«H a son certain mandement [sac tes) antennes on ~o~Hrfeitures eschenes on a escheoir en ton baiMiage, sur quoi nous 11 assignons et ~OMions estre pâtée ieei(ie somme) de gW)c<! espeeiat par ces présentes, non eontrestant ordenances, deBiense~ ptctondcmposqHeh'onquM contKMres, mandons a~nos aMex et Maux gens de nos comptes et trésoriers a Paris qu'M n'empesche iceKes assignation et paie, mais les facent tenir et accomplir et ~~s dictes gens des comptes que ia dite somme ainsi paiêe t aÏonent en tes comptes et rnbatent dé ta recepte en rapportant tes dictes escroes ou cédâtes et quittances avec j les présentes Donné a Roye lez S'" Geme, le xitjc jour de may, i'an de grâce mil ecc quarante et six, souz nostre seei secret. Pour le roy tenant ses comptes, c
J. MARCEt.
Par le Roy,
J. VjmM&RE R. os S&m
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Btbt NaMon., n~s. &an~ats, !B<M (Ct<!f<M foeatM, < S), a' <<0
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PtÊCE N" 2
ORDRE tT)ËBAT!F DO MÊME PMNCB DB PATNt GuïUAOME Tmm. COMFt&ONE, 24 OCTOBRE 1346.
Philippe, par la grâce de Dieu Roys de France. Au baiMi de Roan ou a son lieutenant salut. Comme par noz antres lettres nous enssiens mandé a toy et a tous les ~ïcontes de ton bailliage que a per:onne quelconque tu, ne les d~ ~icontes, païssiez aucuns deniers de la Recepte de ton baNMage, mais ~Benïs apportissiez a nostre trésor a Paris et pour ce as reSasé et reCcses paier certainz deniers deuz a nostre *s qaeu Guillaume Tiret a cause de sa femme par plusieurs cednies lesqueles ta as par devers toy~avec nostre mandement Nous o te mandons qae, toat ce qa'N t'apperra noas estre tenu par tes dictes cedMes, ta pâtes sanz d~ay a nostre dit qaea nonob-
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