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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1928-11-22

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 22 novembre 1928

Description : 1928/11/22 (Numéro 18895).

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k607400c

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 20/11/2008

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PARIS-MARRAKECH-PARIS. QUELQUES IMPRESSIONS. QUELQUES OBSERVATIONS par Maurice PRAX.

EL GLAOUI ET SON CHATEAU FEODAL DE L'ATLAS

Parti de Paris le le, novembre. Rentré à Paris le 19 novembre. Quatre jours d'océan sur le Haïii. Casablanca. Marrakech. G r a n déjeuner offert à la Bahia par le résident général et Mme Steeg. Diffas dans l'Atlas. Méchouis. Couscouss. Banquet à la Mamounia, offert par la compagnie des Chemins de fer du Maroc, qui a organisé ce voyage prodigieux, magnifique, vertigineux. Visite au sultan. Dixhuit ans. Des yeux gourmands et sauvages. Un beau visage mat et fin, bruni par une barbe naissante. Thé à la menlhe chez le Glaoui, pacha de Marrakech, habitué de Vittel, de Deauville, de Vichy. Jardins inouïs de l'Aguedal. Les souks dans la ville indigène, où toutes les couleurs, où toutes les races, où tous les commerces, où toutes les misères se bousculent, se mêlent, se pressent. B a l e k I Balek 1. Départ pour Rabat. La capitale officielle. La tour Hassan. Un des plus beaux paysages du monde, blanc et bleu. La résidence générale. La France en action. Départ pour Fez, la ville impériale, la ville hautaine et secrète, la capilale du souvenir.

Des palais encore. Des jardins encore. Et des souks à l'iinfini, des ruelles, des impasses, des labyrinthes, de quoi, errer et se perdre pendant des jours. Fête arabe au palai3 Jamai. Et puis départ, dans la nuit finissante, à l'heure où les lanternes des minarets cessent soudain d'étoüler le ciel. Quatre cents kilomètres à quatre-vingts à l'heure; à travers le bled, en auto. Quelques rares oliviers. quelques pistachiers. L'écran sombre du Rif. Un paysage de Sahara et, tout seul, au milieu de l'immensité des pierres et des sables, tout seul, de temps en temps, un cantonnier. qui vient d'où qui! toge où ?. qui vit ?. qui mange ?. Et puis Oudjda. Et pute Alger. Et puis Marseille.

Je veux tout de même mettre un peu d'ordre dans ma pauvre tête et essayer de classer les visions que mes yeux ont collectionnées comme des cartes postales. Un très grand souvenir? Un très rare souvenir?. Celui de la « diffa », qui nous fut offerte par le Glaoui', en plein Atlas, dans un décor saisissant, presque irréel.

Le Glaoui avait fait dire aux indigènes disséminés à travers le bled, perdus au fond des montagnes

Je veux que vous veniez saluer les Français, mes invités.

Sans T. S. F., sans télégraphe, sans facteur, sans garde à cheval, sans gendarme, sans rien que ce mystère qui fait que toutes les nouvelles et que tous les ordres sont immédiatement transmis et reçus sur toute l'étendue du pays, tous les indigènes, tous, avaient aussitôt obéi..

C'est pourquoi, tout le long de notre route, vingt mille, trente mille dévoués serviteurs du pacha nous souhaitèrent amicalement la bienvenue.

Beaucoup d'hommes faisaient le salut militaire, en souriant de façon candide. D'autres étendaient la main en signe de fidélité. Il y avait toutes les races et tous les visages. Chleus. Berbères. Noirs. Tous les sangs.

Les femmes, les pauvres femmes, portaient toutes grande toilette. Et, pour nous faire honneur, elles nous présentaient leurs poupées ce qui est la coutume dans l'Atlas. Leurs poupées, ce sont, accrochées à deux bouts de bois formant croix, des étoffes chatoyantes, des broderies et des soies.

Nous étions une centaine d'Européens au milieu de ce peuple immense.

Ça c'est tout de même de la sécurité, si l'on peut dire. Ça, c'était, en tout cas, tellement émouvant que certains de nous eurent bien de la peine à garder les yeux secs.

La sécurité au Maroc ?.

C'est un problème beaucoup trop grand pour moi beaucoup trop lourd pour cet article. Mais, en passant, il faut bien, pourtant, noter quelques vérités premières.

Il y a, au Maroc, deux zones d'tasécurité, le Tafilalet, l'Oued-Zem. L'autorité militaire interdit formellement aux civils et aux colons de pénétrer dans ces zones. Pour pacifier ces régions insoumises, il suffirait, disent certains, d'une très courte campagne. Pour d'autres, il vaut mieux attendre et patienter une campagne, même courte, fait couler du sang. Ainsi, deux méthodes s'affrontent. Il ne m'appartient certes pas (et j'en suis fort aise 1) de décider quelle est la meilleure des deux, la plus sage, la plus sûre. Mais des crimes ont été commis dans les régions où la sécurité, assure- t-on, est absolue ?. Mais des Euro- péens ont été enlevés, en plein jour, sur des grandes routes ouvertes à la circulation ?.

C'est vrai. Et il serait vraiment à souhaiter que pareils attentais ne se renouvellent point.

Mais à Parte, mais à Marseille, i

mais à Limoges, à Quimper ou à Aurillac, il peut y avoir aussi des assassinats. On affirme même qu'il y en a quelques fois.

Les Marocains, cependant, ne vont pas raconter que la France est un pays où il n'y a aucune espèce de sécurité.

A la Mamounia, à Marrakech, au palais Jamaï, à Fez, il y avait quelques gentils couples de jeunes mariés. C'étaient des Anglais c'étaient des Américains. La plupart avaient Itur auto et se promenaient du matin au soir, tout tranquillement, sur les magnifiques routes (goudronnées) du Maroc, c « sûr ».

Pourquoi les jeunes mariés de France qui ont les moyens due se payer un agréable voyage de noces ne songent-ils pas à aller roucouler un peu sous les palmiers de Marrakech ?. Je leur promets de belles journées qu'ils n'oublieront pas. Le chiffre des colons a doublé exactement, en quatre ans. Les demandes d'autorisation de bâtir présentées à Casablanca pendant le mois d'octobre représentent soixante millions de travaux environ. A des colons, à des fonctionnaires, à des officiers, à des commerçants, j'ai demandé

Vous plaisez-vous au Maroc ? Une seule réponse

Nous ne voudrions plus vivre ailleurs. C'est drôle. mais c'est comme ça. Nous sommes pris par Pris par le pays. Pris par le labeur. par l'effort. par la peine et par la réussite. Pris par l'aventure.

Le Maroc, ainsi, est aimé de tous ceux qui le servent.

Cela se voit.

Mais j'ai encore quelque chose à dire, et à montrer.

Maurice PRAX.

Les négociations sur les réparations M. Briand confire avec l'ambassadeur d'Angleterre

M. Briand s'est entretenu, hier matin, avec sir William Tyrrell, ambassadeur de Grande-Bretagne. D'autre part, le baron de Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur de Belgique, a conféré avec M. Philippe Berthelot, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères. Ces conversations ont porté, croyons-nous savoir, sur la constitution du comité d'experts qui s'occupera du règlement définitif des réparations et, plus particulièrement, sur les conditions générales dans lesquelles s'engagera cette négociation.

LES EXPERTS FRANÇAIS

A LA CONFÉRENCE

DES DETTES INTERALLIÉES Un conseil de cabinet se tiendra ce matin, au ministère des Finances, sous la présidence de M. Poincaré. Les membres du gouvernement seront probablement amenés à envisager la nomination des experts qui représenteront notre pays dans les négociations sur les réparations. En plus de M. Moreau, gouverneur de la Banque de France, qui sera premier expert, on parle de M. Allix, profes- seur de droit.

M. Clemenceau aux obsèques de sa soeur

Aux obsèques de Mme veuve Jacquet, sceur de M. Georges Clemenceau, qui ont été célébrées, en toute simplicité, hier, a. midi, au temple du Luxembourg, rue Madame, le service était présidé par le pasteur Sautter. M. Clemenceau, très affecté, n'assistait pas à la cérémonie; Il s'était fait conduire directement au cimetière de Roohefort en Yveïlnes ;Seine-et-Olse), où eut lieu l'inhumation, il laquelle étalent présents également M. Paul Clemenceau, M. et Mme Raiga et le général Mordacq.

M. CHARLES DUMONT remplace M. Chéron

comme rapporteur général du budget au Sénat

La nouvelle commission des s finances du Sénat a nommé hier son bureau. Auparavant,' les dix-sept commissures inscrits au groupe de la gauche démocratique

s'étaient r é u n i s pour r départager les candidats qui briguaient la succession de M. Henry Chéron c o m m e rapporteur général du budget.

Au début de la réunion, M. Henry Rérfinerer déclara

retirer sa candi- dature. Restaient seuls en présence MM. Louis Pasquet et Charles Dumont. Au vote, M. Charles Dumont a été désigné par 9 voix contre 8 à M. Louis Pasquet. La. nouvelle commission s'est réu- nie aussitôt après pour se constituer. M. Clémentel, président M'M. Rai- berti et Jeanneney, vice-présidents Milan et Chastenet, secrétaires sortants, ont été réélus par acclamation. M. Charles Dumont a été ensuite nommé rapporteur général à l'una- nimité de la commission.

M. JEAN FABRY élu président

de la commission de l'armée

La commission de t'armée de la Chambre avait, hier à élire son président en remplacement de M. Maginot, devenu ministre des Colonies C'est NI. Jean Fabry, député de la Seine, du groupe de l'action démop,raf.iniip pt sn^iale

qui a été élu par 27 voix contre 13 M. Jean Ossola. député des Alpes-Maritimes, radical socialiste.

La Chambre élira aujourd'hui le successeur de M. H. Paté à la vice-présidence

Les bureaux des groupes de gauche se sont concertés en vue de se mettre d'accord sur un candidat unique de gauche à la vice-présidence devenue vacante par suite de la nomination de M. Henry-Paté nommé sous-secrétaire d'Etat de l'Education physique.

M. Viollette et M. Frédéric Brunet, ont décliné toute candidature en présence de la désignation de M. J.-L. Dumesnil, comme candidat du groupe radical socialiste.

La lutte paraît donc, dans ces conditions, circonscrite, entre M. Georges Pernot, désigné par le groupe de l'Union républicaine démocratique, et M. J.-L. Dumesnil.

GEORGE V EST SOUFFRANT Londres, 21 novembre (dép. Petit Paris.) Le roi GeorRe V souffre d'un léger rhume, accompagné de fièvre et doit garder le lit. Un bulletin de santé a été publié ce soir.

Mort du romancier allemand Sudermann

Berlin, 21 novembre (dép. Petit Parisien. Le grand dramaturge et romancier allemand Hermann Sudermann est mort ce soir à 7 heures dans un sanatorium de Berlin. n était né dans le territoire de Memel, en 1857. Son grand succès fut en 889 la p-èce Intitulée l'Honneur. On a beaucoup lu également son roman Braun Forge qui parut en 1888, et qui fut tiré aiors à 160.000 exempla,res. On peut également citer, parmi ses œuvres le Cantique des Cantiques. Ses romans sont de-

bres que ses pièces dans lesquelles les critiques ne trouvaient aucun intérêt dramatique véritable.

C'est Sudermann qui rédigea, en 1914, le fameux manifeste des intellectuels allemands, surtout connu sous le nom du « Manifeste des 93 ».

LE MEURTRIER

DE L'ABBE CARAVADOSSI EST ARRÊTE A LIEGE

Liége, 21 novembre (dép. Havas.)

Un gendarme de

la brigade de Flemalle-Haute, qui s'était rendu ce matin au bureau de poste de la gar2 pour y prendre la correspondance, remarqua un Individu d'allure suspecte. L'ayant Interpellé, Il le vit sortir une hotte de sa poche et en tirer des cartouches.

Mattrisé aussitôt, ('Individu déclara se iommer AngeloBartolomel et ne fit aucune difficulté pour t avouer qu'il était l'auteur de l'assasi sinat de l'abbé Ca-

Conduit la gen- Angelo Bartolomei darmerie, il déclara

qu'il avait accompli seul son forfait. On ne sait pas encore s'il est également l'auteur de la tentative criminelle contre l'épicier Ferrari.

Bartolomei portatt sur lui un revolver chargé et cinquante-quatre cartouches»

En plein centre de Marseille cinq bandits en auto

attaquent trois garçons de banque en tuent un et s'enfuient

emportant pour 385.000 fr. de plis chargés Dans la soirée, on a arrêté, en Vaucluse, trois individus armés qui se rendaient à Avignon dans une camionnette volée dans la journée près de Marseille

Marseille, 21 novembre (dép. Petit Paris.) Un acte de banditisme des plus audacieux a été perpétré ce soir en plein centre de Marseille, derrière la Bourse de commerce. Deux employés du Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie, porteurs de plis dont le total est évalué à 385.000 francs, ont été dévalisés sous la menace du revolver, et un autre employé de banque, qni avait voulu défendre ses camarades, a été abattu d'un coup de feu par l'un des bandits.

Le Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie a ses bureaux sur la Canebière, aux numéros 15 et 17. Cette banque avait à expédier ce soir, à la Société Provençale de constructions navales la Ciotat, une somme de 385.000 francs qu'elle avait répartie en sept plis chargés composés de billets de banque de 1.000, 100, 50, 10 et 5 francs. Les trois employés chargés de cette mission trois hommes de confiance avaient quitté la banque tin peu avant 5 heures. Quatre des plis avaient été confiés à M. Confortint. les trois autres étaient portés par M. Auguste Roques, et un troisième employé de la banque, M. Loudier, économe, était chargé de la sécurité du transport. Il était seul armé. Dangereuse rencontre

Les trois employés quittèrent la banque munis des plis et se dirigèrent vers l'hôtel central des postes, rue Colbert. Ils empruntèrent, pour y parvenir, un terrain vague situé derrière la banque, et lorsqu'ils parvinrent à hauteur de l'église Saint-Cannat, deux hommes se précipitèrent soudain sur M. Roques, tandis qu'un troisième saisissait la gorge de M. Confortini.

Les deux employés résistèrent, mais l'un des bandits braqua sur la poitrine de M. Roques le canon d'un pistolet automatique en lui disant

Lâche ça ou tu es mort 1

M. Roques ne put empêcher que son agresseur lui prit les plis. A son tour, M. Confortini, sous la menace du revolver, dut laisser entre Peur mains les valeurs qui lui avaient été confiées.

Mais M. Loudier, qui avait été confié a surveillance, intervint aussitôt pour détendre ses camarades. Il mit en joue le bandit qui venait de dépouiller M. Roques, mais malheureusement le bandit le devança ot, d'un coup de feu dans la région du cœur, il abattit M. Loudier qui succomba aussitôt. M. Loudier comptait plus de vingt-cinq années de loyaux .services au Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie.

Deux machines

Les bandits, en possession de leur butin, sautèrent dans une automobile à conduite intérieure nouveau modèle, portant comme marque d'immatriculation 45 49 M 14. Cette voiture portait un compteur taximètre; elle attendait depuis un moment en bordure du trottoir. Aussitôt les bandits dans la voiture, celle-ci démarra à toute allure dans la direction du pnnt Colbert.

Mais les Inspecteurs Pellecuer et Conrazinr avaient entendu les coups de feu. Le taxi passa à côté d'eux, et, ce moment précis, trois coups de feu retentirent encore sans doute les policiers avaient-ils été reconnus par les voleurs qui trouvèrent bon de les mitrailler au passage. Néanmoins les policiers se lancèrent à la poursuite de la voiture dans la rue Sainte-Marthe et jusqu'à la rue Colhert, mais, à ce moment-la, une autre automobile s'était lancée derrière le taxi et de cette automobile trois coups de feu retentirent. Il était permis de supposer à ce moment qu'ils étaient destinés aux bandits et qu'il s'agissait de courageux citoyens. Or comme jusqu'à présent ses occupants ne se sont pas fait connaître, on peut se demander si les bandits n'avalent pas des camarades dans une autre voiture pour les protéger.

La police commença aussitôt son enquête et parvint rapidement à établir que le numéro 45 49 M 14 que portait le taxi était un faux numéro, car le déten-

Le fakir Tahra bey

refuse de se prêter

à des expériences contradictoires M. Paul Heuze, qui perce à jour tous les trucs des fakirs, médiums et charlatans de notre époque soi-disant réaliste, mais qui s'en montre volontiers friande, avait lancé publiquement il y a quelques semainew, un détl au fakir Tahra bey. Et celui-ci avait acet pté. Sous le contrôle de plusieurs médecins, Tahra bey devait faire ses tours. M. Paul Heuzé, immédiatemen après et en utilisant le même matériel, les refaisait pour bien montrer que ces exploite étaient, somme toute, à la portée de vous et moi.

La soirée s'annonçait brillante. Une recette importante était assurée. Plus de 20.000 francs de location avalent été déjà souscrits quand, avant-hier soir, des bruits inquiétante commencèrent à se Tah:a bey avait émis la prétention de recevoir un certain nombre d'invitations gratuites. On lui Et remarquer, pour l'inciter la modération, que le bénéflce de la soirée devait aller Il l'Association des mutilés. On lui avait cependant réservé une rangée entière de fauteuils.

Hier, pourtant, Il faisait connaître à l'impresario que, malade, Il ne pouvait venir au rendez-vous qu'il avait précédemment accepta.

M. Heuzé se rendit alors à l'hôtel où le fakir est descendu. L'ayant attendu longtemps, il lui représenta le préjudice que subirait l'Association des mutilés si, par sa faute, la soirée n'avait pas lieu. Tahra bey se déclarait toujours incapable, pour raison de santé, de se prêter aux épreuves annoncées. Ai. Heuzé lui envoya alors, encadrant un huissier, les docteurs Brizard et Vallat, ce dernier médecin légiste. Le fakir refusa de les recevoir.

Dans ces conditions, des ordres furent donnés, hier soir, au contrôle, pour que la location fat remboursée. Les portes de la salle ne s'ouvrirent pas. La place du Trooadém fut, jusqu'à 22 heures, encombrée d'une foule nombreuse qui commentait diversement l'incident. Les organisateurs ne purent que constater la carence de Tahra hey, se réservant de donner à l'affaire telle suite qu'elle leur paraîtrait devoir comporter. C-– "V-- ̃–»'̃» A LA QUATRIEME PAGE [ L Orphelin par Jacques CONSTANT

teur de ce numéro habite Nice et sa voiture est actuellement en réparation. D'ailleurs une nouvelle sensationnelle ne devait pas tarder à parvenir à Marseille on apprit que ce taxi venait d'être retrouvé abandonné sur le bord de la route entre Septèmes et Aix-en-Provence. Les numéros en questions avaient été peints sur une toile qui masquait le véritable numéro 68 13 M 14. On recherche, en ce moment, le propriétaire de cette voiture. Une camionnette suspecte

Les gendarmes d'Avignon barraient ce soir la route, vers 19 h. 35, au pont de Bompas, près de Caumont, dans le Vaucluse, à une camionnette montée par trois individus suspects. Interpellés, Ils furent trouvée en possession de trois revolvers, dont deux de gros calibre. Ils furent arrêtés sous l'inculpation de port d'armes prohibées. Ce sont Henri Durand, né à Marseille le 18 février 1893; Fernand Pasqùalini, vingt-huit ans, et Jules Traversari, trente deux ans, tous repris de justice connus de la police marseillaise. Interrogés sur l'origine de la camionnette, ils n'ont pas répondu. A ce moment on apprenait qu'elle avait été dérobée aujourd'hui même dans la soirée à M. Crassier, propriétaire à Venelles, dans les Bouches-du-Rhône. La fuite des cinq assassins peut être reconstituée comme suit

Quittant Marseille par la route d'Aix. ils traversent Septèmes, abandonnent la voiture évidemment suspecte et signalée partout, puis se séparent. Trois d'entre eux gagnent Aix, peut-être par le tramway, vont à Venelles où ils volent une camionnette et se dirigent vers le Nord. Avignon est traversée sans encombre, mais les gendarmes de Pont-deBompas interrompent la fuite. On ne sait encore ce que son devenus les deux autres. II faut maintenant attendre à demain pour que se poursuivent les recherches.

Ces malfaiteurs ont à leur actif l'agression à Marseille de la rue Saint.Régis et l'attaque à main armée d'Aixen-Provence.

Un nouvel essai

contre le record de la hauteur L'AVIATEUR ROUMAIN POPESCO EST MONTÉ A 10.600 MÈTRES

Il a battu la record de Remanie, mais n'a pu atteindre ni le record fiançait ni le record du monde, son inhala·teur d'oxygène ayant cette de fonctionner L'aviateur Popesco, détenteur du record roumain d'altitude avec 9.500 mètres, a tenté hier à Villacoublay de battre le record mondial que détient à l'heure actuelle l'Américain Champion par 11.170 mètres.

Contrôlé par l'adjudant Espinat, cnmmissaire de l'Aéro Club. Popesco décollait à

w u. u sui »uii dvjuu îjone-utiurdon-Leseurre, muni d'un moteur Gnome-Rhône-Jupiter à compresseur, le même avec lequel Lemoigne avait également tenté le record avant-hier, et atterrissait à 14 h. 50, n'ayant atteint que 10.600 mètres environ, obligé d'interrompre sa tentative par suite d'un arrêt de son inhalateur d'oxygène, accident analogue à celui dont Lemoigne avait été victime.

Le record roumain est néanmoins battu.

L'aviateur Lemoigne compte reprendre sa tentative sous peu, et le capitaine Popesco également à son retour de Roumanie, d'ici une quinzaine de jours.

LE TEMPS, HIER, A PARIS Dans la journée: 17 degrés de chaleur Dans la soirée pluies torrentielles Sous un ciel léger et calme, débarrassé des nuages menaçants que la bourrasque avait, pendant trois jours, mis en déroute an-dessus de nos têtes, il flt à Paris, hier dans la journée. un temps très doux. d'une tiédeur presque excessive 17 degrés à 13 heures. Mais le soir, vers 22 heures, une pluie torrentielle s'abattit ?ur la région de Paris pendant dix minutes. Elle fut suivie, durant la nuit, d'autres averses.

Pourtant à l'Office météorologique, on déclarait, hier, que le temps s'annonçait, d'une manière générale, beau et doux, au moins pour vingt-quatre heures.

LES TACTICIENS DU CAFE DU COMMERCE

Le plan Z P. rien de plus simple, messieurs vota allez voir. Qu'on n'apporte le plan de Paris et les dominos /«

L'EXPLOSION

DE LA CARTOUCHERIE DE YINCENNES

L'enquête n'a pas encore pu déterminer les circonstances dans lesquelles elle se prodnisit

(Voir la troisième page.)

Le pompier Marcel Bouland, qui se signala par son courage et son sang-froid

Deux des victimes de l'explosion Il à gauche, M. Favre à droite, M. Lambert BLANCHE VABRE LA MARATRE A SIGNÉ SON POURVOI

Lorsqu'elle entendit l'arrêt la condamnant à mort, Blanche Vabre refusa de signer son pourvoi

On prétend que mes, tentatives .de suicide n'étaient pas sincères. On verra bien.

Mais la nuit porte conseil. Hier soir, ̃Mme Odette Simon se rendit à SaintLazare et y trouva sa cliente toute souriante. Après s'être fait quelque peu prier, la misérable finit par apposer sa signature au bas du document qu'on lui présentait

C'est pour vous faire plaisir dit-elle à son avocate.

Et soeur Léonide qui s'occupe des condamnées à mort, d'expliquer

Voilà. J'avai-j deux enfants. J'en ai maintenant trois. J'espère leur donner ma paix.

Un diamantaire parisien

débarquant à Port-Saïd

reçoit du commissaire du bord la cassette qu'il lui avait confiée .mais elle était vide

Elle contenait pour un million de gemmes Londres, 21 nov. (dép. Petit Panslen.) Un message Reuter de Port-Saïd signale qu'un marchand de diamants parisien a avisé les autorités du port de la disparition de diamants d'une valeur totale de près d'un million de francs, sa propriété, confiés par lui, lors de son embarquement, au commissaire du navire.

Cette disparition est d'autant plus mystérieuse que le coffret sous scellés dans lequet se trouvaient les diamants fut remis au plaignant par le commissaire luimême au moment de son débarquement. Extérieurement, le précieux colis était intact, mais, à l'ouverture, à la douane, on constata que le contenu avait disparu. TROP D'IMPOTS. AUX INDES Depuis huit joars, en guise de protestation, cinq mille contribuables atationnent divut le palais du chef de la province

Londres, 21 nov. (dép. Petit Parisien.) Le correspondant de l'Evening News d'une semaine, plus de cinq mille villageois stationnent aux portes du palais du chef de l'Etat de Miraj, en manière de protestation contre l'accroissement de 1 impôt foncier.

Bien que cette protestation n'ait donné lieu, jusqu'à présent, à aucune scène de violence, il est à craindre qu'elle ne provoque finalement des conflits. Le chef de l'Etat se montre résolu à maintenir le nouveau régime et a signifié à la foule d'avoir à se disperser sans délai.

M. LAURENT EYNAC expose son plan

pour la réorganisation de l'aéronautique

Le ministre de l'Air, prenant la parole au banquet que lui offrait l'Aéro.Cluh en lui remettant sa grande médaille d'or, a précisé les méthodes qu'il entend suivre pour rénover l'aéronautique et le dispositif qu'il se propose d'appliquer pour développer les études scientifiques se rapportant à l'aviation, pour régulariser l'industrialisation de la construction, pour donner an plein essor à l'aviation commerciale

L'Aéro-Club de France a donné, hier, en l'honneur de M. Laurent Eynac, ministre de l'Air, un grand banquet de cinq cents couverts, auquel étaient conviées les plus hautes personnalités du monde de la politique, de l'industrie et du sport aéronautique.

Parmi les assistants figuraient notamment MM. François-Poncet, soussecrétaire d'Etat; le maréchal Lyautey Renaudel, rapporteur du budget de l'Aéronautique Gaston Menier; sénateur Fabry, le marquis de Dion, Brocard, Chaulin-Servinière, députés René Baschet et Bailby, président et vice-président du Syndicat de la presse parisienne Peixotto, président de l'American Club Dautry, directeur des chemins de fer de l'Etat Baudet, président de la chambre de commerce de Paris, etc.

A son arrivée, M. Laurent Eynac fut l'objet d'une formidable ovation. et cette manifestation d'enthousiasme s'accentua encore lorsque, au dessert, il prit la parole pour exposer son programme. L'assistance, qui comprenait constructeurs et usagers de l'avion, tant civils que militaires, montra ainsi tout l'intérêt sympathique qu'elle portait aux projets du ministre venu exposer devant elle, « parmi ses amis » le mot est de M. Laurent Eynac son programme d'action, son programme d'avenir. A l'issue du banquet, ce fut M. P.E. Flandin, président de l'Aéro-Club, qui, après avoir remis au ministre de l'Air la grande médaille d'or du club, prit le premier la parole. Il fit appel à la discipline pour seconder les efforts du gouvernement dans la restauration de notre suprématie aérienne.

M. Laurent Èynac a ensuitè pris là parole et, après avoir rendu un

M. Laurent Eynac

émouvant hommage à M. Bokanowski, a exposé son programme dans un discours méthodique et complet.

On s'est trompé, déclare M. Laurent Eynac, quand on a écrit que le ministère de l'Air était né spontanément de l'émotion publique. A la vérité, l'éclatement de l'opinion a été au lendemain d'une catastrophe qui l'avait douloureusement remuée, la circonstance décisive, mais l'idée avait mûri depuis longtemps et l'institution nouvelle est l'aboutissement logique de dix années de traverses que vient de connaître notre aviation dans son effort d'organisation vers l'unité.

Un 6llan nécessaire

Non pas que le ministère de l'Air soit une formule magique capable d'engendrer des miracles, mais il est vrai de dire que, sans sa constitution même, Il eût été impossible de tenter le redressement Indispensable.

Situer ie mal, en connaître les causes, y approprier les remèdes, faire l'inventaire de nos ressources si riches en hommes, apprécier nos moyens industriels considérables, nos capacités techniques marquées par certaines réalisations qui méritent mieux que l'indifférence, faire avec sang-froid le bilan impartial de notre aviation comparée sans chauvinisme à l'effort étranger. enttn préférer à des remèdes violents et incertains un régime de rétablissement raisonnable et progressif. voilà la sagesse qui s'impose à nous.

Le fait dominant, c'est que l'ensemble de notre aviation souffre A l'heure qu'il est d'une crise de croissance, et pour mieux dire en ce qui concerne les matériels, d'une crise de qualité.

C'est par l'organisation qu'il fallait commencer le ministère de l'Air s'est moins heurté à des raisons qu'à des préventions et des habitudes. S'il est vrai que l'unité de vues, le 'rassemhlement des éléments épars de l'aéronautique «ous une autorité unique est une force, que l'institution d'une responsahilité un!que en est une autre, accrue encore par la liberté d'action du seul ministre responsable. on ne saurait contester que le ministère de l'Air doit pouvoir être le maître absolu des crédits de matériei et de personnel. Il y a là association étroite entre l'homme et la machine. sera profitable que soit établie une intercommunication permanente, des échanges !noeesants entre ceux qui forgent l'arme ou la machine et ceux qui l'emploient, entre les formations active, de réserve. du commerce, les organisations civiles. La mise en commun des forces, l'enrichissement mutuel don diverses avia-f tions, substitueront aux rivalités qui hier avaient pu jeter leur ombre une aspiration nouveile unissant dans un salutaire esprit de corps militaires, marins, navigateurs du commerce, pilotes d'essais.


d'expériences, tous soldats de la même conquête un même esprit, une seule volonté, une âme unanime.

L'armée de l'Air procédera de cet esprit. Elle sera organisée de façon, d'une part à satlsfaire aux exigences du commandement militaire et naval, par la mise il sa disposition permanente des escadrilles dont Il a l'emploi, et, d'autre part, par la constitution progressire d'une armée autonome da défense et de protection aérienne du territoire, dont la dotation en matériel posera d'intéressants problèmes techniques de haut rendement, de rayon d'action et decharge utile qui intéressent au même titre l'aéronautique marchande.

Les trois éléments essentiels du nouveau ministère' seront donc

1* Cette force nationale, fondant en un ensemble homogène les navigations militaire, maritime et coloniale 2° La direction générale des services techniques et industriels, rêiuiissunt sous son autorité les études et recherches, la technique et les essais, la fabrication et l'organisation inrlustrielle, les bases, terrains, infrastructure

3° La direction de l'aéronautique marchande, réunissant dans ses attributions les voies et communications, le service de la navigation aérienne, toute la politique de l'aéronautique civile. Le programme d'études

des industries

Le budget de 1929 est moins le premier budget véritable du ministère de l'Air qu'un budget de transition, en raison même des conditions dans lesquelles il a dû être établi.

Dès 1929, nous disposerons, au titre des recherches, de 120 millions de crédits de paiement, qui devront s'augmenter de 150 millions de crédits d'engagement. Non industries seront appelées à travailler selon un programme d'études nettement déterminé. Les ré"les qui nous guideront seront

L'orientation des moyens d'action sur les réalisations les plus urgentes, spécialement en ce qui concerne notre aviation de commerce

La continuité des travaux poursuivis avec persévérance dans les voies tracées, par des perfectionnements progressifs La liberté assurée à nos bureaux d'études: c'est le résultat qui compte, et des lors doivent être proscrites les réglementations à procédude abusive. L'organisation teohnique générale. la rapidité de prise en charge du matériel créé doivent réduire au minimum les délais néceseaires à l'exécution et Il la présentation.

Les subventions aux lignes

de navigation aérienne

Le nouvel aménagement des crédits de subvention aux lignes de navigation aérienne. poursuit M. Eynac, a été surtout guidé par de souci de faciliter l'intensiflcation des services de poste aérienne. C'est ainsi que toutes les fois qu'il a été possible ont été prévue des horaires quotidiens et des vols de nuit indispensables à une bonne organisation des courriers par air.

Le total des crédits des primes et subventions dépasse le chiffre de 170 millions.

Il est superflu d'Indiquer Ici la place prise en ces dernières années par l'aéronautique marchande dans les relations internationales, le rôle qu'elle est désormais appelée à jouer dans l'ordre économique.

Ce Qu'il convient de souligner, c'est que, dans l'émulation internationale pour la conquête des routes du monde, la France doit à sa situation politique et économique, a sa situation géographique et maritime, à son empire colonial, de s'inscrire sur les grands parcours commerciaux de la locomotion aérienne. Dans l'établissement des compagnies ou des formai ions internationales de demain, on n'échangera pas des ambitions ou des projets, on accordera des situations acquises et des réalités.

L'organisation

de P aviation marchande

par le placement

d'emprunts obligatoires

C'est à l'Etat qu'il appartient de tracer nettement les principes de sa politique de navigation aérienne, souligne avec force M. Eynao, afln de mettro un terme aux rivalités ou aux agitations d'Intérêts particuliers souvent indiscrets, et de délimiter de façon précise les diverses zones d'action. C'est à l'Etat aussi qu'il appartient de faire que la construction soit au service de l'exploitation, et que l'exploitation soit au service de notre poste et de notre commerce.

Il est urgent de concentrer les moyens da nos compagnies, de permettre le financement des programmes et la dotation en flotte moderne. Le moyen d'y parvenir rapidement est la constitution de nos diverses formations rivales en grands résnaux réseau continental, réseau d'Orient, réseau d'Occidentaui feront appel aux grandes entreprises do transport, aux collectivités, au public. Il faudra un régime de contrats assez fort et assez souple pour permettre le placement d'emprunts obligatoires' pour garantir le capital obligations, en même temps que le jeu des primes de parcours et des avances remboursables incitera la direction de l'exploitation et le capital actions à entreprendre et à bien gérer. Des contrats de durée devront être prévus avec des clauses de révision pour tenir compte de l'évolution rapide des conditions de l'exploitation aérienne. Les conventions soront soumises au Parlement.

M. Laurent Eynac termine, au milieu des applaudissements, en faisant appel à la, bonne volonté de ious « Travaillons, dit-il. En aéronautique, plus qu'ailleurs encore, le génie est une longue patience. » M. Renaudel élu rapporteur du budget du ministère de l'Air La commission des finances de la Chambre a désigné hier le rapporteur du budget du ministère de l'Air, en remplacement de M. François-Poncot, devenu sous-secrétaire d'Etat aux BeauxArts.

Au second tour de scrutin, M. Renauilel, socialiste S. F. I. 0., a été élu par 19 voix contre 17 à M. Delesalle, de la gauche unioniste et sociale.

41.– Feuilleton du Petit Parisien, La Nuit de Feu Grond roman inédit

PAR GASTON-CH-RICHARP DEUXIEME PARTIE

PAR LE FEU 1

XII (suite)

Dans la nuit

Comment ce brave Lerenaud a-t-11 découvert tout cela ? demanda Frédéric. Tu penses bien qu'il ne nous en a rien dit. Tout ce que je sais, c'est que le véritable coupable a, comme il dit, « signé son travail en abandonnant une chique de tabac anglais sur le lieu même où Il a opéré ponr laisser volontairement une trace de son passage. Cette chique contenait un poil de moustache. Et cela a suffi à notre limier pour remonter jusqu'à l'exécutant, et, par celui-ci, au véritable coupable, c'est-à-dire & celui qui a dirigé, conçu, Manigancé toute l'affaire. Mais c'est du Sherlock Holmes tout pur fit Sigismond. avec un sourire de damné.

Voyons, voyons, sœurette, tu en gala plus que tu n'en veux bien dire 1 s'exclama Frédéric. Rnconte-nous ça Je te dirai ce que je sais, Frédéric, dit doucement Geneviève dont le pied, sous la tabîe, pressa la bottine de son frère. Mais goûtons d'abord ce merveilleux jambon.

Tout en parlant, elle désignait d'un coup d'œll, Slglsmond de la Toursches Copyright by GQSton-Cl) Ilichard 19S8. Traduction et reproduction Interdite» en tous pays.

A LA COMMISSION DES FINANCES DE LA CHAMBRE

Plusieurs amendements sont adoptés, modifiant l'impôt sur les bénéfice! commerciaux et la droits de mutation sur les vente» immobilière»

La commissibon des finances de la Chambre a txaminé hier l'article 18 de }«<lo*> devinantes, ainsi que les amendements présentés par M. Delesalle et par M. de Monicault, relatifs à l'impôt sur le chiffre d'affaires. En ce qui concerne les opérations faites par les meuniers, :\1. de Chappedelaine, rapporteur géné- ra], a insis très vivement pour que la commission accepte le texte du gouvcrnement. Elle a néanmoins décidé avant de se prononcer d'entendre le gouvernement.

La commission a pris en considération un amendement de M. Fould tendant à exonérer do l'impôt sur les bénéflces commerciaux les guides de montagnes, ainsi qu'un amendement de MM. Palmade, de Tlnguy du Pouët et Peteche, relatif a la même exonération pour les agriculteur qui font accessoirement des transports pour le compte d'autrui.

La commission a adopté un amendement de M. de Champetier de Ribea, tendant & soumettre au droit d'enregistrement les mutations d'actions d'apport en vue d'empêcher la fraude qui consiste à créer des sociétés pour échapper a la perception des droits de ventes immo- bilières.

M. de Chappedelaine a insisté pour que l'amendement de M. Baréty réduisant de moitié les droits de mutation en ce qui concerne les terrains destinés à la construction ou les Immeubles destinés être détruits en vue de la reconstruction dans un délai de deux ans, soit adopté avec certaines modifications de forme.

Le texte résultant d'un accord entre le gouvernement. l'auteur de l'amendement et la commission a été adopté.

Les améliorations du service des P. T. T. dans la banlieue parisienne

M. Germain Martin, sous-secrétaire d'Etat des Postes et Télégraphes, a reçu hier une délégation des députés de la Seine composée de MM. Frédéric Pic, Caujole, Gratien, Nomblot, Adolphe Chéron et Gustave Doussain, qui l'ont entre- tenu des améliorations à apporter aux services des P. T. T. dans la banlieue parisienne, notamment en ce qui concerne les téléphones et la distribution postale. M. Germain Martin a déclaré qu'il n'ignorait pas que l'extension considé- rable en ces dernières années de la banlieue de Paris et en général des banlieues des grandes vilies n'avait pu être suivie d'un développement parallèle des services des P. T. T. il a ajouté qu'il se préoccupait de cette question et qu'il avait déjà arrêté un ensemble de mesures destinées à remédier à la situation qui lui était signalée.

Pour le service téléphonique, il Ii confirmé la mise en service, au cours de 1929, de quatre bureaux centraux télé- phoniques dits « de transit » qui permettront une exploitation en tous point.. semblable à celle de Paris.

En ce qui concerne les améliorations d'ordre postal, on prévoit la réorganisation des transports de dépêches, afin d'assurer la remise du courrier une heure plus matinale, de façon il. ce que les destinataires qui ont leurs occupations en dehors de leur résidence reçoiveut leurs correspondances avant leur départ de chaque jour. Il est prévu également l'installation de bottes aux lettres supplémentaires et une extension du nombre des distributions dans les lotissements. Enfin des recettes auxiliaires pourront être ouvertes dans les quartiers excentriques éloignés dn bureau de poste de la localité.

M. Germain Martin, de son côté, a demandé aux élus du département de la Seine de lui faciliter la tâche en obtenant des municipalités une dénomination précise des voies ouvertes dans les lotis- sements, ainsi qu'un rapide numérotage des maisons qui y sont construites. Il a promis enfin de mettre à l'étude l'extension la banlieue immédiate du réseau pneumatique parisien.

Le communiste Prévost | élu conseiller d'arrondissement était inéligible

Le conseil de préfecture de Seine-et- Oise vient d'annule.r l'élection, comme conseiller d'arrondissement du canton de Villeneuve-Saint-Georges, du communiste Proyost, lequel fut condamné, l'été dernier, pour tentative d'espionnage, et déchu de ses droits civiques pendant cinq années. Il était donc inéligible. AU CONSEIL SUPÉRIEUR DU TRAVAIL Le début de la troisième séance du conseil supérieur du travail tenue hier a été consacré à la collaboration des commissions mixtes comprenant des représentants des employeurs et des employés pour l'élaboration des règle- ment.s et l'application de la législation sociale.

Après observations présentées par MM. Hartmann. Picquenard et Lauge- rotte, le voeu suivant, proposé par la commission permanente, a été adopté a l'unanimité

Le conseil supérieur du travail émet la vœu que les meeures à prendre en vue de l'application, dans une profession ou région déterminée, des lois sociales et de protection ouvrière, notamment de celles qui concernent l'hygiène et la sécu- rite, soient de plus en plua préparées avec le concoum de commissions mixtes ou autres organismes paritaires dans les- quels soient représentées les or aniea- tions patronales et ouvrières de la profession et de la région. » Le conseil a ensuite examiné la der- nière question inscrite à son ordre du jour emploi de la répartition par des employeurs ou bien des pourboires don- nés par les clients, ou bien des sommes qui sont réclamées aux cllente « pour le servies » dans certaines maisons où les pourboires sont supprimée. <

qui, blême d'angoisse, se versait un non. veau verre de vin.

Le visage du jeune homme, il la vue du vicomte effondré, prit une expression d'horreur et de pitié. Il interrogea Geneviève d'un regard, et elle répondit « oui sa muette question, en abaissant ses soyeuses paupières sur ses yeux bleus.

Excellent, ce Jambon t dit-elle. On}, mais l'histoire. Je veux l'histoire, mol, parvint a dire Sigismond qui, à grand'peine, venait d'avaler une bouchée.

Lh bien volet donc ce que Lerenaud m'a dit Hier soir, il la nuit close, il a vu, de ses yeux vu, le misérable instigateur du crime pénétrer chez son complice, emporter les preuves matérielles de leur acte criminel, jusque-là cachées par celui-ci (et chez qui. sans doute, elles n'étaient plus en sûreté) afin de les cacher ailleurs. Le brigadier a « repéré selon son expression, la cachette, et demain matin. Il nous découvrira le pot-aux-roses. Voilà tout ce que je sais. Il s'est absolument refusé à noug en dire plus long, il mon père et à mot, mais peut-être a-t-11 été moins discret envers grand-papa. car 11 a un faible pour cet infortuné Dick Dawson, à qui grand-papa, tn le sais Frédéric. ne ménage pas sa sympathie.

L'os-tu vu. lui, cet intéressant prisonnler ?

Non, répondit la jeune aile. Il est toujours au secret, mais j'ai pu préparer un mot que Lerenaud lui fera passer demain. et où je lui annonce sa mise en liberté pour demain soir, à trois heures de l'après-midi.

C'est parfait 1 C'est parfait Tout est bien qui unit bien. et. je. je. oui. serrerai la main. avec platsir. ft. ce. cet. excellent Dawson. balbutia Sigismond, dont le visage, de livide, était devenu d'un gris de plomb.

LA DISCUSSION S'EST OUVERTE II U CHAMBRE

SUR LE BUDGET DES PENSIONS Rendant hommage au rôle des associations, la plupart des orateurs se félicitent de voir, à la tête du « ministère de la souffrance », M. Antériou, mutilé de la guerre

Après les chapitres du commerce, des services pénitentiaires, de l'agriculture et des régions lihérées, la Chambre vient de passer à ceux du ministère des Pensons.

Le ministère des Pensions, c'est « le ministère de la souffrance a déclaré un orateur, hier matin. Comment. des lors, s'étonner que la plupart da ceux qui sont intervenus dans la discussion générale se soient félicités de trouver i sa tête, M. Antériou, mutilé de la guerre ?

Tous également se sont plu à louer l'effort considérable poursuivi par les associations de mutilée. Peut-être est-ce à cet effort que l'on doit une certaine amélioration dans le fonctionnement des services des pensions.

Pourtant, tout n'y est pas parfait. Tant s'en faut. Trop de lenteurs, trop de retards, trop d'erreurs. Tel est le bilan de critiques qu'a donné, hier, M. Moch. mandaté par le groupe socialiste. De plus, ne conviendrait-il pas de limiter le droit d'ajournement dévolu aux commissions de réforme et d'accélérer la liquidation des pensions en augmentant le nombre des tribunaux ? Pourquoi, par ailleurs, maintenir en vigueur la circulaire du 6 février 1926, sur la filiation médicale, qui constitue une source d'inégalités

Et une question se pose une pension définitive peut-elle être remisée ? En toute togique, non. Pourtant, le ministère des Pensions n'hésite pas à réduire une pension dite définitive, quand le mutilé, ayant introduit une demande d'augmentation pour infirmité nouvelle, ['examen révéla une amélioration de la maladie première.

Le cumul, autorisé pour les fonctionMires civils pensionnés de guerre, est mterdit aux militaires restant dans l'armée. Que penser, d'autre part, de la distinotlon que la loi fait actuellement entre les veuves, pour le caloul de leur pension, suivant que le mari est mort uu front, au lendemain de la guerre ou ultérieurement à Il y a lieu, pense M. Jean Goy, mandaté par le groupe de la gauche unioniste, de faire et?scr ces anomalies. et d'autres, consUtées, notamment, dans le système des majorations pour charges de famille. Les majorations pour enfants ne sont pas maintenues au delà de l'âge de dixhuit ans, même s'il s'agit d'enfants invatides ou incurables. De même, quand un pensionné meurt, sa veuve se voit refuser les majorations.

Autre chose. Les réservistes blessés au cours d'une période d'instruction doivent attendre plusieurs mois avant d'obtenir une pension. Ne pourrait-on, s'ils sont sans ressources, les aider, au besoin en votant des dispositions législatives nouvelles ?

La question si débattue déjà de la filiation d'origine, surtout quand il s'agit d'affections pulmonaires, devait trouver place dans ce débat. C'est M. Camille Planche qui l'y amena, en, émettant le voeu que l'administration no s'avise plus de contester les certificats médicaux, ce qui, selon lui. reviendrait suspecter le corps médical français en entier. Et do s'élever vivement contre les rejets, trop fréquents son sens, opposés pour vice de forme par le contentieux des Pensions. Au surplus, la forclusion pour dépassement de délais ne devrait jamais être opposée aux demandes des mutilée.

La séance s'était, Jusque-la, déroulée d;ms une atmosphère de calme et de dignité, la seule, en vérité, qui convint à des sujets sl douloureux, quand M. Beauarand, député communiste de Paris, intervint pour contester à la fois les résultats obtenus par le ministère et par la plupart des associations de mul.ilés. De vives protestations alors s'éles'èrent sur la plupart des bancs. C'est une honte, lança d'une voix :onnante l'abbé Bergey, de tenter de diviser les combattants. Les communistes n'ont pas le dro-t de se faire les industriels do la souffrance humaine.

Et il ne fallut rien do moins que l'arrivée à la tribune de M. Taurines pour ramener un peu de calme.

Auteur en 1924 dn l'article 18 de la loi sur l'emploi obligatoire des mutilés, la député de la Loire a pelne à. reconnaître « son enfant tant le décret du 6 août 1927 qui établit des distinctions entre les employés et ouvr;ers en a altéré les traits. Ne va-t-on pa?, dans un autre ordre d'idées. jusqu'1 refuser aux enfants des nutllés, nés après 1920, la qualité de pupilles de la nation ? NI. Picot s'en litonue, comme il s'étonne que l'on retire aujourd'hui des titres de pension à des malades pour la raison que leur état ne serait pas imputahle a la guerre. La discussion générale du budget des Pensions étant close, c'est ce matin que M. Antériou. intervenant sur l'article i", répondra aux diverses observations présentées au cours de cette séance. LA QUESTION DU LAIT Après avoir entendu M. Alexandre Duval au sujet d'une proposition de résolution réolamant du gouvernement des nesures de nature à augmenter la proiuction du blé en France, la commission de l'agrioulture de la Chambre a procédé à un échange de vues sur l'exposé fait hier devant elle par les délégués de la confédération des produoleurs de lait.

L'examen a porté sur la situation ictuelle des paysans producteurs de lait le consommation. sur la production de !e lait, sur l'élévation normale et équitable de son prix de vente à la production et a In consommation, enfin sur la lécessitô d'une politique de protection et :le développement de la production laltière dans l'intérêt des producteurs et les consommateurs.

Ah çà mais. qu'as-tu donc ? s'enquit Frédéric en se tournant vers le Jeune homme. Tu ales pas bten ? Tu souffres ?

Une brusque migraine, avoua Sigismond. horriblement douloureuse. J'ai eu très faim. J'ai trop attendu. et. Il ne m'en faut pas davantage. depuis. quelque temps. Dieu que j'ai mal

Il s'étreignait le crâne deux mains et ses yeux égarés disaient assez le supplice qu'il endurait et le désarroi de son Ûme.

Va te coucher t dit Frédéric. Je vais t'envoyer quelques analgésiques de choix.

Inutile. Je. j'al.. ce qu'il faut. Excusez-moi, Geneviève, acheva le jeune homme. de vous fausser compagnie, mais ce que j'endure en ce moment est au-dessus des forces humaines. Il s'était levé et gagnait la porte en chancelant.

Geneviève et Frédéric, debout, eux aussi, le regardaient partir. Il se retourna, la porte atteinte, et s'appuya au chambranle, puis il releva le front, péniblement, comme si sa tête eût été de plomb, et Il regarda profondément la jeune fille et son frère.

La doulerr, le mépris, la pitié, le secret amour dont son âme était pleine faisaient de Geneviève une vivante Kemesls. Jamais, peut-être, elle n'avait été plus belle qu'en cette minute qui, définitivement, la libérait.

Une Intense expression de désespoir passa sur le visage et dans les yeux de Sigismond à la vue de cette beauté pathétique et profonde qui, jamais, n'avait été ni ne serait sienne. Geneviève. Geneviève. murmurat-tl. A. dieu. et. pardon.

Elle ne répondit nae mais ferma les yeux et, d'une main, s'appuya plus fort

LES municipalités

PEUVENT-ELLES PARTICIPER AUX FOURNITURES DE LIVRES AUX Ecoles privées ?

Répondant à une question de M. Delmotte, le ministre de l'Instruction publique fait connaître qu'aux termes de la législation en vigueur, rien ne s'oppose, quand le conseil municipal d'une commune a décidé d'assurer la gratuité des fournitures scolaires, à ce que la commission scolaire comprenne sur la liste les élèves indigents des écoles privées, à la condition toutefois que la caisse des écoles n'intervienne en aucune façon dans la distribution, que les fournitures soient imputées sur le budget communal et réparties par les soins du maire. Par contre, toute somme votée pour l'achat de livres de prix destinés aux élèves des écoles libres constituerait une subvention déguisée, dont la destination irait à rencontre des dispositions de la loi du 30 octobre 1886 et à la jurisprudence du conseil d'Etat.

L'entretien des chaussées de Paris Sur le rapport de M. Bedouce, la commission des finances de la Chambre a adopté les projets d'approbation des conventions passées entre le ministre des Travaux publics et le préfet de la Seine concernant l'entretien des chaussées de Paris.

Le parti radical et la silualioo politique La comité exécutif se riunira le 3 décembre Le comité exécutif du parti radical et radical socialiste se réunira en séance plénière le 3 décembre, à 20 h. 30, salle des Sociétés savantes.

L'ordre du jour comporte, outre l'allocution du président, le rapport du président de la commission des voeux, les communications que fera le président de la commission de discipline sur des affaires examinées par elle.

De plus, un large échange de vues aura heu lieu à propos de la situation politique.

LE CODE DU TRAVAIL La commission sénatoriale du commerce a approuvé un rapport de M. Hamelin sur le projet de loi modifiant certains articles du code du travail.

Ces modifications portent sur l'afflchage des règlements Intérieurs, qui devront être très apparents et sur l'interdiction des amendes, sur l'obligation pour les patrons quand ils embauchent un ouvrier de s'assurer que cet ouvrier n'est pas lié par ailleurs par un contrat de travail.

L'EMPLOI DES ENFANTS

DANS LES THEATRES ET CINÉMAS M. ValUer a exposé hier devant la commission du commerce du Sénat le principe de la loi votée par la Chambre et modifiant la réglementation de l'emploi ou du travail des enfants dans les ét.il)lis6Pmente de spectacles et entreprises cinématographiques.

M. Vallier a proposé de voter un texte assez souple pour garantir à la fois l'hygiène et la sécurité matérielle et morale des enfants, la fréquentation scolaire et, d'autre part, les intérêts légitimes de l'art et du prestige de la production artistique française.

En principe, les enfants au-dessous de quinze ans ne pourront être employés dans les théâtres et cinémas, mals des dérogations pourront être accordées de neuf à dix ans, et exceptionnellement de sept à neuf ans.

Le groupe extra parlementaire de défense du commerce de détail Le groupe extra-parlementaire de défense du commerce de détail a constitué son bureau comn-f. suit

M. Louis Rollin a été réélu président par acclamation. MM. Georges Maus et René Lefebvre ont été réélus secrétaires généraux. Ont été nomméa vice-présidents parlementaires MM. Escudler, Henry-Pâté, Sérot, Tasso. Fiancette, Evaln, Taurines, Gaston Gérard viceprésidents commerçants MM. Planque. Codi, Démogé. Martin, Hémier secrétaires parlementaires MM- Doussain, Lucien Besset, Adam, Emile Faure, Odin secrétaires commerçants MM. Siffert, Thévenot, Avisse, Prat, Raffl, Drouant, Mathivet. Pochon trésorier M. Jules Bernhelra trésorier adjoint M. Alblsson.

260 députés ont adhéré à ce groupe. Après avoir examiné les différents problèmes Intéressants le commerce de détail, le groupe a décidé de s'occuper Immédiatement de l'abattement à la base et de la patente des loyers commerciaux. Le relèvement des salaires des ouvriers de la Guerre En réponse à une intervention de M. Mariant, députe de la Loire, concernant le relèvement des salaires des ouvriers des établissements de la Guerre, M. Painievé vient. de faire connaître que les nouveaux bordereaux de salaires viennent d'être arrêtés et que les nouveaux taux seront appliqués avec rappel du juillet 1928.

L'augmentation des salaires comprend deux parties l'une, sensiblement uniforme pour tous les emplois, porte sur le salaire proprement dlt, qui se trouve élevé à la base de 0,30 par heure pour certains ouvriers professionnels. L'autre porte sur les primes d'ancienneté, c'esta-dire sur l'écart existant dane chaque groupe de professions entre le minimum et lo maximum des salaires horaires. Cet écart a été fixé à 0,75 au lieu de 0,45 pour les ouvriers professionnels; à 0,55 au lieu de 0.30 pour les ouvriers non professionnels; à 0,40 au lieu de 0,32 pour les ouvrières. L'augmentation totale se traduit par une amélioration notable.

Le ministre a tout lieu de penser qu'elle sera accueillie par le personnel avec satisfaction.

il la table. Elle chancela et, de sa main libre, se voila le visage, avec un sanglot sourd.

Frédéric, pale comme un marbre, la saisit dans ses bras et regarda Siglemond qui, so,us ce regard brûlant et sombre, baissa le front et franchit la porte.

Viena, Ginette Viens. chérie supplia le jeune homme.

Non, dit-elle en reprenant sa place. Il nous faut rester tel, pour lui, pour nous, pour nos serviteurs.

Ah 1 je t'admire, dit-il tout bas. mais tu as raison..

Ils se rassirent.

Flrmln, le martre d'hOtel, apportait une coupe de fruits glacés.

Slgismond avait péniblement gagné sa chambre. Fuir. Il fallait fuir. Demain son crime apparaîtrait aux yeux de tous. Demain, d coup sûr. Van Gotheberg parlerait. Et Lerenaud triompherait 1 Et Dick. Geneviève l'almait. et il aimait Geneviève. Un flot de ftel empoisonna sa bouche. Eu bien 1 non. tout de même il ne triompherait pas si vite. ni Bi complètement.

Sigismond se leva d'un bond. toute sa lucidité, toute sa puissance d'action revenues sous les coups d'étrivières de sa jalousie.

Il atteignit nne chaise, la plaça aur la table poussée le long du mur, Bt pivoter le châssis, empoigna et jeta à terre le paquet qui contenait les vêtements mêlés de Dick et de Van Gotheberg.

Redescendu, Il enroula le sinistre colis dans un plaid qu'il assujettit avec des courroies de voyage. Puis Il décrocha. dans son portemanteau, un vaste raglan. se coitta d'une casquette, glissa un browning de fort calibre dans sa

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La tlamme du Souvenir sera ranimée par l'Association des mutilés, réformés et veuves de guerre (Clichy).

Conseil de cabinet 9 n. 30, au ministère des Finances.

Sénat Séance à 15 heures (projets divers). Chambre Séances a 9 h. 80 et à 15 heures (budget des pensions, etc.).

Cérémonies religieuses Messe pontificale, 10 h., Saint-Germain-des-Prés. Messe do Sainte-Cécile, au bénéfice des chanteurs des égllses parlsiennes, 10 h. 15, la Madeleine.

Congrès Confédération nationale des débitants de boissons, hôteliers, limonadiers, restaurateurs, 19, rue Blanche.

Vente de charit6, 14 h., 271, boulevard SaintGermain.

Réunion» Fédération des Jeunesses laïques et répubUcatnes, 20 h. 10, rue DupetitThoua~3. Bienvenue française, 17 h., 25 bis, quai de Contl.

Dîner du Foyer des arts, 19 b. 30, 36, rue de Richelieu.

Courses Auteuil, a 13 h.

T. S. F. Soirée donnée par les mussetlistes au poste du Peltt Parisien. Festtyal Gounod (Ecole supérieure des P.T.T.) Manon (Radio-Toulouse). Hamlet Daventry expérimental). Transmission du théâtre Remcheid (Langenberg). Voir au Courrier des amateurs.

Le Président de la République a offert hier une chasse en l'honneur des membres du bureau de la Chambre des députés. M. Gaston Doumergue s'est rendu au château pour reoevolr à déjeuner ses invités.

M. Charles Cazalet, président de l'Union des sociétés de gymnastique de France, a été reçu par M. Paul Doumer, président du Sénat, et par M. HenryPaté, sous-secrétaire d'Etat à l'Education physique.

M. Paul Doumer a accepté de présider le congrès de l'Union, qui aura lieu la Sorbonne le samedi 24 novembre 2 h. 30.

M. Henry-Paté a accepté d'assister à ce congrès.

NECROLOGIE

NI. Jules Legrand, ancien député des Basses-Pvrénées, anciens sous-secrétaire d'Etat, est décédé hier à Pau. Il était âge de soixante-quinze ans.

On annonce le décès de M. Elleée Cusenier, officier de la Légion d'honneur, président honoraire du conseil d'administration de la société Cusenier. Les obsèques ont eu Ileu à Ornans. le lundi novembre, dans la plus stricte intimité.

OBSÈQUES DE M. ROBERT FIANCETTE Les obsèques de M. Robert Fiancette, fils du député et conseiller municipal de Paris, quf a succombé dans les circonstances dramatiques que l'on sait, ont eu lieu hier matin.

Elles ont donné lieu à une émouvante manifestation de sympathie à l'égard de M. et Mme Flancette, si cruellement éprouvés.

Trois chars surchargée de couronnes précédaient le corbillard qu'entouraient les élèves de l'école Duvigneau, camarades de classe du défunt.

Le deuil était conduit par M. et Mme Fiancette, qu'accompagnaient M. et Mme Emile Maseard, M. et Mme Georges Thomas et M. et Mme Gaston Pinot.

Au premier rang du cortège, qui comprenait plus de 5.000 personnes MM. Albert S a r r a u t. Paul Strauss, Bouju, Chiappe" Lemarchand, Roquère, représentants M. André Tardieu, ministre de l'Intérieur F:eurot, Autrand, Naudin, Raux, Paul-Boncour, Léon Blum, les représentants du conseil municipal et du conseil général, et nombre de personnalités du monde parlementaire. Les groupements syndicalistes et ouvriers étaient également représentés en très grand nombre. L'inhumation a eu lieu au cimetière de la Villette.

Au conseil général hier, M. Paul Fleurot, après avoir rappelé le grand deu;l qui frappe M. Fianoette et souligné l'universelle sympathie dont il jouit à l'Hôtel de Ville, où tout le monde partage son affliction, a exprimé au conseiller du Combat et à Mme Fiancette, les condoléances les plus émues de l'assemblée. Tour à tour, M. Paul Bouju, préfet de la Seine et M. Ghiappe, préfet de police, se sont, en termes pielns d'émotion, associés aux sentiments attristée qui venaient d'être exprimés et que partageait l'assemblée tout entière.

Mort de M. Jacques Tardieu On annonce la mort de M. Jacques Tardieu, maitre des requêtes honoraire au Conseil d'Etat, directeur général de la Société d'assurances « La Prévoyance officier de la Légion d'honneur.

M. Jacques Tardieu était l'oncle de M. André Tardieu, ministre de l'Intérieur. INFORMATIONS POLITIQUES Sur le rapport de M. Barillet, la commission du commerce et de l'industrie de la Chambre s'est prononcée pour l'adoption d'une proposition de loi aux termes de laquelle les femmes seront décormals éli(TlDles aux tribunaux de commerce. •*•• M. Schuman a donné a la commission de législation civile de la Chambre, lecture de la première partie de son rapport sur le projet adopté par le Sénat tendant h reprimer le délit d'espionnage et ira agissements délictueux tendant a favoriser l'es.pionnage.

**•• La commission du travail de la Chambre, réunie sous la présidence de M. Durafour, a commencé l'examen du rapport de M. Chabrun relatif au droit syndical des fonctionnaires. Elle poursuivra l'étude de la question dans une proohaine séance. sROS SUCCES

̃ MARIE-ROSE >" I

poche et jeta un pyjama dans une valise nécessaire de toilette. pêle-mêle avec son rasoir et quelque linge.

Quelques instants plus tard, Il quittait sa chambre, descendait l'escalier en courant, sur la pointe des pieds. gagnait les communs. appelait le chauffeur.

Corentin, dit-il, sortez-moi la seize chevaux-six, et faites-mol le plein d'essence et d'huile. Il faut que je sols à Paris demain matin de bonne heure. Bien, monsieur. dit le chauffeur, qui se hâta en silence.

Un quart d'heure plus tard, Slgismond sortit du château. Ctnq minutes plus tard. sa voiture s'arrêtait devant l'auberge du Chien-Noir.

Van Gotheberg ? demanda-t-ii l'aubergiste accouru au son de la trompe. Il vient de monter se coucher, fit Laubépin.

Faites-le se lever. Qu'il n'habille avec ses meilleurs vêtements Qu'il prenne un manteau. Dites-lui que je le remmène à Paris. Vite. Et dites-moi s'il doit quelque chose. je le paierai. Oui, monsieur, fit Laubépln, effrayé par la pâleur mortelle et le regard égaré de Sigismond.

Vingt minutes s'écoulèrent Enfin Van Gotheberg, à demi ivre et tout ensommeillé, apparut, Il boutonnalt avec peine son veston et portait sur le bras une vieille cape bleue.

Moate près de mol, ordonna Slgismond.

Le colosse, médusé, obéit.

As-tu ton argent ? demanda Slgismond, à mi-voix.

Non. c'est Laubépln qui me le garde, grommela Van Gotheberg. Prends-le.

Ch'est bon dit le colosse.

Il quitta la voiture, alla parlementer avec Laubépln. puis reparut en gram-

LE SALON DE L'AUTO industriel et commercial On me prie de rappeler que l'AutoSalon industriel et commercial qui obtient un si vif succès en ce moment au Grand Palais des Champs-Elysées prendra fin irrévocablement dimanche soir.

Je continue mon examen des stands les plus intéressante

ARIÈS

Ne manquez pas de visiter ce stand, car les véhicules Ariès sont les plus au point et les plus économiques.

DE DION-BOUTON

Parce que depuis près de cinquante ans la maison De Dion-Bouton n'a cessé de consacrer à l'automobilisme lndustriel une part considérable de son activité, les véhicules qui sortent des usines de Puteaux ont acquis sur le marché une « cote particulièrement favorable. Nulle marque ne posfeède en la matière un ensemble de données techniques et économiques aussi considérable.

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Notice détaillée, devis et cahier de charges spécialement étudiés sont envoyés graoieusement à toute demande adressée aux usines De Dion-Bouton à Puteaux.

Paul Manocry.

UN RECORD OU MONDE D'AVIATION qui rentre en France

Les aviateurs Paillard et Camplan, sur leur monoplan Bernard actionné par un moteur Hlspano-Sulza 600 CV., ont réussi avant-hier leur tentative contre le record du monde de vitesse avec 2.000 kilos de charge, ils ont effectué le circuit fermé le Bourget-GondrevilrB-Ie-Bourget, soit 100 kilomètres en S6 m. 55 sec. 2/5, ce qnl donne une vitesse moyenne de 2S3 km. 546. Ils ont ainsi battu non seulement la record de France, mais encore le record du monde, qui appartenait à l'Atlemand Stelndorf, sur nohrhach-RoIand tri-moteur B. M. W., avec 210 km. 107 de moyenne.

En applaudissant ce succès réconfortant de notre aviation, Il faut saluer tout particulièrement le moteur HIspano-Suiza, mo- teur déjà triomphant avec Costes et Le Brii. Puisque, c'est lui qui défend si magnifique- 1 ment nos couleurs nationales, il faut espé- rer que la société française Hispano-Sutza j va faire rentrer prochainement en France la série des autres records partis Il l'étranger.

mêlant, se hissa dans le baquet et referma la portière.

La torpédo démarra et, doucement. puis plus vite, fila dans la nuit. TROISIEME PARTIE

LA BOITE DE CUIVRE

i

Les regrets de M. «de Brandevin M. Jean de Brandevin, juge d'instruction, nourrissait l'ambition très légitime d'arriver A une haute situation dans le monde judiciaire.

Tous ses aïeux étalent de robe, et nombre d'entre eux avaient laissé dans les annales de la magistrature un souvenir parfois glorieux et souvent redouté.

On se souvenait que lors de l'arrestation du conseiller Broussel, un certain Anne-Joachim de Brandevin avait osé dire < Le droit d'abord, la loi ensuite, et puis le ro! parole juste, mais quasi sucrilèpte à cette époque. On n'avait pas oublié que, paraphrasant sans le savoir la phrase célèbre « Je rends des arrêts et non des services t. le président à mortier Othon de Brandevin, en prononçant la mercuriale de la rentrée des Etats, au Parlement due Lorraine, avait dit La. loi en faite pour servir la. Justice, et non pas pour s'humilier devant les grands t > Enfin. .Jean-Marie de Brandevin, magistrat intègre, républicain éprouvé, en refusant d'occuper à la Convention le siège d'accusateur pUblic qu'on lui offrait, au procès de Louis XVI, avait dit Ne verses paa ce snno 1 il en naitra des hydres I > Prophétiques paroles qui lui avalent valu d'être envoyé, six mois plus tard, a la guillotine, mais qui s'étalent cruellement réalisées.

M. Jean de Brandevln avait donc de

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qui tenir. Et Il attendait en rongeant un peu son frein, l'affaire retentissante qui, en le mettant hors de pair, en pleine lumière, lui ferait franchir rapt. dément les premiers échelons de la carrière juridique.

Il avait cru trouver cette affaires dant l'incendie volontaire du château d6 Morsange. Et, 1a veille au soir, entre neuf heures et demie et minuit, le brigadier Lerenaud lui avait prouvé, hie et nunc, qu'il s'était terriblement blousé. De ce chef, le magistrat avait passé une fort mauvaise nuit. La sclidité du raisonnement de Lerenand, les arguments Irréfutables, les faits constatés de visu, les preuves matérielles apportées, tout cet ensemble de mots et de choses groupés en faveur de Dick Daw. son et contre Siffismond de la Toursehes le jetaient dans une angoissante perplexité.

Arrêter Sigismond Quel scandale 1 Encore, s'il ne s'était pas acoquiné & ce Van Ootheberg, on eût pu rendre nn non-lieu en faveur de Dick, obtenir sans peine aucune le sllonee des barons de Morsange et envoyer le très indigne héritier des la Toursches se faire pen.dre ailleurs.

M. Jean de Brandevin n'en avait pas fermé l'œil, Aussi, des huit heures du matin, se présentait-il chez le procureur de la République pour lui soumettre le cas et, si Possible, recevoir de sa bouche autorisée tous apaisements.

Mais le procureur, mis. lui aussi, de fort mauvaise humeur par ce!! événements, n'avait guère consolé son subordonné, bien au contraire, et s'était borné à l'engager agir, tontes et quantes tols, avec un peu moins de légèreté >.

Le pauvre juge d'instruction s'en était revenu à son cabinet l'oreille basse.

(A 8uivre,)


UNE GRAVE DEPOSITION DE L'OFFICIER EN SECOND DU PAQUEBOT' VESTRIS" Il reconnaît qu'au moment du naufrage le commandement manqua de fermeté et de décision, et

l'équipage de discipline

New-York, 21 novembre.

(DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER) Pour la seconde fois, M. Frank Johnson, second officier du Vestris, a été aujourd'hui appelé en témoignage devant l'attorney fédéral TutUe, assisté des experts navals Jessup et Mac Conkey. Pressé de questions par l'officier Jessup sur les scènes qui se déroulèrent à bord peu avant l'engloutissement, Johnson avoua qu'il y eut un manque complet de direction et de méthode de la part du commandement et un manque de discipline de la part de l'équipage. Parlant voix basse, parfois à peine discernable, H fut obligé d'admettre successivement que personne n'avait jamais donné 1 ordre d'embarquer dans des chaloupes, que la plupart des officiers subalternes n'étaient pas à leurs postes et qu'il y eut des cas de refus d'obéissance, en présence même du capitaine.

Sa déposition, la plus importante de certes qui furent faites jusqu'à maintenant, met hors da doute que le capitaine Carey montra une complète iiidiioidion air moment où son autorité devait s'imposer à tous, et que c'est à cette carence du commandement qu'est dû l'échec partiel des opérations d'évacuation. Il ressort du témoignage de Johnson et des autres officiers qu'il y aurait eu suffisamment de temps pour embarque tous les occupants du Vestris si une valonté unique et un plan méthodique avaient présidé à la manoeuvre.

D'accord avec les officiers Jeesup et Mac Conkey, l'attorney Tuttle va dorénavant concentrer son enquête sur les trois points suivants i° pour quelle raison exacte le Vestris coula 2° pourquoi un tiers des occupants périrent-ils; 3° comment expliquer le retard dans J'envoi du message de détresse.

Le capitaine Bambra, ex-commandant au Vestris, sera appelé en témoignage. Il est probable. enfin, que la commission demandera à visiter un navire de la compagnie Lamport et Holt, du même type que le Vestris. E. B.

LE DÉSARMEMENT NAVAL Déclarations de sons-secrétaire d'État

au Foreign Of6ce

Londres. 21 nov. (dep. Petit Parisien.) Le sous-secrétaire d'Etat au Foreign Office a fait connaître aux Communes que la réponse aux notes respectives des Etats-Unis et du Japon touchant la limitation des armements navals serait expédiée prochainement et publiée dés que leur remise aux gouvernements intéressés en aurait été faite.

D'autre parut, interrogé sur la question 'de savoir si. préalablement aux négociations sur le compromis naval anglofrançais, la politique du gouvernement anglais avait reçu' l'approbation du comité de défense impériale, le sous-secrétaire d'Etat au Foreigm Office a répondu par la négative.

Il aajouté que la politique en question avait été d'abord révélée à un comité spécial du cabinet, auquel avaient été adjoints, au titre de conseillère, des représentante des services intéressés, et que, par suite, ladite politique avait reçu l'approbation du cabinet tout entier.

M. Coolidge se plaint

que ses déclarations

soient souvent mal interprétées par certains journaux d'Europe Washington, 21 novembre (dép. liavas.) Au cours d'une des conférences de Journalistes qui ont lieu deux fois par semaine à la Maison Blanche, les milieux of&ciels ont profité aujourd'hui de la présence de correspondants anglais pour souligner que les vues exprimées officieusement par le président Coolidge à ces conférences donnent lieu parfois à des interprétations erronées à l'étranger, alors que c'est rarement le cas en Amérique. M. Coolidge croit avoir résolu la difficulté en préparant toute déclaration portant sur la politique étrangère sufflsamment longtemps à l'avance pour que ses paroles puissent être transmises en Europe sous la même forme qu'aux Etats-L'nis.

On sait qu'à défaut de communication écrite, il est de rigueur de n'attribuer directement au président des EtatsUnis aucune déclaration faite au cours de ces conférences.

L'INAUGURATION

DE LA CASAVELASQUEZ LE SALUT DE M. DOUMERGUE

ET LA RÉPONSE D'ALPHONSE XIII A l'occasion de l'inauguration de la casa Velasquez à Madrid, le Président de la République a adressé le télégramme suivant à S. M. Alphonse XIII

Il m'est particulièrement agréable, à l'occasion de l'inauguration à laquelle daigne, aujourd'hui, présider Votre Majesté, de Lui adresser mon plus cordial salut et celui de la France. En offrant gracieusement les terrains de la Moncloa, où a été édifiée la. casa Vclasques, Votre Majesté a montré tout le bienveillant intérêt qu'Elle accorde à une oeuvre d'une si haute portée pour l'élite intellectuelle de nos deux pays.

Je forme le voeu que cette maison, dressée decant un si magnifique horizon, qu'emplit le souvenir du grand Velasquez, reste le symbole d'une indélébile union d'esprit et de coeur entre la France et l'Espagne, union féconde pour la paix et pour le progrès de la culture humaine. Le roi d'Espagne a répondu en ces termes à M. Gaston Doumergue Le charmant message que Votre Excellence m'adresse, si empreint d'affectueuse sympathie pour t'Espace, m'a touché profondément. J'ai été vraiment heureux, en facilitant la fondation de la casa Vetasquez, que j'ai eu L'honneur d'inaugurer ce matin, d'offrir un nouveau témoignage d'affection sincère à la noble nation française. Je suis convaincu que la uauvelle école de hautes études hispaniques contribuera de la /açon la plus efficace au développement des rapports intellectuels et au raffermissement des liens d'amitié fraternelle entre deua nations unies par les idéals communs de paix, de culture et de progrès.

Le "splendide isolement" de !'Argentine Buenos-Ayres, 21 nov. (dép. Havas.) Le gouvernement argentin ne participera pa3 à la prochaine conférence panaméricaipe sur l'arbitrage et la conciliatior qui se tiendra à Washington.

Les étudiants hindous se mettent en grèvt pour protester contre la mission Simon: Londrra, 21 nov. (dép. Petit Parisien.) Le correspondant de l'Exchange Tele graph à Bomboy rapporte que, poui manifester leur approbation du boycot, tage de la commission Simons, plusieun milliers d'étudiants ont fait grève au jourd'hui. A Delhi, ils ont parcouru ]ce rues de la vine, oÙ, conformément ai Hartal (jour de deuiJ) décrété par le! auteurs du boycottage, les boutique, eont restées fermées, à l'occasion di i'jrrrvée des membres de la commission

Mystérieux

empoisonnements dans l'Hérault Deux personnes sont mortes et d'autres furent malades

UNE AUTOPSIE EST ORDONNÉE Montpellier, 21 nov. (d. Petit Parisien.) Le village de Mantblanc, situé à une trentaine de kilomètres de Béziers, est sous le coup d'une vive émotion causée par de mystérieuses affaires d'empoisonnement. Il y a quelques mois, deux hommes mouraient dans des circonstances troublantes et cent huit personnes ayant assisté à un repas de noce étaient dangereusement intoxiquées, ainsi que le Petit Parisien le relata en son temps. La cause de ces deux décès et de cette intoxication parut accidentelle à l'époque. Mais voici qu'aujourd'hui on parle de crimes.

Une noce tragique

'Le i juillet dernier, M. Etienne Fourcail, propriétaire, mariait sa fllle Juliette avec M. Albert Prunet, de Bassan. La famille Fourcail, très ancienne dans le pays. jouit de la considération unanime. Cent huit invités, tant do Basean. pays du fiancé, que de Montblanc, étaient réunis pour fêter les nouveaux époux. A 12 heures, un banquet fut servi par un traiteur de Béziers. Parmi les convives se trouvait LMlle Deroys, fllle d'un médecin, à laquelle on demanda da réciter un compliment. La fillette, fort émue, dut se retirer un instant de table. C est en son absence que les convives mangèrent des bouchées à la reine qui comportent, on le sait, des champignons. Vers 18 heures, les invités commencèrent à se plaindre d'un malaise Mlla Derovs seule no fut pas incommodée. On fit chercher le médecin qui, tout de suite, se rendit compte de l'état grave des invités. Des contre-poisons énergiques furent administrés aux malades, qui furent sauvés.

Certains accusèrent les champignons de cette intoxication. D'autres convives crurent que les foies de volailles en étaient la cause. On rapprocha ces accidents de ceux qui avaient marqué un autre mariage qui avait eu lieu le même jour à Pomerols et où la table avait été servie par le même traiteur. Plusieurs personnes de cette noce furent égaleLe pyralion

D'après certains dires, une main critninelle aurait profité d'un moment d'inattention du personnel pour jeter dans les plats du pyralion, violent poison dont les cultivateurs se servent pour sulfater leurs vignes et qui est à base d'arsenic. Dix jours après la noce, M. Gargamt, soixante-cinq ans, et sa famille étaient Brusquement indisposés après avoir pris du café. Les soins du médecin sauvèrent les deux enfants. mais M. Gargarot mourut dans la nuit. Le permis d'inhumer fut refusé. Le parquet de Béziers, saisi de l'affaire, ordonna l'autopsie et le docteur Cavaille, médecin légiste, se rendit à Montnlanc pour prélever les viscères aux flns d'analyse. Le praticien conclut à une mort criminelle.

Une autre mort suspecte remontant à dix-huit mois est celle de M. Charles Nègre, soixante-quinze ans. cultivateur. Ayant pris du café après son repas de midi il ressentit de vives douleurs dans la. tête et dut s'aliter. Il mourut dans la nuit. Trouvant cette mort suspecte, le médecin' avisa l'adjoint au maire. Néanmoins, l'inhumation eut lieu.

Le parquet de Béziers va faire procéder à l'exhumation du corps de M. Nègre. Bien que la mort remonte à dixhuit moins, on espère retrouver trace du poison. On se demande à quel mobile aurait obéi le coupable encore inconnu. Trois cambrioleurs arrêtés

alors qu'ils étaient en quête d' un coup quai des Orfèvres

1!s avouent 80 vok et 300.000 francs de béaéfices »

Les inspecteurs Bodin et Nezondet, de la police judiciaire, ont arrêté, hier matin trois malfaiteurs, Lucien Boissier, trente ans, Valentin Marteau, vingt-deux ans; demeurant 19, rue Feydeau, et Camille Bernard, trente-cinq ans, 12, rue Commines, qui, devant M. Nicolle, commissaire à la police judiciaire, ont avoué avoir commis quelque quatre-vingts cambriolages dans les V', VI», XII' et XIV arrondissements. Ce tableau leur a rapporté dans les 300.000 francs En juin, c'est eux qui, opérant chez M. Larp'n, rue Dubrinfaut, avaient emporté 20.000 francs de titres. Chez M. Boiret, 15, rue des Feuillantines, ils s'étaient chargés d'un coffre-fort pesant une cinquantaine de kilos, coffre qu'ils cédèrent à un receleur. Paul Defoite, mécanicien, quai Gallieni, à Champigny. Chez ce dernier, M. Nicolle découvrlt une grande quantité d'objets volés. Il fut également arrêté.

Les trois voleum ont déjà été condamnés. Marteau était, au surplus, recherché pour désertion et Bernard était un a interdit de séjour ».

On les soupçonne d'être les auteurs de bien d'autres cambriolages commis en banlieue.

Mgr Gînisty, évêque de Verdun est parti pour les États-Unis Le Havre, 21 novembre (dép. Havas.) Mgr Ginisty, évêque de Verdun, répondant à l'invitation du a Verdun ni£morial committee », fondé à New-York par M. Cornélius Wikersham, s'est embarqué cet après-midi sur le paquebot Paris, accompagné du commandant Nocton, mutilé de guerre, chevalier de la Légion d'honneur, conseiller municipal de Verdun.

Le but du comité new-yorfcais. en m'invitant, a dit Mgr Ginisty, est d'intensifier sa propagande en faveur de l'œuvre française de Douaumont. Le prélat a rappelé que le comité a déjà pu envoyer un demi-million, sans compter une participation de 25.000 dollars des chevalier de Colomb. Mgr Ginisty a ajouté que des réceptions sont prévues dans les grandes villes américaines, notamment Il New-York, Philadelphie, Boston, Chicago. Mgr Ginisty et M. Nocton, qui assisteront à New-York à la présentation du film Verdun, visions d'histoire, seront de retour en France pour Noël.

LE MARI D'UNE NOURRICE

AVAIT FAIT MOURIR UN ENFANT CONFIÉ A SA FEMME

II est condamné à trois ans de prison Chartres, 21 nov. (dép. Petit Parisien.) « Accusé d'avoir, par ses mauvais traitements, causé la mort d'un enfant de trois ans, le petit Gérard Sellier, placé cn nourrice chez sa femme, le nommé Eugène Ménager, facteur des postes à lit Croix-du-Perche, a comparu, hier. devant le tribunal d'Eure-et-Loir, qui l'a condamné à trois ans de prison et cin? quante francs d'amende.

Le père de la victime, mécanicien, rue i La Fontaine, à Paris, a obtenu 5.000 francs de dommages-intérêt;. S Entre Audierne et l'Ile de Sein, lo e I matelot Jean ccmniandre tombe du vapeur 1. 1 Zénith et se noie.

A PANTIN, UN OUVRIER SOUDEUR TUE SA BELLE-MERE

DE DEUX BALLES DE REVOLVER

Celle ci, prétend il, refusait d'intervenir auprès de sa fille pour lui faire reintégrer le domicile conjugal

En avril 1926, sitôt revenu du régiment, Louis Delaplace, un jeune ouvrier soudeur', épousait Mlle Suzanne Massy, alors âgée de vingt-deux ans. dont la famille habitait 7. rue Danton, au Pré-SaintGervais. Les jeunes époux allèrent abri-

ter leur lune de miel dans un petit logement. 4, rue Méhul à Pantin, dans l'immeuble où habitait déjà, au troisième étage, la sœur de Delaplace.

Un an après, la jeune femme mettait au monde la petite Lili, âgée par conséquent, aujourd'hui, de dix-neuf mois. La jeune maman était sténn-dactylo dans un grand magasin de la rive droite. Quant à Delaplace, de plus en plus épris de sa femme et adorant sa fillette, il œuvrait sans relàche, cherchant à apporter dans son foyer tout le bien-être désirable.

Depuis quelque temps, pourtant, le soudeur était devenu taciturne, inquiet, tandis que la jeune femme se plaignait amèrement de l'irascihilité de son mari. S'il faut en croire Delaplace, Suzanne, fort coquette, lui faisait trop souvent sentir qu'elle était d'une condition audessus de la sienne. Elle parlait avec une chaleur excessive de certains jeunes gens employée dans les bureaux des magasins où elle travaillait.

Ces changements dans la conduite de la jeune femme furent-ils réels ou bien n'existèrent-ils que dans l'imagination de Louis Delaplace hanté par la jalousie? Quoi qu'il en soit, les choses empirèrent au point que, lundi soir, en rentrant de son travail, le soudeur trouva'vide le petit logement qui avait abrité ses quelques mois de bonheur. Une lettre sèche de sa femme était sur la table Je suis partie je retourne chez mes parents. »

Elle était partie, emportant l'enfant. Ce départ cruel devait. susciter un drame.

Je veux qu'elle revienne, déclara louis à ses parents je ne peux vivre sans elle ni sans ma petite fille. La sœur de Delaplace, alors, consentit à faire se rencontrer son frère chez elle, avec Mme Massy, !a mère de Suzanne. A midi. la belle-mère du soudeur, venant du Pré-Saint-Gervais, arriva rue Méhul. Delaplace n'eut qu'à gravir les deux étages séparant son logement de celui de sa sœur.

Où est Suzanne ? dit-il à sa bellemère. Conseillez-lui de revenir, car je ne puis vivre sans elle, je l'aime trop. Mme Massy, loin d'imaginer que sa réponse allait exaspérer son gendre au point de lui faire perdre le contrôle de ses actes, lui répondit

Croyez-vous que nous ayons ce pouvoir sur elle Elle ne fera que ce qu'elle voudra.

Louis Delaplace comprit-il que s'écroulait à cet instant le faible espoir qu'il avait de voir sa femme lui revenir ? Toujours est-il qu'il sortit un revolver de sa poche, dont, de la crosse, il frappa violemment la table. Le coup partit, la balle allant se perdre dans le plafond. Il n'est pas prouvé qu'à cet instant le soudeur ait voulu faire usage de son arme. Mais, terrorisées par son geste, les deux femmes s'échappèrent en criant, et, gagnant l'escalier, le descendirent précipitamment.

C'est alors que le soudeur, resté seul et constatant l'échec de sa tentative, vit rouge-Il s'élança derrière sa sœur et sa belle-mère et fit feu à quatre reprises. Sa sœur ne fut pas atteinte. Mais sa belle-mère reçut deux des projectiles et 6'affaieea. Elle succomba, peu après, dans la loge de la concierge, Mme Fort, où elle avait été transportée.

Pendant ce temps, le meurtrier, complètement hébété, se constituait prisonnier entre les mains de l'agent Début. Interrogé par M. Luce, commissaire, qu'assistait son secrétaire. M. /Julien, Louis Delaplace déclara que sa première intention avait été de se suicider. Sur lui, on a retrouvé des lettres adressées à sa femme, aux parenfe de celle-ci et à ses parents à lui, dans lesquelles il annonçait, en effet, son intention de mettre fin à ses .jours.

« Je ne demande qu'une chose, y ditil, c'est que ma petite fille vienne jeter un bouquet de violettes sur ma tombe. » Il a été établi que le soudeur avait acheté son revolver il y a peu de jours.Etalt-ce pour se suicider ? Sans doute. DEUX AUTOS SE TAMPONNENT A 80 KILOMETRES A L'HEURE Sept personnel sont blessées, dont trois jeunes filles très grièvement

Versailles, 21 nov. (dép. Petit Parisien.) Au carrefour des routes de Mantes et de Saint-Germain, sur le territoire de RoquencQurt (Seine-et-Oise). deux automobiles, allant l'une sur Paris, l'autre sur Mantes, se sont rencontrées, la nuit dernière, à une allure de 80 kilomètres à J'heure. Dans la voiture pilotée par M. Pou Aimé, garagiste à Vire, se trouvaient trois personnes habitant cette vilie M. Joseph Chatel, entrepreneur de transports, et les frères Jean et François Blantecôte. Tous quatre grièvement t>lessé3. ont été transportés à l'hôpital de Boulogne-sur-Soine,

La seconde automobile était conduite par M. Hector Serain, rentier, 6, avenue de Picardie, à Versailles. Y avaient pris place, trois jeunes filles: Mlles Derible, domiciliée 45, rue de Montreuil; Merl, habitant au n° 65 de la même rue, et Aliain, domiciliée 8, rue d'Artois, toutes à Versailles. Elles ont été admises dans un état inquiétant à l'hôpital civil. Mlle Derible a le crâne fracturé. Elle est dans le coma.

Recherché pour meurtre à Reims un manœuvre est arrêté dans l'Orne Alençon, 21 novembre (dép. Petit Paris.) Recherché par le parquet de Reims pour homicide volontaire et vol, le manœuvre François Olivero, trente-cinq ans, a été trouvé couché dans un grenier à foin, à la Ferté-Macé. Il a été arrêté et conduit à la prison d'Argentan en attendant d'être transféré à Heims. Disparition d'une jeune femme

Mercredi dernier, 14 coursant, M. An. toine Heyjal. rentrant chez lui, 22, rue des Bergers, constata que sa femme, AnneMargticrite, née Reynié, vingt-deux ans, avait quitté le domicile conjurai.

La Jeune femme. dont le caractère était devenu sombre deputs quelque temps, n'a pas donné de sa, nouvelles et les recherches sont restées vaines. On craint qu'elle n'ait attenté à ses Jours.

Mesurant environ 1 m. 60, mince et

châtain foncé, la dis-

1 parue était vêtue dune robe de drap bleu marine, d'un manteau de satin tête de npfrrc, coIfTée d'un chapeau cloche noir et chaussée de souliers beiges.

Le carreleur Georges Pape accusé d'avoir tué sa mère

est acquitte Au cours des débats. le procureur de la République avait déclaré abandonner l'accusation

Le procès du carreleur Georges Pape, accusé d'avoir étranglé sa vieille mère, Mme Lacroix, s'est brusquement terminé sur un coup de théâtre, l'abandon de l'accusation, suivi d'un acquitte- ment.

Pape n'avait pas, d'ailleurs, cessé de protester de son innocence.

Le 19 décembre, il avait accompagné son beau-père dans une clinique, où Lacroix devait se faire soigner d'une blessure à la main. En rentrant rue de Flandre, les deux hommes trouvent fermée la porte du

(muant, ivauatence.i croyant Mme La- $sur, M8 Lindon croix sortie.

Tout à coup, explique Pape, La- croix, qui était entré dans la chambre de ma mère, en revient bouleversé, criant Regarde ce qu'elle nous a fait En effet, ma mère s'était pendue. Je la portai sur mon lit et j'essayai de pratiquer la respiration artificielle. L'enquête avait révélé certains détails qui pouvaient permettre de croire à la culpabilité de Pape. Au cours des débats, les preuves supposées, peu à peu, se réduisirent à de vagues présomptions. Et, dans ces conditions, l'avocat gé- néral Gazier n'hésita pas.

Une solution toute naturelle, désnrmais, s'impose à nos esprits s'écrie-t-il. Le ministère public. plus que tout autre doit redouter les erreurs judiciaires. » L'affaire qui nous occupe a suivi son cours normal ie parquet a estimé et il a eu raison que des charges suffsantes existaient pour renvoyer cet homme devant vous. Mais les débats m'ont danné la conviction que la preuve de la culpabilité de Pape n'avait pas été apportée. Juridiquement, cela me suffit. J'abandonne l'accusation.

M* Lindon ne pouvait que prendre acte de ce désistement. Il le fit en quelques mots de remerciement. Et, après avoir pris tout juste le temps de monter dans la chambre de ses délibérations et d'en redescendre, le jury rapporta le verdict d'acquittement.

L'EXPLOSION DE VINCENNES ON A RETROUVÉ INTACTES DIX CAISSES DE CARTOUCHES Après avoir, dès mardi soir, commencé son enquête sur les causes de l'explosion qui se produisit à la cartoucherie de Vincennes, M. Fouquet. commissaire de police de cette localité, a poursuivi ses investigations dès hier matin, en collaboration avec l'autorité militaire. Le magistrat a établi que trente caisses sur quarante ont fait explosion. Ces caisses, de 70 centimètres de long sur 30 de large et 20 de hauteur, contenaient chacune capsules et provenaient de l'Ecole de pyrotechnie de Bourges. Ces caisses n'ayant pas été détruites, il semble que l'explosion se soit produite, non sur le chariot, mais dans le petit magasin de bois où, les ouvriers' déposaient leur chargement.

Les enquêteurs ont retrouvé, çà. et là de nombreux déchets de chair humaine. Le débris le plus important est une main qui, grâce à son alliance, a été reconnue pour être celle de M. Doucet.

L'emplacement où s'est produit l'accident est situé à peine à quelques mètres d'une poudrière souterraine protégée par un mur de terre d'une épaisseur de trois mètres. A droite se trouva l'atelier de tamisage des poudres. A gauche, dans un immense hangar, la déflagratian a produit une grande brèche par laquelle un arbre, arraché de son emplacement, a pu passer pour venir se loger dans le fond de la pièce. M. Kling, chef du laboratoire municipal, va examiner les débris recueillis sur place et provenant de l'explosion, ainsi que les dix caisses intactes, qui ont été mises sous scellés.

Il va s'efforcer d'établir si la chute d'une caisse d'amorces, et par suite la percussion de certaines d'entre elles, a pu provoquer l'explosion.

Le courage d'un pompier

Le colonel Aopich. directeur de la cartoucherie, a signale la courageuse conduite des pompiers de l'établissement, et notamment de M. Marcel Bouland, vmgt-sept ane, ouvrier à la cartoucherie et pompier au Perreux, où il habite rue de Rosny.

Il s'élança le premier au point où 1 venait de se produire l'explosion et, malgré l'épaisse fumée et les flammes provenant du commencement d'incendie il mit une lance en batterie. C'est grâce à son intervention et à celle des autres pompiers qu'une explosion beaucoup plus grave put être évitée.

Au conseil général

Au début de la séance qu'il présidait, M Paul Fleurot a évoqué l'accident qul s'était produit la veille à la cartoucherie de Vincennes et salué la mémoire des ouvriers qui ont péri dans la catastrophe Il a adressé à leurs familles et t aux Dlessés les sympathies du conseil 1 général. « Le bureau de t'assemblée. a-t-il ajouté, est prêt à collaborer avec le département de la Guerre pour venir en aide aux familles frappées. » NI: Doussain a tait connaître, à ce sujet, que l'Etat a décidé de prendre à sa charge tous les secours qu'il y aurs t lieu d'accorder.

Dans une usine de Liancourt un incendie fait 2 millions de dégâts Ciermont-d'Oise, 21 nov. (dép. Petit Par.) Un incendie s'est déclaré, la nuit der- nière, dans les bâtiments de la société Austin, fabrique de tracteurs agricoles et industriels, sise rue Victor-Hugo, a Liancourt,

Le concierge de l'établissement, M, Alfred Maison, avait fait sa ronde habituelle vers 10 heures. A minuit juste, un ouvrier, M. Lecomte Toussaint, occupé à réparer la machine électrique, avait traversé les magasins. Ni l'an ni l'autre n'avaient rien remarqué d'anormal. Or, à minuit 5, des flammes jaillissaient de ces magasins et, en quelques instants tout le bâtiment long de 50 mètres, large de 8, et attenant sur le côté gauche aux ateliers était en fey.

Le dévouemen: des pompiers de Liancourt, Mognoviilo, Rantigny, Bailleval; Neuilly-sous-Clermont et de l'usine Albarot. accourus au premier signal, ne put maîtriser le fléan. Leurs efforts durent se borner à préserver les ateliers. Ils y parvinrent. vers 4 heures du matin, et, grâce à cela, les quatre cents ouvriers de. l'usine continueront demain à travailler. Le bâtiment incendié contenait une importante quantité de pièces détachées et de fabrication.

Au premier étage se trouvaient les anciens bureaux de dessin où étaient accumulés de nombreux ptans et documents dont la valeur est inestimable.

C'est donc approximativement que lo chiffre Ce 2 millions a été donné pour apprécier le total des dégâts.

L'enquête ouverte par la gendarmerie do Liancourt n'a pu établir la cause du sinistre,

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

LA CAPELLE. Sur la route nationale Pai--Maubeuire, l'auto de M. Chabeau, culivateur à Versigny, a été tamponnée par auto de M. Petit, négociant en bestiaux il a Capelle. Sous le choc, le premie- véhlule se retourna. Par un hasard mlracueux, aucune des quatre personnes qui s'y pouvaient n'a été blessé.

EURE-ET-LOIR

BAILLEAU-LE-PIK. Un motocycliste, layniond Cholseau, demeurant Il Brou, a 'eÙversé un piéton, M. Elle Dechepy, ouvrier grlcole. Lui-même a fait une chute et 'est blessé légèrement.

CHARTRES. Sur la route d'IHIers, une utomobtle a renversé M. François Bouuet, trente-neuf ans, Journalier, demeurant venue de la République, à Lüisant. Blessé ux jambes, Il a été admis Il l'hôpital. On a découvert, sous la chaussée, en 'ace du nouvel hôtel des postes, l'existence l'une cavité assez profonde. Il s'agit produ fossé des ancienne: rortiflca- 1 .ions.

OISE F

Fn de grève

La maison Choquet. 2 Liancourt, ayant iccordé huit pour cent de majoration de! salalres aux ouvrières piqueuses sur les fin^t qu'elles demandaient, tout le persontel a repris le travail hier mattn. La grève a donc duré exactement quarante-huit heures. ANGY. M. André Fournier, soixante ans, :liiirretier au service de Mme Allaert, cultivatrice a Bury, a été renversé par une tuto et griévement blessé au genou. COMPIEQME. En voulaatt doubler un Cy:Iine, deux motocyclistes, MM. Henri BaLin et Gaston Ponthier, sont allés se jeter eontre une voiture attelée, conduite par M. de Talhouet. Grièvement blessés, tous feux ont été admis à l'hôpital Saint-Joseph. LE DELUGE. Furieux de ce que Mme Haug-uenarte, débitante, refusait de tut servir i boire, l'Algérien Salah Direche, trente-huit bis, la menaça (le son couteau, puis brisa Ie, vitres de "l'établissement. On appela les rendormes qui le maîtrisèrent. MOUY. La vente d'insignes, faite dans le { •.anton en faveur de l'Union des mutilés et anciens combattants de l'OIse a produit fr. 60.

H0TON. Des mariniers ont repêché, à Apilly, dans le canal latéral à l'Oise, le calavre de M. Joseph Fnmé, homme d'équipe 1 la gare, disparu dans les circonstances jue nous avons relatées. Il s'agit d'un acetSAINT-WAAST-LES-MELLO. Un Incendie a détruit une baraque appartenant aux établissement Civet- Pommier et habitée par deux ouvriers, les Polonais Laszezyk et Ziaga. Les défrats atteignent 30.000 francs.

SERIFOKTAIKE. Sur la route de Gisors, un piéton, M. Gustave Nlel, couvreur k Eragrny, a été renversé par une auto et lég'erement blessé Il la jambe.

WARLUIS. Pendant une absence des époux Georges Boulange, marchands de primeurs, un inconnu s'est Introduit chez eux et a dérobé, dans une armoire, un portefeuille contenant 1.500 francs.

SEINE

Un cycliste mortellement blets* par m camion Rue du Landy, à Saint-Denis, un cycliste, M. Marcel Noharro, trente ans, 13, rue du Port, à Aubervilliers, a été renversé par un camion conduit par le chauffeur Pierre Bouquet, Il, avenue du Pont-de-Salnt-Ouen, à Gennevilliers. Relevé avec de graves blessures, Il a succombé Il l'hôpital.

Crève daw me fabrique d'automobiles Deux cent cinquante ouvriers employés dans une fabrique d'automobiles de la rue Armand-Sllvestre, A Courbevoie, se sont mis en grève. Ils réclament une augmentation de salaire de 0 fr. 25 par heure. On ne signale aucun incident.

Un < carambouilleor » déménageait

du marchandises mises tout scellés

Ainsi que nous l'avons relaté Il y a quelque temps, une bande de « carambouUleurs russes avait été arrêtée, a Bafirnclet, Il le suite d'escroqueries atteignant plusteurs millions.

L'un d'eu.t, Anatole Mlcbelson, 2, rue L«honst, Il Paris, directeur d'un garage appartenant Il la bande et situé 93, rue AlexisLepère, à Montreuil, avait été mis en liberté provisoire.

Hier matin, Michelson se rendit au garage. Après avoir fait sauter les scellés qu'avait apposas le commissaire de police. M. Brunel, il se mit en devoir de déménager le mobilier et certaines marchandises entrePosés dans le garage. Prévenu téilé-plionlquement, M. Brunel, commissaire de la circonscription, se rendit aussitôt au garage et arrêta Michelson qui a repris le chemin du dépôt.

IVRY. Un sergent du 2t« d'infanterie coloniale, Edouard Paul, s'est suicidé en se tirant une balle de mousqueton dans la tête. On ignore les motifs de son acte de désespoir.

SAINT-OtJEN. Dans un accès de neurasthénie, M. Jean-André Barré, vingt et un ans dessinateur, s'est pendu dans la chambre d'hôtel qu'il occupait, 8, boulevard JeanJaurès.

SEINE-ET-MARNE

LAGNY. Passant, hier soir, rue du Chemin-de-Fer, un ouvrier tchécoslovaque. Rodolphe Kovac. vingt-deux ans, s'arrêta devant un magasin de chaussures et d'un coup de pied brlsa la glace. Des passants maîtrisèrent difl'icilement l'énergumène qui fut remis entre les mains de la gendarmerie. Il n'a pu expliquer à quel mobile il avait obéi.

LONGUEVILLE. La gendarmerie a arrêté deux Algériens, Tabball Abd el Kader, vingtneuf ans ,et Joseph Bouya, trente-trois ans, qui ont nialmené divers consommateurs dans le débit Fournier.

HAHGIS. A la sortie d'un café, au îiameau de Psauve, le Polonais Romanovskl, trente-six ans. a frappé d'un coup de couteau son compatriote Radzeiervioz. Il a été arrêté.

SEINE-ET-OISE

Cambriolage d'une villa à Vaucresson

A Vaucresson, des malfaiteurs, en passant pa"? un soupirail, ont pénétré dans la ville de Mme Blanche Lévy, 59 bis, avenue de la Celle-Saint-Cloud. Ils ont visité toutes les pièces, fracturé tous les meubles, et ont pris des œuvres d'art, de l'argenterie et des bijoux, notamment une bague en or garnie de trois diamants, une barrette enrichie de perles fines, une montre-bracelet avec brillants et une montre en or.

Le montant total du butin enlevé par les malfaiteurs dépasse francs. La première brigade mobile a été chargée de l'enquête.

Tombée du troisième étage

En nettoyant ses carreaux, Mme veuve Marie Pompéain, soixanxte et onze ans, rentière, 10, rue Saint-Honoré. à Versailles, est tombée de la fenêtre de son appartement situé au troisième étage et s'est tuée. Un père indigne

Devant les assises de Seine-et-Oise comparaissait hier un triste sire, Pierre Lenoir, ouvrler boulanger à Ruell, accusé d'attentat aux mœurs. Ivrogne et brutal, Lenoir maltraitait sa femme et se livrait sur sa fille, actuellement âgée de quatorze ans. Il d'odieusos violences. Un jour qu'il avait porté à son Infortunée compagne des coups de Sisonnier, celle-ci s'était réfugiée chez des voisins, à qui elle avait livré son douloureux secret.

Prévenue, la police avait aussitôt arrêté le boulanger. Pierre Lenoir, qui a tout avoué, était assisté Il l'audience de M» Fourcault de Pavent. Il a été condamné N cinq ans de réclusion et dix ans d'interdiction de séjour. Le tribunal a, en outre, prononcé la déchéance paternelle.

Élections au conseil d'arrondissement

Des élections partielles au conseil d'arrondtssement auront lieu le 2 décembre dans les cantons de Limay, Marines, Sèvres et Versailles.

Un voleur de quatorze au

Un jeune garçon de quatorze ans, Paul Dassonvilé, avait quitté, il y a huit jours, le domicile paternel, rue Paul-Bert, A Houilles, en emportant la bicyclette de sa sœur. Surpris, hier, à Bezons, volant Il un étalage, il a été mis Il la disposition du parquet de Versailles.

ARGENTEUIL. Un vol de linge et d'objets mobiliers s'élevant à 3.000 francs en%trou a été commis dans un pavillon situé chemin de Genette et appartenant Il M. nevaux, électricien, 188, rue «|e la Rocuette, à Paris.

VERSAILLES. Dans une crise de neurasthénie, une Institutrice retraitée, Mme Eugénie nurlrz, soixante-huit ans, s'est jetée d'une fenêtre du quatrième étage de l'immeuble où elle habitait, 9 />i>, rue de Mont- bauron. La mor; a été immédiate.

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LES CONTES DU PETIT PARISIEN 1 L'a R P H E L I N Jacqoes'cONSTANT

Foulant de ses souliers à talons plats le tapis somptueux des feuilles mortes, Mme Avaret se promène dans son jardin.

La lumière fluide et pâle d'un dimanche d'automne baigne harmonieusement ce fin visage où les ans et les chagrins ont buriné leurs rides.

Tout en coupant de-ci de-là des branches folles, elle surveille Rodolphe Bertin. son petit-fils. Ce personnage qui aura six ans à la Saint-Michel lui procure en effet des soucis particuliers.

Tous les voisins de la villa Charlotte le connaissent bien. € Il est dur disent-ils.

Ils ne savent pas exactement parce que la grand'mère a honte de l'avouer à quel point il est diabolique.

Il a fallu lui retirer des mains Misti, l'angora qu'il essayait de noyer dans la lessiveuse. L'autre jour, il s'est avisé de pénétrer chez M. Lihoreau et il a étranglé l'un après l'autre les onze poussins d'une même couvée. Quand Mme Avaret le gronde, il lui crie d'un ton de menace: Va dans le trou, vilaine même! Toute sa tendresse, sans emploi depuis qu'elle a vu mourir l'un après l'autre son mari, sa fille unique, son gendre, la pauvre femme voudrait la reporter sur l'orphelin, mais le caractère de cet enfant la déçoit et l'inquiète. Elle l'examine aujourd'hui, tandis qu'il joue au soleil, et ee demande à quel ancêtre il a pu emprunter cette tignasse rousse, ces petits yeux de rat gris, ces narines retroussées. Clarisse, sa mère, ne possédait-elle pas un hez grec sous des iris d'azur et des chçveux châtains ?

Quant à Léon Bertin, il était noir et frisé avec des prunelles de velours sombre. Mme Avaret voudrait creuser le problème elle envisagerait une solution f"~ile et qui ne serait pas à l'honneur de Clarisse. Peut-être celle-ci n'a-t-elle pas été une épouse modèle; peut-être a-t-clïe donné aux dancings, aux lieux de plaisir un temps qu'elle eût plus salement consacré à son intérieur. Mais son mari est-il indemne de tout reproche, lui qui n'a guère cherché à gagner la tendresse de sa femme et qui cueillait les coeurs féminins comme des fruits mûrs ?

Maintenant que tous deux sont disparus prématurément, la vieille femme ne veut plus connaître que leurs qualités. Elle évoque le doux visage de Clarisse, le charmant sourire de ses dents nacrées; elle revoit la face énergique de son gendre. son élégance sous le smoking, sa grâce svelte et un peu maniérée. Souvenirs, hélas] ce ne sont plus que des souvenirs! Kfme Avaret soupire et, pour changer ses idées, elle va donner de la verdure à ses volailles, tandis que Rodolphe, à cheval sur une chaise de fer qui représente pour sa jeune imagination le capot d'un autobus, joue au chauffeur, imitant successivement le ronflement du moteur, l'appel nasillard de la trompe ou les sonorités électriques des carrefours parisiens. Affamées et familières, les poules sautent autour de Mme Avaret. A ce moment des cris troublent cette scène rustique.

Même! Même!

Pourquoi ces appels ? Qu'arrive-t-il à Rodolphe ?

Aussi vite que ses vieilles jambes le lui permettent, la grand'mère se précipite. Elle aperçoit devant la maison le gamin qui court pour la prévenir et, derrière lui, un homme à l'allure équivoque, coiffé d'une casquette à carreaux,

Vers la fin de la grève des toucheurs de boeufs Les pourparlers ont continué hier entre les commissionnaires en bestiaux et leurs bouviers en vue de trouver une formule d'entente permettant aux grévistes de reprendre le travail.

Les commissionnaires sont allés très loin dans la vole des concessions. Ils donnent, en somme, presque entièrement satisfaction aux revendications des grévistes en leur accordant l'augmentation demandée, sous la condition qu'au lieu de quitter le travail à une heure déterminée ils s'engagent à ne pas se retirer avant que soient rentra et soignés les animaux invendus de chaque marché. Les délégués des patrons se sont alors rencontrés, en présence de MM. Montearrat, commissaire spécial, et Léchevin, inspecteur principal, avec les déléguée des grévistes, à qui ils ont communiqué cette proposition.

Les grévistes se sont réunis dans le courant de l'après-midi pour l'examiner. A la suite de cette réunion, l'accord s'est trouvé réalisé sur la plupart des points. Toutefois, quelques divergences subsistaient encore, qui seront vraisemblablement aplanies aujourd'hui, de telle sorte que le travail pourrait reprendre normalement samedi prochain. LE FEU RUE DU BORREGO DANS UNE BRIQUETERIE Un violent incendie s'est déclaré hier, a 90 h. 45, rue du Borrego. durs une hrlqueterie appartenant à MM. Bérard frères et de Lafresnaye.

C'est le veilleur de nuit de la fabrique, M. Bolli, qui. au cours d'une ronde, aperçut. de longues flammee sortant d'un atelier de «ôchafce. Aussitôt, Il donna l'alarme. Les pompiers des casernes Haxo, Bllche et Pyrénées sous la directlon du colonel Andrleu, Isolèrent les bâtiments voisins et se rendirent maltres du feu après une heure d'efforts. Des ateliers et un matériel important, comprenant surtout des fours, ont néanmoins été détruits et les dégâts, d'après les premières estimations, s'élèveraient à plusieurs centaines de mille francs. Cependant, les soixante ouvriers de l'usine ne chômeront pas.

Une rapide enquête, menée par M. Collomfcet, commissatre de police, a permis d'étaftllr que c'est un brasero servant au séchage des briques, qui, communiquant le feu a une cloison, donna naissance au sinistre.

Il.- Feuilleton du Petit Parisien, 22-11-28 LES TROIS SEPT GRAND ROMAN INÉDIT

PREMIÈRE PARTIE

ONDINE DE FELBACH

S. (suite)

Une fille dangereuse

Elle en eut la preuve quelques secondes après, alors que personne ne se trouvait assez près pour entendre ce que le jeune homme lui disait à mi-voix, les dents serrées.

Jusqu'à présent, Ondine, avait-il commencé, je n'avals pas cru devoir vous parler de mes intentions. ou, pluWt, je n'avais pas osé le faire. Mais, parce que je m étais imaginé que vous ves aviez c'evinées.

Nullement interrompit Mlle de Ferbach.

Je le supposals reprit Otto. Ou! je le supposais. Les femmes. les jeunes filles ne se trompent guère sur la passion qu'elles inspirent. Quoi qu'il en soit craignant de vous heurter, de vous blesser. car vous êtes ombrageuse et fière.

J'ai surtout, coupa Ondine, la volonté d'être respectée. Une volonté d'autant plus ferme que je suis orpheline et pauvre. Mais une démarche comme celle à laquelle vous faites allusion n'est point de nature à heurter ou blesser celle qui en est l'objet.

Admettons, si vous le voulez, dit Otto Friedmann. que le courage me manquait 11 l'idée d'un refus possible. copyright by FTétiérlc Valarte 1988. tradûcMon et reproduction Interdites en tous paya.

Pardon, madame; excusez-moi de vous déranger.

Il parle d'une voix rauque, grasseyante, qu'il s'efforce de rendre aimable. Petit» yeux cruels, oreilles décollées, visage dur bref un de ces particuliers qu'on n'aimerait guère rencontrer au coin d'un bois ou, le soir, dans une rue solitaire.

L'ensemble cependant évoque quelque chose de connu, de familier. Où ai-je vu cet homme ? se demande Mme Avaret tandis qu'elle répond poliment Je vous écoute, monsieur.

On serait mieux à l'intérieur pour causer. Et puis le c mignard » n'a pas besoin d'entendre notre conversation. Ce préambule inquiète d'autant plus Mme Avaret qu'elle est seule dans la vil!a et qu'aux alentours tous les voisins sont en promenade.

L'homme explique qu'il s'est évadé du bagne auquel il avait été condamné pour une peccadille ». Ce qu'il nomme une peccadille c'est l'assassinat d'un complice qui refusait de partager le produit d'un vol.

Domptant la terreur qui l'étreint. Mme Avaret attend que l'homme ait terminé son récit.

Je suis traqué par la poliCe, j'ai épujsé mes dernières ressources, et pourtant, madame, je n'ai pas hésité à venir ici pour vous saluer et pour embrasser mon petit Rodolphe.

Monsieur, balbutie la vieille dame, je ne vous connais pas.

Non, mais que de fois j'ai entendu parler de vous par Clarisse, votre fille, par la mère de mon enfant.

Quelle est cette mauvaise plaisanterie ? Vous savez bien que Rodolphe est le fils de M. Bertj*?

Légalement, oui, mais. D'ailleurs. j'ai gardé ses lettres. Voulez-vous prendre connaissance de celle-ci par exemple ? Ces hauts caractères élégants, cette écriture un peu masculine, Mme Avaret les reconnaît aussitôt. Mais son horreur est telle que, malgré tout, elle s'insurge contre l'évidence.

J'étais danseur à l'Excelsior-Palace continue l'homme. C'est là qu'elle m'a connu. Elle m'appelait son beau Georges. Vous mentez 1

A ce moment le petit Rodolphe, las de jouer tout seul, pénètre en coup de vent dans la salle à manger.

L'intrus le désigne d'un geste peremptoire

Regardez, madame; n'est-ce pas mon portrait ?

La toison rousse, les petits yeux cruels, le nez retroussé, la grand'mère les retrouve, en effet, sur l'un et l'autre visage. La sentant convaincue, l'homme ajoute avec un sourire

J'ai dix lettres, je les lâche pour dix billets. Je connais vos ressources; vous pouvez faire ça pour moi. Et gardez d'avertir la police. Il vous en cuirait. Il est parti en déposant un baiser sur le front de l'enfant. Celui-ci continue ses jeux turbulents avec un bâton pointu, il fonce sur les arbres

Je te tue crie-t-il! Je te tue!

Mon Dieu! soupire la grand'mère, dont les yeux s'emplissent de, larmes. Le présent, en effet, se dissipe comme un brouillard et, dans une vision prophétique, elle découvre l'immense avenir. Son petit-fils a grandi il a les traits de Georges, l'ancien danseur de l'Excelsior, et son poing fermé brandit un couteau d où pleuvent lentement des gouttelettes de sang vermell. Tacques CONSTANT.

LE DRAME DE L'AVENUE DE SAINT-OUEb Deu «rrntatiou

Le brigadier Leroy, de la brigade spéciale, chargé d'enquêter sur le drame

Guy Gardien et Georges Halot

lui s'est déroulé samedi dernier, uis avenue de Siint-Ouen, arrêté hier, 3uy Gardieu. vingt ans, dit « le Boutonwiix » et Georges Malot, vingt-huit ans, lit « ip Pingouin qui accompagnaient rriboulet, le meurtrier du plombier Gilbert. Ces deux Individus qui habitaient, e premier, 2, rue Frédérfc-Schneider, et 'autre au 4 de la même rue, ont reconnu lu'ils connaissaient les intention de TriJoui et et que, s'ils n'ont pas pris part tu meurtre, ils n'ont rien fait pour 1 évier. Ils ont été envovés au dépôt. UN CAMION TOMBE A LA SEINE Un camion de la brasserie Dumesnil, 30, rue Dareau, à Paris, et conduit par le chauffeur Charles Roupaneau, 57, avenue d'Orléans, à Paris, qui suivait le quai Gallieni, A Suresnes, est tombé dans la Seine, à hauteur du numéro 25. Le chauffeur a été retiré du fleuve quelques instants plus tard. Malgré l'intervention des pompiers, le camion n'a pu être retiré.

l'eut-etre eût il mieux valu, observa Ondtne, vous adresser à moi. Ceci serait demeuré entre nous et aurait été préférable pour votre amour-propre et pour ma tranquillité personnelle. Point n'était besoin de rendre ma réponse en quelque sorte officielle, ce qui peut amener de la gêne dans les relations que vous et votre père entretenez avec mon oncle et ma tante. Mais, enfin, insista Otto, quels griefs avez-vous contre mol ?

Aucun répondit Ondine.

Alors ?. Pourquoi ce refus ? Vous en dois-je compte? répllqaa la jeune fille d'un ton sec.

N'attendant pas la réponse, elle fut sur le point de se lever, mais elle se ravisa.

J'estime, reprit-elle, qu'avant de demander une jeune fille en mariage Il est sage de s assurer de ce qu'elle pense. Agir d'autre manière, c'est donner a croire qu'on ne lui accorde pas assez de caractère pour décider elle,même de son avenir, ce qui, je vous l'assure, n'est pas mon cas. C'est également parnttre s'imaginer qu'elle cédera. qu'elle obéira à une volonté autre que la sienne. Or, en pareille matière, je ne connais qu'une volonté. C'est la mienne. Personne au monde ne disposera de moi malgré moi. Je sais ce que je dois à NI. de Ferklausen, ainsi qu'a Mme de Ferklausen, mais cette dette de reconnaissance a des bornes, et leurs bienfaits ne leur donnent pas le droit de disposer de ma personne et de ma vie entière. Ne pensez-vous pas que nous devrions en rester là ?

Otto Friedmann se mordit les lèvres. En même temps, son regard mobile et fuyant se chargeait de mauvaise lueurs».

DRAME CONJUGAL A MONTMARTRE SA FEMME LE REPOUSSAIT IL LA POIGNARDE

Théophile Beauvy, trente et un ans, tourneur sur métaux, sans domicile, vivait séparé de sa femme, née Noëlle Guicho. de treize ans sa cadette. Celle-ci était revenue chez ses parents, qui habitent 251, rue Marcadet. C'est là que son mari vint la relancer mardi dans la soirée. Après une assez longue conversation, les époux semblèrent se raccommoder, et Beauvy s'appréta à pas- ser la nuit chez sea

Cependant, vers

minuit, un vacarme épouvantable provint soudain de la chambre que le couple occupait. Les parents de la jeune femme s'y précipitèrent et la trouvèrent gisant, ensanglantée, dans son lit. Quelques instants plus tard. Mme Noëlle Beauvy était admise l'hôpital Bichat Maie, hier matin, elle demanda à être ramenée rue Marcadet, sa blessure les médecins l'affirmaient n'ayant aucun caractère de gravité.

Conduit devant le commissaire du quartier des Grandes-Carrière, Théophile Beauvy, qu'on avait arrêté sur-lechamp, déclara simplement « Elle ne voulait plus être ma femme, alors j'ai pris mon couteau, vous comprenez?. Et il avait frappé en pleine poitrine. Le mari par trop violent, qui ne semble pas, au reste, regretter un mouvement qu'il juge encore, de sang-froid. tout naturel, a été mis à la disposition du parquet.

Chez les voyageurs de commerce L'uumblée générait de l'U. G. P. L'Union des groupements professionnels de voyageurs et représentants de commerce de France (siège social, f3, boulevard de Strasbourg, Paris). dont l'effectif est de 37.000 membres, a tenu son assemblée générale, sous la présidence de M. Pierre Cachet.

Le bureau se trouve ainsi constitué pour 1929:

Président, M. Cuchet; vice-présidents, MM. Derombies et Dreuille; secrétaire général, M. Cnérifel; trésorier, M. Chassenet.

L'ordre du jour de la réunion comportait notamment: le demi-tarif pour les bagages-échantillons des voyageurs de commerce, la carte d'identité professionnelle, la taxe de séjour, le vote par correspondance et, surtout, la question du statut professionnel des voyageurs de commerce. Après un long exposé dans lequel M. Chérifel a rappelé la genèse de la proposition de 1 U. G. P., il fut décidé de s'en rapporter à la conférence des avocats de l'U. G. P. et de la Fédération nationale, qui doit avoir lieu prochainement.

LES CAMBRIOLAGES DE DJORITCH Le Serbe Milan Djorltch, accusé d'un grand nombre de cambriolages commis à Paris, a été interrogé hier par M. Delalé, juge d'instruction, au sujet de deux de ses vols.

Le premier a été commis au préjudice de «M. Haviland. industriel, 29. avenue de Villiers. Djoritch s'empara d'une montre de huit mille francs et deux bagues de cent cinquante mille francs.

Le second a été commis au préjudice de M. Drevon, architecte, 8, rue Agar auquel furent volés des vêtements, un étui il cigarettes en écaille et un portefeuille contenant deux cents francs et des papiers.

Il a agi tenl, u» revolver à la main

Le Serbe a reconnu sa culpabilité. Les bijoux de NI. Haviland ont été revendus quelques milliers de francs à un receleur italien. Quant aux papiers de M Drevon, Djoritoh, galant homme, les a expédiés par la poste à l'architecte qu: rentra ainsi en leur possession.

Les détournements d'un chef de rayoi M. B. âgé de quarante-sept ans habitant le quartier des Batignolles, chef de rayon dans un grand magasin, a étf arrêté sous l'inculpation de graves détournements. Employé depuis vingt and dans la maison, il a, de son propre aveu commis son premier vol il y a huil ans. Une perquisition opérée à son domicile a fait découvrir de nombreuses marchandises de prix. M. B. aurai plusieurs complices. sur les agissements desquels la police enquête actuellement Le HP Salon de la gastronomie sons le patronage du « Petit Parisien >: En dehors de l'Intérêt que présente pom le public une vaste exposition de nos pro duits alimentaires, de nos spécialités régie nnies et des ressources culinaires de no: provinces U n'est pas Inutile de soullg-nei les avantages considérables que produc teura et acheteurs en gros doivent trouve: à se rencontrer du 7 au 30 décembre dan! le grand hall de Luna Park.

un salon de la gastronomie ne doit pa être seulement un salon de curiosité, voln de gourmandise. Ce doit être un salon d'ar raires et a en juger par celles qui se son traitées au cours des deux salons précé dents, nul doute We le Ht* Salon, ouvran ses portes pendant la plus favorable de: époques de la saison parisienne, dans Il quartier le plus moderne et le plus animé sous le patronage du Pettt Parisien, avec Il concours de toutes les chambres de com morce, ne soit cette année un grand mar ché de l'alimentation française..

Ajoutons que le côté artistique ne ser; pas négligé. une galerie d'art, où des nam res mortes les plus évocatrices dues au: peintres anciens et modernes seront expo sées occupera tout un côté du grand hall e ne manquera pas d'intéresser tous ceux qui les satisfactions de la table n'ont pa fait oublier celles de l'esprit.

Nous reviendrons d'ailleurs avec plus d détail sur les nombreuses Innovations qu feront du III» Salon de la gastronomie un exposition pleine d'attraits et de variété. Pour tous renseignements, s'adresser 9! boulevard Haussmann.

Il était facile de deviner qu'une colère contenue avec peine grondait en lui et que partout ailleurs elle se serait déchaînée.

Ecoutez-moi, Ondlne 1 dit-il d'une voix sourde. Et souvenez-vous de ce que je vais vous dire.

La Jeune fille garda le silence.

Entre mon père et moi, continua Otto. il n'existe qu'une différence. Il ne sait pas toujours dominer sa violence, mals nous avons la même volonté. Rien ne saurait nous empêcher d'atteindre le but que nous poursuivons. Quand au obstacle vient à se présenter sur notre chemin, nous le brisons, nous te supprimons, que ce soit l'obstacle des choses ou celui des hommes.

Pourquoi, en entendant ces derniers mots, Ondine tressaillit-elle?

Eiie ne le comprit pas.

Quant à Otto, trop pris par ce qu'il disait, il ne remarqua pas cet émoi passager.

J'ai décidé que vous seriez ma femme, poursulvlt-ll, et Il en sera ainsi. Je le veux parce que je vous aime. C'est tanx interrompit Ondine. SI vous m'aimiez, vous ne me parieriez pas sur ce ton. On n'offense pas celle qu'on aime. Quant à faire de moi votre femme en dépit de mol, n'y comptez pas. Jamais Ondine de Felbach ne mettra sa main dans la vôtre. Vous vous vantez. lorsque vous prétendez que vous avez raison de tous les obstacles et que vous les supprimez au besoin. Essuyiez donc de briser celui que vous opposera ma votonté 1

Je vous répète, gronda tout bas Otto Friedmann, que vous serez à mol Ondine eut un sourire où II y avait de la moquerie et du mépris.

Cest ce que nous verrons ditelle.

SALONS ET EXPOSITIONS Œuvres de Guirand de Sc6vola A la galerie Monna Lisa s'ouvre aujourd'hui une exposition d'oeuvres récentes de Guirand de Scévola.

Roses blanches et roses thé, dahlias et hortensias, pavots, volubilis et zinnias, toutes les fleurs du jardin français. Bijoux indiscrets, Alcôves et Dormetuts, étoffes chatoyantes et natures mortes où s'épousent le fruit parfait, la fipe porce- laine et la brioche dorée; des Souvenirs d'Orient et une Calante Aventure, une patiente Brodeuse voisinent avec un Aqua- rtlfisto au travail et, par deux fois, les traits du beau et légendaire Casanova, voilà motifs et moyens à l'aide desquels le dernier coloriste des traditions élégantes du xvm' siècle fait revivre l'époque des Trianons et des fêtes galantes. Une barque t glisse sur des eaux 'bleutées; les siestes s'achèvent à l'odeur des bouquets; les portraits de femmes sourient entre des gerbes et de précieux bibelots c'est un monde recréé au crayon et au pinceau, monde auquel le Tout-Paris brillant et mondain a voulu, en ce jour d'automne ensoleillé, se mêler afin de retrouver en une de ces heures qu'à présent nous vivons si hâtives cette atmosphère de calme, de goitt, d'esprit et de bonheur par- fumé que Guirand de Scévola sait évo- quer avec une maîtrise qui n'exclut ni la j bonne humeur ni la grâce.

Un banquet en l'honneur de M. Cardi Le syndicat des quotidiens de province a offert hier, 4 Parts, un banquet a M. Cardl, directeur du Petit Courrier d'Angers, vice- président du syndicat, récemment promu officier de la Légion d'honneur. MM. Henry Simond, de l'Echo de Paris, président de la Fédération des journaux français Gaubert du Journal de Clndre, et Catherine du Nouvelliste du Morbihan, président et 'secrétaire général du syndicat des quotidiens de province, ont rendu hommage au journaliste éminent, qui représente si dignement la presse de province et l'ont assuré de la sympathie des directeurs de Journaux quotidiens de France.

M. Cardl a répondu en termes émus et a porté un toast à la presse et à la mutualité. UN CONCOURS DE BÉBÉS

AU SALON DES ARTS MÉNAGERS Le Salon des arts ménagers, grande ma- nifestation d'ordre économique spécialement adaptée aux besoins de la vie familiale moderne, qui ouvrira ses portes en février 1029, comprendra entre autres une section de l'enfance

Un comité vient de se constituer dans le but de donner il cette Initiative une plus haute portée sociale en organisant une Semaine de l'enfant » qui, tout en faisant l'éducation des mètres, mettrait à l'honneur l'enfance et la maternité.

Une série de conférences, faites par des puérlculteurs éminents, des démonstratlons, un concours de bébés sont prévus. Pour les conditions du concours de bébés, s'adresser au commissariat général du Salon des arts ménages, avenue Mexandre-III (Grand Palais), Paris.

AU CONSEIL GÉNÉRAL L'assainissement de la région parisienne. Le conseil général a discuté hier une question soulevée par M. Marsais au sujet du déversement, dans les rivières et canaux de Paris et des environs, d'eaux polluées ou chargées de substances nocives qui constituent des dangers pour les populations riveraines. Autre inconvénient les usines envoient dans les rivières des eaux tellement empoisonnées que le poisson meurt et les pécheurs à la ligne s'en plaignent. L'Etat a pris des mesures pour empêcher ces pratiques dans les usines nationales, mais les établissements privés ne sont soumis à aucune obligatlon de ce genre. On signale aussi que les lavoirs de linge sont également dangereux.

Le directeur général des travaux, M. Glraud, a donné à t'assemblée des explications sur les précautions prises, jusqu'à présent, par l'administration 11 estime qu'il faut exiger que les eanx usées soient épurées avant d'être déversées dans la rivière. Enfin M. Georges Lemarcbancl fait connaître que, prochainement, le Sxnsell général sera saisi d'un projet d'assainissement de la région parisienne.

Monuments projetés. L'assemblée a renvoyé il l'administration divers projets de monuments à Tony Réveillon. a Eiffel, il Jean Martin et à René vivlant.

La mort du efvanoine Demergves. Le chanoine Demergues, ancien aumônier de Saint-Lazare, est décédé à l'Age de quatrevingts ans. M. Charles des Isnards a adressé, au nom du conseil général, à cet homme de bien un hommage auquel se sont associés le président et le bureau de l'assemblée.

CHRONIQUE JUDICIAIRE t Le tribunal a rendu son jugement dans l'action en résolution de convention pour cause de violation intentée par les Manufactures de Senones contre les Blanchisserie et Teinturerie de Thaon. Faisant droit aux conclusions déposées, le tribunal a confié à trois experts MM. Doyen, Yoche et Léon, la mission de faire l'enquête demandée par les Manufactures de Senones. FAILLITES. Martial Scandrogllo, garage pour autos, il Courbevoie, 9, rue Gamard, puis 8, place de la Porte-Champerret, pavillon 52. Jacques Bellow, taxi caoutchoutés, rueGeorges Alezard, « Union Bordelaise des vins x, 212, rue L&fayette. Chalm Vlgnanski, meubles, 3, passage Ranch. André Ferret, maroquinerie, 55, rue des Amandiers. s Soc. an. des Etablis « Le Pratique », cap. 2.500.000 francs, imprimerie et publicas tion, 247 bis, rue des Pyrénées. HersehMendel Mouschliak, dit de Mendel, orfèvrerie-horlogerie, 20, rue du Cloltre-Salnt-Merrl. Société « Les professionnels de la pierre (en Uquid.), 21, rue de Berne, puis bis, t rue du Boulot. Olay Flatabo, peinture sur soieries, il Lovallois-Perret, 17, rue Trébois, vins-liqueurs, 9, rue de Budapest, act. s. d. c. LIQUIDATIONS JUDICIAIRES. Arthur Barg-uir-djtan, joaillier, 1, rue Saulnier. René Lwnalre, meubles, 22, rue Dlilton. Luigl Sringi, menuiserie d'art, il Saint-Denis, 4, boulevard Féllx-Faure. Paul Drukker et Cle, Importateur, 12, rue du Cardinal- Mercier, actuellement à

LES PAUVRES GENS Une pauvre femme, Mme Jacquier, demeurant 8, rue de la Concorde, dans le 1 XIX' arrondissememt, est morte hier, en donnant naissance Il son septième enfant. Elle laisse cinq enfants, dont l'aîné a sept ans. M. Plnot, conseiller municipal, s'emploie il secourir cette famille malheureuse.

Sur ces mots de défi elle se leva et s'éloigna.

Otto se leva de même, fit deux ou trois tours dans le salon, puis, tout à coup, apercevant son père debout à la porte du fumoir voisin, Il alla à lui. Hugo Friedmann paraissait être de méchante humeur.

Il entraîna son fils dans le fumoir. désert alors.

Pourquoi, lui demanda-t-11, a»-tu parlé à Oniine ?

Otto hnussa les épaules.

Ma fol avoua-t-il, je crois que J'aurais mieux fait de l'éviter, ou, tout au moins, de ne l'entretenir que de choses Indifférentes, mais. à aa vue. mon sang a bouillonné 'dans mes veines, je n'al pas su me contenir.

Et, ricana le père, tu as commis une sottise.

Le jeune homme ne répondit pas. Dis-moi cela 1 insista Hugo Friedmann.

Otto raconta sa conversation avec Ondine.

Sur ma parole, dit Friedmann, il y a des moments où les gens les plus sages et les plus prudents agissent avec autant d'imprudence que de folie Etalt-il bon d'aborder un pareil sujet avec cette fille obstinée, cette Téte-deFer ? Mieux valait lui laisser supposer que tu n'étals pas instruit de sa réponse ou que l'on n'avait pas voulu te décourager entièrement. Il fallait ne rien changer il ton attitude envers elle. Sa méfiance ne se serait pas éveillée, et. Hugo Friedmann s'arrêta.

Il s'en fut vers la porte pour s'assurer que personne n'était aux écoutes. Puis il' se rapprocha de son fils.Et nous avons besoin, continua-t-il plus baa, que la méfiance de cette fille

LES CONGRÈS L' « Action française

Le 15. congres d' Action française s'est )uveit hier matin, dans la grande salle des Sociétés savantes. Douze cents personnes suivent les travaux du con grès, que présilent MM. Charles Maurras, Bernard de Véslns, Maurice Pujo, Joseph Delest, François je Lamothe, etc.

Les gérants de débits de tabac

La chambre syndicale des gérants de débits le tabac de la Seine a tenu sa réunion innuelle hier après-midi, 10, rue de Lancry, Après avoir remercié les neuf cents gérants 'enus à la réunion, le président donna la parole i M. Flament, lequel, dans une allocution très >rève mais très émouvante, plaida une fois le plus la cause du timbre antituberculeux ;t annonça aux gérants des débits do tabac ru'lls seraient désormais approvisionnés en lignettes par les comités locaux et que pour es dégrever des frais occaslonnés par la rente des timbres lis toucheraient une risourne de 8 0/0.

Dans un exposé très documenté, M. Ratll, ipplaudl & différentes reprises par l'assemblée, rendit compte aux débitants des protrès de leurs revendications et plus partimllèrement de la question de la diminution leg prix de transport et de celle des rede7ances.

A l'issue de la réunion, M. Rafn a été ̃éélu président par acclamations, M. AmeiIhaud l'assistera comme président adjoint. ¡Les débitants de boisions

Au cours de la deuxième Journée de leurs travaux, les membres du congrès de la Félération nationale des débitants de boissons, lue présidait M. SiffeTt, adoptèrent le rapport sur les appellations d'origine demandant e vote rapide de la proposition de loi Dessain, et celle de M. Perreau-Pradier sur l'enregistrement des baux, et votèrent la création d'un contentieux d'assurances générales.

Puis M. Slffert souhaita la bienvenue aux dénégations de Tchécoslovaquie, de Suisse et 1'Allemagne, qui prennent part au congrès. La discussion s'engagea ensuite sur la réglementation du pourboire qui fait l'objït l'une proposition de loi de M. Justin Godart. Le rapporteur fle la question déclare qu'une enquête a été faite auprès des employés par le Bureau International du travail et qu'il serait intéressant de comparer à cette enquête une enquête faite chez les employeu-s. Cette question, déclare le rapporteur, doit être divisée en deux parties pourcentage Imposé par Ie patron à ses clients et pourboire touché individuellement et directement par l'employé. Dans ce dernier cas, aucun contrôle ne peut et ne doit être exe~cé sur le patron dans le premier cas, le contrôle s'impose de lui-même. La suite de la discussion est renvoyée devant la section lnterqui doit siéger aujourd'hui. En fin de séance, M. Thévenot annonça que la chambre de commerce qui, Jusqn'alors, s'était montrée réfractaire an principe de l'abattement Il la base pou" les bénellcfls commerciaux, venait d'en adopter le principe. On procéda alors a l'élection du nouveau bureau. M. Sirrert *«t réélu président M. Pruart, vice-président M. Avlsse, secrétaire général, et M. Hanrion, trésorier. L'assemblée aborda ensuite la question de la propriété commerciale.

LA CONFERENCE LAINIERE INTERNATIONALE

La chambre de commerce de Paris a reçu hier les membres de la Conférence lainière internationale, qui se tient actuellement à Paris et frroupe les délégations de se.pt nations étrangères. Après avoir exprimé ses souhaits de bienvenue. M. André Baudet, président de la chambre de commerce, a rappelé l'importance que présente pour le progrés économique et social le développement de l'industrie lainière et félicité les membres de la conférence du succès de leurs travaux.

Le président de Ia conférence s'es, fait l'interprète des membres du contres pour remercier la chambre de commerce de Paris.

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dangereuse ne soit point éveillée. Dangereuse ? s'étonna Otto. Pourquoi ? Que veux-tu dire ?

Je veux dire ce que je veux dlre 1 répondit Hugo Friedmann, avec un accent assez sombre. Rien de plus. Rien de moins. Ondine a des yeux. Elle a des oreilles. Sait-on ce qu'elle peut voir ? Sait-on ce qu'elle peut entendre ? Friedmann eut un sourire bizarre. Uh 1 reprit-il en souriant, je ne veux pas exagérer 1 En fait, je ne crains rien d'elle. Mais je maintiens que mieux valait agir différemment. Elle n'avait pour nous, avant ce soir, qu'un éloignement Instinctif qui se marquait dans son maintien, malgré tous ses efforts pour le dissimuler. Nous pouvions donc jouer sur son indifférence. J'ajoute qu'en affectant la résignation, en restant aimable et courtois, tu étais en passe d'acquérir un peu de gratitude de sa part. Au lieu de cela. tu t'en vas la menacer I C'est Idiot 1 II est toujours Idiot de se créer des ennemis. Tu as creusé là un fossé qu'il ne sera pas aisé de combler.

Calmé, maintenant, Otto acceptait les réprimandes de son père.

Celui-ci revint sur le mot qu'il avait prononcé une minute plus tôt, et qui avait étonné Otto.

Oui 1 répéta-t-il, cette Bile peut devenir dangereuse. Elle regarde. Elle observe. Il lui arrive de dire des choses 'nqulétsntcs.

Lesquelles ? questionna le jeune homme.

Pas plus tard qu'aujourd'hui, répondit Kriedmann, n'a-t-elle pas déclaré à su tante, qui me l'a répété ce soir, que l'amitié qui existe entre le baron et mol est curieuse

Elle a dit cela ? ae récria Otto.

BULLETIN FINANCIER: Cours de la Bourse du Mercredi 21 Novembre

La séance a manqué d'Unité. En effet, après un début assez satisfaisant dans l'ensemble, des dispositions nettement plus trrégrullères se sont manifestées. Le bruit de l'éventualité d'un relèvement du taux de l'escompte, bien que ne reposant sur aucun fait précis, n'en a pas moins influencé cerLains compartiments de valeurs françaises. qui ont été l'objet de dégagements assez suivis vers la clôture. Ces réalisations ont affcc!e d'une part nos rentes: 3 ( 0 70),

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Sucreries coloniales 405 Au eomotant Ottoman 5 1914 105 60 100.. 1892 235.. Ekaterlne 613.. 618.. Banq.. Nat.Meiiquo 780 g 1894-18M Part Héraclée 71400.. 71860.. Créd. Fonc. Kgypt. 50 Vieille Montagne 3Ï6O Central Mining 2430 2425 P. 29« Omnium 40g HioTlnto 7050 M 1805 Steaun Homana. SIS Lautaro 672 Amer. Forelgn OU. SE 56.. Sucrerie» d'Egypte 1041 1060 H Royal Dutch 47400.. 47860.. Au comptant m2 621 Créd. gén. plt.parta 64 80 1923. Cia PaoUJta amortissable. 79 90 80 50 Est Asiatiq. Danois 6600 S V, amortis».. 05 15 1924 6 Sumatra 2850 3S90 Brésil 5 191* 4 79 498.. 49S Colombie 6 190« 6% 105 27150 Monaco 4% 307 Le Kétol 87.. .3 107 90 1899 Zincs 8t-Hip. Fort. 1069 ,J 5 90 80 R 1908 316 60 315.. Etabli.. Clnaano.. 1MO Bons TT.6%fe.1928 S (1912 173..

«72 •«* S SI ig COURS DES CHANGES. 7 Q 1922 475 Londres 124 13 124 1S 7 566 60 1923 libéré 471.. New-York 25 6a Oblleat. 6 1927. 519.. Bête.. les lOOduc.. 356.. 71 Caisse Anton. 1926 62250 628 501.. Berlin, les 100 mar. 610.. Crédit Nation 1919 550.. S 1883 2M Eipagne 412 SO 412 1920 530 S ,1886 Hollande 1027 1027 1921 648.. S lUUe 625 S SSO Roumanie 16 nouv 1922 ü 172.. 170.. Suède ianv 192S 535.. 5S4 i' 19133H% 330.. Suisse 482 7S juin 1923 52g 1913 4 440 Vienne "• 1924 535 :flO S Ptigue 75 90

Officiers Ministériels

Etude M" Marin, av., Faris, e. Portalis. Vente au Palais de Justice, à Paris, le ] samedi décembre 1928, A heurea ( USINE "t^r MAISONS ouvrier», sise à Saint-Flerre-lèg-Nemonis i %!ooà <g£j S'adr. à M' Marin, avoué, et a M. Bellenger, synflic, a Paris. 3, r. d. G^Augustins Adj. oh. not., Paris, 11 déc. 1928, 14 h. liaisons de rapport à Paris 1- r. de la •I IFI Clef, 33 (5°), C" 90m. Hev. br. 9.64S'. M. p.: 90-000t. Prêt Créd. Fonc. 2· IL du Bonrff-Tibourg-, 24 (4e). C" 120™ Hev. br. 11.795'. M. & p.: Pa»a de la Hõ selle (19°). C" 93™. R. br. S.734'. M. a p. 70.000'. S'ad. M* Ondard, n., 8, r. Ste-Céclle Propriétés Vente au Palais de Justice, Il Corbeil, la 30 novembre 1928, & 13 h. d'une PROPRIETE •SSJET MANDRES rue Henrlette·Fougasse. M. i. p. te tout lib. de location. S'air. M" Au- bineau et André, av., à Corbeil; M. Letè- vre, à Botssy-St-Léger, 19, r. dn Paris. Pr <• i visit. à M. Vanoll, à Mandres, 2. r. Boissy. l' ?(00 m. gare Sceaux-Robinso». Oonf. mod. J C" Idb. S'ad. Bldant, not., Sceaux.. \¡ente Jndlc, 7 déc., ét. Godet. 49. r. P'«>f j ? Ecuries Fonds de comin. de X1 de ̃ vina-restauratenr-bar, 10, rue Oaumartln- M. è p. 90 000' Cons. ad. au not.

Elle l'a dlt Et c'est une remarque qui me déplaît 1 conclut Friedmann,. Allons-nous-en ajouta-t-Il. Il fait trop chaud, Ici. Les deux hommes se retirèrent sans avoir pris congé de la baronne et du baron. II n'y avait que peu de chemin il faire pour gagner le boulevard, et le père et le fils le remontèrent dans la direction du faubourg Montmartre. Ils passèrent devant un café. 1 Arrêtons-nous 1 dit Hugo. Et pre- ( aoas un bock. Ils s'installèrent à la terrasse.

Friedmann jeta les yeux autour de < lui.

Tiens remarqua-t-il tout a coup, c'est ici que ce pauvre diable de Marcel Dugardin a été assassiné XI (

tl poarra t i arriver malheur 1 La nuit n'était pas très avancée et les boulevards conservaient encore une certaine animation. Du reste, depuis cette Journée fatale, que Friedmann venait de rappeler. le temps avait conti- nué si être beau et l'on aurait pu se croire aux meilleurs moments du prln- i temps, de telle sorte que les promeneurs i étaient nqsez nombreux et que l'on aper- cevait dés consommateurs & la terrasse des cafés. Otto n'avait point semblé prendre 4 garde à l'évocation du drame de la < mi-carême.

Il était devenu sombre et songeur, et. < en apparence, très éloigné de ce que lui disait son père. 1 Gelui-ci lui en flt la remarque. 1 J'aimerais savoir, observa-t-IL à quoi tu peux penser 1

5 1Q20 (– 1 franc) de l'autre nos Banques Banque de France ( *00). Crédit Lyonnais (- 60). Enfin :e Nord 4 perdu M rrar-cs, les «largeurs neunls 36 et Patttô 19. Par contre, une certaine animation s'esr manltenuo Jusqu'en dernier lieu sur plusieurs spécialités. Soulignons la bonne allure de la Banque de l'Algérie (+ 100), de ta Générale Foncière (+10). de l'Orléans (4- H), de Pécnlney de Courrierei (+»)̃

Immeubles de Rapport

KS3Ï RIE DU CHATEAU. 166 :•• 172". Rev. 15.6721. X. à p. 80.000'. Adj. I déc., 14 h.. ét. M* Tllchjr, n Montrouge. lersaille». Mais. rappf, r. d* «oallles, 18. I RêV. br. 6.27qf. M. à p. I 60.000'. Adj. et. Saron, n., Versailles, 7 déc., 14 h. S'y adr. Annonces diverses

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81 je te le disais, déclara le jeune lomme. tu te moquerais de mol.

Cela dépend répondit évasive. nent Hugo.

J'en suis sûr 1 affirma Otto. Tu en conviendras tout a l'heure. Je ne vois pas la nécessité de me taire. mais, auparavant, le voudrais te poser une question.

J'écoute 1

Tu me répondras avec franchise T Pourquoi non ? Avons -nous cou:ume, ajouta Friedmann, en souriant, le nous dissimuler quoi que ce soit l'un l'autre

Eh bien ne t'a-t-on jamais refusé :e que tu désirais

Plus d'une fols 1

Et alors ?. Que se passait-Il t Ce qui se passait ? reprit Hugo Friedma a. Oh! ta chose la plus simplet 3e qu'on n'avait pas voulu me donner bonne volonté, je me promettais de e prendre de force il la première occailon.

Tenals-tu cette promesse

Toujours

Il y eut un court sllence entre le jère et le fils.

Dans ces conditions, reprit ce deplier, je reviens sur ce que je disais 'i l'instant. Tu ne te moqueras pas de mol, car tu n'en as plus le droit. Lorsque tu voudras bien cesser le parler comme si tu me donnais une charade it deviner, dit Hugo., je saural :e que j'aurai à te répondre.

Je vais donc aller droit au but 1 léclnra Otto. Tu sals que je n'avais iccepté ce projet de mariage avec Jndine de Felbach que parce que iu n'avais démontré qu'il était conforme ios Intérêts?

(A suivre.) Frédéric Valadï.


ttnmn db pbr de L'ETAT Relations entre la France et l'Angleterre. tour donner de nouvelles facllitéâ aux ♦oyageurs de plus en plus nombreux lui se rendent en Angleterre par. la ligne maritime Dleppe-Newhaven, les Chemins do fer de l'Etat ont l'honneur de les Informer Que les gares de leur réseau autorisées a délivrer des billets pour Londres, émettent également dea billets pour certaines localités desservies par la london and Norto Eastern Ratlway

telles qoe Aberdeen, Glasgow, llull, Leeds, Uverpool. Manchester. Newcastle, Notttng- ham, fiugby, Scarborough. Shefnelds, Wadonnent dro.. a l'enregistrement dlrect des bagages, dont le transport entre les deux gares d'échange Il Londres est effectué par camion par les soins des compagnie* du Southern Rallway et du London and North Eastern rtallway. Ces compagnies assurent, en outre, la correspondance par des autobussalons avec tous les services de ou pour le continent via Dieppe.

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Les épreuves sportives du PetjtParisien LA MARCHE DES CATHERINETTES Montparnasse Montmartre

(25 novembre)

Les frauda magaûu du Loure

'engagent deu équipes

La .louriK'c d'hier nous a valu doux engagements particulièrement intéressante ceux de deux équipes formées parmi la personnel des jçrands maRaeiîis du Louvre. Voici comment seront constituéee cea deux équipes

Première équipe Mlles Georgeite Ceîmls (cathertuette). Georgette Barré., Suianne Célls, Geneviève Pavart, Madeleine Taligaut, Airto-Jnette Chapelain, Léone Lefcbvre, Suzanne Verdier, Suzanne Cbaropagnat, Madelelna Marx, Simone Teyssonnler, Odette Sœuvre (femptiiçante).

Deuxième équipe: MdBes Yvonne Esdinger (ca-Uierlnette), Suzanne Lambert. Geneviève Rapp, Simone Bolsramé, Lfsette Rorallter, Marie DeTendevlUe, Denise Pic. Simone Viilaret, Suzanne Lufontaine, Simone Prevel. G maison Jeu, défendra. ton bien

Nous avons également reçu rengagement de la maison Jenny. 70, avenuo dee G da m-ps-Elyaées.

La maison. Jenny, qui, l'an dernier, remporta le challenge du Petit Parisien. compte bien remporter la victoire et ainsi conserver. son bien.

Elle a constitué ainsi son ëcruipe ? Mâles Yvonne Dalfcme (catiierineue), R«née Offret, Simone Huttm, Catherine Barésovw, Suzarni» Peltetier, Adke Helnrleh, Marguerite Turmeau, Jacqueline Morlssenu, Maroe«e Laigneau, Marie-Louise Deheinnln, MaAitde Robin, Madeleine Buselne (remplaçante).

Il y aura de la rawiqiw

L'Avenir du XIV« sera au départ de la Marche des Catherinettes et donnera une aubade à nos gracieuses concurrentes.

A l'arrivée, c'est l'Harmonie du Petit Parisien qui se fera entendre.

Enfin, n y aura encore de la musique au Moulin de la Galette, où, après le îunoh. on dansera aux sons de l'orchestre dirigé par Dailly.

LA COUPE DE FRANCE BE FOOTBALL

organisée par la F. F. F. A.

avec le concours du Petit Parlsien Le qutriuM tour éliminatoire aura lira le 2 décembre

Lai commission de la Coupe de France a procédé, avant-hier, à l'élaboration, du calendrier du quatrième tour éliminatoire, de l'épreuve nationale organisée par la Fédération Française de Football Aseociatlon, avec le concours au Petit Parisien.

Les quarante-huit matohes ci-après déslgaés, se joueront le dimanche 2 décembre sur le terrain du club premier nommé, sauf indication spéciale. R. C. Strasbourg contre A. S. Lorraine, Nancy.

llBûrcb. Graffetîstadt contre S. S. Renaissance Pettte-RosîcllB.

U. S. Belfort contre U. S. Montargls, A. S. Messine contre C. A. S. G. Paris. U. L. Moyeuvre-Grande contre F. C. Blscbwiller.

C. S. Orne Amn6ville contre F. S. SaintLouis, à Nancy.

R. C. Roubaix contre Gallia Club S. 0. Est. A. S. Sainte-Barbe Otites contre C. A. Engin en.

U. S. Perencliies contre Havre A. C.

lris Club Lillois contre U. S. Crçil-St-Just. A. C. Cambrai contre Excelsior Tourcoing:. Decatn A. c. contre R. C. Arras.

U. S. Tourcoing: contre U. S. B. T. Thaon. 9. C. Reims contre S. C. Sélestat.

U. S. T. du Havre contre U. R. DunkerqueMalo.

Stade Malherbe Caennats contre A. P. Garenne-colombes.

A. S. Cherbourg Stella contre A. S. Amicale. F. C. Dieppe contre S. C. Tréport.

U. S. Queviay contre R. C. Lens.

R. C. Rouen contre R. C. France.

U. S. Persaa-Beammpnt centre R. a Calais. U. A. XVI« contre C. A. Messin.

C. A. hiantea contre C. S. J. B. Angors. C. 0. Billancourt contre stade Levailots. C. A, Bourget contre A. S. Strasbourg. J. A. 0. contre A. S. Audlncoiirt

E. S. Juvlsy contre C. A. Saint-Aubin, C. A. XIV- contre C. A. Saint-Aubin. V. S. Suisae contre Stade Compiéiçnots. Cosmopolltan Club contre Stade Qutmperrol3, à Aciers.

Stade Rennais U. C. contre Stade de l'Est. Drapeau Fougères contre U. S. Concarneau. U. S. Douarnentste contre U. S. Véslnet, à Qutmper.

C. 0. Choletala ou F. C. Lorlent contre Club Français.

V. S. Vannetals contre B. E. G.-V. 0. A. M. S. C. JJJmes contre S. A. Rordeiais.

A. C. Arles contre F. C. Lyon.

0. Aies contre U. S. Montlucon.

G. C. Grassa contre U. S. Seynolse. S. A. Provençaux contre C. Deportivo, a Montpellier.

S. A. Bordelais U. C. contre Tigres Vendéens.

Cénon Sport contre U. S. Cazères.

Stade Montols contre A. S. du Centre ou Méllrtet nantes.

S. 0. Saint-Fons contre 0. G. C. Nice. A. S. E- Lyon contre A. S: Cannes

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théâtre de LA Obimace (au théâtre de Grenelle). La Ville sans amour, pièce en trois actes de M. Pierre de La Datut. Pharmacien dans une petite ville de province, Salinède estime que le sentiment de l'amour ne fait que déranger la vie, devant être, selon lui, organisée scientifiquement, et il découvre un vaccin qui supprime toute aspiration sentimentale. Ce vaccin est imposé aux habitants de la ville. Mais c'est l'abolition de toute activité morale. Salinède, le premier, souffre des effets de son invention. Sa femme, ne tenant plus à lui plaire, le laisse manquer de tout. Sa fille ainée cherche une distraction dans l'abus de l'alcool; la cadette veut entrer au couvent son fils devient idiot. La bonne, elle aussi, n'ayant plus d'amoureux, néglige une élémentaire propreté. En fait, sans le puissant stimulant de l'amour, tout périclite. Le commerce languit. Ce sera bientôt la misère générale.

Par bonheur, un jeune peintre, resté indemne de ce fatal vaccin, en compose un autre qui annihile la force du premier. L'amour reprend son action, règne à nouveau. Tout le monde retrouve son équilibre. C'est le retour à la vie normale, sous l'égide des Ombres des amants célèbres de l'Histoire.

Ce sujet chimérique impliquait une fantaisie et une légèreté de main qui font un peu trop défaut. Il est inutile d'insister. M. Chamarat essaye de donner du mouvement à ces trois actes qui voitdraient être plaisants, mais n'est guère suivi par les autres interprètes. P. G. Opéra. 9 h., Ballet- de Mme Ida RuWnsteln. Français, 1 h. «3, Louis XI; 6 h. 30, la Fin du jour, la Reprise.

Opéra-Comique, l h. Madame Butterfly 8 h. 15, le Bon Roi Dagobert.

Odéon, 2 h. 9), le Mariage de Figaro; S h. 30, Cftotard et Cie.

Oalté- Lyrique, 2 h. 30 et 8 h. 80, Paganlni. Trianon-Lyrique, il 30, Rêve de valse; 8 30, Mignon.

Châtelet, relâche.

Variétés, h. 30. Topaze. de Marcel Pasrçol. Porte-Sadnt-Marttn, 2 il. 30 et 8 h. 30, Napoléon IV (Véra Sersçtne).

Th. de Paris, 8 h. 45, la Course à l'Etoile. Gymnase, 3 h., 9 h. le Secret.

Sarah-Bernhardt, 8 h. 15, Cyrano de Bergerac. Renaissance, 2 n. Ces dames du 12. Palais-Royal, 2 h. 30, 8 li. 30, l'Age d'or. Marigny, 2 h. 45 et 8 h. 45, Coups de roulis Mogador, 2 lu 30 et 8 h. 30, Rose-Marie. Ambigu, 2 li. 8 h. 45, Monsieur qui si regrette.

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Boufles-Paristens, 2 h. 30, 8 h. 45, Une nuit au Louvre.

Femlne, 8 h. la Guêpe.

Michortière, s l. 45, Vient de paraltre. Athénée, 2 h. i», 8 h. 45, Votre sourire. Th. Edouard-TH, 0 h., ?,[ariette.

Chauve-Souris (Apollo), h.. spect. français. Madeleine, 8 h. 45, Broadway,

roiies-wagram, 8 h. 45, Térdsina (A. Bauee). Nouveautés, 3 h. et 8 h. Eusèbe. Théâtre de l'Avenue, 9 h., Maya.

Comidle-des-ChampE-Elysées, h., Siegfried, Scala, 9 li., la Puce d l'oreille,

Grand-Guignol, 8 h. 45, !'Homme nu. Daunou, s h. 45, 8 D. 45, l'Eau à la bouche. IIl1chel, 9 h., Lei'.a.

Th. des Arts, 2 h., Hamlet; 8 h. 30, Communion des saints.

Com.-Coumartin, 9 h., Toi que j'ai tant aimée, Potinière (TU. Bérlza), li., Angélique. Atelier, présentailon de Volpone.

St.-Ch.-Elysées, 8 le Dernicr empereur. Nonv.-Th. Comœdia, Un joli monsieur (apér.), Ba-Ta-Clan, Amants (AïKlré Brulé). Cluny, 8 h. 30, le Chemin de Buenos-Ayres. Déjaset, 8 h. 30, J'aurai Luïn.

Œuvre, 9 h., Cercle.

Eldorado, S h, 45, l'Hostellerie de la vertu. Ternes, 8 h, 30, l'A-rpète (Parljys, Bossls). Montrouge, Comte Obllgado (Milton, Urban), NoiiT.-Théatre, samedi, Veuve joyeuse. Bouffes-du-Nord, la Veuve joyeuse. Th. Populaire (Trocadéro). 2 h., l'Avare. AUJOURD'HUI. Atelier, 9 heures, répétition gdnérala de Volponc, pièce adaptée d'après Ben Johnson par MM. Steran Zweig et Jules Romains, musique de scène de M. Georges Aurlc. Opéra, u heures, première représentation des ballets de Mme Ida Rublnsteln les Noces (Àe Psyché et l'Amour, musique ;<le J.-S. Baeh, orchestrée pal M. Arthur Hunegger la Hien-Almée, musique de Schubert et Liszt, orchestrée par M. Darius Milhaud Boléro, ballet de M." Maurice Ravel. Maison de l'OEutre, 9 h., première représentation du Cercle. -o- OPERA. Le Coq d'or reparaîtra sur l'aJucae demain soi'? avec Mme RitterClampl MM. Huberty, Rambaud et Grommen dans les rôles principaux. Le spectacle se terminera par la Tragédie de Salomé, avec Mme Spessivtzeva, M. Oeorsres 'Vague ei Mme Il. Vals!.

-o- OPERA-COMIQUE. Par suit* d'lndlsposltiops d'artistes, les spectacles de la maLlnéo d'aujourd'hui et de la soirée de samedi prochain seront modifiés de la sorte aujourd'hui en matinée. Madame Butterfly samedi soir, le Chemineau. Mlle Grâce Moore donnera deux représentations de Manon avant son départ poui l'Amérique. La première de ces représenta. tions aura lieu demain soir vendredi. -o- ODEON. Choîard et Cte sera donné deux fois cette semaine aujourd'hui jeud fn soirée et dimanche novembre et matinée, avec les créateurs.

0- GAITE-LYRIQUE. Aujourd'hui er matinée et tous les soirs de la semaine Paganinf (220 représentations). Samedi matinée exceptionnelle à l'occasion de li Sainte-Catherine.

CHATELET. Pour la raison qu< l'on sait, la répétitioit générale de Charte: Lindbergh, la nouvelle féerie de M. Sachs Guitry, est remise au mercredl 38 novembre en soirée. Jeudi 29 novembre, première dt gala.

-0- PORTE-SAINT-MAHT1N. Aujourd'fiul en matinée, A 2 h. 30, le grand succès actuel Napoléon IV, avec Véra Sereine Henri Bollan et Nelly cormon. Matinée jeudi, samedi et dimanche.

THÉÂTRE DE PARIS

Elvire POPESCO Louis VERNEUIL et GERMAINE RISSE TRIOMPHENT

crans la une comeaie ne Louis verneuil LA COURSE A L'ÉTOILE Samedi SAIHTE-CATHERINE matinée RENAISSANCE

CES DAMES DU 12 pièce en 3 actes et 7 tableaux

de fin. MOUEZY-EON et A. DABL SCENE TOURNANTE

AU 2» ACTE

L'ESCALIER MOUVANT DU 12

Prix des placea de 4 Jr. t 40 francs matinée, jeudis, samedis, dimanches -O- THEATRE SARAH BERNHArtDT Voulant glurlüer la mémoire de celui qui fut le rénovateur de la poésie dans l'art dramatique français, les frères Isola commémoreront ce théâtre le dixième anniversaire de la mort d'Edmond Rostand, en faisant représenter la plupart des chefsd'œuvre de l'Illustre dramaturge.

Après Cyrano de Bergerac, que Jouent en ce moment M. Pierre Fresnay et Mme Yolande Latron (par suite d'uno entente avec la Porie-Salnt-Mariln), les frères Isola reprendront au mois de Janvier l'Aiglon, avec Mme Simone et M. Alcover.

Pour octobre prochain, la direction prépare une magnifique reprise de la Princesse lointaine, créée par Mme Sarah Bernhardt, dont le plus cher désir eût été de remettre ce chef-d'oeuvre à la scène.

Les frères Isola ont eng-ayô Mme Véra Serplue et M. Henri Rollan pour Jouer la nouvelle version de la Princesse lointaine, qu'Edmond Rostand avait écrite en gardant les grandes lignes de la créatlon.

-o- AMBIGU. Aujourd'hui en mat. t 2 h. 30, le nouveau gros succè«. Un monsieur qui se regrette, avec Tramel et Casslve. Matiné»! jeudt, samedi et dimanche.

-o- TRIAI%'ON -LYRIQUE. A l'occasion de la Sainte-Cathertne, les catbortnette» obtiendront au contrôle, samedi 2i novembre en matinée et lundi soir sô, une réduction pou" chacun de ces spectacles.

-o- GHAND-GUIGSOL. j,i;[e jane Brlce, qui pour ses débuts au théâtre lit une brillante création dans les Fruits de t'amour, vient d'être engagés pour créer le principal rôle de la plûce de M. Claude Orval la Huit au 12 ait 13.

-o- BA-TA-CLA1S. 6ern!êre d'André Brûlé flans Amants. Demain, rentrée dit célèbre baryton Jysor dans la Petite Marié/ avec io ténor Frlant.

-o- TRE:'TE ANS DE THEATRE. Le gata populair0 aura lieu ce soir, t h, 45, au Concert Brnnin, boulevard Diderot. -o- L'assembla» générale du contrôle (Association amicale professionnelle des

chefs de contrôle des théâtres. concerts et music-hall de Paris) aura lieu dimanche prochain 25 novemhre, au théâtre de la Galté-Lyrkjue. En raison de l'ordre du Jour très chargé, la séance sera ouverte il 9 h. 30 très précises.

THÉATRE ANTOINE '<> I 7 J' AI | 1 DERNIERES | \J t, ̃*> Dimanche dernière matinée ,(C? AU THÉATRE FEMINA e i8l ex-DUFLOS SAINTE-CATHERINE

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LES GRANDS CONCERTS A MONTE-CARLO La saison des grandes auditions musicales s'ost ouverte hier mercredi 111 novembre, par un festival de musique française. L'imposante masse orchestrale et chorale de Monte-Carlo se trouve Placée, dès a présent, sous la dlrection du maître Paul Paray, c'est dire que toute la série des prochaines manifestations musicales s'annonce déjà comme exceptionnellement brillante. pour ce premier festival, l'éminent chef d'orchestre <llrig:e"a des oeuvres de Lalo, Debussy, Rabaud, Dukas, Ravel et Cbabrier. s'ouvrira mercredi prochain SI novembre SPECTACLES ET CONCERTS Folies-Bergère, 8 h. 30, la Grande Folie. Conoert-Mayol, 8 30, le Cochon qui sommeille Palace, 8 il. 30, la Beauté de Paris,

Empire, 2 h. an, 8 h. 30, Racuel M«dler. Casino de Parts, 2 30, 8 30, Tout Paris. M.-Rouge, 8 Taris qui tourne (Misting.). Européen, 3 h., 9 h., chanteur ponul. Georgel. Kursaa], Suz. aloger, dhambard, attr. Cirque d'Hiver, 2 h. 30, S h. BO, les Fratelllnt. Cirque de Parie, 8 30; m. J., d. (de 2 à 14 fr.). Cirque Médrano, 8 30; mat. peudi. sam" dim. Luna-Park, tous 1, soirs de 9 A lî h. dancing. Magio-City, t. 1. s., bal, 2 orch.; dim., m., S. Jardin d'Accllm., entrée, 2 fr.; enfanta, 1 Ir. Pal. Pompéien, jdi, soir.; sam., dlm., m., s. -o· CONCERT M.tYOL. Matinée et soirée, une opérette légère de Rip, le Cochon nui sommeille, jouée, chantée et dansée par Pierrete Nladd, Georg-é, Trévoux. Lonolr et Arlettv. 60 artistes. Au deuxième tableau, les Filles (le marbre, la danseuse' aragonalse laabel Rodrigue?!, les Aima stators. ·o- La Beauté de Paria avec Edmondo Guy, Van Durren, Tina Meller, le granu comique Doumcl et Pizarro, est la plus helie revue du monde (opinion de tous les spectateurs du PALACE). Faut. orch. a part. 20 fr.

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COURRIER DES T S P Jeudi 22 novembre.

LES PRINCIPALES

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Poste da PETIT PARISIEN (340,9 • 0 kw 500) 20 h. 45, disques, causerie et information] de presse.

21 heures, concert avec le concours de Mlle Suisnne Bertin, du Trianon-Lyrique. dans Chanson lithuanienne. Berceuse, Pour toi seul. Madrigal (Chopin).

Polonaise en la (Chopin), instrumentée par Glazounov.

L'Œuvre d'Alfred de Musset, présente par Les MvissetUstes, société littéraire. Au coun de l'audition, une allocution sera prononcée par M. Crouzlllard, secrétaire de la société. Mlml Pinson, de Musset (musique de Sérat); Chanson de Barberlne, de Musset (musique de Loret), M. Georges Martin, baryton Conseils a une Parisienne, de Musset pille G. vanderval, du Vaudeville) Les Filles de Cadix, de Musset (musique de Léo Dellfies) La Chanson de Fortunio, de Mils.set (musique de Messager), Mlle Fernande Boymond, de l'Opéra L'Anglaise en diligence, de Musset (Mlle Renée d'Ombre, du théâtre de la Porte Saint-Martin) A Julie, de Musset (M. Tulard) Hymne a Musset (Ed. Pasquler), Mlie Suzanne Rouyer, expensionnaire de la Comédie-Française. 21 h. 25, Informations.

21 b. 30, la demi-heure symphonlque, sous la direction de M. Francis Casadesus. Aria de la sntte en ré (J.-S. Bach), M. Saury, violon solo des concerts Lamoureux Allegretto de la Septième symphonie en la (Beethoven).

22 heures, informations, concert Dolly (Gabriel Fauré) Le bal chez Capulet de Roméo et Juliette (Berlioz) Mazurka op. 50, n- 3 et Tarentelle op. 43 (ChopIn), Instrumen,tes Par Glazounov.

ECOLE SUPERIEURE DES P. T. T. m., O kw. 5). 8 h., informations. 9 h, 25, signaux horaires. 12 h. concert.

13 h.. Radio-Journal de France écono.mique. Cours d'ouverture de la Bourse des valeurs, cours commerciaux et Industriels, bulletin météorologique.

13 h. 3a, le quart d'heure des agriculteurs. 14 h.. Prélude, Cortège et Air da danse de l'Entant prodigue (Debussy) Sévilla (Albenlz) Mamz'elle Sourire (Lachauine) Chanson bohémienne (Baldt) A l'approche du soir (Févrlcr) Procession nocturne (Rabaud).

15 b., cours de clôture de la Bourse des valeurs. Une heure de musique enregistrée. 18 h. 30, Radio-Journal de France.

20 h., cours d'espéranto. 20 h. 30, causerie sous les auspices da la Société nationale d'horticulture « Conseil sur l'art des jardins par M. Berthier. Concert: festival Gounod.

TOUR EIFFEL (2.650 m., 15 kw.). 17 h. 4,j, Journal parlé. M. André Delacour « Le poetillon »; ü. Manier Les prêts à court terme et les dépôts do fonds » M. Jacques Antony Chrontque cinématographique""»; M' Durant-Farget 4 Chronique du Palais J.

19 h. 30, les Cloches de Noël, la Pagode d'amour Stabilisons la Madone des rosé»; les Pommes (paysannerie), etc.

RADIO-PARIS (1.Î65 m., 8 Irw.). lî b., conférence protestante « Talne et le christlanisme P, par le pasteur Durlemann. t2 h. 30, Symphonie (C. Franck) le Camp de Wallenstair (Vincent d'Indy) Un las de petites choses Caplet) Suite brève (L. Aubert) Espana (Cbabrier). 15 h. 45, chant et dattse causerie par M. Oeorjres Colomb. 19 D., communiqué agricole cours de coractabllltô présentation littéraire. 20 h. Antar (Ulmslii-KorsaKov) Fantoisie pour piano et ovchcslre (Schubert) pensé(. éliglaque (Deswert) Fanfare de chasse (Rossinf) le Coq d'or (Rlmskl-Koi'sakov).

RADIO L. L. PARIS (370 et 60 m., 0 kw. 3). 12 h. Supplication (Sérlngès) Lohenffrin, airs (Wagner) les femmes du harem, chant (E. Flament) Symphonie espagnole Vos yeux sont si doux (Cb. Sériugôs). RADIO-VITUS (302 m., 0 kw. 5). 19 b. 30, le Journal radiophonique.

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12 b. accordéon Reine de musette, ?aise les Triolets, fox; l'Entraînante, valse; !tartelette, fox la Bourrasque, valse Plattanct-tox, fox.

b. les Boulions Légende de la brise; CAantecler: fragment la Chasse, avec accompagnement de cor et de cloche. 13 h. 10, Marche hongroise. Danse des Sylphes de la Damnation de Faust (Berltoi) ouverture des Saltimbanques (Ganne) Egmont, ouverture (Beethoven).

13 h. 25, chants d'opéras Mignon Adieu, Mignon, cou,rage (Thomas) les Contes d'Hoflmann Légende de Klelnzach (Offenbach) Werther Invocation à la nature (Massenet) la Traviafa Quel trouble. (Verdi); lohsngrin Mon cygne aimé (Wagner).

20 h. Wagner s la Marche funèbre du Crépuscule des dieux; ta Fantaisie de Siegfried; ouverture de Tannhœuser la Chevauchée des Valkyries.

21 h., sélectior de Manon (Massenet), opéra-comique en cinq actes.

21 h. 50, le plus endiablé des JazZ On m'suit, fox-trot (Cbagnon) Mitsou, fox-trot (Craven) Julie, fox-trot Drtn de sourire, fox-trot (Padllla) Parisette, one step Sa valse, valse-boston (Wottcr) Nanette, one step Ça c'est Paris, one step (Padtlla). nrovvz&ZiS asbsssb

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