiques déchalnent les pires excès contre les juifs qui, en tout temps, ont apporté au progrès humain une collaboration essentielle. Elle redoute que la laborieuse gestation de la paix, qui angoisse le monde, soit mise en péril par ce nouvel attentat de la force contre le droit.

Aussi ne pouvons-nous que flétrir une politique qui prétend poursuivre une réforme intérieure par la haine, la négation des libertés et des droits, la spoliation des fonctions et des biens et les attentats meurtriers.

A la Fédération des librei-penseur» La Fédération de la Seine das libres penseurs a vpté un ordre du jour proteskant avec énergie contre les persécutions exercées pour deTIt ftopïnion ou de rellgion sur des adversairea de la politi'iu* hitlérienne h

LE GÉNÉRAL DE GOYS EST ARRIVE A MARSEILLE Le général de Goys, qui va participer à d( manoeuvres aériennes sur la côte méditerranéenne, est arrivé hier à Marseille.

Accompagné de l'adjudant pilote Dénia, à bord d'un avion de grande reconnaissance, le général de Goys avait quitté le Bourget à 12 h. 40 et fait escale à Bron à 15 h. 35.

là-bas. Des relations de voyage. probablement.

Elle est très gaie, elle rit tout le temps. Elle a beaucoup de succès auprès des hommes, qui la taquinent sur son accent.

Et qui y a-t-il enepre?

Mme Balimer, qui a, elle aussi, une voix étonnante, parait-il. Je ne l'ai pas entendue, maison me l'a dit. Oui, un vrai rossignol.

Et puis Wanda Sibiraya, encore une étrangère Celle-là joue de la harpe, je crois.

En effet.

Mais tu connais tout le monde! flt Victorine, admirative.

Je connais beaucoup plus de gens que Solange!

Il. y a aussi une petite blonde, jolie, ma foi, et très bien' faite, avec un petit air modeste et sage sous ses bandeaux lisses. Bien entendu, je ne m'y lierais pas! On l'appelle Carine. Blonde, petite? Très jolie, dis-tu? Très. ça dépend des goûts! Ce doit être la danseuse Carina Sapetti: une femme étonnante! Quelle artiste! Elle est Italienne, malgré ses cheveux blonds.

Ah! En effet, je crois bien qu'elle danse.

Mais qu'est-ce qu'ils font, tous? Oh! Ils n'ont pas l'air de s'ennuyer, tu sais! Ils se promènent dans les environs, ils s'amusent comme des fous dans le château, ou biep Ils parlent de musique et ils en font. Ils veulent même organiser là-haut des spectacles.

Des spectacles? Quels spectacles? Ils ont parlé d'un opéra, si j'ai bien compris. Ils attendent encore quelques autres amis.

Mais c'est de la folie! s'indigna Etienne. Elle va se ruiner!

Et je crois qu> ce n'est qu'un commencement Tu penses bien qu'elle n'a pas fait construire pour rien cette salle de musique. Il s'agit de l'utiliser, maintenant.

ASSÉNÂT Au début de la séance que préside M, Jules Jeannecey, le Sénat adopte le projet ratifiant la convention signée à Genève en 1931 sur la réglementation de la dlstrlbutfon des étupéflants. En ratifiant cette convention, la France, a fait observer M. Justin Godart, est en droit de demander aux nations cosignataires une assurance semblable à la sienne.

La Haute Assemblée adopte encore une proposition de loi modifiant un article du code d'Instruction criminelle. Cet article permet l'appel d'une contravention dressée à la suite d'un délit en matière d'accident de la route ou sans qu'il y ait eu délit .constaté. On discute ensuite ;a proposition de 1 résolution de M. tendant à inviter le gouvernement à incorporer au projet de loi de finances ie texte voté par le Sénat sur le droit de vote dans lès assemblées d'actionnaires. M. Caillaux fait observer que cette question n'est pas à aa place dans une loi de finances et il substitue au texte Initial la rédaction suivante, qui est adoptée

« Le Sénat invite le gouvernement à employer les moyens les plus propres à aboutir au vote rapide du texte adopté par le Sénat le 1" décembre 1931 réglementant le vote plural dans les sociétés par actions de façon que les deux Assemblées puissent se prononcer sans retard. sur cette réforme, dont l'urgence est évidente. Adopté ericore le projet de loi mettant à la charge des corporations d'assurance accidents la rééducation prote¡¡.. sionnelle des mutilés du travail au titre du code des assurances soclales en vigueur dans les départements recouvrés.

Egalement adopté le projet excluant de l'exception temporaire des contribu- tions foncières sur r les propriétés bâties et des taxes locales les immeu- bles ou portions d'immeubles construits par les sinistrés du Sud-Ouest suivant certaines règles.

M. Pierre Cot

reçoit les attachés étrangers* M. Pierre Cot a reçu, hier, les attachés de l'Air et attachés militaires et navals accrédités auprès de lui. Ils ont été présentées au ministre par le général Denain, chef d'état-major général. M. Pierre Cot a assuré lee attachés étrangers qu'ils trouveraient toujours, au ministère, la collaboration nécessaire à l'accomplissement de leur mission et a manifesté l'espérance que l'aviation soit une raison de rapprochement des bonnes volontés.

Le capitaine Willy Coppens, attaché de l'Air belge, vice-doyen des attachés étrangers, remplaçant le général d'escadre Piccio, absent de Paris, a répondu au ministre en l'assurant du dévouement de tous ses collègues. INFORMATIONS POLITIQUES «••• Le groupe de défense des engagés volontaires s'est constitué à la Chambre, sous la présidence de K. de Tinguy du Pouët.

1 Les députés de l'Ouest, membres du groupe de défense des intérêts cidricoles se sont réunis pQur é1ire un- président en remplacement de 41. Lefas, élu sénateur. D'un commun accord, Il a été décidé que le président serait élu pour. deux ans et alternativement un député normand et un député breton. Conformément à cette décision, M. Cautru, député du Calvados a été élu président pour les années ~~» La Chambre a adopté hier Un projet relatif aux fortifications déta. chocs de Strasbourg

Un projet tendant à modifier et à compléter les articles 37 et 39 de la toi du mars 1923 sur le recrutement de l'armie

Une proposition de résolution de M. Jean Félix, tendant à la réorganisation des laboratoires du service de la répression des fraudes sur les boissons, au ministère de l'Agriculture

Un projet tendant $.' autoriser la ratification d'un accord financier conclu entre la France, .et la principauté, de. JIonaCQ'u. ̃<» A la demande de M. Guéiip, la Chambre, par 390- voix contre 263, a repoussé la discussion immédiate 'd'une proposition tendant à assurer la protection de l'industrie de l'acide tartrique.

*wk Répondant hier, en fin de séance di l'aprè,s-midi, à une question de M. Guernut. sur les raisons pour lesquelles la chancelleria refuse la communication du dossier des condamnée aux avocats qui ont a établir des mémoires en revision, M, Penâncier, ministre de la Justice. a déclaré qu'il donnera des instructions pour que la communication des dossiers ait lieu dans toutes les circonstances où elle ne présentera pas d'inconvénients, sur Quoi l'incident a été clos..

La eous-cair.misslon mixte des services contractuels et de l'aéronautique, chargée d'enquéter sur la gestion da l'Aéropostale, réunie sous la présidence de M. Renaitour. a entendu M. de Se»e. attaché commercial de France au Brésil, qui a répondu à diverses questions de M. Moeh, rapporteur.

M. Jean Zay, député d'Orléans, a annoncé son intention d'interpeller le président du Conseil. ministre de la Guerre, sur les droits du parlement en matière de contrôle de la défense nationale, à la suite d'une conférence qui a eu lieu à Orléans entre le maréchal Pétain et les autorités civiles et militaires, concernant la défense aérienne du Loiret, conférence à laquelle M. Zay n'a pu assister.

Nuits sans sommeil Les atroces dëmiiugeaisous que provoquent les maladies do la peau eczéma, bontons. darlms. gale, croules, etc. empoisonnent l'existence- de celui qui en souffre et de ceux qui l'entourent, car la douleur, les nuits sans sommeil, irritent et fatiguent. Elles résistent bien rarement a FacLion de la Pommade Cadum qui, employée à temps, calme instantanément la douleur, procurant ainsi un délicieux bien-être. La Pommade Cadum est sans rivale aussi contre éruptions, urticaire, hémorroïdes.

Tu l'as vue, cette salle de musique ?

Naturellement.

Elle a été construite sur l'une des cours intérieures?

Elle tient entièrement l'une des cours et on ne la découvre qu'en y entrant. Il y a au fond une estrade qui peut servir de scène.

Comment est-ce, à l'intérieur? Les murs et le plafond sont enduits d'une espèce de torchis ocré et iC'y a des fauteuils de velours bleu, très confortables, ma foi. Tout autour du plafond, une rampe électrique répand une lumière très agréable. Et il n'y a pas de décoration intérieure, de peinture murale?

Rien, absolument rien que cet enduit sur les. murs. Mais ce n'est pas vilain du tout. On a installé sur l'es.trade deux grands pianos à queue, arrivés ces jours-ci; et puis Solange attend encore un clavecin et une épinette ancienne qu'elle, a achetée et qui est très belle, paralt-il. avec dee peintures de grande valeur. l Etienne ne l'écoutait Plus.

Mais, fit-il, s'ils s'amusent à jouer des pièces de th¢âtre, il leur faudra des décors, et je me demande qui les leur fera, ici!

Un eourire de triomphe se dessinait sur son visage.

Victorjne n'eut pas de peine à deviner sa pensée:

Ne compte pas là-dessus, lui dit-elle. Solange les a commandés à un peintre qui travaille ordinairement pour l'Opéra, Cette fois encore, elle se passera de toi!

Non, mais, s'écria-t-il avec colère, me vois-tu barbonillant des mètres carrés de toile pour cette bande d'imbéciles Il faudrait me payer cher! Solange a beau être riche, elle ne pourrait pas y mettre le prix!

Parle toujours, mon bel aml, songeait Victorine, parle toujours*.

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XI

Lormar ou plutôt Kermar.

Sautant lestement d'auto, Jacques Bernardi et Edgar Ladevèze entrèrent dans le château. Ils allèrent tout droit à la grande bibliothèque, qui était restée, comme du temps de Mrs Hardmount, la pièce d'élection. Solange s'y plaisait plus qu'en toute autre.

Il y avait là Madeleine Gramand, les Almirez, Mme Balimer, Carine et Francis Casemer.

Solange n'est pas fci ? demanda Edgar Ladevèze.

Vous voyez flt Madeleine Gramand.

Où est-elle ?

Dans !a salle de musique, je crois, avec Lucie. Elles travalllent. Mais vous avez des journaux Montrez, montrez vite

Il y a des comptes rendus ? Que dit-on ?

Chacun tendait les mains vere' les feuilles que rapportaient Bernardi et Ladevèze,

Non. dirent-ils. Il faut lire ça avec Solange

Allons la chercher

Solange Solange

Celle-ci vint au-devant de ses amis: Qu'y a-t-il ? demanda-t-elle. A vos voix, j'imagine que ce n'est pas grave! Non. mais venez vite nous rapportons des journaux tous ceux que nous avons pu trouver à Vandeul. Nous allons les lire ensemble, dit Jacques Bernardi.

On parle de la fête

Je vous crois

Tous firent cej-cle dans la. bibliothèque..Edgar Ladevèze plaça devant lui, sur une petite table, la pile de journaux rapportés et il devait la défendra contre ceux qui tentaient de s'en emparer. ̃ Je voua dirai tout de suite que nous avons feuilleté ces journaux dans l'auto, en revenant de Vandeul. Les éloges sont unanimes et enthousiastes.

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€ Cest à un spectacle d'art inoubliable quo Mme Solange Hairelle, notre grande cantatrice dont la récente tournée a consacré la. gloire, a convié quelques rares privilégiés. Avec J'aide de ses camarades de l'Opéra Et d'unir remarqoable artiste sud-américaine, Mme Aimerez, eile a ressuscité un opéra de Marc-Antoine Charpentier, ta Cou- ronne de fleurs. Et nous ne savons ce qu'il faut admirer davantage, de cette délicieuse Couronne ou de la sombre Médéa qui constituait le spec-.table de la semaine précédente. L'une est toute grâce pastorale et tout, charme l'autre, par des moyens d'une simplicité tragique, donne le frisson. On n'imagine pae, quand on a'a pas été mis à même de l'apprécier, la puissance et la grandeur de ce musicien, Il faut que nous soyons bien riches en grands hommes, et bien ingrailaussi, pour méconnaître et pour oublier des artistes de cette valeur. Aineûrs qu'en notre pays, quel tapage ne ferait-on pas autour de leurs œuvres-? Grâces soient rendues à Mme Sclan?» Hairelle pour cette résurrection, pour cette juste réparation. »

Et ici, Solange

Quoi donc, Edgar. ?

Eh bien! Voyez votre portrait, et fort beau, ma foi Et puis. une longue interview,

C'est vrai. C'est de Dumas. Et il y a toute une description df"la Bastide t r- r=- Prenaat le- ton-cofl»io,uemerrt empha».tique d'un ciceroüi, il.Xe* rjernît à liteT* c La Bastide d'Ardemont, construite au xut' siècle, se drosse sur un picsauvage dominant la vallée- de l'Atssp et les gorges de la Vallouze. Cette cita* delle, réputée imprenable, est demeuréé dans un état de conservation étott- nant.

(Aatrtwe.)


Les troubles de l'enfance Amaigrissement Appétit capricieux

Lymphatisme (glandes, ganglions) Fatigue générale

Sous l'effet de la croissance et de la transformation profonde qui se produit dans l'organisme, les jeunes gens éprouvent toutes sortes de malaises sur lesquels il faut veiUer avec ta plus grande attention. Observez votre enfant voyez

̃ euu ,ieim paie, ses

yeux cernées, ses

joues creuses, son

thorax étroit où les

côtes font saillie,

ses muscles peu

développés. II se

plaint de maux de

tête, de vertigrs, de

£, fatigue continuelle. $ Sa gai té d'autrefois s fait place à la tris-

tesse. Ses études se

..ressentent de son

Wmauvais état de *santè il est lent, paresseux parfois,

et s'endort vite

sur ses livres. L'a-

t.dolescent qui pré• sente de tels troubles doit être sou-

mis san» délai à

un traitement tonique, fortifiant et régénérateur,

On recourait autrefois à l'huile de foie de morue.

La science moderne a mis à la disposition des mamans inquiètes une ^médication cent fois plus active, sous la forme d'un granulé agréable que

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mardi 28 Mars

A part la tenu« de nos fonds nationaux su parquet, qui a été meilleure, et, en Coulisse, les mines d'or, qui se sont bien comportées, il n'y a absolument rien d'intéressant à signaler sur le reste de la cote. Sur l'ensemble de tous les autres groupes, u commencement à la fin de la séance; on •Wat montré lourd. sane que la moindre •velléité de redressement se soit manifestée. L'animation a d'ailleurs continué a faire complètement défaut et l'ambiance de rne lassitude, constatée déjà ces derniers ps, a persisté encore aujourd'hui. La faiblesse de WaU Street, la veille, n'a pas étrangère à ce recul, non plus que le Mouvement rétrograde des marchés comàterclaux américains. Dans ces conditions, Jflen que les cours de clôture ne soient ut-être. pas tout à fait les plus bas de séance, ils n'en font pas moins appaÏSfJtre, des pertes. Seul. le communiqué du tçiniAèrti des Finances, faisant état du «TOpIet succès de la récente émission, a gçrmis à nos rentes de faire contraste avec le` Mate du marché.

"Aux changes, les variations sont insignifiantes;" une fraction de moins sur la livre étërling à 86,95 contre 87 et une de plus fer ta devise amérlcaine contre Pas de modifications notables sur autres.

Derniers cours, aux rentes, 3 ̃% perpétuel 71,40 contre 71.50 (-0,10) 4 centre 81,06 (+0.45) 4 1918 contre 81.45 5 amortlssaMe 1920 110 contre 109.95 4 IM5 101.75 contre 101,40 (+0.35) 4 1/3 J932. la série A iL 87.15 contre 87

VALEURS SE NÉGOCIANT A TERME ET AU COMPTANT TfcBME COMPTANT 1 TERMB COMPTANT TALBITB9 TAIECR» CtraTTêwi»prtofcl' au )anr précW in tonr prtotd' Ida Jour lréc*t< du jour PARQUET Palpitai. M 60 94 J. perpétuel 71 50 71 40 71 50 1RS5 • amortlMable 80 50 80 S0 Union Européenne., 81 05 SI 50 .AUpmatrtte I Young). 572.. ̃• 5S0 575.. ê'A 1020 amortis. 109 Pi Serbe 4 ara. 1895 75 50 'furquie Dette Ott. 2620 28 S5 2560 IMl'.tianc A 87 87 15 87 87 10 Ott. S 27 95 M 16 4 %1932.raanc.B 1. 87 05 Bawi.Nat ria Meiiq. 50 t55 50 155 50 Caisse lutonora. S85 M9 50 886 890 Baume Ottomane.. 450 B^pouc <ie France.. Ul.ïO.. Créd.Fonc.Egyptien 2040 2020 3050 2020 Banque d'Alfério. 9485. 9450.. Can.Pnc KailwsrCy 209 224 21550 B. Paris et Payj-Br? 1421 H45 WamosMts eriHn 6g 67 50 B«nqne tnuxsatlant. Central Mintnï. 1353 1355 1379 Bann.de l'tTo.Paris. 382 ilonteeatiai t40 SÔ Çl*d. Comm. France 758 750 L»ut. Nltr. Cy LM 42.. 42.. Cretl.FODC.de France 4J«0 4550 Koj-al Duteta. 1450 1403 1460 Ctèrtit Lyonnais 204Õ 2060 Raffineries Egypte 470 RWété Générale. 1096 1095 1089 1088

Kente Foncière. 586.. 580.. 595.. 58S o M Ci TI F Sob. Gon. Foncière. v SOer. 16225.. Bons Mez. 8 1913 16850 part de fond»*. 14040.. 14000.. 14000.. 14000.. Cairo-Héllop. (cap.) Société civile. 3810 3765 Bnnq. Nut. d'Egypte 2625 2625 2615 2640 Itt Meiican Eaule 3450 33 76 Jjroa 990 990.. 985.. 986.. FrahcoWyoinlng. Mtdj Silva Plana 38 3656 37 50 37 Nerd. 1365 Colombia 54 Ûriéann 946.. 951.. CoricorUia 40 25 3975 S»Bta-Fé 777.. 75S Shell 178.. 185.. 18250 Métropolitain 1210 1198 1205 1200 De Betra ordinaire* BBriaknne laduatr. 400 .Tagersfontein 100 50 97 97 50 98 50 lyonnaise des Eam 2365 S345 2350 2S35 Erakpan JHStrib. fl'Electricit* 2115 Kart. Hand 111 50 SO Etertrlcité'lePuis. Oolaflclds 200 201 Ktectr. d«h«8«toe. 5M 5«O frown Xines El et Gas du Nord 626 Kanfl Mues C" CJ*n.d'Electrtrite 1U67 2015 1956 Johiinoi-sburg C. 178 Ener.ËlAIttor.MM. 886 Ciiontehoura 92 50 9025 N.-lAim. (Le Iriph.) 1895 18SO 1890 Eastern 51 51 Torses Nord et.K«t. 482 MaJiwca 81 50 80 75 SchneMer et Ca. 1345 1ÎS45 1355 1350 l'adang 265.. 4ôO Katawtaprlv su» «(arriéres Tlmrsig 25650 Bolfo 50 Vieille Slontaene Bowl-Maletra Mozambique 26.. HkwImMs GaAa.. Bru» y 207 207 RtoaXaUm. d'Alaii. 968.. 999.. 962.. Lié™ 237.. 2S8 235.. 237 50 Cfcanreurs Réunis.. W6 H4 Hotchki* 1140 1136 1135 Transatlantiqucord. M M 75 75 Hsdro-Electr. Cére. 127 58 123 Voitutar»* Paris. T. et F. Sosnowlce. 47 47 47 47 50 MrUmt&e 736.. 740.. Percod Caoiitcb. Indochine. 174.. Ph'sph. tunisien».. «atioen («cttons). Coiptantine 295 Tord S3 33 Tuijize prlriléciee.. 146 VALEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT 1 I COUTI COU» « I Cotin COOII Il I COUM 0OU» PARQUET Anicbe 1701 1701 ,1871 3 395 lAozin 1103 1100 1S75 4 492.. Ob.Trtis.4 !'• °, 1932 »̃>» Carmaux 750 731 BonBTré».~5%1924 Comnwntry-Foure. 481 474 m 1892 282 • 7",1928 50 Grand'Combe 489 îi 271 279 Fonds d'Etat émis Marks 483 Ri 1898 2 àl'étrani.MOOdol.; Oirmiwn d'Algérie. 1335 1790 312.. .-> %orl«17 iGuentour 1361 1395 "1 1004 2 < 32250 7 nr 1924 SS90 3ÏS0 Onenza 675.. H '1910 2 *i 291.. 2»l ttéditS«tfoU.l»19 J*ï«l La Croix 2060 S 1910 S 1920 Kali-Ste-Thùrèse.. 1349 1327 50 1BS1 Saint-Gobaln HCO a Dec ]923 Bon«d.6%iuil.l922 ùi!5 RhônePoiilrivc. 750 741 3 1924 6 6% isnv.19*! 50 Marcherilli! Daguln 2720 d 1928 5 922 9S2 V.t. T.Tf*i 4D0 I Agence Haras 83i 1930 4 820 1 *Y'% Librairie Hachette 2015 1931 4 802 809 On«st-£t«t ̃ Berroagnau 605.. SI! ̃ §2? inuom* I>iUe.Bonn.-Colom. g §»» »9 ̃'̃̃ •̃ 'f» An Bon Marché, ̃ ̃ J** •• KSI 5 %»«».. 440.. 428 I Sonrelle» GnWrlra. 502.. gïï-- ?S? €6toe 3 4i 1915. 1S«B (Jftneo (ids Laça.. 2B9 288 S Ïq1? ,Vîi" S? I?? Italiens -'̃ W 75| Royal Ontvh 14550.. 14150.. 1879 5)2 590 5 1*52-34-58 490 602 3SU895 2 8O Çtéd.Fo»cdAl»er. 667 3S9 S fina.Nat-dc Crtd. îi 3 nouveau.. 330 fc/1913 3 387 iTy. C. 1 504.. 504.. 3 'i 30S 31Ï Of 1913 4 435.. Çbmi. ttF tunisiens 580 530 4% 1921 4 'i 834 Oneeï Algérien 501 505 P.-L.-M. S 1855 t- t* n > n n it r Ginnihiw SflO 886.. –6% 458 EM BANQUE Vf. de Tramways. 390 Cairo-Héliop. (dlv.) 1290 12S5 Itesag. Mailtlmes. 46 50 5150 4 Q' Indochine 221 220 JSoerêîe talust fuskra 3 • 310.. Hutchinsou 1515.. 1520.. EnenfietSud-Outst. 1515 1501 tue. non». Sumatracap 845 ColTTM et Pyrite». 301 301 2 M J"ointe-4-Pitre(acU Acnilu 3650 S8 25 6 type 1921 434. Monaco S305..2310.. KfckeJ 290 S02 –5 1921. 742 742 (Monaco 5e 451 445.. Jeûœont 390 COURS DES CHANGES Milles tâécraph. KS 40 348 Etats-Unis (1 doil.) 25 44 25 44 M&bevHle 651 3 $20 Angleterre (1 1. 9t.) 87 86 97 ÇSfcis-Ontreau 560 575 S nouveau S20 Aile, f l©0 reiensm.) 604 25 50 Sord 6 série F. Belsique (100 beU 75 W- dé 1» Loire. 425 425 E. Camda (1 dollar). 75 7 mars (&̃̃ ̃"̃. 3«-S»zalre. » 'i D. 890 Danemark (100 c.) 50 !»»- Medltcrra». 570 3 *i 344 1 Kupatms (100 pes.) Uff deConst.Méc. 931 2! série C 330 332 Hongrie (100 peu.) 17-3-S1 «nain-Àaiin 1110 Orlean«n% Italie (looiirea). 13055 130.0 Fmitglbaud 1710 1710 Norvège (100 cou..) liTKfltîlle 4% Roumanie (100 lei) 15 15 Aciérie* &{&hne 437.. 3% 328 You£r<iavie<100d.) 35 21 mars lïonUtaire Ruelle (100 cou.).. Zriège SS "4 1895 305 310 Suisse (100 francs) 491 4M Monttxird -Aulnore 209 G. C.3%1865 310 Autriche (100 sch.) 11-9-S1 Sirota toerti. Ouest 3 Portugal (1U0 e^.l. Co«rb. du Tookta. î !i Finlande (100 mksl 38 10 mars Béthuae Pologne (100 alot.) 27 mars

LES DISPARUS M. Mathieu Delacroix. rue Esquirol, À* -signalé au commissariat de son quartier ik> disparition de sa femme, Cora, vingttre ans. U craint qu'elle n'ait attenté £S«e jours.

p^ Mme Vergonjane, demeurant 16 bill, Çenue de la Porte-d'Italie, a signalé à la pMice la disparition de son fils, André Hupuis. quinze ans, qu'elle n'a pas revu depuis le 25 mars.

les enfants prennent par gourmandise l'Ultra-Forti fiant Bichelet.

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Clôture de la deuxième séance

Le Rio Tinto supporte de nouveaux dégagements. Les autres titres varient peu. Métropolitain, 1.199 Young, 571 Canadian Pacifie, 209 50 Central Mining, 1.372; Rio Tinto, 1.190 Royal Dutch 1/10, MARCHES ETRANGERS

Londres. Allure très hésitante. Plusieurs groupes sont plus lourds. C'est ainsi que les cuprifères sont discutées et que les valeurs de pétroles supportent des dégagements. Cependant, les mines d'or conservent une orientation favorable et les fonds anglais accusent encore quelques progrès. Berlin. Lea événements de Brunswick indisposent le marché. Dès le début, des dégagements pèsent sur l'ensemble de la cote, qui s'alourdit. Le recul des cours s'accentue encore en séance. La clôture se fait aux environs des plus bas avec, des pertes assez sensibles.

LES DESESPERES Alors qu'if se trouvait dans un taxi roulant rue du Faubourg-Saint-Honoré, M. Pierre Egarreguy, trente ans, représentant de commerce, 32, rue Saussure, tente de se suicider en absorbant une forte dose de véronal. A Beaujon.

Marchand de vin.s rue des Pyrénies, M. Eloi Souyri, trente et un ans, se tue d'une balle de revolver à la tempe droite dans un terrain vague de l'avenue de la Porte-de-Bagnolet.

Un débat

sur les relations commerciales franco américaines

L'Activité nationale avait organisé hier après-midi, à la salle des Centraux, 8, rue Jean-Goujon, une mentfestation franco-américaine que présidait M. Germain-Martin, député, ancien ministre.

Plusieurs membres du Parlement et des représentants des grandes associations commerciales et industrielles assistaient à cette réunion.

Le gouverneur général Olivier, président du conseil d'administration de la Compagnie Générale Transatlantique, salua les personnalités présentes et dit quelques mots des relations maritimes entre la France et les Etats-Unis, puis le général Taufflleb, ancien sénateur, qui revient d'un voyage en Amérique, décrivit les réactions provoquées là-bas par le refus de paiement de l'échéance du 15 décembre dernier.

On entendit ensuite MM. Raymond Franklin, directeur de l'Activité nationale Paul David, conseiller du commerce extérieur de la France Galon, secrétaire général de ia chambre de commerce française aux Etats-Unis, et Armand Massard, conseiller municipal de Paris.

M. Germain-Martin, dans une allocution très écoutée, souscrivit au mouvement d'opinion qui se manifeste en faveur du paiement de l'échéance de décembre dernier. Il indiqua la portée qu'un tel geste aurait pour engager de nouvelles conversations diplomatiques et développer les relations commerciales entre les deux républiques.

UN AGENT BLESSE

EN PROTEGEANT UNE FEMME QUE BRUTALISAIT SON MARI

Des passants informaient dans la matinée un gardien de la paix, M. Bourlioux, occupé chez lui à des travaux de jardinage, qu'un individu venait de blesser une femme, qui appelait au secours. Laissant là ses outils, l'agent se rendit à l'adresse indiquée et d'où provenaient Ies appels 63, voie de Gentilly, à Villejuif.

Pénétrant dans un jardinet, il se trouva en présence de deux femmes, dont l'une avait une main ensanglantée, et d'un individu qui paraissait au comble de la surexcitation. Sans hésiter, le policier se jeta sur cet homme, qui brandissait un coupe-papier en acier. Mais, d'un coup de poing formidable, l'énergumène jeta l'agent sur le sol. II lui aurait certainement fait un mauvais parti, si des témoins de la scène n'étaient intervenus et ne l'avaient maîtrisé, Au cours de la lutte, le gardien de la paix fut assez grièvemen. blessé à une main.

L'auteur de tout ce désordre, un certain Georges Bousquet, âgé de trentedeux ans, 164, rue Nationale, à Paris, qui se trouve en instance de divorce, était venu, à Villejuif, chez sa bellemère, Mme Juliette Leclerc, cinquantetrois ans, relancer sa femme, laquelle, voici trois mois, avait trouvé asile auprès de ses propres parents.

Au cours de la scène qui précéda et motiva l'intervention de M. Bourlioux, il avait légèrement blessé, à l'aide de son arme improvisée, Mme Leolere. Il a été envoyé au dépôt.

Le gardien blessé devra interrompre son service.

LE GALA DE L'HYMNE CORSE Le comité général des fêtes corses de Paris donnera, samedi prochain, à 21 heures, 84, rue de Grenelle, un grand gala dit de « l'Hymne corse sous la présidence de M* Carnpin>ch.i, député.

« L'Hymne corse n, paroles et musique de M. Jean-Charles Cotton]. sera chanté pour la première fois par le ténor Gaston Micheletti, de l'Opéra-Comique, et par des choeurs, et sera radiodiffusé de heures à 22 h. 30 par le poste de la Tour Eiffel. LES COURSES

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FAITS DIVERS Les accidents de la rue

Le palefrenier François Salât, trente- neuf ans, 130. rue du Château-des-Rentiers, renversé par une auto le 22 mars au bois de Vlnoennes, est mort hier à Saint-An- toine.

Renversé par une auto, bojilevard de Strasbourg, M. Youkan Mohamed, quarante-sept ans. 72. rue Curial. est admis à Larl'boisière.

Boulevard Malesherbes, sur un passage clouté, Mile Hélène Martel, trentedeux aus, infirmière, 20, rue Gautet, est renversée par un faux cabriolet qui prend la fuite. A Beaujon.

En face du domicile de ses parents. 5. rue du Bois-l'Huiller, -à Champigny-eurMarne, la jeune Marcelle Delalande, âgée de quatre ans. a été renversée par une automobile. Grièvement MeMée. l'enfant a succombé peu après son admission à l'hôpital Trousseau.

Route de Fontainebleau, à Villejuif, un tramway de la ligne 93 est entre en collision avec une auto. Deux des occupants de cette voiture, MM. Aldo Rivola, vingthuit ans, manoeuvre, 5, rue Carnot, à VlUejuif, et Domenico Sanorl, 40. boulevard de Charonne. ont été légèrement blessés. Le jeune Laurenclo Robleido. âgé de treize ans, dont les parents demeurent 7. rue Biseon, à Aubervittiliera, qui. ainsi que nous l'avons annoncé, avait été renversé par une auto, est mort à l'hôpital Saint-Louis des suites de ses blessures. Boulevard Michelet, à Noisy-le-Sec, M. Pierre Reynaud. soixante-quinze ans. menuisier. 48, avenue de Strasbourg, a été renversé et grièvement blessé par une auto. Tenon.

Un Algérien poignardé

par un compatriote

Au cours d'une discussion après boire la sortie d'un débit, rue Arsène-Houseaye, à Gennevilliers, un Algérien, Ahmed ben Naïd, vingt-sept ans, manœuvre, 8, rue Roasignol-Dubost, a été frappé d'un coup de couteau dans le dos par un compatriote qui a pris la fuite.

Le blessé a été admis à l'hôpital Beaujon. M. Godard de Donville, commissaire de police. enquête.

Une expulsion difficile

L'an dernier. à la suite de dissentiments avec son propriétaire, M. Germain Treilles, soixante-six ans, étameur, devait être expulsé de son domicile, 87, rue de Bondy. a Villemônble. Le jour de l'expulsion. il s'était barricadé chez lui et une année de répit lui avait été accordée.

Hier, sur réquisition du commissaire de police, deux serruriers vinrent ouvrir les portes du jardin et du pavillon où M. Treilles s'était de nouveau retranché il les accueillit à coups de briques et carreaux de faïence. On dut prendre la maison d'assaut, et le locataire fut arrêté et envoyé au dépôt.

Attaque nocturne

Alors qu'il passait, l'autre nuit, à l'angle des rues Harvey et Nationale en compagnie de deux amis. M. Alain Benlaé, vingtsix ans, chauffeur, denfeurant 17, rue La Hire, a été soudainement assailli par un individu qui, après lui avoir porté un coup de couteau dans la région du coeur. prit la fuite.

Assez grièvement atteint. M. Benlaé a et; transporté à Cochin. Son agresseur, que l'on croit être un Algérien, est activement recherché.

Le feu

Au cours d'une représentation au cinéma situé 25, rue de Meaux, le film projeté s'est enflammé et l'incendie se communiqua à la cabine et à d'autres films. L'opérateur, M. Maurice Jacquin, trente-quatre ans, 14, rue de Cotte, brûlé sur diverses parties du corps, est admis IL Saint-Louis dans un état très grave. Les pompiers ae sont rendus rapidement maîtres du feu. Le feu éclate 182, rue de Vaugirard. dans un atelier d'ébénisterie. provoquant de grands dégâts.

La cambriole

Victime de cambrioleurs Il y a quelques jours, M. Matlowlski, fourreur, 46, rue Stendhal, avait installé depuis un dispositif d'alarme aux portes et vitrines de son magasin. L'autre nuit, des malfaiteurs, ignorant cette particularité, brisèrent la glace du magasin dans l'espoir de voler des fourrures, mais ils déclenchèrent une sonnerie qui les mit en fuite.

Des inconnus ont fracturé nuitamment la porte d'une crémerie située 212. boulevard de Charonne ils ont emporté plusieurs douzaines d'oeufs.

Ce soir, à 20 h. 45, au cinéma Pathé. rue Catulienne, à Saint-Denis, la compagnie dramatique de l'Université populaire de cette ville interprète la Peur des coups, de G. Courteline, et le Paquebot Tenacity, de Charles Vildrac.

Le corps de M- Berret, trente-quatre ans, charretier, disparu depuis une huitaine de jours de son domicile, 26, rue des Coquetiers, à Bobigny, a été repêché dans le canal de l'Ourcq, en cette localité. L'enquête a conclu à un accident.

De service à la porte d'un cinéma, 140, rue de Flandre, le gardien de la paix François Boucour est pris à partie et brutalement frappé par deux individus en état d'ivresse; L'un des agresseurs, Emile Depreux, trente-trois ans, 7, rue Berthier, a été arrêté. L'agent a dû interrompre son service.

Une femme, disant se nommer Rose Collombel, quarante-six ans. rue des Fossés, à Villiers-sur-Marne, a été trouvée errant dans le XVIII* arrondissement. A la station « Opéra n de la ligne du métro n" 3. M. Charles Butte, quarantecinq ans, manœuvre. 56, rue du PontBlanc à Aubervilliers. tombe et se blesse grièvement en tentant de monter dans une rame en marche. A la Charité.

A la suite d'une discussion avec sa femme, M. Maro©l Monnier. trente-deux ans. ouvrier d'usine, 4. rue de Clamart. à Boulogne, s'est jeté sous une auto, non loin de son domicile. Atteint de contusions multiples. il a été admls à l'hôpital Ambroise-Paré.

Des cambrioleurs se sont introduits dans l'appartement de M. Edmond Marti- net, coiffeur, avenue des Batignolles, à Saint-Ouen, et ont dérobé de l'argent et des bijoux pour une valeur totale de 550 francs.

Sur le marché de la rue de Colombes. à Asnières. Mme Catherine Martin. 11. rue Gramme, à Bois-Colombes, a été victime d'un pickpocket qui lui a subtilisé huit billets de 1.000 francs qu'elle avait eu l'imprudence d'emporter dans une poche de son tablier.

En descendant l'escalier de l'immeuble où il habite. 59. rue La Rochefoucauld, à Boulogne-sur-Seine. M. Louis Marchand, soixante-sept ans, a fait une chute grave. Il a été admis à l'hôpital Ambroise-Paré. A l'Association de la presse de l'Est MM. Jeanneney et Chautemps assis- tent au banquet offert au président de ce! imnortant sfoupement

Les membres de l'Association de la presse de l'Est, qui groupe les journalistes de dix-neuf départements, ont fêté hier, en un banquet donné à Paris, 17, rue Duphot, leur dévoué président. M. Léopold Leduc. récemment promu officier de la Légion d'honneur.

Autour de M. Jeanneney, président du Sénat, qui présidait. avaient pris place MM. Chautemps, ministre de l'Intérieur Strauss, vice-président du Sénat Marchandeau et Brom, députés Magre, secrétaire général de la présidence de la Répablique: Magny, préfet de la Marne; Henry Smiond. président de la Fédération nationale des journaux français Mario Sermet. secrétaire général du comité général des aesocitations de presse Jean Rogier. président de la presse présidentielle; Houssaye, viceprésident de l'agence Havas; Gabion, administrateur de l'agence Radio: Jacques Lenicque. du Petit Journal; Knittel, des Dernières Nouvelles de Strasbourg,

Au Champagne, prirent tour a iour la parole MM. Marcel Knecht. vice-président de l'association Jeanneney. Marchandeau. Léonce Florentin. secrétaire général: Brom, Dubreuil, l'abbé G-randrémy, les représentants de la presse alsacienne et lorraine, qui. très applaudis, rendirent en termes heureux hommage au zèle et à l'activité de M. Léopold Leduc, animateur depuis 1929 de l'association.

Fort ému, M. Leduc remercia après que M. Knecht lui eut remis les insignes d'officier de la Légion d'honneur, associant dans l'hommage rendu au grand tournaliste rémois et au bon confrère. Mme Leduc, sa dévouée collaboratrice dans l'administration de l'importante association qu'est la presse de l'Est.

Les délégations étrangères d'étudiants sont rentrées de Nice

Le train venant de Nice apporta hier matin, dans le hall d'arrivée de la gare de Lyon, une joyeuse animation. Des centaines de jeunes gens de toutes nationalités descendirent des wagons et se pressèrent vers la sortie. chantant et s'interpellant en vingt langues différentes. C'était le retour des délégations des étudiants étrangers parties pour participer aux fêtes de Nice.

Pendant un quart d'heure, toute l'Europe défila ainsi, puis l'Amérique et l'Asie avec ses étudiants chinois, japonais et indochinois.

Et toute cette jeunesse prit d'assaut les taxis ou s'engouffra dans le Métro. Il ne resta plus devant La gare que les délégations belge et hollandaise. Celles-là n'habitaient pas Paris et reprirent le soir même le train pour leurs pays respectifs.

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UN BRELAN DE PICKPOCKETS ARRÊTÉ AUX HALLES

De gauche à droite Neige, la femme Trajmann et Benforado

A la suite d'une active surveillance aux Halles centrales, le brigadier chef Picard et l'inspecteur Roy, de la police judiciaire, ont arrêté hier matin trois pickpockets, deux hommes et une femme, qui dérobaient les portefeuilles, les porte-monnaie ou les sacs main des clients et acheteuses.

Le trio opérait plus particulièrement aux pavillons du poisson, des primeurs et des fleurs.

Ces pickpockets sont Louis Neige, né en 1899 à Meymac (Corrèze), se disant boulanger, sans domicile fixe, ayant déjà subi trois condamnations pour vol à la tire, interdit de séjour Jacob Benforado, né en 1912 à Salonique, marchand forain, 46, rue de Poitou; récemment libéré de la prison du Havre, il logeait précédemment dans cette ville, 17, rue Dicquemare, et a déjà été condamné pour vol et port d'arme prohibée Rebecca Freimann, épouse Silberstein, dit Trajmann, né en 1900 en Pologne, déjà titulaire de cinq condamnations pour vol à la tire et de quarante années d'interdiction de séjour. AU CONSEIL NATIONAL

DE LA FEDERATION POSTALE Le conseil national de la Fédération postale confédérée s'est tenu hier à la Maison de la mutualité, rue Saint-Victor.

M. Myard. des employés de Lyon, présidait, ayant comme assesseurs MM. Lam, des services techniques du Gers, et Bonnemain, de Rouen.

Prenant la parole, M. Courrière, secrétaire fédéral, fit à l'assemblée le compte rendu des événements survenus depuis le dernier conseil national du 15 janvier dernier.

La discussion s'engagea ensuite sur les événements du 20 février et sur le vote du Parlement, frappant les fonctionnaires d'une contribution exceptionnelle.

M. Courrière at la rela2ion de faction menée pour la défense des traitements. action auprès des parlementaires et action directe. Il parla de la défense des indemnités, enfin de la création du cartel postai et de son but. A la fin de la réunion, une motion fut adoptée par laquelle le conseil national approuve l'action du bureau tédéral et son attitude lors de la lutte soutenue pour la défense dee salaires, regrette que le Parlement ait souscrit à une politl-jue de réduction des traitements et Indemnités. La propagande française ci l'étranger Le syndicat des journaux de la France extérieure donnait hier son déjeuner mensuel au cours duquel fut traitée, par divers orateurs, de la question de la propagande française. qui a pris, depuis quelques mois. une si grande importance en face d'offensives étrangères.

Autour de M. Maurice Ordinaire, viceprésident du Sénat et de la commission sénatoriale des affaires extérieures, on remarquait JIM. Honnorat. Eccard et le général Taufflieb, sénateurs: Soulier, Louis Proust et André Fribourg, députés. AUX ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE LA GUERRE La toi du 4 août 1923 et celle du 30 décembre 1928 vous permettent de vous constituer une pension de retraite sous le bénéfice d'une majoration de l'Etat variant de 25 à 60 suivant votre Age. à condition de faire vos versements à une Caisse autonome pendant une période de 4 à 10 années. Faites vos versements à la Caisse autonome de

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Radio-Strasbourg prend la Marseillaise » pour indicatif. La direction du poste Radio-Strasbourg a décidé de prendre la Marseillaise pour Indicatif. La Marseillaise fut, comme on sait, chantée pour la première fois à Strasbourg en 1792 chez le maire Dietrich.

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

POSTE PARISIEN (328 m. 20)

Au cours de nos émissions de la journée à 12 heures. 13 h. 10. 14 h. 15. 15 h. 15. 15 h. 50. 16 h. 50, 18 h. et 20 h. 2U. cours et dernières informations financières. 7 h. 15. réveil en fanfare et disques Broadway Melody (M. Brown) le Mariage des poupées (M. H. Brown) Souvenir de vacances (Landier).

7 h. 30, revue de la presse, informations et dernières nouvelles.

7 h. 45, Suite orientale (Popy) Une girl. c'est gentil (M. de Lima) Ah Gabrielle (Jolllot-M. Perney-Parrisse) le Sourire de Paris (Charlys) Quand on s'aime bien tous les deux (V. Scotto) con- cert offert par le journal « Pantagruel ». 8 h. 15, Menus de la ménagère (donnée par la maison Lesieur) propos de bonne humeur pronostics de ta grenouille et dernières nouvelles.

8 h, 25, Fiesta, rumba (M. iiamuels) Electric shuffle (Peter Packay) Filles de Vienne, valse (Ziehrer) les Noctambules. valse (Ziehrer) Charmaine, valse (Erno Rapee-Pollack) 1 cannot do without 5'ou (Irving Berlin). (Musique enregistrée). 8 h. 45. fin de l'émission.

12 h. 10, présentation du « Vol nuptial par l'auteur Francis de Croisset.

12 h. 20. Si nuon, chanson cambodgienne (H. Casadesus-Rouvray) Chan Pream, (H. Casadesus-Rouvray) l'Amour, quelle belle histoire (Paul Segnitz) l'Amour fleuri, rumba (Plut Segnitz) Raconte-mol tes rêves (E. Davidson) (musique enregistrée).

12 h. 25, entr'acte.

12 h. 30, « La minute de c l'Intran 12 h. 35, Présentation de disques « Polydor » par M. Jean Gandrey-Réty Au programme Dans la forêt enchantée (Ganglberger) les Marins de Surcoût (Jean et Jean Tranchant) Pour te revoir (WaJberger-E. Stem) Méfie-toi du Printemps, Loulette (Walberger-E. Stern Lemarchand) Si elle me disait oui (A. de Vita); Ram-Pam-Pam (A. de Vita) Réminiscences, pot pourri de valses (Koek) Viens, viens m'aimer (Louis Lajtai) Avec un sourire, de l'opérette « Katinka IL, Lajtai et.Varenne et Delamau) A Paris dana chaque faubourg (M. Jaubert-René Clair): J'aime tes grands yeux (Bixior-Tranchant): Tourne et vire (Jean et Jean Tranchant) A la poissonnerie (Jean Manse) les Deux Peintres (Jean Manse) Pluie d'étoiles (H. Buré).

13 h. 45, quelques enregistrements de Suzanne Dubost.

14 h., fin de i-émission.

18 h.45, journal parlé du poste, par M. Maurice Bourdet.

19 h., conférence par Mme Simone, qui parlera en faveur du Cercle Ronsard, restaurant pour les travailleurs intellectuels. 19 h. 10, Sérénade et thème varié de « Namouna (Lalo) Valse en ré bémol majeur (Chopin); Valse en do dièze mineur (Chopin) les Maîtres chanteurs de Nuremberg (R. Wagner) Lohengrin (R. Wagner) Tristan et Yseult (R. Wagner) la Chevauchée de la Valkyrie (R. Wagner) (musique enregistrée).

19 h. 30, les meilleurs enregistrements de Kreisler, présentés par M. Jean GandreyRéty.

20 h.. causerie • l'Assujettissement des Jurés au secret professionnel par M. Diedisheim, avocat.

20 h. 5. «Les écrivains sportifs 8, par M. Marcel Berger.

20 h. 15. entr'acte.

20 h. 30. concert de musique de chambre < Qmatuor de L. V. Beethoven a, avec la concours de MM. Bellanger, Paia, Drouet et Marchesini.

21 h., entr'acte.

21 h .10, causerie par M. Lucien Dubech. 21 h. 15. concert offert par < Noveltex ». 22 h. 15, retransmission de l'orchestre de danse du « Lido ».

23 heures, dernières informations. TOUR EIFFEL (1.445 m. 8). 13 tu 4 16 h. 30, chroniques diverses.

18 h. 45, le Quart d'heure musical de la Société universel'- du théâtre, par M. Victor Larbey.

19 h., informations.

20 h. 30, retransmission depuis l'Opéra de la Damnation de Fauat, légende dramatique en quatre parties, musique d'Hector Berlioz.

RADIO-PARIS (L724 m. 1). 7 h. 45. disques.

12 h.15, la Petite Bohême (Hirchmann). 12 h. 30, retransmission d'un concert d'orgue les Deux Pigeons (Messager) Gracieuse Valse (Ardely) les Airs de Fraysnn (Salabert).

13 h. 5, Comtesse Maritsa (Lehar) Madame Favart (Offenbach) le Mikado (Sullivan) Hans, le joueur de flûte (Ganne) la Guerre Joyeuse (J. Strauss).

18 h. 10, causerie agricole c Historique des domestications animales ». par par M. Godard.

18 h. 40. cours d'allemand.

19 h. 20, conférence médicale, par le professeur Weill-Hallé, chargé du cours de puériculture à la Faculté de médecine 'de Paris x L'aération dans les maladies des enfants.

19 h. 20. l'Arrivée dit cirque (Rust) Lassitude (Hermann) Ton nom (Malderen) Berceuse (Beaume) lea Rosés de Saadi (Hermann) Cantique d'amour

Mme A. LEROUX,

(Alexandre Georges-Charmettes) Coprio* cio catalan (Albeniz-Chapelier).

20 h., Lectures littéraires présentées par Mme Suzanne Després c Terse Vigen t. d' Ibsen.

20 h. 45, ouverture du Mariage .-et (Cimarosa) air du Devin du village (J.-J. Rousseau) Fête& galantes Mandoline (Debussy).

21 h., transmission du concert donne la salle Gaveau par l'Association des Concerts Lamoureux. Orchestre sous la direction de M. Albert Wolff. Ouverture de Gwendoline (Chabrier); Ophélie (Emmanuel Bonde-ville); Concerto pour piano et orchestre fRavel) le Roi David (Honegger).

PARIS P. T. T. (447 m.). Il h.. Informations.

12 h.. disques. Chronique du tourisme.

13 h. 30, disques.

15 h.. concert pour les aveugles les Deux Pêcheurs, bouffonnerie en un acte (Offenbach) la Tente du capiston, bouffonnerie en un acte (Eugène Cavelle et Eugène Cools).

17 h. 5, causerie sous les auspices de l'Association pour l'avancement des sciences Comment se fait la carte de France ». par le colonel PeneL

18 h. 15, Radio-Journal.

19 h. 30. cours d'anglais; disques.

20 b. 30, la Damnation de Faust (Berlioz), depuis l'Opéra.

RADIO-VITUS (308 m.). 20 heures. concert.

20 h. 30, l'Artésienne (Bizet); Namouna (Lalo).

21 h.. Danses norvégiennes Allegro marcato. Allegretto tranqjiillo. Allegro moderato, Alla' marcia. Allegro molto (Grieg).

22 h., danses.

RADIO-L. U (370 m.). la ho 30. 21 ho. concert.

13 h. et 19 h., informations.

RADIO STRASBOURG (345 m. 2). 20 h. 30, les Béatitudes (César Franck). RADIO-TOULOUSE (3S5 m.). 12 h. 13 h., 17 h.. 18 h. 15. 19 h. 30. concert.

20 h., l'Attaque du moulin (Bruneau) l'Enfant prodigue (Debussy) Aida (Verdi); Songe d'une nuit d'été (Mendelssohn) Pastorale d'été (Honegger) Aria (Bach) le Printemps (Grieg) Menuetto (Schubert) Menuet en .sol majeur (Beethoven) le Roitclet (Xanrof) Le Violon brisé (Herpin). Tes yeux bleus (Kernell).

21 h., Esprit françaia (Mezzacapo) Pensée du coeur (Grout) Lorsque se meurt la jour (Macciochi) Moment musical (Fr. Schubert) Mormorio deï mer (Salvetté) Fête au village (Andrieu) Hadedja (Macciochi) la Divine Lady, valse (Shilkret) Encore ctnquante centimes (Yvain) le Chant du désert (Romberg) le Pays du sourire (Lahar).

22 h.. Une nuit d Monte-Varlo (Heymann) le Baiser voté (Frings) Paillasse (Leoncavallo) Hérodiade (Massenet) Marche héroïque (Salnt-Saëns) Histoire de voir (Moretti) la Ronde dea amours (Fucik).

23. h., Sous les ponts de Paris (Scotto) Amoureuse (Berger); les Filles de la ForêtNoire (Jessel) The Song iy ended (Berlin) Sérénade andalouse (Eilemberg) Danse espagnole (Granados) Mélodie prohibée (Castaldon).

0 h. 5, Encore et toujours la Java des poteaux (Van Herck) Sérénade (Pierné) Frimoussette (Marceau) le Miracle de l'amour le Fidèle Hussard Il y a longtemps (X.) Silvana (Costoncelli).

ET ÉTRANCÈRES

LANGENBERG (472 m 4). 7 n. 6. disques.

13 h.. Abu Hassan (Weber) Deux valses (Dvorak) l'EHxir d'amour (Donizettl) Tsar et charpentier (Lortzing) Bank Bmn (Erkl) Rhapsodie hongroise n- 13 (Liszt); Méditation (Taylor) Prince Mathusalem (Straus3) Je sais bien ce que le voudrais (Strauss) Irmelin Rosé (Peterson-Berger) Salut divin (Weninger).

21 h. 30, musique légère.

DAVENTRY (1.554 m. 4). 12 h., orgue. 12 h. 45, R.oses de midi (Strauss); Zampa (Hérold) Berceuse (Gretchaninow) Cavalleria rustipana (Mascagni) Chant de la rose (Schreier-Battero) Rive d'amour (Liszt) Idylle passionnelle (Razigade) la Veuve joyeuse (Lehar) Coppélia (Delibes).

13 h., récital de Diano Peinture» d'une pantomime (A. Wright) Menuet de Barberini (H. Gauer) Gavotte et Musette (E. d'Albert) Jeu Abencerages (Cherubini) Symphonie n" 4 en mi mineur (Brahms) Concerto (Haydn) Enigme (Elgar).

16 h. 45, orgue.

18 b. 30, les bases de la musique Sonate no'3 3 en fa (Mozart).

20 h. 15, relais du Queen'a Hall Lohex?rin (Wagner) Concerto no 23 ex la (Mozart) ballet de Roaamunde (Schubert) Symphonie en do mineur, op. 67 (Beethoven).

22 h. 35. musique de danses.

LES NOUVELLES RUES DE PARIS On été attribués les. noms suivants à de nouvelles rues de la capitale

Rue Emile-Levassor à la voie nouvelle projetée sur l'emplacement du bastion 89 et devant déboucher boulevard Masséna. immédiatement à l'ouest de l'avenue de la Forte-d'Ivry (XIU«).

Rue André-Theuriet à la voie nouvelle ouverte sur remplacement du bastion 74 et reliant l'avenue Albert-Bartholoxné au boulevard Lefe'ovre, dans lequel elle débouche à l'ouest de la rue Jean-Sicard (XV«). Rue Gaston-Boissier à la voie nouvelle ouverte sur l'emplacement du bastion 73, entre l'avenue Albert-Bartholomé et le boulevard Lefebvre. où elle débouche à l'angle de l'avenue de la Porte-de- Plaisance (XV). Rue Eugène-Poubelle à la vote nouvelle ouverte parallèlement il la chaussée du pont de Grenelle et reliant le port d/Auteuil au point d'intersection de favenue de Versailles et du quai d'Auteuil (XVI'>.


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LORSQUE BEBE EST VENU Petits problèmes la durée de la tétée combien de temps doit durer une tétée ? Cela dépend beaucoup des eniants. Les uns tètent rapidement, gloutonnement, les autres tètent lentement, s'endorment ou jouent en faisant cette grave opération.

Pour les premiers, qui auront pris leur rar s en trois minutes, on doit essayer de les arrêter, de les ralentir afin qu'ils soient moins exposés à la régurgitation ou à une mauvaise digestion du lait absorbé.

Pour les seconds, il faut les secouer un peu et faire mine de leur retirer le sein afin qu'ils s'y attachent avec plus d'énergie.

En principe, la tétée doit durer une dizaine de minutes l'essentiel est que l'enfant boive assez sans dépasser notablement la quantité qui lui est nécessaire.

Ce qu'il faut surtout c'est respecter le nombre de tétées chaque jour et les donner exactement à heure fixe. On fixera, sur les avis du docteur, les rations d'après la taille de l'enfant, d'après son poids également.

Extrait de « Ce qu'une jeune

mère doit snvoir n, par

Mmes Francisque Gay et

Louis Cousin, marianistes.

La venue du printemps ne supprime paa les malaises enfantins, les angines, etc. Dès que l'enfant devient grognon et ne plaint, la mère doit prendre sa température et. s'il a plus de 37 1/2. le coucher. Avant d'appeler le médecin, elle regardera sa gorge et la badigeonnera d'un bon ¡ collutoire si les amygdales et les piliers lui apparaissent rouges et piquetés de blanc. Elle versera aussi dana le nez de l'enfant quelques gouttes d'électrargol ou d'huile goménolée.

Et puis, elle attendra les événements en gardant l'enfant à la diète hydrique, c'està-dire en lui donnant des tisanes toutes les heures.

Bien souvent, ce régime suffit, au bout d'un jour ou deux. à faire baisser la fièvre et il remettre l'enfant sur pied. Mais, si le mal persiste, il faut appeler le médecins. Quand on a plusieurs enfants, on doit s'efforcer dé préserver les bien portants de la contagion du malade.

C'est pourquoi il est utile que chaque enfant ait son couvert marqué à son chiffre, sa timbale, sa serviette de toilette.

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Extrait de « A lable chee tante Claire >, édité par le Petit Parisien. Prix: 12 franc*.


TiïÉ*t«E Duvnou Dix-neuf ans, opérette d?ïferJ«an Bastia. musique de M. Pascal Bastia.

C'est l'âge de la délurée Suzy sous la tutelle- de sa tante, une veuve effervescente' qui n'attend pour convoler avec un noble gâteux qre de case· sa nièce. Aussi «-t-elle recours à un stratagème pour lancer Suzy dans les bras d'un fiancé inconnu proposé, par une amie le coup d'un accident d'auto simulé. Mais voici qu'aux abor<J§ de la villa se produisent deux accidents. De l'un surgit le'sémillant Numa avec qui Suzy fllrte en cachette depuis longtemps de fautre, l'éiégant Louis, touriste dj. hasarda Des deux, quel est l'authentique fiancé ?

De là naît tout un enchevêtrement de quiproquos buriesques que complique 1 in- tervention de l'organiste Pluchet, falot mais décidé à embraser la tante. Et les intrigues se multiplient au cours d'un bal masqué. Bref, l'authentique et simulateur candidat ne survient que pour assister in fine aux serments échangés entre Suzy et Numa, Louis et une charmante cousine, la tante et l'ardent Pluchet. Malaxé en famille. le livret du papa Bastia est joyeux, Copieux et çà et là spirituel tes maquettes de son fils Georges évoquent les perspectives de la côte d'émeraude. La musique du cadet Pascal vaporise .istnbiance et chansons en un aimable, finàange d'airs, refrains et rythmes jazzbandiformes faygrabj&s aux gigotements et:)biguin«s. Les couplets du Sexappcal,e duo Puisque je vous aime teront poptila,ttes.

Papa Bastia en personne caricature avec bonhomie un organiste, folâtre, doublé d'un chansonnier favori de la Butte. Vive et espiègle Suzy, Mlle de Creus est délicieuse Mlle Mounot est une tante affriolante, Mlle Grégory une cousine piquante et Mlle Lixie une boniçhe ravissante. Du côté mâle, rendons hommage à MM. Sablon, Reda-Caire qui chantent et dansent approximativement et traduisent avec entrain et naturel leurs rôles d'amoureux^â la page.

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Samedi, le programme du concert Pasdeloup comportait deux oeuvres inédite& La première était l'Incantation, de M. Capdevieiile, poème symphonique dédié au souvenir d'un ami qui avait affronté par dévouement la mort au cours d'un accident de montagne. Le musicien a créé l'atmosphère tragique au moyen des cuivres et des timbales, puis par des contrebassons qui soulignent la profondeur du précipice. Un chant funèbre s'élève ensuite des syncopes haletantes précisent la catastrophe. Malheureusement la conclusion hésite à ventr la fin trop hésitante nuit à l'effet de cette page estimaI ble. L'autre primeur du jour était un cycle de trois courtes mélodies de Goethe, mises en musique dans le texte original par M. P.-O. Ferroud Solitude a de la fraîcheur, Premier Chagrin est élégant et Exempte esquisse un rythme capricieux Mme Lotte Schcene, qui avait chanté délicieusement des pages de Mozart et des mélodies de Richard Strauss. a prêté aux trois lieder de M. Ferroud le cristal de sa voix pure. Le concert, qui était excellemment dirigé par M. Van Raalte, avait débuté par le grand, le magnifique poème funèbre de Richard Strauss, Mort et Transfiguration, et s'était achevé par la Cinquième Symphonie, de Beethoven.

Dimanche. salle Gaveau, M. Albert Woiff a donné une superbe exécution de la suite de Namouna, de Lalo, ainsi que de la lancinante Habanera. de M. Louis Aubert. Le pianiste manchot. M. Wittgenstein a joué le curieux commentaire que Richard Strauss a fait pour lui de la Sinfonia domestica c'est un beau tour de force dont il s'est tiré avec succès mais la paraphrasa n'a laissé subsister qu'une idée assez vague de la Sinfonia domestica.

Au concert Colonne. M. Paul Paray a conduit une petite première audition, Jeunesse du monde, due à la plume du directeur du conservatoire de Montpellier. M. Le Boucher c'est un simple fox-trot. bâti sur deux thèmes, mais dont la parure instrumentale est très riche. Le soliste de la séance était le pianiste Back* haus qui, dans le Concerto en mi bémol, de Beethoven, et les Variations sur un thénie de Paganini. de Brahms, a fait applaudir son style classique, sa technique impeccable et son leu net et précis sans sécheresse.

En hommage à la princesse Edmond de Polignac, qui est une grande amie de la musique et qui pratique elle-même l'art de Polymnie, l'Orchestre symphotique u: Paris avait composé mardi dernier un programme d'oeuvres dédiées 2 la protectrice des compositeurs. Parmi ces morceaux quelques-uns sont déjà entrés dans le radieux firmament des pages classiques, de celles qu'on ne discute plus ainsi la musique de scène de Pelléaa et Méliutnde, de Gabriel Fauré, la Pavane pour une infante défunte. de Maurice Ravel d'autres, de naissance toute récente, comme l'Ouverture alerte et pimpante, de Mme Germaine Tailleferre, comme le suave et vivant Concerto pour deux pianos, de M. Francis Poulenc, méritent de sincères éloges. Mais que faut-il penser de l'incohérente suite des Malheurs d'Or-

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phit, de M. Darius Milhaud, une opé- rette manquée, dont le titre est un trompel'ceil les idées sont absentes et l'instrumentation semble un continuel défi à l'oreille. Il faut hélas I dire autant d'une 1 Partita. de M. Markevitch. jeune éiève de Mlle Nadia Boulanger dans ces trois mouvements on peut reconnaître un certain dynamisme, mais ni invention ni art du développement. Peut-être ces deux derniers essai: auraient-ils pu encore faire antichambre avant d'être admis à l'honneur de flngurer dans une manifestation qui ne devrait se composer que d'oeuvres consacrées.

Lostma Wagner est un ouvrage très étendu, écrit en allemand par le comte du Moulin Eckart et remarquablement traduite par M. Maurice Rémon. Cosima Liszt, qui épousa Richard Wagner, a été un chef sa .figure impérieuse est évoquée de façon 'brillante et très véridique par l'auteur qui fut un des familiers de Bayreuth. On pourrait croire que le morcellement de cette biographie; peut nuire à sor intérêt. Il n'en est riep. Tout au plus regrertera-t-on que le volume se termine avec Parsifal et la mort du musicien. La grande influence que Cosima a exercée sur Wagner s'est reportée alors sur les ceuvrrs du Titan et cette religion, dont elle fut Ida grande-prêtresse, méritait que l'historien en poursuivit le commentaire Cosima fut, en effet une grande femme, mais elle fut aussi une grande veuve. Louis SCHNEIDER.

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Dimanche 2 avril, 5 h. Elisabeth Schumann chantera des mélodies de Mozart. R. Strauss. Symph. inachevée (Schubert); El Qrico (D.-E. Inghelbrecht) Sérénade nocturne (Mozart); Iberia (Debussy). Chef d'orch.: D.-E. Ingheibrecht.

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LES FETES COMMERCIALES DU BOULEVARD DE MAGENTA Organisées tous le patronage des lut du X" arrondissement et au -profit' de la caisse des écoles du bureau de bienfaisance, les fêtes commerctales du boulevard de Magenta seront inaugurées le 29 avril et dureront jusqu'au 7 mal. Le dimanche 30 avril. fête du Muguet. Le» permanences du comité d'organisation sont 46 et 127 boulevard de Magenta.

LES CONGRÈS Les dentistes

Le congrès organisé par le Syndicat des chirurgiens-dentlstes et l'Association Rénérale syndicale des dentistes a poursuivi hier ses travaux au Grand-Palais. Des communications furent faites par M. Cbarlier sur les perfectionnements de technique dans les travaux de laboratoire par le professeur Sebileau sur les accidents de la ponction du sinus maxillaire. et par les docteurs Bonnet-Roy et Chenet sur les fractures des maxillaires. Le soir eut lieu la séance de la Société d'odontologie de Paris. On entendit les docteurs Gernet et Mallet traiter des cancers de la cavité buccale. M. Morlneau fit une communication sur l'art eh prothèse dentaire gingivale; le docteur P. Rollan exposa l'action physique et chimique de la chaleur sur les tissus, et le docteur P. Bernard parla enfin des ondulations de basse fréquence en art dentaire.

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La Soupe populaire de Montmartre Ta fêter son quarantenaire

Dimanche prochain, la Soupe populaire de Montmartre célébrera son quarantième anniversaire. A cette occasion aura lieu, 10 heures, en son local, 53, boulevard Ney, une distribution de 2.000 repas aux pauvres de l'arrondissement.

Cette flte charitable x déroulera avec le concours de la commune libre du VieuxMontmartre, de «a musette, Mlle Yvonne Toussaint, de la Lyre amicale du XVIII', du Réveil de Montmorency, du Sperting Club de Montmartre et des accordéonistes Aria et Mario Ricci. Ua cortège parcourra les principales artères .du XVIII» en faisant une quête au profit de l'œuvre.

LA CHANSON DANS LES HOPITAUX Jeudi prochain à 15 heures, à l'hospice de Bicêtre, concert par R&chel de Ruy Germaine Brlffault, Jacques Levau, Maurice Coste. Thiams, la petite danseuse Paula Alska, Solange Picart, le comique Henriae.

LES ROMANCIERS SUR LA SCENE Rappelons que c'eat ce soir à 21 heures, qu'est donné, & la salle Chopin-Pleyel, 8, rue Daru. le gala des romanciers français, au bénéfice des œuvres de solidarité du syndicat des romanciers français. Le programme sera savoureux et les spectateurs, en collaboration une bonne œuvre, passeront une excellente soirée.


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AU CONCOURS HIPPIQUE Un public fidèle a suivi hier les épreuves -é'«pUtude du Concours bip-* pique, au Grand Palais. Dana la matinée on avait assisté une présentation de chevaux anglo-arabes de quatre ans et de « poids lourds ». du même âge. L'après-midi se disputait sur un parcours de chasse, le Prix de la Place Clichy, réservé aux gentlemen. Chaque cavalier devait monter successivement deux chevaux. Après avoir franchi le dernier obstacle, il mettait pied à terre, remontait son deuxième cheval et reprenait le parcours en sens inverse jusqu'au poteau de départ. Les épreuves prirent An sur une éjtégante présentation de chevaux « hdhters », montés par dès cavaliers en habit rouge et coiffés du chapeau haute forme et par des dames qui montaient avec une même grâce soit à califourchon, soit l'amazones. Résultats du Prix de la Ptace Clichy. 1" prix M. Bégnta, sur Cos d'Sstowrnel et Écureuil 2e prix comte Christian de Castries, sur Wednesday et Tenace 3. prix M. Dogny, avec Campenac'et FlaProgramme d'aujourd'hui. 9 heures. chevaux de quatre ans (poids moyens) 11 h. 15, attribution dn Prix d'Honneur (chevaux de quatre ans) 14 heures, Prix de l'Assurance Hippique Française, (Prix des Ecoles, catégorie, chevaux de cinq et six ans),' épreuve d'obstacles pour chevaux français 15 h. 30, défllé des Prix d'Honneur (chevaux de quatre ans)

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Jettes).. È -M Nota. On peut préparer de la même i |: façon les côtelettes d'agneau et les esc** topo de veau. On peut remplacer le foil

gras par des foies de volaille.

Une riunion des ouvreuses de théâtre L'assemblée générale du Syndicat des ouvreuses s'est tenue, hier, à la Bourse du travail, II y a. été notamment décidé de poursuivre la campagne engagée pour obtenir la suppression des retenues prélevées par les concessionnaires sur les recettes des ouvreuses.

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