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Titre : L'Ouest-Éclair

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1934-08-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41193663x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb41193663x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 15 août 1934

Description : 1934/08/15 (Numéro 13796).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Pays de la Loire

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k625634g

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 16/10/2008

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Pas de politique à l'école

Le Congrès du Syndicat dit National des instituteurs qui vient de se tenir à Nice a révélé dans une partie du corps enseignant des sentiments dont on est bien obligé de dire qu'ils sont profondément regrettables.

Sans doute, ceux qui ont été chargés par l'Etat d'instruire les enfants ont le droit de se réunir non seulement pour rechercher les meilleurs moyens de défendre leurs intérêts matériels légitimes, mais encore pour confronter objectivement leurs méthodes de pédagogie et les résultats obtenus. On ne comprend pas qu'ils se rassemblent pour dresser les plans d'une action par laquelle, en fait, ils mettent leur profession au service de leurs opinions de partisans.

C'est en effet à cela que vise un Congrès comme celui de Nice utiliser à des fins purement politiques le mandat confié par la nation à l'ensemble des instituteurs.

A ce point de vue, certains discours sont éloquents. Sous prétexte de faire aimer la paix aux enfants et quels parents, je vous le demande, n'enseignent pas à leurs enfants l'horreur de la guerre? un congressiste est allé jusqu'à préconiser un enseignement public qui ne permettrait pas « l'acceptation de la guerre ». Je cite les paroles de ce délégué qui vint du Pas-de-Calais se faire applaudir sur ce thème

e. Ne restons pas sur le plan «purement philosophique. Elaboc rons des textes assimilables pour c nos enfants, des textes. qui rem« placeront les bourrages de crâne « grâce auxquels on crée la psychose de la guerre et en fin de «compte l'acceptation de la guer^.ilr re P, ce qui signifie, en langage clair, qu'il faut apprendre aux enfants à ne pas accepter la guerre, c'est-à-dire, en cas de guerre, il s'insurger.

Une semblable attitude pose une question qui n'est pas nouvelle, mais dont il serait dangereux de retarder indéfiniment ta toiution dans quelles limites exactes le maitre peut-il imprimer à son enseignement ses tendances personnelles ? Quelles sont les frontières de sa liberté ?

Nous y répondrons sans passion. Loin de nous l'intention de contester à l'instituteur le droit de penser ce que bon lui semble et de défendre, comme tout autre, par la plume et par la parole, ce qu'il croit être la vérité. En tant que citoyen, l'instituteur jouit des libertés communes à tous les Français. Nous avons assez souvent bataillé pour l'égalité des droits dans l'égalité des devoirs pour tous les citoyens d'une même nation, nous savons trop le prix de la liberté de penser et d'agir pour songer aujourd'hui à faire des membres du corps enseignant des citoyens de seconde zone.

Mais à sa qualité de citoyen, l'instituteur joint celle de fonctionnaire public. Et quel fonctionnaire 1 Il est le maitre qui façonne l'esprit des enfants. De ce chef, il a une responsabilité particulièrement gravi'.

L'enseignement primaire, ne l'oublions pas, est obligatoire. Les parents sont dans la nécessité légale d'envoyer leurs enfants à l'école. Mais ils ont, en échange. Je droit absolu d'exiger que l'enseignement donné soit respectueux de toutes les opinions, et conforme aux intérêts sacrés de la famille et dé la patrie. Or, avec les principes énoncés au congrès de Nice, le maitre devient l'agent de propagande d'une doctrine et d'un parti qui sont précisément les adversaires traditionnels de ces deux causes que nous devons les uns et les autres aimer et servir passionnément.

Bien plus, serviteur de l'Etat, l'instituteur, comme tout fonctionnaire, doit se garder de rien faire qui puisse nuire à la sécurité de cet Etat. Mieux encore, il doit veiller sur cette sécurité, et coopérer, par son enseignement, à la renforcer. L'instituteur français se doit d'autant plus à ce rôle que la sécurité de la France se confond avec le maintien de la paix.

Un mandataire n'est pas libre de remplir son mandat de la manière ui lui convient le mieux. Il doit qes comptes à son mandant. Il ne doit ni directement, ni indirectement se servir de son mandat pour des fins personnelles. Il ne 'doit surtout pas s'en servir au préjudice de celui qu'il représente. L'instituteur est en quelque sorte un maa'ataire de la nation. II •

reçu pour mission d'enseigner outre les Sciences et les lettres sur quoi les possibilités d'interprétation sont nulles l'Histoire, c'està-dire le passé du pays. La connaissance de l'Histoire exerce une influence capitale sur la formation du citoyen que sera l'enfant. Elle offre une vaste matière aux com- mentaires tendancieux et pernicieux. Et c'est là que les congressistes de Nice espèrent se livrer à leur besogne de partisans. Pour eux, ce qu'on nous a appris de la grandeur de notre pays et de nos devoirs envers lui n'est que pitoyables Il bourrages de crâne H. Ils referont l'Histoire à leur manière afin de nous fabriquer des générations à leur goût.

On ne leur a pas confié l'une des plus belles tâches qui soient pour faire un travail de cette sorte. Ils n'ont pas à élaborer une Histoire nouvelle. Ils n'ont pas se substituer au gouvernement responsable de l'enseignement officiel. Le seul mandat qu'ils ont reçu est celui d'enseigner certaines choses, et non pas de choisir les choses qu'ils doivent enseigner. Ce n'est pas d'ailleurs abaisser leur haute mission que d'en indiquer les limites et la nature. C'est simplement mettre de l'ordre là où il y a confusion de pouvoirs, de devoirs et de droits.

L'instituteur, comme tout homme investi d'une fonction, doit remplir cette fonction, non pas avec la volonté de servir son parti ou ses intérêts, mais avec l'unique souci de respecter la volonté de ceux qui lui ont fait confiance. Parmi ceux-là, il y a l'Etat, mais il y a aussi les parents, et les droits des parents sur l'enfant sont primordiaux et imprescriptibles. H est^évjdent qu'entre ces -règles les 'pria.cives énoncés au congrès de Nice, il y a une opposition fondamentale. Certes, il serait excessif de prendre au- tragique tout ce qui s'est dit dans cette tumultueuse assemblée. Le Syndicat des instituteurs, bien qu'il se dise national, ne représente pas tous les instituteurs de France. Et même bon nombre de ses membres se refusent à suivre la minorité d'agités qui malheureusement donne Ic ton. Mais on aurait tout de même tort de ne pas tenir compte de manifestations de ce genre.

Il s'agit de la France de demain. Nous savons par expérience que, dans la France d'aujourd'hui, il y a un certain désordre auquel le gouvernement de trêve s'emploie loyalement à remédier désordre dans les esprits, désordre dans les affaires, désordre aussi dans l'action des grands corps de l'Etat qui sont sortis de leur domaine et ont empiété sur. celui des autres. Le Législatif s'est immiscé dans la tache de l'Exécutif. L'Exécutif a pesé sur le Judiciaire. Et le corps enseignant s'est aventuré sur un terrain qui n'était pas le sien. Le moment est venu de rappeler chacun d'eux à une conception plus exacte de son rôle. Il semble qu'en. ce qui concerne les instituteurs, ce rappel soit assez urgent. On se plaît a reconnaître un peu partout que la France est un des derniers pays d Europe où fleurissent les libertés individuelles. Encore faut-il leur assigner des frontières si l'on ne veut pas qu'elles engendrent l'a- narchie, génératrice des pires despotismes.

Paul SIMON. i

UN TRÉSOR

SOUS LES EAUX

Les galions chargés d'or coulés

il y a deux siècles dans la baie de Vigo seront-ils renfloués? Le projet d'an ingénieur espagnol Madrid, 14 août. Les galions espagnols qui dorment sous les eaux depuis le commencement du 18e siècle, au fond de le baie de Vigo, vont-ils être renfloués pour livrer au monde les trésors qu'ils renferment dans leurs flancs ? Il parait qu'on va le tenter. L'histoire dit, qu'au moment où le roi Philippe V montait sur le trône. 19 galions espagnols, de retour d'un voyage en Amérique et ramenant un important chargement d'or, furent coulés à Saint-Simon, dans la baie de Vigo. pour ne pas tomber au pouvoir de la flotte anglaise qui les poursuivait sans relâche.

Le mirage de l'or gisant au fond des eaux, éveilla bien des convoitises. Il y eut de vastes projets de renflouage qui échouèrent.

Aussi la présence des galions de Vigo se transforma, peu à peu, en légende.

Voici que la légende dorée reprend de l'actualité grâce au projet de l'ingénieur espagnol Manuel Moxo. Ce dernier a étudié la question à fond. Le budget de dépenses qu'il a établi n'est pas exorbitant Deux millions de pesetas.

La mise au point du projet demanderait trois mois. Le renflouage des galolsn pourrait commencer dans un an. Le personnel employé serait intéressé économiquement aux résultats. M. Moxo se propose de construire un grand caisson métallique, capable de contenir un galion. Ce caisson serait descendu sous les eaux de son proprie poids ret serait ;élfivé ensuite-par la.' traction de grosses chaines.

La manœuvre de l'appareil serait faite à l'aide de compresseurs d'air. Le système d'exploration employé serait le suixant: le caisson serait descendu sur le galion comme une cloche l'eau à l'intérieur serait chassée, grâce à de l'air comprime. Les ouvriers-et le matériel seraient introduits dus le caisson, par des cheminées émergeant au-dessus de la surface des eaux. -On extrairait des galions tout ce qui serait intéressant. 20 '/0 des objets récupérés reviendrait à l'Etat, qui se réserverait d'ailleurs le droit d'acquérir tout ce qui présenterait une valeur artistique ou historique.

LE MEURTRE DE L'HUISSIER DE LA GRAND'COMBE L'interrogatoire de l'assassin Nîmes, 14 août. Le premier interrogatoire de Fabreguettes, le meurtrier de l'huissier de la Grand'Combe, a i duré plusieurs heures. Fabreguettes a répondu docilement Il au juge d'instruction. Il n'avait pas choisi d'avocat et a déclaré ne pas 1 en connaître. Il a confirmé que l'huis- c sier Etienne, lui présentant deux man- j dats à payer, lui dit « Ce n'est pas la première fois que vous dites n'avoir pas d'argent. Il pourrait vous en cuire. » J C'est de là, selon l'inculpé, que par- Lit la discussion qui dégénra en pugi- lat, au cours duquel Fabreguettes C assomma Etienne. Comme le juge e d'instruction lui faisait remarquer r qu'il avait dépouillé le cadavre de ° l'argent qu'il portait, Fabreguettes ré- d pondit Je, me suis dit, puisqu'il est mort, je peux bien profiter de ce a lui est à ma disposition. » 1 C'est le lendemain que Fabreguettes isacha le cadavre dans un four. r

ra

A L'INSTAR DES COW-BOYS le

Dans On grand café de la place de la Trinité, à Parts, le un client entre cheval pour prendre une coosommatU* oi

LES MINISTRES ITALIENS SAC AU DOS

ORDONNE M. MUSSOLINI Rome, 14 août. Tous les ministres et sous-secrétaires d'Etat sont appelés sous les drapeaux pour les grandes manoeuvres du 17 au 24 août. L'ordre en a été donné par le chef du gouvernement, ministre des forces armées.

Les ministres et sous-secrétaires d'Etat occuperont dans l'armée les places qu'ils auraient en cas de mobilisation.

Le ministre de la Justice, M. Pietro de Francisci et les sous-secrétaires d'Etat, MM. Buffarini et Arrigo Solmi, qui n'ont aucune obligation militaire, ont demandé cependant à être mobilisés. Ils seront affectés au quartier général.

L'Europe etla Paix Puctt; TX août. Ërt tëvèvÉnt Ne' Bucarest et de Belgrade, M. Louis Barthou disait c Ah si la France voulait s'élever au-dessus des querelles et des violences des partis, pour mesurer toute retendue de son influence extérieure, elle louerait dans la paix et pour la paix le rôle bienfaisant auquel tout la prépare. »

Tous les républicains de gouvernement, radicaux et modérés, doivent entendre ce langage, écarter ce qui les divise et s'unir pour le salut du pays. Aussi bien, le gouvernement a son rôle remplir, qui est d'empêcher ses propres serviteurs de susciter des querelles et de prêcher la violence. La situation européenne est grave. Il ne faut certes accorder aucune importance zu plébiscite allemand, le nouveau Toup de force du dictateur sera ratifié par la foule fanatisée des électeurs et les électrices se ruant à la servitude. "e qui importe, c'est la réaction de ''Europe devant les attitudes succes¡ives de l'assassin que l'Allemagne acclamera le 19 août.

La pacifique Angleterre, qui a l'ha5itude de comprendre les malheurs luand ils sont arrivés, s'est décidée pourtant à se rendre compte du péril ;t sa décision l'a presque écarté. M. Baldwin a dit ce qu'il fallait et 'Angleterre a renforcé ses armements tériens. L'Italie l'a imitée pour ne pas ̃e laisser devancer.

Les dictateurs se croient infailli)les*; or, M. Mussolini s'est toujours rompé. Il a failli conduire l'Italie dans a voie la plus funeste. Les événements ui ont fait perdre un peu de sa superbe confiance en son jugement et en son ;toile, et nous avons constaté un révientent depuis bien longtemps attenlu, de la politique fasciste. Tout !'abord; M. Mussotini; représentant une les nations alliées et victorieuses, s'est :ppuyé sur l'Allemagne hitlérienne jour faire échec à la Pologne et à la 'etite-Entente et pour demander la évision des traités. Joué par le com\ère allemand, le Duce a montré de 'irritation et il s'est constitue le déenseur. de l'Autriche en même temps ue de la Hongrie.

Sa manoeuvre nouvelle n'est point acifiste, elle est de nature à soulever '.s susceptibilités et les appréhensions e la Petite-Entente qui, forte de notre yyauté et de notre appui, réclame le tatu quo et le maintien des traités. 'eut-étre d'ailleurs, M Mussolini urait été encouragé à plus de discréiori si les autres grands alliés ne lui d vaient pas laissé prendre toute W lace au lendemain du crime hitlérien à ui a ensanglanté Vienne. On le çomrend à certain moment au Quai v 'Orsay. OCTAVE AUBERT. F ta g

L'ENFANCE MALHEUREUSE n d

lE

M. Rollin interpellera l PARis, 14 août. M. Rollin, député Paris, vient de déposer une demand'interpellation sur les mesures que Chéron compte prendre pour assur le sauvetage de l'enfance et de l'ailescence en danger physique et moil et plus spécialement pour organiser dépistage des enfants maltraités et le s soustraire à des parents Indignes R t coupable». ai

L'AGITATION BASQUE

DONNE LIEU

A DES SCÈNES PITTORESQUES MADRID, 14 août. Des scènes assez pittoresques se sont déroulées au moment de l'application des sanctions prises par le Gouvernement. C'est ainsi qu'à Astigarraga, petite commune du Guipuzcoa, le juge local, se

Le maire de Bilbao

que le Gouvernement espagnol vient de destituer.

refusant à mettre le maire en état d'arrestation, s'enfuit dans la montagne pour n'avoir pas à sévir. A Pasajes. le juge accomplit sa mission, mais cette formalité accomplie, il n'hésita pas à convier à déjeuner le maire et les conseillers qu'il venait d'inculper.

LA TENSION

RUSSO-IAPONAISE

Les Nippons

ont découvert

un complot ourdi par les Soviets

en Mandchourie

Plas de 30 arrestations ont eu lit* KHARBINE, 14 août. La tension russo-japonaise suscite toujours les plus vives inquiétudes un complot gigantesque, inspiré, dit-on, par les Soviets a été relevé aujourd'hui dans les milieux officiels plus de trente citoyens soviétiques ont été arrête» sous l'inculpation d'y avoir participé. L'affaire aurait été découverte à la suite de l'assassinat d'un fonctionnaire russe attache à la mission japonaise à SuiHo, en Mandchourie orientale. On affirme que les conspirateurs projetaient de tuer les chefs de gouvernement mandchou, le chef de la mission militaire japonaise, les fonctionnaires du chemin de fer de l'Est chinois. Les autorités militaires nippone8 prétendent avoir des documents qui prouvent que le quartier general soviétique de Khabarovsk a donné des instructions aux bandits chinois des environs. d'Ithiacupo pour faire dérailler tous les trains de chemin de fer de l'Est.

LES AUTEURS DE L'ACTE DE SABOTAGE SUR LA LIGNE PARIS-GRANVILLE

ÉTAIENT DE JEUNES ENFANTS Evreuk. 14 août: Les auteurs de l'acte dé .malveillance commis sur -la voié-fefréevP.Mls-GrariviUe. s<int découverts. On se souvient que samedi dernier, à Verneuil-sur-Avre, sur la ligne de Paris à Granville, des pierres avaient été déposées sur la voie avant le passage de la Micheline faisant la service Paris-Bagnoles-de-l'Orne. La police vient de mettre la main sur les coupables de cet acte qui aurait pu entraîner une catastrophe. Ce sont deux jeunes enfants âgés de 10 et 14 ans, habitant Paris et Clamart, actuellement en vacances chez des parents, à Verneuilsur-Avre. Ils ont déclaré avoir placé ces pierres sur les rails pour jouer. En raison de leur jeune âge, ils ont été laissés à letin parents.

Après le déraillement d'Avignon

M. Giniest Lachaze, expert au Par quet, examine le tender accidenté.

Àvigmo», 14 août. Cinq cérémonies le levées de corps des victimes du déraillement d'Avignon, se sont déroulées i l'hôpital Ste-Marthe.

A 10 h. du matin, ont eu lieu les serlices funèbres de M. Clary Géraud. de Paris et du conducteur de- train. Aujuste Mérindol transporté à Carpenras. Ces cérémonies ont été suivies de :elles du capitaine de vaisseau Raynond Michel transporté à Toulon lu jeune Aimé Vernet, transporté dans es Hautes Alpes et de Mme Mério chacal, née Carle, transportée à Valeraugùe (Gard).

Les obsèques du capitaine de vaisseau Raymond Michel à Tonlon

Tottloh, 14 août. Les obsèques sõnnelles du capitaine de vaisseau ;aymond Michel, commandant l'aéroMutique- d» U 9* Région maritime,

victime de l'accident d'Avignon, ont été célébrées en présence d'une assis tance considérable au cimetière central. Un seul discours a été prononcé par le vice-amiral Mouget, préfet maritime.

Avant l'inhumation, deux escadrille» de l'aviation maritime ont survolé l'as sistance pour rendre un dernier hommage au défunt.

Une victime identi6ée

AvicnoN. 14 août. Dans le courant de cette nuit se sont présentés au commissariat central de police et l'hôpital Sainte-Marie les beaux-frères de M. Albert Girard, habitant Romans. Ceux-ci venaient constater si le corps d'une des deux femmes inconnues tuées dans la catastrophe n'était pas celul de Mme Albert Girard. Leur conviction fut bientôt faite. Ils se trouvaient bien devant le corps de leur belle- soeur. dont le mari. M. Albert Girard, employé d'hôtel, habite actuellement •> rue des Bains, à Antibes.

APRÈS LE PUSCH DE VIENNE Quinze nouveaux conjurés comparaissent

devant la Cour Martiale VIENNE, 14 août. Un nouveau procès s'est ouvert ce matin devant la cour martiale de Vienne. C'est celui des 15 conjurés qui, le'25 juillet, ont occupé de vive force la Ravag, station officielle de radiodiffusion, et ont annoncé le prétendu remplacement du cabinet Dollfur? par un cabinet Rintelen. Parmi les accusés figurent encore deux policiers en service actif, l'inspecteur Nikisch et l'agent Grylka. Les treize civils sont des employés de commerce, des étudiants, des ouvriers mécaniciens et un ancien soldat exclu de l'ar-née pour menées hitlériennes. Tous sont âgés d'environ 25 ans. Tous ces conjurés sont accusés de haute trahison. L'un d'eux, Franz Paul, a en outre à répondre de meurtre et de tentative de meurtre. Plusieurs portent encore la trace de la chaude affaire qui s'est déroulée dans l'édifice de la Ravag. Deux sont appuyés sur des béquilles; deux autres ont le bras enveloppé. Les policiers n'ont par pris part à la fusillade, mais se sont postés à l'entrée de la Ravag pour faciliter le coup de main. L'affaire a coûté la vie à deux agents de police tombés sous les balles des rebelles ainsi qu'à un acteur de théâtre et à un chauffeur étrangers à l'échauffourée. Le chef des insurgés Schreck a également été tué. L'avocat général fait un récit dramatique du coup de main. Les accusés reconnaissent les faits mais en cherchant à les atténuer. La plupart se défendent d'avoir tiré le moindre coup de feu.

Rintelen comparaîtrait

procltainement

devant la cour martiale

Vienne, 14 août. Le Dr Anton Rintelen sera. d'après la Wiener Zeitung, jugé par la Cour martiale. Les autorités de l'hôpital où il est soigné ont déclaré qu'il était maintenant hors de danger.

Le u Schnschnigg, vice-président du « Front Patriotique

Vienne, 14 août. Le Dr Schuschnigg. chancelier d'Autriche, a été nommé vice-commandant du Ftont patriotique», par le prince Stahremberg qui avait été désigné comme président par le chancelier Dollfuss lui-même dans son testament.

Un ouvrier forgeron

sous-secrétaire d'Etat

du cabinet Schuschnigg

Vœnse, 14 août. Le Cabinet Schuschnigg présente une intéressante innovation, il vient de s'adjoindre un sous-secrétaire d'Etat recruté dans la classe ouvrière pour la direction des affaires concernant la protection du travail Le nouveau sous-secrétaire d'Etat est un forgeron de Carinthie, M. Grossauer, qui a joué un rôle important dans l'organisation de la classe ouvrière.

Les réfugiés nazis en Yougoslavie seraient dirigés sur l'Allemagne Vienne, 14 aout. D'aprés des renseignements parvenus à la Reichspost, de source considérée comme certaine par ce journal, les autorités consulaires allemandes dirigent sur l'Allemagne, à travers la Hongrie, d'importants groupes de nationaux-socialistes autricbi" qui se sont réfugiés en Yougoslavie à la suite de l'échec de leur insurrection en Carinthie.

Ces Autrichiens sont porteurs de passeports allemands en règle et sont munis des frais de voyage nécessaires. LE PAQUEBOT « CÉPHÉE » VIENT D'EFFECTUER

LE TOUR DU MONDE

Marseille, 14 août. Le paquebot Céphée, des Messageries Maritimes, qui assure généralement le service régulier sur la ligne d'Australie, vient de rentrer Marseille après avoir effectué le tour du monde en 108 jours. Le Céphée a couvert 24.000 milles

Le navire a été dérouté de son itinéraire parce qu'il n'a trouvé aucun chargement à embarquer à Sydney. Aux différentes autres escales, aux Marquises, à Taïtl, etc., le Céphée a charge une cargaison complète de coprah.

Aux Marquises, le paquebot a rencontré Alain Gerbault qui poursuit ses croisières dans le Pacifique et ne semble pas pressé, parait-il, de revenir en Europe.

Le Céphée a ramené en France quatre-vingts passagers.

ILS CAMBRIOLENT LE MAGASIN ET EMPORTENT

LE COFFRE-FORT

Rouer, 14 août. A Elbeuf, des cambrioleurs ont réussi à s'introduire dans les bureaux et magasins de la maison Singer, situés rue de la Barrière et rue Charles DumoucheL Ils enlevèrent le coffre-fort, du poids respectable de 300 kilos, et le chargerent sur une camionnette. Ce meuble contenait une somm? de 1.350 francs Le commissaire de police du Bousquet a ouvert une enquête.

La grève des cheminot» corses a pris fin

Bastia, 14 août La grève de protestation de 24 heures des cheminots de la Corse s'est terminée hier soir. Le service normal a repris ce matin sans aucun incident.

Sa villégiature à la Santé commence à peser

à M™ Stavisky que demande à être interrogée

Paris, 14 août. Mme Arlette Stavisky vient d'adresser à M. Guernut. président de la commission d'enquête parlementaire, une lettre dans laquelle elle se plaint de son long séjour en prison et demande à être enfin interrogée sur les faits qui motivent son inculpation.

Elle écrit notamment

a Jamais je n'ai été Interrogée comme Je pense que dans tout procès criminel un inculpé doit l'être sur un fait qui pourrait lui être reproché, de telle sorte qu'aujourd'hui encore j'ignore l'inculpation dont Je pourrais être l'objet.

J'apprends que les experts commis par la justice viennent de déposer leurs rapports, les noms y abondent, le mien n'est pas prononcé une fols. »

Rappelons que Mme Stavisky est inculpée de recel et de complicité d'escroqueries et qu'elle a déjà subi plusieurs interrogatoires sur le fond. Elle avait déjà écrit la date du 25 juillet à M. Guernut pour être entendue. A la suite de sa lettre, M. Ordonneau lui avait fait subir, à la date du 28 juillet, un Interrogatoire au cours du- quel elle avait déclaré qu'elle n'avait à faire aucune révélation sensaticn- nelle. ni à l'instruction, ni à la commission d'enquête.

L'EXPLOSION D'ENSISHEIM L'incendie est maîtrisé

Mulhouse, 14 août. Après le décès de M. Albert Webert, 46 ans, marié et père d'un enfant. survenu dans la nuit a l'hôpital de Mulhouse, deux rescapés restent encore en traitement et leur état s'est sensiblement amélioré. Seuls, jusqu'à présent, trois cadavres affreusement carbonisés ont été retirés du fond de la mine où l'incendie est maintenant circonscrit dans la galerie inférieure. Quatre n'ont pu être retrouvés.

Le nombre total des morts est de huit.

Ls cames de l'explosion

ne sont pas encore établies Quant aux causes de l'explosion, elles n'ont pas été définitivement établies encore. Dans les quelques phrases qu'ils ont prononcées à leur sortie du puits, les rescapés n'ont parlé que de l'inflammation d'une nappe de gaz par le pistolet de l'appareil à soudure a oxygène, L'hypothèse a été émise également d'un coup de grisou mais on ne semble pas devoir s'y arrêter. Les enquêteurs. il. ce sujet, poursuivent sur les lieux- Cependant, une âcre fumée blanche s'échappe toujours du puits sinistré recouvrant, comme d'un immense linceul. le paysage monotone et tdste.

Une République juive autonome Moscou, 14 août. Le Comité Central exécutif vient de publier le décret constituant la république autonomme juive au moyen des « rayons de Birobidjan, Birsk Stalinsk Blucherof et Smidovsk.

ON DÉCOUVRE EN CHINE SOUS LES EAUX D'UN LAC UNE ANCIENNE CITÉ

Changhaï, 14 août. Des pêcheurs chinois auraient découvert sous les eaux du lac Taïhu, s'étendant le long de la frontière des provinces du Thékiang et du Kiang-Sou, une ancienne cite murée qui serait Sanyang, autrefois disparue sous une inondatloa M. Lebrun visite Bitche incognito

Merz, 14 août. Le président de la République, accompagné de M. André Magre. secrétaire général de l'Elysée, s'est rendu à Bitche.

Il a visité le fameux rocher constituant l'ancienne forteresse de la petite ville, dont la population n'a appris la visite présidentielle qu'après le départ de M. Albert Lebrun.

LE FEU DANS UN CHATEAU PRÈS DE BORDEAUX

Bordeaux, 14 août. Un violent Incendie s'est déclaré ce matin à Ambes (Gironde), au château de Brandenburg, au lieu dit Saint-Jacques. On craignit un moment que les flammes n'atteignissent les dépôts de la Raffinerie de pétrole de la Gironde, situés a proximité. Deapompiers de Bordeaux, appelés sur les lieux, ont réussi à circonscrire le sinistre qui a détruit deux granges et plusieurs bâtiments de fermes.

UNE EGLISE INCENDIÉE Un prêtre grièvement brûlé Boulockï-sur-Mer, 14 août. Un incendie s'est déclaré, cet après-midi, dans la sacristie de l'église d'Offekerque, à une quinzaine de kilomètres de Calals Le feu s'est communiqué rapidement au chœur, aux deux nefs et au clocher qui s'est écroulé.

L'abbé Gournay, curé du village dont le presbytère est contlgil à l'église, a voulu pénétrer dans l'édifice pour tenter de sauver les objets consacrés au culte, mais il a été grièvement brûlé à la face. L'église est en.tièrement détruite.

Une enquête est ouverte en vue d'établir la cause du sinistre.

TOUJOURS LA SARRE

Les menées allemandes

motivent une intervention du Président de la Commission du Gouvernement

GENÈVE, 14 août. Le président de la commission de gouvernement de la Sarre a adressé au secrétaire général de la S. D. N. une lettre concernant le maintien de l'ordre dans le territoire sarrois, en vue du plébiscite, car la situation actuelle lui cause de sérieuses préoccupations.

La note énumère les agissements répréhensifs du « Front allemand u, en relation constante et directe avec le service de la Sûreté allemande de Trêves d'une- part, la police locale de l'autre. En conséquence, la commission fait connaitre au Conseil de la S D. N. qu'elle ne pourra assumer ses responsabilités que s'il est fait appel au recrutement d'éléments étrangers au territoire. Ces éléments pourraient être choisis dans les pays membres de

M. Joseph BUBRCHEL,

le nouveau Commissaire du Reich pour la Sarre, qui remplace M. von Papen la S. D. N. où la langue allemande est répandue. Une copie de cette lettre a été adressée au baron Aloysi, président du comité du Conseil de la SD.N. pour la Sarre. La lettre de M. Knox est suivie d'un rapport sur la gendarmerie et sur la police sarroise qui arrive à cette conclusion que les forces actuelles de la police étant insuffisantes, le recrqtement Jocal étant impossible et la commission de gouvernement désirant éviter le risque que comporterait un, appel des troupea stationnées hors du territoire, il ne lui reste que le moyen d'avoir recours à une police neutre l'effectif minimum nécessaire de forces mobiles qui, groupées en différents points du territoire, devrait toujours être prêt à intervenir est évalué à 2.000 hommes. Ce rapport a été adopté en commission de gouvernement par quatre voix

Les Allemands organisent

une manifestation monstre

près de Cobfence

SARREBRucK, 14 aoùt. Le Reich organise une grande manifestation, en vue du plébiscite sarrois. Elle aura lieu le 26 août. à Ehrenbreitstein près de Coblence. Un espace de plus de 10 kilomètres carrés a été aménagé pour recevoir 300.000 Allemands qui assisteront à la manifestation. Sur ce nombre, 150.000 viendront de la Sarre dont 120.000 par trains spéciaux. Les autres en autocars ou voitures particulières. De toutes les contrées du Reich, 127 trains spéciaux amèneront les Allemands sur le théâtre de la manifestation. 300 correspondants de journaux ont annoncé leur arrivée Ils auront à leur disposition 30 cabines téléphoniques. Les travaux d'aménagement sont effectués par 12.000 chômeurs sarrois qui auront en outre à faire le ravitaillement des manifestants. Dans ce but un train spécial dont les cuisines sont en mesure de préparer un repas pour 200.000 personnes est déjà arrivé à Coblence.

Le nouvel ambassadeur en France de l'U. R. S. S. Ce serait M. Sokolnikoff

ancien ambassadeur à Londres Paris, 14 août (de notre rédaction parisienne). Nous croyons savoir de source officieuse, que le successeur de M. Dovgaleski à l'ambassade des Soviets à Paris sera incessamment nommé.

Le choix de M Litvinoff, commissaire des Affaires étrangères, se serait porté sur M. Grégoire Sokolnikoff. son adjoint, et l'agrément de ce diplomate serait déjà accepté par M. Barthou. M Sokolnikoff, fils d'un docteur en médecine de Moscou, est membre du parti bolcheviste depuis 1805- Déporté en Sibérie en 1909 il réussit à s'enfuir et vécut dans l'émigration en France jusqu'en 1917, époque à laquelle il rentra en Russie avec Lénine dans le fameux train « plombé ».

Après la révolution d'octobre. il dirigea la nationalisation des banques, signa le traité de Brest-Litovsk, fut généralissime au Turkestan. puis, comme commissaire du peuple aux Finances, opéra la grande réforme de 1924. Après avoir pendant quelque temps adhéré à la « nouvelle opposition ». il fut président du Syndicat de Naphte. En 1929, il est nommé ambassadeur des Soviets à Londres II rentre à Moscou, en 1933, pour devenir commissaire-adjoint aux Affaires étrangères. Il est docteur en droit de l'Université de Paris et ancien élève de l'Ecole des Sciences politique*.

An Landesrat, les membres du Front Allemand

quittent la salle en gaise

de protestation

SARREBRUCK, 14 août. Le Landes- rat ou Chambre consultative des représentants de la population sarroise s'est réuni ce matin pour donner son avis sur neuf projets d'ordonnances relatifs à des questions fiscales ou sociales qui lui étaient soumises par la commission de gouvernement,

Au début de la séance. M. Ccheuer, président du Landesrat, a fait l'éloge funèbre du président Von Hlndenburg, il a été écouté debout par les membres de la fraction du front allemand. Les fractions socialiste et communiste du front commun, qui étaient restées à l'extérieur, ont fait ensuite leur entrée dans la salle.

Au nom du front allemand. M. Levacher a lu au nom de son parti une résolution, protestant contre les agissements de la commission du gouvernement, à l'égard du front allemand et en particulier contre les perquisitions dans les bureaux du front allemand et la saisie des archives.

Cette attitude de la Commission de gouvernement est une telle insulte à la population allemande de la Sarre que la fraction du front allemand refuse, en signe de protestation, de prendre part davantage à la séance d'aujourd'hui et quitte la salle. Elle se réserve d'entreprendre toutes démarches ultérieures auprès de la Société des Nations

Les députés du front allemand ont quitté à ce moment la salle, alors que M. Kuchenbecker, commissaire du gouvernement, se levait pour leur répondre.

Au nom des socialistes, M. Max Braun, s'adressant au conseil de la S. D. N.. a demandé que le conseil dans la période d'assemblée commençant le 7 septembre, 1°) prenne position contre le terrorisme hitlérien en Sarre afin d'empêcher que le plébiscite ne s'effectue sous une pression faussant complétement son but et les conceptions sur lesquelles Il est basé, 20) déclare que le statu quo ou maintien du régime actuel dont Il est question au paragraphe 34 de l'annexe Sarre du traité de paix, ne sera pas une copie littérale du régime politique actuel, mais une adaptation de ce régime à la liberté sous une forme démocratique, 3°) déclare que la population sarroise aurait le droit, après une période déterminée de statu quo, de faire connaitre sa volonté tendant à une nouvelle modification du régime politique.

A la France, M. Max Braun a demandé de déclarer qu'elle ne concéderait pas les mines de la Sarre à une compagnie privée, mais qu'elle associerait en une certaine mesure la population sarroise à leur exploitation et à leur propriété.

AVANT LE PLÉBISCITE

ALLEMAND

Un discours de Radoli Heu

à Breslan

Breslau, 14 août. Devant 35.000 personnes rassemblées au Stade de 'Breslau. Rudolf Hesse ministre d'Etat et représentant du Flitrrer, a prononcé un discours de propagande pour le plébiscite du 19 août.

Rappelant sa première rencontre ai Hitler, en 1920. dans une brasserie dp Munich, l'orateur a exposé comment, après l'avoir entendu dévelop- per ses théories, il était devenu l'un de ses plus chauds partisans Il a vu aussi le futur chancelier coller, la nuit, des affiches de propagande dans les rues de Munich, habillé d'une tunique militaire effilochée, tenaillé par la faim et tenant un énorme gourdin qu'il brandissait quelquefois contre les com- munistes ou même les partis bourgeois. Rudolf Hess a rappelé ensuite l'œuvre du régime national-socialiste qualifié de providentiel « le fait que le vénérable maréchal von Hindenburg ait pu protéger de son nom et de sa main le Jeune régime jusqu'à ce oue Adolf Hitler se fût avéré définitivement chef devant l'Allemagne et devant l'étranger. »

Le ministre a conclu en déclarant que le Führer est l'exécuteur d'une volonté supérieure et l'essence même du Reich actuel

Un complot hitlérien en Tchécoslovaquie Praqui, 14 août. Une affaire d'espionnage a été récemment découverte dans les régions de langue allemande 1 de la Bohême du Nord. EUe a donné lieu à des perquisitions et à cinq ar- restations à Chomutov, Most et Za- 1 D'après les journaux, des bombes et des explosifs auraient été découvert* 1 hier à Zatec. chez un membre de l'ancien parti nazi de Tchécoslovaquie et quatre nouvelles arrestations auraient 1 été opérées.

L'enquête ouverte aurait déjà établi que les personnages arrêtés étalent en relations avec la centrale d'espionnage 1 dirigée à Dresde par Jakor Helm et avec le bureau d'informations natio- c nal-socialiste établi dans la même Aille.

Von Papen rejoint son poste à Vienne i 1

Berux, 14 août. Le vice-chancelier von Papen a quitté aujourd'hui Berlin en avion pour se rendre a Vienne où 11 rejoindra son poste de ministre et envoyé extraordinaire du Reich. RENSKtONnOIT» JUMDIQtTM Contentieux, procès, affaires lltlgl*uMS 1 taux. loyers, successions, Impôts, etc.. Envoi des renseignement* contre mad 1 OU ds à te M *arew6 a, lOueu-soiatr,

Le sketch comique

du député Philibert Besson dépasse les bornes

de la plaisanterie

Le PUY, 14 août. Un fait grave aurait été relevé contre le député Philibert Besson,. Celui-ci s'étant présenté samedi dernier au greffe de la Cour d'appel de Riom où il avait demandé copie de certaines pièces de son dossier, on le pria de revenir dans la soirée pour prendre ces copies. Le greffier l'attendit en vain: mais, en remettant le dossier en place, il constata qu'une pièce importante, le carnet de reçus de Me Barreyre, était disparu. Le Parquet général a saisi, hier matin. MI Donnadieu. juge d'instruction au Puy, d'une commission rogatoire afin d'effectuer des recherches pour retrouver ce carnet.

M. Philibert Besson vient d'envoyer à M. Donnadieu une lettre dont voici les principaux passages

« Arrivant ce matin à Paris, de Riom. j'apprends par la Presse que le carnet à souches a disparu. Pour ma part, je n'en suis pas étonné. Entre M' Barreyre et moi. lors de la scène, il n'y avait pas de témoins. Seul le carnet à souches pouvait me justifier, trois quittances ayant été tirées de ce carnet, contrairement aux allégations de l'avoué. C'est la raison pour laquelle j'en demandais le dépôt immédiat.

c Désormais, si ce carnet a disparu, il me sera impossible de me justifier du délit dont on m'accuse et que je n'ai pas commis » Et le député termine sa lettre en déclarant que toutes ces manœuvres n'ont qu'un but « l'assassiner politiquement ». LES TROUBLES

DE CONSTANTINE M. Carde rend compte

des mesures prises

au ministre, de l'Intérieur

Paris, 14 août. M. Queuille, ministre de l'Agriculture, qui assure actuellement l'intérim du ministère de l'Intérieur, a reçu ce matin M. Carde, gouverneur général de l'Algérie. M. Carde a apporté un certain nombre de renseignements complémentaires sur les événements de Constantine et a indiqué quelles mesures avaient prises les autorités locales pour rétablir l'ordre et pour prévenir le retour de tels Incidents.

L'entretien a porté également sur les questions agricoles intéressant l'Algérie, et plus particulièrement sur les conditions dans lesquelles serait soutenu le marché du blé dans les trois départements algériens conformément aux décisions prises au dernier Conseil des ministres.

Un meurtier arrêté

Cokstmctike, 14 août.– Un des meurtriers de la famille Attali, victime de l'émeute du 5 août. vient d'être arrêté. Longuement interrogé, il a fait des aveux complets.

Les mesures préventives envisagées ConsTANTOfE, 14 août. Soucieux de maintenir dans sa ville le calme et l'ordre, M. Morinaud, maire de Constantine. a soumis au gouverneur général Carde, toute une série de mesures qui lui donneraient, si de nouveaux troubles se produisaient, le moyen de les réprimer rapidement.

En voici l'énoncé 1° que Constantine, avant tout, conserve sa garnison actuelle; 2° l'attribution d'un large secours pour alléger les misères causées par les pillages et les massacres du 5 août; 3° la nomination de la commission officielle des dommages prévue par la loi; 40 la mobilisation immédiate jusqu'à 60 ans, de tous les citoyens français en état de porter les armes en cas de troubles graves; 59 l'affectation à l'Algérie de 500 avions militaires qui vont être en France remplacés par des avions plus modernes; 6o la prorogation des échéances pour les commerçants dont les magasins ont été dévastés.

M. Carde a approuvé ces demandea LES AVIATEURS SOVIÉTIQUES EN FRANCE

L'esudrille quitte Lyon

Lyon, 14 août Les aviateurs soviétiques, qui ont quitté Lyon ce matin, ont pris la direction de Prague. Le chef de la mission aérienne remercie la France de son accueil Liron, 14 août. Avant de monter dans la carlingue d'un des quadrimoteurs de l'escadrille, M. Unschlicht, ehef de l'aviation civile soviétique et chef de la mission aérienne, a fait aux personnes qui l'entouraient la déclaration suivante

«Sur le point de quitter le territoire français, je tiens & exprimer toute ma satisfaction de la cordialité charmante avec laquelle l'escadrille soviétique a été reçue par les autorités, la population et la presse

«Nous y sommes d'autant plus sensibles que cet accueil nous prouve que les peuples de France et de l'Union Soviétique ont trouvé la voie de la compréhension mutuelle.

c Je me plais à croire que notre séjour en France contribuera encore davantage & resserrer les liens qui unissent nos aviateurs aux vôtres dont la bravoure et les hautes qualités suscitent notre plus haute estime et qu'il aura été un pas de plus vers la consolidation des rapports amicaux entre nos peuples également décidés uuvegarder la pafx et la sécurité de l'Europe. »

Eteale à Strasbourg

Strasbourg. 14 août. L'escadrille de trois avions soviétiques venant de Lyon a atterri à l'aérodrome du Poly»o^« il 14 h. 26.

Par suite des conditions atmosphériques défavorables. l'escradrllle a ajourné à demain son départ pour Prague.

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Le programme

de l'Exposition internationale de 1937

PARis, 14 août. Comme le Gouvernement lui en avait donné mission. M. Edmond Labbé, commissaire général de l'Exposition internationale de 1937, vient de terminer la mise au point des grandes lignes du programme qu'il exposera dans les premiers jours de septembre devant le Conseil supérieur de l'Exposition.

Le Commissaire général s'est ins.piré des directives que contient le projet de loi approuvé par les Chambres dans 1 aloi du 6 juillet 1934. L'Exposition aura pour but de présenter les œuvres d'une Inspiration nouvelle, d'une originalité réelle exécutées par les artisans, les artistes et les industriels créateurs de modèles ou éditeur» dans le domaine des arts décoratifs et industriels modernes.

Les fêtes du Centenaire des Sapeurs-Pompiers de Versailles

Le corps de sapeurs-pompiers de Ver» sailles va fêter le centenaire de sa fan* dation le 2 septembre prochain.

A cette occasion,, de grandes fêtes sont organisées et comprendront note mment, le dimanche 2 septembre. un grand concours national de démonstrations techniques et de manœuvres d'extinctions d'incendie et de sauvetages un concours de tambours at clairons et un concours de tir à 200 mètres.

Près de cinquante Corps ont envoyé leur adhésion pour participer Il cett4 manifestation L'après-midi, un défilé, rétrospectif, composé de 300 figurants représentant les diverses tenues de 1741 à nos jours, parcourra les diverses rues de la ville.

Un ingénieur se noie } en se baignant i

Mont-de-Marsan, 14 août. M. Bailly, ingénieur en chef des Ponts et) Chaussées du département des Landes. s'est noyé aujourd'hui au cours d'une baignade. Il était ancien élève de l'Ecole Polytechnique, grand mutilé de guerre et chevalier de la Légion d'hôte neur.

LES OFFICIERS DE MARINE JAPONAIS DEMANDENT

LA DÉNONCIATION DU TRAITS DE WASHINGTON

Loudris, 14 août. On mande de Tokio à l'agence Reuter

Au cours de l'inspection de la flotte. passée hier par l'amiral Osuml, ministre de la Marine, l'amiral Suetsugu, commandant en chef de la flotte ja* ponaise; le vice-amiral Takahasi, com. mandant de la seconde escadre et toua les autres officiers supérieurs de la Marine, ont insisté pour que le traité ae Washington soit dénoncé avant 11 31 décembre. Le chômage en régression j Paris, 14 août. Des renseignements fournis par la statistique gené.rale de France, il ressort que le chiffre des chômeurs secourus qui était passé de 316.351 le 21 juillet à 320.427 le 38 juillet, n'était plus le 4 août que de 318.242. La moitié environ des sans travail secourus résident dans la ré- glon parisienne. Trois gardes forestier* brûlés vifs

Spokaiu; (Washington), 14 août *4 lïois membres du corps de conserva» tion des forêts qui participaient à la, lutte contre l'incendie de forêts dans la région, ont été cernés par lu flwnmw et brûles vifs.

PARIS, 15 août, 3 heures du matin.

UNE TERRIBLE TORNADE A BELGRADE

On signale des victimes BELGRADE, 14 août. Une tornade s'est abattue cet après-midi sur la ville de Belgrade. Les dommages sont évalués à plusieurs millions de dinars. Plusieurs maisons ont été endommagées. des arbres ont été déracines, des lignes téléphoniques et télégraphiques coupées. Une maison, en s'écroulant, a tué une femme et a blessé grièvement une jeune fille. Sur les bords du Danube et de la Save. un grand nombre de baigneurs. surpris par la tornade se sont enfuis en costumes de bains vers la ville.

Dans les établissements de bains, on signale la disparition de dix à douze personnes.

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LES VIOLENTS INCIDENTS

DE LA VENTE-SAISIE DE CORK

Les fermiers irlandais refusent de payer les propriétaires anglais CORK, 14 août. Toute la police de Cork, renforcée par des éléments de garde civique des comtés voisins, était mobilisée ce matin dans le but d'empécher le renouvellement des bagarres d'hier. au cours desquelles un homme fut tué. huit blessés sérieusement, quarante-deux contusionnés et une cinquantaine d'arrestations opérées. A certain moment. Cork ressemblait à un champ de bataille. Plus de 500 agriculteurs étant aux prises avec un nombre égal de policiers, ces derniers, armés de fusils et de revolvers, l'em- portèrent sur les paysans qui ne disposaient que de matraques, cannes plombées ou gourdins.

Un semblant d'ordre avait été rétabli lorsque, tard dans la soirée, la nouvelle que Jérémie Lynch, blessé de deux balles de revolver, était mort à l'hôpital se répandit dans la ville et faillit de nouveau mettre le feu aux poudres. C'est alors que des renforts de garde civique furent demandés. Les bagarres sont causées par la volonté des agriculteurs irlandais d'empêcher la vente aux enchères des bestiaux leur appartenant dans le but de payer les annuités exigées par les propriétaires des fermes, presque tous des Anglais. Depuis deux ans, 30.000 agriculteurs du comté de Cork refusent de payer ces annuités, déclarant qu'il les paient déjà sous forme d'impôts d'exportation prélevés par l'Angleterre. On craint de nouvelles bagarres lorsque les Irlandais arrêtés comparaitront devant le Tribunal. Le Palais de Justice est gardé par des forces de police importantes.

Il fait chaud

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Trente morts dans un naufrage sur un fleuve brésilien

HAHIA, 14 août. Un vapeur transportant des passagers et effectuant un service de navigation sur le fleuve SaoFrancisco a fait naufrage.

On compterait une trentaine de morts.

LA CRISE DU BLÉ LES PRODUCTEURS

ET LES MEUNIERS REÇUS PAR LE MINISTRE

DE L'AGRICULTURE

PARis. 14 août. Le ministre de l'agriculture a reçu des représentants des groupements de meunerie et des producteurs de blé qui sont venus l'entretenir de l'intérêt qu'il y aurait à effectuer la dénaturation des farines basses dans des magasins départementaux. Il a pris note de ses suggestions Les groupements professionnels intéressés qui étudient la mise au point de cette organisation avec les services du comité interorofessionnel du contrôle des importations doivent lui soumettre prochainement des suggestions précises à ce sujet. Il serait donc possible ultérieurement, dès que les propositions professionnelles pourront être mises à exécution, de faciliter les opérations de dénaturation et d'exportation des farines basses par l'intermédiaire des magasins départementaux.

Répondant à une préoccupation fréquemment exprimée par les producteurs de blé d'obtenir un échelonnement régulier de l'écoulement des blés reportés, le ministre a fait connaitre que selon le désir qui lui a été exprimé, il ne serait mis en distribution de nouvelles tranches de hIé reporté que lorsque la presque totalité de la tranche précédente aura été écoulée. La Chambre d'Agriculture

de la Vienne

menace de démissionner

Poitiers, 14 août. La chambre d'agriculture de la Vienne a adopté le vœu suivant

Considérant que la situation des cultivateurs dans l'impossibilité de vendre leurs grains autrement qu'à un cours dérisoire et en fraude, devient tragique que le ministre n'a jamais pris en considération les vœux de la chambre d'agriculture de la Vienne, relatifs a l'organisation du marché du blé qu'il s'est toujours refusé à prendre des mesures propres à résorber les excédents qu'il a rétabli les attestations supprimées à la demande des présidents de chambres d'agriculture et de l'Office Agricole, ce qui rend difficile les écoulements de; blés de report du département

« Décide a 1'unanimite que si satisfaction ne lui est pas accordée, le 35 août, ses membres adresseront leur demission au préfet ».

La Conférence du blé à Londres décide le maintien

de la coopération internationale Londms, 14 août. La conférence Internationale du blé s'est ouverte ce matin au Board-of-Trade, sous la présidence de M. Mac Murray, ministre des Etats-Unis dans les Pays Baltes. M. Devinât représentait la France. La conférence, au cours de la deuxième séance, a décidé de maintenir en vigueur le principe de la coopération internationale qui avait été à la base de ses efforts antérieurs et que certains avaient pu croire menacé par la hausse du blé consécutive à la sécheresse.

MORT D'UN ANCIEN DÉPUTÉ BIARRITZ. 14 août. M. Aocambray. ancien député de l'Aisne, est mort hier à l'âge de 66 ans, à Biarritz où il villégiaturait. 1

L'INDÉPENDANCE

AUTRICHIENNE

LA PROCHAINE ENTREVUE DE M. SCHUSCHNIGG

AVEC M. MUSSOLINI

SERAIT DECISIVE

ROME. 14 octobre. Le chancelier d'Autriche, M. Kurt Schuschnigg rencontrera M. Mussolini le 21 août Ce voyage en Italie de M. Schuschnigg suivra presque immédiatement le séjour que le prince Starhemberg y fait encore.

Celui-ci partira demain. Les grandes manœuvres auxquelles tous les ministres et le Duce lui-même participeront, commenceront le 19 et se termineront le 24. Il est donc possible que le chancelier d'Autriche n'aille pas jusqu'à Rome pour rencontrer le chef du gouvernement italien. Cette rencontre préparée par le voyage du prince Starhemberg aura pour le gouvernement italien une valeur informative considérable. On affirme en effet que le gouvernement autrichien serait en train de réunir un dossier sur les responsabilités al- j lemandes dans les événements de Vienne du 25 juillet. Les milieux bien informés assurent que M. Schuschnigg trouvera chez M. ] Mussolini la volonté bien arrêtée de soutenir l'indépendance autrichienne; on ne sait quelle forme pratique pour- ra prendre cet appui, mais on pense qu'à cet égard l'entrevue MussoliniSchuschnigg aura une valeur déclsive.

L'AUTRICHE AURAIT

DEMANDÉ A AUGMENTER LA PUISSANCE

DE SA FORCE ARMÉE

Londres, 14 août. Le bruit court avec persistance dans les milieux politiques britanniques qu'à la suite du putsch hitlérien au cours duquel le chancelier Dollfuss a été assassiné. le Gouvernement de Vienne aurait, ces jours-ci, procédé à Londres, à Paris, a Rome et dans les capitales de la Petite Entente, à des sondages tendant à obtenir l'autorisation d'augmenter, dans une meusre importante, les forces armées autrichiennes.

Selon les mêmes rumeurs, les cabinets anglais, français et italien se se- raient déjà trouves d'accord pour ne pas relever d'objection contre de telles précautions. On se souvient qu'une première autorisation de cette nature avait été accordée, au printemps dernier, au chancelier Dollfuss par les puissances susdites, signataires du traité de Trianon.

DANS TOUS LES CAFÉS Un Quart

EVIAN

UNE MENACE~DEGRÈVE DE 130.000 MINRURS GALLOIS Londrbs, 14 août. 130.000 mineurs gallois se mettront probablement en grève le 30 septembre, si les compagnies minières n'ouvrent pas des négociations le 1« septembre pour la révision des salaires.

Les compagnies avaient propose d'examiner la question le 18 septembre, mais les chefs des syndicats de la Galles du Sud. réunis à CardlfT, ont lancé hier leur ultimatum avec la menace de grève.

Des scoais victimes d'un accident L'an d'eux succombe

PAu, 14 août. Un groupe de boys scouts détaché d'un camp de vacances installé près du Col d'Aubisque, rentrait d'Une excursjon en forêt, vers la fin de l'après-midi d'hier, lorsque pour gagner les tentes par un raccourci, l'un d'eux emprunta le lit desséché d'un torrent. il glissa sur une pierre recouverte de mcusse. Deux de ses camarades qui voulaient lui porter secours dévalèrent avec lui jusqu'au fond d'un ravin. On les découvrit la nuit venue, sérieusement blessés. L'un des enfants, âgé de 13 ans, est mort en entrant à l'hôpital de Pau les deux autres sont dans un état alarmant.

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La voiture

trouvée abandonnée avait été volée

It DijoN, 14 août. M. Devaux, projr priétaire de l'automobile retrouvée, dimanche dernier, abandonnée dans une le carrière des environs de Dijon, a formellement reconnu ce matin sa voiture lt qui lui avait été volée le 23 mars à Lyon, ainsi que la plupart des outils e trouvés éparpillés sur l'herbe. sauf cependant les scies à métaux. Le couteau a cran d'arrêt appartenait à M Defi vaux, qui s'en servait pour la chasse. Quand elle fut dérobée, l'auto avait -• parcouru 3.000 kilomètres. Depuis cette date, elle en a accompli plus de vingt mille.

Les enquêteurs continuent leurs recherches pour identifier les derniers occupants de la voiture.

Aujourd'hui

je ne suis pas dispos Que de fois vous sentant mal à l'aise et sans préciser les causes de votre maladie vous déclarez ne pas être dispos C'est votre intestin qui fonctionne mal, c'est la constipation qui est cause de ces malaises dont vous vous lamentez douleur de tête, faiblesse, manque d'appétit, nervosité, mauvaise humeur. Une cuillerée de Magnésie San PelUgrino prise chaque matin ou chaque soir régularisera vos fonctions intestinales et vous libérera de tout malaise.

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BOXE

Quelques instants avec

Marcel Thill

de passage à Cherbourg CHERBouaG, le 14 août. Dans la ville où Il lit ses débuts. qui ne se souvient, 4 Cherbourg, du robuste matelot ( la poitrine uelue et à la chevelure r déjà clairsemée qui, bien que débutant c dans le noble art. démolissait déjà consciencieusement tous les adversaires r qui lui étaient opposés? Aucun de ceux 4

qui suivaient les réunions de boxe de cette époque ne pensait cependant que Marcel Thil atteindrait un jour le titre si envié de champion du monde, et pourtant l'ancien matelot l'a conquis ce titre et bien conquit et il ne semble pas devoir l'abandonner de sitôt. Mais bien qu'arrivé au fait de la gloire sporttve, le sympathique champion a pardé toute sa simplicité d'autrefois. C'est ainsi qu'après avoir donné une ezhibi. tion à Avranehes en compagnie de Kessler, bien connu lui aussi des Cherbourgeois, puisqu'il fut marin dans notre uille, Marcel Thil résolut de revoir Cherbourg et les nombreux amis qu'il V a laissés. Lundi soir, nous avons pu approcher le sympathique boxeur qui déyustatt un porto à la terrasse d'un calé «Ça y est. encore un journaliste! nous dit-il en souriant Que voulez-vou.s savoir? Ce que je suis venu faire à Cherbourg et bien, je me promène Je suis en vacances. J'ai bien mérité de me reposer. Je suis très heureux de revoir Cherbourg oit j'ai laissé d'excellents amis. Malheureusement mon séjour dans votre ville sera très courte Je dois, en effet, partir le 16 de ce mois pour la Russie. voyape d'agrément Je rentrerai en France dans la pre. mière quinzaine de septembre a/in de me remettre à l'entraînement car, je puis vous l'annoncer et vous en aurez ainsi la primeure. je dois rencontrer Mazie Roxenbloom en octobre pour le titre de champion du monde des poids mi-lourds et ensuite je tacherai de répondre de mon rrtieuz à tous les défis qui me sont lancés.

t Vous voyez, j'ai du pain ou plutôt des pains sur'la plattche, »

Et en riant, Marcel Thil nous quitta pour monter dans une superbe voiture qui l'emporta à toute allure. Ppal,

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Moins de 18 ans. Rlvoal (GuiscrirT); Le Palh Jeune. Le Bihan. Cotten, Mouello iLochrlsn- Pesquer Le Ny (Lanesteri; Gustave (Lorlent) Poids plumes. Gulllou Jeune (Fouesnant).

Poids légers. Jullen Cloirec iCA L.); Tullec (Gourln); Simon Jeune iLe Paouet): Lannuzel (Coray); Clément Cosquerlc i Fouesnant); Hollecou iLe Saint )

Poids moyens. Simon (Le Faouët); Merrlen, Pétlllon Michel (Fouesnant)- Ricard (Gourin).

Poids lourds. Robert Cadlc. Bozec Idu C.A.L.); Tallec (Gourln Georgelin iScaër); Le Palh (Lochrlstl; Jegousse (Lochrlst); Ruyet (Lanester): Le Louet (Treblvan); Boussard (Fouesnant).

LES Prix. Moins de 18 ans 150, 100. 75. 50 francs.

Légers 250. 200, 150. 100 francs. Moyens 300, 250. 150 100 Irancs, Lourds 300, 250, 150. 100 francs Pesée des lutteurs à 12 h. 30.

Défilé des lutteurs à 14 heures. A l'occasion des luttes de Plouay, le CM. organise un service spécial Lorlent-Plouay aller et retour, 5 francsde Pont-Scorff, 4 francs.

Prix des places pour l'entrée au tournoi tribunes, 6 francs; pourtour. 4 frence; enfants, 3 francs.

.Aujoura nui, 15 août ASSOMPTION Le solerl se lève a 5 h 43 et se couche La lune ae lève à 11 Premier quartier, le 18 à a h. 33. Températures maxima du 13 août Marseille. Antibes. 25° Perplgnai Biarritz. 23 Nantes, Royan iLa Calibrei. Bordeaux. 22 Tours Toulouse, Lyon, Clermont-Ferrand Diion 21 Rennea 20 Valenciennes Parie lO.N.M.I. 19 Bre6t, Besançon. Stras, bourg, 13 Calais iSaint-lngleverti La Havre. Nancy. 12.

Températures minima du m août Antibes. 18° Biarritz. Perpignan 17 Marseille iMarlgnanei. 18 Le Havre. 15 Brest. 14 Valenciennte Calai» (Saint-Ingievert). Pans ,ON :1.1, Rovan ILa Coubrei. Toulouse Lyon Pau. 13 Nantes. Clermont-Ferrand 12 Rennes Tours. Bordeaux. Dijon. Nan:y Stras. bourg. Il Belfort. 10

Évolution probable de la situation Le 15 août. a 7 heures, une baisse couvrira le Nord-Ouest de l'Europe avec maximum de 10 mbs A l'Est de l'Islande une autre baisse centrée sur les Balkans (5 mbs) couvrira lAdrlatiqu» et le Nord de l'Italie. Les variations seront positives ailleurs avec maxitna de + 8 mbs en Finlande et + 5 mb» au Sud des Baléares. Le temps s'améliorera dans toute la France sous l'action de la hausse.

Probabilités pour la journée du 15 août Veat Dans le Sud. Nord-Ouest, asses fort dans la moitié Ouest No.d-Ouest modiré, devenant variable, faible daru le h1^ variable, faible ailleurs. Nord-Ouest, faible ou modéré

Stat du ciel. Dans le Sud et le SudEst. beau temps, clair ou un quart couvert dans le Nord-Est et l'Est. ciel trois quarts couvert avec quelque» aversee ou orages, devenant demi-couvert avec éclaircies ailleurs, ciel demi. Température En hausse générale.

M- an 3. Ra

(b.) dm (n) am%

Cherbourg 11.37 56.5 23.53 57 Granville 9.53 119.5 22.7 7 120 Salnt-Malo 9.45 109.5 21.59 110 Saint-Brieuc 9.35 102.5 21 49 103 Paimpol q 34 92 21.49 93 Brest 7.40 67.5 1956 68 Lorlent 721 44.5 19.37 45 Vannes 9.30 44.5 2146 45 Les Sablea 7.10 46 19.25 46» La Rochelle 6.58 51.5 19.14 52 St-Nazalre 720 47 5 19 25 48

RENSEIGNEMENTS MILXiArRES

Recrutement, sursis d'incarporatton, «*forme. pensions. etc.. S'udrewer •> Ramus. Ouest-Eclair, Renne.i Jornlra *r en tlmbres-DOSte cour la rtpoiiaau

Feuilleton de L'Ouest-Eclair

du 15 août 1934 8

La promise

marin perdu roman inédit par

Georges LE FAURE

Voyons.- voyons. mon petit Songe que. dans quelques semaines, tu auras des galons sur la manche.- que. lorsqu'on a l'honneur d'être officier. on a le devoir d'être. pour ceux que l'on est appelé a commander, un exemple vivant Marin et Breton, tu n ae pas le droit de ne pas répondre t présent J, chaque fois qu'il y a un coup de tampon à recevoir; la pensee de Marie-Louise qui. durant Me étudea, a été pour toi un but doit être, pour toi, le a sursum corda » définitif I D l'attira a luL le serra aur sa Doitrine puis. desserrant son étreinte Hem I C'est entendu, mon petit r_. Tu vas me chasser bien vite ce vilain cafard indigne de toL Indigne de mol. qui t'ai fait ce que tu ee.. ce que tu seras Tu me le promet*

D'une voix maie, le Jeune homme répondit

Je vous le promets.

A la bonne heure Et mol, de mon côté, je te promets comme je l'ai promis à Marilou de faire tout ce qui sera en mon pouvoir pour amener M. Astier à ne rien précipiter. pour te donner le temps de monter à ratsaut de ton bonheur, galon A la man.che. sabre au côté.

Dans une étreinte muette, JeanMarie exprima au prêtre toute sa reconnaissance.

Maintenant. flt If recteur de Praz·en-Arcoët, le sujet est épuisé., parlons d'autre chose.. La-bas, lee études, ça va ?

Au mieux; les dernières c collea ont été excellentes; les examinateurs ont bien voulu me prédire un succès certain a t'examen.

Le visage du prêtre rayonnait. Bais-tu que je ne suis pas peu fier de mon élève L.

Ah monsieur le recteur, explosa la Jeune homme, si vous aviez voulu. quelle génération vous auriez formée Le prêtre sourit

Je n'ai pas d'ambition déclarat-U.. ou, du moins, si, une celle de rapporter, aux Jours de pêche, mes ce,siera pleina..

Puis. tl demanda

Alon. tu ne verras pas le» parents ?

Mieux vaut pas: je serais obligé de leur fournir des explications aur ma présence. et Je ne veux pas._ J* tous demanderai aussi de taire à Marilou que vous m'avez vu; cela lui ferait trop de peine.

Compris. comprit. coupa Le prêtre, et maintenant..

n avait jeté un coup d'oeil sur la cadran accroché à la muraUlu

Deux heures s'exclama-t-U, effrayé.

Ne crai ez rien I. Je suis bon_pour arriver a temps.-

Tu me fais peur, vraiment t se laissa aller à dire l'abbé Bénédict; d'ici Brest.

Ce n'est pas plus loin que de Brest tci.. répartit le jeune nomme avec entrain., et, lesté par votre bonne promesse.

Il conclut

Ça va c gazer t..

Le prêtre iut un mouvement qui dl. sait son appréhension

Où as-tu laissé ça machine? Dans un creux de la falaise., un peu avant le trou d'Enfer. pour gagner du temps, j'ai profité de ce que la mer était basse pour venir par la grève. depuis Lebeurden..

Mais, elle monte. maintenant. observa l'abbé Bénédict. subitement inquiet.

Bast en faisant vite. le devan.cerai le Ifot, n'ayez crainte: et puis. •. mer et moi. nous sommes camarades depuis que Je fais de la plongée.. De la plongée ?

Oui. du scaphandre, si vous préfêlez.

Du scaphandre l_ Singulière Idée l.

C'est très intéressant, vous savez. et pulii4 au besoin, ça peut servir. A quoi, grand Dieu 1- A moins que n'aies l'intention de faire la pute au « Nautllus a. de Jules Verne, dit plaisamment le prêtre. Sait-on jamais ?. Il se peut qu'un jour je sois appelé à embarquer a bord d'un sous-marin et que IM circpnstance* me mettent en demeure d'irtili- ter mon savoir..

On sous-marin Je n'aimerais pa. beaucoup ca..

C'est intéressant. Je vous affirme, surtout au point de vue électricité; U y a, dans cet ordre d'idee, des quamr«s de choses qu'on ne soupçonne pas.. Ainsi dans la T. 9. F., on peut trouver des applications extraordinaires, insoupçonnables. SI je vous avouais qu'en ce moment je m'amuse à cons- truire, sur des données nouvelles, un appareil.

Les sourcils froncés, le prêtre qui venait A nouveau de consulter le cadran de l'horloge l'Interrompit Ce n'est pas le tempe des .onferences I.. Il faut te sauver.

Le poussant vers la oorte. U proJe vais te conduire jusqu'à ta machine.

Excusez-moi, monsieur le recteur mais. seul. l'irai plus vite..

Tu au raison. va i. et surtout pas d'imprudence. Tu m'enverras une dépêche demain matin, Pour me dire que tu es arrivé a bon port.

Comme déjà le jeune nomme s'apprêtait a franchir le seuil

Attends un moment, veux-tu ?_Je reviens tout de suite.

Et, laissant Jean-Marie sur le seuil il ouvrit une porte celle de la pièce où se trouvait son bureau, et en ressor- tit au bout de quelques instants Tiens 1 nt-li, en terrant la main de Jean-Marie.

Mais non. monsieur le recteur. mais non protesta le jeune nomme qui avait senti entre ses doigts le contact d'un billet de banque. Mais. et. J'y tiens., ce sera pour te permettre d'arroser ton galon: ne prouvant être avec wa. que t'ale au

moins la satisfaction de penser que tu bots à ma santé.»

Le jeune homme, touché jusqu'aux 1 larmes, de cette délicate attention, ne sut que balbutier

On monsieur le recteur 1-. mon.sieur le recteur.

Puis, après une caresse a Dustu son compagnon d'enfance U ouvrit le portillon et se trouva dehors. Bonne chance pour l'examen lui lança, a'une voix assourdie. l'abbé Bénédict.

Jean-Marie agita son béret au-dessus de sa Léte, en signe de suprême adieu et tonça dans la nuit.

En ce moment. l'horloge de l'égllee sonna deux coups.

Deux heures, déjà 1 D s'était mis en retard, il lui allait falloir a gazer à 1Mais ça le connaissait I A l'Ecole. U avait la réputation de Jongler avec la vitesse..

Cependant, une inquiétude le prit; pourvu que le flot ne l'eut pas devance au trou d'Enter barrant le sentier au pied duquel U avait laissé sa ma- chine.

Ça 1 alan, ce serait complet..

Frémissant. U se mit à courir, cou- pant au plus court, U avait abandonne la sente qui menait à la grève. s'élançant de rocher en rocher, comme un chamois.

Tout autre eut risqué de se rompre le cou; malx U connaissait chaqje quatuer de roc. chaque crevasse et il allalt, allait toujours précipitant 1 son allure, au fur et à mesure que lui r parvenait, plus dur à chaque roulée le heurt des vagues contre la falaise. Un aboi, soudain, retentit dans la nuit, suivi bientôt d'un halètement sonore..

Tournant la tfw, sans ralentir sa d

course, il aperçut, au milieu de 1'od scurite. une tache blanche qui bondis» sait.

Dustu avait, d'un saut, franchi « clôture du jardinet du presbytère et s'était élance sur la trace de son ami Le tou 1 pensa le Jeune nomme Et il continua de courir parmi Il!8 rocs, escorte du chien, qw l'avait rar.trapé et bondissait autour de lui aveo des abois joyeux.

Cependant, son inquiétude croissait lâ-bas, en travers du sentier, une nappe d'eau lui paraissait miroiter dans la nutt. Le flot l'avait-u donc devance

Bast 1 Il en serait quitte pour «a» gner a la nage le trou d'Enfer

Evidemment, U serait peu agreaole de faire la route, trempé d'eau; mais, tout ne valalt-il pas mieux que d'arrlver trop tard à la caserne.

Il ne lui en faudrait jas davantage pour écnouer a l'examen de sor e. D'un dernier effort, il parcourut Ica quelque cent mètres qui lui restaient i faire et. déjà. tl approchait, orlçue. dans un élan mal pris. son pied glissa, bt. U s'écroula ur les roeners. où U iemeura étendu. sana mouvements.. Chafitrs m

LE COUTEAU

L'abbé Bénédict s'apprêtait à se de» lètn pour se mettre au Itt, quana Il ;ntendit Dustu donner de la voix Sur. m-is, car la béte, de grande expérience, l'avait pas coutume d'alerter. sans rai. on sérleuse, son mattre. celui-ci ouvrit a fenêtre, gourmandant

Paix là Dustu, va coucher.

4A fktprt.t

'Reproduction et traduction mtw Hu. taul apret entent* avec fauttur.)

teintes à la mode Ett tête vient le blanc. Si tôt qu'on évoque les toilettes pour la mer ou la ocmpaove. le blavc ne présente tout d'abord à notre esprit Ce n'est d'ailleurs pas eottlrntre un'.lorm&ment blanc se rehow** r>- tnw v!ts. soit pat fadionctiov de d^'n-'s et açjcssbires. soit pnrce qu'il t'imprime d'autres ton*

Le blanc rènnera do-r encore cette avnée. oêvéraler»'nt uni à la mer. et iinpriwé r"nrr"icne Ce dernier blanc vourra itrr rvrsemé de vert, de bl'u. de rrfirte. 4'oravn», ers tnns la séparés nv *vn^it>usement mêlés, si bien 0"" le b'"ir te sera plus pnsitii*emevt du « bln^c ». mais une petite tache nni-nt* ><•.« rrvfre* i*nrrressions. Il aura l'avnvtaoe dv n'*fre pris aussi salissant et de ne pas désesvérer'lament"hirment celles qui s'assoient dans l'herbe.

Voici donc miplnves d"scrintions de tOn»tt/>S nvn"1 nryiir hnip • \o hlnvC. ̃ D'H^wf vnp rn*io d'oronvdi admise aussi b* *>ovr lr? pour les çrnnf^n-tw'»' fi<v- 1» cor'vn mie prnir ni, les Dans ce dernier cas »'V i»»T7?r;<<e d'un Orand écossais rnse rt vert, et se pnre de petits mis nfr»1» en trgvt>rs du corsane et dons ip bns d» la ivne. Pour la meT les ro*>es droifr*. enveloppomtes. sont sim^es à rinliser et ne rnanauent nns tf'o*~<ain"l:1 '1 Une ceinture or^ni». twf é'neravde. caputine. rnielmies bouton* de mërrp teinte et un i-mmpv*p chorienu on même tissu orné de nvelovr ruban de même teinte qut les '>oi/'ons. à moins encore que ce ne son le contraire capeline de même teir*e ave la garniture et ruban dt mfmP t^ntr nue la robe.

Le m/iamn n'osi pns encore mort, il est nécessaire d'en dire un mot. Il se porte toujours à la mer. mais il a racmurci au noint d" ne plus cacher les genou et efe vre^dre tin nouveau nom. pn Vawu'Tiv « short » et son nom le fait to*i* de s"ite évnquer. Cest un petit cn1r«nn. snmmr toute nui se fait en toile blanche. en flanelle blanche. en sha"t"nn ou en tussor. Le pantalon lono s'achnrne nuand méme à parer Certaines femmes qui sur les plages chaudes le portent en shnnfung blrtnc. en tussor. en soieries exotiques naturelles. Mni.t." mais la rohe dr plage fait de plus en plus dtsvarnitre le pantalon Zona de nn.s pyjamas. Elle accompaone le short. Elle est très facile à mettre et à enlever. Cest une sorte de tablier à épaulettes ou bien encore un tissu enroulé autour de soi.

Pour aller prendre Ie thé à quelque Potinière. et pour jouer au Casino, il est nécessaire de posséder quelques toilettes élégantes.

Par exemple une robe en shantung blanc ou en alpaga blanc complétée pér une cape capucine, blanche et blette. Pour les jours Iraia, il faut un tailleur. Il sera en lainage blanc. Sa petite jaquette très courte sera légèrement pincée à la taille et sa basque plate ou évasée. Par contre. sa jupe sera très collante. Une blouse de foulard blanc à dessins jaune* et bleus le complétera.

On possède également un ensemble en crêpe ou rn tussor avec manteau trois-quarts uni et robe imprimée, d moins qu'on ne préfère le manteau imprimé et la robe unie.

Pour le casino, on pourra porter la robe d'ornandi et nuis aussi des robes tte toile. de taffetas. de shantung. de chintz. Les tissus pourront être aussi timoles. aussi « cotonnade oue ceuz de la journée, seule la forme différera. La jupe sera très longue, et lea dos seront tort dénudés.

Un mot sur les imprimés, très indiqué* pour la campagne, mais très vus également à la mer, dans les thés et au casino. Ils sont infiniment variés, petits ou grands motifs de fleur8', bouquets, semis, dessins aê.amêtriaues. quadrillas, écossais, fouillis de Zianea encheitftrées. etc. tout cela est beau et facile à porter. Petites robes de campagne à panneaux légèrement en forme ou ornées de plis ou de plissés. robes plua longues ornées de bouillonnet. de froncés, de volants, etc.. etc. Pour la mer et la campagne, pour le casino ou la vie de château, ces imprimés srtnt gais et clairs et le blanc entre toujours pour quelque chose dana ltur composition.

anecdote

LE TRAITRE

NE YOULAIT PAS MOURIR

Chlly, en ton temps fameux directeur de l'Ambltu, avait la réputation de toujours parer la coups Imprévus de. set PMUIonnalre*. Un soir. a raconté Ubald lAcazr, Il refusa une avaoor à celui qui jouait le traitre dan* le drame qu'on représentait. A un moment de l'action, le directeur, cohtumé en seigneur du temps de LouU XIII, devait abaltre, d'un coup de pistolet, le traître en question. Essuyant braventent le coup de feu. le tasitre resta debout et s'écria

Tu m'as manque, à nous deux Le public applaudissait à tout rompre et. Jojenx, frappait du pied. Chlly, très «Or de lui. tire son épée, malt le traître la lui arracha des mains.

Veux-tu mourir T répétait tout bas Chtlly.

DonDe-mol une avance, répondait obstinément le traitre.

Chllly empoigna les pincettes qui garnUMUent la cheminée. A tour de bras, il frappait, mais en vain.

̃ Meurs, ou Je te Jette à la porte. Donne-mol une avant-

..Canme la scène se prolongeait, dans la «aile, les spectateurs commerçaient à S'Impatienter. Chllly consentit lA faire l'avance, et le traître re décida mourir.

nos patrons demi-vêtements et détails de lingerie

tron. La première exécutée en crêpe de Chine. batiste ou lainage fantaisie. est coupée légèrement en forme. L'empiècement emboîtant les épaules se monte sous un bordé. Un col souple noué devant retombe en pans. Manches à godets. La seconde liseuse, de même coupe que la première, est exécutée soit en crépe de Chine. en linon garni de dentelle, soit en combinant tissus uni et Imprimé.

Métrage de chaque liseuse 2 m. 05 en 100.

Prix des deux patrons réunis 3 frs. étranger. 4 frs.

No 118. Trois patrons de soutiengorge dans une même pochette. I) Soutien-gorge convenant particulièrement aux personnes fortes. Vous l'exécuterez en jersey, peau d'ange, coutil ou batiste. La partie formant poitrine ajustée par des pinces s'applique sur le fond monté au dos. Epaulettes en ruban. Une boutonnière placée au milieu du devant permet de fixer, si vous le désirez, le soutien-gorge au corset.

Métrage 0 m. 40 en 100.

Il) Soutien-gorge en Jersey ou en tulle ajusté par des pinces et fixé devant sous une bande de caoutchouc. Des ru-

bans entre-croisés maintiennent au dos les épaulettes.

Métrage 0 m. 25 en 80. Ruban. 1 m. 30 sur 2 cm.. épaulette 0 m. 85 III) Soutien-gorge en Jersey ou dentelle composé de parties rapportées prenant bien la poitrine et fixées sur le fond de toile lacé au milieu du devant. Une bande de caoutchouc retient le dos. Epaulettes en ruban.

Métrage 0 m. 36 en 100.

N'o 119. Deux patrons «le MSKUSES en une même pochette. Vou. les exécuterez en soie naturelle ou en lainage léger de teinte claire.

I) Modèle croisé devant et légèrement froncé dans une ceinture nouée au cOté. Une dentelle termine le bas des manches.

Métrage 1 m. 40 en 100.

II) Boléro légèrement drapé devant et retenu sous un nœud. Manches très larges montées raglan.

Métrage 1 m. 60 en 100.

Prix des deux patrons réunis 3 frs, étranger, 4 frs.

Adressez les commandes accompagnées des nom et adresse écrits très lisiblement et de 3 francs en timbres-poste (étranger 4 francs par mandat), au Service des patrons de la Page Féminine

de c L'Ouest -Eclair i. Il. boulevard des Italiens. Paris.

Les commandes ne sont reçues Que pendant huit Jours, délai de livraison: une semaine environ laucun envr' n'e8 fait contre remboursement).

Nous rappelons nos lectrices Que seules correspondent un patron le» figurines au-dessus desquelles une mention l'indique expressément.

Nos patrons ne sont établis que pour la taille 44. d'après les explications données sur la pochette, U est aisé de les diminuer ou de les augmenter suivant la taille désirée.

sur la plage

Sur la plage, on s'amuse beaucoup. C'est même l'un des rares endroits où tout le monde s'amuse, petits et grands.

Le ballon semble de plus en plus à la mode. Bien entendu, il s'agit d'un ballon dit « de plage M. Vous ne voudriez pas qu'il ressemblât à tous les ballons, pas plus que la baigneuse ne ressemble à toutes les dames qui se promènent dans la rue. Et. ma foi, il est habillé un peu comme elle, des étoiles ou des losanges bleus sur un fond rouge on le croirait en maillot. Ce ballon, généralement énorme, danse avec grâce à la pointe des vagues, parmi lesquelles les joueurs. l'ont lancé. Is continuent là à se le disputer, puis le renvoient sur le sable et on voit des baigneurs, des baigneuses, jouer pendant des heures à se le lancer. Les petits garçons, les petites filles ont aussi leurs ballons, guère moins gros que celui des grands frères. Et cela c'est un jeu sain. décoratif, charmant. qui ne fait de mal à personne.

Il y a donc des jeux de plage qui font du mal à quelqu'un ? Hélas Il est vrai que ce c quelqu'un Il est de peu d'importance il trotte de travers sur le sable il a deux yeux ridicules sur une boule aplatie qui lui sert de corps il s'agit du crabe. Combien d'enfants s'amusent à martyriser les crabes Combien d'autres se bornent à les chercher puis rassemblent quelque part sur les galets brûlant.s, leur petite pême trop négligeable pour être mangée, et oublient là leurs crabes qui dessèchent lentement au soleil. Le pécheur de crevettes qui pêche « pour de bon a. lui, une savoureuse excuse 11 travaille pour sa table ou la vôtre. Mais tourmenter, tuer sans utilité une pauvre bête est un jeu méchant, que cet été les enfanta au bon coeur abandonneront.

Il est tellemeht plus divertissant de faire dans le sable de grands trous, à l'aide d'une pelle à long manche. C'est s: tendre, si doux de remuer le sabie Et tout à coup la mer s'insinue sournoisement dans le trou que vous avez creusé, pourvu qu'il soit assez profond; et au lieu d'un trou, vous avez un lac, cu si vous préférez une rade. C'est là qu'il est commode de lancer un petit ohteau 1

On peut aussi, quand le sable n'est ni trop sec, ni trop mouillé, construire des c forts Il. Les bords de la mer sont, aux abords de nos ports de guerre, garnis de vrais forts, qui donnent des idées aux petits constructeurs. Puis, comme rien n'est plus amusant, aa fond, que de mystifier son prochain, voici un jeu de plage qui vous fera pnsser de bons moments sans qu'on vous voit. bourre- un gant de sable et, à l'écart, dressez-le sur la plage, les doigts en l'air. Ensuite éloignez-vous un peu et observez.

Les sens qui passeront s'arrêteront avec angoisse devant cette main gantée qui aura l'air de sortir des sables tragiquement. Y aurait-il quelqu'un enterré la? Un crime Avec une sorte ae terreur; le passant se décidera à toucher, à tirer « la main i, et découvitra la supercherie. Comme vous vous associerez a son rire 1

MOUNI.

DE a L'OLEST-tCl.AlK » ELLES VOLS TOUJOLBj

les heures de délassement dans votre jardin

la vie pratique

Faites vous-mlme les réparations de faïence et de porcelaine. Ce n'est pas très difficile. Pour cela, battez un blanc d'oeuf. Incorporez, en battant toujours, du blanc d'Espagne. Vous obtiendrez ainsi une belle pâte très douce.

Prenez l'objet cassé, enduisez les bords cassés de cette pâte. rapprochez les morceaux, serrez-les très fort l'un contre l'autre, enlevez avec un couteau la pâte qui dépasse. Laissez sécher. L'objet semble ainsi en parfait état. Je ne cils pas

qu'il soit aussi solide qu'auparavant. Uutlllsatlon des vieux Journaux (cuivten et vitres). Gardez précieusement les vieux journaux. Ila sont utiles pour des nombreuses besognes et remplacent avantageusement les vieux chiffon3. Les cuivres, par exemple, astiqués et passes aux Journaux sont magnifiques. Les vltrea frottées avec un journal trempé dans l'eau, puis essuyées avec un journal à sec, sont parfaitement nettea.

petite cape, encolure drapée et jabot plissé

dignité et discrétion Vos histoires n'intéressent pas tout le monde. Je veux dire par là que les petits faits qui sont pour vous des dates importantes de votre vie laissent parfaitement calmes la plupart des gens à qui vous les contez Si vous avez deux ou trois, (mettons trois ou quatre) bons amis qui partagent vraiment vos peines et vos joies, c'est fort bien N'allez pas supposer que les autres partagent aussi vos émotions C'est déjà un signe de bonne éducation que de vous écouter sans impatience et même de vous prodiguer quelques consolations aux jours malheureux.

Ne soyez pas de celles dont on d1t c elle nous ennuie avec ses histoires 1 »

Les meilleures ajoutent c la pauvre, elle n'a pas eu beaucoup de chance, niais qu'y pouvons-nous 1 » En effet, qu'y peuvent-ils et chacun d'écouter la voix de l'égoïsme et de conclure « On ne peut plus la voir. on les connaît toutes. ses histoires, c'est toujours la même chose I Peu à peu les portes se ferment et dans votre solitude vous songez avec amertume à la médiocrité du coeur humain.

Tout cela c'est votre faute.

Chacun de nous a ses fardeaux, ses soucis, ses angoisses. Nous avons fort à faire pour conserver malgré tout notre courage et notre bonne humeur intacts.

Pour cela nous nous efforçons de nous évader de ces soucis et de ces angoisses. La meilleure façon de s'en évader est de n'en point parler. Plus nous ressassons une peine, plus nous la vivons, plus nous la rendons présente. En cherchant à attendrir, à émouvoir, celui à qui nous nous confions, nous provoquons en nous une nouvelle éclosion de douleur.

Si l'on nous plaint nous nous laissons aller aux larmes, au désespoir. Nous faisons un peu comme l'enfant qui. s'il tombe renifle ses larmes et ne crie pas quand il est sans spectateurs mais qui hurle et se lamente si on lui demande s'il s'est fait mal.

Le grand remède à nos misères, c'est de les endurer en silence. Cela s'appelle avoir de la dignité.

Tout le monde ne peut pas avoir de la dignité. (je crois même que l'on nait avec ou sans dignité), mais tout le monde peut s'efforcer à avoir de la tenue.

Or avoir de la tenue c'est ne pas importuner ses amis avec le récit de ses misères. C'est une question de délicatesse, de tenue morale si vous voulez.

Les gens tout fait communs s'épanchent avec le premier venu. Telle brave femme qui se trouve en face de vous depuis cinq minutes dans le train, entreprend le récit de ses démélés avec ses voisins. Elle n'a pas de tenue.

Telle amie qui, quelques instants avant votre arrivée a reçu une nouvelle qui l'a bouleversée et qui trouve le moyen de n'en rien laisser paraltre quand vous entrez, a de la tenue. La dignité est une formé de la maltrise de soi, peut-être la plus belle. car elle combat notre égoïsme instinctif qui nous pousse à nous épancher, à nous décharger sur nos amis. La dignité nous commande de garder pour nous cette émotion de n'en pas accabler les autres, de ne pas troubler ce moment heureux que nos amis sont venus passer auprès de nous.

Quant aux pauvres petits potins, ennuis domestiques, vexations, etc., ne les colportons pas, tuons-les plutôt dans l'œuf qu'ils n'encombrent pas notre coeur et nos pensées. Ne leur laissons pas le temps de germer.

trousseau d'été

et d'hiver

Il existe maintenant une lingerie d'été et une lingerie d'hiver Celle de l'hiver, relativement plus confortable, se fait en jerseys indémaillables, en satin, en angora. tandis que celle de l'été se fait en ünon, en batiste de lin, en voile triple. Tout cela, bien entendu, fort restreint, de plus en plu restreint mëme, puisque nos robes sont, en général, très serrées jusqu'aux genoux.

Si vous aimez le linge de soie. prenez le ivoire, paille, jade ou blanc.

Le crêpe satin nous revient. En belle qualité, il a l'avantage de pouvoir se laver parfaitement Le chiné mat a beaucoup de partisans; il est d'ailleurs solide et peut faire des choses délicieuses.

Ce que vous ne devez pas tolérer sur la lingerie nouvelle, c'est une seule couture. Aucune couture entendezvous, ne doit être visible et, pour cela, les jours, le point turc, le point de bourdon, les applications et incrusta* tions, les dentelles orneront et cacheront les endroits où les coutures song indispensables.

La forme en biais se fait toujours beaucoup. Elle moule étroitement la corps et, cependant, elle a une élasti'cite assez grande pour donner l'amypleur nécessaire.

La dentelie est employée plus abolidamment que ces dernières saisons. Ocrée ou « jus de péehe », elle est quelquefois rebrodée ton sur ton ox dans le ton du tissu qu'elle agrémente. Les chemises de nuit sont également plus ornées de dentelle que l'an dernier. Elles sont aussi coupées en biais et se parent de manches arrivant au coude, de décolletés carrés, de manteaux courts ou trois-quarts, de berthe3. de capes et de pélerines. Dan* ces derniers cas, les manches sont jupphmées.

Je citerai, pour eaemple, une parure en batisse de lin blanc ornée de jourx Chemise-culotte ornée de bandes ajourées et brodées. Une autre chemise.culotte taillée plein biais en crêpe satin jade, formée de quatre panneaux. Le panneau de côté se continuant avec recherche et élégance en pattes croisées sur le devant et l'incrustation de dentelle ornant alors le devant de façon à remplacer le soutien-gorge. La jupe en biais dissimule en dessous une petite culotte bien ajustée boutonnée de côté.

Également en biais, une chemise en voile triple glycine, ornée de dentelle ocrée accompagnée d'une très plate culotte ornée de même façon.

Quant à la combinaison-dessous-de* robe, elle est naturellement très ajustée et très en biais. Elle s'exécute en satin ou en crêpe de chine mat on brillant. Mais, elle tend de plus en plus à disparaître, les Jemmes préférant les fonds de robe de teinte semm blable d la robe, ce qui eat plus pra. tique et supprinie les combinaisons. Aria»*.

La véritable et très belle

TQILE DE BRETAGNE

tissée à ta main en toutes largeurs, prix très modérés, échantillons sur demande. Tissage J. Léauté, Uzel, C.-d-N. Rien de plus mesquin que ce goût du c potinage rien de plus dangereux que ce goût de colporter les potins. Nous semons ainsi de mauvaise* graines qui vont aller croissant de bouche en bouche jusqu'à devenir des foyers d'infection ». Que de drame* sont nés d'un potin qui est arrivé aux oreilles qui ne devaient pas l'entendre. Et n'avons-nous pas été un échellon inconsciant de cette échelle de l'indiscrétion malfaisante

La discrétion fait partie de la dN gnité.

Ch. Rabitt*.

parfumée

atayioleH"e

_L-l_i'_ii-l

LA QUINZAINE THÉÂTRALE

LE THÉÂTRE VA-T-IL MOURIR ?

Deux théâtres natioftux sur quatre et tro.s autres salles de quelque importance. voilà tout ce qui reste ouvert à Paris. C'est l'effet de la saison, plus que de la c crise ». si souvent, trop souvent alléguée, du théâtre. Il incite neeunoins à se demander si l'art dramatique est, comme on l'insinue quelquefois, au bord de l'agonie Avouons tout aussitôt que la conception actuelle de cet art prestigieux oftre des signes de vieillesse et a besoin d'un sérieux rajeunissement. Les hommes de théâtre, les metteurs en scène, les artistes musiciens ou dramaturges les plus vivants de notre époque sont d'accord là-dessus et travaillent avec zèle à cette bonne oeuvre. Mais la question n'est pas là et ceux qui parlent d'agonie entendent que le théâtre en soi, après tant de siècles, après une vie si longue qu'on n'en mesure point le départ, est condamne comme ne répondant plus à nos goûts et à nos besoins, tandis que le jeune cinéma. Tous les amis du théâtre et qui. sans mépriser le film, gardent leurs vieilles et belles amours sont choqués, peines d'un arrêt si brutal. Un joli volume de M. Fortunat Strowski (1) vient à point les rassurer.

Célèbre historien de la littérature et membre (on n'ose ajouter grave, tant il est aimable et souriant) de l'Institut, M. Strowski est devenu fort aisément critique dramatique des plus fins, des plus spirituels et déliés il connaît le théâtre contemporain ne lui consacre-

li'coLo Hoiri Manuel.)

M. Fortunat STROWSKI

tdl pas un cours en cette Sorbonne où il est professeur et qui décidément ne modernise ? Non pas. il est vrai, autant que les Universités américaines. M. Strowski, ayant voyagé, professé outre-mer, nous rapporte qu'il existe en ces Universités, « un département d'art dramatique où l'on enseigne à composer de bonnes pièces » (le plus étonnant, c'est qu'elles arrivent à se procurer, sinon le génie et l'originalité, du moins le succès). Mais ce qui caractérise M. Strowski. c'est, en dépit de son métier de critique, un grand, un inlassable, un merveilleux amour du théâtre.

Cet amour, qui touche les amis de l'art dramatique et dont ils lui sont reconnaissants, éclate dès les premières pages du livre. Il place très haut l'objet de son affection. Le théâtre, pour lui. (et pour moi certes) est le carrefour et le point de rencontre des autres arts ». ou, comme dit Baty, leur vivante synthèse. « l'art suprême », qui les emploie tour à tour et les unit dans cet ensemble enchanteur, le spectacle. Ce n'est pas à dire qu'il vienne après eux dans le temps et par exemple qu'il sorte. comme on 1'a pensé. du lyrisme et de l'épopée. Le théâtre est aussi primitif que le cham et le récit ». Parce qu'il tient, je le crois, à notre psychologie éternelle, à la forme même de l'esprit humam. Voilà de belles lettres de noblesse et surtout de quoi prouver qu'il a la vie dure. La vie. parbleu, c'est la matière même, et son

office est de l'exprimer plus complètement, selon des aspects plus divers, que n'importe quel art.. Non pas une vie quelconque ou fort « quotidienne b. Une vie nouvelle, très humaine, sans doute (sinon il n'aurait guère plus d'intérêt pour nous), mais transformée, transfigurée. L'essence du théâtre et son véritable bienfait, son effet apaisant, tonifiant (fût-ce dans le genre le plus tragique), c'est de nous transpor- ter soudain en un autre monde, au pays d'illusion, et toutefois sans nous arracher à l'humanité, en nous y plon- geant davantage. C'est à quoi va tout l'effort des grands hommes de théâtre et rien ne leur est plus cher et ne les récompense mieux de leur peine que d'obtenir cette frémissante « communion », comme ils disent, de la salle avec la scène Noble dessein en vérité. Pour l'accomplir, le théâtre aoit évidemment rester digne de lui-même et ne manquer point, bassement à sa vocation. Hélas on sait trop qu'il n'y est pas toujours fidèle. Mais croyezvous qu'un art si véritablement humain, si cher et, peut-être, si nécessaire à l'humanité, croyez-vous qu'il risque de mourir ?

Le cinéma, dira-t-on, ce spectacle de notre âge, ne nous suffira-t-il pas, ne doit-il pas le remplacer ? Un auteur dramatique, aux succès éclatants, a lui-même fait mine de le croire. M. Pagnol a crié « A bas le théâtre, vive le fllm Il était alors tout occupé de cinéma. Et il y avait là, on ne s'en étonne pas. quelque galéjade. Aujourd'hui M. Pagnol .:tant mieux et on n'en doutait pas) revient au théâtre ? Parbleu Ce sont deux arts (l'un encore imparfait) très diffërents et qui n'ont peut-être de commun que d'être spectacle et spectacle mouvant. Ils ne sont pas faits pour se nuire, ni pour £e copier non plus. Pour revenir à Strowski et à son livre, il marque très bien la différence des défit spectacles « l'un (le théâtre) est La vie, l'autre est le mécanisme l'un est la représentation, l'autre est l'image ». J'ajoute que le cinéma est déjà entré dans la vie moderne comme un élément de consommation usuelle et on va voir un film de la même façon qu'on va boire l'apéritif. Le théâtre qui d'ailleurs exige toujours un peu plus d'effort intellectuel c'est une autre affaire même quand on ne « s'habille » pas pour y aller (on s'habille, à tort. de moins en moins), c'est un petit événement tsi petit soit-il): c'est, malgré tout, la fête, la féerie on va se plonger en cet univers nouveau que j'ai dit.. Et c'est pourquoi le théâtre garde sa vaste clientèle et ses amis, nombreux, quelquefois passionnés. Que dis-je ? Les théâtres d'art ou d'avantgarde (mauvaise expression, mais commode), le Cartel des Quatre, si vous voulez (Baty, Jouvet, Dullin, Pitoeff) voit son public, un public en bonne partie régulier, fidèle, s'accroître, et, chose notable, l'élément populaire y devient considérable ce thé&tre est vivant. Remarquez aussi que le nombre des salles n'a point diminué, s'il n'a même augmenté. Un bon spectacle, même aujourd'hui et malgré les difficultés d'argent, va souvent aux nues.

Si j'analysais le livre de Strowski, si clair, si riche, si spirituel. écrit dans une langue si jolie, au lieu de le prendre comme thème d'un article, j'aurais mille choses c suggestives » à noter (sur le théâtre nouveau, sur les progrès des techniques matérielles, sur le geste, etc.) Mais il faut donner un autre exemple de son amour du théâtre il cst pour lui fort ambitieux et le chargerait volontiers d'une haute mission, qui est de nous créer une morale moderne. A la vérité, nous en avons une. qui reste toujours solide, toujours de bel usege. et que tels spectacles n'ignorent pas sans péril. La mission de l'art dramatique est ailleurs c'est de nous bàtir un palais de rêve, où les fées puissent continuer de plaire, mais où l'homme, et ce qu'il a de plus noble, ne cesse d'habiter. Maurice Brillant.

Il) Le Théâtre et nous (Ed. de la Nouvelle Revue Critique).

LYAUTEY, ÉCRIVAIN

L'Ouest-Eclair, dès la nouvelle de la mort du maréchal Lyautey, a retracé les divers aspects de cette grande figure Lyautey soldat. Lyautey colonial, .Lyautey bâtisseur 1 d'empire. Lyautey. homme d'action.

Ce fut aussi un 1 vrai lettré. André Maurois, dans la belle bibliographie qu'il lui a consacrée il y a quelques années, a raconté comment le capitaine Lyautey, au temps où 11 commandait un escadron à St-'Germain en Laye, fréquentait le salon d'un homme cultivé, ami de Broglie et de M. d'Haussonvllle, M. de Guérie, bibliophile, qui recevait chaque dimanche des écrivains et des gens du monde Lyautey y rencontra Coppée. M' Arvèdt Barlne, Henri de Ré «nier. Jacques Emile

Blanche. Marcel Proust, les trots tilles de José-Maria de Hérédla et leur père,

LE 1AARÊCHAL LYAUTEY

en habit d'Académicien

Eugène Melchior de Vogue. Brunetière. « Brunetlère commença par regarder avec Inquiétude les bottes et les éperons de ce soldat qui parlait de Lamartine. de Vigny, et semblait les avoir lus. Et 11 respecta le Jeune capitaine.

n avait été élu membre de l'Académie irancaise en 1912. l'unanimité, et sans visites préliminaires.

Il ne fut reçu Que le 9 Juillet 1920 et c'est Mgr Duchesne qui l'accueillit sous la Coupole

M. Henry Bordeaux a retrouvé, sur des notes de 1920, ce souvenir qu'il rapporte de la réception de Lyautey a l'Académie « Quand le 1" Juillet, après avoir lu son discours de réception devant la commission, Lyautey tut admis aux honneurs de la séance académique. Paul Bourget, en lui serrant la main, l'appela Scipion i'A.'ricain. C'était bien cela il y a du Romain en lui, du Romain bâtisseur et négociateur qui ne se contente pas du triomphe des armes. » Il se montrait très assidu aux séances du quai Conti. Cependant, conte un hebdomadaire littéraire, la première fois Il fut un peu déconcerté.

Il se trouvai' placé à côté de Jean Richepin. A la fin. 11 traça quelques mots sur un bout de papier, plla celuici en quatre et le fit passer a son voisin qui. après l'avoir lu. y traça un mot son tour et le renvoya 'a Lyautey. Sur ce papier, Lyautey avait écrit Ce n'est Jamais plus drôle que ça ? Et Jean Rlchepln

Hélas

t Pour lui, a écrit M. André Maurois au lendemain de sa mort. la littérature ne fut Jamais un Jeu. mais ce qu'elle

doit être une mystique. Il a toujours aimé passionnément les livres. Il avait été, capitaine, l'ami de VogUé Il fut. maréchal, celui de Barrés. Que de fols à Thorey, ou rue Bonaparte. Il ouvrit uu volume de poèmes pour nous lire quelques uns des vers qui avalent ému sa jeunesse. Il suivait la jeune littérature, parfois avec une surprise lnqulète (a Vraiment, vous aimez cela ? » disait Il), mais toujours avec un lntérêt quir ne se démentlt pas Jusqu'à la fin. Quiconque lui donnait un sentiment de ferveur l'enchantait. Il ne haïssait que l'Ironle. »

c C'était un homme de lettres, décla.re ailleurs M. Mau-

c'était même un écrivain, et excellent à force de spontanéité. vivant, parlant

son texte, rapide, drôle. emballé, avec des dons pour peindre en peu de mots un paysage ou la mer. ou la lumière, sa douce folle. Il faut aller le chercher dans sa correspondance. I! était parti pour être le Loti de la cavalerie. Tout Jeune homme, presque un enfant encore, Il répondait à un vieux monsieur qui l'interrogeait sur l'avenir qu'il rêvait « Je veux être un grand homme de lettres. comme Voltaire »

Lyautey n'entendait ressembler à Voltaire Que par le style Mais s'il n'a point celui de l'auteur de Candide, il a bien des manières du dix-huitième siècle et 11 fait penser dans ses lettres au prince de Ligne.

On s'est demandé si le maréchal laissait des Mémoires Cet homme méthodique qui avait toujours à portée de sa main un paquet de fiches. et Qui. sans perdre le fil d'une conversation, savait rapidement et opportunément prendre une note et la classer immédiatement, a tenu ses archives comme le plus méticuleux des historiens. Il y travaillait sans relâche depuis qu'il avait pris sa retraite à Thorey.

Les écrivains de l'avenir pourront y puiser la plus précieuse des documentatlons, et aussi de terribles armes contre certains politiciens, car le maréchal n'y mâche ni la vérité, ni les mots. Mais, mieux encore, les générations de demain y trouveront de belles et grandes leçons de virilité et de travail, de celui qui avait pris pour devise ce vers de Shelley et l'avait fait graver en cachet sur une bague

The soui's joy lies in doing

La joie de l'âme est dans l'action. Toute sa vie en fut la lumineuse démonstration.

A.-V. DE WALLE.

PETIT COURRIER DES LETTRES

LEQUEL DES DEUX T

Dans L'Art de la Conversation (ltbralrie Delagrave), qui est un livre tout rempli d'observation et parfois même de douce ironie. M. Paul Cbavlgny rapporte Il propos des bavards l'amusante anecdote suivante

Dans l'un de ses voyages Il Paris, M. de Humboldt manifeste au docteur Blanche le désir de dîner avec un fou Rien de plus facile, dit le célèbre aliéniste. Le lendemain. à six heures, le savant s'asseyait à la table du docteur, en face de deux convives inconnus. L'un, vêtu de noir, cravate blanche, avec un regard froid, un frunt chauve, salua, mangea. but et ne souffla mot. L'uutre. au contraire, les cheveux ébouriffées. l'habit bleu boutonné a la diable. les coudes sur la nappe, se servait, avalait, causait en même temps, entassant histoires sur histoires.

Au dessert, de Humboldt se pencha vers son hôte, et lui désignant du coin de l'o;il le personnage en habit bleu Je vous remercie, lui gltssat-11 a l'oreille, votre fou m'amuse beaucoup Comment ? s'écria le médecin. Mais ce n'est pas lui qui est fou c'est l'autre.

Celui qui ne dit rien ? 7

Sans doute.

Mais, alors, quel eat donc celui qui parle

Celui-là, c'eat M. de Balaie I ECHOS

Le 17 août. dans la matinée, aura lieu, a Arthez-d'Asson (Basses-Pyrénées), un office relmieux à la mémoire d'Henri Bremond et l'inauguratlon d'une plaque commémorative sur sa maison.

♦ Il y a vingt ans. le 6 août 1914, que Jules Lemaltre mourait, dans son petit village de Taven. à l'âge de 61 ans. On annonce Que le duc de Broglle sera reçu sous la Coupole par M. Louis Barthou.

♦ C'est demain 16 août. à Saint-Pierre d'Oléron, qu'une plaque commémorative sera apposée par les soins de la Société des Amis de file d'Oléron. sur la malson des aïeules » dans le Jardin de laquelle repose Pierre Loti.

Une fols de plus le dictionnaire de l'Académie fait parler de lui. Sa définition du roman a soulevé une tempête de critiques.

Pour la mettre au point. M. Georges Poupet a eu 1'amusante Idée d'ouvrir une enquête auprès de quelques écrivains sur la véritable définition. Et c'est un aimable Jeu de société pour les vacances.

LES LIVRES EN VITRINE

Pour se procurer les livre. analysé» lui. »'uilre.rr citez les Horaire.» ou. si on I désire le» recevoir par poste. a la Llbrai- rie de L'Ouest hcUlr, toi. tire du â're Uulte. a tienne» et% jo.giuim uu muiiilul du prix îranco inuiciiie Aucun rntol contre reinlxiuiM-nieiil. Le. roniiin» inanino il un a.ieri»<|iie i*> peinent eue mis entre toute» le» mains. S Henry BORDEAUX. de 1 Académie Française. Le Clique et l*« UoseuuA. roman i*), Pion, i2 francs uranco 13 fr. 201.

Ce roman, que M. Henry Bordeaux a attendu trente ans d'écrire, est de la belle et puissante lignée de ses grandes œuvres, des Roquevillard, de la Peur de vivre.

Le sujet en est douloi*reux et poignant plus exceptionnel, cepen:tant. moins opportun, de ce chef, qu'il y a un demi-siècle.

Un père austère. janséniste trois enfants éleves par lui suna tendresse, sous la loi de crainte. L'aîné, Pascal. notaire, détourne les fonds confiés par ses clients, afin de couvrir les Irais de basses et éphémères liaisons. Lu seconde, Angèle, manque au serment de fidélité de son marlnge. La troisième Agnès, qui est un ange de charité et de résignation, en aidant Angéle a dissimuler sa faute, passe aux yeux du père pour sa complice. Mais un enfant, la fllle de Pascal, la petite Aline va faire prendre conscience à ce vieillard de son erreur, et lui faire comprendre la faillite de son rigide système d'éducation, sa responaubilite dans les défaillances de ses enfants.

Certes, de nos jours, 11 y a moins péril d une éducation trop étroite que d'une éducation trop hâtive, trop large trop bâclée. Les Jansénistes sont devenus des phénomènes rares dont nous ne pleurons certes pas la disparition, mais qui valaient mieux d tout prendre que les amoraux de l'après-guerre. Le caractère d'un Joachim Hamel. le héros de M. Henry Bordeaux, est, de ce point de vue, d'une grande noblesse: et sa faillite. eu raison de sa bonne fol, nou, émeut Jusqu'aux entrailles. C'est là un magnifique livre, un maître livre, remarquablement compose et écrit, et dans lequel il y a, il chaque chapitre, beaucoup de traits d'observation et de pensées à méditer. A. V. S L. Dumont-Wilden, Albert I", roi des llrUtes, Bernard Grasset, 20 francs i franco. 22 francs

M. Dumunt-Wilden a eu un premier mérite en écrivant, ce livre c'est de ne le considérer que comme c l'esquisse d'un portrait qu un autre écrira sans doute un jour ».

Sa biographie d'Albert 1" est pourtant plus qu'une esquisse. S'il est vrai que nous manquons encore un peu de recul pour juger Albert 1". il est de ces rares personnages qui sont entrés de bonne heure dans l'histoire. M. Dumont-Wilden. qui était bien placé et bien documenté, donne du royal visage un aspect très complet. Après avoir suivi les années de préparation de ce prince qui ne paraissait pas devoir, primitivement, monter sur le trône. Il la montré surtout résolu, capable des plus grandes décisions en 1914 et durant toute la guerre, puis reconstruisant, après la coûteuse victoire, le royaume mutllé.

Il émane de la noble figure du rolchevalier un rayonnement Incomparable de droiture, de simplicité, de beauté morale. A. V.

Emile Baumann, Le Cantique éternel, Il, Amour et Sagesse, Grasset, 16 francs (franco, 16 fr. 50).

On se souvient de cette Symphonie du Désir, première partie du Cantique éternel, dans laquelle, l'an passé, Emile Baumann évoquait les désastres de la passion et ses damnés.

A cette vision fiévreuse et tourmentée, 11 oppose, cette fois. celle toute lumineuse et apaisante de l'amour noble, qui donne et accroît la vie l'amour Intellectuel et courtois, platonique chez Dante et Béatrice. Pétrarque et Laure. Michel-Ange et Vittoria Colonna le saint amour conjugal, depuis le bonheur adamique Jusqu'à saint Louis et Marguerite de Provence; t'amour héroïque préfiguré par Alceste. Eponine, et élevé à son plus beau caractère dans la tendresse de Polyeucte et de Pauline enfin le divin amour, celui des saints, de Marie-Madeleine, de François d'Assise. de Thérèse d'Avlla. A. V. S Charles LE Goffic, Dixmude (Les fusiliers marins). Flammarion, collection < Hier et Aujourd'hui ». 3 fr. 75 (franco. 4 fr. 15).

On ne pouvait Jusqu'à présent lire l'histoire de la magnifique épopée de nos fusiliers marins sur l'Yser que dans Dixmude et dans les deux volumes de Steenstraete, de Charles Le Goffic. La collection « Hier et Aujourd'hui qul, par son prix comme par sa présentation. met l'histoire à la portée d'un plus grand public, a choisi parmi ces deux volumes les pages les plus carac-

téristiques et les plus émouvantes. St ce sont celles qui retracent la bataille de Melle, la prise de Betrst, l'attaque du château de Woumen. la mort de Dixmude.

Ues pages de gloire et d heiuismc que Le Goffic a flxéts dans leur torme définitive et que personne après tui a* saurait conter comme lui. A. V.

S Paul Renaudi». Le maréchal FuJ>»rt, Dételée, de Brouwer et C" 2U francs l franco, 22 francs).

Dans la collection « Temps et Visagea », que dirige ai bien André George, et qui nous a donne déjà de solide* volumes sur Flaubert, par exemple (par René Dumesnll) ou sur Saint Albert le Grand (par Albert Gnrream voici un « Maréchal Fabert ».

Fabert est une de ces figures qui restent au second plan de l'histoire, dans l'ombre.

Ce soldat de France qui conquit le bâton du maréchalut. en passant par tous les Brades, cet homme Juste et honnête, ne rit. on -il eïi • urpnb. de lançons pour accepter les missions et les combinaisons assez étranges du ivcïinnl. Et on sait gré à l'auteur de noi*r qu'il ne tuut point imputer à la chance « le vrai hasard u peu de place dans l'histoire ». dit-il la volonté du roi qui l'emoya à Sedan.

C'est d'nllleurs à ce poste qu'tl montra sa vraie grandeur. Secian, conquête politique de l'habileté de Richelieu. fut la conquête morale de Fabert.

C'est là un des Intérêts principaux de ce livre attachant, bien documenté et bien écrit. A. V.

S Maurice BRILLANT. Le vlllane de I* Vierge, Nazareth, éditions Spes 7 fr. 60 (franco, B fr. 25).

Maurice Brillant devait faire ce voyage glisser parmi les Cyclades enveloppées de soleil, baignées par la mer violette que chante Homère, saluer l'Hellude. et aborder en Palestine.

Yurce que. par son esprit et ja culture, Il est le tII8 de cette Grèce souple, élégante, nuancée et par son cœur et at1 fol, il a sa place parmi les pèlerins des Lieux Saint.

De cette croisière autunt artistique que pieuse, Il a rapporté un livre aussi brûlant que le soleil d'Orient, aussi net que les paysages helléniques, presque aussi beau qu'une page d'Evangile. C'est coupé de gloses et de paren.thèses érudites (qui ne sont Jamais ennuyeuses, parce qu'elles sont Infiniment riches et variées de science et quelles semblent couler de source), un cantique à la louange de la Vierge. l'évocation de l'antique village et de ses divin* habitants travers le Nazareth d'aujourd'hui. Un livre aimable. enchanteur, éblouissant, où l'érudition se fait toujours accompagner par la poésie. A. V, Marguerite Yourcenar, Denier de rêve, roman, éditions Bernard Grasset. 12 francs (franco. 13 fr. 20).

Un lien ténu. fragile, une pièce de monnaie passant de main en main, unit les ombres humaines qui s'agitent en ce livre, étrangères la plupart les une* aux autres. Mais bien semblables par leur commune aspiration à s'échapper du cauchemar de leur vie réelle par le rêve. par l'Illusion. Et dix tires à l'effigie des Savoie car les rues de Rame, en l'an XII du fascisme. servent de décor à cette action de tous les temps, sont le denier qui procure aux une le rêve de l'amour, aux autres celui dn meurtre politique, aux autres celui de l'Ivresse. En dépit de belles pagea et de beaux tableaux, cette œuvre à la philosophie désabusée ne se lit pas peine. A. V.

S René Maram. Le Livre de la Bror roman, Albin Michel. 15 francs (franco" 16 fr. 60).

A leurs enfants couleur de bronze, lu mamans de la brousse, comme les mamans blanches, racontent des histoires. Elles racontent l'histoire de Bamara le lion. de Onala, le lapin. Ou bien elle leur chantent les vieux refrains du passé

En retraçant la vie de Kossi. son héros. M. René Maran rapporte ce* histoires simples et ces chants étranges. C'est toute la vie de la brousse, d'ailleurs, qu'il trace. avec des couleur* vives, entremêlant le folklore, les mœurs, la faune et la flore de l'Afrique I A. V. S Frédéric Masson, de l'Académie française. La Journée (le Napoléon. Flammarion. 3 fr. 75 (franco. 4 fr. 15

Du lever au coucher. toutes le* heures de la Journée. dans tous le* actes de sa vie privée, voici Napoléon Intime, dans sa chambre, dans sa bibliothèque dans son cabinet de travail, au repos, au travail, avec ses secrétaires, avec ses familiers, avec ses serviteurs, avec sa famille.

Ce volume Intéressant a été constitue par des pages empruntées aux remarquables travaux de Frédéric Masson Napoléon chez lui et La Journée de t'Empereur aux Tuileries. A. V.

Feuilleton de L'Ouest-Eclair

du 15 août 1934 1'6

LES BELLES AMAZONES Roman

par Jacques CHRISTOPHE Avant que la balle partit, une figure rieuse surgit, une voix claire cria Vous n'allez tout de même pas me tuer, après m'avoir fait passer une pareille après-midi, mademoiselle ? Les amazones étaient rentrées dans le dortoir, en entendant un éclat de rire et Marcelle reconnut le Jeune homme de Chàteaublanc.

Il faut m'excuser, dit-il. Je suis venu vers deux heures, après avoir cherché toute la matinée votre domaine. J'ai cru reconnaitre votre maison, certains signes, et aussi parce que j'ai vu le bélier brouter sous un arbre. La porte était fermée. J'ai pu gagner la chambre en grimpant dans le grand cèdre. J'étais bien exténué. Je n'ai pas osé me coucher dans un lit, Je me suis glissé sur le plancher où j'al dormi comme un loir. Mon père et mes amis m'attendent patiemment à Vermoutiers. Vous ne vous souvenez donc pas de moi ?

Il regardait tour à tour les jeunes filles. D'un sourire Marcelle lui fit comprendre qu'elle le reconnaissait. Myriam s'écria

Monsieur, vous avez une singulière façon de vous présenter. Laissez-moi vous dire qu'un homme poll, un gent-

Il l'interrompit d'un geste suppliant

Parbleu, mademoiselle, je le sais trop bien, mais essayez de vous mettre à ma place. J'ai erré dans ce désert pendant plus de quatre heures. J'étais brisé. Si j'avais trouvé un divan ou même un fauteuil.

Il n'y a pas de fauteuils, ici, monsieur, dit la vieille amazone en se redressant. Nous n'avons que faire de fauteuils, nous sommes réunies ici pour travailler et pour méditer, non pour rêver et paresser. J'ajouterai que nous ne sommes pas venues dans cette solitude pour recevoir des visites. Oh gémit le garçon, vous avez donc oublié le bal de Chàteaublanc et M. de Fresnais qui préside le syndicat d'initiative ?

Je m'en souviens très bien, s'écria Margaret. Soyez le bienvenu. Je vais vous présenter à Mlle Gênes. Vous connaissez l'histoire de cette nuit que vous avez passée au commissariat. chère amie ?

Je sais, je sais. Soyez le bienvenu, monsieur, quoique, à la vérité, on puisse dire que vous tombez mal. Nous allons dresser un lit dans la cuisine avec un matelas et quelques couvertures. Vous serez pauvrement logé. Je serai très bien, diUl en souriant à Marcelle. Mais Je vous prie de ne pas changer votre installation. Je me contenterai d'une chaise ou d'un vieux tapis.

Deux amazones coururent faire un lit, dans la grande salle. Mlle Gênes eut soin d'enfermer à clef son hôte et pour plus de sûreté, elle mit le verrou au dortoir des jeunes filles. Le lendemain, de très bonne heure. Marcelle se leva et descendit afin d/ai- j

lumer du feu. Sixte était prêt à partir. En la voyant, il s'écria

C'est pour vous que je suis venu. Vous vous en doutiez ? Je voulais vous revoir à tout prix.

Elle baissa la tête, frotta une allumette qui se brisa. Il tendit vers elle son briquet, il la regardait placer le bois dans le foyer, aller et venir et, de temsp en temps, il lui disait des paroles tendres.

Quand le feu flamba, elle prépara son déjeuner avec beaucoup plus de soins que celui des amazones, puis elle lui offrit une petite boule pesante, toute dorée

C'est moi qui fais le pain, ditelle. Y goûterez-vous ?

Oh oui. Coupez deux tranches. J'en mangerai une et je mettrai l'autre dans une vitrine

Elle se hâtait de le servir, et pillait sans scrupule la boite de provisions d'Hldja.

Je pars ce matin, murmura le Jeune homme, mais j'espère que cette comédie ne durera pas éternellement, qui vous retournerez chez vos parents à qui je voudrais faire une visite. Je vous écrirai à la poste de Vermoutiers, et je vous supplie de me donner de vos nouvelles. Je n'oublierai pas le goût de votre pain et moins encore la douceur de. Voici Mlle Génes. ajoutat-il en saluant Myriam.

Il renouvela ses excuses, causa quelques Instants avec la vieille fille, puis il sortit et Marcelle l'accompagna jusqu'à la lisière de la prairie.

VII

Les cent bottes de lait sucré avalent été consommées et, ce Jour-là, aucune poule n'avait pondu Marcelle déclarn qu'il était Inutile de se mettre à table

à l'heure du déjeuner et qu'il en serait de même pour le dîner.

Nous pouvons, néanmoins, nous réunir, intervint Myriam, et parler des mesures à prendre; ce petit ennui ne se renouvellera pas. Nous aurons une vache, nous serons sauvées. Je ne parle pas des moutons. Nous avons dépensé six cent francs à Vermoutiers, cent francs chacune, il reste donc sept mille quatre cents francs, n'est-ce pas, Margaret ? Il faut attendre la prochaine foire pour notre acquisition, et espérer qu'il y aura des œufs demain. Pour aujourd'hui, je vous propose une solution et même un remède, vraiment digne de personnes intelligentes. Si vous voulez, nous emploierons la demiheure que nous consacrons d'habitude au déjeuner à raconter le meilleur repas que nous avons fait dans notre vie.

Les amazones étalent d'assez bonne humeur, Marcelle à cause de son baron, Margaret du bacille de Calabre qui lui donnait de grands espoirs, Geneviève parce qu'elle attendait le colporteur, Simone parce qu'elle avait rêvé la nuit de feu flambant. ce qui est signe de Joie.

A qui la parole ? demanda Margaret.

A la plus Jeune, dit Myriam HldJa, nous vous écoutons.

La Jeune fille qui se tenait à l'écart. moins résignée que ses compagnes, bredouilla

Je n'en sais rien. moi, mon meilleur dîner, je ne l'ai toujours pas tait Ici. et Je ne peux pas me rappeler tout ce que J'ai mangé dans ma vle Ce serait trop long. Je me souviens seulement d'un goûter dans l'appartement de ma mère. A Cons'an'lnoplr; on apportait un breuvage très «uert

dans une cafetière en argent, des gâteaux frits, en pâte blonde feuilletée, et des bonbons, grands comme la main. qu'on pouvait manger pendant cinq minutes, et des confitures de figues, et des abricots au miel et des oranges rosés. Mais j'ai beau y penser, ça ne me rassasie pas du tout. Au contralre 1 Myriam demanda

Et vous, Marcelle ?

Je n'ai pas de mémoire, dit la jeune fille qui portait sans cesse les regards vers deux petits noisetiers entre lesquels on avait mis, en guise de porte, une planche pourrie. Excusezmoi.

Eh bien dit Margaret, je vous parlerai du dernier repas que j'ai fait dans le train, en revenant de Boulogne. Il y avait d'abord des œufs mimosa et du saumon d'une couleur si tendre qu'on osait à peine y toucher, et du Jambon mince comme des pétales de pavot: en mangeant un rôti de le ne sais quelle viande. Je voyais les premiers arbres et les pommiers illummés devant ces petites villas si claires et si mystérieuses qu'en les regardant, on pense à un Jeune homme et a une Jeune tille cachés. On a servi des légumes en conserve, dont le sel gardait l'odeur d'un petit potager cultivé par une vieille grand'mère pour qui toute plante est sacrée: puis un fromage de Savoie à croûte neigeuse et des gàteaux achetés à Paris dans un de ces sous-sols où l'on aperçoit quand on marche moins vite, des blouses s blanches et de grands yeux levés vers le jour. Et vous, Simone?

Mot Je ne vols rien qui puisse vous intéresser. Et pourtant J'ai fait beaucoup de voyages Je me souviens seulement du pain de Beinay.

Qui était doré ? dit Hidja qui avait l'eau à la bouche.

Oui. Une croûte mince et de la mie feuilletée. Je n'en avais mangé nulle part de pareil. Et toi. Geneviève ? Geneviève déclara qu'elle ne se souvenait pas du pain de Bernay et qu'elle avait des pensées plus sérieuses. Alors Myriam joignit les mains, et dit avec attendrissement

Eh bien moi qui suis un peu plus âgée que vous, Je remonte encore plus loin, au fond de mon enfance, au goùter que nous avions fait au peu.sionnat pour la fête de Sainte-Catherine. Nous étions là une vingtaine du pensionnaires misérables aux doigta crevassées et tout gonflés d'engelures. debout devant la longue table en marbre gris, où d'habitude on nous servait des choses fades. Et, cette fois J'étais émerveillée de voir une assiette étroite, à bordure rose, d'un côté, quelques châtaignes bouillies, et a l'écart u::e petite barque en cerises qui devaient être un peu. rassises, mais si jolie, si Jolie, que je me souviens de l'avoir cachée dans mon pupitre et gardée Jusqu'à Noël.

Oh s'exclama Hidja. qu'une tarte, la plus vieille tarte du monde me semblerait délicieuse en ce moment I' U faut se lever, gronda Mynam. Voyez-vous. il est déjà midi et demi; peut-être, ce soir, trouverona-nous dea œufs A défaut, Marcelle pourrait pré- parer un plat avec de l'eau et de la farine.

La cuisinière avoua qu'elle ne pour. rait faire avec cela qu'une mauvais* colle. Margaret se leva, 4t dit qu'ail* allait tuer des oiseaux.

MANCHE

LE SLOOP « AGAMI »

EST RETROUVÉ A DIÉLETTE CHERBOURG, 14 août (De notre rédaction). A plusieurs reprises depuis une dizaine de jours. L'Oucst-Eclair a entretenu ses lecteurs du sloop de pêche Agami, paru de Cancaie pour Le Havre et dont on était sans nouvelles depuis son passage a Carteret. On se souvient qu'alertées par M. Da- vy, nouveau propriétaire du sloop, surp de ne recevoir aucun renseigne- ment du patron Garrec sur les mou- vements du navire, les autorités maritimes ordonnèrent des recherches sur les côtes Ces recherches restées d'abord infructueuses ont abouti hier à la de- couverte de 1 Agami dans te petit port c Disette, où éqi'ipage et sloop s'abritaient dans l'attente d'un temps favorable à la continuation du voyage Soit qu'il ignorât les recherches dont il était l'objet, soit qu'il restât parfaitement indifférent aux inquiétudes soulevées par son silence inexplicable et m°me repréhensible. le patron Garrec était depuis bientôt huit jours a Diélette sans aue l'idée lui soit venue d'entrer en relations avec son armateur qui. lui. impatient, continuait a réclamer auprès de toutes les autorites des côtes des nouvelles de bon nouveau bateau Il est probable que son long mutisme vaudra au patron de V Agami tout autre chose que des compliments.

La protestation

des mareyeurs-expéditeurs contre les nouvelles

dispositions fiscales

Les Normands ne sont pas prêts à la grève

On a annoncé qu'en manière de protestation contre le décret-loi du 26 juillet dernier. élevant le tatlx de l'impôt sur le chiffre d'affaires sur la marée de 0 fr. 75 à 2 francs, la Fédération des Syndicats des Mareyeurs et expéditeurs de Bretagne de Vendée et de Charente-Inférieure envisageait de recourir sous peu si le « statu quo Il n'était pas maintenu immédiatement et si des mesures n'étaient prises fixant le paiement de la taxe d'après les sommes réellement reçues dans les ventes para les mandataires, à l'arrêt de tous les achats de poissons dans les ports du littoral, particulièrement de Boulogne-sur-Mer à Saint-Jean-de-Luz et l'on a ajouté que l'ordre de grève tout à fait imminent. allait être doone par la Fédération des Syndicats des Mareyeurs.

Il nous a paru indispensable de recueillir d'urgence sur ce grave sujet l'opinion des Mareyeurs de Basse-Normandie. en particulier des membres du Syndicat Cherbourgeois qui englobe tous les mareyeurs de Grandcamp à Granville et voici ce que nous ont déclaré les personnalités qualifiées que nous avons interrogées

c Le décret-loi du 26 juillet, qui rétablit le chiffre d'affaires de 2 sur la marée que de longs efforts avaient réduit voilà plusieurs années â 0 fr 75 constitue non seulement une maladresse gouvernementale, mais il risque d'aboutir à la ruine définitive de la pêche déjà peu brillante et du mareyage atteints par la crise économique. la sous-consommation, la mévente, etc. Contre ce décret-loi, Il n'est pas un de nous qui ne soit décidé a lutter de toute son énergie et même par l'emploi de mesures énergiques. telles que la cessation des achats. mais les Normands pondérés et réfléchis que nous sommes n entendent recourir à ces extrémités qu'après avoir essaye sagement et lermement tout ce qui sera humainement possible pour reclamer et obtenir la suppression du déplorable décret avant de recourir a la grève qui consommerait la ruine des petits pécheurs dont rous ne séparons pas les intérêts des nôtres.

Nous voulons en appeler du Gouvernement mal informé au Gouvernement mieux informé. Pour ce faire, nous allons inviter les parlementaires à intervenir et leur fournir d'abord tous les documents et renseignements dont il- pourront avoir besoin: puis nous assisterons à la réunion de la Fédérat.ion Générale des Mareyeurs de France qui se tiendra à Paris le 25 août et qui sera appelée Il prendre des décisions après entrevue avec le Mintstre de la Marine Marchande c Certes. nous n'ignorons pas que des Syndicats de l'Océan auraient voulu qu'on brusouàt le mouvement e1 même qu'on classât les vitres. Répéter-le Une telle attitude ne convient pas avec les mareyeurs de la Manche, qu'ils soient de Boulogne. Dieppe ou Cherbourg et nous n'nçirons nar la grève que le jour où il sera rétabli que c'est le dernier moyen mis à notre disposition pour obtenir satisfaction Nous avons la conviction que nous n'aurons pas besoin de recourir à cette déplorable extrémité.

Les mareyeurs de Basse-Normandie es sont réunis en prévision de l'assemblée générale de la Fédération du 35 août et ont reconstitué leur bureau commc suit

Président M. Boudard, de Cherbourg- vice-président M. Boidier. de SauiUVaast-la-Hougue: secrétaire, M. Mauger. de Cherbourg: trésorier M. Corftir. de Cherbourg: membres administrateurs Mme Choisy. de Barfleur; MU Coctard. de Granville et Marton. de Grandcamp.

AUJOURD'HUI

Théâtre }.,polio, 13 h. 30, 16 h. 30 et 20 h. JO Etienne.

Cinéma-Palace, 13 h. 30, 16 h. 30 et 20 h. 30 Fanny.

Cinéma KdàUJrza. 13 h. 30, 16 h. 30 et 20 li. 45 Si j'avais un million. Cinéma Olympia, 13 h, 30. 16 h. 30 et 20 h. 45 L'Heritier du bal Tabarin. Amerlcnn Cosmo. 13 h. 30, 16 h. 30 et 20 h. 30 Le Roi des Palaces. Majestic Cir.éma, 13 h. 30, 16 h. 30 et 20 h. 45 Madame Butterfly.

Royal Ciné. 13 h. 30. 16 h. 30 et 20 h. 30 l.F. 1 ne répond j.lus. Plage de Beau-Rivage iL lreiuernoult: 14 heures grande fête eniantine. 15 heures courses diverses à pied, de vitesse, en sacs, à cloche-pied, à reculons.

16 heures concours de sable (sujet libre).

17 heurea concours de grimaces et de chant.

18 h. 30 distribution de nombreux prix.

SERVICE PHARMACEUTIQUE

DU MERCREDI 15 AOUT

MM. Lemaitre, rue d'Orléans 16; Legal, place Bretagne 13: David, place du Port-Communeau, Burbnn, rue de Rennes 166; Berepion, rue Ville-en-Pierre 29; Meneux, quai Fosse 83: Mme Pineau, place Lechat; M. Eon, à Trentemoult.

LES COTES DE LA LOIRE

Tours. Le 13 5; le 14 –6: le 15 –8; le 16 -8.

Saumur. Le 13 34; le 14 34; le 15 30.

Ponts-de-Cé. Le 13 30; le 14 30; le 15 30; le 16 30.

Monljean. Le 13 14; le 14 14; le 15 12; le 16 12.

Ancenis. Le 13 20; le 14 18; le 15 18; le 16 15.

Pour les prochaines Assises La liste des jurés

Voici la liste des Jurés appelés à siéger lors de la prochaine session des Assises qui se tiendra au Palais de Justice pendant la dernière semaine de septembre

Pierre Brétéché, charpentier à Fayde-Bretagne Georges Perraud, boulanger, 6, rue des Olivettes, Nantes Pierre Charron, propriétaire, Saint-Sébastien Pierre Morisset, propriétairecultivateur à Saint-Giléas-des-Bois Adolphe Horeau, quincaillier à La Chapelle-Glain Auguste Courraud, entrepreneur carrier à Orvault; Georges Godefroy, propriétaire à La Louée, Haute-Goulalnes Pierre Meignen, meunier à Gueurouet Jean Lebreton, commerçant à Savenay Philippe Reby. ingénieur agricole 8. avenue de li Pajaudière,. Nantes Jean Bastisse, cordonnier, 66, rue de Paris, Saint-Nazaire Joseph Luneau, viticulteur à La Bourdelière en Vallet Jean-Baptiste Ferray. cultivateur à Mouzeil Joseph Gouard. retraité des chemins de fer, Paimbœuf Gabriel Duclos, propriétaire à Soudan Hector Sudry, industriel, 18, rue du Frère-Louis. Nantes François Boullet, comptable, 34, rue JeanJauras, Saint-Nazaire Norbert Guerry. propriétaire. Saint-Colombin Armand de C ammont. ingénieur à Donges Joseph Audren, charcutier, 9, place du Pilori, Nantes André Fagot, bijoutier, 24, rue de la Marne, Nantes Alphonse Péneau, cultivateur à Renouillé François Rousseau, propriétaire à Erbray Alexis Aupiais. cultivateur à Besné Adolphe Hamon. propriétaire à Châteaubriant Goulven Fouillard. gendarme en retraite a Paimbœuf Clément Robert, forgeron à Trignac Théoplin Mercière, propriétaire à La Limouzinière Paul Tirard, forgeron à Teillé Joseph Thomas-Lacroix. receveur d'enregistrement à Clisson Pierre Monterrain, retraité, rue Garibaldi. Nantes Ernest Redor, cultivateur à Bouguenais Loui, Redor, propriétaire-cultivateur à Orvault Edouard Guilbaud, propriétaire-exploitant à Vallct Auguste Robin, retraité au Landreau Jules Bernier, adjudant en retraite à Blain Jurés supplérnentaires. MM. Etienne Boireau, linger. 19. place de Bretagne à Nantes Gaston Bichon. boucher, 15, rue Louis-Blanc a Nantes: Jean-Baptiste Etienne, propriétaire, 4. rue Linné à Nantes Eugène Ducos, entrepreneur de travaux publics, 6. rue Sully. Nantes.

AUTO CONTRE MOTO. Lundi. vers 18 h. 45 route de St-Joseph-duPortricq un motocycliste, M. Passetot, 31 ans. demeurant au Moulin de BelleIle, en St-Joseph-de-Portricq. a été renversé par une auto conduite par M. Georges Croisier, 56 ans, demeuM. Passetot a été légèrement blessé au oied gauche Une enquête est ouverte.

Echo sur une performance sensationnelle

Certaines personnes ont remaroué aujourd'hui le pasraee dans notre ville d'une voiture poussiéreuse qui disparut à vive allure vers Parts.

Renseignement prix. Il s'agit d'une 60 Peugeot qui accomplit, sous le contrôle de l'A. C. P.. un raid en étoile à travers la France.

Pilotée par M de Lavalette et ayant à bord M. Lumet, le distingué commissaire de l'A. C. F., cette voiture couvre 6.500 kms de Paris à Paris d'une seule traite.

L'intérêt de cette performance sensationn?lle s'augmente du fait que la durée du raid ne dnlt pas dépasser 100 heure, c'est-fc-dire aue la Peugeot doit tenir le 85 de moyenne. maxi. mum autorisé sur route par l'A. C. F. Le succès de l'épreuve est certain avec une 601 Peugeot graissée à Mobiloil.

Non meilleurs vœux aux organisateurs de oe raid.

QUELQUES MOTS SUR LE VIEUX NANTES La rue de la Bâclerie

Les vieilles maisons de la rue de la Bâclerie, près de t'élise Sainte-Croix.

La voie qui relie la rue de l'Emery à la place du Bouffay, en longeant l'église Sainte-Croix, est toujours dénommée rue de la Bâclerie.

Cette rue est bien de celles qui, comme l'a écrit M. le chanoine Durville, renferment une parcelle intéressante de l'histoire de Nantes. » Quelle est l'origine du mot c Bâclerie » ? M. Pied, dans sa notice sur les rues de Nantes, écrivait voici déjà de longues années

« On a cherché à expliquer le nom de cette rue qui est ancienne, puisque en 1669 on y signale le Prieuré de Saint-Martin qui disparut pour la reconstruction de Sainte-Croix. Nous ne prenons garti ni pour ceux qui y fixeraient l'installation « des portefaix. des bâcleurs ni contre ceux qui veulent rappeler le souvenir des arbalétriers qui se réunissaient au xv siècle dans le quartier de « la Baguerie » Notre but dans ce court article n'est nullement d'établir d'où provient exactement l'origine du nom de la rue. mais de rappeler qu'il a existe là autrefois. une a auberge remarquable non pas seulement par la bonne chère et le bon vin que l'on pouvait y trouver, mais aussi par ce que l'on appellerait aujourd'hui sa salle de jeu. où se déroula un drame qui a sa place dans l'histoire locale.

Nous ne pouvons faire mieux pour cela que d'emprunter les lignes écrites par M. Léon Delattre dans son ouvrage sur le passage de Nantes en 1686, des ambassadeurs de Siam, personnalités qui étaient précisément des- cendues dans l'auberge en question « L'Auberge du Bon Conseil » était située dans la maison formant l'angle de la rue de la Basclerie et de la place du Bouffay Elle était fréquentée par beaucoup de gens de condition et bourgeois de la ville, par des étrangers qui y attiraient les jeunes gens à des jeux prohibés. Il sy faisait des pertes considérables c par des filouteries et intersignes entre joueurs Une ordonnance de police du 31 mars 1718 défend aux sieurs « Lamarre, le chevalier Grandmaison et Bassereau, qui ont tenu la dupe et le lansquenet dans l'Auberge du Bons Conseil », de continuer ces jeux de hasard et, t l'aubergiste. de leur donner des cartes ou des dés dans sa maison, sous peine de 100 üvres d'amende.

« Les jeunes gentilhommes venaient souper dans cette auberge en renom, mais ces parties se terminaient parfois d'une façon tragique. C'est ainsi que le samedi soir 1 septembre 1722.

plusieurs d'entre eux, soupant ensemble au « Bon Conseil u, se querellèrent et se battirent. Jean Cadin, beaufrère de l'hôtesse. effrayé du bruit qui se faisait dans l'établissement, alla. chercher Pierre Dupré. maitre-maréchal, sergent de la milice bourgeoise. demeurant au Port-Maillard. Ayant pris sa hallebarde, ce dernier se transporta aussitôt dans l'auberge, avec un nommé Saunier, aussi soldent de quartier. Dupre s'était avancé jusqu'à la porte de la salle où l'on faisait du bruit dans la dite auberge du « Bon Conseil u, il y vit plusieurs messieurs parmi lesquels il reconnut les sieurs de la Maillsrdière-Monneraye frères, au nombre de deux, le sieur de Beaumont-Taron, le marquis de la Roca, et le sieur abbé de la Poèze, que ces messieurs insultaient de paroles il fut dit au témoin dans la dite auberge qu'on avait voulu jeter l'abbé de la Poèze dans le feu.

CI Irrités de voir qu'on était allé quérir la police pour apaiser leur querelle. et à moitié ivres, i's résolurent, pour s'en venger, de forcer le corps de garde de la place du Bouffay, situé vis à vis de cette auberge. « Ils sortirent ensemble et se rendirent, par la rue de la Basclerie, « dans une maison de caffé ». où ils convinrent des mesures pour exécuter leur dessein. Peu de temps après, ils rentrèrent dans le corps de garde, l'épée nue à la main, insultèrent le sergent qu'ils saisirent au collet, lui présentant la pointe de l'épée dans l'estomac et le menaçant de le tuer. Ayant demandé à boire et n'ayant pu obtenir du vin des soldats de la milice qui, tranquillement, jouaient aux cartes de crainte de s'endormir, ils les traitèrent de « gueux. etc. »

« L'un d'eux ajouta « Je m appelle la Monneraye. Si tu remues des yeux. je te passerai mon épée à travers du corps. »

a Ne pouvant se débarrasser de ces forcenés les soldats rirent feu et l'un des assaillants tomba roide mort à la porte du corps de garde. C'était Jean de la Monneraye, écuyer, sieur de la Maillardière et du Bignon. âge de 24 ans. victime d'un souper arrosé trop copieusement à la célèbre auberge du Bon Conseil.

Telle est l'histoire qui s'est déroulée dans la fameuse « auberge » depuis très longtemps disparue, auberge qui. au début du xviir siècle, si elle était célèbre, se chargeait de rendre plus célèbre encore la rue de la Bâclerie. P. B.

ACCIDENT DE TRAVAIL. M. Pierre Faurin, 32 ans, manoeuvre. demeurant au Chapeau-Verni. en SaintSébasttn-sur-Loire. s'est blessé au pied droit en déchargeant un bateau hier quai Fernand Cronan. Paurin a été transporté il l'Hôtel-Dieu.

UNE ARRESTATION. Nous avons relaté la rixe qui avait éclaté le IL août dernier, rue Alain BarbeTorte et au cours de laquelle un manoeuvre René Gulllou. avait eu la jambe droite brisée.

Une enquête avait été ouverte qui. après de minutieuses recherches, a permis au brigadier Roul et à l'1ns̃ pecteur Raffln. de la sûreté, d'arrêter k nommé Hippolyte Le Ludec, 27 ans,

manœuvre, sans domicile fixe, auteur présumé des violences.

Le Ludec a été conduit au Parquet et écroué.

UN AUDACIEUX VOLEUR. Mlle Bernadette Le Régent, domesttque demeurant 23, rue Saint-Yves. a porté plainte contre un mdividu qui, le 11 août dernier, vers 21 h. 30. boulevard Delorme, lui a dérobé le contenu de son sac. soit 152 francs et un agenda Cet Individu qui suivait Mlle Le Régent depuis la rue Crébillon lui arracha son sac et en prit le contenu la jeune femme voulut crier mais l'individu la menaca et comme l'endroit était désert. Mlle Le Régent rentra bien vite chez elle. Une enquête eat ouvert*.

Denis Chrétien a quitté la prison de Nantes pour la Maison Centrale de Fontevrault

Hier matin, à 10 heures précises, une lourde voiture de l'Administration peni- tentiaire pénétrait à l'intérieur de la Maison d'arrêt. Elle contenait déjà un certain nombre de prisonniers dont elle avait pris livraison au cours de son voyage, notamment plusieurs condam- nés au bagne.

Un quart d'heure plus tard, deux avocats franchissaient également le seuil de la prison M. le bâtonnier Martineau et le sympathique Maire de La Bernerie, M' Gautier. Ceux-ci allaient tout simplement rendre une dernière visite à celui dont ils ont réussi à sauver la tête Denis Chrétien. l'assassin de l'épicière de Getigné. reconnu apte au voyage par le médecin de la prison.

Chrétien, les cheveux à ras. habillé de l'uniforme des détenus, les pieds bandés et marchant avec des béquilles (on se souvient qu'il s'était fracturé les jambes en essayant de s'évader» a fait ses adieux à ceux qui lui ont épargné l'exécution capitale.

A midi 15, Chrétien a pris place dans la voiture cellulaire, ainsi que quelques malfaiteurs condamnés par la troisième chambre correctionnelle à la peine de la relégation. Le lourd véhicule est parti pour Fontevrault où le sigistre Greaud se trouve déjà depuis qfpue temps, attendant lui aussi le prochain départ pour la Guyane.

Avis aux meuniers

de la Loire-Inférieure

La Préfecture ttoas communique La question a été posée de savoir comment pourraient régulariser leur situation à partir du 1« août 1934. les meuniers qui n'auraient pas encore satisfait à l'obligation, qui leur était faite, d'employer un pourcentage minimum de blés reportés ou déclarés de la récolte 1932 et de blés stockés de la récolte 1933. dans le cas où ils se trouveraient dans l'impossibilité de se procurer des blés ayant fait l'objet d'un contrat de stockage, par suite de la transformation de ces derniers en contrats de report.

Il est précisé que les intéressés seront considérés comme s'étant mis en règle (mais sous réserve éventuellement de l'application des pénalités fiscales qu'ils auront encourues), lorsqu'ils pourront justifier, par la présentation d'attestations A. R. avoir achete à un bénéficiaire de contrat de report des blés reportés de la récolte 1933 aux lieu et place des blés reportés de la récolte 1932. ou des blés stockés de la récolte 1933, lorsqu'il sera nettement établi qu'il n'était pas possible de se procurer de ces blés dans le département.

LES ROUTES EN RÉPARATION Les conducteurs de véhicules automobiles ou attelés sont informes que le service des Ponts-et-Chaussées procédera, du 13 au 18 août 1934, à certains travaux sur les parties de routes énumérées ci-après

Goudronnage. R. N. 137 de Bordeaux à Saint-Malo, commun.: de Derval. du p. k. 50 au p. k. 59.

R. N. 148 bis. de Poitiers à Nantes, commune de Clissun. du p. k. 28 au p. k. 31.

R. N. 772 de Châteaubriant à Ploërmel. communes de Ruffigné et Rouge, du p. k. 9 à la limite du département. R. N. 773 de Saint-Méen à SaintNazaire, communes de Donges, Besné et Pontchàteau, entre le pont de Nyon et Pontchâteau.

Rechargement. R. N. 772, de Châteaubriant à Ploërmel. commune de Rougé, du p. k. 11 au p. k. 13.

UN COUVREUR TOMBE D'UN TOIT ET SE TUE Nantes, 14 août. (De notre rédanhtion)

Il était environ 19 heures hier. Un couvreur travaillait sur le toit d'un immeuble situé 4, rue Saint-Vincent. A cette heure tardive de l'après-midi, il n'y avait que quelques passants pressés de rentrer chez eux. Tout coup, ils entendirent un cri et. en mène temps, un homme vint s'écraser sur les pavés.

On se précipita au secours du malheureux. Hélas, on s'apearçut bien vite que tout secours était inutile l'homme était mort.

Quelques papiers trouvés sur lui permirent de l'identifier. Il s'agissait de M Pierre oger. 20 ans. 12. rue du Port-Communeau. et travaillant pour l'entreprtse Poirier, 12. rue de Brtord. La voiture des Prompts-Secours arriva et on transporta le corps du malheureux à son domicile, après que le commissaire du quartier eut averti. avec tous les ménagements possibles, la jeune femme du couvreur qui était marié depuis quelques mois seulement. LE DOUX PERMISSIONNAIRE. Edouard Tardiveau. 21 ans, marin à bord du cuirassé Parts, venu en permission chez sa mère. 32. boulevard Van Iseghem à la suite d'une discussion, a frappe sa volslne. Mme titillenos et M fille. dans la journée de. lundi. Sur plainte de Mme Stillanos, un procès-verbal a été dressé contre ce Varia irritable.

;hez les pêcheurs à la ligne 'almarès i% Concours de Clissoe (Suite)

Nous n'avons donné que le palmarès les 20 premiers concurrents classés au concours de la Brème Clissonnaise. Voici la suite du palmarès

21', Rousseau P. (B. C), 160 points: !2', Mornet E. (B. C.), 150 p.; 23'. Le)age J. (B. C.), 140 p.; 24', Chevalier (C. M.), 140 p.; 25', Bouyer A. (B. 3) 139 p.; 26*. Chausspier A. (B. C.), 130 p 27', Rousseau J. (D. M.), 130 p.: !8'. Mouillé A. fils (B. C), 129 p.: !9' Bonhomme J.-B. (B. C.). 128 p.; JO", Poiron J. (B. C). 128 p.; 31', Bre:on P. (B. C.), 128 p.: 32', Merlet C. C. M.). 115 p.: 33', Bossard A. (D. M.), 110 p.: 34\ Carrado (G. N.). 110 p.; 35', Chevallereau, (D. M.). 108 p.; 3ff Raynard (B. CJ, 107 p.; 3T, Mouillé A., père (G. N. ). 105 p.; 38', Locqueneux J (M P. M.). 105 p.: 3a'. Mme Locqueneux (M. P. N.), 102 p.: 40', Gérard (C. P ) 101 p.; 41', Poiron M. (D. M.), 98 p.; 42', Guilbaud G. (B. C.), 98 p.: 43', Lebot (B.O. 95 p.: 44', Ganacheau M. (B. C). 95 p.; 45', Parré (P. A.). 95 p 46'. Richard L (B. C), 93 p.; 47\ Rabin A. (G. N.), 92 p.; 48'. Coutund A. (B. C.). 90 p.; 49'. Bordier R. (M. P. N.), 90 p.; 50', Rabiller (B. C). 90 p.: 51', Lefort F. (B. C.) 90 p.; 52', Ouary fils (C. P.), 80 p.: 53'. Richard A. ID M.), 80 p.; 54', Mabit M. (B. C), 80 p.; 55', Brosseau M. (B. C.), 79 p.; 56-. Mme Violin (M. N. P.). 78 p.: 57", Lemaitre E. <B I.), 77 p.; 58'. Bladviel M. (G. N.), 75 p.; 59', Brosseau J. (B. C ) 75 p.; 60', Mme Lebel (M. P. N.). 72 p.; 61', Luais R. (M. N. P.). 72 p.: 62", Léchappé E. (B. C), 69 p.; 63', Chaillou M. (D. M.), 69 p.; 64', Hervouet P. (D. M.), 68 p.: 65', Thomelet A. (B. C), 68 p.; 66', Kilfey (G. N.). 67 p.; 67", Gaillard E. (B. C.), 65 p.; 68". Lefèvre J. (G. N.), 63 p.: 69', Giquiau E. (G. N.), 62 p.: 70'. Giraudin P. (G. N.), 61 p.: 71', Boisseau E. (B. C.). 60 p.; 72', David (A. N). 60 p.; 73*. Blineau (B. C.). 58 p.: 74', Dugast (B. C). 55 p.: 75', Lebihan P. (G. N), 55 p.; 76', Boyas (G. N.), 53 p.; 77", AN taud (A. A.). 51 p.; 78\ Perrin (B. C.), 50 p.; 79', Levau (B. C). 45 p.; 80\ Maisonneuve P. (M. P. N.), 45 p.; 81'. Fréour (M. P. N.). 43 p.: 82', Dutemple Ch. (M. P. N.), 43 p.: 83'. Bossard M. (B C.), 43 p.; 84', Lefèvre R. (U. P. A. L ) 42 p.; 85', Mallard (G. N.), 42 p.; 86', Roger E. (D. M.), 42 p.; 87", Saffr6 (C P.). 42 p.; 88', Barreaud père (A. N.). 40 p.: 89', Etienne L. (G. N.), 41 p.: 90'. Coatglas (A. A.), 40 p.; 91', Mme Bouet (C. P.), 39 p.; 92', Chapelain B. (M. P. N), 38 p.; 93*. Plessis E. (B. C», 38 p.; 94', Minier L. (B. C.I, 38 p.; 95', Mme Jairidon (A. A), 38 p.: 96'. Aubron M. (3. CI. 37 p.; 97', Merlet (G N.), 36 p.; 98', Huteau E. (A. N.), 35 p.: 99'. Picherie M. (B. C.). 35 p.; 100', Perraud F. (B. C.), 35 p.: 101'. Mme Boulogne (M. P. N.). 35 p.; 102', Couteau Jean IB. C.), 35 p.; 103', Mme Suteau (G. N.). 35 p.: 104', Droneau J. (C. M.). 33 p.: 105', Fonteneau J. (B C.), 32 p.; 106', Pointeau G. (B. CJ, 32 p.; 107', Cornet H. (M. P. N.), 32 prr 108", Euprard lA. A.). 32 p.; 109». Neau M (B C 32 p.; 110', Litou Fr. (B. C.), 32 p.; 111', Etienne M. (G. N.), 31 p.; 112% Poisson Y. (D. M.), 31 p.; 113', Mabit R. (B. C.), 31 p.; 114', Mlle Renolleau (B. C). 31 p.; 115', Guérin E. (B. C.), 31 p.; 116', Gilbert G. (B. C.), 30 p.; 117". Mme Chabert (G. N.), 30 p.; 118'. Piochon P. (G. N.). 30 p.; 119', Mercier 0. (D. M.i. 30 p.; 120'. Leblanc (A. A.), 30 p.: 121', Graveleau A. (0. M 30 p.; 122'. Brosset Ch. (D. M.). 30 p.: 123*, Suteau (G. N.). 30 p.; 124", Remeau (G. N), 29 p.; 125*, Mme Bonnet (C. M.). 28 p.; 126", Durand (C. M.), 28 p.; 127', Leveque (B. C). 28 p.: 128', Robin J. (D. M), 25 p.: 129', Orioux H. (B. C.), 25 p.; 130'. Leroux A. (M.P.N.). 25 Doints.

Trois premières dames classées. 1", Mme Maisonneuve (M. P. N.), 183 points; 2\ Mme Eraud Simone (B. C), 180 p.: 3-, Mmes Locqueneux (M. P. N.). 102 peints.

Enfants. 1er, Eraud Lucien (B. C.). 93 points: 2'. Taté Emilien (B. C.), 85 p.; 3'. Gergaud René (A. N.1. 70 p.; 4', Mlle GuiUet Lucette <R C.1. 37 p.; 5', Chevalier Roger (C. M.). 33 p.; 6', Chabert Robert (G. N.», 23 p.; T, Poiron Pierre (B. C.), 15 p.; 8', Dumoulin Francis (M. P. N.). 12 points.

CONCOURS DE PECHE A LA LIGNE DU VELO-SPORT NANTAIS

Ce fut une bien belle journée que ce concours de pèche du V.S.N. qui s'est disputé dimanche dernier à Thouaré. Près de 40 concurrents répondaient à l'appel des organisateurs. Femmes et enfants assistaient tes pécheurs de nombreux amis composaient la galerie. Au total, près de cent personnes s'étaient donné rendezvous dans l'ile située au milieu des ponts de Thouaré. lieu du concours. Jean Prodhomine fut le grand triomphateur. Il ne prit sans doute pas beaucoup de poissons, mais les trois ou quatre brèmes dépassant la livre qu'il sortit de l'eau lui donnèrent la première place avec 734 points. n tut suivi de Gosselin. 488 points Cuit̃ ton. 317 Leborgne Georges, 272. puis Serenne. Sauzereau. Chenu, Boury. Ricolo, Souchu. Barreau pere, Carcaud. Priol, André Lerivain. Chapeau. Tail- landier, Leborgne père. Gléonec. Bar- rau La Chopine Henri. Bisson. Nau. i Thébault. Guillon. Laporte, etc. Les femmes remplissant les fonetJons de dlaainières participèrent au concours dont le résultat fut le sui·1. Mme Georgelin. 2. Mme Houry, 3. Mme Leborgne, 4. Mme Souchu. et à suivre Mmes Barrau, Angebault, Mlle André et Mme Laporte.

De plus. Guitton enleva le premier » prix des célibataires Chenu et Bisson le prix des dirigeants, enfin Chenu lepr ix réservé à celui qui prit le plus petit poisson.

L'après-midi. après un pique-nique des plus réussi, différentes attraction» eurent lieu. dont voici les résultata Concours de grimaces 1. Elle Pro- i dhorome. Boury. Jean PTodhommejLẽ lous. Hory, ex-tequo. Gleonec et TneConcours de fumeurs 1. Boury. Jean Prodhomme Lelous Thébaut. Taillandie. Verger. Ducos. Bertln

i Course de cent mètres Après deux sértes et un renfrhage. volet le r*5*» de la finale, digne d'un championnat

de l'Atlantique 1. Gléonec. 2. Nau. t. Oeorcelln, 4. Prodhonune Jean, t. Duoas, I. Elle Prodhomme. 7. Boury, I. Lelous.

Enfin pour terminer, un soixante mètres féminin qui obtint un gros succès 1. Mlle André, 2. Mme Verger. 3 Mmes Prodhomme, Oeorgelln, Taillandier.

De nombreux et magnifiques Iota récompensèrent tous les concurrents. Il y avait des prix pour tout le monde grâce à la générosité et à la sportivité de nombreux commerçants amis des sportifs et des membres du V. S. N. Merci donc à ces donateurs. Ce fut avec regret que le soir 1l fallut regagner Nantes, mais avant de se séparer, tous se donnèrent rendezvous au même endroit l'année prochaine.

LE CONCOURS

DU CHEVESNE-PONTENOIS

A PASSAY

Chaque jour nous rapproche du grand concours qui aura lieu dimanche à Passay, organisé par le ChevesnePontenois sous le patronage de l'Echo de la Loire chaque jour aussi marque le succès grandissant de cette épreuve.

Tout le monde veut y assister le Chpvesne-Pontenois a tout prévu on a fait courir certains bruits d'après lesquels il n'existerait pas là-bas d'hôtels pour ravitailler tous les pécheurs rien de plus faux.

En dehors des hôtels. Il y a d'ailleurs des charcuteries, coopératives, des ma- gasins d'alimentation, des boulangeries tout est prévu, les vivres ne manqueront pas il y a même un bureau de tabac fort bien achalandé, car on sait que les pécheurs sont aussi de solides fumeurs bref. rien ne manquera.

Le règlement du concours sera le même que l'an passé en cas d'égalité. le plus petit nombre passe le premier. Le tirage au sort se fera dès l'arri- vée.

A midi, pesage à la coopérative le palmarès sera donné à 17 heures. La distribution des prix aura lieu mercredi 22 août, il. 19 heures 30 pré- j clses. au siège du Chevesne-Pontenols. Ajoutons qu'il y auta des prix spéciaux pour dames et pour enfants.

A LA SOCIETE PROTECTRICE DES ANIMAUX

La Société protectrice des animaux d? la Loire-Inférieure fait oartie du Bureau International des Sociétés pour la Protection des Animaux et, à ce titre, elle a reçu de la Société Protectrice des Animaux de Dresde une invitation à venir participer aux fêtes qui vont se dérouler dans cette ville, les 22. 23. 24. 25 et 26 aotit, à l'occasion du jubilé de cette sociélé de protection qui compte 95 années d'existence et qui considérée comme étant la plus ancienne du contineni.

A cet effet, la S. P. A. de la LoireInféneure demande il ses sicictaires si l'un d'eux, se rendant par extraordinaire. dans cette contrée de l'Europ, pourrait représenter notre groupement de Nantes; il est certainement peu probable que cet appel soit entendu, mais la S. P. A. tenait égalentent, en flisant part de cette fête commemorative à ses adhcreiiis à faire connaître combien, à l'étranger, l'idée de protection des animaux est vivante et développée. la France, pourtant si généreuse quand il s'agit des humains. vient très en retard dans cette idée d'éducation nationale de bonté envers ees frères inférieurs.

LA S. P. A. a recueilli, sur la place de la République, un jeune chien noir blessé qu'elle soigne à son refuge et dont elle désire retrouver le mattre. cet animal n'ayant pas l'air d'un ani- mal errant.

Deux chats ont été recueillis: l'un gris et noir portent collier sans non. avec médaille réfugie rue Casslnl; l'autre lune chatte) noire trouvée pla- ce Anatole-France. Les reclamer au Secrétariat de la Société. 21, rue du Chapeau-Rouge de 11 heures à midi.

COMITE DES LOISIRS

DU PERSO.NNEL MUNICIPAL

DE LA VILLE DE NANTES

On nous comviunique

Dimanche matin, de nombreux camarades ont répondu à l'appel du starter pour l'ouverture du concours de pèche. Par contre, lee poissons oublièrent totalement le rendez-vous que leur avait assigné le camarade Beaumard. et de ce fait les prises furent peu nombreuses. Tant mieux, car il a fallu faire preuve de beaucoup de science et BASSE-GOULAINE Vous êtes prié d'n«*lstpr aux obsequw de

Madame Veuve Eugène CASSARD Pieusement decldee en «on domlcue, anx Va:lées, où le deuil se réunira le mercredi la août, a 17 neures.

Offices pt inhumation Basse-Goulalne De la part des lamllles Cassard. Vralt. Mary. Renaud.

Cet avis tient lieu de faire-part, NANTIS Vous tt8 prl* d'attiater aux obsèques de

Monsieur Y>e* THOMAS

Contrôleur principal des Postes

un retraite

décédé dans «a 74- année. Le deuil na réunira le jeudi 16 août, 8 heures, en l'église Salnt-Fél1x, où les offices seront célébré».

Inhumation cimetière Miséricorde. De la part de Mme Thomas, aon lpousc; des docteur Yves et faux ThoMas; M et Mme Charles Thomas, ses enfants: de Mlle Paule Thomas, sa petite -n lie Mme Ftrec, ea tour, et toute la famille.

Cet avlb tient lieu de faire-part.

REMERCIEMENTS

CHATEAUBMANT M. HervéMi««t. Mme et M. L*ot» Larue et leurs •niants. Mme Mnrle Molas, en religion à Chavagnas. remercient bien vivement toutes les personne» qui leur ont témoigné leur sympathie à loccaslon de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Madame HERVt-MUKBKT

leur mère. belle-mère, grand 'mère et Mur.

1 LA SAINTE MARIE A NANTES

Place Royale, de nombreux acheteun emportent un bouquet ou un pot de fleurs.

seuls les as de la gaule réussirent à se bien classer.

Des félicitations doivent être adressées au vétéran Beaumard. ainsi qu'à sa jeune fille qui se montrèrent des gaulois redoutables.

De nombreux camarades et leur famille arrivés en retard pour le concours participèrent au pique-nique organisé dans un grand pré et où la gaieté régna en maltresse.

L'après-midi, des Jeux et concouru furent organisés concours de coinchée, courses de vitesse, courses de fond, courses de haies, sauts en hauteur, courses en sacs qui amusèrent petits et grands. De sérieuses performances furent réalisées, notamment par le vétéran Albert qui se lit remarquer par son impressionnante toulée duns la course de relais où Il livra un duel farouche à l'autre vétéran Beaumard.

Les enfanta eurent une ample distnbution de jouets et de friandises offerts par le Comité.

En somme, bonne journée de saine distraction pour nos camarades et leurs familles et les absents (se sont toujours les mêmes) eurent encore une fuis grand tort.

Le Comité donne rendez-vous à ses nombreux amis pour l'année prochaine et il s'emploiera à réaliser quelque chose de mieux si possible.

Concours de péché 1. Beaumard Lucien. 2. Corbin Fernand. 3. Beaumard Lucienne. 4. Bernard Henri. 5. cx-œquo, Bossis et Thomaré Henri. 7 Thomaré Armand, 8. Curbin Jean. 9. Thébaud. 10. Heutel, 11. Pirau. 12. Bernard. 13. Corbin père, 14. Musset, 15. Huguet, 16. Mme Beaumard. 17. Chanson. 18. Chanson fils, etc.

La distribution des prix aura lieu. jeudi soir. Bourse du Travail, salle 29. à partir de 18 heures.

UNION NANTAISE

DES TRAVAILLEURS

CHRÉTIENS

L'inter-syndlcale ouvrière fem u. promenade annuelle dimanche 26 août à la Mi-Côtière le voyage s'effectuera par chemin de fer départ gare P. 0. à 9 heures 68. Se renseigner 10 rue de Bel-Air.

CONCERT PUBLIC, Voici le programme du concert qui sera donné par la Musique municipale, sur le cours de la République, le jeudi 16 aoùt, à 20 h. 30, sous la direction de M. Olivier

1. Marche Lorraine, L. Oanne 2. Ouverture de Don Juart a, Mozart: 3. Dans les Steppes de l'Asie Centrale (in- audition). Borodine 4. Ouverture de Patrie », Bizet: 5. Ballet de Faust (la Nuit de Valpurgis). Oounod 1. Introduction et Vaise. 2. Pas de la Séduction, 3. Pas des Nubiennes. 4. Les Troyennes, 5. Toilette d'Astarte, 6. Danse d'Astar.é, 7. Bacchanale, entrée de Pliryne. final.

DÇS COUPS. M. Rtalland Auguste. 44 ans. demeurant à Doulon, a été frappé par son voisin, un nommé Janlève, d'un coup de bouteille. Il porte a la tète une blessure des plus légères.

Louis Drouet. 38 ans, maçon, demeurant avenue de la Floride, a reçu un coup de poing sur l'oeil gauche. L'auteur en est un nommé Gicquau. 39 ans. domicilié 27. rue Billcx. Enquête.

MACABRE DECOUVERTE. M. Edmond Tauve, 48 ans, demeurant rue du Châtelet, à Pont-Rousseau, a découvert lundi dernier, enveloppé dans une serviette, un foetus, avenue Joncour. Une enquête est ouverte. ETAT CIVIL

Naissances. • Jacques Petit, rue Butron 11; Nicole Manceau, place du Bourtny 5: Jean Cftallet, rue BelAlr 47; Henri Simon, rue du MaréchalJoftrv 14: Jean Roncln, rue des Capcins 5; Madeleine Videment, rue Phillp|>e-<le-Broca Il; Claude Foulon, rue lien Balurge* b; Hofcr Béchel. quai de Vermllles 8; Colette Blanchard, avenue Bouchimd 53: Pierre Qulnlou, rue Pierre-Dupont, 28 Claude Visonneau, route de Salnte-Luce 16: Madeleine David, chemin de Chambellan.

£><c*«. Ludovic Vluud, 46 ans, manouvre rue des Usines 24; Odette du Boisguéhenneuc. 24 ans. s. p., place de l'Oratoire 14; Etlenne Le Breton. DU ans. manœuvre, rue Suint-Jacques 86; Paul Bretagne. 75 uns. tourneur eur métaux. lue Michel-Columb 4: Henri Caron 23 ans, cmployé de commerce, rue Joseph-Blunchurd 142. Convois mortuaire*

du mercredi 16 août

4 h. 30 M. Caron. 142, rue JoxphBlanchart, église et cimetière de SteAnne.

LA HAIE FOUASSIERE

GRANDE KERMESSE DES FOUACES ET DU MUSCADET C'est dimanche prochain. 19 août, à 14 heures qu'aura lieu la kermesse paroissiale annuelle. Un grand défilé de chars fleuris, aux accents entraînants de la Fanfare Sainte-Cécile, parcourra les rues du bourg avant de se rendre sur le terrain de la kermesse.

Sous les frais ombrages du-parc de Rochefort. de multioles attractions attendront tous les visiteurs. La pèche à la ligne, à la bouteille, le jeu de matsacre, le puits mystérieux ne manqueront pas d'être tous très achalandés. Chacun voudra tenter sa chance à la tombola volante, à la roue de la fortune, ou rivaliser d'adresse au tir 1 la carabine.

i Une gentille petite noce bretonne

sera de la .fête et ne manquera pas de distraire, même les pliif mn-o^s. Vous viendrez tous applaudir ces jeunes artistes en herbe.

Le muscadet des côteaux dé la Sèvre coulera A flots et vous permettra de défier la soif et de mieux goûteur les délicieuses fouaces du pays de La Haie. A tous, nous donnons rendez-vous dimanche. Chacun aura la certitude de passer une bonne journée dans « la capitale du muscadet

INDRE

AUX CONTRIBUABLES. Le maire d'Indre a l'honneur d'informer ses admlnistrés que par appl ctlt.on fi >s décrets-lois. la oerception de NnntesBanlieue est supprimée

La commune d'Indre est rattachée A compter du 18 août à la perception de la Chnnelle-sur-Erdre, 14, rue Frôdérlc-Caillaux

En conseouence, la tournée nui devait avoir lieu, le jeudi 16 noût est reportée, sauf avis contraire au jeudi 30 août.

REZE

LA SORTIE ANNUELLE

DE LA MUSIQUE MUNICIPALE On iious communique

C'était le dimanche 12 août que la Musique municipale de Rezé faisait, iv St-Mlchel-Chef-Chef. sa dernière sortie annuelle. Celle-cl, comme la précédente du lir julllet, ne manqua pas de gaieté pour chacun, mais particulièrement pour les sportifs du bain et de la pêche Pt mlme pour les amateur» de coups de soleil, ear c'est à ces derniers que l'on reconnalt le vrai sportman.

Après un petit concert pour les enfants, donné dans le parc de la Brise des Mers, les promeneurs de Rezé se rassemblent pour bientôt reprendre le chemin du retour et nous vous disons t au revoir belles et charmantes plages bretonnes qui savez si bien satisfaire les caprices de vos visiteurs.

Nous profitons par la même occasion de porter il la connaissance des personnes qui s'intéressent à la Musique municipale de Rezé. le beau succès obtenu par les élèves présentés aux examens de solfège et d'instruments, le 29 juillet écoulé et dont chacun a reçu sa récomnense. Nous les félicitons et leur souhaitons encore plus de succès pour la prochaine fois. Nous remercions et félicitons également les dévoués animateurs de l'art musical chez ces jeunes cerveaux dont l'éducation ne se fait pas sans peine et sans ,patience, MM. Leduc père et flls, ainsi que M. Simon

Le concours de pêche à la ligne

de l'Union des pêcheurs Dimanche dernier, de 9 h. 30 à 11 h. 30, cent vingt pécheurs à la ligne, s'échelonnaient sur les rives du canal de La Martinlère, à proximité du pont de la Roche, pour tenter de décrocher un prix au concours organisé par notre sympathique société locale, l'Union des Pécheurs à la ligne du Pays de Retz. Malgré une assez forte brise qui gênait nos fins pécheurs dans l'appréciation des touches, pas un n'est revenu bredouille et les prises ont été nombreuses.

Le lauréat du concours a été M. Clément, trésorier de l'U.P.P.R., qui toujours à la peine, a été enfin, pour une fois, à l'honneur. Nous l'en lélicitons et tous les pêcheurs du pays de Rets se réjouiront avec nous de son succès. La bonne humeur et la franche camaraderie n'ont cesse de régner curant le conccurs. Pouvait-il en être autrement, puisque le fameux article 6 du règlement spéculait que a l'aide venant de concurrents ou autres était non seulement autorisée, mais recommandée, à titre de bonne camaraderie De sorte que chaque *concurrent êe rejouissait autant des prises de son voisin que des siennes et qu'à la distribution des Prix, les lauréats étaient applaudis d'enthousiasme par leurs camarades moins favorisés du sort. A 13 heures, un banquet réunissait, au café Catilaud, la plupart des participants du concours. Comme d'habitude, la chère fut exquise et le service Impeccable.

Au dessert, M. Philippot, vice-président de l'U.P.P.R., remercia en termes particulièrement éloquents les diverses personnalités sous le patronage desquelles était organise le concours, et les donateuts qui permirent la distribrution de nombreux prix, suivant le palmarès. Il remercia en outre les diverses sociétés de pécheurs à la ligne qui répondirent à l'appel de l'U,P.P.R. en venant participer au concours annuel organisé par la société.

M. Trémourcux. président de la Oaule Nnzairlenne remercia, au nom des sociétés participantes, l'U.P.P.R. de son parfait accueil et invita les pêcheurs à la ligne du pays de Retz venir nombreux, dimanche prochain au concours organisé par la Oaule Nazairienne il Salnt-Nazuire

A l'Issue du banquet, une fête foraine incitait les pécheurs se reposai

m la ncui nu*

des émotions de la matinée par une visite aux manèges, loteries, tirs la carabine, Installés sur la place de Frossay. On dansa même aux accents d'un orchestre 'improvisé et l'heure vint d'une attraction sensationnelle qui remporta un gros succès une course de bateaux modèles, dans laquelle les Paimblotins, redevables sans doute à leurs ancêtres constructeurs et conducteurs de voiliers, remportèrent la plus grosse part des prix. Voici le palmarès de cette Intéressante compétition

Première catégorie Bateàux de moins de 0,80. 1" prix, « Lulu ». à M. Verset de Paimbceuf; 2' prix. Auguste à M. Guérin Georges, de Paimb uf.

Deuxième catégorie Bateaux de plus de 0,80. ler prix, « Tit Charles », à M. Verset,. de Paimbceuf 2" prix, « Bibi », à M. Morand, de Cuvllly (Seine) 3° prix, Jo-Jo », à M. Ardouin. de Paimbœuf;.

Troisième catégorie Bateaux de plus de 1 m. Prix, a Le Coq il. M. Gueslin, de Paimbœuf.

A 16 h. 30, eut lieu la distribution des prix au café Calllaud. Puis l'heure des autocars étant arrivée, les départs se succédèrent nu milieu d'une joyeuse fnimntion et avec l'espoir de revenir l'année prochaine participer une fois de plus au concours de l'U.P.P.R. ETAT CIVIL

NaUrancr. Roger Rlallot, SB. Gramie-Htiu.

PURNIC

RIEN NE VA PLUS. Mme -Vve Rieupet. nés Martin Eugénie. 48 mis. journalière aux Fosses, en Ste-Marie, s'apprêtait ;t prendre son repas du soir lorsp.ue son ami Soret Jérémie. 46 ans. pécheur, nvec lequel elle vécut maritalement pendant onze années, franchit sa porte et s'inatalla pour prendre part au repas.

Mme Rieupet, qui a signifié congé à son ami depuis quelque temps, repoussa l'indésirable convive qui manifesta son mécontentement par quelques coups de poing au visage de son ancienne concubine. Celle-ci se fit examiner par le doc- t leur Jacqaier de Pornic, et porta ( plainte contre Soret fini avoua avoir un peu bu le soir de la scène, mais c accusa son hcitesae récalcitrante d'être ( elle-même sous l'empire de l'ivresse ce soir-là. t L'enquête se poursuit. ETAT CIVIL. Nata.ianctM. Nor- l nard Renée, rue du Chabut Allnln ] Doulllurcl, au Jardin de Retz. Publication de mariage. Robert l 1 PllsHouneuu. instituteur publie, matelot sans spécialité, aux Equipages de la Flotte, à Lorlent et Andrée Olrbeau, J lnstltutrtce publique, rue de la Dette, t Décès Eriie.-qtltiu Démence, veuve j Monter, 72 ans. e, .p.. quartier Sainte- r DANS LES DOUANES. Nous aptre nommé à Nantes, sur sa demande. Toutes nos félicitations. Il est remplaré i Pornic par M. Daniel Syl- vain, préposé Préfallles. auquel nous souhaitons la bienvenue.

ACCIDENTS DU TRAVAIL. Au cours de son travail, le 6 août. M. Brisson Prosper, 40 ans, charpentier a Ste-Marie-sur-Mer, entploye aux anciens établissements Grimaud. a Pornic, a glicsé sur le ciment et s'est fait une entorse du genou dlroit. Incapacité de travail de 16 jours. Mlle Josette Maraud, domestique chez M. Lcdoux, couvreur il Pornic, a été atteinte au cours de son travail d'une plaie pénétrante de la plante du pied droit. Sauf complications, pas d'incapacité de travail

LA BKRNKRIK-EN-RETZ

FETE PATRONALE DU 15 AOUT. A 9 heures, courses de bicyclettes pour enfants de 3 à 13 ans (150 fr. de A 14 heures, concours de cerfs-volants Il prix et 1 prix d'originalité s'inscrire au bureau du Syndicat. sur la place.

sous lee halles a 15 heures. jeux des Cruches et Jeux divers. Courses à la i valise, en sacs; Jeu du tourniquet. < etc., etc. < A 18 heures, courses d'Anea sur la plage (nombreux prix). < A 21 heures, retraite aux flambeaux, suivie d'un grand feu d'artifice sur ( la plage. 1 AU THEATRE DE LA NATURE, ] Dimanche soir, nous assistions à la 1 belle opérette de Messager VêroniQue. Il y avait foule de spectateurs qui ne ménagèrent pas les applaudisse- 1 monts aux brillants artistes. Nous serions très heureux d'applau dlr de temps à autre cette belle troupe. i Sincères fécilitations aux organisa-'teurs. ETAT CIVIL. Dicès. Chevallier j Henri, représentant de commerce. 74 ans a la Senlietlère.

ACTE DE VANDALISME OU ACCI- ( DENT"? M. Jourde Frédéric, président du Syndicat d'initiative du Re(iois-1'Océan, a porté plainte à la gendarmerie contre inconnu pour la rai- son suivante un banc placé dans le Jardin public par les soins du Syndicat, a été brisé dans la nuit du 8 au 9 août, et le préjudice subi est de 196 francs.

Au cours de l'enquéte, le gardechampêtre émit l'opinion que le banc n'avait pas été brisé volontairement, mais que par suite de sa vétusté, il s'était effondré sous le poids de ses occupants. L'enquête déterminera peutêtre qui a raison du président ou du garde-champêtre.

FROSSAY

Un cycliste

fait une chute mortelle M. Louis Aubinnta, 51 ans, célibataire, manoeuvre aux Poms-et-Chaussées et domicilié au Migron, en Froasay rentrait chez lui à bicyclette, accompagné d'un camarade. Comme il descendait la côte de Bel-Air, 11 perdit l'équilibre et tomba lourdement sur la route. Son camarade le voyant évanoui alla quérir un docteur, mais n'en trouvant point, revint donner ses soins au blessé qu'il ranima. M. Aublnals se remit en selle, monta la côte de Bel-Air lorsque soudain 11 retomba pour ne plus se relever. Atteint d'une fracture du crâne, le malheureux mã noeuvre expira chez lui, où U avait été transporté ^ginnt.

ENTRE IVROGNES, UNE BATAILLE POUR RIRE QUI DEVIENT TRAGIQUE

Un manoeuvre est tué d'un coup de couteau

t Kival entouré de deux agents

Saint- Naza( re, 14 août. (De no- re rédaction). Dans le vieux quar,ier de St-Naz»\ire. de l'embarcadère le Mindin au quai de Marée, se dres.ent d'immenses piles de planches et les hangnrs qui masquent l'estuaire. 2e chantier constitue un lieu idéal jour les règlements de comnte entre ypes du milieu et leurs volages comrognes et aussi pour poivrots qui veuent mesurer leurs forces après boire. Deux de ces galone-chopines. Rival \ndré, 21 ans, manoeuvre, 55, rue Danjou. et Hery Georges. 25 ans, maîœuvre. demeurant depuis quelques ours en garni. 209. rue Henri Gauler, ont commencé d'abord après une ournée de bombe par des luttes ronalne»

Le meurtrier RIVAL André

Leur sang s'échauffant. ils parlè̃ent boxe Je te collerais bien un :oup de poing sur la g. », dit souiain Hery à son excellent camarade. Viens voir un peu ». dit ce lernier

De provocations en menaces, les feux amis devenus adversaires prirent aU sérieux leur rôle de combattant. Finalement Rival sortit son couteau et piqua Hery au cou.

Ce dernier. qui avait une plate xjante. se traîna jusqu'au café du Piotage. où l'ambulance vint le prendre pour l'emmener a l'hôpital.

George Hery a succombé A sa blessure un peu après 23 heures.

Rival a été arrêté chez sa mère, 5, rue de Baillé, mardi matin. Il sera poursuivi pour coups ayant entraîné la mort sans Intention de la donner. M. le commissaire Pacaud a reconstitué les détails de ce drame de l'alcool.

UNE JOURNÉE DE BEUVERIES Lundi, au long de l'après-midi. Rival, Hery et deux copains, Buason Eu-

KPne. 'M Il Il! domicilié 55. rue Danjotl, et Pelven Amedêe. 20 uns. demeurant en garni 209, rue Henri Gautier, nvec Hery. avaient péché au carrelet sur le vieux môle. L'air de la mer donne soif On vint souvent se raviatiller en vins au café du Pilotage. Les quatre pécheurs d'occasion qui taquinaient duvantage la dive bouteille que le poisson, laissant l.\ leurs engins, s'en allèrent errer jusqu'au quai de marée où un bateau letton. Le Livmiia, avec une cargaison de bols, est en cours de déchargement. Deux marins du bord Jetèrent des paquets de tabacs aux Français.

Ceux-ci ne voulurent pas être en reste de politesse et invitèrent a boire deux Lettons. Ces derniers ne se firent pas prier. Et la nore recommença. C'était il se demander où nos quatre gaillards en chômage prenaient l'argent.

Bien qu'il ait d'abord nié le fait, Pelven assistait avec un marin letton it la scène du meurtre de Hery, tandis que le second Letton et Busson étalent partis pour faire remplir de vin deux litres. Pelven a même essayé de culiner Rival.

Tout ce Joli monde s'est expliqué au commissariat des Quatre-Vents.

Rival avait aftirmi qu'après le coup porte il. Hery, il avait jeté son couteau a la mer. Or l'arme, un Pradel acheté quinze Jours auparavant, chez M. Sabauer. rue Thiers, a été retrouvée au chantier de bols Hailaust par Mlle Sardis, une flllvtte de treize ans, dont la famille habite 4. rue Neuve. L'enfant accompagnait Mme Huguet Antonle, née Damour, demeurant 13, rue Neuve, qui voyant les agents chen cher en vain le couteau, dit « Nou» allons bien le retrouver nous autres b. Mme Damour a des talents de détective.

RIYAL A L'INSTRUCTION

A 16 h. 30, Rival était conduit entre deux agents de la Sûreté au Palais de Justice. M. Vallée, Taisant oftice de Juge d'Instruction en l'absence de M. Le»lièvre, actuellement en vacances, a procédé immédiatement au premier interrogatoire. Le personnage u formulé de» regrets.

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« J'ai voulu, a-t-U dit, faire peur a Héry.»

Rival a peur du châtiment. Son attiuedt dément ses paroles. L'injividu a indiqué que le couteau avec lequel avait-frappé Héry ne mesurait pas plus de 0 m. 10 de longueur. On sait par allieurs que l'arme a été retrouvée dans el chantier Hailaust.

M. le juge Vallée a placé Rival sous mandat de dépôt. Le chef d'inculpation retenu contre lui est celui d'homicile involontaire. Il apartiendra à la Cham-

bre des Mises en accusation de disqualifier le cas échéant.

M. le juge d'instruction, montrant une grande maîtrise, a ordonné l'autopsie du cadavre. Nous croyons savoir que la macabre opération a été pratiquée hier soir, à l'institut médico-légal, par M. le docteur Cousin. Cet examen 'a confirmé les constatations faites, a savoir que Héry a été égorgé à 1 1 heures. Le manœuvre a été écroué à la mai- son d'arrêt de la rue du Palais. M. Le- lièvre, qui reprend ses fonctions ae- main, dirigera la suite de l'enquête.

L'endroit où Hery tomba mortellement trappe. Pour ou contre l'assèchement de la Brière

(Suite)

Les fameux canards de Briére.

Tout le monde est d'accord pour reconnaitre que la situation actuelle de la Brière est due au mauvais état ou à l'insuffisance des douves d'assèchement.

La couche de tourbe qui y recouvre le sol sur 0 m. 60 ou 0 m. 80 est presque toujours immergée, et dans toute la région comprise entre Saint-Lyphard et Saint-Joachim, elle ne découvre jamais. Dans les points un peu plus élevés que les eaux abandonnent vers la fin de l'été, on peut faire la « motte » à une certaine profondeur oue définit le niveau de la nappe aquifère.

Les régions tourbées s'abaissent donc, et comme la formation de la tourbe demande un temps considérable les dépressions s'accumulent à la surface de la Grande Brière. retiennent les eaux et ne découvrent plus pendant de longues années.

Les régions bnéronnes. qui ne sont recouvertes que pendant une partie de l'année, présentent la végétation aquatique des rives marécageuses, roseaux, joncs, etc. Mais il faut remarquer que cette végétation ne se développe qu'à

la faveur des eaux qui imprègnent Ie sol. La tourbe assèchée est absolument stérile. On peut s'en rendre compte en obseivant les amoncellements de tour- be sèche qui. pendant des années, ne présentent pas la moindre trace de végétation Or. les adversaires de l'assèchement déclarent que si le niveau était maintenu assez bas dans la Brière pour dé- couvrir les immenses tourbeuses qui sont presque constamment immergées, la protection de la tourbe s'arrêterait, la « n>haigne » dont elle sort étant une plante essentiellement aquatique. Le sol assèche ne serait susceptible de porter aucune végétation pendant des années. Sans doute, on doit admettre qu'à la longue, une légère couche d'humus tendrait à se former et que la composition chimique du sol finirait peut-être par se modifier. Mais il est impossible de fixer le délai au bout duquel le sol aurait acquis une produotion appréciable. Et les Bnèrons verraient la ruine définitive de leurs maigres revenus.

(.4 suivre.)

Un Brieron dans son chaland.

Les fêtes du Petit Maroc

Le samedi l"r septembre et le dimanche 2 auront lieu les fêtes du Petit Maroc.

Elles commenceront le samedi soir par une grande fête vénitienne dans le bassin sur le brodway de la Chambre de Commerce la Société de gymnastique de jeunes filles de l'U. M. P exécutera des ballets et des danses avec orchestre et effets de lumière deux bals en plein air termineront cette première soirée.

Le dimanche matin, tir de bombes, réveil en fanfare et ouverture de l'exposition de bateaux modèles à la Criee. A 10 heures, concours de pèche à la Signe, avec de nombreux prix. Inscription 1 franc

Dans l'après-midi grande kermesse Mrec entrée libre jeux les plu* di-

vers mat de cocagne, concours de fumeurs, de grimacer, repas d'affamés, pèche miraculeuse, jeux de massacre, iapinodrome. ventes diverses, concours d? natation. courses aux canards, cour- ses à l'aviron noces bretonnes, comi- ques ambulants, concerts. Les fêtes se termineront par un su- perbe feu d'artiuces et deux bals populaires.

Le Comité fait appel à tous ceux qui ont des costumes bretons tous les costumes. grands et petits, seront récompensés.

Pour la noce bretonne et le concours de pèche à la ligne se faire inscrire au café de la Mairie ou au café du PUotage.

RENSEIGNEMENTS jrjRIDIQUTiS Contentieux, procès affaire» lltlgteutea Envoi des renseignement» contre man

AUJOURD'HUI

Théâtre Trlanon, à 14 h. 45 et à 20 h. 45 Au bout du monde. Rex. & 21 heures Intermèdes variés. A y h. 30 réunion des Goélands. Pornichet. Deuxième Journée des courses.

Le service médical sera assuré aulourd hui, 15 août, à Safnt-Nazaire, par M. le docteur Brtand.

HEURtS DES Marées

15 août

Pleine mer, matln 6 h. 10; soir 18 h. 25.

Basse mer, matin 0 h. 50: sotr 13 h. 06.

16 août

Pleine mer, metln 6 h. 41; sotr 19 heures.

Basse mer, matln 1 h. 22; soir: 13 h. 40.

LA VIE MARITIME Le cargo Sarcoxie, de l'América France Line. est entré dans les bassins de Saint-Nazaire à Il h.' 30. Il s'est amarré quai Démange, où il débarquera des marchandises pour les entrepôts Daguzan.

Le ponton-grue Broadway a replat dans lâ journée d'hier le mécanisme des nortes n" 2 de la nouvelle formeentrée. Il a regagné son poste de mouillage le soir même.

Sont montés à Nantes le Kolente, le Fort-Lamy et le Penhir.

Ont pris la mer le Zunoüa, l'Emsworth. le Naibo, le Fullerton-Rose, et le Mars.

SYNDICATS & SOCIÉTÉS A L'UNION ORPHËONIQUE L'Union Orphéonlque va organiser un concert à Tharon-Plage. Ce groupement a été remarqué récemment au cours de l'aubade qu'il a donnée aux malades de l'hôpital

A L'AMICALE DES NANTAIS Les inscriptions pour la randonnée du 19 août seront closes ce soir à 21 heures, au café Marceau, siège social de l'Amicale des Nantais. A LA MUTUELLE

DES PONTS ET CHAUSSÉES L'assemblée générale semestrielle aura lieu le dimanche 19 août, à 9 heures 30 du matin, au siège social, salle de la Mutualité, rue du Dolmen. L'EXCURSION DE LA NAZAIRIENNE A SAINTE-MARGUERITE

Comme nous l'avions annoncé, la Nazairienne est allée excursionner, dimanche dernier, 12 août, à SainteMarguerite.

De toute la contrée, la foule était accourue pour assister aux évolutions des gymnastes.

Dès avant le déjeuner, la Nazairienne avait présenté avec beaucoup de brio et de succès ses exercices au cercle de fer.

.Au cours de l'après-midi, les épreuves sportives se déroulèrent sans inLerruption courses, saut en longueur, saut en hauteur, saut à la perche puis la Nazairienne présenta ses meilleurs gymnastes à la bare fixe et aux barres parallèles aux applaudissements répétés de la foule.

M Blanche, député-maire de baintNazaire. accompagné de son adjoint, M. Drouin. avait tenu à honorer de sa présence cette excursion en tous points réussie.

L'EPOUX IRASCIBLE. Le 10 août dernier, le tribunal correctionnel de Saint Nazaire condamnait Couëron Emile. 26 ans, maçon au Pertuis-Chaud. à trois mois de prison. pour coups et blessures sur sa femme et sa belle-mère. Le châtiment n'a pas calmé les ardeurs belliqueuses de l'homme puisqu'en effet, au soir même de l'audience, il remettait ça. » Mme Couëron, âgée de 17 ans, prévint les gendarmes de la caserne de la rue de Pornichet.

.Devant les représentants de la maréchaussée, Couëron fit le bon apôtre et déclara que si sa compagne s'amendait il était disposé à lui pardonner. A peine les policiers avaient-ils tourné les talons Que. c'est la belle-mère, Mlle Gerbaud qui l'assure l'individu administrait à sa femme quelques taloches Après quoi, il prenait son premier enfant et s'éloignait sans mot dire.

Mme Couëron s'est réfugiée à l'hôpital de Saint-Nazaire. Elle est résolue à demander le divorce.

IL A LE VIN MAUVAIS. M. NIcolic Victor, 89 ans, s. p.. demeurant au Pertuis-Chaud a porté plainte contre son fils André, 34 ans. docker au chantier Hailaust et Gulzeitt, pour mauvais traitements.

Une seconde plainte a été egalement enr'egistrée. Elle émane de la fille de M. Nicolic Gabrielle. 38 ans ménagère qui reproche à son frère les mêmes faits.

André Nicolic a le vin mauvais. n y a quinze jours, il a saisi son vieux père par les épaules et l'a mis à la porte de son propre logis. Dois-je ajouter que l'octogénaire était couché ? Le docker donne force coups de pied à Mlle Gabrielle Nicolic

Dernièrement, l'individu s'était vanté d'avoir acheté un revolver. La soeur, indulgente, a démenti ce bruit. La gendarmerie a ouvert une enquête. Comprenant sans doute l'indignité de sa conduite, André Nicolic a quitté le domicile paternel.

UN CYCLISTE HEURTE UNE AUTO. Hier après-midi, vers 15 h. 10. M. Bodiguel Eugène. 20 ans. ouvrier peintre à Saint-Sébastien, en Pornichet. qui passait à bicyclette boulevard Leferme a heurté l'automobile de M. Strosser Georges 38 ans. fabricant de meubles à Paris Le véhicule, indiquons-le, était arrêté.

M. Bodiguel qui était blessé a la tête a été conduit à l'hôpital, où on lui a fait un pansement. La police a ouvert une enquête.

UN OISEAU QUI VIENT DE LOIN. On sait que les mouettes sont des oiseaux migrateurs qui couvrent bien souvent des milliers de lieues avant que de se fixer sur un rivage marin, où elles se reproduiront. Il n'est pas rare d'en capturer qui proviennent de Suède, de Norvège, voire même de Finlande

Hier. M. Roger Henri, domicilié 9, rue du Croisic à Saint-Nazaire a pu se saisir d'un goëland qui portait une bague à la patte avec l'inscription suivante Vogel Warte Rosettten E. 94.325 Germania.

Ainsi, le gracieux volatile a été c lla.gué » en Allemagne.

a u AOUT «a*

£PAVES. L'agent Lelay twcueilli une chienne noire. M. Lavergne Frédéric. 52, rue des Caboteurs, a trouvé un portemonnale contenant une certaine somme d'argent. M. Lequeux, propriétaire du café a Au Bon Raisin » 11. rue Henri Gautier a trouvé une bicyclette. L'agent Bézier a trouvé une bicyclette avec plaque d'identité au nom de Bihot, la réclamer au commissariat de police du premier arrondissement, rue Fernand Pelloutier. M. Bechet, 35, rue Fernand-Gasnier a trouvé un soulier en caoutchouc. Mme Lemaguer, 36, rue de 1 Hôpital a trouvé un petit sac à main. Le jeune Loreau, 4, rue de Normandie a trouvé un mètre pliant. Un gant de filiette et un trous- seau de clés ont été déposés au bureau des épaves.

COLLISION. Hier, vers 19 heu-' 1 res, une lourde voiture de livraison de la maison Drouin roulait rue Thiers, dans la direction de la Gare Au carrefour formé par cette voie et celle des Caboteurs, une auto surgit de cette dernière rue. Elle était conduite par M. Maison, de Lens (Pas-de-Calais). ':Le choc fut très violent. Il y a des dégâts matériels assez importants. UN BEAU COUP DE FUSIL. -1 M. Turpaud, le sympathique propriétaire de l'Hôtellerie du Morbihan, a abattu mardi soir, en Brière. un ma- j gninque ,butor sorte de grand échas- sier appelé aussi « taureau de Brière à cause de son beuglement retentis-' sant. LA MISE EN RECOUVREMENT' DES ROLES. Les contribuables de la commune de Saint-Nazaire sont in- formés que les rôles de l'impôt général et des impôts sur les revenus seront mis en recouvrement le 20 août pro-! chain.

L'ESCROC EN HERBE A ETE ARRETE Nous avons relaté les exploits du jeune L.-L. Albert, 17 ans, sans domicile hxe, qui avait volé une montre sur la place Saint-Marc et s'était fait remettre des denrées par t t'épicier de l'Immaculée. L'individu I avait quitté son patron chez lequel il était employé comme journalier, le 22 juillet dernier. Depuis cette date, il vivait d'expédients.

L. Albert a été arrêté hier par les gendarmes de la caserne de la rue de Pornichet Il a été placé sous mandat de dépôt avec les inculpations de vagabondage. vols et escroquerie. Le malfaiteur en herbe comparaîtra devant le tribunal spécial pour mineurs. MALADE SUR LA VOIE PUBLIQUE. Hier matin. M. Joalland Alexandre, 32 ans. 14., rue Waldeck- Rousseau, qui se rendait à une nhar- marie de la rue du Prieuré, pris soudain de malaise. s'affaissa: on a dû le transporter à l'hôpital. LA LANGOUSTE. M. Rousset, marchand de bière à Penhoët et M. Hervoche. boulanger au même lieu, avaient capturé à la jetée de SaintMarc une langouste superbe (le crustacé pesait près de 6 livres): nos gens pensaient bien se régaler; hélas pendant un stationnement de leur auto, rue Henri-Gautier, trois garnement se sont saisis de la bête. Plainte a éte portée.

IL CAUSAIT DU SCANDALE. Hier, le nommé Perche Georges menait, au Café de la Paix, direction Rousseau, à Penhoët, un tel sabbat qu'on fut obligé de demander l'assis- tance des gendarmes Olliéric et Tur- pin. Perche, qui est en chômage, a été mis à la chambre de sùreté; on a trouvé sur lui un briquet non estampillé.

ILS AVAIENT K EMPRUNTE » LE BATEAU. M. Morice André, 20 ans. manoeuvre, 15, rue Victor-Marre: Joly André, 23 ans manoeuvre, 15, rue du Moulin: Dréan Robert. 29 ans, ma-'nœuvre. 11, rue du Moulin, composent un trio singulier dont les exploits sont déjà très nombreux. Nos lascars, qui erraient sur les quais du port de Méan. ont sauté dans un canot appartenant à M. Fron Francis, 25 ans. demeurant. 22, rue Albert-Thomas. Le vent les conduisit sur la grève de Donges. Dépités, les trois navigateurs durent revenir a pied à Méan. Entre temps, M. Fron avait porte plainte: les gendarmes André et Olliéric s'étaient mis en campagne. Le trio se rendit chez le propriétaire de l'embarcation volée et lui proposa un arrangement. mais ce dernier refusa. Les gendarmes continuent leur enquête.

ETAT CIVIL

Naissances. Pied Mnrie-Thérèse. 7, rue de la Caserne: Vlaud Yvon. bouboulevard Gambetta: Bréteché Ellune, 55. rue de Toutes-Aides; Lalunde Leone, boulevard Gambetta: Le Sen Albert, boulevard Gambetta.

Mariages. Alexandre Danays, retraité des P.T.T.. à Escoublac. La Baule, et Alexandrine Guérin, s. p.. 38, rue de Parts: Maxime Bernard, charpentier 41 Grnnde-Rue, et Marie Durand, s p.. au Perthuis Chaud: Elle Contas. chaudronnier, rue de Méan. domicilié aux Sables d'Olonne. et Yvonne Malenfant, s. p.. 25, rue d Anjou: Lucien Couronné, employé, 14 boulevard PréstdeiH-Wilson. et Georpette Halgand. sténo-dactylo, 25, rue Marcel-Sembat: Emile Corbillé. navigateur. 37. rue de la Paix, et Claudine Guilloux, employée de commerce. 9. rue d'Ypres: Marcel Dfeudonnet, dessinateur 52. rue Waldeck-Rousseau. et Camille Gulllou, caissière. 78 bis, rue Jean-Jnurés: Paul Gouard. professeur, place de la Motte. et Colette Gouard. employée de commerce, même adresse: Marcel Hervy, chef comptable, au Mans, et Jennne Bttllu. employée de commerce. 57. avenue de Lesseps: Fermuid Fetay professeur. 6, rue Arséne-Nouteau. et Annick Blzet. s. p.. 31. rue de Paris. Deces. Delasalle Pierre. 37 ans, manoeuvre 118. rue d'Anjou.

SAINT MALODE-GUEItSAC

TOMBOLA DU COMITE DES FÊTES. Le n" 1818 gagne une bicyclette; le nn 2839 un carillon; le n° 2659 une machine à laver; le n° 1204

un œiviut: u i;uic.

3428 2317 3389 3699 2987 2915 3845 2323 2218 1536 2701 3728 3422 1649 2688 3576 3831 1927 2856 2S96 3770 3945 3866 1827 1744 1287 1444 ?287 1575 3514 3941 3500 2837 1915 3000 2968 3572 3430 2260 2527 2578 3546 3417 2106 1948 3857 2969 3303 i803 3539 2584 3454 2637 1217 1832 3751 3054 3495 3028 1378 1786 3981 1814 1586 1228 2499 3141 1193 1791 1696 1284 3897 2634 1789 3436 1005 1209 1375 2691 3312 2753 3410 3564 3504 1436 1174 1241 3079 3380 2507 1784 2887 3912

Le comité remercie bien sincèrement les généreux donateurs. MM. Serre, Meignen, Fréour Ldnpartlr>nt, Verchin. Malgflnd, simor4 Thornaa, Moyon et i

LA PROMENADE DES ECOLIERS DE MONTOIR

Les petits ecoliers de Montoir en promenade.

Cette année encore, sur l'initiative dc M. Gouret, maire de Montoir et grâce au concours désintéressé de M. Léon Meignen, nos petits écoliers ont passé une bonne journte sur la déli- cieuse et tranquille plage de Pont- Méhé. près Pénestin.

Le départ a eu lieu à 7 heures pnr un temps incertain aux accents joyeux de tout un petit monde endia- blé qui, rêvant de la promenade de- puis fort longtemps, s'était réveillé bien avant l'aube.

La Brière disparaissait sous une brume épaisse et c'est à peine si l'on entrevit quelques Brièrons dans leurs blins et de rares moutons à la recherche d'un peu d'eau fraîche car. chose rare, les marais sont presque à sec cette année. Herbignac est traversé à la hâte et les ruines du château de Ranrouet, qui ont donné naissance a tant. de légendes, ne retiennent pas l'attention, tellement elles sont enfouies dans les broussailles. Un court arrêt il Assèrac pour le ravitaillement et .«errer la main du maire qui tous les ans est heureux de venir nous souhaiter la bienvenue et voilà Pont- Mehé. En un temps record les voitures se vident et la plage est envahie. La marée est basse, le temps propice pour la pèche. Sacs et paniers s'emplissent, rapidement de bons crabes et de savoureux coquillages. On déjeunera de bonne heure car l'après-midi est réservé au bain. Il est à peine onze heures que. confortablement installés dans le bois odorant qui longe la grève, on déballe les victuaitles qui sont littéralement dévorées. Aussitôt après, des rondes endiablées s'organisent. M. Bersihand dirige des courses qui ne manquent pas de pit- toresque.

Malheureusement, le ciel couvert depuis le matin. devient d'un noir d'encre. Une pluie fine, qui vous transperce, commence à tomber.

La Providence a voulu que la ce fortable villa à proximité de laquriie nous somme. soit occupée par un amL conseiller municipal de Saumur, qui est heureux de nous offrir l'hospitalite. Nous le remercions et tout de suite sa maison est envahie. Notre ami est d'une amabilité exquise. Les langues vont leur train, mais malgré tout on est bien inquiet. Tout-à-coup, le vent tourne et le soleil, un soleil tropical, fait son apparition.

La mer est haute maintenant, la plage est sure. la surveillance étroite (Mme Poyard est là. et les enfants prennent leur bain en poussant des cris aigus. On callationne dans le boi8 et c'est une surprise générale quand sonne l'heure du retour.

La route ne pnraitra pas longue, les enfants, gaillards infatigables, chanteront tout le temps en entlant leurs voix dans la traversée des villages. M. Guérit, notre jeune et sympathique instituteur qui nous accompagnait, avait, pour la circonstance, composé (paroles et musique) une jolie chanson bien appropriée.

Le soir à Montoir. les enfants, la direction de l'auteur, la chantèrent devant un public ravi.

Les écoliers se souviendront longtemps de M. Léon Meignen à qui il. doivent ces belles sorties. Quant à naus, non" sommes heureux de 1" remercier une fois de plu:, de vouloir bien, tous les ans. mettre gracieuse ment ses voitures et son personne. ainsi que lui-même d'ailleurs, au service des enfants

M. Gouret a droit a tous le., éloges pour la bonne organisation des excur sions qui se passent toujours sans le moindre incident fàcheux.

Quant aux dames qui se sont de.voûtes pour la surveillance et le ravitaillement, elles ont droit aussi il des romplimenr.s. L.

LE GAVKK

UN DÉSESPÉRÉ. M. René Pasgrimaud. 46 ans, grand blessé de guerre, demeurant à Langlecbrais, souffrait beaucoup de ses blessures de guerre et avait manifesté l'intention d'en finir avec la vie. Le 9 cnurant, dans la soirée, il a mis son funeste projet à exécution en se jetant dans la rivière.

Le permis d'inhumer a été délivré après les constatations de la gendarmerie de Plessé.

Le défunt laisse une femme et un enlant.

PONTCHATEAU

AU CALVAIRE. Mardi 4 septembre, grand pèlerinage de larrondissement de Nantes, sous la presidence de M. le chanoine Masson

A 10 heures (heure légale), visite des sanctuaires du Rosaire.

A 11 heures, grand'messe à la Scala Sancta, avec sermon.

A 14 h. 30, chemin de croix chanté et prêché.

A 15 h. 45. salut du Saint-Sacrement, vénération des reliaues du P. de Montfort. Prédicateur. M. l'abbé Renard, curé de la Bernerie.

Sera commimiqué ultérieurement par la Presse. l'horaire du train spécial projeté, Challans-Pontchâteau par Machecoul. Bouaye, Nantes, avec réduction de 50 sur le prix ordinaire des billets, ce qui abaissera aux environs de 25 fr le prix du trajet aller et retcur Challans-Pontchàteau (y compris gare de Pontohâteau-Calvaire. pour le service spécial d'autocars).

Cette même réduction de 50 est accordée sur les lignes Clisson-Nantes, Pornic-Nantes et autres, pour les trains

de correspondance avec le train spécial Nantes-Pontchâteau.

Prière de se faire inscrire au plus tôt chez MM. les curés, et avant le 20 août, date extrême où les compagnies de chemins de fer devront connaître le chiffre des pèlerins pour organiser leurs services

En cas de mauvais temps, un abrl est. assuré aux pèlerins tant pour les offices religieux oue pour les repas. GUEMENK-PENFAO

UNE AFFAIRE DELICATE Mme veuve Macé. née Cheneviére Anne. 32 ans, domestique chez M. Gegot Louis, 49 ans, propriétaire il. Gascaigne, a déposé une plainte pour coups et blessures contre son patron.

La plaignante déclare qu'elle entra au service de ce dernier le 12 janvier 1934. Dans la nuit du 5 au 6 courant le portefeuille de M. Gégot contenant de 3 à 4.000 francs, déposé dans son veston prés de son lit. disparut. Aucune personne étrangère n'étant entrée dans Etude de M' LUNAUD. notaire

à Salnt-Naznlre

ADJIIDICATION VOLONTAIRE en l'Etude, le mardi 28 uoùt 1934 à 15 heures

VILLE DE SAINT-NAZAIRE

Rue du con:mandant-Gâte, n» 83 ayant neuf pièces sur caves, avec vérandah et dépendances. Parc boisé et Jnrdln potager et fruitier. Le tout clos de murs, d'une superficie de 3.300 mi environ. Joint au nord la rue du Commandant-Gâté.

Mlse à prix 120.000 francs Pour tous renseignements, s'adressa- au dit M- LUNAUD.

I Conseils aux Gourmets j =Vous apprécierez mieax HORS-D'OEUVRE, COQUILLAGES, æ' CRUSTACÉS POISSON, en les accompagnant d'un excellent m VIN BLANC DEMI-SEC FRUITÉ, à condition qu'il soit bu | TRÈS FRAIS. I VIN BLANC BORDEAUX 1IK.MI-SKC KM'ITfi S (Spécial pnur ( o<|li II limes. Crustacés, Poisson) = Ensuite, vous continaerez votre repas avec une bonne bouteille = de V1N ROUGE SÉLECTIONNÉ de qualité suivie BASSOUR 12" | 1 provenant des Hauts-Plateaux, fils Généreux d'une Terre de 5 = Soleil et de Lumière, plein de sève et de chaleur. s I VIN ROUGE SUPERIEUR I | Bassour 12° (puuèuùV) Vous sortirez de table le coeur joyeax. s I Un repas sans bon vin | I est une journée sans soleil i En vente dans les meilleures Maisons d'Alimentation 2 E F. LEHUEDÊ Vins en «to» BATZ-Sl'R-MER Téléphone 33 ^p

la maison cette nuit-là, la domestique fut interrogée à ce sujet.

Depuis, le patron et la domestique ne s'entendent plus. Cette dernière, en plus de sa plainte pour coups a dénoncé des faits graves contre son patron qu'elle a quitté. M. Gégot nie tous ces faits. Il reconnait toutefois lui avoir jeté de l'eau' avec sa lance d'arrosage parce qu'elle a pénétré chez lui en fracturant la clôture de son jardin.

Enquête de la gendarmerie.

COUERON

Une barque chavire en Loire Deux jeune* colnmie bouchers se noient

Saint-Nazaire, 14 août. (De notre rédaction

Lundi soir, vers 20 heures, MM. Fétaut Edouard, 23 ans. natif de Challans (Vendéel et Piperne Henri. 14 ans ̃nc-^ de la Barre-de-Monts «Vendée», com*j mis chez M Gouard, boucher à Coueron, jetaient des « abats » et autres détritus dans la Loire. Ils se servr,ient d'un canot long de 3 mètres 50 et lar« ge d'à peine un mètre. La vidange ••t faite les deux jeunes gens regagnaient le rivage, lorsque, à 20 mètres de celui-ci, la barque chavira. Henri Piperne 4; tomba l'eau. Pitaut, excellent nageur, plongea pour essayer de sauver son ami. mais comme il venait de manger. il fut pris de congestion et coula à pic. Son corps a été repêché environ quarante minutes plus tard M. le docteur Louais, appelé, tenta pendant pres de deux heures de le ramener à la vie. Tout fut inutile. Le cadavre du jeune Piperne n'a pas encore été retrouvé. M. Pitaut devait se marier prochainement. Sa fiancée est une Couëronnaise.

Aux familles nous offrons nos condoléances.

SurlaCôtefAmoori LE CROISIC

A LA SALLE JEANNE D'ARC. Mercredi 15 courant, dernier jour de la A 17 heures précises. Mademoiselle Maria Sublime, violoniste de la f Scho- la bantorum de Paris, se fera entendre dans plusieurs morceaux de son réperI' toire.

Elle sera accompagnée au piano, par M. G. Audrain. qui donnera en outre, plusieurs morceaux du compositeur alsacien Burgmuller. BATZ-SUR-MER

TOMBOLA DE LA FETE DU SEL. Volet les numéros gagnants de la tomirola tirée l'occasion de la fête du Sel et dea Plaludiers

269 272 288 298 313 331 1008 1016 1036 1068 1073 1084 1106 1112 1127 1140 1148 1155 1170 1177 1188 1192 1219 1224 1242 1258 1260 1280 1284 1285 1301 1317 1325 1340 1380 1362 1377 1382 1397 1402 1415 1422 1448 U59 1464 1478 1487 1498 1509 1519 1527 1533 1544 1555 1619 1627 1645 1654 1669 1734 1746 1755 1770 1780 1784 1798 1806 1816 1828 1837 1850 1866 1875 1889 181*5 1909 1917 1930 1935 !948 1964 1964 1978 1985 1998 2004 2013 2030 •tOU 2044 2055 2064 2075 2086 2099 2106 SH7 2128 2131 2143 2156 2178 2186 2195 utOOt 2211 2228 2238 2245 2264 2276 2288 2294 2302 2318 2327 2333 2352 2364 2371 2436 2448 2456 2466 2475 2506 25:i6 2547 25U 2564 2530 2589 261» 2827 2640 2644 265C 2667 2677 2689 2699 2728 2734 2750 2758 2762 2774 2790 2793 2809 2818 2824 2838 2845 2854 2865 2875 2888 2895 2905 2918 2925 2937 2947 2967 2978 2985 3010 3017 3027 3037 3050 3060 :iO61 3090 3096 3107 3125 3149 3155 3167 3178 3188 3196 3205 3217 3255 3269 3*74 3283 3293 3303 3315 3M6 3334 3343 3358 3368 3371 3385 4003 4017 4024 4034 4047 4052 4069 4074 4087 4100 4104 4119 4126 4139 4141 4166' 4175 4186 419q 4207 4219 4224 4235 4249 4261 4267 4278 4290 4296 4306 4314 4321! 4340 4350 435S 4365 4375 4390 4398 4408 4418 4430 4437 4448 4459 4466 4478 4487 4500 4506 4416 4523 4535 4547 4586 4677 4587 4597 4605 4614 4626 4633 4647 4657 4M 4676 4684 4691 4704 4717 4722 4738 4760 4768 4776 4781 4306 4817 4828 4838 4856 4863 4873 4885 4896 4903 4910 4929 4937 4942 4952 4U8 4977-

lA bicyclette porte le N. 3204.

Ie mouton, le N° 1287.

Le service thé, le N, 1473.

GUERANDE

FOURCHE ET BATON ENTRENT EN JEU. Dans la soirée du 9 août, vers 30 h. 30, Alexis Malenfant, 55 ans, paludier à Kerigny. en Ouérande. constatant que sa barrière indivise avec son voisin Perreon Henri, était restée ouverte de par la faute de ce dernier, lui reprocha sa négligence, en termea assez vifs.

Perreon, vexé de recevoir des reproi ches de Malenfant, le frappa d'un coup de bâton. Sur ce, la fille d'Alexis Malcnfant s'arma d'une fourche et poursuivit Perréon.

Plainte a été portée à la gendarmePIRIAC C YACHT EN DERIVE. Lundi matin, vers 7 heures, le patron de pêche S Patrice Lagré, a rencontré près de la côte le yacht Banco, du Croisic, chassé par le vent et n'ayant à bord aucune personne. Ce yacht, qui avait mouillé dimanche noir devant l'ile Damet. où son personnel avait campé la nuit, avait brisé sa chaine et était parti à la dérive. Il a été amarré au port de Pirtac. PETE DES ANCIENS COMBAT- TANTS. La fête des anciens combattants, prévue pour le 15 août, n'aura pas lieu. Elle est reportée à une date ultérieure.

TRESCALAN

SUR LA ROUTE UN CYCLISTE HEURTE PAR UNE AUTO. Dans la soirée de dimanches, un cycliste, M. Courjal revenait des courses de Gué- j rande, accompagné de sa lillette, àgee de 16 ans les deux personnes tenaient leur droite le long de la voie du petit train.

Une auto, conduite par un entrepre- neur de Guérande, allait les doubler, lorsqu'un nouveau cycliste survint en sens Inverse.

L'entrepreneur, pour éviter ce dernier, donna un coup de volant à droite mais dans la manœuvre. Mlle Cour-!jaI fut heurtée et se fit de? blessures et des contusions, qui. sauf complications, n'auront pas de suites graves. SAINT-MOLF

UNE ALERTE. Dans l'après-midi de lundi 13 août. vers 17 heures, le clairon des pompiers alertait la population guérandaJse. Un Incendie venait de se déclarer dans la propriété de Clin, en Saint-Molf. dans la demeure du fermier OuJbert. Heureusement, cet incendie n'eut pas de suites graves et tut rapidement Trwiltrtié-

LÉ POULIGUEN

LES REGATES

La clôture de la semaine maritime a eu lieu dimanche par un temps idéal pour ce sport. Vent assez fraia, mer belle, température moyenne, beau soleil.

Cette dernière journée fut un véritable succès.

Par une année de crise algue, 28 yachts ont coupé la ligne de départ, dont un lot de cinq huit mètres de la jauge international?.

Les régates ont été suivies avec le plus vif intérêt par plusieurs milliers de spectateurs qui se serraient le long des rembardes du quai. Des centaines de voitures, alignées Sur les deux rives du port, avaient déversé leurs occupants, dont un nombre imposant avait pris placa sur la plage Benoit.

La distribution eut lieu le soir à 21 heures à la mairie du Pouliguen devant une affluence inaccoutumée.

Sur l'estrade M. Je Marcheville, délégué officiel du Y. C. F.; M. Binet, présida de la Scciété; amiral Langier. président <* honneur et les présidents des Sociétés ou Fédérations MM. Lory, de Farcy, etc,

La lecture du palmarès fut faite par M. Deverre, président du jury de course.

Les coupes. véritables objets d'art, furent distribuées par les présidents. Parmi les coupes, citons celte du Cercle à la Voile de Chatou; du Maire du Pouliguen, de la ville du Pouliguen, de l'Oueat-Eclalr, de MM. Louis et André Cointreau, de la vllle de La Baule. de l'Association des propriétaires du Pouliguen et les prix du Ministère de la Marine. Enfin un superbe tableau Le Port de Saint-Jean Cap Ferrât don de M. Mary Mercier, de la S.R.P.B.. médecin du service sanitaire de la marine.

Concurrents, jury et amis sablèrent le champagne, puis tous allèrent rejoindre les invités à la salle des fêtes de l'Hôtel Neptune où avait lieu une soirée dansante qui. elle aussi, eut le plus vif et le plus franc succès. La gaieté, l'entrain régnèrent jusqu'à une heure du matin sans désemparer. Les danseurs s'en donnèrent à cœurjoie. A un moment, plus de 200 personnes se preaaaient dans cette salle des fîtes qui, pas extensible, donna quelques inquiétudes aux organisateurs.

Les grands vainqueurs de la semaine furent

Pour la croisière, prix des Cies de Navigation. M. J. Binet; coupe de La Baule, M. de Kerviler; coupe Louis et A. Cointreau, M. de Kersauzon. Prix du Y. C. F. 8 m., M. Lory-Fortin.

Coupe des propriétaires du Pouli- guen, 6 m 50, M. Le Guillou. Coupe de l'Ouest-Eclair, monotypes Loire, M. Binet.

Coupe du maire du Pouliguen, H.N M. Aubineau.

Coupe du C. N. de Chatou. 8 m.. M. F. Guillet.

Prix du Y. C. F., 6 m. 50, M. Le Guillou.

Prix de la Cie des Chemins de Fer du P. 0., M. Binet.

Prix du baron A. Berget, H. N., M. Aubineau.

Prix Beiltn. H. N., M. Aubineau. Les dimanches d'août et septembre, les monotypes disputeront les cDaum> de l'Ouest. Eclair.

ETAT CIVIL. Mariage Henri Rossignol. entrepreneur de travaux publics, domicilié. 16. rue de l'Hôtel-deVllle à Evron (Mayenne et Anne Carrl, ». p.. domiciliée 35, rue Saint-Martin, Mayenne, et résidant au Poultguen, rue du Bols.

LA TURBALJLE

LA QUESTION SARDINIÈRE Nous avons annoncé hier que la flottille ne devait pas se rendre sur les lieux de pêche merdi Cette décision a été prise à la suite de la diminution des prix d'achat des usines. La sardine, payée jusqu'à présent 180 francs les 100 kilogs aux pécheurs avant midi et 175 francs après-midi, ne sera plus achetée qu'à raison de 170 francs avant midi et 155 francs après-midi. La nouvelle a causé un gros émoi à La Turballe. Le syndicat a convoqué ses membres. On peut s'attendre à des décisions importantes à très bref délai.

LA BAULE

TROP CONFIANT,

UN HOMME D'AFFAIRES

SE FAIT VOLER 7.000 FRANCS Dans un bon hôtel de La Baule, était descendu un agent d'affaires qui y fit la connaissance de deux couples qui attirèrent sa sympathie. Au cours de la conversation, l'agent d'aflaires confia à ses nouveaux amis qu'il avait découvert, dans sa chambre, une cachette merveilleuse pour mettre son argent à l'abri et la leur indiqua, Dans la nuit de vendredi à samedi. pendant que M. Méaux Gaston, l'agent d'affaires, s'était absenté, les amis occasionnels pénétrèrent dana sa chambre et firent main baaae sur 7.000 francs dissimulés entre les sangles et le siège d'une chaise, puis, prenant leur voiture automobile filèrent à l'anglaise, oubliant de payer leur note d'hôtel

L'auto est une conduite intérieure gis fonce marque Peugeot, immatriculée 326-BA-S. Les voleurs possèdent un chien de berger allemand. Ils ont donné de fausses identités sur les fiches d'hôte).

AU CASINO MUNICIPAL LE PROGRAMME DE LA SEMAINE Cette semaine au' Mustc-Hall, la chanteuse Mary Dltrlx. les Jovers, clowns, les danseuses Lucette Darsonval et Stanley Bari.

Au Cinéma Mercredi 15 août, vendredi 17, en matinée, en cas de mauvais temps Lea invités de huit heures. Au théâtre jeudi 16 août, en matinée Le Théâtre du Petit Monte en soirée tournée Baret Le Duel. Dans le Hall Mercredi 15 août. Gala du Quinze Août; Jeudi 16 août, Grand

bals travestis vendredi 17 août, Bal de l'Automobile.

A Ker Causette Mercredi 15 août, La Vénus de bronze jeudi 16 août, L'Adonis de bronze.

Samedi 18 août, Aux Ambassadeurs, Dlner de gala fleuri.

UNE NUIT A HONOLULU

La scène, dans un décor exotique, M. Harry Pllcer présente dimanche La Nuit d Honoluiu, qui a, auprès du pupublic le même fidèle succès que les préctdentes présentations.

Le jury, présidé par le vicomte Curial décerne aux rôles du soir 1" prix, Mme Trassard 2' prix, Mme de Lacour, aux costumes exotiques Hors concours Mlle Mary Shilson, la reine de la Baule 1" prix, Mme Jouffroy 2' prix, Mlle Bobgyska et Mme JaI vonhey 3' prix, Mlles de Valcour et Raymonde Legrand.

COUPE DE Mmc F. ANDRt

Ci-dessous, résultats du concours pour la Coupe de Mme F. André, coupe challenge offerte par Mme F. André. dames et messieurs, match play handicap, qui a eu heu du 6 au 10 août 1934, au golf de La Baule

Demi-finales M. G. Bérard (24) bat M. J. Lemarié (22) par 6 et 5 M. D. C. Goold (11) bat M. W. Semple (18) par 4 et 3.

Finale M. D. C. Goold bat M. G. Bérard par 2 et 1.

La coupe, prix de la compétition, a été remise au gagnant par Mme F. André, elle-même, présente au golf au moment de la rentrée des finalistes. Noté au hasard parmi les joueurs sur le terrain MM. F. et G. de Charbonnière, Mlle V. de Charbonnière, M. et Mme Briton, M. et Mme Clautrier, M. Boyer-Vidal, baron et baronne Marochetti, M. Viraut, M. Ploix, Mme d'Alvina, Mlle de Braine, M. et Mme Luggan, colonel et Mme Mac Ready, Mlles M. et Ch. Wauthner, M. Carton, M. i E. J. Conil, M. Labauve, M. J. Hau- vette.

A KER CAUSETTE

Dimanche 12 août, le concours de la Robe de Plage la plus audacieuse s'est déroulé devant plus de mille spectateurs. Les concurrentes particulièrement jolies, ont été présentées par Harry Pücer, devant un jury composé de Mlle Mary Shilson, reine de La Baule estivale; Mme Kyriacopoulos; M. Souplex; M. Dlgard; M. Rolland Dreyfus.

Les résultats suivants ont été annoncés par M. Georges Mockers 1" Grand Prix Mlle M. Hamot, dans un délicieux ensemble bleu nat- tier; 1" prix Mlle Llly Jessua; 2 prix Mlle Jouffroy; 31 prix Mlle Gilberte Lévy, Mlle de Michaelis. Un prix d'originalité a été décerné à Mlle de Valcourt. L'âme du marin breton On entend parler du marin en bien et en mal. Tous sont d'accord pour admirer son héroïsme dans les tempêtes et dans les sauvetages, mais beaucoup l'accusent, avec combien de légèreté, de bien des défauts qu'il n'a pas.

Le P. Lebret. qui connaît le marin (il a été marin lui-même) parlera le 22 août, à la Salle de Cinéma du Casino de La Baule. du marin et plus particulièrement du marin breton. I1 ne taira pas ses héroïsmes. il ne voilera pas ses misères, surtout sa grande misère matérielle, l'immense détresse des foyers bretons de la côte.

Il cherchera à montrer comme s'unissent dans le marin breton la mystique de la race bretonne et les qualités des gens de mer.

Après la conférence, sera présenté un film maritime sonore et parlant Jeunes marins, vieilles chansons, de la collection du Ministère de la Marine. La conférence aura lieu à 15 heures. On peut se procurer des billets d'entrée (15 francs et 10 francs) au Casino de La Baule et aux bureaux de l'Imprimerie La Mouette à La Baule. Pour la location, s'adresser au Casino de La Baule.

COMMENCEMENT D'INCENDIE. Dimanche, vers 16 heures, des jeunes gens passant avenue de la Gare, re- marquaient une épaisse fumée sortant d'une fenêtre de l'appartement de M. Moreau, dentiste. Sans perdre un Instant, ils montèrent par l'extérieur de la maison, utilisant le tuyau de descente des eaux du toit. jusqu'au premier étage. Pendant que l'on allait alerter pompiers et gendarmes ils mirent un tuyau d'arro.;age en batterie et attaquèrent le foyer d'incendie qu'ils réussirent à maîtriser.

Les dégâts matériels sont assez importants, le feu s'étant déclaré dans l'atelier de prothèse. Divers objets sont détériorés. On ignore les causes de ce commencement d'tncendie

rORNICHET

LE PROGRAMME DES FÊTES DE LA T QUINZAINE D'AOUT Nous donnons ci-après le programme des fêtes de la deuxième quinzaine d'août.

Aujourd'hui 15 août, à 9 heures, épreuves d'athlétisme au centre de la plage, sous la direction du professeur A 13 h. 15. sur l'hippodrome de Villès-Liron, deuxième Journée des grandes courses de chevaux sept epreuves, dont le grand prix de Por- nichet (13.000 fr.).. Demam jeudi 16 août, à 21 heures, au casino, grand bal organisé par la société des fêtes concours de la plus belte coiffure, nombreux prix. Le 18 août, à 15 heures, concours de maillots de bains sur la plage, en face le Sélect-Club (lots exposés chez notre dépositaire, M. Debord). Le 19 août. kermease paroissiale de Notre-Cerne, dans le parc de la villa Marie-Antoinette, avenue de la Gare. A 14 heures, concours de basket -bail en face les établissements Pierreville Fils coupe du Pamiry-Hôte?.

A 14 heures étalement. t;>reuve«> de natation en face les bain.' Beiit-rue. Le 24 août, à 14 heures, concours de vo))er-ba)l. en face les bains Nfp- tune (challenge de M. ErnaulJ, DI- JouUer. avenue de la Gare)

Le 21 août, à 16 heures, concours de sable et de sauts, en face l'hôtel des bastien. Fête foraine, munique, Jeux

Le 30 août, à l'occasion du passage des coureurs du Circuit de l'Ouest Cycliste, organisé par L'Ouest-Eclair, au centre de la plage, concours de sable et jeux divers (nombreux et jolis lots offerts par L'Ouest-Eclair). Les courses de chevaux La Grande Semaine de Pornichet continue de se dérouler avec le plus grand succès. Hier mardi, a eu lieu la première journée des courses de chevaux, dont nos lecteurs trouveront les résultats en chronique sportive. Dès le matin, de gais pavillons flottaient partout et l'animation était très grande dans les avenues et sur le boulevard de Mer.

A 13 heures 30, on se dirigea vers le i bel hippodrome de Vlllés-Liron II y avait, reunie là, l'élite de tous les villégiateurs de In Côte d'Amour.

Parmi les personnalités présentes. nous avons remarqué MM. Jacques Hirino. comte du Moulin de Rochefort. vicomte de Boispi'an. comte Hubert de Montnigu. MM. Jules Guyon. Ménager, etc.. etc.

Les courses furent très intéressantes et le pari-mutuel fonctionna sous la direction de M. Taffin. Le starter était M. le commandant Marchai, avec M. Benoit comme adjoint.

Service d'ordre très bien fait par les gendarmes des brigades de La Baule ¡ et de Pornichet, sous les ordres de M. l'adjudant Moureau. Au cours d'une épreuve, un cheval tomba, entraînant son jockey, qui n'eut heureusement aucun mal. Le cheval, par contre, se brisa une patte. La Lyre de Pornichet. que dirigeait i M. Delvigne prêtait son concours. Le soir, eut lieu une superbe retraite aux flambeaux avec la Lyre et la clique des Chantiers de Penhoët. Elle fut suivie par une Immense foule de vlllégiateurs.

Aujourd'hui 15 août. deuxième journée des courses.

ELECTION

DE LA REINE DE LA PLAGE Au cours d'une brillante soirée qui a eu lieu au casino. Mlle Andréa Lucet a été élue reine de la Plage de Pornichet. C'est une charmante blonde qui se fit applaudir récemment pendant un bal où elle personnifia une poupée mécanique avec un art consommé.

Nous sommes heureux de présenter A Mlle Lucet nos plus vives félicitations.

AU CASINO. Aujourd'hui mercredi 15 août, au casino, à 21 heures grand gala dansant Une nuit dans' le Shangai Express concours de danses.

LE CONCOURS DE PHOTOGRAPHIE, Nous attirons, à nouveau l'attention de nos villégiateurs et de nos concitoyens sur le concours de photographie, doté de 1.000 francs de prix, qui doit se terminer le 20 août. Nous engageons ceux qui n'y ont pas encore participé à se procurer le règlement au bureau de renseignements, du S. I., avenue de la Gare (près le passage niveau).

RENVERSEE PAR UNE AUTO. Au village de la Villès-Liron, sur la route de Saint-Nazaire, Mme Gullller née Marie-Louise Hodé, 65 ans, en villégiature villa Brise des Marais, qui venait de chercher un litre de vin a été renversée par l'auto ae M. André Labbez, 26 ans, représentant de commerce à la Bernerie.

La voiture s'est arrêtée aussitôt Mme Guillier. qui était blessée à la cuisse et au bras gauche a été relenée et conduite à son domicile où elle a reçu les soins nécessaires.

UNE ALERTE. Une auto avait commencé de brûler auprès de l'hôtel des Charmettes. Les pompiers de Pornichet furent alertés mais lorsqu'ils arrivèrent, des passants avaient éteint ce commencement d'incendie à l'aide d'extincteurs.

Nous complimentons néanmoins nos braves sapeurs pour leur promptitude. LA « NAZAIRIENN6 a A SAINTE- MARGUERITE. La société de gymnastique La Nazairienne est venue excursionner dimanche à Sainte-MargueLa veille au soir, une brillante retraite aux flambeaux avait été organisée par les villégiateurs de la coquettte station.

Les exercices sportifs se sont suc- cédés sur la plage et ont été très applaudis.

Différents prix avaient été offerts et la journée fut des plus attractives Les baigneurs de Sainte-Marguerite ont été vivement intéressés par les exhibitions des gymnastes.

LE CHALLENGE LA FOND, Aujourd'hui mercredi 15 août, auront lieu les épreuves du tournoi de basket-ball (challenge Lafond).

Voici les premiers résultats

Poule A: équipe Lachiche bat équipe Delmas équipe Delmas bat équipe Plaisance équipe Lachiche bat équipe Plaisance. Vainqueur de la poule A équipe Lachiche.

Poule B équipe Crabes I bat Etoile de St-Nazalre équipe Crabes II bat Etoile II Crabes 1 bat Crabes II. LE CONCOURS DE FORTS DE RESISTANCE. La deuxième journée du Concours de Forts de Résistance a été aussi réussie que la première Les plus de 10 ans ont travaillé d'arrache.pied et ont edifte une ligne Impressionnante de constructions en sable. qui ont délié les tfots montants. Voici le classement des premiers lauréats Lucienne OUivier Pierre Debray Ouy Debord Jean Févre Jacqueline Jacquy Barthéiémy • Pierre Doré Georges Nezelny Roland Lembert Henri Papin Geneviève Bolsseguin: Andre Jouanceau; Alexandre Rault Monique des Samonies. Les prix seront distribués aujourd'hui lundi. à 10 heures, ani Casino d,Pornichet.

ETAT CIVIL. Décts. Alfred Heurthaux. 71 an*, propriétaire, villa dee Eglantlne». avenue d! Mazy. faOtAÎcÂupgiÀiiïl AUJOURD'HUI

Service pharmaceutique aisuré par H. Jallu. rue A.-Sriaa4.

LE COMICE AGRICOLE Le Comice agricole de Châteaubriant et des cantons réunis de Rougé. Moisdon et Saint-Julien-de-Vouvantes aura lieu le jeudi 13 septembre, dans le champ de foire de Béré, à Châteaubriant.

L'entrée des animaux sur le champ du concours sera close ù 8 heures précises (heure légale).

La distribution solennelle des prix aura lieu il. 15 heures.

Le programme comprend un prix ce championnat de 800 francs deux prix de bonne tenue de ferme. 1.000 francs. Espèce chevaline 4 sections. Pouliches de 2 ans, 1.445 francs. Pouliches de 3 ans. 2.050 francs,. Poulinières suitées, 2.400 francs. Poulinières non suitées, 1.300 francs.

Espèce bovine, race Maine-Anjou. Prix de bandes 525 francs. Veaux de 3 mois à un an. 250 francs.

Taureaux. 4 sections. 1. Taureaux au-dessus d'un an sans dents de remplacement. Taureaux n'ayant que 2 dents de remplacement. Taureaux n'ayant eue 4 dents de remplacement et taureaux ayant plus de 4 dents Cp remplacement, 2.200 francs de prix. Vaches et génisses 4 sections. Il Génisses au-dessus d'un an. sans dent de remplacement 2° Génisses n'ayant que deux dents de remplacement 3" Vaches ou génisses n'ayant que 4 dents de remplacement 4° Vaches de 6 dents pleines ou en lait. 1.625 francs de prix.

Espèce porcine verrats. 850 francs de prix pour la race craonnaise et 350 francs pour les autres races.

Truies 325 francs pour la race craonnaise et 175 francs pour les autres.

iwuuuipeiise aux vieux serviteurs à 300 francs de prix.

Beurre Il sera décerné une somme de 150 francs pour le meilleur beurre de table, quantité 1 kilo.

Des primes seront offertes par l'Office Agricole départemental de la Loire-Interieure.

Pour tous renseignements complémentaires s'adresser à M. V. Gautier, secrétaire du Comice.

NOZAY

COLLISION D'AUTOS. Dimanche dernier. 12 courant. vers 6 heures du malin. deux autos se sont heurtées assez violemment rue Alexis Letourneau, au coude fait par cette rue et la route de Nantes. L'une se dirigeant vers Nantes, conduite par M. Edouard Doino. 26 ans, commerçant à la Rouau. dière (Mayenne) tenait sa droite; l'autre se dirigeant vers Rennes, conduite par M. Félix Aubin, boulanger à Nantes, rue de la Marne serrait plutôt un peu la corde pour virer et se trouvait donc légèrement à gauche. Lorsque M. Doino aperçut devant lui la voiture de M. Aubin, il freina fortement, niais ne put éviter le choc de la voiture de ce dernier qm prit la sienne légèrement de flanc. Les deux véhicules ont soulfert de la collision.

Mme Aubin, qui accompagnait son mari a été légèrement blessée Il la figure; elle a reçu les soins de M le docteur Méraud.

La gendarmerie de Nozay enquête sur cet accident

SOUDAN

ETAT CIVIL. Naissance. Raj». monde Dauphin, à la Brlchetlère.

Décès. Alexandrinc Mariât, femme Gasnler, Il l'Aulnaie-des-BouHÏons; Fran.çois» Delaunaye. époux de Jeanne Botiln, au bourg.

LaVie Sportive

LE 1» AOUT A SAINT-JOACHIM Le 19 août, au terrain de Baitz =e déroulera la grande fête sportive organisée par l'A. S. B. Au spectacle purement sportif courses, sauts, lancers, s'ajouteront les épreuves comiques courses en sac. iL la valise, à loeul etc.. et diverses attractions La société locale s'est assurée le concours de l'E S. Crossacaise et de l'A S Camerun

A titre Individuel, les athlètes régionaux pourront prendre part aux compétitions.

Les Boss'man. dans leurs exercices à la barre fixe et aux parallèles, feront l'admiration des connaisseurs.

Sportifs, retenez la date du 19 août. Prix d'entrée 1 franc pour les grendes personnes et 0 fr. 60 pour les enfants. e UNE GRANDE REUNION

CET APRÈS-MIDI

au PARC DES SPORTS DU PLE88IS A SAINT-NAZAIRE

A 14 Aeuree se disputera le championnat de Basae-Bretagne. Les sociétés suivantea seront représentées A.S.O Nantaise. U.S. des Couëti Etoile Sportive Coueronnalse, U.S.O. VII». Prolos Nazairiens, U.S. Plaisance. U.S.O. Nazulrlenne. Les épreuves suivantes seront disputées: 100. 200. 400, 800, 1.500. 5.000 mètres. poids, disque, sauts en hauteur et en longueur, relais olympiques 8 x 4 x 2 x 1. Les six meilleurs athlètes seront sélectionnés pour représenter l'équipe de Basse-Bretagne le 26 août. au Stade Pershlng à Paris. Le prix d'entrée est fixe à 2 Ir. demi-tarif pour les chômeurs. 6

Le Cercle de l'Aviron de Nantes affirme une fois de plas

la supériorité aux Régates du Mara Ies Régates Nationales organisées par la Société Nautique de la Sarthe. entre Bouches-l'Hulsnes et les Moullns-SmlntGeorges. sous le patronuse du Préfet de la Sarthe. du Maire du Mans, et du yéiiCral Etienne, commandant la 4' région, avalent réuni, outre les meilleurs éléments de la Loire et de l'Ouest, les équipes de Meulau et de Corbell, venues représenter la Fédération Parisienne.

Ce fut donc une lutte sans merci que tarèrent les rameurs parisiens à leurs camarade de la Loire et Ouest, et et ces df-rnlers sortirent vainqueurs de cette oi.poighade. ils le doivent, en grande partie, aux rameurs de Nantes qui franchirent 4 fois en vainqueurs la ligne d'arrivée.

La course huit sentora fut particulièrement émouvante puisque ce n est Que sur un enlevuge in-extremis et fort bien conduit par Edouard Valentln quc Nantes s'assura l'avantage par 1/4 de longueur sur lexcellente équipe de Meulan.

Voici la saison du c Cercle de l'Aviron de Nantes s terminée. Elle s'achève par une suite de succès retentissants et par cette magnifique place de second remportée dimanche dernier par l'équipe Vundernotte frères. Cosmnt, Chauvine teprésentam de la Frunce aux chamP'onnats d'Europe à Lucerne.

Il faut espérer que ces très brillants résultats attireront toujours plus nom-i

breux les jeunes gena désireux de s* fortlfler dans la pratique d'un sport complet et agréable.

Les dirigeants sont Il l'avance peraua.dés que l'entraînement d'hiver qui doit commencer dès octobre, servira de prélude & de prochains et nombreux succès.

Résultat!»

peux rameurs juniors et seniors onttrigera. 1. Nantes (Valentln frères)* 2. Laval: 3. Saumur; 4. Angers.

Challenge du journal « Le Petit Partsien ». Quatre outtnger seniors. 1. Nantes (V.ileTHiu E., Vandemotte H.. Ba.iavolne, Valentin Il. 2 Laval: 3. Tours: 4. Saumur.

Les équipes d'Angers et du Mans avalent été éliminées. Ce challenge reste définitivement acquis au Cercle de l'Aviron de Nantes qui le remporte pour la 3' lots.

Prix de la Ville du Mans. Quatre rameurs outtrigers débutants. 1. Nantes (Vaillant, Durand-Ga-iselln. Rivière. Vilaine); 2. Corbetl: 3. Tours: 4. Meuwn: 5. Anger.s.

Prix Robert-Drouault. Huit rameur. outtrigers seniors. 1. Nantes iValen»tui E., Vanderuotte H.. Balavolne, Valtntln M.. Vutllant, Vilaine. Rivière, Ouryi: 2. Meulan; 3. Tours. Il

GRAND TOURNOI DE LA Ste-CROIX à Douarnenez du 18 au 26 août

Le grand tournoi régional organisé par le T.C.D. se jouera sur les courts de la Sainte-Croix, du samedi 18 au dimanche 26 août.

Placée sous ln présidence d'honneut de M. Du Frétay. cette compétition est appelée à connaître le plus grand suoCanstrutts, dans un cadre unique de verdure et à proximité de la belle plage du Ris, les courts de la Ste-Crolx de.viendront en cette semaine, le rendezvous des meilleures raquettes estivales et régionales.

Le tournoi comprendra des stmples.dames, simples-messieurs, doubles-dames, doubles-mixtes et doubles-messieurs.

Les Inscriptions seront reçues JusQu'au 17 au soir dernier délai. Droite d'engagement en simple. 8 Ir.: en double. 12 fr.

S'adresser à M. Coat. rue DuguarTrouln. M. Kervarec. épicerie en gros, tel. 1-49. a La Frégate à Tréboul. ou à l'Hôtel des Mouettes, au Ris, téL A Cande:

TENNIS DU RÉVEIL DE CAND« bat TENNIS MONTGI.ONMS

DE SAINT-FLOKtNT-LE-VIEIL

par 4 victoires 1

CfiHat. 14 août. Le match de championnat de dimanche dernier s'est terminé pm une belle victoire de l'équipe du Réveil, qui fournit de brillantes parties. Les sympathiques et très sportifs Joueurs de Saint-Florent luttèrent avec beaucoup d'énergie, mais ne purent résister au brio de leurs adversaires Cpndé ayant gagné tous les matches de Ia zone Nord, se volt qualifier pour Jouer la finale du tournoi dei patro. iuixe.s de l'Anjou contre les vainqueurs de la zone Sud.

Voici les résultats technique» de dimanche dernier

Simplrs. Lolson (Candé) bat Terrien (St-Florpnt) par 6-O. 6-1- Parle (Candéi bat Bréhéret (St-Plorent). par 1-6. 8-6. 6-4; Douézy (Canc'é) bat Hu. teuu (St-Plorent. Ipar a-1 9-7.

Doubles. Bodinler et Paris ( Candé) battent Chéné et Bréhéret (St-F!orent). par 6-1, 6-2- Huteau et Leroux (SUFlorent!, battent Parla Pierre et M*. nard (Candé). par 6-4. 8-4. 6

La im éVpsfijw ecOe de Saint-Florent à gauche; celle de Candé dnN»

Tous les Sports

Du 26 août au 2 septembre 1934

Grgatûsé par « L'OUEST-ECLAIft »

avec le concours du V. C. Rennais

4m< année 8 étapes 1.600 kilomètres

SOUCIS D'ORGANISATION L'organisation d'une épreuve cycliste comme ie Circuit de l'Ouest mise sur pieds par î'Oui'st-Eclair n'est pas vnr petite affaire Ne parlons p des irais énormes qu'il faut engager mais des detail: d'organisation multiples qui se présentent continuellement.

Et d'abord une petite comparaison Qui montreia mieux Que tout que notrr épreuve est une des plus belles Qui soit. Le Tour de France cour cette onnée pour la 28' fais comptait 23 étapes et groupait 60 concurrents. Le Ci1cuit de l'Ouest Cvcliste compte 8 étapes. soit plus du tiers et groupera autant de coureurs nue dans le Tour. A.t-on fait mieuz ailleurs ? Non. Ajoutons, et ceci est d'importance, quc les hommes qui prendront 1, départ le 26 août au matin à Rennes ont fait Ieurs preuves ou sont des espoirs très sérieux.

C'est un travail enorme lue celui tune organisation comme celle qu'exiCe le Circuit de l'Ouest. Il faut tout prévoir, s'assurer de tout car la moindre négligence, la moindre erreur peut aroir les conséquences les plus graves. Après avoir averti les maires des fets et le ministère de l'Intérirur, il a fallu s'inaviéter des itinéraires dans les villes et du service d'ordre. L'horaire a èti établi sur une moyenne de 32 kilomètres à l'heure que nous espérons voir dépassée. Ceci, c'est le gros reuvre et voilà lr détail. Etablissement des feuilles de contrôle, bulletins d'enoapernent. feuille dr chronométrages, affiches, mafeiiilles de chronométrage, affiches, maméros des velos, épinales. ravitaillement. phoforravure, fléchage, etc. Il va sans dire qu'à la caravane des coureurs viendra s'ajouter celle des sufveurs. managers, directeurs sportifs. ravitailleurs. journalistes, photographes, cinéastes, etc.. qui fera qu'au paisage dans les villes et aux termes des étapes, l'animation sera grande pour le plus grand profit des 'mmerçants placés sur le parcours.

Mais cettr caravane, atxint qu'elle prenne la route, il a fallu l'organiser, la réglementer. Il a fallu prévoir le lopis des courevrs et suiveurs dans toutes les villes-étapes.

C'ètt une œuvre de longue haleine et dites-ttous si H. Desgranges, le Père du Tcur. n'a pas raison pour l'organisation de ton épreuve, de s'y prendre huit mois ci l'avance.

Et quelle correspondance Et quelle comptabilité. Il y a les primes qu'il faut enregistrer. Il y a les frais multiples, considérables d'organisation à noter. il y a des lettres innombrables auxquelles i! faut faire une réponse.

Le dossier du Cirmif de l'Ouest est volumineux Que doit être celui du Tour de France ?.

Quelques détails sur la 2e étape Cherbourg-Alencon (222 kilom.) Cette étape, longue de 222 kilomètres. sers courue le lundi 27 août. Elle conduira les coureurs du grand port de guerre normand à Alençon. ville de la dentelle. Après les formalités de départ au Café de Paris à Cherbourg, les coureurs seront conduits sur la ligne de départ. Puis on refera une partie du chemin de la veille ce qui permettra aux habitants de Valognes de voir il. nouveau les coureurs du Circuit de l'Ouest. Valognes passée, on se dirigera sur Montebourg. Sainte-Mère-Eglise et Ca rer.tan que l'on traversera par la rue Saint-Côme. la rue Holgate. la place de la République, la rue du Château la rue Torteron. la rue de l'Ile et la rue Guesmard pour prendre ensuite la route nationale n° 13 qui nous con- duira A Salnt-Hilalre-Petltevllle et a Isigny. On traversera les gros centres de Bayeux. de Caen et de Falaise Puis on traversera Arpentan et Sées où les sportifs s'apprêtent particulièrement à fêter les coureurs en leur octroyant des primes et en venant nombreux sur le parcours.

En enfin. on arrivera il. Alenoon. ter- me d'étape où les coureurs seront dignement reçus.

L'horaire probable

de l'étape Cherbourg-Alençon Cor-trôfe de signature Café de Paris. 8 h. 45

Contrôle d'arrivée Café de la Renaissance.

Cherbourg 0 9.30 Valognes 20 10.06 7 10.18 Sainte Mère-Eglise 10 10.35 4.500 10.43 4.500 10.55 4 11.02 Il 11.20 8 3 11.41 5 11.50 6.500 12.02 Baveux 9.500 12.20 8.500 12.36 3 12.45 4 12.55 11.500 13.15 15 13.45 4.500 13.53 Potlgny 5 14. Fnlnise 9.500 12.500 14.42 Argentan 10.500 Mortrée 15.500 15.30

mesnll 8.500 15.55 12.500 16.15

Coup d'oeil rétrospectif

sur la 2' étape

du 3' Circuit de l'Ouest

Le parcours de la deuxième etape comprenait l'an dernier 207 kilomètres. Il reliait Cherbourg à Mayenne, par Carentan. St-LÔ Torignl-sur-Vire. Vire. Fiers, Domfront.

Cette année cet Itinéraire a été très sensiblement modifié. Les coureurs lient de Cherbourg à AlençOn.

En 1933, dès la sortie du grand port de la Manche, la côte des Rouchlères mit à dùrî épreuve les grimpeurs. et les autres. A Valognes. le belge Joly et S'-n compagnon Aumerle avaient l' 13" d'avance sur 'le belge Adam et Noteriran quf tous deux, par suite, devaient disparaître de la lutte. Ils étalent suivis par le groupe principal, loin derrière, longtemps. A Carentan les fuyards avaient porté leur avance à 2 minutes 30 malgré les efforts de la meute multicolore. Mais sept hommes, et non des moindres chassaient éperduement Paul Le Drogo. Cloarec, Verlinden. Bernard. Adam et Wauters.

A Saint-Lô. Emile Joly et Aumerle étaient encore en tête mais derrière eux les positions s'étalent nettement modifiées.

Dans le premier groupe. l'on notait notamment la présence de Romain Miïës et de Leandre Ghyssels. avec Cloarec et Bonduel. Six minutes 30 secondes les sénarent des deux lenders qui foncent à toutes pédalées vers Mayenne; une minute de plus s'écoule avant c.u'apparalssent le deuxième peloton. Cependant la chasse s'organise, elle va décider de la course. Avant Fiers. Joly reste seul en tête car Aumerle. malade. ne peut. lut. tenir le train du belge vo. lnnt Avant la traversée de la ville. Romain Maës. Cloarec et Bonduel finissent par rejoindre le vainqueur de 1932. Par contre le groupe principal est encore à 7 minutes en arrière. Et les quatre hommes que nous avons cités ne seront plus rejoints.

Au sprint, le vaillant qulmpérols Cloarec triompha avec une bonne longueur du belge Joly moyenne 33 km. 750 ce qui était plus que beau pour le parcours.

Le maillot jaune du leader change de pioprlétalre. Des épaules de Louvlot Il pnsse à Romain Maës. Le classement général est le suivant 1. Maës: 2. exh>'iuo. Garnier Vanderhœgen, Louvlot; 5. ex-fpquo Duerloo et Yves Le Golf; 7. Cloarec.

Débutée sous un temps Incertain cette étape de la Normandie, fut gratifiée en cours de route d'une pluie fine qu1 ne dura guère. Mals les écluses célestes fonctionnèrent à nouveau après les arrivées à Mayenne. Sur tout le parcours, des foules Imtnenses acclamèrent les « Circuit de l'Ouest

r^omou&G

VA OGNES ^^1 MONTEBOURG \SAINTEM£RE^\ V»»^ BRETTEVILLE.

L'ORGUEILLEUSE

FALAISE

ARGENTAN

5££5 V

ALEncon ©

U TRACÉ DU PARCOURS DE L'ETAPE CHERBOURG-ALENÇON £22 kilomètres)

Au sujet des primes

De tous tes coins on nous annonce des primes de. passage Nous les inscrivons avec reconnaissance, mais nous tenons a aviser dès maintenant les généreux donateurs que nous ne publierons les primes que lorsque nous en aurons reçu le montant à nos bureaux à Rennes.

Prière en conséquence aux sportits ou aux groupements qui voudraient offrir des primes, d en faire parvenir le montant à la rédaction sportive de l'Ouest-Eclair 38 rue du Pré-Botte. à Rennes. 0 Attention, demain

clôturc des engagements

Les engagements seront reçus sous la forme de bulletins. Ils devront être accompagnés d'un droit uniforme de 5 francs.

La déclaration d'engagement est faite tous la responsabilité du coureur qui par sa signature apposée au bas du bulletin garantit l'exactitude des renseignements donnés par lui tant au point de vue de son état civil que de sa situation k l'égard de l'U.V.F. Les engagements qui seront clos le 16 août à minuit, date de la poste devront être adressés au Vélo-C'.ub Rennais, 2. rue Jean-Jaurès, à Rennes ou au Journa' l'Cuest-Eclair, 38. rue du PréBotté. à Rennes et comporter les couleurs de maillot du coureur, ainsi qu'une liste des épreuves régionales auxquelles Il a déjà participé.

AVIS IMPURTANT

A NOS CORRESPONDANTS

Nous prions les correspondants de « L'Ouest-Eclair n, sportifs ou non, des localités situées sur le parcours du Circuit de l'Ouest, de vouloir bien de toute urgence se mettre en rapport avec les municipalités pour etablir l'itinéraire dans la traversée des villes et nous en Informer Immediatement TOUS LES SPORTIFS

et les Amis des Sports

voudront faire le

CONCOURS

DE PRONOSTICS

organisé par

L'Ouest Eclair

à l'occasion du

CIRCUIT DE L'OUEST CYCLISTE

26 Août au 2 Septembre

f934

400 prix de valeur

seront partagés entre

les gagnants

de cette intéressante

compétition.

Lire L'OUEST-ECLAIR

tous les jours.

Le Règlement du Concours

paraîtra plusieurs fois.

AVIS AUX CLUBS

La Fédération avise les intéressés que la nouvelle édition des Règles du Jeu de foot-ball ». pour la présente saison, vient de paraître. Pour mémoire, le prix de la brochure est de 1 fr. 25 franco. Veuillez adresser commande, directement a M. Delaunay, secrétaire général de la F F. F. A. 22, rue de Londres. Paris ((►). en Joignant un mandat & la demande d'Imprimés car il n'est fait aucun envol contre remboursement.

Le secrétariat de la Ligue de l'Ouest Informe les intéressés. qu'il tient & leur disposition, l'opuscule contenant les statuts et règlements de la Fédération. en vigueur pour la saison 34-35 au prix de 2 fr. 50 franco.

L'annuaire de la.L. 0 F A. (dern'éiv édltlom, contenant tous les règlements de la Ligue de l'Ouest, est également à la disposition des Intéressés, au prix de 6 francs franco.

Il tient également a leur disposition. l'Ouest-Football, n' 65. qui vient ae paraître, au prix de 0 fr. 76 le numéro. Celui-ci contient tous les calendriers de la Ligue de l'Ouest, de toutes divisions et toutes équipes pour la saison 34-35. également le calendrier des mutches du championnat de France professionnel à Jouer par le Stade Rennais U. C et l'U. 8. Servannalse et Malouine pendant la saison en cours. divers renseignements Importants y sont également Insérés.

Prière adresser les commandes à M. A. Marchand, secrétaire général de la L. 0. F A.. 4. rue du Pré-Botté. à Rennes Joindre le montant est aucun envol ne sera fait contre rembourse-

AU VELOCE SPORT NANTAIS A la suite de la réunion générale des Joaeurs et des élections qui s'en suivi- j rent, les membres élus de ta commlssfon de rugby se réunirent lundi soir pour procéder d la composition de leur bureau pour la saison 1934-1935.

Voici le résultat Président, M. Coio.nbe; vice- prési dents, MM. Huet et Leuourguenuec. secrétaire. M. Dubourg: secrétaire-adjoint. M. Bernard; trésorter, M. Diète: tré.;orter-adlolnt M. Masson; membres, MM. Castaing, Blsson. Chenu, Lebreton. Vincent; membre conseiller. M. Lolchemolle.

Voici les attributions de chacun Correspondances générales. calendrier: M. Dubourg: convocations et P. V. des rcunlons M. Bernard: délégués au Co- mité de l'Atlantique MM. Castaing et Lebreton; délégués au Comité directeur: MM. Castaing et Dubourg: licences M. B!s«>n et M. Gossellii; matériels MM. Chenu, Blsson et Lebourguennec: terrams, vestiaires, pharmacie M. Masson. I a été décidé que l'entraînement C0mmeacera au Petit-Breton le dimanche 26 août 1934. Aux réunions d'entraînement sont délégués MM. Huet. Cnenu. Lebourguennec.

Prochaine réunion de la commission lundi 3 septembre 1934.

Quatre équipes seront formées au V. S. N. une équipe première, une équipe seconde, une équipe de vétérans qui jouera le matin, et une équipe de minimes (joueurs de moins de 15 ans) qui s'entraîneront tous les dimanches matitis sous la direction de MM. Lebourguennec et Glou. 6

LES CHAMPIONNATS D'EUROPE A MAGDEBOURG

La France se qualifie

dans le 4 X 200 mètres

Magdeboukg. 14 août. La Journée d'aujourd'hui débuta par le chumplonnat de plongeons au tremplin, qui donnèrent les résultats suivants 1. Esser lAllemagnel. 137 p. 74; 2. Mahraun (Allemagnei. 129 p. 53: 3. Lelkert (Tcheco). 129 p. 28; 4. Poussard ¡France 123 p. 24; 5. Stotija (Holl.i; 6. Cozzl i Italie); 7. Nasvabda (Tcèco); 8. Niemelainen (Finlande); 9. Tomalin (Angleterre}: 10. Julia (Espagne); 11, Oelander Suède): 12. Hodl (Hongrie); 13. Liirsen (Danemark). Relais 4 Ioia 200 mètres Il- série: 1. Hongrie, 9' 32" 9/10; 2. Allemagne. 9 34"; 3. Angleterre. 10' 3"; 4. Polo- gne, 10' 51". Dés les premiers 100 m., Schwartz (Allemagne), et Gros (Hongrie), se dé- tachent. Bientôt le Hongrois prend une longueur. Le deuxième relais est pris par Lenkltsch pour l'Allemagne, qui remonte le handicap et prend encore une longueur. Le troisième relais allemand est nagé par Lelmevltz.·Lea Hongrois collent toujours et Lengyel reprend sa longueur de retard et gagne encore cinq mètres. Le dernier relais est formidable. Wlle nage pour l'Allemagne. Il remonte quelque peu, mais s'écroule sur la fin.

21 série 1. France (Cavalero .Navarre, Dlener, Taris), 9' 51" 6/10; 2. Italie. 9' 55" 3/10; 3. Danemark; 4. Espagne.

Italiens et Danois prennent facilement 10 mètres après les 200 mètres. Les Français sont troisième et les Espagnols, quatrième; enfin, Dlener qui prend le troisième relais pour la France, remonte nettement et mène notre équipe à un mètre des Danois et à douze mètres des Italiens qui mènent toujours. Taris prend le dernier relais pour la France. Il décolle le Danois Pétersen et attaque l'Italien Signort après le premier 100 mètres. Notre champion est splendide. Il remonte nettement et prend même deux longueurs. La France est première. Tout le Stade acclame Taris qui fit une course magnifique.

Sont qualifiés pour la finale ayant lieu demain Hongrie. Allemagne, Angleterre. France, Italie. Danemark. Water-polo. Allemagne bat Espagne 6 à 1.

LE FETE NAUTIQUE DE SAVENAY LE 26 AOUT

Les excellentes performances obtenues aux championnats de l'Atlantique de vitesse pure en natation font bien présager des différentes épreuves qui se dérouleront à la fête nautique annuelle de l'Union Sportive Savenavsienne. que cette société organise le dimanche 26 août. dans son lac de la Vallée-Mablle. En effet, nous retrouverons dans les cinq épreuves que comporte le challenge (100 mètres nage libre. 100 mètres nage dos, 100 mètres nage braise, trois fois 50 mètres et re als cinq fois 50 mètres) tous les concurrents des championnats de l'Atlantique, cham-.pions en tête auxquels viendront s'adjoindre les champions de Bretagne 1934. comprenant les Lozach, Chardonneret, etc. des Cheminots Rennala et des Cadets de Bretagne.

Chaque année, la manifestation de Savenay est un match Bretagne-Atlantique, et si, les années précédentes, les Bretons l'emportèrent. Il faudra cette année qu'ils comptent avec l'Union Sportive Armoricaine, qui vient de glaner cinq championnats sur sept. et qui partira favorite quant à l'attribution du challenge, qu'elle perdit l'an dernier par 8 tout petits points.

Nous reviendrons sur les matches de water-polo. qui trouvent auprès du public tant d'admirateurs Ceux ci. gâtés lors des championnats de France, sont devenus difficiles qu' 1s se rassurent les trois rencontres bien équilibrées doivent dignement clore la manifestation savonays'enne. qui. n'en doutons pas. obt:endra encore cette année un succès sans cesae grandissant. 6

Dimanche i. Saint-Nazaire,

dans le esa, à 14 heures 30

CERCLE PAUL-BERT il)

(champion de Bretagne 1934)

contre GOELANDS NAZAIBIENS IH (champion de l'Atlantique 1934) Continuant leur calendrier les Goélands Nazairiens recevront dlmsnche prochain l'excellente équipe du Cercle Paul-Bert de Rennes champion de Bretagne 1934.

Les Rennais, qui ne se sont pas encore produits cette saison A Silnt-Na*atre .déplaceront leur toute première équipe afin de laisser cette fois encore le meilleur souvenir aux sportifs nazalriens de leur passage. Jouant très vite. l'équipe du Cercle Paul-Bert pratique un Jeu agréable. exempt de toutes brutalité* et est champion de Bretagne de^ Bute 1930. Cettt «BBéc les R»nn»l» ont

été éliminés du championnat de France par Le Havre-Athlétlc-Club, après une partie très égale et par le score de 2 à 1 De leur côté, les Goélands, afin de résister honorablement aux visiteurs, mettront leur meilleure équipe sur pied.

Des courses opposant Rennais et Nazalriens et un autre match de waterpolo compléteront fa programme. Nous espérons qu'un nombreux pu- bllc viendra assister à cette Importante réunion nautlque, une des dern ére, de la saison, et encourager par sa présence les dévoués dirigeants des Goélands qui font tout leur po"slble pour .sa lsfaire les sportifs nazairlens

Le prix d'entrée esi fixé A 3 francs. Les membres honoraires auront droit à l'entrée gratuite sur présentation de leur carte de 1934; 8

L'épreuve du 2 septembre

à Quimperlé

Dés son annonce, l'épreuve de Qulmperlé, qui se disputera le 2 septembre, a soulevé l'enthousiasme des sportifs de 1 Ouest. De tous côtés, les dirigeants de clubs demandent des renseignements complémentuirea sur cette épreuI ve que l'on pourrait presque qualifier de championnat de 1'Ouest de demifond.

Les meilleurs marcheurs seront au départ et l'on assistera à une lutte sportive du plus haut Intérêt.

Cette épreuve, qui se disputera sur une distance de 60 kilomètres environ. est dotée de nombreux prix, d'une valeur de 2.000 francs. De nombreuses primes et des frais de déplacement sont assurés aux marcheurs.

Les premiers engagés,sont Brussler, Bréhé et Chartier. du CM. Rennais. et Astré, du Sportlng-Club Nazairien. Cette épreuve est ouverte & tous les licenciés de l'U.F.M., appartenant à un club de marche. Les engagements. clos le 25 août, à midi, sont reçus exclusivement prés de M. E. Lelu, 9. rue Rallier-du-Baty. à Rennes. Prix de l'engugement 5 francs. remboursables à tout marcheur prenant le départ. 4-7-8

La Coupe des Alpes

MUNICII 13 août. La Coupe des Alpes, randonnée automobile comportant un parcours de 2.900 kilomètres avec vingt-neuf cola à franchir sur un parcours dont les étapes ont été (départ de Nice) Aix-les-Bains. Interlaken. StMorltz, Venise. Zagreb et Munich, a pris fin hier & Munich. Le classement général sera donné demain complet. Mais on sait que la Coupe des Alpes a été remportée par l'équipe Hotchkiss iDhomè. sur pneus Dunlcp; Glrod sur pneus Dunlop). et que quatre Coupes des Glaciers sont attribuées à Mme Schell (Delahaye. sur pneus Dunlop); Trevoux (Hotchkiss. sur pneus Dunlop), Carrière (Hotchkiss. sur pneus Dunlopi; et Descollas (Bugattl. sur pneus Dunlop). 0

A LA SOCIÉTÉ L'HIRONDELLE NANTAISE

Voici les résultats du concours de Saumur du 5 août 1934:

Distance, 116 km. 865: lâcher, 7 h. 27"; premier pigeon constaté. 9 h. 14' 40": vitesse du premier pigeon, 1 km 086. 1. Kerzéro 2 Benolt; 3. Olivier; 4 Vite!: 5. Pageot: 6. Drouin 7 Glcquel; 8. Mallet; 9. Gulllaud.

Concours de Vendôme, du 12 août 1934

Distance. 211 km. 679; lâcher. 6 h. 50: premier pigeon constaté, 10 h. 51. 1 Olivier: 2. Benoit; 3. Mallet 4. Kerzéro 5. Lucas; 6 Glcquel- 1. Vitel; 8. Ôulllaud; 9. Château; 10. Pageot; 11. Drouin. 6 AU MESSAGER ANGEVIN

Concours Orléans. 1. Michel. 10 h. 33' 36": 2. Amlot, 10 h. 40' 35"; 3. !\fuie, 10 h. 50' 18"; 4. Hullebrouq. 10 h. 52' 04"; 5. Perrols, 10 h. 54' 02":6. Bettrancourt. Il h. 06': 7. Benolst. 11 h. 12'- 8. Monnolr, 11 h. 23' 17"; 9. Gouttefurde. 11 h. 31' 10".

Poules société. 1. Michel; 2. Amiot: 3. Michel; 4. Hullebroucq; 5. et 6. MIchet: 7. Benoit; 8. Gouttefarde; 9. Amlot; 10. et Il. Gouttefard.

Dimanche prochain. concours de Gttns. mise en paniers. le vendredi 17 courant, de 16 à 18 heures.

6

U. S. 0. Nazairienne. Tous les Jeunes gens pratiquant l'athlétisme sont convoqués à 13 heures cet après-midi au Parc des Sports du Plessls. pour disputer le championnat de Basse-Bretagne. Présence Indispensable. 6 Amicale Boule Appert Réunion générale dimanche 19 août, à 10 heures, au siège social. café Lorrain. 88. rue Appert

Leb sociétaires sont Invités à se munir de leur carte de l'Association, ainsi que de celle de l'Amicale.

Goélands Nazainens. Tous les membres actifs des Goélands Naxalrlens sont priés de bien vouloir se trouver mercredi 16 août, à 9 h 30. au vestiaire, pour entraînement Présence absolument indispensable. Des courbes dotées de prix Intéressants et un match de water-po'.o seront disputés. Sont spé- cialement convoqués Audion. Bigot. Morio. Thébaud. Rablllard. Savlna, Landrain Ed., Tattevln Jean Dubois. Odile, Jan Mercier. Luléons. Potiron, Douaud. Le M^vcr. Massé. Baumal. Albert Robert, OLJirreteur, Martin, Legucn. 6

COURSES DE GRANVILLE

Mercredi 15 août 1934

Nos préfère»

Prix de Br6vllle Ecurie Tacquet. Lugger.

Grand Steeple de Oranvllle Ecurie Champion, Cavalier du Bot.

Prix Emile Rlotteau Ecurie Tacquet Haroun Harleck.

38 LS MOHSIIU» DE LA pu.ou.

COURSES DE COMBRtI

Résultats du 12 août

il. course Prix DE LA Société d"R»V courauement (trot monté; 5 partants). 1. Grand-Ataitre 12.875 mètres). 4 M. Rousseau iSorel); 2. ls*ult-la<Blonde (2.860 m.), A M Trillot (prop.); 3. lmage-11 (2.900 m.), a M. Rivault (prop.).

Nun placés Ilba-Il (prop.: 2.850 m.);, Jaunais iBrIMant 2.800 m.).

Mutuel G.. 8 PI.. 5.60. 6.60.

2* course PRIX DES Hommeaux iffdloj» dcml-saiiiç; 4 partants). 1. Hararnut (57 kgs). à M. Provos, (Jenals); 2. Fro.ic-11 (52 kgs). M. B.uteau (Mercier);, Valenc,a a \b2 kgsl (Tourillon).

Non placé ilarleu (prop.) (52 kgs). Mutuel: G.. 6: PI.. 5.50, 6.

3 course PRIX DE LA Société des Steeple (steeplï-chase 2 partants). 1. (de Mont- fort) 2. Hirondetle-XIV (de Mieulle). Mutuel G., 6.

4" course Puix Du GOUVERNEMENT (trot monté 6 partants). 1. Gilgame (2.850 mètresi. a M. Rousseau ISorel): 2. Ueult-la-Blonde (280J m.), à M. Trillot iprop.); 3. Image-U (2825 m.). à M Rlvault (prop); 4. Hélène 12.800 m.) ^rop.l.

Non placés Grenade-111 (prop.). Mutuel G.. 6.50: P1-. 6. 8.

5" course PRIX DE LA Mulotière (ga(2.850 m.): Jaunais (Brillant) (2.750 m.). lop- 1.600 métrés 6 partants). 1. Je-in' en-Fiche, à M. Thuet (prop.); 2. Morjay. M. Favereau (prop.); 3. Quèteuse iprop.)

Non placés: Canard (prop.); Harley (prop.1, tombé.

Mutuel: G. 6; PI.. 6. 15.

6- course PRIX DU Conseil municipai, (cross-country demi-sang 3 partants). Fro!ic-ll (68 kgsl, a M. Bluteau (Mercier) 2, Eclat-de-Rire (72 kgsl (Riera); 3. Fumiste (67 kgs) (Courcelle)

Mutuel G.. 21.

7V course • Steeple-Chase Icross-coun.try militaire. 3' série; 1.100 francs: 4.000 mètres; 5 partants). 1 Jurnelte, a, M, de Bonardl (prop.); 2. Fontenay, a> M. Audouaire (prop.): 3. Favorite-11, -t M. Le Coueric (prop.): 4. Décorum, S> M. de Cordon (prop.l.

Mutuel G.. 71: PI.. 25.50. 7.

COURSES DE DINARD

Les résultats du 14 aoùt

lr« course. PRIX St-Bhiac i4.000 fr. 1.600 mètres). 1. lris!i-Girl, 70 kg. iChantrcull), la comtesse Mézmibrau; 2. lngambe-II. 73 iDavis). il. M. Dolbeau; Letapagcur, 65 .Vulplun); 4. larlat (Lecolnlre).

Non pincé Jupiter-VUI, 58 (Renard). Distances 4 longueurs, demie longurur.

Mutuel gagnant, 6,50; placé. 6 et 75(;

'2' course. PRIE Du Pontavice (5.000 francs. 2.000 m.). 1. Ormy, 60 (Pavée) A M. Porte; 2. Altesse-11, 50 1/2 iMartliiezi. à M. Gaillard.

Paprika. 54 (Tourillon), tombé et abattu.

Distances 6 longueurs.

Mutuel gt.. 6.50.

3- course. PRIX Boutin (haies. 7.000 fr.. 2.800 ni.). 1. Grand-Page. 62 iHowesi. à M. Champion: 2 Douansse-II, 62 (R. Bail), M. Gulttet; 3. Souricière, 60 (Davaze). à M. Vell-Plcard.

Non placé Princesse-Maritza, 62 (Morvan): Pomme-Sautée, 62 (W. Bail). Distance, encolure, cinq longueurs. Mutuel gagnant. 28; placé. le. 13.50.

4- course. PRIX HOTEL ROYAL (steeple chase. 7.000 fr.. 3.800 ml. 1. Sautdu-Roi, 64 (Plaine), à M Champion: X Xapoipa, 63 (George). à M. Rebillard. Non placé Louixa, 65 IBonnlnl.

Distance 5 long., 6 long.

Atutuel gt.. 9.

5" course. PRIX DU TREMBLAY (cross 6.400 fr.. 4.000 m.i. 1. Galopin-Xll, 72 (Chausson) à M. de Castelbajac; 2. Gros-Bleu, 73 (St-Mlrel). au comte. Dclangle; 3. Caranona, 69 (Castellan); Rameau, 75 (Lecointe). tombé.

Distance 4 long.. 1 long et demie. Mutuel gt.. 15: pl., 6,50 et 6.

6* course. PRIX St-Lunaire (mllW taire, première série). 1. Mon-Tritor, 72 iDepercon): 2. Doux-Ramus, 72 (Dedlonne): 3. Ali-Baba. 70 (Plnchar); 4. Marius (Laffargue); 5. Sailor, 72 (De. vllléle). tombé.

Distances encolure. une long. demie. Mutuel gagnant, 27; placé. 15 et 13. COURSES DE PORNICHET

Résultats du mardi 14 août

1" course. PRIX DU CONSEIL Gtnb RAL ET DES CHEMINS DE FER D'ORLEANi (au trot attelé. 3.000 fr.. 2.900 m.). 1. Itliade, 2.900 ni.. à M. Goubet il* propriétaire) 2. G. R.. 2.950 (Mellier). 3. Halte-la, 2.950 iLaisls).

Non placés Impétueux, 2.900 iBrb»han); tda Pompon. 2.925 iTaulinl. Mutuel Gagn. 47.50; pl.. 16.50. 10. 2- course. PRIX DE LA Société e« SPORT DE FRAncE (gentlemen rlders, 6.000 fr., 2.200 m). l.Fleur d'Autom. ne, 69 1/2 (M. Bttuer), à Mme P. Roche 2. Marie Laurencin, 75 iM. Baraul:; 3. Higbred, 72 (Gulheneuci.

Non placés Zambri. 72 (Datessen). Mutuel Gagn.. 11.50. pl.. 6. 6.50. 3r course. PRIX DE LA SOCIÉTÉ D. demi-sang (au trot monté. 4.500 franc%. 2.400 mètres). 1. Héroïne. 2.450 (Lai. slsi. A M. Rousseau- 2. Fleur de Mai III. 2.425 ILancinil: 3. Indicn V. 2.450 (V. Braud)

Non placés Gatilée Il. 2.475 (Leroux) Grelot d'Argent 2.426 iGazeau). Mutuel Gagn.. 8.50: pl.. 7. 18.50. 4» course. PRIX DU Gouvernement (au galop. 7500 fr.. 1600 mètres). 1. Jocosa. 52 k (Montant), à Mme P. Roche- 2. La Presle, 52 k. (Asfaux»: 3. Bavière, 56 1/2 (Tassel): Septone, 54 1/2 (Bervovlssl)

Non placés Zingarelle. 60 iLucas); Pas le Sou. 56 (Heurtault):. Gampiatti. 51 (Ulysse)- Etoile Filante X. 52 \/2 (J. Fines)- Partition. 51 iMlullorlnl Mutuel Oagn.. 11: pi.. 5.50. B. 6.

5» course. Epreuve Interrégional» DE LA Société SPORTIVE (chevaux de selle. 2.250 fr.. 1.500 m). 1. Lutin IV. 62. IJ. Kerberlou), à M de Sesmaisons: 2. Invalide Il. 68 1/2 IL. Kerberlou): 3. tdaho. 65 <Boin>.

Mutuel Gagn.. 9.

6' course. PRIX D6 la Société DU Stffple-Chases DE FRANC! 188OO fr.. 3.500 m.). 1. Last Rose. 65 (Bocha-d). A M. Dnnion Dérobe et Ramené: 2. WiaantHe Il. 60 (TasselK tombé et remonté 3 Falo. Dérnbe et Rnmene.

Non plne* Elysée. 69 iR Thnmaul, tombé- Micheline. 64 (Wolfft. tombé. Mutuel Gtwm. 9350: pi.. 27. 3450. 7' course PRIX Df L1 Mm»nit i»t»enip-chas» cnw rountrv militaire. 4.095 [r-"w. 5 000 T-ètrest. 1. César Vf, 75 ilKM>ter>int rie la C'iinve'al*! k M. Fchmetz- 2 r.ora, 74 m«Mit<>nnnt Cour- roueel. tombé et remonté.

Mercredl 1S août

Nos préfères

Prix des Moultn'-df-Rnchefort (au trct monté! Galilée-II. Hereine.

Prix du Pon'l?uen icourse plate, rérUimeri. Cioixfcetta. Ecurie de Plager

Prix du Casino leu trot attelé). Ho. vort.li. Hiérophante.

Prix de la Société d'Encourasemen» ir.vo» nlate handicap». Pescarinetta. Rcr*ollnc.

Grand Prix de Porntehet (cro«*-countrv> ConwWJ. Dranon-Kouge-II.

Prix du Ow'Ml M"ilr'pal i>teeple> Ch->««>. Micheline. Philario.

Prix G»*ton Econwrd 'course de haie*) Nicaragua. Petcarinetta. • COURSES DE MONTREVAULT

Résultats du 12 août

PRIx DE Lmprs ,au trot monté. 2.000 franc*. 2.700 mèfea, 4 partants 1. Hébécourt. 2.775 m., à M Qrandon ¡La!slal 2. Gitane III. 2.776 m.. à M. Of* reau (propriétaire).

̃ -Woo plaoé» Farceur XIII. 2.778 m. (Leroux i Géranium /l, J.775 mètres «Kouxell.

Mutuel gag. 13. pl. 8. 24.

PRIX DE LA Ville (au trot attelé, 1.600 francs, 5 partant»). 1 Havane M. 8.850 m., au Haras des Landes (Rouxel) t. Hulotte, 2.025 m.. à M. OranUon (P. Laisls).

Non placés Hurmus, 2.926 m. (Du.mesnll) Flageolet. 2.910 m. (Leroux) Inconnu II, 2.850 m. (Gazeau)

Mutuel gag 56. pi. 13 et 8.

PRIX des SOUSCRIPTEURS (course plate réclamer. 2.400 fr.. 1.800 m 4 partant»!. 1. Kyrmélia. 48 1.2. a M Perrau (Ulysse I 2. Chatenois, 54 1/2. à M. Parpoué iBoln i

Non pl. La Gloire-du-Calice 54 1/2: Sounard Late. 48 12 nAudouxe)

Distance 2 long., 4 long.

Mutuel gag. 7. pi. 8 M 10.50.

PRIX DU Cokseil MUNICIPAL (su trot monté, 2.200 fr.. 2.850 m.. 3 partantsi. 1. Farceur XIII. 2.925 m.. à M. Marend iLeroux) 2 Eole VIII, 2.925 m.. à M. Derrlgaud (Goupil).

Non placé Hébécourt. 2.925 m. (Lalsls.l

Mutuel gag. 18.

PRIX DE LA Société DES COURSES (course de hales. 3.000 fr.. 2.800 m.. 5 partants) 1 Furolle. 66 kgs. à M. Perrau (Aifaux) La Vedette. 69 kgs. à Mme Le Gualés de Mézaubran iDegandi Non placés Dent de Loup. 67 kgs. (Bolni Ferida. 67 kgs. iPatori) LastLtne. 67 kgs. iMénardi.

Listance 5 long demi-longueur. Mutuel gag. 13.50. pl. 8 et 7. 6 ''OI'RSfc* 4 CLAIKKFONTAIN? Deauville. 14 août. Cet après-midi. sur l'hippodrome de Clalrefontaine et par un beau soleil, s'est déroulé une belle manifestation du sport hippique. aus<ii de nombreux admirateurs de la race chevaline s'étaient donné rendez- vous. L'épreuve principale. le Prix de la Ville de Oeauvlllp. doté de 20.000 fr. fut pour XilFon l'occasion d'une belle victoire. Parti dès le début, dans le sillage de Jorga. il devait régler celui-ci dans :a lltne droite après une belle ré- sistance de Jorga qui finissait second. suivi de La Spezzia 0 DE Welle

ttcsullau.

Prix DES GLYCINLS i haies a vendre. 8.000 fr.. 2.800 m.. 8 partants). 1. Milan (H Cîlelzes). a M Berg • 2 QuadiTir (M. Matheti. à M Pastré 3. Sommite <H. Burette), a M Mangou. Distances 3 1.. 10 i iO 1.

Mutuel g. 14 ol. 5.50. 5.50 8. Non placés Filiberte )M.-P Duchemitj' Floraster U.-G. Costadoat). Stam 'R. Collombeli Panatella (tombée) (L. Lesaim. Dame-de-Ca-ur IV J. Teasdalei. PRIX DE Pont-l Evêoue haies. 10.000 fr. 3200 m 8 partants) 1 Arnale (Burette I. Mme Cohen 2. Heureuxde-Vivre) au baron Leonino 3. Chevalier-Printemps iNiaudon a M. CJozzlka Distances 3 l.. 5 à.. encolure.

Mutuel g. 70.50 pl. 10.5u. 6. 8. Non placés • Scintillante il Albert, Caramon Dnoa-lnes Silistrie. PRIX DES Bégonias a vendre. 8.000 Ir.. 2.300 m.. 16 partants, 1 Soupe-au- lait (Gallagheri. à l'Aga Khan 2. Jack- Tor (Rochetti). a M Lauzemberg 3 Liari (Bosch). A M Could. Distances 1 1 1/2 1 1. 1 i. Mutuel g 27 pi. 10 14.50 26,50 Non placés ̃ Légendaire Endiablé Il, Chistosa Lame-d'Argent. U 1'1 b e Il e. Otrante, Le Mikado. Scaphandrier. Guartna. Riathea. Grain-de-Café. San Prisco PRIX de LA VILLE DE DEAUVILLE 120.000. fr.. 2.000 m.. 8 partants 1. 1 Nilson (W. Johnstone). M. Cottevlelie 2 Jorga (A. Lavialle). a M Debray • 3 La Spezzia (G. Duforezl M. Stem Distances 3 1.. IL. 2 1.

Mutuel g. 30.50 pi. 10,50. 15.50 8. Non placés Vertigineux, Reynolds Jacquet. Isabev Il. Kirghiz.

PRIX CECIL BARCLAY (hand 18.000 fr.. 2 400 m.. 7 partants). 1. Le Conscrit relier i t M. Coers. Distante» 1/2 1.. courte tête. 3/4 1. Mutuel g, 19.50 pi. 31. 26.

Non places Bonhomme. Dark Mate Saint-Hilarion, Trader Horn, Tonnen- 1 court. PRIX DES OUVRES (10.000 fr.. 900 mè- tres, 9 partantsl 1- Opéra Bouffe .N Pelât), à M Pelât- 2' Golconde fG Vatardl, a M Gozzlka; 3- Azoni (R. Adeli- ne). à M. Fournier. Distances 1 Ion*. 1/2 long.. 1/2 long Mutuel G 22. PI. 9 50. 8. 12.50.

Non placés Porcelaine Joueuse, Es- -rlaïn. Royal Il Pyito La Séguedille. COURSES 4 ENGHIEN Partants probables

YRU d'Auteuil (monté, 7.500 fr., 2.100 i î métrés). Ivors D (Auvray Jarre- tiére-Rose ou JuvUy (Chrétien) In- dienne Il ou Jurande (Perlbargi Islan- 1 do (Poirier) Jadhar iHazet) Dede (Verzélei Issus (Biache) Ivanhoé IV i (A. Forcinal) 1 PRIX DL LA Madeleine (attelé 7.600 fr. 2.275 m.l. Ida Wilkes (Netter) 1 Itou Il iR. C. Slmonard) Isengrin IL. Forcinali Ibéry Il (Bottonli iroquois (H. Masaon) Intrépide VU (Vrommant) Kébir (Gaudln) ldéal-Beauty ou lpor Il (Jansenl Iolclios IR. Céran r Maillard) Idée Fixe (P. Vlel) • Iva- t 110// Il (R. Simonard).

PRIX de Plaisuice (monté. 10.000 fr.. I 2 100 m.i. licites II ou Ira-t-elle Il l (R. C. Simonard) Ile de France V (R. LaUisI lndouvoura (Haret) Impa- C vide (E. Carré) Idylle (M. Bouley) Isopode (Buisson! Incttatus IX (Vandenbulcke) Impératrice III (Ph Hanse) Indiana V (Chrétien) Incitatus 111 (Rlaud) Indigo M (Dejean). t Prix DE l'Assomvtio* (attelé. 1.000 fr. 1 2.900 m). Hélietta (PU. Koch) Hturtcbise Il (Netter) Fleur d'Amour 1 Il (X.I Fou du Roi (Buffato) laraël (Bégou) Grouette (Buttl; FidusAchatéa ou Feuillage IR. Céran Maillard) Hudton iCombot) Capricieuse (Bouleyi Etonymus (DubreUlli lka (Jansen) Gortensio ou Héroïne B (Vanlandeghemi Hall porta D (Dounlaux) Florita 111 IBottonl). Excellente 8 (Vandeflbosschel Il Trotte iM Vercruysse) F"tirn (Al. Tambérh Calumet Deloo IH. Maason) Mammie Bntton ou Locke Bunter il. Fbrclnal) Bor Galloway Prix d'Ajcvers (monté. 10.000 fr. 2 800 mètres). Gypru iHaaetl Hugue*Capet (Seroln) Goélette III (Réaudl t Fromentiereu (6u»troncki Faust (P. ( Devreene) Frexanville (Chrétien) Flo- i réal Il (L. Pottler) Géo M (Ph. Hanse Eun-ille (Lalslsi Fou Rire Il (Péri- ( bargl. PRIx du LUXEMBOURG (attelé 20.000 fr 2.800 m.) George Todd (A. Sourrou- 3 bille) Héja rR. Céran Maillard) Gar- 1 dénia B ou Héroïne B iVanlandeghein) t Hasting$ lOorls) G»n Il (H. Maason) ( Héraut fl (Verzele) Galibot lE. Carré)- l Histoire de Rtre Il (M. Capovl'.ls) Hus- C aard Il fld. Terrruyise) Oavroche IV 1 (L. Carré). r PRIX DE Pppiucourt (attelé, 10.000 fr., 2 300 m.). Haroun (G. Amari Heur- i t Gracieuse VU (H. Masson) Hélietta i (Ph. Kochi Griselda ou Hébé (Vrom- e mant) Cromt de Riche rVersallei Ualloy ou Hélas (A. Sourroubllle) Hit- t toirt dt Rire Vil ou Hector V iF De- vreesel polo iVanlandeghem) Her- f moine iChyrlacOR) Héra 111 (Dubreuili; [ Gaule Wilket, iPlétrl) Hermine B (Bottoni i Héricv Il (Bégou) Hermtne Royale H. iBlancart) Gloria B (de Mo- a nie-) GranvWe Il (Buttll QUm. P. (Bsaartlal) Héléna (WlndeH). o < 1- c. Ivanhoe. Jarretiére-Rote J- i c. Jdée-Ftxe. Ivanoff 3' c. Écurie Olry. Impératrice 4' c.. tcurte Vau- t ne.. Georats-Todà 7» c. Hector, HU-

t Pronostic* de la preue tptdala Paris-Sport. 1" o. Jarret. Idée-Fixe 3' c. Indigo 4, c. Ca- lumet 5- c. Gyptit 6« c. Gavro I che-lV 7' c. Hermine-B.

AunuiL-LoRccKAMP. l~ c IvanI noc-IV 2' c. Igor-ll 3" c. «curU Olry 4' c. Amazone-B 5' c. Géo fl« c. Oairocfte-ZV 7» c. Glon. COIIItSE6 A DEAUVILUC

Partants probables

PRIX de Dozulé là vendre, 10.000 fr., 2.000 mètres Renard Arpenté (Allemand) Xudan (Fichet): Larigot (Piergiovannl); Eudes (Duforez)- CharLatan (Ma-nteleti: Voûte Céleste (Bouillonl; Vaugrenier (Arnali: Boum (Cuboussati; Friocérc (Hervé): El Kantara (Semblât Charmant Ban.star (Rabbei; Langue de Feu (Jennlngs). PRIX DU QUESNAY (12.000 Ir. 1.000 métresi. Krossauitz (Vaixelflschl Poeta idurand); Leyland iBrethes); Le Vycione 11, (Johnstone); Aalcarazas iHerv^i: King o) the forent (Boullloni; Normalien (Torterolo ) Mantovana lElliotti; La Saga (Dupuit); Astoria (Vutard); Tarare iMaldoon); Bormer Rosé INybergl; Maranne iRubbel. PRIX Kerooiu-ay (60.000 fr., 3.000 mètresl. Le Menhir (Hervé Jarnac Rabbei Dort DetD (Johnstone): Blue Roc iRochettii; Pulcherrtmus (ValxelHschl; Castel Gondolfo (Semblât); Denver (Elllott): Revendi (Brethes); Foulaubin (Vatard). Le Var (Bouillon); Memories iThompson )

PRIX DE Meautry 125.000 francs, 1200 mètres. Corindon (Semblât!; Makila (Johnstoue b: Jocrisse (Duforez); Finnoise (Vatard); angolaise lEUiott); Weeding Ring (Sibbrlttl.

PRIX DE LA Vallée D'AUGE (20.000 fr. 1.000 mètres!. Zuvderzée iDupsit); Lucultus (Brethès): Fasa iMuldoon); Pont au Change. (Rabbe): Gûtinaise (Semblât); Comilon iTorterolo); Hamri 'Johnstone

Prix DE Saint-Pierre-Azif ihana., 25.000 francs. 1.600 mètres). Sweet Legentl (Semblât): Tranche Montagne IDu:orezl; Koupalo IBrethes): Irotty (Delauriei; Eucalyptus iRocheltli; El Sbaa iVuturdi; Steeple iRobtfon): Precipito (Sibbrltt); Kirfox (Lcpintei; Gouyate ou Boum (Ricard); Heure Exquise (Iveyl; Imottora (Hubert): Titi Sa (Thompson); C'est sa Sœur (Tournlél. 0 Pronostics 0

Première course Céleste-Vaugrenicr; deuxième course Mantovana-Lleyland troisième course Foulaubin Pulcherrimus quatrième course Sa Parade: cinquième course Zuyder Zée Fille d'Amour sixième course Parthasia Tlli-Ba.

Pronostics de la presse spéciale PARIS-SPORT. Première course El Kantara deuxième course Mantroisième course: Dénver quatrième course Malika cinquième course Zuyder Zée sixième course Koupalo.

Auteuil-Longchamp. Première course Ecurie deuxième course Le Cyclone troisième course Denver quatrième course Malika cinquième course Zuyder Zée sixième course El Sbaa.

COURSES DE CAEN

Résultats du 14 août

1" course. Paix DU CALVADOS (trot monté. 10.000 fr.. 2.300 mètres). 10 partants. 1. Janville, a M. Andrleu (Nevouxi; 2. Java-111, a M. H. Balllère (HaKtl; 3. Juanita-IV, à M. D. Fouoault IGaugeon

Non places Jezraël, Jean-Bart-VU, loujouville, Jeannette, Julie, JeunePremier, Jessanine.

Mutuel G. 20: pi. B. 6.50. 11.50. 2' course. PRIX d'Argences (trot attue. 6.000 fr., 2.300 mètres). 10 partattts. 1. Jour-d'Espoir à M. E. Lepetlt (Nereuxi; 2. Jong\eur-B~. à M. Bourras <Bertog4Witl ) Minut-IV, à Mate Baudouin -lUrler). Non placés Jactance. Jolie-Blonde-11, lucoville, Joli-Voisin. J.-V.-IU, Juptter-XIV, Jep-U.

Temps 3' 49" 1/5. 3' 49" 1/6; 3' 50" 1,-10.

Réduction l' 39" 4/6

Mutuel Gag. 28; pi. 11. 21.50. 30.50. 3' course. PRix DE Trouville ttrot lîonté. 8.000 fr.. 2.500 mètresl. 9 pariants. 1 Idyllc-Nonantaise, à Mme J. :«vey (R. Bréhim; 2. Isigny-G., à M J. jtouhler (Petrai- 3. Isard-IV. à M. Bour̃i« (Bertogliatl).

Non placés Iras-Tu, Ina-G Jantta-lV. Iseo. ldylle-111. Ignoré.

Temps 3' 37". 3' 42", 3' 42" 4/5. Réduction l' 34" 3/10.

Mutuel Geg 61: pi. 21.50. 12.50 et !6.50.

4' course. PRIX du GRAND-COURa trot monté. 15.000 fr. 2.800 mètres). 7 >artants. 1. Gamaliel. à M. H. Cérantfalllard (Reine): 2. Hep. a M. Ch. Fresel .Chrétien). 3. Gr.ntille-Momo. M rorclnftl P. Forclnal).

Non placée Hermes-tV. Helena-11 ndtatus-V, Hemine-lll.

Temps 4' 22" 1/5; 4' 22" 3/6: 4' 24". Réduction 1' 32" 4/5

mutuel Geg. 31.50; pi. 11,50, 10 fr. 5' course. Prix Miss-Pierce (trot il télé. 12.000 fr.. 2.800 métrés). 6 parants. 1. Feupercts, à M. P. Forcing propr.l: 2. Giovanna. A Mme veuve A. rorclnal (L. Forcinal): 3. Flibustier au laras de Cornevllle (d'Haène).

Non placés Flamant, Folle-Enfant-Il, litane-XII.

Temps 4' 14"4 2U". 4' 20" 4/5. Réduction l' 29" 9/10

Mutuel Gag. 24; pi. Il. 10 fr.

6- course. PRIX DE Mondeville (steadc'chase, 10.000 fr.. 4.200' métreal 2 mrtants. 1. tmposant, à M. de la .Mssonnière (Hamel). 67 kgs; 2 IronJvke-II.

Distance 2 longueurs.

Mutuel Gag. 6.50.

LONCOLRS-EPKfciJVE DtlALONS DE LA MONTAGNE BRETONNE à Carhaix le 10 septembre 1834 Un concours-épreuve d'étalons de ralt postier breton et de trait breton ,entre-Montagne. aura lieu à Carhaix a 10 septembre 1934: La présentation en nain aura lieu a 10 heures, sur le ;hamp de Bataille; l'épreuve à 13 h. 30, iur le parcours Indiqué à la Mairie. Seront admis, les chevaux entiers de t 6 ans, présentant le type de trait xwtler breton et trait breton pouvant itre Inscrits au Stud-Book. née et Elevea lana l'arrondissement de Loudéac. dans es cantons de Bourbriac, Callac. MaëlJarhalx. Rostrenen. St-Nlcolas-du-PeTn et la commune de La Chapelle- ̃leuve. pour l'arrondissement de Guln:amp (Côtes-du-Nord). les cantons de luelgont. Qhâteauneuf-du-Faou et Carlaix (Finistère) les cantons de Oourln. je Faouït. Guémené-sur-Scorft. Plouay •t CI6guErec (Morbihan).

L'allocation de 6.600 franca sera ré- tartle en primes de concours-épreuve )roprement ditv pour un total de 4600 rancs et en primes de vitesse constatée >our 1.900 francs.

L'épreuve comprendra

1» Un circuit d'environ S 000 mètres, lur routea, chemins et terrains variés, ivec une descente et une forte montee lut devra être attaquée au pas. de mè- ne que les passage* en terrains lourds. :>tte première partie de l'épreuve devra Kre couverte en 20 minutes

2' Un parcoure de 1.000 mètres, sur erraln relativement plat mais sur lanle. qui terminera l'épreuve.

Le* Inscriptions seront reçues au desot d'étalons d'Hennebnnt. jusqu'au L« Mptstnbrs 1934. 1 lp Usurs*. j

DEMANDES DE PERMUTATION Second maitre fusilier 2- au T. C.. demande permutant n'y figurant pas ou en fin de liste Sévellec, à bord du Tourville. Toulon.

Second maître mécanicien, 15o au T. C., demande permutant n'y figurant pas. Ecrire Le Coz, 5. rue GarneroValbowdin, Toulon.

Quartier-viaitre mécanicien demande permutant pour Brest. E'erire Cliuiton, croiseur Sulfren, Lorient.

Second maître fourrier ordinaire, 1au T. C., demande permutant n'y figurant pas ou en fin de liste. Ecrire Masson, à bord du Foudroyant, Toulon. Quartier-maitre canonnier ordinaire demande permutant pour Toulon Ecrire Sonnois, à bord de 1'EmlleBertln, Brest.

Premier maître fusilier demande permutant embarqué. Ecrirc Narel, à bord de TEmile-Bertln. Brest.

Matelot clectricien demande. permrttant pour la Jeanne-d'Arc ou campaune. Ecrire Conseil, à bord de Z'Algérie. Toulon.

Second maitre mécanicien. 19» au T.. C, demande permutant n'y figurant pas ou avant fait campagne. Ecrire Le Cornec, à bord du Chevalier-Paul. Toulon.

Second maitre armurier, dans les premiers au T. C., demande permutant n'y figurant pas ou en fin de liste. Ecrire dumont, sous-marin 3* région, Toulon.

Second maitre mécanicien dans les premiers au T. C., dentande permutant n'y Jipurant pas ou ayant déjà fait campagne. Ecrire Omnès, à bord du Diderot. Landévennec iFinistère) Second maître torpilleur désigne pour l'Albatres à Toulon, demande permutant pour Brest, Loriert ou Cherbourg Ecrire Le Golf. 12 rue Louis-Pasteur, Saint-Pierrc-Quilbignon (Finistère) Quartier-maître mécanicien demandt permutant pour Brest. Ecrtre vre. à bord de l'Adroit, Cherbourg. Second maitre fourrier B. S.. 6» au T. C.. deruarule permutant n'y figurant pas ou ayant fait campagne. Ecrire Poli, à bord du Jaguar. Toulon.

Quartier-maitre radio demande permutant pour torpilleur à Toulon Ecrire Paureau. cuirassé Provence, Second maitre électricien désigné pour le Courbet demande permutant pour Brest ou Lorient. Ecrire Madec au bourg de Hanvec (Finistère

Second maître timonier. 6' au T. C., demande permutant n'y figurant pas ou ayant déjà fait campagne. Ecrire Derrien, à bord du Rhin. Toulon. Second maître B. S dans les premiers au T. C., demande permutant n'y figurant pas ov avant déià fait campagne Ecrire Huon, à bord du DugunyTrouln. Brest.

Cette ubrtque, entièrement gratuite est ouverte à tous nos lecteurs. Nous n'insérons que les demandes individuelles et signées.

Flotte

Se dirigent vers

Bizerte. le 13. le sous-marin Ondtné. Saint-Pierre et Mlquelon. le 13. le Vauquelin.

Sont arrivés et

Tsing Tao. le 18, Primauguet.

Rochefort. le 13, le transport Jeanne et Geneviève.

Shanghai. le 18. Savorgnan de Brazza Cherbourg, le 13, le tous-marin la Sybille.

Casablanca, le 14 août Arrivé le contre-torpilleur Chevalier-Paul

DESIGNATIONS

La décision du 4 août 1934 désignant M. André. Ingénieur des D. T. de :le cl. des travaux maritimes, pour continuer ses services à Bizerte. a été rapportée, cet Ingénieur ayant été déclaré lnapte servir aux colonies. M. Auchère. Ingén. des D. T. de 2« cl des T M., a été sous réserve de la constatation de son aptitude au service colonial désigné d'office pour continuer ses services & BI.zerte en rempl. de M. André. M. Auchère devra avoir rejoint Bizerte le 3 septembre 1934.

M. Guellen. agent techn. de 2- classe de T. M.. a été autorisé & accomplir une nouvelle période de séjour d'une année en Indochine.

COMMANDEMENTS

Le caplt de vaisseau Rloult, du port de Toulon, a été nommé au comman- dement du croiseur de !̃" d. Foch. Le lieut. de vaiss. Challend de Cevlns, du port de Toulon, a été nommé au commandement de l'escadrille 3 E. I. TEMOIGNAGE OFFICIEL DE SATISFACTION

Le ministre de ia Marine a accordé un témoignage officiel de satisfaction au second-maître canonnier Brunet du Foch, en récompense du dévouement dont Il a fait preuve en rade de Toulon. le 2 Juillet 1934. vers 22 h 15. en se Jetant à l'eau tout habillé, pour porter secours à un officier marinier tombé a la mer et Qui. frappé de congestion, se l serait noyé sans sa courageuse Inter1

ADMISSIONS A LA RETRAITE I Le capitaine de corvette Slce, du 1 port de Toulon, a été admis, à ta re- £ traite, sur sa demande. Cet officier su- périeur sera rayA des contrôles de l'ac- tlvlté à la date du 15 septembre 1934. L'officier de 1" cI. des Equipages de c la Flotte. Gallais, du port de Cherbaurg, a été admis à la retraite. sur sa de- mande. Cet offlclçr sera rayé des con- trôlea de l'activité a la date du 26 sep- tembre 1934. Directions de travaux j M. Gain. tng. des dlr. de trav. prlnc. des C. N.. a été promu au grade d'ing. J en chef et admis la retraite sur sa ( demande, pour compter du 10 août t 1934. M. Mahaut, Ing. des dlr. de trav. de ( 1" cl. des C. N.. a été promu au grade d'ing. prine et admis A la retraite sur sa demande, pour compter du 10 aotlt 1934. 2 DESIGNATIONS

D'OFFICIERS-MARINIERS

Brest, le 14 août Sont désignés Berthelé. 1« maître. Cherbouru. hôpital maritime: Kerhoas. maître, Brest. hôpl- tal maritime Mlchel. 2e m.. Cherbourg, 1 centre de sous-marins. Tréguer, 2* m:, 1 Sldl-Abdallah. Les seconds-maîtres Inflrmlers Rosec, J en service l'hôpital maritime de Brest, et Le Vern. désigné pour l'école prlncf- t pale du service de santé Bordeaux, ont été autorisé, permuter d'affectation. 1 Le second maître Infirmier Péron Bsnri ou admis 4 la retrait*. i

PROMOTIONS

Direction du port .de Brest

BREST, le 14 août. Ont été promus pour compter du 15 août

Au grade de 2« maitre des D. P. (ma- nœuvre i Bellec Jean, quartier-maitre des D. P.

Au grade de quartier-maitre des D. P. (manoeuvre) Caer Yves. matelot des Nouvelles diverses

Le capitaine de vaisseau Michel est cité à l'ordre de la j' région TouLOn, le 14 août ,De notre correspondant particulier Le vice-amiral, commandant en chef, préfet maritime cite à l'ordre de la 3<- région le capitaine de vaisseau Michel. commandant l'aéronautique de la 3' région

c Magnifique officier et chef admirable. dont le. Qualités de caractère et de cœur se sont pour 1a première fois affirmées avec éclat à la br12nde des fusillera marins, où il fut blessé grièvement au printemps de 1915. après avoir combattu sans Interruption sur le front des Flandres depuis le mois d'octobre 1914 Chef de l'aéronautique de la 3n région maritime, s'est imposé avec un éclat semblable dans l'un des commandements les plus difficiles. Sous son impulsion énergique et prudente la valeureuse aéronautique de la 3' région maritime est devenue une magnifique formation animée de l'esprit le plus élevé et rompue aux strictes disciplines qui s'imposent plus que Jamais aux aéronautiques militaires.

c Titulaire du certifiait d'observateur d'aéronautique: deux cents heures de vol. »

Le commandant Michel. qui devait être bientôt promu amiral, était président d'honneur de la section toulonnalse des anciens fusiliers marins de la brigade Ronarc'h.

A ses obsèques solennelles célébrées ce matin, l'amiral Mouget a fait un pathétique éloge des qualités de solda., de chef et de chrétien du commandant Michel.

Paquebots et vapeurs longs-courrier8

ANFA touché Las Palmas le 13. allant de Marseille Dakar

ARDESH1R attendu au Havre, de Caroute.

CtiAHLES-L.-D. attendu à Dieppe. CËPIliE arrivé à Marseille le 14, de Noumea.

ELIANE-L.-D. parti de Québec le 13, pour Churchill.

ESPÉRANCE attendu à Marseille de Nouméa.

FOKAtOSE arrivé à Rlo-de-Janelro le il de Hambourg.

FtHX-ROVSSEL arrivé Marseille le 14. de Kobé.

FLANDRE parti de Cristobal le 12. FORT-DE-VAUX arrivé au Havre le 14, de Dunkerque

FORT-LAMY attendu au Havre, de la Côte d'Afrique.

KOLENTE parte de Nantes le 14, pour Dakar.

KERGUÈLEN parti de Rlo-de-Janelro le 13, pour Le Havre.

KAlSAR-l-'HIND parti de Tanger le 14, pour les Indes

MÈD1E-1I passé Gibraltar le 14 allant de Dakar Marseille

MONTESQUIEU parti de Ténérlffe le Il, pour Ambès.

MORON parti de Buenos-Aires le 13, Jour Antwerp.

MONT-AGEL parti de Marseille le 14, Jour New-Orléans.

P.-L.-M.-2S1 passé à Douvres le 14, ,liant à Rotterdam.

SAN MATEO arrivé à Anvers le 12. V1LLE-DE-MAJUNGA parti du Harre le 14, pour Cardiff.

WISCONSIN 1 arrivé a Cristobal le 12, l'Antwerp.

WYONING parti de Vancouver le 11. Jour Antwerp.

YANG-TSÉ arrivé à Suez le 13. de Shanghaï.

Navires divers

Signalés par T. S. F. le 14 août A CASABLANCA-RADIO

Orégon. Louisiane. Nicole -Schiaffino 'énerf.

A TANGER-RADIO

Grandlicu, Médie-Deux, Mexphalte, 'éneri, Ténérij/a, Nicole Scliaiffino ?ap-Blanc, Léopold-L.-D., P.-L.-M.-20. îpramex.

A OUESSANT-RADIO

Abeille.2: Mousse-Lemoyec. Camillelamelevre. Bartavelle, Alberte-Leborgne, )régon, Grande-Terre, Dupleix, Présilent-Paul-Doumer. Port-Lay. Lion, Osrevent. P.-L.-M.-21. Saint-Martin-Leiase, Petroplialt. Irnbrin, Kerdonis-2, ̃litidja, Océanie. Blida.

Caboteur»

4 ALGER. Arrivés le 14. Menhiriraz, de Phillppeville Djebel-Aurès, Elljeza.tr, de Marseille.

Partis Jacques-Schiaffino pour iète Lussac pour BOne Chanzy. EI)jezaïr pour Marseille. Djebel-Aurés K>ur Nice.

♦ BOULOGNE. Arrivés le 13. 'ilie-de-Caen. de Carentan Caudebec, le Nantes Lillois, de Dunkerque. Partis Caudebec pour Dunkerque Hlle-de-Caen pour Le Légué.

BREST. ARRIVÉS le 14, Martin, tu Légué Vulcain. de Rouen Divona le Dunkerque.

PARTIS le 14, Laurent-Schiaf fino mur Dunkerque Marie-Ferdinand )our Lubeck Vulcain pour Oran 'étrophalt pour Le Havre Eisa pour ;herbourg Orduna pour Vlgo sloops *ierrot pour Gullvlnec Ondine pour 'ont-1'Abbé.

BORDEAUX. Arrivés te 13. M'5, de Tonnay-Charente: Zwena, de Cherbourg E M Saint-Germain, de CarUfl; voilier Sydney, de Pont-1'Abbé; Jeule-Denise. de Marans Louise- Yvonne, de Julmper; Marie-Anne, de Pornic. Partis Le Trait. pour Le Havre; Seire. pour Saint-Nazaire; M.-F.-5, pour >onges; voillers Sidney. pour Satnt-NaMire: Louise-Yvonne, pour Auray: Maie-Anne, pour Port-Launay: Saint-Jo.eph. pour La Rochelle.

BONS. Arrivés le 14, Monique!chiaffino, de Philippeville Lussac, l'Alger.

Partis le 13, Rémois pour Alger îeramri-a pour DJldJelll Sou3sien pour "hlllppevllle Berbère pour Tunis le 4, Jules-Couette pour Arzew Baal>éck pour Alexandrie Prosper-Schia/ino pour Tunis. Attendus Mécaniden-Moutte. KU>ane et Finistère.

BIZERTE. PARTI le 13 Gouverteur-Grévv pour Tunis.

CARDIFF, Arrivés 18 14. Verlitn, Edimbourg.

PART: Roscovitc pour Tréguier. CALAIS. Arrivés le 14, SaintAmbroise, de Brest Penchàteau, du Havre.

CAEN. Arrivés le Il. Gotna. de Goole Quortzitti, de Rouen Brazmor, de Cardiff Emile-Deschamps, du Havre le 13, Honfleuraise de Rotterdam Adolphe-Le prince, du Havre. PARTIS le 11. Fronsuc pour Brest Cjo/na pour Peaham Brazmor pour Dunkerque le 12. Adolphe-Leprince pour Le Havre Thisbé pour Newport Emile-Deschamps pour Le Havre CASABLANCA. Arrives le 14. André-Moyrand. de Port-Lyautey iWaréctral Lyautey, de Marseille.

DIEPPE. Arrives le 14. BrazMor, Château Larose. du Havre. DAHOUET. Partis le 14, Artois pour Cherbourg Jeanne-Marie, pour Pleublan; Sainte-Jeanne, pour SalntMalo.

GRANVILLE. PARTI le 14. Mont', pour Satnt-Mato

LE HAVRE. Arrives le 13. Raffinage, de La Palllce le 14, La Seine, de Boulogne Le Trait. de Bordeaux. PARTIS le 13. Gonneville, pour Rouen Ch&teau-Larose, pour Dieppe Député Clrarles Nortier. pour Rotterdam le 14. René-Marguerite ivoll.), pour Cherbourg Alphée (yacht), Le Trait pour Caen.

LA ROCHELLE-PALLICE. ARRIVE le 13. Ilamon, de Setubal.

Parti le 14. Agnus, pour Oslo. Attendus Cevennes, Biscaya, Manka Erandio.

♦ MARSEILLE. Arrives le 14. Toi<rcoir;0. de Barceloue; Djenné, de Casablanca Général Bonaparte, de Bastia Lamoriciète. d'Alger; Schiaffino 24. de Boue.

Partis Turia. pour Tenerifte; Ardèche, pour Bougie Allier, Boudjmel et Djebrl Dira, pour Oran Duc d'Aumnte et Sidi Mabrouk. pour Boue ̃ El Biar, pour Tunis Sampicro pour Bastla Timgad. pour Alger.

NANTES. Arrives le 14. Taille.fer de Boulogne Cap Figalo, de Saint Naznlre: Sévre, d'Algérie Louise-liose de Port-Talbot.

PARTIS Alfred, pour Notrmoutter. Narbo. pour Plymouth Emworth Manor pour Cardifl Cap Figalo. pour l'Algérie; Fullerston Rosé, pour Barry-Roau Louie-Rose, pour Barry-Road Murs, pour Bordeaux.

Attendus Lapeyrade, Janine, Cap1tainc-Prieur, Charles-Méric, Lucifer Barsac

+ ORAN. Arrives le 13, Les Issers, de Tenes; Marechal-Foch d'Alger- Jean-ae-Betnencourt, d'Alger; le 14 Sebaa. de Mostaganem.

Partis le 13. El Mansour, pour Port-Vendres; Maari/, pour Mostuganem le 14. Dal-Piaz. pour Marseille- Saint-Uiaier, Djurdjura. pour Rouen: Joseplnne-Lc Borgne. pour Mostagauem.

PORT-VENDRES. ARRIVE le 14, Et Mansour. d'Oran.

Parti Et Kantara, pour Alger. PHILIPPEVILLE. ARRIVES le 13, G.-G. Gueydon. de Marseille: Prosper-Sclua/fino, de Bougie.

Partis Sainte-Maxime pour Collo: Momque-Schiaffino et Prosper-Schiaflino, pour Bône.

Attendus Sidi-Mabrouk. Mayenne, de Marseille.

SWANSEA. Arrive le 14, Flore.

· SETE. arrives le 14. Schiaffino-ic. de Bône: Capitaine-Damiani, de Novorossik; Sainte-Marguerite, de Tunis: SUil-Aissa. d'Oran.

Partis Schiaffino-2i, pour Marsellle: bidi-Aïxsa, pour Oran; Dalila, pour Phillppeville.

LEGUE. Parti le 13, Cherbourg, pour Cherbourg.

LORIENT. Arrivé le 14. Guermor, de Nantes.

Parti Mousse Le Moyec, pour Barry. SAINT-MALO. Arrivés le l3. Prince.in-Ena. de Jersey; le 14. SaintBriac. de Southampton Brittany de Jersey; Isigny. de Granville.

PARTI le 14, Isigny. pour Le Havre.

Départs des courriers directs

Pour le Groenland 22 août

Pour Terre-Neuve 25 août.

Adresser la correspondance sous enveloppes spéciales délivrées par les dépositaires de la Maison Daubeuf Frères, fabrique de vêtements cirés, avenue Jean-Lorrain. 224.. Fécamp. DEPART POUR LES BANCS

Bordeaux, le 14 août. Le clialutier Jutland est parti hier pour TerreNeuve. emportant 600 tonnes de sel.

ARCACHON (semaine du 6 au II août). Les résultats de la pèche au chalut de la semaine Qui vient de s'écouler sont de nouveau en régression par rapport à ceux de la semaine précédente. La régression porte sur la presque totalité des espèces seules lee captures des raies sont en légéie progression. Quinze rentrées de chalutiers ont été enregistrées avec des pêches allant ue 3.498 kilos à 8.946 kilos et dont le total est de 93.192 kilos, soit une moyenne de 6.213 kilos par navire, contre 6.559 kilos la semaine précédente, d'où une diminution de 346 kilos.

Les péches les plus fortes en quantités et par société sont celles des chalutiers Grêle, rentre avec 8.496 kilos Marie-Béatrice avec 8.443 kilos, et Suzanne-Michellne avec 6.813 kilos. On signale que le chalutier Coopdrateur, venant du port de La Rochelle, livrera désormais sa pèche à Arcachon. LE 1HON

LES SABLES-D'OLONNE, 13 août. Pêche médiocre bonne qualité du poisson.

Sont rentrés les thonnlers suivants Le 12 août Morvandelle, 160 thons, 526 fr. Charles-Colette, 310 thons, 526 fr. Coubre, 170 thons. 619 fr. Charles-Marguerite. 140 thons, 523 fr. Pierre-André-Serge. 90 thons. 524 fr. Madeleine-Sfmone, 360 thons, 622 fr. Muse, 170 thons, 518 fr. Général-deCastelnau, 190 thons. 526 fr.

Rentrés le 13 avril Honneur-et-Dévouement, 180 thons. 630 fr MaryDarius, 130 thons. 836 fr. Entente-Cordiale, 86 thons, 535 fr Jeanne-Paulette, 120 thons, 490 fr. Père-Félix. 60 thons, 539 fr.

CONCARNEAU, le 14 août. Marché assez Intéressant aujourd'hui, mardi 38 dundees ont livré aux usines 7.475 thons au cours le plus élevé 565 et au cours le plus bas 550 francs les 100 kilos. Voici les numéros de ces thoniers avec leur quartier d'attache. la quantité de thons vendus par chacun et les prix en regard

Concarneau. 1.984 310 thons vendus tt.: Ué A'Ystt. 7.306 330 thons, 560

1 francs; Auray. 1.131 160 thons. 559 fr Auray. 748 160 thons, 553 fr.: Auray, 799 10 thons, 558 fr.: Lorient. 2.501 110 thons. 558 fr.: Qroix. 2.856 120 thons., 557 fr.

lie d ïcu 7.177 175 thons, 561 fr.; Concarneau. 2.043 22U thons 561 fr Groix. 3.069 92 thons. 558 fr Il. d'Yeu 7.113 300 thons, 565 fr.; Il. ci'Yeu. 7.046 312 thons. 565 fr.; Groix. 3.231 160 thons. 558 Ir. Lorient, 3.790 220 thons. 568 Ir.; Auray. 2286 22o thons. 500 tr. Douarnenez, 2.480 265 thons. 561 fr. Groix. 3.665 190 thons, 560 fr.; Auray. 730 19U thons, 560 tr.; Concurneau, 1.584: 210 thons, 561 rr.; Auray. 771: 90 thons. 560 fr. Concarneau. 1.937 120 thons. 561 fr Concarneau. 2.:)88 170 thons. 556 fr.; Auray. 240 60 thons. 553 fr.: Lorient, 2.498 250 thons. 556 fr.- Concarneau, 1.859 2d5 thon.s, 557 fr.: Auray. 1.061 200 thons. 557 fr.; l,a Rochelle. 2 687 102 thons. 554 fr.: Les Sabler. 705 270 thons. 556 fr.- Vannes. 587 275 thons. 555 fr.: Auray. 5.+OU 120 thons 556 fr.- Auray. 5.153 320 thons. 556 fr.

Concarneau. 1.867 350 thons. 555 fr.Auray, 5.079 280 thon. 567 fr.- Con. carneau. 2.045 55 thons. 558 rr.; Il. d'Yeu. 7.327 560 thons. 553 fr.; Concarneau. 1.560 118 thons. 565 f r Paimpol. 85 30 thons, 550 fr.

Concarneau. 1.865 238 thons 551 fr Auray, 5.158 lU8 thons, 551 fr Groix. 3.6U8 180 thons, 553 francs.

CROIX, le 13 août Aujourd'hui, il y avait 15 bateuux, avec 2 520 thons, vendus aux 100 kilos, prix le plus bas 514, le plus haut 53:.

Sont rentrés. les thoniers suivants Anna-Paul. 2:x) th., 531; Anne-MarieMaitcletne. 170 th., 529; Marseillaise. 100 th.. 514; Stella-Mans. 110 th 519. Jules-terry, 140 th., 518; Joseph-Yvon. 380 th., 527; Paul-Annie, 16o th., 522' Aventurier. 100 th., 525; Lutteur. 110 th.. 524; Jacques-Lutteur, 120 th., 521- Cap-llorn. 100 th.. 523; Saint-Joseph, 180 th.. 517; Audacieux, 280 th 5:7; Monde-Madeleine, 170 th., 523; Félicia, 110 th., 520.

ETEL. le 14 août. Auray, 5.394. avec 160 thons vendus 540 fr.: Auray, 742.. avec 180 thons vendus 538 Ir. les 100 kilos.

♦ DOUARNENEZ, 14 août. Aujourd'hui sept bateaux se sont prësen»lis aux diftcrentes ventes de la Journée avec des péches de 56 à 320 thons par bateaux qui ont été vendus au plus bas prix. 526 fr.. au Plus haut. 547 franc Ici 100 kilos. Voici les numéros de cet hateaux, leur par' d'attache, leu· pèche e tle prix de vente.

3.035 Groix 68 thons à 536 fr.: 25» Auray 320 thons à 540 fr.; 2672 Douarn< ne? 200 thons à 540 fr: 2590 Douarmuez 115 thons à 540 fr.; 3794 Grotx, 235 thons il 540 fr.; 1.155 Auray 140 thons, à 544 fr.; 2294 Camaret 54 thons à 547 fr. les 100 kilos. Le total aes apports est de 1.1:14 thons.

LES SABLES-D'OLONNE

PECHE du 13 Août. Sardine. Soixante-douze bateaux sardiniers qui avaient pris la mer étaient rentrés à 16 heures avec des pèches variant de 2.000 à 12.000 par bateau; maille du poisson 46-48 mm. Les mareyeurs ont payé de 20 35 Ir. le mille. Les usines ont fait faire quelques achats aux prix habituels. Au détail, la sardine a été revendue 0.05 pièce.

COMPLEMENT DE LA PECHE DU 13 AOUT. Hier après le depart du courrier. L2 bateaux ont apporte de 4.000 12.000 sardines de 44 a 50 au kilo qui oui ete vendues au prix de 180 Irancs les 100 kilos pour la conserve l'usine. Detut bateaux ayant pèche dans les parages de l'lle de Sein ont eu quelques mille du sardines de 18 à 20 au kilo qui ont été vendues Il 116 francs le wille pour la conserve l'usine et de 118 a 120 Ir. le mille pour l'expédition à la marée. PECHE du 14 Aour. AuJourUnui Jusqu'à 16 heures. 146 bateaux sardl. mers se sont presentes à la vente avec des pèches de 14.000 21.000 sardine* par bateau; au total 2.300.000, de 44 a 50 au kilo qui ont éte vendues ue 180 à 202 francs les 100 kilos pour la constrve à l'usine. Quelques bateaux ont eu de quelques cents à 3.000 sardines, de 18 à 26 francs au llo qui ont été vendues de 160 215 francs le mille pour l'expédition à la marée; 40 à 50 bateaux avec des pêches de 10.000 s> 14.000 sardines sont attendus ou atténdent la vente qui semble assez difficile. Petits maquereaux 100 canots ont apporte de 50 d 800 petits maquereuux qui ont été vendus de 100 a 108 francs le ntlile pour la conserve à l'usine; de 1-1 à 18 francs le cent aux revendeurs '-•t de 5.15 à 5.25 pour la consommation locale.

Crabes un bateau ayant pèche dans les environs du Cap de la Chèvre a apporté environ 120 kilos de crabes qui ont été vendus à raison de 1 franc le kilo, aux mareyeurs.

Palangre trois bateaux ont apporté des raies, des posteaux. des turbots, des chiens de mer, des Juliennes, des congres qu'ils ont vendus pour des sommes de 600 à 3.000 trancs par bateau; au total. 5.900 francs. Les chiens de mer sont cotes à 26 trancs la pièce, les 1 turbots, environ 200 kilos, de 4,50 à 10 francs le kilo. les Juliennes à 15 francs la pièce, les congres, a 4 francs le kilo, les raies & 2.50 le kilo, les posteuus blancs A 3.50 le kilo, les posteaux gris, à 4.25 le kilo.

SAINT-GUENOLË-PENMAKCH

Piche DU 13 AOUT. Sardine £• rogue, 60 bateaux sortis et rentres avant midi ayant de 300 d 400 kilos de petites sardines, moule 50-54. de 50 à 55 au kilo, vendues a raison de 150 Ir. les 100 kilos. Certains bateaux avaient de 150 à 250 kllos; plusieurs bateuui n'ont pu livrer leur pèche que vers 17 heures. Plusieurs kilos de petits maquereaux par quelques bateaux vendu* 150 fr. les 100 kilos aux usines

Maquereaux. 10 bateaux sortis: 15 de rentrés avec de faible pèche. Certains bateaux n'ayant rien, d'autres de 15 a 25 kilos de petits maquereaux. vendus à raison de 150 fr. les 100 kilos, poissons de 18 à 25 au kilo. Quelques bateaux avaient de 25 à 40 gros maquereaux vendus à raison de 1 fr. pièce à la consommation locale.

QUIBERON

Pèche du 13 aot1t (après départ du courrier). Pèche d la sardine de roflue: Durant la Journée, de 10 heures 16 heures, 38 pinasses se livrant à le. pèche à la sardine de rogue ont exposé chacune à la vente de 15.000 40.000 poissons, pèches à l'aide de niets maille.» 52-sa. La pèche s'est faite dans l'Ouest, entre la presqu'île et l'Ile de Oroix. Le total des apports a été d'envir;-n 950 000 sardines. Les mareyeurs et revendeurs régionaux en ont acheté 100.000. aux prix de 55 à 42 fr. le mille. Les usines n'ont pu absorber tout le rest:. une cinquantaine de mille sont restées Invendues. Les prix pratiques par les usines ont été de 175 165 fr. 1» V qulntal,

Pèche d»t 14 ao0t favant départ du courrier). Pêche d la ligne; 16 hmteaux ligueurs ont rapport* '•h«^»« 4«

ACHETEZ

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SAINT-ETIENNE

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«Vaond» le beau uUIsgvr (i<lui| 1,33

500 1.200 maquereaux de différentes cailles: les gros ont été payés par les mareyeurs de 30 à 40 fr. le cent; les moyens, de 20 30 fr.

l'êche am casiers 14 bateaux prattçuact la pèche aux casiers ont pris chacun de 25 à 240 kilos de crabes-tour.»eaux. livrés aux mareyeurs à 1 fr. 25 le kilo, et de 2 kilos à 10 kilos de hon>arcK cédés aux mêmes 14 fr. le kilo. Pêche à la sardine de rogue Une trentaine de pinasses de la flottille sardmiérp rentrées avant le départ du courrier, ont apporté chacune de 12.000 k 25.000 poissons, de 40-45 au kilo, payés T>bi les mareyeurs 43 fr. le mille et 170'n fr. le Quintal par tes usiniers. AUD1ERNE

Hcche du 13 août. Sardine de ro«iie. 110 bateaux sont rentrés avec chacun de 10.000 à 18.000 petites sardlneft, moule 50-52. vendues aux usiniera de 170 à 185 francs les 100 kilos. Quelques bateaux avaient de 1.200 à 3.500 grosses sardines, moule 70-72. vendues de 185 à 1(W fr. les 100 kilos Anchois Une cinquantaine de bateaut ont rapporté de 8.000 à 15.000 an.hois. vendus à 80 francs les 100 kilos. Merlans 4 canots sont rentrés avec chacun de 10 à 14 kilos de merlans blancs. vendus de 3.50 4 fr. le kilo. Congres Deux canots sont rentrés avec chacun de 30 à 40 kilos de congres, vendus de 2.50 à 3 fr. le kilo.

Marche de Paris

̃ Pahis, 14 août. (De notre oorrupondant spécial)

MAREE-CRUSTACES. (On cote au i:ik> (cours extrêmes)

Barbues, 8-14 bars, 20-25 carrelets, 3-6 chiens de mer décapités, 1-3 oollae décapités. 9-13 collas entiers, -311 crevettes ltrlses, 8-12: crevettes roulée grosses, 45-50 dorades de France, 1-5 harengs français. 0.75-1.25 homards vivants, 8-20 homards mort*' 5-12: langoustes vivantes, 10-12 lanogustes Mauritanie vivantes. 12-15 langoustine*. 2-6 limandes. 3-5 lottes. 3-6.50 maquereaux français gros. 1-1.75 maquereaux français petits. 46 merlans ordinaires. 1-1.75 mulets. 61S raies entières. 1.50-3.50 rougetsbarbets. 5-14 soles françaises petites. 6-13 soles françaises grosses. 16-22. On cerf au cent

Sardines salées grosses. 15-20 • sardlnes salées petites. 4-6 sardines fralche». 10-20.

MOULES ET COQUILLAGES. On cote aux 100 kilos

Moules de Bretagne. 100-125 moulea Isigny-Honfieur. 60-100.

On cote au kilo

Coques ou hémon 0.50-1.

POISSON D'EAU DOUCE. On cote au kilo

Ablettés. 2-4 anguilles vivantes. 912 anguilles mortes. 6-10 brochets morts, 12-15 éperlans. 2-3 goujons. 5-12 perches 5-8 saumon frigorifié. 6-12 truites saumonées argentée*. 1625 truites de pisciculture, 14-28 Arrivages

Marée 209.900

Eau douce 7 400;

Coquillage» 7 600

Déposé au frigorifique • 16 400-

Resserre de la veille • 35.600

Quantités mises en vête 251900; Quantités saisies le 12 août 664. Arrivages par agrès

Oare du Nord 144.700:

Vaugirard 55.900-

Orléans 4.440

Marché de La Rochelle

LA Rochelle, le 14 août. En pècherie», apports de merlus moins mauvais. cours de dorades en régression arrivaget de merluchons toujours satisfaisant coure fermes.

A l'encan municipal, apports médiocres cours élevés. Contrairement à cettaines Informations, aucune effervesoence n'est à signaler dans le monde du mareyeurs. On cote suivant, grosaeur, provenance et qualité

En pêcheries merlu 10.50 13 le kilo, triage 9 a 11.20; tout venant merluchons 3,70 à 6: merluchons blesse» 2 3,20 dorade 4.20; pironneaux 2,20, Saint-Pierre 3: limandes 3.20; lotte entière 3 3.80. décapitée 7.20 9,20 raie 2.70: raiteaux neuria 0,80: rouget grondin 4: grondin gris 1.20; congre gros 2.50 a 3, petit 1 .50 » 2.10 anon 1 flétan entier 6 atglen entier 1.60 à 3 campagnols 1.20 1 1.50, touille gros 2.20 a 3.20; poeneteau S.80 à 6.20; muzérallle 3,20 turbot là rascasse 4 Julienne 1.20 à 1.50 maquereaux 3.50 morue fraîche 3.20.

4 l'encan sole 20 a 26 «oie perdrtx limande de volllei 6 raie bouclée S a 7 rouget barbet 18 carrelet 6; merlan de chalut 2 brillant 3 vive 6 tacaux 1.60 muiet 15 turbot 15 barbue 15 cétaux 14 harengs frais 3 maquereaux 2.50 seiche» 2.50 merluchons friture 2 sardine fraîche 26 le cent salée 35 thon 8.

Homards 25. langoustes 40, langoustines tout venant 4 a 8, triées 7 à 9, crevette rosé bouquet 100. grise 6. crabe 6. moules 1. palourdes 8 sourdons 1.70 à 1.75. lavagnans 2

On vend la pèche de 5 voiliers 729 places. 5 homardlers 147 places, 2 maquereautleTS 192 places soit ensemble Chalutiers arrivés en pêcheries PrésUdenl-Briand, 1.600 kilos de merlus, 100 paniers de merluchon» et tout venant Chas tir on 300 merlus. 40 panier» d» dorade*. 120 paniers de merluchon» et .ou% venant Pioorre 364) merlus, 80 dorade». 90 paniers de merluchon» et

0rands chalutiers attendus en picfct, rie le 15 Marie-Yette, Pen/ret. HarU. Marché de Saint-Naiaire

♦ SAINT-NAZAIRE. le 14 août. Un bateau de l'Ile d'Yeu. le Pierre-Legrand, patron Papin, a vendu 400 tables de .poissons divers pour la somme de 6.850 francs.

Les pêcheurs nazalrlens ont recueilli 66 francs avec 13 tables; 150 francs avec 15 tables. 325 francs avec 15 tables. 60 francs avec 20 tables. 48 francs avec 6 tables, 70 francs avec 8 tables. 101 fr. avec 15 tab:es. 127 francs avec 20 tables. 140 francs avec 25 tables. 190 fr. avec 13 tables, 450 francs avec 30 tablee. 102 francs avec 10 tables.

Les pêcheurs du Bono ont vendu 18 tab:es pour 250 francs, 15 tables pour 190 francs. 30 tables pour 391 francs. Les mareyeurs ont réalisé 75 francs avec 10 tables. 1.100 francs avec 70 tables. 290 francs avec 30 tables. 800 fr. avec 60 tables. 600 francs avec 50 tables. 990 francs avec 70 tables. 1.650 fr. avec 100 tables. 1.000 francs avec 80 tables.

Trois pêcheurs de moules ont étalé respectivement 50. 30 et 20 tables, vendues de 8 à 10 francs les trois tables. La crevette grise de Loire valait de 20 à 35 francs les trois tables. 50.000 sardines ont trouvé preneurs à raison de 70 à 75 francs le mille.

Marché de Lorient

Lorient, 14 août. Sœur-Thérèse-deJésus, 19 tonnes Juliette, 6 t. 400 Aigrette, 5 t. 200; Marie-Louise. 8 t. 500: Ter, 13 t. 200 Mars, 5 t. 700 LouiseMarie, 4 t. Antoine. 6 t. 500 Du Couédic. 7 t. 500 Saint-Kemv. 1 t. 300 Ellèe, 10 t. 900.

On cote les cours suivants cabillauds, 4: chiens. 110 les 5 caisses chinchards. 55 les 5 caisses congres. 4 daurade.? petltes.5; grosses. 8: grondins gris. 220 les 5 caisses rouges. 500 les 5 caisses juliennes, 2 langoustines. 2.20 limandes. 4 lottes entières. 4 merlus gros. I1 blessés. 9.25 merlu1 chons gros. 8.25: moyens, 5.50: petite. 2 20 merlans drague. 1 pelons, 2 pocheteoux. 2 poules d'eau. 4 raies grosses, 2.45; soles. 22 solettes, 8.30 '.aeots. 1.50 turbots, 11.

Sont annoncés pour demain les chalutiers Frégate. Georgette, Eider. Mogina, Edouard-Paul, Jeannot, Mon-Petit, Maurtce-René. Pierre-Francois. René-Jean, Marie-Rose, Président-Paul-Doumer. Médaille d'honneur aux employés et ouvriers civils

des établissements de la guerre Par décret du 3 août 1934, des médailles dhonneur aont décernées aux employés et ouvriers civils des établissements relevant du département de la Guerre, savoir

Médaille d'or

Atelier de construction de Rennes I MM. QUlheu. contremaître Bellier. chef d'atelier.

Médaille de aermeil

Poudrerie nationale du Pont-de-Buis MM. Galay. employé de bureau prinelpal Kerhoas. employé de bureau de 1" classe

Poudrerie nationale du Moulin-Blanc MM. Herrou. chauffeur de générateurs Guedes. aide de laboratoire; Sclear, employé de bureau de 1" classe. Atelier de construction de Rennes MM. Salmon. contremaitre; Hodebert. fraiseur- Le Dantec, manoeuvre Rouaux, manœuvre: Bellier. chef 'd'équipe; Renault, forgeron,

Médaille d'argent

Parc annexe de Nantes M. Sonnk, employé de bureau.

Poudrerie nationale du Moulin-Blanc MM. Rosec. charpentier chef d'équipe; Bonis, ajusteur; Michel, électricien; Lohou. maçon: Sallou, chauffeur de générateur: Brellvet, cocher; Rlou, ajusteur chef d'équipe Gourlou. ouvrier de fabrication; Louarn, ouvrier de fabrication- Kerboul, ouvrier de fabrication: Rusch. concierge de 1" classe: Saliou. employé de bureau principal.

Atelier de construction de Rennes MM. Texler, employé de bureau; Denis, employé de bureau Lagoyer. employé de bureau: Lerouge, ajusteur; Garnier, employé de bureau; Aublnlère. contremaître: Berthelot. rectifieur' Grée. tourneur; Mainguené, mécanicien- Audiget, ajusteur: Bigot, manoeuvre; Roussel, chef d'atelier

Médaille de bronze

Parc annexe de Cherbourg MM. Lefrenne. employé de bureau; Lebreton, manœuvre- Cosnefroy, artificier: Després, manoeuvre: Letourneur, manœuvre Magasin central d'habillement de Nnntes Mmes Tester, ouvrière de 1" clause: Launay. ouvrière de 1" classe. Poudrerie nationale du Pont-de-BUis MM. Goas. ouvrier de fabrication; Morio ouvrier de fabrication; Cuft, ouvrier de fabrication: Inial. ouvrier de fabrication: André, ouvrier de fabrication Morvan. ouvrier de fabrication; Dennlel. ouvrier de fabrication: Prlgent, ouvrier de fabrication: Trellu. ouvrier de fabrication Goasdoué ouvrier de fabrication; Brellvet. ouvrier de fabrication Yvenat. ouvrier de fabrication Rolland, ouvrier de fabrlcation Le Haut ajusteur de précision; Pétlllon, bourrelier; Le Page. modeleur; Cottalgn. menuisier: Guéguen menuisier Donnou. aide de laboratoire- Goasdoué, garde-magasin spécialisé: Mazé. employé de bureau de Il* classe- Menez. manœuvre spécialisé; Goasguen ouvrier de fabrication.

Poudrerie nationale du Moulin-Blanc Mme Labasque. ouvrière de fabrication; MM. Soublgou chauffeur de générateur Kerouanton. charpentier Queff. aide de laboratoire- Treguer. ouvrier de fabrication: Fagot, ouvrier de fabrlcatioln: Daré. ouvrier de fabrication Atelier de construction de Renne» MM. Delannoy, manœuvre: Le Grand employé de bureau: Guyomar. manœuvre: Le Normand, chaudronnier; Méolle manœuvre- Mary, manœuvre: Coudé, manœuvre: Mahé. peintre- Delamarre. aide torgeron; Bastard chef d'équipe; Labord, manœuvre- Thouault gardemagasin Guincheux. manœuvre- Penault. infirmier qualifié: Lemarchand. chef d'équipe: Salmon. menuisier; Guincheux. manœuvre: Paris expéditionnaire- Porcher, manœuvre Geshors. manœuvre; Oardan. manoeuvre: Ronsln. chef d'équipe; Garçon, bourrelier- Pacillé. menuisier- Chevalier manœuvre Justal. menuisier; Leroux. tourneur: Renault. forgeron; Etendard. bourrelier: Vaslot. garde-magasin- Freyard menuisier- Pain, manœuvre- Dallé garde-magasin: Collln. emballeur- Raoapé. bourrelier; Glngueaé. lithographeBodlou, bourrelier; Mahé, sellier. P. T. T.

M. Reatuit, rédacteur principal à Rennes (direction départementale), a été nommé Inspecteur à Evreux AU JOURNAL OFFICIEL n

Le Journal Officiel du 14 août publie un arrêté et circulaires relatif» au tarif de réassurance, aux tarifs de responsabilité et aux consultations mfdtcales (assurance» sociale»

PERSONNEL DU TRESOR

Il, Pillet. chef de service de 3* classe, chargé du service de la dépense i la trésorerie générale de l'Ariege Poste supprimé), a été affecte la trésorerie générale de la Loire-Inférieure pour y remplir, k titre provisoire 'et fonctions de et« du semée de la oomptabliu*.

TAUX DE LA PRIME POUR L'ANNÉE LINIÈRE 1934-1935 Le Journal Officiel du 14 août pubüe le décret suivant, fixant pour l'année Hnitre 1934-1935 le muntant de la pri- j me allouée aux lins français.

Art. 1". Le montant de la prime allouée aux lins d'origine et de provenance françaises tellléa sur le territoire national s'élèvera, pour l'année ilniére 1934-1935, 4 fr. 35 par kilogramme de niasse.

Art. 2. Toutefois, le chiffre de 4 tr. 36 prévu ne sera maintenu qu'autant que la cotation officielle des lins russes. rouis terre, du type 1" sorte, 4' groupe, à la bourse du commerce de Lille, ne dépassera pas 6 fr. 15 le kilogramme.

Au cas où la moyenne des cotations officielles de la bourse du commerce de Lille viendrait à dépasser, au cours d'un même mola, le prix de 6 fr. 15, te montant de la prime prévue a l'article I« serait, dès le mois suivant diminué d'une somme égale a la différence entre ladite cotation moyenne et le prix de 6 fr. 15.

Art. 3. Le payement de toute prime sera suspendu dés que la cotation moyenne des lins a la bourse de commerce de Lille aura atteint ou dépassé le prix de 10 fr. 50 par kilogramme de filasse.

Le payement de la prime reprendra sous la réserve figurant au paragraphe 2 de l'article 2. dès que le cours moyen du lin sera. au cours d'un même mois, retombé au-dessous de 10 fr 50 le kilogramme.

Art. 4. Pour l'année linière 19341935. le montant de la prime allouée aux lins en paille exportés sera egal aux deux tiers de la prime normale allouée aux lins teilles sur le territoire national, telle qu'elle vient d'être fixée par le présent arrêté.

Paris. 14 août (de notre correspondant spécial).

BEURRES. Le pavillon sera fermé demain, mais la vente n'a guère été active et les cours se sont effrités malgré les offres modérées.

On cote au kilo (cours extrêmes avec cours moyens entre parenthèses) Beures en mottes

Centrifuges des Laiteries Coopératives et Industrielles Charentes-Poitou. 1317 (15.50); Normandie. 12.50-16 (14.80): Touraine. 13-17 (15.30); autres provenances, 11-15 113.60).

Malaxés Normandie. 10-14 (12.80) Bretagne. 10.60-13 (12.80); autres provenances. 8-13 (11).

Beurres en fivres Provenances diverses. 8.50-12 (10).

Arrivages du jour Beurres français (kilosi, 27.130 pour 2.417 mottes; ventes du Jour (mottes 2.782: resserre du Jour tmottesl, 1.421

♦ ŒUFS. Vente très ordinaire. Cours maintenus aux anciens niveaux. graceu aux faibles arrivages.

Cours par colis de mille oeufs (cours extrêmes avec cours moyens entre parenthèses)

Picardie. Normandie, 300-450 (420) Brie. Beauce. 330-450 (390) • Bretagne, 280-350 i320) • Poitou. Touralna Centre. 300-490 (430) Champagne, Bourgogne. Bourbonnais, 340-380 (3501 Auvergne. Midi, 320.

Arrivages du jour 359 colia.

Ventes du Jour 578 colis.

Resserre du Jour 1.230 colis.

FROMAGES. Pâtes molles. Cours défendus grâce à l'offre modérée. mais la vente est calme.

Priz au cent Camemberts Normandie. 160-300: divers. 100-200: Pont-l'EvèQue. 160-310: chèvre. 50-300.

Prix à la dizaine Brie grand moule, 250-280; moyen moule. 100-160: laitier. 60-130.

PATES SÈCHES. Vente assez active. Cours soutenus.

Aux 100 kilos Port-Salut. 400-1.200: Gruyère. 650-750.

Arrivages pâtes molles 50.300 kilos; Pâtes sèches. 16.870 kilos.

VIANDES. Vente assez facile pour le porc et la basse de bœul; lente par allleun.

On cote au kilo tcours extrêmes) BOEUF

Hausse de 0.50 sur la basse.

Quart derrière non traité 1" qualité 6-7.50; 2' qualité. 5-5.90: 3« qualité. 44.90 quart devant. 3.50-5.80; aloyau. 613.50 train entier. 4-8.50; paleron. 3.606 bavette 3-5.50.

VEAU

Entier ou demi 1« qualité. 7.20-9. 2e qualité. 5.70-7.10; 3e qualité. 4,705.60: pans, cuisseau, carré, b.50-11; basse complète, 4-6.

Mouton

In qualité. 12.50-14.50: 2' qualité, 1012.40 3' qualité. 6.50-9.90; gigot. 12-18; carré, 12-32; épaule. 6-11- agneau de lait. 9-16.

Porc

Hausse de 0.20 sur la poitrine et 0.10 sur le demi.

Demi 1» qualité. 6.80-7.80; 2o qualité. 5.30-6.70- longe ou filet, 8-12; reins. 5.80-8.60- poitrine. 4-5.70: Jambon. 6-11; lard. 3-5.

Arrivages du jour (kilos), 260.000. VOLAILLES. En cette veille de fête et grâce au temps frais la demande a montré un certain empressement et une hausse a pu être faite sensible pour les agneaux, plus légère pour les canards de choix, lapins morts, poules mortes. poulets morts de qualités secondaires. pigeons. Baisse sur les vieux poulets vivants.

On cote au kilO (cours extrêmes) Agneaux gros. 9-13. canards Rouennais, 10.60-11.60; canards Nantais, 10.50-11.60; canards de ferme, 9-10: dindonneaux Nantais, 12-15: dindonneaux du Midi. 12-15: lapins du Oàtinals et Touraine. 10.25-10.75; lapins de provenances diverses, 9.50-10.40; oies nouvelles, 6-8.60; poulets Nantais. 14.50-15.75; poulets du Gâtinais, 15.50-16.50; poulets de Touraine. 14.50-15.76: poulets de Bresse. 1D17.60; poules de Bretagne, 13-14.50-. coquelets. 11.80-15.50.

On cote d la pièce (cours exrtêmes) Pigeons (gros et petits). 4-8.75.

Volafiles vivantes

On cote au kilo (cours extrêmes) Canards. 9-10: lapins. Il.110-6.211; oies. 07 poulets Jeunes Gâtinais, Charente». 11.50-13.60- poulets vieux Gttinals. Bretagne, 8.50-9.50.

Court i la pièce (prix extrêmes) Poussins gras, 3-7 poussins petits. 12.50.

Arrivages (kilos). 74.000; resserre de la veille ikilosi 2.500.

LEGUMES. Les choux-fleur», poireaux, haricots moins abondants se sont mieux vendus avec plus-value dans l'ensemble La vente est bien mauvaise faute de besoin en cette période de vacances Baisse sur Jeu cèpes, navets, romaines.

Court extrimtt aux 100 kilos au. SOO-430; carottes de llMUU. ae 30;

champignons couche extra, 400 600; moyen, 300-450; de conserve, 200-300: cèpes, 300-800: chicorées Nantes, Orléans. 100-200; cornichons. 70-250: échalotes, 150-250: épinards, 80-130; haricots verts du Midi, 60-280 Angers. Saumur. 100-460; région parisienne. 100-450: haricots beurre région parisienne, 60-150; haricots mange-tout départements. 90 Il 280: haricots à écosser, 50-230; flageolets. 60-120; laitues de Nantes, 100-200; mâches, 200-350; oignons en grains. 70200 oseille. 50-120; poivrons, 60 a 250; pois verts de Paris, 100-220; potirons. ̃50-80.

Les pomme.s de terre

Cours extrêmes aux 100 kilos Hollande commune. 80-1107 saucisse rouge. 90-110: blanche rammtine, 55-70; étoile du Nord. 55-70.

Cours au cent artichauts bretons, 10-100; région parisienne. 20-130; aubergines. 20-30: chicorées région parisienne, 20-50; choux verts de Paris. 20-80. choux rouges. 50-90: choux-fleurs de StOmer, 20-200; de Paris. 30-200; courgettes région parisienne. 20^30: escaroles, 20-60: laitues de Paris 15-60; romaines, 30-100.

Cours aux 100 bottes carottes des Vertus. 25-50; de Montesson. 50 à 100; ciboules. 50-100: échalotes nouvelles, 50 a 100: estragon, 70-130: navets région parisienne. 50-175- oignons nouveaux, 70-125: panais, 75-125- poireaux ordinaires, 80-250: radis noirs, 100-150.

Cours aux 216 bottes cresson, 5-25. Cours la botte carottes nouvelles de Paris. 0.40-0.75 céleri. 1-2.50: thym. 1.25-2.25.

♦ FRUITS. Vente très laborieuse. Baisse sur les poires de choix, mirabelles, raisins d'Algérie melons du Midi. bananes des Canaries. Cours plus fermes en reine-claude

On cote aux 100 kilos cours extrêmes) abricots du Midi en plateau, 300 à 600- de Paris, 150-400: brugnons du Midi, 150-500: figues fraîches. 250-550: framboises en paniers. 350-800; en seaux 200-400: groseilles à Frappes, 60-150: noisettes fraîches. 250-450; noix vertes (en brou), 200-250: oranges d'Espagne, 180250 pêches du Midi. 70-350: du Midi en plateau, 250-500: poires choix. 200-400; communes. 60-300, pommes communes. 80-150: prunes départements. 80-250: reine-claude Espagne, 30O-40O- départements. 160-400 mirabelles, 60-100: ralsin blanc Algérie. 100-160: du Midi. 50230 raisin noir du Midi. 130-160: raisin muscat. 250-450: tomates du Midi. 3090 région parisienne. 30-70.

On cote à la pièce melons de Nantes, 0.75-4: de Paris 1-7: melons de Cavalilon 0.50-2.50; melons de Vendée. 0,40 à 1.

On cote à la corbeille fraises Niort, Rouen, Orléans 2-5.

On cote au kilo fraises des Quatre Saisons. 12-16.

Aux 100 kitos bananes des Canaries. 260-350 de Guinée et des Antillee. 300 à 375.

Pommes de terre

OIGNONS. Marché calme avec cours généralement résistants. Cours aux 100 kilos wagons départ, marchandise logée Auxonne 63 65, Albi 55 à 56. Cavaillon 28. Aubagne 45. Agen 60. Roscoff 45. Saint-Brieuc 60 65. CAROTTES. Affaires nulles avec la province, celle-ci ne pouvant concurrencer la région parisienne. Cours aux 100 kilos, wagons départ, marchandise logée Auxonne 26 à 27. Loon Plage (Nord) 23.

Navets. Marché nul.

Carottes, navets, oignons

PARIS (Marché des Innocents), 44 août (de notre correspondant spécial). Cette réunion hebdomadaire. tenue la veille du 15 août, a été des plus médiocres. Avec une assistance très restreinte. les agraires ont été minimes avec prédominance des vendeurs d'où certaine Indécision des cours pour preaque toutes les variétés ou provenances. Cours aux 100 kilos, wagons départ, marchandise logée Hollande de Bretagne 54. Henaut de Paris en culture 83 à 90, du Loiret 105 mallette de Bretagne 58. Paimpol 57 Julie de Bretagne 63 i 64 saucisse roupe de Bretagne grosses 75. toutes venantes 65 early Sarthe 54 a 56, de Touraine 55 a 57 flouck Salnt-Malo 55 56. Rascoff 54 fin-de-siècle Bretagne 51 à 52 Eerstelingen Nord 52 à 54. de la Sarthe 06 de Paris en culture 55. du Loiret 57 58 idéal Nord 50 jaune de Bretagne 47 iL 48. d'Alsace 45 rosa Morbihan 74 A 75, de la Sarthe 78. des Côtesdu-Nord 75 à 76 Etolle du Nord du Loiret 85 beauvais Sarthe 52.

PARIS-LA VILLETTE, 14 août (de notre correspondant spécial). Au petit marché aux veaux de ce Jour on a présenté en tout 192 animaux dont 179 du renvoi de la veille et 13 arrivants des provenances suivantes • Malne-et-Lolre 6. Sarthe 8.

La vente de ces animaux a été pénible et d'autre part l'allure du marché de cette viande aux Halles Centrales a été peu soutenue. Il est resté aujourd'hui 50 invendus.

Voici tes cours officiels au kilo de viande nette première qualité 8.20. deuxième 6.20. troisième 5, extra 9.50 cours au poids vif première qualité 4.92. deuxième 3.53, troisième 2.75. extra Il,89.

BOURSE DU HAVRE

Clôture

LE HAVRE, le 14 août.

COTONS, Tendance calme. Août 263. septembre 263. octobre 263. novembre 263, décembre 263 Janvier 263. février 262. mars 263. avril 263. mal 264, Juin 264 juillet 266.

CAPES. Tendance calme. Vente 750 sacs. Août 161.75. septembre 162.75, ootobre 162.76. novembre 163, décembre 162.75 Janvier 162,75, février 163.75. mars 163.25. avril 163.2S. mai 163. Juin 162.75 Juillet 183.60

BOURSE DE MARSEILLE

Clôture

Marseille, le 14 août.

HUILES. Arachides d fabrique disponible 178.26 à 187.60 (6 de taxe en plus): de coprahs disponible, 116 26: de palme blanche. 117.50 ̃ Dahomey (Cafl Marseille. 80.

De grainet comestibles Arachide@ neutralisée* désodorisées, 220 i 225 ruflsqu»» supérieures, 232 00 à 242.50 I sésames alimentaires désodorisées, 226 à 230 ordinaire», ai* à âM.

D'olive 1" pression 375 à 385 2' pression, 360 à 370 Borjas extra. 200 il. 215 Andalousie extra, 18o à 195 surfine, 170 180.

De lin 205 il. 215.

MARCHÉS ETRANGERS

METAUX

Londres, le 14 août.

Antimoine. Qualité spéciale, 44 u, 45.

Cutvre. Comptant. 28 15/T 1/2 trois mois, 29 3/1 1/2 Mes Selected, 31.10 a 32.16 electrolytique, 32 à 32.5. Etain. Comptant, 230 15 troia mois, 230 16/3.

Plomb. Anglais comptant. 12. 15 étranger comptant. 10 18/9 étranger Uv. éolig.. 11.5

Zinc. Comptant. 13 11/3 livraison éloignée, 13 17/6.

Argent. Comptant. 21 5/8 deux mois. 21 9/16.

Or. 1381 1/2.

Mercure. 11 7/6 6 11 12/6.

CÉRÉALES

♦ LIVERPOOL, 14 août (clôture). Blés tendance ferme; oct. 5/ Il 1/2; déc. 6/2 1/2; mars 6/4 1/2; mai 6/6 3/8; ntaïs tendance soutenue; La Plata iC.A.F.), août 24/4 1/2; sept. 24/6; oct. 24,10 1/2.

%̃ CHICAGO. 14 août. (Clôture.) Blés dur d'hiver n" 2, disponible. 110; dur d'hiver il" 3, disponible, incoté; septembre. 1021/4 a 102 1/8; décembre, 105 d 104 5/8; mal, 108 1/8 à 108. Mais: bigarré Il'' 2, disponible, 773/4: septembre. 75 3/8: décembre 78 314; mal. 83 1/8. Avoines septembre 49 5/8; décembre, 611/8- mal, 53 3/4 Seigles: nu 2, disponible, 83; septembre, 84 1/8: décembre. 87 1/8; mal. 91 3/4. Orges septembre. 71 L/4; décembre. décentbre, 71- mal, incotées.

♦ WINNIPEG. 14 août (clôture). Blés octobre. 87 7/8: décembre. 88 7/8- mal, 92 7/8. Seigles octobre. 71 3/8; décembre, 72 1/8: mai. 76 3/8. Avoines octobre. 43 1/2; décembre, 43 1/4: mal, 45 18. Oraes octobre, 56 1/8; décembre, 56 7'8 mal. incoté

̃%̃ BUENOS-AIRES, 14 août (Clôture.) Tendance faible Blé.s août, 7.637.67: septembre., 7.73-7.86; octobre, 7.847.96. Mais août. 7.23-7.17; septembre, 7.35-7.33: octobre, 7.47-7.44. Avoines août. 6.30-6.40. Orges disponibles, incotées.

>̃ ROSARIO. 14 août (Clôture.) Blés uoût, 7.65-7.70: septembre. 7.75-7.90. Maïs aoùt, 7.05-7.0à: septembre, 7.15-7.20.

· NEW-YORK, 14 août (clôtures. Blés, dur d'hiver. n» 2, dimp. 112 1/2, roux 107 1/2. bigarré durum inc.;maïs bigarré pour l'exp. 81 7/8.

COTONS

%• LIVERPOOL. 14 août (clôture) Américains août 6.95: oct. 6.92; nov. 6.91; déc. 6.91; janv. 6.92; tév 692- mars 6.92; avril 6.91; mai 6 91; Juin 6.90; Julll. 6.90; août 6.88.

Sakellariais août 8.36; sept. 8.37: oct. 8.40; nov. 8.43; dec. 11.48; Janv. 8.52; fév. 8.57; mars 8.57; avr. 8.62; mai 8.62: Juin 8.70; Juill. 8.70. Hauce-Egvpte août 7.33: sept 7.35; oct. 7.29; nov. 7.34; déc. 7.39; Janv 7.39; fév. 7.44: mars 7.44: avr. 7.49; mai 7.49; Juin 7.50: Julll. 7.50.

♦ NEW-ORLÉANS. 14 août (Clôture.) Disponible. 13.30; octobre, 13.28-30: décembre, 13.45- janvier. 13.49; mars, 13.59. niai 1S.6.6; juillet, 13.71 NEW-YORK. 14 aoùt. (Clôture.) Disponible. 13.45: août. 13.21: septembre. 13.26' octobre. 13.J3; novembre, 13.40- décembre, 13.47: Janvier. 13.62: février, lncotés; mars 13.63- avril Incotés mai, 13.69: Juin, incotés; juillet, 13.75.

SUCRES

♦ LONDRES, le 14 août (clôture).Base 96", tendonre soutenue; août 4/8: déc. 4/10-4/9 3/4; Janv. 4111-4/10; mars 5/0 1/2-5/0 1/4; mal 5/2-5/1 3/; août 5/3 3/4

̃%• NEW-YORK, 14 août (clôture). Septembre 174: octobre 177; décembre 181. Janvier 182: mars 184: mal 189; juillet 194. Ventes approximatives 25.000 tonnes.

CAFES

♦ NEW-YORK. 14 août (clôture). Santos n" 4. contrat D, disu. il 5/8- septembre. 11.08: décembre. 11.16; mars 11.20 mal, 11.27: Juillet. 11.34. Ventes approximatives 26.000 sacs.

VENDÉE

♦ SAINT-GILLES-SUR-VIE. 12 août. Notre marché eut lieu par un beau temps. Il fut assez bien fréquenté et normalement approvisionné.

On cote les poulest de grain gros 40 45. moyens 30 à 40, petit 20 à 30 la couple (tendance à la baisse); canards, la pièce 12 a 15. oles 15 à 22 pigeons, la couple 8 à 9 lapins Jeunes 8 à 13. vieux 13 à 18 la pièce. Cours maintenus.

Les 100 kilos froment rouge taxé mil blanc 170; avoine 57; blé noir 108; seigle 64 à 65; orge 70.

Haricots lingots 200, brézlns 140 graine de lin 100.

Fromage de N.-D. -de-Mont» le pain 2.50 a 3, frais 3,50.

Les 600 kilos foin du marais du sud 150 à 180, paille 70 à 80. Vins de pays. la barrique de 220 litre», Noah 120 a 150. Gaillard 150 à 250. gros plant 250 300.

Bestiaux sur pied, el kilo bœuf» gras 2,50 à 2,75 bceuts de travail, la paire 2.500 à 4.000: vaches grasses. le kilo 2.25 à 2.50 vaches laitières. l'unit« 1.000 à 2.000: taureaux. le kilo 2.60 4 2.75. veaux de lait 3,50 a 4 génisses, l'unité 400 a 700 moutons 4,50 5 le kilo porcs gras 4.50 A 6 porcs de lait l'unité tfO à 190.

· CHALLANS. 14 août. Le champ de lo.rt au gros bétail a été très moyennement garni donnant dans l'ensemble de 400 uéteb environ. Aucun animai gras ne lut présenté. sauf cependant une génisse vendue 2.50 le kilo vif. bœujj de travail, et taureaux datte» loge .,es annales lurent amplement jiuilsams aux demanaes et la vente a été calme. Cependant dana les bons oœuls de 4 ans on pouvait venure 3.8J0 1 4.U0O la paire. ie.i bœufs ordinaires, les jeunes de 3 ans. valaient 3.U0O environ; de même les bons taureaux d'acte.axe de 2 mu et demi a 3 ans se vendaient de 1.300 â 1.500 pièce les ordinaires et ceux de 18 mois se cassaient entre 80U et 1.200 pièce.

Vaches laitières et taures La vente était bonne dans les meilleures vaches prêtes et taures en situation dont la première a été cotée 2.000 a 2.500. et dans les secondes ue 1.Ô0U -i 1 BuO pièce; le; vaches médiocres, celles a partir de 9 ans se ceuaieui vers 1.200 Il .M, ies taures de 2 ans. celles de 3 ans tres ordinaires obtenaient. 1.000 a l.oOO pièce. Hepruducteurs gemxses lres peu de reproducteurs et pas très bons. ils « vendaient de 700 a 1.100 pièce, peu de génisses et gémssons de l'année avec ais» se: de demander, nia. a peut prix, oa a enregistre entre 400 et 700 piece. Veaux de lait Le marche a e.e a.ssea bien sarni. leur veme a été moyennement passable le.- petits veaux d'élevage de 8 a 15 Jours se vendaient de 50 a 100 Ir.. d'autres de 3 à 4 sema,nes obtenaient de 150 a 20U pièce; les bona veaux de joucherie lurent cotés de 3 50 a 4 le kilo vif.

Moutons Les arrivages lurent trèe nourris. J50 à 400 têtes lurent présentées. la vente a éte convenable en Jeunes agnelles et bons reproducteurs. ceux-ci se vendaient 3.80. 4 et 4.50 le kilo vif. dans les autres on laisuit de 4.75 5 fr.

Chevaux Marché moyen, chevaux de travail dans les mêmes cours. 2.000, 2.500. 3.000 poulains de 800 à 1.UOO pièce.

Porcs Arrivages surchargés avec vente meilleure dans tout l'ensemble on a vendu gros porcelets. 140. 160 moyens, 120. 1JO; petits. 100, le tout axe de 8 a 9 semaines. Les porcs gras se sont vendus i lr la livre de viande.

•% FONTAINES. 13 août. Avec pré» de 400 gros bovins, cettes foire s'est classe uans les plus importantes uu département depuis plusieurs mois. U y lut en outre enregistré une demande plus active, nota.r.met sur les vacnee et les bons animaux gras L entre-deux. est resté dans les mêmes conditions le« bœuls de travail se sont maintenus lea veaux de lait. par les arrivages un peu chargés ont eu une vente ino.n» bonne: les porcs de lait se sont bien défendue et avec une hausse sur lea cours au mois dernier équlvalant 30-40 et même 50 francs par tête.

Animaux gras amenés. 93 premier* qualité. 2.50 deuxième qualité. i troisième, qualité, 1.50; fourniture 0.7Î 1 franc le kilo vlf.

Animaux de travail, amenés. 28 palrt* de bœufs et 38 veaux hongres de trente mois. Jeunes bceufa. 3.500 4.000 viemt bœufs et mauvais Jeunes. de 2.200 à 3.000 francs la paire. Vaches et génisses» amenées, 195 Jeunes vaches, de 5 à 7 ans. 1.500 à 1.800 taures en situation, de 900 à 1.200 génisses, de 300 è 700 francs pièce. Veaux de lait amenés 113 première qualité, 4 deuxième qualité. 3 troisième Qualité. 2.50 la kilo vif.

Porcs de lait amenés. 180 environ- gros porcelets. 130 à 140: moyens. 11# 120 petits 90 à 100 francs pièce.

LOIRE-INFËRIEURE

· NOZAY, 13 août. On cote à la barrique de 230 titres environ cidre de bonne qualité. 95 1U5; cidre de qualité supérieure. 110 à 115, pris iL la propriété. droits de circulation en sus. Ces prix sont sans changement appréfe ciable depuis plusieurs mols, la prochaine récolte s annonçant assez favorable.

On cote à la couple poulets petite 18 à 25 gros, 26 à 34 raison d'environ 8 à 8.50 le kilo vivant; poules le à 24 pigeons 8 à 9 fr.

A la pièce lapins domestiques. 10 à 15 fr. 15 a 5.25 le kilo vivant).

Le kilo beurre ordinaire ou sale, 14 iL 14 25 beurre fin, 15 a, 15.50 œuf», la douzaine 2.75.

Les 100 kilos blé 10a (prix légal) avoine 52 à 53: seigle 59 à 60 orge. 59 4 60 sarrasin 105 à 1U6 son de froment 55 à 56 sor de sarrasin 8» à 70; tourteaux de coprah 69 à 70: tourteaux d'arachides, 69 a 70.

Les 500 kilos taille de blé pressée, 110 à 115 foin 18o 200.

· CHATEAUBariA.NT. le 14 août 0.t cote at la pièce poulets. 10 à 15 fr.; poules. 12-14; «aaards. 13-14; pigeon*. 5-6: lapins. l(fr-L2.

Ou cote au kilo beurre ordinaire. 10 francs; beurre tln, le à 16.50; oeufs il» douzaine). 3 3.50.

Les 100 kilos blé, a la taxe, 108 fr. 'sans aflairos); avoine nouvelle, 60 à 65; crge, 75 à 80; sarnasin, 95 à 100; son. 50 55. fr.

Les 500 kilos paille de blé. 100 à ne; foin. 110 a 120 fr.

Bœufs de travall, de 2300 i 3.000 I* pa:re; bœufs «ras. de 2 a 2J0 le kilo, vaches laitière» ou amouillantes. de

L'ELEVAGE DANS LE MORBIHAN

a Tibet taureau de race ple-noire. Inscrit au Herd Book né es 1 KtoTOft de M. BeMU Pierre, à PUscop (MwMJuyi).

11

CONCOURS DE BÉBÉS

Il n'est pas une maman qui, voyant son tout-petit bien" à point rose, potelé, les chairs fermes, n'ait l'idée de le présenter à un concours de bébés. C'est bien naturel, on s'est donné tant de peine, on a fait tant de petits sacrifices pour mener à bien le petit être, on voudrait le montrer en exemple, on voudrait voir un Jury justifier l'orgueil que l'on porte au fond de son cœur. Mais il n'est pas besoin d'un jury pour décerner à Bébé le premier prix, le prix d'honneur, c'est la vie qui le lui décernera plus tard. lorsqu'il sera devenu grand enfant, puis un adulte bien portant, lorsqu'il sera entré en possession du capitalsanté que, jour après Jour, repas après repas, sa maman aura accumulé pour lui pendant ses premières années. Pour constituer une dot à un enfa:vt, pour souscrire pour lui une assurance. il faut savoir faire quelques sacrifices, il faut choisir de bonnes valeurs, une monnaie stable. La dotsanté, l'assurance-santé, ne rapporteront ce qu'elles coûtent que si la maman en a choisi attentivement, avec toute sa tendre sollicitude, les éléments premiers. Qui dit santé dit hygiène, qui dit hygiène alimentaire dit Nestlé. La meilleure façon de nourrir Bébé, de construire solidement son organisme, c'est de lui donner, à défaut de l'incomparable lait maternel, le lait sucré Nestlé, riche en crème et en vitamines, merveilleusement digestible, nourrissant, inaltérable, toujours semblable à lui-même, puis, à. partir du 5' ou 6* mois. les bonnes bouillies soigneusement maltées à l'avance, riches en lait et en vitamines, et dont les éléments nutritifs sont scientifiquement dosés, les bonnes bouillies de Farine Lactée Nestlé.

Les Bébés Nestlé. du reste, se partagent toujours les premiers prix aux concours, avec les bébés au sein. N'y a-t-p pas là une précieuse indication pour les mamans hésitantes et soucieuses de bien faire ?

1000 à 1.200 pièce: vaches grasses, de 1 4 1.7S le kilo: génisses, de 600 à 800 pièce; veaux gras, de 2.50 3 le kilo: n.outons. de 4.60 à 3 fr. le kilo: porcs de lait. de 60 à 100 fr. pièce: pora maigres, de 150 à 250 fr. pièce: porcs gras, de 4 à 4.10 le kilo.

Vente un peu meilleure sur les porcs. Cours sans changement sur les bétes à cornes.

VENDRE

· BAZOCHES-EN-PAILLERS. 13 août. On cote petits poulets la couple 15 à 20. gros 25 30: pigeons 8 à 9 lapins, la pièce 7 à 12. Apports restrelnte en poulets et lapins.

On cote beurre ordinaire ou saie 14.50 à 15 le kilo. doux 12 12,50 cents la douzaine 4 à 4.25.

Marché faible en général. Quantités peu Importantes de beurre.

♦ SAINTMESMIN, le 13 août. Beurre. 8.50 à 8.75 la livre œufs, 3.2B à 3.75 la douzaine poules. 3.75 4 poulets. 5 5.50 canards. 3.25 a 3.50 lapins. 2.75 à 3 la livre pigeons, 8 a 10 la couple. Vente facile.

CHARENTE-INFERIEURE

♦ MONTENDRE. le 13 août. Poulets 4 fr. la livre poids vif oeufs 3,50 la douzaine.

.loches 1 à 2 fr.. poires 1 3. le tout à la livre. ♦ PONS, le 13 août. Volailles poules 3 fr.. poulets 4.50 à 5. canards 3. lapins 1.50 à 1.75. le tout au demi-kilo. Œufs 3 à 3.25 la douzaine

Haricots 3.50. oignons 1,50. Cornâtes 1.25. le tout au kilo.

MAINE-FT-LOIRE

•> MONTPAUCON-SUE-MOINE. le 14 aout. Beurre 7.25 la livre: oeufs. 3 à 3.50 la douzaine: vieilles poules. 4 a 4.60 la livre: poulets. 5 5.50 la livre; lapins. 2.75 à 3 fr. la livre.

Marché bien approvisionné en toutes sortes de denrées: même cours que le précèdent marché.

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DEUX-8CVRÇH

CKUZAY, le 13 août. Beurre. 7.50 la livre otufs, a,25 9.60 la douMjn» poules, 8.60 A 3.75 poulets. 5 à M6 Oftntrda. 3 l 3.80 lapina. 9.25 à 2,711 la 8 à 10 la coupée. Vente calme.

COTES-DU-NORD

♦ QUINTIN. le 1l août. Veau premlère qualité, 3,30; ordinaire .2; porc gras, la livre sur pied. 1.80-3: porc a nourrir. la pièce, 180-220; porcelet, la pièce. 60-75.

Beurre. la livre. 7.38-7.50: œuf», la douzaine, 3.

Faible marché en raison des travaux de moisson. En veau, la vente a été calme avec tendance la hausse, ainsi Que sur porcelets. Beurre et oeusf Inchangés. %• MONOONTOUR, 13 août. Les 100 klios froment rouie, la taxe avoine blanche. 42-46: avoines grises et notres, 48-60; seigle. 85-58: blé noir, Il:.1-95; orge, 08-6O tmouture et brasserlei- larlns premtere qualité, rendue au eeull des boulangeries. 188-170; sons. 68-60. Cousr btavionnalres.

Au 1.000 icnviron 500 kllpsi foin 130-140: paille de froment. M-100 paille u avoine, 100-106; yalUe de seule. 108110: paille pour litière, 50-.55. Sans grand changement sur le marché précédent La barrique de 220 litres, rendue à domicile ou en gare, marchandise logée, les droits de régie restant à la charge de l'acheteur cidre nouveau ordinaire, 7075 cidre nouveau, première qualité, 7880 franc.

Bœuis gras, le kilo sur pied, 1,7b-2,80; boeuf. de travail, la paire, 1.200-1300' vaches grasses, le kilo sur pied 1 50-1 75 vaches laitières, l'unité. 760-800- taureaux, le kilo sur pied. 1,78-2; veaux le kilo sur pied. 2.60-2.78; veaux de lait! le kilo sur pied. 2-2.10; génisses, l'unité. 750-800: génisses, le kilo sur pied. 1,75-2, moutons, sur pied, le klo, 3-3 2â' agneaux, lr kilo sur pied. 4-4,50; vaches amoulllantes, T50-850 pièce; porcs de lait, l'unité. 50-70: porcs malgrea, le kilo sur pied. 1.25-1.50; porcs gras sur pied, le kilo. 1.7b-2; porcelets du trois mois, 1 unité 180-200 fr. suivant taille et eaLuurs en baisse générale.

Poules, la couple. 20-24- poulets de grain, la couple. 20-22: vieux poulets gros, la couple. 22-25- moyens, la coupie. 20-22; petits, la couple. 18-20; poulets vivants. au poids, la demi-kilo, 22.10 canards, la pièce .12-15; Jeunes canards en bonne qualité, la couple suivant grosseur. 18-20- oies, la pièce 2530 pigeons, la couple. 8-B- lapins, la pièce, 10-12: lapins vivants, au poids, le deml-kuo, 2-2.10; lapereaux pour l'élevage, la pièce. 9-3,50.

Marché médiocre.

Beurre ordinaire, en gros, le kilo 1314. en détail. le kilo. 13.35-13.60; beurre demi-fin. le kilo. 13.50-13.75- beurre de table extra fin. en gros, le kllo, 13,7013,76 au détail, le kilo. 13.76-14'; oeufs. la douzaine, 2,75-3 suivant grosseur.

̃•> SAINT-NICOLAS -DU -PELEM, le 13 aoirt. On cote a la pièce poulets. 9-11. (4 Ir. la livre); poules. 8-12; canards, 14-20 suivant grosseur; pigeons. 5-5.50; lapins. 11-13.

Marché bien approvisionné en volailles, mais vente assez dllflclle. Baisse sur les poulets de grain. de 1 franc par livre.

On cote au kilo beurre ordinaire ou salé. 10-11: beurre fin, 12-13- œufs (la douzaine). & 3 fr.

Hausse de 0 fr. 80 par douzaine d'oeufs.

Les 100 kilos blé, cours officiel; avoine, 46; seigle, Incoté: orge, 60: sarrasin. 88; farine. 178-180- son. 64. Cours sans chanxement sur le marché précédent, le blé nouveau n'étant pas encore battu

Les 500 kilos paille de blé, 80; paille d'avoine. 95: foin. 140-160.

Cours sans changement.

On cote à la barrique cidre ordinaire, 150-190: cidre première qualité, 170-180. Frais de régie a la charge de l'expéditeur.

Pommes de terre, les 100 kilos, 80-08. ♦ CALLAC, le 14 août. On cote la pléce poulets. 12 14 fr.; poules. U-16: canarda. 20-24; pigeons, 7-8; lapins, 6-8.

On cote ai: kilo beurre ordinaire ou &alé. 9 à 10: mute (la douzaine). 2.75 à 3 ir.

Taureaux gras, de 2.60 2.60 le kilo: vaches laitières ou «mouillantes, de 700 à 900 fr. pièce; vaches grasses, de 2.25 a

découpez ce Timbre rprise vous attend la coquetterie que tant de femme* oou» j douceur d'aimer. lorsqu'elles passent à est un peu de bonheur qui nous frôle e1 nmes l'apprécient même lorsqu'ils ne le j omme il suffit souvent de peu Essaye; iact Guéneaux et vous serez la première es de toujours devenir vos plus fervents nent complet de ces parfums chez votre ). Demandez-les-lui.

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L'OUEST- ECLAU a.M le kilo: ftalatM, de a.80 1 3 lr. le kilo; veaux de lait, de 2.25 à 2.50 le kilo; veaux gras, de 3.50 à 3 Ir. le kilo; porcs maigres, de 1,60 i 1.80 la livra; porcs gras. vendus de 3 à 3.80 le kilo.

Marché presque nul A cause de la moisson et cause du changement de aate motivé par la fête de l'Assomption. PAIMPOL, la 14 août. Beurre. 19 20 Ir. le kilo au détail: oeufs. 4.98 A 4.50 la douzaine; poulets. 12 4 14 lr. pièce; plgeone, 10 fr. la Couple.

MORBIHAN

PL6UAY, 13 août. Au kllo beurre ordinaire ou salé, 13.76 à 14 beurre fln, 14 à 14.26 oeufs, la douzaine. 2.60 à 2.60.

Veaux de lait, amenés 100. vendue 100 de 4.50 6 fr. le ktlo.

Vu le petit nombre de veaux, les besoins n'ayant pu être satisfaits, Il en est résulté une hausse de 0.60 par kilo. Moutons amenée 80 environ, vendus U0, de 3 à 4.50 le kilo; porcs malgras, de moyenne grosseur, de 4 à 4.10 le kilo porcs gras et truies, de 3 A 3.20 le kllo. FINISTERE

PLOUDALMftZEAU. 13 août. On cote au kilo beurre salé, 15-18,80; oeufs, la douzaine. 5 fr. Sans changement.

MORLAIX, le 14 août. Beurre en B*os. Au marché du 14 août. les cours du beurre en gros aux 100 kilos ont été ue 980 francs pour toutes les qualités. Maintien probable pour samedi. 1LLE-ET-VILAINE

LA QUERCHE DE BRETAGNE, le 14 août tde notre correspondant agrioute). Marche verltaoiement animé, tenu par un très beau tempe, Maigre un acnalanuuge plus important qu'au précédent marché, les cours ont été bien soutenus pour les veaux et en augmentation sérieuse pour les porcs maigres et les porcs de lait.

Les veaux. Ils pouvaient être une centaine, ceux de aorte extra ont <#tenu 1.76 de la livre: les bons étalent traités autour de 1.50. mals les médiocres eurent une vente excessivement difficile. Dans l'ensemble, les animaux manquaient plutôt de qualité.

Ley porcs. Les coureurs ou porcs maigres ont été plus demandée et leur cours s'est bien affermi, Il ne s'en wt pas vendus moins de 2 fr. la livre. Les porcs de lait n'étaient pas moins de 3.50, presque tous furent vendus depuis 80 fr. l'unité Jusquà 110 tr. C'esta-dlre que leura prix ont exactement doublé depuis le début du mola. Il y a lieu de se réjouir de cette reprise, car on traitait depuis longtemps à des taux vraiment trop déficitaires.

· JANZÊ. le 14 août «te notre corre#pondant agricole). Le marché de ce matin a été beaucoup plus suivi que les précédents, car les battages aont il. peu prés complètement terminés maintenant. Le cours des veaux est resté sensiblement le même que mercredi dernier, mais nous avons constaté une vente beaucoup plus active dans les porcs maigres et les porcs de lait et un gros pourcentage de transactions pour ces animaux i des prix nettement plus élevés que ceux qui étaient pratiqués depuis plus d'un mais.

Les veaux. Leur nombre n'excédait pas 26: tous ont été vendus, les très bons ont obtenu 1.60 de la livre, mais on a surtout traité i 1.40 et 1.50. Les parcs. Les maigres n'étalent pas moins de 80, presque tous ont trouvé preneurs sur le pied moyen de 2.25 la livre, c'est-à-dire avec une hausse de 0.50 par kilo. depuis 8 Jours. Les porcs de lait se sont eux aussi vendus avec une très forte hausse qui dépassait même celle que l'on prévoyait. L'unité valait de 80 fr. à 120 Ir.. suivant le poids et la qualité.

LES LÉGUMES

LES POMMES DE TERRE

♦ SAINT-POL-DE-LEON. le 14 août. L*« pommes de terre sont payées la culture, de 28 a 32 franca les 60 kilos, suivant la qualité. Cours soutenus. Tendance ferme.

LES ARTICHAUTS

̃ ♦ SAINT-POT^DE-LEON. le 14 août. Les arrivages sont de même Importance Environ 100 voitures ont été amenées ce matin sur le marché de la place de l'Evêché.

Les artichauts ont été vendus a ral- son de 0 fr. 70 à 0 fr. 82 le demi-kilo, suivant la Qualité. Cours stationnaires. Transactions plutôt lentes.

LES OIGNONS ET ÉCHALOTES SAINT-POL-DE-LEON, le 14 août. Les oignons sont payés à la culture de 17 à 18 fr. les 50 kilos. suivant qualité. 1 Cours stationnaires. Tendance ferme. Les échalotes sont cotées de 33 à 36 francs les 50 kilos, suivant la qualité. t Tendance ferme. Cours soutenus. DANS L'ARMEE

1

ADMISSION A L'ECOLE DU GÉNIE DE VERSAILLES Le sergent SchlllIiiK du 6' génie, est c admis a l'école d'appllcatlou du génie de Versailles avec le numéro 3.

ECOUTEZ AUJOURD'HUI

1 tw. Me 8 h. Relais de Parls-P.T.T.

10 h. 30. Relais de Lyon Concert. Marche arabe (Canne) Mélodie (Rachmaninoff) La fille au tambour -major, ouverture lOftenbaou) Hymne d'amour (Massenet) Romio et Juliette, lantal,IL, (Qounod) Menuet du oœut (Haydn) Miss Helyett, fantaisie lAudran) Invitation à la valse ,Weber) La voix des cloches iLulglnl) Isoline, ballet (Messager) Les roses, valse (Mé. la h. Chronique du Tourisme Pro«ro'nme des spectacles de Rennes 1,->1J. h, 15 Déjeuner.concert avec t Orcheatre National (Voir Parls-p TT ) 13 h. Informations.

13 h. 15. Suite du concert.

14 h. Musique enregistrée.

14 h. 30. Eml»»l°n de l'Œuvre de la Radio aux Aveugles (Parls-PTT) p .£• a ao h. 30. Relais de Paris20 h. 80. Soirée des vieux succès français. organisé par M. André Danerty, avec le concours de Mmes Colette BaITOft' Marcelle Bordas et Une Marlys, et f&'oÏÏÏS: ""̃ Charlee Debert frn2Lhi 30. Interméde sur la Chanson française. orchestre mous la direction de mations30' Musique de danse. Infor-

ECOLE DES P. T. T.

8 h, Revue la presse parisienne du matin,Relais de Concerts Chronique du Tourlsme,

15. Déjeuner-concert de l'Orchestre National: Ouverture de (Auber) Les Légendes de la Forét, Butte des) Allegreto, b) Menuetto, c) Finale; Trois mélodies, chant: a) Les buveurs de Manzanilla Turlnal: be Chanacn mauresque.. DanseIon.: des soldats de plomb. Concerto a) La diva de l'Emplre b) Ragtime Parade. Chanson lntime, violon 11010 et orchestre de la suite d'orchestre Ballet du Chet d'orchestre M. 13 Informations. 18 h. 15. ConcertCancert de musique enregistrée Emission de de la Radio aux Aveu¡les. avec le concoure de )Aile cantatrtce des Concerts classiques; Mlle Sabine Landray. du Théàtre Antotne; Yvonne Perrot, pianistecompositeur. MM Jean Le Gofl, de la l'Eu.roDéen Lerllller. soliste des Concerta Fernand organtaateur de la matinée. Intermèdes terme la porte comédie musique

18 La de variétés. Concert de musique Génépar concours de Mines Odette Barencey, la Informations NATIONAL nt

7 Musique enregistrée Aux Y a rachan de physique. lettre du 10 h. 15. Relais de vichy Marche 'Louis LesI'! Les mouton8. plat- enregistrée Valse txlpane Espana fWaldteuConcert donné par rReynalda Il Paris *il un acte d'Adolobe Aderer Ladatton, comédie en un acte de

Mnurey. ♦ 18 h. Concert Mr l'orohastra Dervaux. ♦ 19 h. OufTnol Radï£1'aula la bputiQue (Al. Crozière). En intermède Les Jaoasserits da Poliohi. 1 '£ f 19 h. 30. La Vie Pratique ♦ 20 h. Lectures littéraires présentées par M. Dorlval. Oaités <: Chat noir. « 20 h. 30. Revue de la presse du soIr; prévisions météorologiques, ivrîîv.. Concert symphonique par l'orchestre natlpnal, sous la direction de M. D.-E. Inghelbrecht. avec le conchoïîidevMlle,Maria Branle et de la chorale VlassoK Ouverture de iVonfred (Schumiinn) Cantate numéro 104. Du Hirte Israël Hora iBach), la chorale ViaMO" Mélodies par Mlle Marla Bran*ze- Trois motet¡¡ de Mozart a) ExuUtate.ivbilate b) Tu viginum corona ffi^{f îi? Symphonie en ut majeur 'Schubert). + Au cours du concert, à 21 h. • 5_ Informations; chronique de la mode. « 22 h. 20. Musique de dnnae par l'orchestre Les Cadets de rARISIEN 312 m. 8 60 tw.

mL. Il. 10. Réveil en fanfare. Informations. Disques. 12 h. 5. Concert par l'orchestre viennois Raymond Verïifiï:. ♦* .• ..?• 26- Entr'acte et la minute de Vlntran. ̃% 18 h. 46. Symphonie sur un chant montagnard t'anf.?' pour plano et orchestre (Vincent d'Indyl, Interprété par Jeanne-Marie Darré et l'orchestre des Concerta Lamoureux. ♦ 19 h. lo. Journal parlé du poste, 19 h. 15. La Journée spormnnnt* I9 h. 25. Actualités Pkraniount. « 19 h. 40. DaUv (Harrv Sna?J,: Provos de bat (Helmundt FasaHStt0 r, ,'Marchetti» Souvenirs de Baden-Baden (Pazeller). « 1B h. 50 Quelques vieilles chansons françaises. avec et LaOouUlette (Dtort et Rtcourt) Le Pied Qui r'mue (Avenel) A la mode de che: 'nous l,nl0r)o* 20 h. Entr'acte. ♦ 20 h. 20. Canrert,

20 h. 50. Causerle Candide et entr'acte. 21 h. Retransmission depuis le casino de Deauville de la tournée Marguerite Gilbert et des vedettes de la maison des disques Pathé. Au programme Marguerite Gilbert, accompaçnée au piano par Clément Doucet; ?hy Berry, les duettistes Charles et Johny et l'orchestre tzigane Kasanova. 33 h. Dernières informations.

TOUR EIFFEL 1.446 m. 7. 15 kw. 18 h. 45. Le Journal parlé; les Informations principales. 19 h. Le i"n8SZwe- ♦ '9 h. '5. La météo par 1 O. N. M. « 19 h. 25. Résultats des coumm. ♦ 19 b, 30. Suite du mawzlne. ♦ 20 h. Les actualités. 20 h. 30. Concert symphonique du Casino de Vichy Lénore ni. ouverture (Beethoven) Concerto, pour deux violone et orchestre à cordes (Bach), sollat''S MM. Reynal et Bas a) Sur les rives de Moscou, prélude; 0' Danse persane ( Moussorgsky ) Tristan et Y3eult, préfude et mort d'Yseult (Wagner) Danses norvégiennes (Orlegl. STRASBOURG 34» m. 2 Ukw.SOO 19 h. 45. Disques. ♦ 20 h. Revue de presse en langue allemande. 20 h. i Retransmission depuls le Casino de Vichy (Tour EiHel). « Vers 22 h. Revue de presse cn langue française communiquée par l'office Réglonal d'Inlormatlons. » 22 h. 15. Retransmisslon d uls la Taverne du Grand Klédlrection de M. Jemlne

BORDEA UX-LAFA x-ETTE

218 m. 6. 12 kw.

™1SL n;«M- Dernières nouvelles. « 20 h. 10. Dlaques A la Varenne 'J^yll-M. Hélyi Voici dimanche. (Eblingen Folie (M. Cazes) Je ne t'aime plus (M. Cazes-Cyenmé) Out plaisir (P. Chagnoni. « 20 h.30. Concert par lorchestre Les Cloches de Corneville, ouverture (Planquettel- Scaramouche iMessager-Delsaux) ultraduction et Mariage de Colomblne Divertissement et Valse. Pas de Colombine. et d'Arlequin. Apothéose Enlevez-moi. fantaisie (Gabaroche) La chanson 4 la lune (Dalcrozel tes vers luisants iBotrel) MaÎtre Pat/ieUn, Je pense d vous iBazln-Leuven-Langlé) La fée aux rosés (Halévy-Scrlbe-de Saint-Geoiges) Les contes d'Hof/mann, fantalsie Les enfants debourp, valse (Pétras) Monsieur Beau, catre, fantaisie (Messager) La Mascotte, air de Saltarello (Auctrani Les Mousquetaires au Couvent, str du prêche iVarney) Jai révé d'une fleur ssoottoi Je pense d t'ous (Sylvlano8 Veber) par l'orchestre Impres$ions d'Italie |Q. Charpentier!. RADIO-NORMANDIE (Fteanw) 200 ni. 1 tw.

7 heures. Musique enregistrée. ♦ 7 h. 10. Culture physique. 7 h. 20. Journal Parlé. 7 h. 36. Disques! f 7 h. 38. Pronostic des Courses « h. 40. Roman-feuilleton. « 7 h. 48 Chronique.. 7 h. 60 Disque. I»- 53. Menu de la ménagère. ► 8 heures. Musique enregistrée « 10 b. Musique classique.. 10 h. 30 Obansonnectcs. « 11 h. Musique

de dansa. «• n h. 30. Concert. as 12 h. Disques. « 12 h. 45. No«tyelles de Presse. « 12 h. 60. Heure dee Auditeurs de Radio-Normandie i Section HavraWe). è le h. Musique de danse. « 16 h. 30. Musique enregistrée. ♦ 17 h. Musique de danse. 17 h, 30. Souvenirs musical£. 18 h. Demi-heure enfantine. ♦ 18 h. 30. Chronique de lu vie au foyer. 19 h. Sélections d'opéras et d'opérettes. 20 h. Monologues. 4 20 h 45. Quelques enregistrements de l'orchestre Murck Weber. ♦ 21 h. Concert otlert par la Section Kècumpolbe dos Audl.teurs de K.N. ♦ 93 h. Concert « 23 h. 30. Orchestre. ♦ 24 h. MusiQue de danse.

11AQIO-TOULOUSE 328 m 60 8 kw 11 h. Les refrains dansants.. 11 h. 30. Orchestre symphonique. ♦ 11 h. 45. Mélodies. 12 h. MustQue militaire. é> 12 h. 15 Exlraits de films, 12 h. 30. Service re-llgleux catholique. ♦ 12 h. 45. Musique religieuse à l'occasion de la fête du l6 août. Chœurs exécutes par la Maîtrise du Caousou, sous la direction du Père Uuiborik'S. ♦ 13 h. 15 Soll divers. 13 h. 50. Orchestre viennois. ♦ 13 h. 45. Airs d opéras. 14 h. Informations ♦ 18 h. l5. Chansonnettes. ♦ 18 h 30. Orchestre musette + 18 h. 46. Airs d'opérette». ♦ 19 h. Orchestre de salon + 19 h. 15. Extraits de film. • 19 h 30. Informations. + 19 h. 45. Orchestre d'opérettes Deux sous de Heurs, C'est les fetntnes Benat/.ky* La Dubarry. La devise de la Duuarry IMUloecker). + 20 h. 15. Carnaval romain (H. Berlioz) Egmont. ouverture iBeethovcn). ♦ 20 h 30. Duettistes. + 21 h. Cavallcna Ruxticana (Mascagnl). ♦ 22 h. Au caveau de dix heures. lantulMe radiophonique. 22 h. 15. Informations.. 22 h. 30. Soll divers. 23 h Airs cl opéras. ♦ 23 h. 15. Le quart d'heure des auditeurs. + 23 h. 30. Orchestra argentin. + 23 h. 50. Mélodies. + 24 h. Informations. ♦ 0 h. 5. Alri d'opérettes.

KAD1O-LUXEMBOUKG

1.304 m. 200 kw.

7 h. 45. Concert matinal enre. gistré. ♦ 8 h. Informations. + 12 h. Concert varié enregistre. « 12 h. 30. Informations. + 12 h. 45. Suite du concert varié enregistré + 13 h. Cours. 13 h 05 Suite du concert varie enregistré è 13 h. :i0 Cours.. 13 h. 35. Suite du concert varié enregistré + la h. 30 (Soirée espagnole) Concerts variés. «, 19 il. 30. Résultats des Courses nippuiues françaises et belges. 19 h 35 Concert varlé enregistré. ♦ 20 h. Informât ions. « 20 Il. 20 Quelque» chansons populaires espagnoles interprétées par Marie-Thérèse Grusfils-De Cuyper. + 20 h. 35. Physionomie (les marchés financiers Internationaux. Cours.. 20 h. 40. Suite du récital de chant. « 21 h. Quelques enregistrements de chansons espagnoles + 21 h. 30. Concert donné par Germaine Duparlolr. violoniste. + 22 h. lé. Musique de danse enregistrée.

IMVtNTKï (National)

1.500 m. 25 kw. 200 ke.

10 h. 15. Service religieux météo et causerie.. 12 h. Musique d'.inua de cinéma.. 12 h. 45. Radio-joncert instrumental. ♦ 14 h Concert par un orchestre de cmema è 15 h Intermède de piano. « 15 h. 15. Concert symphonique par l'orchestra municipal de Bournemouth ♦ 16 h. 45. Musique légére (Pal disques). + 17 h. 15. L'heure des enfants IDa.ventry) et musique de danse tous le» autres postes). 18 t Météo tf. nouveMes. ♦ 18 h. 30. Reglnald Foor» rt l'orgue du cinéma Regal. à Wlmbledon.. 19 h. Concert Instrumental par le quintette Gershom Parxlngton. avec récital de chant icontraltoi é> 20 h. Concert symphonique (relais du Queen's Hall) Festival Brahms. » 21 h. 40. Météo et nouvelles. 22 h. Causerie. 22 h 5. Disques de musique de danse.. 22 h. 30. Musique de cHMibe par Henry Hall et son B.B.C. Danse. Orchestre.

AVIS IMPOK'l'ANT

A NOS CORRESPONDANTS

Nous prions les correspondants de L'Ouest- Eclair n, sportifs ou non. des localités situees sur le parcours du Circuit de l'Ouest, de vouloir bien de toute urgence se mettre en rapport avec les municipalités pour établir l'itinéraire dans la traversée des «iUr» et nous en informer Immédiatement. CULTIVATEURS.

ÉLEVEURS.

MARCHANDÉ

avant de conclure vos marches, lisez M» a DÉPÊCHES COMMERCIALES ET AGRICOLES spécialement de la « VILLETTE n les FOIRES ET MARCHES DE LA RtGION les 9 MALLES CENTRALES 8 de Parts. RENSEIGNEMENTS .JURIDIQUES

Contentieux, procès, affaires litigieuses DRUE. loyers, successions, impôts, etc.£uvc4 da renseignements contre mafj 0at de » fr. M adressé a VOuesi-Eclat^

BOURSE DE PARIS Puui, le 14 août.

Les dispositions ae notre marché ne ne modifient guère et l'ouverture eat plutôt maussade. les rentea médiocrement tenuea abandonnant quelques centimes. Les valeurs françaises ne sont pas mieux orientées: on ne pouvait espérer grand chose dans cette semaine coupée par un Jour de fête, et les an'airea sont complètement nulles.

La réponee des prunes est passée presQue inaperçue tant le» engagement* sur ce genre d'opération étalent insignifiants. Le Sues ta)- exception et sa fermeté ne ne dément pas; Royal et Rio mieux.

Le marche en banque est en général plus résistant, mais avec des tranuctions restreintes, seules les mines d'or attirent et retiennent l'atteutloa L'£a»l Rand maintient facilement son avance malgré quelquec réalisations d'acheteur* en bénéfice: Golafields. qui nous paralt avoir fait l'objet ar bons achats clôture 297. Wfji Rand se distingue également En résumé, ce compartiment est a peu prés le seul à présenter quelque Intérêt.

Caoutchoucs un peu mieux. Clôture extrêmement calme.

Ba,nqo Rcn LOTSS.

L. BANQUE RENE LOYER .le rapidement tous ordre* de bonne sar toutes au place* françaises et «tr»>a> fiiwmmintntitmiHmmtmmitiiniiitnimitinnminni

Cours dee changée

Livr» 7« M 14 si Dollar Il Bdras (IN) au » SM Lires (100) 1Ï0 U 130 15 Pesetas (100) 20? U 207 t5 F»«rini (100) 1027 W 10» Francs Suisses (100) 495 n 493 Cwu. Suédoises (100) 38S 60 ni

VALEURS SE NÉGOCIANT A TERiE VOLEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT ftec6a Jour Preoea Joui i*i*c*4 .loua t^*c«<i î?»i-»«EH i8iH33£« 1 I Hî>if Ai l ZYi1£& S I ïi PSliliâ^l IfH î:jîk.:o»..î,v" »jb "jm isas.™ b 1 aa»"t"ïar- :Ks:ïwi"^« îsrS'.vrï.rv 1 if sasBrJhsS 2 :iSasSF== 3' Il Il d sjSBsravj– = «iàî, &S&SS&- M !i S5ti: 1 /g i™:al::r"-= 4-11

TIRAGE DU 2 AOUT 1934

Répartition de bénéfices

Titres de 2.BOO à too.ooo frs (Tarif A)

ranbourublet m »intt-cn>« ai» ou wr tiraaw imnaucla garantit pendant

les quinze prrmiem anntca k raiton do un titre par mais sur 1.7)6

Venwnirola 13 ans et T mois au maximum.

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