le brouillard. Mais il ne pouvait aper*cevoir ni le vapeur ni la barque du père Sandré, le passeur.
Quel métier! se dit-il.
Toujours vivre sur l'eau. A tout moment, être exposé a mourir. Le père Sandré se fait vieux, qu'un étourdissement le prenne dans sa barque, et puis, c'est uni t Un bouillon Et les autres, ceux du vapeur, qui, pendant six mois de l'année, vont du Havre à Rouen et de Rouen au Havre Qu'ils se jettent sur un banc de sable, & l'embouchure, et puis, bonsoir Quant aux vrais marins, à ceux qui parcourent les mers lointaines, il n'osait y songer.
Depuis dix ans qu'il habitait Jumièges, il n'avait qu'une distraction voir passer les bateaux. Mais jamais il ne s'était approché du talus, craignant un faux pas. Cette terreur insurmon-