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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1927-09-30

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 30 septembre 1927

Description : 1927/09/30 (Numéro 18476).

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k606984x

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/10/2008

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LE BUDGET DE 1928

M. POINCARÉ NE VEUT

NI AUGMENTATION DE DÉPENSES NI MMlWfION_DE RECETTES Il l'a déclaré hier au cours d'un exposé devant la commission des finances, précisant qu'il poserait la question de confiance devant la Chambre contre toute mesure qui compromettrait l'équilibre budgétaire La commission des finances avait, avant tes vacances, adressé au président du Conseil une note pour obtenir des éclaircissements sur diverses questions se rapportant au budget de 1928. M. Poincaré lui a apporté, hier, les explications qu'elle avait sollicitées.

Pas de réduction, cette année, de la taxa à la première mutation En ce qui concerne la taxe de 7 0/0 à la première mutation, M. Poincaré a dit qu'il n'accepterait cette année aucune réduction, quelle qu'elle ftit. des recettes budgétaires et qu'il engagerait sur ce point la responsabilité du gouvernement tout entier. It ajouté que la taxe de 7 0/0 n'avait pas eu pour conséquence un arrêt appréciable des transactions immobilières.

L'imp6t sur les valeurs mobilières Au sujet des droits sur Les vapeurs mobilières, le président du Conseil a déclaré qu'il ne pouvait, quant à présent, modifier le régime existant et que, par ailleurs, l'augmentation de la taxe sur les tractations en Bourse (1 pour 1.000 au lieu de 0,60 pour 1.000) n'avait pas conduit comme on le croyait à un rendement inférieur de ladite taxe puisque le produit de l'impôt susvisé est passé de 150 millions (période août 1925 à avril 1926) à 283 millibns (période mai 1926 à avril 1927).

La taxe sur le chiffre d'affaires M. Poincaré a déclaré qu'il ne pouvait, dans les circonstances présentes, prendre la responsabilité de ntodifier la tnxe sur le chiffre d'affaires on a proposé de lui substituer une taxe à la production qui est l'impôt le plus productif, mais que les commissions nommées continuaient leur étude et que le gouvernement examinerait, le moment venu, les conclusions de leurs travaux. La réorganisation

du monopole des allumettes

Mj.Poinçaré a annoncé qu'un projet de réorganisation du monopole des allumettes était à l'élude, que ses services avaient procédé à des consultations, et que tes conclusions de cette étude seraient communiquées .ultérieurement à la commihsion. Le traitement des fonctionnaires Interrogé sur les travaux des commissions chargées de réaliser la péréquation des traitements des fonctionnaires, le chef du gouvernement a indiqué que, dans l'ensemble, les intéressés s'étaient montrés satisfaits, que le gouvernement a déjà pris, au cours des vacances, trois cents décrets environ concernant les fonctionnaires et que la commission Marin, une fois prise la totalilé des décrets, pourra toujours être saisie, le cas échéant, des réclamacions qui se produiraient.

Les prévislons de recettes

D'ont pas à être revlsées pour 1928 Plusieurs commissaires ayant demandé s'il n'y aurait pas lieu de reviser les évaluations budgétaires pour l'année prochaine en tenant compte du rendement des impôts depuis le début de la présente année, il" président du Conseil a déclaré que cette opération n'était pas utile et qu'il apparaissait dès maintenant qu'en tout état de cause le Trésor disposera d'une plus-value supérieure à 300 millions, provenant du rendement des impôts.

S'expliquant, sur la proposition qui a été faite d'inscrire dans le budget les recettes du plan Dawes, M. Poincaré a dit que, tout en étant partisan de la suppression des comptes spéciaux et du retour à l'unité budgétaire, il y avait des raisons très sérieuses de maintenir le statu quo quant aux recettes du plan Dawes, étant donné notamment, la difficulté de procéder à des évaluations exactes du montant des recettes à provenir en exécution de ce plan, recettes qu'il serait dangereux de confondre dans la masse du budget.

Les dettes Interalliées

M. Vincent Auriol a soulevé la question des dettes interalliées en faisant remarquer que l'accord avec l'Angleterre expirait en mars 1928 et que l'accord avec les Etats-Unis expirait au mois de juin de l'année prochaine.

M. Poincaré a répondu qu'il saisiiait le Parlement de cette question avant la fin de la législature en vue du renouvellement de ces accords pour

Pas d'augmentation de dépenses Revenant à la fin de ses explications sur la nécessité de maintenir rigoureusement l'équilibre du budget, M. Poincaré a affirmé l'impérieuse nécessité d'écarter toute atujmcnlalinn tle dépenses comme toute diminution des recettes et il a déctaré que si dans un but électoral des députés proposaient des augmen,talions de dépenses, le gouvernement demanderait l'application de l'artible 86 du règlement de la Chambre qui interdit tout relèvement de crédit sans accord préalable entre la Commission et le gouvernement. Sur le rapport de M. Palmade, la Commission a adopté le budget annexe des manufactures d'AlsaceLorraine et sur le rapport de .Ni. François-Poncet. le budget annexe des poudres. Enfin, la commission a entendu M. Bokanowski sur ce qui poncerne le budget des P, T. T,

UNE SOCIÉTÉ SECRÈTE S'ÉTAIT FORMÉE

A MOSCOU MÊME

CONTRE LES SOVIETS QUATORZE PARTISANS DE TR0TSK1 SONT EXCLUS DU PARTI COMMUNISTE, Moscou, 29 septembre (dép. Havas.) La presse publie la décision du bureau de la commission de contrôle du parti communiste à Moscou, concernant l'expulsion du parti de quatorze membres de l'opposition accusés d'avoir créé, de concert avec des groupes d'intellectuels sans parti, une organisation secrète contre le parti, dont cerlains membres se maintenaient en contact avec des éléments ouvertement antisoviétiques.

Cette organisation possédait une typographie illégale, où étaient imprimés tant les documents secrets du parti que les documents de l'opposition contre le parti. De vieux trotskistes se trouvaient à la tête de cette organisation, notamment Vratchkoxsky, président d'un des trusts de Moscou, qui dirigeait la typographie secrète et lui fournissait, ainsi qu'aux sans-parti qui y travaillaient, les documents du parti et les documents secrets contre le parti.

Le nouveau lord maire àe Londres Londres, 29 septembre (dép. Petit Paris.) La Cité de Longée a élu aujourd'hui son nouveau ,,maire. C'est sur sir

M. C. A. Batho,

le nouveau lord-maire de Londres Charles Batho que s'est porté le choix de la corporation. Le nouveau lord-maire qui a cinquante-quatre ans, appartient à une des familles les plus anciennes de la capitale.

Depuis hier M. Georges Clemenceau a 87 ans

A l'occasion de son quatre-vingtseptième anniversaire, M. Georges Clemenceau a reçu hier, tant à son domicile personnel, rue Franklin, que ehez son ami, M. Pietri, 2, avenue de Messine, dont il est l'hôte, de nombreuses félicitations, Ses amis ont fait déposer, avenue de Messine, de magnifiques irerbes de fleurs, hommages auxquels l'ancien président du Conseil s'est montré très sensible.

UN NOUVEL ÉVÊQUE UN NOUVEL ÉVÊQUE

Mgr Petit de Julleyllle, évéque de Dijon, qnt a été consacre hier, IL Notre-Dame, par le cardinal Dubois

Un mandat d'arrêt est lancé contre l'organisateur du match Tunney Dempsey

Londres, 29 sept. (d. Petit Parisien.) Suivant un message Excliange Telegraph de San-Prancisco, le chef de police de la province, M. Krull, a annoncé qu'un mandat d'arrêt venait d'être lancé contre Tex Rickard, l'organisateur du match TunneyDempsey.

Le elet de police allègue que Tex Rickard, en éditant un film reproduisant le match, avait violé d'une façon flagrante la loi qui prohibe de jelles exhibitions. Il se peut, a ajouté M. Krull, que deux mandats similaires soient lancés contre Tunney et Dempsey.

ORIGINALES OBSÈQUES JTWN1ËIKM1 A MOSCOU Riga, 29 sept. (dép. Information.) Un correspondant de journaux américains, mort à Moscou, avait demandé dans ses dernières volontés qu'on dispersai ses cendres du haut d'un avion. Son voeu a été exaucé à la lettre après avoir été Incinéré au four crématoire de hloscou, ses ont été projetés dans les airs, à 1.500 mètrea de hauteur, par un avion,

UN CONSEIL DES MINISTRES SI TENU CE MATIN

il filjfljllulï

De nombreuses question* $t rapportant à la politiqae extérieur*, aux relations économiqaes, aa trauail parlementaire sont à l'ordre da jour de la délibération gouvernementale Pour la troisième fois, cette année, les ministres se rendront ce matin à Rambouillet, où villégiature le Président de la République, pour tenir sous sa présidence un conseil des ministres.

La optique extérieure aura sa large place dans le programme des délibérations gouvernement aies. M. Briand, outre l'habituel exposé de la situation extérieure, aura à communiquer à ses collègues l'état des négociations conduites par lui à Genève. Les affaires russes trouveront également leur place dans les échanges de vues entre les membres du cabinet.

Il sera fait pr, bablemént allusion au cas du représentant des Soviets à Paris.

On connaît les premières démarches faites à ce propos auprès du gouvernement de l'U. R. S. S. par notre ambassadeur à Moscou. M. Jean Herbette a été chargé, il y a deux jours, de les renouveler sous une forme plus insistante et de faire nettement entendre au commissariat des Affaires .étrangères, que le giaintien il l'ambassade de Paris de M. Rakowsky ne pouvait plus être. étant donné l'état d'une partie de l'opinion s son égard, qu'un obstacle aux négociations en cours.

La réponse soviétique à cette démarche renouvelée n'est pas encore connue, mais la possibilité n'est pas exclue que le gouvernement de Moscou, sentant la position de M. Rakowsky devenir de plus en plus difficile, et désireux d'autre part d'évi- ter un relâchement notable des rapports franco-russes. ne se soit décidé en fin de compte à remplacer son représentant en France.

Rentré de son voyage en Amérique tout juste pour assister au dernier conseil, M. Bokanowski n'a pu donner à ses collègues qu'un Ires sommaire aperçu des manifestations auxquelles il a pris part. En même temps qu'nn complément de compte rendu à ce sujet, le ministre du Commerce aura à exposer l'état de nos relations économiques avec divers pays, et plus spécialement des échanges de notes qui ont eu lieu avec le gouvernement de Washington au sujet d'un éventuel accord commercial.

Une fois de plus se posera, dans ta. délibération gotivernemeatate, -la question de la date à choisir pour la rentrée des Chambres. L'étude et le vote du budget dominant, pour le moment, toute autre préoccupation. la reprise des travaux parlementaires paraît devoir coïncider avec le moment où la commission des finances aura fourni aux députés tous les éléments pour engager utilement le débat. Il a paru que la date du 18 octobre, précédemment envisagée, pourrait avec avantage être remplacée par celle du 25 octobre,. Parmi les divers autres sujets qui retiendront leur attention. les membres du gouvernement auront à envisager la démarche faite par la commission des finances pour obtenir la libération momentanée de Ni. Cachin, ce qui pose un problème de droit constitutionnel.

M. Albert Sarraut encore souffrant ne pourra se rendre à Rambouillet M. Albert Sarraut, souffrant, à la suite de l'accident dont il a été victime la semaine dernière en quittant ta ministère de l'Intérieur, a subi, hier, une nouvelle poussée de fièvre qui l'a contraint à s'aliter. De la sorte, il ne pourra assister au conseil des ministres qui se tient ce matin à Rambouillet.

Dès que son état de santé le permettra, le ministre de l'Intérieur quittera Paris pour se rendre dans le Midi, où il compte passer une courte convalescence.

UNE CENTAINE DE DÉTENUS SE RÉVOLTENT, A TOULON, DANS LA PRISON MARITIME Toulon, 29 sept. (dép. Petit Parisien.) Des incidents d'une gravité exceptionnelh se sont produits ce soir à la prison maritime. Des détenus, au nombre d'une centaine, se sont révoltés. Ils sont parvenus à démolir les portes de leurs cellules et Il briser des fenêtres en chantant des airs révolutionnaires et en criant Vive Marty

Ils n'ont été maîtrisés que grâce à l'intervention de la gendarmerie maritime et de plusieurs détachements de marins en armes.

Les promoteurs du mouvement se sont servis, pour leurs tentatives de déprédations, d'outils divers qu'utilisent des ouvriers, travaillant à côté. des corvées de prisonniers et qu'ils avaient réussi à garder par devers eux. Les principaux tnstigateurs de ces incidents ont été envoyés au fort de Mnlhousquet, où Ils seront soumis Il un régime sévère en attendant que l'enquête ouverte par l'autorllé maritime soit achevée.

Le vice-amiral Thnmine, préfet maritime, a fait adresser ce soir la presse le communiqué suivant

« Dans l'après-midi, quelques incidents se sont produits à la prison maritime. Ils ne présentent aucun caractère de gravité réelle. Ils se bornent à des réclamations de détenus. Ces réclamations sont, d'ailleurs, actuellement examinées par l'autorita supérieure. »

HUIT JOURS A PEINE .ET DEJA FASCISTE 1 Le fils nouveau-ni de M. Moiiolini ra être inscrit au groupe des <

Rome, 29 septembre (dép. P. Parisien) On annonce que dans quelques jours le député Ricci, président de l'œuvre nationale « balilla c'està-dire des pupilles fascistes, se rendra chez M. Mussolini pour lui remettre une petite chemise noire de « balilla ainsi que l'insigne et la carle de légitimation fascistes, au nom du nouv.eau-né Romano Mussoiini.

LE DRAME DE LAVERSINES DEVANT LE JURY DE L'OISE

LA FERMIÈRE

ET LE CHARRETIER SONT CONDAMNÉS A LA PEINE DE MORT Beauvais, 29 sept. (de n. euv. spéciaL) Une riche fermière, épouse d'un mari «trop dur au travail » et qui s'éprend de son jeune valet de ferme. « Etre aimée, » songe-l-elle, tandis que lui se dit « Etre patron. » Evidemment, le mari est de trop. Il faut le supprimer.

Tel est le drame qui amenait aujourd'hni devant les jurés de l'Oise Yvonne Deneux, femme Le.eu, et le charretier Marceau Jacquart, accusés d'avoir assassiné, le 10 novembre dernier, le fermier Leleu.

Elle, c'est une épaisse créature, sans grdee et sans charme. A trentetrois ans, elle en paraît plus de quarante. Des lèvres minces, un nez pointu. Les yeux, petits, ont, lorsqu'elle écoute avec attention, une flamme étrange.

Lui, c'est un beau gars de vingtdeux ans, large d'épaules et mince de hanches, des cheveux qui ondulent, un regard qui brille, une fine moustache retroussée sur une bouche gourmande. Sa cravate, savamment nouée, sort d'un col mou, mais impeccable. Bref, une silhouette .qu'on .s'attendrait davantage à rencontrer au comptoir d'un bar louche que dans une cour de ferme.

Les amants ennemis

La lecture de l'acte d'accusation est brusquement interrompue par les vagissements d'un poupon. Le pauvre petit est dans le box des accusés. entre les bras d'Yvonne Leleu, sa mère. C'est une fillette née en juin dernier, la veillo de l'ouverture de la session d'assises où, sans cet incident, eussent comparu le charretier et. la fermière.

Lorsque le bébé a été remis à la concierge du palais de justice, nourrice improvisée, les débats reprennent. Jacquart écoute, en lissant sa moustache, les bons renseignements que le président Fiamma donne impartialement de sa jeunesse. Quand on arrive à l'entrée du charretier à la ferme Leleu, la note change. Le président. Vous êtes devenu très vite l'amant de la patronne. Au lieu de vous montrer discret, vous vous en vantiez. Dans les champs, vous l'embrassiez sans vergogne.

Jacquart. Non, pas dans la plaine (sic).

Le président. Leteu était bon pour vous. Non content, de t prendre sa Jacquart. Si }e» L'ai tué, c'eat pour lui ohéir, à elle. ti

Yvonne Leleu. Sacquart m'avait dit qu'il achèterait un pour des-'cendre Leleu. C'est liai qui a tué, c'est lui qui a voulu tuer.

Le couple, qui est devenu criminel par amour, échange un regard de haine.

Un crime bien prémédité

On en est maintenant au 9 novembre.

Jacquart. Ce soir-là, Yvonne m'a emmena dans la cave aux betteraves. Elle m'a. dit Alors, c'est demain que tu le tues ? » J'ai répondu Si je peux. » (Sensation).

Le président. Vous aviez déjà plusieurs fois envisagé, tous les deux, le moyen de supprimer le pauvre Leleu. Jacquart. Moi. je voulais partir avec elle et l'épouser, mais Yvonne voulait rester à la ferme avec moi. C'est vrai que .je devais acheter un revolver, mais je ne l'ai pas fait.

Le président. Il y a aussi une his- toire de pilules.

Jacquarl. Oui, Yvonne m'avait donné de l'argent pour acheter des pilules pour faire maigrir (sic) son mari.

Le président. Vous avez apporté tes pilules en question.

Jacquart- C'étaient des pilules laxatives.

Mais, le 10 novembre, ce fut sérieux. Ce ,jour-là, à l'aube, Leleu avait remis à son charretier un grand marteau pour une réparation à la voiture.

Jacquart. Tandis que le patron allait il l'écurie chercher le cheval, elle m'a dit, en pleurant dans son mouchoir, qu'elle ne pensait pas que je le ferais. Mais le charretier osa. Profitant du moment où Leleu avait la tète baissée, il le frappa à quatre reprises sur le crâne avec le lourd marteau. Jacquart. Quand le patron est tombé, je suis retourné à la cuisine trouver la patronne.

Le président. Et alors ?..

Yvonne Leleu. Alors, il m'a dit « Arrive, ça y est ». Et il m'a demandé à transporter le corps au puits Patard. C'était trop loin. Je ne pouvais pas abandonner les enfants (la selle mrlrLe président. Alnrs, vous êtes allés Jusqu'au ruisseau et, pendant le par-

EXPÉRIENCES DE CATALEPSIE AU CONGRÈS PSYCHIQUE 1

Médium vous sentez un grand trouble vous envahir. vous vous sentez attiré par le vide. vous sentez vos paupières vous sentez vos membres se raidir. vous sentez votre sang se figer. sentez-vous sentez-vous ?.

Comment voulez-vous que le sente tout ça ?. J'ai un rhume de cerveau gui est ua peu là /«•

Marceau Jacquart et Yvonne Leleu pendant l'interrogatoire, les avocats H" Marthe Dyvracde et Paintré

cours, comme votre malheureuse victime râlait trop fort a votre gré, Jaoquart l'a acheté d'un cinquième coup de marleau.

Yvonne Leleu sanglote Jacquart baisse la tête sans répondre. Propos compromtttant

C'est ensuite le long défité des dixhuit témoins. Les deux accusés avant tout avoué, sauf à se rejeter mutuellement l'un sur l'autre l'instigation du crime, les témoignages n'ont qu'un intérêt restreint.

Le brigadier de gendarmerie Boufette, j'inspecteur de police mobile Richard racontent comment Us ont obtenu les aveux des deux coupables. Le docteur Poissonnier, médecin légiste, fournit une description technique des blessures. Son collègue, l'aliéniste Demay, affirme qu'Yvonne Leleu est pleinement responsable, el douze témoins de moralité assurent que, jusqu'alors, Jacquart et Yvonne Leteu étaient tous deux de braves et honnêtes travailleurs. Evidemment, depuis, il y a eu le crime.

Dans cetfe sombre e tragédie paysanne, le témoin Adonis Lécuyer apporte une note comique.

Monsieur le président, demande MI Marthe Dyvrnnde. avocate de Jacquart, roulez-vous demander à M. Lécuyer s'il n'a pas un jour confié à Jacquart qu'il avait acheté des pflutes pour se taire maigrir ?

.NI. Lécuyor, qui respire la santé la plus florissante. C'est exact. -Ni« Dyvrandc. Ces pilules étaient inoffensives ?

Le président. Maître, h suffit de voir le témoin. La preuve est fuite. L'audience est levée dans les rires. Le verdict

la reprise, M. de Girard, procureur de la République, prononce un sévère réquisitoire, qu'il termina en réclamant une double poine de mort. Successivement, NI' Marthe pvvrande, pour Jacquart, et le bâtonnier Vainlré, pour 'a femme Lelflu. essayèrent d'atténuer la rigueur de ce réquisitoire.

A 23 heures, le jury se retire pour délibérer. Il revient à minuit moins dix, avec un verdict affirmaüf sur toutes les questions, circonstances aggravantes comprises. C'est la peine de mort pour les deux accusés. An prononcé du jugement, Jacquart pleure pour la première fois.

M. Maurice Chevalier et sa gracieuse partenaire Yvonne Vallée, dont on annonce le mariage, photographiés chez eux

à Vaucresson

LES SOUVERAINS ESPAGNOLS VONT VISITER lE MAROC Le roi et la reine d'Espagne s'embarqueront, le 4 octobre, à Algésiras, à destination de Ceuta.

Ils visiteront les principaux champs de bataille de la zone espagnole du Maroc. Ils seront de retour le 8 octobre.

Dans une crise

de folie mystique

un avocat vénézuélien étrangle son amie

«Elle ne croyait pas en Dieu », déclara le meurtrier que l'on surprit alors qu'il se disposait à trancher la tête de celle qui était déjà morte Il y a un mois venait habiter, dans l'hôtel situé 9, rue Gay-Lussac, un jeune homme de vingt-sept ans, uriginaire de Mer/da (Venezuela), Enrique-Celis Briceno. avoeat en son pays natal.

Elégant, aimable et recevant c''importants subsides de sa famille, le jeune étranger était un bon locataire.

Dans la chambre qu'il occupait au troisième étage il accueillait, presque journellement, son amie, âgée de vingt et un ans, connue au quartier Latin sous le nom de Clara Gaillac. La jeune femme, c'était une fantaisie de sa part se prétendait de nationalité autrichienne alors que ses amies et ses intimes n'ignoraient point qu'elle était née au Havre et que son véritable nom. était Marguerite-Odette Gallier.

« Clara » qui habitait 56, rue

En haut Clara Gaillac.

En ba3 Hcnrlquo Briceno

Monsieur-le-Prince, en compagnie d'une amie, danseuse, Mlle Jeanne Bondon, se présenta, trier, vers 18 heures, à l'hôtel de la rue GayLussac et âpres avoir salué le patron M. Augustin Pafaud, elle gagna aussitôt la chambre de Briceno.

y Le drame

Un quart d'heure plus tard. M. Bataud- entendit. de faibles appels, puis mi bruit de lulte semblant provenir du troisième étage. Il s'élança dans l'escalier mais arrivé sur le palier de l'étage, le silence s'était fait. A tout hasard, l'hôtelier frappa à la porte de la chambre de l'avocat vénézuélien. Ne recevant aucune réponse il potissa l'huis. Avec stupeur il aperçut son locataire à genoux sur le corps inerte de s'On amie, gisant toute habillée sur le parquet. Briceno tenant dans sa main- une lame de rasoir mécanique tailladait le cou de « Clara » d'où s'échappait du sang.

L'entrée de M. Pataud ne dérangea pas l'avocat dans sa sinistre besogne, mais l'hôtelier, très courageusement, s'élança ?>ur le meurtrier, le maîtrisa tout -en appelant « au secours ».

Briceiio, hébété, s'était laissé immabiliser, Vite, le personnel de l'hôtel était accouru. L'on s'efforça de porter secours à la victime, mais l'amie de l'avocat ne respirait déjà plus. Elle avait été étranglée.

Des agents, prévenus, emmenèrent le meurtrier au commissariat du quartier du Val-de-Grâce, où l'on constata qu'il était- en proie à une crise de démence.

Une perquisition faite dans la chambre du déséquilibré fit constater que les rideaux de la fenêtre étaient en partie brûlés.

En fin de soirée, l'assassin fut questionné. D'un ton flegmatique, il fit dès réponses vagues et souvent contradictoire. Il apparaît être Pn proie à une crise de folie mystique. « Il fallait faire an exemple » Son récit du crime est le suivant Ce matin, j'ai reçu un ordre de Dieu. Il fallait purifier le monde. J'ai alors mis le feu aux rideaux de ma chambre. Mais ta volonté de Dieu l'éteignit.

Durant toute la journée, j'ai longuement médité.

Quand Clara vint me trouver, je lui dis « Crois-tu en Dieu ? »

Elle éclata de rire en disant Non. » Alors Dieu me donna un nouvel ordre. Il fallait un exemple. Je pris ma laroe de rasoir et, précipilant mnn amie sur le lit, je voulus l'immoler et faire verser son sang.

Slle voulut fuir. Elle crin. « Tant pis, lui dis-je, Dieu J'ordonne. »

Je la jetai par terre et pour étouffer sa voix, je la serrai u la gorge. Docile, cette fois, elle voulut bien se laisser couper la tête, quand on vint m'empêcher d'exécuter l'ordre de Dieu.

Telles sont les incohérentes explications de l'avocat meurtrier, qui a été envoyé au dépôt.

Le cadavre de la pauvre « Clara » a été dirigé sur l'institut médicolégal.

LA CONFÉRENCE SUR TANGER Ln déUfnéi espagnols reviendront Paris an octobre

Madrid. 29 srptembre (dép. {Javas.) Le journal Et Deboto ernit savoir, de source autorisée, que les délégués espagnols à la conférence de Tanger repartiront pour Paris vers la fin du mois d'octobre prochain, quel que soit le déïeloppement ultérieur de» négociation».

LES TRISTESSES DE L'A. P.

De vieux hôpitaux vieux, étrtits, sombres, incommodes où l'on

exige du personnel en héroïsme

quotidien tel est le domaine que

nous allons parcourir

11 y a le vcntre de Paris ventre d'obèse. Mais il y a aussi le coeur de Paris, cœur r hypertropluque et innombrable, qui s'est donné pour tâche de lutter contre la soutTrance humaine c'est l'Assistance publique avec ses trente hôpitaux, ses quatre grands hospices, ses maternités, ses asifes. ses dispensaires, ses consultnlions gratuites, ses orphelinats, ses sanatoria, ses maisons de convalescence, ses écoles, ses services économiques meunerie, boulangerie, boucherie, cave, magasin central, pharmacie, atelier d'instruments chirurgicaux, ses usines de chauffe napabJes de fabriquer du courant électrique, et même ses maisons de rapport., ses fermes, se» bois et ses chasses.

Voilà, n'est-il pas vrai un beau domaine, et dont il serait intéressant de faire le tour.

L'homme qui a la charge écrasante de l'administrer et qui, tous les matins. a 1 million 330.000 francs dépenser (soit un million un tiers), M. le docteur Mourir, directeur général de l'A. P.. a bien voulu en ouvrir les portes aux deux millions de lecteurs quotidiens du Petit Parisien,

Même quand on a vu les régions libérées dans leur admirable et surhumain effort de relèvement, il n'est pas de visite plus émouvante, plus âprement poignante que celle des maisons blanches u de Paris.

Ici, l'héroïsme est quotidien.

On y côtoie, à chaque minute, la douleur et la mort. On y rencontre, dans les longs couloirs ripolinés, des blouses blanches pareilles à celles que portaient, hier encore, les martyrs qui s'appelèrent le docteur Lobligeois et les internes Henri Vadon et Tariel. Nous n'y circulerons que chapeau bas.

Quelques-unés de ces « maison. blanches n ont des murs gris. EJiea sont vieilles et les pierres ne blanchissant pas en vieillissant.

Elles sont surtout trop étroites. Paris a grandi trop vite, ces dernières années, sans que ses établissements hospitaliers aient pu suivre le même rythme, faute de place et faute d'argent. Un lit .d'hôpital pouvait ne coûter que deux cents livres, il y a trois cents ans; aujourd'hui, il coûte, à installer, bien près de cinquante mille francs en sorte que la- .construction d'un hôpital revendrait, en ce moment, à cinquante millions.' L'état de nos finances ohlige a quelque hésitation devant des dépenses de cet ordre.

Alors, on est contraint de tirer parti de ce qu'on a. Nous entrerons dans des salles que nul ne peut se vanler d'avoir depuis longtemps traversées en ligne droite. Nous y verrons les visiteurs empêchés de s'asseoir entre les lits parce qu'une chaise n'y pourrait trouver place et les infirmières gênées dans l'accomplissement de leurs tâches difficiles.

Mais, dites moi, fallait-il, pour garder les passages nécessaires, jeter des hommes ou des femmes à la rue ?.

Notre administration, que l'on accuse parfois d'êfre dure aux humbles, ne l'a pas voulu. Il y a des salles où elle a consenti à doubler les effectifs prévus, pour aocomplir targement, généreusement, son devoir d'humanité.

Les étrangers sont moins cependant que les vieillards responsables pour une part de cet encombre- ment. Nous verrons commenl teur jm présence pourrait cesser d'affecter gravement nos budgets sanitaires. Nous apprendrons aussi comment les m procéder pour économiser ,ur leurs H propres ressources tout en libérant

M. Louis Mourier,

directeur de l'Asslstao^a publique

dans les établissements parisiens les Jits trop nombreux qu'y occupent, dovieillards à peine valétudinaires. La plus grande cause d'insuffisance de nos vieux hôpilaux tient d'ailleurs surtout à ce que l'on ne soigner plus aujourd'hui comme il y a deux ou trois siècles. Jadis, un hôpital était un local où reposaient des malades à qui l'on distribuait ou qui l'on appliquait, dans leur lit. des remèdes, ou des médications. De nos jours, outre les deux mètres carres, environ, occupés par une couchelte, il faut cinq ou six mètres carrés nécessaires à l'inslai lation des bureaux, des magasins, dea salles d'examen, des appnreils radioscopiques ou radiographiques, des salles d'opérations chirurricates, des cuisines, des lingeries, des pharmacies.

11 y a trop de vieilles maisons où la plaçg est trop mesurée et où la


proportion que nous venons de dire n'est pas près d'être atteinte. Les hôpitaux modèles comme l'hôpital américain de Heirn3 ou comme l'hôpital de Strasbourg, où les pavillons se répartissent le long d'une avenue de 1.400 mètres, suul, lit'ilas très rares en France et tout a fait incounus à Paris. Tout ae même, nous avons la nouvelle Pitié. Kl dana de très vieux ensembles comme la Sal- pêlrièi'e, à côté de bâtiments construits sous Louis XIV, on trouve encore le service chirurgical du docteur Gosset, que les plus difflciles pourraient nous envier.

Peut-on, doit-on démolir les vieil- les maisons pour reconstruire ailleurs ?

Considérée du seul point de vue 'hospitalier, la question no comporterait qu'une réponse « oui et très vite. Il

Mais Il. est propriétaire. Elle n'éprouve pas le désir d'effectuer une opération immobilière qui, dans les conditions où elle aurait lieu au.lotird'hui, profiterait surtout, sans doute. à quelques spéculateurs.

Le certain, c'est qu'il faut agir. Dei toutes les parties dit monde, les étudiants accourent pour apprendre de nos maîtres les plus éminents les règles de l'art médical et chirurgical: il faut que nos professeurs soieni tous pourvus des moyens de pratiquer facilement cet art il faut que nos hospitalisés ne fassent plus aussi douloureusement pitié.

En montrant ce que M. Mourier a déjà réalisé pour l'aménagement de ses énormes services économiques. nous démontrerons qu'on peut lui donner des crédits avec d'avance la certitude qu'ils seront bien employés.

(A suivre) Raymond dk >Jvs M. Louis Marin reçoit le nouveau commandeur de la Légion américaine

M. Louis Marin, (les Pensions, a offert liier un (Mjouner intime on commandeur national au congrès de U légion américaine lenu en remplacement do !Il. Howard Savage.

.Des toasts extrêmement cordiaux nnt été prononcés par M. Louis Marin, par le> commandeur S|KifTord, et par M. Ptait Andren.

Les traitements du personnel des P.T.T. M. Poincaré il reçu hier NI. Hokannwskt, accompagné de NI. Deletêtc, secrétaire général des P. T. T.

L'entrotien, qui s'est prolongé de 18 h. à 19 Ir. 45, a él(! consacre tout entier à l'examen des traitements du personnel des P. T. T.

MOUVEMENT DIPLOMATIQUE -Ni. Rean, consul général de France à Genève est nommé ministre plénipotentlairc de deuxième classe et nommé envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de la république à Bangkok. M. Amé-Frédério Lorov, consul de, première classe, chef adjoint du cabinet du ministre des Affaires étrangères, est charge du consubt général du LE CONGRÈS PSYCHIQUE Le-! savants réunis dans ir dessein de projeter quelque clarté pa.rmi lo mystère métapsychique ont continué hier leurs travaux a1 la Sorbonne.

Ils» ont entendu des exposés de MM. Drayton Thomas, de Londres Boehm, de Nuremberg Lambert, do Stuttgart, Roux et ùloutlcr du docteur Hans Driesch, de Leipzig du docteur Walter Kroner, iln Charlottcnburg du docteur Ktndbnrg, de Bifsl.ui, et enfin du docteur .Maxwell, de Bord'-aux.

DES ATELIERS D'ÉBÉNISTERIE EN FEU RUE DE CHARONNE Un million de iigiU

Un Incendie éclatait, hier matin, vers 5 h. 30, 77, rue de Charonne. A cette adresse s'élève, dans une cour intérieure, un vaste immeuble comprenant trois corps de bâtiment dont les cinq étages sont occupés par des ateliers d'ébénisterie, peinture, corroyeurs, etc. Ce bâtiment est séparé de la rue par un autre immeuble abritant de nombreux locataires. Comme il venait prendre son travail, un ouvrier vit une épaisse fumée noire filtrant au dehors par les fenêtres d'ateliers et magasins situés aux quatrième et cinquième étages et occupés par MM. Sohoonwater et Mine.

Alertés par lui, les pompiers de la caserne de Chaligny attaquaient peu après le foyer d'incendie. Mais déjà le feU avait pris d'inquiétantes praportions, et l'on dut faire également venir des détachements fournis par les casernes Parmentier, Jean- Jacques -Roueseau et Ménilmontant. Au inêmn moment survlnt le colonel Pouderoux, sous les ordres duquel les pompiers continuèrent la lutte contre les ûammes. Pendant plus de deux heures, sept grosses lances projetèrent des torrents d'eau sur le foyer. Vers 8 heures, les combattants étalent maîtres du sinistre. Mnis ils avaient dû faire la part du feu. Des deux étages incendiés, il ne restait pour ainsi dire rien. On évalue à plus d'un million les dégâts causés par ce sinistre, qui va, en outre, réduire au chômagie momentané une cinquantaine d'ouvriers.

Une délégation des cheminots au ministère des Travaux publics Une délégation (\r la Fédération nationale par M. Tarclïrti, ministre des t'Ilhlios, l'n entretenu des questions suivantes rajustement des salaires, révision du ré(flm<! (les retraites, itppllcatlon de la Journto de huit Mures dans les service» roulants visite médicale, Imposée aux iip-onts (le sécurité, amnistie tactlité de circulation aux agents des rompu.,nies

Le ministre a informé la délégation que l'examen (Je ces i'ryeni1ic;it[ons si poursuivait et qu'il pensait pouvoir bientôt lui donner dep renseignements précis sur tes plus pr?ssantrs d'rnirc elles.

41. Feuilleton du Petit Parisien. 30-9-27

ROMAN INÉDIT

DEUXIÈME PARTIE

LE CHEMIN DE LA CROIX

VII (suite)

Sur la pente fatale

Je comprends, reprenait Darfeuil, qu'il te répugne d'entrer en rapport direct avec ces gens-!ù. Mais si tu m'y autorises, je puis aller les trouver et leur déclurer de ta part que leur Information est fausse et que lu exiges une rectification dans leur prochain numéro. Je te remercie, mon cher. reprenuit le mari d'Arlette d'un air pincé. linls ta démarche serait d'autant plus Intempestive que, pour une fois, ces canailles ont dit la vérité.

Sur un ton de pénible surprise, Darfeuil s'écria

Non. ce n'est pas posstble ?

Mais si, affirmait Claude, en affectant un grand calme.

Suis-je encore ton ami ? interrogeait le peintre.

Copyright by Jean de la l'érigne, Tous droits de reproductlou et traduction réservés pour tous pays.

SUPPRIMERA-TON L'OCTROI A PABIS ?

Diverses propositions ont été déposées au conseil municipal de Paris, eu vue de ki suppression de l'octroi. Pour trouver Ips TiOO millions que procure il la Ville cet impôt indirect M. Fcrnand Laurent a notamment suggéré d'établir une taxe sur les billets de chemin de fer. Kcarlunt toutes les propositions dont l'a pplici lion nécessiterait l'intervention du Parlement M. S. Conlcnot, dans une note qu'il a déposée hier sur le bureau rie rassemblée, demande à l'administration de rechercher la solution de ce problème Militaire, d'accord avec les Industries et commerces intéressés. 11 préconise dans ce but d'adopter des procédés nouveaux de perception qui, tout eu ne changeant pas l'assiette de rimpAtf permettraient. rsllme-t-ll, de trouver le mémo produit total.

Iles dispositions seraient d'autre part prises pour sauvegarder les intérêts de ̃2.500 agonis de l'octroi.

Les tableaux d'avancement militaires Le Journal officiel public ce matin des tableaux supplémentaires d'agencement cl de concours pour la Légion d'honneur, au titre des missions et au tilrc du Maroc et Levant.

Parmi les nouveaux inscrits figurent pour le grade de colonel, les lieutenantsvoloneU de Boyve-ct Murasse, de la maison militaire du Président de la République Dolalande et Bourret, du cabinet du ministre de la Guerre.

L ouverture d'an concourt

entre les élèves des écoles des Beaux- Arts Le niinwlrc de l'ln«truclion publique vient d'ouvrir un concours entre les élèves des écoles des Beaux -Arts pour la ilécdfition et l'aménagement du pavillon d'enseignement ménager (k\ l'école pratique de jeunes tilles de Nautce. L«5 meilleurs projets seront. réalises dans les éooles pratiques d'enseignement, technique.

Les objets primés seront exposes dans In salle des commissions du ministère de l'Instruction publique.

Après la mort de M. Decharbogne Poursuivant son enquête sur la mort de notre, eon/rere, M. Henry Dcclarborfre, qui, le 4 septembre, Ia «talion Opéra du Métropolitain, eut la tête coineC'C dans une portière et mourut des suites de ses blessures, M. Bacquart, juge d'inslruction, a entendu un grand nombre de témoins qui ont été unanimes dans leurs dépositions l'employ du métro, Jean Henaff, charge do la fermeture des portières, a actionné tardivement 5 à 7 mètres avant l'entrée en station au lieu do mètres le bouton automatique de fermeture. Sans cette fausse manoeuvre, M. Deeharbognc n'aurait pu ouvrir la portière.

Dans ces conditions, M. Bacquart a décide d'inculper M. Jean Henaff d'homicide par imprudence.

SUR LA TRACE D'UN VOLEUR D'AUTOS Intrigué par les allures d'un quidam qui, entré dans un débit de la rue d'AHgre, avait laissé mercredi soir son auto en station devant l'établissement, l'inspecteur Maillebuau attendit la sortie du client. Comme celui-ci sautait sur le siège de la voiture, le policier Jit connaître sa qualité et lui demanda ses papiers. L'Interpellé prit aussitôt un revolver dans sa poche et, d'un large revers de main, tit culbuter l'inspecteur, qui se blessa en tombant sur If; trottoir. L'homme, avant mis sa voiture en marche, disparut à toute allure, tandis que l'inspecteur tirait dans sa direction deux coups de revolver. Or, hier, un conducteur d'automobile. dont, le signalement correspond exactement il celui de l'agresseur dn l'inspecteur Maillcbuau, abandonnait, ;i 13 heures, rue de la Roquette, sa voiture, en panne par.suite d'une avarie survenue a une des roues. Le conducteur avait hélé un taxi, y avait pris place en hâte, après avoir dit au chauffeur do le déposer rue de l'Orillon.

L'auto ainsi abandonnée portait le Il. •41-48-U.6, celui précisément de la voiture volée dans la journée de mercredi M. Brand, chemisier, rue du FaubourgSaint-Antoine. Le commerçant, avisé, ne reconnut point dans cette auto celle qui lui avait été dérobée.

I/cxamcn du véhicule a fait constater fkts taolie* de sang sur le tapis d'avant, ainsi que la trace d'une balle sur la carrosserie.

Sans aucun doute, l'auto abandonnée rue de la Hoquette est une auto votée que conduisait le quidam qui, la veille, essuya les deux coups de feu de l'inspecteur Msiilubuau.

Cet individu, vraisemblablement blessé par un des projectiles, est un jeune homme de vingt-cinq ans environ, dont la police possède le signalement précis. Il rst activement recherché.

LE DRAME DU BLANC-MESN1L

L'une des victime», M. Savelon succombe à ses blessures

Le drame du Bianc-Mesnil vient de faire Une nouvelle victime. Après M. Corbeau, agent d'assurances à Aulnay-sousBois, l'un des amis de Mme Paye, M. Alfred Savelon, trente-sept ans, maréchal ferrant, qui avait été blessé de deux balles de revolver par le mari outragé, Alphonse Foye, vient de succomber à ses blessures.

M, Vallée, juge d'instruction il Pontoise, a commis le docteur Paul, médecin légiste, pour procéder à l'autopsie du cadavre.

D'autre, part, Mme Foye, qui fut égaIcmeut blessée par son mari de deux balles de revolver, est dans un état inquiétant.

Coupable d'an vol à Vienne,

Une Autrichienne est arrêtée à Puia Réfugiée k Paris a la suite d'une escroquerie considérable qu'elle commit. Il y a deux an», à Vienne, une Autrichienne. Hedwlite Brenner, âRéo de vingt-quatre sus, a été appréhendée, hier, pur Jcs inspecteurs dc la sûreté gfnOraln.

Elle a été expédiée au dépOt en attendant que soient terminées les formalités d'extradition demandée par son srouvornement.

Pourquoi ne le serais-tu pas ? ripostait l'auteur.

Alors, tu m'accordes le droit de te parler en toute franchise ?

Je te l'accorde, â la condition que tu me permettes de te répondre sur le même ton.

C'est entendu, acceptait Darfeull, Et avec cette bonhomie sincère qui le caractérisait, il reprit

ce qui ne me regarde pas, mais tant pis. Je me jette dans le feu quand même et je te dis Claude, mon ami, as-tu bien réfléchi ce que tu vus faire ? A quoi donc ?

Voyons, cette tournée, toi, Fergan Toi qai aurais pu être l'honneur de l'Université Comment as-tu pu consentir ù. je cherche il ne pas te froisser, mais enfin, tu me comprends. La nouveile va se répandre dans tout Paris, 'si ce n'est déjà fait. Je sais ce que tu vas me dire g J'ui eu un échec avec ma dernière pièce. Il faut bien que je me débrouille

Mais, mon pauvre vieux, tu te perds, tu t'enlises je n'irai pas jusque dire que tu te déshonores: mais, voyons^ Il y a des choses qu'un homme tel que toi ne peut pas. ne doit pas faire. Et dix-moi que tu ne le feras pas Darfeuil se tut. Il s'attendait, de lu part de sun ami, à une explosion de colère. 11 n'en fut rien. Claude, qui l'avait écouté avec une Impassibilité absolue, répliquait il son vif étonnemenc Tout ce que tu me dis là, je me le suis répété plusieurs fois à mol.même. Et sols persuadé que cola n'a

HAUT LES MAINS 1 .ET ILS TIRENT

Deux jeunes gens grièvement blessés par des agresseurs inconnus Trois jeunes gens, MM. André et Louis Duprat, vingt-sept et vingt-quatre ans, avenue Jean-Jaurès, Champigny, et Roger Kastever, vingt-deux an6, 137, même avenue, passaient l'autre nuit, avenue de la Gare, & la Varenne-SaintHilaire, lorsque, vers 23 h. 30. à l'angle de l'avenue du Mesnll, trois inconnus se dressèrent devant eux en criant Haut les mains 1 »

Puis, sans autre avertissement, les trois malfaiteurs, qui étalent armés de revolvers, firent feu. MM. Louis Duprat, atteint au ventre, et Roger Kastever, blessé à la cuisse droite, s'affaissèrent. Des passants étant accourus au bruit de la détonation, les meurtriers s'enfuirent dans la direction ae Chamnigny, cependant que M. André Dupral, indemne, s'efforçait de soigner son frere et son ami. Les blessés sont à la Pitié. M. Pineau, commissaire de police, recherche les agresseurs. Des premiers résultats de l'enquête, il résulte qu'on se trouve vraisemblablement en présence d'un acte de vengeance.

UN VOLEUR DE PLOMB

QUI EN A LOURD SUR LA CONSCIENCE

A la suite d'une laborieuse surveillance, le brigadier Billet-te et les inspecteurs Trésor ft. Lebail ont arrêté, l'autre nuit, l'individu qui, depuis plusieurs mois, veliait assez régulièrement voler des tuyaux de plomb dans les dépendances du rentral téléphonique de la du Louvre.

Le voleur, Joseplt Anderson, vingt-huit ans, de nationalité Inxfwri-

Itourgeoir*, ouvrier électricien, domicile -i4. rue Descartes, a été surpris au moment où il escaladait, rue EtiennoMarcel. la grille de l'Hôtel des postes. Andersou est également l'auteur de vols d'appareils électriques. On a tout lieu de croire qu'il a d'autres méfaits sur la conscience, déjà chargée.

MATCH CAPABLANCA ALEKHINE La cinquième partie du match pour le championnat du monde du jeu d'échecs, reprise à Buenos-Ayres hier, s'est terminée par une nullité, aucun des deux adversaires n'ayant pu réaliser un avantage suffisant pour forcer le gain.

Tableau Capablanca, 1; Alekhîne, 1. AU COLLÈGE CHAPTAL La rentrée des classes a lieu, au collège Chapfnl le 1" octobre- Cet établissement a fait recevoir cotte année 6 élèves (dant le 2" et le 3e) à l'Ecole polytechnique, 2 il l'Ecole normale (dont le premier), 10 i'. l'Ecole des mines, ti à l'Ecole des ponts et chaussées, 15 à l'Ecole de physique et de chimie industrielles (dont le premier), 6 1 l'institut agronomique, 28 à l'Ecole centrale, etc.

Il est i remarquer que les jeunes gens sortant de l'Ecole polytechnique avec les numéros 1 et 2 sont d'anciens élèves du collège Chaptal.

Les familles sont reçues, pour l'inscription des élèves, tous les jours de 9 heures à 11 heures et de il heures à 10 heures-

Au comité national des tabacs Le comité national de la Fédération confédéveo des î;ibaes. rému hier, à la Bourse du travail, après avoir pris connaissance (les conclusions de la commission des salatres. a coustaté, avec regret, que l'assimilntion aux ouvriers des Il. T. T. réclamée en f»26, était refusée aux ouvriers et auvrières des cadres de la fabrication. Le comité a eztimé inacceptables les propositions fuites, tant en ce qui concerne l'échelle des salaires pour 1928 que le rappel pour et i9S7, et a décldé d'envoyer une délégation au directeur général. Les propositions faites pour le cadre technlttue ont été «gaiement repoussecs. LES CONGRÈS Les groupements professionnels

d'instituteurs

La commission permanente de ta Fédération uatluunle des groupements professionnels d'instituteurs et d'institutrices publlca de France et des colonies non affiliés (i l'une ou A 1 autre des C. O. T., a tenu hler, A l'école de la rue Béranger, son assemblée générale.

A propos des traitements, les congressistes ont adopté un ordre du jour regrettant que la Fédération syndicale n'alt pas obtenu de meilleures conditions pour l'avancement et les traitements maxima, et regrettant également que la sous-commission Martin n'ait pas donné aux instituteurs Je rang' qui leur revient dans l'échelle des fonctionnaires. Mais elle a déclaré ne pouvolr s'associer il certaines « manifestations merncaees », préférant mener une action légale et permanente auprès de l'opinion puDIfrjiie, auprès du Fnrlemeut et des commissions parlementaires compétentes.

Les Jeunesses laïques

Le confrrfcs des Jeunesses laïques a été ouvert hier dans la salle des Jeunesse^ laïques républicaines, to, vue Dupetlt-Tlionars. M. Lucien Meunier a présidé la séance publique où furent Jetées les bases de la « Charte de la Jeunesse ».

Une Intervention a donné lieu ensuite Il la discussion de la question de « l'attitude des jeunes devant le problème de la politiqae extérieure

A la Fraternelle du personnel da T. C. R. P. La Fraternelle du personnel des T. C. n. P. a donné, l'autre soir, il Asulères, iï, avenue de l'aris, une Importante réunion que présidait NI. Blaire.

MM. Buch et Quercy. président et vireprésident., après avoir évoqué les (Iirflcnités nombreuses qui vinrent entraver, an début, la marche de la Fraternelle, rendirent hommaire aux dévoués mutualiste:; dunt la volonté et l'activité quotldlennes permirent de mener à bien l'œuvre entréprise.

Aujourd'hui, la Fraternelle possètie nne propriété à flambais et un orphllnat dont la naisse est régulièrement alimentée. L'orphelilial. qui fonctionne depuis Janvier, a actuellement quatre enfants sous sa tutelle. L'assemblée, devant l(>s résultats obtenus, a adressé ses plus vives félicitations au conseil d'administration de la Fraternelle.

pus eté sans une profonde douleur et un réel dégoût que j'ai npposé, il y a quarante-huit heures, ma signature au bas de ce contrat.

Et d'une voix où maintenant frissonnait toute l'ardeur de la passion, Il continna

Mais quand on aime une femme comme j'aime Ariette, pour ne pas être séparé d'elle, pour continuer ù vivre avec elle, rien que pour elle, on cède la fatalité qui nous entraine. On s'en va où le destin vous mène et l'on étouffe en soi tout ce qui n'est plus son amuuri 1 Mon pauvre ami, s'écriait Darfeull tout ému, je te plains de tout mon cœur.

Je ne suis pas à plaindre, puisqu'elle m'aime aussi.

Et désireux de convaincre son ami, Pergan poursuivit

Songe qu'Ariette a tout quitté pour moi.

Toi aussi n'as-tu pas tout quitté pour elle ?. ripostait le peintre. Et ce qu'elle a laissé n'est rien it côté de ce que tu us abandonné. Tu étals un pire de famille. Elle n'était qu'âne femme entretenue.

Une brusque colère empourpra le visage de Fergan. Et se dressant d'un seul mouvement, Il fit, les poings crispés et la bouche déformée par un rictus de colère

Je te défends de parler ainsi de ma femme.

Mais Darfeull s'obstinait.

Tu te fâches parce que je te mets en, face de la vérité et qu'envers et contre tous, malgré toi-même, tu ne

TROIS PROCÈS. A Angouleme, un infirmier est condamné pour avoir assommé un fou Angoulême, 29 septembre (Jép. P. P.) La cour d'assises de la Charente a été appelée à juger aujuurd'liui l'affaire relatée en son temps sous le titro de « Un fou succombe sous les coups de ses gardiens ». Nos lecteurs se rappellent, en effet, que le 5 juillet dernier, M. puxent. propriétaire à J.irnae, atteint d'aliénation mentale, fut interné à l'asile, de Breuty- la -Couronne, où le jour même de son internement, il fut frappé par ses gardiens Duval et Le Thiec, avec une telle brutalité qu'il en mourut. Duval et Le 'Phiec s'étaient déjà livrés (les voies de fait sur des malades conllés à leurs soins. A l'audience, les accusés recounurent les faits, mais s'en rejetèrent la responsabilité.

Or l'expertise médico-légale a démontré que ce sont les coups portés par Duval qui ont entraîné la mort. Lo Thiec n'est donc poursuivi que pour ooups et blessures volontaires ayant tmtralné la mort. Après l'audition des témoins et une pittoresque démonstration de l'emploi' de la camisole do force, pour prouver aux jurés qu'un fou que l'on en a revêtu ne peut pas rumncr, Duval est condamné à huit ans de réclusion et Le Thiec est acquitté.

L'empoisonneuse de Firmi

condamnée à cinq ans

de travaux forcés

Millau, 29 sept. (dép. Pelit Parisien.) La cour d'assises de l'Aveyron a condamné à cinq ans do travaux forcés la nommée Valérie Dalestia, veuve Roumiguière, âyée de cinquante-trois ans, domestlque à Pirmi. Cette femme était accusée d'avoir empoisonné Mme Marie Costes, âgée de quarante et un ans, domestique chez le mémo patron, en versant dans sa tisane le contenu d'un flacon do liquide bleuétrc. L'examen des viscères auquel a procédé le professeur Fouzps-Diacon. de la faculté de Montpellier, avait fait découvrir des traces de sulfate do cuivre dans l'estomac et les intestins.

Une bande de cambrioleurs

condamnée à Tours

Tours, 29 septembre {dêp. Petit Parisien.) La cour d'assises d'Indre-et-Loire Il jugé aujourd'hui une bande de malfaiteurs qui, au début de l'année, avait pillé une vingtaine do villas dans la banlieue de Tours.

Le chef de la bande, âgé de dix-neuf ans, André Mauny, a' éte condamné à six ans de réclusion. Ses complices Georges Coty, iL cinq ans de prison Henri Deslandes, à trois ans, et René Decluzet, trois ans avec sursis. Le receleur Bidault a été condamné à deux ans avec sursis. Un autre complice, Pachot, dix-sept ans, a été acquittG comme ayant agi sans discernement.

A l'issue des débats, lc jury a adopté un vœu demandant que soit voté le plus rapidement possible par le Parlement le projet de loi tendant à attribuer au jury le droit de participer ù la fixation des peines, ou, en cas de verdict afflrmatif, la faculté d'indiquer le maximum de lu. peine qu'il désim voir appliquer. LE DRAME DE VITRY-SUR-SEiNE Le mars dernier, une querelle éclatait, rue Anselme-Rondenas, il Vitrysur-Seine, entre les époux Scrfax. Au comble de la fureur, la femme, née Marie Ferry, âgée de cinquante et un ans, saisit un revolver et le déchargea sur son mari, qui fut grièvement blessé. M. Bertaiid, juge d'instruction, vient de renvoyer Mme Sej-fax devant la chambre des mises en accusations pour tentative d'homicide volontaire.

LE PARRICIDE DE SAINT DENIS M- Bertaud, juge d'instruction, vient de renvoyer devant la chambre, des mises en accusation, sous l'inculpation de coups à ascendant ayant entraîné la mort sans intention de la donner, le jeune Marcel Dutheil, âgé de dix-neuf ans, qui, le 6 juin dernier, tua son père d'un coup de revolver.

Dutheil, qui sera défendu par M* Labrouc, a catrliqué que, son père cherchant à étrangler sa mère, il avait tiré pour protéger celle-ci-

CHRONIQUE JUDICIAIRE POURQUOI L'HOMME AUX MARKS TRAITA-T-IL L'AGENT D'ASSASSIN 1 Vu laveur (te voitures de vingt-nuit nns, Marcel Le Brlq, employé dans un garagc, rencontra. le 21 août dernier, rue d« Dunkricnie, l'agent Larour. C'était au lendemain des graves Incidents que provoqua il Paris l'exécution de Sarco et de Vanzettl. S'adressant h l'agcnt Lacour. Le Bris s'éciia Assassin

Arrêté, le manifestant fut trouvé porteur dn deux billets de marks et de papiers a en.tête du «roiiiie de détense anlirusclstc du XIXe arrondissement.

Lo Pris comparaissait hier devant la douzième chambre. il prétendit avoir trouvé dans la rue nos 4fi,ono marks,

Mois pourquoi «vez-vous tnsutté l'airent Lai.nur ? lui demande le président Fredln. Je ne l'ai pas Insulté. Je chaînais le Chant du aix-m-pUèmc. Il y a. dedans. le mot assassin. Ce mot est arrivé (aic) juste comme l'agent arrivait (aic).

Et Il arriva, par surcroît, que le laveur Lc Bris fut condamné deux mois de prison et 50 francs d'amende.

LA COLERE INEXPLICABLE

DE L'ANCIEN SOLDAT

Oabrlel SauzAtiu. vingt-deux nns, fondeur, récemment libéré dn service militaire, retourna, le 24 septembre dernier, a heures, il la caserne dc Cllgnnucourt, où Il désirait revoir des camarades. Mais comme il traversait -la cour, pris d'une fureur aussi subite qu'inexplicable, il Invectiva l'homme de garde, puis frappa le sergent-major Vice. Il fut vite maîtrisé. Il comparaissait hier tout penaud devant la 13' chambre correctionnelle.

Kn vérité, dit-il, Je ne sals pas pourquoi Je me suis comporté de )a sorte. CI) fut certainement un moment d'aberration. Ce moment d'aberration lut vaut deux mois de prison.

UN CAISSIER IITOELICAT

Drvant la i;i" chambre présidée par M. Tiiorel, a comparu hier un élégant escroc, Hofrer Faucillon. qui, dn srpteurbrc a octobre détourna franc* a l'Office général de l'Air, où il était caissier.

Faucillon reconnut les faits et ne chercha pas il se défendre. L'Otnce général de l'Air s'était porte partie civile par l'organe de M"" Ilené IdzkowsKi et Lordonnols. Faut-Won a été condamné i treize mois de prison, i.ono francs d'amende, mois restitution des 56.080 francs volés.

peux pns empêcher d'exister une vérité qui te fait rou;ir, en attendant qu'elle te fasse trembler

Julien 1 brisons là

C'est le mot de tous ceux qui s'aperçoivent que la discussion tourne à leur désavantage.

Kpargne-mol tes grandes phrases. Je n'ni pas fini, Insistait Julien avec énergie. Je suis venu ici pour te tendre la main au moment où tu allais rouler sur la pente fatale.

La pente fatale Tu es mûr pour écrire des romans-feuilletons. Ne plaisante nas Cet instant t>st décisif. Tu joues en ce moment 'on honneur et ta vie. Tu n'as pas le droit d'en disposer, puisque tu es père. L'autre jour, quand tu es venu embrasser ton fils iL la clinique, j'ai constaté que tu l'aimais, ce petit. Quand il t'a tendu les bras, tes yeux se sont mouillés, ton cœur a hattu et si tu avais eu le ma1heur de le perdre, tu aurais été, j'en suis sftr, désespéré. Eh bien pour lui, tlnis-en avec une existence qui. jusqu'ici, t'u peut-être donné des sensations que tu as prises pour du bon·heur, mais qui, fatalement, finira par une irréparable catastrophe. Claude, ton foyer n'est pas ici. il est la-bas Ali je comprends tout maintenant. s'écriait Fergan. C'est Lysiane qui t'envoie. Elle se tlgure, parce que je traverse un moment difficile, que je vais rentrer chez mol comme un mouton à su bergerie. Je la croyais, elle, plus tntelligente, et toi, moins maladroit.

Darfeuil ripostait

LES ÉPREUVES

DU "PETITPARISIEN" La Coupe de France de football 128 matches seront jouis dimanche

dans toute la France

Dimanche se déroulera le premier tour éliminatoire de la Coupe de France, la grande épreuve nalionale de football organisée par la F. F. A. avec le concours du Petit Parisien 256 clubs entreront en compétition.

Les matches auront lieu h ti h. 30. Comme les anuécs précédentes la Coupe de Franco a réuni un nombre d'engagements considérable et les matelles, de dimanche prochain permettront à des clubs modestes d'affronter des clubs de premier plan qu'aucune épreuve ne leur permettrait de jouer surtout sur leur propre terrain.

Peut-être l'un de ces clubs Il réputation modeste, comme autrefois l'A. S. Valentigney, et l'année dernière VU. S. Uuevilliise, parv;endra-t-il à l'ultime LES VACANCES*SONT FINIES Demain matin les écoliers rentreront en clam Les grandes vacances onze semaines pour les lycées et collèges, deux mois pour les écoles primaires 6 achèvent ce soir. Demain matin, tous les écoliers, petites et grands, réintégreront les salles de classe.

Beaucoup d'etutre eux avaient espéré que la rentrée, qui tombe cette année en fin de semaine, serait reportée au lundi 3 octobre.

Mais M. Herrlot a donné des instructions formelles aux recteurs et aux inspecteurs d'Académie pour qu'il ne fût rien changé aux dates fixées.

Demain matin, tous les écoliers se dirigeront donc docilement vers le lycée, le collège ou l'école primaire.

L'AVIATEUR ANTIGNY

SUCCOMBE ASES BLESSURES L'aviateur Joseph Anligny et non, comme il avait été dit, Bianchiii! dont nous avons relah': hier l'accident sur l'aérodrome de Villacoublay, a suceombé à ses blessures peu de temps après son arrivée à la clinique do Versailles, où Il avait été transporté après sa chute. NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du souvenir sera ranimée par thé lntcrpreters of tbe ereat war r.. Congrès international des recherches psychiques 9 heures et id heures à la Sorbonne. Exposition» Salon intemRtlonsl d'art photoRrapliiquc, 11 h..30, 51, ruo do Clicliy (Inauguration). Salon de l'escalier (desfins, aquarelles et sculptures), 15, avenue Montaigne (clôture). Peintures, aquarelles et dessins, bis, boulevard de Latour-Maubourg1 (clôture).

Anniversaire de la mort do sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, 40. rue La-Fontaine (messe et vêpres pontificales).

Loterie des Gueules cassées dentier jour pour la délivrance des lois, 16, avenue Matignon.

Légion américaine réception du nouveau commandeur, Ni. SpalTorri. 17 h. 15. Cercle militaire. Déjeuner d'adieu offert par les Amis de la Franco à M. S;)afTord, 13 heures, hôtel Astoria. Dtner offert par l'Association des interprètes de la guerre, x"0 heures, 41. avenue Gabriel. Concert public 21 heures, square d'Anvers. Courses a Malsons-Larntte, h 14 heures. T. S. F. Kmissions et ratilo-concerts des principales stations de France et de l'étranger. (t-oir au Courrier des amateurs.)

Des réceptions auront lieu samedi 22 et dimanche de Il h. 30 a 18 heuros, au château de Bcllevue, propriété de la reine Amélie de Portugal, au Gheenay, l'occasion du prochain mariage de la princensq Arme de France, fille du duo et de la duchesse de Guise avec le piinco Amédéc de Savoie.

Pour faire place

tous ses travaux d'agrandissement, la Maison Lalaurette, ameublements, 34, fauhourg Saint-Antoine, solde actuellement, à prix coùlant, même à crédit, tous les meubles de ses magasins. La B. F. Goodrich C°, 1780 Broadway, New-York, annonce qu'au cours de la séance spéciale de son conseil d'administration, tenue lo mardi 27 septembre, M. D. M. Goodrich a été élu président du conseil d'administration do la société, et M. Il. Hough administrateur délégué, en remplacement de NI. B. G. VVork, décédé.

Au cours de 1a même séance, M. J.-D Tew a été élu' vice-président et membre du comité exécutif.

Demain la rentrée des classes. Profitez du dernier jour de vacances ite vos enfants pour les conduire chez MAIISY, afln de fes équiper en chaussettes et en bas, solides et élégants, en profltant de l'exposition spéciale organisée leur intention. en cotou avec élastique, 8, 9 et 10 francs; bas en pure laine avec revers brodé, 10, 13 et 15 francs et grande mise en vente d'ouverture de saison à dtfs prix exceptionnels de bas pour dames, en soie naturelle, pour le jour et pour le soir (avec pied fll 25 fr., tout soie 50 francs); bas de fil (15, 17 et 20 francs); bas de laine et soie chinés (10 et 25 francs); chaussettes fantaisie pour messieurs (5, 10, 15 et 20 francs). Malgré la grande affluence, on est servi très rapidement, grâce à une organisation tayiorisée: Marny, 33, rue Tronchet. NECROLOGIE

Nous apprenons la rnort au château de La Bolasierc (Seine-et-Oisc). de Mme Dubernet. pieusement décédée dans sa aimée. Mine Dubernet était la mère et la belle-mère de NI. Ferdinand Larnaude, doyen honoraire de la Faculté de droit de et de Mme Ferdinand Larnaude de Mme Roger Douine, de Mme Gabriel lîupuy la grand'mère du capitaine Auguste de M. Olympe Hériot, de Mme Virginie Ilériot, du docteur et Mme ,Jules Collet, de M. et Mme Alfred d'Andiran. Selon le désir exprime par la défunle, le service religieux et l'inhumation auront lieu ù Condom (Gers). Il ne sera pas envoyé de lettres de faire part. Les obsèques du professeur Prenant auront licu aujourd'hui, à li heures, au cimetière de Bagnoux.

Alors, se jeter à l'eau pour sauver un ami, c'est de la maladresse ? C'est un manque de tact de se mêler de ce qui ne vons regarde pas. Allons donc scandait Julien Darfeuil, décidé maintenant à mener ie combat jusqu'à ses dernières limites. J'ai gardé pour toi toute mon affection des anciens jours. Et voilà pourquoi j'al voulu te mettre en face de la réalité. Je ne viens pas. comme tu l'Insinues et comme tu le crois peut-être, te demander de divorcer et de redeven!r le mari de celle que tu as quittée. Non je te demande, je t'adjure seulement de ne pas oublier que tu as un fils. Kst-ce que je l'oublie ?

Ou!, car après ce que tu as été, ce que tu peux être encore, tu n'as pas le droit de t'abaisser.

Julien. interrompatt Fergan, je t'ai écouté avec une patience. Relative.

Mais je sens que je ne vais plus être maître de moi.

Il y a un an que tu ne l'es plus. mon pauvre vieux. oui, un an que su n'es plus qu'un pantin entre les mains d'une femme qui, inconsciemment, je l'espère pour elle, te conduira à ta perte, Va-t'en grinçait Claude hors de lui, oui, va-t'en

Et comme Darfeuil n'obéissait pas assez vite il cette injonction. Il s'en fut vers lui et lui souffla au visage Xe ne pousse pas à te jeter mul·même il la porte 1

imbécile S'exclama le peintre. Tu dis ?

k'ergau, hors de lul, leva la main.

Propos de bonne humeur UNE LEÇON D'ÉCONOMIE

Si le jeune Toto est gonflé de légitime fierté, c'est qu'il est brusquement devenu capitaliste. L'oncle Frisole lui a donné un beau billet tout neuf qui, s'il faut en croire les gens d'expérience, représente la somme fabuleuse de dix francs.

Ah! ce billet! Comme il est joli, comme il est bleu, conune il est agréable à palper L

Mais Toto n'est pas avare. Il a des idées très arrêtées sur la nécessité de la circulation des monnaies. Il se flatte d'obtenir avec sa fortune des plaisirs nombreux et variés.

Son ambition est d'avoir une auto, mais Il n'est pas absolument sûr d'être assez

riche pour en acheter une. Il a donc jeté sou dévolu sur les chocolats, les patins à roulettes et un magnifique crayon rouge qui coûte si cher qu'avec un instrument pareil il doit être impossible de faire une faute d'orthographe. Tout cela, bien entendu, ce s o n t des projets. Le billet est encore intact, mais Toto se propose de l'écorner aujourd'hui même, puisqu'il sort avec sa maman.

v^i^ iwic cm uuc et-range personne. Elle a sur l'art des idées baroques. Dans les grands magasins, elle passe avec une rapidité de météore autour des rayons les plus intéressants celui des jouets mécaniques, par exemple et s'attarde pendant des heures devant d'autres rayons fort laids, où l'on vend des rubans ou des étoffes. Malgré son respect, Toto est douloureusement frappé par ce manque de goût.

Devant la boutique du pâtissier, Toto marque résolument un temps d'arrêt. Sa maman ne résiste pas, car il y a précisément un miroir au fond de l'éventaire. Elle en profite pour donner une pichenette à son chapeau, puis elle cherche à entraîner son fils.

Eh bien! Toto, viens-tu?.

Le jeune capitaliste suggère d'une voix tremblante de convoitise:

On pourrait peut-être manger un gâteau.

Cette proposition ne lui semble avoir rien d'immoral. Pourtant, elle est repoussée sans examen.

Voyons, Toto. il est à peine 2 heures tu sors de table.

Oh maman. les gâteaux, ça se mange sans faim!

Parole imprudente. La mère entame un long couplet sur la gourmandise. La seconde strophe traite de l'économie.

LA COLERE DU CHINOIS M. Grébault, juge d'instruction, vient de renvoyer en police correctionnelle le Chinois Tcho-Kouang-Tchen, qui, en juin dernier, au cours d'une scène de jalousie, frappa de treize coups de couteau son amie, Paillette Roger, avec laquelle ü habitait en hôtel, rue Victor-Masse. Le Chinois, qui est fils d'un industriel do Changhaï, a été condamné à mort, dans son pays, pour des faits d'ordre politique.

CHEMINS DE FER DE L'ETAT RETOUR A L'HEURE D'HIVER

Par suite du rétablissement, dans la nuit du i" au 2 octobre de l'heure légale antérieure au 10 avril 1027, la journée du 1er octobre aura exceptionnellement une durée de vingt-cinq heures.

A cet effet, les horloges du chemin de fer seront retardées d'une heure à l'expiration de la vingt-cinquième heure, c'est-à-rilre an moment où eues seront sur le polnt de marquer 1 heure.

Tous les trains do petite et (le grande banlieue, (le la nuit du 1" au 2 octobre Ion. circuleront conformément à l'heure actuelle (heure <i'ilé^.

Les trains des grandes lignes en clrculalion après h. 5a qui, d'après les horaires des indicateurs et livrets-boraires, doivent arriver normalement à leur point terminus après 1 heure, seront, eu règle g-éiiérale, retenus su cours de la vingt-cinquième heure dans certaines gares, où ils stationneront environ une heure pour reprendre ensuite leur horaire normal après que la modification des horloges aura été elfectuée.

Les voyageurs des grande lignes qni, dames la nuit du 1" au 2 octobre, voudront prendre des trains pour lesquels les uoratres et Indicateurs et livrets-horaires indiquent des heures de départ comprises entre 23 u. 59 et 1 heure ne devront cependant pas compter sur le retard qui pourra être donné il ces trains par le changement de meure ils devront, comme les voyageurs do petite et de grande banlieue, se présenter dans les gares, pendant telle période, aux mêmes heures ipi'ils l'auraient fait dans le régime actuel, c'est-ï-dlre, par exemple avant h. 10 si l'indicateur ou le livret-horaire Indique 0 h. 10 comme heure de départ avant 24 h. 59, si l'indicateur ou le livrethoraire Indique 0 Il. comme heure de départ.

Mais une voix de femme vibrait: Calmetoi, mon chéri. Je t'assure que tout cela ne vaut pas la peine que tu te mettes en colère.

Si tu savais ce qu'il est venu faire Ici! s'exclamait Claude.

Je le sais, répliquait Ariette. j'ai tout entendu. Et laisse-mol répondre, ù mon tour, il M. Dnrfeull.

Et, sur un ton ironique, la comédienne dit an peintre

Monsieur, j'admire beaucoup votre sollicitude envers mon mari. Elie est fort touchante, mais absolument Inutile. Je ne vois pas, en effet, comment Claude risquerait de compromettre t'avenir de son fils, en m'accompagnant dans une tournée de quelques semaines et en jouant sous un nom d'emprunt un rôle à mes côtés.

Ainsi que vous l'avez dit, nous traversons un moment difficile. Qui n'en a pas connu dans sa vie? Mais nous sommes de taille, l'un et l'autre, prendre promptement une revanche. » J'ajouterai que votre ami n'est nullement, ainsi que vous l'avez si imprudemment avancé, un pantin entre mes mains, pas plus que je ne suis un jouet entre les siennes.

x Nous nous aimons et nous ne voulons pas nous séparer. Et vous qul êtes un artiste et même un grand artiste, au lieu de nous blâmer, ainsi que vous le faites, vous devriez approuver et respecter la dignité avec laquelle nous avons accepté notre commune défaite et le courage avec lequel nous affrontons la lutte. Voilà, monsieur, tout ce que J'ai à vous dire 1

Il faut garder son argent, Toto. il ne faut jamais le dépenser à tort et à travers. La prodigalité est le pire de tous les vices.

Toto le sait bien. On lui a appris que la prodigalité causait la mort des veaux gras et portait ainsi au cheptel un tort considérable.

Retiens bien ceci, Toto: il ne faut pas dépenser un sou mal à propos.

Cette conclusion attriste profondément Toto, qui sait déjà que seul l'argent dépensé mal à propos donne du plaisir. Or, dix minutes plus tard, la maman de Toto est soudain prise d'un délire sacré. La voilà qui achète des coupons, des sou-

liers, des chapeaux, des bas tant et tant que cela devient effrayant.

Pour sûr, pense Toto, papa va encore la gronder.

Et il ose dire à haute voix:

Maman, as-tu vraiment besoin de tout cela'

Petit sot! répond la mère courroucée. Je n'en ai pas un besoin hi»»é4iat, mais ce sont des soldes. des occasion$;En dépensant, j'économise!

Toto se garde d'insister, car, dans cer. tains cas, le suprême argument est une gifle.

Maintenant, reprend la mère, allons chez le pâtissier C'est l'heure du goûter. Une manie des parents, c'est de croire qu'il y a une heure spéciale pour le goûter, alors qu'on peut se livrer à cet exercice à n'importe quel moment.

Toto mange un baba. Un tout petit baba. Un baba de rien du tout. Quand il a fini, il hésite un instant, puis appelé délibérément le garçon.

Monsieur, demandc-t-il. Avez-vous des gâteaux en solde?.

Mais non, bêta! rétorque la mère. Il n'y a pas de gâteaux en solde!

C'est dommage, soupire Toto. S'il y en avait eu d'occasion, j'en aurais pris une douzaine pour faire des économies.

René Pujor-

SOCIETE DU PETIT PARISIEN n Les actionnaires et porteurs do parts de la Société « Le Petit. Parisien » sont informés qu'ils peuvent déposer dès maintenant leurs titres au siège central du Crédit Lyonnais, 19, boulevard des Italiens, à Paris, pour recouponnement.

iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii De la gaieté 1

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Vous lirez

La blonde ou la brune le délicieux roman adapté

par Marcel SERGY,

d'après le film joué par

Adolphe MENJOU

Ariette MARCHAL

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du ¡or Octobre

EN VENTE PARTOUT 75 CENTIMES

C'est bien, madame, répliquait Darfeuil, je n'insiste pas.

Tu as raison, martelait Ferfcan. Tu viens d'entendre ce que t'a dit ma femme. Nous nous aimons. Et tu peux dire de ma part il celle dont tu t'es fait auprès de moi l'interprète que, du jour fini entre elle et moi.

Claude murmura douloureusement le peintre.

Mais Fergan l'arrêtait par ces mots décisifs

-Je te prie de m'épargner tes visites. Dnrfeull s'en fnt, la mort d:tns l'âme. 11 prit un taxi et donnn l'o-dre au chnuffeur de lui faire faire le tour du Bols de Boulogne. Avant de rendre compte Lysiane de sa mission, e'est-à-dlre de lui porter un coup terrible et qui, t)' elle n'eût pas été mère, risquait d'être mortel, il avait besoin de réftéchir. Tout d'abord, Il se fit de vifs reproches

J'al manqua de ménagements, se disait-il. J'ai étd trop brutal. J'aurais dû m'y prendre autrement.

Mais tl mesure qu'il évoquait la scène encore toute fraîche en sa mémoire qui venait de se dérouler entre son ami et lui, moins Il se sentait coupable. et plus Il en arrivait il se convaincre qu'il s'étdit heurté à un mur que rien ne pouvalt entamer et, pea à peu, il se convainquait qu'après tout, Claude et Ariette s'aimaient vraiment et qu'il ne fallait plus songer l'espoir de le voir rompre une union devenue la raison mi'me de leur vie.

iA suivre.) Jkan DE LA Pêeio.ne.


VIOLENT TYPHON

SUR LES PHILIPPINES CINQ CENTS TUES,

CINQ CENTS BLESSÉS

Londres, 29 septembre (dép. Radio.) On mande de New-York

La Tribune publie un télégramme de Manille annonçant que 500 persnnnes ont été tuées et 500 autres blessées pendant un typhon qui vient de balayer la côte nord de Vile de Luçort, dans le groupe des iles Philippines.

Le village de Baler serait entièremenl détruit.

La tempête contrarie les manœuvres de la flotte anglaise de l'Atlantique Un petit bâtiment se trouva même dans on position très critique

Londres. 29 sept. (dép. Petit Parisien.) La tempête et la tornade qui ont fait rage aujourd'hui ont rendu impossibles les manœuvres de la flotte de l'Atlantique dans le golfe de Cromarty, prévues pour la journée. L'état de la mer a été la cause d'un incident qui aurait pu avoir des conséquences tragiques. De très bonne heure, ce matin. un petit hdtiment, le Billon., qui remorquait une cible marine, s'accrocha accidentellement à l'épave du Sattil, qui sombra près de Cromarty, pendant la guerre. A marée basse, il resta dans cette position dangereuse, sa quille compte) lement hors de feu. Des bâtiments sont demeurés dans les parages, maintenant les feux de leurs projecteurs sur le Billow et prêts à porter secours à son équipage si besoin était.

Soudain, le Billow se renversa presque complètement. Toutefois, il parvint, peu après, il se redresser. Les marins de l'équipage, projetés À la mer, parvinrent presque tous à se raccrocher au bâtiment. Quatre d'entre eux, toutefois, emportés par les vagues, n'ont pu être recueillis qu'à grand'peine par le cuia-assé Hood.

EN BELGIQUE, UN TRAIN OMNIBUS EST PRIS EN ECHARPE PAR UN EXPRESS Soixante-seize blessés

Bruxelles, 29 septembre (dép. P. Paris.) Un grave accident de chemin de fer .'est produit, ce matin, à Malines, sur la ligne Bfuxelles-Anvers.

Un train de banlieue, venant de quitter cette station, fut pris en écharpe par un train-bloc venant de Bruxelles. En raison du brouillard, le mécanicien de l'express n'aperçut le train de banlieue qui lui barrait la route qu'à la dernière minute et il ne put empêcher l'accident.

Trois voitures furent renversées. Une trentaine de blessés furent transportées à l'hôpital de Malines, où les premiers soins leur furent donnés.

D'autre part, de nombreux voyageurs qui n'avaient reçu que de légères contusans, avaient quitté le lieu de l'accident pour rassurer leur famille ils se présentèrent ensuite à l'administration des chemins de fer.

Le rappurt officiel de l'accident relève un totul de soixante-seize blessés.

La soeur de Vanzetti a quitté l'Amérique Londres, 29 sept. (dép. Petit Parisien.) On mande de New-York à l'agence Reuter que Mlle Vanzetti, sœur de l'anarchiste exécuté, s'est embarquée aujourd'hui à bord du Mauretania, à destination de l'Italie. Elle emporte avec elle, une urne où se trouvent confondues les cendres do Sacco et de

Saisie à bord d'un vapeur hollandais d'armes et de munitions

Londres, 29 septembre ldép. Petit Paris.) On mande d'Amsterdam à l'Exchange Telegraph qu'une importante quantité d'armes et de munitions, environ 10.000 cartouches et une centaine de revolvers ont été saisies à bord du vapeur hollandais Gemma par les autorités douanières de Rotterdam. Le vapeur en question se rendait dans les Indes néerlandaises et on a tout lieu de croire que ces armes étaient destinées des organisations communistes. i

Incidents à Casablanca

provoqués par des soldats indigènes Gasablance, 29 septembre (dép. Radio.) Des incidents d'une certaine gravité se eont produits mardi soir à Casablanca. Le plus sérieux est celui qui s'est déroulé vers 18 heures, au moment où le sergent ohef de poste donna aux militaires algériens et marocains l'ordre de quitter le quartier réservé. Une clnquantaine de ces militaires se groupèrent et lapidèrent le poste; les soldats de service arrêtèrent un meneur et l'enfermèrent. Mais les autres attaquèrent et réussirent à délivrer le prisonnier.

Les violences redoublèrent et les agents de police, appelés en renfort, r; :rcnt dégager le poste en mena^nt j les perturbateurs avec leurs revolvers. Des militaires, tous indigènes, du même régiment, ont frappé des agents et pro- voqué de nombreuses rixes pendant la nuit.

SECOUSSES SISMIQUES AU MAROC Tetoaan, 28 septembre (dép. Radio.) On annonce que des secousses sismi- ques ont été ressenties dans la région de Targulst on ne signale pas de dégâts, mais les indigènes de la région ont été très impressionnés par le phénomène, qu'ils imputent à une manifestation divine.

L'Australie renonce

sa flotte commerciale d'Etat Sydney, 29 septembre (dép. Havas.) La majorité des membres d'une commission officielle a publié un rapport recommandant la vente à une compagnie privée des vapeurs de commerce du gouvernement australien pour une somme évaluée à 4.718.150 livres sterling. Les bénéfices escomptés par le gouverpement australien lorsqu'il a pris cette entreprise en mains, en 1923, ne se sont pas réalisés.

Londres prépare d'imposantes fêtes en l'honneur du vainqueur de la coupe Schneider d'aviation

Londres, 29 sept. (dép. Petit Parisien.) Les trois aviateurs britanniques qui viennent de disputer victorieusement la Coupe Schneider arriveront à Londres samedi après midi. Ils quitteront le Bourget vers midi et atterriront à Croydon entre 14 heures et 14 h. 30. D'imposantes manifestations se préparent en leur honneur. Reçus à leur arrivée soit par Ni. Samuel Hoare, soit par son sous-secrétaire sir Philipp Sassoon, ils recevront les félicitations des représentants ifs plus autorisés de l'aviation britannique. c Mardi prochain, le lieutenant Webster, '̃ gagnant de la coupe, et ses collégues, seront les hôtes du gouvernement à un lunch que présidera sir Samuel Hoare et auquel assisteront nombre de notabi lités londoniennes. 1

LES DECLARATIONS DE M. STRESEMANN AU "PETIT PARISIEN' commentées par la presse allemande Berliar, 29 sept, (dép. Petit Parisien..) La presse de ce soir reproduit l'interview donnée par M. Stresemann au Petit Parisien.

L'officieuse Tiegliche Rrtndschau revient à ce propoa, en ces termes, sur la remarque rédactionnelle qui précédait l'interview.

Par le passage où se cache une arrière^pensée dans la déclaration de M. Stresemann, 10 Petit Parislere veut prohablcmant dire celui où il a rappelé que la collaboration franco-allemande ne purra trouver son plein effet dans l'intérêt de la paix mondiale qu'au jour où certains problèmes, dont dépend ta bonne et durable entente entre les deux pays, seront réallsés. II faudra que le Petit Parisien abandonne d'abord le point de vue dont il s'inspire lorsqu'il éprouve un malaise devant la constataton (pourtant si naturelle) de M. Stresom;mn, avant de trouver la force de défendre lui-même efficacement la politique que M. Stresemann reconnaît comme salutaire pour les deux peuples. Le ministre des Affaires étrangères a prouvé assez souvent qu'il possède ce courage ipour que le Petit Parisien ait besoin d'exprimer des vnmx spéciaux dans ce Sanglants combats, au Mexique, entre des insurgés catholiques et les troupes gouvernementales 34 morts, dont un prêtre, arrêté, jugi tomraai- remeat et exéenté

Londres, 29 septembre Petit Par.) Suivant un message Reuter. de Mexico, trente-quutre rebelles catholiques ont été lues et le prêtre qui se trouvait il leur tête, le Père Sedano, capturé, .jugé sommairement ut exécuté dans l'Etat de Jalisûo, à la suite de sanglants engagements entre les rebelles et les troupes fédérales.

Le premier combat, qui ne dura pas moins de quatre heures, eut lieu à Los Mczquitos, où trente-huit insurgés catholiques, que commandait le Père Sedano, s'étaient foirtement retranchés. Au cours de cette rencontre, quatorze rebelles furent tués et deux autres, y compris le Père Sedano, capturés et exécutés. Durant le second engagement, plus violent encore, cent cinquante rebelles attaquèrent les troupes gouvernementales à Porte-Zulo. Devant la résietanae de oelles-ci, les insurgés abandonnèrent l'attaque et se sauvèrent dans les montagnes, laissant sur le champ de bataille dix-huit morts ot de nombreux blessés.

LA CRUE DU RHIN

A LA FRONTIÈRE AUSTRO-SUISSE Cinq personnes refusent d'éracuer

leur» maisons inondée*

Buclis (Rtaeinta-1), 29 sept. (dép. Haras.) Le détachement de pontonniers suisses a sauvé encore une vingtaine de personnes, à Rugell, parmi lesquelles les membres des deux familles qui, la veille, avaient continuellement appelé au secours.

Clnq personnes se trouvent encore dans les maisons inondées, malgré les injonctions des autorités militaires. Ces personnes ont dû signer une déclaration pour expliquer leur refus. De nouvelles tentatives doivent être faites aujourd'hui pour les persuader de quitter leurs demeures.

Les pontonniers sont occupés à sauver le mobilier et certains objets appartenant à ces familles.

Les pontonniers suisses ont vaillamment travaillé aux opérations de sauvetage.

Le gouvernement autrichien a fait appel aux troupes suisses parce que les pontonniers autrichiens ne possèdent pas de pontons assez puissants.

Le projet de réforme

de la Constitution libanaise Beyrouth, 29 septembre (dép. Havas.) Conformément il ia loi constitutionDé Ho de 1926, le Parlement libanais se réunira au milieu du mois d'octobre pour sa deuxième session annuelle. Il se trouvera saisi par le gouvernement libanais d'un projet de loi apportant des modifications à l'organisation et au fonctionnement des pouvoirs publics. Les deux Chambres actuelles seraient fondues en une seule Assemblée. Les membres nommés par le président de la République libanaise, qui aujourd'hui constituent près de la moitié du Sénat, ne formeront plus qu'un tiers de la nouvelle Chambre. Les ministres ne seraient plus individuellement mais solidairement responsables devant le Parlement. L'initiative en matière d'augmentation de crédits serait réservée au gouvernement. Les modifications à la Constitution peuvent actuellement être décidées par les Chambres réunies statuant à la majorité des deux tiers des voix. A l'avenir la Chambre unique aurait à demander au gouvernement la majorité simple la présentation de dispositions nouvelles qui auraient lui être soumises dans le délai de six mois. Au oas où le gouvernement estimerait qu'il n'y a pas lieu de modifier la Constitution, il pourrait faire procéder à de nouvelles élections. En dé pesant ce projet de loi, le gouvernement libanais s'est efforcé de donner satisfaction au vœu de. la population de voir notamment réduire les dépenses publiques et obvier aux longs retards qui ont précédemment marqué le vote du budget.

mr DU PHYSIOLOGISTE HOLLANDAIS EINTHOYEK Leyde, 29 septembre (dép. Havas.) Le physiologiste connu, le professeur Einthoven, qui obtint le prix Sobel en est décédé à Leyde, à l'âge de soixante-sept ans.

DEMPSEY EST GÉNÉREUX U donne 72.000 dollars à son manager qui, parfaitement désintéressé, n'avait jamais rien accepté de lui

Un message British United Press de N«\v-York annonce que Jack Dempsey vient de remettre 'à son manager Léo Piynn un chèque de 72.000 dollars, en reconnaissance de l'aide qu'il lui a apportée pendant ses diverses périodes d'entraînement et du désintéressement dont il a fait preuve.

L'ex-champion des poids lourds a révélé, en effet, que son manager n'avait jamais voulu accepter de lui la moindre rémunération.

On découvre dans l'Oise les restes d'un soldat français Clermont, 29 sept. (dép. Petil Parisien.) En labourant son champ, au lieudlt les Lassis à Frestoy-Vaux, M. Louis Prévôt, cultivateur, a mis au jour les lssements d'un soldat français tué penNew- York. \1. John Ford, frère de M. Henry Ford, l'Industriel, est mort à Ybge de soixante-deux ans.

Belgrade. Les manœuvres d'autamne de l'année yougoslave ont commencé.

L'ATTENTAT

DE JUAN-LES-PINS Des témoignages établissent comment le trio arrêté et le chef de bande en fuite, Malaspina, l'ont préparé et commis

Golfe-Juan, 29 sept. (de not, env. sp.) La nouvelle selon laquelle l'anarchiste Italien Ballarin aurait été arrêté à Lyon, à la suite de l'attentat de Saint-Ramb'ertl'Ile-Barbe. a jeté l'émoi toi. Ballarin, en effet, habitait les régions antiboise et niçoise.

Il ne faut pourtant pas croire que la région de la Côte d'Azur ait la spécialité d'être 1 fréquentée par les dirigeants des groupes anarchistes ou extrémistes. Toute région frontière attire forcement quantité d'indésirables et, ici, il y a des lotissements nombreux en raison de l'Immense développement pris par la construction.

Les auteurs présumés de l'attentat du dancing « Neptune » sont, en effet, ou peintres au pargueteurs, travaillant assez régulièrement. Quant au valet cl? chambre Pninchini, il quitta, it y a plusieurs mois, sa place, s'étant blessé, volontairement croit-on, et étant, depuis lors, payé par une assurance contre les accidents du travail. Coïncidence un vol de 6.000 francs avait été commis un peu avant le départ de l'anarchiste. Son auteur n'a pu être découvert. Franchini Hssistaif, avv.-c ses amie Simonsini. Toricello et Malaspina, à une réunion dans laquelle il fut déclaré que l'on ne danserait plus il. Juan-les-Pins.

L'enquête sur l'attentat ne fut faite sérieusement que lors de l'arrivée du commissaire Castaing. Il était un peu tard. Toute trace du passage des bandits était impossible à relever dans un endroit où des centaines de curieux avaient circulé. Malaspina fut relâché. Or le retour du commissaire Castaing, lundi dernier, devait produire le résultant que nous connaissons, c'est-il-dire l'arrestation ferme des trois Italiens, tandis qu'un mandat d'arrêt était lancé contre celui que la police considère comme la iéte de la criminelle association.

Des témoignages nouveaux et très nets, sur lesquels il n'y a pas à revenir en effet, ont été obtenus. Gagnant il pied tranquillement la voie ferrée, les quatre anarchistes arrivèrent près de la brasserie « Neptune à Juau-les-Pins. Toricello, secondé par Simonsini, alluma la mèche d'une bombe grossière, mais d'un effet foudroyant, tandis que Malaspina et Franchini faisaient le guet, l'un regardant vers Cannes, l'autre vers An- tibes. L'engin jeté, ils s'enfuirent et prirent deux routes différentes avant d'arriver à Antibes.

Quant à la façon dont ils se procurèrent l'explosif, elle est malheureusement des plus simples et laisse loin derrière elle l'histoire rocambolesque de caves secrètes ou d'automobiles mystérieuses. Plusieurs entrepreneurs de la région ont l'autorisation de posséder d'importantes quantité d'explosifs avec tout ce qu'il faut pour s'en servir.

Ces explosifs peuvent être volés, et Us l'ont été. Il ne faut pas chercher ail-

Le commissaire Castaing est parti cette nuit pour Marseille, où il doit conférer avec les autorités judiciaires, puis il reviendra demain ici. En attendant, les commissaires Ségur et Borrachini et les inspecteurs Roustan et Mcrours recueillent d'intéressants témoignages sur les gens suspects vue dans ta nuit de l'attentat sur la voie ferrée. Il semble prouvé que Malaspina aurait été à la tête de l'expédition. Le chef de bande aurait gagné ensuite Paris par l'express de nuit.

De nouvelles constatations ont été faites sur la voie ferrée à Golfe-Juan. Le tronçon de rail et les débris provenant de l'explosion de samedi dernier sont arrivés à Nice. Les inculpés ont choisi comme avocat. M" Bonltaoio, du barreau de cette dernière ville. Ils ne semblent nullement vouloir entrer dans la voie des aveux. Comme je le disais hier, tous ont fait prêtée de courage dans différentes circonstances. A Ancône, i»otaminent, Franchiri, monté avec trois autres terroristes sur une automitrailleuse, sema la panique et massacra des fascistes. Deux de ses compagnons furent tués, tandis que lui et son complice parvenaient, à s'enfuir. Les inculpés n'avaient pas de papiers en règle, et l'on comprend difficilement leur séjour dans la région. Si les expulsions tant demandées sont faites rapidement, tout rentrera dans le calme. L'ÉNIGME DE CHATELLERAULT «Tentative de suicide», affirme la jeune fille qui appelait au secours.

Châtellerault, 29 sept. (dép. P. Parisien.) Nous avons relaté hier que des cris avaient été entendus sur les rives de la Vienne au barrage de la Manufacture d'armes et que l'on avait découvert sur la berge un bas et un chapeau de paille de jeune flUe. L'hypothèse d'un crime avait été envisagée. Mais, aucun corps n'ayant été trouvé ni dans le fleuve, ni dans le bassin vidé, NI. Valentin, commissaire de police, acquit la conviction que la « victime avait réussi à se tirer de sa situation.

Les enquêteurs, en effet, parvinrent à identifier. celle qui avait abandonné sur le perré les objets trouvés. M, Valentin promit à la jeune fllle de ne rien révéler et elle a déclaré qu'elle avait décidé de mettre fin à ses jours. Mais on peut douter de cette allégation, et croire qu'il s'agit d'une aventure qui pourrait entraîner une inculpation. Le parquet de Poitiers est saisi.

Une jeune Polonaise arrêtée à Gailion pour vol d'argent et de bijoux à Paris Rouen, 29 septembre (dép. Petit Paris.) Un commissionnaire en marchandises, M. Stanislas Smolenski, cinquante et un ans, demeurant à Paris, 52, rue de Paradis, avait pris comme bonne le 6 septembre dernier, une polonaise, Siemskova Kazumera, vingt et un ans, qui réussit à gagner la confiance de ses patrons.

Se trouvant seule mardi dernier, elle avait dérobé 3.725 francs et 7.000 francs environ de bijoux, puis avait disparu, Mais, une perquisition dans la chambre de la fugitive ayant amené la découverte d'une enveloppe portant I'adresse d'un habitant de Gaillon, M. Smolenski se rendit dans cette commune et avertit la gendarmerie:qui a arrêté la Polonaise au moment où elle se disposait à prendre le train pour Mantes elle possédait encore les bijoux et 1.765 francs. Elle a avoué le vol son ami, qui avait reçu 50 francs, a été également arrêté. Tous deux ont été mis à la disposition du parquet d'Evreux.

DERNIÈRES NOUVELLES SPORTIVES BROCK ET SCHLEE VONT ACHEVER EN AVION LEUR TOUR DU MONDE San-Francisco, 29 septembre (d. Radio.) Les aviateurs américains Brock et Schlee sont arrivés aujourd'hui à SanFrancisco, à bord du vapeur japonais Koroa-Mnru, sur lequel avait été également embarque le Pride-ot '-Détroit. Les hardis aviateurs ont annoncé leur intention de se rendre de San-Francisco à Détroit par la voie des airs.

M. Georges Ducrocq, ancien directeur des Marches (le l'Est, est mort au château de Mores1, près de Yaney.

Au cours d'une représentation à Bordeiiuj, le tuklr Taruh bey abandonne la scène les spectateurs sont remboursés.

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

Un maçon fait une chute mortelle

dam la cathédrale de Soissons

M. Jean-Uaptlste Mtchelvn, âgé de soixante ans, ouvrier maçon, occupé aux trnvaua de restauration de la grande nef de la cathédra;p de Soissons est tombé hier soir d'une hauteur de dix-rmuf mètres sur les dalles et s'est tué nrt.

Blessé par on c chauffard

Sur la route de la Fère à Urvlllers, un pléton, M. Henrl Druenne, quarante nns, manouvrler, a été renversé par une automoblle dont le conducteur aprf-s 3'être arrêté quelqnes Instants, disparut, abandonnant la victime, Celle-ci n été relevée par un autre automobiliste qui la transporta à l'Hôtel-Dieu de Saint-Quentin. M. Druenne avait la clavicule gauche fracturée et était fortement contusionné, en diverses parties du corps.

Disparition d'nn j«toe garçon

Un jeune garçon de douze ans, Casimir Lewandowskl, dont le père. Polonais, est berger chez !tf. Sebüne, à MontescourtLizerotlcs a disparu du domicile de ses parents depuis quelques Jours. Voici son signalement cheveux blond foncé, vêtu d'une culotte en velours foncé, veste noire et chaussé de brodequins noirs à lacets. HART. M. Eugène Quennouelle a été élu adjoint -ma maire.

JUSSY. Tandis que Mme Arpigny-Lefèvre. trente-trois ans, arrachait des pommes de terre en plaine, un Individu se jeta sur elle et la violenta, malgré sa résistance. Puis, comme une personne accourait aux cris de sa victime, 11 prit la fuite vers les bois de Frlfres-Falllouel, où les gendarmes l'appréhendèrent dans la soirée. C'est un Portugais nommé David Ollveira M»ïa, vingthuit ans, maçon, sans domiclle. Il a été «Seront1

SOISSONS. A partir du 3 octobre, le prix du kilo de pain sera tixé à 2 fr. 10. La ville en autorisée il acquérir du département, moyennant un franc le mètre carré, une partie du grand séminaire comprenant un parc et un Jardin potager, a charge par elle de lul donner une destination publique à perpétuité et de faire son possible pour mettre au jour les ruines d'un théâtre romain découvert dans le parc.

C'est à la suite d'une protestation du conseil municipal que le conseil général est revenu sur sa première décision portant la même cession a francs le mètre carré. EURE-ET-LOIR

Noces de diamant

M. et Mme Paul Duvergé, âgés, le mari, de quatre-vingt-deux ans et la ranime du ails. anejens cultivawurî

il l'runay-le-Glllon, leur commune ¡¡¡¡talc. qu'ils n'ont jamais quittée, ont célébré, hier, leurs noces de diamant.

Les heureux jubilaires, qui sont en excellente snnté, ont assisté, le matin, il la messe dite il leur Intention, puis ils ont présidé un repas qul, rèunlssui: leurs en- fants, petits-enfant-. aTrièrc-nctlts-enfants et les nombreux amis qui avaient tenu à présenter aux époux leurs félicitations et leurs vœux.

CHARTRES. Près du Pont Saint-Vincent, une collision s'est produite entre l'automobile de M. Roublnet, expert, et la voiture attelée de M. Hnet, maréchal, rue des Vieux-Capuctns. Ni. Guértn, demeurant Il Chamblay, qui 3ci'ompaynajt _M. Huet, a été blPi-sé il la tête.

THIMERT. Un bébé de neuf mois, Pierre Godet, dont les parents habitent le. hameau de Hanche, est tombé daus une mare où sa mère était occupée Il laver et s'est noyé. OISE

AVRECHY. Les gendarmes ont arrêté trois gars de batterie, Louis Dumond. Lucien Paqulen et Justin Edouard, qui mettaient en coupe réglée les clapiers de leurs concitoyens.

HILLANCELLES. Un Incendie s'est déclaré, au hameau de Mandres, dans la ferme de M. Marée) Grésil. La plupart des bâtiments ont été détruits. On attribue le sinistre à un court-circuit.

WACQTJEMOULIN. On a dérobé la nuit dernière les vases de cuivre qui ornaient le monument aux morts.

SEINE

Trois cambrioleur» arrêtés

Un trio de cambrioleurs, qui a commis. Il y a une dizaine de jours le cambriolage de la salle des ventes du Raiocy, et qui a opéré' dans les banlieues Est. Sud-Est et en Seine- et-Oise, a été arrêté par les inspecteurs du commissariat de police de iV'oisj'-ie-Sec. Les' trois Individus sont domtctliés a Paris Oscar Boinquet, vingt-six ans" 108, rue de Montreuil René Dupré, vingt-quatre ans. t6, rue des Haies,,et Charles Vandewyser, j vingt-cinq ans, 16, rue Lesagu.

L'accordéon du cousin

M. Marcel Hertz, demeurant 30, place de l'Eglise, à Pantln, possédait un accordéon qu'il avait payé francs. It avait aussi un cousin, René Heurtauî, de- ? mourant 3, rue Gapron, Il ParL, déjà con- damné pour vol. Il commit l'imprudence, Il' y a six semaines, d'héberger, pour une nuit, son cousin. et, le lendemain, le précieux Instrument avait disparu.

Après de longues recherches, l'inspecteur Combat, du commissariat de Pantin, a réussi à retrouver l'accordéon et son voleur. Celui-ci» a été envoyé au dépôt.

Uae meison détrnite par le feu

Un lncendie a éclaté hier. vers heures, dans une maison en bois, éUiflée 116, GrandeRue, au Pré-Saint-Gervais, et appartenant à M. Etienne. Malgré l'intervention des pompiers de Paris. la maison a été complClement détruit*1. Les dégâts dépassent 50.000 fr. SE1NE-ET-OISE

Le feu dans une scierie

Un Incendie s'est déclaré. la nuit dernière. à Pontchartraln, Il la scierie Pascal, et, malgré les secours aussitôt organisés, a détruit toute une partie des bâtiments. Les dégâts sont évalués il 200.000 rrancs. Remersé par uee locomotive

En traversant la vote ferrée fi Metilan, un employé de clicmln (le fer, M Denis Cautil, vjnyt- trois ans, dcmpurani $ xézy, a élé surpris par une locomotive haut le pied. Très grièvement blessé, il a été transporté a l'hôpital de Saint-Germain où son état a été jugé désespéré.

Les vols de 6ls téléphoniques

Un niiuveaii vol de nia-- téléphoniques a été commis, la nuit dernk're sur la grand' route, à trois cents mètres de la géndarmerle de nolssy-Snfnt-Légrr, des malfai- teurs ont coupé liuB lîls sur une longueur de six cents mètres,

Tué par tm train

Au passage à niveau de la gare d'Aubergenvllle, un voyageur, M. Jean Gosstn, cln- quante-trols ans, administrateur de îoclété il Kllsabethville, a été tamponné et tué par ua train.

BEZONS. Pour vols de pièces détachées et de six cents kilos de plomb à l'usine de l'Ouest- Lumière. à Bezons, les Bendarmen ont arrêté cinq chiffonniers, les nommés Henri Dégoutte. Ettenne Debraine, Henri Dufour, André tîmchembled et Raymond Mauraiet qui ont été mis A la disposition du parquet de Versailles.

VERSAILLES. Programme des séances du Cercle d'escrime versaillais dans le courant d'octobre

Dimanehe 9, il 9 heures du matin, rappel du Petit Parisien (septembre) dimanche 16, 9 heures du matin, i' tour du eiiallens-e Pé- rinard dimanche 9 heures du matin. 61 tour du challenge du Petit Parisien samedi il 8 heures du matin, brassard d'honneur (section messieurs) dimanche 30, à 10 heures du matin, brassard d'honneur (section féminine).

LES COURSES HIER A ENGHIEfi. Les ré»ultat» PSli DE LAX BELLE

<Steepie-chas«. fr. 3.700 m.) t. Vigo (L. Niaurtot) 8t 43 50 Il M. André Piraube P 29 2. Plouvaln (J.-U. i.assus) P13 7 3. Trait d'Inlon (C. Joilier) t> 'X 16 50 4. l'illDoiseau (G. Lester). Non placés Hrougtnm (J. Léger); Le Mont Escal (F. 1 Uau'llnet) Marcellus (A. Kaliey); Mikaël (U. 1 Juge); Pardaillan (Bagnlao-d). 3 long., long., long.

PRIX DE LA DHUYS

(Hales, naiidicap. fr. 2.800 m.) 1. Surya (F. Gnuilinet) O M tu 50 Chevalier Ernest (Petit) P 38 13 3. Vieux Fort (L. Niauaot); 4. Hoyate Favorite (C. Jolner). Nnn placés Partner iA. Kalleyi; Hoyal Danseur (F. Romain). j i long., 1 ion?., 2 long

PRIX QUAND MEME

(Steep/e-cftase. f5.000 rr. 3.400 m.) à Mme M. Cliipaull P 26 OU 15 50 2. Beau Dragon (F. Daguerre)P 50 20 50 3. Majostlc (L. Mauriot) 14 50 4. Bandit! (Iid. Haes). Non placés Lao.j médon (R. Uagntard) Bypo (G. Juge) l«efin (R. petit); Monsieur d'Ypros (G. Lester);i 'Papyrus (R. oilo) Villefranche (P. Sentier). 0 loag.. 2 long.. 1 long.

PRIX DU BEAUVAISJS

(Hales. francs. S.800 mètres.) 1. Mirâmes (Fruhiusholtz) G 143 » 55 50 a M. Kd. Vcll-Picard 42 50 18 2. Rameur (R. liagniard) 66 50 36 3. 3. Flambean III <n. Lock) 32 50 12 4. Le Valet de Cœur (P. Sentier). Non placés Thunderbolt (L. Naudiot) Nebuna (Dornaletche); Grugeuse (Belmondo), arrêté; l'impaloiira (G. Lester); L'Intrépide (Gaudimu); Côte d'Or (J. Luc); Domanial (H. Sovues), arrètfi; Fontenille Doumen)Poupette (P. Rloiroi; Philosopher (Delrarsuid); Digne Ami (C. Thomas); Pétrel (I.-B. lassus); Sibérie (Legrandl; Yament (C. Jolner). 2 long.. 3 long.. long

COURSE DE BUES D'AUTOMNE

(40.000 francs. 2.50D mètres.)

1. Honag (L. Barré) G 125 50 57 50 il M. James Schwob P 35 • 14 2. Trirfuum (A. Kaliey) P 21 -Il 3. Poppy Day (P. Sentier) p 19 > 9 4. Prétendant (R. Tondu). Non placés: Le Caprice (A. Cerez); Llght Shlp (F. Daguerre); Hanniual (C. Jolner); Trocadéro (Fnibiushoitz); Philosophe Il (J. Luc); Malvoisine (A. Ptchard); Lady Helion (Lester). long., 1 long, de long. PRIX DU VERMANDOIS

(Steeple-chase, hand. fr. 3.500 m.) 1. Matz (J. Luc) 48 30 Il la comtesse de PérlgDy.P 17 9. Banco (Ed. Haës) 21 9 50 3. Fondouk (A. Kaliey) 16 8 4. Chitnhoraxo (Fruliinsholtz). Non placés Sizain (F. Romain); Ratlssoire (G. Lester), tombée; Se Souvenir (Bagntard); Spectateur (P. Sentier). 2 long., 10 long., ne lonar.

PRIX ELFE

(Trot attelé. 7.000 francs. 2.300 mètres.) t: Bravo l'Espoir (E. MarIe).G 1750 Ni. E. Lepeut P 13 50 9 m ̃i. Alerte Il (Bulhion) P 93 50 3. Harletta (Souohon) p 50 » iii 4. Aristol (Goupil. Non placés: Venise 111 (Henacque) Allcanthe III (Marchais); Azur (G. Amar); VUllers Marmcry (Gouin); Alrrert Du Moulin (C. Tiiériat); Arlano WUkes (B. Koch); Amltlé (Zimin). Durées: 3'3' 2/5; 3' 29"; 3' 29" 2/5. Réduction au kilomètre: 3'

AUJOURD'HUI A M/ ISONS-LAFFITTE h. MONTES ET PARTANTS PROBABLES

Prix du Mançanares, à vendro aux encuères, fr.. SWO m. Inrcrno 61 (J. Wink̃ neld); Rhéteur 61 (G..Martin) Skylaa 59% (G. Durerez); Lady Cllfden Wfi (A. EsKng)Bergues ôîua cm. Brunet!; Rejane 59% (A. j Shar-pe); Ortolan 59 (>i. Allemand); Liberallty fM-Thomas-Moret) Elue Blrd 59 (G. Jouvin): Le Bcsneray (R. Ferré); Suntise (E Cùancelfcr} .VfafirouKa 55V> CG. Garner); Loute (D. Guiho); La Vive (H. Mars!)); Tanaquil (C. Diez); Embeauté 5ôl£ (M. Dalré); Bombance (F. Hervé); Caravane (R. Sauval); Madrina 55% (C. Bouillon); Scarabée d'Or 51 (G. Kréel); Red Wood 51 (A. Klsensohm- Petit Poucet Il 51 (E. Gardnerj Sybllle 49% (G. Vatard); Miss Nell 49% (G. Vatard) Gypsle 40% CR. Coumenges) Minouche 49% (A. Palmer); Doucette (A. Paris); Mousqueton II (E. Goldiat; Prince Barbare 47 (R. Breton) Autobus (P. Marris); Hyosolys (J. Frigouli Gaud 45% (Garcla) Topsall 45% (R.) La Hotte II 45% (Denton) Dona Marie (J. Lachaul) Pertheville 45% (,NI. Bég-uirlstain) Gualeguay 45% Prix de l'Hudson-Rlver, fr., t.400 m. U Cavale 5i% (G. Garner); Altlsslmus 54 (C.-H. Semblât); Cornwall 54 (E. Gardner'- Le Canderquet Si (G. Vatard-); Saint Louis 51 (X..J; Vieux Rctrain r,{ (F. Hervéi; Eleveur S4 (A. Uabne) La Bplote'ô2% (H. Brierrei- Ariette II 52% (E. Bottequin); Bezet Bé (E. Chancelier); Courageuse 52% (J. Vfi^fleM) liosnes (C.Diez).

Douteux Vent Debout 54 (X.).

Prix de la 6teuse, a vendre aux enchères, 10.000 rr.. s.mo m. Clown Prince (R. Ferré); Jeu d'Esprit (T. Dutm); Ibérie 57 (C. Andrews); Charrua 56 (D. Torteroio)- Triton 55 (H. Bontcmps); Marco Il 55 (F. tan-tf); Rioécourt 55 (J. Péroni); Azect 55 (J. VVlnktield); Keïdany (E. Chance.lier); Morning Sun 53'i (E. Doumen); Vallée Heureuse 53 (G. Duforez) Brutus (C.-Il. Semblât); Joker 52 (C.-H. Semblât); Lcrlot V 52% (P. Férat): Pagode 51 cm. Oenton); La hude d9 (M. Dalré): Irish Luck ̃10 (C. niez); Rrlarée io (A. Woodland); oza ̃S7% (F. Garcia).

nout?ur Sita i7% (L. Ylncent).

Critérium de Maisons-Laffitte, r/).000 fr t.300 m. Roadouga 53% (W. Lister): Hervé 53 Semb,lat); Motirad 53 (J. WHikneidi; Tailvp-u 53 (F. Hervé); Eleveur 53 (A. Rabt>e>; ̃\stir 53 (1I. Allemand); Lilybee 51% (F. Gar';ta): Coriandre ;c. Bouillon); Rro<-éliande 51% (A. Sharpe); Nancucha (D. Tortevolo).

Prix du Rfcin, handicap, fr., 2.:00 m. Kim 55 (R. Ferré); Eteiray SI (R. Kaiser) 6larspal French 50% (A. Sharpei; Kheir Eddln P0% (R. Brethès); Centurion 50 (C.-H. SeinMat); La Catalane 50 (C. Herbert); Vivote ̃19% (M. Denton); Forêt Auvray (M. Dairé); Caïque 49 (G. Vaiard); Héslone 47 IG. Valard); Europa (M. Brethfs); Le Vorvan (A. Rabbe); Kiki IV 47 IF. Garria): Hermlone Il (M. Béguirlstain)- AIgrefin « (E. Tnnrnlé); Klrganelle 45 (H. ftazot); Altesse (M. DaUery); Armistice 42 (A. Palmer); Frlsco 41 (J. Frigoiil); Sita 40 (L. Vincent).

Prix du Tage, mixte, Tr., m Cranarh 63 (F. Regoli); Duvet II G4 <x.); Kikaïone 59 (F. Hervé); Blackberry II (R. Wolf); Meath 57 (M. Mag-Inot) Her'tant III (A. Esltng): Louton II 58 (C. Andrews) Etelray (R. Kaiser) Pomme d'Api 54% (G. Martin); Peira Cava 54% (R. Brpthcs): Belle Memiifre 55 (M. Allemand)- Mercurey 52 (E. Bottequin); Charrua (D. Torterolo); Valérie (Y. Dupuit), Vnuteux Ba'hllde 48% (C. Dlez).

Prix du Canigou, ?teeple-chase eross-coun try, genttemen-riders, S.OOO fr., 4.000 m. Urne 74 (M. d'Ideville); Pervenche Il 75 (N. Vérots); Sapeur 67 (M. de Bellcgarde); Augustin 07 (M. G. du Brell).

NOS PRONOSTICS

Prix du Mançanarez Ortolan, Skylaa. Prix de PHudson-River La Cavale, Ariette II Prix de la Meus,9 Charma, Vollén Heureuse. Critérium de Maisons Hervé, Broeéllande. Prix du Tago Cranach, Valérie.

Prix du Canlgou Crue, Pervenche II. Bien que son agresseur avoue la victime refuse de le reconnaître L'auteur de l'agression nommise mercredi après-midi, boulevard Victor-Hugo, à Saint-Ouen, a été arrèté hier aprèsmidi. C'est un garçon glacier, Lucien Dhotel, vingt-quatre uns, demeurant 15. villa du Cenlr<i i Saint-Ouen.

Interpellé par les inspecteurs Veiru et I.haymond, il avoua avoir tiré sur le débardeur Lenojr, parce que eelui-ci, il y a quelques jours, avait frappé un de ses camarades, père de cinq enfants, et que, depuis ce moment, Lenoir. auquel il avait infligé, dit-il, la correction qu'il méritait, le guettait, avec quelques autres individus de même acabit, pour lui faire son affaire.

Mais Lenoir, sorti de l'hôpital hier h midi, confronté avec Dhotel, s'est refusé, malgré les aveux de celui-ci. à le reconnaître pour son agresseur.

Dhotel u été envoyé au dépôt par M. Cauquelin, commissaire de la circonscription, sous l'inculpation de tentative de meurtre.

Un habitant de Villemomble

gtièvement blessé au cours d'une chasse Evreux, septembre (dép. Petit Paris.) Au cours d'une partie de chasse, près de Nonancourt, M. Alexandre • Fresné, maroquinier à Viilemomble. a été blessé d'un coup de feu au bras droit, qui t dû être amputé.

APRÈS L'ASSASSINAT

DU VICE CONSUL D'ITALIE A PARIS

Une perquisition opérée à Saint-Etieun ne semble pas aroir donné des résolut» importants Saint-Etienne. 29 sept. (dép. hefit Par.) Sur mandat du parquet de la Seine, la police stéphanoisc a pcrquisitiunné, hier sair, rue Balay, chez des militants étrangers.

Cette opération de police aurait été motivée par la nouvehe que le militant italien di htodugno, qui tua le viceconsul d'Italie à Paris, a travaillé à Saint-Etienne et faisait partie des collaborateurs du Carrière d'italla, qui s'imprime rue Balay, à Saint-Etienne. On dit aussi que le revolver du meurtrier aurait été acheté à SaintEtienne. Les antifascistes stéphanois protestent contre les opérations. policières effectuées cllez eux.

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COURRIER DES TP S £̃ AMATEURS DE 30 septembre.

LES PRINCIPALES

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ECOLE SUPEHIEUHE DES P. T. T. (458 mètres, 0 kw. 5). 14 h., Symphonie (Beethoven) Badinage (301, gel;) Grisetldis (Massenet) ta Damnation de Faust (BerHoz) Scènes napolitaines (Massenet). 18 n., Radio-Journal.

20 h., chroniques diverses; concert. TOUR EIFFEL m., 12 kW.). 18 h. 45, M. René Pinon « Les événements politiques »; M. René Sudre La science qui se rait »; M. Paul Dermêe Le courrier littéraire »; M. Ph. d'Estallleur-Chanteralne « La vie internationale •. 20 h. Don Juan (Mozart); Tambourin (Jean-Marie Leclair) Muet aveu (R. de Francmesnlt) Une blanche lueur (Joseph Gilles); Symphonie inachevée, premier mouvement (Schubert); Eternelle histoire (Il. de l-'rancmesnil) Berceuse (Paul mcourt) Symphonie inachevée, deuxième mouvement (Schubert).

h. 15, M. Théodore « Les problèmes démographiques en Europe »; M. Léon Hafrner: « Scènes de la vie maritime du temps passé »; Mme Bonfante « Histoire des savants M. André Detarout La Jeune poésie contemporaine •; M. Jean Scherrer, Ingénieur: Les nouveautés de laT. S. F. ̃; Me Petltot-Cartellier Conseils de droit pratique »; M. Max Reyna Conrs d'automobile ».

R\DIO-PARIS m., 3 kw.). 12 h. 30, eoncert. 16 h. 45, Jazz. 20 h. 30 les Chantons de Béranger (Cartlyny) Freischills (Weber).

RADIO-VITUS (322 il.). 21 h Grotte de Fingal (Mendetasohn) Werther (Massenet) l'Invitation à la vatse (Weber- Berlioz) Romance du Concerto pour violon (Lato); vlarche aux flambeaux (Meyerbecr) Ma poupée chérie (Déodat de Séverac) Saphn (Massenet) Denvenuto Cellini (Dlaz) Air de Patrie (Paladllhe).

RADIO L L (370 m.). 21 h. 30 le FretschUts (Weber) Un peu d'amour (Sllesu) le ballet do Faust (Gounod); Amina (L1ncke); Si mes vers avalent des ailes (R. Hahn) arloso de Denuenuto (Diaz) la Navarraise, sélection (Massenet) liapsodie slave (Volpatti) La Cinquantaine (G. Marie) Sérénade en si bémol (Widor) Chanson hindoue (rumsKy-Korsakow) Chanson perpftuefte (Chausson) Héves (Wagner).

RADIO-AGEN (310 m., 0 kw. 480). 20 h. 30, la Fille du tambour-major (Offenbach) Océan d'amour (L. Gregh); Sérénnde toscane (Huutly); Sous la fenêtre (Ackermans) Deuxième Sonate (Vivaldi) Danse égyptienne (Ganne); Idylle (Haydn); Sérénade à m'amie (M. Narren); ln Hong slreet (Fr. Humphries); Lohenqrin (Wag-ner). RADIO-TOULOUSE (392 m.. 3 kw.). 10 h. 15, Préludes 4, 5 et 6 (Chopin). b. 30, la Higolomanie (Plccoclllnl). Otd fashioned love (C. Dlack) Au bord du Zaïre (E. Marti) Tango ae la Verbena (P. I.acôme) Ses grands yeux (A. Niénardt) Danse tyrrhénienne (E. Montagné); Parysatis (C. Saint-Saëns) la Joyeuse (H. Maréchal) Aphrodite (E. Fllippiicci) Mignonne (L. Lemaltre) Sérénade berceuse (H. Lucciant); Laring (Norvowlcskl). 14 h. 15, retransmission de Radlo-Agen. 17 h. 20, causerie automoblle û'Omnia le Rieur (Chandoir). 20 h., la Bichette (Manuel Puig). Cosi fan tutle (W. Mozart) air de Persée; Menuet du Bourgeois gentilhomme (HiUI) Fantaisie en forme de danse (Aymé xunc) Barcarolle la Truite (F. Schubert) la Walkyrie (R. Wagner) Pièce en forme de habanera (M. Ravel) Fuibandisch (Max Britck) Toréador et Andalouse (A. Rublnsteln) Suite bergamasque (C. Debussy) Sur la Giralda (J. Turina) Prélude du Passant (E. Paladilhe) le Roi des Aulnes (F. Schubert) Pour un seul mot d'amour (D. Rulli) Poupée jolie (Plttalnga).

.E7 ÉTRANGÈRES

ANGLETERRE. L 0 n d r e s (361 m. 4, 3 kw.). Dnventry (1,600 mètres. 25 kw.). 12 h. Sonate en fa (Brahms); Sonate en fa (Porpora). 12 h. orgue

bémol (Chopin) Pièce héro'ique (C. Franck) 20 Il. 15 Sérénade eu soi (Mozart) Sonnez t'alarme, Judas Macchabée (Ha)ndel) l'Après-midi d'un faune (Debussy) Enirée des invités il là Wartburjj, Tannhœuser (Wagner) Coriotnn, ouverture (Beethoven) la Foire ae Brigg, rapsodie anglaise (Dellus); Faust (Liszt). Daventry (491 m. 8, 30 kw.). 15 h., Pacan (Harwood); le Temps des lilas (Chausson); la Princesse endormie et Dissonance (Borodine); Berceuse (Ferrarl); Prélude et fugue en si mineur (Bach); chansons; Troisième chorale en la mineur (Franck). 18 h. 45, Marche militaire (Schubert) Marie-Rose (O'Nr>lll) Tambourin (Hameau); la Fille aux cheveux de fin (Debussy). 19 h., choix de chansons Hav.sel et Gretel (Humperdlnck) Je l'aime (Grleg); Moment musical (Schubert); violon Mélodie hawaïenne; Prélude et mouvement vif (Pagantnl); Pofonaise en la (Chopin); les Belles de Yauxhall, opéra romantique en deux actes (H. Oliver).

IRLANDE. Dublin (319 m. t, 1 kw. 5). SO h., Felsenmiihle (Reisslnger) 1'Heure immortelle (Broughton). 20 h. 45, Guülaume Teft.

HOLLANDE. Hilversum m., 3 kw.). 17 h. 10, concert. 19 h. 50, musique de chambre

ALLEMAGNE. Bertin 1 (483 m. 9, 4 kw.). Berlin Il (566 m., 1 kw. 5). Kœnigswusterhausen (1.250 m., 8 kw.). 20 h.: soixante dixième anniversaire de Sudermann. Langenberg m. 8, 25 kw.). 13 h. 10, concert. so h. 45. Wasif et Akif, pièce turque, musique de Knelp. Francfort- sur- le- Mein (428 m. 6, 4 kw.). 20 h. 15, l'Honneur, pièce de II. Suderonaivn. Hambourg (394 m. 7, 4 kw.). 20 h.. Das Gluck im Winckel, pièce en trois actes de H. Sudermann.

BULLETIN COMMERCIAL MARCHÉ AUX BESTIAUX DE LA V1UETTE Hausse aux 100 kilos. viande nette, de 10 à 20 francs sur les gros bestiaux veaux sans changement baisse do 10 il 20 francs sur les moutons; hausse de 10 francs sur les porcs.

Entré» diretlMlEîsm. manlw

Vaches 5 I27j 741 j 220 Taureaux 210 T.v.

Veaux. 81 907 90 Moutons 12.421jl.500 2. 7M 176 2.080! 700 Coan officiels 1", 2', 3' qualités officieux extra Dululs B.20 7.40 6.00 8.40 5.04 VacUe* 8.20 7.20 6.90 8.50 5.10 Taureaux. 7.b0 8.60 6.00 8,oo 4.80 Veaux 11.60 9.60 7.50 13.10 7.86 MOUtODS 14.60 10.60 8.50 16.00 8.00 Porcs. 11.86 10.70 8.00 12.14 8.50

On cote aux 50 kilos net cours officieux d'ouverture

BobuIs. Animaux de premier choix limousins, manquent; normands, 400 il 420; blancs, 400 Il 420; gris. 380 a 405; inamicaux, a 405; qualité ordinaire manceaux anglaisés, 350 il 37U; charolais et nivernais, 360 il 385; chotetais, nantais, vendéens, 350 t SÎ0; sortes de fournitures, à 340; viande à saucisson, 150 à 200.

Vaches. Bonnes génisses, 400 à 430; vaches d'Age, 330 Il 380; petites viandes de toutes provenances, 270 A 300.

Taureaux, De choix, 340 380; qualités “• entre deux, 260 à 345.

Veaux. De choix Brte, lieauce, Gattnais, 560 il qualité ordinaire, 5to a champenois, 550 il manceaux, 540 k 585; gournayeux et picards, 530 à service et Midi, 450 k 600.

Moutons. Premier choix, 700 Il 750; Nvernais, 730 il 790; Dourbonnais et berrichons, 720 il 790; nlblgeois, 650 & 700; limousins, 540 A 590; ariégcots, agenais, toulousains, 475 & africains, 430 Il 470; agneaux, à 815; brebis, 475 il 500.

Porcs (le kilo vir) de l'Ouest et Vendée, 7 80 à 8 20; du Centre, à 8 20; limousins et auvergnats, 7 50 a 8 20; cocues, 5 il 6 30. SUIFS. Paris, 29 septembre,. Cote officielle du suif Indigène Irais fondu, 415 les 100 kilos, franco Parts.

COTONS. Le Havre, 29 septembre. Clôture il terme les 50 k!U)3 septembre, 722 octobre,, 719 novembre, 712 décembre, 714 Janvier, 710 février, 711 mars, 7t4 avrtl, 714 mai, 714 Juin, Juillet, 713 août, 712.

LAINES. Le Havre, 29 septembre. Clôture il terme les 100 kilos prix sans changement.

SUCRE. Clôture courant, et octobre, 197 198 3 d'octobre, S de novembre. 200. Cote officielle, 242 a Ri8.

CAFES. Le Havre, 29 septembre. ClOture il terme les 50 kilos septembre, 473 25 octobre, 470 50 novembre, 47050; décembre, 4M 25 janvier, février, «S 50 mars, 441 avril. 43S 25 mat, 43225 Juin, 42850 juillet, 425.

ALCOOLS. Courant, a i-'5; octobre, 635 il 670; 3 d'octobre, 650; novembre-décembre, 650.

BLES. Courant, 151, 150 50, octobre, t53; novembre-décembre, 156 25; 4 de novembre, f57

SEIGLE. sur toutes époques. FARINES. Courant, 210 N octobre, 213 V novembre- décemflre, 212 N i de novembre. N.

COURRIER DES THEATRES

Opéra, 8 h. la Valkyrie.

Français, 8 h. 30, les Affaires sont les affaires Opéra-Comique, 8 h. 30, Madame Butterfly. Odéon, 8 h. 30, la Bene Aventure.

Galté-Lyrique, 8 30, ilans, le Joueur de flûte. T.-Lyrique, 830, les Cloches de Corneville. Variétés, 8 h. Mademoiselle Flûte. Porte-Saint-Martin, S h. la Flambée. Théâtre de Paris, 8 h. 30, Azaïs.

Gymnase, 9 h., le Venin (de Bra.v, Morlay). Sarah-Bernhardt, 8 h. 30, l'Abbé et le ministre Renais., 845, l'Ecole des cocottes (Signoret). Antoine, 8 h. 45, les Yeux du cœur.

Palais-Royal, 8 30, On ne rouie pas Antoinette Marigny, 8 h. 45, Venise.

Mogador, 8 h. 30, Rosé-Marte.

Ambigu, 8 h. 45. Folle jeunesse

B.-Parisiens, 8 45, Au temps de Gastounet, rev. Femina, 9 h., Par le bout du nez.

Mlehodière, 8 h. 45, l'Enlèvement.

Athénée, 8 h. 45, Maître Bolbec et son mari. 6tadeleine, 8 h. 45, Souris d'hôtel (Spinelly). Edouard- VII, 9 h., Désiré.

Nouveautés, 8 h. 45, Un bon garçon. Châtelet, le Tour du monde en 80 jours Comédie Champs-Elysées, 8 h. 30, Knock. Grand-Guignol, 8 h. 45, la Prison du vice. Daunou, 8 Il. 45, Lulu,

Mathurins, 8 h. É5, Laqttelle 7

Comédie Caumartin, 9 h., le Singe qui parle. Théâtre des Arts, 9 h., C'est jeune.

Cluny, 8 h. 30, Ma cousine de Varsovie. Comœdla, 9 h., Mon gendre est un satyre Ternes, 8 h. 45, Trois jeunes filles. nues. Déjazet, 8 h. 30, J'marle ma femme. Œuvre, 8 h. 45, Une bourgeoise.

Montrouge, 8 h. 45. la Reine de Biarritz. Eldorado, 8 h. 30, Mariage de Mlle Denlemans. F.-Dram., 845. Ma tsnte d'Honneur (Prince). Moncey, 8 h. 30, le Cœur ébloui (Miad. Carllcr, R. Hasti).

N.-Théâtre, relâche. Samedi, Crime du Boulf. Bouffos-du-Nord, la Chaste Suzanne (op.mod.) Gobelins, 8 45, Train de 8 h. 47 (M. Simon). Montparnasse, 8 45, Dernière Valse (<3. Rêve)) -0- THEATRE MOGADOR. Pour répondre il des demandes chaque Jour plus nombreuses, les Frères Isola ont décidé d'ajouter aux matinées du dimanche les matinées du jeudi avec llosc-Marie. La première de ces matinées aura Heu le 6 octobre Il 2 h. 30. Même Interprétation que le soir. Location Gut.

POPESCO ET LOUIS VERNEUIL jouent au tlipfttrf Cluny, à partir de ce soir, dans Ma cousine de Varsovie.

-o- TERNES. 8 Il. 45 3 Jeunes filles. nues (op. traie). Camus, Rtvers cadet. -o- FOL. -DRAM. Prlnce-IUgadin dans Ma tante d'Honfleur. 3 b. de fou rire. Rld. 9 heures.

AU GYMNASE LE.VENIN

Le cher-d'oeuvre de M. Henry Bernstein, Witerrompu pendnnt l'été après cent cinquante représentations triomphales, a retrouvé au grand complet son Inoubliable interprétation, la plus magnifique que Paris ait jamais vue: Mmes Yvonne de Uray, Gaby Morlay, Yolande Larron; MM. Charles Boyer. Marcel-André. Chaque soir, un public élégant suit avec émotion les péripéties du drame et salue d'acclamations enthousiastes les admirables interprètes.

Matinées Jeudis et dimanches.

^AU PALAIS-ROYAL: ON NE Albert BRASSEUR MULE PAS Marg. TEMPLEY j ANTOINETTE etDUYALLES .111111. Jeudi et dimanche MATINEE ""̃ EDOUARD-VII –»

DEMAIN SAMEDI

Rentrée de

SACHA GUITRY

YVONNE PRINTEMPS

Pauline CARTON Alys DELONDE TREVOUX

et BETTY DAUSSMOND

DEBUT A PARIS DE

| M. LÉON WALTHER

SPECTACLES ET CONCERTS Folles- Bergère, s n. Un vent de folle. Concert Mayol, 8 Il. 30, la Ruée vers l'orgie. Palace, 8 h. 3U, Palaos aux Nues. Empire, 8 30, Clive Maleskyne et 20 attr. Casino de Paris, 8 30, Parls-New-York. Moulin-Rouge, 8 h. 30, la Nouvelle Revue. BarTa-Glan, gde rcv. Concert Mayol (Damla) Européen, mat., soir., Gtîorglus.

Pinsons, sam., dlm., lundi, mat., Sarthel. Kursaal, 2 h. 30, mat. popul. Soirée 8 h. 30. Cirque de Paris, 8 b. 30; mat. Jdl, dim., 2 30. Cirque Mèdrano, 8 30, mat. Jdl, sam., dim. Cirque d'Hiver, 8 30, mat., jeudi, sam., dim. Luna-Park, t. 1. j., mat et soir., attr., danc. Magic-CHy, t. s., bal; dimanche, matinée. Jardin d'Acclim., entrée, 2 fr.; enfants, 1 fr. Pal. Pompéien, jeudi soir, sam., dim.m. et 6. Aujourd'hui

A l'EUUOPEEN, & 2 h. 30. première représentation de la Femrne du flic et de Quend on a une langue, par le ThéâtreChant de M. Georgius.

A BA-TA-CLA. à 8 h. 30, réouverture reprise de la Grande Rentte de Mayol. -o- PALACE. Triomphe de la nouvelle revue Palace aux nues, avec les plus considérables vedettes de Paris Jenny Golder, Boucot, Spadaro, avec Hose Amy et Damia. Location: Prov. 44-37. Faut. A part. 12 Cr. -o- Au CIRQUE MEDRAKO. Merveilleux programme avec ses attractions sensationnelles et ses fameux clowns. Dernière semaine des extraordinaires phoques jon-

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Jeudi 29 Septembre

La Bourse reste ferme et les dégagements opérés en vue de la liquidation ainsi que la réponse des primes n'ont produit aucun effet sur la cote. On note, entres autres, le rétablissement marqué des valeurs françaises, notamment de nos fonds oubliée. Les banquets sont plus fermes. Les valeurs d'électricité et les produits chimiques dépassent facilement leurs niveaux précédents. Par contre, quelque Irrégularité sur les chemins de fer, les charbonnages et les sucres.

PARQUET Société MaiwIllaiBe 701 T00 MARCHÉ EN BANQUE A terme et au comptant ^rM. Fono. d'Algr.. 5(!fl S6fl A terme et an comptant Bmh. Nat. Crédit. 815.. a]5.. Omï.lbîS? 6M <*Pe OorBM Bantme do Paris.. 2000 2090 BS Cbartored 184 50 Batiq. Union Patte. 1271 1275 sSiice "IlOSO Cron-n Mnes 452 448 Compagnie Alger.. B^nn Îndo-Chïùe KWI Colombla 327 Oon>ptoir d'Esc. colonial. 760 7BO Oonconiia 2t4 232 Crédit fonder. -2C65 actions. Créa. gén. r«Str. act. 2440 Crédit Lyonnais. 2R05 fo^v 1000 fie Béera 1902 1791 Préd. Mohll. Franc. 584 M^willé 860 "I Haotcm 247 248 Société Générale.. Il.'36 ÏV.U rh-U (inmmeWtri' '15O Ha«t Hand.- Rente foncière. Fira lîïE 1460 T.strclta 227 3 Iiereituel Mi 40 5B (\5 VciérieBM-irinW (KW >'HH1CO-Wyomil».. 637 Suez ('alla] Foncière 147S 1500 nharhon Tonkiii" 12510.. Hartmann SueiCanalMirlt.. 140SO.. iwSSS 5610 Hnanehaca S95 420 Est 940 Cto ÎSnirz ¥év C1» 5W T.ianoaoB 479 I.yon 1182 AÏn??r8U-i* 1-40 1100 Malaccn, 402 407 Midi 1017 NnS OH»r rtan' 581 Malopolska actions 694 70S Orléans 1015 1010 Iet" ™rtà 885 Moiican Eagle 119 60 117 Métropolitain (MO., «il.. rt»m fer FtJi «' 2SB a<9 Mexico ol Oro Distribution 1590 1595 r.o/ ,«.« wt 3Î5 50 Monterait!™ Lens 610.. ïîl Pa<lanK Boléo K.5 vît 5"- ancien' ̃" "ft ̃ Pekiu Syndicat* t>2 e2 Etabl. Kunlmann. S»8.. BV«Si" a'w '129 Band Mines 458 45tt Phosphat. de<iafsa 1075 nÏÏ»V?î «n? 315 M2 Kay 380.. 38S Ohareeure réuoi».. 1079 10(15 omnibus 4™ ii7 Sima&y 44 43 60 Voiture» à i-aris. lOoi rhïné 5 1013 12ft0 TaBanroft 117 50 B=3«?i& S •••• «?• «»-ÏSfc: B?S i^? Bauq. Nat.Meiique 919 927 S ilt» 96 |22 B0 230 Au comptant 356S Baîin. Iran. Ottom. 1560 -le ̃<' iSS 9n 225 Ekaterlue Klo-Tlnto 4975 49W g loioô'ii'V"' 20S 5(i Vieille Montagne.. 270G 2705 Sucreries d'Egypte j }!j}| Gnwnyliwiv 391 An comptant g js« 500 «s #s%185St™: «lî»:: A: iïÏÏS* un 15 s 2e ïv'E 481 50 485 SKÎ^^ »: fe 4 19i8 477 471 Aj¥<= <«r ? .̃ï,1,910- °Ai' ÎÎS '• ^e^^ig i?> W 141 MS «nn» DES RANGES ̃z?5iSS4: Ll:: SU:: fe S:: S ::»«*̃• la 0': |Ts libéré 3S8 Belg..le3 100 duc.. 35j OnJditNaUon. 1919 455 240 Espagne 446 50 1920 493 3llS3i Hollande 1022 Ï3< 1903 277 50 ltoumanie lo 90 15 M Juin 1923 500 S 191S 385 au Vienne

irteurs. Nouveaux débuts cycliste3 Fluhcr, trio Mazzala, gymnastes les Crount, patineurs nouveau dressage de lless. Matinées jeudi, samedi, dimanche. (Tél. Trud. 23-78.) C'EST LA GRANDE RENTRÉE Aux FOLIES-BERGÈRE où les Parisiens retrouvent en6n après la pluie des villégiatures maussades UN VENT DE FOLIE Demain samedi, matinée

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Parmi les valeurs étrangères on note la hausse très sensible du Foncier Egyptien, de Pétroflna, du Lautaro et de la Banque ottomane. Le reste est bien tenu le Suez, notamment, gagne une centaine de francs à Les fonds ottomans sont très fermes. Les fonds russes sont en réaction sensible. En coulisse, le groupe sud-afrlcaln reste irrégul'.er. Les caoutchoucs sont cnlmes. On note une vive avance des pétroles roumains. La Tubize perd du terrain à

SOIT BEUE_ETJAIS-TOI disait je ne sais plus quel Pétrone à son exquise mais verbeuse favorite. La légende s'arrête là. Elle ne nous enseigne pas s'il a été obéi. Pour sa part, Balzac se permet d'en douter. Car, dit-il, « faire taire certaines gens est un plus grand miracle que de faire parler les muets » Quoi qu'il en soit, le miracle est accompli. Grâce au ciné, désormais, sans cesser toutefois d'être belle, Eunice est forcée de .te taire, sur l'écran d'abord, dans la salle ensuite. Et dire qu'il a fallu plusieurs millénaires pour que se réalise enfin le vœu de cet homme délicat Naturellement, je fais abstraction des bruits et autres symphonies, lesquels étant destinés à créer l'atmosphère et à ramener, si j'ose dire, les distraits par la main, se voient tôt éliminer par tel le tic-tac du moulin par celle dit meunier Donc l'essentiel reste acquis acteurs et spectateurs se taisent au cinéma. Bienfaisante écote de silence Et gloire ail septième. art pour cette nouvelles victoire 1.

Au début dit septième livre de sa République, Platon, inventeur du cinéma, propose l'allégorie suivante « Imagine une caverne où des hommes sont enchaînés, hors d'état de bouger, ni de tourner la tête. Ne pouvant voir au surjilus que les objets sitwh devanl eux. Derrière, à distance et à une certaine hauteur, un feu les éclaire. Entre le feu et les capti fs court un chemin escarpé, dissimulé par urce cloison analogue à celle que les illusionnistes placent entre eux et les spectateurs, afin (le dérober le secret mécanisme des merveilles qu'ils leur montrent. Des figures passent dans ce couloir, d'hommes et d'animaux, dont les ombres vont se peindre sur le fond de la caverne. » Ne voilà-t-il pas, en effet, la description saisissante d'une salle de cinému Eh bien, le grand précurseur n'a oublié qu'une chose tirer la conclusion liminaire d'une telle innovation le silence. Un ef fet, cloué de stupeur ou d'admiration, le spectateur des cavernes ne pouvait que se taire, encouragé au surplus par les ombres, qui sont silencieuses par définition! Dommage que le platonigue théoricien, mué tout à coup en « réalisateur et même en superproducteur », n'ait pas poussé plus loin sa démonstration Sans doute les destinées de son peuple, le plus bavard de la terre, en eussent été sensiblement modifiées! La face du monde également.

Je songeais à tout cela, l'autre soir, et bénissais le ciné en regardant Norma Shearer Elle était belle et, malgré d'agréables sous-titres, se taisait victorieusement. Au surplus, l'affabulation de son film la présentait « En Scène », comme une sorte de figurante destinée précisément à créer l'atmosphère de beauté nécessaire au jeu de son partenaire. Avec quel charme, quelle intelli,qence En vérité, rien ne pouvait être ajouté sans rompre l'eurythmie tant souhaitée par l'Arbitre des impériales élégances Et dire qu'il y a des gens qui rêvent de greffer là-dessus je ne sais quel gramophone 1.

MAURICE Huet.

Joséphine au t Vieux Montmartre >

La jolie vedette française, tant applaudie dans « Napoléon », a présidé les dernières fétes de la Butte, organisées par le « Petit-Parisien »

ooo

Une glorieuse vedette

Péniblement en équilibre sur deux béqullles, un grands mutilé se présentait hier aux Dureau-t de la Fox-Film, 17, rue Plgwlle, où il fut accueilli avec l'émotion que l'on devine. C'était Snlvatore Caportice, vétéran de la Grande Guerre, venu avec la section de Callrornle de la Légion américaine. Il servit avec les Marines et fut blessé trentedeux rois. Il dut subir l'amputation d'une Jambe A la suite de l'attaque du bols Helleau. Les spectateurs de l'Impérial r applaudissent chaque Jour dans An service de la gloire, où Il joue le rAle de l'officier trançats qui reçoit Flags au cantonnement et le pilote à l'auberge Dorsky.

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V c

Aux noms des artistes qui font partie de la distribution de l'Epreuve (1914-1918), Il faut ajouter celui de M. Jean Murât, qui composera un personnage d'homme égaré par une faute de jeunesse, mais qui se réhabilite devant l'ennemi.

Réalisateurs et artistes s'apprêtent partir pour le camp de Chatons, où seront reconstitués des épisofl^s de la bataille de la Marne, avec les mêmes taxis qui y prirent part et qui ont pu être retrouvés. 000

Un nouveau Mm tPUbrold Lloyd

Le sympathique artiste Harold Lloyd, rétabli de sa récente, maladie, travaille activement à sa nouvelle production dont le titre sera connu ultérieurement. L'action de ce aim i^ déroule entièrement il New-York, et récemment, au cours d'une prise de vues dnn? Broadway, on dut interrompre la circulation.

Pour l'amour du ,iel. une de ses récentes productions, va passer incessamment au Camco.

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Une fausse nouvelle

Dernièrement, nous apprenions par divers journaux que Pola Negri, la grande star de Paramount, était s>ur le point de divorcer. Erreur, les heureux époux ne aongent nnllirnciit il se qéparer.

Pola Xejrrl travaille, en ce moment à un nouvcau grand film dont le titre n'est pas encore fixé.

000

Un concours d'affiches

ré.servé eux artistes français Nous rappelons à tous les artutos que le dernier délai pour la réception des envols au concours d'affiches du théâtre le Paramouni, est irrévocablement" fixé au 15 octolire, a 20 heures.

CRITIQUE CINÉMATOGRAPHIQUE Les scènes maritimes. En plongée. Variations sor les mîmes thèmes. La 6âte de l'écran romanesque. Tandis que les événements se déroulent. La Captive de Changhaï. Une anticipation. Une note plus pacifique. La Carrière d'une midinette

Les scènes maritimes ont dominé, ces jours derniers, dans les spectacles cinématographiques. Nous avons été conduits par des affabulations romanesques, auxquelles se mêlait de la réalité dans l'exécution, des c ô t e françaises en Extrême-Orient.

Il y a au cinéma, comme au théâtre, des rencontres de sujets. Après Mare Nostrum, voici, sur un thème composé d'éléments analogues, En plongée. L'écran invite les marins à ne pas avoir le coeur

Lee Parry, qui a mis toute la séduction dans le principal rôle de la « Carriers d'une midinette »

trop inflammable ou, du moins, à ne pas l'engager aventureusement.

Un officier de marine, Maurice de Vergnes, a été sur le point d'épouser une belle étrangère au caractère fantasque. Moussia. C'est par une sorte de défi qu'elle a rompu ce projet de mariage. Maurice de Vergnes devrait bénir la destinée, qui l'a éloigné de cette capricieuse Moussia, car il est revenu à une amie d'enfance moins capiteuse, mais dont !a tendresse est sûre, Anna Guircc, dont il a fait sa femme. Entre elle et son jeune fils il est parfaitement heureux. Ce calme bonheur, cependant, va être troublé. Maurice revoit Moussia, toujours séduisante, et sent renaître en lui la passion qu'il eut pour elle. A cette passion il s'abandonne imprudemment. Mais peut-il imaginer, sous des dehors brillants, la déchéance morale de Moussia, qui est, maintenant, à la merci de l'agent d'espionnage Howell, l'employant pour ses ténébreux desseins? C'est sur l'ordre d'Howell qu'elle s'est rapprochée de l'officier, auquel elle a mission d'arracher des secrets militaires. La guerre est déclarée. Maurice de Vergnes est appelé au commandement du sous-marin la Sirènc, qui patrouille dans les parages de Brest, où Moussia s'est installée dans une villa qui domine la mer. Ses heures de liberté, Maurice le3 passe auprès d'elle. Assurément ne dévoile pas les opérations dont il est chargé, mais, par le fait même de ses absences, des indications sont recueillies qu'attend Howell et qu'il met à profit. De la villa, des signaux sont envoyés aux sous-marins ennemis. Or, à présent, Moussia aime ardemment Maurice et elle s'épouvante à la pensée que, par son abominable besogne, elle peut causer sa mort. Mais l'implacable Howell est là qui la mirveille, et c'est vainement qu'elle tente de se soustraire à sa despotique vigilance. C'est vainement aussi qu'elle essaie de retenir à terre le commandant de la Sirène quand elle sent que le danger est particulièrement menaçant pour lui.

Cependant elle apprend que la femme et le fils de Maurice sont à bord d'un transport qui se dirige vers Brest. Par leur arrivée ce sera la fin d'une liaison à laquelle elle ne peut plus renoncer. Eperdue de jalousie, elle donne; contre les instructions d'Howell, qui avait d'autres plans, le signal de torpiller le transport. Le bâtiment saute, en effet, un accident survenu à la Sirène, alors qu'elle était en plongée, ayant empêché de le préserver. Mais Maurice a repéré les signaux; il sait constatation qui ne lui inspire plus que de l'horreur qu'ils sont partis de la villa. Débarqué, il se précipite chez Moussia. et s'y rencontre avec Howell, qui, pour punir de sa désobéissance celle dont il avait fait une 1 espionne, l'abat à coups de revolver. On imagine bien que Howell sera puni à son tour par Maurice qui, après une lutte violente, finit par l'assommer. Désespéré, accablé par ses deuils, l'officier n'a plus d'autre pensée que de couler le sousmarin ennemi qui détruisit le transport c'est à quoi il réussit, mais en succombant lui-même.

Il serait bien difficile de poursuivre l'action tous les personnages sont morts

L' c Aurore >

On attend avec impatience la première do l'Aurore, le clier-d'œuvre de F. W. Murnau réalisé par la Fox-Film, dont les principaux Interprètes sont Georjre O'Brlcn et Janet Oaynor, qui doit avoir lieu sous quelquas jours au Times Square Theatre de New-York. Ce sera certainement le plus gros event » de la saison.

« »/JV\.

Pola le populafre vedette, dans cette grande production «

tragiquement. Il y a quelque inégalité dans la réalisation de ce film, mais l'évolution des navires dans la rade de Toulon ou en pleine mer présente des visions intéressantes et qu'on serait tenté de trouver trop brèves. La photographie en est remarquable. De l'interprétation se détache particulièrement M. Alcover, qui a dessiné du chef de l'espionnage Howell une figure inquiétante.

Le cinéma ne perd pas de temps pour porter à l'écran des événements contemporains et qui suivent même encore leur cours. Il semble qu'il soit un peu tôt pour qu'ils offrent le motif d'une action romanesque. Si une grande ombre pouvait être évoquée à propos d'un film, on se souviendrait du mot de Chateaubriand: « L'histoire n'attend plus l'historien; il trace une ligne, elle emporte un monde. » Les affaires de Chine sont si compliquées qu'elles se prêtent peu à une simplifica.tion sommaire. Mais nous parlions de scènes maritimes: ce film allemand a utilisé une partie documentaire qui les évoque en montrant des bombardements par des croiseurs, des débarquements de marins, des combats. Ce sont, évidemment, d'impressionnantes images, comme celles, aussi, de la rade d'une grande ville chinoise vue d'un avion. Le scénario de la Captive de Changhaï les relie tant bien que mal.

Un consul anglais, Sinclair, est arrêté par le fanatique général chinois Sing Tchang au moment où sa femme, Mary, arrivant d'Europe, allait le rejoindre. Avertie du danger que court son mari, Mary Sinclair, aidée par un jeune et entreprenant journaliste, tente de le délivrer. Sur le bateau qui l'amenait en Chine se trouvait une étrangère affiliée aux révolutionnaires. Mary se fait passer pour elle afin d'approcher Sing Tchang, qui n'est pas dupe de son stratagème mais qui la convoite comme une belle proie. L'évasion de Sinclair a été préparée, mais il tembe dans un piège. Le consul est condamné à mort. Sing Tchang ne lui fera grâce qu'à une condition qui révolte Mary et qu'elle repousse avec horreur. L'exécution de Sinclair va donc avoir lieu quand les troupes anglaises surviennent opportunément. Bataille. Sing Tchang est abandonné par les siens. a Patience ditil. Nous savons attendre notre heure! Il n'aura pas à l'attendre, cependant, car il est tué par un obus. C'est une histoire assez quelconque et qui le serait plus encore si le jeu sobre de Bernard Gœtzke, dans le général chinois, ne devait être suivi avec quelque intérêt Il est, toutefois, plus asiatique encore que les vrais asiatiques.

Le aeuui UU mui est a&sc^ jh^ciiicua. Ce sont les dépêches des journaux et, comme par une de ces anticipations du xx. siècle de Robida. le lecteur voit ces dépêches s'animer et se traduire en visions

La Carrière d'une midinctte est un film plus pacifique. L'action se passe d'abord à Paris, mais, malgré le rappel des principaux monuments de la capitale, c'est un Paris vu par des yeux étrangers. J'ai eu la chance d'être renversé par une auto, disait un pauvre diable à qui cet accident avait valu des égards auxquels il n'était pas habitué.

C'est le cas de la petite midinette Micheline, qui, blessée par la voiture que conduisait lord Arthur Chalsey, a été transportée dans le somptueux hôtel que cet imprudent conducteur habite avec sa mère. Elle y est soignée, et, comme elle n'a été aucunement défigurée, le jeune lord ne tarde pas à s'éprendre d'elle au point de vouloir l'épouser. Lady Chalsey s'oppose à ce mariage et, pour éloigner Micheline de son fils, emmène la midinette, un peu éblouie, dans une ville d'eaux. Mais elle a eu recours à un moyen moins délicat elle a calomnié Micheline en faisant croire à Arthur que la jeune fille ô renoncé à lui après avoir été gratifiée d'un chèque important.

Est-il bien utile de conter par le menu les péripéties qui ne sont pas toujours très claires, d'ailleurs de cette histoire illustrée avec quelque soin ? Chaque fois qu'Arthur que fait ce nom romantique en ce conte qui ne l'est pas ? se rapproche, toujours épris, de Micheline, il a une désillusion qui ne vient pas, cependant, de la faute de la pauvre petite n'ayant rien à se reprocher. Trompé par les apparences, il se persuade qu'elle est la maîtresse d'un peintre qui a fait son portrait. Que pensera-t-il quand il apprendra le prochain mariage de Micheline avec un certain marquis fort taré ? Mais, bien entendu, tout s'expliquera au mieux et, finalement, l'ex-midinette, appelée à devenir grande dame, aura eu de la « chance en étant jetée sous les roues d'une voiture. Jacques Vivien.

La c Lettre ronge

Le purttanisme a suscité en Amérique de violents mouvements d'opinion. Combien de tirâmes ti'a-il pas occasionnés ? L'Histoire angoissante du pasteur Dimtnesdale et d'Hester Prynne dans la Lettre Rouge met pu relief la puissance Insoupçonnée des redoutables sectes. Ce film est joué avec une rare maîtrise par Lillan Gish et Lars Hauson.

TRIBUNE DE L'ÉCRAN Mrs Jean Ctauihri

La charmante artiste qui vient de créer le premier rôle dans Spring Fever »

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Encore tnt manifestation américaine

Les manifestations américaines ne sont pas terminées. Gette semaine un nommé tiarry Longilon, humoriste, sans doute, n'a trouvé rieu dc mieux pour se faire remarquer, que d'amener son portrait, face paterne et yeux languissants, sur les palissades de la capitale. On a dû disperser les attroupements!

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On aller T. >

Tel est le titre du prochain film de la « First National » la délicieuse

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485 Un double Amour.

511 L»elUiioede Frutdne.

512 Après l'orale.

175 L'Alsacienne.

nI La flsntse de Lothrtn-

261 LesEtapesduBoiilttur

461 La Jolie Ténébreuse.

MB Bonheur de l'Aimé*.

481 Deux Cœurs se

Mt Timide Amour.

&Q7 Aime» et \ivre.

«S Supplie» J'Ereline.

513 3 Fin de Roussiolte.

501 Conquête,le Gabrielle.

469 Mariage de Chvncbon.

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339 Fauvette du «nbourj. 540 Calrairo d'Y Yonne. t'iVt Honneur fragile.

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Dnmel MOREAU

aux Lolzllllères-Panzoult, par l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire), surpris du bien que lui ont fait les Pilules Pink, écrit lui-même, avec l'autorisation de son père

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