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Titre : Le viandier de Guillaume Tirel, dit Taillevent,... : publié sur le manuscrit de la Bibliothèque nationale avec les variantes des mss. de la Bibliothèque Mazarine et des Archives de la Manche / précédé d'une introduction, [d'une bibliographie des manuscrits et des éditions] et accompagné de notes par le baron Jérôme Pichon,... et Georges Vicaire

Éditeur : Techener (Paris)

Éditeur : [puis] H. Leclerc et P. Cornuau (Paris)

Date d'édition : 1892

Contributeur : Taillevent (1314?-1395). Auteur présumé du texte

Contributeur : Pichon, Jérôme (1812-1896). Éditeur scientifique

Contributeur : Vicaire, Georges (1853-1921). Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31429239c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (LXVIII-178 p. et p. 183-297, pl.) : fig., fac-sim. ; 24 cm

Format : Nombre total de vues : 380

Description : Collection numérique : Patrimoine gourmand

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k62367s

Source : Bibliothèque nationale de France, département Département inconnu, Manus 8-impr.99

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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PIÈCES JUSTIFICATIVES

PtECEN'1.

MANDEMENT DB~muPPE DE VAMÏS AU BA!U.Y DB RoUBtt DE PAYER A GOtUAUMETtBEt. SON QCEC S~ UVRES 4 DEKïEES Et! MAtttE PANNSALOt DUS A CAUSEDE SA FEMME.–ROYE-Ï~S-SAMTE- GEME,MMAYM46.

PhHipp% par t<~ grâce de B~teu, Rois de France, au baiUi de Rouen ou a son lieutenant, salut. Comme nous soiens tenus a Guillaume Tîrel, nostre keu, en la somme de deux cens vint huit Mwes quatre deniers et maille parisis, laquele somme qui M appartient a cause de sa femme, CHe de Jehanne, suer de feu Jaque Bronart, jadis sergent d'armes, estoit deue a yceli feu laque de nostre temps et du temps d'aucuns nos pr~ccessenrs (que Dieu absoine), si comme par plusieurs escroes on cedules vérinees en la chambre de nos comptes, l'en dit apparoir et nous aiens autrefois mandé la dicte somme estre paiée, dont riens n'a estë~ Mt on préjudice de nostre dit keu qui a iongaement poursui la dicte paie, sitcomme N dit, nous, a sa supplication, te mandons et commandons que sanz autre mandement attendre de nons, a tu, veues tes~ dictes escrocs ou cédâtes, li paies la dicte somme