Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 10 sur 10

Nombre de pages: 10

Notice complète:

Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1933-03-02

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 02 mars 1933

Description : 1933/03/02 (Numéro 20456).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6276553

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


€ Le Petit Parisien » en Yougoslavie A Mostar ville musulmane Mostar, février.

DU NOTRE E.N'VOVÉ SrÉCIAL

Je n'irai pas à Sarajevo, capitale de la Bosnie, puisque Henri Béraud a déjà fait ce voyage pour les lec.teurs du Petit Parisien. Mais j'ai découvert tout aussi bien la Yougoslavie musulmane à Mostar, capitale de l'Herzégovine.

Pour apercevoir la cité à vol d'oiseau, j'avais le choix entre cinquante minarets.

Celui où je me suis engagé derrière le muezzin grimpeur doit être le pluj, haut, et j'ai cru n'en pas voir le sommet. Il avait fallu laisser mes souliers à la porte de la mosquée. Je perdais mes immenses babouches à chaque marche du dangereux tirebouchon vissé à l'intérieur du tuyau. Vainement je me grillais le bout des doigts pour éclairer, d'une allumette à l'autre, le tunnel perpendiculaire. Je tirais mon guide par le bas du manteau et je soufflais avec exagération pour lui démontrer que je n'avais pas son entraînement. Il s'arrêtait une seconde ou deux et repartait ver: le ciel

La-naut, sur le vertigineux balcon, Mostar m'apparut blanche, non pas de neige, mais d'ardoise spéciale produite par les carrières de la région. C'est une petite ville très religieuse, si j'en juge par le nombre de ses temples. Le ghasi n'y a pas étendu son influence laïque et révolutionnaire. Je peux, de mon observatoire, établir la proportion de la population musulmane en comptant neuf têtes coiffées du fez rouge contre un chapeau mou ou un calot noir.

Pourtant les habitants de la ville et de la vallée ne sont pas des Turcs. Slaves authentiques, les Herzégoviniens, comme les Bosniaques, se laissèrent séduire par les sectateur de Mahomet et les fa/eurs dont les néophytes étaient comblés.

Les nouveaux élus au paradis d'Allah furent, du jour au lendemain, plus intransigeants que leurs maîtres. Ils demeurèrent, pendant des siècles, les ardents persécuteurs de.leurs frères fidèles au patriarche. Les pauvres raïas serbes n'eurent pas de plus cruels et acharnés ennemis que les begs serbes

Cepi démolit quelque peu la fameuse théorie des races.

,Il est juste d'observer que les ratas n'ont pas pris leur revanche. Aujourd'hui encore, la fortune, sinon la prédominance, paraît être restée au clan de l'Islam. Dans les ruelles

,Notre envoyé spécial visltant une notariée étroites et biscornues, ce sont lIes femmes les plus élégantes, les plus parisiennes, dont le visage est maaqué de mousseline noire.

Ainsi se conserve, en cette province, la loi du Prophète, quand les anciens conquérants, Istamboul. ont émancipé leur hafem et jeté leur fez par-dessus les minarets. Et cela fait. apparaître une autre contradiction, dont il faut aussi tenir compte en un pays où se heurtent les races, les civilisations. les religions. Dans le même temps et dans le même Etat où les évêques romains opposent les légions sportives des aiglons catholiques à celles des faucons orthodoxes, cinquante muezzins, du haut de cinquante colonnes, laneent sur Mostar yougoslave les prières de la vieille Turquie.

Toutefois, dans cette région, les fanatisme? paraissent apaisés. J'ai vu les femmes voilée?, avec leur mari et les enfants coiffés de feutre rouge, se presser à la petite gaie avec leurs provisions et prendre ;l'assaut le train-joujou qui conduit a une journée les vcyageurs intrépides de Mostar à Dubrownik (cent cinquante kilomètres environ !) Qu'allaient-ila faire ?

Ces purs mahométans se rendaient à Raguse pour assister à la fête patronale de saint Biaise Les distractions sont rares dans les rrontagnes d'ardoise, les villes d'ardoise, les champs pierreux et nus. On sait qu'à l'autre bout du serpentin ferroviaire le wagon n s'arrêtera sur une terre bénie, baignée d'°au bleue, parée de roses et de pommes d'or. La joie éclatera le long du stndum. devant les maisons vénitiennes. Les masques, ivres de malvoisie, intrigueront les belle? sous leur féredjé.

Louis ROUBAUD

{La suite d la quatrième page.)

UN DÉJEUNER D'ADIEU EN L'HONNEUR

DE M.WALTEREDGE A cette occasion, d'importantes allocutions ont été prononcées par M. Daladier et l'ambassadeur des Etats-Unis

Ce dernier a précisé les prin. cipes permanents de la politique extérieure de l'Amérique

De gauche à droite, MM. Daladier, Scott et Edge

On sait que M. Walter Edge, ambassadeur des Etats-Unis, et M. Robert Pall, conseiller spécial de l'ambassade, doivent quitter prochainement la France. A cette occasion, l'Association de la presse anglo-américaine a offert, hier, un déjeuner en l'honneur de M. Daladier, président du Conseil, et des deux diplomates américains. Outre les membres de l'association, on notait la présence de nombreuses personnalités politiques, parmi lesquelles MM. E. Pfeiffer, directeur du cabinet de M. Guy La Chambre, et Jacques Kaiser, secrétaire du parti radical et radical socialiste.

Au dessert, M. David Scott, président de l'association, exprima' Jés regrets qui suivront dans leur départ MM. Walter Edge et Robert Pâli. et remercia M. Daladier d'avoir biep voulu s'associer, par sa présence, à cet hommage.

M. Daladier se leva ensuite et, après avoir remercié l'Association de la presse anglo-américaine, rendit hommage à M. Walter Edge.

Le peuple français, dit-il, n'oubliera jamais les paroles que M. Walter Edge prononçait il y a quelques mois ài Meaux, à l'inauguration du monument aux Américain» morts dans la bataille de la Marne, paroles dont la not'esse et l'élévation sqht allées droit au cœur de tous les Français. Qu'il en soit remercié aujourd'hui.

Puis, passant à l'examen de la difficile situation actuelle du monde. il mit en lumière les efforts accomplis. Au cours de ces dernières années, dit-il, la France, vous le savez, a procédé, de sa propre initiative, à d'importantes réductions ;'ae ses forces militaires. Hier encore,' le gouvernement que j'ai l'honneur tde présider a fait voter par le Parlement de nouvelles réductions. Je p#u3f même dire que nous mement.

Les Français, sans distinction de partis ni de classes, n'attendent rien et n'ont rien à attendre de la force. Ils n'aspirent qu'au travail dans la concorde et dans la paix.

Ils croient que cette paix peut se construire. Ils croient aux garanties que constituent l'arbitrage, une solide organisation pacifique de la sécurité, le désarmement genéral de tous les pays, désarmement efficacement contrôlé. C'est dans le contrôle que, pour notre/' part, nous voyons la garantie essentielle de la paix internationale. Quant t aux problèmes économiques, poursuit-il, je crois que le moment est venu pour tous les peuples de prendre conscience de leur solidarité. de faire tous leurs efforts tant du point de vue économique que du point de vue monétaire. Partout la production est dans une situation dramatique, partout le chômage sévit et les échanges commerciaux se réduisent, se contractent chaque jour davantage. Nous estimons que c'est par la eflllaboration de tous les peuples que l'on pourra sauver ce régime économique fondé sur la liberté de production. Je vous supplie encore de montrer que c'est vers le travail en commun qu'il faut nous orienter, que c'est par là seulement ~ue nous résoudrons nos difficultés.

(La suite d la troisième page.)

Des troubles auraient éclaté dans deux Etats brésiliens Montevideo, 1" mars (dép. Havas.) Selon une information de Rio de Janeiro, des troubles, dont, pour l'instant, on ignore l'importance, auraient éclaté dans les Etats de Rio-Grande-Do-Sul et de Matto-Grosso.

Il convient d'accueillir ces bruits sous toutes réserves.

De nombreuses mesures de précaution ont été prises et des personnalités politiques et militaires ont été arrêtées. Le calme règne à Sâo-Paulo et à Rio de Janeiro.

I.'achnir hîwi connu Fmuley félicite Mme Ihifour, ouvreuse depuis cinquante ans dans un théâtre parisien, qrti recesrx dea mains de M. Frinrois-Alhert la médaille 4e* rienx serviteurs.

L'arbitraire

l'emporte pleinement en Allemagne

L'application du décret du 28 février prive de tout recours et de toute garantie toue ceux qui n'ont pas la faveur du pouvoir Dès hier, le nombre des arres- tations était pasaé de 200 Berlin mars (dép. Petit Parisien.) Le décret signé le 28 février par le président d'Empire non seuleinent réduit, mais supprime les droits les plus élémentaires assurés aux citoyens par la Constitution. Si depuis ces dernières années ces droits ont été réduits progressivement, les individus inquiétés avaient cependant jusqu'ici un certain recours contre les autorités et une certaine garantie contre les abus. Toutes ces garanties n'existent plus. Le citoyen est livré purement et simplement à l'arbitraire de l'autorité. L'Etat dispose d'un pouvoir absolu sur la liberté et les propriétés de l'individu et ce, droit exorbitant n'est limité par aucun texte.

Jusqu'ici, jrbur que la police arrête un citoyens il fallait au moins que celui-ci tût suspect d'avoir commis tel crime ou délit, et sa détention provisoire par la police ne devait pas dépasser une journée il devait être remis immédiatement à un juge qui décidait de l'inculpation ou de l'élargissement.

Maintenant, il n'est pas nécessaire qji'un citoyen soit suspect pour être arrêté, et rien ne limite la durée de la détention par la police et sa comparution devant un juge. Tout devient affaire d'appréciation selon l'intérêt a de la sécurité et de l'ordre ». Les policiers, c'est-à-dire les éléments nazistes, ont le droit de pénétrer dans n'importe quel domicile sans donner de raisons. La sécurité des communications postales, télégraphiques et téléphoniques n'existe plus.

En ce qui concerne la presse, l'arbitraire ne saurait être poussé plus loin:

M. Gœring

tout journal. peut être saisi ou interdit pendant une durée indéterminée sans que les autorités aient besoin de donner une raison à leur intervention. Il est également possible, d'après le décret, d'instituer une censure cette mesure n'a pas été décidée jusqu'à présent puisqu'elle est inutile, les journaux ne publiant plus que des textes officiels. De même, le droit de réunion est pratiquement aboli.

Enfin, les autorités reçoivent les droits les plus absolus pour la confiscation des biens des citoyens gênants ou mal vus qu'il s'agit de toucher dans leur situation matérielle.

Le décret consavre donc, l'arbitraire du nouveau régime auquel il livre l'opposition, c'est-à-dire la majorité du pays.

200 arrestations

La propagande gouvernementale intense déchainée contre les communistes et contre les milieux sympathisants de gauche est accentuée par des arrestations continuelles. Le nombre des prévenus arrêtés, dépasse 200. Le Vœlkischcr BeoOachter, organe officiel du mouvement naziste, remarque ca matin que la plupart des individus arrêtés portent une barbiche, ce qui aggrave, bien entendu, leur cas, suivant l'opinion officielle.

INQUIETUDES ANGLAISES

Londres, V mars (dcp. Petit Paris.) Le développement de la situation en Allemagne préoccupe vivement l'opinion publique anglaise.

Non seralement on en aplrréhende les répercussions sur le plun international, mais certains se demandent; à la lumière des messages alarmants reçus de Berlin, si les nationaux britanniques établis en Allemagne sont en sécurité. Un député conservateur, M. Boothby, a demandé ce soir aux Communes, au ministre des Affaires étrangères, si son attention avait été attirée sur la gravité de la situation en Allemagne s'il pouvait donner à l'assemblée des informations sur ce sujet s'il était rassuré concernant les vies et les biens des sujets britanniques en Allemagne et s'il se proposait de faire des représentations au gouvernement de Berlin.

Sir John Simon a répondu

Je reçois, cela va sans dire, sur la situation en Allemagne, de fréquents rapports de l'ambassadeur de Sa Majesté à Berlin. Il n'y a aucun fait spé- cifique à ajouter à ceux qui ont déjà été signalés dans la presse. En ce qui concerne la sécurité des existences et des propriétés des sujets britanniques, je dois supposer que le gouvernement allemand remplira ses obligations visà-vis des sujets britanniques et de leurs intérêts en Allemagne et, dans ces conditions, je n'ai aucun motif de faire des représentations au gouvernement allemand.

M. LITVINOV A BERLIN M. Litvinov est arrivé aujourd'hui à Berlin et a eu un long entretien avec M. von Neurath. On croit savoir que M. Litvinov a tenu à donner quelques apaisements sur la portée du récent traité franco-russe.

M. PM-BUOi ENTENDU PAR LA COMMISSION

DES AFFAIRES_ÉTRflNGÈfiES L'affaire de Hirtenberg

La conférence du désarmement M. Paul-Bon£ourn£ été longuement entendu hier, à la Chambré, par la commission des affaires étrangères. La note suivante a été communiquée: La commission des affaires étrangères s'est réunie sous la présidence de M. Edouard Herriot.

Elle a entendu un exposé de M. PaulBoncour sur la situation extérieure. Le ministre des Affaires étrangères a passé en revue les principales questions de la politique internationale travaux de la conférence du désarmement, incident de Hirtenberg, conflit sino-japonais, pacte de la Petite Entente, relations franco-soviétiques. Le président Herriot a félicité et remercié M. Paul-Boncour de l'exposé très clair, très précis et très mesuré dans l'idée et dans la forme qu'il avait bien voulu faire à la commission. M. Paul-Boncour a ensuite répondu aux questions qui lui ont été posées par MM. Jean Longuet, Pezet, Guernut, Thébault, Ybarnégaray, Edouard Soulier, de la Ferronays, Marius Moutet, Louis Rollin, Henry-Haye, Bergery, Vienot et André Fribourg.

A ce communiquer, il y a lieu d'ajouter quelques précisions complémentaires

Sur la question du désarmement, le ministre a développé les raisons pour lesquelles il convient de se féliciter des résultats obtenus à Genève; en substance, la position de la conférence a été rétablie sur un plan positif qui a obtenu l'unanimité, en dehors de quelques abstentions.

D'autre part, «lits stase- téwlté üe l'amélioration de jour en jour plus sensible des relations franco-soviétiques, ainsi que de la conclusion du pacte de la Petite Entente. Enfin il n'a rien dissimulé des difficultés yougoslaves. M. Ybarnégaray ayant particulièrement insisté sur les fraudes d'armes de Hirtenberg, M. Paul-Boncour a expliqué que le chancelier autrichien Dollfuss avait donné des apaisements qui permettaient de considérer l'incident comme clos.

Au sujet du conflit sino-japonais, le ministre a montré combien était délicate la question de l'embargo sur les armes. Cette mesure présente des in- convénients certains et, en fait, favoriserait l'une des puissances au détriment de l'autre.

Quant aux relations franco-américaines, M. Paul-Boncour a démontré la nécessité d'attendre les actes du gouvernement Roosevelt.

APRES LE VOTE DES CHAMBRES Les taxes nouvelles entreront en vigueur Nos lecteurs ont appris par les dernières éditions du Petit Parisien comment M. Daladier et M. Lamoureux étaient parvenus, après une navette assez longue, à concilier les points de vue divergents de la Chambre et du Sénat sur l'impôt général sur le revenu et le prélèvement sur les traitements et les indemnités des fonctionnaires. Ils trouveront plus loin, sur les textes adoptés et promulgués hier au Journal officiel, les renseignements nécessaires. Les taxes nouvelles entreront en vigueur le 1" avril. Le gouvernement va maintenant s'occuper du budget.

AU CONSEIL DE CABINET

Un conseil de cabinet a eu lieu hier sous la présidence de M. Daladier. Le budget de 19.33

Sur la proposition de M. Lamoureux, le conseil a décidé de demander à la Chambre des députés de mettre à son ordre du jour, dès la semaine prochaine, la discussion du budget et de poursuivre ce débat sans désemparer afin d'assurer le vote définitif du budget de 1933 dans le plus bref déiai possible.

Le recrutement des fonctionnaires M. Lamoureux a fait connaître au conseil les conditions dans lesquelles il entendait accorder et limiter les dérogations prévues par le décret du 2 janvier 1933 sur l'arrêt du recrutement des fonctionnaires.

Le conseil a décidé que tous les projets de dérogations établis par les départements ministériels seraient centralisés dès cette semaine au ministère du Budget et qu'il serait aussitôt statué par une décision d'ordre général.

Il a été, en outre, décidé qu'il ne serait procédé qu'après ce nouveau décret aux nominations reconnues né- cessaires dans certaines administra- tions, notamment dans les cadres per- manents de l'enseignement public.

Outillage national

Les ministres se réuniront en conseil aujourd'hui à 16 heures à l'Elysée, sous la présidence de M. Lebrun. Le chef du gouvernement, conformément à ses déclarations à la Chambre et au Sénat, demandera à ses collaborateurs de préparer la mise au point définitive du programme d'outillage national, sur lequel le Parlement sera appelé à se prononcer immédiatement après le vote du budget de 1933. DECLARATIONS DE M. G. BONNET Interrogé, M. Georges Bonnet, ministre des Finances, a fait les déclarations suivantes au sujet du redres- sement budgétaire

On ne saurait trop insister sur l'importance du vote du projet financier qui vient d'intervenir. Les efforts des gouvernements de M. Edouard Herriot et Paul-Boncour et de leurs ministres des Finances et du Budget ont convaincu le Parlement qu'il fallait tout prise aboutir.

Et, soulignant avec satisfaction que l'on vient précisément d'aboutir dans de bonnes conditions, M. Georges Bonnet a ajouté

-Le vote de cette nuit marque la continuité de l'oeuvre de redressement budgétaire que ln France paatrstait depuis quelques moins. L'ensemble des mesures réalisées a dégagé environ neuf milliards de disponibilités. C'est un hommage à rendre au prtya ét (lu parlement de souligner qu'un effort aussi considérable ait été accompli en huit mois. (En 2» page :̃ l'analyse du projet financier.)

Le moratoire

des banques américaines s'étend toujours

New-York, 1" mars.

DE VOTRE CORRESPONDANT PARTICI,'L1ER Le mouvement de moratoires bancaires s'étend aux Etats-Unis dans deux nouveaux Etats, le Tennessee et le Kentucky, les gouverneurs ont pratiquement fermé les banques jusqu'à lundi; dans l'Etat de Kentucky, le gouverneur Laffoon, faisant état d'une loi qui l'autorise à proclamer jours

Le culunet Me. Il. confident du président Boosevelt

d'actions de grâces, et par suite fériés, certains jours à son choix, a décrété que les 1", 2, 3 et 4 mars seraient jours fériés.

L'Etat de Maryland, où le moratoire devait expirer aujourd'hui, a prolongé d'un jour le régime de restrictions actuel.

La législature de Virginie occidentale a adopté une loi permettant au gouverneur de proclamer un moratoire bancaire en cas de nécessité. Celle du Nevada discute d'une mesure semblable aujourd'hui.

Cette extension des moratoires bancaires prend des proportions inquiétantes. M. Roosevelt se préoccupe beaucoup de la situation et se fait renseigner heure par heure.

On croit, dans les milieux informés, que M. Roosevelt ne fera rien avant son arrivée au pouvoir. Il serait d'avis de laisser les fautes du passé produire leurs effets et la situation se développer normalement jusque-là.

Où s'arrêtera le mouvement ? C'est ce que tout le monde commence à se demander avec une certaine inquiétude.

Considérant que dans tant de villes déjâ les déposants ne peuvent retirer que 5 ou 10 de leur argent, le public un peu partout «liseurs retire- des* sommes plus ou moins unportantes en prévision d'un moratoiregénéral ces retraits, de plus en plus sérieux, augmentent la pression sur les banques jusqu'alors considérées parmi les plus liquides. S'ils continuent, au- cune banque ne pourra résister. On estime qu'il y a 42 milliards de dollars de dépôts dans les banques. Il n'y a que 5 milliards de dollars de « money » en circulation.

Les plus craintifs, retirent de I'or dans les banques fédérales de réserve. Je suis allé aujourd'hui à la Banque Fédérale de Réserve de New- York un étrange cliquetis de pièces remplissait la salle où le public est admis à changer son papier monnaie contre

a eunceiantes pièces d'or des guichets supplémentaires ont été ouverts. Des personnes de tous milieux sociaux et même des femmes avec des enfants sont venues faire une petite provision de précieux métal.

La banque paie rubis sur l'ongle i: suffit de remplir une fiche indiquant le montant désiré il n'est même pas nécessaire de faire la queue longtemps. Les retraits d'or pour le compte anglais continuent et causent même quelque irritation dans certains milieux financiers. Il n'y a pas si longtemps que les retraits d'or de la Banque de France avaieut. causé la même irritation contre notre pays. Il faut se féliciter de les savoir terminés en cette période critique.

C'est l'Angleterre qui, actuellement, recueille les critiques que nous- endossions il y a quelques mois.

Il ne faut naturellement pas laisser les nations travailler trop vite et voir la situation américaine plus sombre qu'elle n'est. Il est certain que si les deux mouvements conjugués qui se poursuivent actuellement, savoir le.s retraits d'or d'une part et l'augmentation de la circulation monétaire, continuent au régime actuel, leur aboutissement ne peut être qu'un abandon du « gold standard par les EtatsUnis. Mais il n'est au pouvoir de personne de prévoir qu'ils ne s'arrêteront pas deux fois déjà, en juin dernier et à la fin de 1931, ces deux mouvements conjugués ont été enrayés.

Pierre DENOYER

L'ENTREVUE ROOSEVELT-CLAUDELÏ

LE DÉSARMEMENT LA CONFÉRENCE S'ACHEMINE

VERS UNE CRISE DÉCISIVE

Genève, l«r mars.

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL

Nous avons assisté aujourd'hui à la continuation de la nouvelle tactique du silence et du laisser-faire instituée hier par l'Allemagne, l'Italie et leurs satellites. Ce matin, au comité aérien, M. Brandenburg a jeté du lest en acIceptant qu'on discutât la question de i l'internationalisation de l'aviation civile, dans l'hypothèse d'une abolition totale de l'aviation militaire et navale. Naturellement il ne s'agissait là, de sa part, que de gagner du temps. Berlin sait, en effet, que Rome ne veut pas de cette abolition totale mais se prononce seulement en faveur d'une réduction et d'une limitation qui n'auraient comme contre-partie qu'un simple contrôle aussi peu gênant que possible de l'aviation civile. Pour s'assurer d'ailleurs une autre échappatoire car le Reich entend bien prendre prétexte de la non-abolition de l'aviation militaire pour ajouter à la puissante aviation civile dont il dispose l'aviation militaire que lui interdit le traité de Versailles le délégué allemand a demandé aux Etats-Unis, dont le représentant n'a pu qu'observer un silence gêné, s'ils seraient disposés à supprimer leur aviation militaire dans le cas où l'Europe procéderait à l'internationalisation de l'aviation civile. Un nouveau jalon se trouve ainsi posé dont, le moment venu, les dirigeants du Reich ne manqueront pas de se servir. Cet après-midi, à la commission générale, bien que la question des armées de métier ait été nettement soulevée, dans une de ses nombreuses interventions, par M. Pierre Cot, M. Nadolny a persisté dans son attitude silencieuse et laissé voter à l'unanimité l'interdiction de posséder parmi les forces de défense métropolitaine des

JI. Brandenburg

u?tités constituées par des. effectifs privés ou servant au dètà de la durée légale ».

Albert JULLIEN

(La suite à la troisième page.)

Mermoz et l'ingénieur Couzinet seront à Paris aujourd'hui Le chef pilote Jean Mermoz et l'ingénieur René Couzinet. qu'accompagnent MM. Verdurand et Heilbronner, de l'Aéropostale, et le capitaine-navigateur Mailloux, sont arrivés à Toulouse à 16 h.. 5 venant de Casablanca qu'ils avaient quitté à 7 h. 15. Ils doivent en repartir aujourd'hui dans la matinée pour arriver à Paris après déjeuner.

Le général Kuhlenthal

est nommé attaché militaire du Reich à Paris

Berlin, 1" mars (dép. Havas.) La désignation des nouveaux attachés militaires du Reich à l'étranger vient d'avoir lieu officiellement. A la date du 1" avril prochain, le général Kuhlenthal a été nommé attaché militaire auprès de l'ambassade d'Allemagne à Paris; le général von Boettcher a été nommé à Washington, le colonel Geyer von Schweppenburg à Londres, Bruxelles et la Haye, avec résidence à Londres: le colonel Fischer a été nommé à Rome et Budapest, avec résidence à Rome, et le colonel Falkenhorst à Prague, Belgrade et Bucarest, avec résidence à Prague le lieutenant-colonel Hartmann a été nommé à Moscou et Wilno, avec rési- dence à Moscou.

Une secousse sismique an Wurtemberg Stuttgart, mars (dép. Havas.) Une nouvelle secousse sismique a été i perçue à 3 h. 10 du matin en diverses localités du Wurtemberg. 1 r

Serait-ce une victime de Landru

dont on aurait retrouvé les restesj^Clicliy ?

La découverte d'ossements humains dans un terrain voisin d'une maison qu'habita le « Barbe-Bleue de Cambais a permis à certains d'émettre cette hypothèse

Est-ce que la sombre affaire Landru, qui peu à peu tombe dans l'oubli, reviendrait d'actualité ? C'est une hypothèse que d'aucuns, hier, n'ont pas hésité à formuler, encore que, à. tout bien considérer, il semble qu'on ne se trouve qu'en présence d'une simple coïncidence de faits.

Voici ceux qui se révélèrent hier aux amateurs de rebondissements dramatiques.

Alors qu'ils procédaient à des fouilles pour l'établissement des fondations d'un immeuble, au n° 2 de la rue de Paris, à Clichy, des ouvriers terrassiers ont mis au jour divers ossements humains des tibias, un bassin, une omoplate, un maxillaire inférieur avec toutes, ses dents, parfaitement conservés.

A l'endroit où ces funèbres débris ont été découverts s'élevait, il y a peu de temps encore, une bicoque en ruines et inhabitée depuis une dizaine d'années.

Ces restes ont-ils appartenu à un homme ou à une femme ? A quelle époque ont-ils été enterrés ? Jusqu'ici, il reste impossible de répondre à ces questions. Malgré ces obscurités, ou plutôt grâce à elles, certains habitants de la rue de Paris se sont rappelés qu'ils avaient eu pour voisin, où il habita au n° 6 avec sa femme et s >n fils, le fameux Landru, de sinistre mémoire. Tout aussitôt ils ont pensé que ces ossements pouvaient être ceux de l'une de ses nombreuses victimes dont les restes ne furent jamais retrouvés. Mais il faudrait alors admettre que Landru avait amené l'une de ses « fiancées au domicile conjugal ou à proximité, ce qui semble assez peu probable car, si l'on se réfère aux notations précises de son fameux carnet, Landru ne manquait jamais d'amener ses amies à Gambais.

Quoi qu'il en soit, étant donné que ces ossements ont été trouvés assez tard dans la soirée, de nouvelles recherches seront effectuées aujourd'hui, et les débris, déposés au commissariat, seront dirigés ce matin sur l'institut médico-légal pour y être exa-

POUR ET CONTRE Les Français qui auront illuminé hier soir pour célébrer le vote du douzième de mars auront été vraisemblablement fort peu nombreux.

Ce vote, et les aménagement- fiscaux qu'il comporte et les axes qui entraîne, ne saurait, en effet, dilater le coeur des itoyens. C'est un vote amer, sévère et rigoureux. C'est un vote de. mauvais temps de mauves temps oudgétaire et économique. La tristesse de tous les contribuables serait plus vive encore s'ils pouvaient penser que c? mauvais temps ne cessera pas s'ils n'ava'~nt pas la consolation d'espérer que le sombre ciel s'éclaircira quelque jou\ Aprèr la pluie, le beau temps, assure un dicton antérieur à tous les votes du Parlement Après la pluie des impôts et des taxe: le beau temps des allégements fiscaux viendra peut-être. Le vote du douzième dt mars est un vote de carême, un vote de pénitence. II ne peut, hélas fair' plaisir à personne. Il ne peut donner à personne le sourire ce sourire qui était, autrefois, si spécifiquement fran ais.

Mais enfin, c'est fini. Pour le moment on peut dire ouf comme lorsqu'on sort de chez le dentiste l Méme quand on sait que l'on doit, le lendemain, retourner chez lui.

Ouf 1 on va peut-être pouvoir, pendant quelques jours, penser à autre chose qu'à l'article 67 fer et à l'article 86 quinquies. Quel malheur, entre parenthèses, de couper en morceaux de si bons articles Ouf on va peut-être pouvoir suivre d'autres débats et d'autres affaires que les débats et les affaires budgétaires. Il y a peut-être, à cette heure, d'autres questions que ces questions d'argent. Il en est, peutêtre même,' qui ne manquent ni d'urgence ni de gravité.

Ouf le douzième de mars est voté. Mais les interminables discussions et les manifestations nombreuses qui ont précédé ce lote difficile sont un signe des temps ,des temps qui sont venus. L'Etat ne saurait négliger ces avertissements ni ces symptômes.' L'équilibre budgétaire ne saurait être indéfiniment obtenu par une augmentation des impôt', des taxes et des surtaxes.

Le contribuable n'en peut plus. Le contribuable commence même à perdre patience.

Il faut que l'Etat. résolument, courageusement, réforme ses méthodes et corrige ses errements. Il faut qu'il ait enfin la force de se montrer sévère envers luimême au lieu de n'avoir de sévérité que pour lés contribuables. Il faut que l'Etat se rende bien compte de cette vérité élémentaire. sociale, nationale et économique l'Etat ne doit pas faire perdre l'équilibre à tous les contribuable! de France, sous le prétexte d'établir coûte que coûte l'équilibre de son propre budget.

Maurice PRAX.

Brouillards sur les régions parisienne, nord-est et est Des brouillards assez épais, persistant une grande partie de la journée d'hier sur les régions parisienne, nord-est et est., ont un peu gêné l'activité des lignes aériennes sur ces contrées. Les broUillards étaient humides et froids, avec température égale ou peu supérieure à zéro. Sur le reste de la France, le temps était nuageux et un peu frais, avec température de l'ordre de + 3° à + mais on n'y signalait pas de brouillards.

Placée entre l'anticyclonefdu centre de l'Europe et la dépression de l'ouest, la France aura aujourd'hui sur sa moitié est un temps un peu froid et gênéralement brumeux, et sur sa moitié ouest un temps nuageux et un peu frais, avec quelques pluies.


LES DÉTIS Du PROJET DE REDRESSEMENT FINANCIER

Le pivot ce la loi promulguée hier matin est incontestablement l'article 60 qui dispose que, pour l'année 1933, la cote da chaque contribuable, au titre de l'impôt sur le revenu, sera majorée de 10 ce décime s'appliquera de la façon suivante.

Il s'agit bien uniquement de l'impôt sur le revenu et nop de la cédule, et ce décime s'appliquera de la façon suivante.

Prenons l'exemple d'un contribuable ayant payé en 1932 la somme de 1.000 francs au titre de l'impôt global sur le revenu il paiera cette année, pour .un revenu égal, la somme de 1.100 francs. Ajoutons que la qédule .n'est pas visée par le nouveau projet.

Mentionnons ici que l'article 41 du projet dispose que, à titre exceptionnel, les délais de déclaration relatifs aux impots cédulaires et à l'impôt général sur le revenu sont prolongés jusqu'au 31 mars, alors qu'ils expirent d'ordinaire fin février. Enfin, signalons que l'article 39 institue une commission nouvelle, dite commission de taxation, chargée de régler les conflits survenus entre les agents du fisc et les contribuables en matière d'impôt sur le revenu. Les règles antérieurement- en usage sont abolies. Auparavant l'agent du flsc devait faire la,preuve que ia déclaration du contribuable était insuffisante. Désormais. c'est ce dernier qui devra prouver que sa déclaration est bien exacte. La commission de taxation comprendra

Le président du tribunal civil ou, dans les arrondissements où il n'y a pas de tribunal, un juge délégué par le président du tribunal du chef-lieu du département, président

Un inspecteur principal ou un inspecteur des contributions directes Un contrôleur des contributions directes, un receveur de l'enregistrement et un percepteur des contributions directes désignés par leur chef de service parmi les agents en fonctions au chef lieu de l'arrondissement

Deux contribuables désignés l'un par le directeur des contributions directes parmi les répartiteurs du chef-lieu de l'arrondissement. l'autre par les chambres de discipline ou associations professionnelles parmi les représentants de la profession intéressée. Ces deux membres sont, comme les agents de l'administration, soumis aux obligations du secret professionnel prévues par l'article 109 ci-après.

Pour les contribuables parisiens

A Paris, .il' est constitué une commission dans chaque arrondissement. Dans la banlieue de Paris, une commission fonctionne dans la circonscription de chaque conseiller général de la Seine. Le fonctionnement de la commission La commission délibère valablement à. condition qu'il y ait au moins trois membres présents, y compris le président. En cas de partage, la voix du président est prépondérante.

La commission se réunit sur la convocation de son président. Convoqués dix jours au moins avant la réunion. les contribuables intéressés sont invités à se faire entendre ou à faire parvenir leurs observations écrites. Ils .peuvent se faire assister par une personne de leur choix ou déléguer un mandataire dûment habilité.

Après avoir entendu les explications du contribuable ou pris connaissance de ses observations, la commission, fixe, par décision motivée, la base de l'imposition. Elle statue également sur l'application de la majoration prévue à l'article G3 ci-après.

La décision de la commission est notifiée au contribuable qui peut la contester par voie de réclamation après l'établissement du rqle, à charge pour lui d'apporter la preuve de son bénélice réel.

Le contrôle est renforcé

Le 'ministre du Budget prendra tou- tpii mesures, propres à assurer, dans le -cadre de l'administration des contributions directes, l'organisation d'un service spécial de vérifications et de recherches pour le contrôle des impôts sur las revenus. Il est autorisé à engager, à cet effet, dès 1933, les dépenses nécessaires à concurrence d'une semme annuelle de 14 millions de Les quatorze millions demandés ser- viront notamment à l'acquisition d'un immeuble dans lequel seront installés les services du nouveau contrôle. On sait qua, jusqu'ici, les contrôleurs étant trop peu nombreux, un cinquième seu- lement des sociétés existant à Paris 1 était soumis aux vérifications du fisc. Les deux articles suivants prévoient la réorganisation du personnel des contrôleurs et décident que cette me- 1 sure n'entraînera aucun recrutement de fonctionnaires.

Le ministre ,,du Budget, dans le délai de deux mois à dater de la promulgation de la présente loi, de- vra procéder à la réorganisation en personnel et en matériel du service des sociétés à Paris et dans les départe- ments. Il est autorisé à engager, à cet effet, des décences s'élevant à la somme totale de -i.52i.300 francs.

Les mesure* de répression J contre le refus de payer l'impôt 4 Ajoutons que quiconque, par voies de ( fait, menaces ou manœuvres concer- téea, aura organisé ou tenté d'orga- 1 niser le refus collectif de l'impôt, sera puni de peines sévères, d'amende et 1 d'emprisonnement, c Pour consulter les listes 1

de contribuables

Enfin, la liste des contribuables assu- 1 jettis à l'impôt général sur le revenu

Feuilleton du Petit Parisien, 2-S-'i'i LE SECRET DU LÉGIONNAIRE grand roman inédit

H d'aventure et d'amour ARTHUR Bernède j

PREMIERE PARTIE

LES MYSTÈRES DU MAROC

XIII (suite)

La petite Marocaine

Kadoudja ne répondit pas. Mais son attitude mystérieuse suffit à laisser voir que, dépositaire d'un secret qu'elle ne pouvait confier à personne, elle était obligea de garder le silence.

Vivement, Jacques déchira l'enveloppe et déplia le papier qu'elle renfermait.

A mesure qu'il en prenait connaissance, son visage exprimait une radieuse et divine allégresse. Ses mains tremblaient. Des larmes de bonheui apparurent dans ses yeux. Et Il dut se retenir pour ne pas appuyer ses lèvres sur le simple nom, ce cher nom d'Ellen dont celle qu'il aimait avait signé son message.

Tu es au service de. cette. cette demoiselle ? interrogeait-il, brûlant de fièvre.

Kadoudja eut un signe de tête afflrmatif.

Eh bien tu lui diras que Je la remercie de tout mon coeur; que, grâce Copyright by Arthur Bernède Traduction et reproduction interdites en toua paya

sera déposée par la direction des contributions directes de chaque département dans les mairies dont dépend le domicile de ces contribuables et tenue à la disposition de tous les contribuables de la commune. Les contribuables ayant plusieurs résidences peuvent demander, en souscrivant leur déclaration, que leur nom soit communiqué aux mairies de ces résidences. SUPPRESSION D'EXONERATIONS ET RETOUR

SUR CERTAINS DEGREVEMENTS Voici les principales mesures contenues dans cette partie de la loi nouvelle

Les immeubles bâtis jusqu'en 1939 devaient bénéficier pendant 15 ans de fexemption d'impôt foncier la date limite est ramenée au il, janvier 1935. Les immeubles bâtis après cette date paieront l'impôt.

Le 'gouvernement est autorisé à augmenter les 'droits d'enregistrement. Augmentation du papier timbré Art. 53. Les tarifs du droit de tim- bre de dimension sont fixés ainsi qu'il suit, décimes compris

La feuille de grand registre, 24 fr. La feuille de grand papier, 16 fr. La feuille de papier moyen, 12 fr. La feuille de petit papier, 8 fr. La demi-feuille de petit papier, 4 fr. Toutefois, les droits de timbre auxquels sont assujettis les registres de l'état civil ne seront que de la moitié des tarifs ci-dessus.

Le prix des feuilles de moyen papier est réduit à 6 fr. pour les feuilles employées à la rédaction des expéditions des actes civils, administratifs, judiciaires et extra-judiciaires.

Augmentation du droit de. timbre des traites et chèques

Art. 54. Le tarif du droit de timbre est porté de 0 fr. 20 à 0 fr. 50, sans addition de décimes.

Augmentation des timbres-quittance Les nouveaux droits de timbres-quittance sont ainsi fixés

0 fr. 25 quand les sommes n'excèdent pas 50 fr

0 fr. 50 quand les sommes n'excèdent pas 100 fr.

0 fr. 75 quand les sommes sont comprises entre 100 et 1.000 fr.

1 fr. 50 quand les sommes sont comprises entre 1.000 et 10.000 fr. 3 fr. quand les sommes sont comprises entre 10.000 et 50.000 fr.

Et, au delà, 1 fr. 50 en sus par nouvelle fraction de 50.000 fr.

Le droit de timbre des titres, de quelque nature qu'ils soient, qui constatent des paiements ou des versements de sommes

Sont frappés d'un droit de timbrequittance uniforme de 50 centimes 1° Les titres comportant reçu pur et simple, libération ou décharge de titres, valeurs ou objets, exception faite des reçus relatifs aux chèques remis à l'encaissement

Les reçus constatant un dépôt d'espèces effectué chez un banquier, un agent de change ou un comptable public.

La taxe sur les carburants

Une majoration de 5 francs par hectolitre frappera les essences de pétrole et autres, pures ou en mélanges, les benzols, benzines, toluènes, essences de houille pures ou en mélange.

Dans lea cinq jours de la promulgation de la loi, tous commerçants ou dépositaires des produits désignés cidessus devront faire, à la recette buraliste des contributions indirectes, la déclaration des quantités en leur possession.

Exonération pour les taxis

Sont econérés de la taxe prévue aux deux premiers alinéas de l'article Les transports de voyageurs effectués par véhlcules automobiles ne comportant pas plus de quatre places (celle du conducteur comprise) lorsque l'entrepreneur ne possède ou n'utilise pas plus de deux voitures, ou lorsque les conditions de transport sont conformes à un tarif réglementaire.

.Et pour les entreprises concédées Les entreprises qui assurent l'exécution de services publics de transports concédés ou subventionnés par l'Etat, les départements ou les communes, à la condition que le montant de la subvention, quand elle est accordée par les départements ou les communes, atteigne au moins 25 des recettes annuelles et que les tarifs appliqués soient soumis à l'homologation de l'autorité publique.

Taxe sur tes camions et remorques L'impôt sur les transports lourds est ainsi complété

Les véhicules automobiles visés au paragraphe premier du présent article, ainsi que leurs remorques, sont soumis

1* A une taxe au poids, dont le tarif annuel est ainsi fixé

Véhicules et remorques dont le poids total maximum en ordre de marche est compris entre 5.000 et 7.000 kilos, 400 francs.

Véhicules et remorques dont le poids total maximum en ordre de marche dépasse 7.000 kilos, sans excéder 10.000 kilos, 600 francs.

Véhicules et remorques dont le poids total maximum en ordre de marche dépasse 10.000 kilos, sans excéder 13.000 kilos. 900 francs.

Véhicules et remorques d'un poids supérieur à 13.000 kilos, 1.200 francs. 2" A une taxe à l'encombrement, dont le tarif annuel est ainsi flxé:

Véhicules et remorques dont la sur-

à elle, je suis heureux, très heureux. Tu sauras bien lui répéter cela Oh oui.

Tu m'as l'air, en effet, d'être très intelligente. Tu diras encore à. à cette demoiselle que je voudrais bien lui répondre, mais que je n'ose pas. Peutêtre pourrais-tu attendre que je te remette une lettre pour elle ?.

Oh non, car il faut que je rentre tout de suite.

Et si tu revenais demain dans la matinée ?

Moi, je veux bien. Je demanderai. Mais ne vous inquiétez pas, je saurai très bien répéter ce que vous m'avez chargé de dire.

Et. pour achever de rassurer son interlocuteur, qui semblait avoir déjà conquis du premier coup toute sa sympathie. Kadoudja ajoutait

Vous la remerciez.

De tout mon coeur.

De tout votre coeur. Vous êtes heureux.

Très heuraux

Très, très heureux. C'est bien cela? C'est tout à fait cela

Et Kadoudja, qui avait tout deviné, reprenait, avec un accent do bonté et de douceur dans lequel il n'y avait plus l'ombre de malice

Elle aussi sera très houreuse Sans même donner le temps à Jacques Nanteuil de la remercier, elle courait vite vers fauto de louage qui l'attendait à l'entrée du camp, y sautait avec la légèreté d'une gazelle et s'éloignait en agitant la main vers le jeune officier, qui tenait toujours la lettre d'Ellen entre ses mains tremblantes.

Alors, un vieux mendiant, à l'aspect misérable, au burnous noir. à la barbe d'un blanc jaunâtre, qui, depuis un long moment déjà, était assis sur le talus de la route et n'avait pas cesse de psalmodier une vague complainte dans laquelle il étalait complaisamment sa misère physique et morale, se levait péniblement et, appuyé sur un bâton,

face d'encombrement excède 10 mètres 1 carrés sans dépasser 15 mètres carrés 1 ou dont la largeur excède 2 mètres, 600 francs.

Véhicules et remorques dont la surface d'encombrement excède i5 màtrns carrés sans dépasser 20 mètres carrés, 800 francs.

Véhicules et remorques dont la surface d'encombrement dépasse 20 mètres carrés, 1.000 francs.

La surface d'encombrement est celle d'un rectangle ayant pour longueur et largeur la longueur et la largeur du véhicule ou de la remorque, toutes saillies comprises.

Les remorques pour véhicules automobiles sont soumises, par unité, à un droit fixe annuel ainsi fixé

1" Remorquas dont le poids total maximum en ordre de marche est inférieur à kilos, 100 francs

2" Remorques dont le poide total maximum en ordre de marche est compris entre 500 et 2.U00 kilos, 200 franc«; 3" Remorques dont le poids total maximum en ordre de marche est supérieiïr à 2.000 kilos, 400 francs. La taxe sur les transports

Sont soumis à l'impôt prévu à l'égard des voies ferrées. par l'article 13 du décret du 21 décembre 1926, portant codification des textes législatifs en matière de contributions indirectes, tous les modes de transport à prix d'argent autres que les véhicules à traction animale, lea' véhicules placés sous la législation propre aux automobile et les transports par la voie des airs ou par eau. Les entrepreneurs de tranaports de voyageurs par voie d'eau peuvent revendiquer le bénéfice du régime propre aux chemins de fer.

La taxe sur les fias oils

Un droit intérieur de 36 franges par quintal est établi sur les gas oils, purs ou en mélange, destinés à être employés en France à l'alimentation des moteurs des véhicules utilisés pour les transports eur routes.

Et sur les huiles de graissage Des décrets flxeïr.nt toutes les mesures nécessaires pour l'assiette et la perception de l'impôt institué par l'article qui précède et auquel sont applicables toutes les dispositions relatives aux huiles minérales de graissage déjà imposées.

Nouveaux droits sur l'alcool

Le droit de consommation sur l'alcool est majoré au pont exclusif de l'Etat de 30 francs par hectolitre d'alcool pur.

Tous commerçants ou dépositaires d'alcool devront, dans les cinq jours de la promulgation de la loi, faire au bureau de la régie des contributions indirectes la déclaration des quantités en leur possession. Ces quantités seront reprises par voie d'inventaire et passibles de supplément d'impôt qui pourra être acquitté par obligations cautionnées.

Toute quantité non déclarée donnera lieu au paiement, en sus de la surtaxe, d'une amende double de ladite surtaxe. Taxe sur certains apéritifs

Art. 65. Une surtaxe de 100 francs par hectolitre d'alcool pur, qui entrera dans la détermination de la valeur moyenne de l'alcool, est établie en addition au droit général de consommation sur les spiritueux anisés renfermant moins de 400 grammes de sucre par litre, sur les bitters, las amers et, en général, sur toutes boissons apéritives autres que les boissons apéritives à base de vin titrant moins de 23 degrés.

En ce qui concerne les boissons aniaées, pour lesquelles est abrogée l'obligation de l'édulcoration édictée par le décret du 24 octobre 1922, cette surtaxe sera perçue sur un minimum de 40 degrés.

Taxe sur l'acide carbonique

Art. 66. Le tarif de l'impôt sur l'acide carbonique liquide est fixé à 8 francs par kilogramme.

COMPRESSIONS DE DEPENSES La réduction des traitentents

des fonctionnaires

ART. 76 (ancien article 83). Pendant l'année 1933 et à compter du mars il sera établi sur les traitements, soldes, salaires autres que les salaires régionaux des personnels rétribués sur le budget général, les budgets annexes, les budgets des office,4, sous déduction de 3.000 francs pour la femme non fonctionnaire et 3.000 francs par enfant mineur, une contribution exceptionnelle qui est fixée ainsi qu'il suit

2 p. 100 sur la tranche de 12.OCD à 20.000 francs.

3 p. 100 sur ta tranche de 20.000 à francs.

4 p. 100 sur la tranche de 35.000 à 50.000 francs.

5 p. 100 sur la tranche de 50.000 à 65.000 francs.

6 p. 100 sur la tranche de 65.000 à 80.000 francs.

7 p. 100 sur la tranche de 80.000 à 100.000 francs.

8 p. 100 sur la tranche de 100.000 francs et au-dessus.

La situation de famille à envisager pour les abattements est celle de l'agent au 1" mars 1933.

Pour l'application des présentes dispositions, l'indemnité parlementaire s'entend du montant brut.

Prenons l'exemple d'un fonctionnaire ayant un traitement de 20.000 francs. Il paiera, pour les dix mois restant à courir de l'année 1933, une somme totale de 133 francs s'il est célibataire, de 83 fr. 33 s'il est marié sans enfant, de 33 fr. 33 s'il est marié et pàre d'un enfant, et ne paiera rien s'il est marié et père de deux enfants. Divers autres articles prévoient, dans certaines conditions, la suppression de la présomption d'origine, la réduction de 10 des indemnités des fonctionnai-

traînant ses savates rapiécées sur la poussière du chemin, il se dirigea vers la ville.

A peine avait-il fait une centaine de pas qu'un torpedo à la carrosserie démodée, et dont le moteur « cognait » ferme, le rejoignait, le dépassait, puis stoppait à une cinquantaine de mètres de là.

Le vieux mendiant, transformant son allure, la rejoignait du pas ferme, solide et décidé d'un homme encore valide et même robuste.

Et, sans adresser le moindre signe au chauffeur un nègre coiffé d'un fez rouge et vêtu d'une tunique jaune tachée d'huile et de graisse le Berbère à la barbe blanche montait dans le véhicule et s'installait sur les coussins arrière, en propriétaire qui reprend avec satisfaction possession de son bien.

Le chauffeur devait avoir reçu d'avance, de son singulier patron, des instructions très précises, car il démarrait aussitôt et regagnait Marrakech au petit train de 20 à l'heure, seule vitesse que se permettait son « tacot » ultra-poussif et mûr pour le tas de ferraille.

Après avoir suivi tout au long l'avenue du Guelitz, la torpédo gagnait le quartier de la Mamounia et s'arrêtait devant le palais d'HaHd Moustapha. Le vieux mendiant en descendait et s'eu allait sonner à une porte de service qui sc trouvait sur la droite, è cinquante mètres environ de l'entrée principale.

Achille, le valet de chambre européer, «'en venait ouvrir et commençait par invectiver celui qu'il prenait pour un de ces infatigables et insatiables quémandeurs qui ont simplifié le problème de l'existence en demandant à la charité des autres ce qu'ils s'en voudraient d'obtenir par leur propre effort. Mais l'intrus, que ses menaces ne paraissaient nullement intimider, lui disait, dans un français à peine teinté d'un léger accent indigène

res, la création de commissions chargées, l'une de réprimer les abus en matière de pensions, la seconde de diminuer les indemnités et d'étudier la réorganisation administrative, la, troisième de contrôler la gestion des offices. Le cumul des traitements et dos pen¡¡ion!! est interdit quand le total des deux allocations est supérieur à francs diverses exceptions sont prévues. Les pensionnés ne pourront plus toucher qu'une année d'arrérages au maximum. Enfin, diverses mesares visent les officiers, diminuent leur nombre et diminuent également le nombre des chevaux de l'armée.

Ajoutona, pour conclure, que la Monnaie frappera pour 1 milliard de pSèces de 5 francs en nickel.

Au comité exécutif du parti radical Un exposé de M. Herriot sur la situation extérieure

En ouvrant hier soir la réunion du comité exécutif du parti radical et radical socialiste, M. Edouard Herriot, qui présidait, ne pouvait manquer de faire al]as.iojj,.«-^ux faits importants qui se gont produits 'depuis la dernière assemblée

Tout d'abord, Yancien président du Conseil, chaleureusement àpplaudi, rappela la nouvelle étape, c la rude étape achevée « sur la voie qui doit conduire le pays à son redressement financier

Rétabllssant certains faits que l'on a tente d'obscurcir au cours de polémiques souvent tendancieuses et désordonnées et répondant à une brochuro où un ancien chef de gouvernement met violemment en cause la majorité républicaine », M. Herriot reprit en substance l'argumentation mêlée d'ironie qu'il avait développée hier matin, à la Chambre, au cours du débat financier.

Puis le chef du parti radical en vint aux événements de politique extérieure

Un événement grave, dit-il, a dominé les dernières semaines la rupture du Japon avec la Sociité des nations. Pour nul peuple cet événement n'a été plus pénible que pour le nôtre nous n'oublions ni les services rendus par le Japon à la cause commune dans la dernière guerre, ni ses mérites exceptionnels d'organisation. ni le caractère scientifique et l'influence civilisatrice de ses efforts. Mais pour notis, Français et républicains, un principe doit toujours prévaloir le respect des traités et du pacte de la Société des nations. Si nous laissions prescrire ce principe souverain, c'en serait 'fait de toute notre polltique, de toute sa cohérence. de nos droits et de iras- espoirs.

Parlant de* disoasaions-- internationales en cQurs .à Genève, M. Herriot ajouta

A Genève, la discussion du plan de désarmement place la France à la pointe du combat pour la paix Nul être de bonne foi. dans le monde, ne peut refuser à la République le mérite d'avoir présenté sur l'organisation de la paix des vues détaillées et positives, De ce fait, sans nul doute, la situation internationale s'est améliorée à notre profit mais nous conservons des inquiétudes qui nous imposent le devoir de veiller jour nar jour, surtout pour le cas où, notre plan n'étant pas accepté, nous serions obligés de du.. cendre à nouveau dans une discus3;on purement empirique. Discuasion d'autant plus difficile que, nos amitiés extérieures représentant un élément de notre sécurité, nous devons souvent mettre en accord nos propres idées avec celles d'autres puissances, peut- être moins persuadées que nous des dangers que nous courons encore. Puis, à propos des incidents de Hirtecberg

Nous sommes d'ailleurs obligés da reconnaître que nous nous heurtons, même pour des organisations purement européennes, à. des hostilités presque systématiques contre tout effort français. Les découvertes récente.3 relatives au trafix des armée prouvent, comme celle qui vient d'être réalisée pur. l'ordonnance'de M. Gœhring en date du 22 février, ainsi que certaines extensions do police, l'agitation quai règne dans plusieurs milieux. L'incident de Hirtenberg se rattache à l'incident ancién des mitrailleuses de Saint-Gothard. Un mztériei austro-hongrois capturé par l'Italie (50.000 fusils, 200 fusils automatiques) en provenance de ̃Brescia, a été adressé par une personne privée aux usines de Hirtenberg et de Steyr. Graves pour toute l'Europe, de tels faits inquiètent directement les Etats de la Petite Entente et les ont amenés à prendre des mesuros, selon moi fort heureuses, pour leur commune protection. M. Paul-Boncour a très justement eu recours à la procédure prévue par le traité de Versailles et l'on doit se réjouir qu'il ait pu agir en pleine accord avec l'Angleterre.

La démarche ainsi faite et la solution intervenue ont permis de clore provisoirement' cet incident que d'autres, par malheur, ont suivi ou pourront suivre. Je félicite pour ma part notre ministre des Affaires étrangères de procéder à la fois avec vigilance et discernoment, en évitant tout ensemble la faiblesse et la violence.

Enfin, M. Herriot de conclure, salué par une longue ovation

Nous .persistons à croire que l'ententa profonde des trois grandes démocratios américaine, anglaise et française représente la meilleure garantie de la liberté et de la paix. Cette entente ne dalt pas -être exclusive. Nous devons manifester notre reconnaissance aux éléments démocratiques et pacifistes qui, même dans les pays où ils sont le plus menacés, restent fidèles à notre idéal d'élimination de la force. Je suis assuré que nous devons faire tout ce qui dépend de nous pour régler le malentendu passager qui a pu nous séparer des Etats-Unis et pour

Va dire à M. Pascal Darbeuil qu'Ibrahim veut lui parler.

Ibrahim s'exclamait Achille. Et gouailleur, il ricanait

Ah par exemple Je ne t'avais pas reconnu. Ce que tu as blanchi en quelques jours. Est-ce que tu as perdu de l'argent à la Bourse ou bien souffres-tu d'un chagrin d'amour ?. Ce.a ne te regarde pas répliquait assez sèchement l'espion. Ce que j'ai à dire à Monsieur Pascal est très urgont. très important. Et je suis sûr qu'il serait très mécontent si tu me faisais attendre trop longtemps devant la porte. Ne t'emballe pas comme ça reprenait le valet de chambre.

Et il ajoutait d'un ton conciliant, qui semblait indiquer qu'il n'ignorait pas les tractations engagées entre le Berbère et ses patrons

Je voulais rigoler. Entre et suismoi. Ils sont Justement là tous les deux. Comme ça, tu ne seras pas obligé do faire le poireau

Le Marocain emboîtait le pas à Achille qui le faisait entrer dans une petite pièces d'attente et s'en allait annoncer le visiteur.

Quelques instants après, il reparaissait et disait à Ibrahim

Tu vois,; ça n'a pas- traîné. Viens Gérard Lanzerte et Pascal Darbeuil attendaient leur espion dans la pièce qui leur servait de cabinet de travail. Bien qu'il ne fût guère plus sale et plus dépenaillé que d'habitude, le faux mendiant croyait devoir s'excuser auprès de « ces messieurs de se présenter sous un aspect aussi négligé. C'est une de mes tenues de travail, et comme ce que j'ai à vous dire est très pressé, je n'ai pas eu le temps de rentrer chez moi pour me changer. Cffla n'a aucune importance, déclarait Darbauil, surtout si tu nous apportes une bonne nouvelle.

Bonne, je ne sais pas, émettait le bandit. Mais intéressante, ça, j'en suis sûr

Allons parle incitait Lauzerte qui semblait très nerveux.

répondre aux procédés si engageants du nouveau gouvernement Nous ne .devons, au reste, prendre position contre personne. La signature du pacte franco-soviétique a montré notre liberté d'esprit nous en avons reçu l'approbation expresse de la Pologne et de la Roumanie, et les récentes interventions de M. Litvinov à Genève, en particulier sa définition si ingénieuse de l'agresseur ont montré l'effleacité du rapprochement que nous avons vou'u et que les droites ont combattu pour dos raisons de politique intérieure.

La parole fut alors à M. Julien Durand, ancien ministre du Commerce, pour un exposé sur la politique économique.

Ce fut une étude fort intéressante et fréquemmettt applaudie de la crise économique, de ses causes, de son dévelepperr.snî, phi3 spécialement atac Etats-Unis, an Angleterre, en ABemapne et en France. M. Julien Durand exposa aussi les méthodes qu'il convient de suivre pour remédier aux souffrances d'un monde dîésêquiïibré depuis la guerre h, et préconisa éloqucmrn?.nt celle de la solidarité internationale.

Après des interventions de MM. Birrlet, Barrouteaoi et une allocution de Mme Brumachwig qui fit connaître avec beaucoup de finesse « le point da vue de la ménagère », M. H.eTriot mit aux voix l'ordre du jour suivant qui fut adopté à "unanimité

Le comité exécutif félicite le président ViUadier du succii qu'il a remporté devant le Parlement et, soulignant l'énergie et l'habileté dont il a fait preuve, lui renouvelle l'assurance de son affectueux et profond dévouement.

Les fonctionnaires et le projet financier

Confédérés, unitaires et autonomes ont voté des ordres du jour protestant contre le vote du Parlement, mais il n'y a eu aucune manifestation dans lcs service

En dépit dos mots d'ordre d'action lancés par le cartel unitaire des fonctionnaires, aucune manifestation n'a eu lieu hier, ni dans les services ni sur la voie publique. Tout au plus est-il permis de dire qu'au bureau de postes du XI arrondissement une timide tentative de cessatlon de travail eut lieu dans le courant de la matinée. Elle ne fut suivie que par quelques isolés et aucune perturbation ne fut apportée dans lea services.

Les dirigeants de la Fédération des fonctionnaires confédérés ayant passé la majeure partie de l'autre nuit la Chambre et au Sénat, le cartel confédéré ne se réunit à la C. G. T. qu'au cours de l'après-midi d'hier.

Les déiég'é3 siégèrent de 14 h. 30 à 17 heures. A l'issue de cette réunion ils Hrent tenir le communiqué sulvant Le cartel des services publics élève une très énergique protestation contre tes votes émis par la Chambre et le Sénat sur les articles concernant les émoluments des fonctionnaires il rappelle que, pour sa part, 11 ne saurait jamais donner son approbation à la politique de réduction des traitements et indemnités préconisa et imposée par les grandes puissances économiques et il exprime son regret profond dRs défaillances parlementaires inexplicables pour lui qui ont permis de grouper il !a Chambre une majorité sur les textes adoptés le cartel estime que la lutte dont !a première phase vient ds recevoir un dénouement doit se poursuivre sans arrêt. S'inspirant de la volonté combative, ma- nifestée lors de la démonstration du iï) février, Il appelle los membres des organisations adhérentes à se préparer à reprendre une vigoureuse campagne en vue de résister aux nouveaux assauts qui vont leur être livrés et pour obtenir l'abrogntion du régime d'exception Inique accepté aujourd'hui par le Parlement.

De son côté le cartel postal qui groupe la Fédération postale confédérée. la Fédération générale des P.T.T., l'Association générale des commis, le Syndicat autonome des employés des P.T.T., et le Syndicat des rédacteurs des P.T.T., réuni a également voté une motion protestant contre les décisions votées par le Parlement et déclarant quo la lutte n'est pas terminée, plu- sieurs moyens de défense étant envisagés.

Les fonctionnaires autonomes qui n'entendent pas suivre les « unitaires » dans leur mot d'ordre d'action ont de leur côté voté un ordre du jour do protestation contre les décisions prises paf les Chambres en ce qui concerne les traitements des fonctionnaires. Dans la soirée d'hier, les postiers unitaires tinrent une réunion à la Bourse du travail. En présence d'un auditoire clairsemé, divers orateurs prirent la parole.

LES FETES COMMERCIALES DE L'AVENUE D'ORLEANS COMMENCERONT DEMAIN Les fêtes organisées du 3 au 6 mars par le syndicat d'initiative des commerçants de l'avenue d'Orléans s'annoncent de la façon la plus brillante. Elles commenceront demain et se divelopperont selon le programme suivant

Vendredi 3 mars, à 14 h. 30, place Dcnfert-Rochereau, inauguration officieile.

Samedi, à 20 h. 30 précises, grande retraite aux flambeaux avec les trompettes à cheval de la garde républicalne, encadrés par un détachement de sapeurs-pompiers de Paris. Départ du Lion de Bolfort.

Dimanche 5, concerts donnés la matin, par les musiques du XIV» l'après-midi, par l'harmonie des Etablissements Gibbs.

Une exposition rétrospective de l'histoire du XIV arrondissement, organisée par la Société d'archéologie, art et histoire des Trois-Monts, sera installée 33, avenue d'Orléans.

Comme Ibrahim manifestait une certaine hésitation, Darbeuil s'empressait de lui laneer

Qu'est-co qu'il te prend ? Tu devrais pourtant savoir quil n'y a pas de secrets entre M. Lauzerte et moi. Jo venais justement de le mettre au courant de la conversation que j'avais eue avec toi au début de l'aprèsmidi. Par conséquent, tu peux parler carrément.

Rassuré, Ibrahim qui avait toujours le priuc:pe de tâter le terrain avant de s'y engager, reprenait

Aussitôt après que vous m'avez quitta, monsieur Pascal, le temps seulement de me blanchir les cheveux, la barbe et de changer de burnous, je me suis rendu au camp du Guelitz pour guetter le sous-lieutenant Jacques Nanteuil. J'ai attendu près de deux heures sans que mon attention fût attirée par quelque fait valant la peine d'etre observé et noté, jusqu'au moment où j'ai vu arriver, dans une auto de louage, une petite Berbère nommée Kadoudja, qui est en service chez Mme Gardannes, la femme du directeur des mines. Ah ah ponctuait Darbeuil, alléché par ce début qui promettait une suite intéressante.

Tu la connais donc, cette Kadoudja ? questionnait Lauzerte. Ou), monsieur. Son père, qui demsurait dans la montagne, à vingt kilomètres d'ici, était un de mes amis. Et comment savals-tu qu'elle était au service de la famille Gardannes ? Parce que je l'ai rencontrée plusicars fofs avec elle.

Au fait pressait Daibauil, qui avait hâte de connaître la suite. J'y arrive. appuyait l'espion. J'ai entendu Kadoudja demander au sergent de garde si le sous-lieutenant Jacques Nanteuil était IL Il a demandé pourquoi. Elie lui a répondu que c'était pour lui remettre une lettre. Il a voulu l'embrasser.

Alors, le lieutenant, qui rentrait il. bicyclette à iïarraJioch, est inter-

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La Hamjne du SoovMir sera ravivée par J'Aaéociation amlcale des anciens élèves A. C. de l'école Hréguet.

Vcafcw de charité au profit des oeuvres de vacances de Sainte-Clotliide, rue de GreneHe au profit des oeuvres de la puoisae Notre-Dame de JKnilmontant, rue des Saints-Pères,

Expositions Salon d'hiver, Grand Falata. Salon des femmea peintres et sculpteurs, Grand PaieJ-5. Touristique Jes chemlns de fer, gure Saint-Lazare (salle des pas perdus). Les sports d'hiver dans les Vosges (grandes lignes. gare de l'Est). Estampes chinoises, musée Gùiraet. Salon daa artistes peintres de Paris, 31, boulevard des Italiens. (Eu♦re» du sculpteur yougoslave Ivan Mestrovic, musée du Jeu-de-Paume,

Réunions d'anciens combattant» et R. 1. T., 1S h.. 25. rw de Dunkeio.ue. et n. I., U0 Il. 30, ter, quai c!e la Mêgrissaria. R. I. T., 20 h. 30. cbez Tourte!, place de la Kt'i>uWique. 3n ot R. A. C.. 30 h. 45, i. rue Drouot. Anciens (Classeurs des et S8 srrmipes cycliirtee. 21 h., rue du 4-Septfmhre. tirailleurs pt 2- mixte de 'zouaves. 21 h.. 13. rue de Rivoli. Meetings de protestation Chambre nationale dea corporations, 14 h. 30, sai!e Wagram. Contribuables de Montmartre. h. 30, Moulin de la Galette.

Club du rsobonr», 20 h. rue Danton. Banquets Association des écrivains combat!ants, 12 h. 30, restaurant NoS!-Peter3 (passage des Princes). Comité national de l'organisation française. b.. 8, rue Jean-Goujon.

Course* à Auleuil à heures.

M. Angelo Massé, préfet en disponibilité, est nommé chef de cabinet du ministre du Commerce.

Le colonel Pouderoux, en retraite, qui commandait le régiment de eapeurspompiers de Paris, est nommé jyonérai de brigade de réserve.

L'Association des anciens élèves de l'école d'électricité et de mécanique industrielles ECOLE VIOLET organise un bal de 'nuit au profit de leur caisse de secours le samedi 11 mars 1933, à 22 h. 30, dana les salons de l'hôtel Carlton, 119, avenue des Champs-Elysées. Jazz. Cotillon. Bar. Entrée 25 fr. Tenue de soirée ou noire de rigueur. Composez vous-même votre studio. Vous en trouverez les éléments bien étudiés et toujours du meilleur goût au « BUCHERON », 10, rue de Rivoli. Les prix vous étonneront. Catalogue gratuit.

L'Amicale vicolaise de Paris (Association Pauî-Fontana),' présidée par le colonel Fnntana, invite tous les orig:navires de la province de Vico (Corse) à venir à la réunion qui aura lieu le samedi 4 mars prochain à 21 heures précises la brasserie de la Galté, 47. rue Réaumur (métro Réaumur et Arts-et-Métiers).

LE MAITRE DES FEMMES

roman, par Alfred Machard

L'amour ns répond paw toujours à l'attente des femmes Heureusement, elles ont le pouvoir d'imog inor ce qu'elles c voudraient vivre ». C'est pourquoi tour tes adorent le Maître des femmes, d'AlJred Machard, qui leur dispense le plus

1 voluptueux des émois. Et c'est un succès comparable celui qui accueillit la Femme d'une nuit et l'Amant blanc, du même auteur, succès formidables, s'a en fut (Flammarion, 12 fr.)

venu. La petitc tui a remis la lettre. Il l'a ouverte. Il l'a lue aussitôt. Elle a dû lui causer une grande joie, car il a tout de suite dit à Kadoudja c Tu remercieras bien la demoiselle pour moi. Tu lui diras que je suis heureux, très heureux,

Il aurait bien voulu qu'elle attendît la réponse. mais elle avait l'air preseri. Elle n'a pas voulu. Alors, il lui a demandé de revenir lo lendemain. Elle a dit qu'eUe tâcherait, et puis elle est partie. Voilà

Lauzerte, qui avait peine à dissimu- ler sa rage, s'écriait

J'en étais sûr. Elle l'aime Voulez-vous me permettre?. interrompait Darbeuil, qui na paraissait pas tenir à ce que son « patron ou plutôt son associé, extériorisât trop sa colère devant le Berbère à leurs gages. Dites Dites

Ecoute-moi bien., Ibrahim, posait l'ancien détective privé. Si tu m'apportes cette lettre avant demain soir, il y aura pour toi une prime. De combien ? interrogeait le cupide et odieux borhomme.

De mille francs lançait Lauzerte. D'accord déclarait l'espion. Mais je ne peux pas m'engager à vous remettra cette lettre avant quarante-huit heures.

Convenu faisait Pascal.

Et si Jacques Nanteuil la détruisait ? observait Gérard.

Ibrahim eut un mauvais sourire. Puis il at

A son âge, on ne brûle jamais une lettre d'amour

Et il ajoutait

Vous n'avez plus rien à me dire, messieurs ? Car il faut maintenant que ja m'occupe d'organiser notre prochain envoi d'armes.

Tu peux disposer autorisait Darbeuih

A!ors, bientôt, messieurs faisait l'espion.

Tout en regagnant le seuil où

Programme dos spectacles Comédie-Française, 3 b., Il était une bergire, le Barbier de Sévillo 8 h. 15, Maman Colibri.

Opéra-Comique, 8 h., la Vie de bohème. Paillasse.

Odéon, 2 h. les Surprises de l'amour, les Folies amoureuses: 7 h. 40. Napoléon. Gstté-liyriqne, 2 45, 8 Pays du sourire. Trisnon-Lyritiue, 2 h. 30, le Barbier Sevilie 8 h. la Petite Mariée.

Ch&telet, 2 30, 8 8°, Nlna-Rooa (A. Rangé). Variété», 8 h. 45, Une poule sur un mur. Pte-Salnt-SUrttn, h. 15, 8 h. 15, Peer Gynt Théâtre de Paris, 9 h., Monsieur le comte. Gymnase, 2 h. 45. 8 IL le Voleur. Sarah-Bernli.. 2 30.8 30, Mon curé ch.l.rifh. Mcigxior, 2 LJ, S 30, Aulx du Cheval-Blanc. BenaJus., h.,$ h.,le Désir de M. Ch. Méré. Ambigu, la Maison Tellier(G.Lix) I>a!»is-Koy»l, 3 h., 8 45, la Maison d'en face Empire, 8 h. 45, Katinka.

Autnine, Kemsa. savant.. Dépit amour. Beuifea-Pnrisieaa, 8 h. Soir de Réveillon ."illclKKUèrr, y h., 14 Fleur des pois.

Athénée, 3 "h., 9 h., Léopold le Bien-Aimé. atadeleftie, 9 h., Cette nuit-13.

Ambassadeurs. 9 h. 30, le Cercle.

̃Seal». 8 h. 43. le Progrès a'amuse. Saint-Georges, h., Trois et une.

Nouveautés. 3, 8 45, Oh Papa (opérette). Cont. CL'&mpy-Ëlyséefl, 9 h., Intermezzo. Grand-Guignol, 9 h., la Prison du vice. Dannoa, S h. 55, Azor.

Michel, h., Teddy und partner, Vx Bébés. Capucines, 8 b. 45, le Téméraire.

Théâtre des Arts. 9 h., ;daman. marie-toi! Avenue (Cio Pitofiff), 9 h.. Maison de poupée Montparn.. 9 h., Ombre mal, Têtes rechaag. Atelier. 9 h.. la Paix.

SUthurias. 9 h.. la Voie lactôs.

Vx Colorabier(Cie des Quin7e).9 h.. Violante P»Mnière, 9 h., Aa-tu le droit ? Exclting. Studio de Paris. 3 h. à0, 9 h., l'Ange. ComoxIIa (47, bd Clicby), 9 h., la Joy. Nuit Cluny, 8 43, Rev. marselli. (Alibert). Albert-l", 9 h^ l'Affaire Brock.

Déjaxet, 9 h.. tire au flanc (P. Darteuil). Moneçy, 8 h. 3 Heures d'oubli (revue). Zénith (pi. Gambetta). 8 ZO. Rêve de valse. Gobelins, S h. 30, la Bossu (R. Lérac). MUSIC-HALLS

Foi.-nerg; S h. 30, Revue d'amour (Dréan) Cas. Parla, 2 30. 8.90, Joie de Paria (.T.Baker) AiUa.-nbr», 3 h.. 9 h., Raquel Meller, attr. Ub:-lîeures, Martini, J. Rieux, L. Hégoburu 2-Anes, Bnstia, Charley. Souplex, revue. Lune-Rousse, 9 h.. Pays du fou rire (Dorin) Pavlll.-M.-H.. m., s., Maria Valer.te, Maraao Butûno-M.-H., Wiener et Doucet, Fournier. Européen, nt. s,, Lys Gauty, Bouiivot- Gaum.-Palaci', Eoby May, et 3 attractions. Médr., 2 45, 8 45, « le Détective a, att. nouv. Clrq. d'HIv., 230, « l'Espagne à Paris CoHsn'um, danses, mat. et soir.; attractions. Moulin-Bouçe, bal-kermesse, mat.. s., nuit. M»Kic-€ity-B»I, t. 1, s. 9 h.: d. et t.. mat. I.ido, thé, dîner, soirée dansante, attract. Ch. les Nudiste. (lB.r. Font.). 10 h. et min. Tav. de l'Echiquier <8, rue). Musidora. 10 h. I^nna-FaTk, mat.. Pûle Sud; 9 h., dancing. Jardin d'Aeellm., ertr., 3 fr.; enfants. 1 tr. Pompéien (le, r. Monceau). 9 h., bftidujdi. CINEMAS

Madeleine. Grand Hôtel.

Paramouat, Eloade Vénua (W. Dietrich), GaGmunt-Palace, Ce cochon de Morin. Aubert-PsUce, Fanny.

Olympia, Quatre de l'aviation.

Bex, Milady. G. Charpentier.

Marlïttnx-Patké, I. F. 1 ne répond Dlua. Ciné Ch.-tiys.. Prenez garde à la peinture Marlsny, 2 h., 4 h. 30, Papa Cohen. Moniin-Bouge-Pathé, Rivaux de la piste. Cbiïaée, Seigneurs de la jungle.

Max-l.inder-Pattic', la Tête d'un nomme. Victor-Hugo-I'athé, Mirages de Parts. IrapériaUFatlié, les Amours de Pergolèso. Omsiia-Pr-thé, Gds report. cinématographlq. Etyaéo-Gsnmoat, A l'assaut du cie!. Uaurctent-Théùtre, les Trois Mousquetaires Palace, Oiseaux de nuit.

Krmit.-Patiié-NataB, la T6te d'un homme. IMgaîiH, Revivre, Sex Appea!.

ApuUw-Cinéma Je suis un évadé.

Miracls», 4 h, 9 h., 14 Juillet.

.Waillot-Palace, Topaze.

Cami'o, Chouchou, poids plumc.

Uina (place de la Nation), Mata-Hart. Allô Mademoiselle Kldorado, Perm. Direct au c(2ur(M.Pagno!) Agricult., pullman 12, Monstres du pôle. Boszparte, Pullxan 12, Monstres du pôio. Cigale, Arsène Lupin (les deux Barrymorc) Botilrardia (42 bd B.-Nouv.), Loin v. l'Est. Artistic, les Trois Mousnuetaire^.

Ci- Comtesse ÎJonte-Cnnsto(Hel:n) I.atatitt-Pa(hé] Mirages rie Paris.

Kispail Ukay America.

«EH de Pari», la Traite des femmes. Affoïa (S4 bd Clichy). Capitaine, Craddock. Saint-ÎÎKi'tft-Pathé, l'Ane de Buridan. «,-Sabin (27, r. St-Sabln), Père célib.,Marie Kexy, Au dell du Rhin, Allô ? Berlin ? Carillon, la Merveilleuse Journée.

Sélert-Pathë, le Truc du Brésilien. Montparnasse-Pathé, Voyage de noce». JLyoa-Pathé, l'Ane de Buridan.

Aut.-B.-Ciné (40, r. La Font.), Croix de bols

DES gorges de l'Arse, site sauvage où le vieux

Mauroc trame ses noi-

res intrigues, à la salle de l'Opéra, toute étincelante de lumières, du monde des artistes à la vie paisible d'une petite ville provinciale, Jacauea LA GUERCHE fait évoluer les person nages de son nouveau roman

LE POISON DE LA HAINE et jamais oeuvre plus pathé.tique, plus émouvante,' plus humaine, n'est sertie de la plume de l'auteur de Cœurs en Péril et de La Châtelaine des Flots dent nos lecteurs ont conservé le souvenir,

l En appelant Provence 9S-S9 aujotir- J i é'hui de midi à 13 heurds, vous f entendrez Simone Simon et Henri i j Ckomette uous parler « Cinéma PROCÉDÉS S. E. S. ̃•-

Achille l'attendait pour le reconduire jusqu'à la grille, il se disait:

Allons je crois que je n'ai pas perdu ma journée i

Et de nouveau, un sourire de démon entr'ouvrit ses lièvres.

XIV ̃;

Pour la vingtième fois peut-être, Jac- ques Nanteuil, seul dans la petite s chambre qu'il occupait dans un baraquement du camp, relisait la lettre d'Ellen:

« Mon cher Jaque3, prononçait-il à mi-voix, comme s'il eût voulu avoir » l'illusion qua c'était la voix de sa bien-aimée qui vibrait à ses oreilles» la surprise, l'émotion, la joie que x- nous avons si visiblement ressenties » lorsque, tout à l'héure, le hasard ou » Dieu a voulu que noua nous roncontrions au palaia d'Hafld Moust?pha » nous ont suffisamment démontré à » l'un et à l'autre que la séparation n n'avait en rien amoindri notre mu« tuel attachement.

» Peur ma part, je vous le dis sans rougir car rien n'est plus pur, » n'est-ce pas que notre amour» depuis le jour où nous avons compris » en même temps et où nous nous som» mes avoué spontanément, franche» ment, que nous nous aimions, je n'ai pas cessé d'être celle que vous avez s toujours le droit d'appeler votre fiancée.

La décision si brutale et si cruelle à laquelle j'ai dû obéir n'a rien '.changé à mon coeur, qui reste et qui » testera toujours vôtre. Et lorsque »sans nouvelles de vous, malade, désoa lée, j'ai dû supporter toute la tris» tesee déprimante d'un lsotement » était pour mol le plus douloureux s des exila, je n'ai paz cessé de me dire « Peut-être m'oubliera-t-il ? Mais moi je ne l'oublierai jamais! (A suitrc.)


ÏÏDEMNÏÏÈME MEUÎRE SEWVICES Tfe«jfcCKAI»HHHTg» et «̃ J»««f« t»artai*m et «̃ Itad

L'acheminement vers une crise

à la conférence

du désarmement SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Encore que les débats de ces derniers jours aient été marqués, grâce à l'habileté manoeuvrière et à la sincérité évidente de nos représentants, par le succès des points essentiels du plan français ainsi que par une avance certaine des idées françaises parmi les délégations des moyennes et petites puissances, comme l'ont d'ailleurs montré les divers scrutins, H est clair que le désaccord persiste toujours aussi complet entre les grandes puissances continentales européennes. Aussi bien les milieux dirigeants se rendentils compte qu'on s'achemine actuellement vers une crise décisive, crise dont l'évolution et la solution seront déterminées par des événements extérieurs à la conférences. Nous ne serions pas surpris que ce soit à cette préoccupation qu'il faille attribuer le départ pour Londres, ce soir, de M. Eden, sous-secrétaire d'Etat au Foreign Office, et peut-être aussi celui du baron Aloysi pour Rome.

En ce qui concerne le délégué de la Grande-Bretagne, dont le retour est annoncé pour lundi, il n'y aurait rien d'impossible, si nous en croyons certaines indications puisées à bonne source, à ce qu'il revienne ici avec une nouvelle proposition de conversation à cinq, idée à laquelle, on le sait, le président de la conférence, M. Henderson, est très favorable depuis qu'il a été, le 11 décembre dernier, associé par M. Macdonald à cette procédure. Il faut s'attendre, semble-t-il, à ce qu'une nouvelle pression soit exercée sur nous dans ce sens en invoquant, cette fois, les considérations auxquellès nous faisons allusion plus haut. Pourrons-nous continuer à nous y soustraire ? Sans doute nos représentants auront, pour persister dans leur attitude passée, l'appui complet de M. Benès dont le retour est également annoncé pour lundi, des autres membres de la Petite Entente ainsi que des nombreux délégués à la conférence qui se sont déjà prononcés pour la conversation générale et la diplomatie ouverte. Quelle que soit, cependant, la procédure à laquelle on décide de recourir, une constatation s'impose. Grâce aux votes et aux décisions intervenus ces jours-ci et qui ont groupé autour d'elle un nombre inespéré de délégations, la France peut attendre en toute quiétude cette explication décisive.

LA PETITE ENTENTE

PUBLIE UN DOCUMENT CLOTURANT L'AFFAIRE DE HIRTENBERG

Genève, 1er mars.

DE NOTRE ÏNVOYi SPÉCIAL

La Petite Entente, qui fait preuve actueyement d'une remarquable activité, a décidé de considérer désormais comme close l'affaire de contrebande de Hirtenbsrg.

Lea gouvernements français et bri- tannique ayant fait remettre hier à ses représentants à Genève la réponse contenant les dernières précisions réclamées conformément à leur demande au chancelier Dollfuss à Vienne par le comte Clauzel et sir Eric Phipps, les trois ministres roumain, yougoslave et tchécoslovaque ont estimé dans un but d'apaisement qu'il convenait d'en finir a,vec cette affaire et Us ont renoncé en conséquence à en saisir directement le conseü de la S. D. N. comme ils s'en étaient formellement réservé le droit. Il leur est apparu nécessaire, toutefois, afin de ne pas créer un précédent fâcheux pour l'avenir au cas où une violation analogue des traités de paix viendrait à se produire, de faire mettre officiellement, mais séparément, les membres du conseil au courant des différentes phases de l'incident et dite circonstances exactes de son règlement. Ils ont donc résolu de rédiger un bref historique de l'affaire, ainsi que des démarches faites auprès des gouvernements intéressés par les représentants diplomatiques de la France et de la Grande-Bretagne, et de joindre à ce do- cument après autorisation qui leur a d'ailleurs été accordée sans difficulté par Londres et par Paris la dernière communication française et britannique qui réserve justement l'avenir puisqu'elle constate l'engagement pris par cabinet de Vienne d'éviter le retour de semblables manquements et de réexpédier à l'envoyeur les armes incriminées.

UN MESSAGE A M. PAUL-BONCOUR Le secrétariat permanent de la Petite Entente à Genève a fait parvenir aujourd'hui à M. Paul-Boncour la lettre auivante

« Nous avons l'honneur de vous accuser réception de la lettre de Votre Excellence en date du 26 février 1933. Au nom des gouvernements des trois Etats de la Petite Entente, nous avons l'honneur de vous communiquer que nous acceptons la solution que vous voulez bien nous proposer dans l'affaire de contrebande d'armes de Hirtenberg.

Nous saisissons cette occasion pour exprimer au gouvernement de la République nos remerciements les plus sincères pour l'assistance qu'il a bien voulu nous donner afin de trouver une solution qui, tout en témoignant de notre esprit de conciliation, ne porte en rien préjudice à notre point de vue de droit, lequel, nous sommes heureux de la constater, est partagé par votre gouvernement.

Par note du même jour, nous avons fait une communication analogue à M. le secrétaire général de la Société des nations, en y ajoutant que la solution qui a été donnée à cette affaire ne saurait constituer un précédent pour l'avenir. »

M. PAUL-BONCOUR

EST PARTI POUR GENEVE M. Paul-Boncour, ministre de3 Affaires étrangères, a quitté Paris hier soir il. 21 h. 50 par la gare de Lyon, se rendant à Genève, où il assistera demain la réunion de la commission génétaie de la conférence du désarmement. L'ancien président du Conseil, qui était accompagné de son fils, M. Guil- laume Paui-Boncour, a été salué à son départ par M. Alexis Léger, ambassa- deur de France, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, et quelques attachés à son cabinet auxquels s'étaient joints des amis person- nets.

ET M. PIERRE COT POUR PARIS Genève, 1" mars (dép. Radio.) M. Pierre Cot, ministre de l'Air, est parti ce soir pour Paris. j

LES JAPONAIS ANNONCENT QU'IlS ONT PNIS Cl-FENG ET ONT LA ROUTE LIBRE VENS LA CAPITALE DU JEHQL Les Chinois contestent cette information Changhai, 1°' mars.

DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER Les troupes nippones ont marqué un sensible avantage durant la journée. Les communiqués nippons annoncent l'occupation, cet après-midi, de ChihFeng par la brigade de cavalerie du général Mogi, tandis que le détachement du général Matsuda, dont la manœuvre fut tenue seorète, aurait occupé Chiem-Pimg, au nord-ouest de Chao-Yang.

Ce détachement serait parti de ChaoYang le 26 février, débordant par le nord-ouest le fer à cheval montagneux où vinrent se briser toutes les furieuses attaques de la brigade Hattori. Les Japonais déclarent que c'est grâce au secret observé par l'état-major sur ce mouvement que le manœuvre put réussir. Les Chinois, surpris par la brusque apparition de l'ennemi, auraient abandonné la ville sans combattre.

Cette colonne opérerait sa jonction avec la brigade Mogi pour encercler les troupes chinoises qui donnent les passages stratégiques au sud de ChihFeng.

Le bureau de Tchajig Hsue Liang à Pékin dément l'occupation de L'hiiFeng qui, selon lui, serait solidement tenu par trente mille hommes. Ils prétendent que c'est seulement un bulletin de victoire à l'occasion du premier anniversaire de la création du Mandchoukouo, ajoutant que pour cette date les Japonais s'étaient promis de fêter l'occupation totale du Jehol.

Au sud du Jehol, devant le défilé de la Montagne-Noire, près de Pais-HihStu, les Japonais ne furent pas plus heureux que les jours précédents. Les combats se poursuivirent toute la journée. L'aviation et l'artillerie nippones furent très actives.

Mais la .19° brigade de Tchamg Hsue Liang ne broncha pas et les troupes nippones durent regagner leurs lignes de départ sous les rafales des mitrailleuses chinoises.

Les Nippons se montrent très optimistes les Chinois, très confiants. L'oncle de Tchang Hsue Liang est parti pour le front diriger les opérations, tandis que le général Sun Tien Ying, ancien lieutenant du général chrétien Feng Yu Siang, à la tête des troupes considérées corne les meilleures de Chine, se dirige à marches forcées dans le secteur menacé de Chih-Feng avec trente mille hommes.

Près de la Grande Muraille

La situation reste très tendue dans la région de Chang-Haî-Kouan, près de la Grande Muraille. Dix navires de guerre nippons, dont deux croiseurs et un navire porte-avions, sont mouillés sur la rade de Tchin-Wang-Tao, port chinois proche de Chang-Haï-Kouan, se tenant prêts à toute éventualité. Après une longue guerre incertaine dont les épisodes semèrent des ruines dans la riche vallée du Yang-Tsé, surnommée l'artère nourricière de la Chine, les deux seigneurs de la guerre du Setchouan, le général Liou Ouen Houeî et son neveu le maréchal Liou Slang, voient une nouvelle calamité s'abattre sur eux.

Les communistes, refoulés par les troupes gouvernementales des provinces du Honan, du Houpé et du Ngan-Houé, qu'ils écumaient, s'installèrent dans le nord de la province.

Après avoir regroupé leurs forces évaluées à soixante mille hommes, les « rouges » viennent d'infliger une cuisante défaite aux troupes régulières commandées par le général Tien Tsung Yao.

Ils oocupèrent aujourd'hui les gros bourgs de Pachung et de Nanchiang, très commerçp-nts et très riches. Nankin a télégraphié à l'oncle et au neveu ded ccesser ces combats fratricides pour entreprendre une action commune contre les communistes. LAURENS

MESURES DRACONIENNES EN ALLEMAGNE

SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Berlin, 1er mars (dép. Havas.) L'incendie du Reichstag a été le fanal du parti rommuniste qui s'efforçait d'allumer la guerre civile a déclaré M. Hermann Gcehring, ministre de l'Intérieur de Prusse, dans un discours radiodiffusé dmats toute l'Allemagne. Le gouvernement du Reich, a-t-il ajouté, ne lutte pas pour se défendre, mais pour exterminer de fond en comble le communisme. Aussi longtemps que les propagandes socialiste et communiste sont restées dans la légalité, elles n'ont couru aucun danger. De nouvelles mesures viennent d'être prises contre la presse et les partie de l'opposition en Prusse et dans d'autres Etats du Reich.

A Berlin, le journal libéral Acht Uh.r Abendblatt a été interdit jusqu'à nouvel ordre sans indication de motif. Dans l'Etat d'Oldenbourg, la presse socialiste a été, comme en Prusse, interdite pour quinze jours et de nombreux documents ont été saisis. A Breslau, le chef socialiste de la Bannière républicaine a été arrêté avec quinze fonctionnaires dirigeants de cette organisation.

Dans le Mecklembourg, la police a arrêté cent vingt fonctionnaires du parti communiste. A Dessau, l'imprimerie du journal socialiste a été fermée. Un important exposé de M. Edouard Benès sur la politique mondiale Prague, mars (dép. P. Parisien.) M. Benès a prononcé aujourd'hui devant la commission des affaires étrangères des deux Chambres un important exposé où il passe en revue. selon sa coutume, tous les grands problèmes de la politique mondiale.

Et voici la conclusion que M. Benès tire de l'examen de la situation actuelle

Même si nous ne redoutons pas. en Europe, de conflit armé, nous savons que les événements qui nous attendent seront graves. En ExtrêmeOrient se développe une guerre qui sera de longue durée, et la crise économique ne s'atténuera pas tant que l'atmosphère politique européenne troublée par la conférence du désar.mement, ne se rassérénera pas et tant que la question des dettes de guerre à rique ne sera pas résolue. Vu ces circonstances, le pacte de la Petite Entente renforce considérablement, au point de vue politique, nos Etats pour toutes ces éventualités, leur donne de nouvelles garanties contre toutes les difflcultés ainsi que la conscience d'une force qui nous aidera à surmonter en toute sécurité les ditl1cultés à venir

Le parti socialiste

et le groupe parlementaire sont en désaccord

Les incidents qui se sont produits avant-hier au groupe socialiste parlementaire sont-ils de nature à entraîner une scission du parti S. F. I. 0. ? C'est peu probable. Mais pour mettre fin au maltaise qui règne dapuis plusieurs mois déjà dans les milieux socialistes, causé par le problème de la participation, et déterminer l'attitude définitive du grand parti d'extrême gauche, un conseil national, puis un congrès extraordinaire sont nécessaires. Partisans et adversaires de la collaboration gouvernementale se mesureront une dernière fois et la doctrine étant définie une fois pour toutes la minorité, qu'elle soit pour ou contre, devra s'incliner. Dans le cas où la thèse des adversaires de la participation l'emporterait, des départs seraient-ils à envisager ? Possible. Mais aucun pronostic ne peut être fait à ce sujet.

Il ne faut pas perdre de vue que la majorité des députés serait volontiers acquise à la participation dans l'idée où elle est que les électeurs sont, pour la plupart, partisans de la collaboration gouvernementale radicale et socialiste. La minorité reste fidèle à la doctrine du congrès, convaincue qu'elle a toujours pour elle l'énorme foule des militants, des cotisants.

LA LETTRE DE DEMISSION DE M. LEON BLUM

Nous avons annoncé hier dans nos dernières éditions que M. Léon Blum avait donné sa démission de président du groume parlementaire socialiste S. F. I. 0.

Le député de Narbonne n'a pas pris cette détermination après le dernier vote sur l'article 83 (prélèvement sur les traitements des fonctionnaires). Il avait rédigé sa lettre de démission dans l'après-midi de mardi, à l'issue de la réunion du groupe où celui-ci s'est coupé en deux tronçons 63 pour la majorité et 31 pour la minorité. Voici le texte de la lettre de démission de M. Léon Elum

Depuis plus d'un mois, je me sens en désaccord presque constant avec la majorité du groupe. Aujourd'hui encore, j'ai constaté mon impuissance à le détourner d'une résolution particulièrement grave à mes yeux. Dans de telles conditions, mon maintien à la présidence du groupe ne traduit plus qu'une confiance et une affection toutes personnelles dont je suis touché et dont je reste reconnaissant à mes camarades. Mais il ne répond plus à une réalité, et je crois que notre dignité à tous nous commande de ne pas prolonger plus longtemps cette situation équivoque.

J'écris cette lettre au sortir de notre réunion. La réflexion ne modifiera certainement pas une décision qui prend à mes yeux un caractère de nécessité. Si je ne la rends pas publique dès à présent. c'est que je désire me servir une dernière fois de l'autorité que le groupe m'a confiée pour essayer d'assurer l'unité de vote sur la résolution que j'ai combattu.

Affectueusement à vous,

Aussitôt rédigée cette lettre, M. Léon Blum, en l'absence de M. Vincent Auriol, secrétaire du groupe parlementaire, l'a remise à M. Déat.

M. Vincent Auriol, secrétaire du groupe parlementaire, a adressé également sa démission, par solidarité avec M. Léon Blum.

Il a été question, d'autre part, d'une réunion prochaine du conseil national et même d'un congrès qui aurait à s'occuper de l'incident d'hier.

Voici comment les choses se présenteraient

Jusqu'à présent, il n'est parvenu au secrétariat du parti S. F. I. 0. qu'une demande de réunion du conseil national spécial ou d'un congrès extraordinaire.

Cette demande, en vérité, ne peut être faite que par une ou plusieurs fédérations. Il est également possible que la commission administrative du parti, dans sa réunion de mercredi prochain, après avoir examiné la situation, juge utile une consultation générale du parti socialiste de façon à déterminer enfin ou une fois de plus qui fait la politique socialiste du parti ou du groupe parlementaire. On peut supposer que les députés de la minorité du groupe socialiste sont désireux de voir trancher cette question. Cependant, il faudrait bien deux semaines au moins pour pouvoir réunir un conseil national et, statutairement, il faudrait un mois pour réunir un congrès. Or le 30. congrès national ordinaire du parti socialiste est convoqué pour la Pentecôte à Avignon. Ce qui pourrait se produire, ce serait que la C. A. P. envisageât d'avancer la date du 30e congrès ordinaire, qui discuterait les rapports parmi lesquels, celui du groupe parlementaire et ensuite la question litigieuse. Et alors pour la Pentecôte, à Avignon, se réunirait un congrès extraordinaire qui aurait à son ordre du jour celui de la conférence socialiste internationale prévue pour cet été.

UN ARTICLE DE M. PAUL FAURE Le Populaire publie, ce matin, un article de M. Paul Faure, secrétaire général du parti S. F. I. 0., dans lequel on lit:

Inutile de chercher à dissimuler la gravité des incidents qui se sont produits au sein de notre groupe parlementaire. Ila sont la conséquence d'un désaccord profond entre élus du parti, et la démission de Léon Blum et celle de Vincent Auriol des fonctions qu'ils occupaient provoqueront dans nos sections une inquiétude et une émotion légitimes. Notre parti a connu depuis toujours des crises redoutables. Il s'en est tiré comme il s'en tirera encore. S'il y a du travail et du désordre dans la maison, c'est aux militants qu'il incombe de remettre à leurs places les hommes et les choses.

Je vais, pour ma part, soutenir la nécessité d'un congrès le plus rapproché possible.

D'ici là, les sections et les fédérations réfléchiront, s'informeront, délibéreront en pleine connaissance de cause, puis fixeront à nouveau, en termes clairs et formels, la politique et la règle à laquelle tout le monde devra se soumettre élus, journalistes mandatés et simples militants. La parole est aux 135.000 cotisants de notre organisation. Prenons tous l'engagement solennel de l'entendre, de l'écouter et de lui obéir. A cette condition. l'épreuve aura été salutaire. Il apparait donc que l'éventualité d'un congrès assez rapproché vers la fin du mois, au plus tard pour Pâques, se dessine puisque M. Paul Faure en est partisan.

LE DEJEUNER D'ADIEU A M. WALTER EDGE SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Et le président du Conseil de conclure

Permettez-moi d'espérer qu'aux jours prochains où le nouveau président de la République américaine, M. Roosevelt, prendra effectivement la charge de sa noble nation, un message viendra de l'autre côté de l'Atlantique apporter la confiance et l'espoir dont nous avons tant besoin, d'une humanité tout entière réconciliée. Des applaudissements prolongés saluèrent cette péroraison, puis l'ambassadeur des Etats-Unis prit à son tour la parole.

M. Walter Edge se défendit de vouloir prononcer une allocution officielle et, dans un discours fréquemment applaudi, définit les principes permanents de politique étrangère, sur lesquels se guident les Etats-Unis, c indépendants des hommes qui passent aux fonctions publiques >.

Ces principes sont les suivants, dit-il

Les Etats-Unis ne peuvent participer à aucune alliance avec d'autres nations ou groupes politiques internationaux, car les alliances entraînent à « s'occuper des affaires des autres et cette politique crée plus d'ennemis que d'amis.

Les Etats-Unis peuvent, dans un but bien défini, et pour un temps donné, s'associer avec d'autres puissances mais quand le but cherché a été atteint, ils doivent inévitablement retourner à leur impartialité primitive.

Ces deux théories, avec la doctrine de Monroe et celle du panaméricanisme (que je ne discuterai pas ici), sont des politiques essentielles, qui forment la base même du système américain et qui doivent être maintenues dans leur intégralité, quels que soient le parti et le gouvernement.

Après avoir évoqué le pacte BriandKellogg et la limitation des armements, dont s'occupe aujourd'hui la conférence générale de Genève, l'orateur dit sa conviction que rien ne pourrait être tenté d'efficace sans un accord libre et loyal des grandes démocraties comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, pour résoudre les grands problèmes qui nous assaillent.

Ces grands problèmes, dit-il, sont de deux sortes le désarmement et la crise économique. Les difficultés de l'un comme de l'autre, je le répète, ne peuvent être surmontées que par cet accord des démocraties, accord d'ailleurs qui ne doit pas être exclusif et qui doit être ouvert à tous les peuples.

En ce qui concerne le désarmement, je vous demande, je vous supplie, vous qui avez l'amour de la vérité, de lutter contre cette légende d'une France armée jusqu'aux dents, d'une France qui ne veut pas désarmer.

En fin de compte, Il y a la clé de voûte de la politique américaine, c'està-dire une croyance stricte à la sainteté des contrats inscrits dans la loi internationale sous forme de traités. Le peuple américain est convaincu, et rien ne pouurra ébranler cette conviction, qu'un traité est une obligation solennelle que l'on ne doit pas accepter à la légère, mais qui, une fois souscrite, devient un engagement qui doit être observé dans son intégralité. Et il conclut

Je vous expose cela à la veille de mon départ, parce que j'estime qu'un grand nombre de mésententes qui existent actuellement dans le monde surgissent de l'ignorance ou de la fausse interprétation des choses telles qu'elles sont. Il y a une tendance que vous, journalistes, et moi, dans mon champ d'action, combattons sans cesse, pour chasser ces images fantômes qui ne correspondent pas aux faits. Cette tendance mène au désappointement et. en fin de compte, à un travestissement de la vérité. C'est une folie que de se décevoir soi-même. Cette folie est évitée par tous les gens réfléchis.

Mort du violoniste Edmond Bastide M. Edmond Bastide, le violoniste bien connu, est décédé mardi matin à Paris. Voici dix-huit ans environ que M. Bastide avait fondé le quatuor qui porte son nom et que l'on entendit non seulement à Paris, mais dans toute la France, en Belgique, en Suisse et en Hollande.

Interprétant d'abord les modernes: Fauré, Debussy, Ravel, M. Bastide devait. par la suite, diriger l'exécution des oeuvres les plus expressives des romantiques et des grands classiques. Son quatuor sa distinguait par la qualité de son rythme et de sa sonorité Les obsèques de M. Edmond Bastide seront célébrées vendredi, en l'église de la Trinité.

Le personnel des chemins de fer La commission des travaux publics a approuvé les conclusions du rapport de M. Trémintin favorables à l'adoption du projet de loi tendant à l'approbation d'une convention entre les ministres des Travaux publics, de la Guerre et des Pensions, et les grands réseaux de chemins de fer relative 1° à la péréquation des emplois réservés par ces derniers aux invalides de guerre, aux veuves et aux anciens militaires 2° à l'application aux agents des chemins de fer d'un certain nombre d'avantages de carrière résultant de l'application des lois militaires.

Les conférences du pasteur Bœgner Le pasteur Marc Bœgner, président de la Fédération protestante de France, donnera une série de six conférences sur « la vie chrétienne », les jeudis 2, 9, 16, 23, 30 mars et 6 avril, à 18 heures, dans l'église de Passy. Ces conférences seront diffusées par T. S. F.

Une fête d'anciens combattants à Asnières

La section d'Asnières de l'Union nationale des combattants célébrera dimanche prochain sa fête annuelle, sous la présidence effective du maréchal Lyautey.

Après un défilé, auquel prendront part la musique du 5- R. I. et les délégations, avec leurs drapeaux, de nombreuaes sections de Paris et de la Seine, une réception aura lieu à la mairie. Elle sera suivie d'un brillant concert, avec le concours de nombreuses vedettes parisiennes.

LES ARTISTES ET LES CENDRES De nombreux artistes parisiens des deux sexes assistaient hier matin, en l'église Saint-Germaln-1' Auxerrois, à la messe célébrée < suivant le vécu de Willette ». par le R. P. Weber, des Frères Prêcheurs, aumônier de l'Union catholique du théâtre. L'assistance a reçu les cendres des mains de Mgr Chaptal, ami de Willette, assisté de l'abbé Clair, son condisciple, et de l'abbé Bouvet, curé de la paroisse.

Le P. Janvier a prononcé l'allocution. Des chants liturgiques furent ensuite exécutés par l'Institut grégorien.

INFORMATIONS^ POLITIQUES ••%« A la Chambre, la commission de l'Algérie et des colonies, après un échange de vues, a décidé de nommer une sous-commission qui sera chargée de lui apporter tous les éléments d'information nécessaires à l'étude de la proposition de résolution concernant la déclaration d'intérêt public du chemin de fer transsaharien destiné à relier l'Afrique-Occidentale française à la Méditerranée.

Cette sous-commission, dont feront partie MM. Brière Aueuste Bronet. Chauvin. Xartinaud-Déplat, Scapin], Ulrich et Alexandre Varenne, s'est immédiatement réunie et a désigné M. Alexandre Varenne comme préaident.

DANS LA RÉGION' PARISIENNE

Le match Aisne-OUe

Le match annuel de football qui oppose les équipes représentatives des district Aisne et Oise se jouera cette année à Bohain, dimanche prochain.

L'équipe de l'Aisne est ainsi composée goal Minet, de l'U. S. Beautor: arrières Dubois (U. S. Chauny) et Gourdin (U. S. Villers-Cotterêts) demis Casazza Girard (U. S. V. C.) et Lemaire: avant» :-Lefèvre (U. S. Guise), Paul Morval (R. C. Bohain). Triboulloy (U. S. Chauny), Blanchard (C. A. S. Hiraon), Qufflet (U. S. Chauny). L'équipe de l'Oise sera la suivante goal Dort (Sen!is): arrières Bursky (Sandricourt) et Bombart (Bethisy); demis Bonnet (Beau-vals). Salanon (MarisBel) et Quillard (Marissel); avants Pinchon (Beauvais), Demagny (Beauvaio). Delacourt I (Sandricourt), Humbert (Mariseel) et Delacourt II (Sandricourt).

CHATEAU-THIERBY. Sous la direction de MM. Dravet et Ganneau, un meeting d'aviation aun, lieu le 19 mars avec la participation de MM. Michel Détroyat, le champion de l'acrobatie Portai et de Romoneschl, le parachutiste bien connu. Le banquet des sous-officiers de réserve qui devait avoir lieu le 5 mars n'aura pas lieu.

HIRSON. L'Association des mutilés de la guerre a constitué comme suit son bureau président, M. Edouard Haussy vice-président, M. Leroy secrétaire, M. Maurice Michel trésorier. M. Chopin. LA CAPELLE. Dans la Grand'Rue, M. Eugène Lamoureux, manouvrier, a été renversé et blessé par une automobile. Son état est assez grave. SAINT-QUENTIN. Le comité d'orga- nisation des fêtes de la Tour a décidé, en raison des difficultés financières et de la crise actuelle, de reporter à l'an prochain les têtes projetées.

EURE-ET-LOIR

CHARTBES. Le syndicat des contribuables de l'arrondissement, récemment constitué, organise une réunion qui aura lieu samedi prochain, à 16 h. 30. en la salle des conférences de la place des Halles. M. André prendra la parole. A 15 heures, dans la même salle, aura lieu. comme nous l'avons dit, une réunion organisée par le parti agraire.

Le Radio-Club Chartrain tiendra une réunion ce soir, à 20 h. 30, au cercle des sociétés, clottre Notre-Dame.

CHATEAUDUN. Le groupement de la' Jeunesse ouvrière catholique a organisé un service pour venir en aide aux familles sérieusement atteintes par le chômage. Il sollicite des dons en nature ou en espèces, qui seront reçus, de 13 à 14 heuree, rue de la Cuirasserie.

«ANGEAU. M. Henri Dolléans a été élu conseiller municipal de la localité. FRAZE. La société des jardins ouvriers a tenu son assemblée générale sous la présidence de M. Jean Deschanel, député. A l'issue de l'assemblée, des récompenses ont été remises aux lauréats du concours dee jardins.

SAINT-AUBIN-DES-BOIS. Alors qu'il procédait au déchargement d'une voiture. M. Alphonse Robillard, cultivateur, tomba et se fractura une jambe. Il a dit subir l'amputation.

un camion heurte une camionnette Sur la route Paris-Amiens, à Breull-leVert, un lourd camion d'une entreprise d'Amiens a heurté une camionnette en station qui, sous la violence du choc, fit un demi-tour sur elle-même. De son côté, le camion se couchait sur le côte. Par un basard heureux, le conducteur de ce dernier véhicule, M. Louis Ga, de Beauvaia. se tira absolument indemne. Par contre, les occupants de la camionnette, MM. Eugène Guillemet et Georges Froignier, demeurant à MagnervUle. furent grièvement blessa au visage et sur diverses parties du corps. Après avoir reu les premiers soins. ils furent ramenés à leurs domiciles. BBKTEUIX,. De nombreux vols de matériaux ayant été commis sur les chantiers d'installation du service des eaux, la gendarmerie vient, après enquête, de découvrir le coupable. C'est un ouvrier de l'entreprise, l'Italien Bénaminia Cordavo, quarante-deux aïis, qui a fait des aveux. ERNEMONT-BOUTAVENT. A la suite de chagrins intimes. M. Etienne Béranger. quarante-sept ans, manouvrier. s'est pendu dans une écurie.

NIVILLERS. Faisant droit à une pétition des habitants de Nivttlers, Therdonne, Laversine et Marissel, le ministre de la Guerre vient de faire connaître que le nouveau champ de tir de Nivillers ne sera utilisé désormais qu'une fois par semaine. Le tir sera suspendu du 15 juillet au 31 août de chaque année.

SEINE-ET-MARNE

Janiak, le meurtrier de Pringy bénéficie de la grâce présidentielle Le Président de la République vient de commuer en celle des travaux forcés à perpétuité la peine de mort prononcée le 17 novembre dernier par le jury de Seineet-Marne contre le Polonais Jean Janiak. On se rappelle que celui-ci avait tué, à Pringy, le 6 décembre 1931, son ancien em- ployeur, le fermier Marcel Gillis, et sa propre fillette Janine, âgée de quatre ans. Mo Laurence Martin, qui avait assisté Janiak lors de son procès. est venue hier après-midi à Melun annoncer la bonne nouvelle à son client.

COULOMMIERS. Les délégués des diverses sociétés de secours mutuels de la région, réunis à l'hôtel de ville, ont décidé de constituer une fédération réunissant tous les groupements mutualistes de l'arrondissement et d'organiser, l'été prochain, pour célébrer cet événement, une fête qui comportera banquet et conférence. Au cours de cette même réunion, les délé- gués ont désigné M. Roger Mirât, repré- comme membre de la commission canto- nale du conseil départemental de la mutua- lité.

MEAUX. Ce soir à 20 h. 30. à l'hôtel de ville, conférence par M. Andrès. instituteur sur « Ce que les anciens croyaient de l'électricité et ce que les modernes en savent. >

Les agresseur* de la rue du Pecq condamnés en correctionnelle

Le 4 janvier dernier, trois Polonais Théodore Orynczak, trente-trois ans; son Prère Georges, vingt-sept ans, et leur compatriote Seramaza, trente-deux ans. tous domiciliés au Pecq, faisaient irruption dans un restaurant de la localité où avait eu lieu le repas de noces de leur compatriote, M. Upacz. et cherchaient querelle aux invités qu'ils frappaient violemment. Tandis que M. Upacz recevait un coup de couteau à la nuque, son garçon d'honneur, M. George Rapida, avait un doigt de la main droite sectionné d'un coup de dent.

Le trio a comparu hier devant le tribunal correctionnel de Versailles où Georgea Orynczak a été condamné à six mois de prison, son frère à quatre mois de la même peine et leur compatriote à quinze jours avec sursis. M. Upacz, qui s'était porté partie civile, a obtenu 1.000 francs de dommages-intérêts.

BOISSY-SAINT-YON. Dans une crise de neurasthénie, M. Georges Louin, vingttrois ans, demeurant au lieudit la Caillerie, s'est pendu.

CHAVIIXE. On a retiré de l'étang de l'Ursine le cadavre de M. Eugène Taignard, soixante et onze ans. demeurant 16. avenue Gustave-Boissière. Par une lettre trouvée sur lui, le septuagénaire disait son Intention d'en Unir avec la vie.

I.IVBY-GABGAN. A propos de l'accident survenu récemment à l'angle de l'avenue Gambetta et de la rue Turgot. le conducteur de l'une des automobiles, M. René Frendis, entrepreneur de maçonne- I rie, noua demande de préciser que c'est l'autre voiture qui projeta la sienne con- tre la devanture de l'épicerie de M. Petit. POISSY. Une auto a renversé M. Drougo, âgé de cinquante-deux ans, demeurant 11. rue des Capucines, qui, grièvement blessé, a été transporté à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye.

TRAPPES. Dans une collision avec une auto, un motocycliste, M. André Georges, vingt-cinq ans, 1. place de l'Ouest, à Versailles, a été grièvement blessé. VERSAILLES. Près de la gare des Matelots, sur la vole terrée, on a découvert le cadavre d'un nouveau-né du a-xe masculin. M. Autrlve, commissaire de police, enquête.

Avenue de Paris, une collision s'est produite entre une automobile et un tram- way de la ligne numéro 1. Une voyageuse de ce véhicule, Mme Messe, demeurant 106, même avenue, a été blessée. Après pansement à l'hôpital, elle a pu regagner son domicile.

Des malfaiteurs ont pénétré dans le bureau de M. Caron. marchand de vins en I gros. place du Carrefour-Saint-Antoine, et se sont emparés d'une enveloppe contenant une somme de 5.000 francs.

AISNE

OISE

~1se1ne^et-oise

LA MORT TRAGIQUE DE Mme BOUTET Le mari de la victime remet deux briquets à la justice

Rouen, 1" mars (dép. Petit Parisien.) Au cours de la longue instruction, qui dura quatre mois et demi, sur la mort tragique de Mme Boutet, Raymond Falcou, qui sera jugé mercredi prochain, sous l'inculpation d'assassinat de son ancienne maîtresse, avait dit à plusieurs reprises qu'on aurait dû retrouver dans le sac à main de Mme Boutet, qui fumait, un fumecigarette, un porte-cigarettes et un briquet. Or aucun de ces objets ne se trouvait dans le sac à main quand la justice le fit saisir. C'est en vain qu'ils furent réclamés à M. Boutet.

On apprend maintenant que M. Boutet vient de remettre à la justice deux briquets, découverts au cours d'un déménagement, a-t-il dit, dans une caisse.

UNE BLANCHISSEUSE

ACCUSE SON ANCIEN AMANT D'AVOIR TIRE SUR ELLE

M. Ferrand, commissaire de police à Laon, était avisé, mardi soir, que Mme veuve Sabouret, blanchisseuse, ruelle du Chemin-de-Fer venait d'être transportée dans une pharmacie de la rue Châtelaine et qu'elle prétendait avoir essuyé plusieurs coups de revolver de !a. part de son ancien amant, Louis Mesmtn, demeurant à la Couloire. En fait, Mme Sabouret, ainsi que le constata le docteur Larrouy, ne portait qu'une légère blessure au mollet gauche occasionnée par une balle qui fut retrouvée dans son bas. On la transporta néanmoins à l'Hôtel-Dieu.

Durant ce temps, M. Ferrand, se rendait à la Couloire et procédait à l'interrogatoire de Meemin qui nia énergiquement les faits qu'on lui reprochait. Interrogée à son tour, Mme Sabouret déclara que, au moment où elle rentrait chez elle, vers 20 heures, elle avait été rejointe par Mesmin qui, la bousculant, était entré dan? la maison. Il avait pris un revolver dans l'armoire et fait feu sur elle puis, remettant le revolver en place, il était parti. Mesmin a été laissé en liberté en attendant la fin de l'enquête.

Une commerçante et son frère subissent un commencement d'asphyxie accidentelle

Remarquant une forte odeur de gaz alors qu'elle avait précédemment entendu des gémissements provenant de chez Mille Jeanne Pouyadou. quarante-eept ans, commerçante à Saint-Quentin, place Henri-IV, une voisine alla frapper chez cette dernière et n'obtint aucune réponse. En présence d'un parent. on pénétra dans le logement où l'on trouva inanimés Mlle Pouyadou et son frère Edouard Pouyadou, cinquante-cinq ans, venu la veille au chevet de sa sœur malade. L'étectricité brûlait. Tous les deux avaient été victimes d'un commencement d'asphyxie dû à des émanations de gaz provenant de la cave où une conduite était crevée. On les transporta aussitôt à l'Hôtel-Dieu; leur état est grave, mais non désespéré. NOURRITURE ET BONNE HUMEUR Avez-vous remarqué que la bonne humeur est un des éléments indispensables aux relations d'affaires, et même personnelles ? On ne peut, direz-vous, être toujours de bonne humeur D'accord, mais on peut l'être souvent. Question de nourriture. De bons aliments font voir la vie en rosé Regardez, mesdames, les figures de vos maris et enfants devant quelque friandise ou entremets qu'ils aiment Songez-y pour le déjeuner de demain

VILMORIN-ANDRIEUX et Cie, Paris-1" Catalogue « Presse m franco sur demande

UN GRAND SEIGNEUR La faune de l'Océan rst pleine de mystères. Que ne découvrirait-on pas s'il il était possible de descendre à ces profondeurs immenses qui nous ont été révélées par la sonde ? Quels êtres y trouverait-on Nous ne connaissons qu'une infime partie de ses habitants et encore les connaissons-nous mal Aussi serait-tl bon de donner aujourd'hui quelques détails sur l'un d'eux le Taraba-Gani ou Crabe du Japon.

Ce crustacé vit en grandes troupea rur les fonds de sable du Pacifique Nord. Son aspect le rapproche plutôt de l'araignée de mer, bien connue dans nos régions, que du crabe ordinaire. Sa carapace, en forme de cœur, est d'une extrême dureté et elle est munie d'une série de pointes acérées qui protègent l'animai contre les attaques de xs ennemis. De cette carapace partent trois paires de pattes qui peuvent atteindre chacune plus de 50 centimètres, et deux pinces énormes, bien plus fortes que celles du homard. Le Crabe du Japon atteint, en effet, une très grande taille, et il n'est pas rare de pêcher des spécimens qui mesurent 1 m. 20 d'une patte à l'autre. Le poids moyen des crabes est de 8 livres environ, mats on en trouve souvent qui pèsent près de 20 livres. Il est du reste Interdit, par le gouvernement Japonais, de pêcher ies crabes de petite dimensio. C'est ce qui explique la qualité des morceaux de choix que nous avone l'habitude de consommer. DE L'OR ARRIVE D'AMERIQUE Cherbourg, 1" mars (dép. Pettt Paris.) Le paquebot Bremen, venant de New-York, a déchargé deux envois d'or, l'un de dollars environ pour une banque parisienne, l'autre de 500,000 dollars pour la Banque d'Amsterdam.

De grosses Roses de tous coloris, tout l'été Tous nosclients nous félicitent sur les magnifiques teintes de nos ro8e8. sur la vigueur de nos plants, et sur leurs qualités florifères. a je voua remercie, nous écrit M. C. Carrel. 74, rue Ernest-Renan, à BeUevue(S.-et-O.), de votre envoi de rosiera; ils me paraissent très vigoureux, et je suis charmé par l'heureux assortiment desteintes.» Si vous voulez avoir des roses dès mai-juin jusqu'aux elèes, plantez actuellement les rosiers. Pour 30 Fra seulement franco. vous recevrez un colis contenant 10 variétés de roKiers buissons, de teintes différente», très florifères, donnant continuellement de grosses fleurs très parfumées, A chaque colis. nous joignons une prime et une notice détaillée sur la plantation et les soin» à donner. C'est le moment d'écrire à M. H. Canon. Rosiériste à ChAteauroux(lndre). Paiement apréa réception.

1er GROS LOT de

l'Association Syndicale Professionnelle de !a

Presse quotidienne de Bordeaux Autres Gros Lots de fr.; 150.000 fr.; 100.000 fr.; deux de 50:000 fr.; quatre de 25.000 fr., etc.

au total, 1.521 lots en Rentes française» valeur

UN MILLION 600.000 FRANCS Souscription autorisée

par décision ministérielle

Tiragt: 15 AVRIL Prix du billet francs

Le dixième de blllet 5 francs En vente dans les bureaux de tabac et librairies

Pour envois par poste, s'adreaser à la Société Français! de Crédit 8, cours du Chapeau-Bouge, Bordeaux Joindre mandat 50 tr. 75 pour un billet entier et 5 fr. 60 pour 1/10· de billet Pas d'envoie contre remboursement La liste de ttrage paraitra sur les Journaux et sera adressée sur demande Nombre de billets très limiM

Souserivec dès aujourd'hui

wmm

I Koièlebague!te,mÊm8qualit4,37p.2!Of I Grand choii de Menas. 37-62-9l-H8p. I FACItITtS Pi PAIEMENT CADEAU A TOUT ACHETEUR LA MANUFACTURE L CENTRALE

CATALOGUE GRATUIT Nous acceptons lo retour de tout envoi ne dcoaut pu satisfaction.

I BON

pour un CATALOGUE


LES FUSEAUX BLEUS

Ces fuseaux de lavaude J'ignore si l'on peut s'cn procurer à Paris et de si nement tressés d'épis. de tiges et de rubans. Ils arrivent tout droit de Provence. Ils servent à parfumer de tradition et de vertu les piles de draps qui garnissent dans les vieux mas à tuiles grises les belles armoires à pentures de laiton ou de fer. Oui, c'est l'odeur de la Provence ancienne et c'est l'histoire de Clara.

Voilà cinq à six ans, l'état de mon mari. après un hiver de grippe et de rhume, commença de m'inquiéter. Joue creuse, toux sèche. Appel au docteur. < Rien d'alarmant, m'assura-t-on. Vous passerez trois mois dans la montagne bas-alpine, je vous dirai où. Jean pourra emporter ses couleurs et ses toiles et faire du paysage à son gré. Air pur, léger, sec, balsamique rien de meilleur, pour les bronches du mari et le bonheur de sa femme. »

Nous partons. Arrivée nocturne dans une hôtellerie' aux portes de Forcalquier. Dès le fin matin, c'est le nez qui s'éveille. La croisée est ouverte notre chambre s'emplit d'une odeur fraîche, touffue, capiteuse comme les premiers éthers de la cuvée. Sur la route, qui devient rue, bruit de roues et de grelots. Des charrettes, me- nées par des hommes bruns, passent. chargées d'une moisson grise et bleue. C'est la montagne en fleur oui entre dans la ville. C'est le marché aux lavandes.

Nous vécûmes quelques jours dans cet étourdissement. Nous avions pu cependant louer une maison rurale et une jeune servante. Gara. Les prénoms latins ne sont pas rares au pays de Marius. Il s'agissait d'une petite orpheline élevée par sa tante et qui, l'été venu, gagnait sa vie à cueillir la lavande et t'aspic la badase On s'éprit d'affection pour cette enfant mince. brune, aux yeux sarrasins. Lorsque sa tante nous l'amena. la saison finie, elle semblait, comme la biblique Esther. sortir d'un bain d'aromates.

Jean peignit à l'environ tous ces vieux villages couverts de pierres plates qui s'éteignent au soleil près de leurs puits taris aveuglés par les ronces. Il en est un où ne vit plus qu'une vieille femme. Dieu a quitté l'église en ruines. L'« ancienne » veille les dernières maisons elle en a acquis sept pour son compte, mais si délabrées et si branlantes qu'elle tremble de les voir s'écrouler, les soirs de bise. Il fallut bien songer au retour. Jean avait perdu sa toux et retrouvé son « poids Ï. La tante de Clara nous proposa de nous laisser sa nièce. Elle se plaît avec vous, nous dit-elle. tirez-la d'ici. J'ai fait tout ce que J'ai pu pour la sauver d'un chenapan qui, depuis six mois, rôde autour de ses seize ans. Mais je suis vieille.

On emmena Clara, qui semblait ravie. Je lui, appris à juger d'un coup d'oeil aigu et discret la fraîcheur des denrées, à se défier des pesées trop rapides et de ces menues sollicitations dont sont l'objet comme celles de la justice ies balances de certains commerçants. Elle eut de coquets tabliers, de fins bonnets et tout le monde me l'envia.

Ldn an passa. Le service était doux, l'enfant semblait gaie. L'été venu, ce fut la plage et le clos normand. Clara était ravie de voir l'herbage et la mer. Sa tante, une fois' le mois, lui répondait par le truchement d'une voisine.

Mais voici qu'au printemps, ie second qu'elle passait à Paris, Clara nous parut soucieuse. 1 Bah me dit Jean. c'est le garçon boucher, qui est un beau blond. » Je craignais plutôt que le chenapan dont la tante redoutait les emprises ne fût venu la retrouver à Paris. La pauvre vieille m'avait fait toutes ses confidences, mais la nièce ne m'en fit pas. C'était une âme fière et secrète. Je n'aimais pas cependant cette ombre grise sur ce visage que uous étions habitués à voir au gai, ni cet air d'écouter et de flairer le vent dans notre jardinet de Passy.

Un soir. nous dînions chez les Monteil. Retour après minuit, réveil tardif. Vers 10 heures, je sonne mon chocolat. Rien. j'insiste. En vain. Jean pousse jusqu'à la cuisine personne. A midi, pas de Clara. J'écarte toutes les hypothèses de mon mari pour m'en tenir à ce que je sais. Aucun doute le Bas-Alpin est venu la reprendre. Jean cesse de rire, va au commissariat. et au bureau de placement. Il est aussi navré que moi et j'ai envie de pleurer. Nous apprenons, le lendemain, qu'aucune jeune fille répondant au signalement de Clara n'a, jusqu'ici, été écrasée, envoyée au dépôt. ni repêchée dan: la Seine»J'écrivis à la tante.

La disparition de notre petite bonne faisait, en attendant, le tour des ménages amis. La grosse Mme d'Ancor, qui s'accroche à toutes les occasions, Imagina un concours. Chacun devait fournir une explication du départ de Clara. Celui dont les prévisions se trouveraient confirmées par le résultat de l'enquête. Mais la baronne était trop vieille pour qu'on se souciât du lot.

Je me reprochais, pour ma part, d'avoir manqué de clairvoyance et d'énergie. Au bout de trois semaines, Jean est con.voqué au commissariat de police. J'y cours avec lui.

M. Jean F. artiste peintre? interroge le secrétaire.

Oui, monsieur.

C'est bien vous qui, à la date de. avez signalé la disparition de la nommée Clara T. fille mineure et.

Oui. oui. Que lui est-il arrive 1

Permettez, madame.

.Fille mineure et.

Mon mari se fâcha. On apprit enfin qu'il résultait des recherches opérées dans l'arrondissement de Forcalquier que la nommée Clara J se trouvait présentement dans une équipe de cueilleuses de lavande. Elle déclarait avoir quitté ses patrons de

61. Feuilleton du Petit Parisien, 2-:i-33 r,ARCAGflOUX I roman

Il dramatique

par Frédéric VALADE TROISIEME PARTIE

L'APPEL DE L'INCONNU

XV (suite)

M. de Montorio s'en va

Ce qui va me gêner envers M. de Montorio! remarqua le comte. Tant pis! D'autre part, je viens de recevo:r une lettre de mon ami Morane. U m'annonce que plusieurs affaires l'obligeant à venir à Paris, il ne manquera pas de me faire demain une visite. Vous devinez, sans doute, pourquoi ?

Mme de Lamières eut un signe d'assentiment, mais ce ne fut pas sans peine qu'elle parvint à dissimuler son émotion.

Quelle catastrophe, si M. de Morale était arrivé vingt-quatre heures plus tôt

J'allais prévenir Clotilde, ajouta M. de Lamières. au moment où vous êtes rentrée.

Laissez-moi ce plaisir pria la comtesse.

Très volontiers! consentit son Copyright by Frédéric Valade 1933. Traduction et reproduction interdites en tous pays,

par Léon LAFAGE

son plein gré et n'avoir nullement l'intention de retourner auprès d'eux. Eilè exprimait ie désir de recevoir la part des gages qui lui restait due.

Te respirai.Ma joie Je la savoir vivante passait le déplaisir de la trouver ingrate. Sa fugue se parait même de poésie. Ce qu'elle cherchait, Clara, dans le vc;it frelaté qui venait tourner dans notre petir Jardin de fusains et de sable, c'était l'odeur grise et bleue, le subtil et lointain parfum de ses lavandes. Seul ce nostalgique appel avait pu avoir raison de sa gaité et de sou dévouement de chaque jour.

Un peu déçue néanmoins, j'expédiai làbas un mandat tout cru. sans un mot. En retoun et depuis, chaque année, au temps de la cueillette, je reçois ces petits fuseaux odorants et fidèles. » »̃ -s '•"»

Or cet été. Jean, repris par le souvenir des hameaux en nids d'aigle, juchés sur les rochers « gavots nous sommes allés retrouver la petite maison bas-alpine. Dès la première excursion, sous un faix d'aspic pétillant d'abeilles, nous avons naturellement rencontré notre Clara. L'âge et le soleil l'ont mûrie. Nous l'avons regardée. Nos yeux disaient le reproche et le blâme. Alors, elle a jeté sa gerbe à nos pieds et, sans un salut

Si je vous avais prévenus, monsieur et madame, je n'aurais jamais eu le courage de partir I

Le mot effaçait tout. Nous avons prolongé notre séjour pour assister à son mariage avec un brave gar^m, un de ces nistillaîeurs de lavande qui roulent de vilrage en village leur rustique appareil. Et c'est très joli, je vous jure, les nuits d'é^t, quand les étoiles mêmes ont le vertige, ces bouquets de feu aux pentes de Saint- Etienne-les-Orgues ou du Revest-SaintMartin. Léon LAFAGE. Le gala des anciens combattant! de la préfecture de police

Nous rappelons que le gala de bienfaisance de l'union des anciens combattants de la préfecture de police aura lieu samedi soir à la salle Wagram, sous la direction artistique de M. André Danarty et de Mme Ladine Mazer. Voici, par ordre alphabétique, les noms des vedettes parisiennes qui prêteront leur concours cette grande fête de bienfaisance Mrncs Maguy-Dehon Floryse, accompagnée par M. Jean Lenoir Fréhel Olka Lekain Polaire. assistée de M. Desmoulin et MM. Raoul- Gilles Ferrero, assistés de Mme Lalaade Jean Lumière Marjal Natol Perchicot Poulot et. bien en- tendu, la musique des gardiens de la paix. chef M. Rousse!.

Mite POINTAL, REINE DE PARIS

Un dîner de gala du « Palais littéraire » Le « Palais littéraire », que préside M. de Moro-Giafferri, a offert, hier soir, dans un hôtel des Champs-Elysées, un dîner en l'honneur de plusieurs de ses adhérents. Il s'agissait notamment de célébrer l'élévation au bâtonnat de M' Lionel de Saint-Auban, l'élection de M. Lionel Nastorg à la vice-présidence du conseil municipal et les promotions de MM" Henri Buteau et André Haguenauer dans l'ordre de la Légion d'honneur.

M. Anatole de Monzie, ministre de l'Education nationale, présidait, entouré de MM. Ch.-H. Magog. représentant la Société des gens de lettres, Gastion Pageot, Ch. Le Mouel, président des poètes français, Edmond Sée. des anciens bâtonniers et des hauts magistrats du palais. De brillantes allocutions ont été prononcées.

Chez les voyageurs de commerce L'U. S. N. n'accepte pas le texte du statut professionnel

L'Union syndicale des voyageurs, représentants,et placiers (12, rue de la Victoire), qui groupe 35.000 adhérents, répartis sur l'ensemble du territoire, n'a pas coilaboré à la rédaction d'un texte du statut professionnel dit <; définitif » ce texte, a été rédigé par la Confédération générale de la production française et certaines organisations professionnelles.

L'U. S. N., après avoir pris connaissancé de ce texte, proteste contre ce qu'elle considère comme une manœuvre tendant à ruiner le projet de loi Lamoureux pour le remplacer par une proposition qui, en aucune sorte, ne saurait constituer le statut de la corporation. L'U. S. N. organisera prochainement à Paris un meeting de protcs'.r.tion auquel seront convoquées toutes les organisations patronales et prof :c-:ielles qui ont collaboré à la rédaction du texte dit « définitif ».

mari. Je crois que notre fille est chez elle.

Je vais m'en assurer! déclara Mme de lumières.

En la voyant entrer dans sa chambre, Clotilde ne fut pas maîtresse d'un mouvement de recul, ce que la comtesse aperçut et qui lui causa de la peine. Elle avait été aimée de sa fille. Mais celle-ci ne l'aimait plus.

Et c'était naturel.

Ton père, dit Mme de Lamières, a reçu tout à l'heure une lettre de M. de Morane qui, appelé à Paris pour y régler diverses affaires, annonce qu'il nous verra demain. Nous ne nous dissimulons pas l'objet de sa visite. Nous savons quelle est la réponse qu'il vient chercher.

La comtesse s'interrompit.

Quant à Clotilde, elle ne prononça pas un parole.

Elle se contenta de regarder sa mère. Il était terriblement expressif, ce regard.

Ne m'avez-vous pas assez fait de mal! disait-il. Quel atroce plaisir pouvez-vous prendre à prolonger ainsi mon j supplice?

Cette réponse, reprit la comtesse, dépend de toi, mais nous prévoyons ce qu'elle sera si, comme nous le croyons, tu as donné ton cœur à Jean de Morane. Oh! mon Dieu! murmura la jeune fille.

Instinctivement, elle s'appuya à un meuble.

Elle avait cru défaillir.

En même temps, elle contemplait sa mère avec une intense expression de doute.

Avait-elle bien entendu?

Ne rêvait-elle pas?

Ce fut ce qu'elle se demanda en se

A MOSTAR ville musulmane SUITE DE LA TREMIÈRE PAGE

Alors le jardin adriatique triomphera de la steppe herzégovienns les querelles sanglantes et séculaires des deux croix, comme celles du croissant, s'éteindront dans la douceur païenne de Dalmatie.

Quelle idée

Ces frères slaves, qui se sont déchirés pour leurs cieux ennemis, ne pour- raient-ils subir la commune attraction de l'Olympe?

Avant l'Evangile et le Coran, saint Biaise, saint Sava ou Mahomet, il y eut ici des déesses et des dieux. A Mostar même, du haut de mon minaret, je découvre le pont (most en serbocroate) qui est le parrain de la ville et dont l'arche fine, -au sommet du précipice, unit les deux rives de la Neretva, l'antique Narenta, Les ouvrages qui le défendent datent d'hier c'est-à-dire du xvi" siècle mais il est plus âgé que sa forteresse. Ce précieux vestige de la grand'route de Pannonie appartient à la voirie romaine.

Ainsi, le témoignage latin remonte, du rivage en fleurs le long des torrents, jusqu'aux déserts de cailloux de la province intérieure. Par un chemin pavé, les chariots transportaient jadis, dans la région glaciale ou torride, les primeurs de l'éternel printemps et la civilisation du climat tempéré.

Aujourd'hui, Raguse peut encore continuer de conquérir Mostar par sa petite voie ferrée, mais le tortillard ne va ni bien loin ni bien vite, et toutes les familles musulmanes d'Herzégovine et de Bosnie ne peuvent aller rire et se réchauffer aux fêtes joyeuses de saint Blaise.

Ma colonne n'est pas assez haute pour me permettre d'apercevoir, par delà les cinquante minarets de la ville, les mille minarets des deux provinces fatales dont l'éphémère possession par l'Autriche fut payée d'une vie d'archiduc, d'un démembrement d'empire et d'un carnage européen. Chaque jour, aux heures rituelles, sur tout ce territoire que le jeune royaume unitaire hérita de la vieille monarchie dualiste, les administrés t de la banovine de Zetska se pros| ternent dans la direction non pas de Vienne ou de Belgrade, mais de la i Mecque.

Si l'horizon n'était borné par des montagne, je pourrais p e u t être découvrir, tout près d'ici, d'autres mosquées, côte à câte aves des basiliques et des sanctuaires, dans la banovine voisine de Vardarska.

Sur r la carte de Yougoslavie, Zetslta recouvre le double nom de Bosnie Herzégovine, qu'on ne prononce pas sans frémir au souvenir du récent passé. Mais Vardarska cache un autre nom, qu'on n'écrit pas sans angoisse en pensant au proche avenir. C'est la Macédoine

Là encore, le touriste pourrait s'y méprendre et sa croire en VieilleTurquie. Des villes comme Ouskoub, en devenant Skopié, n'ont pas été décoiffées du turban. Ainsi l'islamisme a créé dans cette région, chez ses seuls adeptes, une fusion apparente des races. Mais les chrétiens, par contre, y sont moins bien amalgamés. Amantes, Albanais, Grecs, Bulgares, Serbes cohabitent avec les Turcs et n'occupent pas toujours leur appartement en c bon père de famille a.

Je paraîtrais bien audacieux à mes amis de Belgrade si j'osais écrire qu'il existe aussi, et surtout en Macédoine, des Macédoniens.

Ceux-là, que l'on nomme officiellement les « Serbes du Sud », sont encore plus particularistes que les Croates, les Dalmates, les Slovènes. Ils réclament farouchement leur indépendance. Ainsi mon enquête, partie d'une étude de notre collaborateur Henri Béraud en Europe Centrale, rejoint le voyage de notre regretté collaborateur Albert Londres au pays des comitadjis.

Les lecteurs du Petit Parisien con- naissent l'O. R. I. M. (Organisation révolutionnaire intérieure macédo- nienne) et la devise de ses adhérents La Liberté ou la Mort. »

De ma tour, je ne suis pas loin, à vol d'avion, de ces deux départements yougoslaves Zetska et Vardarska, qui furent Bosnie Herzégovine et Macédoine. Dans le premier, à Sarajevo, il existe, sur la Miliatska, un pont aujourd'hui communément appelé le pont Prinzip r, en souvenir d'un patriote provincial et de son geste tragique.

Il y a, dans le second département, des ponts sur le Vardar. Puissent-ils ne jamais recevoir un aussi sanglant baptême

Placé entre deux banovines yougoslaves, l'une évoquant le passé, l'autre Invoquant l'avenir, je c o m p r e n d s mieux les hautes paroles qui m'ont 6té dites, au cours de mon séjour, par un homme d'Etat de ce pays.

Je lui parlais de Trogir et de Véglia. Il répondait Skopié, Vélès, Prilep. Et comme cela me paraissait hors de mon sujet, il m'y ramena par cette courte phrase

C'est sur le Vardar que nous devons surveiller l'Adriatique.

posant la main sur le front, et si clairement que la comtesse devina cette muette question.

Non! dit-elle. Non! ce n'est pas un rêve C'est la réalité, et j'ai tenu à te l'apprendre moi-même, espérant qu'en t'apportant ce bonheur j'obtiendrais ton pardon! Tu as eu raison de me dire que ce n'était pas pour moi que tu te sacrifiais! Tu as eu raison de me rappeler que je n'avais jamais éte une mère pour toi. Eh bien! aujourd'hui, j'ai voulu être la mère que je n'avais pas été, j'ai voulu rendre impossible le sacrifice que tu faisais à notre honneur. et je suis partie pour aller livrer un suprême combat, duquel j'étais décidée à ne sortir que vivante ou morte. Vivante, si j'étais victorieuse. Morte, s'il ne fallait que ma mort pour assurer ton bonheur, et heureuse de mourir, parce qu'ainsi, rachetant une longue injustice, j'aurais enfin été une mère pour toi. J'ai remporté la victoire. Il ne reste plus rien du passé, rien que le souvenir de mes fautes envers toi, et, de ces fautes, si j'ai pu obtenir le pardon en t'apportant de la joie.

La comtesse n'acheva pas.

Déjà les bras de Clotilde s'étaient noués autour de son cou.

Déjà les larmes de sa fille se mêlaient aux siennes.

Pardon! murmurait encore Mme de Lamières.

Mère chérie! Mère chérie! répondait Clotilde. Le cœur de ta fille est tout à toi!

C'était la première fois que Clotilde de Lamières tutoyait sa mère. Et cela signifiait que l'abîme qui avait existé entre cette fllle et cette mère était comblé pour toujours.

Je ne suis plus la même! se disait

lA MYSTÉRIEUSE AFFAIRE DE BELFORT

Le juge d'instruction aurait reçu « l'ordre de service »

Belfort, il, mars (dép. Petit Parisien.) Est-il exact, ainsi qu'on l'affirme ici ce matin, que le juge d'instruction ait reçu l'ordre de service » ? ?

La certain est qu'il s'apprête à convoquer à nouveau l'intendant Georges Frogé qui, dans sa disgrâce du Valdahon, se tient à la « disposition de la justice ».

L'unique souci du magistrat parait être de vouloir entendre, avant cela, tout le personnel des services de l'intendance qui fut sous les ordres de l'officier suspecté, toujours, faut-il le répéter, au sujet du vol de document concernant le parti communiste. Au vrai, l'enquêteî de M. Le Cheix ne parait avoir d'autre but que de constituer au premier chef un rapport de moralité sur le capitaine Frogé, et au deuxième d'essayer d'éclairer un peu en même temps, la situation en ce qui concerne le document communiqué, dit on, à l'Allemagne.

Et, pour nous mieux résumer encore, de « compléter le dossier de l'officier d'administration Frogé, ce dossier que MI Jean-Charles Legrand tient si spécialement à voir, et qui va peut-être se trouver ainsi augmenté d'ici là.

Mais de quoi ?

Nous ne pensons pas indiscret de révéler d'ores et déjà à ce sujet cette autre histoire il y a dans ce dossier, la première partie dactylographiée d'un ouvrage qu'était en train d'écrire, lorsqu'il fut suspecté, le capitaine Frogé. Cet ouvrage devait avoir pour titre l'Organisation militaire en France, en temps de guerre, titre redoutable, semble -1 il, puisque le manuscrit a été bel et bien saisi. J'affirme, nous, déclaré tout à l'heure l'intendant, que j'avais l'intention de communiquer cet ouvrage au ministre de la Guerre avant de le faire publier.

Mais les policiers qut ont eu à s'occuper ces derniers temps de M. Frogé, ne lui ont-ils pas dit

Le faire publier ? Peut-être Mais dans quel pays ?

Il faut entendre à ce sujet Mlle RoseMarie Zumdilts, employée à l'intendance, que nous avons vue chez elle, 28, rue du Lycée.

Mlle Zumdilts avait accepté de dactylographier le manuscrit du capitaine

Et nous a-t-elle dit, je puis certifier que celui-ci ne m'avait pas demandé de garder le secret. Nous collaborions ouvertement à ce travail.

La jeune fille a entendu parler aussi d'un autre fait dont il est question ici depuis quelques jours. Trente-cinq titres de pension ont disparu au mois de septembre 1928 des bureaux de l'intendance. L'intendant Frogé, qui ne prit ses fonctions dans ce service que pendant le mois suivant, voulut tout de suite éclaircir ce fait et posa à son sujet, à l'intendant de il'- classe Alexandre, une question par écrit. Celui-ci répondit, le 20 février suivant, qu'il ignorait cette affaire Et pourtant, nous a affirmé Mme Bresson, secrétaire du colonel Alexandre, il a bien existé, seulement on n'a pu savoir si ces titres avaient été « égarés ou si même ils avaient été établis.

Et elle noua confirme qu'en 1924 on surprit bien par hasard un employé qui fabriquait depuis plusieurs années des faux titres et en touchait le montant.

Ces deux témoins, il est nécessaire de l'ajouter, ne croient guère à la culpabilité du capitaine. Cette affaire, concluent-ils en substance, le dépasse. Et, malgré que l'intendant de l1'* classe ait fait savoir à son personnel que toute indiscrétion serait désormais punie, pour les militaires d'un mois de prison, et pour les civils de révocation, Mme Bresson et Mlle Zumdilts ne songent pas à nier que certains désordres > existent dans les bureaux.

Quant au fameux document, elles en ont entendu parler. C'est tout. Et le colonel Alexandre ne vient-il pas de déclarer qu'il contenait non pas 124 feuillets, mais 124 dossiers que, par conséquent, il lui semblait impossible que ceux-ci aient pu être reproduits ?

L'officier se trouve en cela, il faut bien le constater, en contradiction avec le capitaine Poncet, commandant les C. 0. A. qui, il y a peu de temps, eut l'occasion de constater l'existence réelle de ce document établi par la place de, Besancon, ,dont les instructions parvenaient de Paris et qui, il l'affirme, contient de 120 à 150 feuillets.

Patientons. Le magistrat instructeur n'a-t-il pas reçu mission de faire vite ? G. ARQUE. Une grande réunion

de la Ligue de défense aérienne La 5e section de la Ligue de défense sérienne a donné hier soir une grande réunion sous la présidence du colonel de Li Rocque. président de la ligue.

Des discours furent prononcés par MM. Jean Hautler, au nom de la 5e section Brunesseaux, au nom de la Ville de Paris, et par le colonel de La Rocque. Le médecin général inspecteur Sieur fit une conférence sur « le péril aérochimique &. Un brillant concert termina la soirée.

la comtesse, une heure plus tard, comme elle était seule, enfermée dans son appartement, ayant brûlé les lettres arrachées à son ancien amant.. Au-dessus de moi, dans les meilleurs jours, le ciel restait gris, tandis qu'il est, à présent, resplendissant de, soleil. Oui! plein de la plus belle lumière, et grâce à lui! Lui!

C'était Carcagnoux!

C'était celui qui, poursuivant la méditation dans laquelle il était tombé après le départ de Mme de Lamières, cherchait comment il allait orienter sa vie. La comtesse pensait aussi à M. de Montorio.

Se tenait-il pour impuissant, désarmé, vaincu?

Ne cherchait-il pas une revanche? C'était le seul nuage dans le beau ciel de Mme de Lamières.

Si elle avait su.

Mais elle ne pouvait pas savoir! M. de Montorio était parti de la rue de Grenella dans un inexprimable état de rage, comprenant que la bataille était désormais impossible. Carcagnoux connaissait tous ses secrets, et certainement il n'hésiterait pas à le dénoncer. Dans ces conditions, il ne restait qu'une chose à faire, qui était de quitter Paris au plus vite. Miguel, Paolo, Léonora devaient, d'un jour à l'autre, filer de leur côté. C'était chose entendue et Felice avait prévenu qu'on ne le reverrait plus. Il n'était donc pas nécessaire d'attendre davantage. Giustina ne dirait rien, mais sait-on jamais ce qui peut arriver?

L'aventurier, dominé par un étrange pressentiment, regagna son hôtel, donna ordre de préparer sa note, et monta à son appartement afin d'y achever ses bagages.

LA MARINE MARCHANDE Au Palais-Bourbon, hier, réunion de la commission de la marine marchande présidée par M. Taaao.

La <:ommis8ion a adopté le rapport de M. Léon Vincent sur la proposition de résolution tendant à inviter le gouvernement à accorder la distinction du Mérite maritime aux marins agés de soixante ans jouissant d'une pension de retraite ou d'infli-raité et qui, par leurs bons services, se sont distingués au cours de leur carrière.

Après un échange de vues, la commission a décidé de déposer une proposition de loi tendant à l'attribution d'un contingent supplémentaire et exceptionnel de croix du Mérite maritime.

M. Geistdoerfer a signalé les difficultés et la mauvaise volonté que rencontraient les inscrits maritimes pour obtenir la validité de leurs droits sur la caisse des invalides et la caisse de prévoyance en vertu de la loi du janvier 1932. La commission a adopté à l'unanimité une résolution demandant

1" Que d'une façon générale les lois et règlements relatifs aux pensions de la marine marchande soient interprétés moins rigoureusement qu'ils ne le sont actuellement et selon la volonté du législateur 2" Que le stage actuellement accompli Paris, dans le corps des sapeurs-pompiers, par les inscrits maritimes, soit compté comme temps de navigation. La commission a repris ensuite J'examen de la convention entre l'Etat et la Compagnie Générale Transatlantique.

M. Maurice Vincent a exposé la situation des obligataires il remettra à la commission un rapport spécial sur cette Question.

Le rapporteur a ensuite indiqué la façon dont étaient constitués le fonds spécial de reconstruction et les différents postes susceptibles de l'alimenter. Une longue discussion s'est instituée et. d'un commun accord, la commission a décidé de réserver sa décision après avoir entendu le ministre de la Marine marchande.

M. Maurice Vincent a également donné son avis sur la façon dont le projet de loi envisageait la création d'un compte spécial d'amortissement.

LE GALA DES CROIX DE FEU Rappelons que le samedi 4 mars, à 21 heures, salle Gaveau, 47, rue La Boétie, aura lieu, sous la présidence effective de la maréchale Foch, un gala de la chanson française donné par les Croix de Feu au bénéfice de leurs camarades chômeurs. M. Claude Farrère, pfésident des écrivains combattants, prononcera une allocution.

Mme Dussane, sociétaire de la ComédieFrançaise, présentera, avec le charme et l'esprit éblouissant qu'on lui connaît, les plus grandes vedettes.

La chanson française sera évoquée du xv. siècle il. nos jours.

Pour respecter la chronologie et 1 harmonieuse ordonnance du spectacle, les artistes ont consenti à paraître dans l'ordre suivant

Mme Ritter-Ciampi. de l'Opéra; M. Capitaine, de l'Opéra-Comique Mme .Teanns Sully, de la Comédie-Française M. Musy. de l'Opéra-Comique Mme Eugénie Buffet, M Schepfer, Mines Lucie Vautrin, Lys Gauty, Jeanne Marnac, MM. Geo Charley, Martini.

M. Duboscq, de la Comédie-Française, terminera en chantant la Madelon. Au cours de la réunion, 'le général Gouraud remettra à Mme Dussane une médaille rpéciale en souvenir de son dévouement au Théâtre aux Armée. A l'entr'acte, un dessin inédit d'Abel Faivre sera vendu aux enchères par le duc Pozzo di Borgo.

Prix des places 25, 50 et 100 francs. Location à la Salle Gaveau, 47, rue La Boétie.

Les services aériens sont repris pour l'Europe centrale

Les services de la ligne aérienne pour l'Europe centrale et la Turquie ont repris hier au départ du Bourget. Un avion, piloté par Durmon, est parti à 8 h. 46 pour Vienne par Strasbourg, Nuremberg et Prague.

Parmi les passagers se trouvait bord M. Kerensky, ancien chef du gouvernement russe.

Le « fabricant » d'étoiles

condamnf à 100 francs d'amende Poursuivi par M. de Hansy, devant la seizième chambre correctionnelle, le prestidigitateur Dessartine, dit de Rocroy, avait fait jaillir, la semaine dernière nous l'avons relaté des étoiles devant le président Puglièse. Le tribunal a estimé que la responsabilité de l'accident survenu à M. de Hansy, et qui lui valut la perte de trois doigts, apparait partagée.

Le magicien de Rocroy n'en a pas moins été condamné, pour le principe, à 100 francs d'amende et à verser à la victime 10.000 francs de dommagesintérêts.

Le conseil supérieur du travail Conformément au décret du 31 janvier 1921, article 12, la liste des syndicats ouvriers du département de la Seine, appelés à participer, en 1933, .lux élections du conseil supérieur du J'aval sera déposée, du l"p au 15 mars inclus, à la préfecture de la Seine, service du travail. 9, place de l'Hôtel-de-Ville (deuxième étage), où les intéressés pourront en prendre connaissance tous les -jours ouvrables, de 10 h«udes à 17 heures.

Les protestations auxquelles pourraient donner lieu les diverses énonciations de cette liste et le classement des syndicats dans les vingt-quatre groupes la composant seront reçues au service du travail jusqu'au 15 mars Inclusivement.

Seules seront recevables, à l'exclusion de toutes autres, les protestations qui émaneront de syndicats ou d'unions de syn- dicats ressortissant au même groupe que le syndicat donnant lieu à protestation.

Sur du sucre ou dans une infusion -J

Il y avait à peine un quart d'heure qu'il se livrait à cette occupation, quand il entendit que l'on entrait chez lui sans frapper.

Il se retourna et resta médusé. Giustina était là, pâle, le regard terrible, le front menaçant, la main armée d'un revolver.

Il n'eut pas le temps de parler. Misérable, dit la Napolitaine. En prononçant ce mot, elle avait levé la main.

Il y eut une détonation que suivit un cri sourd.

M. de Montorio tomba.

La balle de Giustina l'avait atteint entre les deux yeux. XVI

Vers de grandes choses

M. Olivier hocha la tête.

Il paraissait perplexe, indécis. C'était un homme d'ordre, ayant des principes, et eanemi des Innovations ct de tout ce qui ressemblait à de la témérité.

On rit, disait-il un peu sentencieusement, de ceux qui suivent les che- mins battus. On a tort. C'est en sui- vant ces chemins-là qu'on a la meilleure chance d'arriver où l'on veut aller.

Ceci ne dénotait pas une grande audace de la part de M. Olivier. Mais l'excellent fonctionnaire ne se piquait pas d'être audacieux. Je n'ai jamais eu envis de me casler le cou déclarait-il.

Pour le moment, répéton,-le, il donnait l'impression de quelqu'un de très embarrassé, ce qui amenait un sourire sur les Ièvr«3 de Richard.

Enfin, mon oncle, interrogea le jeune homme, quelle eet votre opinion? M. Olivier, de nouveau, hocha, la tête.

La faillite

des crèmes de beauté Si les crèmes de beauté avaienttenu seulement la moitié de leurs promesses, il n'y aurait sur terre que des fem- mes jolie*, jeunes, irréaistiblement séduisantes, même à soixante ans. Or la réalité est fort différente. La' vérité est que si certaines crèmes ont une excellente action protectrice, adoucissante et tonique, leur usage constant a un inconvénient majeur les cernes bouchent les pores par lesquels la peau respire et élimine. Conséquence Inévitable la peau cesse de respirer et d'éliminer, ce qui signifie qu'elle est vouée à une mort prompte. Les pores de la peau doivent rester libres. La proprete est donc la première règle à suivre. Pour cela, n'employez pas les savons ordinaires, qui lavent mais irritent la peau. Servezvous uniquement du savon-crème spécial Monsavon, qui exerce, tout en lavant, une action -adoucissante sur l'épiderrae.

Mansavon, en même temps qu'un savon, est aussi une crèmes et une crème à la lanoline, la seule substance assimilable par la peau. Monsavon agit donc de deux manières en tant que savon il nettoie la peau, dissout les impuretés, libère lea pores et leur permet de respirer. En tant que crème, il adoucit et nourrit la peau, mais, contrairement è. toutes les graisses végétales ou minérales employées dans les crèmes ordinaires, et qui forment une couche superficielle imperméable, la lanoline pénètre entièrement dans la pead, qui l'absorbe et la digère comme un véritable aliment.

Ainsi, en unissant les avantages du savon et de la crème et en neutralisant leurs 'inconvénients respectifs, Monsavon réalise l'hygiène parfaite de la peau.

Terrible accident

Un flacon de « Marie-Rose s tombe dans une colonie de Poux: Tous sont morts en 3 minutes. Pour tuer Poux et Lentes, vite et sans danger, employez la « Marie-Rose x·, 3 fr. 80 le flacon. Pharmacies, Herboristeries.

FAILLITE$ Caben et Cie. cap. 75.000 francs, chaussures. 42, rue N.-D.-de-Lorette. David Arditti, soierie3, rue de Charonne. Arsène Jouvenot. produits chimiques, à Alfortville, 97. rue Edouard.Vaillant. César Campana, brocanteur, 5. rue Portefoin. Philippe Duchamp. produits alimentaires, 52, rue des Abbesaes. Feu Antonio da Sylva, commission. 60, rue de Dunkerque. Sté -s Véra lingerie ». cap. 75.000 francs, 2L', rue François-V. Eonnin, vieux pneus, 5,. rue de la Poternedes-Peupliers. François Maunoury, cho- colaterie, 1 bis, rue Carcel. Gaston Comussat, tricots, à Vanves, avenue Aria- tide-Duru. Sté charbonnière genneviltoise. cap. 30.000 franca, à Gennevlllierp. 105, avenue de Paris. André Prscy, garage. 3. avenue du Président-Wilson. Hubart Gendreau « Comptoir commercial de la fourrure s. 14, rue Beaurefrard. Routseau, alimentation. 3, rue de Wattig-nieE. Jean Fopiacki. bùtel à Boutonna, 1, rue du Cammar.dant-Guilbaud. Irmaos-Ididore et Charles Ullmann, cap. 20.000 franc*, rep-ésentatlon. 67. rue de la Victoire. Edouard Boequillon, plomberie. 124, boulevard Richard-Lenoir succursale à AthisMona, 85-87, Grande-Rue. Henri Bellon, métaux, G et 8, rue de l'Asile-Fopinçourt.

Comprimés de Broncodyl dont la triple action met les bronches au repos, provoque et facilite l'expectoration, tonifie vigoureusement l'organisme. Dans toutes les pharmacies 10 fr. 60 l'étui-pochette. BROMCODYL

Soulagement immédiat

Mon opinion ? fit-il. Mon opinion. Elle est, mon opinion, que nous avons eu bien de la veine qu'on n'entame pas une campagne dans les journaux au sujet de cette affaires, car vraiment on s'est montré d'une imprudence rare. C'est ton avis, n'est-il pas vrai ? L'ancien chansonnier se mit à rire. Vous me disiez tout à l'heure, mon oncle, répondit-Il, que vous n'aviez pas d'opinion. A mon tour, je vous dirai que je n'ai pas d'avis. II me serait difficile d'en avoir un, car ie ne connais de l'affaire que ce qui a été raconté dans les journaux.

Et qui n'est pas vrai interrompit M. Olivier. Les journaux ont tous fait le même récit. La jeune femme arrêtée pour espionnage est parvenue à s'évader dans les couioirs du Palais de Justice, mettant à profit l'inattention de ses gardiens. Elle s'est rendue à un grand hôtel du quartier de l'Etoile où elle a tué d'un coup de revolver un certain M. de Montorio. son amant, par qui eUe avait compris avoir été dénoncée. On ignore comment elle était parvenue à se procurer l'arme dont elle s'est servie. Elle s'est refusée à donner toute espèce d'explication sur ce point. Elle n'a pas cherché à s'enfuir lorsque le personnel de l'hôtel, accouru au bruit de la détonation, s'est assuré de sa personne. Soit dans le portefeuille du mort, soit dans ses valises, on n'a découvert aucun document compromettant. On a constaté. en revanche, que ce M. de Montorio. sur la personnalité duquel il sera sans doute peu aisé de recueillir des renseignements précis. mais qui devait être â la tête d'une organisation d'espionnage, était sur le point de partir quand il a été tué par sa maîtresse. Ses valises étaient faites.

L'ECZÉMA Dartres, boutons, ulcérations TRAITEMENT PAR L'IODE NAISSAIT La science moderne a enfin découvert un traitement des plus remarquables de l'eczéma, maladie des plus rebelles, contre laquelle tout avait été essayé en vain. C'est par l'iode naissant employé sous forme de double traitement que l'on est arrivé à obtenir ces résultats réellement merveilleux. De toutes les ré-ions de France, des lecteurs de ce journal écrivent pour dire le succès de cette nouvelle méthode. Nous rappelons ici en quoi elle consiste

11 Traitement interne au milieu de chacun des deux principaux repas, prendre deux à quatre comprimés Viviode dissous dans un quart de- verre d'eau, vin, bière, thé ou calé froid. Traitement externe: chaque soir, avant de vous coucher, mettez dans le fond d'un verre une demi-cuillerée à café d'eau. Jetez dans cet eau deux comprimés Viviode. Quand leur dissolution presque instantanée est bien terminée, ajoutez une cuillerée à café de glycérine. Mélangez bien. Puis, avec un petit tampon d'ouate imbibée de cette solution, tamponnez longuement la partie du visage ou du corps à traiter. Laisser sécher sans essuyer.

Seul le double traitement peut guérir l'eczéma, parce que seul l'iode naissant tue tous les microbes et ravigore les cellules de l'organisme, aussi bien sur la peau que sous la peau. Ne pas craindre de prolonger la cure. Le tube Viviode de 30 comprimés 6 fr. 40 toutes pharmacies. A défaut, à la Pharmacie Universelle, 18, rue Favart, Paris, qui envoie franco contre mandat. Pour notice et tous renseignements, écrire au Laboratoire Viviode, 237, rre Lafayette, Paris. ViVIODE Votre enf ant dort mal car il tousse la nuit donnez-lui, dans la journée

et avant de se coucher, du

Sirop Vert Cadets spécialement étudié contre la grippe, la bronchite et les toux rebelles chez les enfants de 5 ans à 15 ans. Le rhume s'en ira, le sommeil et ia santé reviendront. Le Sirop Vert Cadets est en vente dans toutes les pharmacie». Le 3?con 7 fr. 50.

il est parti RHUME! Ce rhume qui menaçait de vous arrêter dans votre travail et qui pouvcH dégénérer en bronchite a été jugulé en trois jours par les

et il avait demandé sa note au bureau de l'hôtel. Incarcérée de nouveau, Ir jeune femme a déclaré qu'il serait'inu tile de l'interroger désormais, attende qu'elle ne répondrait à aucune question i On fera de moi ce qu'on voudra 1 .lit-elle. Odieusement trompée, je m( suis vengée. Je ne regrette pas df t'avoir fait. Mon seul regret aurait été1* d'avoir manqué ce traître. »

M. Olivier avait parié sans s'icter rompre.

On aurait pu croire qu'il récitait un, leçon ̃soigneusement apprise.

C'est bien celn. dernanda-t-il. £•• tu. as lu dans lei journaux ?

Textuellement, raon oncle.

Sh bien c'ast la vérité

Richard regarda son oncle av. ébahissement.

-Mats, observa-t-iî, vous m'avez dit tout à l'heure, que ce n'était pas vrai C'est exact

Et vous m'aîlh-mez, maintenerr que c'est la vérité

C'est êfrz.ïexne.nt -exact

Le jeune homme fut ahuri, ce que voyant, M. Olivier se frotta les raaim avec la plua évidente satisfaction. Pour une fois qu'il avait plaisanté cela lui avait admirablement réussi mais il ne voulut pas profiter de set avantages.

Ni! crois pas à une mystiflcation reprit-il. Ce que tu as lu est exact et inexact à la fois. L'histoire du meurtre de ce Montorio est bien telle qu'elle a été ra.contée, mais, ce qui est faix, c'est que la jeune femme soit parvenue â s'évad.er du Palais de Justice. Eüe était trop strictement surveillée pour pouvoir prendre le large.

(À suivre.)


1 ̃ r ̃–

AUJOURD'HUI Potinière. 9 h., première d'ds-tu le droit t pibce en trois actes de M. Marcel Schulz. Le spectacle sera complété par Exciting, comédie en un acte de M. S. Veillon.

-o- ODEON. Par suite d'un meilleur aménagement des entr'actes. Napoléon, de M. Saint-Georges de Bouhélier, commencera dorénavant à 7 h. 40 précises et se terminera à minuit.

-o- GAITE-LYRIQUE. Aujourd'hui matinée. Le Paya du sourire, avec les créateurs.

-o- LA SIX-CENTIEME de Nina-Rosa. Elle fut, hier soir, fétée sur la scène du Châtelet après la représentation. Le succès si justifié de la charmante opérette de MM. Mouézy-Eon, Albert Willemetz et Romberg avait amené beaucoup Garnis du directeur et des auteurs. Chacun fut heureux de lever sa coupe à sa glorieuse continuation. Puis on dansa, comme il se doit.

-o- PTE-ST-MARTIN. Aujourd'hui, à 2 h. 15, mat. populaire à prix réduits de Peer Oynt, avec Mme Suzanr.e Després et M. Romuald-Joubé et l'Association des Concerts Colonne, sous la direction de M. Louis Masson. Prix des places de 3 19 francs.

Mat. populaires à prix réduits tous les jeudis et samedis.

-o- CHATELET. Aujourd'hui, à 2 h. 30. matinée de l'opérette triomphai NinaRosa, avec André Baugé et Bach.

-o- TH. SARAH-BERNHARDT. Aujourd'hui, à 2 h. 30, Mon curé chez les riches sera donné en matinée avec HenryLaverne et .lice Tissot.

-o- AMBIGU. Aujourd'hui matinée populaire. Germaine Lix joue et chante dans la Maison Teltier, d'après la nouvelle de Guy de Maupassant.

-o- La Maison d'en face, le grand succès de rire du Palais-Royal, avance vers la Aujourd'hui matinée.

-o- RENAISSANCE. C'est dimanche prochain, en soirée, qua sera donnée la dernière du Désir. Lundi, mardi, mercredi, relâche. Jeudi 9, en soirée, générale da la bfain dans le sac, de MM. Pierre Weber et J.-P. Weber.

-o- CLUNY. Aujourd'hui matinée populaire. Demain rentrée de Gorlett, qui reprendra sa brillante création de Chichois dans la Revue marseillaise (Au paya du soleil), avec Alibert.

o- TH. DU VIEUX-COLOMBIER. La Compagnie des Quinze, devant jouer demain vendredi à Anvers, fera relâche ce soir-là.

-o- Rappelons que le gala l'Espagne aux

Le Petit Parisien a commence le récit récit volontairement tronqué du aeénario de cette grande production à laquelle on peut, sans être grand clerc, prédire un succès d'intérêt et de larmes de mouchoirs et de toux angoissée quand, demain vendredi, l'Otympia passera ce beau film PathéNatan.

Résumons notre chapitre d'hier deux orphelines, jeunes, charmantes, l'une aveugle, c'est la cadette, arri·vent à Paris par le coche de Normandie Louise, l'aveugle; Henriette, Vainée. On enlève celle-ci. Le marquis de créâtes veut en faire sa maitresse. Elle trouve un défenseur en la personnel de Roger de Vaudrey. L'aveugle devient la proie de la Prochard, une abominable Jemme, qui exploite Louise et la contraint à mendier.

Bien entendu, les beaux yeux de la jeune Henriette ont produit sur le cœur du vaülant et honnête Roger de Vaudrey une impression profonde. I1 a grande confiance en la comtesse de Linières, femme du comte de Linières, lieutenant général de, police. La comtesse adore son neveu. Aux premiers mots de ce dernier touchant son aventure, son duel et son amour si respectueux et si sincère à l'égard d'Henriette, la comtesse se déclare toute disposée à favoriser cette alliance, encore qu'elle se présente sous des dehors peu sympathiques, nobiliairement parlant. C'est tout uniment une mésalliance et jamais le comte de Linières ne la laissera «'accomplir.

Là est l'obstacle, là est le noeud du drame si adroitement, mais si natu- rellement compliqué.

La physionomie du comte de Linières demande à être retracée car elle ne manque pas de caractère.

Il menait une vie douce et paisible dans son château du Dauphiné, ne s'éloignant que pour de rares voyages à Paris et de rares apparitions à la cour où il avait des parents et amis, où le roi l'estimait. C'est au cours d'un de ses voyages qu'on lui présenta une jeune fille de haute noblesse à qui on le fiança. Elle s'appelait Diane. Elle avait un visage très beau, mais un peu triste sur lequel flottait sans cesse une ombre de mélancolie qui, de l'ensemble des traits et du regard, gagnait le sourire et. le figeait. Moralement, elle était bonne et sensible, secourable aux indigents, pitoyable aux affligés. Devenue comtesse de Linières, elle avait naturellement suivi son époux en ses terres dauphinoises, prenant part aux chasses, donnant de fastueuses réceptions car le comte jouissait de gros revenus sa femme, par contre, ne lui avait apporté qu'une dot honorable. Au bout de deux ans d'une existence qui semblait à tous heureuse, la comtesse de Linières devenait de plus en plus morose. Dlle faisait, seule, de longues promenades à cheval sous prétexte de visite à ses pauvres en réalité, pour n'avoir point à subir les questions, toujours les mêmes, que lui posait fréquemment la comte, sur sa tristesse et sa pâleur. Pensant que le séjour de la cour pourrait amener un changement dans l'état de Diane dont il était épris comme au premier temps de leur union, de Linières accepta les fonctions de lieutenant général de police que le roi lui offrait. La décision fut vite prise, les adieux vite dit au castel des Linières. et le couple s'installa dans un des plus riches et des plus grands hôtels de Paris, à proximité de celui dit anciennement « de la présidence s, maintenant agrandi de plusieurs cours et de plusieurs jardins par M. de Lamoignon, et où les lieutenants de police avaient leurs bureaux, services et personnels.

Le comte de Linières est dans son cabinet. Un de ses agents, Marest ou Picard, vient de lui apprendre que le comte Roger de Vaudrey, après une orgie quelque peu bruyante au pavillon de Bel-Air appartenant au marquis de Presles, s'est battu en duel avec le marquis, l'a grièvement blessé, cela pour une femme. Nous connaissons cette femme c'est Henriette, et nous n'ignorons rien des sentiments qu'elle a inspirés à son chevalier. Quoi d'étonnant à ce que le lieutenant de police ait mandé à son cabinet Roger de Vaudrey, et que, sous prétexte de l'enlever à une société bruyante et débauchée, il ait dit à brûle-pourpoint au jeune homme Le roi a bien voulu me parler de vous il vous porte le plus vif intérêt et, pour en donner la preuve, 11 va vous nommer à un poste important et voua marier.

Sa Majesté a droit à toute ma neonnaissance, à tout mon dévoue-

Champs-Elysées, donné au profit de l'œuvre l'Aide aux travailleurs intellectuels. aura lieu demain à la POSADA.22.rue Quantin-Bauchart, avec le concours des artistes espagnols qui viennent de donner une série de représentations au Cirque d'Hiver.

| GEORGES MILTON L'AUBERGE DU! CHEVAL BLANC MATINEE JEUDI et DIMANCHE f MUSIC-HALLS

RAQUEL MELLER RIGOLETTO BROS COLLINE Un programme splendide!

MATINEE 3 h. SOIREE 9 h.

̃i LOCAT. OBBBK. 52-20 ̃̃̃̃ CIRQUE D'HIVER VENEZ FAIRE UN BEAU VOYAGE EN ESPAGNE DE VOTRE FAU- TEUIL, LA DANSE, LES CHANTS, LES MUSIQUES, LES VRAIS COSTUMES ET L'AUTHENTIQUE PLAZA DE TOROS AUJOURD'HUI, SAMEDI, MATINEE

tne acène du film « les Deux Orphelines » la foule se rend à la messe de minuit

ment, à ma vie même, mais j'entends rester libre de choisir ma fiancée et le moment où je la prendrai pour femme.

Cet entretien, assez haut de ton, en était là le comte invoquait sa qualité de chef de famille pour prétendre imposer sa volonté au neveu de la comtesse de Linières quand celle-ci pénétra chez son mari. Roger baisa la main de sa tante avec laquelle il avait eu, la veille, une longue conversation on va en voir l'objet et, déjà, il prenait congé comme l'eût fait quelqu'un assuré de s'entendre dire

Demeurez, je vous prie.

Et Roger de Vaudrey demeure. Le lieutenant de police expose les raisons qu'il a de refuser son consentement à un mariage ridicule, impossible, dont l'idée a germé dans le cerveau de Roger en une de ces minutes attendries, justifiées à la rigueur par le champagne et l'ivresse, mais oubliées le lendemain avec le retour de la raison.

±un vam Diane de Linières ose-t-elle se faire l'avocat de son neveu en multipliant les arguments que son cœur lui inspire. Son plaidoyer devient pressant, chaleureux et comme inspiré par un sentiment de secrète, de mystérieuse sympathie à l'égard de la jeune fille dont Roger veut devenir l'époux. Je suis au regret, ma chère Diane, de maintenir mon point de vue en la circonstance, au regret de vous refuser ainsi qu'à votre neveu à notre neveu un assentiment auquel je ne puis ni ne dois céder. D'ailleurs, il est sans doute trop tard. Les événements ont suivi leur cours. Ni le roi, ni Dieu même, donc encore moins le lieutenant de police, ne sauraient changer quoi que ce soit au destin, pardon, à la justice.

Le mot de cette énigme, nous ne pouvons le donner qu'à demi et en taisant toute une série de faits passionnants dont le film garde le secret. Il ne nous est pas défendu de mettre nos lecteurs sur la voie.

Nous avons dit que la Frochard connaissait les bons endroits où une aveugle, jeune et jolie, belle de sa pâleur et de ses malheurs, avait chance d'attendrir le plus grand nombre de passants et de faire la meilleure recette, la vieille mégère excitant de la voix et du geste la pauvre Louise. Un dimanche, sous le porche d'une église où carrosses et chaises à porteurs amènent les fidèles aristocratiques d'une paroisse qui ne l'est pas moins, Louise mendie.

Il neige elle est à peine vêtue. Le froid la glace. Elle tend la main. Successivement un docteur et une grande dame lui font l'aumône. Le premier regarde l'aveugle, examine ses yeux et à la Frochard, qui se dit la mère, la « bonne mère de Louise, il laisse espérer une guérison possible et un retour à la lumière. La grande dame nous ne vous cacherons pas qu'il s'agit de la comtesse Diane de Linières sort de l'église. Quelle prière a-t-elle faite, quel souhait a-t-elle exprimé pour qu'en apercevant Louise en face d'elle et la main tendue, la noble dame murmure tout bas, après avoir tressailli

Dieu m'aurait-il, ou m'aura-t-il entendue ?

Impossible de garantir si la comtesse a parlé ad futur ou au conditionnel. Il y a, ajoute-t-elle, il y a dans la voix de cette jeune fille quelque chose de tendre et de douloureux qui saisit et qui fait mal.

Le dialogue se poursuit avec Louise et la Frochard qui, en tiers la Frochard, en compagnie de son scélérat de fils Jacques buvait au cabaret voisin

MUSIQUE

0- CONCERTS PASDELOUP. On an- nonce deux beaux galas Beethoven, suus la direction de M. Félix Weingartne; le 4 mars. à 5 Il., la 9e Symph., avec chœurs, et le 5 mars. 5 h., aud. intégrale de la Messe solennelle en ré, avec Mlles Hœrner et Vhita et MM. Lapelletrie et Dupré. CINEMAS

DEMAIN au

MOULIN-ROUGE LA CHANSON D'UNE NUIT Le film le plus gai

et a vite fait d'aiguiller la conversation de manière à la rendre ljurmoyante et fructueuse, mais toujours aussi mensongère.

Et la comtesse remet un louis d'or à Louise.

Où va Diane de Linières ? Son neveu Roger lui a vanté sur tous les tons l'honnêteté, la décence et la grâce de celle qu'il aime, cette Henriette dont le préfet de police n'a voulu entendre parler à aucun prix comme pouvant devenir sa future nièce. Eh bien la comtesse ira voir dans son modeste logis où elle exerce l'humble métier de couturière cette charmante Henriette qui a su résister aux entreprises et aux séductions du marquis de Presles. La comtesse se met en route. Elle arrive à la maison dont Roger lui a donné l'adresse.

Les deux femmes sont en présence. On jugera de l'intérêt de leur conversation et de l'utilité de celle-ci pour la suite du drame si on veut bien se rappeler que Diane a tout à l'heure rencontré Louise et que cette rencontre a évoqué en elle un souvenir, un regret ou un espoir dont elle s'est bien gardée de nous faire confidence.. Henriette a pour Roger de Vaudrey le sentiment le plus tendre, le plus profond, mais elle n'a aucune illusion leur mariage est impossible, la volonté de son amoureux chevalier ne saurait couronner son désir. Ce qui occupe surtout l'âme d'Henriette, ce qui fait battre son cœur, trouble ses nuits et remplit ses prières, c'est l'image de Louise, Louise abandonnée le jour même de leur commune arrivée à Paris. Aussi, tout naturellement, elle fait part de sa hantise à sa bienveillante protectrice.

Madame, voulez-vous m'aider à

Pour votre consommation

familiale

demande; SISCA en bouteilles

d'origine dans toutes les bonnes

maisons d'alimentation.

CINÉMA

DES CHAMPSELYSÉES

Ut, Ctuunpi-ElyiéM, 118

UN FILM

de HENBI CHOMETTE

d'après l'œiivre

de RENE FAUCHOIS

PRENEZ GARDE

A LA

PEINTURES

retrouver cette sœur adorée, perdue par ma faute. Que pouvait-elle devenir, pauvre aveugle ?

Aveugle, dites-vous mais l'était-elle en naissant ?

Non. L'horrible malheur s'est produit alors qu'elle avait quatorze ans.

Racontez, racontez vite.

A ce moment, sous la fenêtre ouverte car c'est l'été, une voix de femme qui chante se fait entendre, et Henriette, un moment, prête l'orei'lle et suspend le récit qu'elle avait commencé.

La voix s'éloigne tour à tour et se rapproche et, suivant que la chanson devient incertaine ou plus distincte, Henriette ralentit ou précipite son histoire.

Soudain la chanson éclate avec force.

C'£st elle dit Henriette dans un grand cri c'est la chanson de ma sœur. Louise Louise

Et elle tombe évanouie.

Etait-ce une hallucination ? Louise passait-elle à ce moment et, sous la surveillance de la Frochard, cherchaitelle à attendrir les passants ?

C'est bien possible. La comtesse de Linières avait ouvert la porte de la chambre. Que se passa-t-il alors. Elle vit des exempts elle entendit leur chef donner des ordres et commander Vivement, emmenez-moi cette fille à la Salpêtrière.

Nous y retrouverons la malheureuse Henriette. Son arrestation nous donne le mot de cette énigme posée comme on l'a lu plus haut par le lieutenant de police en présence de sa femme et de son neveu venus, l'un et l'autre, pour intercéder en faveur de la jeune fille et tenter de la sauver, fût-ce au prix d'une mésalliance. Comprenez-vous maintenant le sens de ces redoutables mots dans la bouche du comte

D'ailleurs, il est, sans doute, trop tard. Ces événements ont suivi leur cours. Ni le roi, ni Dieu même. donc encore moins le lieutenant de police, ne sauraient changer quoi que ce soit au destin, pardon à la justice. Voici Henriette à la Salpêtrière, asile des filles perdues. Pourquoi le lieutenant de police que l'on dit homme juste et sur quel rapport mensonger, a-t-il décidé l'arrestation d'Henriette, ? Encore un des nombreux problèmes que pose ce drame des Deux Orphelines, 'charpenté comme aucun ne le fût jamais, et dont Maurice Tourneur s'est bien gardé de diminuer la solidité de construction, encore une question à laquelle nous ne satisferons pas car il convient de lsisser au film toute sa responsabilité, toute sa qualité.

.Avant de reprendre notre récit et de retrouver notre héroine à la Salpétrière, nous irons faire un tour dans le bouge de la Frochard.

(A suivre.)

"SISCA" un Cassis d'une classe au-dessus

ntre un Cassis ordinaire et SISCA, il y a autant de dif-

férence qu'entre un mous-

seux et un champagne Sisca est d'une classe au-dessus C'est une fine Crème de Cassis une vraie liqueur préparée par LejayLagoute, le Père du Cassis de Dijon avec les fruits les plus beaux; les plus savoureux de la Bourgogne.

À la 1ère Crème de Cassis de Dijon

Production de LEJAY-LAGOUTE, DIJON et 39, Bd Haussmann, PARIS Téléphone OPERA 98-70

La plus ancienne des premières marques

de chaussures véritablement françaises ( Fondée en 1876 ) Nos SÉRIES de QUALITÉ à PRIX RÉDUITS

Wood Milne extra.

du 28 au 34; J*\

cuir garantie.

Spécial pour la marche. )

LAMBALLE haute fantaisie en vernis, chevreau noir et couleur,

talon Louis XV. LX.fS £ Très mode.

144, rue de Rivoli 242W% boul. S'-Germain, à Paris 85-87, av. du Maine 37, rue de la Gaité, Paris <14e> 92, rue de Paris, à SAINT-DENIS (seine)

CHEMIN DE FER DU NORD Services Michelines Creil-Beauvais et retour. Navette supplémentaire de soirée. Devant le succès grandissant des nouvelles relations par Michelines entre Creil et Beauvais et retour. le réseau du Nord a mis en service depuis le 15 février une navette supplémentaire de soirée qui permet de partir de Paris à 19 h. 35 pour être à Beauvais à 20 h. 50 et de quitter Beauvais à 21 h. 22 pour être à Paris à 22 h. 39. Le réseau du Nord espère que ce service supplémentaire de soirée sera aussi bien accueilli du public que les autres relations.

Mélangé aux apéritifs Suze,

Noilly, Porto, etc.. Sisca en re-

hausse la saveur. Etendu d'eau

fraîche ou d'eau de Vittel, il forme

une boisson délicieuse, saine, sto-

machique, permise même aux en-

fants.

Tout café qui soigne ses clients

avant ses intérêts peut vous servir

du SISCA ne manquez pas de

l'exiger, vous vous en féliciterez.

talon Louis XV. Tr. bel. quai, g-* m* Existe garniture lézard, veaucouleuretchevreau

noir

RICHELIEU chevreau noir très souple, sans bout rapporté. 3 8

Pour pieds délicats. Article recommandé.

RICHELIEU box calf jaune ou noir cousu façon main, breveté

semelle et talon Wood- f^LXC )} Milne. Qualitégarantie 8

»

RICHELIEU golf- box-calf veté double semelle cuir. Qualité supérre. V/vJ»

CATALOGUE FRANCO SUR DEMANDE CADEAU

Chemin de fer de Paris à Orléans ASSEMBLEE GENERALE

Le nombre des actions déposées en vue de l'assemblée générale du 27 février n'ayant

pas atteint le chiffre prévu par les.statuts, la réunion n'a pu ae constituer valablement et a été reportée au vendredi 31 mars, à 3 heures du soir, dans l'Hôtel de la Compagnie, 8, rue de Londres, à Paris.


des articles exclusivement étudiéspourcet événement sont mis en vente, dans tous les Rayons, à des PRIX SPÉCIAUX

naturelle, coloris de la saison, on ivoire et noir, le mètre. AÈw iSO

pure soie naturelle, spécial pour

lingerie, toutes teintes fines, BJ an torg. 0"'80, le mètre..

TOILE ,.so,E pure soie naturelle, très belle

qualité, pour blouses et lingerie,

tous coloris,noir ou ivoire,le mètre..50 CRÊPE G.NETTE 1 £% soie naturelle, très belle qualité, toutes teintes, noir et ivoire. le m. Bl <mHH|'9U très belle qualité, soie naturelle toutes teintes mode, ^H^wfc^H? noirouivoire, le mètre

col et parements

en lacet mat blanc, jours main.' BLOUSE impression couleur. 50

PULL-OVER nuances mode ou demi-deuil.

corail ou nattier, dépassant

et cravate ton opposé. SAUT-de-LIT^C pour Dame, crèpe de Chine,

garni ton opposé, nuances mode.

PARDESSUS

croisée, très beau tissu fantaisie pure laine.

Valeur 375. J9B1 ^^T

COMPLET VESTON "EVERSMART" p' Homme, forme droite, belle draperie fantaisie

pure laine peignée.

Valeur 450.

CHAPEAU souple pour Homme, dernière

forme, véritable feutre de poil CRAVATE | disposition et coloris mode.

JEUDI 2 MARS

INAUGURATION

AGRANDISSEMENTS

CREPE SATIN lourd, ^jft^L pure soie naturelle, grand choix de coloris noir ou ivoire. Le mètre.2580 TÔiLE mi-soie M artificielle, impression Pompadour très belle qualité lavable, coloris ̃HBJBr lingerie, larg. Le mètre. M CRÊPE façonne K. soie artificielle pour belles doublures, larg. 0 98/I"1, le mètre. ^HP' .90 ARMURE H~ pure laine, pour Robes, Coloris de la saison ou noir, lorg. I'"I8/I"'2O, le mètre.

"ANGORA", beau LAINAGE |O souple p, robes. Nuances mode ou noir, larg. ll"l8/l"20. Le mètre. 688 ,90 mercerisé, entièrement diminué, article d'usage, teintes mode. BAS SOIE art.ficie.le, X "40 FIN" baguette fantaisie, tons mode. BAS du SOIR Eli en pure soie des Cévennes. CULOTTE pour Dame, en jersey de coton, bord côtes, rose ou blanc.

ŒINTUKE- CORSET pour Dame, beau coutil broché rose, laçage entier dos, agrafes côtés, haut. 0"'39, du 58 au 82. CHEMISE pour Homme parure pure soie, jolies rayures, zéphyr fantaisie, très belle qualité avec boutons, col transformable, tailles 1!0 120 !30.JBBB«S8P^

MOUCHOIR m bords tissés, couleurs nuances variés, ourlets roulés à la main. 0m45. fffi' pour Homme, fil fantaisie, dessins variés.350 RICHELIEU p'Homme,box-calfnoirouacajou, façon cousu main, forte semeile et talon cuir. Du 38 au 46.^BBF Jj&

AUX"

Pour fêter

de nos nouveaux

ÂRMUREnouveauté g 1 pure, laine pour manteaux. Tous coloris nouveaux ou noir, Bj larg. ll!38 im40, le mètre.. .90

Très beau

armure pure laine p' martiaux. Coloris de la sai5cn ou noir, larg. lra38/lm40, le mètre. ̃ J& 90 herminette, imitation parfaite de la fourrure. En blanc, gris ou castor, lorg.Q-38/0"90, le mètre. pour épaules, en crêpe de Chine artificiel,

modèles et coloris variés,

BOUTONNIÈRE^ Saxe ouvert côté, peau cha- moisée lavable, blanc ou crème. pour Dame, forme torpille, véritable maroquin petit grain. B pour Dame, cretonne imprimée coloris mode, semelle cuir, talon recouvert. Du 35 ou 41.

Elégant soulier DESSOUS 1 ITBBg H !"fc égaux, intérieur gomme, bords surjetés. Taille 5. Les 3 paires. TROUSSE COUTURE £T peau, fermeture pression contenant bel assortiment aiguilles supérieures chasdaré. 6 fils. Blanc, noir ou couleurs. flBflBi La pelote 100 grammes environ.

VITRAGES jaune et bleu, bleu et rouge, launeetrougeoucrème.iarg.O'ôS, haut. 2™20. La paire av< embrasses. WÊMw .90 SERVICE. thé 6 couverts, toile ancienne écrue pur fil; broderie laine main, couleur grand teint. Nappe l"iOxl"IO,serv.O'"25xOm25. envers mofietonné, dessin basque rouge, bleu ou vert sur fond blanc. lm4OXln'4O.

KV/DÈ pour Dame, tous tons mode.

de Chine lourd tout soi.^mŒL^p1 BW^ATF naturelle, teintes moçi Bf ^HjjB^ pure laine, marine ou noir,

jaquette doublée.

Pour Jeune Fille, bustes 36, 38, 40.

pour Dame, crêpe ondé impri-

mé ou crêpe marocain de

uni, haut de robe opposition PALETOT|Cf\ pour Dame,

belle fourrure d'été.

Vichy fantaisie, belle qualité, ciel. rose ou mauve. Du 40 au 50. fll ^BW^.SÛ Bretonne imitation, teinte ocre, comprenant 1 empiècement de nuit et de jour assorti. Les 2 pièces.. Il

ROBE Fil.eHe, lainage belle quolité,

forme bretelles, rouge ou bleu,

blouse toile d*avion. Sur O'"55. ^^BÊM £m 3 fr. d'augmentation par jusqu'à im.05. Fillette, lainage armuré entièrement doublé, nuances HEHSI ^ky mode, sur 0m55. ̃ J&

et 6 fr. d'augmentation par 0"C5 jusqu'à I m. pour Fillette, tresse fantaisie, garni ruban. Blanc, grège, ciel, rose ou nattier.

Entrées 51-53.

RÉVE9L métal métal nickelé,

mouvement qualité supérieure.

verre pressé, rose, champagne ou bleu, abat-jour rhodoïd décoré assorti. fabrication très*

soignée, fonctionnant

sur 110 volts, avec fil et prise. pour meubles et argenterie. 0-90x0"50. BJ ^B7

d'AMEUBLEMENT

coton tissé relief pour sièges ou

rideaux, rose, rouge ou bleu 2 tons, surfondkcru, larg, l'28/l 30. Le m.

coloris variés, entièrement

doublé crêpe de Chine.

MANTEAU gonale pure laine, coloris mode ^JSr

ou noir, entièrement doublé. Jmm pour Dame, crêpe marocain

soie, doublé crêpe de Chine. C LO C H E pour Dame, spleet fin, noir, marron ou marine. Entrées 55-57-59.

paillasson

fantaisie, garnie ruban laqué et

motif acier, noir, marine, marron,

beige, rouge ou blanc. Ent. 56-58.

pour Fllette, uni ou chiné, tons mode, de 4 à 14 ans.

pour Enfant, vachette marron, semelle et talon caoutchouc. 35 au 40. 18.

27 au 34. 15. 22 au 26.

COSTUME JLC MARIN pour Garçonnet,

serge marine pure laine, blouse

rentrante, avec culotte, 3 à 5 ans.

6 à 9 ans. 75.

Avec pantalon, 3 à 5 ans. 75. 6 à 9 ans. 85. beige fanrie. I7à 19 ans 170.

15 à 16 ans. 160. 13 à 14 ans. pourCarçonnet, pure laine sans ^ArWÊ Bfl manches, beige pointillé rouge

et marine. 6 à 12 ans.

FAUTEUIL façon noyer verni ou verni clair,

siège canné, grande tablette,

avec jeu de boules.

CHAISE Service de beau demi-cristal fumé.

!es 38 pièces.

à THÉ et CAFÉ

métal argenté, art moderne, fabrication soignée. 5 pièces.


LES PREVENTIFS DE LA GRIPPE Certaines personnes durant se préserver dp la grippe et de ses terribles contéqueneas hésitent à faire usage des Pastilles Sadler, des trouvant « trop fortes Certes, les Sadler n'ont rien de commun avec les bonbons pharmaceutiques, plus ou moins agréables, mais souvent inactifs. C'est par leur puissance même que les effluves dégagés par la Sadler purifient l'air et détruisent tous les germes nocif3. C'est donc la « force même des Sadler qui assure leur effloacité et sauvegarde les votes respiratoires.

La Sadler demande à fondre lentement et une Sadler en bouche constitue la meHleure garantie contre la contagion grippale. La Sadler, c'est de l'air pur en tablettes. La boite 4.95 toutes pharmacies. L'infernale souffrance des

MAUX de DENTS Instantanément, définitivement supprimée par le Baume Tua-Nerf Mirfga av. ci- ment dentaire pr î'obturstion, conserva- tion des dents cariées. 30 am de suee«*. méfier des imitations inefficaces. Exi-

Env. <• 1 1 1.71 adr. il Ului Ph. 8, r. Délai. Lyon-Oullln» II PAVILLON 4 pièc.: fr. I |l i comptant. Solde à volonté.

Entr. HENNOK, 64, r. de Dunkerque. PARIS, 9 à b. H t9 la.

^F*» DAVID. rien Bonne Nouvelle. t CREDIT 20 ANS ou LOI LOUCHEUR

Briques, Meulière, eimen» iCrtfr. armé. Modèle à partir de 14.43U' j

LE "PARACIMEX" Le seul insecticide qui détruise les punalses et leurs œufs parce qu'il les atteint partout où elles se réfugient ce que l'on n'obtient pat avec lu pulvérisations et les vaporisations.

Le Oacon 6 francs te demi-litre: U francs

En vente dans les pharmacies, herboristeries et drogueries LABORATOIRE DU PABACIMEX A. FABKE. rue du Pont, Narbonw

ÉTABLISSEMENTS

164-166, Rue du Tempïe, PARIS (3e) MÉTRO RÉPUBLIQUE ou TEMPLE

REALISATION DE TOUT LE STOCK AVANT LES TRAVAUX D'AGRANDISSEMENTS

Actuellement .SOI JE! R X ES S

CRÊPE GEO, PURE SOIE NATURELLE, VALEUR ET p LE MÈTRE. 16.» ET 10.» TRÈS BELLE qualité DE CRÊPE DE CHINE, VALEUR ET LE MÈTRE. 20.» ET 1 2.» SOIERIES UNIES ET FAÇONNÉES VALEUR LE MÈTRE. 8.» MOUSSELINE IMPRIMÉE SOIE NATUR., dessins VARIÉS. valeur^.» LE MÈTRE. 12.» VELOURS FAÇONNÉ, FOND GEORGETTE, SOIE NATUR. VAL $6 LE MÈTRE. 20.» ET 15.» VELOURS ET PELUCHES, NOIR ET COULEUR, lARG. 45 CM. VALEUR^. LE MÈTRE.

W^mmm-loujours un Choix Important de Soieries et Lainages Haute Nouveauté aux Prix les plus bas- JlUuJl_tL&V\,XA^^

A CREDIT à des conditions exceptionnelles I le fameux appareil SUPERHÊTËRODYNC

Tonalité réglabfî, suppression de la majorité des parasites par dispositif présélecteur lampe oscHIatrtce spéciale-cadran étalonné en lon!¡lueur d'ondes éclairé éiectriquement- mono- réglage Inver. scurP.O.-G.O.à contact argent.

Le SONORA est le meilleur poste actuel. -Tout le monde est d'accord là-dessus. Prenez toutefois la précaution dëi'acheterdcs-sunemgison vous offrant toute garantie de stabilité pour l'aven !r. Adressez-vous en toute confiance à ELVÉGfi qui vous le fournira payable

RiEN COMMANDE

Kflj "V francs à la livraison et _3f £L 23 mensualités de 92 fr. iFrlx Impôt*/ I.V5OTr*

Reprise des appareils en comph

CONSTRUCTEUR

Sté An. Française Cap. S millions de francs Fournisseur des Hôpitaux, des Ministères et de la Famille Royale de Belgique refour Laffifî* Provence Til.PnvesutJ-il NOTICES ET CATALOGUES N' 85

ENVOYÉS GRATIS SUR DEMANDE

Ne manque& pas de découper

et de consorvor cette annonce

fAITES SOIGNER VQTK PARIE [TTA'QH. 14 HUE rUUBEUGF..PARI5aVa5' ftODHSX.IUSVUU ÉIÊtT.

ISTOHÀC

NOUVEAUX

1 FONDS DE COMMERCE ET INDUSTRIES Cordonnerie. B. 9 a. L. 2.50U. A. 3ÛU. Se. L Prix 1.?AU. Mepnlset Si, bd Sébastopol.' Cordonnerie. B. 10. L. 1.200. Banc. ou A dével. Av. r>.000..Vlalnoury-Uaillard, But. Bourse Commerce. 2> ét. Faris-1" Couleurs, ii. 15 a. L. Appt 1 p AIt. prouv. Px total Gd. facil. AYRA'ILT, 17, rue du Cygne (Halles). TRANSPORTS Uéraénagement», Uorresp. près Paris. Valeur matériel 200.000 9 A i\Ç\(\ cam. Gros bén Alï. rare. Av JU.UUU CHARBONS 125 tt foyer domest. 1 caïu. Renault C{\ {Ùtft Bén. Vraiment unique. Av. JU.UUU EST-OFFICE, 16. boulevard de Strasbourg Fabrique Biscuits spécial. Bén. net Traite av. fr. Mettra au cour. Tenu 10 a. Se retire. Arondel. 85. bd Magenta. Hcnipl. K. pi. Sfg-Opportune (Chàteten 2 à 7 COMMERCE DE DAMES

Plein carret. Libr.-Merc. Roc. 350 prouve. B. 9 a. T. b. logé. Bel. occ p. dame diap. Foyer Commercial, r. de Bondy. Ling.-Merc. Aff. Tenu 9 ans. Logé. A enl. av. 15.000. Coleln, 84, r. Tnrbljro. HOTÏiiis vitra

AV 9Ç îinn & cède directement mon "'• 61J.UUU BAE-HOTEL. Install. mod. cliauff. central, gaz ds les ohambres. n°". rapp. actuel mon bpr fait 150 par jour, à doubler av. plat, car près usine. Bail 10 ans, loy. 6.U00. S'adr. directement 80, avenue d'Ivry. Intermédiaire s'abstenir. Cup. Hôtcl-Calp-T»bac-B*«t»ur. Seul dans petit pays 60 k. Paris. Pet. loy. Lg bai!. 8 ch. tr. propres. Cab. tél, Rec. buv 85.000. Tab. 12.000. Ep. 20.000. Rest en plus. Px t. 6p.000. Tr. nv- 33.000. V. en gr., 128. r. Rivoli COQUET HOTEL-CAFE Gd%^ImS 2 salles Café. 8 n" meubl. Gentille install. JARDIN, BILLARD, route nat GARAGE. CAFE-HOTEL 11 Nos PRIX 40.000 i ds rue passag. cent ville 1 h. 30 Paris. I Afr. 100 p. j. buv. à doubt. av. Plat du jr I MArWIFR Affaire angle. Traite av. 15.000. iUnUmi<n Vins en gros. 27, rue Condorcet

AEIMEUTTATION-CAraS-VIMS

Près Beauv-iis, CAFK-EPJC.-XABAC. Affair. 300.000 fr., 2 porcs p. sem. B. 7 a. à 1.200. Px 70.000. 1/2 cpt. HACQUKT, MEBU. Quartier ouvrier, Vins-Liqueurs, 2 chamb. meubl., pas de loy., Bff. 150. Pt mx. Av. OCCASION URGENTE

CAFE HALLES CENTRALES

tenu 10 ans. Vend cse intime. Fait 500 p. j. prouvés, à augm. A fait jusqu'à p. j. Bon vendeur rlem. avec 1/2 compt. PERE Exclusivité. VERITABLE AFFAIRE. TENUE 18 ANS PAR VEND. A CEDER CAUSE INTIME ALVIENTATION CEM. FAISANT RORFI Renseignements et visite gratuits nUULili It, pjace de la République. Il. CAFE CAISSE Le plus chic d'une jolie KitU îi-KitUOJL ville normande. A céder d'urgence. Divorce. Loy. et impôts payés par sous-location. Recette 700 belle limon. PAUL Prix demi-comptant 1 nui. 44. boulevard du Temple. fixe et satis aléa en continuant tenir Dépôt Vins. B. log. Paris, banlieue. Rapport On A 9fMl fr- p. Jr suiv. import Faut •'« A 6UU minim. 9000. T. si réf. Vr au siège de la Sté bd Sébastopol. VINS-LIQ. MEUBLE B. log. T. 5 a. 5 nos Cent. usines. B. placé. Aff. 50.000. A augment. A traiter 1O (\(\{\ en confiance. Avec IjC.vUU

Caves Bordelaise». bout. Slagenta, Paris. TARAf-BUVKTT*; belle S. P., bail 10 â., TABAC- loy. 1/2 couv., sup. log. Aff. 320.000 fr., dont 300 fr. buvette. Av. 60.000. Ecrire F 9, Petit Parisien.

TABAC-CAFE SEUL AU PÂYS 40 km. Paris, pays chasse et pêche. B. 12 a., loj\ 2.000. Aff. tab.. log. 3 p., jard. Café-bar, mais, d'ang., excel. sit. pi. mairie, bal. inst.. b. 9 a., loy. 3.500, rec. 400. Cède cause maj. av. 30.000. Jalle, 6, r. du Havre. PRIX TOTAL 7.000 EN TOUT CAFE gàe liçence, angle rtes passag. Vinlti 1 h. 45 pr. ville de hbLs b. 9 a., loyer S00, 5 plèc. cour, dépend. jard. terre à volonté pour faire élevage. DM bel. reeet. certifiée p. fourniss. IWI 178, rue du Temple. Métro Républlq. ÎâBAC-CAFE-KPIC. B. 10. L. s.-locT 1.000, 4 ch., buv. 200. ép. 100 à trip., cab. tél.. gde cr p. élev., s. jard. av. arb. fr., pré 20 pom., nomb. dép., seul au pays, av. 25.000 Bret et Nicolas. 22. bd WaJluce, Pateaux. •* av. seul. Prendre rens. et adr. au Foyer Vinic. de France. 15, r. Albouy, Paris QUARTIKE REPUBLIQUE AVEC Superbe Aliment. -Vins en bouteilles, 2 bell. boutiq., recette facile 1.200 frs par jour à 25 de.bénéf., gentil logem. bien aéré de 3 pièc. C'est unique à Paris. L. MALXION, Vins-Spiritueux-, 79, rue Turbigo, PARIS. SUPEBBE EPICERIE-VINS

très bien placée, mater, moderne, bon bail, loy. mod.. beau logem. Cette aff. laisse bien 36.000 FR. BENEFICES PAR AN.

RIEN COMPTANT ET LARGES FACIL. LUC UNIQUE A ENLEVER. VOIR l'Ul' RUE SAINT-MARTIN. 35i>. AUTO, MATERIEL avec PLACE MARCHE BISCUITS. 600 p, jour. 1.:00 le dimanche. TOMA, 2t, allée dn 2élégraphe, Lc Raincy. TBES SEHIKCX. SAW PBECKUEVT Vallée d'Yerres. Véritable bijou QA f\f\{\ pour ménage actif disposant de jU.UuU Superbe Vtns-I,iqueurs ds pay's pêche et chasse. 2 boutiques tt à neuf. Inst. moderne. Balance autom. Bail 9 ans. Loyer rare 800. Me.gnif. Iog. 5 p. Jard. Bosquets. Jeux de boules. Situation exceptionnelle. Recette FRANQUES prouv. 200 iim. et 250 épie. FRANQUES S0, boulevard Magenta. DKPOT VINS-LIQUEUBS. BON QUART. Très coquette installation. Import. matér. Recette 500 p. jour il 25 B. 9 ans. Loy 3.000. Log. 2 p. Très bonne aff. p. mén act. A réd, av. 10.000. Franques, 60, hd Magenta PRIX TOTAL 20.000. AV. 6.000 A Villiers-sur-JIarne, sans concurrence. Cpif VINS lcna ans par propriétaire Hril/TllliJ qui fera bail 12 ans à 2.500. Bien logé. Bel. boutique. 12 m façade, jd. Fait 300 p. jour. Peut bcp mx I CrnMIT V. ens. bon!. Sébastopol Ltl/Umlt

CAFE P. COIFFEUR. AVEC 8.000 centre bourg Oiee. B. k vol.. L. 1.200. Gr. M Af NIER log- 2 salles, c., jdin. Px 15.000. lTlAuniJUV Vins en itro», 27, rue Condorcet CAFE-CAISSE

Côte bretonne, petite ville très connue. Installation moderne. Beau logem. sur mer. Travaille toute l'année. Tenu 17 ans. Prix 110.000 avec 40.000 comptant. Occasion rare. UrtTUVI Téléphone Louvre CAFE.BAR. AVEC 15.000

s. gr. art. Ville 1 h. 30 Paris. B. 12 a. Loy. MAf,N9FR norm- -̃ 1S0 buvet- p. J- pro lunUHICiIV lins en gros, rue Condorcet A SAISIR D'URGENCE

ALIMENTATION GENERALE

Ball 8 ans. L. 2.200. Gar. 500 fr. p. jour. kare av. 15.000. Bertaut, 78. r. Réaumur. LES Gds VINS DU MIDI, 20, r. de Nemoun cherchent ménages pour tenu leurs dépôts Garantie exigée Se présenter. Urg. CONFISERIES. EPICERIES FINESl MOINUEK, 17, rue des Archives CAFE-TABAC. BILLARD Fays chas., péche, tr. fr6q. tourist. Mat. l'r ordre. B. 14. L. B. 40.0Q0. Av. SANS AGKN'CF. NI INÏE11MEI>IAIRE LES COMI'TOIRS VINICOLES REUNIS dem. mén. et dames sles p. reprendre sup. Dépota Vins-Liq. tr. b. plac. B. logem, Gr. gains assurés et plus-value cert. Aider. de moitié gens sér. et trav. voul, réuss. Feront très Kdes facil. p. marchand. Accepte même début. Mise au cour. Curieux et indécis inut. Voir de .«uite avec référ. et garant. Et» Normand, Yins gr. 13-15, r. Sauternes (Entrepôts de Bercy), Pari». Métro Bercy. NE CONFONDEZ PAS

L'LNION MES VINS DE FRANCE avec noms et adresses sitnilaires, venez nous voir nous vous assur. situant. stable et bénéf. de 2 à 6.000 p. mois dans Dép. Vins-Alim. B. logé. Garant, exig. Se présenter ena. Uirect. 30, rue Montmartre (Métro Halleî)

VEUVE SEULE ET MALADE

Céderai Epicerie-Vins Fins. Logt 3 pcea Avec mon mari, nous faisions 800 par jour. AV fi ilAA Jeune ménage fera mieux. AV. O.WIUmABC, 51, bd Magenta, 51. 100.000 FR de bénéfice net dans Alimentation-Comestibles. Rue très commerçante. Valeur du matériel 100.000 fr. Bail 9 ana. Loy. 5.000. Appt 4 bel. pee»- FERBAIL A enlever avec 40.000 francs. AGES. CEDONS EN CONFIANCE notre Vtas-Alimentat. B. magas. Log. 3 p. Que nous tenons depuis 12 ans. Ace. essai. BENEFICE 38.000. FACTURES A L'APPUI Av. 8.000. DEBKV. 39, r. Etienne-Marcel. MAISON DE VINS EN OROS, r. Rivoli dem. Gérants p. repr. Dép. Vins. Bel. aituat. à mén. sér. Faut dispos. de 8000 fr. minim. VENTE SUR LES MARCHES

FrnitB-Léfrumes-Piïméiurs. Affaires 2.000 fr par jour à 25 avec Plates à reprendre. Matériel avec camionnette à céder. Occas. Vr M. B. Charles, av. Jean-Jaurèg-Uf CAVES BEAUJOLAISES, 15, r. du Temple. dem. mén. et dam. p. ten. Dép. Vins. Sit. 500 fr. fixe et 8 Log. aas. Ft 6.000 m. Les Ets BONV1N, 158 rue Layette dem, dam. et mén. même début, pour Dépôts de Vins, Paris ou banlieue. Logés. Mise au courant. Gros gain. Ft 6.000 min. 10 ans. Loyer 3.000. 2 belles salles billard. Tabac 247.000 AVEC OU.UUU AYRAULT Prix 110.000 francs. rtinnULl 7, boulevard Séba.topol, 7 CAFE TABAC Environs breux Place des Fête», église et mairie en face. Bail 10 ans. Loy. 3.000. L. 4 p. Tél6Ph. 3 salles billard. Jardin. Entrée cochére. RECETTES 130.000 dont 50.000 de TABAC. I AmMRE Avec 20.000 francs. Lnl)\JlUDL 48, boulevard Sébastopol.

OCCASION UNIQUE

Import, groupe de propriét. demi. ménage et dames seules pour reprendre Dépbts de Vins-Alimentation-Buvette, Paris ou banl. Tous bien logés. Inutile d'être du métier. On mettra au courant. Situation et condit. absolument uniques. Affaire de conf. pr ménages sérieux et travailleurs. Faut de 10 à 35.000 fr. Pour plus de renseignements Vf ADVAC Voir le conseil seul chargé lUrtlVTrtJ «g, bonievard Magenta, BAR A PARIS 45.000. AV. 10.000 A REMONTER. FAIT 200 PAR JOUR BAIL 10 ANS. LOYER 3.000. LOG. 3 Pces GILLES Urgent. Cause maladie.

CILLES 66. boulev. Sébastopol

CAFE-BILLARD

Plein centre du Commerce. Instal. mod. 3 salles. Téléph. Sup. log. 3 p. Bail 9 ans. Loy. 4.500 gar. act. 375 p. j. Cède par suite maladie. Av. V. p. traiter m. conseil Etnde FERON. 23, r. la tune. M» St-Denis DEPOT DE VINS. AVEC 8.000 p. dame seule. T. b. situé. "Rec. 400 fr. B. 9 a. 1.800. 3 pces. Bel. însta!. CCDY Voir urgent. Sa, loti Strashonrg rU\l ASSOCIATIONS

Ch. Associé av. 50.000 fr. Be»taur.-Bar bien situé. Fcr. PKRARO. 4. rue Stockholm. CAPITAUX

RIEN A PAYER D'AVANCE

Prêts à Propriétaires, Paris, banlieue, Sté Foncière, tg Poissonnière (!»)̃ Je prêterais jusqu'à 5.000 1Y. à Fonction- naires à tx min. Thlébault, 19, r. Drouot. PRETS DEP. 4 ARGENT S sur toutes propriétés, terraine, commère. Billets fonds, Martin, tg St-Pènls. DE GUERRE 59, rue Manbenge, Paria. PRETS DEPUIS 4

Remboursables en ans.

pour Commère., lndustr., Propr., Agricult. Avances p. constr. Aide s'établir. Ach. Ma Hypothèques, Nantissements, seront r. p. CONSORTIUM NATIONAL PR.

82, BUE SAINT-LAZARE, PARIS (9") prêts à tous dep. 300 fr. Aide pr s'établir. Cultivât., etc. OARDIEU, Ch.-d'Anttn. CAMptlounalrps, l'BETS jour même à rUIlC ETUDE, Et, rue Fidélité (Mo Est) rAUrTinUNAIRES, seule Votre Amicale, rUntlIUIl 29, rue du Pont-Neuf, Paris, prête taux exceptionnel, Paris-Province. FONCTIONNAIRES, ttes person. solvables trouverea prêt honnête et meill. çondit. ETCDE, 119, bd Voltaire (46' an.) Htes réf.

CACHEMIRE DU SHYLAK PURE LAINE, TRÈS BELLE qual., uo CM. val^.» LE MÈTRE. 20.» SHANTUNG DE LAINE POUR robes, 130 /135 cm. VaLEUR il» LE mètre. 19.» DRAPERIES FANT., 140 CM., val fi a yf. LE M. souES, LE M. 25.» 15.» ET HAÏTI: MOUSSEUX, PURE LAINE EXTRA, 140 CM. LE MÈTRE. 29.» JERSEY FANT. lWINE, DESSUS HTE COUTURE, larb. 140 A 160 CM. val. 7/» LE MÈTRE. DRAPERIES POUR MANTEAUX, TRÈS BELLE mi, larg. 140 CM. val. LE mètre. 27.» etc., etc_.

rUni/IlUn jr m. Tx except. Conipar. av. traiter. TIC1KR, r. Chàteaii-d'Ea», 3' et. ARGENT RAPIDE

ÎTUUITU 59, bd Strasbourt (Mo Gare Est) Hypoth. Nantiss. Suce.

Billets de ï'fnds. Avance pour construire. AIDE S'ETABLIR

CflUrT t lIAlfcLEX-OtFlCE, <i, r. Rivoli. riinvl. Prête à I.'AN. Rien d'avance, l'BETS A TOUS DEl'lJIS O.OtMl FRANCS AIDE POUR GERANCE OU S'ETABLIR 1IÏPOT1Î., NANTIS. DEY. 4 <;c. Cons. grat DAWIS. 6, r. du Fg-St-Denis (Pte St-Denis) F-ONCTïON.! Voue crédit est s, r. de .Heti (AI" St-Denis). Rémige Imméd. des tonds. PBEÏS AUX .«EI1..LKIJKES COiNDIiïiOWS Immeub" Pav., 'l'en., Ferm., à Com;nerc. et Industriels. Aide pour s'établir et pour acquérir. Voyez ou écrives à l'Uinon Funcière Nationale. 10, r. Saint-Laiare, f arts-B* Recherche associé p. exploiter an banlieue élevage avicole Industriel (système américain). Aucune connaissance spéc. r.écess. Rapport net de la part 20P.000 fr. par an. Avec 180.000 fr. Ecrire pour rendez-vous Plchard, 64, rtv. de la Bourdonnais, Ptrit. FflMfT Emploi- Paris, Province, tîeulï rUni/l.st* GERANCE, fg St-Heni., PRETE IMMEDIATEMENT 8 </n L'AN. IJftNrTïnM1'111^1» soyez cert. nue seul vs remet lés fonds dès 1" vigltc. Tx imbatt. e prête direct, taux tr. bas sur ttes signât. sur commerce, propr., même en 20 r.mg. Cabtnet Parisien, b[%. rue Châtcatidun. PKET» A FONCTIONNAIRES au TAUX le PL.. BAS. CaliiSf de Secours, 5, r. Lahord?.. 9ftfl nnfî 'r»n<"s » plicer de 1 à 5 ans, o par fractions, prêts ou hypoth. AVENIR FINANCIER, 38, r. de Liège, Paris Arg. ,te il Fonct., Of/ïc, Empl. adm. Hypot. Catuau. 18, r. St- Laurent, a. (Est). CAPITAUX Sont ofIerT3 à Commerçants. Uni 11 nu A lndustr. et Particul. gênés, s. Hypoth.. Nant. et ttes garanties. Remb échelonné. Tx bas. MEB, 51, r. Paradis-10~

PETITES ANNONCES CLASSES OAKDIS ]D'ENFANTS

Nour. aut. d. ent. t. ag., g. gard. pav. seul. Cauchoia, r. d'Eaubonne, Argenteuil, S.-O. Mme i'errl, nourrice autorisée, à Beauchéne, par Broué (Eure-et-Loir), demande enfant en garde ou nouveau-né en nourrice. DEMANDES D'EMPLOIS

Mère et fille, 54-32 a., ch. pi. oeneierg, f. sic Occ, réf. sér, Véron, 5, r. Georges-Saché, 14° Dame ay. not. comm. ch. emploi après-midi. Dejean, 98, av. Parmentier. Paris 11'. Jeune homme 30 a. conn. bien menuiserie, décor. parq. et serr. ch. cmpl. d. entrep. ou entreL d. administr. Ecr. Z a Petit Parisien. Jeune homme, libre du service militaire diplômé de l'institut technique de Roubaix et ayant stage de 10 mois avec références, cherche place pour de suite dans un établissement analogue. Ecrire C. 17.725, Havas, Mulhouse. OFFRES P'JMgliOIS

Divers

Demande entrepreneuses robes, corsages séries. Hervleu, 15. rue de Cléry.

Presseuses pour pantalons.

18, rue Juge. Métro La Motta-Picquet. Or. demande groom, 13-14 uns, présent, par ses parents. Lanvin. 16. rue Boissy-d'Anglas Mannequin Se présenter Perroud. 66, rue d'Amsterdam.

Première main et coupeuse 1° lingerie; 2° robes d'enfants. Raynal, 8, rue Mandar. SES 4?rArmv3aug^ On dem. coupeuses p. coatumes g&rçonners bien au courant ay. travaillé dans maison de gros. Nathan, 87, rue de la Chapelle, Paris. Directeur pour importante maison optique médicale. Ne pas se présent. Enr. Vfenvielle 97, avenue Félix-Faure, Paris.

Grand. Idag. devant ouv. prochain, demande vendeuses de 17 à 22 ans, ayant référ. Mag. de nouveautés, habitant avec famille. Jeunes Hlles de 17 à 22 ans av. réf. Maisens alimentation, habitant avec famille. S'adr. le matin, à partir de 9 h. 30 à PRIMINIME, 1, rue Ambrois-Thomas.

Industrie

B soudeuses étain, 36, rue Boussingault. Dupuia, rue du Landy, Saint-Denis demande bon fraiseur, bon perceur. On demande bons tuyauteurs connaissant cintrage. Se prés, de suite AITON, 17 à rue Saint-Denis. La Cuurneuve. Chef d'atelier étalages-vitrines capable établir études et revient. Sérieus. références exig. MASSON. 12, rue des Platrières 20'. Place de la Gare, LA COURNEUVE recherche mécaniciens connaissant parfait. moteur Diesel pour conduite et entretien remorqueurs ou petite centrale.

Ecrire en envoyant références.

du mét. Se prés. Bijou. 13, bd 13< QEIT8 BB MAISOIT

F. d. ch. 19 à 25 a. Propre, déb. 400 fr. ilodern' Hôtel, r. Carnot.Courbevoie. Tél. 10-41 Bg»BAPX PB PI.ACBMEKT

Mme Redon, 20. r. Réauniur. Arch. 77-VG. place de suite bon. ;t t. ire. ,s.. f. de ch. DEMANDES DE KSPRBSENTAKTS Important laboratoire cherche représentant ay. voiture très au courant visite médicalc. Ne pas se présenter. Ecrire ORHANT. 4, avenue Vaudreuil. Bois-Colombes, Seine. Rech. d. ch. localité Seine, S.-et-O., AtM. ou dames p. représenter produit gde néces. grande marque. Marchandise en dépôt, sans Caution. Eu. Thomàs, r. Paradis, Paris. DEMARCHEUSES S» F. Fixe et commission.

Publicité pour Tous, Service T. S. F.. faubourg Montmartre. Jeudi à 1S h. Vieille brûlerie, Montant, nouveaux services, demande représentants bien introduits. Aiœelln,

19, rue da.i Sept-Arpents, Pantin. 10 â 12 h. oovnm BT leçons

Appren. coiùure, taille, ond.. barbe plis. Cours .1. et S..Targue?, 19, bd St-Denis Pap.-Taxi. bd Beaumai-chai/ Roq. 89-42 LOCATIONS

Pav. 4 p.. jaiil.. remise, buand.. w.-c. eau, 6lect. Bien situé. 9, r. Minard, Iasy-I.-Moul. A louer ateliers de 4.000 à 8.000 fr., force motrice, rue Boussingault, Paris Pl. Clichy, 2 atel. clairs 25 mq av. débarras. ay. w.-c. part. chauf. e. g. él. 4.000. Vis. 15, r. Hélène. Trait. Thomas, 135, r. La.marck.

AUX DEUX SPÉCIALITÉS

Actuellement: H-A-IIMT ACrES

5 lampes, réglage unique, prise pour pick-up, volume contrôle. Sélectivité et puissance incomparables. Belles qualités musicales. Le bon poste "ARIANE" est garanti un an.

iflrA C0ËD1T

et 12 Mensualités de 125 fr. Ouvert tous les jours même le dimanche de h. à 20 h. Installation gratuite Paris et Banlieue. Envoi Et franco province

1 5S,Rued'Amsterdam.Trinité98-3S j

MAISONNETTES depuis 600 francs transport et pose compris CHALETS en BOIS 2 pièces, depuis 1.800 fr. transp. et pose compris PAVILLONS maçonnerie briques 2 pièces, depuis 9.000 francs 3 pièces, 13.000 francs 4 pièces, 16.000 francs Dans votre intérêt consultez nous DEVIS ABSOLUMENT GRATUIT DE PAIEMENT LES CHARPENTIERS PARISIENS 131, rue de Picpus, PARlS-XIIe

Métro MICHEL-BIZOT Téléphone DIDEROT 67-80

MEME -si vous avez déjà

choisi votre entrepreneur.- 9 ••• Consultez Natter. Vous y gagnerez

la triple sécurité:

1* d'avoir une maison solide, construite

avec des matériaux durables,

d'avoir affaire à une entreprise sérieuse

et consciente de ses responsabilités,

3« d'avoir votre maison finie au jour

prévu, sous peine d'indemnité.

• Ancou sans toi Loucheur, consultez Nettcr

Visiter son exposition de modèles ouverte

semaine et dimanche. Catdlogue illustré franco

Grâce à la nouvelle TÉTINE

scientifique

"SÉCURITÉ"

votre bébé s'alimentera avec autant de sstisfaetioii et de prolit que s'il tétait le sein de sa mère.

La nouvelle tétine « SÉCUBlTft » est en vente dans les pharmacies, prix 2 Ir. Notice explicative et adresses des pharmacies dépositaires franco sur demande. Et3 A. Leroy et CI., 59, fbg St-Antoine. Paru Quand vous allez acheter aux MEUBLES A CREDIT Hi Henri DESSENT 76, Fg SAINT-ANTOINE, 76, PARIS ne manquez pas de vous

recommander de ce journal _|9B BAPTEMES CONFISERIE [lugé. Pnlinea. Bu» bohatet p. Baptêmes. Commun., M.riase». PRIX AVANTAG.dt«lo«u«»iir denand.


MAWASIMS IHEUNIIIS

H

fumés, 180 grs. Les 2 pains sous cellophane j,B Peignes, gala marbrée. La cane de 8 peignes 3.»

Ramiut cou-

verts, bois, 4 cases Brasses à

dents, qualité

supérieure. L'étui n de 2 3.»

Savon n0ir pour le ménage, garanti .ans odeur. La boîte de 1 kg environ. 3,» Paquet de 10 Lames Rasoir, qualité supérieure Boatona de Manchettes, mon- ture système ou pression, modèles assortis. 3,» Couvert à Salade gala, forme russe, blond et couleur, longueur 22 3,» Bloc de 3 paqaets de 400 feuilles ou 3 rouleaux de 450 feuilles, papier hygiénique Coton hydrophile belle qualité Le paquet de 300 grs

Gobelet de table

cristal blanc,

grande taille, moulure

moderne. Le paquet n de Saladier 1/2 cristal

blanc, riche moulure,

diamètre 23 Chocolat qualité surfine, enveloppage

cristal. 2 tablettes de 200 grs 3.» Corde à sauter, drisse couleur, poignées vernies, longueur 2m50 .3.® Raquette A «*• longueur 52 ̃Brise-Jet à rotule, cuivre chromé.. 3.» Pane-Bouillon tout toile métal. lique, poignée fil de fer, diamètre 14 S.

Serviettes nids

d'abeilles, très beau

coton blanc, liteaux

rouges, frangea

lisses. Les 2. 3.» ttants de Toi-

lette, très beau tissu éponge blanc. Les 6 Carte de 3 Tournevis

électricien, tames acier poli. 100X4%, 150X4%, 125x6% 3.» Tenaille noire, acier forgé, mâchoires polies, longueur 3.» Place Universelle noire, acier

forgé, branches striées, mâchoires polies, longueur 18 3.» Orle éfjoïne, 3 lames, 4 usages, lame

égolne à double denture, lame

jardinier 35 lame à guichet de 30 Marteau Bourgeois, emmanché

clavettes, tête de 22 3.» Fil de Lin qualité extra, noir ou blanc,

numéros assortis. La boîte de 12 cartes 3.»

Gant fil, très belle qualité, 2 boutons près- sion, toutes nuances. j,B Ruban pour épaulette, coloris lingerie. La pièce 3 de 10 mètres j.» Dentelle fuseaux mécanique, on imitation Valenciennes. La pièce de n 11 mètres

]Laine irrétrécissable, 5 fils. blanc et

eoloris layette. La pelote de 80 grs. Lsine et Soit, souple et légère,

nuances mode. La pelote de 100 grs. 3.» Béret Basque marine. avec cuir.. 3.» Rond toile pur fil écrue, avec dentelle du Puy et broderie. Taille 30 %m. Chaussette coton noir ou fantaisie, Dessous de bras, tissu caoutchouté,

bord dentelé, blanc ou rose. Les 3paires. 3.» Serviettes périodiques, ouate

de cellulose purifiée. La boîte de 12. 3.»

Calotte courte pour

dames, coton, forme droite.» Bas coton, maille

unie, noir et coloris 3 mode. .»

Dans chacun de nos Magasins,Rayons spéciaux de prix fixes dont les articles sont réservés à nos Visiteurs et ne peuvent être livrés.

Glace

rectaagu

laire,

monture

jonc

nickelé,

à poignée

13x18%. 3.» Savons

coussin,

très par-

pure lr»« parfumée.

__nuT*l Wgr.sous r

fantaisie., g.»

articulée..

Brosse parquet bridée, soie noire supé p rieure, 1 cordon soie, bouts protecteurs feutre. 3,* Bnltn de Papler contenant un bloc de 100 feuilles 21 x 27 et 100 enveloppes 5 doublées, coloris assortis 3.* Coulera fantaisie, teintes mode, modèles p variés Porte-Monnaie Porte-Conpnm, 5.

Vaporisateur Vz cristal p criuleur, monturcdiirnseur nickelée. Plumera américain, qua- p lité supérieure, grande taille. Brosse a Habits, soie p noire extra, bois verni Mallette fibro-cuir, cousue 5 sellier, 2 serrures. 34 3i*

Couteau façon suisse. fibre rouge, 6 pièces, 5 avec chaîne o,* Couteaux de Table manche gala teintée 5 lame acier inoxydable. Les 4 3.^ Rasoir de sûreté en écrin, avec 2 lames. orthochromatique, anti-halo, 8 poses, 6x9.3.» Vase à fleurs Ys cristal blanc ou bleuté, p larges côtes plates, hauteur 22 ,» Sérle de 3 Saladier», cristal blanc riche moulure, diamètre Plchel fantaisie du Poitou, contenance p 1 litre environ.» Porte-Serviettes 2 branches mobiles, p cuivre chromé, .»

Lampe Electrique, faïence, abat jour papier, plissé, équipée {),» Locomotive -Tender, p bois verni, longueur Auto-Caution, bois la- p qué, longueur Wallon caoutchouc argenté. 5 diamètre 15

Boites à K pi ces, métal laque, oecor r moderne. La Série de 3.* Passoire bombée, à queue, émail marron, p intérieur granité, diamètre 20 3.* Couvert de Table, métal aciéré incas- p sa,le. Les 2 couverts Conllture aux fruits, abricots, mirahelles, groseilles, reine Claude surfine. Les 2 chopes 5 carton de 500 grammes environ.. ,» Sardines "Palace" 6 à 7 poissons, p qualité extra. Les 3 boites 3-* Plaques perforées pour siège, 38 p Le paquet de 3 S.* Moite distributeur bois laqué pmrW-C. »

Cvrte de S tournevis genre Stanley manche cannelé verni rouge, lames grandeurs différentes. Scie évolue 4 lames, 5 usages, 1 égolne à double denture de 40 1 lame de couteau de 35 lame jardinier de r lame à guichet de 30%3.» Dessous de plat rond, 5 acier chromé, diamètre 22 3.w galvanisée, longueur 35

Savons pâte

_H es 6 pains de

mûûmW *̃̃ ceU3fhane.

Eau de Cologne

Le flacon 5

Epoussette

pour meubles, frange coton

démontable,

nenieue tantale pour lingerie, oianc 5 vraie, hèvre-feuille. La pièce de 7 mètres. Bretelle» pour homme, tissu fantaisie. r pattes tresse ou caouchouc. La paire. ServletteaTollette, lima éponge blanc liteaux rouges, franges lisses, homme milité. Les Tablier à bavette, cretonne imprimée co!oris assortis 3«* Loin? câblée 4 fils, belle qualité, blanc, noir r et co'oris mode. La pelote de 125 grs. 3,*

Parure empire, nansouk cou.leur, ornée biais opposition, La 5 diemise et la culotte 3.* Chaussette fil fantaisie, co- p loris mode 3,» coton blanc, sans manches.. » Chemise empire, nansouk blanc ou couleur, jours fils tirés et broderie main. La chemise p ou la culotte assortie 3.* Soutien-Gorae, tulle ou 5 de.itel.e 3.»

Serviettes Hyalénlques 4 plis à p bande. Le paquet de 3 Ovale toile pur fil, crème, jour et broderie encadrement dentelle du Puy. 35x50 !)•» Bas fit mousseline pied diminué, noir et p coloris mode Bas soie artificielle, baguette à jour. 5, » 1111-bas mercerisé, but finuiiit, beige ou blanc. 5.» Culotte, soie végétale, coloris lingerie 5,» Petit Saxe imitation suède, ouvert sur 5 le côté, broderie fantaisie toutes nuances 3,^ Décolleté cretonne fantaisie, pompon, p dessin exclusif, semelle corde. du 35 au 41. Décolleté feutre, bleu, rouge, marron ou violet, gros pompon, semelle chrome. 35»» 41 3,W Charles 1X feutre, coloris assortis, p seme;le cuir. Du 18 au Cravate à nouer, tissus fantaisie. belles qualité, dispositions et coloris mode.3.*

Mouchoirs batiste

blanche de Cambrai

pur fil ourlet à jour, p 28 La 1/2 dz. Mouchoirs batiste

coton blanc, ourlet a p jour, 28 La dz

I Portefeuille -Porte-Billets, cuir 0 anglais, fabrication soignée, 16% Album a coller les photographies, couverture avec dos et coins cuir, 24 feuilles, n intercalaires cristal. 22,5x29,5% |0.* Carte de 5 pinceaux assortis | Q •» Encaustique supérieure "Mapaslns Réunis l'essence térébenthine. n La boite de 1 kilo Savon de Marseille 72 'U. La barre t n de 3 kg. 400 e.,viro:i |U.»

Joli coffret

contenant 2 savons

enveloppés et 2 fla-

cons stiligouttes, eau i n deCologne et lavande IUi Balai soie qualité,

extra, grande taille

avec bouts pro- <• tecteurs | \J.»

Bol à sucre métal argenté, intérieur cristal, avec pince à sucre | Ut Ecrin contenant une timbale et un 1 0 rond de serviette métal argenté.» 4 Tasses A Thé avec soucoupes, i« porcelaine du japon Série de 6 Saladiers, faïence t n décorée |U.W Série de 4 Plats ronds creux, por.celaine allant au feu, décor filets 01. 1 0 Diamètre 15 à 24% |U,» Aitze caoutchouc pneumatique, marque Omdo. blanc, bleu, rose ou gomme natureile. < r\ Dimensions 50x60%. Boite de 8 Plaques de propreté, similiglace. 24 x avec vis LA Croix cuivre i* nickelé, et rondelles caoutchouc pour la pose. 100 »

Écriai Manu-

cure fond glace,

pièces, outils manche galalith.. IUi Cadre double

g'acebiseautée,pour

photos silhouettes, t n

monture métal chromé, format 9x14% | U.

Douche bouillotte caoutchouc moulé rouge, complète avec tube, bouchon transformatenr et jeu de canules. 3 pièces. in,. En botte III.» glaise Réchaud électrique, monture émaillée, plateau nickelé, diamètre Il 110 ou < n 220 volts, tout équipé. Bassine emboutie, émail blanc bord bleu, < n diamètre 36 | Ut* Série de i Plats ronds, émail < n marron, intérieur granité, 12 à 20 | Ui" granité, diamètre 26 IU. Cafetière avec filtre, 8 tasses, émail blanc in bord bleu. Bécheacierpoti,emmanchée,28%,manche \t\ à pomme de 1 mètre. Brouette hêtre, long. Vlllebrequln à cliquet, tige acier poli, 12 développement 26 mandrin à <» mâchoires universelles. .» Grille gratte-pieds, losanges feuillard t n galvanisé extra-fort, 70x35% 10.* Miroir fantaisie, encadrement or ou < n argent, 56x42% |U.» 73x42% environ | U.* Porte-Maintenu fer forgé, 4 têtes, <n longueur 60 lu.» Nappe toile cirée encadrée, bonne qualité, 1 0 dessins assortis, 140x140% | \J,» Pliant bois verni, siège cintré,! ,« lames bois IIU.*

Sac torpille, en

agneau velours, fer- t n moir nkkfli, IU." Sac pochette,

grain maroquin,

Intérieur fermeture

^̃^ crémaillère, applique <n fantaisie, Exceptionnel | (J.» Sac à provisions, forte taupeline, < n intérieurlavable, 43x43% | U.* Vase Il Pleurs 1 ri cristal bleuté, larges < n côtes plates, hauteur 24 | U. Couverture mi-laine, beige ou grise, <n 200x150% 10.» Décolleté beau feutre, couleurs assorties < n gros pompon, semelle chrome, du 35 au 41. | U.* Décolleté cuir, doublé satinette, semelle cuir 1,4 talon, bleu, rouge, marron, violet ou noir, gros pompon. Du 35 au 41. JU.» Charles IX feutre uni, bout et baguette cuir, semelle cuir, talon, bleu, rouge ou t n marron. Du 20 au 34 | U.*

Chapeau trotteur,

paille, forme mode, n formes et coloris variés. | U. Corset Celature,

beau coutil broché.àbusc <n ou à boutons.. Py|ama pour dame,

nansouk couleur, sans

manches, veste ren- m

trante, orné biais opposition I U.

§.aime 6 fils, belie qualité, blanc, noir. La 250 gr.. Pèlerine fiïlette,tissu caoutchouté, belle qualité, capuchon froncé, coloris assortis. 50 au 0

10.»

Combinaison tarare, ornée jolie 1 0 » dentelle Incrustée. forme kimono, col mode opposition | U.* Blouse pour dame, vichy uni, manches < n longues, col appliqué.

Peignoir kimono,

mousseline apprit

laine, impression

dernière nouveauté, n

col châle uni |U.* Solsette unie, graqd

assortiment de coloris

pour lingerie, largeur

La coupe de tn 3 mètres.

Toile dv soie, pure soie naturelle, toutes < n nuances, largeur 78/80%. Le mètre. IU.* Flanelle blanche pure laine belle qualité n largeur 75176 La coupe de | U.» Dr8p cretonne écrue, ourlet à jour échelle, n qualité lourde. 150x250% I U.» Serviettes de table, genre basque, tn bonne qualité. Taille 60x60%. La douz. | U.* La Nappe assortie 140x140% Mouchoirs batiste blanche de Cambrai ft

Blouse crêpe de Chine

artificiel belle qualité,

petits mancherons, ou

manches longues, blanc

et rosé | Q.» Baa fil mercerisé, pied

diminué, baguette i jour, t rt

noir et tons mode. | U.* Bas soie artificielle,

baguette à jour, noir et > n

tons mode | U.*

Culotte courte, fil ou soie indémaillable forme droite, coloris lingerie | U.* Gilet manches longues, ou pantalon n jersey coton mode. IUi* Torchons de <uls(ne ourlés, belle

cretonne normande, liteaux rouges, < m 55x80?^ La 1/2 douzaine IU.8 Parapluletom-pouce,taffettenoirecoton < n lisière, poignée fantaisie, droite U.* Gaat ti'su suédé, imitation parfaite du

gant de peau, boutons pression, baguettes n brodées, noir et couleur Chemise percale bonne qualité, façon

gorge anglaise, poignets mousquetaire, t n 2 cols assortis. Chemise de nuit shirting, col rabattu,

galon rouge, ou col chAle application zéphir • n bleu uni IU »

Cb émise blanche,

qualité supérieure, fileté ou

bande satin, poignets 10

mousquetaire IU.* Culotte draperie fan-

taisie, entièrement douélée n

façon sport. De 4 12 ans. I U.*


ELLE SE SENTI BEAUCOUP

PLUS FORTE Deux semaines de Quintonine Vont le remontée

Votre santé est votre bien le plus précieux

prenez-en soin. Au moindre signe de défaillance dès que l'appétit baisse ou que le sommeil devient agité faites une cure de Quintonine. Ce puissant et délicieux fortifiant maintiendra ou rétablira votre équilibre physique et nerveux. Vous vous sentirez pleine d'entrain et d'énergie, les nerfs calmes, les muscles solides et la tête claire. Voyez cette lettre

Je crois de mon devoir de vous dire que

je suis extrêmement contente de la Quintonine. Ayant été très déprimée ces temps derniers, sans appétit et sans sommeil, j'ai pris de la Quintonine tous les jours ayant chaque repas

EN VENTE DANS TOUTES LES PHARMACIES". JJ

PETITESiNNONCESlUSSÉES _LOCATIONS_

App. gr. p., c. Ï..HÔO Vr ?r. bis. av.WUson.Montreua Bustille, 2 p., t., e., g., ï-1., loy. 1.650. V'roir M. Ducftesoie, r. de la Chaussée-rt'Antm C'ftanitn't» meublée à louer. 35. rué SaintA g:t iiç-iip

ACHAgg XT VBMTES OZ P»5FRIBTliS Ld Bourget, Fouet, acli. terrain COO nu ou pàvill. 30 à ÎO.W©. Interm. ou agença s'abat. Ecrire V, 6 Petit Parisien.

Placem. l" ord. Colombes. pt inœieub. rap. S ét., parf. et., rev. T'et 22.000. Px 260.000. Guillauinat, 5, pi. d. Vallées, Bois-Colombea 5~RANjD£ VENTE RECLAME

Pour tancer notre nouveau morcellement La Ferme de U gare

Banlieue- iimnéd. gare au centre des terrains Arrêt des autobus place de larGare.

Nous vendons des lots de ttes contenancea Au

de 2 francs le M2

Grandes facititéa de paiement, valcur réelle de S à 25 francs le uiètie carré.

EN RAISON DE L'EXTREME PROXIMITE DE PARIS, grosse plus-value certaine pour cet été. Tous ces terrains sont trèù sains et non inondables. Pour la visite de ce domaine, nous mettons a votre disposition un service srratuit de voitures le samedi 4 mars à partir do 13 h. 30 et le dimanche 5 mars à partir de 8 h. 3(). Départs au fur et à mesure des arrivées à :ios BUREAUX, 2g, PLACE DE LA NATION, PARIS. On peut venir s'inscrire et se renseigner Ù l'avance, no« bureaux étant ouverts tous firi. Gulf-Stream Beaux terrains pay..JQ0_ p, mois. Viabilité. Eau, électricité, chasse, excurs. Gare. Voir ou ici: MESNIL, 40. rue des tlcole». Pa-is. à' cscï

Sans plus d'effort que pour payer votre loyer vous pouvez en deux ans ûev'nfr propriétaire, d'un confortable et solide chalet voir S. A. K. A. C. 18. r. taco'tlaire, Pari?. S0 à ans de crédit TERRAIN seul ou terrain avec PAVILLON pay. ICO à 3.)0 fr. p. mois. Hie,i à yei'ôer p. le âossier. 87 tr., aut. Citroën k. Pari3 Ho la TÎaMl. Se. Ri"hou, 71, roc de la Victoire LOI LOUCH3UR. Pavillons en maçonn. à partir de par mois. Pour A. C. terrain compris à partir de 300 tr. par mois. Ecxirc RACAVD. 4». n;e Omithey. Parla 17-. Liste 1.500 terr. à bât.. prochs hani. venrl. t créd. vous est envoy. gràt. sur simple dam. p. le Journal « Ma Petite Propriété rue Le-Pelelier. Bur. oiiv. 0 h. h H> h. Au Ferreux 10 m. ?ar<3 1 ci. tram. Pavillon bonne conôtr., ni1" s. à -n.. 2 ch., beau jard. angle, 2 rue*. Î0 m. fat; 48.000 comptant. SuUie au src de l'acquéreur. Merlauit. 16. bd OaUivni, NeuiUy^Plaiaivnce.

Belle affaire t 55 km., llsne directe, nu" cave voûtée, 'i p,, eau 8. pj*ess., fi., dép" din 1.000 ->̃ T'rix 23.000 fr. Facilités. M-S 'P" Plan, phoîo. Ouv> rtim. A YENMl; 3 pièc. banl. r:>- -i >. c;'ii.l<.U:i!ii> facile».

10. rue «l'Arpenteuil, P»via.

2'J km Sud Paria, communications directes, charmante l<îiiitë, pavillon nouf, mr^iiens et briq., cuisine. salle, vestibule, 2 chaœb. cabinet, garage. oau sous 'pression. gaz, électricité, chuutïa^e central, Jardin, téléph. Libre, 2- maison derrière. 2 pièc. et cuisina S2.00^> franc-. Ecrire E, Petit Parisien. RIVIERE EN BORDURE

Rùg. Evroux, nuis. 5 p. eau de source, <jn last. gï.rape. dép. lard. nomb. arb. fruit, Le lî fuerJe pré 5.0'JO mq att. Px L& rue LafflttB.

̃p»-;>.4 Nvvon. maison pièo., p. commerce r. Pau!-Bert, Paria V.' Lisez bien cette annonce ? AVANT D'ACHETER UN TERRAIN samedi 4 et mars seuleraer.t sur Salnt-L;izaro

en face même de na gare Venez un beau terrain aux

COTEAUX »

le plus beau site de

la parlsienîie Valeur réslle 9 fr. à 13 fr. le mètre

codés au prix déiitsoirf; du

2 fraocs le mètre

Paiement.en' 3, 4 ans. Tous crédits offert» Terraina absolument non inondables. pajsr plas Lisel bien 2francs ie mètre Venez traiter une bonne affaire

Vlslt. gfratoiteia, sa aatocars ces terrains samedi et dimanche 5 mars. Venez retenir vos l'laces d'ursrenee à nos bureaux ouverts dp 9 li. à 19 heures Coteaux »..DO. r. 4 PIVEBC" MachiuejTa tricoter Dufcted. tir? jauges et grand., raseuses 2 et 3 flls, .hoMnoirs coln. Vend. i prix, 12, bd Batlgnollos, 'Pari.

pendant deux semaines, et V appétit et le sommeil sont revenus. je me sens aussi beaucoup plus forte et plus allante. »

Extrait concentré à base de Quinquina, de Kola, de Coca, de Glycéro-Phosphate, la Quintonine n'est pas seulement le fortifiant le plus énergique. C'est aussi le plus agréable et le plus facile à prendre. Elle stimule l'appétit, fortifie les muscles, enrichit le sang et régénère la cellule nerveuse. Vous en aurez la preuve aujourd'hui avec votre premier flacon.

Avant chaque repas un verre de

Un flacon permet de préparer soi-même

un litre de délicieux vin fortifiant pour

If ifïflTPïîS' TranFp.-Dem. Toute la France, iLUiUUL,!N 47_ paradis. Paris. Mêm. raaia.

Bondy. Tél. 150. Groupage Paris, Cote d'Argent, Pyrén., Côte d'Azur. Côte-d'Or. Paris Transports à forfait, assurances gratuite:. Service rég. sur Tours, Poitiers, Bordeaux, Nîmes, La Rochalie, MontpalHer, Toulouse. Occas. de retour de Béziers, Moulins, Agen, ou régions et parcours sur Paris ou région. 13. bout. Julea-Ferry. Paris. Oherk. ̃l-45. ASSOCIATION OUVRIERE «L'ABEILLE» 3B, rue des Plantes, Paris-14'. Ségur 03-61. Ch. RETOUR Morbihan. Sarthe. Corrèze. ALLER Nord. Aube. Bretatrne. Ttes direct. Singer occ. l,. k-31-17-lG-45. 70. r. Saintonge. A vend. tii-Bortewr à pédale», a,y. caisson, fr. Dactylo- Bureau, 46, bd St-Michel, 6Mach. Singer, bon. occaa.. 30. r. Cambronne Hangar fer, occasion à enlever, état neuf. 20x8 = 20X10 ̃= 3.750 20X12 4.000 20X13 4.S0& 20X14 = 4.950 20x16 = 5,500 S'adr. de 11 à 12»seulem. Tél. Alésia: 12-40. Olier. 26. route ^'Orléans, Bagneux. Seine. WARRANTS, rive gttuchs, bd St-dermain. (M° Odéon). Occ en mobil. bronzes, tnarbr., luati\, argent. Expéd. monde entier. Des milliers de mobiliers simp. où riches. A SOLDER 4 pylx à l'Usine même, 17, rue Cinq-Diamants (Près pi. Italie). Auc. suce. Très belle selle à manger acajou massif et chambre à coucher Louis XVI. S'adresser nu cuncierge, 4. bd de Courcelles, de 2 4 h. S§© PIANOS

Occasions ttes marques, garant, dep. 1.800 t. 11.3 r. de Sèvres (métro Sëvr-ea-JiecourbcV SPSCIAIiITES POUR gQBAIHS UNION DES FILATSURS DE i'KANCB 80.000 kilos de stock 21=Ai2rTj>/J>ii \l ̃ n Dernières nouveautés Les meilleurs prix. Actuellement 10.000 kilos à sold. depuis 20 fr. le kilo. Tarif franco. Preylaine. 77. x- N.-P.-d,lN'azaJ6th. Pari.. CHemiaes et pant. nanaouK 2.50; soie 3,50. Cnmbin. nansouk 3,50, soie blouses 8. Barbott. 3 fr., robe 12,90, tabliars 1 f. Coup. dent. etc. Vente 1 f. franco. Giniult, l'i'g, rue St-.Vtnrtiii Parlg2' BB0HBaCHB3

Réel». Fila!. Kaq. p. ex-inspecteur. leUViy Loyauté. Discrétion. Europe M-39. mr Face Terminus année. Ouvert de 8 heures à 20 heures Enn. Rech. Filât., dep. 40 tr. 3>VFlk1Cm> 60- bd gasaatopol. Ar<ai. 43-12 Cub. ex-chaf Sûreté de Par.3. Mens. Aux anciens combattants du bâtiment Pour répondre à diverses demandes, nons Informons nos lecteurs que l'adresse de M. Laachett de Polignao, secrétaire gêné,ral de l'Association des architectes anciens combattants. est 23. avenue de La MottePlequet, Paris (VII').

Chronique judiciaire LE DEAME DE LA RUE SERNOUILLI Devant la chambre correctionnelle a contpartt Mme Louise Capra, ancienne chanteuse de music-hall, qui tira le 9 octobre 1931 ciaq coups de feu sur Mlle Willy, sa rivale et brûla la dernière cartouche cointenue dans son revolver contre son propre mari commanditaire d'hf tels meublés do la rue 'Bernouilll.

La liaison de M. Capra et de Mlle Wl11y aurait depuis cinq années. La Jalouse avait appris, ce jour-là, que les deux amants devaient d!ner ensemble et elle alla les surprendre.

Je suis votre invitée dit-elle en survenant inattendus.

Puis elle se vengea ».

lîlle Wllly, 'légèrement blesaée, s'est rétablie. Le mari est mort, mais il n'avait pas été louché, par le coup de feu de sa lemnbe. Le tribunal rendra le 22 mars son jugement.

DEUX CHAROONARISS »

SEVEBE3IENT CONDAMNES

Le 26 septembre 19SO un vétérinaire des Huiles constatait que des quartiers de veau expédiés d'Auvers-le-Hamon, dans la Sarthe. provenaient d'un animal mort des suites du charbon. Une oiquète fut ouverte et elle aboutit à de peu édifiants réaultats. La viande eu question, débitée par le cultivateur Lejeune, du hameau de Ruillé, avait déjà été examinée sur place par un vétérinaire local et refusée. Le propriétaire du veau se mit alors en relations avec le garde champêtre Goupil, lequel, plutôt que d'exiger l'enfouissement de la viande avarice facilita son expédition Parie. Condamnés par le tribunal, les deux camnères avaient fait appel et c'est ainsi que l'affaire est revenue devant ia cour do Paria. Lejeunft a été condamna à un nn de prison et 6,000 francs d'amende. Goupil, grand blessé de guerre, s'en est tiré avec six mois de prison aver: mirais et 1.;t00 francs d'amende.

Le bureau directeur du comité de l'Entente des groupements de commerçants, industriels et artisans pour l'année 19S3 est ainsi constitué:

Président, M. Edmond Colijnon; viceprésidents, MM. Edouard Bonnet, Louis Guichon, Lhonoré et François Gautheric: délégué général. M. Oursea (:au; secrétaire général, M. Edouard Metral. La chambre nationale des corporations de Eraace et des colonies rappelle que c'est cet après-midi, jeudi mars. il h. 30, qu'elle tient tin meeting à la saile Wagram.

Mme CHE VALIER,

54, rue Rennequin, Paris (17e).

LES COURSES Hier à Vincennes. Les résultats

PBIX DE BOKLCUNK

(Monté. 12.000 francs, 2.S0O mètres) 1. Hévée (A. Morel) J> 35 5U i M. R, Ballière P 10 50 2. Héloup (A. Porclnal) P S 50 3. Hollywood (Ph. Koch) P 11 » 4. Haute Ville -II (J. Vacher). Non placés Hirondelle XVII (Lefèvre), arrêtée Hermès (Rcneaud) Héros de Bony (Bertogrliatl) Helder IV (Ed. Picard) Haut Bailly (A. Choisselet) Hamlet III (A. Delaroche) Hermine IV (Ch. James); Hamlet VI (Chrétien) Haute Ecole (A. Expert). Durées 4' 8" 4' 8" 3/5, 4' 10", 4' 10" Réduction au kilomètre 1' Treize partante.

PRIX PB SAINT-FOL

(Attelé. 10.Q00 franc, 2.625 mètres) 1. George Todd (le propriétaire)..» 63 50 à M. 0. Desmedt.P 20 » 2. Germinal II (Domergue).P 3. Gortensia (Vanlandeghem).P 18 50 4. Gefêly (A. Gypteau). Non placés Guinée (Monclin) George thé Oreat (Chyriacos) Grar.vllle II (A. ButtO Gabardine (H. Ptcard) Gange (Ph. Kôch) Gad (A. Essartial); Géo M (Th. Monsieur); Gaby Belwin (Van dçn Bouche) Gagnepetite (A. Lccomte) Gaétane (G. Pentecôte) Gribouille (Dnbreuil) Grabuche (Gouge,on) Grandmattre III (Verzèle) Gélosine (Gamet) Gionges (R.-C. Slmonard). Durées: 4' 3" 4". 4' 4" 1/10, 4' 5" 4/5. Réduction au kilomètre l' 32" 7/10. Dix-neuf partants.

Paix DE CÏVEXS

(Attelé. 12.000 francs, mètres) l.; Hautbois (Ph. Koch) G 23 50 à M. F. B«rtrin P 2. Hurluberlu O (Capovilla) P » 3. Hermine Royal H (L. Postlc)"P 19 » 4. Hermine III (Gayet). Non placés Haut Brion (L. Houdet) Heurtoblse II (Netter) Horizon III (R.-C. Simonard), resté au poteau Hélène de Troie (Delamare) Héritier II (Verdie) Hirma (Vanlandeghem) Huguette (Neveux); Hargival ( Bertogliati) Hérode (A. Tambért) Hacqueville (G. Monsieur) Hasparens (Dessauze). Durées 3' 23" 1/5, 3'30". 3' 80" 3' 32" 2/5. Réduction au kilomètre 1' 33" 3/5. Quinze partante. PRIX D'AGKN

(Monté, 30.000 francs. 2.900 mètres) à Mme C. Bégou P 27 60 2. Erica (L. Pottier) P 38 60 3. France (J. Vacher).? 13 » 4. Georgette Gâtée (R.-C, Simonarn). Non placés Fromentaux (L. Boudet) Frisson III (Ed. Picard) Epi d'Or VI (Lefèvre) Farina II (G, Leroux) Freyja (H. Picard) Germaine D (A. Delaroche); Feld Maréchal (Chrétien) Glaire (Al. Libo.ert) Foi (A. Forcinal) Flagada (R. Picard) Etandard (Neveux) Fauvette V (Reneaud). Durées: 4' 31" i*' 3V 4/3. 4' 31" 9/10. 4' S2" 4/G. Réduction eu kilomètre 1' 32". Seize partants. PRIX DU MEBUSBAIIIiT

(Attelé. 30.000 francs, 2.600 mètres) 1. Huron II (Ph. Koch) G M. F. Bsrtrin P ?.. Hernani III (Riaud) P 9 bU 3. llippocrata (Ch.-H. Frestel).P 10 4. Histoire de Rire II (Capovilla). Non placés Héla (R. Céran-Maillard) i Hugues Capet (Vigneaux) Héraut II (Leprince) Hirondelle III (Bouley) Hal- lali IV (Carré) Hammama (R.-C. Simonard) Harmonie (Netter), arrêté. Durées 3' 57" 2/5, 3' 3/5, 3' 57" 7/10, 3' 56". Réduction au kilomètre 1" 31" 7/10. Onze partants.

PRIX DE FALAISE

(Monté. 15.000 francs, 2.250 mètres) 1. Goutroune (R. Picard).G 46 50 au haras du Vol d'Eure.P 13 60 2. Gavarnie III (R.-C. 8lmonard)P 38 3. Gypspile (A. Forctnal) P 23 » 4. Garcia L (J. Vacher). Non placé»: Gér6me (Monclln) Graine au Vent (E. Marie) Good Bye (Ed. Picard) Gavroche II (Gamet) Giroflée (Lefèvre) Gouville (Chrétien) Grand Air (Perlbarg) Grande Dame III (Bastien). Durées 3' 27", 3' 28" 3' 28" 3/10, 3' 28" 1/2. Réduction au kilomètre l' 31". Douze partantes.

PRIX DE BACQUEVILLE

(Attelé. 15.000 franos, 3.SÛ0 mètres) 1. Général Orange (Y. Combot).G 2050 à M. H. Hutt.P à 50 2. Fila de Prince (A. Essartial)..P 12 50 3. Galibot (Carré).? 4. Excelsior II (Verzèle). Non placés Carrougienne (Dubreuil) Etincelle VI Eégou) Glouton Russe (Visa) Daphnine (Gougeon) L'Emballé (Th, Monsieur) Druse (A. Sourroubille) Dorrylée (E. Doumen) Florentine (A. Tambéri) Fumiste (AI. Tambért) Demi Mondain R. Simonard) Fragllité (Janssen) Extra Dry (Tardivon) Camélla III (Delaroche). Durées 4' 17", 4' 18", 4' 18" 3/5. 4' 1$" 4/5. Réduction au kilomètre l' 31". Dixsept partants.

Par suite du mauvais fonctionnement de l'élastique des 2.275 mètres, dans le Prix de Falaise, Glnetta, Guzla, Gabelle et Galant sont rester au poteau. Après la cours! les commissaires ont décidé de rembourser ces quatre chesaux.

Aujourd'hui à Auteuil, à 14 heures NOS PRONOSTICS

Prix des Pâquerette» (steop;e. ft vendre, 10.000 francs, 3.500 francs) Oman, Gypay. Prix Hypothèse (haies, i5.000 francs, mitres) Kohlnoor, Hoca.

Prix Aubépine (steeple, hand., 25.000 Jr., m.) Cannon Bail, Floréador. Prix Persjtno (haies. Z5.000 Cr., 3.SO0m): Jacuby, Captai» Shaw.

Prix Rossignol (steeple. à réel, 10.000 fr., 3.500 m.) La Gascen Bolkias.

Prix de Suresnee (haies, hand.. 20.000 fr.. 3.500 m.) Ec. Chipault, Captalu Shaw.

FAITS DIVERS Les accidents da la rue

Renversée, place du Panthéon, par un' cycliste, qut prend la fuite, Mme Ernestine Luspin, demeurant 8 bia, rue ClaudeBernard, est transportée à Cochin. Avenue Anatole-France, à Drancy, un camion a renversé le jeune Roger HardeOi! onze ans, 59, avenue Esther. Relève avec une fracture d'une jambe, l'entant a été transporté à l'hôpital S^inULouis, ou son état a été jugé sérieux.

Route nationale, aux PaviHon.i-sousBois. l'auto que conduisait .1,1. Jean Guüle, confiseur, 4, avenue Penet, à Livry-Gargan (B«ine-ot-Oiî=e) a renversé un gyclistc, M. Albert Flamignia, quarante-huit ans. 67, rue Pierre-Curie, aux Pavillons-soua-Bois, qui est mort pendant son transport à l'hôpital Saint-Louis.

Manifestations de aympathie

M. Hussenet, commissaire d'arrondissement, nommé commissaire divisionnaire aux compagnies de circulation, en remplacement de M. Baullaugor, a rejoint aon poste. A cette occasion, les gardiens de la pus et les gradéa du XVIII* arrondjsscmant, réunis, salle des fétes, la mairie de la place Jujes-Joffrin, lui ont offert un objet d'art. Cette cérémonie était présidée par M. Boulanger. Les inspecteurs, secrétaires et commissaires du XVIII* y assistaient. D'autre pari, le personnel du commissariat de Bel-Air s'ewt réuni pour remettre à M. Lang, avant aon ddpart, un magniM. Lang a été, hier après-midi. Inatallé au commissariat de la Porte-Saint-Martin, en présence de son prédécesseur, M. Soilier, par M. Barthélémy, directeur adjoint de la police judiciaire, assisté de M. Rebiït, commissaire divisionnaire.

Un énergumène

Après avoir causé du scandale à la station du métro tt Javel Pierre Jaoquey, trente ans, habitant 72, rue Bournin, à la Garenne-Colombes, s'en prit soudain o deux de ses camarades, Paul Martimout, 38, rue Lacordaire, et Val«nt!n «DaJIM, 26, pue Sébastien-Mercier, et le-¡¡ frappa.

Les agents Chauvin et Gâaod, du XV. arrondissement, ayant voulu Intervenir, le forcent tourna sa colère contre eux et leur décocha force coups de pied dana le ventre en les -insultant. Il fut enfin m»ltrlsé et envoyé au dépôt.

L'escroquerie au chômage

On envoie au dépôt AthlJle Vasseur, quarante-trois ans, manœuvre, plusieurs fois condamné, demeurant en hôtel, 101. rue des Poissonniers, qui touchait des secoure de chômage depuis plusieurs semaines au nom de sa maîtresse, Marguerite Tesse, trentecinq ans, actuellement détenue à la PetiteRoquette.

Deux baraques en bott

brûlent sur la zone

Rue B«nojt-Malon, à la porte de Gentilly (zone annexée), le fen a détruit deux baraques en planches appartenaut à Mune veuve Depract. 18 bis, avenue de GenWHy. Une dee baraques était habitée par M- Jean Svedroski, qui était absent ce moment. Lea pocrpiera ont éteint l'incendie rapidement. Le» défât» sont àïalués à 7.000 francs. Deux habiles filous

Un jeune homme de taille moyenne, paraissant âgé d'une vingtaine d'unnets, entrait hier soir dans un magasin de fleurs. 96, rno de CourCeltes. Le gérant, M. René Berger, qut était occupé au sous-sol. monta aussitôt Le client lai demanda des trèfles vant mi en fournir, if ee retira.

Le commerçant redescendrait lorsqu'il entendit à nouveau retentir la sonnette de la porte d'entrée, et il remonta juste à temps pour apercevoir une femme qu'il n'avait pas vue entrer s'éloigner en courant et sauter dans un taxi qui démarra aussitôt. Pressentant quelque chose d'anormal. M. Berger se précipita vers son tiroircaisse et constata qu'il était ouverte 4.000 francs et un carnet de chèques qui y étaient enfermés avaient disoarus. On supposa que la voleuse était entrée dans le magasin avec le jeune homme et s'était cachée en attendant que M. Berger redescendit. Plainte ayant été déposée par le fleuriste, M. Lacroix, commissaire de police du quartier de la Plaine-Monceau, a chargé ses inspecteurs de rechercher les astucieux voleurs.

Un garçonnet tué par un camion Faisant marche arrière dans la cour de l'usine Nobel, rije de Romajnnourt. à Stains, un camion conduit par M. Emile Rousseau, demeurant 41, même vole, a ren.versé le fils du concierge de cette usine. le jeune Julien Dewaele, douze ans, qui fut tué sur le coup.

Une septuagénaire de Clamart Un commencement d'incendie se décla- rait, l'autre nuit vers 1 heure, dans 1a maisonnette que Mme Camille Malré, âgée de solxante-rdouze ans, habitait seule, 36, rue Pasteur, au Petit-Clamart.

Par bonheur, des voisine s'aperçurent à temps du danger que courait la septuagénaire qul, quai impotente, n'aurait pu se sauver. Ils la mirent en sûraté et les pompiers alertés eurent bientôt maîtrisé le sinistre.

L'enquête de M. Zamaron, commissaire de police, a établl que le feu avait été allumé par la chute d'un réchaud à alcool. Un bébé étouffé dans son berceau Mme Losfre, demeurant à Saint-Denis, 9, rue des Cliaum6ttes, s'apprêtait à prendre dans le berceau od Il reposait son fils Rotper, un bébé de trois mois lorsqu'elle le douloureuse surprise de constater qu'il avait cessé de vivre. L'enfant avait été étouffé par la couverture sous laquelle il avait glissé.

Dans un restaurant, avenue de Clichy, Mme Alice Bochon; trente-cinq ans, fille de salle demeurant 10, ps*ea.g« d'Hier, tait une chute et meurt àîBichat,

En nettoyant sa robe avec de la benzine, près d'un réchaud allumé. Mils Julia L u t c h e ft trente-neuf ans. couturière, boulevard Lafebvre. est grièvement brûMe aux mains et au ventre. Houptes de Vaugirard.

le Irène Pachy, trente-deux ana. nettoyait des chaussures avec de l'essence près d'un réchaud à gaz, chez lion beaufrère, M. Mouatakàs. 26. rue Aesnoyers. Une exprosion se produisit et elle fut grièvement bitrlée. Mlle est morte hier à Tenon. Surpris en flagrant dwt de.vol 4 l'étalag*. rue de M*ni!raontant. Henri Varet, vingt -neuf ans, ouvrier peintre. 101, rue des Amandiers, est envoyé au dépôt M. F;eury; commissaire de la PorteSolnt-Denis. a envoyé au dépôt Ferdinand Fiévet, vingt-quatre ans, se prétendant manœuvre, flomiBlllé 22, rue de Chartres, pour vol d'un sais à main. rue Layette. Un individu entre dans la boutique de Mme Gillet, 6, rue de l'Eonaudé. se fait montrer plusieurs objets par la commerçante et proats d'un moment d'Inattention de celle-ci pour dérober des jumellea de théâtre anciennes.

Au début de l'après-midi d'hier, pendant que M. Gérard, restaurateur, 68, rue des Entrepreneurs, servait à déjeuner, dep cambrioleurs se sent introduits dana son appartement situé au premier Mage et ont emporté 10.000 francs d'argent et de bijoux. -A lu sui'e de plusieurs caanbriolagea commis à Bry-»ur-Jiarne, on a arrêté le coupable, un nommé Augusta Arrou:e, vingt et un ans, qui habitait une mais{)!1 abandonnée de la rue de l'Union. la a été envoyé au dépôt.

Deux hommes. sans profession définie, se querellaient, rue de Fourcy, lorsque, tout à coup, l'un d'eux, nommé Fr&ntz Gelx. frappa son adversaire d'un cour de couteau au visage. Le blessé, Pierre Bard, demeurant en sarni, 3. rue des Partants. fut conduit d l'H6tel-Di«u. Sa bl*s«ar» est sans axavité. Gelx a été envoyé au dépôt par Dormoy, commissaire du quartier. De.» cambrioleurs pénètrent. 14, rue Ferdin?.nd-Floeon, dans une boutique de mercerie apoartenant à Mme Joly et déro- bent 6.150 francs eu billets de banque et 1.500 francs de bijoux placés dana un sac à main.

On a retiré de la Seine, quai des Orfèvres, le cadavre d'un homme ayant séjourné dans l'eau trois semaines, Dort«ur de papiers au nom de François Charvet. quarante ans.

Un jeune homme de dix-neuf ans, M. Maix Ai'Ialouf. né a Salonique, sans profession, demeurant 61, rue Vagsou1. A Clichy, s'est jeté, hier matin, à 10 heures, du haut du pont Saint-Mishel dans la Seine. Le désespéré a été retiré du fleuve par un marinier. M- Fernajtyd Marg^ierv, demeurant à. Choisy. et, après avoir été rappelé a la vie par les pompiers, a été admis a On a rapdché en Seine, quai du Pointdu-Jour. Boulogne, le cadavre d'un Inconnu, de taille moyenne, paraissant âge d'une trentaine d'annéeo, vêtu d'un chandail marron, d'une chemise rayée et d'un pantalon gris.

A :'institut médico-légal.

Une manifestation internationale d'anciens combattants

aura lieu à Genève le 19 mars Tous le» anciens combattants peuvent participer à la grande manifestation Internationale organisée pur !a C. I. A. M. A. C. et la F. I. D. A, C. le 19 mars à Genève. Le prla du voyage est de 100 francs'. Un train spécial partira le samedi matin 13 et quittera Genève le lundi Adresser les adhésions à la F. N. C. R., 16. rue des Apennins, Paris (XVU«).

En grande cuisine aussi vous en aurez 1 emploi

Les Pâtes Pèr*Lustucra qui contiennent des oeufs frai»sont si fines que vous en trouverez l'utûisation dans les apprêts du plus grand style témoin la recette cicontre. En plat ou en garniture, dles forment toujours un aliment subetantiel, sain, savoureux et ce n'est pas un défaut à cette époque économique. Pensez à essayer les Pâtes aux oeufs frais « Pèr'Lustucro vous ferez une découverte. De nombreux cadeaux

Quand votre boite ap damier bleu est vide, le Pèr'Lixstucru qui y figure a eucoie tsae valear Découpez-le soigneusement il vous donne droit aux cadeaux du u Pèr'Lnstucra dont la liste vous sera jremisc gratuitement par votre fournisseur.

LES PATES

PÈR

BÉGAIENT

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 1" Mars On enregistre aujourd'hui une légère nuance d'amélioration dans la. physionomie de notre place. au moine en ce qui concerne l'évolution de la cote. car. en matière d'affaires, on a cté plus nul encore que la veille. Le développement de la crise bancaire américaine, où le moratoire s'étend maintenant à quatorze Etata, a toutefois retenu l'attention de la Bourse. C'eut ce qui explique l'absence de toute animation et l'allure quelque peu saccadée de la cote. Les premiers' cours ont été, dans l'ensemble, les plus hauts de lournée pu4s faute d'éléments, on s'est effrité et on est PK5SS par des alternatives de redressement, suivies bientôt de tassements, pour terminer à des cours un peu supérieurs à ceux de la précédente clôture. sauf sur quelques titres. En résumé, ensemble asaez soutenu. La couHisee a obéi à la même orientation que le parquet pendant la majeure partie de la séance et a fini aux phus bas, Men qu'en légère hausse. Aux changes, la livre sterling perd environ un demi-point à 83,43 contre 86,97, tandis que la devise américaine varie peu & 20.82 50 contre Derniers cour,' aux rentes. 3 perpétuel 77,10 contre 76.65 1917 86.66, ex-coupon, contre 86-65 (inchangé); 4 1018 contre 8ô,B5 l+l.O25i; 6 amortissable 118.45 contre (+°,30); 4 1825 contre 106,10 (–0,80) 4 1933. la série A A 90,80 contre 90,20 (+0,60). et La série E a IH..M0 contre 91,10 Aux banques Banque de France contra Crédit Foncier de Francs contre (+25); Banque de Paris. 1.523 contre (+30) Crédit Lyonnais, 2.105 contre Aux internationales. Suez 16.360 contre 16.330 (+30).

Clôture de la deuxième séance

La Central Mining progresse. Les autres titres août irreguliers.

Métropolitain, 1.246 Young. 577 Canadian pacific, 22.950 Central Slininc 1.S34 Rio Tinto. 1.2S7 Royal Dutch 1/10,MARCHES ETRANGERS

Londres. Lea dispositions générales sont un peu plus ïatistaùsantes, des rachats se produisant à la suite du raffermissement enregistré la veille à New-York. Les valeurs d'arbitrage sont mieux orientées. Minas d'or plua tevmtn, dans l'attente des résultats de février.

Berlin. Tendance assez ^tisCsusAiite, avec un peu plus d'affaire*. Les meilleurs avis transmis la veille par New-York suscitent quelque* rachats. Las valeurs dirigeantes progressent. L'allure générale reste favorable jusqu'en clôture.

Tirages financiers CREDIT NATIONAL

Emission 6 1B1B. Sont remboursé par 11a million le n9 par 500.000 francs Je n° 2.471.895 par 100.000 francs, les 5 n" 3.255.512. 7.076.284. par francs les 10 n°» 4S2.55S, 742.084, 1.596.295. 2.174,795, 2.ES1.C73. 5.540.069.

Emission 6 1834. Sont remboursés par franc3 les nom S80.B33. 1.3SC.62S. 2.360.623, Les 11 n" suivants sont remboursé» chacun par 25.000 francs dana chacune des 4 séries de un nullion de titres, soit 41 a" remboursés par 25.000 franc 448,736, 617,438. 706.!68, 727.353. 999.646.

Emission 6 1921. Sont rembourséa par francs, le numéro par 100.000 francs, les 6 numéros 5&Î.3O3 1.564.303 :i.564.303 •4.564303 par 60.000 francs, les 6 numéros 2.1Ï4.30S 3.124.303 4.124.303 par 10.000 francs, les numéros 71A.303 744.303 1.714.303 1.744.3O8 2.384.303 3.534.303 3.714.303 3.744.308 4.3S4.303 4.534.303 4.714.303 4.744.303 5.384.308 5.534.303

Les 24 numéros suivant¡¡ sont remboursés chacun par 5.000 franca 44.303 "64.30a 864.303 3.O44.SO3 1.8S4.30S 1.874.303 2.M4.S03 2.2U4.S03 2.864.303 2.S71.308 3.O44.3OS 3.864.303 3.874.303 4.964.303 5.264.30S 5.664.ON 5.874.X03.

Tous les autres bons, dont les numéros se terminent par 4.3CJ, sont remboursables par 1.000 francs. Sont également remboursable» par 1.000 franca tous les bons qui se terminent par 4.226_et_ 8.666.

Rentes français*» S de. Les n»' faisant partie des aéries 9 sont remboursables au pair.

u ETAIT MILLIONNAIRE (ta i* «on te f milieu Portetn» da f »toun lois, fklte» if fr%ùe* p»j *n a la e^w« d«* n^aist, #«-*tc» p4 31, 1 Rue PARIS ($,)

AUX ŒUFS FRAIS

LUSTUCRU

Et NOURRISSENT

VALEURS SE NÉGOCIANT A TERME ET AU COMPTANT pr«o»,1'!J-j <onr 1'1' du liant prtaM'Idu )oil« BANQUE PntW (c»rtt»n. tO7 10T 10S Penitcot 27S 27S Xtb .1

t 1617 8» SO Allomnene (Youbb). 58X 6 lfttO «moota. Herbe «n>. 1&»5 76 S» IOS> 30 10« là ïuwuie Dette Ott. S» 70 Ï8 50 « H %lÛâ£,ti»ne.B SI 80 »l 00 al 83 Biuw.Xatdu MeiMj. lii O*toW autonome. W7 Qïl »B7 ÔO B81 BMWUeDttoimai».. 47S BnnqaciJe France.. il«)S.. 11500.. USOO.. CrW.Fonc. égyptien 17S0 1900 17SO B. fsris) « P».vb-B»« 1W tûir* 1S30 Wnaons-Ut» oslln. 7I( 70 25 70 U Banque tnuaulUnt. Ml ̃̃ 4M 4M Onkai Winias. B*nti.<Us l'Un.Parie, SM Montumaul 14s SO US 148 M Compt N»t. *']?(«;. 11W 1100 Ai»tc SU Norrés.. <«S CMd. Coram. France 745 7.;t Iaut.N1tr.CyUd. CrM.Fonc.de Fnmuc Royal Datch. 1395 13SW 1400 13S5 Crédit Lyonraw?, 8O»6 21<I5 8*lBiMries Eajpte. 4ttï Suez 1S3«O.. 1C175.. Bons M«t. « 1 91" part rte tondit. ( Siiro-Feliop. 'cap.). 06S P75 <WO P05 «OCliké dviki. 3S75 »SBi S91* WW0 Banr/. Nat d'E&ylite 2940 MM1 «il.. K84 iO Nord ISO* 1400 Cotombi* 62 75 il QrJéins., OoiHMrUl» a« Si J» SO 40.. 40 M Métror«Jlit«m UMtt 1J41 I>« Béera «Minai». l>Misi«me Inrtastr. 400.Tairerafonteta Lyonnaise des Esui 2340 Breknan m «m Piatrib. d'KleçtrtciU aiso SUS «45 2130 KantRawt U» 50 H2.. 111 M il?.. Heotridtide Pari», 1070 l»74 I(lo5 I960 «oMfieids El. etG»3<lu Sord. V>1 *<& S'il Bitad 34ioB l&l M «Ml loi tii C" Gén.d'Eltctridté 2150 31 'i5 Jotennesbnn C. 18t Wl Ener.ElXittur.Uài QM i)SO U5S ( i>D« U )KKJi» l>3 B3 50 M 7R TboinRon-HoOTt/jn.. SOO <;u)li Knidmaaat.. 6B 50 ITniou d'iafCtricits. ru Kunl» Lumpur. 80.. 90.. M) F.irgf» Korrt et Kit. 5U M5.. 61S.. Mai»Cf.^ 8Î S0 Schneider ot (.̃ ISIW IK'A 13*0 !373 Pniiuav Tléfllerles du Havre 4SI 4SM) K»tJUW» ITi»' :100 2IÎ9 Counlère? S4;i ass Ttersi» Sis su Boléo (M.. 6S 50 VMBe MoaUsme. 1387 1800 180» 180» Peimntjya Ch»rt?rod 74 M Bozttl-Jfoletr.1 -05 St* Mc«M»WQoe S7 &0 T7 50 EtobHjw. Kujjlnwn. MS 52B 528.. Tran«ra»l l'J* 50 Phmphates «sba.. Uî.. Bfuny 2M.. Cutrgeura Jaunie.. UotcbïiM u:ï usa 65 60 6S 61 50 Hj'dro-Elactr. Cèr«. Ig8 ISS la» T. et. F. Sasaowk*. <8 Caaotcb. Indochine. Isa itKXDli. t-Jiibiem.. K3.. 84 2j Fond 85 S0 sa.. Tiibiss priTilésriéc..

VALEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT Ob.Trés.«îi"<. J9M 800.. 93t Oarnuiux 810 1876 4 406 50 iÇ or 1917. Cnitigonr Jâ»l ™ 11904 2 iO 7 or 1931. Mokt». e! Haltid.. |l«06 3 «i 4U7 Crédit Xatioa. ICI 9 '< tiM.. ̃̃ Kall-Ste-Tbésase.. U75.. S»4 Ï9O 60 BOMd.6%JuU.lf>24 JS7 ÎJ40 6°4 Juin 19:3 •• 6W> c<^(»ni*lc« {f><nV1% OaMt-litat 4 «M M* Librairie Ru*ette 18S0 87:i Tudm 3 Um.. ?♦« ̃- Petit tartiiBi. «et. 1«4« }«w» r,. 3 «i 1818.. •- **♦ parts 124-0..12.1».. ..HV.222 Sf • îi* Si- •• Awont. 4'/j%mi S» 30 CW. Jjtf&yette, art, <« Si iîj" 1!J" Astur. des Mines.. l0ï C }"" L^v ̃• Kî-' 1WS 4 t4 V.. »!»•. Pol.urne 7 1927. bb M M) T'a n. 0»j. Bons a lot 12J.. Ii3 50 520.. 628.. Erti'S, 4BS Ce¡; s 18S6 3 SW c hem. 1er tunisiens ̃̃• r'â5.. 2 '.i S41 341 Vi 1913 « Vt le Omnlbui..» »0O s%Antaine«. '̃ ÎMÔ 4 K.. R7O Fr.de Tramways. 464.. 465.. F..L.->f. 3 1855 335.Tlfl,. TraneatUntiq Kwwie Sud-Ount. 1501 H74 875 O»!i(vHél!op. (dry.) 1325 !365 KoMiowiee li type 1921 458 Pointe-a-PitreUct.î JeuBl'int «*5 494 D 778 J78 Monaco *M).Ï OlNi-e Wtemph.. ̃̃ Midi 6 EonneoS» Sffiffl««- Sî" Î8S:: cours DES changes Ghant. île Bntacn* 171.. 172.. S S82 KUM-Uui» fl doll.) ÏS »2 32 de laXoire. 840 3J7 de St-Nazaire. ̃̃ S» -• Nord » «eti» ifo 4SO AjventioeUOO MR.) Mcrtiterran. OUI.. 5 w K. «M) 4SO Beteique (100 )<oD 25 S66.. Olit.-CVimœïnt.rï. -200U –«% «u «u' Il dollar) 21 40 j^r. Dtaain-Ausin J1S8 '̃' j n. »*ri« 375 lEfirame (100 pn.) SU £5 Flv«»-UI!<. 9%i Orl*ln»«'i 4M 4S2 Honlrie Deo.) Aciérie» «Mine. 4i!S.. I1*|M- (10« lirai.). ïrjtee. S% S74 $!i IRoumaoUe (100 lei) 15 fer M™«iarJ-\uloor« -J^ll»»*, 8<4 ïoujoriarlcaood.) t2r. B»thune OUI SfiO 3 "ifloureau Portliual (180 4s.). 82 50 -'8-7-81 rTi. 'r. s iaa*. iw.. in so îi 337.. Tcfatoodor.dooc.) 75 40 r'a f*v PblUBdtdOOmfcl) TS 24 ter. Pologne (100 dot.) ts« M î» (s.

LANGOUSTE GRATINEE

AUX COQUILLETTES

(pour 4 pecMones)

1. Cuisez en premier née, au ocart-

bonfllon, une langouste de 750 gr. Partagez-la en àeax, dans le sens de la longueur (après l'avoir laisséetiédtr); Retirez toute la chair de l'intérieur. Dans cette chair, détaillez doute ecca^lopes régulières. Détaillez en dés la restant de cette chair.

Préparez des coquillettes Pèï*

Lustacru à l'italienne (c'est-à-dirt cuite» t l'eau, égouttées, liées au beurre et fromage). Ajoutez à ces coquulette» la chair de langouste coupée en dEs. Mélangez bien. Remplissez de ce mélange les moitiés de carapace. Sur cet coquulettes, rangez lea escalopes de langouste.

Nappez de sauce Moroay (Sauce bé-

chamel foomagée). Saupondrez de parmesan, arrosez de beurre fonda. Faim gratiner doucement au tour.


i SOCIÉTÉ MÛTUELLÊde?R^OYÂNcÊetdecÂpiTAUS^Îo^S5ën^ ENTREPRISE PRIVÉt RÉGIE PAR LA LOI DU DÉCEMBRE 19O7 SIÈGE SOCIAL: en ion hôtel, 13, rue Françoia-Ir PARIS (se) Titres remboursés par Anticipation au TIRAGE DU 15 FÉVRIER 1933

TARIFS Et. El. ES, E4 <SM«. t. 3. S)

Durée ans, mata droit de résiliation, avec pArticiratlrm ̃ 11.897 émi» à l'origine

TITRES DE 1.000 FRANCS

̃ .f M- L«™»l«. (MincMi lttt/f M" Dian. 22..v. de k Care. N.rtKmne (Audik ISSM1 M. Az.lb.rt. 185..v. d. Muiwt. Touloui.

JM327 M. Seuil*. Sarenihtl. près de Bitcht (Mmcllrt 3I8M» M. B.rrt. r. Saint- Valant. Lilkr. (P-d.-O «MM M" Comlin. 35. r. S.ini-J«n. Gen

«M<2 M°" Cahile I r. r. Mirabnu/llerinré. (Nord) SSS2B7 M'" Basile e de la Montât Bancaire (C.rdl TITRES DE 2.500 FRANCS

J37SM M.IMnixI. Aimrfonds (T.™).

M*>U<>.l'l"dA'!> 7. dî* Meunier». Vincer..». (Seine). SIM* M. AlUtd. r. C«Mieni. Limoge.

SSHÎt M1" Ureboue. 17. f. Saint-Auïurtm. Aller

JMW0 M'Ck. r G»rd«ine. v,il. Emma. BierriU (B--Pi SM791 M. Carcuelit, r. de le Mairie. Narbonne SlSi M·' <l««"-r'«u'« d« Ni,™ Bellwd. (Urdi M03M M** Peyre. 12. r des roui.. N.rbonn.

TARIFS F. FI. F2. FS (Série. l u

émis à Tontine

TITRES DE 1.000 FRANCS

7«S M. Poiuche.. face à l'idùc. Pml-de-Mett (Somme). 3I5M M»" Laiu.. 9. r. du Cambert. Saint. Dit (Vo.TO> JW0J M. Hiutbauni. S, r. de la Meddeine. Rouen IÛM3» M"' BaeW le Soulier p. SlMarlin-de-Valialeuat. Il'173 M– Mauat. r. Fourcaud. Tal.rae-Borde.ux (G.). M. Foui.aux. SI. r. Dedieu. Lyor,-Cl»rpei.n» (R.X IHJ7S M"' Lorrain. Saint.Laurent-du-V.r (A.-M.) M. Rouait 24. qui de la République. S* (H). J4MU M" Fechier. SI. r d'Uliach. Mulhoute (Ht-Rhin). tttili M Baudet. aux Perrier». Seywnet. p. Grenoble (1J. W4447 M- Umbaret. au bourj Mably. p. Roanne. B' < Remhemcmt* Mal 2.M0 franc. JB4I4 M- B.iand. 77. bout. National. Clichy (S«ir»> JJ42»! M"' Courion. r. de Verdun. Name. (L.-lnf.). «MSI M"" Rosé. 8. r. de la Fuue-aux-Ckéne., Roubei». «NHt M Po.tel, r. Ernau-Leiranc, Grsrtville (M.) M. Delcourt. 3. r. Pierre-Briion. Ttmpl.rn.n (N.). 4J7.SI M" jacque.. Ourehe». p. St-Ce.mam-.ur.Meu» 4S37M A>M»' Hur.rd. imp. de l'Esli». St-J««n-d™.Vi,r<«a. B' (Rtmtourummt total franc..) 4W7M M- De«ux. 35. r. Leu.hier. MarjeilU.

4IÎMÏ M– Archimbaud. 31, r. d. l'i.erable. St-EtitMM S0KM M. Baudier. csi«, 22. r. Rcviiro. Altcr

SM32S M"1 Wolfer.taelter. r. Er.«n. Neudorf (B.-Rh.). «1UI M– Romieu. café. Vielvic. par Villefort (Loièr.) S:S06I M. Rouiuau. Contributùm Indirecte». Le Kef (Tun.). M0»2» M. Cbareaudeau. Il, bout. d'E.tr.e.. Chitellerault. 710JM AlM. et M"" Auftret. TITRE DE 1.500 FRANCS

ÏI3JI M"' Ploi». Faverr-ey (Haute-Saône)

TITRES DE 2.000 FRANCS

31«M M. Guillier. VilUer.Montfort-Mo-.ti.nr. p. Montbard •44MS M" Viliaret. La Madeleine, par Torna (Gard). TARIFS H. HI, K2. HS (Série 1)

Durée 22 ans avec participation aui bénéfices nett. Tiraaea mensuela pravoraub te rembounetnent Ue titre sur émis à l'origine

TITRE DE 1.500 FRANCS

«M M" FronW. 27. t delLièi*. la Varenne-St-Huair» TITRE DE 3.000 FRANCS

2M83.M** Ril!et.'6, pet te nw de) Cha.ws. Boit-GuiHaunu. TARIFS HB. HB1. HB2. HBS (Séria I et

Durée Z2 ans. avec' participation aux net". &.694 émisa l'origine

TITRES DE 1.500 FRANCS

153ÏM M"" veuve Boni)et. a», des Ruchoui. Limofe. (H-VJ. M" Marlot. 3. r. J..J,urè.. H.lle.™, (Nord) tHUU M" Labbe. 67. av. VilUrd. Valencienne. (Nord) B M"1 Coutelard. r. Baucberie. P.ri»né l'Evèque (S.). 3911M A M. et M"1 Mafia, école de fille.. Afiew (Oran). 3»HM (Rmitmrmal Mil Ir.nc, TITRES DE S.000 FRANCS

M'" Martin, au Plein. St-Rémy-en-Chauuée (Nord) SMJM A/M. Hinfrar. La Manilr. commune de Lanma. D

30432SF] tombeurmtnt <|| I II II I

M58M M.;Demy. 4. f.Vu Barrait Auch (Gerat

TITRES REMBOURSABLES ANTERIEUREMENT et n'ayant pas paru sur la

TITBE DE 500 FRANCS

TARIF El

21M3S M. Baurintt. bout de Vanva.TMalakoff (Seine). TITRES DE 1.000 FRANCS TARIF E2

WJ720 Ma» Csodlllon. 32. r. Diderot, Amiens (Somme!. TARIFA

sa M" C"1*»* Boum. Boutmenatt (U-Inf.l 3S87M M" Allaman. 24. r. BUJe.ud. Bône (Corutanlinet S6S240 M. Vidal. 28, r. Fénalon. Nima (Gard»

di'raSdM i ou un Jour ttr (roues) Sïïrt?ri™?U! Siège Soctal, le 15 de chaque mots, 8 h. ou le Jour suivant non férié ai le 15 3t un dimanche ou un jour férié. Seuls y participent les titres Il Jour de leurs versements. Voir dans les prospectus! La spécification de la méthode employée pour la désignation des titres par le sort

La prochain tirage aura lieu le 15 m r» 1933. Les résultats paraîtront le. 1 avril 1933 dans. journal. Pour tous renseignements ou pour souscrire, s'adresser au Siège Social ou à tous nos Agents et Agences.

CAPITAUX EN COURS à fin 2 MILLIARDS 89S.39S.980 fr» 1 RÉSERVES MATHÉMATIQUES à fin Million. 997.180.tw

PETITES ANNONCES CLASSÉES OFPBES D'EMPLOIS

EMPLOIS COLONIAUX, toutes professions Brochure grat. ECOLE SUPERIEURE DES COLONIES, 65, uv. Wilson, Montreuil (Sne) GROS GAINS CHEZ SOI, copies faciles, adresses et commandes, 2 sex., Renseign. Ecrire Manufacture D, Pastel, Marseille. Adresses chez soi. commandes à relever pour tous. Echantillon du travail gratis. Ecrire Etablissements B. Sertis, Lyon. BUREAUX DE PLACEMENT

POUR SE PLACER cuis. et début. S'adres, à Marie PAULET, 20, r. d. Louvre PARIS U°r). MAISON DE CONFIANCE. DEMANDES DE BEPBESEMTANT8 Représentants à la commission introduits dans lis papeteries et désirant s'adjoindre nouvelles cartes recherchés pour Paris, province et colonies pour vente d'articles en exclusivité. Vente facile et lucrative. S'adresser S. A. F. E. X..

94, rue Saint-Lazare, Paris.

Tissages toiles reei. agents visitant particuliers. Compt. Crédit. Gr. eom. Ecr. n- 950.913. Ag. Havas, Rouen. l'abr. Scies métaux dem. représ. commiss. Paris, prov., visitant métallurgie. La Scie Modèle. 8, rue Chéreuu, Paris

ACHATS ET VENTES DE PROPRIETES Anet, mais. 7 pièc., cour, hang. Adj. le 11 mars, 14 h. Etude Salmon. notaire, Anet. OCCASIONS

LÂIÏES MATELAS

provon. directem. de notre usine de Tourcolng, belle laine pure, lavée à fond, 8 fr. la kilo. Ehantillons gratuits sur demande. Ets DEBRO, 50, rue du Rocher, Paris LAINES A MATELAS Demandez direct. à l'usine. Echant. grat. Belle laine lavée infeutr. 8 fr. le kilo. Rielinck, 241, rue Brun-Pain, Tourcoing. Pour bien dormir

Achetez de la bon. laine de marque garant. à Société des Laines à Matelas Pasteur, à Tourcoing. Echantillons gratuits.

!SPECIALITES POUR rOBAINS

LE ROI du TABLIER est toujours VIDCOQ rue de Charonne, Paris. Prix imbatt.

AMATEURS DE Jeudi, 2 mars.

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

POSTE PARISIEN m. 20)

Au cours de nos émissions de la journée. 1E heures, 13 h. 10. 14 heures, 15 h. 15, 15 h. Ib h. 50. 18 h. 45 et 20 h. 20, cours et dernières informations financières. h. 10, « Intermède de musique mili.tsire Cavalerie légère (Suppé) Le Trouvère (Verdi) Cœur de femme (J. Slraussv Vieille marche de chasseurs (musique enregistrée).

3'J h. 25, entr'acte.

12 h. 30. concert avec le concours de Gardent et son ensemble (offert par Beuscher). 13 h., entr'acte.

VA h. 10, disques.

13 h. 40, c Quelques extraits d'opéras et d'opéras-comiques » Rigoletto (Verdi) U Traviata (Verdi) les Pécheurs de perleg (G. Bizet) Valse de Faust (Gounod) Sapho (Massenet). (Musique enregistrée). h., fin de l'émission.

1S IL journal parlé du poste, par M. Maurics Bourdet.

1B h.. La l»erni-Heure pour les petits b. avec le concours de la troupe du théàtre rl-i Petit-Monde, soua ia direction de SI. Pierre Humble.

TARIFS I. 1t. Il (Striea et et »

Durée ans. mil» drott de résiliation. %na participation mens tels prévoyant la retabouaeineot de i Ulrw sur li.9#r •mis a l'origine

TITRES DE 2.500 FRANCS

Il.17 M1" Paquet. r. Thien, Le Havre.

12SM M. Taclet. Chevimey (Hte-Saone)

2JSM A,M"' K,our« r. Romaine. Montluçm (Allia! SIIM M"1" Morin. r. Boi.Mn, Su'nt-Etienne.

M»b "^Zrr francs 1 A 'M. Combe, gartfiea aus abattoir.. Chatcau-Landon 1J2SM M. MawDupriet. 14. r. de 1. Chapelle. Templeman 10«47i M. Folle», cite du Pcn«<)e.Gui.e. Saint-Quanlin (AA 2274U M. Dumontiv. r. de Barcelone. Rouen A(M. Paris Leienul. Pocancy. conv.de Virtu. (Marm). IMS72 D total 23MN Ai M. Mamet. r. de la Solidarité. Montlucon (AU 21MSJ B[ C/ieatBOlimnenI Mal 5.000 franc. A M. Hourrin. r. du Canada. Quarouble (Nordt. B M" Carlier, r. du Canada, Quarouble (Nord). •424*1 C M. Craudin. r. du Canada, Quaroubla (Nord). 2M487 A M. et M"' Hectrwr 68. r du Vendredi-Saint. C, Rvr&ountnnl 1 0 iilïCWt. 2M4.7 D1 Mat. M.\Jm\J\J\J 279ill M" Cania. ci« de l'Arbalelte. Mondaville (Calv.). 2S442O M. Pondeux. quartier Hls-niere. Hafetntau (Landeal 2»1»M A, M"« Amiel, Tucban (Aude)

AtM. et Mille Que.nel. bourrelier.. F!er.Noye 3US21 A M et M"f Cutaint, total. Lyroi. Ubourne (Gir> II MU» H

3S32M AIM"" Alféi. r. Bennnd-d<-C»th. Bordeao» (Ci,). 1I32M B rfemlamemenf total SMt francs./ MM« AIM. San.. S. de h Vernede. NiMai. (Hérault). 3O7M A Vouvrsy (I.-et.L.X î«sa «̃ lO.OOO{r44M9S M. Fourneau. Saint-Nicola^d'Aliermont (S.-l.) 42M92 A M..1 M»" Couiaet. 70. r. VicL-Maud'hui. CaOMO. 423J92 Bt total franc. 42MM B' 42t2Sl B> 429SW B' IRtmioanetntnt Mal 5.900 franc. 4343M A\M. Monfort. r. Csvée-Verte. S.nvi: (S.-InfJ. 4M39» Bt (Rtmhurimmt Mal S.M9 franc. TITRES. DE 5.000 FRANCS

(2S19 M" de Msttea. 2. r. Villafranche. Montpellier (H.). HSm M"< Bedet. r. da Chêne. Condi-.ur-Noireau (CalvJ. 11 Mmt Cstié. Ssint-Sulpi. e-la-Pointe (Tarn). 1 A M"> Bruncan. La Tourlandry. par ChemitU. 17IHE. B (Rfnkauricmtnt Mal 10.00» francs./ 22S7S AiM. Germe. Ores (Marne)

B r/Wourxmenf Mal 10.800 hues 2Sfl*V M. Coquibu*. cultivateur. Sencey-lea-Rouvray. (C-O.). 2S7489 A M. Laioutte. epicene. r Bnio Tniiy (RhoneX B Cfit^ouncnenl total 10.000 franc. M*' Bur!e-D<rtce'lte 50. avenue Bellevue. Nice. 306S32 M. Durand, cultivateur. Be.tières (Hte-GaronnaX 1082n M– Picq. Saint- Julien-du-Gua (Ardeche). |09«l2 M'u Kerhonu. r. Msrerujo. Pontivy (Vforbihsnl M. Heltier. r. d'Ause. Csen (Calvadoa) IU71J A M"' Larrure. r. Victor-Hu«o. Carcanonne. 12U29 AlM'" Allais r. de Coulmier.. Nantea (L-InfJ. 121129 B' f/bmioimeme/if Mal (««M francs./ A.M. F.bi.ni. 3. r. La Fontaine. Tennier (Aiane). B rfteoilotir>emei>f Mal 10.0M franc. AiM. et M"1 Bordenave. Moniteur, p. Hantmaa. B' (Rtmhm.untnt Mal franc/ If 50.000"

B\ rand (Puy-de-Dome)l c) francs M94S4 M-> Rin. >. Mannonr. Beaulieu-a.-Mer CA^AU TITRES DE 1.500 FRANCS

TARIF H

M. Lacaipentier-Pinon. Rosjem.nfSanlam. TARIF HB

au. M» Svade. 43. r. de la Liberté. Sujesn (Aude» TITRES DE 2.500 FRANCS

TARIF E3

STEM M. Anlot du Vieil-Am.. Birfin (P-deXA

Divers

6 montres p. 17 fer. n?t. CATTIN, Morteau. WATEBIEI. AQBICOI.B

Brouettes 48 fr. Echelles 27 fr. Bêches 4,50. Chassis de couche 19 fr. Tonnelles, 148 fr. Tf PP. 42 grat. Max, 96, bd Diderot. Paris CHIENS

Exp. t. races. Chenil, 184, av. Italie, FONDS DE COMMERCE ET INDUSTRIE

ALIMENTATION-CAPES-VINS

BUVETT3S-BE3TAURAKTS

Ménages trav. pour Dépôts Vins-Aliment., Bén. 90 à 150 fr. p. j. Logé. Ft 6 à 10.000. BOVA, Mandat., 1, rue Mondétour. M» Hall. CAPITAUX

prêts à Fonct. et assiin., taux tr. bas. Rien d'av. Banque Spéc d'Av. 15, r. d'Athènes prêts immédiats à Agricult.. Commère. Prol priétaires et personnes solvables. DlscréL Carage Mutuelle, 133. rue de Rome, Paris. PRETS à Commerçants, Industriels, riUjlJ Agriculteurs, Propriétaires, Hypoth.. Nantissem., Fonds de Commerce. Caisse Générale, 167, rue Montmartre, Paris FONCTionnaires, PRET$ la jour même. rUnUsTKF, 37, r. Coquillière. Me Halles PRETS A TOUS depuis Avance pr Fds de Cce. Industr., AgriculL, Propriét., Fonctionn. Avance pr s'établir. RENSEIGNEMENTS GRATUITS

L'ACTION COJIMEBCIALK FRANÇAISE 17, r. du Faubourg-SAINT-MABTIN, Paris ABGKNT dep. 4 pr gérance ou commerce. PRETS à Fonct., Comm., Indust., Agricult. DUBOC, Itl, boulevard Bonne-Nouvelle. Prêt imméd il FONCTION., GENDARMES, Kmp. eh. fer. DKLPHtN, 23, r. Abbeville. rAUfT Prêts 1.000 fr. suite. Taux exc. Office C.F., 21, pi. République Pour PRETS aux meill. conditions à tous sur Fds Commerce, Industr., Propriété, Agrleulture, Immeuble, Pavillon, Terrain. ur s'établir ou pour acquérir, etc., venez (m écrivez. Examen rapide. Réponse Krat. EDIT I)F, FRANCE, SI, r. Turbigo, Paris vous prêtera en 24 heures à 8 T/AN.

in h. disques.

19 h. « L'artisanat et le monde moderne r, par Robert Tailledet, président de la Confédération générale de l'artisanat français.

20 h., c L'élevage de la carpe en étang causerie par M. Guillot.

20 h. 5. conférence littéraire par M. André Lamandé.

20 h. 15, entr'acte.

20 h. 30. théâtre l'Embrasement », en 3 actes de Gaston Sorbets, avec le concours de Jacques Berlioz, Maxime Fabert, Germaine Delbat et Suzanne Gonnel.

h. 45, au cours de l'entr'acte causerie sur la mode causerie par M. Xavier de Hauteclocque, du journal « Gringoire x. 22 h. 30, dernières informations.

RADIO-PARIS (1.724 m 1). 7 h. 45. disques.

12 h., conférence protestante.

12 h. 30. Symphonie écossaise (Mendelssohn) Don Carlos (Verdi) Sérénade (Braga) Ma Petite Lilloise (Gardon!); Mariquitina (Borel-Clerc) ballet d'Isoline (Messager).

13 h. 5, Musette en rondeau (Rameau) le Coucou (Daquin) Rigaudon (Thomé) Prélude en sol (Chopin); Etude en la mineur (Chopin) Arabesque en mi; drsbesque en soi (Debussy).

13 h. 35. Sur un marché oertan (Ketelbey) Chez le tailleur les Marins breton; la Damnation de Faust (Berlioz).

1S h. à 19 h., Conférence.

19 h. 20, Berceuse (Ravel); Suite ukrai-

M1" Raiin. 31. cité du Petit-Montrejtan. Amen. 1M295 M. Mourlevat. cultivateur. Joailleua. p. Marcilly (L.) 3(9*09 AiM. Renoud Grappin. 16. r. Ferrure. Avirnon (V). 15.000 francs A M. Caler, r. de l'Hôpital. Martrei-Toloaane (H.-C 50.000 M. Kiene. r. Eiqutree. Chiteaurensrd (B.-du-R.). 1S4S97 M. Riichioni.rte du Moni-Ajtl. La Turbie (A M.). 19MM A M'" Combol. Kérauton en Sl-Pol-de-Leon (F.). MM99 Ci (fUmbourKmcnl Mal 19 franc. B rfeothniricmcnf Mal franc. 3N594 A'M°' Chaloppe. r. Bréard. Vill.neuve-I' ArcKtveque 199S94 Dl Mal £m*\J»\J\JVJ 404JM A M. Wodner. Z6. r, de la République. Orsacr (Seine).

I! 50.000 M. Doncet. f. r. du Canon. Touron (Var). M" Crouiet. r. des Auiu.tina, Montpellier (H.). A/M. et M» Renard. Miremr. p. (YJ 50.000 44I90S A M. et M– Auter. ferme de l'Alouette- ReMO. 441805 B, Msltos (Ct-InU

A M. Piolle. r. Jacouart. imp. Lemanhud 443250 Bl Petit-Quevilly (S.-lnf.)

oU.UUU f 453IM A M. Baux, boule». Grnot, Canre. (T.m). B| Mal • 10.090 fr«c. AwM. Lequeux. Omseny. p. Vailly-.ur-Aisne (A.). B' ( Rtmioarutunt total franc. 4S9392 A>M. Calmon. aux Onde8. corn, de St-Vite (L.-«t.G.). 4595J2 b' total franc..1 A Maa veuve Boucher, forêt Sainte-Croix, p. Etampe. IMIM S\ Mal:

50.000 M" de Dio.. MaureilU. (?-OX

M1" Spitalidri. av. Stephen-Picbon. Ridés (TunU!<). 474579 veuve Coroner. FouqueKourt. p. Méhsricoutt. 474579 Bl (Remkmntmtnt Mat 10 0M frsncs.i TITRES DE 10.000 FRANCS

M. Reynaud. poste de Monteux. 'Carpentnt (Vaucluse) 4ZSM M. Pourid. V <̃ des Forges. Montluçoa (Altier). A MM. et M™" (Cergott. Locmenvenen en Cuictin sssf' fttr 4O.OOOfr- D M"* Cardinal. Locmenvenen en Guiclan (Finist.) M"' Teywtre. 30. av. Sainl-Latare. Montélimar (Dr.) TITRE DE 15.000 FRANCS

M"' Pennetier. r. Montsim (V.)

TARIF

1279M M. Le Roux. 19. av. Geor(e.-Biiot. Nantes (L.-U. M– Ouaud. Saint-Colombin (L.-lnf).

147(3S

10.000 francs A M. Quia, quai Lormont (Gir.J 8 (Rcmhotmtmv* Mal 5.009 francs./ 3TITRES DE 5.000 FRANCS

TARIF Il

M- Upine. '5. r. FaWniere CAiuuJ. M. Manon. 6. r. Djpleii. Pari..

A.M. Douisot. Croton (Jura).

Bl Mal .10.00» (r. ne. M" Vai.»ere. 90. f. de 1. Confiance. Montferrand.

MARCHE IMMOBILIER 2 MAISONS à Paris. Adj. ch. not. 7 mars, 14 h.: 1' Pas. Puebla, 13. Cce 270 m. Rev. br. 25.353 fr. M. px 150.000 fr.: 2° bd ViUette, 110 et 112. Cce 1.150m. Rev. br. 47.298. M. p. 400.000'. S'ad. More! d'Arleux, not. Paris. 5, r. du Renard, dép. cah d. ch. Adj. et. Gauwain.not. àClichy,16 mars, 14 h. prop. CLICHY (Sné), r. Martre, 57 bis. Cce à 45om Rev. br. 28.089'. M. à p. 200.000'. Cons. 50.000. S'ad. M" Moisson, à St-Germain-en-Laye, et Gauvvain, à Clichy àParis-4' R. Rev. br. 15.590' + 1 étage vac. M. à p. 200.000'. Adj. ch. not. 14 mars. S'ad. aux not. M" Laeuffer, Bucaille et Champetier de Kibes, 10, r. Castiglione liaison de rapport à Paris (XVI* arrond.) RUE PETRARQUE "«feSSEÏ.» Cont. 233 m. env. Rev. br. 66555'. M. à p. 725.000'. Adj. ch. not. Paris, mardi 21 mars 1933, 14 h. S'ad. à M. Mombelet, adm. d'im. à Paris, 24, r. Rivoli, et aux not. M" Bldaut. à Sceaux, et Breulllaud. 323. r. St-Martin, Paris Vente au Palais de Justice à Paris, le jeudi 16 mars 1933, à 2 heures IMMEUBLE A BOBIGNY IVne- Varlin. M. à p. 3.000 francs. S'adresser à M« Paul Bazille, avoué à Paris.

Vente au Palais de Justice à Paris, le samedi 18 mars 1933. à 2 heures IMMEUBLE A VILLEMOMBLE 23. rue Lamartine. Mise à prix 8.000 fr. S'adr. à M' Paul Bazille. avoué à Paris. 3QH W I 11 FRCMONT Viiiefranch. Bourgogna (»̃«>••) V(7O KL ̃ O .orme..

Commerçants, Industriels. Agnciltteurs, Propriétaires, Hypothèques, Nantissements, Avaoces sur titres et marchand.. Ouverture crédits, Associations. Mile en Société. Employés inUre» FONDS de COMMERCE Ëcnvw de suit* CAISSE GÉNÉRAL»

167, r.Montmairtrs), PARIS Réponse ratulte

VIN

naturel, la p. 205 lit., port, fût, rég. tt compr. 365 fr. 3 échant. gratis. Tiercelin, pr., route Darle. Nimes.

nienne (Rubinstein); Sérénade à Pierrette (Szulc); Jota (Cools).

20 h., théâtre d'Indrogent (Vildrac) Lapointe et Ropiteau (Duhamel).

TOUR EIFFEL (1.445 m. 8). 12 h. 30, la Danse des libellules (Lehar); Clvevanx, parties plus vite; Valse du soldat de chocolat (Strauss) Mélodie populaire; le Roi awx peux gris (Wertinsky).

13 heures à 16 h. 30, chroniques diverses. 17 h. 45, journal parlé.

19 h. 30, musique russe Shéhérazade (Rimsky-Korsakoff); Mort de Boris, chantée par Chaliapine; la Foire de Sorotchinski, Danse petit-russienne (Moussorgsky). Musique variée: Vindobona (Léopold); les Cent Vierges (Lecocq); Sérénade chinoise (Siede); Danse japonaise aux lanternes (Yoshitomo) les Primes pour tous (Myne); C'est moi qui fais tout fGabaroche); Mille et une nuits (J. Strauss); Citoyens de Vienne (Ziehrer): l'Acrobate (Robrecht); les Moineaux insolents (Lohr); biarche des petits pierrofs (gosc).

PARIS-P. T. T. (447 m.). 8 h., informations.

12 h., devinettes historiques.

12 h. 15, chronique du tourisme.

12 h. 30, concert.

13 h. 30, disques.

15 h., concert aux malades des Moitaux. 18 h. 15. émission du radio-journal. 19 h. 30, cours d'allemand disques. 20 h. 30, le Crocodile, comédie de Wicheler. Danser.

RADIO-VITUS (308 m.). 30 h., causerie.

Cire

Magique de Beauté

En une seule nuit, cette nouvelle cire magique de beauté transforme une peau grossière, sombre et rêche en une peau douce, claire, d'un blanc naturel. lie fui tout d'abord employée par les femmes du Midi de la France! lorsqu'elles découvrirent les surprenantes propriétés de blanchir la peau, de la cire de fleurs pure et vierge actuellement connue sous le nom de Cire Aseptine. Tandis crue la substance onctueuse et blanche penètre doucement dans votre peau, la couche rugueuse extérieure est amollie et se détache en fines particules, pendant votre sommeil. Le matin, ces rugueuses et vilaines écailles de la peau s'enlèvent par simple ablution. Les points uoirs disparaissent les imperfections du teint s'effacent. A vos yeux se révèle la beauté de la nouvelle peau claire, fraîche et blanche qui se trouvait cachée. Appliquez également de la Cire Aseptine, sur le visage et sur le cou, ainsi que sur les épaules, les bras et les mains, autrement, le contraste avec la nouvelle carnation fraîche et blanche du visage serait trop marqué. Demandez aujourd'hui, à votre fournisseur, de la pure C'tre Aseptine et essayez, cette nuit même, cette cire magique de beauté.

Tube d'Essai. Pour apprécier vousmême la valeur de la Cire Aseptine, envoyez-nous un franc en timbres et un ample échantillon vous sera envoya immédiatement. Adresse: Cire Aseptine, Service 1 B rue Auber, 7, Paris.

agriculteurs.

mieux vaut tard que jamais. vous pouvez encore épandre votre

Superphosphate de chaux il peut être appliqué en tous temps.

commandez

L tout de suite

l'illfln en bar. 205 1., pt, rég., fût, n J »»• U Inltt comp. 3 éch. grat. V" Marie Botuc. pï.,7 ter.St-Lue.p.NimenUTU

heures Icmin.. verres et mous. incas.

•tsa jolie chaîne. Garant. 6 sas 9 Ira

Chronomètre antimainéUqon., M ha

Bracelet homo». cadran lomia. Hfrs

Bracelet dama. plaq. or ou or,. 25(rs

tna. contre remboursement. Echange admit

Fabrique r. i.YNIM MorteauFruBosanfon

10 MOIS DE CREDIT

Cycles Fauvet, 21, r. de la Vistule, Pari.9-13,

Métro Maison-Blanche

Homme course darne^rigoureusem. 240 270 garanti 5 ans Magasin, ouvert Tim. et têtes Catalogue gratuit

IJlIïnat., le titre. port. fût, régie 1 fr £ comp. 3 éch. 3(. timb. Roger I 11.1 I lll Charles, pr..S'-Césaire (Gard) 1 UU Cycles PARIS-SPORT FABRICATION SUPtRItUBC OEFUta

l95

CATALOSUI GRATUIT .VOIR NOS fACTtlTtS De PAUMENT 43,Boulevard Vol taire. PARI 5 (XKÎ VOUS, QUI SOUFFREZ DE LA PEAU

Qu'il est ridicule de ri© pas dormir pendant des nuits entières à cause 3e cette angoissante driiianfeaison, quand on peut acheter le REMEDE D. D. D. Ce liqnide calmant est le remède qu'il vous faut si vous snuffrez des maladies de la peau. Il rafraîchira instantanément votre peau enflammée et vous permettra de dormir tranquillement. Vous vous réveillerez le matin ralraichi. Toutes 1rs personnes souffrant de l'eczéma ou d'autres rnaladies de la peauet qui ont employé leREMEDED D.D. ont eu une sensation de bien-être immédiat et ont éprouvé ce calme qui vient lorsque l'irritation n'existe plus. l,c REMEDE D.DJJ. pénètre profondément dans les pores de la peau; il tue le germe qui y est caché et donne alors le soulafremenliramediat.il est invisible après apdlication. c'est un liquide, pas une pommade, et ne salit pas le linge. N'attendez pas, cmployrz ce remède célèbre aujourd'hui même. Chez tous les Pharmaciens 6 trs le flacon. Pharmacie Scott, 348, rus St-Honoré, ParieHERRI 187 ni» du Temot» M» Repnblion"1 Changement d'adresse de nos abonnés Nous prévenons nos abonnés que toute demande de changement cL'adi esse doit être accompug née de ta dernière bande du journal et de 1 franc pour frais de réimpression de nouvelles bandes.

Maurice Bernard, imp.-gér., 18. r. d'Enghien

20 h. 30, Cassc-Noisette (Tschaïkowsky). 21 h. 15. Symphonie, op. 14 (Berlioz) Nuits darta les jardins d'Espagne (Menuel de Falla) blaxeppa "(Liszt) Danscs iwrvégiennes (Grieg).

RAD10-L. L. m.). 12 h. 30, concert.

13 h. et 19 hv informations^»

RADIO-STRASBOURG (34a m. 2). 11 h. 30. 13 h.. 30. concert.

20 h. 30. Une nuit sur le mont Cisauve (Moussorgsky) Concerto pour piano et orchestre (Tschaïkowsky) Symphonie e scandinave (F. Casadesus) Ames d'enfants (Jean Cras) Suite grecque (P. Bazelafre) Rapsodie in blue (Gershwin).

ET ÉTRANGÉRES

LANGENBISRG (472 m. 4). 6 h., disquels.

12 h.. Fackeltanz (Meyerbeer) Suite lyrique (Karganoft) 0 jeunesse, que tu es belle (Abt) A la Weser (Pressel) Coppélia, air (Deiibes) Rhapsodie en ut majeur (Dolinanyi) Zouberih^k (Marchetti) Danse des elfes (Heykens) Perles des marchea allemandes (Blankenburg). 21 h. 50, musique légère.

DAVENTRY (1.554 m. 4). 12 h., orgue. 20 h. Etude cn fa, Etude en mi mineur, Scherzo rn si bémol mineur (Chopin). 21 h. 35, Prométhée (Beethoven) Fan·taisie sur des airs d'écoliers (Walford Davies) l'Ours apprivoisé (Elgar) les Deux Chats (Tschaïkowsky) Marche des petits soldat» de plomb (Pierné) la Violette; Symphonie de l'horloge (Haydn).

Histoire dhier,

-le voudrais, Monsieur, un ameublemeni qui fut, la I fois, si possible solide, élégant et bon marché. On m'a dit qu'aux établissements LEV1TAN.

Mais. certainement. Madame voici du chêne massif.

sur ce Joli modèle en Ronce de Noyer, étudié Jus- I qu'eh ses moindres détails pour offrir à si bas prix la maximum de confort.

C'est que j'ai déjà un mobilier dont Je voudrais bien me défaire 1

Qu'à cela ne tienne. Madame, adressez-vous et notre Service "Echanges qui vous repren dra vos meubles en compte et n'oubliez pas que tous nos meubles sont

Mais je ne dispose eue de bien peu de place deux pièces seulement I Voici donc nos Mistudios Madame, qui vous permettront de combiner deux mobiliers en un seul Décidément, Monsieur, vous avez réponse à tout, Je vous passe commande sans plus tarder

63.BOUI" Magen ta • Paris 4,Rue Faid herbe, Ll LLE (9,Rue deCrosne,ROUEN jRQftj tWftœAÎ I gratuitement *>Cltt>teaU*

NOUS ACCEPTONS EN PAIEMENT, ET SANS FRAIS, TOUS TITRES D'EMPRUNT D'ETAT FRANÇAIS.

VIEILLARDS

Chaque jour qui passe achemine notre organise vers la vieillesse. i,e vioillnrd se nourrit peu et assimile mal; aussi doit-il lutter contre l'affaiblissement qui en est la conséquence naturelle. Puissant réparateur d'énergie, le VINdeVIAI au Quina, Lacto-Phosnhate de CI et Substances extraotlves de la viande est alors indispensable. C'est un tonique qui stimule et soutient et qui répartit partout où on l'emploie FORCE

VIGUEUR

SANTÉ

BULLETIN COMMERCIAL MARCHE LIBRE DES GRAINS. Blés, base de 76 kilos l'hectolitre, livralqon immédiate Beauce, 98 à 99 Loiret, 98 à 99: Touralne, Indre, Loir-et-Cher. 101 à Poitou. 103 à 104 Anjou. 100 à 101 Allier, Cher, Nièvre. 103 a 105 Pïs-de-Calai3. Nord. 99 à 100 Aisne. 99 à 100 Eure, 97 à 9S Aube. Marn^, Seine-et-Marne. 99 à Yonne. Côte-d'Or, 101 à 102 Sarthe et Mayenne. 99 1 Morbihan, Côtes-du-Nord. Finistère. 101 à 102. Sons ordinaires, disponible, 42 à livrable, sans offres belle quilité, disponible, 44 à 46 livrable. sans offres recoupettes, 31 à 35 remoulage 40 à 55 Seigle Beauce. Loiret, 68 a 10 Champagne, 68 a 70.

Avoines grises printemps Beauce, Eure, Brle,.72 à 73. noires Centre. 74 il 75 gri- aes d'hiver Poitou, Centre. 78 a Bretagne bigarrées. 72 Il 73 noires, 78 à grises. 75 à 76 blanches, à 73 blanches et jaunes Nord. 69 à iO blanches pures de Brie et de Picardie, 69 à 70. Orges Beauce. 78 à 79 Sai-the, Mayenne, sans offres Berry, 74 à 75 Gâtinais. 79 à 80 Champagne, 79 à Poitou, sans offres orges de mouture, 65 il 67. Escourgeon.: Beauce, 68 Champagne. 70 Sarrastn Bretagne, disponible, "9 à 81; Limousin. SI à 85 Beauee. 82 à 83. POMMES DE TERRE. Paris, 1" mars. Au marché des Innocents, on cote les 100 kilos départ région de Paris hainaut, 35 à 45 hollande commune, 30 &

El crue per.sez-vous de cette salle manger ? .C'est Madame, une exclusivité Lévilan I

Une merveille en effet. Monsieur.

l'attire également. Madame, toute votre attention.

qarenlis par un certificaf spécial. que nous accoraons de laraes facilités de paiement et, de plus, que tous nos mobiliers sont entretenus gratuilement pendant trois ans.

Vous voyez ici un de nos iameux Lévitanïuxe un ensemble de grande classe qui ne vous coûtera, 1 malgré son exceptionnelle richesse, Que 5.000 Frs.

Ah j'oubliais, pour la livraison ?. j'habite en 'Province.

Nous effectuons nos livraisons franco à domicile. pour toute la France.

nOUUEflUTÉ HEURES SRUTûnïES Ni Verre Ni Aiguilles Lecture Facile

OaslitéMtra .oijné» 19'- » bracalridawiibfBr.aaiit.B8»- M.r,.#KAPLUS SAUTANTE 3* ». » bractlftpUqaéoràsijnil.35 t. Cal«ndriarmgaitr«be»reiMiit.. 2OI. » bracelet boami. à aifiillea 14

Exigez la marque KAPLuS Garantie 10 ans. Envoi contre remboursement

USINE n i uini no K Place de u République D HORLOGERIE D. A. AArl»U«, PARIS

Va raison du délai nécessaire à la transmission des chèques postaux, nous prions Instantment nox lecteurs dont l'abonnement expire le 15 Mars, de bien vnuloir le renoaveler dès maintenant, afin d'éviter tout retard dans l'envoi de leur iournal.

30 esterling, 18 à 20 flouck. 15 à 16 région du Nord esterling, 19 a 20 rondes jaunes, 17 à 18 Bretagne saucisse rouge, 22 à 27: rondes j .unes. 16 à 17 rosa, 25 à 30 fin de siècle, 19 à 20 flouck. 19 Loiret parisienne, 16 étoile du Nord, 23 à 25 saucisse rnuge, 24 à 2b rondes jaunes. 15 1 16 rosa, 38 à 40 Sirthe institut de Beauvais, 20 à 22 rondes jaunes, à 17: Marne, rosa. 42 à 45 Poitou saucisse rouge. 25 à 28.

COTONS. Le Havre, 1" mars. A terme. lea 50 kflos mars. avri' 'J08; aeptembre, 210 octobre. novem- bre, 211 décembre, 213 janvier. 213 février, 214. Ventes 300 balles.

CAFES. Le Havre, mars. A terme, les 50 ktlos mars. 181 avril, 1S0 75 mal, 177 25 juin, 177 juillet, 175 août, septembre, 175 octobre, 174 50 novembre. 174 décembre. 172 50. Ventes 750 sacs.

SUCRE: Tendance soutenue. Ouverture courant. 2i7 à 217 50 P avril, 217 P mai, 217 50 P 3 d'avril. 217 50 P 3 de mai, 217 50 à 218 P 3 de juin, 217 50 P 3 d'octobre, 207 à 208: 3 de novembre. 207 50 P. Clôture courait. 217 à 217 50 P avril, 217 50 à 218 P mai. 217 50 à 218 3 d'avril. 218 P 3 de mai, 218 P; 3 de juin, 21S P 3 d'octobre, 207 P 3 de novembre. 207 50 P. Cote officielle du disponible. 217 50.

FARINES PANIKIABLES. Les farines panifiable% valent actuellement 163 francs les 100 kilos.

AUX HALLES HIER Baisse de 0 au Kïio sar le demi-porc, 7 50 à 11 UU les longes, 10 ;t reins, 9 50 à 12 3U les jambon?. iO à 15 80 la poitrine, 7 Il 5'J le lard, à 7 S0. Le bœ:if, le mouton et le porc saus changement.

le 0 SU au küo sur le tapin mort, 11 75 a 12 S0 sjr W poulet du :i>li, 15 à 17; Baisse de 0 70 -ur ds lait, 8 à 11; ordinaire*, il IL

Hausse le horr.ard fr;inçMis, 16 à lotte, 5 :i

Lea heurfs ttr.s valaient, au Ui!o. de Il 50 à >j oiciiMlres. 10 à 16 50. et les œufs, de À .'O'i \z m;1?.

Baisse ? du Cap, 40 à 60 la

le MOUVEMENT DES NAVIRES >?avirci» attendus

A Cherbourg, 1«* mars Brcmen, venant de Xtvv-Ycrk.

A Cherbourg, i-3 2 m'ars .Vc ic-Ynrk, venant de New- York.

An Hsvt?, le 3 mars Manhatictft, venant de New-York.

Au Uavrtî. le 4 mars City of Baltimore, venant ae BaIU;ïiure.