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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...
Éditeur : B. Duprat (Paris)
Date d'édition : 1896-07-01
Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication
Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 juillet 1896
Description : 1896/07/01 (VOL34 = SER4,A2)-1896/12/31.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles
Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k61472d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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<m tu* Mèet~ptup Rabert-t~OMB~, eem~ de Dreux et de Braine. Anne de Montmorency remplaça le pont-tevix par une etégante gatene, supportée sur cinq ar. chM.G'eM une teuvre de la Renaissance, assez gracieuse pour qu'on ait pu l'attribuer à Jean Goujon.
E. ))Ë M&NOX.VA)..
– On lit 4 ta page 36~ du Dictionnaire AM<or<a<M du département de M MM, par Mettevttte, grand in-8., <865
Tardenois, Tar~atteMtsou T'a''<<etteMSt's pagus. Ancien petit pays, qui était borné au midi par la Brie pouitteuse, à l'ouest et au nord par le Soissonnais, et se prolongeait fort loin, & t'est du côté de Reims. On pense généralement que sa capitale était Fère-en-Tardenois; mais nous soupçonnons que son chef-lieu primitif pourrait bien avoir été S«<«'«e, aujourd'hui MontNotre-Dame.
HENM TAUStN.
Même réponse UN nEux CoRMGEUR. w
-Tardunensis pagus; étymologie: Tau ~r~ox/H. tête de la forêt des Ardennes. D'après M. Longnon, Tardenois viendrait du nom du chef-lieu du pays Ta'<<MM«M, appellation celtique qu'on ne peut attribuer à aucune tocatité moderne; racine <<«H, étëvation.
Le Tardenois, situé au nord-est de la Brie galeuse, avait pour bornes: au nord, le Soissonnais; au sud, le Baisonnois; au sud-ouest, la Brie; à t'est, le Rémois; à l'ouest, l'Otmois ou Omois.
Sa capitale paraît avoir été MontNotre-Dame (Aisne).
Ert'EM.
Le Tardenois, ancien petit pays de France, compris aujourd'hui dans le département de l'Aisne, était un pagus de la Picardie et avait pour capitale La Fere, sur l'Ourcq. Son nom, d'après M. Rolland de Denus, dérivait de Tj< chêne, et DcM, forêt; par allusion aux grands bois qui couvraient lu région.
T. i'AVOT.
b~ <!H!Mt Je ptu< &oM du ~tOBt (XXXIV, 43y – L'Illustration dtt 9< mar; t8<~ si~~n plus b<tma température, enregistrée en février tSoz. C'était – 6~ $, à Warckojansk (Sibérie orientale), Il parait que, pour <)6. on y a constate –67". Bien entendu, il ne s'agit point de degrés Fahrenheit. C'est déjA terrible en comptant avec Celsius, ou Réaumur, car, jusqu'à présent, on donnait comme le plus grand froid celui de 5y* centigrades, au nord du détroit de Behring.
A l'équateur, la chaleur aurait pour maximum 48" et pour minimum ta".
T. PAVOT.
– D'après Reclus, on a constaté à
Yakoutsk, en Sibérie, 62° centigrades et, en été, + 4, soit un écart de 58o z UN VIEUX CORRIGEUR.
v.
Podor, au Sénégal, a longtemps été
considéré comme le lieu le plus chaud de la terre.
CAMTAttE PAtMHLAUT DU ROUIL.
De la méthode à suivre dans la recherche des doouments (XXXIV, 437;. Un bon guide vient d'être puMié Langtois, Ma'!«e~e bibliographie /tM<M'~Mc.
UN VIEUX CORMCEUR.
Blason (Mymotogie de) (XXXIV, ~38).
D'après M. Brachet, ce mot, d'origine inconnue, désignait: au xt'siccte.te bouclier, plus tard, le bouclier avec armes peintes et, vers le milieu du xv siècle, les armoiries eHes-memes. Par là, on pourrait penser que blason a été, primitivement, le nom de t'écu tout seul, mais au contraire le mot à l'étude. et qui date des Croisades, s'est appliqué d'embice, comme il l'est de nos jours, au langngc symbolique des pièces ajoutées au bouclier. Ce furent, d'abord, suivant MMcrai, des bandes de pellcterie, des éperons, des fers de lance, etc. ensuite, ces insignes matériels furent remplacés par des