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Titre : Journal amusant : journal illustré, journal d'images, journal comique, critique, satirique, etc.

Éditeur : Aubert et cie (Paris)

Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1872-07-13

Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327966940

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327966940/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 37721

Description : 13 juillet 1872

Description : 1872/07/13 (A25,N828).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6158380c

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, LC2-1681

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 28/02/2011

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nu uu uiiuinrv • <»» UCUUIUD*> Dan* le» gare» de» Département» t 40 centime».

N» 828.

(25* ANNÉE.)

20, Rue Bergère.

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Rue Bergère, 20.

JOURNAL AMUSANT

PRIX:

3 mois. ... 5 fr.

6 mois. ... 10 i

12 mois. ... 17 i

JOURNAL ILLUSTRÉ,

3^trt(ir%'tmaijiC!5, 'journal comique, critique, satirique, etc.

PRIX:

3 mois. ... 5 fr

6 mois. ... 10 i

12 mois. ... 17 t

L'étudiant, en 1872, ce n'est pas précisément le petit crevé de la rive droite; il y a, Dieu merci! quelque chose qui palpite encore dans ces jeunes poitrines... mais ce n'est plus l'étudiant insouciant, à la bonne franquette, d'il y a vingt ans. L''étudiante, ce n'est pas tout à fait la cocotte de Vautre côté de l'eau, mais ce n'est plus, hélas ! la bonne fille de la Chaumière et de lîohino... L'un n'aspire plus, maintenant, qu'à brûler ses études pour arriver plus vite; l'autre ne rêve qu'à lâcher l'asphalte du boulevard Michel pour épater celui du boulevard Moulinaitre, en attendant le huit-ressorts et le tour du lac. En vérité, en vérité, je vous le dis, s'il nous reste encore des étudiants, il n'y a plus d'étudiantes;]» dernière a disparu avec le bonnet-linfje, la mousseline-laine et l'hôtel des bains dé Jules César.

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— Bonjour, Nichette; est-on heureuse dans son nouveau ménage?

— Canaille!... A propos! je dois avoir laissé ma brosse à dents chez toi; apporte-moi donc ca ce soir, à l'absinthe, chez Mazeau.... si madame veut bien le permettre.