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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1932-11-17

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 17 novembre 1932

Description : 1932/11/17 (Numéro 20351).

Description : Note : Dernière éd..

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k627550w

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 06/12/2010

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LES GRANDES ENQUETES DU « PETIT PARISIEN » Sous le masque japonais

LA DEBORDANTE POPULATION ET L'EMIGRATION

par Andrée VIOLLIS.

On dit que certains ascètes nippons, dégoûtés du progrès et de la civilisation occidentale, se retirent, pour y méditer, dans la solitude. Je veux bien le croire. Mais où la trouvent-ils ? Dans ces régions montagneuses, envahies par la jungle, qui restent, paraît-il, aussi .désertes qu'aux premiers jours de la création ? Peut-être. Car partout ailleurs la solitude au Japon semble bien un mythe.

Parcourt-on, en chemin de fer ou en auto, les régions cultivées du pays, que ce soit le long des côtes déchiquetées ou dans les plaines creusées de profondes vallées, à peine aperçoit-on de temps à autre un coin sans toit. Les villes rejoignent les villages et ceux-ci se succèdent presque sans transition. L'on ne sait jamais trop quand finit l'un et quand l'autre commence. Et serrés dans les rues interminables, trottant le long des routes, courbés dans les champs, accrochés aux rivages, suspendus aux pentes, pullulent et grouillent des millions d'êtres jaunes, agiles et prolifiques. Humanité décente d'ailleurs et qui n'a rien de l'ordinaire pouillerie asiatique, mais qui doit trouver du travail, de la nourriture, des vêtements et qui se gonfle, flue et reflue, déborde dans de trop étroites frontières. Angoissant problème. La population du Japon qui, jusqu'à la Restauration, était demeurée limitée, a triplé en un demi-siècle en dix ans elle a augmenté de huit millions, et c'est maintenant à la caaence de plus de 900.000 par an qu'elle s'accroît. Pour un territoire de 380.000 kilomètres carrés (alors que celui de la France atteint 550.000), le Japon proprement dit, au recensement de 1930, comptait 64 millions d'habitants, 83 millions avec la Corée, Formose et les petites îles. Ce qui est déjà joli. Mais si l'on prend uniquement pour base la surface cultivée, productrice, on arrive, en densité de population, à l'énorme chiffre de 969 habitants par kilomètre carré, alors que la Belgique, où pourtant aucune parcelle du sol n'est perdue, n'en compte que 394, l'Angleterre 226, la France 108. Le Japon est donc le territoire le plus peuplé de notre planète. Et ce n'est pas fini. Nous autres qui devons lutter contre un mal contraire, ou du moins ce qu'on appelle un mal, nous qui avons entendu tant de gémissements sur notre dépopula- tion, pouvons-nous concevoir un pareil fléau ?

Le gouvernement japonais ne cesse d'y penser. Comment endiguer ou détourner ce flot montant qui menace de submerger le pays ? Il y a bien ce que l'on appelle le contrôle des naissances. Il fut ouvertement pratiqué pendant trois siècles, du xV au xix', au temps où le Japon s'était isolé du monde. Les Shoguns, ces hommes perspicaces, prévoyant le danger, avaient décidé que l'Empire ne dépasserait pas vingt-cinq millions d'habitants. La limitation des naissances était non seulement permise, mais l'avortement était légal et même, dans certaine cas, imposé, sous peine de condamnations rigoureuses.

L'empereur Meiji, après avoir ouvert les frontières du pays, se conforma pour cette question aux principes européens et adopta même la législation française qui réprime sévèrement toutes les pratiques tendant à diminuer le nombre des naissances.

Cependant, en 1927, au temps du cabinet Tanaka, le danger se précisant, on décidait d'en revenir aux vieilles idées du temps des Shoguns. Des médecins spécialistes étudièrent les moyens de limiter les tendances trop prolifiques des Japonais, et des conférenciers venus des Etats-Unis furent chargés de répandre par le pays les éléments du malthusianisme.

Mais cette propagande n'atteignit pas ceux auxquels elle était destinée: l'énorme masse des travailleurs et des paysans étant trop ignorante et trop insouciante pour tirer de ces belles théories des conclusions prati- ques. Par contre, elles firent dans les milieux intellectuels et bourgeois de tels ravages que les autorités, craignant de voir chanceler l'antique morale et disparaître l'élite du pays, arrêtèrent la campagne de conféren- ces. Toutefois, elles ne défendirent point de diffuser par la voie de la presse les notions nécessaires au contrôle de la natalité.

Parmi les Japonais fascistes, il en est d'ailleurs, et. en nombre, qui s'opposent à cttte campagne.

La population d'un pays est un des signes de sa force et de sa vitalité, disent-ils. Elle peut, elle droit devenir un aiguillon, un levier d'action et d'expansion. Le malthusianisme est une preuve de décadence. Et l'Empire japonais en est à l'ascension.

Quelques-uns ajoutent même Un peuple qui étouffe chez lui est obligatoirement, mécaniquement contraint à la guerre et a la conquête Andrée VIOLLIS.

(La mite la quatrième page.)

M. CAMILLE «TEMPS ORGANISE LA LUTTE CONTRE LA VIE CHERE Avec la collaboration de la commission de surveillance des prix, le ministre de l'Intérieur entend faire baisser le prix de la viande et créer dans l'économie générale le compartiment de « l'économie familiale »

Un projet spécial prévoit la vertte à prix réduita des denrées aux chômeurs

Jt. Chttntemps

Lutter victorieusement contre la vie chère est un rêve caressé par tous les gouvernements d'après guerre. Mais pourquoi faut-il que dans cette lutte, entreprise vingt fois et vingt fois abandonnée, le consommateur soit toujours vaincu ? Le nombre serait-il une faiblesse ? Et ne devons-nous pas plutôt imaginer que toutes les campagnes, nées dans l'exaltation et mortes dans l'indifférence, partaient d'un principe faux, d'une base incertaine et peu sûre ?

Sans vouloir escompter avec un optimisme de commande les résultats de l'effort présentement accompli par M. Camille Chautemps. ministre de l'Intérieur, et la commission permanente de surveillance des prix, on peut du moins s'appuyer dès maintenant sur une certitude la. lutte entreprise contre la vie chère n'aura pas été, une fois de plus, une improvisation. On en jugera par les déclarations intéressantes, les idées neuves que M. Camille Chautemps a bien voulu nous exposer pour les lecteurs du Petit Parisien. Depuis la formation de la commission de surveiance des prix, nous dit-il, nous avons'cherche à dêterminer, par une étude objective des diverses statistiques et des indices, le coût actuel de la vie.

Pour obtenir des résultats, il faut avant tout étudier le terrain sur lequel on va s'aventurer. Cette première étude, nous la devons à M. de Monségou, rapporteur au Conseil nationale économique.

A l'aide de documents contrôlés, de statistiques nombreuses, nous nous sommes familiarisés avec l'arithmétique ménagère, et nos recherches ont montré que la courbe du coût de la me, qui s'était fortement élevée de 1927 à 1930-1931, baisse depuis cette époque et se tient aujourd'hui à un niveau légèrement inférieur à celui de 1927.

René MAZEDIER.

(La suite à la deuxième page,)

On trouvera à la 3* page le compte rettdu de comeQJ'ftoM, à la CaM&rs italienne, du « décennal fasciste. Une dépéche de notre correspondant de BerKm les pourparlers de Jf. t'on Pnpen d'orM et déjà à un échec.

GRETA GARBO A PARIS

OU LA STAR MYSTERIEUSE Greta Garbo, vedette de tant de films depuis la Rue sans joie jusqu'à à Mata Hari et Courtisane, est actuellement à Paris. Elle est arrivée il y a une huitaine, mais inscrite à l'hôtel sous son véritable nom, miss Gustafson, nul ne l'avait reconnue. Un hasard dévoila cet incognito et Greta Garbo en fut fort marrie, au point de faire interdire l'accès de son hôtel à tout importun. Un de nos reporters photographes a pu saisir hier soir sa silhouette alors qu'elle passait rue de Castiglione. Forme un peu imprécise dissimulée sous l'ample manteau de vison, tandis qu'un feutre de chasse dissimule ses traits.. Sa compagne, la comtesse Wachtmeister, la précède I comme pour monter bonne garde Le soir, la star suédoise assista, au cinéma des Champs-Elysées, à la pro-

jeet.tun du il.m Silence, on toMrme de son camarade Harold Lloyd, et y prit un plaisir extrême.

A ta quatrième page LB OONTB *-« 1 INNOCENCE Il ,< par J. BROHO ttOBX

M. Hoover de retour à la Maison Blanche confère sur les dettes Il s'est successivement entretenu avec MM. Ogden MiU<, Reed et StMMen Aucune décision parlementaire ne pourra, ïemt/e-t-, intervenir avant la date du 15 décembre

ON S'EN TIENDRAIT

A UN MORATOIRE DE FAIT New-York, 16 novembre.

DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER Les chances de voir-le Congrès ratifier un nouveau moratoire des dettes avant le 15 décembre paraissent ce soir bien minces.

Le président Hoover est rentré & Washington ce matin. Tous ses ministres étaient à la gare pour l'accueillir. C'était son premier retour à Washington depuis sa retentissante défaite aux élections due la semaine dernière. Ils auraient du lui présenter des condoléances, mais c'est une cordiale petite fête qu'ils avaient organisée pour lui. Aussitôt rentré à la Maison Blanche, le président a conféré pendant une demi-heure avec M. Ogden Mitls, sesrétaire du Trésor, et avec son ami, M. David Reed, sénateur influent. opposé & toute concession & l'Europe sur le chapitre des dettes.

M. Hoover a déjeuné ensuite avec le secrétaire d'Etat, M. Stimson. Ce soir, on ne sait encore rien de positif sur tous ces entretiens. On assure que M.. Hoover a été informé par tous ses visiteurs de l'opposition foncière qui existe au Congrès à toute revision des dettes et même à un simple moratoire. Ces avis ont-its impressionné le président ? On le dit. Maintenant opposé à une suspension pure et simple des paiements du

M. uaen Muta

15 décembre. envisagerait-il une suspension moyennant certains avantages ? Mais comment peut-on espérer, dans un laps de temps si court. conclure un marchandage quelconque? Pierre DENOTER

(La sudte d la troisième page.) Retour d'Allemagne

M. Patenôtre fait part de ses impressions

fVoir d la deuxième page.)

Il. Raymond Patenôtre

Attaqué par son client

un chauffeur marseillais réussit à le désarmer

et le met hors d'état de nuire Marseille, 16 nov. (dép. Petit Pariaien.) Un jeune homme hélait, cette nuit, à la sortie d'un cinéma, le chauffeur Paul Bietagne et lui demandait de le conduire dans la banlieue, à Mazargues. L'auto étant arrivée en pleine campagne, le client, s'armant d'un revolver, se flt remettre par le chauf- feur l'argent que celui-ci avait sur lui. soit 20 francs. Puis, toujours sous la menace de son arme, il invita le chauffeur à lui céder le volant. M. Bistagne dut s'exécuter. Mais le jeune malfai- teur était inexpérimenté et bientôt le moteur cala. Le chauffeur reçut alors l'ordre de remettre la voiture en marche. Il 8t semblant d'obtempérer. Mais, profitant d'une minute d'inattention de son « client qui avait toujours le revolver à la main. il parvint à se saisir de l'arme et il étourdit son agressfur en lui portant un coup de crosse dans la poitrine.

Des automobilistes de passage, alertés par M. Bistagne, transportèrent le blessé à l'hôpital de la Conception. Il s'agit d'un nommé Gaston Racauld. dix-huit ans, originaire de Niort (DeuxSèvres.

Racauld appartient à une excellente famille qu'il abandonna il y a quelques jours non sans s'être muni d'une partie des économies familiales. Nanti de cette somme, il se rendit en Corse. où il flt un court séjour. Après avoir épuisé une grande partie de son pécule. il gagna ensuite Marseille où, avec le peu d'argent qui lui restait, il fit l'acquisition d'un revolver qui. dans ses projets, devait lui servir pour assaillir un chauffeur de taxi. pour le dépouiller et pour s'emparer de sa voiture avec laquelle il espérait visiter la Côte d'Azur et l'Italie.

MME GUERRE M DANS LR CHINE DU SUD Un général tente

de force

le pouvoir au Koeitchéou Cependant que se dessine une nouvelle coalition entre chefs militaires nordistes et tudiatea mécontents, contre Nankin Changhaï, 16 novembre.

DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER Une nouvelle guerre civile vient d'éclater dans la province du Koeitchéou, située dans la Chine méridionale.

Un général a attaqué, avec sa division, le gouverneur qui, lui-même, s'était empare, par la force, du gou-

vernement de la, province, l'année der- nière.

La guerre du Koeitchéou est la troisième guerre civile chinoise en deux mois et demi.

Dans la province du Setchouen, les hostilités continuent entre les deux cliques de généraux qui, après s'être partagé la province pendant plusieurs années, luttent maintenant pour la suprématie. Dans le Chantoung, Hanfoutchou, qui ne contrôle que la partie occidentale de cette province, a tenté de s'emparer de Tchéfou et de la cote nord afin d'avoir un débouché sur la mer et de recevoir ainsi facilement des cargaisons d'armes venant de l'étranger.

Le gouvernement de Nankin avait donné Tchéfou à un général fidèle de Lui Chen Nen. Hanfoutchou, qui avait conclu un accord secret avec plusieurs grands chefs nordistes mécontents de Nankin, chassa Lui Chen Nen de Tché- fou. Toutefois, Tchang Kaï Chek put concentrer quelques divisions à la frontière du Chantoug, tandis que Tchang Hsue Liang en concentrait d'autres au nord.

Menacé d'être pris entre deux feux. Hanfoutchou abandonna Tchéfou et déclara accepter la médiation du gouvernement de Nankin.

Cependant, une nouvelle' coalition contre Nankin sembte se dessiner. Il s'agit d'une alliance entre certains grands chefs nordistes, anciens lieutenants de Feng Yu Siang. et les sudistes de Canton. L'ancien ministre des Affaires étrangères, M. Woo, membre du clan sudiste, est allé dans le nord conférer à Kalgan avec Feng Yu Siang, qui se pose en chef de la clique nordiste. Pour le moment, la coalition nordiste et sudiste se contente d'une offensive verbale.

A Canton, le chef du département des Affaires étrangères déclare que le rapport de la commission Lytton constitue une honteuse soumission au Japon et qu'il faut reconquérir la Mandchourie par les armes.

Dans le nord, Tchang Hsue Liang publie un violent manifeste contre Tchang Kaï Chek et Nankin, tenant le gouvernement pour responsable de la misère du peuple, de la corruption générale et des abus, ainsi que de la perte de la Mandchourie. Il s'agit de savoir si l'entente sera assez ferme entre tous ces chefs conjurés pour qu'ils puissent déclencher une nouvelle guerre civile sous prétexte de patriotisme.

Georges MOÏŒSTHE

L'AFFAIRE DES FRAUDES FISCALES MM. Berthoud et Renaud sont écroués a la Santé Les trois financiers suisses. MM. Berthoud. Renaud .et Joty. de la Banque Commerciale de Bâte, qui sont compromis dans t'affaire des fraudes fiscales. ont été interrogés hier par M. Audibert. juge d'instruction, et ont été inculpés pour n'avoir pas déclaré à l'enregistrement leur officine de banquier. Par ailleurs. pour ce qui concerne la non-perception de l'impôt de 20 sur les coupons des valeurs étrangères. les trois banquiers vont être inculpés dans les 1.018 dossiers répartis chez les 38 juges d'instruction du tribunal de la Seine.

Au cours de cet interrogatoire, qui dura plus de quatre heures, M. Georges Berthoud déclara qu'il prenait la responsabilité de toute l'affaire et de toutes les opérations traitées en France dans les succursales de la rue de La-Trémouille.

Il ajouta que, en son absence, lorsqu'il retournait en Suisse, c'était M. Charles Renaud qui avait la haute main sur l'affaire.

Dans ces conditions, M. Audibert, après en avoir conféré avec le parquet, délivra deux mandats de dépôt contre les deux financiers suisses, qui ont été écroués à la prison de la Santé. D'autre part, M. Audibert a signé deux nouvelles inculpations: celles de MM. Morel-Verscher et Bruger, tous deux administrateurs délégues de la Banque Commerciale de Bàle, auxquels il a notifié. la même inculpation qu'aux autres financiers suisses celle d'in. fraction à la loi de 1914. modifiée par la loi de 1930.

La responsabilité de MM. Morel-Verscher et Brugger, ainsi que celle du secrétaire de M. Renaud. M. Joly. f!t?.nt moins engagée que celle de MM. Berthoud et Renaud, ils ont été laissés en liberté provisoire.

Une explosion fait quatre morts dans une mine anglaise

Londres. 16 novembre (dép. P. Paris.) Au cours d'une explosion qui s'est produite aujourd'hui au puits n° 1 de la mine Cardowan, près de Glasgow. quatre mineurs ont été tués et dix autres grièvement blessés.

Rappelons que samedi dernier vingtquatre mineurs perdirent la vie dans des circonstances analogues. une explosion déterminée par le grisou ayant fait sauter ta galerie principale d'un puits de charbon près de Wiga%.

Un maçon italien larde une femme son ancienne amie de 25 coups de couteau Cette scène de fureur s'est déroulée à la tombée de la nuit, en bordure d'une route, prêt de MonteMon et devant une camarade de la victime

L'auteur Je cette sauvage agression a fm à bicyclette

ON CROIT QU'IL S'EST SUICIDE Un drame passionnel s'est déroulé dans la soirée de mardi route de la Borde, à Montesson, commune agricole du canton de Saint-Germain-enLaye. Une femme a été lardée de vingt-cinq coups de couteau par l'homme avec lequel elle avait vécu pendant plusieurs années et dont elle était séparée depuis peu.

La victime, Mme Luce Robin, est âgée de trente-deux ans. Après son divorce, Mme Robin avait fait la connaissance d'un maçon d'origine itaj lienne, Libero Rondanili. Tous deux, avec les deux enfants de la jeune femme, s'installèrent dans une habitation en bois situé au lieudit la Pointedes-Courlis, sorte d'enclave que forme le territoire de Chatou entre le Vésinet et Montesson. Tout alla bien au début.

Mme Robin se faisait de bonnes journées en travaillant dans les champs pour le compte des maraichers de Montesson. Rondalini, excellent ouvrier, rapportait de bons salaires. Une petite fille naquit, âgée aujourd'hui de deux ans et demi. Mais, il y a quelques mois, la mésentente s'éleva dans le faux ménage. S'il faut en croire certains témoignages, il y a deux mois environ, Rondalini, en pleine nuit, aurait chassé de son logis Mme Robin et les trois enfants. La jeune femme reçut alors l'hospitalité de Mme Clessens, 40, route de la Borde, à Montesson, où elle vint se réfugier avec sa progéniture en attendant que ses parents lui aient trouvé un logement. Depuis, Mme Robin et Mme Clessens se rendaient chaque jour dans les champs où, grâce à son

BendMili, M' Robin et ses enfants labeur, l'ex-amie de Rondalini trouvait les ressources nécessaires pour subvenir aux besoins des trois petits. (La suite à la deuxième page.)

!UNE CHASSE PRÉSIDENTIELLE

CÉCILE DIOU QUI POIGNARDA SON AMANT EST ACQUITTÉE C'est au coura d'une scène de violence que, armée d'un canif, elle perça le cœur de. son compagnon alcoolique et brutal Très sourde, son interrogatoire eut Iieu dana le prétoire au pied même de la cour comme une conversation vers laquelle tout FauJttotre tendait l'oreille

Qu'il s'agit de peu de chose pour transformer la physionomie d'une audience et ajouter aux débats une note pathétique inattendue La a meurtrière qui comparait devant le jury, Cécile Diou, très sourde, est amenée dans le prétoire- jusqu'au pied même de la cour, où elle restera debout, ferme.

presque sans larmes. Elle engagera. ainsi avec le président Pittié une sorte de conversation particulière qui tient lieu d'interrogatoire, tandis qu'un garde et le défenseur, M' J.-Ch. Legrand, loin derrière elle, tendent l'oreille.

Restée veuve en 1929, et mère de deux enfants en bas âge, Cécile Diou a d'abord demandé l'hospitalité à sa mère, une brave marchande des quatre saisons, très àgée, et qui ne put supporter cette charge. La jeune femme alla donc vivre seule, « avec ses mioches ainsi qu'elle le dit avec une sorte de farouche tendresse. Elle gagnait 120 francs par semaine, et, pour trouver l'appoint indispensable, se trouva réduite à descendre, le soir, dans la rue.

Eugène QUINCHE.

(La suite à ta deuxième page.)

AUTOUR DE L'AFFAIRE DE L'AEROPOSTALE

La Luf t Hansa

ses réseaux aériens et leurs connexions En 1241, plusieurs cités allemandes du Nord-Ouest, à la tête desquelles était Lubeck, fondaient une confédération dans un double but de défense à l'extérieur contre les pirates de ta Baltique qui menaçaient leur commerce à l'intérieur contre certains princes qu'indisposaient leurs franchises. Cela s'appela la Hansa, ou la Ligue. Après avoir connu un heureux destin, la Hansa commença de décroître. Sa chute nnale date des environs de 1725. It aura fallu exactement deux cents ans pour que, sous la même forme, procédant des mêmes directives politiques et économiques. elle ressuscitât, mais non plus, cette fois, pour assurer son oeuvre maritime. La Hansa, signe des temps, a tronqué sa Botte de bateaux contre une flotte d'avions. La Luft Hansa, ligue de t'Air. est une sorte de monopole du ciel allemand, comme la Hansa du moyen âge et de la Renaissance le fut de la mer allemande.

C'est vers la fin de 1925 que la Luft Hansa naissait d'une fusion entre la Deutsche Aro-Uoyd et la JunkersLuftverkehrs A. G., deux compagnies de transports aéronautiques créées au lendemain de la guerre, quand le traité de Versailles eut interdit au Keich toute aviation militaire. La concurrence avait été vive entre les deux soclétés, dont l'une, la Junkers, était contrôlée par le célèbre constructeur d'avions. La Luft Hansa eut le mérite d'unifier les efforts, l'infrastructure. les installations de la radio, tes horaires, les tarifs. Encore qu'elle ne soit pas la seule compagnie aérienne allemande Il existe, en effet, entre certaines villes, des lignes qu'on peut appeler c d'intérêt local elle est de beaucoup la plus puissante et résume, à vrai dire, toute l'aviation commerciale du Reich.

La Luft Hansa est une compagnie privée, organisée sur le modèle ordinaire des sociétés anonymes (Aktiengesetischaft). Mais la constitution de son capital n'a rien de commun avec aucune de nos cinq compagnies françaises. L'Etat allemand possède en effet les 40 de ses actions. l'autre part étant couverte par une participation proportionnelle des différents Etats, provinces, villes et groupements industriels du Reich. La Luft Hansa est donc un organisme national, si elle n'est pas un organisme d'Etat. Tous les budgets allemands y ont leur part. Elle collabore effectivement avec le rail et le navire. Grâce à ses hydravions lancés en pleine mer par capapulte. A bord du Co!oM&M, de l'Europa et du Bremen, elle aide 20 fois par an à raccourcir de 48 heures la durée du service postal HambourgCherbourg-New-York. De même, pour la ligne de l'Amérique du Sud, ses appareils vont déposer le courrier d'Allemagne aux iles Canaries. Transporté par un paquebot à file Fernao de Noronha, il y est pris par un hydravion de la Condor Syndicato (société aérienne mixte germano-brésilienne) et gagne Hio de Janeiro, puis Buenos-Ayres, par la voie des airs.

Maurice BOURDET.

(La suite <t la sixième pape.)

Un exposé de M. Painlevé

devant la commission

de l'aéronautique

sur l'affaire de l' « Aéropostale » La commission de l'aéronautique de la Chambre, réunie hier sous la présidence de M. Laurent-Eynac, a entendu un exposé de M. Paul Painlevé sur l'affaire de l'Aéropostale.

Le ministre de l'Air a fourni à la, commission des explications minutieuses sur tous les faits concernant les affaires de faux. Ne laissant rien dans t'ombre, il a montré la nécessité de développer à fond les préventions que d'audacieuses calomnies ont suscitées. en particulier dans l'Europe centrale, contre le bon renom de la France et de son aviation.

M. Painlevé a rendu hommage à la probité, au dévouement et à l'indépendance des hauts fonctionnaires et officiers injustement accusés ou calomniés. Il a montré que les agissements des faussaires n'auraient jamais entraîné de telles conséquences si, dès le début, M. André BouiDoux-Lafont avait fait connaître l'origine des pièces de son dossier.

Enfin le ministre a dit son admiration pour les pilotes et techniciens qui ont réalisé à travers trois continents une giande entreprise aérienne française et exprimé la certitude que le Parlement sera d'accord avec lui pour que soit poursuivie leur œuvre glorieuse, preservée de tous les agissements qui pourraient la compromettre. MORT DE M. OUDAILLE directeur de la police

du réseau de l'Etat

M. Oudaille, directeur des services de police parj ticutière du réseau de l'Etat. officier de la Légion d'honneur, est mort subitement hier, à Ils h. 30, dans son bureau de la gare Saint Lazare. Il s'était trouvé indisposé une demiheure plus tôt, mais s les soins qu'on lui prodigua sur-le-champ furent Inutiles.

De 1912 jusqu'en 1926, M. Oudaitie avait été commissaire spécial de

cette même gare, qu ne quitta que pour prendre sa retraite de commissaire divisionnaire et entrer au service du réseau. Il fut chargé pendant cette période de la sécurité des souverains et chefs d'Etat étrangers qui voyageaient en France et de la police au cours des voyages présidentiels. Il avait débuté en 1895 comme inspecteur à la sûreté générale et avait été commissaire spécial à Cherbourg, puis à Bordeaux.

Agé de soixante-huit ans, M. Oudaille était né à Auxerre (Yonne) où son père était gendarme. Il habitait à Asnières, était encore très actif et rien ne faisait prévoir sa brusque fin.


L'organisation de la lutte contre la vie chère

SUtTtDtLÀPRKMitREPAGE

Cela, c'est un fait acquis: mais il n'interdit pas, bien au contraire, de nouveaux efforts.

Pour bien connaître l'état du pays tout entier, le ministre de l'Intérieur a tout d'abord .rétabli les commissions. départementales de surveillance des prix. Dans une circulaire qu'otf vient de communiquer à ce sujet, on souligne l'oeuvre déjà accomplie pour la diminution du prix de la viande et qui peut se résumer ainsi

Dans un assez grand nombre de départements, les préfets ont pu, par leur intervention auprès des bouchers, obtenir des réductions de prix souvent importantes. Mais, dans certt'tes localités, les préfets ont rencontre des résistances injustifiées. Pour donner à l'administration le moyen de mettre fln à des abus manifestes, la commission a approuvé un projet de toi qui vient d'être déposé par M. Camille Chautemps sur le bureau de la Chambre des députés, et qui accorde aux préfets le pouvoir de taxer la viande. Les résultats déjà acquis laissent d'ailleurs espérer que les moyens de coercition n'auront à être utilisés qu'exceptionnellement.

Nos moyens d'action sont variés, nous déclare le ministre de l'Intérieur: il faut avant tout user de persuasion, et je dois dire que de nombreux bouchers ont bénévolement accepté nos propositions. D'autre part, quelques maires ont taxé la viande, et certains d'entre eux, comme M. Henry Chéron, & Lisieux, ont organisé la concurrence.

Enfin, quand sera voté le projet que je viens de déposer, tes préfets pourront taxer la viande d'après son prix de revient, tout en laissant au commerçant la. possibilité d'un bénéfice normal.

il souligne au passage les résultats obtenus dans la vente du pain sept sous de baisse depuis le,mois d'août, et j'ajoute que mon collègue de t'Agriculture a réuni des commissions spéciales chargées de reviser tes primes de mouture et de panification.

Il faut ptoléger le public L'action menée en vue de la baisse de la viande et du pain n'est qu'un aspect d'un problème plus général, que M. Camille Chautemps espère résoudre, à force de patience et d'ingéniosité, deux qualités qui, certes, ne lui font point défaut:

La commission, nous dit-il, a mis à l'étude un projet tendant à réprimer les abus de la vente avec prime. Ces ventes constituent une pratique détestable, dont le commerçant et le public font les frais.

Nous étudions aussi, en collaboration avec M. Renard, préfet de la Seine, les moyens d'organiser la vente aux chômeurs, à des prix très réduits, d'objets de première nécessité.

Enfin la sûreté générale, se conformant à mes instructions, vient d'organiser un service de surveillance des foires et marchés qui s'efforcera de mettre fin aux abus commis par des intermédiaires peu scrupuleux. La commission examinera les réformes qu'il y aurait lieu d'apporter à la réglementation relative à la carte d'identité dont doivent être titulaires, en principe, les commerçants qui fréquentent les marchés aux bestiaux. Les mesures que nous venons d'énumérer témoignent d'un effort coordonné de développement d'un plan solide et bien étudié, mais M. Camille Chautemps voudrait faire mieux encore et nous dit quel but il poursuit en faveur des classes modestes

Je voudrais, d'une manière générale, nous dit-il, dresser la liste de tous les objets nécessaires à la vie alimentation, vêtements, chaussures, éclairage, chauffage, logement.

Laissons la liberté au commerce de luxe, aux marchands de superflu mais, au contraire, étudions minutieusement, article par article, les prix du nécessaire. Cherchons par tous les moyens possibles à comprimer le coût des marchandises dont les classes modestes ont besoin. Créons dans l'économie générale le compartiment de l'économie familiale.

Puis. il ajoute lentement:

Dans cette voie, je suis disposé à aller assez loin. J'aiderai de toutes mes forces les commerçants qui se plieront aux efforts de contrôle et de baisse des prix.

Et M. Camille Chautemps conclut avec une force convaincante par un appel qui ne saurait manquer d'être entendu

Il faut que chacun collabore à cette action pour le mieux-être. Déjà, un mouvement coopératif se dessine. Les grandes associations de mutilés et d'anciens combattants nous apportent leur précieux concours. Grâce à leur aide, nous parviendrons à éduquer ie consommateur, qui ne sait pas se défendre. Et j'espère qu'une action méthodique et continue nous permettra d'obtenir des résultats efficaces. On voit, par ces déclarations fort nettes, quelle volonté le ministre de l'Intérieur apporte à la lutte entreprise contre la vie chère. Faisons confiance a cet effort tenté pour le bien commun, et souhaitons qu'un jour les heures péni- bles traverséea par tant d'humbles consommateurs ne soient plus qu'un mauvais souvenir.

42 Feuilleton du Petit Ptrtsien, 17-U-i!2 L'ÉTOILE i { <t VO L EE par

CASTOM-CH RICHARD _DEUXIEME PARTIE

LA COURSE AU TRESOR

VI (suite)

Dana les terres bleues

Nous avons du travail en perspective mon vieux dit-il à Luc-Roels en lui frappant sur l'épaule.

Pas pour me déplalre grogna l'Ours Muet. On se roullle à ne rien faire! Vous trouvez que nous ne faisons rien? dit Stones, surpris.

Lue Roels le toisa et dit

Donnez-moi un bon c compound b, cent mineurs à faire travailler, des terres bleues à remuer et vous verrez. dr, si le vieux Roels s'entend à sa besone. Mais se promener, à pied ou à ihevai. grimper des kopjes. sauter de pierre en pierre, peuh est-ce donc du travail. ça ? Bon pour les chèvres et pour les chats, mais à quoi ça peut-il mener des hommes ?

Silencieux et un peu sombres. Us redescendaient tous vers ie camp. En nous pressant un peu, avait dit Conrad Czirok. nous arriverons avant la nuit close.

Copyright by Gaton-Ch. Rtehard Traduction et reproduction interdites en tous pari.

RETOUR C'ALLEMASNE M.PAIENOÏREFAtïPART CE SES IMPRESSIONS Nos dépêches ont rendu compte du voyage que M. Raymond Patenôtre. sous-secrétaire d'Etat à l'Economie nationale, a fait à Berlin, où il a présidé la quatrième sous-commission de la commission économique franco-allemande.

Dès son retour à Paris c'est-à-dire dès hier. M. Patenôtre a tenu à donner à la presse quelques détails sur son voyage et à faire connaître les espoirs qu'on doit fonder sur ia collaboration franco-allemande.

Après avoir rappelé dans quelles conditions fut créée la commission économique franco-allemande. et rendu hommage au travail effectué par le secrétariat général de la commission MM. Coulondre et HoschiUer. du côté français travail qui a permis de déblayer' le terrain, M. Patenôtre Indique que les accords ébauchés il y a quatre mois par tes présidents des sous-commissions, M. Hermès, du côté allemand, et Marlio, du côté français. ont été discutés et ratifiés ces jours derniers à Berlin.

Ces accords, précise le ministre, ont abouti à ia création de deux consortiums un consortium technique francoallemand et un consortium anglofranco-allemand. Si l'Angleterre a été représentée dans ce dernier, c'est que, dans la charte constituée de la commission économique franco-allemande, il était prévu l'accession au sein de ladite commission de tout Etat tiers désireux de participer à ses travaux. Cette sous-commission avait donc pour but d'apporter son patronage à l'étude en commun de programmes de travaux publics à effectuer dans les pays étrangers par les trois nations participantes à la conférence, France, Allemagne, Grande-Bretagne.

Il a été décidé, ainsi qu'il résulte des conclusions adoptées, que ces travaux seront financés par les places de Londres, de Paris et, éventuellement, de Berlin. Les répartitions suivantes ont été axées pour chacune de ces nations Angleterre 40 France 40 Allemagne 20 Bien entendu, les projets seront soigneusement étudiés, avant d'être homologués, par les banques, car, comme il s'agit d'émettre des obligations dans le public, on veut établir la sauvegarde absolue des épargnants. J'ajoute que des ingénieurs se sont rendus. ces temps derniers, dans plusieurs pays pour étudier les projets déjà soumis. Je vous signale, en outre, que des avant-projets ont déjà été examinés par les techniciens de la souscommission.

M. Patenôtre va énumérer maintenant les avantages de ces opérations. Ces avantages, les voici

1° Elles permettront aux capitaux somnolents de trouver un investissement profltable

2° Elles fourniront du travail aux industriels et aux ouvriers des trois pays appelés à apporter leurs fournitures

3° Elles apporteront également du travail à la main-d'œuvre des pays où s'effectueront les travaux, partant, amélioreront le pouvoir d'achat de celles-ci.

On a, d'autre part, ébauché à Berlin c'est là un projet la création d'un troisième consortium chargé d'établir un programme d'électrification de certains pays. On a donné comme plafond au financement de tels travaux le chiffre de 17 milliards de francs. Pour la création de cet organisme, il a été décidé qu'une réunion auralt lieu à Paris dans la seconde moitié de février. M. Patenôtre fait ensuite connaître nu'ii a reçu à Berlin tant de la part des personnalités gouvernementales que des membres de la commission le meilleur accueil.

D'aucuns ont déploré les malentendus survenus entre la France et l'Allemagne et. d'une façon générale, on s'est plu à reconnaître que la collaboration économique entre la France et l'Allemagne ne présenterait que des avantages.

Le chancelier von Papen luimême, poursuit M. Patenôtre, partage cette impression. Il m'a promis au cours d'une réception qu'il m'a accordée. la dernière journée de mon séjour, et qui a duré plus d'une heure de faire montre de ses dispositions en activant le plus possible Ift travaux de la commission économique franco-allemande, dont it est le président en Allemagne. M. Patenôtre a noté les mêmes dispositions favorables auprèsNe MM. von Neurath et von Bülow, le ministre et le, secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères.

Nous avons noté hier que, dans quelques jours, allaient s'ouvrir à Berlin des négociations en vue de la revision du traité de commerce franco-allemand de 1927. Il ne fait pas de doute que les négociations se poursuivront rapidement et heureusement si les dispositions allemandes se maintiennent comme l'a noté M. Patenôtre dans le sens d'une c détente

LA FIN DU DEBAT AGRICOLE En vue de la décision qui doit clore aujourd'hui, à la Chambre, la discus- sion des interpellations relatives à la crise agricole, les députés désignés par le groupe, radical socialiste ont siégé. hier après-midi, ainsi qu'il avait été convenu, avec la délégation exécutive du group- S. F. I. 0.. de fa<;on à aboutir à la rédaction d'un ordre du jour commun.

Les pourparlers ont été très laborieux. Les résultats en seront communiqués au groupe radical et au groupe S. F. I. 0., par leurs représentants respectifs, au cours des réunions qu'ils tiendrons aujourd'hui afin d'arrêter leur ligne de conduite avant le vote.

On avait donc abrégé la sieste, après le déjeuner, et sous le soleil écrasant. dans la chaleur de four qui se dégageait des rocs surchauffés, tous avaient redescendu la piste tracée par euxmêmes trois jours auparavant. La marche était affreusement pénible, sur ce soi déclive, brûlant et glissant à la fois. Tous haletaient sous le poids de leur charge de vivres et de munitions et s'appuyaient sur leurs fusils comme sur des bâtons, pour établir un peu mieux un équilibre sans cesse compromis.

Comme ils parvenaient enfin, dans le thalweg de la vallée, l'ombre se Ot, en quelques minutes, avec la soudaineté qui lui est coutumière dans les régions tropicales. Elle fut bientôt si dense, si épaisse que. bon gré. mai gré. les aventuriers durant s'arrêter dans le lit d'tti arroyo qui. à la saison des pluies, devait rouler des eaux torrentueuses, mais en ce plein été austral était aussi sec. aussi brûlant que le plateau pierreux qu'ils venaient de quitter.

Trop las pour allumer du feu, ils ee contentèrent tous de grignoter quelques biscuits en buvant ce qu'il restai: dans les gourdes du café dont ils les avaient emplies le matin.

Margit, epuisée de fatigue, s'était allongée sur une grande pierre plate Merry vint s'étendre près d'elle et passa son bras snus la tête de la jeune femme, dont il effleura la tempe d'un baiser.

Mon pauvre amour dit-il tout bas. tu es bien lasse.

Oui avoua-t-elle. Et plus encore d'âme que de corps

Pourquoi ?

Si Tsolach avait menti ? Si nous avions tenté pour rien cette épuisante expédition ? dit-elle dans un souffle Pourquoi donc aurait-il menti? Et quet soudain pessimisme te fait douter

Le drame de Mentesson SU!TtMLtF)t)EMtË<*FAG<

Le drame se produisit à la tombée du jour, alors qu'elle rentrait route de la Borde en compagnie de Mme Cléssens. Cette dernière, encore toute tremblante, nous en a fait le récit suivant

Rondalini était venu la veille voir sa petite fille qu'il adorait. Il s'était enquis de l'état de ses chaussures et avait annoncé qu'il reviendrait le lendemain apporter à l'enfant une autre paire neuve. Le lendemain, nous revenions des champs, Mme Robin et moi. Nous n'étions plus qu'à quelques mètres de notre demeure lorsque nous vimea Rondalini venir à nous à bicyclette. A notre hauteur, il descendit, aborda son amie et lui parla des chaussures, lui demandant où elle préférait qu'il en f!t l'acquisition. Je m'étais éloignée par discrétion. Mme Robin me rappela < Je t'en prie, reste avec moi. > Au même moment, l'Italien la saisit par un bras. la jeta violemment sur un tas de fumier et la larda de coups de couteau. J'arrêtal un cultivateur, Mo Maillet, qui rentrait avec sa voiture et accourut. Rondalini sauta sur sa bicyclette et s'enfuit. M. Maillet releva Mme Robin, qui perdait son sang, la plaça sur sa voiture et la conduisit chez des parents à elle qui demeurent 3, route de la Borde.

Le docteur Després vint lui donner les premiers soins. II releva vingt-cinq blessures réparties sur tout le haut du corps. Sur ses conseils, on dirigea la malheureuse femme sur l'hôpital de Saint-Germain.

L'enquête menée par le capitaine de gendarmerie Chamouton et les brigades du Vésinet et de Chatou n'a jusqu'à présent pu relever la piste du meurtrier. Chez lui, on a découvert une note écrite au crayon dans laquelle il annonçait qu'il allait faire un mauvais coup. A cette note était jointe une sorte de testament dans lequel il indiquait ceux à qui il voulait remettre sa bicyclette qu'il avait ramenée au Courlis et qu'on trouva inondée de sang. Il indiquait également la personne à qui il destinait une somme de 200 francs, montant d'une dette. Tout ceci fait supposer que le maçon a dû se jeter à la Seine, soit au Pecq, soit au hameau de la Borde. L'enquête continue.

Il semble que les jours de Mme Robin ne soient pas en danger.

La réduction du prix des baux La commission de législation civile à la Chambre a pris connaissance du rapport de M. Seitz sur la proposition de M. Raymond Susset. tendant à permettre aux commerçants, industriels et artisans d'obtenir une réduction du prix de leurs baux.

Conformément aux conclusions du rapporteur, i1 est admis que tes baux commerciaux d'au moins six ans conclus, prorogés ou renouvelés avant le 31 décembre 1931 pourront être revisés en vue d'une réduction, si le prix du loyer est supérieur à trois fois la valeur locative de 1914.

M. BENES EST A PARIS M. Benès, ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, venant de Londres, est arrivé hier à Paris par la Flèche-d'Or, à 17 h. 40.

II a été reçu, sur le quai de la gare de Lyon, par le personnel de la légation de Tchécoslovaquie & Paris. AU CONSEIL DE CABINET Les ministres et sous-secrétaires d'Etat se sont réunis hier en conseil de cabinet, de 17 heures à 20 h. 45, au ministère des Affaires étrangères, sous la présidence de M. Herriot.

Le chef du gouvernement a mis le conseil au courant de la situation extérieure.

M. René Renoult a rendu compte des j mesures prises pour assurer la marche rapide des instructions en cours sur ï les fraudes nscaies. M. Raymond Patenôtre a rendu compte de son voyage à Berlin et des travaux de la commission économique franco-allemande.

Sur la proposition de M. Herriot, le conseil a exprimé ses remerciements et ses félicitations à M. Patenôtre et à ses collègues de la délégation. Le conseil a procédé à l'examen des questions actuellement soumises au Parlement et des questions en cours. Le prochain conseil des ministres aura lieu vraisemblablement samedi à 10 heures, et le prochain conseil de cabinet mercredi prochain à 16 heures La retraite des instituteurs La commission de l'enseignement de la Chambre a reçu une délégation du syndicat des fonctionnaires de l'enseignement qui l'a mise au courant de la situation créée par le décret du 9 novembre dernier en ce qui concerne la retraite des instituteurs.

La délégation a exposé que la mesure prise, en augmentant considérablement i'&ge de la retraite des instituteurs et en la portant en fait à soixante ou soixante-cinq ans, présente, au point de vue de fenseignement, de graves dangers qui touchent à l'organisation même de l'enseignement et qui ne sont compensées par aucun avantage d'ordre budgétaire.

La délégation a demandé à la commission de faire tous ses efforts pour que les instituteurs soient à nouveau reclassés du point de vue de la retraite dans la catégorie des services actifs.

tout à coup du résultat de nos efforts? Je ne sais pas dit-elle. La fatigue, sans doute, et le climat y eont pour quelque chose. Mais au moins tu me restes, toi

En peux-tu douter dit-il avec reproche.

Non, m'ami Je n'en doute pas murmura la jeune femme. Mais je me demande si je ne t'ai pas entraîné dans une aventure très redoutable. et st- plus tard.

Allons allons! ma jolie dit Merry, n'en dis pas davantage et essaie de dormir. Tiens. appuie-toi sur mon épaule et ne disons plus rien.

Elle se blottit contre son cœur à lui. d'un mouvement tendre et doux. Mais entre sa poitrine et celle de Merry. elle sentit tout à coup. dans ta poche pectorale de ta chemise-blouae en toile de laine que portait le jeune homme, un objet rectangulaire et dur Que portes-tu donc là, sur ton cœur? dit-elle.

Merry hésita une seconde avant de répondre:

Ton portralt dit-il enfin. et celui de maman

Vrai ?

Oui. chérie

Apaisée, elle eut dans l'ombre on confiant sourire et ne bougea plus. Quand l'aube au front d'argent apparut au ciel pâte ta caravane oe remit en marche vers le camp. où elle parvint trois heures plus tard. et où tout était demeuré dans l'ordre. sauf ft'nn bœuf (dont la chair découpée en tanières fine!! suspendues à des cordas séchait au grand soleil). avait succombé la veille à un coup de chaleur. afnr mait PJichoison.

Rangat) qui. dans la journée précédente. avait, en compagnie de Pambé. l'un des mineurs cafres, opéré une reconnaissance aux environs, rendit compte à Merry qu'il avait découvert, à

L'acquittementl de Cécile Diou aumMLAFRCMIMPAGt

C'est ainsi qu'elle flt la connaissance d'un vitrier, M. Roger Robert, avec qui elle finit par se mettre en ménage, 8, rue de Bel-Air, à Pantin. Mais Robert, ancien matelot, et qui luimême avait abandonné femme et enfants, se révéla d'un caractère difncile. Et Il buvait. Cécile Diou, bientôt, ne se flt plus aucune illusion tôt ou tard, elle serait de nouveau abandonnée. Et elle dit

Pour un oui ou pour un non, mon ami me battait et menaçait de partir. Elle glissa vers un tel désespoir que, deux fois, elle tenta de se suicider, s'ouvrant la veine du poignet avec un rasoir, puis, tournant contre elle un pistolet automatique qui s'est enrayé. Le 4 avril dernIer, le drame désormais inévitable allait se produire. Robert était rentré ivre et il déclara soudain qu'il préférait s'en aller, qu'il la quittait, et pour toujours. Elle s'efforça de te retenir par de bonnes paroles, puis, à bout d'argument, elle se plaça devant la porte, les bras en croix, et voulut lui barrer le passage. II l'écarta d'un coup et elle s'abattit, sanglante. L'intervention de voisins mit ftn à cette première scène.

Mais ce répit ne se prolongea guère. Le vitrier ivre, obstiné dans son projet, chercha bientôt, de nouveau, à s'en aller. Cécile Diou s'empara d'un couteau pointu qui traînait sur la table, et cria que s'il franchissait le seuil elle se suiciderait. Il voulut l'en empêcher; une courte lutte s'engagea et Robert finit par la désarmer. Mais elle saisit alors un canif et la lutte reprit

Il cherchait à me tordre le poignet et j'ai roulé sur te cyvan, expllque-t-elle haletante. Pour me libérer. j'ai fait un mouvement brusque. J'ai à peine remarqué que je l'avais frappé Elle l'aida à se relever, s'empressa de le soigner, lui épongea le front, le supplia de lui pardonner. Le péricarde et l'aorte sectionnés, il murmura, en étouffant, qu'il allait mourir. Et lorsqu'il perdit connaissance, ils étaient déjà réconciliés.

Cécile Diou, après avoir exprimé un regret que l'on peut croire sincère, a maintenant regagné le banc des accusés. Les témoins, même ceux qui représentent la famille Robert, déposent sans rancune. Et à l'avocat général Honnart, qui demande une peine Je principe, M' J.-Ch. Legrand répond en démontrant que, dans la lutte, le coup est parti involontairement et que cette femme a subi tant de revers et traversé tant de détresses qu'on peut aujourd'hui lui faire bonne mesure. Et les jurés, en effet, l'acquittent Nos rapports économiques avec l'Espagne

Madrid, 16 novembre (dép. Havas.) La Gcceta de Madrid publie un décret du ministre des Finances disposant que les eaux minérales françaises et les produits pharmaceutiques préparés dans les laboratoires français seront dorénavant assimilés, au point de vue dea droits, taxes et impôts, aux eaux minérales espagnoles et aux spécialités pharmaceutiques provenant des laboratoires espagnols.

La canonisation de l'abbé Foarnet Cité-dû-Vatican, 16 nov. (dép. Hat'M.) Ce soir, à 18 h. 30. en présence du pape, aura lieu la lecture du décret sur tes miracles proposés pour la .canonisation du bienheureux Fournet, prêtre français, fondateur des Filles de la Croix, appelées sœurs de Saint-André. Les élections sénatoriales

dn Puy-de-Dôme et de Saône-et-Loire Les collèges sénatoriaux du Puy-deDôme et de Saône-et-Loire sont convoqués pour le dimanche 8 janvier 1933 à l'effet d'élire deux sénateurs en remplacement de MM. Darteyre et Petitjean, décèdes.

LE BUDGET DE L'INTERIEUR La commission des finances de la Chambre a entendu hier un exposé de M. Lassalle, rapporteur du budget des dépenses du ministère de l'Intérieur. Ce dernier a indiqué que tes prévisions pour l'année prochaine s'élevaient à 1 milliard 200 millions environ, en diminution de 336 millions sur l'exercice en cours, diminution provenant en grande partie du transfert au projet de loi d'outillage national des dépenses afférentes aux subventions accordées aux départements pour l'amélioration du réseau routier, l'aménagement des lotissements défectueux et la réfection de la voirie urbaine dans les régions libérées.

Les chapitres ont été adoptés après différentes réductions sur les chapitres du personnel et du matériel.

LA REORGANISATION

D& LA COMPAGNIE GENERALE TRANSATLANTIQUE

*a. commission de la marine marchande a nommé M. Maurice Vincent comme rapporteur provisoire des projets concernant la Compagnie Générale Transatlantique.

M. Maurice Vincent a été chargé d'examiner, pour le fond. la question des conventions et, pour avis, la partie financière.

deux milles de là, un petit vallon très abrité entre deux énormes murailles rocheuses, où coulait une source d'?au excellente, laquelle arrosatt uelqus acres de terre noire couverte d'une herbe fine. Bêtes et gens. selon lui, seraient mieux dissimulés là et p'us à t'abri que sous le précaire ombrage des t;emmiers et les acacias épineux. Eh bien mon bon Rangat!, nous irons nous installer ta. aujourd'hui même. quand nous aurons pris un peu de repos dit Merry.

Ali right sir, répondit RangaiL Nous partirons vers cinq heures. Il ne nous faudra pas plus de deux heures pour traîner les charlots là-bas? No. sir le chemin est assez facile.

Le déjeuner avaté It consistait en tranches de bœuf grillée3 sur les braises. en fruits de conserve et en café toute l'expédition, après une longue sieste, se préparait au départ. Deux heures plus tard, ainsi que l'avait bien prévu Rangall, le camp s'installait dans le petit vallon, et dès l'aube, le lende.main, laissant les bœufs de trait et les chevaux à la garde de Mrgit. df Ran.gait. de Joos qu'une profonde écorchure au pied faisait cruetiement souffrir. et de Shung tous s'égaillèrent dans les vallons repérée sur la carte par Conrad Czirok, à la recherche de la grotte où gisait te dépôt précieux de Tsolack-Tschernosch.

Margit. après avoir soigneusement tavé et pansé la plaie de Joos, s'était emparée du linge à laver pour M'*rry et pour elle.

Le jeune homme avait laissé, sur «on )it de campagne dans ta tente qu'ils occupaient tous deux. Margit et lui, la chemisf-blouse qui) portait la veille. En la jetant sur aon bras. la tcnf femme sentit qu'il avait oublié. dana la poche pectorale de son vêtement, le

NOS ÉCHOS' Aujourd'hui

Ln flamme du Souvenir sera ravivée par t'U.N.C. (comité directeur).

Sénat séance à 10 heures et 16 heures (baux ruraux).

Chambre des députés séance à 9 h. 30 (validation de pouvoirs) et à 15 h. 30 (suite des interpellations sur la crise agricale).

Ventes de charité: Au profit de l'enseignement libre du diocèse de Paris. 14 h., 76, rue des Saints-Pères. Œuvres de jeunesse de la paroisse SaJnt-Francoisd'Assise. 14 h. 274, boulevard SaintGermain. Œuvres des écoles israëtites de Paris, 14 h., 23, avenue Marigny. MxpetttUoms Salon nautique International. visite de M. A. Lebrun, cours la Reine. Salon d'automne, Grand Palais. Salon des vrais indépendants, porte de Versaittes. Touristique des chemins de fer, gare Saint-Lazare (salle des pas perdus). Art animalier. 7. square de Messine. Salon des artistes de Montparnasse. 11S. avenue des Champs-Elysées. Artistes yougoslaves résidant à Paris. galerie Georges Petit. Rétrospective des journaux du front, 64. rue du Rocher. Un siècle de caricature, pavillon de Marsan.

SMieté de géographie commerciale, déjeuner à 12 h., 8, rue Danton.

Réunions d'Anciens combattante 120 cuirassiers et groupe léger de la 7' D. C., 21 h.. 3. place de la Bastitte. Union nationale des combattants, groupe du X'. 20 h 45, 2, boulevard de Strasbourg. Conférences et cours Mme Oberlander c Mme de Sévigné et souvenirs de la Révolution 10 h. 30. hotel Carnavalet. M. G. Goyau c M. de Solages, apôtre, de Madagascar t. 17 h. 30, 19. rue d'Asses. Ecole de psychologie, réouverture des cours, 17 h., 184, boulevard SaintGermain. M. Doz < L'octozone », 16 h.. malle Wagram. M. Marcel Delarbre c La jeunesse et les aports 20 h. 30. école de la rue Dussoubs. M. Le Sidaner La lumière et la couleur 17 h., 86. rue N.-D.-des-Champs. Professeur Léon Bernard c Ce que la médecine doit à l'Italie h.. Institut océanographique. M. Cristofaro Organisation rationnelle du travail dans les chantiers de travaux publics, à 20 h 45. 1M. boulevard Saint-Germain. Club du Faubourg. 20 h. 30. salle des Sociétés savantes.

ttennton<t:Artetscience.l5h..8.rue Chartes-Fourier. Association du personnel des cours complémentaires. 14 h. 30. ru" Etienne-Marcel. Eglise setentiste. 20 h. 30. 10, avenue d'Iéna.

Concerts Gala de l'Héroïque. 20 h. 30, salle du Conservatoire.

Banquets De la poésie. 19 h. 30. chez Noël Peters. Des éditeurs d'estampés a son président. M. Georges Mayer. 19 h. 30. Ctaridge.Offert à Mme Matza. chevalier de la Légion d'honneur. 20 h 33, rue de Tournon. A. A. des anciens officiers de liaison près de l'armée américaine, 20 h.. chez Laurent, Champs-Elysées. Association nationale des officiers de carrière. à 19 h. 30, maison des X. rue de Poitiers.

Courses à Auteuil à 13 heures.

Salon nautique (cours Atbert-1") a 10 h. 30. inauguration par le Président de la République.

M. BidMX, rédacteur principal au ministère de l'Intérieur, est nommé secrétaire général de la préfecture de l'Hérault, en remplacement de M. Darbou, maintenu rattaché à la, préfecture de Ia Seine.

Une messe sera célébrée à la mémoire des membres défunts de la Société nationale d'encouragement au bien. demain vendredi 18, novembre, à 10 heures, en réalise Saint-Pierre de Chaillot. Prédicateur le chanoine Audoin.

Tous les lauréats et sociétaires sont invités à y assister.

Avant de prendre une décision, vous devez consulter le BUCHERON. la maison sérieuse, bien outillée. Catalogue de meubles gratuit. 10, rue de Rivoli, ou Archives 86-40. Entrée libre. NECROLOGIE

Nous avons appris avec regret la mort accidentelle de Mme Ernest Geney, femme de notre collaborateur. Ses obsèques auront lieu aujourd'hui. à 14 h. 30 précises, au temple de Bellevue, rue du Bassin, à Bellevue (S.-et-O.). On nous prie d'annoncer le décès de Mlle Paulette Chiesa. survenu le 14 novembre. Le service religieux aura lieu aujourd'hui vendredi 17 novembre, à 11 heures précises, en l'église NotreDam-de-Lourdes. 128. rue Pelleport, où l'on se réunira. L'inhumation aura lieu au cimetière de Chaville. Cet avis tient lieudefaire-part.

Le voyage d e M. Herriot à Nantes Le voyage de M. Edouard Herriot à Nantes, dimanche, gardera un caractère de simplicité et de cordialité. Le président du Conseil ne doit pas prononcer de discours.

Le président du Conseil, qui fut, au début de sa carrière universitaire, professeur à Nantes, veut se rendre compte par lui-même de quelle manière il peut apporter son aide aux travaux entrepris par cette ville, notamment sur la Loire.

Le déjeuner mensuel

de la Fédération républicaine 'La Fédération républicaine de la Seine, fidèle à sa tradition, a donné hier le premier des déjeuners mensuels qu'elle organise tous les ans de ta fin de l'automne au début de l'été. M. Joseph Denais a fait un exposé de la. situation budgétaire et indiqué l'aspect politique du problème, en soulignant que les socialistes essayent d'exploiter au profit de leur propagande les difficultés nnancières.

M. Louis Marin, président de Ia Fédération, a examiné les questions de politique intérieure et l'orientation po- litique que la Chambre, selon lui. pourra être contrainte à adopter. Il a conclu, applaudi par l'assemblée, que <f la Chambre aura à choisir entre la catastrophe qui. comme en tout pays, suivrait l'emprise socialiste acceptée par les radicaux et l'union nationale qu'il y aurait intérêt à pratiquer sans retard pour conduire les événements avant que ceu-ci l'imposent par leurs leçons ».

porte-cartes où Il avait, selon ses dires, placé son portrait à elle avec celui de sa mère.

Ah l'étourneau dit-elle, en souriant. Un peu plus et j'allais tout mettre à la lessive

Elle déboutonna la patte de la poche. prit le porte-cartes et, sans penser à mal, l'ouvrit.

Elle eut une espèce d'éblouissement. Et son cœur se serra dans sa poitrine. Son portrait figurait bien Id, dana le porte-cartes, mais eelui qui lui /<ttsa« face ne montrait pas <e traits <t'EK<'Me Saintyvraie il reproduisait le beau visage clair, aux ligneq nobles, aux yeux profonds et graves. de Cr<«<!?te du N<tMoe, sa rivale!

Le monde extérieur noircit devant les veux de Margit. Puis avec un rire amer. qui décelait sa colère, sa douleur, sa stupeur aussi. elle dit. à mi-voix Christiane Il l'aime donc ? Elle s'assit sur un pliant, au seuil de sa tente, et demeura là.. stupide. assommée, pleine de rancune et de jalousie. Malgré elle. elle comparait sa beauté siavo-asiatique. son visage, beau. certes, mais qui portait les caractères évidents de sa race, à celle si vraiment gallo-romaine de Cnrlstlane du Halloz. Toutes deux elles étaient belles. mais si lointaines t'une de au're s différentes au physique comme au moral. que. malgré elle encore, la tzigade comprenait qu'une jeune Q!!f telle que sa rivale put. bien qu absente. exercer une puissante influence aur Merry.

Merry. elle te savait par expérience, était sensible avant tout à la féminité et à la grâce. Certes elle ne 1 igno rait pas non plus Il alnrait en ett.' la femme énergique, au ccput viril. à l'eaprit bien trempé fut l'athlète aux audafet. avait été séduit par le enté -'xtèrieur brillant de aa vie. envoûté par la fougue ait-

PROGRAMME DES SPECTACLES –<-<

Opéra, relâche.

Comédie-Française, 2 h.. les Honnêtes femmes. Tartuffe; 8 h. 30. Christine. Opera-Comtque.8h.l5. Carmen.

Odéon, 2 h. 15, Pnlyeucte, ta Coupe enchantée 8 h. 45. tes Bleus de t'amour. Gaité-Lyrtque. 8 h. 30, Pour du sourire. T .-Lyrique, 2 30. Surcoût 8 au, Paganini. Châtelet. 230. 830, Ntnt-Ros(A. Baugé). Variétés 9 h., Aurélie.

Pte-St-Martim, 2 h. 45. 8 h. 30, le Scandée. Th. de Paris, 230. 845, Une femme ravie. Gymnaoe, 2 h. 45, 8 h. 45, 145, Wall Street. Sarah-Bemh., 9 h., la Dame aux camélias. Holçador, 230. 830. Aub. du Cheval-Blanc. Benai<t«anee. 245. 845. la Vie d'une femme. Ambigu, 2 h. 40, 8 h. 40, Topaze. Palaiti-BovaJ, 3. 845. la Maison d'en face. Antoine. 1 Avare. le Mariage forcé 9 h. Périphérie.

Bouttps-Parisiens. 2 h. 45, 8 h. 45. Azor, Mifhedière, 9 h., la Fleur des pois. Athénëf, relâche.

Madeleine. 9 h. 15, Mozart (Yv. Printemps). AmbMKadenM. 9 h., Edition spéciale. Saint-Georges, 9 h., Mademoiselle. touautés, 3 h.. 9 h., Jeanne.

Corn. Champs-Elysées, 9 h gén. Margrave. Gd.-Guigno!, 9 h., Sexualité (M. Mayane). Miche). 9 h.. Vatentin le Désossé. Potinière, 9 h.. < 6 à 7 (comédie). Capucines, 9 h.. le Progrès s'amuse. Arts, 8 h. 30, Leçon d'amour dans un parc. Avenue, 3 h.. Maison de poupée 9 h., Ronde. Montparnasse 9 h.. Comme tu me veux. Atelier, 9 h.. Lanceurs de graines. Mathurins, 9 h., Prenez garde & 1 peinture. Studio de Paris, relâche.

Moulin de la Chant.. Au pays du aoleit. Théâtre Figaro, relâche.

Th. Action !ntem.. 9 h.. le Train blindé. Cemœdia, 9 h.. Un joli monsieur (opér.). Cluny, 9 h., Bourrachon (Signoret). Atbert-t". 9 h., Doyen des enfants de choeur. Déjazet, 8 h. 45, Joseph est un cochon. Moncey, 8 h. 30. Fille du tambour-major. Zénith (pl. Gambetta). Fille tambour-major. Gobelins, 2 h. 30, te Cid 8 h. 30, la Cocarde. MUSIC-HALLS

Folles-Bergère, relâche.

Casino de Parla, 2 h. 30. 8 Sex Appeal 32. Kmpirf. 2 h. 30, 8 h. 30, Mayot.

Aihambra. 3 h.. 9 h., Ninon VaUin. attract. Dix-Heures, Dix heures sonnent.

Deux-Anes, 9 h.. Conférence de. nos ânes. Kmhaxfiy, 10 h., Mauricet, Charpini. etc. Lune,-Rousse (58. rue Pigalle), revue. Pavitton-M.-H. (11. b" Poissonnière), perm. Scata. 8 h. 30, Georgius et son th. chantant. Bobino-Muotc-H.. Perchicot, Bissi et Pemo. Européen, m.. s.. Maria Valente, Max Pogé. Gaumont-Pa)ace. cinq attractions.

Médrano. 2 h. 45, 8 h. 45, Cirque sous t'eauCirq. d'Hiv., 245 (seuL). 1. ours, 1. phogues CoHMMm, danses, mat. et soir.. attractmna. Montin-Boue, bai-kermesse, matinée, soir. Magic-Citv-Ba). t. les j., 9 h.: d. et f.. mat. Lnna-Parh, 9 h., dancing (sem. entrée tib.1 Jardin d'Aefttm., entr.. 3 fr.: enfants. 1 fr. Pompéien (13, r.Monceau). 9 h.. bat du jeudi CINEMAS

Madeleine, le Champion.

Paramount, le Maquillage.

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Anbcrt-Patace. Un rêve blond.

Olympia, les Vignes du Seigneur.

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C. Ch.-Elys., Silence. on tourne (H. Lloyd). Gaumont-Th., le Champion du régiment. Mart<;ny, Fanny.

Coittée. Boudu sauvé des eaux.

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tmpértat-Pathé. t'Attanttde.

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fapnfin'"t (matlnée s'ut.). Monsteur Atbert. Rrmit.-Pathé-Katfm. Courtisane (G. Garbo) Pitatte. le Chemin de la vie.

Anonn-Ctném*. Matt-Hari (Greta Garbo). Miractes. h.. ta Femme nue.

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Fa!K"iere. Queen Kelly (G. Swaneon). Caméo. Jeunes filles en uniforme.

5200001 exemptâmes ont été tirés et VENDUS ".des milliers de clientes neont pu être servies

RETENIR dès maintenant le HUMERO jt M car le procédé d'impression en creux, employé pour le tirage, ne permet pas une réimpression

tique de l'amour dont, sans restriction aucune, elle lui avait fait don. Cette Marg'it-Ià flattait, sans peut-être qu'il en eût parfaitement conscience, son secret orgueil d'homme. Mais celle qu'il préférait, en lion for, ce n'était pas l'écuyère nue, ni l'artiste fêtée, entourée. en proie aux mille et dix mille convoitises de la fouie, c'était la femme toute simple, douce et tendre, la musicienne émouvante, la compagne qui avait su, malgré son éducation singulière. s'adapter parfaitement à la vie qu'il lui avait faite, aux usages de son monde, aux préjugés mêmes qui, dans ce monde-là, gardaient force de loi et dont elle n'eût jamais cru qu'ils puissent étre

Christiane. elle, n'avait pas eu besoin de s'adapter aux pensées, aux aspirations secrètes à l'idéal de Merry. Elle était de son monde, de sa race, de son cercle, de son sang même, puisqu'un cousinage assez proche les faisait parents. Si Merry n'avait pas cédé au sourd désir de revoir le cadre de son amour et de sa passion sanglante, si elle-même. Marit. n'avait pas fui une seconde fois la tribu pour courir vers son amour, devançant de cinq jours la limite qu'elle lui avait flxée à lui-même. Christiane, la biondé Christiane, aux yeux profonds ct graves, aux cheveux d'or sombre, eût vaincu

Et elle pouvait vaincre encore par son seul souvenir!

Merry sans aucun doute, évoquait parfois, en ses heures de solitude et de rêverie. la belle jeune aile aux lignes svpitcs. aux sourires si doux qu'elle avait vue. elle. la Tsiganka. l'heimatlos debout près de lui sur la terrsf de l'auberge df Champagnolle.Il la renvoyait sans doute. idéalisée, par absence. lumineuse en sa grâce htonfif si Hère. si parfaite qu'elle devait éclipser Margit alors qu'elle était présente à ses côtés.

Lune, Aprbs l'amour, Frères Karamazotî. Royat-fathé. l'Atlantide.

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AutenU-Bon-Ctnc. Verdun, souvenirs d'hist. LES MESURES FISCALES UN CONTRE PROJET

DES SOCIALISTES

Dans sa. réunion d'hier matin. le groupe socialiste S. F. I. 0. de la Chambre a entendu un exposé critique du budget présenté par M. Vincent AurioL

A la suite de l'intervention du député de Muret, le groupe a décidé qu'il opposerait un contre-projet aux proposituions arrêtées par le gouvernement pour équilibrer le budget.

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Car elle n'était plus, vêtue en homme, bottée, portant la culotte de cheval, le feutre d'homme et la blouse de chasse, qu'une espèce d'aventurier androsyne.

Elle se leva d'un bond, saisit dans son nécessaire de voyage un miroir rond, monté en vermeil, rejeta en arrière ses cheveux bouclés, tout humides de sueur, et avidement compara. dans la glace, l'image réelle de son visage avec celle de son ancien portrait.

Elle se vit hâlée. tannée, brunie par le soleil et i'air brûlant; et dans son masque presque oitvâtre, elle scruta ses traits tirés, son nez aminci, son menton plus aigu, sa bouche aux lè.vres belles, certes, et d'une pourpre saine, mais fatiguée. Mille détails insignifiants lui apparurent qui renforcèrent sa première impression.

Elle n'avait plus rien d'une femme! Elle n'était plus qu'une ombre d'ellemême. Amaigrie, brûlée, dure, elle avait pris et prendrait certes chaque jour davantage l'apparence des dures femelles de sa tribu Elle devenait, un peu plus de jour en jour. une vraie romanichelle Redevenir ce qu'elle avait été? Le pouvait-elle? Pourraitelle lui rendre une appariée de la Margit d'autrefois, avec le peu que contenait son porte-manteau ?

Une colère folle, une amère vague de jalousie et de rancune submergèrent son Ame. Elle eut la tentation de jeter à terre ces portraits maudits, de déchi.rer, à coups de talon de botte, l'image de Christiane et la sienne propre, ann d'assouvir sa rage et sa douleur sur quelque chose.

Puis elle eut un léger rire. posa le porte-cartes sur la table pliante qui leur était commune, à Merry et à elfe. referma son nécessaire, puis s'étendit sur son lit et ne bougea plus.

Elle méditait- suture.)


LES DETTES <MHttt)t)mttHtt)MtttMt))Mmmumn)nnu)mnnmt)))t))!')t)!t)m Les entretiens de M. Hoover à son retour à Washington SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Actuellement, le département d'Etat n'a pas encore répondu à l'Angleterre ni à la France, pas même accusé réception de leurs notes. Il paraît chaque jour plus invraisemblable, plus « de convoquer en session spéciale le Congrès appelé normalement à se réunir le 5 décembre. Puisque l'idée d'un moratoire est si déplaisante à beaucoup, certains milieux financiers de New-York caressent avec complaisance une suggestion dont le Netv York Herald Tribune, ce matin, et le New York Evening Post, ce soir, se faisaient l'écho. Le premier organe écrivait

< Il semble que la question des paiements du 15 décembre doive être suspendue jusqu'à ce que les possibilités d'un marchandage sur l'ensemble de la question puissent être explorées. Il y a un précédent. L'année dernière, la résolution ratifiant le moratoire n'a pris force de loi que le 23 décembre et les alliés ont été, par suite, théoriquement en défaut pendant huit jours. Pourtant, les cieux financiers ne s? sont pas écroulés et les droits de personne ne se sont trouvés atteints. Un modus MeM<H, nous semble-t-il, pourrait être maintenant mis sur pied pour une période plus longue sans que le Congrès agisse ni dans un sens ni dans l'autre, mais avec la réserve que les paiements du 15 décembre devraient être absorbés dans tout l'accord final.

De même, le New York Evening Post écrit:

< Officiellement ou officieusement, nous devons avoir un délai pour permettre au pays et au Congrès de comprendre qu'un rajustement des dettes de guerre est inévitable,

Le plan français

d'organisation de la paix

Le plan français d'organisation de la paix est venu à point pour répondre aux objections des Américains idéalistes qui veulent lier les réductions des dettes à des réductions de dépenses militaires en Europe. Ce plan & fait une bonne impression dans les milieux officiels américains et le New York Wo-M Telepram en fait ce soir un vif éloge

<: La route du désarmement ouverte par le compromis français, dit-il, vaut nettement la peine d'être explorée. » Néanmoins, il ne suffit pas à créer ici, en faveur de notre pays, un mouvement d'enthousiasme suffisant pour contre-balancer les résistances formidables que les demandes alliées rencontrent. A-t-on compris ici tout ce que pourraient renfermer de constructif pour le rétablissement de l'économie dUj-monde les conversations sollicitées par l'Angleterre et la France ? Mesure de clémence en Italie en faveur de réfugiés politiques Rome, 15 novembre (dép. Petit Paris.) Lorsqu'il a été question de la promulgation du décret d'amnistie, publié le 6 novembre, on avait remarqué dans les milieux politiques romains que. contrairement aux prévisions, il ne faisait aucun mention des fuorusciti (émigrés politiques) dont le sort demeurait incertain. Il y avait là évidemment une lacune, d'ordre apparent toutefois, car le gouvernement fasciste s'était réservé d examiner leur situation par la suite. Et, en effet, on vient d'annoncer qu'un décret devant être signé incessamment révoque les mesures aux termes desquelles plusieurs réfugiés politiques avaient perdu la nationalité italienne. La confiscation de leurs biens est également révoquée. Parmi les fuorusciti appelés à bénéficier de cette mesure de clémence, on remarque l'ancien député syndicaliste Alteste de Ambris qui fut parmi les partisans convaincus de l'intervention de l'Italie dans la guerre M. Donati, journaliste catholique populaire qui, en ma qualité de directeur du fopo!o, organe de dom Sturso, mena une campajne active contre le régime fasciste pendant toute la période qui suivit le délit Matteotti jusqu'au moment où M. Mussolini annonça les mesures restrictives de la liberté de la' presse M. Joseph Fasciolo, qui fut l'un des collaborateurs intimes du duce et tomba également en disgrâce à cause de l'affaire Matteotti; M. G. Salvemlni, l'historien et le sociologue bien connu, ancien professeur d'université à Florence, émigré en Angleterre M. François Ciccotti, ancien député et ancien directeur du journal Et fnese. Quant à M. Cesare Rossi. qui figure aussi parmi les noma compris dans le décret, aa situation est des plus curieuses. On se souvient que cet ancien chef du bureau de presse du ministère de l'Intérieur a été condamné il y a quelques années par le tribunal spécial pour la défense de l'Etat à trente ans de réctueion pour avoir provoqué un complot contre le régime fascite et qu'il fut arrêté à Campione. enclave ita- lienn'e dans le Tessin. dans des circonstances demeurées assez mystérieuo&s. L'amnistie récemment promuilguée lui vaut une remise de peine de cinq ans. En outre, il acquiert à nouveau la citoyenneté italienne. M. Zaleski à Varsovie

va diriger la Banque da Commerce Varsovie. 16 novembre (dép. SMd-Bst.) M. Zaleski, ancien ministre des Affaires étrangères, sera prochainement nommé président de la Banque du Commerce à Varsovie, l'un des plus anciens et plus importants établisse- ments de crédit de Pologne.

Cette nouvelle est de nature à mettre Un aux informations publiées à plusieurs reprises selon lesquelles M. Zaleski serait nommé ambassadeur à Londres ou à Paris. Mais on peut afnrmer, d'autre part, que M. Zaleski, en raison des fonctions qu'i: assumera prochainement, se trouvera éloigné. pour un temps assez long, de la vie politique.

M. Paai-Bonconr partira dimanche pour Genève

M. Paul-Boncour, ministre de la Guerre, quittera Paris dimanche prochain pour se rendre à Genève, ou il représentera la France au conseil de la S. D. N.

M. BENES A QUITTÉ LONDRES Londres, 16 novembre (dép. HfH;(M) M. Benès, ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, est partl ce matin à 11 heures par la gare de Vict<*rit.

LA COMMÉMORATION

f)rtmm"m!TE it LA CHAMBRE ITALIENNE Rome, 16 nov. Mëp. Petit Parisien.) Il y a dix ans aujourd'hui que M. Mussolini, se présentant pour la première fois à la Chambre comme chef du gouvernement, déclarait aux députés ahuris que s'il l'avait voulu il aurait pu transformer l'Auia en un campement pour ses cohortes. La séance tenue cet après-midi par la Chambre et destinée à marquer le premier décennal de l'avènement du fascisme au pouvoir revêt un caractère particulièrement signiflcatif. L'ambassadeur M. Henry Bérenger, président de la commission des affaires étrangères du Sénat français, y assiste de la tribune diplomatique.

Lorsque le duce fait son apparition, accompagné par ie secrétaire du parti, M. Starace, toue les autres membres du gouvernement et les députés portant la chemise noire ainsi que le public qui remplit les tribunes se lèvent d'un bond pour l'applaudir et l'acclamer avev une véritable frénésie. Le calme est à peine rétabli qu'une centaine de jeunes gens en chemise noire et.portant le foulard rouge et jaune, appartenant aux groupes juvéniles fascistes de combat, qui occupent à eux seuls deux tribunes, entonnent GtOt'tttesxtf, hymne de la révolution, suivi encore d'un autre chant fasciste. De nouvelles acclamations éclatent et ne cessent que lorsque M. Giu.riati, président de la Chambre, se lève pour parler.

Il souligne l'importance de la reprise des travaux parlementaires qui coïncide avec le dixième anniversaire du jour où M. Mussolini, devenu finalement chef du gouvernement, exprima pour la première fois devant l'AssemMée nationale, non pas un programme gouvernemental, mais sa volonté année de fonder l'Etat fasciste. M. Giuriati rappelle que c'est à la Chambre que s'est accomplie pour une large part l'histoire de la révolution fasciste et, après avoir dit que les progrès réalisés représentent un gage pour l'avenir. U adresse au duce l'expression des horsmages chaleureux de la Chambre issue du plébiscite et qui est la première Cbambre corporative fasciste.

De longs applaudissements soulignent les dernières paroles de M. Giuriati et ils redoublent lorsque M. Mussolini monte à la tribune. Le duce constate qu'à la fln du premier décennal du regime la révolution est plus fasciste que jamais. Elle dure et elle continue.

L'atmosphère de cette Aula, dit-il. n'est plus grise depuis que les générations de Vittorio Veneto et de la marche sur Rome y sont entrées. Elle n'est plus sourde, poursuit M. Mussolini interrompu par de nouvelles acclamations, depuis qu'y résonnent les chants de la révolution.

Le duce souligne la portée des manifestations qui marquèrent la célébration du décennal

D'une part, déclare-t-il, le peuple italien en masses compactes de millions d'hommes a fait un bond en avant décisif et moi je sens l'avoir interprété à sa juste valeur. D'autre part, les doctrines, les institutions et les œuvres accomplies par la révolution des chemises noires sont à l'ordre du jour dans tous les pays d'Europe. Et cela parce que dans ce monde obscur; tourmenté et déjà titubant le salut ne peut venir que de la vérité de Romt. et il viendra de Ronte.

Une ovation enthousiaste et prolongée salue la péroraison du duce et le président lève la séance au milieu des chants des jeunes fascistes.

TH. V.

Au congrès Volta de Rome Rome, 16 novembre Mdp. Havas). La quatrième séance du congrès Volta s'est tenue cet après-midi au siège de l'Académie d'Italie, sous la présidence du comte Apponyi, ancien président du Conseil de Hongrie.

Les thèses qui ont fait l'objet des débats sont celles de M. Manoilesco (Roumanie) sur < les Antagonismes matériels et spirituels de l'Europe » du prince de Rohan (Autriche) sur <: la Réalité européeane »; de M. Willy Hellepach (Allemagne) sur « la Crise de la culture humaniste et sa solution au moyen d'un réalisme européen » de M. Stephan Zweig (Autriche) sur c la Désintoxication morale de l'Europe de M. Wilhelm Medinger (Tchécoslovaquie) sur c la Pacification des minorités nationales » enfin, du professeur Manuel Garcia Morentes, doyen de la faculté de philosophie et de lettres de l'université de Madrid, sur < les Conditions spirituelles d e l'unité européenne t.

LES MEMBRES FRANÇAIS

DU CONGRES RENDENT HOMMAGE AU SOLDAT INCONNU ITALIEN Rome, 16 novembre (dép. Havas.) Une couronne a été déposée ce matin sur la tombe du Soldat inconnu par tes membres français du congrès Volta.

On remarquait parmi eux MM. Henry Bérenger, président de la commission sénatoriale des affaires étrangères Gabriel Hanotaux; de Fontenay. ambassadeur le gouverneur général Ollivier. Gérôme Carcopino, Maurice Pernot, etc.

Ils étaient accompagnés du colonel Lelong, attaché militaire à l'ambassade de France, et d'un grand nombre d'officiers italiens.

Projet de consortium économique franeo-ang!o-aHemaed

Londres. 16 novembre Mëp. Havas). Au sujet de l'information relative à la création d'un consortium économique franco-anglo-allemand chargé d'aider au relèvement de l'Europe, le correspondant diplomatique de l'agence Reuter précise que le gouvernement britannique n'a pris aucune part à ce projet. Ce dernier aurait été arrêté à la suite d'un accord intervenu entre plusieurs établissements financiers internationaux et n'a reçu en Angleterre aucun appui officiel.

LE TRAGIQUE BILAN

DU TYPHON AU JAPON Tokio, 16 novembre Mëp. Times) D'après les renseignements fournis par le ministre de l'Intérieur, le bilan du typhon d'avant-hier au Japon s'établit comme suit: il y a eu 23 morts, 46 blessés et 62 disparus. Ces chiffres s'appliquent aux pertes sur la terre ferme et en mer. 172 maisons ont été incendiées, 4.792 démolies, 10.296 endommagées et 50.202 inondées.

Un cortège d'enfants précède l'armée du bonus

en marche sur Washington Londres, 16 novembre Mëp. Radio) Le correspondant du Dat!v HfrnM New-York télégraphie < Un millier d'enfants entreront dans Washington la semaine prochaine, for- mant l'avant-garde de 3000 marcheurs de la faim qui sont attendus pour le 5 décembre, jour de convocation du Congrès. Ils tenteront d'aller jusqu'à)! Maison Blanche et M. Hoover.Ies rece- t vra probablement.

EN ALLEMAGNE Les pourparlers engages par le chancelier

s'avèrent d'ores et déjà voués à un échec

Berlin, 16 novembre (dép. Petit Paris.) La situation politique intérieure en Allemagne est plus confuse que jamais. Dès maintenant, on a la certitude que les pourparlers engagés entre le chancelier von Papen et les leaders parlementaires en vue de la constitution du front dit de concentration nationale sont voués à un échec.

On sait que les nazistes n'ont pas répondu à la convocation du chancelier. Il a été dit que des tractations avaient été engagées par l'intermédiaire de tierces personnes, mais, ce qui est plus certain, c'est qu'Adolf Hitler, qui doit venir à Bertin prochainement, ne veut avoir d'entrevue qu'avec le chef de l'Etat afln de recevoir la mission de former le nouveau gouvernement.

Les socialistes se refusent de façon particulièrement énergique à toute entrevue avec le chancelier, chef d'un gouvernement qui les combat avec un acharnement trop visible.

Cet après-midi, les leaders catholiques et bavarois sont venus à la chancellerie, mais de leurs conversations avec M. von Papen il résulte qu'ils ne sont nullement disposés à soutenir un cabinet ayant à sa tête le chancelier actuel, à l'égard duquel les milieux catholiques politiques nourrissent aussi une vive hostilité.

Il a sufa de quelques jours pour constater que le cabinet présidentiel Schleicher-Papen n'a vraiment avec lui que les nationalistes de Hugenberg et les Populistes de Dingeldey. Tous les autres partis le combattent résolument. Il faut croire que cette constatation, bien que prévue, a produit néanmoins une vive émotion dans les milieux gouvernementaux puisque tous les déplacements que devait faire M. von Papen dans l'Allemagne du Sud ont été décommandés, tandis que ]e conseil des ministres d'Empire est convoqué pour demain.

Il faut donc prévoir que, dans un très bref délai. M. von Papen fera au maréchai-président von Hindenburg un rapport sur le résultat négatif des tentatives qui'I a faites pour se rapprocher des partis politiques.

Alors sonnera l'heure du chef de l'Etat.

On croit qu'Hindenburg interviendra et fera appel à l'union sacrée, invitant les partis à oublier leurs divergences pour s'unir au cabinet présidentiel. Il se peut qu'alors les partis répondent à. l'appel du président, mais qu'ils demandent la retraite du chancelier actuel et un remaniement du gouvernement d'Empire.

La présidence va certainement tenter cet ultime effort de conciliation avant de passer à des mesures dont le thème est connu nouvelle dissolution du Reichstag et octroi au pays d'une réforme électorale par décret-loi, le Parlement suivant devant être élu selon les nouvelles modalités à décréter. BELFAST ACCLAME LE PRINCE_DE GALLES .Londres, 16 nov. Mep. Petit Parisien.) Le prince de Galles, qui avait quitté Londres la nuit dernière pour Belfast, est arrivé aujourd'hui dans cette ville. Le bateau qui l'a transporté de Liverpool, l'Ulster Prince, était escorté par des aéroplanes appartenant à l'escadrille du Royal Air Force attachée à l'Irlande du Nord.

Son débarquement a été salué par une salve de vingt et un coups de canons. Une foule considérable a fait au prince un accueil enthousiaste sur tout le parcours qu'a suivi le cortège offlciel. La cérémonie marquante de la journée a été l'inauguration du nouveau palais du Parlement qui a été construit à Stormont, à une huitaine de kilomètres de Belfast.

Le prince a donné lecture d'un message du roi et s'est félicité de pouvoir être son interprète auprès du peuple du nord de l'Irlande. Dans l'après-midi, l'héritier du trône s'est rendu au cénotaphe pour y déposer une couronne. Un peu plus tard, il a été reçu solennellement à l'hôtel de ville où un thé d'honneur lui a été offert par le lord-maire de la cité. Ce soir, il a diné à la résidence du gouverneur, le duc d'Abercorn. dont il sera l'hôte pendant toute la durée de sa visite.

Demain, le prince consacrera une bonne partie de sa journée à inspecter des usines et à visiter des institutions. Il complétera ses engagements vendredi dans la matinée et quittera Belfast vendredi soir pour Londres. D'après. les derniers messages parvenus. le plus grand enthousiasme règne cette nuit dans la capitale de l'UIster et toute la population est en liesse. Mentionnons qu'en réponse à une question M. Chamberlain, chancelier de l'Echiquier. a fait connaître aujourd'hui à la Chambre des communes que la contribution de l'Echiquier britannique à l'élection du nouveau Parlement ulstérien s'élevait à 1.150.000 E. Devant les Cortès, M. Zulueta justifie la politique étrangère du gouvernement espagnol Madrid, 16 novembre (dép. Havaa). La Chambre s'est occupée aujourd'hui du budget des Affaires étrangères. En réponse à diverses interpellations, le ministre a déclaré:

L'Espagne n'a pas deux visages le même principe régit sa politique intérieure et extérieure. Elle se conformera aux affirmations pacifistes que contient sa constitution.

L'Espagne entretient d'excellents rapports avec les pays européens, en particulier avec les deux grandes démocraties occidentales qui sont la France et l'Angleterre. Cette situation a une importance primordiale, étant donné l'état d'esprit qui règne actuellement dans le monde.

A propos du voyage de M. Herriot à Madrid, le ministre des Affaires étrangères a conflrmé les déclarations qu'il avait faites avant la visite du président du Conseil français.

Je répète ce que j'ai déjà dit je le répéterai encore si cela était nécessaire il n'y a eu aucune conversation secrète entre les deux nations qui sont unies par leurs aspirations de paix, de justice et de liberté.

En ce qui concerne un prétendu Locarno méditerranéen, le ministre a afflrmé qu'aucun pourparler n'a jamais eu lieu à ce sujet, mais que l'Espagne est toujours prête à adhérer aux accords de caractère pacifiste.

La terre a tremblé en Carinthie Vienne, 16 novembre (cMp. Haras.) Les sismographes de l'Institut central de météorologie et géodynamique de Vienne ont enregistré, hier, à 17 heures 28' 43", un tremblement de terre de moyenne viotenca dont le foyer se trouverait en Carinthie.

Bucareqt. Près de Camputung. un autocar qui transportait une quarantaine de voyageurs a dérapé. On compte quatre morts et douze blessés grièvement.

LE MYSTERE DE COZANCE On a exhumé

le cadavre

de Marius Vachet Des prélèvements ont été faits afin d'établir si le jeune homme s'est suicidé ou s'il a été assassiné et ses restes épart transportés à l'endroit où ils ont été retrouvé*

Lyon, 16 nov. Mëp. Petit Parisien) Si les descentes du parquet de Bourgoin se multiplient à Trept, les résultats, il faut bien l'avouer, ne sont pas dans cette affaire proportionnés aux efforts déployés par les magistrats et la police. Aujourd'hui, à 15 heures, M. Roume, procureur de la République à Bourgoin; le docteur Chaix, médecin légiste, qui fit la première autopsie du cadavre de Marius Vachet, et le docteur Locard, directeur du laboratoire de police de Lyon, se sont rendus au-dessus de Trept, au piateau du Rontay, dans cette clairière où fut retrouvé, le jour de l'armistice, le cadavre décomposé du fermier de Cozance. Il s'agissait de savoir si Marius Va- cet s'était suicidé ou tout au moins si ce suicide avait été possible. On sait que le crâne du malheureux jeune homme avait été transpercé de part en part par une balle de revolver. Ce revolver, qui était l'arme dont il ne se séparait jamais, avait été retrouvé à côté du cadavre. Il manquait une balle dans le barillet, mais la balle n'a pas été retrouvée dans la clairière du Ron- tay et l'on peut en conclure que le coup mortel a pu être tiré ailleurs que là. Tout, du reste, dans cette affaire, infirme petit à petit l'hypothèse du suicide et le docteur Locard a ordonné que le sinistre buisson soit rasé de fond en comble, la terre retournée afin qu'on retrouve la balle, ou qu'on acquière la certitude qu'elle ne se trouve plus dans les parages. En fouillant sous les feuilles mortes, le docteur retrouva un débris de mâchoire et trois dents qui y adhéraient encore. I1 s'agissait de savoir aussi si le cadavre avait été transporté là longtemps après le crime. Un chasseur. M. Yvette, nt au procureur de la République et au docteur une déposition fort intéressante. Le 12 octobre, chassant pris du Rontay. il tira un pivert qui s'était envolé exactement au-dessus du buisson que l'automne avait déjà dépouillé de ses feuilles. Le chasseur avait avec lui trois bons chiens qui auraient certainement senti le cadavre où l'auraient aperçu s'il s'était trouvé là.

Dès lors, le docteur Locard n'hésita pas à ordonner l'exhumation du cadavre qui fut faite une demi-heure plus tard au vieux cimetière de Cozance. La bière fut ouverte en présence des magistrats et policiers et des docteurs. Ce fut un spectacle effroyable, les restes torturés de Marius Vachet gisaient sous un linceul de feuilles mortes et des engrais qu'on avait été bien obligés d'enfouir dans la bière avec le cadavre.

Le crâne, on s'en souvient, avait été déjà prélevé par le docteur Locard il y a deux jours. Le praticien a saisi aujourd'hui le foie. les souliers et quelques lambeaux de vêtements par des procédés spéciaux il pourra établir si des moisissures caractéristiques à tout objet qui a longtemps séjourné sous du fumier se trouvent sur les prélèvements. Une femme prétend avoir vu

transporter le cadavre

Dans la soirée nous avons obtenu un renseignement d'une importance certaine. Dimanche dernier, une femme âgée d'une trentaine d'années et courrectement vêtue se présenta à Jenas, dans la banlieue lyonnaise, chez le frère de François Durand. Jean, et lui déclara

Ma conscience m'oblige à parler aujourd'hui. J'étais à Trept dans la. nuit du 4 au 5 août dernier, je ne peux pas dire avec qui. ce serait trop compromettant pour moi. mais je vous jure, monsieur, que j'ai vu un homme qui portait sur son dos le cadavre de Vachet et qui s'engageait dans un sentier en direction du Rontay.

Jean Durand. dont le frère est incarcéré à Bourgoin depuis plusieurs semaines, sous l'inculpation d'avoir écrit des lettres de mort contre Marius Vachet, ne voulut pas en entendre davantage. Il ordonna à la jeune femme d'aller refaire sa déclaration au maire de Jenas. Celle-ci s'exécuta. Pressée de questions, elle ajouta Si vous me mettiez en présence de l'homme, je suis sûre que je pourrais le reconnaître.

Et elle poursuivit

J'habite Crémieu, je m'appelle Albrun je perdrais ma place si on savait que j'ai fait cette déclaration. Laissez-moi partir, je dirai tout demain à la gendarmerie et je vais tout de suite prendre le car pour Crémieu. Le maire de Jenas laissa la jeune femme partir, mais il téléphona aux gendarmes de Crémieu qui guettèrent 1 arrivée des cars. Ils ne trouvèrent pas trace de la mystérieuse inconnue et leurs recherches lundi et mardi ont abouti à savoir que jamais une femme du nom d'Albrun n'a existé à Crémieu. On se demande alors quel élément nouveau a été introduit dans le difflcile problème par l'apparition de la jeune femme. Se trouve-t-on en présence d'une déséquilibrée ? Ce ne se- rait pas le premier exemple en ma- tière criminelle ne se trouve-t-on pas plutôt en présence d'une femme ayant réellement vu le macabre transport, mais qui, redoutant les conséquences de son escapade à Trept, a disparu après avoir donné une fausse identité ? Ne se trouve-t-on pas enfin en présence d'un faux témoin soudoyé par ceux qui ont intérêt à égarer l'action de la justice ? 7 Toutes les hypothèses sont permises, mais on comprend que les efforts de la police tendent depuis trois jours à retrouver les traces de l'inconnue. Mrt Mollison avait fait escale à Gao Elle en est repartie à destination de Douala

Londres, 16 nov. (d. Petit Parisien.) Suivant un message Exchange Telegraph de Dakar. Mrs Mollison, dont on était sans nouvelles depuis son départ d'Oran, a atterri hter à 12 h. 30 à Gao (Afrique Occidentale Française). Après une brève escale, elle a repris les airs pour Daoula.

A son passage à Gao. Mrs Mollison se trouvait en avance sur les temps du record qu'elle tente de battre.

DERNIERES NOUVELLES SPORTIVES LE HOCKEY SUR GLACE

AU PALAIS DES SPORTS

Le gala organisé hier à l'occasion du match Suède-Stade Français avait attiré au Palais des sports un très nombreux public. Cette manifestation, à laquelle assistait M. Piétri. ancien ministre. donna lieu à une partie caractérisée de, phases de jeu animées au possible et se termina par 5 buts à 1 par la victoire du Stade.

Une exhibition de patinage artistique par MM. Henrion et Baier, champions de France et d'Allemagne Mme de Ligue. championne de Belgique, et Mlle Sonja Henie. championne du monde, fut chaleureusement applaudie.

En lever de rideau. l'A. C. Citroën battit l'Ecole Alsacienne par 3 buts à 0.

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

Le marcheur Caplot

tête par ses concitoyens

René Caplot, classé troisième au Grand Prix de marche de l'Armistice, a été fêté à Mennevret par son club, l'Etoile Sportive, tes autorités locales et les habitants. Une réception à la mairie, suivie d'une visite au monument aux morts, se termina par un vin d'honneur. La fanfare municipale rehaussa l'éclat de cette petite fête. Deur incendiaires sont acquittées par le.jury

La cour d'assises de l'Aisne a tenu hier deux audiences. Elle avait à juger la femme Aimée Deicambre. vingt-deux ans, épicière à le Hériei-ia-Viéviiie, accusée d'incendie volontaire dans une maison d'habitation, et la veuve Sidonie Delcambre, soixante-treize ans. accusée de complicité dans une première affaire et poursuivie. dans une seconde affaire, comme auteur principal.

Dans l'une et l'autre affaire, le jury a rendu un verdict d'acquittement. Mais. d'une part, les deux femmes ont été condamnées à rembourser conjointement les indemnités réclamées par les compagnies d'assurances d'autre part. la veuve Delcambre devra payer 3.000 francs de dommages-intéréts à son locataire qui s'était porté partie civile. Les dépens ont été mis à la charge des parties civiles.

CHATEAU-THIERRY. La mairie vient d'informer la population que le budget de 1933 accusera une réduction de 31,8 centimes additionnels, ce qui se traduit pour l'ensemble des contribuables par un diminution de 72.217 fr. 80.

Le prix du pain est ftxé à 1.75 le kilo. CIERGES. MM. Paul Dussaussoy. Liance Hurcelin. Pierre Dussaussoy. Boullet ont été élus conseillers municipaux. CROUTER, Une délégation spéciale est instituée pour remplir les fonctions du conseil municipal qui vient d'être dissous. LAON. Mme Elisa Colette, demeurant 45. rue des Chenizelles, a été renversée, avenue Gambetta, par une auto. Atteinte de blessures aux jambes et de contrions multiples, elle a été transportée à t'HùteiDieu.

LA BOUTEILLE. Les gendarmes ont arrêté Fernand Renard, trente-deux ans, manouvrier à Etréaupont. qui avait tenté de s'introduire par effraction dans l'habitation de M. Flamant. herbager. LA CAPELLE. Rue du Capitaine-Lemaire. l'auto de M. Lamainière, boulanger, est entrée en collision avec celle de M. Lamontage, herbager à Leschelle ce dernier véhicule s'est complètement retourné et M. Lamontage a été blessé à la tête. MABLE. Un violent incendie s'est déclaré. hier après-midi, aux fermes d'Haudreviiie. Le feu a été communiqué par un tracteur qui actionnait une batteuse. Deux grands bâtiments remplis de récoltes ont été la proie des flammes. Les dégâts sont importants, mais ne peuvent encore être chiffrés.

MONT D ORMNY. Le feu a détruit une meule de blé. valant 20.000 francs et appartenant à M. Paul Lefèvre, cultivateur à Ôrigny-Saint-Benoite.

SAINT-QUENTIN. M. André Lesert, vingt-neuf ans, domestique de culture à Offoy, qui avait eu le crâne fracturé d'un coup de pied de cheval, est décédé à l'Hôtei-Dieu.

Passant sur le passage Supérieur, Mme Charlotte Richet, soixante ans, rentière à Etréaupont, a été renversée et blessée par un cycliste.

YERVIKS. Inculpée de coups et blessures. Françoise Daubert, journalière, a été arrêtée.

EURE-ET LOIR

Trois pourvois rejetés

La cour de cassation a rejeté les pourvois formés par Henri Gossard, caviste à Chartres, condamné à cinq ans de travaux forcés et dix ans d'interdiction de séjour pour tentative d'assassinat; Rose Vallée. à Bazoches-en-Dunois. condamnée & deux ans de prison pour incendie volontaire, et, enfin, Léon Vacher, d'Aunay-soua-Auneau. condamné pour attentat à la pudeur à dix ans de travaux forcés et dix ans d'Interdiction de séjour.

CHARTRES. Cet après-midi, à 17 heures, à l'hôtel du Grand-Monarque, Mme Dussanne, de la Comédie-Francaise, fera une conférence sur ia vie de Sarah Bernhardt.

Mlle Fayolle. secrétaire de la Ligue Internationale pour l'éducation nouvette, fera aujourd'hui, à l'eccle normale des garçons, une conférence sur la rénovation des méthodes d'enseignement.

L'amicale des anciens combattants du train des équipages, réunie sous la présidence de M. Labarre, a élevé une protestation contre l'injustice dont son victimes les militaires de cette arme.

DREUX. Une nouvelle tentative de cambriolage a été commise. l'autre nuit, chez un boucher. Il s'agit cette fois de M. Cantor. établi rue Parisis. Dérangés. sans doute, les malfaiteurs ont pris fuite.

OISE

Renvoi devant les assises

La chambre des mises en accusation d'Amiens vient de renvoyer devant la cour d'assises de l'Oise le manœuvre Robert Dumont. Agé de dix-neuf ans, habitant à Vilieneuve-ies-Sablons, inculpé de violences sur une jeune fille de seize ans. ABAXCOUBT. Des malfaiteurs ayant ouvert, la nuit, la barrière d'un herbage appartenant à M. Jourquin. marchand de bestiaux, quatre chevaux s'échappèrent, et l'un d'eux fut écrasé sur la voie ferrée d'Amiens à Rouen. M. Jourquin a porté plainte.

LAIGNEVILLE. Sa femme lui ayant reproché d'être resté trop longtemps absent pour faire l'emplette de médicaments, M. Charles Gunenbein, cinquante-cinq ans, mécanicien, s'est tué d'une balle de revolver dans la tête On l'a transporté dans un état désespéré à l'hôpital de Creil. MONTS. M. Henri Gisin a été élu maire et M. Fourdrain adjoint.

OUDEUIL. Une meule appartenant à M. Désiré Determan, agriculteur, et située en bordure d'un chemin, a été la proie des flammes. On a trouvé près d'une meule voisine, qui nambait également, une torche à demi consumée. Une enquête est ouverte par la gendarmerie.

SAINT QUENTIN DES PRES. M. Emilien Duclos a été léu maire.

SAINT-WAAST-LES-MELLO. Un Incendie a détruit un hangar rempli de récoltes appartenant à M. Hérouart. cultivateur les dégâts s'élèvent à 100.000 francs. On ignore les causes du sinistre. VOISINLIMU. Les cheminots de la gare de Beauvais ont fait une collecte en faveur de Mme veuve Duquesne et de ses onze enfants, dont le mari et père est mort récemment, victime d'un accident. Une somme de 1.120 francs a été remise à cette Infortunée famille.

SEINE-ET-MARNE

Deux ans de prison

au meurtrier d'Ozoir-ia-Ferriere C'est l'épilogue d'un drame au villages dont a eu à connaître, hier, le jury de Seine-et-Marne. Sur un terrain récemment mis en lotissement, à Ozotr-ia-Ferrière. s'étaient édifiées de petites maisons, demeures de modestes employés et d'ouvriers. dont la plupart travaillent à Paris dans la la journée. Des relations de bon voisinage s'établirent tout d'abord entre certaines des femmes, mats les racontars eurent tôt [ait de jeter la brouille entre elles. Un jour. Mme Marljean. étant dans son jardin, fut frappée par Mmes Obé et Morière. L'affaire vint devant le juge de paix de Tournan et Mme Michel fut amenée a déposer contre Mmes Obé et Morière. A dater de ce moment. le ressentiment de Mmes Obé et Morière se retourna contre Mme Michel, laquelle vivait avec un ouvrier cimentier, Georges Treillard, âgé de trentecinq ans. Il ne se passa guère de jours sans que des injures fussent adressées par les deux femmes à Mme Michel ou à son ami. Cela dura près d'une année. Le 21 mars dernier, à la tombée de la nuit. Georges Treiilard et son amie furent Insultés par les deux voisines. Excédé, Treillard s'arma d'un revolver, sortit et. pris d'une véritable frénésie de meurtre. tira & bout portant sur Mme Obé. qui s'affaissa, atteinte à l'abdomen. li se jeta alors sur elle et la frappa à la tête avec la crosse de son arme. Mme Michel et Mme Morière voulurent s'interposer, mals Treillard. fou furieux, tira sur elles. Mme Morière. atteinte également à l'abdomen. s'affaissa. Puis le meurtrier s'enfuit. Le lendemain Il se constituait prisonnier. Mme Obé mourut. Mme Morière ne se remit que difficilement, ayant eu l'intestin perforé en dix endroits.

Georges Treillard a comparu, hier. devant le jury de Seine-et-Marne sous la double inculpation d'homicile volontaire et de tentative d'homicide volontaire. Après réquifitoire de M. Vassart et plaidoirie de M' Boitel. le jury, après une heure et demie de délibération, rapporta un verdict affirmatif. mais avec le bénéfice des circonstances atténuantes.

En conséquence. Treiliard a été condamné à dix ans de prison et dix ans d'in-

terdiction de séjour. La cour statuera au début de la prochaine audience sur la demande de M* Rossignol. partie civile. pour les époux Morière. qui réclamaient M.OOO francs de dommages-intérêts. Un ouvrier de battages

poignarde un camarade

Alors que les ouvriers d'une entreprise de battages de Mennecy, actuellement occupés à la ferme d'Ennepont, commune de Poigny, prenaient leur repas du soir, une discussion s'éleva à propos de titres de vin brisés. L'un des ouvriers.* François Patural, vingt-huit ans, en réponse à une Injure que lui adressa son camarade Lucien Delattre, trente-trois ans, bondit sur celuici et lui porta plusieurs coups de couteau dans le dos Grièvement blessé. Delattre a été transporté à l'Hôtel-Dieu de Provins. Son agresseur a été arrêté.

L'individu suspect arrêté à Meaux était de bonne prise

L'individu arrêté à Meaux dans les circonstances que nous avons relatées hier est bien l'auteur des cambriolages commis, il y a quelques jours, rue Saint-Christ et rue du Connétabte-de-Richemond. où il déroba chez Mlle Dassi. blanchisseuse, une somme de S.OOO francs. Il en a fait l'aveu hier à la gendarmerie, à la suite d'un interrogatoire serré. D'ailleurs il a été formellement reconnu par la plupart des personnes qui l'avaient vu entrer dans les immeubles. Ce malandrin est un nommé Odile Nemery, âgé de vingt-deux ans, demeurant à Sedan, 25, avenue de la Marne. Il était depuis plusieurs jours à Paris où il logeait dans un hôtel du boulevard de Strasbourg. Il déclare « que c'est parce qu'il étaits ans ressources et sans travail depuis deux mois qu'il avait voulu se procurer de l'argent par tous les moyens

Pour cette raison aussi, Il était devenu trafiquant de coco ainsi qu'en font foi les paquets trouvés en sa possession.

Nemery a été interrogé dans la soirée par M. Rebout, juge d'instruction, qui l'a ensuite fait écrouer.

Ajoutons que Mme Pouchet, ménagère. rue du Tan, qu'un autre bandit avait frappée au moment où elle le surprenait dans son logement, a du être admise à l'hôpital.

Une épreuve de marche

Le Club des marcheurs meldois organise pour dimanche prochain, & Meaux, une épreuve de marche sur un circuit de 6 kilomètres à parcourir six fois. réservée aux clubs de Seine-et-Marne départ à midi, place du Marché. Les engagements (3 fr. pour les licenciés 4 fr. pour tes indépendants) sont reçus par M. Rousset, trésorier. café Jeanne d'Arc, place du Marché, a Meaux.

CIIELLES. La villa de M. Brun, rue Parmentier, a été cambriolée par un inconnu qui s'est emparé de quelques centaines de francs et de divers bijoux. DAMPMART. L'auto de M. Jardinier a tamponné, sur la route, un attelage dont le conducteur. M. Binder. a été contusionné ainsi que Mlle Vernuge, qui se trouvait dans l'auto.

MtTBY-MOBY. M. Lemonnet, tailleur, rue Myrha, à Paris, possède, rue AmbroiseRendu, une maisonnette qu'un malandrin a dépouillée de ses objets mobiliers et de la vaisselle.

.MVE-E'T-075'E

AULNAT SOCS BOtS. La police a arrêté un monteur en chauffage. Christian Pelletier, dix-neuf ans, demeurant 12. route de Mitry. qui, l'autre soir, avait attaqué, rue du Commandant-Brasseur, une jeune fille de dix-huit ans et avait tenté de la violenter. Il a été écroué à Pontoise. LE FECQ. On a retiré de la Seine, au Pecq, le cadavre d'un inconnu âgé d'une quarantaine d'années, de haute taille et vêtu en ouvrier. Sur lui on n'a découvert que des cartes d'un café de la place des Petits-Ponts. Le corps ne porte aucune trace de violence.

LE BAÏNCY. Condamné à un mois de prison et à 1.000 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Pontoise pour mise en vente de poissons corrompus, le nommé Albert Guérin, demeurant allée de la Liberté, à Villemomble, a été arrêté et écroué à Pontoise.

MANTES-SUR-SEINE. Au cours d'une manœuvre en gare, un homme d'équipe. M. Jules Picquot. trente-six ans. demeurant 20, avenue Jean-Jaurès, est tombé d'un wagon et a eu les jambes écrasées. Transporté & l'hôpital, il a subi l'amputation, mais est décédé quelques heures plus tard. Il laisse une veuve et trois enfants.

SAINT-GERMAIN-EN-LAYE. A l'hôpital où il était en traitement depuis juillet dernier, M. Louis Henry, âgé de soixante-quatre ans, terrassier, demeurant à Chatou. 11, rue du Docteur-Rochefort, s'est pendu a la tête de son lit.

Le banquet du congrès

de l'industrie et de l'agriculture Le congrès de l'industrie et de l'agriculture francisée s'est terminé, hier soir, par un banquet au restaurant Laurent. M. Le Mire, député, présidait de nombreux parlementaires assistaient à ce banquet, dont, notamment, MM. Chapsal, Le Trocquer, sénateurs, et MM. Rollin, Barthe, Taudière, Merlant, Baudouin-Bugnet, députés. Au discours de M. Le Mire, dont on citera ceci « Certains nous conseillent d'abaisser nos droits de douane pour permettre l'exportation. Nous leur répondrons que nous ne tenons pas en nos mains les clés du problème. Si les Etats-Unis et la Grande-Bretagne abaissaient leurs tarifs, nous pourrions les suivre, mais, nous qui avons conservé des tarifa modérés, nous ne pouvons commencer x, M. Roger Picard. directeur du cabinet du ministre du Commerce, répondit par une allocution qui fut très applaudie.

La jeune amnésique de Clamart retrouve la mémoire

Nos lecteurs connaissent les circonstances dans lesquelles, le 28 octobre dernier, une jeune fille d'un physique agréable et correctement vêtue était trouvée inanimée dans une petite rue de Clamart. Transportée à i'hospice des Petits-Ménages, à Issy-ies-Mouiineaux. la jeune fille reprit bientôt connaissance, mais il lui fut impossible de dire comment elle s'appelait ni où elle habitait. Elle avait été frappée d'amnésie. On la transporta à la Salpêtrière. où elle fut mise en observation. Hier, la mémoire lui revint brusquement, deux heures à peine avant que ses parents, lesquels avaient été mis sur ses traces par la photographie que nous avons publiée, ne vinssent la retrouver.

Il s'agit d'une jeune coloriste, MII Marcelle Barbé, dix-sept ans. dont le père fut tué à la guerre. Elle habite avec sa grand-mère et son frère, J9, rue de Saint-Cloud, à Nanterre. C'est au cours d'une promenade qu'elle fut prise de frayeur par suite d'on ne sait quelle cause et qu'elle s'évanouit. M. DE VALERA EST ATTENDU CE MATIN A LONDRES

Londres, 16 novembre (dép. P. Paris.) M. de Vaiera. a quitté DuMin cette nuit pour Londres où il arrivera demain matin. Il en repartira par le train continental de 11 heures pour se rendre à. Genève où il doit présider le conseil de la Société des nations.

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LES CONTES DU « PETIT PARISIEN !NN(DCENCE Par J. BRUNO.RUBY

Au revoir, ma Touti, au revoir ma chérie écris-moi tous les jours, obéis bien à tante Marthe et travaiUe 1

Martine regardait de ses larges yeux bleus le vieux cheval attelé à la voiture, car le vieux cheval symbolisait pour elle le départ, c'est-à-dire le réve 1 Il allait mener maman à la gare 1 Magnifique cheval 1

Oui maman, bien sûr maman, répondit-elle cependant car elle était une bonne petite fille, très conciliante.

Mais elle pensait au voyage 1

Mme Creste habitait en Anjou une confortable maison entourée de cinq hectares de terrain qu'elle faisait adroitement valoir. Ses parents, qui appartenaient à une très bonne noblesse de province, l'avaient élevée avec une sévérité et des principes peu aptes à la former au mariage, aussi quand, poussés par d'impérieuses raisons d'argent (mais n'oubliant pas de marquer qu'il s'agissait d'une mésalliance) ils avaient accordé sa main au jeune médecin du pays. elle n'avait rien compris à ce garçon libre d'esprit, simple et bien portant, qui ne la traitait point comme une personne d'essence supérieure. Elle t'avait donc déçu et lui l'avait humiliée et rendue fort malheureuse. La guerre était passée là-dessus, laissant la petite Mme Creste veuve avec une fille de deux ans et l'horreur de l'homme. Aussi, revanche d'un refoulement sexuel que sa fausse éducation lui avait imposé, elle s'était mise à aimer sa petite Martine passionnément et n'avait vécu que dans l'idée de la garder toute à elle, L'enfant marchait à peine que sa mère était déjà hantée par l'horreur d'avoir un jour un gendre.

Martine ayant grandi au fond de la campagne sans amie, avait, à seize ans. la naïveté d'une enfant. Mme Creste partait donc pour Paris, où elle avait ttaiter une affaire, en toute tranquilüté, laissant la petite à sa tante.

Il y eut des baisers, des flottements de mouchoirs, puis la voiture disparut au tournant de l'allée.

Martine s'assit sur le sable chaud du potager et se mit à manger des fraises pour épargner une peine inutile aux limaces. Elle était là depuis un quart d'heure quand tante Marthe montra .soc fin museau de rat, au-dessus de la haie d'aubépines.

Martine, ce n'est pas en mangeant des fraises que tu rempliras ton programme de devoirs ? Souviens-toi de ce que dit ta mère Maintenant une fille intelligente ne doit compter que sur elle seule, les hommes sont méchants et le mariage pire que la mort. »

Martine se leva. Depuis tant d'années qu'on lui avait rabâché cette histoire-là, elle avait fini par le croire. Alors, elle obéit au clairon de tante Marthe et regagna sa chambre. Il y avait, sur la table. un bouquin de chimie agricole, Martine se jeta sur le bouquin. Malheureusement, le déjeuner était encore trop proche et une invincible somnolence gagnait la jeune fille elle se secoua, puis finit par se lever. Je vais sortir, se dit-elle, je marcherai à travers le bois de pins jusqu'à la grande grille. Après, ma digestion sera faite et je travaillerai à l'air.

Et doucement, car elle savait que tante Marthe ne serait sans doute pas de son avis, elle se glissa hors de la maison en emportant son livre.

Là chimie est, une matière lourde. Martine n'avait pas fait cinq cents mètres qu'eUe n'en pouvait plus. Elle se trouvait à une des petites portes de la propriété. Elle sortit.dpucement sur le chemin ou l'air avait une bonne odeur de liberté et s'assit sous un pommier. A sa droite, il y avait une touffe de marguerites et de bluets. C'était charmant. C'était amusant aussi de regarder le père Villène couper de l'herbe pour ses lapons en dressant son gros derrière au-dessus de sa tête. E' il y avait aussi la mère Victorine qui arriva't des prés avec ses quatre vaches, tout en s'épongeant avec son fichu de tête. car il faisait très chaud le pas des bêtes sonnait fort. comme si la terre était creuse. Martine oubliait tout à fait la chimie. Le chemin, au moins, c'était la vie.

Elle avait à peine pensé cela que parut une carriole.

Tiens, pensa Martine, c'est le boucher

Elle connaissait fort bien le boucher. un vieux barbu qui passait tous lesmedis.

Le boucher descendit et entra par la petite porte, regardant avec surprise Martine sur le chemin. C'était une chose qu'il n'avait jamais vue encore puisqu'elle ne quittait jamais les jupons de sa mère. Il souleva cependant sa casquette, sans autre commentaire, et disparut du côté de ta maison.

Martine rentra aussi dans le parc (car un autre homme restait dans la voiture et sans trop savoir pourquoi, elle était gênée) et se rasseyant à l'abri, se replongea dans les formules. Dehors le cheval faisait tinter ses grelots en chassant les mouches, il tapait aussi du pied sur les cailloux. Cela dura deux minutes puis un pas vint dans le sentier, et le second homme, celui qui était resté dans la voiture. parut. C'était un beau grand gars. vêtu d'une veste de toile éclatante de blancheur. Il était brun et sa peu avait une splendide couleur de pain cuit. Martine. qui ne le regardait pas, avait cependant déjà vu tout cela. Mais elle n'en voulait

M. Feuilleton du Petit Parisien. 17-11-32 t! LE (CaJME A!UX

t AMEHILILES = grand ro<na<t

5 Jean de ta f-SR-eE PREMIERE PARTIE

BÂILLONNÉ

X (suite)

t N'est-ce pas qu'il est innocent 1 Quoi qu'est-ce qu'il y a ? s'exclamait le père de Simonie, que cet appel familier arrachait brusquement à ses pénibles pensées.

Tu rêves, mon vieux ? lui lançait un de ses partenaires.

Mais non.

Je comprends, après ce qui t'arrive, que tu ne sois pas en train de rigoler mais ce n'est tout le même pas une raison pour faire une tête pareille. Est-ce qu'on joue. ou est-ce qu'on ne joue pas ?

On joue

Tout en reprenant ses cartes, M. Granville promena autour de lui un regard de boeuf au labour. Croyant .marquer sur les visages de ses voisins une expression de légère ironie, il Ht

Eh bien. qu'est-ce qui vous prend? On t'attend

C'est donc à moi de parler ?

Mals oui. c'est bien toi

Le phosphatier examina son jeu.

Comme de raison, grogna-t-il. je ne vais plus rien avoir.

Copyright by Jean de la Périgne 1932. Traduction et reproduction interdites en toua pays.

rien laisser paraître et bien qu'elle se dit c Les hommes ne sont pas tous aussi laids que maman veut bien le dire 1 elle continuait à lire avec acharnement. Mais le garçon était à un âge où l'on 'n'a pas envie de céder le pas à un livre. Lui aussi, sans paraître voir Martine, il l'avait jugée au premier coup d'oeil et il l'avait trouvée si fine, si fine, si loin de toutes les filles qu'il connaissait, qu'au risque même d'être remis à sa place, il n'avait pu résister à la tentation de lui parler. Mademoiselle nt-il. mademoiselle 1 Et comme Martine levait en rougissant la tête. il continua

Me permettez-vous de m'arrêter un peu ici au frais, il fait si chaud sur le chemin

Martine avait un cœur simple elle était assise sur un tronc d'arbre, placé bien à l'ombre d'un grand chêne et se recula gentiment.

Mais certainement, fit-elle, je vous en prie, asseyez-vous

Il n'en espérait pas tant et s'assit discrètement, laisant un bon mètre entre lui et Martine et se mit à parler. La chaleur était un thème facile, cela l'amena à évoquer le Maroc où il venait de faire son service. Un merveilleux pays, ma foi. mais qui manquait de jolies femmes, surtout de jolies femmes comme il les aimait. c'est-à-dire blondes, très blondes. Tiens. justement comme Martine Le souvenir des blondes l'avait bien souvent hanté làbas Et le garçon s'attendrit. Il osa même passer un doigt léger sur les cheveux d'or de Martine et le livre de chimie glissa à terre.

Un quart d'heure après, Martine savait que les hommes ne se moquent pas tous des femmes comme le prétendait Mme Creste. qu'ils n'étaient pas méchants et que certains étaient même prêts à donner tout leur sang, toute leur vie pour conquérir une jeune fille et la rendre heureuse. et elle était bien contente Lui, Pierre, était enchanté aussi Après tout, cette petite qui était là. il n'était pas censé savoir que c'était Mlle Creste Comme elle paraissait l'écouter avec plaisir, il l'avait donc attirée dans ses bras, puis il avait mis sa bouche sur la naïve bouche Quel baiser et quelle bouche Malheureusement, à cette minute. on avait entendu le pas du vieux bonhomme de père et Martine, tout étourdie, le coeur gonflé par une joie soudaine, s'était écartée de l'amour.

Mais nous nous reverrons ? avait supplié le jeune homme, demain à la même heure, je serai là ?

Elle avait dit oui, sans même savoir ce qu'elle répondait, puis elle s'était enfuie. Si la tante Marthe l'avait vue. la tante Marthe qui. elle aussi, disait tant de mal des hommes Mais Martine se moquait bien de la tante Marthe, ce qu'elle voulait maintenant, c'était convaincre cette pauvre mère qui s'était trompée toute sa vie Alors, elle prit du papier, son stylo et se mit à écrire.

Le lendemain soir, Mme Creste, assise près de la parente chez laquelle eile était descendue, parlait de sa Martine. Vous croyez que c'est une jeune fille et presque bonne à marier, disait-elle, mais c'est une enfant 1 L'ayant élevée loin de tout, j'ai pu la préserver de la pensée même du mal. Je l'ai prévenue contre tous les fils de hobereaux des environs et si le hasard lui en fait jamais rencontrer un. elle saura le remettre à sa place, je vous le jure I Pas un d'ailleurs n.'est d'assez bonne famille pour épouser ma fille

Ce fut alors qu'on apporta une lettre. Elle était (déjà !) de Martine et la tendre et jalouse mère put lire

<: Chère petite maman.

Vous n'êtes partie que depuis trois heures, mais il faut déjà que je vienne vous parler. J'ai eu un grand bonheur. J'ai fait. tout à fait par hasard, en travaillant dans le bois, à l'air, la connaissance d'un jeune homme. Celui-là est bien différent de tous ceux dont vous m'avez parlé. Il est plus beau que n'importe quelle femme. Et plus intelligent Il a beaucoup voyagé, même en Afrique, et parle de ses voyages d'une façon merveilleuse. Des femmes aussi. C'est ainsi que j'ai appris qu'il n'y a, pour lui, rien de plus ravissant qu'une blonde et que. pour rendre heureuse la blonde qu'il aurait choisie, il donnerait volontiers tout son sang, toute sa vie 1 Vous voyez, chère maman, combien vous vous êtes trompée Il y a des hommes qui ne sont pas méchants du tout J'ajoute qu'il embrasse comme jamais une femme ne m'a embrassée, même vous, chère maman, et que je veux que vous l'aimiez comme je l'aime déjà. Vous vous trompez, vous vous trompez, les garçons ne se moquent pas des filles et je crois que je n'ai vraiment plus besoin du tout d'étudier la chimie. Mille baisers.

Votre Martine.

P. S. J'oubliais de vous dire que l'ami dont je vous parle est le fils du boucher, »

J. BRUNO-RuBY.

Médaille d'or des épidémies La médaille d'honneur des épidémies en or est décernée à Mlle Marie Werner, inflrmière à l'asile d'aliénés de Rouffach (Haut-Rhin), morte victime de son dévouement.

Et avec mauvaise humeur, Il reposa son jeu sur le tapis, tout en grommelant

Cartes

Et Il ajouta entre ses dents

Ce sale type-là, il est fichu de m'avoir flanqué la Chose 1

Très superstitieux, Totor se fût fait couper en morceaux plutôt que de prononcer le mot fatidique, ainsi que de passer sous une échelle et de traiter une affaire le mardi, qu'il considérait comme un jour néfaste.

Touche du bois blaguait un de ses amis.

MJ Granville appuya le bout des doigts de la main gauche sur le rebord de la table. Mais cette prétendue conjuration du mauvais sort n'allait avoir aucun résultat. Il perdit tout ce qu'il voulut, ou plutôt ce qu'il ne voulait pas; et lorsque dix-neuf heures retentirent, à la grosse pendule ronde du café, qui se trouvait placée juste au-dessus de sa tête. il devait aux gagnants la somme de 19 fr. 95, battant ainsi non seulement son propre record, mais encore celui de tous sef partenaires.

Le fait était d'autant plus curieux que. d'après les conventions, tl devait régler toutes les consommations de ses camarades. Or, soit par hasard ou par calcul, elles étaient plus nombreuses et plus chères que de coutume. Il régla le tout en grognant. Mais ce qui acheva de t'exaspérer, ce furent les condoléances que les trois vainqueurs car il était le seul perdant crurent devoir lui adresser lorsqu'il prit congé d'eux pour regagner ses pénates.

Il y a des jours où l'on n'est pas en train.

T'en fais pas, mon vieux Totor. demain, tu nous auras

C'est pas une raison parce que Robert Marsault a assassiné son oncle, pour faire une pareille bobine. Puisque tu lui avais repris ta parole. et qu'il n'y avait plus rien entre ta demoiselle et lui.

LE PROJET D'ENCYCLOPEDIE DE M. DE MONZIE

M. de Monzie, ministre de l'Education nationale, avait convoqué hier soir, à la Sorbonne, un certain nombre de personnalités du monde universitaire et scientifique pour les entretenir du projet d'encyclopédie dont il a pris l'initiative, en plein accord avec M. Herriot, président du Conseil, qui a accepté la présidence d'honneur du comité en vole d'organisation. Le recteur M. Charléty, qui doit assister le ministre dans la direction de l'œuvre, et les doyens des facultés participaient à la réunion.

M. de Monzie a exposé les motifs pour lesquels une pareMIe entreprise lui parait, à l'heure présente, une nécessité. Il a sollicité le concours de l'université tout entière, maîtres et disciples. Sur le plan même de l'encyclopédie, un large débat s'est institué auquel ont pria part successivement MM. Lucien Febvre, Lalande, Georges Dumas, Langevin, Hadamard. Montel, Guignebert, Brunschvigg, Lapicque, Paul Boyer, Lemoine, Jean Perrin. Un accord de principe et de eentianent s'est manifesté, dont le ministre a pris acte. Il se propose de saisir prochainement l'opinion et de faire contlaitre ses intentions concernant l'organisation de l'œuvre d'ores et déjà décidée. LA SITUATION AU MAROC La commission des affaires étrangères de la Chambre a entendu, hier après-midi, un exposé de M. Guernut sur son voyage au Maroc. Le député radical socialiste de Château-Thierry a particulièrement traité trois points. Le premier concerne certaines revendications des Français au Maroc, celles notamment ayant trait à leur représentation dans les assemblées. En second lieu, M. Guernut a présenté quelques observations sur la péné.tration paciflque, et s'est félicité d'avoir vu de nombreux officiers mettre leur point d'honneur à ne pas faire tirer, au cours des opérations, un seul coup de fusil. Parlant enfin du mouvement jeune marocain, M. Guernut a montré en quoi ce mouvement n'était qu'un mouvement nationaliste se rattachant au mouvement panarabe mais Il estime qu'une répression brutale n'aurait pas d'autre résultat que de donner, à tort, à ses instigateurs l'auréole du martyre. Ajoutons qu'un échange de vues a eu lieu sur le problème de la dette à l'Amérique; mais la commission a ajourné toute délibération approfondie à ce sujet jusqu'à l'audition de M. Edouard Herriot.

M. Herriot reçoit les représentants des chambres d'agriculture Le bureau de l'assemblée des présidents des chambres d'agriculture, présenté par M. Joseph Faure, président, a été reçu hier matin par M. Edouard Herriot. La délégation a exposé la situation très grave des agriculteurs et remis les résolutions adoptées par les chambres d'agriculture pour atténuer la crise agricole, notamment en ce qui concerne l'insuffisance des prix de vente des produits agricoles et l'écart excessif entre le prix à la production et les prix à la consommation, en particulier pour la viande.

M. Edouard Herriot a exprimé sa volonté de mettre en œuvre tous les moyens efficaces et il a promis de connrmef prochainement, d'accord avec le ministre de l'Agriculture, la politique agricole du gouvernement.

LES ASSURANCES SOCIALES: Une détégat ,de. ta,, ..commission d'assurance et de prévoyance sociale, composée du président, le docteur Fié. et de MM. Hussel et Peisset, députés, s'est rendue au ministère du Travail, mandatée par ladite commission. Le président a exposé au ministre combien les retards apportés aux sanctions du décret de coordination étaient préjudiciables aux intérêts des différentes collectivités.

Le ministre a assuré la délégation qu'il s'efforcerait d'apporter une solution rapide aux questions concernant les exclus des assurances sociales et les médaillée du travail, ainsi qu'aux questions relatives aux chômeurs ne pouvant bénéficier des fonds de chômage faute de caisse de chômage.

Le contrôle du prix de l'essence Le conseil d'administration de l'Office national des combustibles liquides, réuni sous la présidence de M. Henri Roy, sénateur, a voté le budget de 1933 de l'office et des écoles d'applications, station d'essais et laboratoires annexes, ainsi que le programme d'économies y afférant.

Le directeur a rendu compte des travaux et enquêtes de la commission chargée de l'étude de l'organisation du commerce en gros et au détail de l'essence et des huiles lampantes, notamment en ce qui touche les prix de l'essence.

Le conseil a décidé de continuer à participer au service de contrôle de la distribution par pompes organisé avec le concours de l'Union nationale des associations de tourisme et de la chambre syndicale de l'industrie du pétrole. La surveillance s'exercera tant sur l'affichage des prix que sur les fraudes dans la qualité ou dans la quantité.

Le reste de la séance a été consacré à l'étude des questions afférentes à l'écoulement des stocks d'alcool industriel à la carburation.

Et puis, tu ne pouvais pas savoir que c'était un bandit

Fichez-moi la paix, avec cette histoire-là s'écriait rageusement le phosphatier.

Et il quitta rétablissement en coup de vent, dédaignant de serrer les mains qui se tendaient vers lui. Lorsqu'il fut dans la rue, il se dit Tous ces mufles-là sont déjà en train de me débiner

Et d'un pas aussi rapide que le lui permettait sa forte corpulence, il regagna son domicile. Persuadé que les yeux de tous les passants se fixaient sur lui, il accéléra encore sa marche, et lorsqu'il arriva chez fui, il était rouge, en nage. et il soufflait comme un phoque.

Maria, la femme de chambre. qul lui ouvrait, sidérée de voir son patron rentrer dans un pareil état, s'écriait Ce que monsieur a chaud Monsieur a donc couru ?

Vous, nchez-moi la paix répliquait Totor. dont la mauvaise humeur s'était transformée en une violente colère.

Et il ajouta

Allez tout de suite dire à madame que je suis dans mon bureau. C'est qu'il y a quelqu'un qui attend monsieur.

Qui ça ?

Une dame'.

Une dame 7

Oui. monsieur.

Maria, une fille solide qui n'avait pas froid aux yeux, tendit à M. Granville une carte qu'elle avait serrée dans la poche de son tablier

c Pierre Varèze, du Courrier de Normandie.

Qu'est-ce que vous me chantez ? s'exclamait le phosphatier. Vous me dites qu'une dame m'attend et vous me présentez la carte d'un monsieur. C'est pourtant bien celle qu'elle m'a donnée.

Vous devriez savoir que je n'aime pas qu'on me charrie.

SOUS LE MASQUE JAPONAIS amm Du LA Ftottitz FAG* -<

Sans en arriver, du moins ouvertement, à des conclusions aussi belliqueuses, le gouvernement japonais a cherché au problème d'autres solutions qui ne diminueraient pas les forces vives de l'Empire.

Il a envisagé la mise en valeur du territoire national en améliorant les terres déjà cultivées et en défrichant les terres incultes. Mais pour augmenter la .'production des terres cultivées, il faut des engrais et ils sont trop coûteux pour que le paysan puisse se les procurer avec ses propres ressources. Sans doute une partie de l'emprunt des 500 millions de yens voté dernièrement par la Diète sera-t-il consacré au progrès d'une culture plus moderne et plus rat).<)nnel!e. Il semble, du reste, que dans beaucoup de régions cette culture ait déjà atteint à un degré de perfection qu'il ne peut dépasser, car avec le morcellement actuel de la propriété on ne peut songer à user des mêmes moyens mécaniques qu'en Russie et aux Etats-Unis. Il y a encore dans le Yeso et le Kyushu des terres marécageuses que l'on pourrait drainer, et au nord, dans le Hondo et l'Hokkaldo, des territoires nouveaux à défricher. Mais les montagnes sont difficiles d'accès, plus difficiles encore à cultiver, les bonnes terres sont rares; le riz ne pousse guère sur les pentes ni là où il fait trop froid, et le paysan japonais, casanier, ennemi de l'aventure, s'adapte jusqu'ici difficilement aux pays nouveaux et aux climats trop rigoureux Il est habitué à ses rizières et à ses champs de blé et ne consent pas facilement à changer de travail. Ce n'est pas un pionnier. Parmi les colons que le gouvernement ou les grandes sociétés agricoles avaient établis au Hokkaido, où ils devaient faire de l'élevage, beaucoup ne purent s'acclimater à une région où la neige couvre le sol pendant six mois ni se plier aux soins constants que réclament les vaches, les moutons, les porcs. Rebutés, ils retournèrent chez eux, préférant une misère connue.

Ceux qui sont restés, par contre, commencent à s;accoutumer; ils consentent à échanger leurs maisonnettes de bois contre de solides maisons de pierre, leurs casaques de toile contre des vêtements de fourrure et, délaissant le riz, s'habituent peu à peu à la viande. Leurs enfants, adaptés, formeront une race plus forte et plus résistante.

L'Hokkaido, pourtant, ne peut hospitaliser tous les Japonais en surnombre. Le remède, en partie efficace, est insuffisant.

Reste l'émigration. Mais l'émigration s'est limitée jusqu'à devenir presque impossible. Il y a même pour les Japonais, en même temps qu'une cause de cuisant souci, un sujet de perpétuelle amertume.

Depuis une dizaine d'années, la plupart des pays d'Asie et d'Amérique se sont fermés aux émigrants nippons. Seuls quelques pays de l'Amérique du Sud, et notamment le Brésil, ont encore recours à la main-d'œuvre japonaise. Mais pour combien de temps ? Les Etats-Unis absorbaient naguère une grande partie du surplus de la population japonaise; leur colonie qui, en 1900, ne comptait que 24.000 membres, s'élevait à 111.000 en 1&20, dont 93.000 sur la cote du Pacifique et 72.000 rien qu'en Californie, D'abord coolies, puis marchands, petits fermiers et propriétaires, ils puUuJèrent et prospérèrent à tel point que les Californiens finirent pas s'alarmer et prirent peu à peu contre leur invasion les mêmes mesures que contre l'invasion chinoise. M. André Siegfried, dans son maître livre sur les Etats-Unis, analyse avec son ordinaire pénétration les raisons psychologiques et économiques qui aboutirent à l'éviction totale des émigrants japonais.

Après sa victoire sur l'Etat tsariste, le Japon, devenu une grande puissance asiatique, commence à inquiéter l'Amérique par son accroissement et ses visées ambitieuses. Dès 1906, premier geste de défense yankee: injonction aux Japonais d'envoyer leurs enfants dans les écoles spéciales réservées aux Jaunes. Premier froissement de l'orgueil japonais, qui entend n'être pas confondu avec les autres Asiatiques,'

En 1920, les Nippons ont acquis le huitième environ des terres de Californie et monopolisé certaines cultures, celles des légumes par exemple. Partout ils s'insinuent, d'abord dans les conditions les plus humbles, avec les salaires les plus bas; puis, peu à peu, ils éliminent leurs rivaux, les remplacent, s'imposent. Le Blanc se sent menacé. Il s'affole: en 1920, loi qui interdit aux Japonais de posséder la terre. Ceux-ci recourent à des subterfuges variés et demeurent. Un peu plus tard, le mariage avec les personnes < d'origine mongole est déclaré illégal. C'est murer les Japonais dans leur caste et leur race. En 1917, le principe de l'exclusion des immigrants d'origine asiatique est introduit dans la législation; en 1919, à la conférence de la paix de Versailles, les Américains s'opposent à la

Mais, monsieur, ce n'est pas de ma faute.

Non, c'est (*e la mienne. En attendant, allez dire à votre bergère que je l'envoie à la gare. Vous m'avez bien compris ? A la gare Au fait. j'y vais moi-même. Où l'avez-vous mise à tremper, cette poule ?

Dans le petit salon.

M. Granville s'engouffra en coup de vent, Mais à peine en avait-il franchi le seuil qu'il s'arrêtait, littéralement syncope, devant une jeune femme fort jolie qui portait avec une sobre élégance un costume tailleur bleu marine complété par un petit chapeau assorti et laissant apercevoir un charmant et gracieux visage.

Alors. s'enquérait-il. c'est vous le journaliste ?

Oui, monsieur, souriait aimablement son Interlocutrice. Pierre Varèze n'est pas mon vrai nom. C'est le pseudonyme dont je signe mes articles dans le Courrier de Normandie.

Qu'est-ce que vous me voulez ? demandait Totor d'un ton moins bourru. Car, sans être un amateur forcené du beau sexe, il n'en aimait pas moins à contempler de temps en temps et d'assez près un visage plus jeune et surtout moins rébarbatif que celui de son épouse légitime.

Je désirerais vous interviewer, déclarait la jeune femme.

Moi! se gonflait le phosphatier; car il n'était pas ennemi d'une certaine publicité, surtout quand elle ne lui coûtait rien.

Et, prenant un air avantageux, Il fit A quel sujet ?

Au sujet du drame de Mesnil-surAndelle.

Le drame de Mesnil-sur-Andelle ? répétait le père de Simone en fronçant les sourcils.

Mais oui. l'assassinat du chanoine T'hiberville. Peut-être o'êtes-vous pas au courant 7

Si. si. je viens d'apprendre. Et, redevenant brutal, il proférait

proposition japonaise contre < toute distinction de droit ou de fait basée sur la race ou la nationalité Enfin, en 1924, loi formelle qui interdit absolument l'immigration asiatique, Japon compris.

Ce fut pour la seconde fois une blessure vive dont l'orgueil nippon saigne encore. Beaucoup de Japonais estiment qu'il faudrait une guerre et du sang américain pour la laver et la guérir.

Ce ne sont pas seulement les EtatsUnis qui se fermaient à l'émigration japonaise, mais les Philippines, où se trouvent encore 150.000 Japonais dont le nombre diminue lentement. Quatre ans plus tard, le Canada, qui Imite toujours ses puissants voisins yankees, Interdisait à son tour son territoire à la race jaune. La Chine proprement dite devenait à son tour hostile et les 55.000 Nippons qui s'y trouvaient en 1928 se voyaient peu à peu contraints au départ. Quant à l'Australie, elle n'admettait même pas les émigrants britanniques.

Voilà donc le Japon, comme au temps des Shoguns, étroitement enfermé dans des limites chaque jour plus étroites. Son seul espoir désormais, c'est la Mandchourie. Le Japon y avait déjà tenté depuis 1905 un certain effort de colonisation des ouvriers japonais étaient employés dans les chemins de fer, les mines et dans le grand port de Dairen des cordons de paysans et de petits fermiers bor!'daient les voies du Sud-Mandchourien et les côtes du golfe du Petchili. Des villages nippons formaient çà et là des îlots dans l'océan de la population sinomandchoue. Politique de prévision du gouvernement impérial qui envisageait déjà son expansion sur le continent chinois. Mais les colons japonais s'adaptaient mal à la rigueur du climat et aux dures conditions de la vie. De santé délicate, habitués à une nourriture plus fine et plus variée, tenant à leurs petits poissons salés, à leurs algues, à leur fameuse sauce le <: shoyu et au <: daikon :f. ce radia à la terrible odeur qui est le condiment obligatoire de tous leurs mets, ils eurent d'abord peine à lutte*' contre les rudes et sobres Chinois du Nord. On ne les trouvait guère que dans la Mandchourie méridionale et surtout comme fonctionnaires des chemins de fer, industriels. commerçants. Peu d'ouvriers et de paysans L'an dernier, contre 28 millions de Mandchous et de Chinois, il n'y avait encore que 220.000 Japonais et 1.100000 Coréens. Encore parmi ces derniers comptait-on nombre de naturalisés ou assimilés Chinois.

Aujourd'hui, la nécessité et l'ambition japonaise parlent ferme. Et c'est par masses que débarquent les immigrants japonais, des jeunes gens surtout, avec armes et bagages. Les armes ne sont pas là un vain mot, car on leur a donné des fusils, des couteaux et ils sont prêts à combattre les bandits; vocable commode pour désigner tous ceux qui s'opposeraient à leur intrusion. Vêtus d'uniformes de soldats, ils sont groupés en formations militaires sous les ordres d'officiers et soumis à la plus stricte discipline. C'est une armée munie d'instruments aratoires qui défriche, laboure, une armée 'occupation. et:peut-être d'invasion. Car, qtHque soit la décision'dé la ScciéM des nations, ce fiot jaune continuera & couler..11 déborde même déjà eb.ziaqùed'thonder les provinces chinoises au sud de la Mandchourie. Ce qui est certain, c'est que jamais il ne remontera à sa source.

Andrée VMLLI3.

La réduction des traitements des fonctionnaires

MM. Clerc et Carr6n, députés de la Hante-Savoie et de la Savoie, ont déposé un amendement au projet de budget visant les articles 91 et 93, relatifs à la réduction des traitements des fonctionnaires.

Ils considèrent que la baisse des émoluments des employés de l'Etat n'est pas un sacrifice si cette baisse correspond à celle constatée d'une façon certaine sur le coût de la vie. Aux termes de l'amendement de MM. Clerc et Caron, trois coefficients devront être calculés donnant le pourcentage de baisse constaté par comparaison avec le coût de la vie au moment de la fixation des échelles d'appointements. Ces coefflcients seront appliqués dans le budget de 1933 à une réduction le premier des appointements et indemnités de toutes catégories jusqu'à 14.000 francs le second jusqu'à le troisième audessus de 60.000 francs. La même réduction pourrait être opérée entre les mêmes limites sur les pensions et les retraites.

Le groupe de défense des polices de France a entendu M. de Tinguy du Pouët sur la question des indemnités allouées au personnel des polices d'Etat. Après plusieurs interventions, le groupe a chargé M. de Tinguy du Pouët de demander à la commission de repousser toutes les propositions de réduction d'indemnité contenues dans le projet du gouvernement, sans oublier la réduction de l'indemnité de résidence et de l'indemnité spéciale des fonctionnaires d'Alsace-Lorraine.

Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse, cette histoire-là?

Monsieur, excusez-moi si je commets une indiscrétion, mais mon directeur m'a chargée de vous demander. Quoi ?

Ce que vous pensez.

De lui ? Eh bien vous pouvez lui dire de ma part qu'il se mêle de ce qui le regarde!

C'est ce qu'il fait. monsieur. Comment cela ?

Avec une douceur sous laquelle se cachaient une rare énergie et une discrète opiniâtreté, Pierre Marèze répondait En cherchant à recueillir toutes les informations qui sont de nature à intéresser les lecteurs de son journal. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? reprenait le père de Simone. déjà moins en boule.

Ce n'est tout de même pas moi qui ai tué M. Thiberville.

D'accord, monsieur.

Alors ?

Vous connaissez le meurtrier. Robert Marsault ?

N'est-il pas fiancé à Mlle votre aile? Jamais de la vie

Pourtant, il y a quelques jours. le Courrier de Normandie a publié une note annonçant le prochain mariage. Les journaux racontent ce qu'ils veulent.

Et cette note n'a pas été démentie. Vous pourrez le faire et même ajouter que je. n'ai pas attendu que Robert Marsault eût étranglé son oncle pour le flanquer à la porte.

C'est entendu, monsieur, déclarait la jolie « reporteresse a en griffonnant quelques notes sur son carnet. M. Granville. quelque peu radouci, réfléchissait tout haut

C'est encore la meilleure façon de couper court à tous les potins malveillants que des gens mal intentionnés ne vont pas manquer de faire circuler sur moi et sur ma fllle.

N'ayez aucune crainte à ce sujet, rassurait Pierre Varèze. Mlle Granville

Dépuratif du sang eczéma, psoriasis maladies de la peau On a reconnu de tout temps que les plantes avaient une action indiscutable sur les maladies de la peau et pour purifier le sang. Mais, habituellement, les plantes ne sont pas choisies comme Il conviendrait pour chacun c'est pourquoi le retour à :a santé est si long et même ne se produit jamais. Il faut à chaque malade un traitement individuel. Celui du père Benoit d'Amiens réalise des cures inespérées parce que chaque malade peut l'adapter à son propre cas. De plus, ce traitement diffère de tous les autres par la quantité de plantes, le mode de préparation et leur régularité. Pour tes malades graves, ce traitement est leur planche de salut. Le traitement pour les maladies de la peau (indiquer le N< 3) est vendu 18 fr. (par poste 19 fr. 10) la botte de 12 paquets. à la pharmacie Julien, 59, rue des Vinaigriers, Paris, et dans toutes les pharmacies. Dépôt général 0. C. P. En cas de difficulté. envoyez un mandat de 19 fr. 10 au Laboratoire E. Benoît. 6. rue Barreau, à Asnièrea (Seine), qui fera l'expédition franco. Pour les autres traitements, écrire au Laboratoire, qui répond gratuitement à toute demande de renseignements TISANE E. BENOIT

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et vous êtes au-dessus de tout soupçon et nul ne songe à vous rendre responsable.

Vous .ne les connaissez pas Tenez, tout à l'heure, au café. Au fait, j'y pense, mademoiselle, vous qui êtes venue me demander des tuyaux, peutêtre bien qu'à votre tour vous pourriez m'en donner ?

Très volontiers, monstur. Je vais vous dire ce que je sais.

AHez-y, mademoiselle.

Et, s'apercevant seulement qu'il avait laissé debout la visiteuse, Il invitait

Asseyez-vous donc

Je ne suis pas fatiguée, déclarait la jeune reporteresse, qui comptait bien, en renseignant M. Granville, s'attirer ses bonnes grâces et obtenir de lui des déclarations grâce auxquelles elle pourrait corser son « papier

Et elle poursuivait

En réalité, nous ne savons pas grand'chose, si ce n'est que c'est au cours de la nuit dernière que le chanoine Thiberville a été étranglé dais son lit. que des charges accablantes, dit-on, pèsent sur son neveu. et que ce dernier, à la suite d'un long interrogatoire que lui ont fait subir les représentants du parquet de Croissysur-Eure, de confrontations émouvantes et de découvertes sensationnelles qu'auraient effectuées les inspecteurs de la brigade mobile, a été arrêté et écroué sous l'inculpation d'homicide volontaire, de vol et de destruction de testament.

Ça y est s'écriait le phosphatier en tapant l'une contre l'autre les paumes de ses mains.

Quand il a su qu'il était ruiné. il aura voulu s'approprier la fortune de son oncle.

D'après ce qu'un de nos rédacteurs vient de nous téléphoner de Mesnil-sur-Andelle, ce ne serait pas tout à fait la thèse du parquet. Selon les magistrats, Robert Marsault aurait pénétré nuitamment dans le presby-

Voilà la grippe, attention! L'hiver débute à peine que, déjà, ta STippe se manifeste. Attention Surveillez-vous. Ne négligez plus migraines. maux de tête, névralgies. qui sont des signes précurseurs de la grippe. A la première douleur à la tête ou aux tempes. enrayez le mal en absorbant une ou deux poudres Kafa. Spécifique de toutes 'les affections où l'élément douleur prédomine, tes poudres Kafa sont immédiatement assimilées par l'organisme et agissent plus rapidement et plus énergiquement Que les cachets ou comprimés. Elles n'ont que des succès contre les migraines, les névralgies. la grippe. les états fébriles, les courbatures. Sans action nocive sur l'estomac ou le cœur. les poudres Kafa peuvent être prises par les personnes les plus délicates. Dans toutes les pharmacies, le cachet. 1 fr la boite de dix. 8 Ir. Adorée des Enfants!.

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tère et aurait eu avec son oncle un entretien au cours duquel Il lui aurait demandé de lui venir en aide. Le chanoine aurait refusé. Marsault aurait insisté, menacé. Le pauvre vieux aurait appelé. Fou de colère, son neveu aurait voulu étouffer ses cris et. serrant trop fort, l'aurait étranglé. C'est sûrement ainsi que cela a dû se passer, abondait le père de Simone.

Ce qui semble justiner la version adoptée par le procureur de la République et le juge d'instruction, faisait la « reporteresse c'est que l'on a retrouvé dans la Seine le portefeuille dans lequel le chanoine serrait ses disponibilités courantes, ainsi que son testament, par lequel il laissait toute sa fortune aux pauvres. Or les billets et le testament ont disparu.

Il n'y a pas d'erreur, clamait le phosphatier, c'est ce saligaud-là qui a fait le coup!

Quand je pense que. tantôt, à quatorze heures, il était là où vous êtes, qu'il me parlait de son oncle avec des larmes dans la voix. Mais je ne me suis pas laissé attendrir pourtant je ne savais encore rien. C'est-à-dire que si: j'avais appris comme tout le monde que sa banque avait fermé ses guichets. Déjà ce n'était pas très reluisant. Vous comprenez bien qu'auprès un coup pareil je ne pouvais plus lui donner ma Hlle. Seulement, moi, je r. suis pas un mauvais type. Aussi j'avais pitié de lui. Ce n'est pas drôle, n'est-ce pas, quand on a été plein aux as de se retrouver nouveau pauvre le lendemain, juste avec ses ongles pour se gratter!

& Je lui ai donc offert de le recommander à des copains, de lui trouver une situation. Mais il m'a dit qu'il ne voulait pas rester plus longtemps à Rouen, qu'il allait s'expatrier. Parbleu! Il s'apprêtait déjà à les mettre! Il n'a pas voulu que ma aile lui rende sa bague Enfin, il nous a joué la comédie. (A suture.)


Le premier

baiser fut le dernier Que ne lui avait-on indiqué le Milfon

Ce premier gage d'amour qu'il attendait depuis si longtemps quelle déception 1

"Je ne sais ce qu'a Henri dü, un peu plus tard à sa mère, la jeune fiancée; il n'est plus le même avec moi. As-tu remarqué qu'il n'est venu que deux fois cette semaine à la maison ?"

A quetquesjoursde ta. on apprenait' que les fiançailles étaient rompues. Une bouche empoisonnée par la mauvaise haleine est certainement le hlus grand obstacle que l'amour puisse rencontrer sur son chemin. C'est un obstacle que bien peu. de gens ont le courage d'affronter. Toute femme soignée tout homme aussi devrait s'assurer que son

L'invention d'un sous-ingénieur

des Postes et Télégraphes de Strasbourg

Strasbourg, 16 nov. Mëp. P. Parisien.) Le câble sous-marin Brest-Casablanca s'est rompu ces jours derniers. I1 n'est pas encore rétabli. Et pourtant tes télégrammes parviennent à leurs destinataires comme par le passé. Ils arrivent désormais en passant non plus par Brest, mais par Strasbourg. C'est que le central de cette ville compte, en la personne de M. Verdan, un sousingénieur qui a réalisé une merveilleuse invention.

Ce Savoyard d'origine, établi en Alsace depuis l'armistice, s'est attaqué au délicat problème de l'application dans les communications radiotélégraphiques de l'appareil Baudot, utilisé depuis plus de cinquante ans dans les P. T. T.

Depuis l'apparition des ondes courtes. qui ont la précieuse propriété de se propager à grandes distances moyennant la mise en jeu de puissances très réduites, l'application du Baudot à ces ondes remarquables, mais excessivement capricieuses, a posé un problème du plus haut intérêt national. La France, dont les possessions coloniales sont nombreuses mais éloignées de la métropole, se trouve dans l'obligation d'améliorer sans cesse les communications avec ses colons. (Jetles-ci s'effectuaient jusqu'ici, dans la majeure partie des cas, sous le contrôle des compagnies étrangères de câbtes sous-marins. Pour de longues distances, de multiples retransmissions étaient rendues necessaires au plus grand préjudice du prix et de la fidélité des télégrammes échangés.

M. Verdan vient, par une série de modiflcations et de perfectionnements apportés au Baudot, d'ouvrir un nouvel horizon en rendant possible son application dans le domaine des ondes courtes. Il a réussi à prémunir cet appareil contre le phénomène du < fading.. bien connu des amateurs de radio, et contre les parasites atmosphériques. Ces deux ennemis donnent des perturbations opposées le fading » supprime une partie des signaux, alors que les parasites ajoutent des signaux intempestifs. Un procédé de double réception permet de verrouiller la réception principale sous l'effet d'un parasite et de n'avoir qu'à remplacer les signaux éclipsés par le < fading Le remplacement des signaux man-

Pour l'achèvement de la ligne tar!e Chartrea par Gallardon Le groupe parlementaire d'action pour l'achèvement de la ligne ParisChartres par Gallardon, réuni à la Chambre sous la présidence de M. Mounié, sénateur, après diverses interventions. a décidé de poursuivre activement son action jusqu'à l'achèvement complet de la ligne.

UNE CONFERENCE SUR GUIGNOL C'est par une conférence sur c les marionnettes et le guignol en France », avec d'amusantes démonstrations du ma!tre guignoliste Gaston Cony, que commencera. samedi prochain, à 15 heures, au Cercle d'Iéna, ta première série de réunions des Conférenciers français. On trouve des cartes et dee abonne- menta pour ces conférences au Cercle d léna. 10. avenue d'Iéna, et au siee dfR Conférenciers français, 7. rue sale, Fnris-V'.

haleine est toujours pure et fraîche. Grâce au Milton, c est si simple 1 Quelques gouttes de Miiton dans un peu d'eau, un rinçage de bouche, soir et matin, et toute haleine forte on mauvaise disparaît, Grâce au Milton, des milliers de gens ont retrouvé un bonheur qu'ils croyaient perdu.

Merveilleux désodorisant, le Milton est encore un incomparableantiseptique. Un gargarisme quotidien au Milton est le moyen sûr et éprouvé d'éviter grippes; rhumes, maux de gorge, angines, de même que toute infection microbienne.

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quants est effectué par des d répétiteurs qui apportent leur appoint chaque fois que la réception a été altérée.

M. Verdan a pu démontrer ces joursci toute la valeur de ses travaux en recevant à Strasbourg, au Baudot, sur ondes de 20 mètres, les télégrammes du Maroc à destination de la métropole, et ce, à une cadence de 150 télégrammes à l'heure. Grâce à son invention, aucun retard ne s'est produit dans la transmission des dépêches, le rendement de l'appareil étant tel que le trafic total du Maroc ne suffit pas à l'alimenter complètement.

On capture dans la Nièvre

trois individus qui volèrent des autos dans la banlieue de Paris

Bourges, 16 novembre Mdp. Petit P.) Dimanche dernier, le Petit Parisien l'a relaté, Mlle Jeanne Girardin, vingtsept ans, qui se rendait à pied de Neuvy-sur-Barangeon, à Henrichemont, où elle habite, fut interpellée par quatre jèunes gens qui l'invitèrent à prendre place dans leur automobile. L'ayant dépouiltée de son sac à main, ils l'abandonnèrent ensuite sur le bord de la route

Grâce à une active enquête de la gendarmerie, les malfaiteurs ont été identifiée. On avait établi, en effet, que ces jeunes gens, originaires d'Alfortville, avaient dérobé une auto dans la banlieue parisienne, puis l'avaient troquée à Melun contre une autre avec laquelle ils avaient gagné le Berry. On retrouva leur trace à Nevers où ils abandonnèrent l'automobile puits, mardi, à Cosne. où ils prirent place à bord d'un camion qui devait les conduire à Paris. Mais à Neuvy-surLoire, le camion fut arrêté par un barrage de gendarmerie.

Les quatre bandits tentèrent de s'enfuir un seul y réussit. Les trois autres Raymond LardiUier, André Dadat et Maurice Héry, âgés d'une vingtaine d'années, furent appréhendés et avouèrent. Ces individus sont soupçonnés d'être les auteurs de six cambriolages qui furent commis au cours de la nuit de dimanche à lundi à Nevers.

BU LLETIN FINANCIER: Cours de la Bourse du Mercredi 16 Novembre! 1

L'allure générale de notre place continue à être tout à fait dénuée d'intérêt. Les affaires, dans un sens comme dam l'autre. y sont complètement nulles. Aussi, comme toujours en pareille circonstance, la cote est-elle empreinte d'une grande irrégularité, voire de lourdeur. D'ailleurs, tes échanges sont tellement restreints que, une fois tes premiers cours établis, tes variations, en hausse ou en baisse, ont été pratiquement Insignifiantes.

La tenue des Bourses étrangères. ta veille, et l'attitude d'expectative observée par la clientèle ne permettaient point, d'ailleurs, d'espérer une séance très ferme. Néanmoins, 'es valeurs étrangères ou internationales, comme les mines d'or, le Suez, le Rio, etc.. ont fait contraste aujourd'hui avec le reste de ia cote et sont parvenues à réaliser des progrès parfois appréciables. Par contre, les titres français, rentes. compartiment bancaire, etc., ont été traités & des cours bien inférieurs à ceux de la précédente. Il convient d'attirer l'attention sur le fait que ces résultats, de quoique sens qu'il s'agisse. ont été obtenus avec un vntum" me de transactions. aussi

VALEURS SE NÉGOCIANT A TERME ET AU COMPTANT TtttMB COMPTAT TZRMX COMPTANT _prtctd'Xu tour Jour !prtctd' n -ont ptttéd' jdn jOtU PARQUET Fnrd. 108 t07 107 107.. f A tt Q U E 1 lathé (ctpitti). 110 1!2 in 112 9 penttnel 79 25 78 M 7t 90 78 80 PeUjtoot 247 243 251 244 3 XmortSmbte 83 75 83 70 RafEneriMSyord 1893 1MB 1825 1820 t 1917 93 30 t9 25 93 45 93 25; Unton Eumpécnne. 980 375 3M 370 5 1920HnMttm. )20 M 120 40 120 M 120 15 4 4 25 4 10 4 M 41925. 10220 102 4C 102 25 10245 Ruf!m5%)906. 2 40 2 30 290 2 30 4 't932.traM.A. 9680 9015 9e 85 9615 Serbe 4 %em. 1895 9260 32.. 39.. 3275 4 'tM2.tnn)C.B. 9655 9590 9665 90 TurQute Dette Ott. 2795 27 25 2630 2650 CtiMeMtomme. 976 M 970.. 976 969 –Ott.5''i,t914. 2960 23 M 23 M 24 20 BanauedeFnmce.. 1)550.. 11400.. 11600.. 11350. Bmq.Nt.duMftia. 178 177 17.) 179 10095.. )OmM.. 10030.. 10060. Banque Ottomane.. 423 429 42t 43.) B.PftrmetPMBM 1494 1455 t4M) t470 CnM.Fonc. Egyptien 20)5 2025 20C5 2030 BMquetrtmsaOmt. 497.. 4M. 4B5.. 4M CM.PM.)t;ti)wayC'r ?9 368 370 373.. BMqdet'Un.trtx. 399 3M. 359. 3M WM'OM.)fti<omm.. 76 74.. 77 50 74.. f-<)mp.Aénmne..)512 .1515 1526.1520 CenttH!Minint.l040 .1002 .1047 1068.. ComptNat.d'E.*elt45 .1130 1199 .11)5 Montt'<ttin). )46 144 145.. Cred.Comm.FmnM 674 668 672 665 Rio-'Dnto. 1900 t3t5 1922 1940 4675 4670 46SO 694 693 614 6-5 SocMM Génemte. 1100 1092 )099 IOM 1/10* Royal Datch. 1591 1520 1540 1590 Rente Foncière. 619 6t6 608 6H RtiBnertm Egypte. 475 47T 472 4M Soc. Gen. Foncière. 186 184 184 181

Sues !M10..f5440. 16200.. 154M.. BANQUE –aodétédvtie.X475 .9510 .3495..96M.. BOMMM.6%I913 178.. 1M.. 179.. E«t 811 t05 810 <atroHe]inp. <<p.) 1009 1004 996 909 .1040..1040.. Bana.Nat.d'Egypte 2425..2434.. 2410..2490.. tord 1470..1440..1455 .1490. 155 50 154.. 157.. 153.. OrMtm. 958.. 942 940.. aUPtam. 2450 2925 24.. 23.. Sant-M. IOM..1008 .101;10)2 C..)omhi* M.. 56 57 M.. MetropnXMn. 1295 122 1232 1228 Concordtt. 4575 46 25 46 46 .2140 .2150..235 Sht)). 20A 2M.. 20850206.. D)st)1h.d'E)<'<'tndte2M.) M55 2090 3040 385 3f4 3M 3.0 Kk'ctnctMdePartf!. 1205..1190 .1212.H86 ..r;M:<'n<fnnt<'im. 10250109.. 102.. 103.. Etectrdfaetne. 685 64 690 681.. Bntkpm. 9M.. 390.. 39t.. 3M.. Ej.ttCMduKnrd. 6SO M" 676 674.. EaotRmd. <650 M.. M.. 66.. C"<Mn.d'E)<x'thrtM 2085 2050 2080 2040 C,o)dMd«. ItS 180 166 171 EnM.Et.Uttor.MM. 978 96< 955 975 CtownMtntt. 654 557 55') 554 1955 1910 1970 1890 R4nd Mtnff! S56 50 36! 360 358 Uniond'EtectriciM. 779.. 777 782.. 780.. Caoutchoucs. 8775 M.. M.. 89.. 531.. 5M 595.. 527.. EMtern. 5150 52 51 50 52.. Schnelder et f" H75 1300 1270 1280 Guta Kumpong 62 76 6S 75 63 50 64 TrMience du Havre 500 6<M 498 495 Ktta)<' Lumpur. 98 97 75 96 50 98 Counlèree. 957 3M 954 356.. MalMOt. M 96 50 95 M.. !<m. 468 4M Ml 4M PMianif. 2t9.. S45 247 245.. Bo)<io. 7t.. M 72.. 7t.. Th)t.h. 254M2M.. 255 2a4.. Pemrm. 28350 &<4 281 284 TMMnyttat. 76 7525 77 75 50 B<t!!e)-M&)etm 211 216 209 2t0 VieiNe Montttene. 13M H09 t!M 1380 Ptmsph&tmGa'fM. 365 349 359 348 MommhtQae 2950 3050 PndCbtm.d'Alto 1138 1125 1145 1120 Tmnxvaal. 107 60 10850 !09 )09 Onan;UMttf'mih! 224 217 222 220 Brus,. Ml 227 239 230 TrfUNa.tnttiftOtd. 59 M AU M Ué*)n. 261 2M 260 256 Voitun-f&l'arM 171 171 167 175 Hot<:h):iM. 1085 .)0t7 .10.-5 .IOM Cxoutoh.Indwhine. t60 169 159 158 T.ttF.Ho!)tMwl«. 5550 55 57 56 Citroën tactiOM! t75 405 474 462 Phomth. tunbtent.. 78 7550 79 78 Conamnttne269 ?8 260 MO .TnbtmprtvOttftée.. 158 154 158.. 156

VALEURS SE NÉGOCIANT AU C )MPTANT VALE.H. FLEURS VALEURS fAjROUET AMin. H73 .1)55 .t 1H71!) M& 3M Carmaux 840 826 1875 500 503 BomTt<'5%19'!4 750 74960 M2 5M 18764 502 503 7%1926 570 671 nnmd'Cumbe 608 605 2 )4 290 50 289 Fondsd'Etatémtt Mari. 656.. 535..3.1894-962'°;, 290.. 280.. t)'etrtng.(100doL) OmnIamd'Atténe. 1860 1770 18982 "i. 340 340 ^'(: or 1917. Guettoor. 925.. 329.. 7'4 or 1924. 92M 32M Mottt* et HfulM.. 29)0 2945 "tl904 2 t4 346 345 Cre<i)tNttion.l919 615 612 KtnsteTMM.. 1760 1725 g'19102 °. 309 306 –6"]nin 192-'527.. 5M.. M60 98..= 19296 991.. 996.. –6%tMT.1924 54.T46..A<!ft)T<'H4YM. 857.. 873. –1M94'4"992.. 990.. Ou«t-Etitt4% 411 <12 Mbmtrte Hachette 19J5 1924 1930 4 °<, 9C1 913 Etat 6 °., 191* 497 t'dh.pér.T)f)foMé!) 299 299 1930 4 936 934 TuniB3 1X92. 363 Petit Pnsiec.Mt. IMO 1600 1931 4 945 999 3% 1902.. 366.. 361.. part. 1909..1290. tndo<'Mne3%1909 3A6 365.. Bergoutmn. MO.. 690.. < 1879 2 60% 519.. 519 3%1902 312 308 fnUK.deePMrolœ 475 475 fl8M3 635 595 A)ttTicn3 40U 60 404 rotttt.etCtmaon Il: H90 2 M 362 964 An«'nt.4t4%1911 3425 9425 AuBonMtrche. 430. 429.. Z ;t906it 996.. 3M.. HrMt5%)909. 381 382 Gtt.Lthyetet.tct. 95 9!i 50 g<19129 205 205 Chine. '01913. 1175 1160 parte 4MOO. 47500. 19267 709 709 EttiTteuntHee. 6375 6t75 !touT<)lN)GtltnM. 623. 510.. g/1927 7 585 584 Ooty. 186 1M. sfl9;!04% 9X0.. 9)6.. Italien H 79 M Conao Gde TM.. 349 939 Sf 1991 4 950 950 .lapon 4 1910. 24 Attur.detMtmt.. )t! 1)2 1931-924 949 949 Mo<ne 7 1927 16 85 t6 40 Ett Afj*t. Ptnojt. 1706 1730 \t992 4 H 974 966 Société MMMt))tuw 610.. 610 RoytIDutctt. 15900.. 153M. 18793% 5M 62!) Crtd.Fnm.d'Aér. 677 6M pM.Ob.Bomttot 119 ''< 330 BMq.d'Indochine. '!200 9200 mt6 4M 4M 6SHM5260 956 966 40 40 –6 1852-54-56 654 443 1895280 984 384 OnM. t'ont'. (Mon. 1:)0 190 -4 °<, 1912. 443 449 M'1909 3 395 998 ENtA)t!trt<-n. 507.. 507 –3'nouTettt.. 992.. 395 <M.. 4M.. Ouf-st Adrien. MO.. 5M.. –2' 97850 380..ofl9t34 471.. 472.. Part!. Ktccthque.. 410 405 -3 Ardenntt. 390 381 1929 5 1000 1000 Omnibus. 917 .–5%1921. 819.. 812 t"304' 952.. 9.i4.. Fr.dfTramt-tyo. 450 450 –4 %t921. 711 7)0 Tntni!tt)<mtlQ.S°i, t.i8 135 Knen<ie lm)u<t. 193 190 6 480 478 E N B A N Q En<'rxit?ud-()UMtt4t0..1490.. –5% 459.. 456 .Ca.)M-Hé))<'p<diT.) 1465..1425. AM))M. 55.. 379:0 376.. BntcUnsnn. 1:15 no., Nirtif). Î19 217 –ftm.S%nouT. 376 378 ammtMfM). 890 S71 Soanowke. 400 400 2 H 366 965 Potnte-t-PttretMt.) 200 I"0 Jenmont. 510.. 610.. –6't!rpet921 473.. t72 .MonMO. 2'MO M75.. PtrjeOutrMn. 745 745 –6 435.. 439 COURS DES CHANGES Ctumt.deBrettcm' 163.. 165.. –4' 992.. 997 EUM-Unhddnn.) 2549 2551 –deFmm'e. 982 3M Anx)etttre(ll.et.i M64 8473 –deSt-NMaire.. 260 2M –2 M 378 976 ArxentinedOOMs.) 630 17Krr. –Médftemtn. 4M 495 Nord6%<é)rfeF. 490 490 BfMwedOObc).) 35375 95360 CMt.Comm<*ntry. 2090 2100 6 E. 466 46<. Canada Il doltM). 22 36 7 nov. 925 930 4 "[). 469 470 Danemark (tCoc.) 436 50 443 50 DMMjn.AMtn. 112.) )100 3% 400 40950 )!f)pne(t00pt9.) 20862 20862 Pontttbud 1610 1606 3"« n.aérieB 432 434 Hnttmde (100 n.). t024 25 1024 25 Fivto-une. 11)6 1M5 –2' ttêheC 41750 415 aomntCOOj.x'n.) 445 27-5-31 AffedeaMariM. 501 4M OrMtm6, 485 4M [MielOOHreaL. 13050 13080 Monta.t.tift: 200 198 6 "«, 4:!8 400 M'vOtfedOOfoa.) 4M..15nor .Ant'ft' 4°: 41) 4M .ItounmniefKMM leü 15 1522 Mot)t'Mrd.Au)nn)f 2)6 220 3'a. 400 402 Ynn)M)hv)e()OOd.t 997590M;pt. -emHe-MMtx'uite. 895 836 3 1884 392 996 SuMeOOttmu. 4M 448 Ottofn 79 -2 1895 !96 999 8uiMe OUOtr.ttm) 49075 49075 Fntm;)e<MttM! 1885 835 –HC3% 185.) 989 984 Autnfbf'dOOxt'h.) 358 11-9-31 HMrh.duTutiMn. 3460 940 Ont<t3°o. 999 400 Ponu([(IOOmJ. M5028)ufU Béthune. 5400 .2M.. 9'X,noutMU 402 400 TcMcottov.OOOc.) 7560 7570 Anicbt 1760 t751.. 2H% 984.. 979 .FMtndedOOmkt. 365014 nnv. Pologne M no*

A L'OFFICE NATIONAL

DU COMMERCE EXTERIEUR M. Julien Durand, ministre du Commerce, accompagné de M. Nogaro, rapporteur du budget du commerce à la Chambre, a visité hier l'Office national du commerce extérieur. Le directeur de l'office, M. Bonnefon-Craponne, a exposé en détail à ses visiteurs le fonctionnement des divers services de cette maison, qui met à la disposition des exportateurs français une documentation d'ordre pratique et soigneusement tenue à jour sur tous les pays où notre commerce peut désirer se développer ou pénétrer.

LÉGION D'HONNEUR MINISTERE DE L'INTERIEUR

(promotion des moirée)

Chevalier: M. Bry. maire de Salles-lestuinay (Charente-Inférieure).

bien à terme qu'au comptant et en coulisse qu'au parquet. Il ne pouvait en être autrement quand tant de problèmes. au dehors comme au dedans, sont encore en suspens. Aux changes. la livre sterling clôture à 81.73 contre M.64 et le dollar à 25,5125 contre

Clôture de la deuxième séance

du marché officiel

Tendance Irrégulière, Le Rio Tinto et la Central Mining sont fermes.

Métropolitain, 1.227 Cana.dian Pacifie, 367; Central Mintng. 1.066; Rio Tinto, 1.323: Royal Dutch 1/10. 1.517.

MARCHES ETRANGERS

Lottdre<. L'allure générale est aMez tréguliëre. Les valeurs d'arbitrage font bonne contenance en dépit de ta tenue moins satisfaisante de New-York. Les valeurs de pétrole et tes cuprifères se maintiennent à leur niveau précédent. Les mines d'or sont bien orientées. Diamantifères calmes. Tassement des fonds anglais. Résistance des valeurs Industrielles locales. BerHtt. Marché clos. Soidatenta,g.

L'Office international du vin siégera à Paris en décembre Le comité de ['Ofnce national du vin, où sont représentés Quatorze pays viticoles. se réunira tes 15 et 16 décembre prochain. au 'ministère des Affaires étrangères, sous la présidence de M. Barthe, président du groupe viticole de la Chambre des députés. Parmi les questions inscrites à l'ordre du jour de ia session figurent notamment la prohibition, l'emploi des alcools de vin et de l'alcool carburant dans le monde, l'organisation d'une journée internationale pour la propagande du raisin.

L'exposition des journalistes du front et des prisonniers de guerre

Au théâtre Atbert-1", 64, rue du Rocher. l'exposition artistique et rétrospective de l'Amicale des anciens journalistes du front connatt de légitimes succès. Demain vendredi, à 16 h. 30, une conférence y sera faite par M. Emile Moussat sur les prisonniers de guerre. Entrée gratuite.

te Triomphe

Science Française Maladies de peau. Démangeaisons. Clous. Furoncles. Maux de jambes. Varices. Phlébites. Goutte Rhumatismes. Bouteurs. Arteriosc!erose. Retour d'âge.

A la suite d'admirables expériences de laboratoire, confirmées de façon éclatante par

la clinique, M. Richelet a démontré que toutes les maladies de la peau ainsi que toutes

les tares arthritiques tenaient uniquement à un vice du sang. Fort de cette découverte,

Il a donc réuni les pius puissants végétaux rectificateurs du sang pour ensuite les

concentrer et les présenter à la foule des malades du sang sous la forme pratique et

économique d'un dépuratif liquide qui, d«jà. est connu dans le monde entier sous le

nom de Dépuratif Richelet ou la cure de « rectification sanguine C'est ce qui explique

les cures extraordinaires réalisées dans des cas d'eczéma, d'herpès, d'acné, de déman-

geaisons, de sycosis, de psoriasis, d'érhythème le plus souvent rebelles à tout autre

traitement. On comprend aussi maintenant sa rapidité d'action lorsqu'il s'agit de

fermer un ulcère, une plaie variqueuse, ou bien encore de faire disparaître des varices

menaçantes de phlébite. Son succès est encore plus marqué en présence de rhuma-

tismes. de goutte, de lumbago et de sciatique dont il supprime les douleurs et empêcha

le retour. Chez la femme, il équilibre la circulation et ne permet pas au fibrome e à

la tumeur de se fixer au moment du retour d'âge. Des scléreux, menacés de paralysie

et de « l'attaque ont été ainsi sauvés et rendus à la vie normale. Que les infortunés du

sang se consent immédiatement au Dépuratif Richelet, tout comme ces deux malades

reconnaissants, et leurs misères cesseront bientôt pour ne plus jamais revenir

Publiez ma lettre, elle rensetgnera tous

ceux qui, comme moi, peuvent souffrir d'un

eczéma rebelle et de pénibles tZëm<tKye<ttsotts.

Votre Dépuratif Richelet est merveilleux

d'efficacité dans le traitement dea maladies

du sang, Merci encore une fois de cette cure

inespérée.

M. Ernest JouvE.

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La chambre de commerce internationale et la conférence télégraphique de Madrid

La chambre de commerce internationale a tendu hier une réunion, à laquelle assistaient de nombreux correspondants de la presse étrangère à Paris et plusieurs membres de la commission de la télégraphie internationale, a son siège, 38, cours Albert-I", à Paris.

M. E. Van Rompa, président de la Belgian Grain Trade Association et préaident de la commission télégraphique internationale de la chambre de commerce internationale, présidait, ayant à ses côtés le colonel Robert E. Olds, ancien secrétaire d'Etat du gouvernement des Etats-Unis, membre du conseil de la chambre de com- merce internationale et président de la délégation de la chambre de commerce internatlonale à la conférence télégraphique de 1928, ainsi que M. Henri Garnier, président de la chambre de commerce de Paris.

La chambre de commere internationate s'est élevée contre la décision récente que vient de prendre la conférfnce télégraphique et radiotélégraphique de Madrid de supprimer t'emploi des- mots de code de dix lettres dans les télégrammes. Cette décision, estime-t-elle, expose les usagers des milieux d'affaires à des millions de frais supplémentaires.

LA TERRE A TREMBLE

DANS LES HAUTES-PYRENEES Tarbes, 16 nov. (dép. Petit PareM.) Deux secousses sismiques d'origine pyrénéenne, se succédant à deux minutes d'intervalle, ont été nettement ressenties à Bagnères-de-Bigorre et à Sarrancolin. La première a eu lieu à 23 h. 5' 30".

Elles ont été accompagnées d'un fort grondement souterrain. Les planchers, les fenêtres, même certains toits ont craqué. Il n'y a cependant pas eu de dégats valant d'être signalés.

Il y a de très nombreuses années qu'on n'avait enregistré dans la région un tremblement de terre aussi fort. Certains prétendent que c'est l'indice d'une prochaine abondante chute de neige.

POLITIQUES Le groupe de la chasse et de la pèche à la Chambre a réélu comme président M. Lévy-Alphandéry, député de Chaumont.

«« La commission du travail de la Chambre a adopté les conclusions de M. Ballu sur la proposition, retour du Sénat, tendant à compléter les dispositions du code du travail relatif au repos hebdomadaire. Elle a ensuite adopté les conclusions de M. Lafaye sur la proposition ayant pour objet d'étendre à l'agriculture les dispositions de la toi du 27 mars 1907 concernant les conseils de prud'hommes. Enfln elle a adopté les conclusions de de M. Lafaye sur l'organisation des services de l'inspection du travail.

La commission du commerce & la Chambre a entendu un exposé de M. Boucheron sur la proposition de M. Fabry relative à la protection des dessins et modèles dans certaines industries. Puis elle a adopté en première lecture le rapport de M. Lebret sur la question du règlement des billets de fonds de commerce.

< Le bureau du comité exécutif du parti radical. qui devait tenir sa prochaine réunion le 16 courant, a reporté cette réunion au mercredi 23 courant en raison du deuil cruel qui frappe son ancien président, M. Daladier.

< Le groupe floral de la Chambre a renouvelé hier son bureau. Ont été élus président. M. Louis-Louis Dreyfus vicepréaidnts, MM. Chommeton. Gardiol. Ouirhard. Guastavtno secrétaires, MM. de Ramel, Roumagoux. Fayssat.

de la

Souffrant cruellement d'une sciatique et

de rhumatismes des bras qui, pendant plu.!

de trois ans, m'ont empêché tout travail, une

cure avec votre Dépuratif Riehelet m'a cottt-

pMtetettt sauvée et permis de reprendre

mes occupations. C'est mertjetHeuj; pour les

malades qui veulent se rétablir rapidement.

il. Genereui!Ie. par Mollans (H.-S.)

Un détenu est surpris en train de scier iêt barreaux de aa cellule

Grenoble, 16 nov. (dép. Petit Parisien.) La maison d'arrêt de Grenoble détient en ce moment un bandit redoutable, nommé Gayral, auquel deux crimes au moins sont reprochés. A Grenoble, surpris alors qu'il commettait un cambrtolage, i1 tua d'un coup de feu le témoin gênant et put s'enfuir. A Metz, il commit un autre assassinat dans des circonstances identiques. Enfin, il fut arrêté à Paris, au cours d'une rafle nocturne et ramené à Grenoble

Gayral a tenté de s'évader, la nuit dernière, mais il a été surpris par les gardiens au moment où il sciait tes bar- reaux de la fenêtre de sa cellule. Il était non seulement en possession d'une scie à métaux, mais encore d'une corde longue de vingt-cinq mètres qui mi aurait permis de franchir tes murs. On a acquis la certitude que Gayral avait des complices à l'extérieur et que tout avait été préparé pour sa fuite. M. DE MONZIE

A L'ECOLE NORMALE SUPERIEURE M. de Monzie, ministre de l'Education nationale, a visité hier après-midi l'Ecole normale supérieure avec M. Marcel Abraham, chef de son cabinet. Le ministre a été reçu par MM. Vessiot, directeur, et Bouglé, directeur adjoint de l'école, en présence du recteur. M. Charléty. Il a entendu les explications relatives aux aménagements et réfections projetés.

Nous prévenons mns abonnés que toute denande de changement d'adresse doit <tre accompagnée de la domtéfe bande du journal et de 1 franc pour frais de réimpression de nouvelles bandes.

Mme NtoiAU,

Macabre mise en scène

autour d'un suicide

Nantes, 16 nov. Mep. Petit Parisien.) M. Alexandre B o i m a i n, quaranteneuf ans. marchand de vins en gros. demeurant impasse du Sergent-Bobillot. s'est asphyxié dans sa chambre à l'aide du gaz d'éclairage. Avant de mourir M. Boismain avait revétu des habits de deuil puis il avait transformé son appartement en chambre funèbre. On ignore les causes de ce suicide.

AU CONSEIL D'ETAT J'our un militaire, l'ordonnance de nonlieu rendu? sur la poursuite Judiciaire ne fait pas Obstacle à une sanction disciplinaire. M. X. ex-adjudant chef. demeurant à Lorient. fut mis à la retraite d'office par le ministre de la Guerre pour avoir conservé certaines sommes d'argent qui lui avaient été remises par des officiers, sousofficiers et hommes de troupe mariés pour l'achat de vivres au service des subsistances de la marine. Poursuivi en justice, Il bénéficia d'une ordonnance de non-lieu.

Cet ancien sous-officier avait cru devoir demander au conseil d'Etat l'annulation, pour excès de pouvoir, de la décision du ministre, l'ordonnance de non-lieu rendue par le juge d'instruction militaire de Rennes ayant, à son avis, autorité de chose jugée.

La section du contentieux a rejeté hier la requête de ce militaire égaré <r .attendu. dit la décision, que la circonstance que le juge d'instruction militaire de Rennes a rendu une ordonnance de non-lieu sur la poursuite engagée contre le sieur X. ne saurait faire obstacle à ce qu'une sanction disciplinaire fût prise à raison des faits qui avaient servi de base à ia poursuite pénale x.

Les commerçants et Industriels da XVIt*préparent des fêtes de charité

Le syndicat des intérêts généraux des commerçants et industriels du XVIII' organise une grande fête. du 3 au 11 décembre procha.o. au bénéfice de ta caisse des écoles, du comité d'aide aux chômeurs et des œuvres de t'arrdndissement.

A l'issue de ceq fêtes sera tirée une grande tombola comportant trois millions de billets, qm eeront remis gratuitement aux personnes venant assister à ces manitestations charitables.

Les retrtutea civils et militaires ouvriront samedi leur congrès Le congrès annuel des retraités civils et militaires de France et des colonies. groupés dans l'Entente générale des retraites. se tiendra les samedi 19 et dimanche 20 courant. à la mairie du VI'. Il sera présidé par M. Louis Martin, sénateur du Var. président du groupe de défense des retraités au Sénat.


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autour de l'affaire de l'Aéropostale LA LUFTHANSA UtTEOELAFBEMIËEEPAOB

Cette centralisation de l'aéronautique commerciale en une seule main peut avoir des inconvénients. Ainsi supprime-t-elle toute concurrence. Si ta compagnie était mal dirigée ce qui n'est d'ailleurs pas le cas le publie en serait fatalement la première victime. Mais la Luft Hansa a voulu, si j'ose dire, se donner plusieurs visages. Elle emploie différents types d'appareils, de toutes les gammes du Junkers (6, 11. 18 et 42 places, mono, tri et quadri-moteurs ) aux Fokker, aux Rohrback, aux Focke-Wulf et aux Uomier, dont le fameux D.O.X. qui, à son bord, n'emporte pas moins de 91 personnes. D'autre part, son réseau intérieur, serré à l'extrême. laisse à chacune de ses lignes sa vie propre, tout en les raccordant entre elles par un système fort minutieux d'horaires. Entendons par là qu'elle ne les supprime, ou même ne songe à les alléger, pour des raisons purement commerctates. (1). La Luft Hansa veille a ce que l'Allemagne possède un réseau aérien aussi vaste que souple pour qu'il puisse, le cas échéant, suppléer dans n'importe quelle de 3es régions & la carence des autres moyens de transport. Alors que les compagnies françaises sont des tentatives d'expansion vers l'étranger, et, surtout, vers tes colonies, l'Allemagne, qui. nous le soulignerons plus loin, ne néglige pas, non plus, ce point de vue,*s'est attachée à relier le plus étroitement possible ses divers Etats et tous ses grands centres. On peut aller, par avion, de Berlin à 51 villes du Retch. Hormis Lyon, Marseille. Cannes et Strasbourg. Paris ne correspond aéronautiquement avec aucune autre cité française. Il convient, au reste, de remarquer que la superficie de l'Ailemagne est inférieure de plus de 82.000 kilomètres carrés à celle de la France. Comment s'expliquerait un tel contraste si les deux pays ne poursuivaient une politique aérienne très différente et si le développement de l'aéronautique marchande au delà du Rhin n'avait précisément sa source dans certain article 199 du traité de Versailles ? Quoi qu'il en soit, et à en juger selon sa dernière statistique, la Luft Hansa l'emporte, en Europe, avec plus d'un million de kilomètres parcourus (1930) sur nos compagnies françaises. Si l'on remarque que nos lignes ont leur principal débouché sur d'autres continents (Asie. Afrique et Amérique du Sud), on constatera que c'est le seul mou- vement du réseau intérieur allemand qui peut autoriser cet avantage.

Hors du Reich, la Luft Hansa a également cherché à s'assurer une place importante avec un tripie objectif l'Europe centrale, renouveau aéronautique du vieux projet pénal de la Mitteleuropaj l'ExtrêmeOnent et l'Amérique du Sud. Pour la première ligne, le service n'est actuellement ouvert qu'à la poste et au fret. Les lettres expédiées d'Allemagne sont dirigées sur la Urèce où elles rejoignent les avions des trois compagmea qui desservent l'Asie Mineure et tes Indes l'Air-Orient, le K. L. M. et l'Impérial Airways. Gain de temps evtdemment considérable sur ta première partie des itinéraires, ceux de l'Air-Orient et de l'Impérial Atrwaya. partant de Marseille et de Londres, et la ligne anglaise empruntant, d'autres part, le rail -'ntre Paris et Brindtat. Pour l'Extrême-Orient, les premiers essais de la Luft Hansa ont porté sur l'U. R. S. S. où, dès 1925, ele poussait jusqu'à 'toscou. travatant de pair avec la compagnie russe Ueruluft. La ligne n'a cessé d'accr.ntre son tratic en dépit de ses mauvaia deouta. dus sans doute à un matériel défectueux. Je me souviens qu'à cette epoque j'avals pris place & Moscou & bord d'un vieux Fokker sans confort

Notez encore ceci

POULET A LA SAEfr.MARCEUJN

(vidé, nambe. épluché) et en.

rer la peau. Assaisonnez-le de sel et poivre

et panez-le à t*neuf et la nue de pain.

Faites-le cuire dans une plaque, an benfre

clarifié. en le dorant bien de chaque côt.

Baacaroni aux oeufs frais" Per*La*tucm

Egouttez-le, coupez-le en petits dés. Fai-

tes chauffer ce macaroni et liez-le de 2

décilitres de béchamel, de 2 œnft et de

60 grammes de fromage râpé. Assaison-

nez, mélangez bien. Versez ce macaroni

dans une poète on vous aurez bien fait

chauffer du beurre. Cuisez comme une

grosse crêpe.

un plat rond. Dressez dessus le poulet.

Garnissez tout autour avec 6 moitiés de

tomates sautées an beurre.

parée avec une partie de bouillon de

volaille que vous aurez fait avec la os

et les abatis dn poulet., & la façon d'na

pot-au-feu-

qui devait m'emmener à Kœnigsberg quand, du côté des lacs de Masurie, par un temps affreux où nous sautions comme un bouchon dans la pluie et le vent, on nous laissa prévoir la panne. La perspective d'atterrir sur des sapins ou de tomber à l'eau n'était guère réjouissante. quelque choix que pût faire le pilote. II nous fallut pomper pendant près d'une demi-heure pour amener un peu d'essence dans te moteur. Enfin, tout s'arrangea, mais nous avions été & la chaude.

Berlin Moscou u n'est cependant qu'une amorce de la grande ligne d'Extrême-Orient par Kazan, Somipalatinsk et Bachti, ce tronçon étant déjà exploité par l'aéronautique soviétique. Ue Bachti, elle gagnerait Urumtschi et Lanchow, terminus actuel du réseau mixte sine-allemand Eurasia qui a son point de départ à Changhaï. La Luft Hansa est assez sobre de détails sur ce pian d'expansion politique dont elle poursuit, depuis trois ans déjà, la réatisation et qui lui a, certes, coûté autant d'efforts que la ligne africaine de L'Aéropostale. Créer une infrastructure, l'organiser et la maintenir en dea régions désertiques où le régime des vents, les écarts de température et les montagnes mongoles constituent un obstacle permanent implique, certes, une volonté peu commune. Si tes premiers résultats ne semblent pas avoir été très satisfaisants, l'f;urasia, dont tous les appareils et les pilotes sont allemands, croit pouvoir annoncer la liaison prochaine Berlia-Changhaï-Pékin en cinq jours au maximum. Desservie à la fois, au sud, par t'AirUrient. et au centre par la Luft Hansa, l'Asie sera bientôt à la portée de l'Europe. Le grand rêve du X!X* siècle a déjà l'apparence de la réalité. En même temps qu'elle s'assurait la première place en Chine, la Luft Hansa cherchait à relier à la métropole les lignes mixtes qu'elle exploite en Amérique du Sud avec le syndicat Condor, sur un parcours qui s'étend de Natal à Buenos-Ayres, avec embranchement à Sao-Poto sur Corumba. la Paz et Arica, c'est-à-dire la traversée de l'est à l'ouest du continent. Sans doute, ses avions desservent-ils à la fois Friedriehshafen par un service spécial de Berlin et Pernambouc, où, à chaque voyage du Zeppelin, ils emportent ou amènent ses passagers, réduisant ainsi la durée du voyage, tout en étendant son rayon. Mais la Luft Hansa veut mieux faire. Et son projet de ligne transatlantique Cadix-Las Palmas-BathuratNatal mérite d'être étudié. Considérant que l'emploi des avisos, selon la méthode de l'Aéropostale, retarde singulièrement la liaison aéronautique, qui ne vaut qu'en fonction de sa rapidité, estimant, d'autre part. que l'hydravion ne peut actuellement décoller à pleine charge, ni se poser sur une mer agitée, la Luft Hansa propose le double système de la catapulte et de t'Ue flottante. Un appareil lancé par catapulte de Bathurst, dans la Guinée anglaise, ou de Natal, viendrait amerrir près d'un bateau situé à mi-distance des deux côtes. Le navire, immobilisé en pleine mer, serait muni A son arrière d'une voile flottante, destinée à apaiser les vagues dans un certain rayon, pour permettre un facile amerrissage. Hissé à bord, l'hydro y subirait une prompte revision et. son plein d'essence fait, serait renvoyé par catapulte, comme sur le Bremett ou ('NMT'cpa. Des essais, tentés Il y a peu de temps en Baltique, ont, dit-on. parfaitement réussi.

La Luft Hansa a engagé des pourparlers avec l'Aéropostale pour que l'exploitation de cette ligne transatlantique fût assumée en commun. Jusqu'ici, aucun accord n'est intervenu. L'Aéropostale, qui a créé de toutes pièces le réseau Europe-Amérique du Sud. qui en a fait une œuvre essentiellement française. hérite. sans doute. à partager le bénéfice de tant d'efforts, au moment où sa tigne commence de connaître un légitime succès. II faut noter, par ailleurs, que le continent

1° Fendez sur le dos un poulet de grée

2° Cuieez à l'eau salée 250 grammes de

3° Mettez cette galette de macaroni sn

Servez avec une sauce au madère pré-

sud-américain éveille bien des tentations. Ne parle-t-on pas d'une ligne italienne Rome-Natal, prolongement de Rome-Tripoli déjà existante, et qui traverserait l'Afrique en diagonale par la Libye et l'A. 0. F. pour aboutir A Bolama, dans la Guinée portugaise, d'où etle s'élancerait sur l'Atlantique vers Natal ? Le raid du général Balbo et de ses douze hydravions, le 6 janvier 1931, n'était pas. on l'a su depuis, qu'une simple performance, d'ailleurs digne d'admiration.

Ce n'est pas vainement que la Luft Hansa parle de collaboration. Sur 30 de son r é s e a européen (2.700 km. sur 9.000) elle travaille en <: pool avec des compagnies étrangères en France, les lignes Farman, en Angleterre, l'Impérial Airways, en Hollande, la K. L. M., en U. R. S. S. la Deruluft, comme en Amérique du Sud (outre sa puissante Bliale, le Syndicat Condor) avec l'Aéropostale et la Panamerican Airways. La Lutt Hansa emprunte notre territoire 9ur trois points au nord, pour sa ligne Cherbourg-Cologne, à l'est, pour sa ligne Berlin-Paris, au sud pour sa ligne Berlin-Barcelone (amorce de Barcelone-Natal) via Stuttgart, Genève et Marseille. Ainsi la Luft Hansa estelle présente dans toute l'Europe, ou presque, si t'en excepte la Belgique, la Suède, la Pologne et la Roumanie. On voit le merveilleux instrument de propagande qu'elle a forgé pour l'Allemagne, puisque aussi bien ses ligne s'étendent aujourd'hui sur 25.000 kilomètres, soit le total des parcours exploités par nos cinq compagnies. Cet essor, d'ailleurs permis par une remarquable organisation et. surtout, par les subventions que le gouvernement du Reich n'a cessé, fort généreusement, de lui allouer, en dépit de la crise (de 4.000.000 de rentenmarks, en 1924. elles sont passées & 14.600.000 rentenmarks en 1932, après avoir atteint un plafond de 22.09R.OOO rentenmarks en 1925, soit près de 133 millions de francs au cours actuel), la Luft Hansa le doit encore à son matériel et à ses pilotes. Trois d'entre eux viennent, cette année, d'être sacréa < millionnaire Marc Kahtow qui, en 1925, inaugurait la ligne Berlin-Paris, Karl Noack et Will! Polte, le récent vainqueur du prix des Alpes. Un insigne en émail, piqué à leur boutonnière, atteste désormais le million de kilomètres qu'ils ont parcourus, -dont le chiffre exact est inscrit. en or, au verso. Une autre décoration récompensait en même temps le pilote Albert Schafer qui a couvert 500.000 kilomètres sur le même appareil, et sans accident.

La régularité des horaires et du service, la rapidité du courrier, le con- jfort des passagers, d'heureuses initia- tives comme celle qui lui donne au- jourd'hui la possibilité d'envoyer, de l'avion, un radio particulier à n'importe quet centre, ce qu'on n'a pu encore obtenir en France, ont incontestablement établi te crédit de la grande compagnie allemande. 0 resterait sans doute à connaître son exacte situation, comme il resterait & dire le très ingénieux moyen dont a usé t'Attemagne pour entraîner, sur des lignes commerciales, ces mêmes pilotes que le traité de Versailles refusait & la Reichswehr. Mais & considérer déjà le seul prestige que son nom et son œuvre apportent à t'aéronautique d'Outre-Rhin, douze ans après la guerre, et malgré tant de limitations, le rôle que joue la Luft Hansa dans le développement du tratic aérien allemand et International doit être moins que jamais négligé. (A suivre.) Mauriee BOURDET (1) Certaines sont très nettement dëne'taires. Dans son numéro du M avril 1929, la forMfBftt protestait contre leur ma)ntien, tee oondérattonB d'utilité et de rendement y ayant été. disait-il, par trop négligées. La subvention alors accordée a la Luft Hansa s'élevait a 20 millions de marks, sott ptua de 120 miUioM de frMMt.

Une grande première à la Gaîté-Lyrique Le Papa 4u sourire, opérette de MM. Mauprejr etMarietti. d'après Victor Léon. Herzer et Lohner; musique de Franz Lehar.

Oit l'on voit que l'union dune blanche et d un jaune, en tocurrenee une Hongroise et un Chinois. expose les époux à des déboires conjugaux. fs personnes que ne frappent point ces contingences antinomiques. mais dont les fibres sensibles aiment à se rassasier de mélodies sentimentales. seront servies d'un régal aussi abondant que savoureux.

L'aventure est touchante. A Karlsburg, la comtesse Lisa s'amourache du prince Sou-Chong qui. iui-meme. est fasciné par sd beauté. Elle consent à l'épouser et à le suivre à Pékin pu il remplit des fonctions suprêmes à la cotir.du fils du Ciel. Chong adore sa femme. sa < fleur de lotus ?. mais son rang le soumet aux rites millénaires dont son oncle le mandarin est le gardien fanatique. Aussi bien devra-t-iÎ épouser les quatre princesses qui lui sont destinées, assurant à Lisa qu ne s'agit que d une formalité. 'un simulacre sans conséquence. Le cour de Lisa se brise: elle somme le prince de choisir entre elle et le quatuor officiel. Et. comme celui-ci ne peut renier lex ordres de Bouddha. elle partira malgré la volonté brutale du mattre. Et le Chinois. désolé, restera seul. refoulant ses larmes selon la tradition du pays où la race s'est résignée à « toujours sourire et sembler rire du sort douloureux

Ce thème, d'une poésie mélancolique, se prête assez peu aux gais flonfions qui firent le succès de la Veuve joyeuse et de l'Amour rztane. L'opérette attendrie du souriant M. Lehar ne nous arrive pas moins munie des plus bourgeoises références européennes. De fait. qui pourrait se défendre de la séduction de cette musique caressante et familière. aux grâces coquettes. d'une sentimentalité rêveuse, molle parfois, souvent narquoise, toujours rythmée, jamais triviale, par-dessus tout éperdument chantante et avantageuse aux pâmoisons ? Si vous ne le connaissez déjà, vous fredonnerez bientôt l'air-clou Je t'ai donné mon cour, où la flamme de Chong se traduit en accents plus italiens que mandchous. Citons les courbes alanguies de la romance des Pommiers en fleurs et quelques épisodes accessoires d'une légèreté délicate. L 'xotisme justifie ici la munificence décorative, l'éclat des costumes, la fantaisie du petit ballet réglé par Mme Gontcharowa. L'interprétation est excellente. Le ténor hollandais Willy Thunis, grimé de façon Impressionnante, campe du prince une silhouette très ressentie exquis chanteur, encore que la voix ne soit pas de qualité rare. son jeu sobre et expressif atteste une sincérité remarquable il fut longuement applaudi. Dans le rôle de Lisa. Mlle Georgetre Simon fait briller un soprano lumineux, d'un timbre très pur. d'une belle correction. A côté des protagonistes, Mlle Ccpciiia Navarre et M. Darnois se font remarquer par leur enjouement MM. Duvaleix, Descombes. Negery complètent un parfait ensemble. Et il est tout nature! que. à la tête d'un orchestre renforcé, M. Lehar ait exercé toutes ses sollicitudes paternelles. Succès escompté.

Ch. TENBOC.

CHEZ LES ANCIENS COMBATTANTS LA CONFEDERATION NATIONALE AU MINISTERE DE L'INTERIEUR M. Camille Chaute-mps, ministre de l'Intérieur, a reçu hier matin le bureau de la Confédération nationale des anciens combattante- et victimes de la guerre.

La délégation a remercié le ministre des récentes instructions qu'il a adressées aux préfets sur la commission de fixation des prix et de surveillance des indices. Elle lui a indiqué l'intérêt que pourrait apporter la présence, dans sa commission supérieure, de représentant.9 autorisés d'anciens combattants et victimes de la guerre. Le ministre, retenant cette suggestion, a décidé d'en saisir l'Office des mutiMa et anciens combattants.

LES PROJETS FINANCIERS

Le groupe des députés anciens combattaats a entendu une délégation de la Confédération nationale des anciens combattants et victimes de la guerre. Cette délégation a fait connaître son point de vue sur les projeta du gouvernement en ce qui concerne les anciens combattants et les veuves de guerre et a déclaré qu'elle s'en tenait aux principes du maintien des droits acquis.

Après cette audition, un échange de vues a eu lieu, au cours duquel, sur question de M. Rivière, M. Jean Goy a fourni des renseignements sur l'institution d'une caisse des pensions. Puis rassemblée a décidé d'ajourner la décision à prendre jusqu'après la réunion du conseil national de la Confédération des anciens combattants, qui se tiendra à Paria les 26 et 27 novembre. LA RETRAITE

ET LES CHEFS DE FAMILLE L'Alliance nationale pour l'accroissement de la population française vient de protester auprès des ministres des Finances et du Budget, ainsi qu'auprès de tous lea députés. contre le projet fixant un maximum de revenu uniforme de 15.000 francs pour tous les ayants droit à la retraite du combattant. Elle déclare qu'il serait choquant de verser une pension à un célibataire disposant de 15.000 francs pour sufflre à ses seuls besoins, alors qu'on supprimerait la sienne & un Français ayant une femme et quatre enfants et ne disposant que d'un revenu total de 24.000 francs, c'est-à-dire de 4.000 francs par bouche à nourrir.

Estimant Indispensable que te revenu maximum permettant de bénéficier de la pension soit relevé pour les pères éievant de jeunes enfants. l'Alliance nationale demande que tous les anciens combattants non rede'vables de l'impôt général sur le revenu, compte tenu de leurs déductions à ta base pour charges de familles, conservent le bénéOce de la retraite.

Le congrès

de la Fédération des boissons La séance du matin a été occupée hier par la lecture et la discussion du très intéressant rapport de M. Pierre Poitevin, de la Fédération du SudOuest, au nom de la section hôtedière. M. Poitevin a traité tour à tour de la « taxe de séjour des « licences trimeotrieiies a, de la responsabilité hôtelière de ïa < toi internationale de la « grivèlerie du « pistage a, des « logeurs en garnis du « crédit hôtelier:. a et du « repas vin compris Le rapporteur et le congrès l'a suivi s'est prononcé pour la liberté, c'est-àdire pour que le vin ne soit pas obligatoirement compris dans le prix du repas. M. Say. député d'Orléane, a déclaré qu'il défendrait à la Chambre le point de vue des hôteliers et restaurateurs.

Le soir, les délégués se sont réunis en un banquet servi au Palaia d'Orsay pour fêter la rosette de la Légion d'honneur de M. Siffert. maire de Besançon et président très actif, depuis treize ans. de la Confédération nationale des débitants de boissons, hôteliers, limonadiers et restaurateurs. M. Julien Durand, ministre du Commerce, présidait. Au dessert. MM. Imart. vice-président du groupement français, et Fubiani. président de la Confédération des cafetiers de Belgique, ont exprimé à M. Sifrert toute la sympathie de leurs associations respectives. Le ministre du Commerce s'est associé à ces éloges et a célébré les mérites des commerçants belges et français.

Le pnx du Premier Roman à M. Roger Breuil

Le prix du Premier Rognan, d'une valeur de 10.000 francs,. ete créé en 1929 par notre confrère la Revue hebdomadaire, non seulement pour dénicher l'oiseau rare parmi la floraison des auteurs, mais surtout pour aider le lauréat à se faire connaître au grand publie. Décerné cette année pour la troisième fois par un jury composé. notamment, de MM. Edouard Estaunié, Jean Giraudoux, François Mauriac, André Maurois. Guy de Pourtalès et François Le Grix, il a été attribué par 6 voix contre une qui s'est portée sur Mile de Saussine à un manuscrit de M. Roger Breuil Traduit de <'a7n<;ricain.

M. Roger Breuil, qui est jeune encore, a été élevé à Paris, où il a fait ses études de droit. C'est à la suite d'un long voyage aux Etats-Unis qu'il a eu l'idée d'écrire son livre, véritable document romancé, où il décrit l'envers de la civilisation américaine en nous contant le pathétique récit d'un de ses produits, d'une < âme en déroute. T Traduit de l'américain sera publié par la Revue hebdomadadre avant de paraître en librairie. M. B.

Les maires des régions libérées se réunirent aujourd'hui à Paris Les maires des régions libérées tiendront aujourd'hui à Paris une importante réunion.

A l'ordre du jour figurent notamment la question du remploi des dommages de guerre communaux et celle des coopératives de reconstruction. A l'issue de la réunion, une délégation des maires sera reçue par le groupe interparlementaire des régions libérées au Sénat.

La rentrée du conseil municipal La troisième session du conseil municipal s'ouvrira le 25 novembre. Le conseil général se réunira le 30 novembre. Les deux assemblées au cours de cette session s'occuperont des problèmes budgétaires.

Un concours de caricature! à l'occasion des quinzaine* de! Boulevards A l'occasion des fêtes des Grands Boulevards, le comité d'initiative. 21, rue du Château-d'Eau, à Paris, organise un grand concours de caricatures, à l'exclusion de tout caractère politique.

A cet effet. les torcherez lumineuses et fleuries intatlees sur les Boulevards porteront toutes une caricature ou un dessin humoristique. Ce concours, dont le jury sera le public, sera doté de prix importante (automobiles, motocyclettes et bicyclettes).

Les artistes sont priée d'envoyer un dessin ne dépassant pas 45 centimètres de large sur 65 de haut. Ils devront mentionner au dos leurs nom et adresse.

La domestique n'avait volé que 5.000 et non 500.000 francs Nous avons relaté l'arreatatton, près de la gare de l'Est, d'une domeftique qui avait quitté Strasbourg après avoir volé de i'argent à son patron, dentiste dans cette ville. Il & été indiqué à ce propos que le montant du vol atteignait 500.000 francs c'est )A une erreur, car la somme dérobée était de 5.000 francs. Quant aux vota commis par la même domestique au préjudice de diverses personnes dans le département du Nord. ils se montent & une dizaine de mine francs. sans compter les bijoux.

L'inauguration du monument Paul Vidal L'inauguration du monument élevé par la Fédération musicale de France en hommage & la mémoire de son président d'honneur aura lieu samedi, à 11 h. 30 très précises, au cimetière des Batignolles (métro Porte de Clichy), en présence de Mme et de Mile Paul Vidai, d'un délégué du ministre des Beaux-Arts, de.% dtéeattona de? sociétés d'auteurs, de la Société du baron Taylor, de la c Toulousaine ». etc. Le trafic de la C. I. D. N. A. Voici les statistiques générales du trafic de la Compagnie Internationale de Navigation Aérienne pendant le mois d'octobre dernier:

Kilomètres passagers, 290.227: tonne) kttométriquea. 1S.167; kilomètres parcourus, 139.276: p!issat:ers transportés, 469; colla transportés (en kilos). 21.035; poste transportée (en kilos), 1.567.

La chambre de commerce américaine et le marché éventuel des vins aux Etats-Unis

Dans une interview accordée hier à quelques correspondants de journaux américains, M. Charle.s-G. Loeb, président de la chambre américaine en France, a fait connaître qu'il vient de oréer une commission ayant pour objet de suivre de très près révolution du problème suscité par l'exportation des vins de France aux Etats-Unis, par suite de l'éventualité d'un changement dans l'application du régime de la prohibition.

Cette commission, composée de membres de la chambre de commerce américaine, fonctionnera exclusivement dans le but de faciliter le développement normal des nouvelles relations commerciales entre les deux pays, relations qui pourraient résulter de la revision de la législation actuellement en vigueur concernant lea vins. Elle n'interviendra dans aucune affaire commerciale d'un caractère privé, mais se mettra impartialement à la disposition de toutes maisons françaises et américaines qui se trouveraient intéressées par le nouvel état de choses. La commission se tiendra au courant de la situation aux Etats-Unis et se mettra en rapports avec les chambres de commerce et groupements des régiona vinicoles afin de réunir une documentation aussi complète que possible, lui permettant de répondre aux demandes de renseignements qui lui parviendront de la part des exportateurs et importateurs.

VACANCES DE NOEL

DANS LES ALPES BAVAROISES L'Union nationale des étudiants de France organise pour les vacances de Noël une semaine de sports d'hiver dans les Alpes bavaroises. & Ga-rmisch-Partenkirchen. Le voyage durera dix jours, du 24 décembre au 2 janvier. Deux jours seront consacrés à la visite de Munich promenade en ville, dtner à la Pschorrbrau, visite du Deutsches Muséum et de l'Allé PInakothek, puis tes voyageurs passeront six jours à Garmisch. dans un splendide cadre alpestre, et pourront s'y livrer a. tous tes sports d'hiver, tels que bobsleigh, ski, luge, etc. Il y a possibilité pour nombre d'excursions aux environs, et notamment Il la Zugspitze. un des pics les plus hauts d'Europe.

Un étudiant allemand accompagnera le groupe pendant tout le séjour.

La clôture des mscriptions est tfxée au 12 décembre. Pour tous renseignements complémentaires, s'adresser à l'Union nationale des étudiants de France, 1. rue Boutebrie. Paris (V) ou téléphoner à Odéon 76-52.

FAILLITES. Jacques Lévy, quincaillerie, Sa, rue Saint-Dominique. Albert Blanehard. éditeur, 3 bis. place de la Surbonne. Société d'exploitation de barsrestaurants, capital 102.000 francs, 141, avenue de Malakon. La Centrale d'approvisionnement, capital 365.000 francs, à Levallois-Perret, 149, rue Chevalier. Armand Buret, dentelles, 6, impasse Lévis. Société Cartel industriel et d'entreprises, capital 150.000 francs. 27. rue de Londres, Robert Duvermy, constructions navales. 29, rue d'Artois. Société PavaneHo et Cfe. capital 30.000 fr. < Au jambon de Parme », 18, rue de Maubeuge. Roukine et Cie. capital 100.000 francs, robes. 25. rue d'Enghicn. Marius Ballé, coiffeur, Epinays'-Seine, place Blumenthal. Auguste Amblard, fournitures pour hôtels, !6, rue Saint-Marc. Mme Louise Meyer, brocanteuse, 43, rue de Provence. Société Jean Weber et Cie. capital 20.000 francs, maroquinerie. 13, boulevard Saint-Martin. La Miroiterie française, capital 245.000 fr.. 45. faubourg Salnt-Antoine. Les produits céramiques de Cornouaiiiea. 22. place de la Madeleine. Mme Marguerite Nova. couture. 15. rue Vtgnon. Société Leveillard et Cie, réparations d'autos, & la Garenne-Colombes, 28. avenue de Lutèce. Albert Lecrosnier. produits plastiques, 24, rue Albouy. Marie-ean Parcautt. plomberie. 20. rue Saint-Albin. François Géant, chaussures. 44. rue Fessart. Rosso et Cie. capital 97.000 francs, garage. à Levallois-Perret. 28. rue Jules-Guesde. Les films < smograph capital 2 mtilions. 7. faubourg Montmartre. Paul Boerl. restaurant. 7, rue Marqfoy. Société des denrées alimentaires normandes et charentaises, capital 1CO.OOO fr., 4 bis. rue des Moines. Bastian, boulangerie, 2, rue Bellot. Merouze. ameublement, à la Garenne-Colombes, 5 bis, rue de Courbevoie. Jules Masse, garage, à Vanves, 72-7S. avenue Pasteur.

LIQ UIDATIONS ,JUDICIAIRES. Arnold Méry. pelleteries en gros. 89 bis, boulevard Brune. Georges Bretelle, fournitures pour le bâtiment, a Drancy, 1, rue Jean-Baptiste-Cément. Jean Lions, mécanique. 185. rue du Chateau-des-Rentiers. Société générale de mines et métallurgie, capital <0 millions, 77, rue de Prony.

Chez les auxiliaires de l'Etat Une délégation des représentants des personnels auxiliaires, victimes de guerre et anciens combattants des départements des régions libérées, conduite par M. Rantard. président de l'Union des victimes de guerre et anciens combattants, titulaires et auxiliaires dans les administrations et établissements de l'Etat, a été reçue par MM. Gourdeau et Marchandeau. soussecrétaires d'Etat, et M. Lassalle. rapporteur du budget des régions libérées, qui ont donné pleine adhésion aux différents projets soumis par la délégation tendant à faciliter le reclassement de ces auxiliaires dans les diverses administrations. D'autre part, une délégation du syndicat national des employés auxiliaires des administrations de l'Etat, présentée par Mme Constant, secrétaire générale, a été reçue par M. Bollaert. directeur du cabinet de M. Herriot. Elle lui a rappelé les dernières démarches accomplies pour obtenir la modification de la circulaire réglementant le licenciement des employés auxiliaires de l'Etat et l'a prié d'intervenir auprès du président du Conseil afln que soient approuvées les modifications arrêtées avant que soient prononcés les premiers licenciements. Elle lut a également indiqué que certaines administrations recrutaient des agents auxiliaires sans soumettre la liste des vacances d'emploi & l'Offlce national de ta main-d'oeuvre. M. Bollaert a donné & la délégation l'assurance que la circulaire modifiée serait bientôt signée et lui a promis de réprimer tes abus signalés.

BULLETIN COMMERCIAL MARCHE LIBRE DES GRAINS. Blés nouveaux, de 75 à 76 kilos & l'hectolitre, livraison immédiate Beauce, 105 & 106 Loiret, 106 à 107; Touraine, Indre, Loiret-Cher. 108 à 110; Poitou, 110 & 111; Anjou, 107 à 108; Allier, Cher. Nièvre. 110 & 111; Vendée, Loire-Inférieure. 106 à 107; Nord. Pas-de-Calais. 104 à 106: Aisne. Somme, 104 à 105; Eure. 104 & 105; Aube, Marne. Seine.et.Marne. 104 à 106 Yonne, Coted'Or, 106 à 107; Sarthe et Mayenne, 105 à 106; Morbihan. Côtes-du-Nord. Finistère. 107 à 109.

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Seigle: toutes provenances, 72 à 75.

Avoines grises printemps: Beauce. Eure. Brie. 80 à 81; noires Centre. 79 à 80: grises d'hiver: Poitou. Centre, 81 à 82: Bretagne bigarrée, 77 & 78; noires. 79 A 80; grises. 79 blanches. 77 à 78 blanches et jaunes Nord. 79 à 80: blanches pures de Brie et de Picardie, 79 & 80.

Orges: Beauce. 82 & 83: Sarthe, Mayenne. sans offres: Berry. 81 & Gatinais. 83 & 84; Champagne, 83 à 84; Poitou, sans offres. Orges de mouture. 78 à 80.

Escourgeons: Beauce. 68; Champagne, 7U à 71; Oise. Somme. 70 & 71.

Sarrasin: Bretagne, disponible, 80 & 81: Limousin.

POMMES DE TERRE. Paria, 16 novembre. Au marché des Innocents, on cote tes 100 kilos départ région de Paris. hainaut, 59 à 60 hollande commune. 30 à 35 esterling, 26 A 28 nouck. 20 à 22 région du Nord esterling, 28 à 30 rondes jaunes, 23 à 24 Bretagne mayette. 40 il 42 saucisse rouge. 35 A rondes jaunes, 23 & 25 rosa. 45 à 50 nn de siècle. 23 à 25 ftouck. 22 à 24 Loiret parisienne, 25 il 27 étoile du Nord. 37 à 39 saucisse rouge. 36 à 38; tondes jaunes. 23 à 25: Sarthe early rose, 23 il 31 institut de Beauvais. 25 à 28 rondes Jaunes, 24 à 26 Marne rosé, 55 Poitou saucisse rouge. 40 A 42 Ardennes rosa, 56 & 58. COTONS. Le Bacre, 16 novembre. A terme, les 50 kilos novembre, 226 décembre, 223 janvier. 223 février, 223 mars, 223 avril. 223 mi. 226 juin. 227 juillet. 228 août. septembre, octobre, 231. Ventes 300 balles.

CAFES. Le Havre, 16 novembre. A terme, les 50 kilos novembre. 228 50 décembre, 221 janvier. 218 50 février, 215 mars, 212 26 avril. 210 mst, 209 75 juin. 208 75 juillet, 208 75 aotit, 208 septembre. 208. Ventes 2.500 sacs. SUCRES. Tendance ferme. Ouverture i courant, 212 et 211 50 P décembre. 213 P janvier, 214 à 214 50 P 3 oe janvier, 215 P 3 de février, 216 et 215 P. Clôture courant, 212 & 212 50 P décerner". 213 50 à 214 P janvier. 215 P 3 de janvier, 215 & 215 50 3 de février. 216 A 216 50. Cote officielle du disponible, 212. BLES, Courant, 110 75 et 110 P décembre. 111. M à 111 75 P janvier. 113 M P 3 de décembre 113 50 P 3 de janvier. 114 25 P 3 de février, 115 et 114 50 P 3 de mars. 115 25 P. Cote otfleic'te du blé disponible. 109.

SEIGLES. Incotéa.

AVOINES. Cournnt. 86 60 P décembre. 36 5U P janvier. 87 P 3 de décembre. 87 V 3 de janvier. 87 50 à SS 3 de février. 88 50 P 3 de rnar-. 89 75 V. ORGES BRASSERIE. incitées.

FARINES. Courtnt. 151 V décembre, janvier, 3 de décembre. 3 de tanvtcr. 3 de février. 3 de mar3. incotécs.

ALCOOLS. Courant, 910 à M25 décembre. 923 & 930 3 de décembre, 935 à janvier. 9t0 P 3 de janvier. 95u Il 955 3 de février, 960 à 970 3 de mars. 975 P 3 d'avril. 985 P.

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FAITS DIVERS DANS PARIS

On recherche un cycliste

qui causa un grave accident

Le 11 novembre, le lieutenant-colonel Bazin. officier de justice au tribunal militaire de Meknès (Maroc). se trouvant en congé, était renversé aur un passage clouté de la place de la Concorde, par un garçon boucher circulant & bicyclette. Le colonel, s'étant relevé sans mal, n'avait pas fait constater l'accident par un gardien. Le lendemain, on devait le transporter au Valde-Grace où son état a été jugé grave. On recherche fauteur de l'accident.

Deux voleurs arrêtés

Deux cambrioleurs se sont introduits, en fracturant une fenêtre, dans un atelier d'imprimerie. 56. rue de la Fontaine-auRoi. Ils firent aeuter la porte du bureau. prirent 60 francs de timbres-poète et des vêtements de travail appartenant au personnel.

Les soupçons se portèrent aur un ouvrier récemment renvoyé. Eugène Laprée. dixneuf ans. 5. rue d'Aix, que les inspecteurs Nattée et Ferroud-Plattet arrêtèrent. Ii avoua et fut envoyé au dépôt avec son complice Roger Alibert, vingt-deux ans, même adresse. Dans leur chambre, M. Rozotte, commissaire de la Folte-Méricourt. a retrouvé une partie des objets volas, ainsi que d'autres provenant de divers cambriolages.

Manifestations de sympathie

Les gradés et gardiens de la paix. lettre A. du XIII* arrondissement, se sont réunis & l'occasion de la remise de la médaille des vingt ans au brigadier Longue et au gardien Hamelin- Un superbe souvenir a été o<fert à chacun.

Une collecte faite au profit de la Maison de santé des gardiens de la paix et de l'Orphelinat de la préfecture de ponce a rapporté 230 francs, & répartir entre ceo deuxoeuvrea.

D'autre part. les gradés et gard'ens lettre A. du poste de Saint-Vincent-ds-Paul. ont offert un objet d'art au brigadier Thomas, passé au poste Saint-Louis sur sa demande.

Le cambriolage de la rue de Lyon n'en était pas un

Nous avons signalé qu'une tentative de vol avait eu lieu dans la nuit du 13 au 14 novembre dans les bureaux du Crédit municipal 49. rue de Lyon. Il s'agirait d'un simple court-circuit cauaé par un mauvais contact dans les fils de la sonnette d'alarme. Et le concierge, réveillé. avait alerté « Police-secours d'où le bruit pussitôt répandu d'une tentative de cambriolage. Mais les agents s'aperçurent aussitôt de la méprise.

Pris en flagrant délit

Depuis quelque temps, de nombreux appareils de distribution automatique de lames de rasoir étaient fracturés aux devantures de certaines pharmacies dans le XI- arrondissement.

Des gardiens de la paix ont surpris et arrêté en flagrant délit. 24, avenue de la Réoublique. trois jeunes gens qui tracturaient un appareil Maurice Archinard, vingt-neuf ans, 54. rue Oberkampf André Pichon. vingt-deux ans. 65. rue Réaumur. déjà titulaire de treize mois de prison, et Ernest Michaud. vingt-deux ans. 150. rue de Ménilmontant. Ils sont au dépôt. Il y a perles et pertes

Sur la plainte de plusieurs bijoutiers du Quartier de la Chauawée-d'Antin, ) inspecteur Linart a arrêté, hier, Louis Crevebs. cinquante-neuf ans, se disant artiste et demeurant dans un hôtel de la place du Havre. Cet Individu avait réussi à vendre auxdits bijoutiers 60.000 francs de. perles japonaises qu'il avait tait passer pour des perles fines.

Un Polonais

escroque par un compatriote

Arrivé de Chartres hier matin, le manœuvre polonais Joseph Kruzegel, trente ans, rencontra près de la gare Montparnasse un de ses compatriotes. La conversation s'engagea et. chemin taisant. 1 inconnu montra à Kruzegel un billet de 1.000 marks, qu'il échangea contre les 900 francs d'argent français que le manœuvre avait en poche.

Tu y gagneras le double, dit-il, en allant le changer à la banque voisine. Je t'attends à la porte.

Or t'employé de la banque auquel le billet de 1.000 marks fut présenté déclara au naïf Polonais qu'il ne valait plus un pfennig. Pendant ce temps, l'escroc avait pris la fuite. On le recherche.

Des mariniers ont retiré de la Seine. au pont des Invalides. Mme Marie Brontesi, trente-trois ans. demeurant à Gonesse (Seine-et-Oise). qui tentait de se noyer à la suite de dissentiments avec son mar!. Réconfortée, puis raisonnée par M. Dublé, commissaire de police du Gros-Caillou, Mme Brontesi a regagné son domicile. Des malfaiteurs ont pénétré dans l'appartement de M. Norton, négociant. 44, rue du 'Rocher, et ont dérobé des bijoux évalués 15.000 francs.

Au boia de Boulogne, une auto routant tous feux éteints a renversé et blessé un manœuvre. M. Alexandre Aniceto. âgé de quarante ans. domicilié 110. rue des Rosiers. Le blessé est à Beaujon. On recherche le c chauffard

Le feu s'est déclaré dans la charcuterie Tirot, rue de Clignancourt. Les pompiers l'ont éteint en trente minutea

DANS LA SEINE

Unpteudo-archtteete

escroquait des hôteliers

Se disant architecte et être chargé de travaux de restauration à la basilique de Saint-Denis, un escroc s'était présenté & plusieurs hôteliers et restaurateurs de cette localité. Il s'entendait avec eux pour la nourriture et le logement des ouvriers et, une fois le marché conclu, s'apercevait tout à coup qu'il avait oublié son portefeuille. Il empruntait alors des sommes variant entre 50 et 200 francs à ses interlocuteurs.

Les inspecteurs Jane et Jean, du commissariat de Saint-Denis-Nord, ont réussi & mettre la main sur le filou, un nommé Maurice Caron. âgé de trente-trois ans. sans domicile connu. Il a été envoyé au dépôt par M. Cauquelin, commissaire. Accident. de la rue

Route nationale, aux Pavlllons-sousBols. un cycliste. M. Jean Raina, âgé de vingt-sept ans, électricien, 7S, avenue Rebillard, même localité: été renversé par une auto. Transporté à l'hôpital Tenon, Il y est mort peu après son admission. M. Georges Jouet, Agé de trente-cinq ans. concierge de l'école Pasteur, & Bondy, circulait sur une bicyclette à moteur, rue de Manguy, dans cette localité, lorsqu'il fut renversé par une auto. Transporté & l'hôpital Saint-Louis, Il y est mort peu après son admission.

–RueduMoulin-de-Cage.aGennevilliers, deux motocyclistes, MM. Pierre Cacharos. quarante-trois ans. 43, avenue Pereire, & Paris, et Henri Degigot. vingt ans, 27, quai Galiiem. a Villeneuve-la-Garenne, sont entrés en collision. Sérieusement blessés, l'un et l'autre ont été admia i'MpitalBichat.

Le feu a détruit, 8, vole Michel-Ange. à Ivry-sur-Seine, une maisonnette en bois actuellement inhabitée. M. Vassart, commissaire de police, enquête.

Au cours de son travail au Magasins généraux d'Aubervilliers. un manœuvre algérien. Santoum SaM. trente ans. demeurant à Paris, 47, rue Curial, reçut sur la tête une pile de sacs de sucre qui s'était écroulée.

Il a succombé peu après son admission à Lariboisière.

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ALCESTE BORIS GODOUNOV

LA DAMNATION DE FAUST

LOHENGRIN TANNILEUSER

LA VALKYRIE

AUJOURD'HUI. Comédie des ChampsElysées. 9 h., générale de la Margrave, comédie en trois actes de M. Alfred Savoir. Th. Albert-1", 2 h. 30, première du TroietéTM Larron, comédie en trois actes de M. J.-B. Mestre, et le Meunier trop galant, comédie en un acte, en vers, de M. Pierre Jalabert. Variétés, 9 h.. première d'Aurélie, comédie en trois actes de Mme Germaine Lefrancq.

-o- COMEDIE-FRANÇAISE. L'Age du fer sera joué demain soir par MM. A. Brumot. Charles Granval, Ledoux, A. Bacqué par Mmes Tonia Navar, Irène Brieland et .Mary Morgan.

-o- 'ODEON. Mlle Marie Lecomte jouera ce soir les Bleus de l'amour. Elle sera entourée de MM. Raymond Girard. G. Cusin, Baconnet, L. Seigner, G. Parzy. Bryonne, Couvreur; Mmes Janine Press, Eva Reynal et Paulette Marinier.

o- GAITE-LYRIQUE. A la demande des directeurs de ce théâtre et des librettistes du Pays du sourire, le maître Franz Lehar a consenti à retarder de vingt-quatre heures son départ pour conduire l'orchestre à La seconde représentation de son opérette, ce soir jeudi.

-o- CHATELET. Aujourd'hui, à 2 h. 30. matinée de l'opérette triomphale MM-.Eosa. avec André Baugé et Bach.

o- PTE-ST-MARTIN. Aujourd'hui, à 2 h. 45, matinée populaire à prix réduits (prix des places de 3 à 19 fr.) du Scandale, le chef-d'œuvre d'Henry Bataille (dix-huit dernières).

Mat à prix réduits tous les jeudis et samedis.

-o- THEATRE MOGADOR. Aujour- d'hui jeudi et dimanche 20 novembre, ma- tinée, à 2 h. 30, du formidable spectacle d'Erik ChareU, l'Auberge du Cheval-Blanc (White Corse 7ttm) avec Georges Milton en tête de toute l'éclatante interprétation du aoir.

o- PALAIS-ROYAL. 200' de la Maison d'en face. Jane Renouardt. Louvigny avec Duvallès. Mireille, Paul Faivre (Aujourd'hui matinée).

o- TH. ANTOINE. Voici quelle sera cet après-midi la distribution de l'Avare: MM. Signoret (Harpagon), Dehelly y (Cléante); Mlle S. Renant (Elise); M. Lagrenée (Valère); Mlle S. Sandré (Marianne) M. J. Guillet (Anselme); Mme J. Véniat (Frosine); MM. G. Six (M* Simon). L. Hector (Me Jacques). H. Crémieux (la Flèche): Mme G. Lançay (dame Claude): DM Roger Bernard (Brindavoine), R. Dock (la Merluche) et Mathinon (le commissaire). Le spectacle sera complété par le Mariage forcé, avec Mlle Jeanne Provost dans le rôle de Dorimène et présenté par M. René Rocher.

-o- NOUVEAUTES. Jea!nte est un énorme succès. et cependant la Baisse Premiers balcons à 12 fr. 50. Auj. mat. o- La première revue de Francis Carco. samedi 19 irrévocablement première représentation à bureaux ouverts. Ces messieurs dames, lyrics de Jean Rieux, vingt-cinq tableaux de Paul Colin avec la grande artiste Cora Madou. STUDIO DE PARIS. 16, rue de Clichy.

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-o- TH. DE L'ŒIL DE PARIS. La générale de la nouvelle pièce en quatre actes de M. Alfred Gragnon sera donnée le jeudi 24 courant en soirée.

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-o- FOLIES-BERGERE. M. Paul Dervai retient la date du lundi 21 novembre pour la première représentation, en soirée de gala, de la Revue d'amour, cinq uante tableaux, de MM. Maurice Hermite et Jean Le Seyeux.

-o- CIRQUE D'HIVER. Aujourd'hui matinée à 2 h. 45, mais, en raison de l'importance de la mise en scène de la pantomime de Busch, le Cirque d'Hiver fera relâche ce soir.

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Un gala au profit des Gueules Cassées aux Folies-Dramatiqnes

Vendredi soir, grande premièce aux Folies-Dramatiques pour la présentation de Nippon, le premier film parlant japonais projeté en France. Le bénéftce de ce gala, placé sous le haut patronage de S. E. l'ambassadeur du Japon, Ira à l'œuvre des Gueules Cassées, que préside le colonel Picot.

L'adaptation française de cette grande œuvre extrême-orientale est due au célèbre romancier Claude Farrère.

Sur scène. nous pourrons applaudir l'extraordinaire danseur Yieehi Nimura. qui vient de triompher en..Amérique et qui nous initiera aux- plus beHea-. danses samouraïs.

La location est dès & présent ouverte Aux 33-00 et 01). Le prix des places est fixé pour ce gala loge, 25 fr. corbeHie. 20 fr. orchestre. 15 fr.; balcon. 10 et 5 francs.

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Cette note est destinée à éclairer tous les amateurs de T. S. F. et à leur permettre de se rendre compte, par eux-mêmes, des deux systèmes employés actuellement en T. S. F. pour l'alimentation des postes sur secteurs alternatifs.

Les deux solutions utilisées actuellement sont les suivantes D'une part, alimentation haute tension par valve thermo ionique ou à. gaz, dénommée couramment valve, et le chauffage 4 volts par lampe dite à chauffage tnddrect;

D'autre part, l'alimentation par oxymétal redresspnt intégralement le courant alternatif en courant continu tant pour la naute tension que pour le 4 votts.

Des différents essais qui ont été faits avec les deux méthodes, on a pu constater que les oëtft! permettaient de soutenir des voltagea élevés, sans-eppotter aucune distorsion dans la réception des émissions. que, d'autre part, la vie des lampes alimentées par des éléments oxymétal était beaucoup plus considérable, car la tension entre la marche à vide et la marche en charge n'apportait qu'une surtension de 10 à 15 alors que dans l'alimentation comportant une valve, la sur. tenttom était de l'ordre de 150 à 200 autrement dit, dans le cas de fonctionnement sur oxymétal, si le poste utilise une tension de 250 volts au moment de la marche à vide, la tensioe sur tes lampes oscillait entre 275 et 287 volts..

Dans le cas de valve, la même tension se trouve portée entre 450 et 500 volts. D'autre part, la mise en fonctionnement de l'appareil sur un poste alimenté par valve et par lampe dite à chauffage indirect, nécessite une atteste variant entre 30 et 60 secondes avant que le poste soit en état de fonctionuer normalement, c'est-à-dire que, pendant ce laps de temps, une surtension très élevée se trouve portée sur les lampes. Dans le cas d'alimentation par oTymetoJ, la mise en marche de l'appareil est immédiate dès l'introduction de la prise de courant le poste est en état de fonctionner.

En outre, dans les postes actuels possédant des haut-parleurs électrodynamiques, le ronflement de ce dernier, excité sur la valve, est toujours très perceptible quel que soit le dispositif employé, alors qu'auec des oxymëtct: il est pratiquement nul.

Les inconvénients qui ressortent de l'emploi d'une valve pour l'amateur, même sur des secteurs réguliers, sont d'une part le remplacement de la valve au bout d'un certains nombre d'heures d'utilisotdon, environ 1.000 d 1.500 heures. D'autre part, le remplacement des lampes, dites à chauffage indirect qui sont d'un prix extrémement coatetf.); et plus élevé que celles à chauffage continu, telles que celles utilisées dans des postes alimentés par des oxymétal haute et basse tension.

A titre d'exemple, nous donnons ci-après les frais d'entretien qui! faut envisager lorsqu'on achète un poste à 5 lampes fonctionnant soit avec une valve et des lampes dites d chauffage indirect, soit avec des éléments oxymétal et des lampes à chauffage continu.

Il faut tout d'abord considérer qu'après les différents essais effectués dans les laboratoires la durée des o.rymët<t! est pratdquement illimitée. Pour faciliter les calculs, nous estimons la durée de ceux-ci à 30.000 heures.

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En outre, il faut tenir compte du fait du survoltage occasionné par la mise en route de l'appareil dans le cas de lampes dites à chauffage indirect alimenté par valve, la durée des lampes est d peu prés la moitié de celles fonctionnant sur une poste utilisant des éléments OXYMETAL par suite de la surtension d iide.

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Le prix d'entretien des 2 appareils s'établit de la façon suivante Prix d'entretien d'un poste à valve et à lampes à chauffage indirect: 667 fr. 50 par an (1.500 heures d'écoute).

Prix d'entretien d'un poste alimenté par des éléments oxymeta) 192 fr. 50 par an (1.500 heures d'écoute).

En outre, nous ne tenons pas compte dans ce calcul des survoltages dus au secteurs irréguliers qui, dans le cas de valve de redressement, exigent le remplacement de celles-ci par le fait de Jilament grillé. A titre personnel, nous avons sorti près de 3.000 postes entièrement alimentés par des éléments oxymétal Westinghouse et les résultats tant chez nous que chez nos clients nous ont prouvé que le seul pas en avant fait par la T. S. F. est réalisé par l'utilisation des éléments oxymétal pour redresser le courant alternatif.

Si l'on constate malgré tous les avantages qu'offre remploi rationnel de l'alimentation par oxymétal qu'un grand nombre de postes continuent à utiliser l'alimentation par valves, ceci provient de ce que le prix de revient est beaucoup moins onéreux à. la fabrication que ceux comportant des oxymétal. De ce fait, :es 2 appareils de T. S. F. de même force et de qualité équivalente, vendus le même prix, l'un monté avec oxyméta!. l'autre monté avec valve, l'amateur peut en déduire automatiquement que le bénéJice réalisé sur le prix du poste d valve est beaucoup plus élevé que celui réalisé par le constructeur du poste d oxymétal et par conséquent plus cher.

Dans le cas de secteur tel que celui utilisé dans le Midi qui est de 110 volts-25 périodes, la supériorité de !'oa-Mëta! se révèle plus que jamais et l'on peut donner des réceptions comparables d celles sur accumulateurs. En outre, les parasites électriques tels que ceux de tramways et d'ascenseurs sont beaucoup moins sensibles sur des postes alimentés par oxymétal.

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Jeudi 17 novembre.

Mercredi 30 novembre, à 19 h. 50, aura lieu, au Poste Parisien, une audition des chansons de Mme Rosemonde Gérard, musique de M. Tiarko Richepin. Ces chansons seront présentées par Mme Rosemonde Gérard et chantées par NI. Koval, accompagné par M- Tiarko Richepin.

LES PRINCIPALES

EMISSIONS FRANÇAISES

POSTE PARISIEN <328 m. 2)

12 h., Informations et revue de la presse du matin.

12 h. 5. c Trente minutes au cirque » Entrée des Gladiateurs. marche (Fucik) le clown Klto, et son partenaire Franz Kruger au saxophone la danseuse de Séville et mazurka d'Elsa imitations de cris d'animaux Pauley et Marcel Vallée dans « Au théâtre », départ des gladiateurs. 12 h. 30, concert offert par « Benscher ». 13 h. 5, concert de musique enregistrée. 13 h. 30, coure des valeurs de la Bourse de Paris.

14 h., fin de l'émission.

18 h. 15. « La demi-heure pour les petits », journal radiophonique du Petit Monde », tous la direction de M. Pierre Humble, Interprété par Mme Marguerlte-Pierre-Humbie, Mlle Licette Limozin, MM. Coauillon et Chômât, et la troupe enfantine du théâtre du Petit Monde.

18 h. 45. journal du « Poste Parisien ». 19 h" causerie à bâtons rompus de c Dimanche Illustré ».

19 h. 10, concert de musique enregistrée. 2U h., théâtre « Musotte », trois actes de Guy de Maupassant et Jacques Normand. Distribution par ordre d'entrée en scène Mme de Konchsrd, Mlle Suzanne Gonnel GUberte Martinet. Mlle Renée Simnnot Léon de Petitpré, Emile Duard Jean Martine), M. Roger Weber Madame Flache, Mme Blanche Dars Musotte, Mlle Viovy D' Pèlerin, M. Schneider.

21 h. 40, dernières informations.

RADIO-PARIS (L724 m. 1). 6 h. 45 et 7 h. 30, culture physique.

8 heures, 13 heures, 18 h. 10, 20 h. 30, prévisions météorologiques.

13 heures, 20 h. 30, 21 h. 15, informations. 13 heures, 14 heures. 15 h. 45, 18 h. 10, 19 h. 45, cours commerciaux.

12 h., conférence protestante « Les chaînes qui tombent », par le pasteur Pierre Jarillon.

12 h. 30, l'Arlésienne (Bizet) Werther (Massenet) Hnmiet (Ambroise Thomas). 13 h. 5, L'actualité artistique Mélodies et romances, par M. Robert Marine. 13 h. 35, Ouverture des Noces de Jeannette (Massé) Je t'ai dnnné mon coeur (Franz Lehar) Valenda (PadiUa) les Saltimbanques (Louis Ganne).

18 h. 10. causerie agricole « L'emploi des explosifs en agriculture par M. Engelhard.

18 h. 30. Menuet et flnale de la eympho-

La vieille laveuse s'imagine qu'elle doit ses douleurs seule- ment au voisinage de l'eau. Elle se trompe. Le Père Géraidus lui indique qui est le véritable responsable de ses rhumatismes: c'est le sang, ou plutôt l'acide urique charrié par le sang, qui se coince aux articulations, encrasse et détraque la machine humaine. La pauvre femme a soixante-dix an»; est-il trop tard pour ee «ourager Peut-elle encore espérer se débarrasser de ces douleurs ? Sans aucun doute. Le sang est l'élément le plus facile a soigner dans le corps humain. Elle fera une cure de TISANE DES CHARTREUX DE DURBON et cet extrait de plantes fraîches, cueillies dans les Alpes, fera fondre tous les cristaux d'acide urique contenus dans le sang. Il coulera désormais pur et fluide et ses tares disparaîtront.

Depuis l'époque déjà lointaine où vivait le Père Géraldus, la TISANE DES CHARTREUX DE DURBON s'est répandue dans le monde.

Vous qui souffrez de douleurs, de rhumatismes, de goutte, vous avez essayé bien des remèdes, mais vous n'avez pas encore eu recours à l'extrait concentré de plantes connu sous la nom de TISANE DES CHARTREUX DE DURBON. C'est dà pourtant qu'est le salut. Achetez dès aujourd'hui un flacon de tisane chez votre pharmacien et commencez demain votre cure. Venez grossir la troupe de ceux qui les c simples > ont rendu la santé. X avrli

c Je viens vous exprimer toute ma reconnaissance pour l'efficacité quasi miraculeuse de votre TISANE DES CHARTREUX DE DURBON, qui m'a enfin délivrée d'un rhumatisme aigu du bras, alors que j'avais inutilement essayé quantité de remèdes. Malgré mon âge avancé (soiaxinte-aept ans), je puis assurer mon travail A l'usine, je ne crains plus de mettre des heures durant mes mains dans Veau et j'ai enfin retrouvé le sommeil.

Martine Froment, crépeuse, Grande-Rue, Esquennoy (Oise).

Rose. Cest la plns grande découverte de beauté faite depuis cent ans. Employez cette nouvelle Crème Tokalon (Biocel), Aliment pour la Peau, Couleur Rose, le soir avant de vous coucher Elle nourrit et rajeunit voue peau pendant votre» sommeil. Les muscles flasques et affais-' sés du visage sont tonifiés' et, rendus, vigoureux et fermes. Le matin, era-î ployez la Crème Tokalon, Aliment pour la Pean, Couleur Blanche, (non crasse) elle supprime les pores dilates ainsi que les points noirs et blanchit la peau.

nie la Surprise (Haydn) Fragments poétiques (Godard) Cinq Pièces brèves (Guy Ropartz).

19 h. 40, Radio-dialogue entre Frédéric Lefèvre et Maurice Genevoix.

19 h. 20, Faust (Lazzari); Danse espagnole (de Falla); la Sorcière (Erlanger); Cnrnaval (Dvorak).

20 h., Les procédés de diction des grands comédiens C o q u e 1 i par M. Lugné-Poe.

20 h. 45, Don Juan (Mozart) Symphonie sur un thème montagnard (Vincent d'Indy); Rédemption (César Franck) Fragments symphoniques des Maitres chanteurs (Wagner) Rapsodie norvégienne (Lalo) le Rouet d' O mphale (Saint-Saëns) l'Apprenti sorcier (Dukas).

TOUR EIFFEL (1,446 m. 8). 12 h. 80, la Gloire rie la Russie (Krein-Lotter) Nitchevo (Weskier) Kasbeck Ungarta (Léoni) Stenka Reczine et la princesse Moment musical (Schubert) Çavalleria (Mascagni) Drsns les jardins d'une pagode chinoise (Ketelbey) les Feuilles du matin (Waldteufel) Danse espagnode (Granados); Marche hongroise (Berlioz).

17 h. 45, Journal parlé.

19 h. 30, l'Enlèvement au sérail Cosi fan lutte Quintette en mi bémol pour instruments à vent et piano (Mozart) Symphonie en sol mafeur (Haydn) le Monde aux merveilles (Lehar) les Brigands (Offenbach) Danse japonaise aux lanternes Fête de floraison des cerisiers (Yoshitomo) le Coeur et la main (Lecocq) l'Oiseleur (Zeller) Joies d'amour (Kreis1er): MUs Helyelt (Audran) Gazouillement de printemps (Sinding) My darling waltz (Waldteufel) Mariage aux oiseaux (Bose) Dans le vieux Séville (Rosen) Patria belgica (Labory).

PARIS P. T. T. (447 m.). 8 h., Informations.

12 h., disques, chronique du tourisme. 14 h., disques.

14 h. 30, diffusion du concert donné dans la salle des fêtes du Journal. 16 h. 30, émission enfantine.

18 h. 15, Radio-Journal.

19 h. 45, disques.

20 h. 15, causerie astronomique, par M. Hamon.

20 h. lea Noces d'argent, pièce en 4 actes (Paul Géraldy).

RADIO-L. L. (370 m.). 12 h. 30, concert. 19 h., Radio-Gazette.

RADIO-VITUS (308 m.). 20 h., causerie « Les amis invisibles de l'homme. » 20 h. 30, l'Oiseau bleu (Mme ToutainGrun) Paris est au roi (Wekertin). 21 h. 15, Doit Junn (Mozart) Prélude (Chopin) la Bohème (Pacclni) Chant hindou (Rlmsky Korsakoff) Ouverture d'Obéron (Weber) Manon (Massenet) Menuet (Valensin) la Dame blanche (Boieldieu) Masques et Bergamasques (Gabriel Fauré).

22 h.. musique légère.

R A D 1 O-STRASBOURG (345 m. 8). 20 h. 30. musique de César Franck Rédemption Prélude, ch or al et fugue Hulda tes Djinns musique de Richard Wagner Uohengrin Tannhasuser Tristan et Yaeult,

RADIO- T O U L O U 5 E (385 m. 1). 12 h. aU, 17 h. 30, 18 h. 15, 19 h. 30, concert.

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Les tendances et les nrogrM de la construction 1933, par A. Caputo.

Le Salon automobile de Londres.

Les progrès du Diesel automobile.

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20 h., Marche américaine (Sousa) En avant (Latan) Défilé martial (Blémant) la Java des voyous (Van Heck) les Bleuets (Clavin) Espoir perdu (Morelli); E.scamil2o (Goldberg) Rêve nuptial de blnnche neige (Plessow) Ville d'Espagne (Evans) Valse tzigane (Zubaloff) Mousmette (Piccallni).

20 h. 45, retransmission depuis Paris du concert exécuté par l'orchestre des Concerts Colonne entr'acte les Noces de Figaro; L'heure s'avance (Mozart) Lakmé, stances (Delibes) Werther (Massenet) l'Attaque du moulin (Bruneau) Rigoletto (Verdi).

23 h.. Dans les steppes de l'Asie centrale (Borodine) Parsilal (Wagner) Au revoir (Cube lier) Sérénade (Rachmaninoff) Aurore de chasse (Noury) Loin de toi (Hanley) Cocorico (Ganne) Rédemption (Franck) Guillaume Tell (Rossini).

.ET ÉTtyNGÈRES

DAVENTRY NATIONAL (1.554 m. 4). 12 h., récital Chopin Trois préludes en do, si bémol et la bémol; Polonaise en do dièse mineur Deua valses en do dièse mineur et ré bémol Nocturne en mi Boléro.

13 h. 15, concert Ruy Elas (Mendelssohn Danse des sylphes (Benioz) Air irlandais du comtE de Derry (Grainger) l'Arlésienne (Bizet) Symphonie n° 4 en sol (Dvorak).

16 h. 5. ouverture du Freischdtz (Weber); Menuet (BoJzoni) Lakmé (Deilbes) Aria (Bach) Semllana (Ferraris) Sérénade (Rachmaninoff ) Rapsodie hongroise n° 14 (Liszt) Pour vous seul (Geehl) Tango (Albeniz).

18 h. 30, les bases de la musique. Chants Italiens du xvii" siècle. Musique de Grandi, Legrenzi, Lotti, Caldara. Falconleri. 21 h. 40, Fantaisie et fugue (Mozart) Deux bagatelles (Beethoven) Sonate eri eoi mineur pour violon soie (Tartini) Dame hongroise n- 2 en ré mineur (Brahms); Intermezzo en mi mtneur Intermezzo en do; Rapsodie en mi bémol op. 119 (Brahms).

LA NAVIGATION FLUVIALE Yonne: Sens. 1 m I8.

Haute-Beine Bray-sur-Seine, 0 m. pont de Montereau, 1 m. 60; pont de Melun, 2 m. 35; écluse de Varenne. 2 m. 33; écluse de Port-à-1'Anglais. 3 m. 33.

Basse-Seine: pont de la Tournelle. 1 m, 02; pont Royal. ? m. 50: écluse de Suresnes. 4 m. 73; barrage de Chatou, 3 m. 20. Seine fluviale: Andrésy, 1 m. 62; Mantes. 3 m 47 Méricourt. 3 m. Damery, 0 m. 92.

Grand-Morin: Pommeuse. 0 m 87. Marne; écluse de Chalifert, m 57; écluse de Charenton. 2 m. 70.

Oise: barrage de Venette, 2 m. 76.

SALONS

ET EXFOSITIOMS UNE EXPOSITION

DE SCULPTURE FRANÇAISE A la galerie André-Seligmann (126, faubourg Saint-Honoré) vient de s'ouvrir une exposition de sculpture française du xii* au xx* siècle, ou, si l'on veut, de l'ogive à Rodin.

Organisé au profit de la caisse de chômage du « Groupement syndical des artYsans d'art y, l'ensemble, composé de quatre-vingt-cinq morceaux, chacun dans son genre de premier ordre, s'avère donc une véritable rétrospective, bien que la Renaissance, féconde chez nous, surtout en monuments, n'y soit guère représentée. Par contre, quelle fête pour les yeux. cette immense niche tendue de velours sombre, sur lequel se détachent la suite de pièces gothiques, du fier Coq taillé dans le marbre au temps de saint Louis

Vierge en marbre dn XIV- siècle

à la Vierge et l'Enfant, qui en forme le centre et qui fortement sous l'influence des poétiques Flandres date de l'époque de Bertrand Du Guesclin, dont elle possède la franche et pure noblesse. Les bois dorés d'adorables anges agenouillés et debout et des Saints polychromes veillent sur ce trésor, qu'entourent encore une Madone, pièce rare en buis, du Roussillon. et un Moine à la robe merveilleusement drapée dans le goût antique, pourtant complètement inconnu aux constructeurs des abbayes et cathédrales. Parmi les richesses des xv* et xvi'. il ne faut point oublier de remarquer une Tête de jeune femme (est-ce une Jeanne d'Arc ?) en albâtre puis un prodigieux bas-relief qui, exécuté avec charme, légèreté, élégance, indique nettement la fin d'une période ou plutôt le commencement d'une nouvelle façon de concevoir et de traiter même les sujets les moins profanes.' Le siècle de Louis XIII et du Roi-Soleil est aussi magnifiquement représenté que possible par Nicolas Constou (le père du fameux auteur des Chevaux de Marly), et son buste de Louis de Pontchartrain, au masque incomparablement expressif et vivant, par Coysevox, et les bustes de Mansact, d'Arnatilt. de Le Tellier par Girardon, et le Louis XIV équestre (en acier et or), modèle réduit de celui qui occupe la place des Victoires, par Warin, et son Richelieu en bronze de la Bibliothèque Mazarine.

La Régence, Louis XV et la fin du xvill" sont illustrés par de gracieux Clodion, Falconet, Pajou et, surtout, par une série de visages dus au ciseau de Houdon et où figurent le candide Jean-Jacques, le grave Turgot et le précieux Buffoti (en biscuit de Sèvres),, que l'on voit aussi, vieilli et sans vaines dentelles. par Pajou déjà cité.

La Comédie-Française a prêté ses Miles Clairon et D&igeville, qu'immortalisa J,-B. Lemoyne. et le Muséum, entre autres, un portrait d'homme en plâtre, de Pigalle.

Dans la salle consacrée au xi3C siècle, où, sans se ressembler, se succèdent Rude, Carpeaux, l'animalier Barye, voire Degas et son réalisme chorégraphique. les véritables triomphateurs nous semblent pourtant Auguste Rodin avec une Eve qui, je pense, est le comble de ce que peut exprimer la matière inerte lorsqu'il s'agit de chair en mouvement puis Daumier et sa Blanchisseuse, qui est toute vérité aans l'espace malgré ses dimensions d'humble bibelot. Ces deux numéros du ca'^ogue suffiraient à eux seuls à rendre sensationnelle cette manifestation, qui a l^vintage, en outre, d'avoir été arrangée de façon aussi savante que sympathique dans des galeries qui s'y prêtent avec bonheur. SUR LES BANCS DE PARIS « Sur les bancs de Paris » est plus qu'un simple titre d'exposition, c'est un programme.

Le vif et franc crayon d'Herrière de Brécor à la galerie E. D. M. (73, rue du Bac) nous en donne toutes les chansons. les unes après les autres chansons au crayon, d'un charmant réalisme, croquées en passant dans les faubourgs, dans nos squares, dans nos avenues luxueuses, le long des quais et le long des boulevards. Voici le jeune chômeur c qui ne s'en fait pas étendu sur son étroit lit de bois, sa casquette sur les yeux. et. de l'autre côté de l'appui, l'arpette occupant timidement un petit coin, les yeux perdus dans un songe. Voici deux copains, une bouteille de rouge entre eux et se racontant leur vie. Voici un vieillard recroqueville au fond d'un des durs sofas de pierre du Pont-Neuf. et le badaud qui, du pont des Arts, sans bonquer, contemple le fleuve à côté d'une étrangère extasiée devant le panorama d'une lointaine Notre-Dame. Voici le fidèle lecteur du Petit Parisien, coiffé du traditionnel béret basque, étudiant les événements en prenant le frais au bord de la Seine. Voici l'ouvrier avec son casse-croûte et le vagabond inquiet, effondré, le regard fixé sur les pavés. Et puis voici les couples, voici les amoureux, serrés 1 un contre l'autre, ou enlacés, ou se mangeant des yeux sans s'apercevoir ni du passant ni du crépuscule qui s'éteint doucement et fait place à la nuit.

Chacun des croquis accrochés est un motif plein de lyrisme, de ce lyrisme doux et cruel propre aux grandes villes où dans l'immense et confus va-et-vient il reste toujours encore place pour le rêve, pour l'amour, pour des loisirs qui semblent d'un autre siècle, mais qui, en vérité, appartiennent à toutes les époques.

C'est ce qu'a parfaitement compris M. Herrière qui, possédant un métier sérieux et sans formules éphémères. nous prouve être un des meilleurs illustrateurs modernes des rues et des trottoirs de notre grande ville.

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LA PRÉ-TUBERCULOSE La diminution anormale des globules rouges, en privant l'organisme de ses moyens de défense contre l'attaque microbienne, crée ce qu'il est convenu d'appeler un terrain prétuberculeux. Ce dangereux état d'instabilité organique est le plus souvent déterminé par un excès de dépense (surmenage) non compensé par un gain reconstructif (nourriture et repos). Il est donc indispensable, pour lutter contre la déchéance musculaire ou nerveuse, de choisir un aliment de base capable de fournir chaque jour à l'organisme, en quantité rationnelle, des protéines, des hydrates de carbone, des graisses, des sels minéraux. des vitamines. Le Phoscao, par le choix parfait de ses composants, répond à toutes les nécessités physiologiques et remplit à merveille ces conditions. Mélangé au lait frais il procure à l'organisme les facteurs essentiels nécessaires à sa reconstruction et à son entretien sans provoquer aucune fatigue de la part des organes digestifs.

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Débouchez votre nez Rhumes de cerveau Catarrhe nasal Sinusites Végétations Maux de gorge

Lbrstpwf1 la respiration est rendue difficile par la présence dans le nez de végétations, de polypes, par un rhume de cerveau chronique, nn catarrhe nasal, etc., les poumons et l'appareil respiratoire tout entier, ainsi que ses dérivations, en souffrent terriblement car la quantité d'air absorbée est insuffisante. Si la respiration se fait mal, la purification du sang par l'oxygène de l'air, dans les alvéoles pulmonaires. est incomplète, et l'organisme, mal nourri par un sang mal purifié, ne tarde pas à dépérir. Il en résulte que les affections nasales ne doivent pas être considérées comme des affections locales, mais bien comme des maladies générales de l'organisme tout entier et doivent être soignées avec énergie. La santé dépend donc avant tout du bon état et du bon fonctionnement du nez, porte d'entrée des poumons et aussi de nombreuses 6 maladies.

La respiration a une importance capitale

puisque la santé, la vie même en dépendent;

LES COURSES Hier à Enghien. Les résultats s PRIX DU MAINE

L Soumoulju (R. LocK) G 31 à M. Jean Cerf P 12 2. Red Gaunttet (R. Féger).P 8 50 3. Galilée II (P. • Sentier) P 4. Gaucho (M. Bonaventure), Non placés Acrostic(R. Bali) Sea Crae (T. Dunn) La Blairie (A. Cérez) Heure Bleue (R. George) La Raroire (G. Bonneau) Miroita (C. Gardiner) Ennius (G. Thomas) Polisy (M. Brunet) Anno Boleyn (R. Trémeau) Le Raquet (J. Teasdale) Mosaïque (M. Amossé) Badinguette (R. Chaussât) Ecce Caballus (M. Dairé). Distances courte tête, 3 long.. 1 long. 4. Dix-sept partants.

PRIX DU HANTAIS

1. Lougre (E. Juge).G 142 60 à M. A. Urbain .P 39 » 2. Géralda (J. Luc) P 11 » 3. Phi Phi (R. Roueille) 4. Goldsmith (M. Bonavanture). Non placés Ajonc IR. Jouve) Porte Joie (Lamoure) Epi de France (J. Frigoul). Distances 2 long. 8 long.. 2 long. Sept partants. PRIX DE L'ANJOU

1. Dark Way (W. Butler) G 20 60 M. M. Alperson.P 9 60 2. Runday (M, Maginot).P Il 50 3. Frère Yves (R. Bagniard) P 15 4. Selkirk (J. Luc). Non placés Campagnard (P. Sentier): L'Auzelle (G. Cervo); Mont Beuvray Il (S. Warren) Alfagor (J.-G. Ccstadoat). Distances 1 long., 5 long,, 4 long. Huit partants. PRIX BEAUTE DE CCEliB

1. Mon Amour III (Coatadoat).G 28 > i M. Emile Marchand.P 2. Frago (G. Brlllet) P 9 50 3. Kenous (M. Théry).P 7 4. Pont d'Alma (J. Luc). Non placés Khartum (A. Kalley) Royaumont (M. Bonaventure) Miette (R. Lock) Bel Ulysse (M. Péron), Distances 1 long. 4. courte encol., 3 long. Huit partants. PRIX ULTIMATUM

1. Le Solitaire (S. Bueh).G 9 50 à M. S.-J. Unzue.P 7 50 2. Bien Parti (R. Dubus).P 8 50 8. Mah Peli (M. Brunet) 4. Diplomat (J. Teasdale). Non placée Vsstris (R. Trémeau). Distances la long.. 10 long., 4 long. Cinq partants.

PRIX DE L'EBDBE

1. Shikarl (H. Brierre):G 10 50 à M. A. Veil-Plcard .P 2. Archimède II (S. Warren).P 16 » 3. Belle Iris (G. Brillet).P 12 » 4. Gras Double (T. Dunn). Non placés: La Mode (R. Roueille) Mademoiselle de Boisgrimon (B. Marchi) Comédian (R.

elle ne doit pas être viciée a l'origine. Cest toute l'évidence même.

Débouchez donc votre nez et celui de vos enfants en glissant dans chaque narine gros comme un pois de Nazinette, nouveau et merveilleux baume nasal, et la face de votre vie sera complètement changée.

Du seul fait que vous ne respirerez plus par la bouche, l'air n'arrivera plus au contact de la gorge et des bronches sec, froid et non depouillé de ses poussières et microbes, mais, au contraire, il fera, dans le nez, son trajet normal. long et coudé à plusieurs reprises, y sera réchauffé, humidifié, filtré; il y perdra les poussières irritantes et les dangereux microbes qu'il tient toujours en suspension et qui seront englués, tués, évacués grâce à Nazinette. Ainsi, la santé et la force pénétreront en vous, et vos enfants, au lieu de rester de petits êtres chétifs et malingres, pousseront comme des champignons. Nazinette fait respirer et vivre.

Dubus) joli Coco (M. Maginot) Barberousse (J. Luc) Diloy (A. Kalley). Distances o long., 6 long., 1 long. Dix partants.

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Prix Connt Schombert (haies. 15.000 fr.. 2.700 m.) Adulation, Fërular II.

Prix Pierre d'Arenberg (steeple, 30,000 fr., 3.000 m.) My Lord, Sérénade IV. Prix Gradignan (hales, hand., 20.000 Ir-, 3.100 m.) Jupiter IV, Renard Bleu. Prix Marias (steeple, handicap, 20.000 fr., 3.500 m.) Sanscrit. Very Fast.

Prix Le Torpilleur (hafes, 15.000 francs. 3.500 mètres) Dark Agnès, Fortune Teller. AUX HALLES HIER Baisse de 0 40 au kilo sur le tapin vivant, 675à725;de050 sur le poulet du Midi, 13 à 14 50 la poule du Nord. 10 à 12 50 de 1 fr. sur le chevreuil français. 10 à 12 étranger, 9 à 11 de 1 50 sur le cerf et la biche. 6 à 8. Les beurres fins valaient, au kilo, de 17 à 20 30 ordinaires. 14 & 18. et les œufs de 550 à 1.100 le mille.

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