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Titre : La Justice : journal politique et littéraire ["puis" politique et social]

Éditeur : (Tananarive)

Date d'édition : 1929-05-03

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32802921z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32802921z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 69

Description : 03 mai 1929

Description : 1929/05/03 (A1,N15).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6207486r

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-95054

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 11/10/2012

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CONCOURS - , Les examens volenl ce qu'it. valent, mais en attendant de découvrir autr^ cbo,e, les candidat malheureux ont toujours 24 oeures et oaêire H avantage pour mau dire les iurvs..

Tant que 1 a jalousie fera partie des sènliments humains, que le favoritisme l n'aura pas disparu, que la suspicon existera, il t'sl p u probable qu'ou '* renonce - -- - -

- 1 - - - - - r - i

au c»uc ur-» comme ¡.»rÍIICIpaJ critérium de nos apu udes respectives. C est une balance dont Cain devi» dè',à nv ir un?

notion en r inarqu «ut que le l'ère Etcr- wel ue le traitait pas sur le nie ne pied , qu3 son frère A e<! ̃ .•:• »epu -, on sala irien trouvé de mi ux pnar r :uil**e a :u« eau ce qui tu apparUen Eue r» cst-l que tout le moude s ni p aitit zi cor e a çri, pour ne pas dire à t n et 'i tra iei-a - -- -

Tout ne t pas ru:-e dam les tuucuot" d'examfn» eur. Les dignes personnes char gée,; de veser. le sav ,ir d s part cul feront à ré ouire ou ptobléin; qu u'a rirn de matnémai <qu«>.– lel«u éut ne leu est point rtcomi-nssaii , lau s en tau; ce serait avouer soi-même une usurpation.

Les accès-sils estime"! que ians ceci ou cela de la part du puy. I auront figuré autre m n i d* st pa **ar >. es montions « P .SSAHL S .ont qualifiées de pa-je-drnit, t-t par e? r^calà< - et par lea bé é .Ci'atr s « ux Il enns qui croient tcus m eux mér. er.

.- C'est uu CUIJCrri. d*s pr«i esi.allons Les examinateurs s.n iratués aux gémonies, - S'il ne dép» il Un qu- d s eaudida's bla5 ckbualés, ils au.aieut vite la.L de re eu ̃voyés aux louicues piûbula res..

Notez que les dits eoneui r nts auraient e.é te premiers à manifester îeurs griefs si, au lieu d'cire, claeés suivant les résultats, ils ava ent é é jugés égaux et mis d'office sur le même rang.

D'un coté, on exige des ex amas et de l'autre, on en con esre toujours les résultats. • -.

Quoiqu'il en il faut qu.nct même admettra qu'on a quelque peu abusé .1rs r concours, et il uy a "as à i*étoutit-I de l'esprit de réaction qui n'en est que la r nséqwence - directe et futilt.

Qu'un commis des postes des.r uxj de se tare po'cier soit soumis à U litépreuve spéciale,'rien- cie plus lia ur. 1.

Mais qu'un clerc d'avocat, par ex»mj»-j le, 80Lt ubligé Je concourir pour de j venir secrétaire de vabel ion ou scribe d huissier* c'e>t un p u dépasser les bornes et, pourtant, si nos renst'igneintsnU • sont exacts, il n'en serait paa auiremeut des écrivaus-iuterpre.e» qui' *«pirent à passer da.is le cadre de l'Ad.ministra lion indigène.

Nous crwj'ouM, eu elfet, nous- rap-j peler que les piomot oiis tle l'Kc^le Le| jdyre de Vil« rs ctaknt divi é a e.t deux grandes t-a.iégorie» dans l'ordre dos

,.c- '-'-' zr: ., >M"A t G S * U, V, "; .~t t,., '.J; ;" UNICW POUR NOTRE EMÀA'âlPATlOJI PACIFIQUE ! } -, ** ++ ( i f TV ♦* ** f m ̃ ** g 1 | ̃ « » ** > .«n i*. **- * g * f V–* » *̃»•- - 'Le G juvernement de la République a ^affirmé sa volonté de reconnai're nos droits politique*, base de toute deleu>e effective de nos Intérêts * moraux et mucriMtb. III i lérie I s. "v •̃***' ',:,.,'

Ce premier pas ver* uotre représentatîoa parle(ner»ta.ife.^rdonne l'orgauiiation i.n.è(liaie de la masse.

O,'gara¡-on!l-nou.. par Prore d..os 1 Travailleurs intellecuels ! Artisins ! Coin m -reins! Unfssons-nons.

t a est:"OOlre prt mier d voir. loi 1 U S T 1 CE

points obtenus. La première compre- nait les futurs é u liant* eu Médecine, l«s c ni;nii tpch'»»qu«;* et surtout .ïes écrïva u -intrrpre'e*, vérilab es auxiba-j res de l'Ad juin tr rio i Franc*(;»••, da [près les propres. lero-s du (;énén.I \(;atl it'u< La deux'eme passait le restf là l'Administration indigène indigene cjui jeu faisait 4es eécretai",i ou des ciels nie Canton. ,

J.,., écrivains-uilerpreîes sont donc r crutéi pai 'oie de sélec ion, gcué raie et individuel le. lis serv. III m ou tact permanent av C l'a Administrateurs, pass nt d un .-érvice à u t autre et j'u"nt ••n quftque sorte le ôle le filet tums udnniusirauts.

Or, arnve-t an terminus de 1-ur tué-a'c-uf j'r .pre, ce* ag u's, avant jfpouvoir arcé 1er au t.trtf d' G uverntur, srriit-ul astreints à un nouveau concours! Ou en dirè C* qu on v^ndru , mai-» n envf-èctie que cet ob,tacie a Il/ut l'air d uie superfélatiou. v .-

L'avancement des fouctfo in nres in li g*nés se taisaul ulllllueD." lit au cuoix, nous avons lieu d* su[)poaei* que îe« écrivains- inferpidte" n'y tott ,)as exCfptiou et que, étant parvenus au HlUNCIPALAT nOltS CLASSE, cet qulls y avaient bien quelque. drott.La nature même des fonctions dont Ils peuvent avoir été chargés au cours de leur longue carrière, doit les dispenser de piano, de cette soit-dis^iiit épr*uv* qui ne prouve ti-n du tua', et qui ne M'; lU bu: avoir éé instituée que pour leur barrei l'accei d'un cadïe, supérieur au leur sous l'angle. des avantages, mais 'NULLEMENT au yoiut ds vue de la place que l'Administration indigène occupe, daus l'ccheltc de priaïuuie tics services publics

- ,- RATS1MISLTA. l T&K <A9 11 CI zwa ww MM 1 , u. ,,' U i' 1

• f) mnei nôu* aujourd'nui noire mor.) co e quotidien ! > • Par Abraiiani RAZAFY1 *n lit..,..

:iIl'. -«A * * Dec .dément i'assoc'atio'i du CorpsMédical M-lgm li- est une VéU'-13J)e boilr. à surprises dont il MI lit de «oul^ ver je c UA^rcl^, pour en ^oir sirgir des

piié.iéuièties s*, disputant l'nonu^ur ci. nouih*e', à qui mieux mieux, 'des be lises plus >u m »i'is m niuin -nia 1rs. I !' ?lous avous d *b ri] eu le Inlé lei u radio ogiste parti en miss on 1 lt-i-ti ère par le s|s BKttN AUDI , r* nt- à Madagascar duputs par le ttt'r< b,té"u, apn's voyage blanc i

Celui-là a un Pa-:t$é glorn ux.Dans Paris en ellet,à Pa«sy exac e nent, davaut M.

M. Atitliré C fX"), Ile M i L -Il ualirfa et «l'au res prersonii«i! liés n<arqu ailes, tant lrançaises qie mal?acllc", il entama une violeilte «.n*»-

cussion avec voire s-^rvi'eur, au sujet s vie la na'nruhtarnJc< Ma I g.icn<î> qu I 1 , , 1. prclelllhi. répud ier: parce (|ne , ( tcuvt-s jui bien ) parce qu'il esldecul-i litre e«en;i^ll^n ni françiise et d'une*, loue ere francopuilie-1 *ll a seuleni -u i oubl é il'ajou er : p*rCe qu euliei\-uieu<.| bours er de la colonie. i

'Voyez«v«.us le toti.)et dp ce charlatan 'n O.,'nn boursier se fasse lecue-boite, c'j est coulpréh (Iiie soui pre ^•x é de 'i« ler à la bourte de ta c-jionie, il affiche ta prétention dgetle plus irancopiiile qu'un iiumble poilu malg»CBt> qui ayait sacrifié sa peau pour la sauvegarde de l'intégrité nafio ,ale et, par voie ce conséquence, pour la sauvegarde ineme de la délicieuse s-crétion de ce lait que le brave boursier suçait à ptem* gorge, voilà qui est bien fort 1 Cs boursier, nous l'appelerous doa l( Â t»/ko ha CCI

* * , Encourage sans doute par les actions u'ec'at qui ont v"ln tant de h»tues dis..tinc ims à son confrère,' un deuxième ho .o,"able Cliniqjaril n en «tarin til plus.

li lui aJaiL lOUI au moins se taire rou:ir la boutonnière..

Mais que faire Une idée géniale lié tarda pas a ger.ner dans sa iè e vénérablemeut chauve si « n se faisait envoyer en mission ?

Et notre célébré clmlquarJ* est parti “bien parti sur le steamer 41 Ambiîa-le-Maitso" que d'aucuns appélleai iniliioorement :41, Ville de Metz" i -

Attendras avec cal me les CO'uptes-rendu.* de la fall euse randoimee du héros d'Amb la-le-Matlso.

Mais ce n'est pas 'ont ! - La perspective d'immenses intérêts per» -nuiii-ls plu- ou moins mal propres n'att - renl Da" cpté jeux oi 1 trois égarés seule-in-îut. Et cette pespecîiVe e^t d'autant plu«s alléchante et sédui-.anie que, comme l'a fort b eu dit G.H. Spurgeon, l'ani» b tion des humaius !es réduit "journelle'' tn-îtil au travail inleraiinable des lilltï do Djuaii>, condamnées à p^îrpetui.é k r«m(>l:r d'eau, au motei de et-aux cr,'de. de ir "us, un ton îeau sans fond. - -

C'est aiii^i qu'avrés d» ux ou trois articles pjb'iés par les jour.llux réaction» • naue<, maguifunt 1.. 'venu extravrdv-i naire du' seniin d'l an i-l)es eix dO.lt le peuvoir iiumuii sanl,r peudant, ne serait p,i , .-tii-or* «»tabli ullic filenieut, d'après nolrj ami l*av.>alia«^y, un médecin de T ma'ave a ce idaniné dt-riiier inentl'mtro luclto'i il*; la uolfwue à Madagascar, e., ret,(osii,ii -tidasit, I)ieii cotesidu, Une pt*lllique dâ son invention, la politique d' auioic ie quT, seule, selon lui, conjura- ra tous l- s maux.

C esL le iéros de l'an ruche.

Enfui, le jjurna. Il Le Madagascar" leiie-ii,e celut-ii ! ) a j uolé i.«ut récein ment une c)-n»runieitiori à lui faite par m * nié lecin luJ'g-IlC, dont il a eu aoiu te eacuer le nom au public.

C'e-t f"*- /u-ros de ,de Bu>archère l' (^e.ui à rcc la m o l'iireusiticaiiuu Mad ^H>c-r do l injection au setun dit inû-pes aux dont le pouvoir immiiuisan*, jré(îét">n'-nous, ne serai pas encore oltiCioll» nient étab ï d aptes u le comt elenIce médiea 1 t;. 1

Nature lleineut, de Uuscheres'empret se d'expoiter la commuaication du médicastre en mal de protections et insinue qu'on dot 'iuiecl»*T eu grandi EN N INJECTANT QUE LES MALGACHES, bien entendu.

Quautaux aatrrs, de Buschere en tè.t6, il n'y faut pas toucher. ; -.

Mais pourquoi donc, S. V. P ? ► ",', *"1Sais pas 1 sais pas ?

* » ',' ,:, Voilà quelques Léros ! Ce n'est jîà< encore suttisatii. •' ̃ '!.',.

A quand donc le tour des riutres.

UGiiLÂîlON PROHIBITIVE DES ETATS-UNIS?

I)e p r le les --.-- ieains De p r le mon le, les Américains ti Il >7ord soin cél*cbr»s par leur esprit P!,,¡lit : ce (lui le témoigne ,c est leur »onC( profond de: conserver leur inlégrili laliotiaie mairie t iicior i ;én 'lté dèa » * i^ep. Européennes <jui peuplent leur lerrï'oire.

Lrur Gouvernement a décrété pour tou • les dlv,\:U:") 1 .i-tai'l-.ônnîiiL sans réserve à ,'UOI'JO maU'C U'Ur diversité d'orinés .Iu ',1. soi. nt dos< ciidants fi'Ai»gl<; 'S .xous, de Slaves, de^li»" , iu de La

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