doit compter que trois coups, croix, pile <~ croix, pile; parce qu'en effet il n'y a que ces trois coups qui décident de l'événement du jeu. Or fi on dit que les trois cas ne font pas également poffibles (par quelque raifbn que ce puiffe être) donc, conclurai-je, de ce que les cas croix, croix, pile <~ pile font ici les cas ( &: les trois feuls ) qui peuvent aSrr~r, il ne s'enfuit pas qu'ils peuvent tous arriver également. Or fi on y prend garde, le raifonnement tacite qu'on fait d'après les combinaifons dans le calcul des probabilités revient à celui-ci voilà toutes les combinaifons mathémadquement pouibles chacune de ces combinai» fons marque un cas qui peut arriver; donc chacun de ces cas peut arriver comme l'autre donc tous les s cas/~Mt'~< <z/-y?tw également «. Au refte ( ôc je l'ai déjà dit dans le dixième Mémoire, XXVI) fi les trois cas croix, pile <i~ croix, pile <~ pile, les feuls qui puiffent arriver dans le jeu propofé ne font pas également pofables ce neft point, ce me femble, par la raifon qu'on en apporte communément, que la probabilité du premier eft &e celle des deux autres x ou Plus j'y penfe, & plus il me paroît que w~~c'yn~~a~/nMf parlant, ces trois coups font également poffibles, par la raifon que croix ou pile arrivant au fecond coup ~uppofn que pile eft /M~<~a~/M~< arrivé au premier enforte que le fecond cas pile <!i~ croix, ainfi que le troifiéme cas pile ~y~ ne forment chacun qu'un feul cas individuel & comme un feul coup, aufli unique auHi C~a/c. Math. Ibw. 0 o