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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1928-03-05

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 05 mars 1928

Description : 1928/03/05 (Numéro 18633).

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k607139w

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/11/2008

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LE MALENTENDU ENTRE LE PUBLIC

ET LES COMMERÇANTS IL K S«ERA CE PAR LA STABILiSMTîON DE LA MONNAIE ET LA SIMPLIFICATION DES IMPOTS

'Un malentendu, que raniment tantôt les circonstances, tantâi des partis pris passionnées. sépare les commerçants et le gros de ta population. A vrai dire, les coinmerçants n'ont pas seulement à se défendre contre le soupçon '.le leur clientèle qui les accuse .le j fomenter la vie chère: il leur fa*u encore et surtout se protéger contre les interventions brutales ou» .les erreurs de l'Etat.. qui les rend volontiers respunsables du mécontentement public.

Peut-être convient-il, une bonne fois, de regarder la question sous son aspect d'ensemble.

Le malentendu date de la guerre

D'abord, observons que ce malentendu date d'un petit nombre d'années. Avant la guerre, 1 ét.ait extrêmement rare quo la .population se plaignît des commerçants d'une manière générale. Bien sûr, tel ou tel client pouvait trouver les prétentions de son fournisseur exagérées. mais, alors, il changeait simpleru#it de fournisseur. De Sun côté, le commerçant montrait plus de complaisance qu'aujourd'hui et accordait plus aisément des rabais.

Faut-il croire qu'autrefois le client était moins exigeant et moins susceptible qu'à présent ? Certes non. Depuis la guerre, !e client a passé par une rude écolo. Il s'est résigné à bien des déceptions sur la qualité et sur le prix des marchandises. Il est devenu moins économe et, comme on disait naguère, moins « regardant ». Que de fois, dans ces dernières années, des observateurs sévères nont-il pas dénoncé la « folie do dépense » de notre peuple

Le commerçant lui-même auraitil donc changé de nature, de caractère et de procédés ? Assurément, personne n'imagine qu'un comt'berçânt ait jamais fait du commerce pour autre chose que pour gagner de l'argent, et pour en gagner le plus possible dans le; plus-- court- délai.- Le commerçant d'autrefois n'était pas différent, à cet égard, du commerçant d'aujourd'hui. Sans doute, depuis la guerre, a-t-on rencontré, dans le commerce, plus de nouveaux venus, plus de spéculateurs, plus de mercantis prompts à saisir brutalement toutes les occasions ue s'enrichir vite, quelquefois en dupant les acheteurs. Mais la question n'est pas de savoir pourquoi certains commerçants se conduisent comme des mercantis ». Car il y eut toujours et il y aura toujours des « mercantis ». La vraie question est de savoir pourquoi la clientèle, qui se défendait, autrefois, contre les exigences de tel ou tel mercanti en s'adressant à des concurrents moins exigeants, a dû subir, dans ces dernières années, plus d'abus que jadis.

Comment le commerce

a été désorsanisé

Si 'le malentendu entre les commerçants et le public date de la guerre, c'est qu'efTectivement, depuis la guerre, les conditions dans lesquelles vivait et travaillait le commerce ont été profondément modifiées.

Le commerçant on le lui a reproché souvent n'est qu'un « intermédiaire A vrai dire, cette fonction d'intermédiaire lui est, précisément, une qualité et une excuse. Parce qu'il est intermédiaire, il remplit un rôle nécessaire, le rôle de répartiteur et de distributeur des marchandises il suit, conseille et sert la clientèle. .On a essayé quelquefois, notamment en Russie, de supprimer le commerce et de le remplacer par des offices administratifs vendant les produits comme ta poste vend les timbres. Mais les offices ou bureaux en question, assurés de leur clientèle et n'avant aucun intérêt à suivre ses besoins, la servaient très mal, à tel point que Lenine lui-même, avant de mourir, dut rétablir le commerce libre. Intermédiaire, autrement dit répartiteur et distributeur, le commerçant n'est pas maître, tin période de disette, de fixer la quantité de marchandises qu'il pourra répartir ou distribuer. Il n'est pas maître, non plus, du fonctionnement des transports. Il se trouve donc soumis à une triple dépendance dépendance visà-vis du client, dépendance via-à- vis du producteur, dépendance visà-vis du transporteur. Si la production est insuffisante. si les transports sont désorganisés ou irréguliers, le commerçant ne pe-it plus remplir son rôle normal de distributeur. Le commerçant devient alors un spéculateur malgré lui, et il voit sa profession envahi*11 par des gens qui, profitan' du désordre des marchés, cherchent simplement à taire des «coups». C'est ce qui arriva à la suite ae la guerre. Mais, aujourd'hui, la production est largement suffi-

santé, les transports sont réguliers. Le malentendu entre les commerçants el le public u'a/Jonr plus de raison d'être dans das conditions de trafic normales. Et. en effet, ce malentendu ne porte plus que sur les prix.

Les variations des prix Le public s'est plaint, 'maintes fois, de deux abul concernant les prix. Il s'est plaint, d'abord, que les prix des marchandises changeaient constamment. Il s'est plaint, ensuite, que les prix de vente au consommateur ne suivaient pas la baisse des prix chez le producteur. Il faut reconnaître que les variations de prix, qui avaient été constantes depuis la guerre et qui étaient devenues de plus en plus brutales jusqu'en ont, aujourd'hui, à peu près cessé. Depuis un an, on peut dire que, pratiquement, sauf pour quelques rares produits, les prix ne bougent plus. Cela prouve bien que la grande cause de variation des prix était l'insécurité financière et l'instibilité du franc. Mais il est vrai que la variation des prix, dont le commerce honnête restait innocent, favorisait tous les spéculateurs et tous les mercantis. Le retour à la fixité de la valeur du franc a donc eu deux résultats dont on ne saurait trop se féliciter il a supprimé les variations de prix des marchandises et il a privé les mercantis de leur principal prétexte pour abuser du consommateur.

Reste la différence entre les prix d'achat à la production et les prix de vente la consommation. Prix d'achat à la production

à la consommation

et prix de vente

Il y a là des abus incontestables. 1 où proviennent-ils? Ils proviennent, en grande partie, de cerjta-nes fautes commises par l'Etat il et d'un mauvais aménagement Me l'outillage public qui' sert à la répart itio-n des produits.

Si vous analysez le prix d'une marchandise vendue au consommateur, vous verrez que, dans ce prix, la part qui revient au producteur proprement dit ne représente, souvent, pas plus du tiers ou de la moitié. En conséquence, quand le producteur subit une baisse, par exemple de 20 pour cent baisse qui, pour lui, est 1 énorme cette baisse n'affectera le prix de vente au consommateur quo de 10 ou de 5 pour cent, c'està dire dans une proportion infime. Pourquoi ? Parce que le prix de vente au consommateur supporte, pour une part trop lourde, des charges de taxes, de transports et d'assurances de toutes sortes. Or :e commerçant perçoit son bénéfice, non pas sur le produit net. mais sur le produit grevé de tous les frais supplémentaires. De sorte que plus vous taxez et,embarrassez le commerce, plus le commerce, pour se couvrir des risques. augmente sa part de prélèvement.

Pour nettre fin iv un tel inconvéntent, il faut donc arriver à dissocier du prix net de la marchandise les charges supplémentaires provenant des taxes de toutes sortes Cela n'est possible que par une réforme des impôts commerciaux qui les rendra plu* souples et plus clairs.

Lucien BGBXIEB.

L'ACCIDENT DE COSTES

N'A PAS RETARDÉ LE DÉPART DU NUNGESSER-COLI

Nous avon, annoncé, hier, dans nos dn-nières édictions, d'après une dépêche dit .Vfît York Herald, le léger accident t-uiTenu à Sharon (Pensylvanie) l'aviateur Cnetes.

Notre correspondant de New-York nous télégraphie que le glorieux pilote s'occupait de menues réparations au Xungesxcf-Coll, lorsqu'il mit le pied. par méjr'arde, dans une ornière protonde et se foula lés musoles d'une jambe. Cet accident n'a pas retardé, comme on !'̃ remarquera, le départ du ftungesUne dépêche (le Détroit annonce que Co-itos et le Brix, repartis hier matin a Il h. ont atterri ir L'aérodrome de cette ville à. li I1,

Le conseil

delaS.D.N. ouvre aujourd'hui sa 49' session

Les représentants de la Petite Entente ont tenu hier ane réunion pour se mettre d'accord sur les questions qui touchent aux intérêts vitaux des trois États

Gpuèv», 4 mars (de not. enr.. spéc.) M. Aristide Briand vient d'arriver à Genève, accompagné de M. Philip.pe Bertheiol. dont c'est la première visite t.fjRcielle à la S. D. N. Tous tes doux ont, été reçus à la gare par une assistance nombreuse membres du consulat, fonctionnaires de la S. D. N.. diplomates et journalistes de tous les pays qui ont faii le plus sympathique accuoil. Le «Mlégué de la France était le «ou! qui manquât encore à l'appel les autres grands premiers rôles, sir Austen et M. Slresemann, i'ayant précédé ici ce matin. Le conseil se trouve donc désormais au complet. Il est, cette fois encore. brillamment composé, puisqu'il coroprend sept ministres des Affaires étrangères ceux de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Pologne., de Roumanie, des Pays-Bas et de Finlande. Ce nombre sera d'ailleurs largement dépassé, puisque MM. Benès et Marinkovitcb sont déjà ici et qu'on attend encore MM. Miehafacopoulos, Bourof (Bulgarie) et Wajko (Hongrie) qui, tous tes cinq, -<erorlt. plus ou moins mêlés étroitement aux travaux de cette session.

Ou se rappelle qu'en décembre dernier, ce dimanche, veille régulière de l'ouverture du conseil, avait été marqué' pour ie .ministre français par une série de vingt visites, aux cours desquelles ses collègues étaient venus examiner avec lui les questions portées iL l'ordre du jour. En raison de son absence, cette journée a été, cette fois-ci, particulièrement calme. Sir Austen Chamberlain a profité du beau soleil pour faire une promenade en auto sur le bord du lac. Fatigué par son voyage en chemin de fer, M. Stresemann a fait la sieste. Seuls les représentants de la Petite Entente, bien que tous les trois soient souffrants, ont tenu à ne pas perdre de temps et ont eu, cet après-midi, une conférence de plus de trois heures. (A la troisième page, let détails sur la conférence de la Petite Entente.) Le cabinet égyptien démissionne après avoir repoussé

Sarouat pacha

'e traité d'alliance britannique

Londres, 4 mars (d. Petit Parisien.) Une dépêche du Caire annonce que Saroual pacha a remis au haut commissaire b r i tannique, lord Lloyd, une note lui faisant connaître que son gouvernement avait rejeté les propositiuns britanniques pour la conclusion d'un traité d'alliance. Cette démarche accomplie le premier ministre a remis au roi Fouad la démission du cabinet.

LES ÉLECTIONS A LA DIÈTE ONT EU LIEU HIER EN POLOGNE Varsovie, 4 maris [dép. Bavas.)

Ce matin, à 9 heures, ont commencé dans toute la Pologne les élections à la Diète. Le droit de vote cst accordé a 15 millions de Polonais au total, répartis dans soixante-quatre arrondissements qui sont divisés en 18000 cercles électoraux, ce qui rend possible le rapide accnmplissement du devoir électoral pour tous tes citoyens. Le plus petit arrondissement nompte en effet soixante-dix cercles électoraux et le plus grand en compte sept cents. L'empressement il voter a été remarquable. LE SUCCESSEUR DE M. GREGORY AU FOREIGN OFFICE

M. Vansittart

Londres, 4 mars (d. Petit Parisien.) Le successeur de M. Gregory est dfsigné. C'est M. Vansittart qui. ancien secrétairo privé de lord Ourzon et nommé récemment chef du secrétariat du premier ministre à Downing Street, est promu sous-serrétaire d'Etat permanent adjoint du Fare Ign Ortie*. M. Va nsittart continuera toutefois, pour le moment, à remplir les fonctions de sede M. Baldwin et. en attendant qu'il prenne effectivement son n poste an Foreign Office, sa fonction

sera exercée par M. Oliphant, conseiller

LE CROSS INTERNATIONAL du Petit Parisien

a connu un succès sans précédent EN f RESEICE D'UNE FOULE I1EISE, IPfl COUREURS SE SONT DISRUTÉ LA PREMIERE PLACE L'ÉPREUVE A ÉTÉ GAGNÉE PAR RENÉ DESROCHES (ORLEANS) qui a couvert les dix kilomètres du parcours en 38 minutes 35 secondes

Avant le cross. il y avait eu le plus gigantesque rallye qu'on puisse imaginer. Les trains par rafales, les cars, les autobus, les tramways et les taxis, en convois interminables, avaient déversé, au pont de SaintCloud, la Poule des plu*. grands jours- qui, sitôt débarquee, se répandait dans le bois ou-sur les pelouses de l'ancien domaine impérial. Un soleil de 15 août mettait, sur tout le paysage encoçp gris de l.'tnvei finissant, un air, de fête joyeux. Plu^de 250.000 spectateurs franchirent les grilles du parçet' restèrent deux Arrivés en gris sombre, en bleu marine,'en marron'ou en veston, le:champions envahissaient bientôt les vestiaires pour en sortir en costume de sport culottes de-toile et maillots- de jersey. Puis, en ordre, ils se rendaient à la caserne où, dans la cour du petit manège, le docteur Corbier et ses trois aides, MM. Arviset, Sacuto et .Aubert, les examinaient minutieusement.

Leur troupe impressionnante par le nomb ils étaient 1,947 sur la ligne de départ offrait le plus pittoresque spectacle. Vétérans et benjamins se confondaient en ses rangs.

Il y avait de vrais gosses,, seize à dix-huit ans, bicn découplés, râblés et pleins de cran, et aussi des ancêtres., bravesi à trois poils qui, à la tin de l'épreuve, se déclaraient prêts ù la recommencer, et mêmes a la gagner.

Tous les rouges, tous les bleus, tous les verts. Des zébrures et des raies en long, des étoiles éclatantes ou de gros pois sur fond blanc, des couleurs de l'Espagne et de'l'Italie et de tous les pays du monde et de l'arc-en-crel fout entier.

Quand ils Eurent sur les lignes de'départ, groupé' en masçe assez compacte, au bord du tapis vert de la. pelouse on pùI dit un part.-rre fleuri. La tribune officielle dressait à quelques pas; ses velnurs rouges, ̃̃es dorures, ses faisceaux de tirapeaux. Il fanait -beau à chercher du regard la Méditerranée.

A )4 h. 30. on ouvrit sur une petite •strade quelques paniers de pigeons. Déjà F'ronval, notre grand as du lo iping et des pln« effarant'?* arrobahps aériennes, levait le bras pour donner le départ. Mais nos «phrlsitien avaient des ailes aux talons et ils n'attendirent pas le claquement du pistolet. Les oiseaux leur montraient la route, Ils s'élanrèrwnl. Ce fut. Soûl à coup, comme si le Jardin enchaîné se mettait à courir. Une immense clameur jaillissait de la fnrêl proche, où ehaque arbre debout abritait un guetteur, où chaque tronc couché

INSTANTANÉS PRIS AU COURS DE L'EPREUVE DU «PETIT PARISIEN En haut les concurrents attendent sur la 'ligne de départ au-dessous Ils sont partis Dans l'ovale la foule attendant à l'arrivée ,En bas les portraits des trois premiers le vainqueur Desroches (au centre) Blanc, deuxième (à gauche) et Thorens, troisième (à droite) v

servait de foste d'observation à toute une famille Les voilà! ». Dès le premier kilomètre, 'me rude épreuve allait déjà sélectionner les Il y avait, tout près du départ, une terrible petite grimpette, pas très longue, mais extrêmement dure. Un talus de glaise traîtresse, qui montait presque à pic il 30 mètres.

Celui qui n'a pas de souliers' à crampons, disait Léon de Nys, peut toujours essayer cette ascension-lù. Cependant, presque tous la réussirent, môme avec de simples chausrsons de bains de mer.

Les premiers abandons ne se produisirent qu'aprés le premier qui déboucla à « l'étage » et qui devait garder de hout en bout la tête. C'était René Dosroehes, un grands jeune gaillard de vingt-trois an?, qui occupe dans le civil de pnisiMe? fonction* à la mairie d'Orléans Il fut l'an dernier champion milita re Il aura maintenant, pour faire sfrs course- une superbe conduite intérieure Renault de luxe. Il l'a gagnée mpt sa minute de cnurse au chiffre coquet-de 500 francs environ. 000

Le second, André Blanc. qui n'a guère lârlié Dpsroi-ln-1-. <>f,\ arrivé quelques secondes après lui.

Il est voyageur de commerce dans les cuirs.

Le sideoar que je gagne sera

bien commode pour mes tournées. disait-il après le but.

Le; trajet n'otïrait plus guère de difficultés, pa.^sé la grimpette du début.; il passait assez longtemps sous bois, allait virer vers Garches, franchissatt une petite rivière et revenait sur la caseade.

Le déboulé des premiers arrivantes fut impressionnant. Ils surgissaient en petoton encore épais derrière lus trois ou quatre premiers, il qui les 500 mètres fournirent l'occasion de luttes épiques.

Dans la tribune d'honneur, où avaient .pris place Ni. Henry-Paté, vice-président de la Chambre, ancien haut commissaire à l'Education physique le maire de Saint-Ctoud, M. Magnez, M. Petit, conseiller de préfecture, représentant, M. BonnefoySibour. préfet de Seine-et-Oise le commandant Hamelot, chef du service de. l'éducation physique et de la préparation militaire de la Seine, représentant M. Painlevé, les deux champions, Desroches et Blanc, turent conduits sous la clameur triomphale, de la foule. et reçurent félicitations et gerbes -de fleurs.

Les arrivées jCDUlinuaieut dans un ordre parfait sans que l'intérêt de I épreuve se ralentît un seul instant. Les.arrivants reçurent chacun une jolie médaille commémorât ive représentant une arrivée de cotirsp à n-ied qui- nI' pouvait pas être plus belle que celle d'hie,r.

On remettra ça 1 disaient, en

emportant leur souvenir, les concur* rents que les premiers, selon leut propre expression, « n'avaient pas attendus ».

Le public, on l'entendait à chaque pas, en traversant la foule, souhaiter unanimement ne pas t r o p attendre son prochain plaisir.

Le succès d'hier nous engage à lui donner bientôt satisfaction.

Raymond de Ny$.

LES DIX PREMIERS

i. René DESROCHES (Orléans), ea

2. André Vlanc (BiHancourO, 39' 10" 4. Raymond Fcrrot. (Chartres), 3'J' i: 5. Raymond Barré (Bernay), 39' (i. C. Olinger- (Luxembourg)

7. Pierre Kerpadron (Dnvveii)

• 8. GaStoh dp Nys (C. S. F.)

9. Maurice Kreckelbrrgh (Bobigny)

10. Jules !\fanc;ni .vOyonnax).

(La suite du classement ta i' nage.}

René Dosroches, gra,txd et jovial garçon,, admirablement découplé, est né à Cli.ihrycn

Il est employé il la mairie d'Orléans. C'est, du reste il nous le contait hii* ̃ -dans l'exercice de «os fonctions, qu'il (Icbuta en course il pied.

J'avais avec moi en 1922. nous cont.a-t-il, quelques collègues qui avaient atteint la trentaine, et commençaient il bedonner lis s'adonnaient sans grand entrain et grand succès à divers ex,vk-:>s physiques, et j'étais lu roi de toates 1rs suécù'litées pas un ne sautait aiussi bien que Tioi, à. pie<ls jointe, sur une table

Un soir nous mAis rendîmes au stade et on; fit do la course.

De projçrès en progrès, .j'urrivaiis si faire i"js 1.500 mètivs et) 5' Cj n'était peut-être pas très brillant-, mais nus concurrents de l'époque étaient encore plus médiocres que moi.

Un jour, cependant, un directeur do club, me vrovant courir, trouva que .le n'allais pas mal, et que, peut-être.

Tels furent les Utibuls de Ui'sroches. Depuis, il progressa sans cej.se >t ses succès ne se comptent plus. Ijsiu Itablo dans sa région, i! tut. quatre (tn:i0cs consécutives, champion de l'Orléanais.

Vint l'époque du -ervioe militaire. Incorpore au J3i" réK'.nieiit d'infanterie. Il continua son entraînement snii? la direction du lieutenant Bahut, qui fut pour lui, non seulement un ciinf :Tspeol(!, mais un dévoué conseiller. Et l'an dernier, il romportait le titre de champion militaire de cross-eountry.

Son adversaire de ce jour-ià, et contre loquet il dut soutenir une très dure lutte, n'était autre que André Blanc, qu'il. retrouva sur ses talons hier. Le Bordelais Larioumes;ue avait été battu dans cette même compétition.

KmuT>érer les succès de Oesroches serait fastidieux toujours il tint tête aux meilleurs.

11 se propose, du reste, de continuer. J'ai une automobile, c'est -entendu, nous dit-il, j'en suis absolument enchanté mais pour l'agrément et p<.mr la bonne isanté, rien ne vaut encore la course pied.


LE PROJET DE LUI

SUR LÀ CAISSE D'AVANCES AUX

Adopté par la Chambre, sera-t-il voté par le Sénat avant la fin de la législature ?

La commission d'administration générale de la Chambre, dans sa séance de jeudi 16 février, a décido d'intervenir auprès du ministre de l'Intérieur pour qu'il hâte le vote par le Sénat du projet de loi sur la caisse d'avances aux communes. C'est que ce projet a eu tant de Mcissitudes depuis qu'il est soumis aux délibérations des deux Chambres que ses promoteurs se demandent s'il ne lui arrivera pas la même aventure qu'en avril 1924 où, faute d'avoir été inscrit à l'ordre du .jjtir, il devint caduc avec la fin de la législature.

Et, cependant, ceux qui suivent de près ¡'évolution financière des communes de France sont frappés de la difficulté qu'éprouvent leurs édiles à satisfaire aux obligations qui leur incombent.

Aux charges permanentes d'admiiiislratioii, de vicinalilé et d'entretien du domaine sont venues s'ajouier les charges créées par toutes les lois d'assistance, toutes le, lois sociales nui ont vu jour en 1902, en 1905 et depuis la guerre, Et puis, ces collectlvités ont dû se procurer des ressources pour l'amélioration des, routes, des transports, les adductions d'eau, leur ces conditions, étant donné notre législation «communale, c'est un prùblèmc insoluble pour beaucoup de conseils municipaux que ii'étj\hlir leurs budaets.

Certaines villes, comme Cherbourg, ont vu, de 1920 à 1926, le nombre de leurs centimes additionnels passer-do 27 à 281 à Lille, il a passé de 50 à 488 à Amiens, de 52 à 32 j des communes rurales ont dû s'imposer de 1.445 centimes additionnels (c'est le cas do l'Albandes-Vilbands, en Savoie).

Il est bien évident que, en présence d'une elle situation budgétaire, tous les travaux présentant un caractère d'intérêt général sont ajournés sine die.

Conséquence la désertion rurale s'anrptifie, nos campagnes sont abandonnées, nos villages tombent en ruine.

Le gouvernement, dans la dernière législature, a déposé un projet pour remédier à cet état de choses et donner aux communes le moyen de réaliser les œuvres de progrès social et économique auxquelles aspire la démocratie.

Ce projet organisait le crédit aux communes et aux départements. Déposé le 25 mai 1923, devenu caduc à la fin de la législature il fut repris le 31 juillet 1924. La Chambre le vota le 10 mai 1927. Le Sénat ne l'a pas encore examiné. Aurat-il le temps d'en faire un texte définitif avant la séparation des Chambres ? C'est la question qui se pose.

D'après le projet sorti des délibérations de la Chambre, les ressources de la caisse d'avances dépasseront, la première année, cent millions de francs et iront s'accroissant d'année en année, au point d'atteindre au bout de 50 ans, en tablant, bien entendu, sur l'exacte rentrée des avances faites la somme formidable de trente mil)iards.

Sans doute, dans les exercices qui Suivront sa création, les disponibilités dont disposera la caisse seront notablement insuffisantes pour répondre toutes les demandes, mais elles s'aocroïtron considérablement, surtout à partir d, la dixième année. A ce moment, la caisse d'avances permettra aux cdllectivités locales de réaliser dans les conditions les plus favorables tous leurs programmes d'assainissement et d'amélioration et même pourra-t-on alléger, à l'aide de son actif, une partie du budget. da l'Etat.

Eu tout cas, « les difficultés du début, comme l'a fort bien dit M. Marchais" président et rapporteur de la commission de la Chambre, ne sauraient empêcher d'apercevoir les avantages multiples de L'avenir». Plus vite la caisse sera réalisée plus tôt elle produira tous ses heureux effets.

Tous les administrateurs des communes attendent la décision du Sénat.

Le championnat d'échecs Teuler Hier se sont poursuivis tés épreuves pour 1e (iiumpionnat Tenter. En voici les résultats

caltrioTlc Buttes Cliaumont bat Fou du Boy pat'8 a Rive Gauche et Philirtor, nulle, par 3 3 Lutèce bat Poteinkine' par 3 2 2

catégorie. Brltlsh Lltib bat Vltry-sur- Bcty Cé<TtHr>e nulle, par 3 a 3. Lv '"s cercles après cette- troi1™ f. Lute-ce, 13; Rive Gauche et PhiUdor, Palals-Koyal, 8 Fou du Roy. 7 1/2 Buttes Cliauruont, 41/2; Potemkine, 4.

calégorts: Brltlah Club, 9 lIontrois, 8 Lcvallols, 7 1/2 Fou du Roy (équipes seconde}, 6 Vitry-sur-Seine, 5.

4. Feuilleton du Petit Parisien, 5-3-28 Grand çinêroama ^gfyW^P^*P> t aventures et d'amour par ARTHUR BERNÈDE

PREMIÈRE PARTIE

LE FRATRICIDE

11I (suite)

le malheur près de la porte

Occnnés, les uns potiner, les autres se bourrer de sandwiches, de petits fours, ou h vider des coupes de champagn« et des verres d'orangeade, les invités ne s'aperçurent pas de la disparition du maître de la maison et du jeune Industriel, qui étaient passés tous deux dans un luxueux cabinet de travail communiquant directement avec la pièce qu'ils venaient de quitter.

Après avoir indiqué Hervé de s'asseoir en face de lui, M. de Ilhuys prenait place sur un siège, devant un admirable burenu Louis XV qui aurait pu rivaliser avec le chef-d'œuvre de Riesener, juste' gloire de notre musée des Arts décoratifs, au Louvre.

̃ Mon cher ami, attaquai t-il, vous «avez toute l'amitié, toute l'estime que j'ai pour vous. Depuis la mort de vos parents, je me suis habitué yous considérer comme mon fils.

Et moi, déclarait Hervé avec élan. vous aimer comme un père.

Alors, s'écriait le père d'Huguette, Copyright by Arthur Uernetle, Tous droits de reproduction et traitectlon réservés pour tous paya

L'ASSASSINAT DU COURTIER EN BIJOUX Il y a huit jours qu'il fut tué et la police n'a encore recueilli aucun indice qui puisse la mettre sur la trace de son meurtrier

L'enquête sur l'assassinat du courtier en bijoux Gaston Truphème* s'est activement poursuivie hier, sans apporter encore l'indication qui doit mettre la justice sur la piste du coupable. L'inspecteur Février, de la première brigade mobile, s'est rendu à Châtres pour y recueillir de M. Darnay, maire de cette localité, des précisions sur l'inté- ressante déclaration faite par lui à la gendarmerie de Tournay et que nous avons signalée.

.NI. Darnay, on le suit, avait croisé sur la route n° 10, vers 7 h. 30 du matin, une auto arrêtée, conduite intérieure, couleur CI chocolat dans laquelle, sur la banquette du fond, Il avait remarqué un très volumineux paquet enveloppe dans une couverture. Auprès de la voiture se tenait, en train de réparer un pneu, un individu à la moustache brune et assez grand.

M. Darnay n'avait parlé, dans sa déposition, que de l'avant du mystérieux véhicule capot brillant avec phares nickelés. L'enquête ayant déjà recueilli des indications concernant les autres parties du véhicule aperçu à Brie-ComteRobert par le garagiste, M. Izera, et son employé, M. Demars, il importait d'obtonir, ce sujet, quelques précisions du maire de Châtres Malheureusement, M. Itarnay n'a pu les fournir.

Pilotant lui-môme sa conduite intérieure, M. Darnay, en arrivant a hauteur de la voiture » chocolat dut considérablement ralentir son allure, l'homme, occupé à la réparation de la roue avant, barrant presque entièrement la route. Ce ralentissement forcé lui permit de bien observer à. loisir le capot du véhicule, mais le passage lui ayant été rendu libre,

M. Darnay démarra rapidement sans songer à l'arrière de l'auto en panne. Or c'est l'arrière du véhicule, venu stopper à proximité du garage de Bie, qu'ont aperçu MM. Izera et Demars. Des particularités très caractéristiques y avaient été relevées. que les enquêteurs escomptaient voir confirmer par le maire do Châtres. Il n'en est malheureusement rien. De son côté le brigadier Mouget a poursuivi diverses vérilleations à Paris. Dans les vêtements du courtier, on a découvert, épargné par le feu. un carnet sur lequel le courtier consignait de précieuses indications. A côté de commissions journalières, on a relevé sur ce carnet les noms, auxquels correspond une adresse, des personnes avec lesquelles M. TrupUùme se trouvait en relations.

La minutieuse enquête faite sur chacune d'elles n'a donné, jusqu'ici, aucun résultat.

Ce matin, h 10 heures, les enquêteurs vont faire ouvrir le coffre que Mme Van Severen, la patronne du courtier, possède l'Union commerciale, rue Chauchat. Cette opération apportera-t-elle quelque lumière ? M. Truphème, qui y venait chaque jour prendre son portefeuille, peut y avoir déposé des papiers ou une correspondance dont le dépouillement ou le contenu pourraient utilement servir les policiers.

M. Kohn-Abrest, directeur du laboratoire de toxicologie, va incessamment examiner les viscères de la victime, et M. Bayle, directeur du service de l'identité judiciaire, va examiner les vêtements ainsi que la toile à sac et la couverture de voyage qui enveloppaient le corps. La disparition do garagiste de Suresnes demeure mystérieuse

Pendant toute la journée d'hier, les policière ont continué leur enquête pour établir les circonstances dans lesquelles est disparu NI. Jean Patétif, garagiste, 9, rue Voltaire. à Suresnes, dont l'automobile fut retrouvée abandonnée dans le bois de Boulogne, ainsi que nous l'avons relaté hier.

Mais aucun renseignement intéressant n'a pu être reoumlli.

Par contre, Mme Patétif a la conviction que son mari a été entrnlné dans une aventure qu'elle ne peut s'expliquer. Mon uiart, nous a-t-elle déolaré, n'est pas parti mercredi matin, comme on l'a écrit, maie mercredi soitva 17 heures. Il se rendait Pithiviers. chez M. Corbeau, et son passage m'a été signalé dans cette ville le même soir à 21 heures. Depuis, poursuit Mme Patétif toute en la fines, je n'ai plus auenne nouvelle. Il est certain que si vraiment le disparu s'est rendu à Pithiviers, la découverte de la voiture dans le bois de Boulogne ouvre le champ h toutes les hypothèses, et c'est cet Intéressant point que les policiers vont s'efforcer de vérifier. LE CRIME DE NEUILLY

LA PISTE SIBNALÉE PAR UNE LETTRE ANONYME ETAIT. URE VENGEANCE DE FAMILLE Nous avons dit hier que M. Sir!, commissaire de police de Neuilly, avait reçu samedi soir une lettre anonyme lui désignant, comme pouvant être l'assassin do la couturière de la rue de la Ferme, un Personnage dont le signalement correspondait sur plusieurs points avec celui que recueillirent les enquêteurs.

Convoqué au commissariat, le jeune homme put, fort heureusement pour lui, fournir une justification parfaite de son temps le jour du crime et le lendemain. Il démontra en même temps au magistrat que la lettre anonyme avait été écrite par certains de ses' proches parents avec qui Il est en mauvais termes. 1 L'abondant:* des matières nous oblige it remettre à demain la sait* des articles de M. LOUIS ROUBAUD

SA MAJESTÉ LA ROBE DE PARIS PROMENADES DANS LE MONDE DE LA COUTURE

pourquoi avez-vous cessé tout à coup de nous voir?

Kergroix garda le silence. Le regard rempli d'une tristesse soudaine, on eût dit qu'il cherchait il éviter celui que le comte fixait obstinément sur lui. Tous ces derniers temps, reprit-il avec gêne, j'ai été très pris à l'usine. Je veux bien en convenir. Mais pourquoi nous avez-vous téléphoné que vous n'aviez pas pu vous rendre à l'Académie parce qu'un accident imprévu s'était produit dans l'un de vos ateliers? Hervé se tut encore.

Vous avez dû vous douter, reprenait le comte Robert, qu'il m'était facile de contrôler la non-exactitude de ce prétexte.

Le jeune homme baissa le front. Avec fermeté, M. de Rhuys mnrtelait: Je ne veux pas qu'il y ait de malentendu et encore moins de mystère entre nous. Hervé, je veux savoir la vérité, toute la vérité.

Je vous en supplie, monsieur, s'écriait Kergrofe avec un accent d'étrange désespoir, ne me forcez pas a vous répondre.

A son tour, le comte Robert se tnt et la même question que sa mère lui avait posée dans l'après-midi lui revint 11 l'esprit:

Saurait-il ?

Dissimulant avec peine son Inquiétude, il s'en fut vers Hervé qui, non moins ému, s'était levé et, le saisissant par le bras, il lui cria

Vous n'avez pas le droit de vous réfugier ainsi dans l'équivoque. Je veux tout savoir, vous m'entendez ?. Tout! Je le veux, il le faut!

La gorge contractée, Kergroix murmura

J'aime votre fille 1

L'AUTOPSIE DE CADORIN

A CONFIRMÉ

L'HYPOTHÈSE DE L'ASSASSINAT Par contre, on persista à penser que le courtier Boucaud S'est suicidé

Caen, 4 mars (riép. Petit Parisien.) L'autopsie du cadavre du chauffeur Cadorin faite ce matin par les docteurs Aumont et Guibe, a révélé que le malheureux avait été tué d'une balle de revolver entrée en-dessous et un peu à gauche de l'omoplate droite et qui, après avoir traversé le corps de part en part. est sortie presque au milieu de la poitrine la mort a dû être Instantanée on n'a trouve trace d'aucun autre traumatisme sur ie corps. Le chauffeur a donc bien été victime d'un crime analogue celui dont fut victime son .collègue Boulle puis jeté il l'eau. Cadorin a-t-il été tué sur son siège ? La position de la balle le laisserait croire, mais on ne s'explique plus, alors, les traces de sang retrouvées dans le taxi, et surtout au bord du marchepied. Il 'est beaucoup plus vraisemblable' de supposer que le chauffeur est descendu do son siège y l'appel de son client, que celui-ci est également sorti de la voiture et que c'est sur la voie publique, tandis qn'il était peut-être penché ia l'intérieur du taxi. que Cadorin a été tué. Il est alors tombé la tête en avant sur le marchepied. Quant au voyageur Boucaud, la seconde autopsie n'a pas infirmé l'hypothèse du suicide et le parquet ne croit, pas à une corrélation entre les disparitions du chauffeur Cadorin et du courtier nantais. On fait remarquer, d'ailleurs, que rien ne prouve que les deux hommes soient tombés il l'eau an même endroit. Il peut se faire que, par suite des crues très fortes qui se sont produites- depuis un mois, les deux cadavres aient été amenés aux environs du nouveau barrage, pour reprendre ensuite, après un mois, leur marche vers la mer.

PRISE ENTRE SON DEVOIR ET SON UNE JEUNE FEMME SE TUE

DANS LE BUREAU DE SON AMANT Un drame assez poignant s'est déroulé Paris, dans le quartier de l'Europe. Une jeune femme, dont le mari occupe une situation Importante dans un établissement financier de Seine-et-Oise, s'est tuée dans le cabinet de consultation d'une haute personnalité médicale, dont elle était la maîtresse depuis assez Partagée entre son devoir et son amour, la malheureuse avait, a diverses reprises, manifesté son Intention d'en finir avec la vie. Décidée à mettre à exécution son funeste projet, elle pénétra en coup de vent, samedi après-midi, dans le cabinet où travaillait le docteur, lança sur le bureau deux lettres et, sortant d'un geste brusque un revolver de son sac à main, se logea une balle dans la tête se tuant net.

Des deux lettres écrites par la désespérée, l'une était adressée au praticien, l'autre au commissaire du quartier. Dans cette dernière, la jeune femme demandait à être inhumée dans un cimetière de la périphérie, où son amant possède un caveau de famille dans lequel il doit plus tard reposer.

LE CONSEIL NATIONAL

DU PARTI SOCIALISTE COMMUNISTE Le conseil national du parti socialiste communiste s'est réuni hier à la mairie de Saint-Ouen, sous la présidence successive de MM. Boussuge, adjoint au maire de Salnt-Ouon; Lesenno, conseiller général, et Bacheiet, sénateur, assistés de M. Paul Louis, secrétaire Rénéral du parti. Il s'est occupé longuement de la tactique à suivre au cours de la campagne électorale prochaine et, comme conclusion à ce débat, a voté une motion qui confirme la décision prise par le congrès national les candidats du parti socialiste communiste no pourront se désister que pour des candidats communistes ou pour des candidats, socialistes dans tout autre cas, les candidats du parti devront se retirer purement et simplement.

La motion adoptée précise qu'elle s'inspire du souci de l'unité ouvrière,, ainsi que de celui de faire écheo aux partis de réaction.

LA MÉGÈRE DE CAUCHY-A-LA-TOUR

II y a quelques jours, ainsi que e nous l'avons signalé, une ivrognesse d e Cauchy-à-laToor (Pas-de-Calais),Caroline Dhollande, vingt ans, jetait dans une fosse d'aisances soit bébé âgé de deux ans, parce que celui-ci avait renversé une bouteille rhum.

La mégère a fait preuve, devant le juge d'instruction de BéGtlune, d'un cynisme révoltant. Elle a déclaré avoir choisi, pour se débarrasser de son finfant. 1 n fncsp

Caroline Dholiande

d'un voisin de préférence à la sienne, parce que celle-ci avait été tout récemment vidée.

L'Œuvre du pot-au-feu pour les vieux dans le X' arrondissement

L'OKnvre du pot-au-feu pour les vieux, dont la directrice-fondatrice est Mme Ducholselle (13, rue ISachelet), vient d'étendre son action à plusieurs arrondissements de Parts. Il y a queiques jours une distribution de pot-au-feu rut faite dans le XIX».

Mercredi, les vieillards du X- arrondissement bénéficieront à leur tout d'une distributton gratuite qui aura lieu à 15 heures, 215, rue du Faubourg- S aint- Martin.

Je le savais, déclara M. de Rhuys en desserrant son étreiilte.

Le jeune industriel se laissa tomber sur un siège. Le comte Robert l'observa un instant. Puis, s'avançant vers lui et dominant sa secrète anxiété, il lui demanda, d'un ton redevenu bienveillant, presque paternel

Vous croyez peut-être qu'Huguette ne vous aime pas ? Eh bien moi, je vous affirme qu'elle vous adore. Contrairement il son attente, ces paroles parurent grandir encore le désespoir d'Hervé.

De plus en plus étonné, le comte reprit

Vous redoutez que je vous refuse sa main ? Rassurez-vous, je suis prêt a vous l'accorder

Hélas mon cher maître, soupirait Kergroix, je n'ai pas le droit de vous la demander.

Pourquoi ?

Je ne suis pas libre.

Une liaison ?

OuI, une liaison que je ne peux pas rompre.

Par crainte du scandale ?

Non, par devoir, par pitié.

Profondément affecté, M. de Rhuys hocha la tête d'un air découragé. Puis it tit

Comment avez-vous pu, mon pauvre enfant, vous laisser prendre ainsi ? Hervé expliquait

Quand j'ai connu cette femme, Huguette était encore presque une enfant et elle ne m'inspirait qu'une affection toute fraternelle.

Mais, à mesure qu'elle grandissait, je me sentais attiré vers elle par un sentiment de plus en plus vif que je croyais être encore de l'amitié, lorsqu'un soir, au bal de l'ambassade d'Angleterre, son charme m'enveloppa d'une lumière si pénétrante que je vis clair en moi.

Premières Représentations Odéon. Agir, pièce en trois actes, de M. Llonçl Landry.

La conception de cette pièce n'est assurément pas médiocre, mais cllc ne se dégage qu'assez péniblement d'une froide réalisation*. Les hommes de pensée peuvent-ils senfermdr dans leur tour d'ivoire? Leur supériorité intellectuelle ne leur impose-t-elle pas le devoir de se jeter dans l'action? Mais des élans généreux, la hauteur même de leurs idées, la noblesse «le leur désintéressement risquent de se heurter aux passions de la foule. Ils ne sont pas compris, ils s'exposent à d'amères déceptions et, par une ironie, bientôt débordés dans cette vie publique à laquelle ils se sont mêlés, ils n'ont rien accompli de ce qu'ils avaient tenté de faire. C'est une thèse qui ne va pas sans arbitraire ,dans son développement.

Dans un pays imaginaire, une criante injustice, encore qu'elle n'ait pas été commise à son égard, a révolté un savant illustre, Adrian Schcsffer, et l'a poussé à se mettre à la tète d'un mouvement de protestation ne tardant pas à être redoutable pour le gouvernement. Son laboratoire lui semble trop étroit pour lui. Désormais, il agit », entraînant dans cette action une jeune femme, Irène Dewinter, associée à ses travaux, qui demandait à la science l'oubli d'une trahison en amour, son abandon par un certain baron Christian de Hoelga, un des artisans, précisément, des mesures qui ont soulevé l'indignation du professeur Schœffer. Autour de celui-ci, il y a encore un autre savant, son disciple et son collaborateur, Arnold, qui cache sous des dehors sceptiques une âme tourmentée. Un des défauts de cette pièce est que l'essentiel se passe pendant les entr'actes, plus nourris de faits que les actes. Une révolution a donc balayé le pouvoir royal, et Adrian Schœffer, dans le nouveau régime, est un des commissaires du peuple. Les événements ont marché vite, ont dépassé, en leur brutalité, son idéal. II s'était soulevé contre uns injvstice il n'en sanctionnera pas une autre que veulent imposer ses collègues. Il donne sa démission avec une dignité qui inspire à Irène une telle admiration qu'elle s'enorgueillit, quand il lui demande de devenir sa femme, de cette acceptation.

Puis beaucoup de choses encore pendant l'entr'acte suivant. La révolution a suivi un cours violent. Adrian Schœffer est mort. Irène vit seule, loin du monde. Un fugitif, traqué par la police, vient lui demander asile: c'est Christian de Hoelga. Il fut coupable envers elle, mais elle l'aima; le feu couve encore sous la cendre; cet amour se réveille en elle. Elle tentera de sauver Christian en partant même avec lui. Or Arnold, qui semblait n'être qu'un spectateur désabusé de l'agitation humaine, est entré, lui aussi, dans l'action. Peutêtre veut-il voir jusqu'où va le déchaînement des passions populaires. Il poursuit Christian, signalé comme un des chefs de la réaction. Il le poursuit avec d'autant plus d'animosité que, sans l'avouer, il fut épris d'Irène. Il les tient tous deux à sa merci; il peut les faire arrêter à la frontière. Il suffit d'un ordre téléphonique donné par lui. Cet ordre, il ne le donne pas cependant. Lui non plus, mais par pitié, il n'a pas été jusqu'au bout de sa volonté.

La tenue de ces trois actes ne dissimule pas tout ce qu'ils ont de hasardeux. Il n'y a quelque vie dramatique que dans le dernier, mais il parait être une autre pièce. Les intentions restent confuses. Mlle Germaine Rouer, ardente sous un masque énigmatique, et M. Richard Wilm, qui a donné du relief à la figure d'Arnold et a apporté de l'originalité da::s le dessin qu'il en a fait, se détachent de l'interprétation, consciencieuse avec MM. Balpétré, Rozet et Mme Germaine Duard. Paul GINISTY.

GAtté. opérette en trots actCs de, M. Franz Lehar, version française de M. André Rlvoire.

Comme toutes les œuvres jouées à la Gaîté, celle-ci est montée avec beaucoup de goût. Les décors et les costumes en sont fort réussis. Le sujet, malheureusement, n'est guère divertissant. Il se borne à nous conter l'histoire du célèbre violoniste italien et de ses amours pour la princesse Anna-Elisa et pour l'actrice Bella, dont la beauté a conquis primitivement le cœur du prince Bacciôchi. Paganini est sur le point de payer fort cher cette aventure et d'être arrêté par ordre de Napoléon, Ibrsqu'il est sauvé par la princesse, qui lui offre le bras pour quitter avec lui, qu'elle aime, la salle des fêtes du palais, à l'issue de son concert triomphal.

La partition de M. Lehar est meilleure que le livret, tout en étant cependant loin de valoir la célèbre et mondiale Veuve joyeuse, de même que le fameux Comte de Luxembourg. Malgré cela, on y rencontre, chemin faisant, des pages gracieuses et dont plusieurs sont chantées par la plus adorable voix de baryton qui existe en ce moment, celle de M. Baugé, dont l'organe et l'art du chant sont incomparables et attireront tout Paris. Mlles Dhamarys et Cajtnia ont eu de même des moments absolument exquis, et il convient de ne pas oublier non plus, dans nos éloges, MM. Allard, Julïïen,' Nabos, Valette et Castin.

Bref, c'est une jolie soirée, rehaussée par la valeur du violoniste Bronschwak et celle de l'orchestre et des chœurs de M. Clémanèh. Fcrnand Le Borne. La Maison des invalides russes » Le ministre des Pensions a inauguré hier la Maison des Invalides russes, à Boulogne-sur-Seine.

M. Louis Marin a ptrononcé, à cette occasion, un discours dans lequel il a montré tous les avantages que retireront de l'œuvre les mutilés ruses

J'aimais Huguette d'amour, et d'un tel amour que je ne cro-yais pas qu'il pût en exister d'aussi grand au monde. Alors

Je voulus rompre avec. mos amie. Elle ne m'adressa aucun reproche. Elle ne chercha pas à me retenir et je ne vis même pas de larmes apparattre au fond de ses yeux qui me regardaient avec tristesse, mais sans amertume. Elle me dit simplement Va et sois heureux Eh bien ?

Le même soir, mon associé, Pierre Boureuil, me prévenait qu'elle avait voulu se tuer. Pouvais-je contresigner, par mon départ, un arrêt de mort auquel elle n'avait échappé que par miracle ?. Non

Terrifié de la responsabilité que j'assumerais, je lui jurai de ne jamais la quitter.

C'est effrayant murmura M, de Rhuys d'une voix sourde.

Qu'avez-vous interrogeait Kergroix.

Le comte, haletant, répliquait Huguette, elle aussi, peut en mourrir.

Bouleversé, Hervé s'écriait

C'est abominable Non non cela ne se peut pas. cela ne sera pas. quand je devrais.

Faisant appel à tout son sang-froid. M. de Rhuys' demandait

Quelle est cette femme

Une malheureuse, définissait le jeune industriel. Un jour, il y aura bientôt trois ans, elle se présenta à l'usine pour demander du travail. Elle me dit qu'elle était seule au monde. Elle manifestait ft la fois tant de dignité et tant de détresse que je l'accueillis sans hésiter. Je n'eus pas à le regretter. Elle était excellente dactylographe. et puis si douce, si sérieuse, si appliquée à son travail. si simplement dévouée.

M. MAGINGT PRESSE A SELESTAT LE CON6RÈS DE UNION

DES MUTILÉS D'ALSACE -LORRAINE Sélestat, 4 mars (dép. Petit Paris.) L'Union des mutilés d'AlsaceLorraine, qui compte plus de 30,000 adhérents, a tenu à Sélestat l'assemblée plénière de son congrès annuel, sous la présidence de M. Maginot, ancien ministre, président de la Fédération nationale des associations françaises de combattants, de mutilés et de réformés. A cette occasion, M. Maginot a prononcé un important discours dans lequel il a résumé l'œuvre accomplie au cours de ces dernières années pour réaliser l'égalité, au regard des lois françaises, entre les combattants d'Alsace-Lorraine et les autres combattants français. Cette égalité était nécessaire, non seulement dans l'intérêt des AlsaciensLorrains. qui bénéficient ainsi de toutes nos lois de réparation, mais dans l'intérct de l'unité nationale qui n'aurait jamais été une réalité si l'on avait maintenu entre les Alsaciens-Lorrains des distinctions suivant qu'ils ont servi sous le drapeaux français ou servi malgré eux dans les armées de leurs oppresseurs. En agissant ainsi, déclara M. Maginot, nous avon3 donné aux AlsaciensLorrains la preuve de nos sentiments de fraternité. Nous avons voulu que la victoire efface, entre eux et nous, le souvenir de tout ce qu'il y avait eu de pénible et de douloureux dans le passé. Du jour où nos deux chères provinces nous ont été rendues, nous n'avons plus vu dans les Alsaciens-Lorrains que des Français ayant les mêmes droits et les mêmes devoirs dans la patrie commune. Aussi,' nous est-il affreusement pénible, surtout il ceux qui ont combattu et souffert pour que l'Aleace-Lorraine recouvre sa liberté, de voir une odieuse propagande alimentée par l'étranger, laisser supposer au monde que l'attachement des Alsaciens-Lorrains pour la France a perdu de sa force. C'est comme si l'on venait nous dke que notre victoire est remise en discussion et que nos efforts et nos sacrifices ont été inutiles. Heureusement, nous vous connaissons. Nous savons, car, entre anciens combattants, on ne camoufle pas ses sentiments, que cette propagande n'a aucune prise sur vous; bien plus, que vous la méprisez. En dépit des campagnes perfides, rien ne pourra nous détacher les uns des autres et j'ai la joie et la flerté de proclamer, moi qui ai l'honneur d'être votre président fédéral, quo nos coeurs battent a l'unisson, que notre patriotisme est égal et que, tous, nous n'avons qu'une ambition servir de notre mieux la France une et indivisible!

Le discours de M. Maginot. continuellement interrompu par les applaudissements, s'est terminé au milieu d'une émouvante ovation. L'agression de la rue de la Soardière Le voleur et deux bijoutiers étrangers, ses complices, tombent aux mains de la police

Augusta Fauquet

Nous avons signalé l'agression dont fut victime, le 28 février, le jeune Roland Galïouin, employé chez -NI. Margueron, bi j o utier, 31, rue de la Sourdière. A p r è s quelques jours de recherches, 'les inspecteurs Clavel et Bouscatel, de la sûreté générale, ont retrouvé l'au t e u r de l'attentat. L e malfaiteur se ca6hait sous le nom de Louis Oreste, dans un hôtel, 55. rue Archereau, il P a r i s. L'individu, qui se nomme en

réalité Auguste Fauquet, âgé do trente ans, originaire de Neuilly-sur-Seine, a déjà subi plusieurs condamnations et est interdit de séjour. Amené rue des Saussaies et confronté par M. Bayard, commissaire au contrôle des recherches, avec Roland Gallouin, le bandit a été tout de suite et sans hésitation formellement reconnu par sa victime.

Aussi Fauquet, après avoir nié, a-t-il fini par entrer dans la voie des aveux. II a indiqué qu'il avait vendu le brace'et suiitilisé, d'une valeur marchande de 40.000 france, à deux recélcurs Koupferderg et Osmu qui, amenés devant M. Bayard, ont recconnu s'être partagé le bracelet, dont ils ont vendu les pièces détachées il des fondeurs de métaux et à des diamantaires. Ils ont, l'un et l'autre, rejoint leur complice au dépôt.

LE BANQUET DE LA "DJELLABA" La Djellaba, association des anciens du Maroc, donnait, samedi soir, dans salons de Luletia, son banquet annuel. Cette réunion fut, comme il est do tradition, un succès.

A l'heure des toasts, le llemonant-eolonel Muaurlc« Guillaume, son président, évoqua la prestigieuse attirance, la splendeur lancinante de ce MoghreD, si cher à tous ceux qui savent le voir et le comprendre. Une ovation enthousiaste fut raite au « créateur du Maroc, le maréchal Lyautey. Récemment promu grand-croix de la Léplon d'honneur, le général Niessel, membre du conseil supérieur do la guerre, ancien commandant des troupes marocaines, expriiri,i il la DJ«llaba, eu termes particulièremcnt émouvants, sa vive affection. Par une heureuse coïncidence, la glorieuse cohorte des aviateurs du Maroc donnait é?aleniont, dans un salon voisin, son baivcjuet. Les discours achevés, les deux associations se réunirent fraternellement, ce qui fut, pour le maréchal Lyautey une nouvelle occasion d'apprécier l'ardente et si affectueuse fidélité de ses anciens collaborateurs de tout ordre.

J'en fis ma secrétaire. Bientôt je crus l'aimer et elle se donna à moi. Mais jamais elle ne voulut accepter de moi une autre situation que celle qu'elle devait à son travail. Telle est la triste vérité.

Et son passé ?

Le peu qu'elle m'en a raconté me donne à penser qu'il a dû être un vrai calvaire.

Mon pauvre ami

Douloureusement, Kergroix poursuivait

Vous dire ce que je souffre, surtout après ce que vous venez de me confler, est impossible Huguette ma chère Huguette Moi qui donnerais ma vie pour elle Car c'est elle que j'aime, elle seule, je vous le jure! Avec cette volonté sereine qui n'appartient qu'aux ûmes d'élite, le comte Robert déclarait

H ne faut pas qu'il y ait de Sacrifiée. ni mon enfant, ni cette pauvre fille. Laissez-moi réfléchir. Ayez confiance en moi. Si Dieu le veut, nous sortirons de cette Impasse. et Dieu le voudra

Je vous remercie, monsieur, de m'avoir parlé ainsi. Maintenant, vous comprenez pourquoi je me suis éloigné de vous et j'ose espérer que vous me pardonnez.

Mon cher enfant, le seul reproche que j'ai le droit de vous adresser est que vous auriez dû me parler tout de suite avec la même franchise que ce soir. Mais je tiens à vous le répéter, soyez snr que tout ce qui dépendra de moi pour assurer le bonheur d'Huguette et le vôtre dans le repos de votre conscience, sera fait, avec toute la sincérité de l'affection que je vous porte. Encore merci et au revoir.

A bientôt, j'espère ?

Au revoir, mon cher mattre.

Propos de bonne humeur FLAIR ET TACT

Un poète persan fait dire ceci par un philosophe à un jardinier

Pourquoi vends-tu tes roses, puisque, avec l'argent qu'on t'en donnera, tu ne pourras rien acheter de plus suave que tes roses?

On ne saurait avoir pensée plus délicate et plus juste. Ces philosophes, tout de même, quelles braves gens!

N'empêche que- Platon avait bien raison de vouloir les chasser de sa république car si, pour leur obéir, les jardiniers ne vendaient pas leurs roses ni leurs rosiers,

ils mourraient de faim; et il n'y aurait plus de jardiniers; partant, plus de rosés. Ce qui serait grand dommage, aussi bien pour les jardiniers que pour le reste de l'humanité, car les roses, outre qu'elles font très bien dans un vase, possèdent naturellement la propriété, que beaucoup de personnes recherchent par artifice, de « sentir bon u.

Et aspirer une bonne odeur est un délice qui nous emporte pour quelques instants dans un monde paradisiaque en nous faisant oublier, pendant le même laps, les laideurs qui pullulent sur notre globe. On ouvre toutes grandes les narines, en fermant les yeux et les lèvres comme pour empêcher l'exquise flavescence de s'échapper. Après quoi l'on s'exclame avec une sorte de ravissement extatique < Humml que ça sent bonl

On a été heureux trois secondes. Cest toujours ça.

Et grâce à quoi ? A notre odorat, sens plus ou moins développé dont l'homme est doté, mais duquel, tout compte fait, il serait plus avantageux pour lui d'être privé.

Car s'il est, en sus du parfum des fleurs, quelques autres parfums délccti'hies, comme ceux du filet qui mijote 'le madère, du vaporisateur qui trône dans votre cabinet de toilette, madame, et de la poudre veloutant votre visage, on ne compte pas les abominables effluves qui viennent offenser nos muqueuses olfactives et que je me garderai bien d'énumérer, par égard pour vous, chère madame, le seul rappel en étant affligeant.

N'envions donc pas le flair subtil qui permet au chien de chasse de suivre le gibier à la piste, tout en nous félicitant que Miraut en soit doué pour nous, sans quoi nous serions obligés de chasser à quatre pattes, le nez dans l'herbe dans l'herbe où l'on rencontre tant de choses. Un dicton prétend que l'argent n'a pas d'odeur Il prouve, au contraire, que certaines gens se sentent subitement privés d'odorat dès qu'un petit ou un gros profit leur arrive d'une source impure. Il

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du Souvenir sera ranimée par la Fédération française des unions et sociétés d'anciens militaires et combattants. Expositions (ouvres de F.-M. Eerthct, boulevard Saint-Germain, Dessins de Ho- bert Caby, 10, rue Tnolozé. Fédération nationale dea travailleurs de l'alimentaCours et conlérenoes Musée du Louvre, 10 Il. 30 et 1* h. 30. Musée de Cluny, 10 h, 30. M. lorga Récits occidenlique 15 h. 46, 16 h. 15. 17 h. lô, 17 h. 30, 19 rue d'Assas. M. Henry-Marx oscar Wilde et la vie œuvre d'art n. 10, rue de Limer; M. Lebrun La maltrise de soi-memu », 20 h. 45, 10, rue des Messageries.

Réunion d'anciens comBattants et S9S' li. 1.. 20 11. 3u, 7, place de l'Hotel-de-Ville. Réunions La Fraternelle de Paris, 17 Il.. 49, avenue Duquesne. Union des commerçant» et Industriels du VU» arrondissement, 20 h., 88, rue Saint-Dominique.

Spectacle des Compagnons de Notre-Dame, 20 Il, 43, 84, rue de Grenelle.

Banquets Ligue française pour le droit des femmes, 19 Il. 30, 23, rue de Sèvres. Les Amis du mont SalM-Mictrel, 19 h. 45, 43, Doulevard Raspail.

T. S. F. Emissions et radio-concerts des principales stations de France et de l'étranger. (Voir au Courrier des amateurs.) NE LAISSEZ PAS P.4SSER. les occa-.sions réelles offertes par les G IOO.OOOCHEMISES ». Actuellement, Exposition spéciale de cols, cravates et chaussettes. Cols toutes formes, 2,25 cravates puro soie, valeur 25 fr., vendues chaussettes fantaisie, qualité d'usage, 5,90 et 8,50. S'adresser 69, rue Lafayette, et Succursales à Paris et à Bordeaux. Le Quart Vichy-Etat est l'apéritif le plus sain et le digestif le plus parfait, le seul que doivent prendre au café arthritiques, rhumatisants, diabétiques.. Exigez Vichy-Etat.

Ayez confiance

Après avoir serré la main du comte, Kergroix se retira.

Dès qu'il fut parti, une portière se souleva et Mme de Rhuys s'avança vers son fils. Son trouble évident signifiait qu'elle n'avait rien perdu de l'entretien précédent.

-Mère, s'écriait Robert, vous avez entendu ?

Oui.

Que faire ?

Nous en reparlerons tout à l'heure, quand nos invités seront partis. Mais la porte du salon s'ouvrait, démasquant Huguette qui, les yeux pleins de larmes, s'écriait

Hervé vient de partir. On eût dit qu'il faisait semblant de ne pas me voir. et, lorsque je me suis avancée vers lui. c'est à peine s'il m'a dit adieu. Père, que s'est-il passé ?. Il ne m'aime pas, n'est-ce pas ?

Le comte fit un geste de dénégation mais la jeune fille insistait

Je sens bien qu'il se passe quelque chose de grave.

Et elle se jeta dans les bras de sa grand'mère.

Il ne m'aime plus sangiotairelle. Il ne m'aime plus

Et fermant les yeux, renversant sa tête en arrière, elle s'effondra sur le tapis avant que le marquise ait eu le temps de la retenir.

Vite, M. de Rhnj-s tn transporta sur une chaise longue, puis se précipita dans le salon, où les invités commençaient à s'étonner la disparition successive de leurs hôtes,

Se dirigeant vers un homme d'un certain flge qui, avee des airs de galantene un peu surannés, s'entretenait avec la duchesse de Sallabris et la célèbre

faut croire que leur conscience ferme l'œil et la bouche, en même temps que lear poche s'ouvre.

Ah! que vous nous consolez de ces laideurs, violettes à deux francs la botte de deux sous, giroflées, bégonias et vous, roses du poète d'Ispahan 1

Cependant la tige de la rose est hérissée d'épines. Qui s'y frotte s'y pique et nous nous apercevons que si notre odorat est sensible, notre toucher ne l'est pas moins.

Toucher organe du tact du tact qui

manque à tant de gens, qui, cependant, aiment c toucher cet argent qui, pouf eux, n'a pas d'odeur.

Et toucher veut dire tant de choses Exemple synthétique

J'ai demandé à ce virtuose de toucher du piano. Comme il repoussait cette touchante prière, je lui ai promis qu'il toucherait un joli cachet. I! s'est alors laissé toucher. Et moi, heureux de tou« cher mon but, je lui touchai la main.

Toucher, comme on voit, touche à tout, Et encore j'oubliais la phrase consacrée Si vous touchez, prenez, des pastilles Machinchouette a, que j'avoue n'avait jamais comprise.

Le toucher est quelquefois rude. Pour led boxeurs, par exemple. Mais c'est leut| affaire, en quelque sorte ils c encaissent froidement les plus irrésistibles uppercuts et, à l'issue du match, ils passent encore à la caisse pour.. toucher, la main ouverte, cette fois. J'aimerais leur demander leur, recette.

Et puis il y a cette fallacieuse sau'i'ffgarde que l'on attribue au fait de c toucher du bois qui, parait-il, conjure mauvais sore

A ce compte-là, il ne devrait jamais ried arriver de fâcheux aux menuisiers, ni aux ébénistes.

• Innocente superstition. L'odorat me semble, comme préservatif, bien plus efficace, car les gens qui ont du flair évitent plus facilement les embûches du destin que ceux qui se contentent de caresser uq rebord de table ou un bâton de chaise. Toucher du bois! Cela n'a pas réussi à Milon de Crotone, qui, cependant, n'y allait pas de main morte du ravins jua. qu'à l'arrivée du lion.

Superstition, vous dis-je. Mais qui n'est pas superstitieux, peu ou prou?

Exemple ce monsieur à qui l'on deman. dait s'il était superstitieux.

Moi? Pas le moins du monde, répondit-il. et j'en suis bien heureux.

Pourquoi?

Parce que cela porte malheur.

D1 Whip.

Un rêve est Impalpa»

ble. la poudre "Rêve

d'or' est in%i«slhle.

Ne poudrer au Itôve

d'or- est le rêve de

toutes les femmes.

LTPIVER

PARIS

Roiideis de police l'autre nuit dans lei vc, vi', vin» xiv« et xvn!e arrondissement»! ainsi qu'à Gentiily et LevajÛois. Tréixe contraventions ont été dresses pour divers motifs et quatre-vingt-huit arrestations opérées pour outrageas, infraction il des arrêtés d'expulsfon ou aux règlements concernant les étrangère.

romancière Eve Myrtale, Il fit à voix basse

Docteur. voulez-vous ventr untant ?. Huguette vient de se trouver mal.

Le médecin, nul n'était autre que le célèbre professeur Martineau, s'empressa de suivre le comte Robert.

La duchesse de Sftllabris, qui avait tout entendu, s'empressa de faire carculer la fâcheuse nouvelle et un mouvement de retraite s'esquissa.

Le professeur Martineau s'approelm d'Huguette, qui commençait à rouvrir le« yeux. Il lui prit le pouls. et constata qu'il battait régulièrement.

Allons. ça ne sera rien, flt-ll. La fatigue de cette journée. Il faut que cette charmante jeune fille s'en aille tout de suite faire dodo.

Te sens-tu assez forte pour monter dans ta chambre ? interrogeait la marquise.

Oui, grand'mère.

Huguette, soutenue par son père. ae redressa.

Je vais mieux, fit-elle.

Appuie-toi à mon bras, Invitait Mme de Rhuys.

Elles s'en furent toutes deux par une porte qui donnait sur un couloir où elles prirent l'escalier aui conduisait au premier étage.

Le comte Robert regarda le médecin. Celui-ci n'avait plus cette expression d'optimisme qu'il manifestait un instant auparavant. Et le front barré d'un pH, 11 fit

Mon cher comte, voila une enfant à lnquelle Il faut éviter toute émotion. Sinon 1.

M. de Rhuys frémit. Sa femme était morte d'une maladie de coeur.

(.4 suivre.)

Film Sté CinérutiMWI. Edit. Pathé-Consortium.


AVANT LE CONGRÈS DE LA S. D. N. LA CONFÉRENCE DES REPRESENTANTS DE LA PETITE ENTENTE

Elle a porté sur l'affaire des mitrailleuses, l'affaire des optants hongrois, le problème des pactes régionaux de sécurité

Genève, 4 La conversation d'aujourd'hui, entre les représentants de la Potite Entente près la S. D. N., a donne d'abord Il penser qu'il s'agissait de ces rencontres périodiques, comme cette qu'ils ont tejiue l'an dernier à .laehimov. où s'élabore la politique officielle de la Petite Entente. Il n'en est rien. La prochaine de ces régnions aura lieu.. on effet, il Bucarest. après le retour dans leur pays des trois ministres, qui ne sont, ni l'un ui l'autre, au bout En quittant Genève, eu effet, M. Benes se rendra Paris, puis Londres M. Marinkovltcl). lui, se dispose il. aller faire une cure il Hauteville. Quant à M. Titu]i*co, il lui reste encore, dit-on, quelques capitales à visiter avant de rentrer en Roumanie.

Leur longue conversation de ce soir avait donc un caractère exceptionnel et officieux. Elle n'eu était pas moins nécessaire en raison des questions qui fiRu- rent au programme actuel de. la S.D.IN. et qui touchent aux intérêts vitaux des' trois Etats affaire des mitrailleuses, affaire des optants hongrois et enfin pro].\ème des pactes regionnaux de sécupoint, il s'naissuif d'al-rn-c1 de dissiper le malentendu qui s'es! produit loivs de la remisa au swrtH-ariat de la S. D. X. de trois notes simultanée» attirant l'attention du ̃conseil sur l'incident de Saint-Gottlwrtl. On se, rmppello, en effet, que Ki note roumaine seule conteiuiil, une phrase qui pouvait Olie interprétée commet') résultat d'ur.f pression l'Xfwôe par le gouvernement de T!<«;iw. MAI. Benès et Mai-inko-vitoii ont- facilement prouve à leur col. Jèjrue que la phrase en question d après laquelle la démarche collivtive faite par h Petite Entente n'incriminait personne, figurait également dans le texte initial serbe et que soa omission viaii (!<:•' '/̃̃̃< circonstances fortuites et hou à Hfi'- nu'ii'f séparée intervenue entre Prague cl Belgrade.

Quant il l'attitude commune h adopter ep* jours-r. les trois minisU'es nonl tomb< ,j,-r,,r(l pour estimer fu'il ne s'agit la Petite Entente et la llonane. Pour cu-v c'est au Ctmseit, dont ifs se sont simplement bornés attirer sur l'incident de Saint-Gotthard, .i régler une affaire (tins laquelle il se doit d'intervenir spontanément en vertu, du droit d'investigation et de contrôle qui lui est sumé offii-ÀcUnmertt l'exercice.

CE QU'UN SERGENT ANGLAIS QUI EN FUT

PENSE DE LA LÉGION

de !,t presse britannique avant accueilli avec une complaisance marquée Ips vives attaques de deux dëscrteure de la lésrion, l'un Américain, l'autre Anglais, contre ce corps, il n'est que juste do souligner l'impartialité des appréciatoiio que porte au(ourd'hui sur ce régiment, dans la Wec'kly Disnalrh, le sercp' u ̃̃̃• .ils Stanley Herbert, qui écrit nt J'ai loyalement •. -;pliquer que la légion est exaclem^at ce qu'on la suit. An « rouspéteur ouaufainér.nt, ell'î peut paraître intolérable, mais il. celui qui. dès In début, sait la comprendre, elle peut devenir un refuge. tans doute, on y peut de mauvais chefs et ,i>p ai. pour'na pari. trouvé un qui, sergeut Kiand?. m'a mené là vie dure dit jour <jù ii a su que j'avais appartenu il la méprisable petite armée anglaise. Mais d'une façon générale, on y est traite avec justice. ¡;'¡l'on tonifie malarti:, on vous soigne aussi bk'n que possible. Les majors -peuvent. être dure. riKiis ils connaissent leur affaire et vous soignent de est particulièrement chaude. Chaque fois. } ux exemple, qu'avant la mise a. la réforme, je me suis senti irop faillie pour porter mon équipement, j'ai trouvé un camarade qui in aidait. Avec insistance, il me demandait d'abord mon fusil, puis mon sac, et tout cela était fait si gentiment que ju me sentais doublement souOn a dit et répété que la légion n'était qu'un long calvaire. A ces mauvais esprits ou il. ces mauvaises langues, je ré répondrai q».j par un seul exemple. Vn tout' que j'étais employé à la consIruu'tion d'une route, j<; vis un capitaine qui malmenait sert hommes. Je le rcgardai. Il s'en aperçut et me dit brusquement, presque brutalement "Qu'avezvo« me »' rf.Iuqu-.i1 ̃> ainsi' » ̃!̃' lui répliquai que i" ne poiîv,is pas com«rendre qu'il Iwil-'M ses hommes de la tel langage. Soudain, ii s'amadoua et m'expliqua que la légion n'était pas un régiment de jeunes filles et qu'on y trouvait presque autant de mauvaises têtes que de numéros matricules. Puis. il ajouta « Croyez-moi, j'aboie. mais je ne njo:-ris pa«.

Oui. aboyer, mais ne pas mordre. Voilà, en une formule qui de l,i '̃j-'ion. » La menace des Ouahabites sur Koweït Bas.-ora, i' m;rs [dép. Times.)

lA péril grandit du côté des Ouahab;tns et mr» -g:"i de Koweït signa- dans la .V-jd. De.s forces brilanr.iiïues ,i,- vn être amené des Indes à Koweït poar coopérer avec les troupes >!u sultanat et l'aviation anglaise à repousser l'invasion des Ouali.ibiirs.

DÉCOUVERTE D'UN COMPLOT CONTRE LE PRÉSIDENT CALLES Mexico, 4 mai-s {dép. Times.)

La police de Mexico a dé-couvert un complut dirigé contre la vie du président Calles et celle du gémirai Obregon. Kilo en a trouvé la preuve au domicile d'un prêtre nommé Leyva, chez qui ont été saisis les pians d'une rébellion contre 1»; gouvernement.

Explosion à bord d'un vapeur espagnol Londres, i mars [dép. Petit. Parisien.) Fn message Exclwr.se Telegrapu de Madrid rapporte qu'une explosion s'est 'produite dans la saUe des machines du vapeur espagnol Juanez et y a provoqué la mort d'un mécanicien et de deux chauffeurs. L'accident est survenu alors que le navire passait au large da SaintSébastien. Désemparé, le Juanez a dû être remorqué dans ce port. où les autorités ont ordonné d'urgence une enquête.

Berlin. L'A.-rCM'Lation allemande pour l'entretien des tombes des soldais morts à In guerre a orgraiil.se filer une journée com- mtouoi'iiUve, sans carartère officiel. Des cérémonii's ont eu lieu dans toutes les villes â'Allemagtic.

La Haye. Jean Toorop, un des maîtres de la peinture bollairfat.se contemporaine, est mort après une longruv et pénible airrmie. Dusscldorl. Plusieurs ouvriers ont été •nsevt'Iis sous Ips décombres d'une maison en Mjie de construction qui s'est subitement écroulée, Un tué, plusieurs blessés.

Sur la question des optants, il ne pourait y avoir la moindre divergence puisque le conseil s'wit déjà prononcé. MM. Bénis et Marinkovitch se sont donc contentés d'assurer M- Titulesco de leur absolue solidarité.

Restait la question de ta sécurité. On sait que le comité qui étudie actuellement ce problème et qui clôturera mardi ses travaux est en train d'élaborer un projet do recommandation qui sera soumis à la prochaine assemblée plcnière. Cette recommandation prévoit que les Etats qui auront de la peine à conclure entre eux un traité régional de garantie pourront faire appel dans ce but aux bons offices du conseil

L'avis concordant des représentants de la Petite Entente nt que l'Etat qui se déroberait systématiquement a ses bons offices SI! mettrait ainsi en posture d'af/resseiir présumé.

Cette conception a naturellement toutes les sympathies de la délégation fran- çaise, car elle implique un retour à la définition automatique de l'agresseur, telle qu'nllt' était prévue sous une forme un peu différente pnr le protocole de Genève. C'eut elle par conséquent que les Iroï* gouvernements vont s'efforcer de faire prévaloir il. la commission préparatoire du désarmement.

Ce triple accord réalisé, M. Titulesco a profité, de l'occasion pour rendre compte à ses collègues tins importantes conversations qu'il a eues Romo avec M. Mussolini et il San Remo avec M. Stresemann, conversations au cours desquelles le ministre roumain n'a. ou le sait, jamais perdu de vne les intérêts de ses deux alliés-

A côté de cette conférence de la Petite Entente, qui se déroute comme toujours de la façon la plus cordiale, on s'attend ici, pour les prochains jours, dans l'intervalle des séances du conseil que va présider cette fois M. t'rrutia, le délé-* gué de la Colombie, il d'intéressantes conversations privées.

Bien qu'il paraisse impossible qu'on puUsenes élections générales en France et en Allemagne à des décisions sur les grandes questions soulevées par M. Stresemann dans son dernier discours au Reiclistag-, on a l'impression qu'un délicat et utile travail de défrichement va s'opérer. Et l'on veut en voir la preuve dans la présence simultanée ici de MM. Bertlwlot. von Schubert et sir Ronald Lindsay, le nouveau sous-secrétaire d'Etat permanent au Foreisn Office, qui, lu; aussi, vient à Genève pour la première

LE DISCOURS DE NI. MUSSOLINI ET LA PRESSE ALLEMANDE Berlin, i mars {r/«/>. Petit Parisien.) Le discours prononcé par M. Mussolini il p:'opûtj des incidents parlementaires autrichiens rHalijs au Tyrol, a soulevé dans la presse vif mouvement de protestation.

Le T'ont a!)'/» déclare qu'il ne faut pas prendre au trafique \<m menaces (il' Ni. Mussolini et relève notamment le passi.o disant que le gouvernement fasciste no se pas lié par les promesse* des gouvernements précédent?. »

Or, dit l'organe socialiste, ces promesses forment la base de la décision des alliés d'attribuer' te Tyrol du Sud à l'Italie. »

La Gazette (jCnêmlc d'Allemagne souligne, elle ausM, les graves conséquences que peut avoir pour la vie internationale cette théorie du gouvernement italien.

« Au surplus, dit elle, son discours n'est pas surprenant, car il ne peut v avoir de doute sur sa volonté d'italianiser la population du Sud. »

la hentsche TugcszeUung écrit Nous croyons que l'Italie peut avoir besoin plus vite qu'on ne- lo suppose aujourd'hui, d'une attitude bienveillante de l'Allemagne. Aujourd'hui déjà, une telle politique se heurterait il des résistances, mais elle deviendrait psychologiquement impossible, si M. Mussolini continuait à ne pas tenir compte des sentiments les plus naturels et les plus justices du peuple allemand. La Gel'mania, parlant de l'attitude des catholiques, déclare

Le fascisme se croit-H assez fort pour entreprendre la lutte coutre la puissance morale de l'Eglise ? Aucun doute ne devrait être pemis sur l'attitude du Vatican dans la question tyrolienne. Le Tyrol constitue un problème international et les catholiques allemands ont un droit privilégié de s'en occuper. La situation du fascisme n'est pas inébranlable. M. Mussolini néglige l'opinion publique mondiale. Xous autres. Allemands, nous savons ce que cela signifie que de s'isoler moralement et de perdre le contact avec les autres nalions. L'Italie fasciste wt dans!!) meilleure voie de 9'isfitur comme l'Ailraiagno avant la guerre. »

Un raid hippique de 2.730 km. Tokio, 4 mars (dép. Times.)

Trois cavaliers, un Japonais, un Chinois et un Mongol, qui avaient entrepris de se rendre à cheval de Manchouli, sur la frontière occidentale de la Mandchourie, au Japon, sont arrivés à Shimonoseki Leur chevauchée de 2.730 kilomètres a pris deux mois dan.- des pays où la température se maintenait bien audessous de zéro. Les six chevaux utilisés sont en bon état.

Les cavaliers arriveront à Tokio dans un mois.

LE RAID HIPPIQUE DE CANNES Valence, 4 mars {dép. Radio.) Miss Gaïatri, toujours en tête des amazones qui poursuivent leur randonnée vers Cannes, était arrivé hier à Crest, peu aprè« 16 heures Mlle Grossi t'avait suivie à il Ii. 25.

Miss Gaïatri passait ce matin. à 9 heures, à Puy-Saint-'Mwtin. h 13 heures, elle était signalée à Salles, non loin de Grignan.-

Miss Cody, arrivée hier à Saint-Vallier. se dirigeait ce piatin sur Crest.

TROIS INCENDIES EN UN AN DANS LA MÊME USINE Lens, 4 mars (dép. Havas.)

Il y a un an. un incendie détruisait complètement une usine d'huiles, de goudrons et de dérivés à Vendin-leVieil et causait plus de trois millions de dégâts.

Le bâtiment fut entièrement reconstruit. Il y a trois semaines, un nouvel incendie éclatait; il put heureusement être arrêté à temps.

Ce matin, un troisième incendie a éclaté, mais on a pu s'en rendre maîtres rapidement.

Une auto s'écrase contre un arbre près d'.vnttlly (Moselle). MM. Dalstein et Hurz, de I.uttang<\ sont blessés.

Près de Grésolles (Loire), une auto tombe dans un ravin profond de huit a dix mitres )1, Etleu, de cremeaux, et un de ses amis sont blesses.

i DRAME MYSTÉRIEUX

'DANS UNE VILLA

DE LA BANLIEUE DE MARSEILLE Un ingénieur et sa bonne tués, la nuit, par deux inconnus qui avaient sonné à la porte de la propriété et auxquels ils étaient allés ouvrit

Marseille, -4 mars (dép. Petit Parisien. j Au numéro du boulevard Micheiet, tout près de Mazargues, les époux Margotteau demeurant à Paris, 15. rue Cardinet, faisaient construire, voici près d'un an, une villa qu'ils appelaient ta Pergol;t fleurie n. Ils en firent ttrte villa meublée et l'exploitèrent euxmêmes dès septembre. Après y être restés six mois, ils retournaient à Paris, mardi dernier, laissant la direction de rétablissement à leur lilie ut a teur gendre, les époux Krcschetti. Georgctte MM'gotteau avait, en effet, voici six ans, épousé à Paris, M. Jean-Théodore Fres- j chi'lli, ingénieur des travaux publics. NI. et Mme t'retsubctti s'insuiiaiwit donc mercredi. il la « Pergola fleurie », avec leur iille et Mme N'reschetti mère âgée de soixantfHhuit ant*. Ils engageaient vendredi comme domestique une Bretonne. Germatne Lehecke, trente-huit ans, originaire de s-ainl-Brienî.

Coup de sonnette

et détonations dans la nuit

La nuit dernière, vers 11 h. 30, tous tes habitants de la « Pergola lleurie » étaient couchés lorsqu'on sonna la porto de la villa. La bonne se leva en criant à ses patrons « Vous entendez on a sonné. » « J'y vais répondit l'ingénieur. M. Freschetti se vêtit sommai-* reniant et, précédé de la bonne, traversa le jardin.

A partir de ce, moment, on ne sait rien de ce qui se passa, si ce n'est par le récit qu'a fait le seul témoin. Mme Freschetti. Voici ce qu'elle a dcclarô

Lorsque mon mari et la bonne furent sortis, j'allai au tableau des interrupteurs, et, par le bouton qui commande cette manœuvre, j'ouvris le portail. J'aperçus par la fenêtre des ombres entrant dans le jardin. J'entendis mon mari dire On n'entre pas ici 1 Une voix lui répondit « Nous venons pour nous amuser Et mon mari reprit Non, non, on n'entre pas ici la nuit. Allez-vous-en Au bout de quelques secondes, deux détonations claquaient, presque coup sur coup. Mon mari regagnai! bientôt notre chambre, au soussol. Il avait le bas du visage ensanglanté. Il s'affala sur le lit en dïsant Ils m'ont tué Il était mort.

Un deuxième cadavre

par une deuxième issue, et me fit conduiro en taxi à la permanence centrale. Je revins avec le commissaire de police. Entrant par la porte près de laquelle s'clait déroulé le drame, nous y trouvâmes, étendu, le cadavre de la bonne. L'enquête a révélé que M. Freschetti 1 reçu une balle de revolver au menton. 1 Quant il. la bonne, elle a été ruér^ par nn projectile qui a pénétré par l'œil gauche. Deux douilles de pistolet automotique ont été retrouvées, l'une près du cadavre de la bonne, l'autre à mi-chemin entre la villa et le portail.

Deux hypothèses

En dehors de ces constatations matérielles, un mystère épais entoure le draine. Deux hypothèses retiennent pour l'instant l'attention ,des cnquêteurs. D'abord l'hypothèse du crime occasionni, Deux fêtards attardés connaissent la maison qui était une maison de rendezvous et auraient pensé pouvoir continuer à s'y amuâer. Il,, auraient sonné. M. Freschetti les aurait priés de se retirer. lis auraient insisté. L'ingénieur les aurait rabroués. Furieux, ils auraient protesté; M. Freschetti les aurait-il bousculés ? Ils avaient des revolvers, ou, du moins, l'un d'eux était armé. L'n mouvement irraisonné, un cadavre. Puis on aurait supprimé le témoin gênant.

Cette hypothèse n'est pas invraisemblable, pas plus d'ailleurs que celle qui donne pour cause du drame la vengeance. La bonne, Germaine Lebcoke. était connue au service de la sûreté. Elle avait été condamnée pour escroquerie. Qui sait si elle n'était pas poursuivie par un individu qui, découvrant l'endroit où elle venait de se placer, serait venu la relancer Mais M. Freschetti était là. On no s'attendait pas il sa présence. On aurait parlementé, puis, comme M. Freschetti aurait vu la bonne en danger, il aurait voulu la protéger, si bien qu'au lieu d'une victime il y en aurait eu deux Mais encore une fois ce ne sont là que des suppositions bien fragiles. En réalité on ignore tout encore des circonstances véritables du double meurtre de la ̃< Pergola fleurie",

Une autre version

du dernier incident de Glozel L'officier qui blessa M. Fradin père aurait été frappé le premier d'un coup de bâton Vichy, i mars (dép. Radio.)

M. Fradin père a. comme on sait, dépose une plainto a la gendarmerie contre te sous-lieutenant de Verdelon, demeurant au château de Tnrsiac (Haute-Loire), l'accusant da l'avoir blessé avec une pierre, alors qu'il voulait empê.eher le visiteur de pénétrer dans le champ des fouilies de GlozeJ. Un parent de NI. de Verdolon, que nous avons questionné à ce sujet, a donné de l'incident la version suivante

Mon cousin, explique-t-il, souslieutenant dans un régiment de spahis, est actuellement en congé, après un long séjour au Maroc. Arrivé à Glozel en automubile, en compagnie de deux personnes amies, il parcourut le musée, après avoir versé le droit d'entrée de quatre francs. A la sortie, les trois visiteurs s'étant engagés sur un chemin public qui passe proximité du champ des morts, », le père Fradin voulut les empêcher d'aller plus toin à quoi l'officier répondit que le chemin appartenait Il tout le monde, et il poursuivit sa route. C'est alors qu'un coup de bâton l'atteignit à l'improviste dans le dos. Il se retourna et décocha un vigoureux coup de poing à son agresseur, mais dut S'éloigner au plus vite avec les deux personnes qui l'accompagnaient, sous la crête de pierres qu'on lui lançait de tous côtés. Une rivière de la Somme

regagne son ancien lit

1 allongeant son cours de 10 kilomètres Amiens, 4 mars (dép. Petit Parisien.) Le coure de la Drucat, sous-affluent de la Somme, s'est soudainement allongé de dix kilomètre-ci. Le point de départ de la rivière, qui était en amont du village de Drucat. est maintenant reporté jusqu'à Cornehotte, où elle prenait ea source à l'époque tertiaire. Mais l'ancien lit de la Drucat étant nivelé, ie nouveau cours d'eau c'étend maintenant sur une largueur qui atteint, en certains endroits, 50 mètres, et forme deux lacs, à Cano-hy et à Neuilly-1'H6pital. La route de Domvast à Canchy 6e trouva coupée en deux endroits; elle a été interdite à la circulation des poids lourds. Les dégâts causés aux cultures et aux habitations sout très importants. Le cours de la Drucat, qui se trouve triplé, devra être endigué.

A SaInt-Plervç-iiiix-TiTires (Aube), une auto tue MUe Louise Brieanl, dix-huit an?, et blesse la mère de celle-ci, Mme veuve Sophie Brlcard.

UNE FILLETTE DE QUINZE ANS AVAIT VOLÉ 100.000 FRANCS A SON ONCLE ET A SA TANTE C'était pour aller passer les vacances de Pâques à Deaaville avec son amant, nu jeune interne du lycée de Nice

Tous denz sont arrêtés

lice, i mars (dép. Petit Parisien.) Plus de 100.000 francs de titres étaient dérobés hier chez M. Charles Jacob, villa Les Chemins L'auteur du vol n'était autre que la nièce des victimes, Alice Fabre, qui n'a pas encore seize ans. Malgré sou j-eune âge Alice Fabre avait un petit amant, un interne du lycée de nommé Paul l-'rossard. dont les parents sont en Indochine, et qui semble avoir dans le cambriolage une grande part de responsaliililé.

La lltlette a avoué que son oncle et, sa tante étunl, sortis en lui contiant la garde de leur villa, avait ouvert les casscttes ou et Mme Jacob avaient serré leurs valeurs. Ella en avait pris le contenu, qu'elle avait enfoui dans un coin du jardin. Puis, pour se créer un alibi, elle s'était rendue à l'église dn Gimiez, où elle s'était confessée. Elle était allée ensuite à la poste et avait envoyé un mandat télégraphique du 3.000 franos à Paul Frossard.

Le lycéen a été arrêté ce soir. Il a reconnu ses relations avec Alice Fabre, qui, à plusieurs reprises, lui avait remis de l'argent. On a du reste saisi chez la jeune fille une éditlante correspondance, qui montre le degré de précocité du jeune couple. Alice Fabre avait décidé de dépouiller ses parents pour aller avec le jeune lycéen faire la fête à Ueauville pendant les vacances de Pâques.

CRUES ET INONDATIONS Situation grave dans l'Hérault Montpellier, 4 mars {dép. Petite Parisien.) La situation créée en de uombreux points du département par la crue des rivières demeure yave. Car.ouls-d'Hérault est comploie-ment envahi par les eaux les habitants ont quitté leurs demeures et se sont réfugiés dans les villages voisins. A Florens.ie, les rotttet sont coupéns et les bas quartiers inondés. Entre Saiut-Poi>s et Couraiou, dans la crainte d'éboulements sur la voie ferréc, voyageur et marchandises sont transbordés. A Olargues, un bac et des pylônes électriques ont été emportés par l'Orb.

A Déziers, Bédarieua, les habitants de certains quartiers ont dû évacuer leurs maisons. La gare de est sous les eaux. Des usines de ces deux villes sont privées de lumière et Béziers, d'eau potable. Sérignan et Valras-laPlafie sont çofnpletomeiH envahis. A Saint-Pons, les chapelles de SainteGermaine et de Sainte-Thérèse sont inondées.

Sur l-i route d'Agde a Castries, nn pont a été emporté par les eaux. A Canet, cinquante maisons sont envahies. A Usclas, la moitié du village est sous l'eau. Aux dernières nouvelles, l'Orb est en décrue de deux mètres, mais les plaines sont toujours couvertes par l'inondation. On a retiré de la rivière le cadavre d'un Espagnol, qui avait chaviré, en allant en barque secourir cinq personnes prisonnières dans l'île de Tabarka.

Le Rhône et ses affluents montent

Sous l'action des fortes crues de l'Ardèche et de la Cèze, le Rhône monte sensiblement-

Le Gardon recouvre la chaussée de Dious et le pont Saiul-Chaptcs la rivière Arc est sortie de sou lit et inonde la plaine. Les petite ruisseaux des basses C,évennes descendent en fortes cascades, coupant les routes, notamment celle de Vigan à Lodève.

La Loire grossie par la fonte des nei(es Saint-Etienne, -S mars (dép, P. Parisien.) Une crue subite a fait monter la Loire de près de trois mètres, au Pertuiset, près du Firminy, et il l'étiage des NeufPonts, près de Saint-Paul-en-Gornillon. On peuse que la crue a pour cause ta rapide fonte des neiges, provoquée dans les montagnes des Ceveunes par la prolongation du beau temps.

Les rivières débordent

dans la région de Tonton

Toulon, -i mars (dép. Petit Parisien.) Depuis trois jours, la pluie tombe sans discontinuer. Les rivières et ruisseaux débordent. Les riverains de l'Argens et du Corami se montrent inquiets, les plaines basses étant déjà inondées. LE DIMANCHE POLITIQUE M. DALADIER A LA FLÈCHE La Flèche, 4 mars (dép. Petite Parisien.) Prenant la parole au coure d'une réunion contradictoire tenue à la Flèche, M. Daladier a défini en cetle formule le programme du parti radical socialiste dont il est le ehef « Fidèle à la pensée de nos anciens, nous voilons accroître le bien-être et la liberté du ptus grand nombre

Or, ajouta-l-il, que voyons-nous chez nos adversaires ? La lutte contre ie communisme tel est le prétexte de la coalition des droites. Mais on ne combat les idées fausses que par des réfor·mes justes. Le cartel des droites est impuissant il les proposer. Soyez assuré ue sa défaite. Appelé à choisir entre la révolution, la réaction et les réformes, le peuple choisira les réformes. Et ce choix aura pour conséquence Il formation d'une majorité républicaine dont le parti radical sera l'étément essentiel, majorité résolue à l'action, déterminée à ne se lais.er détourner de sa route ni par ics inquiétudes des satisfaits ni par les manaces des puissants.

M. FRANÇOIS-MARSAL

A SOISSONS

Soissons, mars (dép. Petit Parisien.) M. François-Marsal a prononcé un discours d Soissons. au cours duquel il a examiné par le détail la situation politique depuis le il mai

J'estime qu'en ce moment, a-t-il ajouté en conclusion, l'oubli de ce qui s'est passé en et en 1926 est la plu-= sage des politiques. Serrons-nous les coudes entre bons Français et entre bons citoyens. Faisons un bloc républicain affranchi de toute tutelle extrémiste, et le redressement de nos finances se poursuivra dans le calme et dans le travail, et assurera la paix économique et sociale de notre pays.

M. HENRY PÂTÉ PRÉSIDE LA FÊTE DE L'ASSOCIATION DES INSTITUTEURS

Présidant la fête annuelle de l'Association des instituteurs, NI. Henry Paté, vice-président de la Chambre a tracé le programme quo doivent suivre tous ceux qui s'occupent des o?uvres d'éducation physique et sportive.

Dans sa péroraison, le vce-président de la Chambre a recommandé aux jeunes gens de bien retenir les leçons de devoir, de moralité, de conscience, de solidarité, de travail qui leur sont données dans leurs sociétés. Ainsi ils seront demain de bons citoyens capables de travailler dans la paix solidement étahlie, il la prospérité du pay.

LES AS DU JEU DE DAMES Le record du monde des parties simultanées a été battu, hier, à Compiègne

Le Damier mars-notion avait organisé, -hler, a Coniplt'srne, sous la présidence de M. Sarrazln, maire de Marny, une journée de jeu de liâmes <iu cours duquel M. Sijral joua simultanément 100 parties il en jrapna 1tW, en perdit une, trois furent fiéolartos nulles. Il a ainsi battu le record du monde de pal-lies simultanés jusqu'alors détenu par le mettre holtandals de Shaas, qoi (tait d'une soixantaine de parties, et le record de durée moyenne de la partir, jusqu'alors de 4 minutes environ, et qui I fait partie du Damier ;\otre-Dame et du Damier parialen,

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

FIEULAIME. Rentrant de son travail, M. r.milo DfballP, manouvner, s'est aperçu qu'on lui avait d&rohi chez lui une petite somme d'argent et des provisions. SAINT-QDEîmiC. En vue de rattrlDution du legs fait en lOCi par M. le chanoine Chantfrel, les Jeunes nilcs remplissant les conditions du legs sont invitées il se fatrc inscrire au secrétariat du bureau de bienfaisauct1, 13, rue des Platcs-Plerres, jusqu'au 17 mars. Les dota seront pour l'année 1928 (le francs. La célébration des mariages en fixée au samedi 26 mal. Alors qu'il conduisait un tombereau, rue de la l'^re, to. Constant Chanter, quarante-neuf ans, du service de la.voirlc, a été heurté par une automobile et légèrement blessé.

EURE-ET-LOIR

Cbutres a célébré le anniversaire du général Marceau

La ville de Chartres a célébré, hier, le anniversaire du général Marceau. Un corli'gv, groupant Il'. personnalités et les sociétés, s'est rendu devant le monument aux morts de 1870, au monument aux murts de la Grmdo Guerre et il la statue du général Marceau, où de nombreuses gerbes de fleurs ont été déposées.

FRAZE. Une domestique, Mlle Eugénie Malherbe, trente-six ans, au hameau d'Ezanvillï, qui au cours de son travail s'Ctait piquée avec une épine, est rtécêdée à rtiopitai de Chartres, des suites de cette blessure, qui tout d'abord avait paru sans gravité.

JOUY. Ayant été serré entre un mur et une voiture, M. Victor Engoubautt, trentecinq ans, employé à la scierie de Jouy, fut transporté à l'hôpital de Chartres, ou il ne tarda pas a succomber.

9LS3

CLERMOMT-DE-L'OISE. Pendant le mois écoulé, la caisse d'épargne a rern 1.477.6M francs et remboursé 480,734 rr. soit un excédent de 906.9C4 Tr. en faveur des recettes.

SEINE

ILes charbonniers désanis .'étaient réconciliés contre les agent»

Trois eaarbotraier.s, fluudc vingt- trois ans, demeurant boulevard Gallieiit. a VilIeneuve-la-Garenne Léon Mirtur, vingthuit uns, 16, rue Albcrt-Waltcr, et François Joiy, vjngt-sept ans, 30, rue Ernest-Renan, à Saiut-Denis, se querellaient, l'autre nuit, avenue du Président-Wilson, en cette localité, et quand les agents du commissariat de Saint-Denis-Sud voulurettt s'interposer dans leur dispute, ils se trouvèrent d'accord pour les injurier et les frapper. Ils ont été envoyés au dépôt.

CHARENTON. M. Thévenin, maire, a remis, hier matin, dans la salle des fêtes de la mairie, le montant du legs Cabanis (t.OOO francs) à Mlle Adricnne Pasquler, âgée de vingt et un ans, demeurant 1e6, rue de Paris. ivnt. Ayant perdu la direction de la bicyclette sur laquelle il était monté, Georges Mérodon, agé de douze ans, demeurant chez ses parents, 91, avenue Jules-Coutant, vint se jeter contre un mur, rue du Fort. Le jeune cycliste a été transporté, grièvement blessé, a l'hOpital Trousseau. PANTIN. On a trouvé pendu à la palissade de son Jardin, 7, avenue Sully, M. Napoléon Lor, quarante et un ans, qui donnait depuis quelque temps des signes manifestes de neurasthénie.

se1ne-et-marne

COUTENÇON. Les gendarmes ont arrêté, pour vol un ouvrier agricole, Albert Cutiver, irenle-oinq «us, en vertu d'un mandat d'arrêt du juge d'instruction de Chartres. MOHÏIGHY-LE-GDESDÎER. Au cours de la nuit, un ouvrier de la ferme Macquin, le Polonais Jo-eph Kayser, a été victime de malfaiteurs qui Int ont voie sa malle renfermant ji's économies et ses- effets, le tout d'une valeur de pius de trois mt1!e francs. NANTEUIL-LES-MEAUX. Près du hameau de ciel-mont, ra>uto de M. Chantier, représentant en vins il Méaus. a renverse et contifeiotmé un cycliste, Ni. Goymoiui. de Charenton, qui a été transporté a l'hospice de Moanx.

PIERRELEVEE. Trois ouvriers, les frères Joseph et Francisco Bavisot, sujets italiens, et Jacques Solder, de nationalité suisse, ont été arrètés alors qu'ils venaient de commettre un vol dans la chambre de leur chef de ehantter, M. Pascal.

VAIRES-SUR-MARHE. Sur mandat du juge d'instruction de Mcaux, la gendarmerie a arrêté, dans un café du Cheinin-des-Pêch eu rs, mi représentant de commerce. Antoine Astorg, vingt-neuf ans, domicilié rue di> Chaumont, il Paris, Inculpé d'abus de confiance.

~~1îe1ne-et-oise

Le doyen du conseil général

succombe à 75 ans

On annonce la mort, à l'age de soixantequinze uns, du marquis de 1;& Briffe, maire de Gambais, conseiller général du canton de Houdan. dans l'arrondissement de Mantes. Le marquis de la Briffe était à la tête de l'une des plus importantes exploitations agricoles du département de Seine-et-Oise. La santé de Mgr Gibier s'est améliorée L'évArhé de Vers«iIIe3 communique le bulletin suivant

« L'amélloratlon de la santé de Mgr Gibier se confirme et s'afurme de jour en, Jour; elle va permettre de pratiquer dans les conditlons les plus favorables la seconde opération chlrurgicale envisagée par les docteur Aumont et ilayel qui, depuis deux semaine. soignent le prélat. »

C0NFLANS-SAINTE-HON0RINE. Deux ouvrières polonaises. Mlles Grajuswska et Rosalie Budzuu, travaillant à la ferme de Froniainvilk!. ont été victimes de malralteurs qui, s'étant introduits dans lv.ir chambre, leur ont soustrait une somme de 1.000 francs.

MOîîTESSOK. A la suite d'un cambriolage avec effraction commis à 1'école TUéopnile-Koussel, 1a gendarmerie recherche un élève de cet établissement qui a pris la fuite.

POISST. Un cycliste de seize ans, Jean Buguet, dont les parents habitent Carrièressous-Poissv. a été tramponné par un tram-

way que conduisait lu wattman Garnir.! Portant des contusions multiples, le jeûnas Duguet a été admis à l'hôpital.

Le uice-présidi.'iu de la caisse d'épar- gnc, M. Rivière, a remis la médaille de bronze de la Prévoyance sociale à MM. Minier et Métivic-r, directeurs adjoints. Au cours dr la nn'me séance, les pouvoirs du) bureau ont été renouvelés.

RUEIL. on a trouvé pendu dans une cnu- rette attenante a sa demeure un manœuvre, j Jean-Marie Maigret, trente-quatre ans, nabi- tant rue de Chateaubriand, qui était neurasthénique.

Une maisonnette, située rne du Mareehal-Joffre, en bordure de la voie rerrée et appartenant Il us cmlîonnier, a été détruite '>ar le feu.

SAINT-GERMAIN-EN-LAYE. Dans la soirée, sur la ligne du tramway SaintGermaln-Poissy, un accident s'est produit près de la station de golf, au milieu de la forêt. Un groupe de Jeunes gens, arrétés au milieu des rails, a été surpris par le tramway, conduit par le wattman Joseph Galène, et l'un de ces jeunes gens. Jean Burquet, quinze ans. demeurant chez ses parents a Carriè-res-sous-Poissy, fut heurté par la machine et tralné sur une longueur de dix mètres. Relevée avec de multiples blessures à la tête et aux reins. la victime a été transpor- j tée il l'hôpital de Pnissy.

SÀIKT-HOM-LA-BRETECHE. Au ha- meau de Bretèche, une somme de quatre mille francs et des bijoux de valeur ont été volés dans la caisse de M. Victor Pleven, entrepreneur de maçonnerie. VERSAILLES. La Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine- et-Oise donnera, pendant le mois de mars. les conférences suivantes

Vendredi 9. M. André Maure! La cour de Sceaux; vendredl 16, M. Ernest Limonon Le problème italleu vendredi ':J, M. Christian Schefer Albert Sorel, citoyen français vendredi 30, M. Alphonse de Chateaubriand lecture de sa dernière œuvre. La Soriété d'histoire et de topographie versaillaise organise pour le mercredi 28 marc, une conférence faite par M. Charles Hirschauer sur la jeunesse et les débuts militaires de Berthier, futur prince de Wagram.

Élections au conseil général Fiente- Vienne. Canton de Sali 1.4C9 voix contre 1.360 à M. Bataille, rad. soc., on remplacement de H. Houx, rad. soc. Isère. Canton de Laverpllllère. Ballottage. MM. Meynard. rad. soc. voix Ferlin, libéral, 799 Perrolin, rad. soc, 768 (iauehon, communiste, 98.

Indre. canton dn Blanc. M. Cliicnery. rad soc., VOIX, est élu contre à M. Jallon, soc.

LES COURSES -̃ ̃̃ .vvww- ̃ ̃

HIER A AUTEUIL. Ln résultats Les ,sportsmen, attirés par un temps mervetlleux et un programme intéressant, étaient venus extrêmement nombreux sur l'hippodrome de la Société des Steeple -ohases de France, où se disputait entre autres une épreuve trèts richement dotée, le Prix Finot, dont l'allocation dépassait cent mille francs. Cette course très important n'a réuni cependant que cinq concurrents elle a été enlevée très facilement par Prince de France, qui n'a pas quitté la tête du départ il l'arrivée. Enéas est Tenu l'atta- quel' iiprès le saut de la rivière du huit, mais if a dû bientut s'avouer vaincu est le poulain de -Ni. Sonlange-Bodin a ré- sisté ensuite aisément à un ultime effort de Source Blonde.

Bienfait a défait de la façon la plus cette Sganaretle, dans le Prix Baudreti, tandis que dans épreuve précédente, le Prix Saida, Uhyticère n'avait eu raison de Kanjar que par la plus courte des êtes.

PRIX VAL

Haies, Il vendre aux cnch., 8.000 fr., m. 1. Djavid (J. Biarrottc) G « 50 ïl 50 à M. rtosrer Glrche 17 50" 8 60 S Tiltil (L. Niaudot) 13 3. Kilombo (A. Cérez) 4. Fanatique (M. Bertal). Non placés Tapis Vert (G. Parant) Great Fleet (il. Hartveld). de lung., i long., tête.

PRIX SAISA

Steeple-chase, handicap, 15,000 fr., 3,800 m. 1. Rhytlcère (A Kalley) G 83 17 50 il Mme J. Vussenr f M 7 50 •2 KanJar (L. Niaudot) t3 50 7 3. Very Wel! (H. Haes) 4. La Fougue (J. Biarrottei. Non placé Sudné (A. Hulule). Courte tétc, 5 long., 3 long.

PRIX BAUDRES

Haies. iS.ooo rraucs, 3,100 metre3

1. Bienfait (R. Petit) G 27 50 13 50 â -M. Dikran Kelékian V 16 8 2. Sganarelte (L. Niaudot) P 19 50 10 3. Sucrier (Bédeloup) i. Goya (C. Isgate). Non placé Brig-ueil (Fruhinsholtz). 3 long- 10 long., long,

PRIX FINOT

Biennal, épr·, st.-ch., 100,000 rr., 3,500 m. 1. Prince de France (lI. Howes)G 50 22 50 à M. A. Soulang-e-Bodin.l' • 13 2. Source Blonde (Bédeloup) .P 34 50 19 » 3. Montesquieu (L. Nlaudot) i. Eaéas (J. Luc). Non placée Jaequlqe (J. Léger). 4 long., 3 long., 6 long.

PRIX BLAVIETTE

Haies, handicap, M), 000 francs, mètres 1. Arrownead (L. Barré) .639 18 50 a la pi"" Duleep-Sing:h P i;s 7 %Ion Rêve VI (G Lester) P 18 3. Winner (L. Niaudot) p 18 • 9 • 4. Rriarée (A. Cérez). Non placés Lannilis (J. Luc) Mont Ilose (A. halle^) Lysis (C. Isgate) Charleval (R. Bagniardl Iidrim (n. Vayer). 5 long., tête, 4 long, PRIX ROSSIGNOL

Steeple-ch., chev. de selle, 12,0(0 tr., 4,200 m. 1, Volontaire IV (J. Luc) G H 7 50 à M. L. Patin P 1150 6 » 2. Artilleur (J. Biarrolte) P 15 50 8 50 3. Toréador Il (A. Juste), tombé, remonté. Non Placé As d'Or (G. Juge), dérobe. S long., loin.

HIER A CANNES. Les résidtate

'PRIX DE BOITSFORT

1. Vert Galant (Herbert; G 91 à Ni. Gaston Beaumé.P P 23 50 2. Karoum (Hervé) P 15 3. Faquin (Denobili) P 14 Non placés Phocas (Habba) Kilfare (Semblat) L'Aventurier (Brunet) Dernier Né (Jenninfrs) Yucca Il fCorfleld) Foi Foo (Palmer); Point (Rigauri). Tête, 3 L, Vt 1. PRIX DE MAISOKS-LAFF1TTE

1. La Plata (Semblât) G 11 » à M. E. Martinez de H02 P 6 2. Andorra (Mac Ge«) P 6 50 3. Le Tonkin (Jennings) 4. Caïquc (Garner 3 loup., t long'. 2 long.

PRIY DE DONCASTER

1. Côte d'Ivoire (Herbert! G 18 il M. Max de Rivaud P 9 50 2. Our Bcst (VV Lister) 3. Magicien il (Eude). Non ¡¡lacés: Rate[jennadp .Bianronli brana (Donog-huet Agrlppiiie- Il (Wulton). 3 I., 2 1., 2 1. LA COUPE INTERNATIONALE DE CANNES 1. Orangt Pip illervû) G 13 sa au comte de RivauO P • 50 2. L'Aretin (Uartien P a 50 3. Marshal Fn-nch (Herbert) P 30 Non placés !vain (Semblât) Rabu'au .r.sltiig-) Gao tl (Itabbe» Burlinston Ar·cade (Donoghue; Eastarazy (Monsem. Canova (BianconO virulin (JenninifS). 3 long- 2 long- cncolure.

PRIX DE CHANTILLY

1. L'Opulent (Uarner.- G iî M. J. E. Widener

2. Roc de Chère (Semblai) 3. Matnurtn (Estfng). 1 long. 6 long-.

PRIX DE VINCENNES

1. Ecurte Roumazeilles.G G 10 50 Ug-uette (A. Picard) P 8 50 i. Reynolrts (Berie) 43 3. Vagabond III (Willemsen) 950 4. Sans Gène ,Pagel'. Non placés Og-er (Faure) Atalante III (Bernardin.) Troubadour (Timon) Sais Willies (Bouidag-i") Usknb (Sibelly) Ramadan (.atil). arrêté Ratisbonne (Vacher) Ijuo Vadis (Roux) Saint Léger (f.'ou|>ier">. Durées 3' 3' ii", 3' 45'' Ils, 3' -iô" 2/3- Réd. au kll.: l' 36"

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Prix du Médoc, steeple-chase, à vendre aux enchères. fr., 3.500 m. Lady Kincralg (J. Teasdale;; Dionysos 70 (J. Luc); Gésarion 67 (F. Gaudlne.t); Dally 65 (E. Davis); Adrastirs 6?. (B. Bo!la>; Pervencne Il 65 (Il. Semblât1' Béril (J. Blarrotie); Perie rt'Espagne (G. Foucaud) Moulinet 60 (F. Fruhlusholtz).

Prix du Lot. baies, 12.0U0 fr., m. Eotrecuat n (A. Gérez); Baruc (P. Mtcnel); Eroflte (R. Vayer); Rien Velu 62 (J. Luc); Orontc t-L. Le Boufron 62 (G. Foucaud).

Prix de la Gironde, hates, handtcap, a reciamer, lu.OOO fr., m. Ippecourt 67 (A. Kalley) Dom Luco (J. Léger); voilà 'Peut 65 (J. Costadoati Surya i,l.-B. Lassus); Lisml 64 (P. Serre); Bénouvllle 64 (J. Neboit) Old Uko M (L. Lolseau); Le Gouverneur C3 (F. Gauriinet<; Dir.ker -:M. fruhlnsholtz); Obernai 61 iti. Olio) Royale la. Torite 6C (C Joincrl; Zivle 60 (C. Joinur Brandelys 60 (C. Nervo).

bonleux Oao Ci! (A. Suc) Ver Luisant i 60 (H. Cames > Sa1. urne (G. FuucaïKi). Prix Gascon fi (steeple-chase handicap, fr.. 3.UJ0 m.). Le Canricc 70 (F

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NOS PHONOSTICS

Prix au Mèdoo Clarion, Perl'; d'Espagne. Prix du Lo» Entrechat, Erollte.

Prix de la Gironde Ippecourt, Voilà Tout. Prix Gascon II Le Caprici-, La Maiadcîta. Prix .Villarney Firebar, Kilt".

Prix Général Aubcrivu, ApoHou.

Prix de Lisbonne Bas de Laine II, Beuv Enfant C.

LA MUSIQUE Chez Colonne, on réentendit l'ouverture de Polyeucte, de P. Dukas, qui nous fut révélée par Charles Lamoureux à ses concerts en ainsi que la Ballade de la Geôle de Rcading, poème symphonique de J. Ibert, dont la première audition eut lieu sous la direction de M. G. Pierné en L'oeuvre, très colorée et de réel talent du jeune compositeur, est en trois parties, qui se jouent sans interruption. Puis ce fut le tour de Y Amoureuse leçon, ballet en un acte de M. Eruneau. Ce ballet se compose en grande partie des Chansons à danser de l'auteur du Rth-e et fut joué, de la sorte, naguère, au théâtre des Arts de M. Rouché. Aujourd'hui on nous l'a donné au concert, où il fut très applaudi, comme il le méritait, et fort bien chanté par MUe Luart et M. Bourdin.

Le lendemain, la Symphonie de d'indy, extrêmement bien exécutée par l'orchestre de M. Pierné, valut à l'auteur unc chaleureuse ovation.

Au concert Pasdeloup, excellente interprétation de la Symphonie héroïque de Beethoven, de la Ballade de Faurc, que Mme Long poétise comme personne, et du très musical et très expressif Journal de bord de M. Jean Cras. Quant aux fragments de Y Absent, dont j'écrivis la musique pour la pièce hollandaise de George.* Mittchel, et qui figuraient au program; il ne m'appartient pas d'en parler. unis on me permettra peut-être de féliciter, de leur exécution parfaite M. RhenéBaton, les artistes de son orchestre et son excellent violon-solo,Si, Georges Bouillon. Chez Lamoureux, gros succès pour h Symphonie de Saint-Saëns, dont l'orgue fit autrement d'effet que celui, extrêmement peu important, de la salle Plcyei, dans le même chef -d'oeuvre que M. Poulet, espérant ainsi parvenu' à mieux lutter contre la dureté des temps, avait «ru l'étrange idée de mettre sur son afrfcîic. Fcrnand Lt L'orne.

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LE CROSS INTERNATIONAL DU PETIT PARISIEN

Parmi les 1,947 partants, de nombreux champions représentant toutes les fédérations et tes grands clubs. Les couleurs du la Suisse et du Luxembourg sont défendues par les meilleurs coureurs. Après huit cents mètres do course, les difficultés commencent. La rude escalade de la Lanterne Blanc, Trappon, Sourdin sont en tête. Sur la pelouse de la porte de Breteuil, B!(inc, mt'me, suivi* de Jii.'snu-lit's, bien revenu. de Sourdin et de IVnil iii'retti.

Au rond-point de Sèvres, Desroches et Blanc sont côte à côte. Dans l'allée qui suit le mur de Sèvres, Desrochcs, dont l'allure est très souple, réussit à déoramponner l'excellent coureur du C. 0. de Billancourt et passe premier h la porte fies Vipnes: il escalade sans défaillunoe te raidillon qui suit la côte des Jardies. Au rond-point de chasse. Desroches est premier, suivi à une vingtaine de mètres de Blanc; Thorrens, d'Oyonnax, on plejne action, est excellent troisième.

Après le Stade Français, le tracé s'engage dans les bois. Ce dur parcours n'incommode nullement Desroches, qui continue et est toujours en tête à la porte de Marnes. A travers les broussaitles et dans le gazon qrri suivent la voie ferrée, Desroches parait l'ouvrage; l'escalade- d'un talus. le saut du ruisseau permettent à Blanc de regajrner une vingtalue de mètres. Mais, au Pont-Noir. Décroches repart avec confiance. La foule, nombreuse, l'acclame aux Vinjrt-QuatrcJets et au Fer-à-Cîieval. Desroches galope au mitieu d'une double haie de spectateurs. Blanc tente un nouvel effort dans la deuxième boucle, mais Il est trop 1->rd. Des"oeïies a gagné.

LE CLASSEMENT (suite)

il. Lucien ViUaln (Mér.v-sur-Oise); 12. Paul licrtrtll (Paris): 13. Marcel Labesse (S. A. HonU'ouge): U. Georges Trcmalile (Besan,ron); 15. Anatolft Gauthier (Paris); 16. Maurice Vial (MaluKofT) 17, LOUIs Dubreull (Mouy); 18. André Barrlteau (Lusig-nan) i' Henri Martin (Fenaln); Léon Ferret (Cltanipusrnolesi.

ai. William Marthe (Lausanne); 22. bar. cel Frédlx (Amicale Camou, Paris); 23. Auguate Lerov (Parls); David Pernant (Arpajonl; asl Auguste Sourdln (Stade Franrais); 26. Georges Rlvert 27. Franco!* herseot 28. Gaston Morlet 29. Marcel htoment 30. J.-B. Daspard.

31 Lln*r^ 32. Vl$ler 33. Jubin 84. Gautnler 35. Vlal Marcel Guérln 37. racket 33. Ccbo!te 39. David 40. GhanII. fiiimmc* J-J. Delaroche Fnussii Brlais Oaquet 4fi. Meloyki 17. Jiictiu-es 18. Parot 49. Ausustm BéBarri.

51. Dhfliy 52. Wortler 53. Charralx SA. Broeckx 55. Rindby Robert y '7. FontoiiM» M. Paquln 39. Ha»h« 60. de Jivs Klpinin.

61. Armant &2. Rougeron 63. Villain «S Fçrin • 65. Demaison 66. B^nlf 67. Vellu Trouln R9. Di Stephano 70. Le Gulllon.

Groaseuvre 72. Lambert 73, Cotas Marsandon ciavcyrolas 7fi. Verhvugge 77. LafoniJ 7S. Piolet 79. Merciel, 80. Delotr.

SI. Colin; 82. Cartier; 83. Lancel 84. Mansolt 85. Pray 86. Souche Ju?e 8R. Bwgeot 89. fiiiilnfit 90. Pierre.

91. Le Falhère 9*i. Lalvalle 93. Mansard 94. Toussa ta Dersin 06. Labelle; 97. Quewarthe 98. Fryttman 99. Poncet Bon H lac.

lot. Panmler Bldaud Parjanoux lOi. Maifrrot 105. Cottellé Portai Mortier 108. Çoulleau 109. LOCiissol 110. Voisin.

lit. Defunesse Jarry 113. Prêtât; 114. Adam 115. Saluez; Vog-t 117. Arnoux 118. Rickenbacn msjnaris Delamar.

Roescb 122. Moret Gaston Ait Bliniiin Oouacbour ben AU 12;. Rourilg-nai lîD. BQueurd Raynaud Marchand; 12S. Laurant Verdelet; 130. Villanme. Marchai 132. Rejou 133. Marechal Lefèvre 135. Marchand Desrocbes 137. Serre Montrocq 139. Stoecke-I 140. Alves.

tlt. Marquant 14r2. Labart-a 143. Ferré; Petit 145. Rcvault 146. Beauehamp Evan 1 W. Marié 149. Fonnan 150. Trabach.

151. Maltlarrt 152. Delfoux 133. Vantighern loi. Régnier; 135. Janovait Salmon 157. Martin; 1SS. Bousquet; 159. Dupont 160. Hubert.

Maillard Garnler; 163. Gati?!bU3 164. Leyman 165. Aumont Tricaud 167. Le Droumagn«t DeJalCher 169. corniaud 170. Renard.

171. Bernier 172. Bûcher 173. KreckelberiPh Petit 175. Wagner 176. Mumita; Brtssot Combes 170. Crameité 180. Baron.

181. Renard 182. Dubois 183. Bouriler ISS. Llng-uanti 185. Maury 186. Coujon Volnson 188. Aime 189. Basq 190. [0i. Dernongeot 19?. Leblg-ue 193. AuBertin Martin 195. Lucus 196. Tonnet 197. Simon 198. Dujardtn 199. Thomas 200. Pascfuier.

à 2-.2O* Pérès, Arpajon, Schutt, Guillaume, Rognault, Lcverg-neux. Cozak, Buznet, I-uvaud, VUlcout, Gulgou, Guérln, Deraorivalle, Ma»?eret, Dévre, Cornut. Plaig-nard, Verdier, Courtay, Prlngot.

221° à 2t0' Maury, Menu, Willraann Devarenne. lioukovne, Naulleau, Darnuet, Bertiiud. Barre, Catlicinnc, Verdler, Maire, Com-U'I, Bousigcs, Lorgery, Papavoine, Barjon. Detaix, Bigot, Froissant.

à Chabaud, Savary, Bertin, Desseln, Choptn, Commoy, Pasquler, WoItT, Coster?cnt, Morlette. Rougnot, Saunier, Lamblet, Trapan, Deueval, Leclcro., Cointet, Rousseau, Altre, Bouteiller.

ail" a 2SO» Cordia, MUtelet. de Peyrié, I!«rl>ier, Verre, Langlois, Anxionuaz, Robin, HeauvaU, Bcimlnger, Rousel, Levelut. Serron, c.ad'.irct. Barjon, Vesoit, Poudaris, Gouvrlon, Lambert, Maréchal.

2810 à Martrl. Potier, Favre, ViUoval, André, Fricjp, Bcausire, Chemin, Anrrui, ilai-tnagel, Zroirrou, Paris, Cormier, Lemaltre, Hervé, Jean, Petit, KreclceUbergh, Laus, à 320e Boeb, Lesug'é, EsslinSfer, Boliiteaures, Quehelfle, Aubry, Cognault, Denfert. Lerenspd, Verunt, Denti, Malneult, HauHlr. Blanc, Lorenzi, Ancelot, ScJiouveUer, Meycr, Regeffe, Buisson.

321e Veux, Fayollé, .Nlgeon, Spenc, Obl-Erl», Brloux, Jusslaume, enameau, Lerevrc, Balcon, Lombret, Cantot, Patltet, Deplorré, Petit, Costard, Laportc, Poulain, Masseiin, Volant.

86. Feuilleton du Petit Parisien,

DEUXIÈME PARTIE

L'ENFER DE LA VIE

VI (suite)

Une visite à l'Aïoli

A son hôtel, au théâtre, on ne connaît pas sa nouvelle adresse.

La baronne non plus ne s'attendait pas à cette surprenante nouvelle.

Comme le docteur, elle demeura quelques minutes 'abasourdie, inquiète, désemparée.

Puis elle dit

Qu'n l'hôtel on ne connaisse pas Bon adresse. qu'au théâtre on n'ait pas voulu la donner, c'est possible. Mais je sais qui nous la donnera. qui n'a aucune raison de la cacher.. qui •otnprendra qu'il faut, malgré la défense probable de Lia, nous la révéler

Qui donc ?

Les auteurs d'Azuréa. le comte do Tarbot et le baron des Aulnayes. L'un ou l'antre, certainement. Ils l'ont, eux, cette adresse, ils nous la donneront quand Ils sauront pourquoi nous la leur demandons.

Je vais y aller.

Pas toi non, pas toi, Armand. Copyright by Léon Sszle 1928. Trartue116a et reproduction interdites en tous pays.

L'ALLURE CARACTERISTIQUE DE CHACUN DES TROIS PREMIERS

En haut la puinante foulée du vainqueur Desroches. Au-dessous Blanc (à gauche) et 'fborens

311e à 360e Cartereau, Talbot, Denis, Rumplei-, Betoullc, Licente, Crohem, Rlpaud, morouiny, Fleury, Juré, Chalbi, Boulet, Goufoert, Rlviftre, BUrlet, Heurtln, Chcïeaux, Noirot, Yourolf.

Ml» Il Lenoir, Chevallier, Dubreull, douter, Eslan, Ganibard, Boucher, Fouetter, Hachette. Latsant, Guillemont, Brunous, Roulmskl, Dufosse, Camblong, Wovarra, Julien, Hary, Jaudoine, Dagonet.

à 400e Sinqnin, Damlani, Ménager, Combé, Seez, Monteille, Lemitère, Le Porcher, Martin,' Jobit, Laigre, Bongrand, Delrue, Chenot. Costes, Robin, liaméon, Poisson, Meunier, Longllls.

à Boxard, Demoulln, Gerbault, Anciloer, Verçellin, Godait, André, Roubé, Roux, Faraaûlt, Gilardot, Laptac.o, Normand, Deeamps, Lelièvre, Simonnet, Karache, Orgtbun, Calvet.

Il Rousseau, Galleteau, Menut, De Castclvcrif, Detterwald, Nicolas, Rediuger, Garein, Jannota, Goedrer, Garnier, Davoine. Danrtrelle, Thominot. Beaudron, Lenglet, Maherauit, Verger, Fiève, Valard. à Gauche. Lecalllon, Vlnnesa, Spannacclni, Fujon, Delabroye, Stecwinckel, Achard, Dernier, L. Fouquet, Gautier, G. Fouquet, Cljargros, Decorpas, Marquant, Baraton, Chazeaud, Lellèvre, Devigné, Boudier. à 480e Germain, Regnier, Le Gall, Brun, rachats; Bénéche, Riou, Dufour, Keysa, Carruzzi, Besnard, Bosquet, Berthélémy, Rlinbourg, Chesuel, Duprat, Maire, Rouseau, Dupont, Lecompte.

à Boncorps, Barra, Saux, Guillard, Robin, Botron, Cunesson, Lppetit, Nint, Hayner, Ricard, Voisin, Lelll, Canet, Quelguégen, Bizet, Thtll, Stiugnard, Qulgnlard, Lannoy.

il 520* Bireau, Costard, Voisin, Gazza, Pasquier, Reversade, Besson, Drlgnlon, Dalby, Boucher, Berettl, Jacquet, Pouillon, Bolsslnot, Lavix, Frère, Mazlere, Baltz, Xavier, Lassag-ne.

Farschon, Blois, Cardot, Seux, Baudoin, Daubin, Bernfer, Lair, Ginux, Ahegg, Charvot, Gosse, Hervier, Constant, Vautrot, Martial, Dezert, Atriau, Onzon, Courescasse.

541e Il 560e Damerlnos, Aubry, Salvi, Rochet, Viry, Cauchoix, DeTossez, Christ, Defer, Poustay, Vigneron, Guilleux, Guillemart, Lecomte, Lévy, Rousselle, Ecabert, Chavatte, Malaccord, Lemattre.

à 5813e Delcour, Cambrat, Caron, Ar- chet, Leyresset, Charrier, Bolbessot, Koch, Pontivy, Thierry, Simon, Cléret, Koller, Hellic, Duveleroy, Cùavatte, Smont, Chais, Bertrand, Fustlelt.

581e a Snattenzzl, Olditz, Guillemaud, Kupp, Pielat, Germain, Honest, Fauquet, Laurent, Jacquinot, Coquet, Choncz, Tixier, Glaisé, Simonet, Blndel, Hoville, Haidt, Rouget, Despron.

ool» à 020e )Jorcelot, Orandln, Liauteaufl, Buhigeon, Rousseau, Thominot, Goulln, Cholet Breteillo, Mathlaud, Har, Labour, Moügel, Henry, Aït Saada, Viard, Cubellier, Saval, Bourdon, Coin.

621e à Martus, Continant, Huiban, Peyronneî, Leblond, Terseul, Delahaye, Sevin, Fleury, Marlalnd, Bascher, Flelter, Capplle, Pauasot. Caunet, Plcolot, Cuper, Grange, Legnet, Greffe.

«-41e à 660e Pradier, Boi3Sièraa, Soboenskt, Bourgues, Fauret. Dupont, Jacquiu, Pirovans, Fouchard, Carriot, Hamion, Blasuls, Cqron, Laurin, Tissot, Vidal, Vallet. Stcinfort, Clerc, Garnier.

OBI» à CSUe Chrétlcunot, Cllet Pierre. Maurait Edmond, Satc-bleu, Pinard, Olllo, llibaiid, Manciiit, Caron, Nlcond, Brpchard, Itoulllon, Boissière, Vlalette, Faeon, Lambert, Dcssorme», Halle, Collas. Daunou. 681e a 700» Couhart, Perre, Vigneron,

C'est moi qui vais faire cette démarche. Je les connais. je suis dans d'assez bons termes avec eux pour qu'ils ne me la refusent pas.

La baronne téléphona aux auteurs mondains et obtint rendez-vous.

Elle se rendit chez le comte de Tarbot qui l'attendatt avec son collaborateur. Ils ne se doutaient pas du but de la visite de la baronne. Ils étaient même loin d'en avoir le pressentiment. Cependant, ils pensaient que cette entrevue avait pour but Azuréa, c'està-dire Mme Bricart.

Grand fut leur étonnement quand la baronne leur dit

Je voudrais voir ma cousine Lia. j'ai absolument besoin d'avoir une entrevue avec elle. et je ne sais où la rencontrer.

Mais à son hôtel.

Les deux auteurs, sans aucune bésitation, donnèrent à la baronne l'adresse de l'hôtel.

Je connais cet hôtel, dit la baronne, j'y suis allée voir ma cousine. mais Lia n'habite plus là.

Les deux auteurs se regardèrent avec stupéfaction.

Nous lui avons envoyé un télégramme lui donnant rendez-vous pour ce soir. Nous avons parier au sujet de ce que vous savez déjà. du retrait d' Azuréa de j'affiche du Grand-Lyrique. Le comte ajonta

Robin, le directeur, a eu avec elle, ce matin. une entrevue. Peut-être connaît-il, lut, sa nouvelle adresse.

Le comte téléphona 0 Rohin.

Le directeur du Grand-Lyrique répondit aussitôt qu'au cours de l'entrevue de ce matin. Lia Staring ne lui parla pas du tout de son Intention de changer de domicile. Par conséquent, Il Ignorait même qu'elle fût partie de l'hOtél.

Duverueiill, Dumont, Rlchaud, Scmidt, Mise, Sébille, Oisat Secret, DecocK, Moulant Denis, Barbet, Mouton, l.agny. Desgraux, Wyrfels, Descharups, Montassiez

701e à '̃20' Veillorot, Malzani, Huguet, Tetre, Darot, Vergnet, Durrcné, Musslér, Joza-juboisz, Pinatti, Lebeau, Lecoq, Bailly, Dorlln, Ocula, Frère, Courallet, Mijon, Dumoulin, Gros.

̃ 721° à Maluc, ravier, Davoust, Louis Lucas, Goguillon, Leblond, Poirier, Cantin, Iiarrls, Van RoosebcJce, lieaninulins, Farine, Potier, Zsrfé, Amstad, Coubière, Collange, 741e k Collet Jean, bchiinllz, Leblanc Jean, Rachas. Etlenno Jean, Maupied, Ltcensc, Coinsse, Meknarh, Fillette, Braiilt liené Félix Louis, TallandiClr, Clément, Bedton, Pierquln, Le YoT-rec, Frugier, Gérard, Cadier.

761e à 780e: Chambard, Destang, Marlt, Rostiaux, Depoullly, Fauconnier, Bernard André Poulain René, Lefèvrs Paul, Racino, Harehand, Vll1anova, Bernard, Albert René, Detointe, Renou, Brlnte, Yen Eckae, Dubois Robert, Vielle.

781 A 800e Lo Ménager, Renault Camille, Petltberghien, Pacquet, de Gauchy, Lespaguoi, iJelhororae, Hyppolite, Polya. Marianult, Durand, Vaillant, Jujmeau Uullhé, Debray, Bnurrler, Leblanc, Marsel, Balat, Philippe Roger, Daunists.

801e à 820e Ptzzagalli, Puget, Courtois, Bellon, Phlllppeau, Glrault, Jovelin, Panier, Dujardtn, Clément, Bozon, Theulllier, Lavleuvilé, Dard, Charcutier, Callay, Pascual, Dacquav. Bonnet, Pisher.

à 840e Mouchebœuf, Chère, Lerondel, GiHot Jean, Salafa, Breateszewskl, Coudert Paul, Lancezeux, Plasisr, lee André, Tayan, Naptols, Hlaln, Condé, Gulchon, Devandeville, Pinel, Loyer, Tl11ette, Rax.

a 86O« TrousiK>us<\ Bariugo, Chenevière, De*chcimer, Cuvellter, Ollivaud, GréKory, Cortaix, Reina, Message»1 Paul, Duplaix, Thelglier, Pocune, Fauge, Saget, Meunier René, Joudrier, Tourez, Beraler, Hermant. 861e il 880e Laber?*re. Bonlonnois, Klrsehennofer, Bethous, Gouret, Maud'huit, Sagne, Noveri, Balguit, Billette de Villemeur Georgeg, Pannetier, Thierry Roger, Saunier, Dallbard, TrAre Mamel, Lavenant, Legendre, Hionval, Moreau Gaston, Bernard Louis. PlchlngCr, Vibert, Le Du, Lecot, Leaelge, ppnott, Janïe!, Dlett, Bayftre, Léard, Scoudou, Brasseur, Petin, Rénaux, €hpolyans, Gauthier, Tournez.

901' à Le Breton, ChataRnlon, Trlquet, Deverchère, Mérigault, Jésus, Praca Fléchaud, Caillot, Leroy, Peyrot, Puisllneux, Hucher, Charlaires, Pottout. Dleuloir, Bellon, Jounot Frigoul, Lassur. 9S1. à 940e Bort«. Bloudeau, Loriot, Pesche, Brlot, Baron, Harcot, Nlcod, Trido, Lanlois, Thomlnet, Huguenin, Marotte, Ancel, taro, Vanet, Ducane, Hlnteroeyer, Bose, Raoult.

941- à Mercier, Pellisson, Delhopltal, Mord, Mathé, Rousseau, Leroux, Grelot, Pelé, Massart, Bary, Villain, Chuuvin, VorgerLevant, Trousselot, Dutresne, Duprès, Roche, Leliévl, Accart.

9ftl" à 980e Alait, Salafa, Bègue, Brusset, ,;pente. Vergnifcres, Girault, Ouinard, Monte!, SrhacWt, Famechon, Henry, Deshayea, Ondet, Chère. Lebeau, Pl got, Robert Presly, Thuault. & Louise, Rlndly, Auclair, Benard, Couture, Etoin, Simon, Haricot, Fouret, Hamme, Vaudelin. Coulon, Vacher, Faujrelle, Imbert Dreze, Bonnefoy, Flohant, Fabry, Beguincl, Saba.~t.ia.

Il Courtot, LecleK, Sanster, Le Goff, Michelon, Lafargue, Kergustant, Bihel, Duault. Leroux, Vauturier, Polet, Prugnoaux, Vauriac, Neveu. Zeltg, Vignes, Autoine, Frloux, Denyau.

1.021e à Metzner, Sacccttl Gallais, Verner, Mougel, Mongy, Lallemand, Dore], Broux, Oiorre, Cornut, Henry, Labltuc, Charton, Boinai't, Bennetler, Buson, Groult, Hautte, Thbodore.

1.041e il 1.OG0° Chevaline, Garraud, Gagnepain, Plek, Germain, Ferré, Louchard, Pehée, Roupnet, Dupuis, Mayard, Besançon, Condesco, Noirville, Muller, Hyppolite, Costilles, Malardier, Raffy, Lebrun.

1.061e a 1.080e Pierre, Gober, Besson, Gng-llerl, Mercier, Nadaud André, Dufour, Smets Roné, M'aurait. Bondu, Lombard, Cambiens, Etehenique, Walu, Sobler, Regel, Guiction, Levellain, Rodoni, Merguin.

1.081e à 1.100e ̃ Goldinberg, Levet, Le Palère, N'uy, Caillot, Hanson, Le Moue], Desgranges, Guimard, Millon, Marier, Jalleffo, Désjardln, Matlion, Serres, Coquemond, Sotfer, Henaut, Havet, Magrlgni.

1.101° à 1.120e Levasseur, Le Breton, Colille, Richard, Weber, Coudea't, Miot, Rossi, Roucauris, Michel, Mijou, Plnault, Cochy. Floquet, Duprat, Roux, Lehorne, Aragot Estraaie, Pomart.

à 1.140e Simon, d'Albaret, Mollto, Pasanella, Jagoury, Dupât), Mazery, Kommlssarjevskl, Kanter, Scherrer, Previdi, Meytadier, Parrot, Lecointe. Giraud, Chevet, Libermittr, Peuillebots, Moaligou, Daux. 1141e à 1180e Desgroux, Boivin, Adib, Bourelard, Micbot, Tlxler, Dubois, Clèment, pourebaux, Roux, Mertaud, Vitasse, Cottereau, Toureilles, Delicourd, Souillard, NIédorganz, Ravenecourt, Dubois, Van Ruychevelt.

à Bobin, Oiivler, Jourdois, Lelièvre, Dunis, Denz, Brisset, Lefebvre, Briand, Dunand, Deshayes, Rtbière, Pairaut, Jannet, Douchy, Dormois, Guillot, Seradtni, Duthesne, Leduc.

1.181e à 1.188e Maurelle, Contrain, SahW Hamed, Vaillant, Vauzelle, Bénaryot, Hervé, Le fer.

LA COUPE DES SOCIÉTÉS b Le classement, par équipes de six hoinmes, pour la Coupe des Sociétés, est le suivant

1. Cercle des Sports do France, points 2. Drancy Sportif, 560 pts 3. Espérance de Stains, 883 pts 4. Amicale Saint-Louis, 2.4f«6 pts 5. Vélo-Club des Chaa-mettesVésinet, 2.879 pts 6. Association Sportive Française, pts 7. la Saint-Mand<5enne, 3.326 pts 8. Philotechalque de Cachan, pts 9. Paris Union Sports, 4.491 pts. REMERCIONS.

Remercions tous ceux qui, avec un dédévouement infatigable, contribuèrent à faire de notre Cross International le splendide succès que l'on sait. M. Louvet, conservateur du parc de Saint-Gloud, dont les servioes nous furent si précieux Henri Arnaud, ancien champion, qui assura l'organisation technique Delalande, qui organisa impeccablement tribunes, vestiaires, enceintes diverses, et grâce à quoi les concurrents «Durent évoluer sans la moindre gêne et le public suivre à l'aise l'épreuve MM. Vidal et Bourrut, qui dirigèrent le service d'ordre, dont le tact fut parfait le docteur Corbier, à qui était confié le service médicai les juges à l'arrivée Joinon et Lucas; le commandant d'armes de SaintCloud, etc., etc.

Cette réponse consterna la baronne. A notre grand regret, dirent les deux auteurs, nous ne pouvons faire plus pour le moment. Mais dès que nous apprendrons quelque chose, et ce peut être bientôt, nous nous empresserons de vous en Informer.

La baronne, cependant, ne perdit pas tout espoir. Il lui semblait impossible que Lia eût ainsi disparu, que personne ne fut au courant de sa nouvelle adresse.

Elle pensa que si les auteurs, le directeur du Grand-Lyrique ne la connaissalent pas. certainement Lia avait dû la donner quelques camarades, ne fût-ce que pour faire suivre la correspondance pouvant venir au théâtre. Celui à qui, en premier, elle pensa fut, naturellement, Larédo.

Mais avant de ce résoudre il se rendre chez ce compromettant ténor, elle voulut tenter une démarche auprès du baryton SI Larédo avait l'adresse, certainement Il s'était empressé, en bavard qu'il était, de la communiquer à son camarade.

Josiane se rendit an théâtre, et par le moyen qui fait parler les concierges elle obtint sans difficulté l'adresse du baryton.

Pendant les répétitions auxquelles elle assista chez la marquise de la CrosntÊre, la baronne fit la connaissance du baryton, jamais content, et de sa femme.

Elle put apprécier ce brave homme. En toute confiance elle vint donc le trouver chez lui.

Précisément, le baryton venait. avec Julia. sa femme, de rentrer.

On avait fait, au théâtre, un raccord pour la représentation de demain. Un

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DE RUGBY

On jouait hier la troisième série de matches comptant pour les poules quarts de finale du championnat de France de rugby. Les « poules de » sont donc bien prêtes à fournir les quatre clubs qualifiés pour les demi-finales prochaines.

Lyon battu par le Stade Français

Le Stade Français et le Football Club de Lyon se trouvaient en présence au Parc des Princes. 1

Après une partie très disputée, le Stnda Français remporta la victoire par 16 points (4 essais Verger, 2 Jauréguy, Moureu. et 2 buts Branca) à 0. Dès le début de la partie, les avants stadistes, s'assurant régulièrement la balle à la mélée et à la touche, l'équipe parisienne s'installe dans les 22 mètres adverses. La défense lyonnaise se prodigue et rien ne passe. Enfin, les avints blancs ramènent le jeu au centre, puis dans les 22 mètres du Stade où un coup franc est manqué de peu. La partie se poursuit assez monotone et au repos; aucune équipe n'a pu prendre t'avantage. A la reprise, Lyon domine d'abord, puis les avants stadistes reprennent l'avantage et les buts lyonnais sont longuement menacés.

Enfin, après, une mêlée dans les 22 mètres, Daudignon perce, transmet à Verger qui marque entre les poteaux. Branaa réussit le but.

Peu après, une attaque par passes des avants parisiens se termine par un essai de Jauréguy. Le Stade domine nettement et deux essais seront marqués avant m fin par Moureu et Verger. Branca transforme le dernier.

L'équipe parisienne s'assure la victoire grâ.ee à la supériorité très nette de sa ligne d'avants. Les lignes arrières, par contre, firent une partie quelconque. Dans l'équipe lyonnaise, les avants, malgré un beau travail de Piquiral, furent nettement dominés. Les lignes arrières se distinguèrent en défense et menèrent de jolies offensives, mais leur

Une touche Il l'avantage du Stade

manque de vitesse les empêcha d'aboutir. Excellente partie de l'arrière lyonnais, aU$si bon sur l'homme que sur la balle. RÉSULTATS DES « POULES DE Division d'excellence

Poule A. A Soustons S. Bordelais bat A. S. soustons, 5 points à 3.

Poule B. A Pau S. Palolse bat U. 9. Perplgnanalse, 12 points à 0.

A Paris Stade Français bat F. C. uyon, 16 points a o.

Poule C. A Perpignan A. Perpignan battent S. Hendayais, 12 points Il 8. A Lourdea U. S. Qulllannalse et P. C. Lourdals, match nul, 3 points a 3. Pouls D. A Bordeaux S. A. Bordelais bat R. C. France, 6 points il 3.

Le classement

Poule 1. Stade Toulousain, 6 points 2. ex Kguo, A. Sou&ton et Stade Bordelais, 5 pts 4. A- S. Bézlea'à, 4 points (un match k jouer).

Poule B: 1. Section palolse, 9 points 2. Stade Français. 7 pis 3. U. S. Perpignar., 5 pts 4. P. C. Lyon. 3 pis.

Poule C 1. U. S. Quillun, S points 2. A. Perpi^nanals, 4 pts.

Poule D 1. R. C. TouKmi, 6 points 2. Racing C. F., 5 pts 3. S. A. Bordelais, 4 pts 4. Lyon 0. U., 1 point.

La Section Paloise, l'Union Sportive de Qulllan sont qualifiées pour les deml-Hnales. Les deux autres places ne peuvent échapper au Stade Toulousain et au R.C. Toulon, qui sont en tête de leur poule et qui ont encore un match a jouer.

Division d'ionneur

POULE A. A Saint-Girons S. C. Angouléme bat S. Girons S. C 5 points Il 0. A Romans A. 8. Bayonnaise bat U. S. Romanalse, 14 points à 6.

Poule H. A Vienne S. C. Vienne bat S.A.S.Sever, forfait.

A Vierzen S. DliMinals bat C. Vierzon, 13 points à 6.

Pouls C. A Clermont-Ferrand S. Clermont bat Boucan Stade, 12 points à 3. A Chiteaurenard S. Cliâteaurenardals bat A. S. E, Lyon, forfait.

Poule D. A la Teste U. S. Testerine bat C. S. Oyonnax, il points à 3. A Castres Castres O. bat 3. O. Avignon, forfait.

RUGBY. Dans les départements A Royan U. S. Royan bat U. S. Coutras, 15 points à 0.

A Hort A. P. Montferrnnd bat A. S. Bort, 36 points à 10.

Au Creusol: C. 0. Creusotln bat R. C. F. C. Besançon, points Il 3.

A Dijon Stade Français (rés.) bat Stade DIJonnals, 32 points à 0.

A TnulouKK, S. T'arbals bat S. C. Pamlers, 20 points à 0.

reprenait la pièce qui avait précédé Azuréa.

Mais le baryton et sa femme, avant de regagner leur logis, firent une démarche qui prouvait le bon cœur de cet homme n'ayant peut-être pas grand tort de n'être jamais content dans la vilenie de la vie courante.

Pendant la répétition, fatalement, on parla de la représentation de la veille, du désastre, de la chute de l'étoile Azuréa.

Et ce fut à qui tomberait le plus sur la malheureuse vaincue.

pn se montrait sans pitié pour elle. On la déchirait absolument.

Dortal ne pouvait essayer d'imposer silence ces médisances. Du moins, ni lui, ni Julia ne se mêlèrent à ces glapissements de chacals.

Mais, en sortant du théâtre. Ils se dirent

Cette pauvre femme doit être accablée par sa chute. Elle n'ose pas sortir. Elle est chez elle, peut-être malade, seule, abandonnée de tous, comme le sont toujours les vaincus et les pauvres. Nous devrions aller la voir. l'encouruffer, lui redonner espoir. Elle a certainement besoin d'une main amie dans sa détresse.

Le baryton et sa femme se rendirent chez Lia Staring.

Ils ne la trouvèrent pas. et le gérant de l'hôtel, pas plus qu'au docteur, ne put leur donner le moindre renseignement.

Ils rentrèrent donc chez eux après cette vaine démarche.

En chemin, ils achetèrent des pnjpH sions pour le repas du soir.

Julia, en ce moment, apprêtait la casserole, pendant que Dortal, manches LS relevées, épluchait les légumes.

FOOTBALL NUREMBERG BAT LE RED STAR

Les sportsmen parisiens ont pu voir évoluer hier, à nouveau, au stade Buffalo, une forte équipe étrangère le Football Club de Nuremberg, six fois champion

Un arrêt original du gardien de but allemand d'Allemagne et dont tous les joueurs sont des internationaux ou sélectionnés de classe et qui possède notamment un çoal d'une habileté remarquable. Opposés au Ked Star Olympique, les Joueurs allemands remportèrent une nouvelle victoire par 3 buts à 2. Le début de la partie est favorable aux joueurs parisiens qui d'entrée envahissent le camp adverse. Quelques essai? sont tentés, chaque fois Nuremberg réussit à se dégager, mais sur un nouvel assaut des avants parisiens, Martin, à la dixième minute du jeu, réussit le promier but. Ce résultat semble réveiller les joueurs du Reich qui attaquent à leur tour et le goal parisien doit alors intervenir Il plusieurs reprises tandis que l'arrière Diaz se fait remarquer par des dégagements acrobatiques, mais malgré les efforts des arrières parisiens, les Allemands maintiennent leur pression et sur un mauvais bloquage de Clément, l'inter droit Hochgefang anlène les deux équipes À égalité.

A la reprisa, changement à vue. C'est Nuremberg qui attaque avec fougue et envahit le camp du Red Stard Clément doit parer à plusieurs shoots dangereux. inlassablement, les joueurs allemands attaquent et, profitant d'une hésitation de la défense parisienne, leur interdroit marque à bout portant un deuxième but imparahle.

Plusieurs échappées de Parisiens semblent devoir aboutir, mais inlassablement le goal de Nuremberg dégage ses filets. Un troisième but est marqué par l'avantcentre allemand, mais, peu après, un shoot de Fenamare donne un deuxième but au Red Star. Sur la fin, la partie s'anime sérieusement et donne lieu à de jolies phases de jeu. Les Allemands semblent fatigués de leurs efforts de la veille et les Parisiens, fortement encouragés par le public, portent maintes attaque*, mais en vain, et la fin survient sans shançement-

L'ARMÉE FRANÇAISE VICTORIEUSE DE L'ARMÉE BELGE

Le dernier match du tournoi triangulaire s'est joué hier à Bruxelles entre les équipes française et belge.

Conürmant leur belle tenue devant les Anglais, les militaires français ont remporté sur leurs camarades belges une brillante victoire.

Après avoir mené a la mi-temps par 1 but à 0, les Français accentuèrent leur avantage à la reprise et marquèrent 3 nouveaux buts, cependant que les Belges parvenaient à tromper par deux fois la défense française.

Finalement, l'Armée Française triomphe de l'Armée Belge par 4 buts à 2. SOURDS.MUETS LYONNAIS ET PARISIENS FONT MATCH NUL

Sur le terrain du stade Henry-Paté, le Club Sportif des Sourds-Muets de Paris et l'Amicale des Sourds-Muets de Lyon disputaient la finale du championnat de football et de la Coupe nationale des silencieux.

Après une partie animée et courtoise, les deux équipes firent match nul, 1 but à i.

LE CROSS DE VINCENNES Deux épreuves de cross se sont disputées, hier après-midi, sur l'hippodrome de Vincennes.

En voici les résultat

Cross des Espoirs. Catégorie des non licenciés 6 km. fWO. 1. Picart, eu 24' 1" 4/5 2. Averlaat 3. Bouet 4. Espezel 5. Dauban. Catégorica des licenciés: 9 km 500. 1. Vaudray (A.S.P.P.), en 33' S1" 2. Caille (Métro) 3. Potard (lied Star> Malsonneuve (Métro) 5. Cairon (U. S. VillefrancUe).

Cross National (12 km. 900). 1. Roser Pelé (A. S. MontrerrandaiSw'). en 42' 46" 4/5; 2 Leclerc (lied Star); 3. Boue (Stade Bordelais) 4. CUapuis (S. C. Montceau-les-Mines); 5. Dents (Angers); 6. Niçois (Nancy); 7. Bcddarl (Red Star); Rerolle (Vichy); 9. Granier (Métro); 10. Anln Amar (Massllla Club);

Classement par cluhs 1. Red Star Olymptque; 2. Métropolitain Club.

SPORTS FEMININS CROSS.COUNTRY, Kova Fomina avait organisé, dans le bois de Bellevue, un Handicap International sur â.SOO mètres. Nille Sassaharca (N. qui recevait 6'. s'est classée premlére en 14' 32", sa camarade de clob Portès (scratch) réalisant le meilleur temps 11' 58".

A la surprisse générale, la championne belge, Mlle Ida Degrande, gagnante de la dernière rencontre internationale abandonna. Classement 1. Sassaharca (N. F.), 6' 2. Chézale (N. F.), 3' 40" 3. Van de Putle (A. P.), 4' 20" 4. Dtagre (Bruss. F. Club), U' 5. ClKircûaïKie (A. P.), 6' 6. Lemaasoin (A. P.), 3' ao" 7. Lesne (N, F.), y 3tl" 8. Colloml) (N. F.), 4' Maccario (N. F.), 3' 50 10. 'larby (M. F.), 5'.

Ah 1 le baryton n'occupait pas un appartement luxueux comme son camarade, le beau ténor Larédo.

Il n'avait pas de studio, lui, avec. près du grand divan. la petite table aux gâteaux secs, aux vins Uns Dans le faubourg Saint-Martin, où logent tant d'artistes, il avait trouvé un petit appartement comprenant une chambre à coucher, une petite cuisine. Logement d'artiste.

Julia et lui, très simplement, préparaient le plus économiquement possible, leurs repas.

Car ils pensaient sans cesse, tous deux, à la petite maison de campagne sur le bord d'une rivière, où ils se retireraient quand la voix faiblirait. quand l'âge serait venu 1.

La petite maison oO Julia élèverait des poules et des lapins pendant que Dortal Irait pêcher la friture. Et ces deux braves natures, sans autre ambition. sans autre besoin sans plus grand plaisir que d'être ensemble. sans plus douce joie que de s'aimer. vivaient ainsi simplement leur petite vie d'artistes consciencieux. de braves gens. de bons coeurs.

Ils n'allaient jamais au café. Les apéritifs croûtent cher, délabrent l'estomac. abîment la voix.

Les restaurants sont ruineux.

Ils vivaient donc chez eux. préparaient eux-mêmes leurs repas, à leur profit, et. de toutes façons, s'en trouvaient bien.

Ils vivaient ainsi très simplement, mais nullement en avares, et très accueillants, ayant à table souvent des camarades, des compatriote de Marseille venant goûter un aïoli, une brandade ou des pieds-paquets qui passaient pour une de leurs g-loires culinaires. Donc, ce soir, puisqu'on ne chantait

HOSTIN BAT DEUX RECORDS dont un était détenu par Rigoulot Saint-Etienne, 4 mars {dép. Radio.) Au cours du championnat régional de poids et haltères du Sud-Est, deux records du monde (catégorie. mi-lourds) ont été battus par Hostin, qui porta son propre record de l'arraché à deux mains il 111 kilos, et battit le record du jeté il. deux mains, détenu par Rigoulot, avec 142 kilos (ancien record, 141 kilos). les championnats de Paris amateurs de boxe Hier sé sont déroulées au Centrai Sporting Club les éliminatoires des championnats de Paris amateurs de boxe. Les quarts et demi-finales se disputeront dans la mdme salle, jeudi prochain.

Résultais

Poids mouche. Verdier bat iNordon par abandon, deuxième round Verjux bat poucan par abandon, premier round Aityatna bat Joineau par arrêt, premier round; Escargueil bat Triompliie par arrêt, premier round Prisset bat Storck par arrêt, premier round Trevidic bat Maubon aux points Papion wt Brésard par abandon, deuxième round Sephons bat Gtllet aux points.

Poids coq. Llnsalo bat Picot par abandon, premier round Maillard bat Tardltl aux points Tison bat Nernier par k. o., premier round Colleville bat Langlois par abandon Mlquel bat Andry par abandon Tasaart bat Martinet aux points.

Poids plume Cavakla bat PqrtCTet, par abandon premier round Oaspar bat Picard, par abandon premier round Viei bat Leroy, aux points Le Compte bat Qilquin, aux points Constant bat liémery, par è. o. premier round Belouzo bat Harroué, aux points Llétard bat Delaiçe, aux points Trapp bat Cancalon, aux polnls Vlcente bat Stelmann, aux points Audt-6 bat Trepsat, par abandon premier round Monteils bat Riaux, par abandon premier round MousJi bat Rol»rt, par k, o. Demïcourt bat Le(îueii, ]wr abandon injustifié, 'lisqualiPô Lepicouché bat Frtel, par abandon Lavaysslere bat Péloille, par k. o. Monteila bat Le Compte, aux points Mousli bat Lavayssiève, aux points Gavalda bat Vissau, aux points Caspard bat Liétard, aux points; Trapp bat Vlez, par abandon Constant bat Delbouse, par k. o. Lepicouché bat Demicourt, aux points.

Poids légers Dupain bat Petit par fc.o.; Dovilet bat Semoulfaler aux points; Kevaud bat Sintomer Robert par abandon premier round Thitand bat Houehaussé aux points; Poldevin bat Ugchelli aux points; Palisse bat Brovillê aux potnts Orlgny bat Mignon aux points; Alix bat Flèche par abandon premier round; Caillez bat Bancel par abandon deuxième round; Boulsud bat Bordes par abandon premier round.

Poids mi-moyens Deparday bat Baron par arrM de t'arbitre Saulnier bat Garnier aux points; Cardon bat (îautier, disqualifié; Dupas bat Chemma par abandon; Patty bat Hoyé aux points.

FOOTBALL, Dans les département» A fougères Drapeau de Fougères et Stade Qulmpérols, match nul, buts à 2. A Dinard Dinard A. S. C. et C. S. J.. Angers, matcti nul, 1 but à 1.

A Saint-Scrvnn J. A. Satnt-Servan bat O. S. Mans, 1 but à 0.

A Angers C. 0. Cholet bat C. S. J.-B. 2 buts a 1.

A Forbach U. S. Forbach et C. A. Messin, 2 buts il 9.

A Metz C. S. Styrlng bat S. U. Lorrain, A bat U. Moyeuvre, 2 buts il 1.

A Amnéville C. S. 0. Amnéville bat' R. S. Petlte-Posselle, 5 buts à 3.

A Beaune A. S. Auxerre bat Fils de France, de Beaune, 2 buts a 1.

A Ftves Olympique Lillois bat S. C. Ftvois, 2 buts k 0.

A Tourcoing Amiens A. C. bat U. S. Tourcoing, 2 buts à 1.

A Roubaiz E. C. Tourcoing bat Stade Roubaisien, 2 buts

A Boulogne R. C. Calais bat U. S. Bou- logne, 2 buts à 1.

Au Havre: Stade Français bat Stade Havrais, 6 buts à 2.

A Rouen Club Françats bat F. C. Roueunais, 2 buts à 1.

A Quevilly U. S. Suisse et U. S. Quevilly. 1 but à 1.

A Lilte R. C. Calais bat Iris Club Lillois, t but à 0.

A Saint-lM: S. Deodatien bat C. S. Le Thtllot. 5 buts il 0.

A Verdun: A 8. Hayange bat S. A. VerduBois, 3 buts 1.

A Renriremont U. S. de Thaon bat A. S. Remireiuout, 2 buts il 1.

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pas. les deux époux allaient en profiter pour s'offrir un régal. un petit aïoli. En temps ordinaire, l'aïoli était défendu.

Les camarades en scène n'aimaient pas la bonne senteur de l'ail. On comptait même dans la troupe des gens du Nord. des gens qui font la cuisine avec du beurre 1. Des gens qui mettent dans leurs plats de la crème Les pauvres 1 IIS ne eonnaitraient jamais la douceur de vivre. La cuisine au beurre, les malheureux sans ail. Oh

Des infortunés, des bizarres, qui n'appréciaient pas le parfum de l'ail. et se délectent, au dessert, d'un munster empuanti, d'un roquefort épouvantable. L'ail, santé du corps, qui donne si belle voix au Midi.

Bref. ce soir. Julia et Dortal allaient tranquillement se régaler d'un petit aïoli.

La bouteille de bonne huile d'olive venue de Salon était sur la table. a côté du bol. et du pilon où s'écraserait l'ail. que Dortal. méticuleusement, épluchait.

On frappa quelques petits coups à la porte.

Eé Julia, dit Dortal souriant, c'est quelque fin bec qui a déjà senti l'aïoli.

Et Il cria, de sa belle voix de baryton

Entrez

Ils s'attendaient, tons deux, à voir paraître un camarade.

Ce fut la baronne de Raymone qui entra.

Dortal et Julia demeurèrent stupéfaits.

Vraiment, dans la vie, Il y a des choses qui arrivent et qu'on n'attendait pas. comme on dit à Marseille.

AU VEL' D'HIV' Victoires de MicUrd et de Jaeger

Course de la médaille: 1. Nouhot; 2. Baudln; 3. Chamhtlte.

foule de vitesse (1,000 mètres). Premier match 1. Mteliard; 2. Kaufmann; 3. Faucheux. Deuxième match 1. Mlcnard; 2. Kautinann; 3. Moeskops. Troisième match 1. Faucheux; 2. Moeskops; 3. ;aufmaun. Quatrième match t. Moeskops; 2. Faucheux; 3. Michard. Classement général 1. Michard, 5 points; 2. nx-sequo. Faucheux et Moeskops, 6 points; 4. Kautmann, i points.

Handicap du kilomètre Dlot 2 ours 3. Qaux (110).

Brassard amaleura ei indépendants Plassat (détenteur) bat Richard de 12 m. en 3/5.

Crilprium intrrnalinna) d'hiver -de demiJond (100 km. derrière motos) 1. Jaeger, en 1 lî. 26' 57" 2. Bréau. à 120 m. 3. Moeller. 12 tours. Grassin a abandonné au 950 kilomètre, alors qu'il avait dix tours de retard. Dans l'heure, 60 km. 764. par Jaegcr.

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LE MATCH LAFFINF.UR-PEGA2ZAN0

CAMPBELL ET LOKART

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La venue de la fine, de l'élégante baronne dans une préparation d'aïoli était de ce nombre.

Dortal se leva sans lâcher les gousses d'ait, parce que c'est un saerilège d'interrompre un aïoli en préparation. ça l'empêche de prendre.

En même temps que Julia. ü s'écria Madame la baronne

La baronne, voyant leur mine étonnée, ne put s'empêcher de sourire.

Que je ne vous trouble en rien, leur dit-eüe. Je m'excuse de venir à ce moment.

Je vous demande pardon, madame, dit Dorial, pour ma femme et moi, de vous recevoir dans cette tenue. et dans ce parfum qui offusque le nez des Parisiens et doit être un supplice pour les narines délicates de la plus rine des Parisiennes.

Pas dn tout. dit la baronne. ça sent l'ail, voilà tout.

Nous faisons un aïoli. Vous ne devez pas connaître ça. madame, l'aïoli ?.

Je vous demande pardon. Mon mari et moi, nous en avons mangé chez des amis, à Marseille. ainsi que de la brandade C'est un peu spécial. mais ce n'est pas mauvais du tout.

Le baryton, a ces mots, ouvrit plus grands encore ses gros bons yeux.

Julia, vite! donne une chaise à Mme la baronne!

La baronne, alors, dit à Dortal

Voici ce qui m'amène chez vous •à cette heure insolite. je viens vous demander si vous connaissez l'adresse de ma cousine Lia?.

Dortal secoua la tête

Non. madame. non.

Au théâtre

Personne ne la connaît.

¡mitre.) Léon Sazœ.


COURRIER DES TH Q C1 AMATEURS DE 5 mars.

Vœux des chambres de commerce de Lille et de Douai. AU cours d'une récente réunion, la chambre de commerce de Lille a protesté contre l'institution d'un monopole d'Etat de la radlodlITuslon et a demandé: 1° que le statut de la radiodiffusion soit examiné en s'inspirant des idées de liberté contrôlée acceptées en qu'il soit procédé à une large consultation des groupements économiques, chambres do commerce et d'agrlculture.

La chambre de commerce de Douât a égelement adopté une motiou analogue, réclamant la coexistence des postes d'Etat et des postes privés; le rattachement du contrôle de la radiodiffusion au ministère de l'Instruction publique ou à la présidence du Conseil, ou enflu à un organisme Interministériel à créer il cet effet.

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

ECOLE SUPERIEURE DES P. T. T. m., 0 kw. 5). 13 h. Institut radiophonique cuuserlc et informatisons en anglais, la demi-heure de la temmo, 13 h. 45. diffusion du cours donné au Collège de France par M. Janet « L'évolution de la mémoire et de la notion du temps »; M. Georges Renard: « Les conséquences sociales de la création des chemins de fer ».

16 U., le Songe d'uno nuit d'été (Mendelssohn); Florlse (Ganne); Paillasse (Leoncavallo); Danse dea papillons (Mener); Mélodies (Wasrner); flpnri VIII (Suint-Saëns). 17 h., cours donné au Collège de France par M. Jean Brunlies « La Terre et les habitants du Canada s.

1S li., Radio-Journal de Frnnee.

h., causeries Parions chiffons par Mme Camtlle Dnguet: « Les maladies des animaux transmlsslbles l'homme par le docteur Panlsset professeur a l'Ecole d'Aitort; « Aéronautique par le capitaine aviateur Jallois, du Service de l'Aéronautique; « Les couleurs en cinématographle », par M. Daniel Augé.

21 h., orchestre symphonlquo (direction Pierre Gouat): ouverture de Fidelio (Beethoven) Concerto en fa (Lalo); Chant d'amour, poème dédié au Crépuscule (Marthe Dupuy); Rinaldo (Hœndel); les Enfants (J. Massenet); Visions de Carnaval (Fétrns) Papillons (Campra); le Repos en Egypte (Noël Gallon): Scènes pittoresques <J. Massene!); air de la Flûte enchantée (Mozart); petite Suite espagnole (Paul Vidal).

TOUR EIFFEL m., 12 tw.J. t7 h. 45, M. Paul GseH « La semaine théâtrale » M. Achille Segard « La vie artistique » M. Jean Scherrer « Les nonveautés de la T. S. :?. • M. Théo Berge- rat l'Enigme de Chenevlelle, roman. 19 h. 30, concert par le comité de la Chanson française, sons la direction du i chansonnier lfaurico Frot et du composi- teur Paul Sterman.

«0 b. 30, docteur Pierre Vaclïet « Le trac au théâtre » M. Poulot, Mathls « Le travail moderne dans les mines » M. Jean Scherrer « Cours d'électricité

RADIO-PARIS (1,750 m., 3 kw.). 7 b. 30 leçon do culture physique. 12 2 h. 30 Adagio et finale (Déslré Pâques) Pliaska (E. CooisChapelier) Vers l'église dans le soir (P. Ladmlrault) les Larmes (noyer) ouvertnre du Barbier de Séville (Rosstni) Célèbre Largo (Haendel) Lied (Rodolphe Hermann); Chanson javnnnise (Deodat de Séverac) Paysages flamands (De Taeye) Pièces

Situation avenir ménage sans enfants, femme toutes mains, deux maîtres, homme notions élevage, dressage chiens. Logés, nourris, bons gages, Sér. références exigées. Ecr,: Elevage du Givre, VlUe-d'Avray, b.et-O. poiïrpïàcè" portier mïïtiïôlle guerre du bras libre suite, très bonnes référ. et moralité exlg. Ecr. av. tous dét. Sté A cumulateurs HonopUque, _T7_fc 83, bd Marcjgu,Colombes. Facturière très au courant dfts spécialités cFauireiïrs tracteurs Chenard pour province. Très bonnes références exigées.

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enfantines (Jnles Strens); Marche nuptiale (Mendelssohn).

15 h. 30 Pastorale (César Franck); Elégie (Fauré) Madrigal (Philippe Gaubert) Ballet de Lakmé (Léo Delibes). A propos du tricentenaire de Perrault », par M. Raymond liesse.

19 h. Communiqué agrlcola; Cours de comptabilité. 20 Il, Causerie sur l' « horticulture », par M. Georges Truffaut. Concert: Rêve de valse Ouverture pour orchestre Duo du deuxième acte Chanson de PiccoloPiccoio Yalse le Soldat de Chocolat IntermeiïO pour r orchestre Duo du deuxième acte Air et vals" du premier acte Suite pour Instrument a cordes Valse fantaisie de Autour de l'amour la Thérésina Duo corslco Trio à la Titus Duo du deuxième acte la Princesse de Trayant, ballet Menuet, Réveil au tambour, Amour de soldat (polka), Valse de la princesse Cléopâtre la Belle inconnue Valse « Qui donc es-tu? »; Duo; la Reine: Billes « Aide-mol », Shimmy Mabte; Ouverture de la Reine; Valse l'Amour en mat; la Dernière valse « Entrée de Dimltrl Air du troisième acte Oh: la la! la Dernière valse »; la Reine « .N'e sois donc pas si agitée », fox trot; « Quoi, vous Ignorez! », charleston.

RADIO-VITUS PARIS (302 m.. 500 w.). 19 ti. 30, Journal Radiophonique. 20 h. 30, musique de chambre. Trlo-sérénade pour violon. alto, violoncelle. Festival Chamtnade. Deuxième partie musique classique et moderne.

RADIO L. L. PARIS (370 m., 300 w.). 21 h. 30, les Diamants de la Couronne (Auber); Tout près de lu source (M. Pesse); En visite au moulin (Volpattt) Marche tzigane (Reyer) Patrie (Paladllhe) Pièce caractéristique (Mendelssohn) le Timbre d'argent (Saint-Saëns).

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HOLLANDE. Flitversum (1,060 m., 5 kw. 2). 12 h. 10. 19 h., 19 h. 30, concert. ALLEMAGNE. Berlin (483 m. 9. 4 kw.). 15 h. 30, concert. 20 li. 30, concert de musique italienne.

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LA VIE FINANCIÈREI

LA SEMAINE SUR LES MARCHES FINANCIERS La caractéristique des dernières séances est un déptacemeut de l'activité spéculative du parquet vers la coulisse. La fermeté et l'entrain de l'une se sont opposés, en effet, à l'indécision et à la- réserve prudente de l'autre, et celu presque chaque jour. Mais il faut d'autant tnoina s'en étonner que les valeurs du marché officiel ont toutes plus ou moins bénéficié du dernier mouvement de hausse, tandis que des valeurs, comme les pétrolifères et les mines sudafricaines par exempie, n'ont guère eu, depuis plus d'un an, qu'un marché dépourvu d'animation. Et le moment parait doutant mieux choisi pour susciter les activités sur ces groupes de vaieurs que tes disponibilités hésitent aujourd'hui à se porter vert les titres du prsrquet, en raison, de l'arrêt presque totirt des interventions de l'étranger qui les avaïertt ampletnent favorisés jusqu'ici. On peut craindre, en effet, que cela n'ait pour effet de provoquer un changement d'ortenlatton ou, tout au moins, un tasaetnent des cours.

Quoi qu'il en soit, c'est vers la coulisse que se tourne pour l'instant l'intérêt de la Bourse, et un courant d'achats assez important s'est d'ores et déjà établi sur les mines sud africaines, les pétrolifères, sans oublicr tes spécialités, dont on continue d s occuper en effet très activement. Le cap de la liquidation de fin de mois a été franchi sans que l'alluro générale du marùnè en ait -4lé modifiée en quoi que ce soit. Argent très bon marché, au. demeurant (2 3/S 0/0 au parquet et 6 0/0 en coulisse). La position de place est évidemment très saine.

SUR LES PLACES ETRANGERES

A New-Yoiik. L'orientation générale de cetie ytace a encore été assez indécise, la spéculation demeurant impressionnée par les rappels de fonds effectués par les banques, rappels qui ont pour corollaire une nouvelle tension du cait money. Cependant, la faiblesse ne a'est aggravée en aucun cas de façon précise et certaina titres sont même parvenus se désolidariser de t'anbiance. Tel est le cas pour les steels, les valeur» de pétrole, stimulées par la hausse des prix de l'essence et diverses spécialités, comme les soles artificielles. Seules tes caorttchoutières sont nettement alourdies.

A Londres. Les tendances sont demeurées satisfaisantes et l'activité rsssez considérable, surtout au début de la semaine, Plusieurs spécialités ont bénéficié d'un large courant spéculatif tel a été te cas en particulier pour les pétrolifères et surtout pour la Mexican Eagte, travaillées en Lue du plan de regroupement qui a été publié vers le milieu de la semaine. On a d'autre part detnandé les chemins anglais, que favorisait ta uota de la loi sur les transports sur routes, les titres de soie arti/icielle et les valeurs de tabacs. Par contre, les caoutchoucs sont dcmeuréa délaissés.

A BRUXELLES, (,'est encore l'indécision qui a dominé, et ce n'est qu'en tout dernier lieu que des tendances plus résistantes ont prévalu, surtout sur certains titres cotés à terme. Les banques perdent du terrain. Aux chemins de fer, notons le CongoGrands-Lacs à 3,010, Calro-HéliopoUs capital à 3,990 et la dividende 15,000. La part V.elrie Réunis sn maintient non loin de 20.0UO. Glissement de la pttipnrl des métnllurgiques et des charbonnages. Par contre les glaceries font bnntte contenance, surtout tes Glaces d'Auvelaia et les Glaces de Charlerbi. La Belge des Industries Chimiques termine à Aux mines dtverses, la Minitre des Grands-Lacs s'Inscrit 3,550 pour la part, a 950 pour l'action.

LES VALEURS. Fonds d'Etat. Allure plus lrregulièpes des rentes françaises, celles-cl supportant des prl?M de bénéfices. Mais la plupart de nos emprunts se détendent bien, et une légère rôpr^e en clôture permet aux derniers cours da n'accuser (lue des différences peu sensibles par rap.port à la semaine précédente.

Tassement (tes emprunts serbes. Hedressement des fonds russes. Les emprunts ottomans, après avoir coiisolldâ les progrès acquis, sont 4 nouveau fermes en dernler lieu. Le comité de la Dette ottomane du Counctl of Foreign Bondholders vient d'approuver a l'unanimité l'accord conclu à Paris.

Après avoir fait bonne contenance au début de la semaine, les banques françaises Sont plus faibles et la majorité d'entre elles terminent un peu au-dessous des cours de huitaine maltré une légère reprise en extrême clôture.

La Banque de France s'inscrit a 1C.105. Différences importantes au dernier bjJan hebdomadaire, en raison de l'échéance de

York, et présentera au public des numéros entièrement nouveaux. La troupe qul l'ac- rompagno est remarquable et Inédite pour Paris. On peut affirmer que ce sera un spectacle unique et jamais vu. Location Téléphoue Provence

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LA MUSIQUE

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LES CONGRÈS Les fonctionnaires et ouvriers

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La séance d'hier a été présidée per Ni. Yovarro. Divers projets sur les pupille-s de la nation ont été adoptés. M. Fourtet présenta un rapport sur les retraites antici·pées, puis le rapport sur l'otflce unique. M. Gazais, députè, prononça une allocution. Un concours pour cinq emplois de rédactrtce stagiaire de l'artmintstratton départe- mentale en Algérie s'ouvrira le 14 mat 1929 à Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Nancy, Rennes, Lille, Toulouse, Ajaccio et en Algérie.

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fin de mois. Augmentation de t,t00 millions des avances h l'Etat, accroissement de 3fS mtllions du portefeuille et \le 730.M0.755 francs de la circulation.

La Banque de Paris finit à S.765. Union Parisienne soutenue à 1,669 le dividende ltroposé à l'assemblée du 30 mars serait maintenu à 55 fraucs par action. Banque Nationale de Crédit, la dividende est porté de 10 à il soit de 50 à 55 francs. Le dividende dn Crédit Industriel et Commercial est fixé à 30 francs net par action libérée de iii francs et il 48 fer. 75 net par action libérée de Trimes; Celui du Crédit du Nord est porté de 55 à 60 francs celui de la Société M&rselllaisc de Crédit, de 45 à 50 francs. Union Européenne, 1,81U. AUX valeurs foncières, la Générale Foncière s'améliore en clôture, à l'annonce que lé dividende serait au moins de 60 francs par action.

Tassement sur les titres des grands réseaux français, particulièrement sensible sur le Lyon, ramené de à 1,249, et sur le Nord, Il I,IH3 contre Le dividende des Chemins de Fer de l'Ouest sera de 4-f tr. brut, contre 41 fr. 50. La répartition des Chemins do Fer Economiques du Nord est maintenue à 15 francs brut. Au groupe étranger, l'action Belge des Chemins de Fer Réunis s'échange a 1,050, et la part h iô,500 les bénéfices du dernier exercice seront supérieurs aux précédents.

Auf transports en commun, peu de changement. L'action Parisienne Electrique se tient A 470 et la part 3,5i;0.

Les valeurs de navigation sont indécises. La Transatlantique se retrouve Il 1.810, auprès 1,845, contre 1,330, et les Chargeurs Réunis se tassent Il 1,098, après

Aux canaux, le Suez progresse, puis revient finalement à 17.095, contre lfi,850. Les recettes des deux premiers mois de font apparattre une plus-value de plus de 5 mtlllons do francs or sur celle de la période correspondante de

Valeurs d'étectrictté diversement traitées Distribution, 15,15 contre 1,511 Cie Générale d'Electricité, ?,:50 contre 2,210, après 2,260 Electricité de la Seine ferme i 545. ainsi que l'Electricité et Gaz du Nord A Bonne orientation des valeurs métallurgiques. D'appréciables progrès sont mrefristrés sur de nombreux titres. On signale d'ailleurs une amélioration du marcité métallurgique, tant Intérleur qu'extérieur. Jeumont, 51G contre

Les comptes au 31 décembre devant faire ressortir dei bénéfices supérleurs aux précédents, les Constructions Electriques de Charieroi sont recherchées à 530, venant de

Aux valeurs d'automobiles, Acbanges actifs en actions Citroën à 69U et en parts à 204. Faiblies vers le milieu de la semaine, ho charbonnages français s'améliorent en clôture et se retrouvent finalement non loin des cours de huitaine.

Indécision des cuprifères. Les stocks de cuivre sux Etats-Unis à la date du février étaient en diminution sur ceux au 1er janvier. il en était dé même pour les storka en Grande-Bretagne. Le Rio s'inscrit à 5,575, après 5,G25. contre Parmi les autres mines métalllques, nouveau fléchissement de la Penarroya o i.IOT contre f,!38. Le dividende du Djebel Djtrissa sera de brut par action de jouissance, contre 178,75 et de tr. par cinquième de part, contre Mines de Samt-Hlppolyte-du-Fort, Raffermissement des mines de diamant 1 De Beers, 1.845 Contre i,7ôO Jagersfonteln, 430 contre 398. La valeur de la production de diamants sud-arricatns en est de supérieure à celle de Les diamants d'alluvions ont donné environ 50 de la valeur totale de la production. Hausse des mines d'or et des territoriales Rand Mines, contre 4:6 GoldrMds, 35S contre 317. ce dernier titre recherché en raison de ses participations dans l'industrie de la soie artificielle, les valeurs de cette catégorie ayant récemment beaucoup monte i Londres.

Au groupe des pétroles, la Mexican Eagle tient la vedelte, demandée pour compte américain et anglais. La publication des conditions de sa réorganisation financière entraîne quelques prises de bénéfices. Royal Dutch plus ratble à contre 36,6ï0. Standard Franro-Amériraine. 600.

Aux valeurs polonaises, le Crédit Général de. Pétroles termine Il et 111 Malopolska a 710.

Les valeurs de caoutchouc sont très hésitantes. Des avis contradictoires sont donnés concernant les intentions des planteurs hollandais en ce qui concerne leur adhésion au plan de restrictions.

Produits chimiques mieux tenus. Kuhlmann finit contre 887 Péclilncy, à contre 2,030.

Valeurs de sucre trrégullcres.

Aux valeurs de presse, fAgence Havas se Aux valeurs diverses, Kreuger and Tell cote et la Suédoise des Allumettes, Match and Tobacco, iOi.

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DES SCIENCES ET DE l.KUKS AI'PLICATlOMt LA VIS Mil I) ERN

SOMMAIRE

At.PH.BERGET,dwl'lnstitut oiéanographliue: Le Gulf-Stream, source de fécondité on (>érr dndè»eri!> et des tempête:. J. L.: Le phare moderne. Makcei, FIiii.l Pour bien comprendre la eapil- larité L'état liquide et les actions de surfaiu. RENÉ DoNr,iÈRp;s Une Hpplic^tion nouvelle île la télémécanique un l>al«<u sans pilote. L. Bahon Cent tonnes de l>lê à l'heure. PtERKK Drnjean C.omnieut une cité moderne n'approvisionne en eau |K>table. Chami.ks Bhac.bet Les Iles flottantes ne sont plus du domaine du rêve. Jkan^abadib A propos d'un célèbre paradost* Le .e moyen de se chaufter avec l'air du temps, même en hiver. S. et V.: L'a\ion lance par catapulte du pont du navire aniTicain Cincinnati Jean Mahc.han» Cn appareil tort insénieùx pouf l'rxamr.n des sur le» chemin» de fer électriques. Xavier Di'Rois Ije platine plus |>récieux que l'or. Jean Marivai Un nouveau procédé qui supprime la rouille la Parkérisution. Iacohes ^aibki, Un puissant élévateur de wagons. A. Capoto L'automobile et la vie moderne. JOSEPH Roi'SSKi. La T. S. h. et la vie. J. M. La T. S. F. et les Constructeurs. V. R< hoh Les A côté de la science (Inventions, découvertes et curiosités). Ik\n Caki La nouvelle cible automatique de l'année norvégienne. S. et V. A travers les revues. S. el V. ChCT les éditeurs.

PAGES •:• ILLUSTRATIONS Le Numéro 4 franc*

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La santé de nos agents

Nos agents règlent la circulation de nos villes mais au prix de quelle tension

nerveuse, au prix de combien d'efforts! Exposés à toutes les intempéries, au froid

comme à la chaleur comme aussi à tous les dangers, leur organisme plus que tout

autre a besoin de conserver pleinement son intégrité et toute sa résistance.

Juger du moment le plus opportun pour arrêter une file de voitures, empêcher un

accident, veiller à la parfaite observation des ordonnances, créent la nécessité

d'un réflexe intact et vigoureusement commandé par un cerveau sam et agile.

A tous nos bons agents, à tous ceux qui. comme eux, fournissent un effort conti-

nuel, nous ne saurions trop recommander de veiller à leur état de santé. Il leur

faut soutenir leurs forces et rendre à leur corps les éléments minéraux perdus à

chaque mmute de leur vie. A ce prix seulement leurs forces seront conservées et

l'effort n'entravera en rien leur avenir. Que tous prennent donc ce merveilleux

reminéralisateur, ce puissant tonique dont l'efficace composition et la sélection de

ses composants font un fortifiant souverain. Prenez tous de la Quintonme

hommes, femmes, enfants et la maladie ne prévaudra pas contre vous.

La "Qnintonine" est une heureuse et nouvelle formule présentée sous la forme d'un extrait liquide

conrentré à hase de quinquina de kola. de imkjh. de quassia. de aenttane pf de glvoéro-phosiihsite,

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La prévoyante nature a vouJu que l'alimentation de l'estomac

fût un plaisir et non une corvée Elle a créé l'appétit. dotée

la langue et le palais de la précieuse (acuité du goût.

Aussi les joies de la table sont-elle particulièrement savou.

reuse» Mais encore faut-il que la maladie ne gêne en

rien le mécanisme alimentaire Fort heureusement, les multi-

ples affections de l'appareil digestif ne résistent pas à l'usage de

dont l'efficacité dans tous les cas de perte d'appétit, gastralgie*»

crampes et affections nerveuses de l'estomac et des intestins.

digestions difficiles et migraines consécutives, aigreurs, pesan·

teur. dysenterie, entérite, cholérine, amt que contre ta

constipation la plus rebelle, lui a valu d'être honoré ds la haute

approbation de l'Acat émie de Médecine Pris en poudre, ou

en pastille, il absorbe les miasmes séjournant dans l'organisme

et régularise ainsi les fonctiona de l'estomac et des intestin*.

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