l'égard de la valeur de- elle fera la même que
M ne fera plus égale à
est
Il eft donc évident; f. que l'on peut avoir (même en fuppofant un mouvement de rotation) un fphéroïde dont les coupes par l'axe ne fbient, ni femblables~ ni égales, & qui foit néanmoins en équilibre pourvû qu'il y ait au centre un noyau dont la denHié foit dinérente de celle de la furface; 2". que dans ce fphéroïde la quantité 6 dé< pendra de la feule quantité 6~ & la quantité <t de la feule quantité c< fans que ct dépende de 6j, ni 6 de < 3°. que la valeur de <t fera la même que fi ~étoit===o~ c'e~-à. dire fi le noyau intérieur étoitfphérique. Caf cette va-
qu'on a trouvé p. 42 de l'Ouvrage cité pour le cas d'ua noyau fphérique. La feule différence vient de ce que dans l'endroit cité) on regardoit & & et. comme pofitiyes, c'e~'a-dire le Sphéroïde & le noyau comme applatis au lieu qu'ici on regarde le fphéroïde &. le noyau comme allongés par conséquent ce ôc <& comme négatives.
Ainfi la diuimilitude des méridiens n'empêcheroit point que