climats, des mois entiers d'observations Msidaes ne suffisent pas pour limiter des quantités qu'une seule nuit de t'équateur offre dans toute leur pureté.
Tous les aperçus de M. Ramond, sur les époques des limites extrêmes, et tes petits changemens qu'éprouvent ces époques en hiver eten été, ontété parfaitement connrméspardes observations faites de t8*7 à t8a<, à Toulouse, par M. Marqué Victor, et de t8M à t8a3, à Chambéry, par M. Billiet. Le premier a réuni plus de 20,000 hauteurs barométriques dont les résultats sont consignés dans le compte Mn~M des travaux de l'Académie de Toulouse. Il a observé depuis 6'* du matin jusqu'à minuit, d'heure en heure, avec une assiduité et une patience extraordinaires. A Toulouse, comme à Chambéry et à Clermont en Auvergne, les muima et minima diurnes se rapprochent de plus d'une heure de midi, en hiver, lorsque le soleil se lève plus tard i ntalsletype'del'été(-)-ao'–4'+io'')est,enEurope,prcsqueIdentiqueaveeceIuiquej'aireconnu dans la zone torride (+ -M' 4' + t '). H seroit intéressant de savoir si cette analogie se maintient dans l'époque du minimum qui a lieu après minuit (t6'* :), époque pour laquelle on manque de données bien nombreuses dans nos climats.
Un voyageur qui s'est livré avec succès à la mesure des montagnes, M. de Parrot 2, assure, d'après une série d'observations qu'il a faites de demi-heure en demi-heure, pendant t4 jours et 14 nuits, que, pendant l'automne, les epo~K-< des limites sont à Milan –18' + a3' 4' + ia*' On ne sauroit révoquer en doute qu'en parcourant les tableaux des variations horaires du baromètre que M. Arago publie depuis neuf ans, et que je regarde, à cause de la perfection de l'instrument et du choix des heures ('et 5'*), comme les plus instructifs de ceux que nous possédons jusqu'à ce jour, que les moyennes de deux décades suffisent pour reconnoître que le mercure baisse entre 9h du matin et 4** après midi; mais, pour déterminer les quantités des variations, pour savoir si le m<M't'm«Bt est atteint à 9*' ou à 11' il faut, sous la zone tempérée, observer plus de jours que M. Parrot n'a pu le faire à Milan.
Ill. ~<<'M<<ef~t'tt)-!<:<<<MM&emtM'M. En compulsant l'ensemble de mes observations de Cumana, je trouve, pour cette partie des tropiques et au niveau de la mer, l'étendue des variations réduite à zéro de température, de 9h du matin à 4** après midi de t~,t0 ou a*,4~. J'ajouterai aux résultats de Cumana ceux de Caracas, correspondant à une hauteur de 480 toises.
MARGES ATMOaPttXRTQCES DP MATIN A CARACAS.
~r. – ~– ~~c. loUES. du matia de aprèa midi de vaua '='- .~M. "P" .i..MU.. AP,NT.. rëd~t t .t~.
eiwdva. 4b_, ai~arva. ars·aan:a. réduite 1 séro.
Sonovemb. 5o4.a: '5'* SoS.oo t?" .5~ t"déc. 3o4.o: (6* 5oS.oo w .oS :<––– Sol.qo t6° 3o3.io )7* · .So .Sy S.––– So4.4o '5° 5o:.)~ tS' · .t8 .~(i ~––– So44o '~° 5o3.(<o <!t* .'io 60 5––– 5o4.!t 16" M.70 t~- .6~ 60 6––––– 5o4.M l6" 5o5.00 ty* .M .ty ~––– 5o4.4o '6* SoS.oo t6* .4o .~o M––– !c5.oo t!i° 5ot.~ t6* i.oy ,4 ~––– 505.70 t5° Sût.54 t7° 'S .;o M––– 5o4.oo 16° Soi.54 'a* 46 6o tS ––– 3o5.55 t6' So~5 t8° c.So 0.~4 94––– 5o4.ao i5* So*.o4 *?* tt6 ).4o
Le type d'hiver en Earope.eo prenant de* moyenne* entre les obKrr*tion'h<'rttrt<deMM. Ramond, Marqué Victor, et Billiet, parott être + ~t'' ;– i + 9'' Le< dUKremots qu'osent tes e~"M <<M <m!<fM en hiver et en <tt, temMent prox~er que les hearcs les ptua convenables à obterrer le baromètre, dans noa ob<errat<Mrtt d'Earope, Mrtnent (<i FoB teot de fmnformitéponr toute l'année) s~~emxtin, 5')prët nndi,~tt to'~dn soir. Lemt)mn*tf da matin paroit tomber, eaEntepe, entre 5'' et f âpre* minuit.
Mt<M in den Pyr<n<M't ton Fne~nfti Mn P<tn'0t, t9t3 p. t Ce m<t.t;m«tn du mttin fane tente hettt *T<«t midp m<. p~ntt bien tardif.