feroit-il équitable de dire que 1 Obfervateuf s'e& trompa d'une toife fur ~oo lorfqu'au contraire il ne s'eft trompa réellement que d'une toife fur pooo ? f
<8. La différence entre cet exemple &: celui de la Comète e& bien grande, & faute aux yeux. Dans l'exemple propofé on mefure en entier la diûance de Pâtis a Saint Cloud, & celle de Paris à Saint-Denis. Dans le cas de la Comète, on ne mefure point en entier, a beaucoup près, chacune des deux périodes; on ne mefure qu'une très-petite partie de ces deux périodes, celle qui en due à l'altération~
tj). Pour rendre la comparaifon parfaitement )U&e~ x voici comment il la faut faire.. On fuppoîe qu'il y ait entre Paris & Saint-Cloud un Village confidérablement plus près de Saint-Cloud que de Paris, oc dont on mefurè la diRance à Saint-Cloud, fans conaoître ni mefurer la diftance de ce Village à Paris. On.fuppofe ds plus qu'au" delà de Saint-Denis par rapport à PanS) il y ait un autre Village, aam beaucoup plus près de Saint-Denis que Saint-Denis ne Pë&de Paris, & qu'on mefure la dmance de ce Village à Saint-Denis~ fans mefurer ni connoîtreïà diftance du même Village- à Paris. On fuppofe en&t que fon fâche par quelque moyen indépendant de l'bpe~ration qu'on a &ite, que les deux Villages dont il s'agit f font à égale <~&MK'<: de Paris, fans qu'on connoiue éxac~tement cette diïtance; je dis t". qu'en-mefurant les distances d'un des Villages a Saint-Cioud, oc de Pàutre a Saint-Denis &en~outajitce& diRances, onaura la di~