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Titre : Leçons de mécanique céleste : professées à la Sorbonne. Tome 2,Partie 2 / par H. Poincaré,...

Auteur : Poincaré, Henri (1854-1912). Auteur du texte

Éditeur : Gauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1905-1910

Contributeur : Fichot, Eugène (1867-1939). Éditeur scientifique

Sujet : Mécanique céleste

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31127683z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. (VI-365, 165-136, 472 p.) : fig. ; in-8

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Description : Collection numérique : Originaux conservés à la Bibliothèque de l'École polytechnique

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6227628j

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-V-30775 (2)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 03/07/2012

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LEÇONS

DE

MÉCANIQUE CÉLESTE.

CHAPITRE XXIV.

GÉNÉRALITÉS SUR LA THÉORIE DE LA LUNE.

311. La théorie de la Lune doit être exposée en deux parties; dans la première partie, on cherche quel serait le mouvement de la Lune, si la Lune, le Soleil et la Terre existaient seuls et étaien, réduits à des points matériels; dans la seconde partie, on cherche comment ce mouvement est troublé par l'attraction des planètes et par l'influence de l'aplatissement terrestre.

La première partie n'est donc qu'un cas particulier du problème des trois corps, et la difficulté ne provient que de la grandeur relativement considérable des perturbations produites. Le rapport de la force perturbatrice à l'attraction du corps central est, comme nous l'avons vu au Chapitre II (p. 57), de l'ordre de

m4 étant la masse du corps troublant, m7 celle du corps central AC et BC les distances mutuelles des trois corps. Ce rapport est le produit de deux facteurs dont l'un est le rapport des masses et l'autre le cube du rapport des distances. Dans le cas des planètes, le premier facteur est très petit, et le second fini ; dans le cas de la Lune, au contraire, le premier facteur est grand et le second très petit. Il en résulte que le produit des deux facteurs est petit sans