DE VEREUX.
DEVERE UX.
LIVRE QUATRIÈME.
CHAPITRE PREMIER.
Je MntM daM la vie par la porte d'eMne, e'a:t-à~MM t'aNMeMoa. n s'écoula plusieurs mois avant que je revinsse à la raison. Lorsque je quittai mon lit de souffrance, j'étais calme, résigné, impassible, changé, mais tranquille. La police avait fait monts et merveUtes peur retrouver les asBassins; mais en vain. Le précieux paquet avait disparu; i moi seul, je pouvais dénoncer le vol du manuscrit accusateur, et lorsque mes forces renaissantes me permirent de faire ma déclaration, les soupçons tombèrent tout d'abord sur Gerald, auquel profitait l'enlèvement du document dérobé. Mon frère fut le premier à provoquer une enquête. Il prouva qu'il n'avait pas quitté Je château de Devereux pendant la semaine où le crime avait été commis. Aux yeux d'un étranger, la chose Hait assez vraisemblable ce sont les instruments qui travaillent et non celui qui les emploie; le bravo frappe, pendant que celui qui l'achète se croise les bras. Mais moi, qui voyais en lui à