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Titre : Voyage de Humboldt et Bonpland ; 1-3. Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent : fait en 1799, 1800, 1801, 1803 et 1804. Tome 3 / par Al. de Humboldt et A. Bonpland ; rédigé par Al. de Humboldt

Auteur : Bonpland, Aimé (1773-1858). Auteur du texte

Éditeur : SchoellSchoell (Paris)

Éditeur : [puis] N. MazeSchoell (Paris)

Éditeur : [puis] J. SmithSchoell (Paris)

Date d'édition : 1814-1825

Contributeur : Humboldt, Alexander von (1769-1859). Préfacier

Sujet : Géographie physique -- Amérique du Sud

Sujet : Amérique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37341712v

Relation : Titre d'ensemble : Voyage de Humboldt et Bonpland

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37265530f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 microfilms ; 35 mm

Description : Collection : Latin American travels ; 10/1.4-6

Description : Récits de voyages

Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Microformes et reprints

Droits : restricted use

Identifiant : ark:/12148/bpt6k613008

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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decottines.Dirigéd'abordauNNE.,enbordantIesPampasdetSaeramento, puis aI'ONO.,lao<ntestbrisé par leRioHuBttagadansle~'<M'~o,au'-des<nsdnoonBuentduChipmana,cecha!nonoriBntatMpe)'d partes 6t ide latitudeau nord-ouest de Lamas. Une airrêtetransvertate~rott le réunir au chaincn centra an sud du Pqmmo s de Pisooguanuna (ou Piscnayuna), et l'ouest de Chachapoyas. Le chaînon mtermédtàire ou central se prolonge dùnceuddeFascpetHnanuco;veMteNNO.,entreXicanetChicopIaLya, entre Huacmachnco et les sources du Rio Monzon, entre Pataz et Pajatan, Caxanmrqmita et Moyobamba. Il s'élargit beaucoup dans le parattete de Chachapoyas, et forme un terrain montueux traversé par des vattées profondes et excessivement chaudes. Par tes 6'* de latitude, au nord du Paramo de Piscognanuna, le chatnon central jette deuxjbramches vers La Vellaca et San Borja. Nous verrons bientôt que la dernière branche forme, au dessous du petit Rio Nieva, antnent de l'Amazone, tes rochers qui bordent le fameux Pongo de Mànseriche. Dans cette zone où le Pérou septentrional se rapproche des confins de la Nouvelle-Grenade, par les to° et 5* de latitude, les deux chaînons oriental et central n'ont aucun sommet qui s'élève jusqu'à Iak région des ne'ges perpétnetles; les seules cimes neigeuses se trouvent dans le cbaillon occidental Le chaînon central, celui des Paramos de Callacalla et PMCoguanuna atteint à peine t8eo toises il t'abaine lentement jusqu'à 800 toises de hauteur, de sorte que le terrain montueux et tempéré qui ,'étend au nord de Chachapoyas vers Pomacocha, La Vetlaca et les sources du Rio Nieva, est encore riche en beaux arbres de quinquina. Dès que l'on passe le Rio HuaIIa~ et le Pachitea, qui, avec le Beni, forme lUcayali, on ne trouve, en avançant vers l'est, quedes mn~éet de collines. Le chaînon occidental des Andes, le plus élevé et le plus rapproché des clltes, se dirige presque parallèlement au littoral N. a~" 0., entre CaMtambo et Huary, Conchucos et Guamachuco, par CaMmarca, le Paramo de Yanaguanga et Montan vers le Rio de Guancabamba. Il prétente (entre <)*' et 7* ) tes trois A!*paAM de Petagatos, Moyopata et Huaylillas. Ce dernier sommet neigeux, situé près de Guamachuco ( par les 7" 55' de latitude), mérite d'autant plus d'attention que, de là au nord jusqu'au ChimboraM, sur une longueur de i4o lieues, il n'existe pas une seule montagne qui entre dans la région des neiges perpétuelles. Cette dépression ou absence des neiges s'étend, dans le même intervalle, sur tous les chaînons latéraux tandis que, au sud du Nevado de H uaytittas, on observe constamment que, lorsqu'un chaînon est très-bas l'autre a des cimes qui dépassent a46o toises de hauteur. Pournxer davantage l'attention sur la branche des Andes qui s'étend à l'ouest de l'Amazone, cette de Conchucos et de Caxamarca, je rappellerai que c'est au sud de Micuipampa (par lat. 7° t') que j'ai trouvét'équateurmagnétique.

L'Amazone, ou, comme on a coutume de dire dans ces régions peu visitées, le Haut-Maragnon, parcourt partie occidentale de la vattée longitudinale que laissent entre elles les Cordillères de Chachapoyas et de Caxamarca. En embrassant d'ùm même coup d'ceil cette vallée et cette du Rio Jauja, limitée par les Cordillères de Tarma et de Huarocheri, on est tenté de les considérer comme un seul et immense bassin de i8o lieues de long et traversé, au premier tiers de sa longueur, par une digue on arrêta de 18,000 toises de largeur. En eBet, ses deux lacs alpins de Laurioocha et de Chiachaycocha, qui donnent naissance à la Rivière des Amazones et au Rio de Jauja, sont placés au sud et au nord de cette digne rocheuse formée par un prolongement du nœud de Huanueo et de Pasco. L'Amazone, pour sortir de la valtée longitudinale que bordent les chamons de Caxamarca et de Cbachapttyas, hr:M-, ~mme o.~ t' déjà exposé dans nn autre endroit*, le dernier de ces chamons qui mérite le nom de central sans être cependant le plus étevé.Cepoint,oulegrMdMeuvepénetredanslesmontagnes,etttres.reauu'qnaMe. Entrantdansl'Amatonepar le Rio Chamaya ouGuancabamba, j'ai trouvé, vis-a-vis le oomtuent, la montagne pittoresque de Patachuana, mais des deux cotés del'AmazoneIesrocbersnecommencentqu'ehtreleTtmbuloetTomependa (lat. 5*3i'. long. 8o<' 56'). De )a au Pongo de Rentemt suit une longue série d'écueils dont le dernier est le Pongo de Tayouchouc, entre le détroit de Manseriche et le village~ San Jtorja. L'Amazone ne change la direction de son cours, d'abord dirigée au nord, et puis à t'est, que près de Puyaya, lieues au nord-est de Tomependa Dans toute cette distance, entre Tambillo et San-Borja, les eaux se sont frayé un chemin plus ou moins étroit, 'T.f,p.T.H,p.66o.

'T.n.p.3)..