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~ommc les rayons FZ~J~ font fort près l'un de l'au. tre, beauté du peu de largeur de la prunelle, leur point de concours J? e~ ~enublement le même que fi les rayons F~écoient infiniment proches ;c'en-a<dire~ que c'eA le point où le rayon FL touche la cauflique par rëHéxion ou par re&action; ce point cA donc celui où l'objet eft v& fuivant ces Auteurs..
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Cette opinion paroît plauuMe cependant Barrow laimême, à la fin de fes JL~o/M O~~M~ avertit que l'expérience y eft fouvent contraire.. Voici le cas. (PeA celui ouïes rayons JF'Z~.A~ au lieu d'entrer dans l'oeil divergens, y entrent convergens; ce qui peut arriver aifément, toutes les fois que la réHëxion ou la ré&adion rapproche les rayons au lieu de les écarter. Car alors fi on place l'oeil entre le point .F ôc le concours E des rayons, les rayons entreront convergens dans l'oeil oc l'objet ne peut être vu en (où l'on devroit le voir fuivant ces Auteurs ) puisque ce point E. eft derriere la tête. Barrow en apporte plufieurs exemples, entr'autres celui du P. Taquet, où l'œil eft fuppofé proche d'un miroir concave, & l'objet ou point viûble dans l'axe au-delà du centre.
Il avoue en même-tems que-cette dimculté lui paroît infoluble. S'il m'e& permis de le dire, il. me femble qu'elle affoiblit peu le principe. Car quand les rayons entrent dans l'œil convergens la viuon doit êtce confus