— 162 — ture ; moi le premier, j'ai fléchi devant elle en étudiant l'attraction, organe de ses décrets ; elle a daigné sourire au seul mortel qui l'eût encensée ; elle m'a livré tous ses trésors. Possesseur du livre des destins, je viens dissiper les ténèbres politiques et morales, et sur les ruines des sciences incertaines j'élève la théorie de l'harmonie universelle.
» Exegi monumentum aere perennins. »
Et celui qui parle ainsi, c'est lui, FOURIER, le révélateur de la LOI DES DESTINÉES.