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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1927-01-12

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 12 janvier 1927

Description : 1927/01/12 (Numéro 18215).

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k606723v

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/10/2008

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LA PRÉSIDENCE DE LA CHAMBRE M. FERNAND BOUISSON

EST ÉLU AU TROISIÈME TOUR par 284 voix contre 186 à M. Maginot

Après le deuxième tour, M. Léo Bouyaaou, radical socialiste, s'était désisté en faveur de M. Bouisson, socialiste

Lps Chambres sont rentrées. La' scr«ioii ordinaire a été ouverte dans les deux Assemblées par le traditionnel discours du doyen d'âge au îSénat M. Paul Fieury, à la Chambre sI. Pinard. L'é.lection du président de la Haute Assemblée n'aura lieu qu'après la validation des nouveaux .-(''îiateiwà élus, vraisemblablement vendredi.

Des hier, la Chambre a procédé à la désignation de son président M- Fernand Bouisson a été élu au troisième tour do scrutin. Le député .social i?|p S: Y. 1. 0. des Bouchesdu-Khône, désigné par son groupe, se présentait, toutefois, comme le candidat de Lt technique mais par suite des circonstances qui ont fiilourc les scrutins, les positions de partis sont intervenues mettant à plein dans l'élection le jeu politique. Dès le premier tour de scrutin, l'opposition entre les candidats dessina nettement cette situation M. Maginot réunissait les voix des modérés, tandis que M. Léo Bouyssou ̃ rassemblait tes voix des radicaux et que M. Fernand Bouisson unissait sur son nom les votes des communi.,les et l'eux de ses amis socialisiez. Au second tour, les positions, de ces trois candidats restaient à peu près les mêmes. Pour le dénouement, au troisième tour. M- Léo Jkmyssou, observant la discipline des ,tam"lies, sa 'désistait pour M. Ferliand Bouisson qui ralliait les suffrages des gauches. M. Maginot groupant une fais de plus tes voix modePour la première fois. avec l'élec- tion de M. Fernand Bouisson, un membre du groupe socialiste est porté iL la présidence de la Chamhrp. 8; dans le passé des socialistes ont préside. d'ailleurs avec maîtrise, |f>s séances de l'Assemblée, ce fut seulement avec le titre dé vice-président. Tel fut Ir cas, notamment, pour Jaurès, et plus récemment pour M. Groussier et M. Alexandre Vannne.

La fièvre électorale s'était emparée. hier, de la Chambre, Jamais l'on n'avait vu cinq candidats en ligne pour b ri, an m* le fauteuil présidentietr Les îunis menaient en faveur de iliaque candidat une ardente campagne. Et au début de l'après-midi, aaiw le- couloirs comme dans la «aile des séances, aussitôt que le «loyiMi d'âge eut pris place au fauteuil, ,était. un hrouhalla d'entretiens où chacun prônait les titres de celui des cinq qui avait ses préférences.

M. Pinard eut quelque peine, la sonnette aidant, à refréner les Mats due cetfo enthousiaste propagande. Le silence obtenu.. il prononça le traditionnel discours auquel la Chambre applaudit, soulignant tout particulièrement les généreuses padu doyen pour exalter l'œuvre de paix.

laissa a nouveau fuser son impatiente ardeur électorale. Et tandis que s'accomplissaient les préparatifs du scrutin, les députés, massés au pied de la. tribune, discutaient a grand brui'. manifestant leur hâte d'émet- vpHIp, et non encore validés par le Sénrii, usaient, do la faculté qui leur reste, tant qu'ils n'ont pas donne leur démission, de participer aux travaux de la Chambre ainsi assistaient à cette séance, très entourés par leurs collègues. MM. Péret, BoT'et. Paul Jourdain, Voilin, Auray. Léon Bérard, Delthil, Leredu, etc. Et tandis que se prolongeait le défilé à la tribune des votants, puis, durant le dépouillement du scrutin. dans ta salle des séances et dans les couloirs, persistait) la grande rumeur des entretiens animés où les partisans des divers candidats continuaient jusqu'à la dernière minute leur persévérante campagne. Le prpmifM" tour de scrutin n'entraîna nulle décisinn, aucun candidat n'ob- tenait la majorité absolue de suffrages il n'y eut pas d'étonne,ment, personne n'escomptant un résultai définitif re premier vote. Vaici, d'ailleurs, les chiffres de ce MM. Maginot 16t voix Kernand Bouisson

Léo Bouyssou iti

Bonilloui-Lafont 40

Frédéric Brunet. 23

Divers il

Tandis que le doyen proclamait ce résultat, dans les groupes on se concertait, en hâte. M. Bouyssou wnmonçait qu'il maintenait sa cand idekire, précisant qu'il' prenait cette décisionen raison de. la détermination des socialistes qui avaient, avant La séance, affimé leur intention de maintenir, en tout état de cause, leur candidal, M. Fernand Bouisson. La lutte électorale se poursuivait de plus belle, jusqu'au pied même de la tribu-ae où, en attendant l'instant de glisser le bulletin dans l'urne, les députés conitinaiaient leurs controverses 'sur les mérites des candidats. Il y eut à attendre dans l'impatience la fin du scrutin, Le dépouillement et la proclamât ion. Les résultats étaie.ut les suivant-

MM.Mafrino't 172 voix Krrnand Bouisson 161

r,i''o Bouyssou

Hiver? 25

i8S suffrages ayant été exprimés <̃! aucun candidat n'ayant réuni la majorité absolue de 245 voix, un troisième lour de scrutin était iiéi't-aire. On y procédait aussitôt. Ft l'ou H)n>i-ena!t que, dans une réunion «la groupe radical, :il. Léon vciiiiiî qu'il. se.

M. FERNAND BOUISSON

;Le nouveau président fie ta Chambre ert né Constantin© le i*> Juin 1S74. il est industriel (tanneur. Il a débuté dans la vie politique comme conseiller général des Bouches-du-Rh9ne élu conseiller municipal de il a a été maire de la ville. Depuis le 7 mars 1909, SI. Fernand Bouisson représante les I Bouchew-ctu-Rhône à la Chambre il était vice-président de l'Assemblée depuis 1924. M. Fernand Bouisson, qui présidait depuis l'année dernière la commission de la marine marchande, avait été, durant la dernière année do la guerre. haut commissaire il la Marine marchande.] Du coup la fièvre électorale étant tombée, l'attrait de cette compétitien disparut. Et' le troisième tour de scrutin, auquel il était procédé, dans une atmosphère apaisée, donnait les résultats suivants

MM. Fernand Bouisson 284 voix Maginot 186

Divers 5

Bulletins nuls. 21

Jt. Fernand Bouisson obtenait ainsi non seulement la majorité relative suffisante pour être proclamé élu à ce troisième tour de scrutin, mais encore la majorité absolue, te nom- nombre des suffrages exprimés étant de 475.

Quand le doyen d'âge a proclamé le chiffre de voix réuni par M. Bouis- son, les gauches ont applaudi ils •l'ont fait encore quand il a déclaré élu ,le nouveau président. Les radicaux, tournés vers M. Léo Bouyssou, ont applaudi le député des Landes, debout, a remercié ses amis d'un, geste de la naain. M. Dauthy, d'une voix forte, s'est écrié :« Voilà le ré- sultat de la discipline radicale. » Aux bancs communistes, la voix de M. Renaud Jean a répliqué « Une fois n'est pas coutume. »

On avait, si longuement scruliné pour cette élection présidentielle qu'il était tout près de 20 heures. Force a éfé de remettre à cet aprèsmidi .l'élection' des vice-présidents, des secrétaires et de- 1 1 QUI SERA PRESIDENT DU SENAT ? Cette question a fait hier encore le sujet des eonve-t-sation-s dans les cou1 loirs du Luxembourg.

Des le, début, de l'après-midi, la rice Sarra/ut n'acceptait en aucune cas la candidature que la gauche démocratique, avait l'intention de lui offrir.

Une note" Haras fieait à cet égard ceux qui doutaient encore du refus du président du comité exécutif du parti valoi2ien. Voici cette note:

ses et amis paMt-iquee, en vue l'Aude, tout, «in les remerciant .de leur s>mi,patJ]ifi, leur a nettement déclaré qu'il déclinai, toute candidature' à ces hautes fonctiofls.

Aux autre.3 candidatures que nous avons signalées, il n'en.,est point venu s'ajouter de nouvelles.

M. Paul Doumer reste le candidat de la rauche démocratique radicale et radicale socialiste.

M. Glémentel, pressenti lui aussi par ses amis, a déclare qu'il ne pourrait faire acte de candidat) que si les suffrages de ses collègues de la gaucho démocratique l<' désignaient pour briguer la succession, de M. de Selves.

M. Bienvenu-Martin, M. Jeaniieney, qui- appartiennent au même groupe, ont, fait connaître très nettement qu'ils n'étaient pas candidats. Mais certains radicaux socialistes et, surtout les socialistes, se sont déclarés, dès hier, 'hostiles il la candidature de M. Paul Doumer, et l'on affirmait, it la titi de lapiès-midi, que le nom de M- Jules Pams serait opposé celui du président de la commission des finances.-

Plusieurs membres du groupe de l'union républicaine ont t'intention, nous l'avons dit, de présenter la candidature de M. Albert Lebrun. De son côté, M. Henry Ghéron, qui appartient, lui aussi, à l'union républicaine, maintient, soutenu par de nombreux amis, sa candidature. Si M. Paul Doumer devient le candidat de la gauche démocratique et si Henry Ghéron se présente contre lui, nous verrons en lutte lutte courtoise pour la présidence du Sénat, le président, de la commission des finances et le rapporteur général du budget.

Ce ne sera point chose nouvelle. P a r e i événement s'est produit quand, en 1906, pour succéder à >f. Fallières, devenu président de la République, M. Anfônin Dubost, rapporteur général du budget, a été candidat contre le président de la

LE DÉSARMEMENT DU REICH LES ETLEGÈNÊRALBARATIER ONT CONFÉRÉ HIER La conférence des ambassadeurs n'a pas encore été saisie de propositions précises de la part des représentants du Reich

Les conversations au sujet du désarmement de l:Allemagne, dont la reprise avait été marquée lundi lar les entretiens du général von Pawels et du conseiller de légation Forster d'une part avec M. Massigli et. d'autre part avec M. Jules Cambon, se sont poursuivies au cours de la journée d'hier.

Elles se sont cependant transportées du Quai d'Orsay à l'hôtel des Invatidés. Car si les interlocuteurs allemands étaient les mêmes, l'interlocuteur allié était cette fois un militaire, le général Baratier, .propre sous-chef d'état-major du maréchal Foch, et. d'ailleurs président élu de la commission d'investigation de la S. D. N., à laquelle incombera à partir du 1" février prochain, la tàche de surveiller les a1'mements du Reich aux lieu et place de la commission interaWiée de contrôle, présidée, on le sait par 1e général Walsdi. Encore que la plus grande réserve ait été observée, de part et' d'autre, sur l'entretien d'hier après-midi, on peut assurer que cet entretien a porté presque exclusivement sur la question des fortifications de là frontière orientale de l'Allemagne. On sait quel est) le point de vue du Reich à ce sujet.

Ces fortifications, déclare-t-on du côté allemand, n'ont aucun caractère offensif, elles sont seulement défensives et destinées à couvrir tre une attaque possible de la Pologne. Le traité de Versailles nous accorde le droit de les maintenir dans leur état existant (existing state). C'est-à-dire aussi fortes qu'elles l'étaient à la date de l'entrée en' vigueur du traité. S'il y a eu des travaux entrepris depuis cette date et on ne nie pas qu'il y en ait eu ces travaux ont eu pour but de maintenir il ces fortifications le même potentiel défensif que le Vrai té autorise. En plus, si nous avons transformé en abris bétonnés les abris qui, précédemment, étaient étayés avec des poutres de bois, ce n'est pas, comme cela peut sembler à première vue, pour renforcer les dites fortifications, mais dans un but d'écoI nomie, pour ne pa? être obligés de les refaire coastiamnieiit, car les poutres de bois se pourrissaient. On voit combien fut technique l'entretien d'hier. Valeur défensive ou offensive des fortifications de la frontière orientale ? Jusqu'à quel point cette frontière peut-elle être mise en état de défense? Est-il absolument indispensable d'employer du béton là où M y avait du bois ? Techniques, les entretiens qui se poursuivront ces jours-ci ne le seront pas moins. Ils auront lieu, sous la même forme que ceux d'hier et d'avant-hier entre les deux représentants du Reieh, d'une part. et lea divers membres du comité de Versailles ou de la conférence des ambassadeurs, de l'autre.

Aucune réunion de la conférence, ni même du comité n'est pour l'instant prévue. Et ce n'est sans doute que lorsque les conversations préliminaires seront suffisamment avancées dans un sens ou dans l'autre que le général von Pawels et M. Forster présenteront de véritables propositions écrites.

Le ministre prussien de l'Intérieur réclame à Cologne l'évacuation de la Rhénanie Cologne. 11 janvier (dép. Havas.) Le ministre prussien de l'Intérieur, parlant à Cologne. a réclamé l'évacuation des territoires occupés. Malgré tout le sang-froid des populations, a-t-ii dit, la présence de troupes étrangères dans ou pays paisible oomporte en soi le ilangpr fie graves conflits. L'occupation pendant de longues années d'un pays jouissant d'une grand^ culet .et,, liabité liberté, population calme Quiconque, désire une poix véritable sur le Rhin et une eutente entre les grands peuples civilisas, doit demander qu'ü soit, mis du aussi vite que possible à IL N'Y AURA PAS A LA CHAMBRE DE DÉBAT

SUR LA POLITIQUE EXTÉRIEURE Mais il le peut que M. Briand fasse au Sénat un exposé de la situation diplomatique A la sortie du conseil des ministres, M. Briand a déclaré qu'après avoir procédé à un échange de vues à ce sujet, les membres du gouvernement avaient été d'accord pour décider qu'il y avait lieu d'ajourner, toute discussion devant la Chambre des interpellations sur la politique extérieure.

Il se pourrait même que ce fût devant le Sénat que M. Briand eût d'abord l'occasion de faire un exposé de la situation extérieure. Le ministre des Affaires étrangères doit, en effet, s'entendre avec tes membres de la Haute Assemblée qui ont déposé des interpellations sur la politique extérieure du gouvernement pour la fixation de la date à laquelle pourrait s'instituer ce débat. Il a déjà eu un entretien à ce sujet avec M. Lucien Hubert. président de la commission des affaires extérieures du Sénat. DEMAIN CONSEIL DE CABINET Les ministres, se, réuniront eu

DEVRA RÉPONDRE AUSSI DE LA MORT TRAGIQUE DE SA SECONDE FEMME Les parents de celle-ci ont déposé une plainte contre Gaston Guyot, en se portant partie civile Meaux, Il jaav,-{dep. Petit Parisien.) L'instruction, ouverte depuis le mois d'août dernier contre Gaston Beulagroet, paraissait toucher à soin terme. Une confrontation jçéfuérale devait avoir lieu au palais de justice de Meaux incessamment, et M. le juge Fournier travaillait à rassembler tous les- éléments de son volumineux dossier en vue de son envoi à ia chambre des mises en accusation» On estimait séoératememt que l'affaire serait en état d'être appelée devant le jury de Seine-et-Marne en février prochain.

Mais voici qu'elle va rebondir par suite d'une plainte émanant de la famille Barbichon qui se décide; un peu tardivement, à mettre la justice dam* 'l'obligation de rouvrir l'^roquête sur mort de. Charlotte Baiibichon, la seconde femme de Guyot. Ce matin, Mme Barbichon, accompagnée de son f ils Georges et, de M* Joniy, avoué j à Provins, s'est présentée'an-cabinet du juge d'instruction et-c'est constituée partie civile.

M. Barbichom, souffrant, n'avait pu accomplir le voyage de Meaux mais, dans uri'e déclaration qu'SI fit à la police, l'infortuné père avait émis des doutes sur les circonstances entourant la mort de sa fille qui, selon lui, avait un caractère trop enjoué pour s'évader subitement du monde des vivant. La famiUe Barbichon base sa décision sur des enquêtes de presse et sur tes affirmations d'un correspondant mystérieux qui. sans se faire connaître, s'est dit en mesure de rapporter certaines confidences faites à Mlle Beulagnet, relativement à la mort de Mme Guyot-Barbichon l'étrangleur de bfalou a-t-il « suieidé » ses deux premières femmes ? On le saura peut-être ce qu'il y de- certaim, c'est que toutes deux sont morts d'ume mort violente d'une baUe à la tempe.

C'est dans la nuit du 14 au i5 février rappelons-le que Charlotte Barbicihon, qui occupait avec son mari une chambre dans un hôtel de Monte-Carlo, fit usage d'un revolver-bijou automatique pour se tirer une balle dàn^ la tempe droite. Guyot se montra affolé et. interrogé par le commissaire, il déclara que sa femme avait joué au casino de Monte.-Carlo et perdu 12.000 francs, C'était sans aucun doute la raison de sa détermination aucune constatation matérielle ne rendait suspecte cette explication.

Mais si l'enquête d'alors ne fut pas poussée plus avant, il n'en demeure pas moins qu'il y a dans la mort des deux premières femmes de Guyot des coïncidences singulièrement troublantes. En tout cas, le décès de Mme Charlotte Barbichpn s'est produit en terre étrangère et le supplément d'information que la justice ordonnera peut-être, ne pourra s'effectuer que suivant une procédure toute spéciale.

GRAVE INCENDIE

DANS UN CINÉMA ITALIEN Vingt bles«6s

Rome. 11 janvier (<féj>. Transalpine.) qu'un, grave sinistre s'est produits, hier soir, dans le cinéma Savaia, qui est une das sallea de spectacle les plus élégantes de la ville.

Il était presque minuit, et îa dernière partie du film était on train de -panser, lorsqu'un incendie, éclata soudainement' (tens la cabine de l'opérateur.

L'incendie fut tilefcf, apas de grands efforts. L'on compte quinze blessés et> trois mourants. En outre, un colonet des carabiniers et rtn capitaine d'infanterie ont été très pri^vement atteints p.n* les ffaanmes en participant au sauvotage du EN UN AN PAS UNE NAISSANCE DANS UNE COMMUNE DE L'AIN Bourg, il janvier {dép. Petit Parisien.) La petite commune de Journans, dans le canton de Pont-d'Ain, qui compte 227 habitants, n'a pas enregistré une seule naissance au cours de l'année dernière. Un dompteur attaqué par un lion et sauvé par. une lionne

Le dompteur Frcd "VVorntwel se prepaniil, liier soir, à Lcirrster, faire travailler six jeunns lionceaux au cours d'une présentation donnée par un cirqui, lorsqu'un lion réussit à rompre la barrière qui séparaib sa cage de celle des lionceaux, Il se précipita aussitôt Miir If clomptenr, qu'il blessa à coups de griffes au dos et à l'épaule.

La situation du dompteur était des plus critiques, quand une aide inattendue le sauva. La lionne, mère des lionl'caux, se leta sur le lion, qui se retourna et engagea avec elle une lutte acharnée. Pendant, ce temps, le dompteur blessé rampait vers la porte de la cage, tandis que lé personnel du cirque parvenait, avec des barres de fer rouge, il séparer les dcUjc fftuves.

LE DIVORCE DE CHARLOT Londres, 1t janvier {drp. Petit Pori.s.) On mande de Los Angeles à l'Exchange T-elegraph,'que dans un document de rraarante-deux pages, LitaGrey, la jeune épouse de Ctiarlle. Chaplin, expose les motifs qu'elle invoque pour demander le divorce contre son mari. Il semblerait, d'après ce document, qnf l'union Chaplin-Grey- fut un martafe forcé », alors quie Lita n'avait que seize ans. Chariot, retarda autant que possihle le jour de la consécration offi- et ce ne fut qu'après que son offre d'un demi-million de dollars eut été repoussée par la jeune actrice, qu'il consentit à l'épouser. lira Ctwpelin, qui, comme on silt, a quitté depuis plusleurs semaines le domicile conjugal, demande la gardé d* ses de.ttx enfants, une pension alim<3nl»$riî et ta garantie légale qué Charliè Chaplin ne transférera pas sa fortune1' iL l'étranger. Un Tnessajro Central News assure ea outre .("ri" Mrs Cfïfiplfn aurait cii«:-uiK actrice ifi>- rin'Miw rpVHtf' iior^se de l.'ityovrféYin-

La confrontation

entre Marie-Louise Fouquet et le lieutenant Cazenave qu'on croyait devoir être émouvante a été glaciale Je te pardonne, a dit le lieutenant à son ex-amie, mais tout est fini. > (Voir il la troisième paye.)

r.n naiir narie-jLjOuiae t ouqnei et Son avocat, M« Python, Eu lias le lieutenants Cazenave et H"" Suzanne Blum, avocate,

TROIS MAITRES CAMBRIOLEURS ET LEUR RECELEUR ARRETES

Fraysse, et, au-deîsn?. Ben Chsrlch (i gauclie) et Choue2

La Seine a quelque peu monté Mail ce n'ett pas inquiétant

Le niveau- de la Seine s'est, depuis trois jours, élevé dû' 7,;) (Centimètres. Serait-ce une menace de crue prochaine? Le service de Ta navigation ne- le croit pas. 'Certes, le'niveau de'la Seine brusquement • monté depuis trois jours. Mais il était, cette année, exceptionnellement bas pour la-saison-et`son élévation n'est point inqùiétaji te.

Cette tianssè car on ne peut lui,ionner;le*nom 'de crue est due au dégel qui a succédé1;! la période de froid rigoureux des'derniers jours de décembre. Neiges, et eaux eongelées sont 'entrées en fusion et sont venues grossir les eaux de la Marne. Le flux provient uniquement de la Marne et du Grand-Morin. La liaute Seine' et l'Yonne restent étales. 11 n'y donc aucune raison de s'Inquiéter, tant qu'une fMiriKXle de pluie ne surviendra iws.

Menaces d'inondations dans la Meuse et la Saône-et-Loire

Les pluies récentes et la fonte des neig&s ont provoqué,' dans diverses régions, des crues inquiéLunt'Os des rivières. G'fst ainsi. qu'on annonce que .les eaux de la .\Jeiieo gi-ÙKSissent rapidement. D'autre part, en "SaÔne-«it-LoU'e, la ̃ Saône -uioiitR ,(le deux centimètres, à ,1'iieuro. Mà'Min 'olli.1 atteint le niveau de 3 ru. ii's'i'iverains prennent d':s précautions. la cote de débordement .étant près d'être atteinte.

LES GRANDS RAIDS AER!ENS Le commandant Dagnatix

est retenu par les pluies au Congo belf On «il, que le coinmandanl. DaRiiaux, qui effectue actuellement le voyage avait quitté Kinshassa le 28 décembre à destination de Luebo. iMpuig cette dale, par surte de ta diflloirtlo des cmninuifl'K'atJons on était sans nouvelles de Dagnaux. Un téiépranune de Léopotdville annonce que le commandant et son mécanicien sont retenue il Luebo par suites des pluies et du sol détremp^.

Le lieutenant de vaisseau Bernard

compte rentrer aujourd'hui en France Bizcrtc?. il janvier (dép. Havaa.)

Le lieutenant de vaisseau Bernard, qui a dû procéder, il Bizerte. il une visite de son moteur, prendra l'air demain janvier, si le temps le permet, pour rallier la c6te provençale.

Il appaiviiHera au jour et fera route sur les Sanguinaires et Porquerollcs, p+)3?l, suivant tes oirconetances atmoevvhériques.

L'Italien de Pinedo entreprendra un raid de 55.000 kilomètre» fin février

Rome. il janvier ;drfp. Haras.)

Selon le Oiornale d'ital'ia, l'aviateur de Pinedo partira la On du. mois de féArier pour un voyage dlans les cinq cotrtinents. r,c parcours, à effectuer- est ..de 55{000 -ktloinytres.

UN PROCES MONSTRE EN PERSPECTIVE VINGT-DEUX MEMBRES DE LA BANDE DES POLONAIS 1 SERONT JUGÉS PROBABLEMENT EN AVRIL HUIT D'ENTRE EUX SONT PASSIBLES DE LA HIHB DE MORT Aussi voudront-ils peut-être reculer l'échéance en se pourvoyant contre l'arrêt qui les renvoie devant la chambre des mises en accusation

Après plus de vingt mois d'enquête, M. Lacomblez. juge d'instruction, a mis le point final sur un dossier formidable, celui de l'affaire de la bande des Polonais.

A la fin de la guerre, le gouvernement, se préoccupa d'assurer la reconstitution des régions dévastées et, poui1 remplacer nos i.i00.000 morts, nos i00.000 grands mutilés, on dut faire appel aux travailleurs étrangers.

Plus de deux millions d'ouvriers furent ainsi affectés à l'agriculture, aux mines, à l'industrie. Au 31 décembre dernier, on comptait encore en France environ 500.000 Polonais, hommes, femmes et enfants, dont beaucoup se sont introduits chez nous de facon clandestine.

Aussi quoi d'étonnant à ce que, depuis près de 20.000 Polonais aient été poursuivis devant les tribunaux-français*! Parmi ces indésirables se trouvent de véritables bandits qui ont commis d'innombrable; crimes sur notre territoire, entraînant certains 'de leurs compatriotes momentanément sans travail et formant, en 1924, une véritable association de malfaiteurs, ayant son siège à. Paris, dans le quartier Saint-Paul, où ses affiliés se réunaissaient dans des débits mal famés de la (rue de Fourcy.

Le chef de bandits Wladek

Le chef de ces bandits, arrêté à Bruxelles, en mai 1925, était Wladimir Zingsuk. dit WladelL âgé de vingt-six ans. C'est lui qui subvenait aux frais de voyage et de séjour, distribuait les rôles de chacun, centralisait et vendait le produit des vols, répartissait les gratifications à ses collaborateurs et envoyait) des subsides à ceux qui étaient arrêtés. Wladek était entouré de lieutenants audacieux Julien Pachowski, dit Galiziak, âgé de trente-trois ans Wladislaw Jasez, âgé de trente et un ans, décédé le février 1926, en prison; Ludwik Bruzda, dit Urbaniak, âgé de vingt-six ans Romuald Stropowicz, âgé de vingt-six ans. ctu. auxquels s'adjoignirent ensuite des compagnons zélés Stanislas Gogolewski, âgé de vingt-trois ans Bonesclaw Jablouski, âgé de trente-huit ans Waclaw Najmrocki, âgé de trente-cinq etc.

L'enquête de .Vf. La&omblez a démontré que tous ces inculpés étaient en retaMons- ferré étroites. ̃««- prêtant mutuellement leura papiers d'identité suivant leurs besoins changeant souvent de noms et de sobriquets, si bien qu'ils ignoraient parfois leur véritable état-civil et qu'actuellement encore celui de certains inculpés reste douteux.

C'est au mois de février 1925 que remontent les premières arrestations, suivies de la fuite et de la disparition de nombreux co-auteurs ou complices. C'est ainsi, par exemple, que l'un des çlus redoutables bandits. Bruzda sest réfugié à Berlin, où il fut d'ailleurs arrêté, mais d'où il n'a pu être extradé, car soudain il s'est découvert une nationalité

Poitjj et Contre Une information a été donnée l'autre semaine qui a passé inaperçue. C'est pourtant une information de la plus haute gravité. C'est une tragique, une épouvantable information. A mon avis, les affaires d'Hankéou ne sont rien à côté de l'affaire scandaleuse que nous révèle cette information.

Le service des fraudes ayant prélevé quelques échantillons de produits alimentaires de première nécessité a constaté que la moitié de ces produits étaient honteusement truqués et sophistiqués. Le lait était baptisé, sinon empoisonné. Des conserves, des pâtés, de la charcuterie renfermaient d'innommables saletés. Et il y avait du vin qui s'était privé de toute collaboration avec la vigne. Charmant, charmant. Après ça, étonnons-nous si nous éprouvons parfois quelques petits malaises bizarres.

Après cette détestable information, j'en attendais une autre. J'attendais l'annonce de l'arrestation de tous tes fraudeurs. On ne laisse pas en liberté les dangereux criminels qui essaient de faire prendre de la mort-aux-rats à certains de leurs contemporains. Peaton laisser en liberté les bandits qui tuent des enfants, des vieillards, des 1 femmes et des gens bien priants en leur faisant absorber du tait ignoble et mortel et des aliments aussi toxiques que l'arsenic ?

Mais il paraît que la prison n'est pas faite pour ces messieurs. Le gendre insidieux qui administre à sa bellemère un mauvais café, radical et foudroyant, est certain, s'il n'est pas condamné à mort et proprement exécuté, de finir ses jours au bagne. C'est un empoisonneur, c'est un bandit qui n'est digne d'aucune pitié. Mais le « commerçant » ou le « fabricant » qui livre à sa clientèle des denrées qui tuent au lieu de nourrir ne risque ni la guillotine ni le bagne. Il risque tout au juste quelques francs d'amende et quelques jours de prison avec sursis. C'est étrange, c'est inoui, mais c'est ainsi.

J'en conclus que la loi ne punit que l'empoisonneur qui « donne m son poison et qui n'empoisonne que quelques personnes alliées ou ennemies.

L'empoisonneur qui « vend » son poison, qui le vend très cher et qui empoisonne tout un quartier peut compter, en revanche, sur l'amicale indulgence de la justice. Maurice Prax.

allemande que la police berlinoise 3 bien voulu reconnaître.

Sinistre bilan

Le sinistre bilan de la bande est considérable. Comment a-t-on pu l'établir? A la suite de l'arrestation de six Polonais coupables d'avoir assassiné, le 30 janvier 1925, Mme Curtis, fermière à Chalvignes (Eure), Les criminels firent des aveux complets et dénoncèrent leurs chefs Wladek et Bruzda, en outre ils rêvelèrent d'autres crimes à l'actif de la bande.

L'information, c o m an enre é e à Evreux, fut alors poursuivie 'à Paris par M. Lawinblez, et celui-ci, me retenant que les crimes indiscutablement prouvés, a pu. établir Que l'assoavait commis,, en 1924 et en quatre assassinat accompagnés de vols, diwrc hotnicédes volontaires et cinq tentatives de meurtre Quatre de ces crimes ayant pour but d'en faciliter d'autres et cimquantft cambriolages à main armée, causant un préjudice d'environ 200.000 francs. Cinquante-quatre individus furent inculpés, sur lesquels on en arrêta Quarante-siix y compris Bruzda cinq d'entre eux sont déoédés vingt et un, dont trois n'avaient pas été appréhendés, bénéficièrent d'une ordonnance de non-lieu, les dixhuit autres ayant été mis en liberté provisoire par M. Lacoinblez.

Vingt-huit prévenus

H reste donc vingt-huit prévenais l'un à Berlin, cinq en fuite, les vingtdeux autres à Paris trois se trouvent en Iiberté provisoire. Parmi ceux-ci, deux femmes Sophie W'emiok, âgée de vingt ans, amie 0e WJ&dek, détenue à Saint-Lazare, et Arma Gips, dite Zilber, â;ée de trente-cinq ans, en liberté.

Sur réquisitoire définitif de M. Ducorn, substitut, l'affaire renvoyée par M. Lacomblez devant la chambre des mises en accusation doit venir devant la cour d'assises de da Seine, au mois d'avril prochain, si toutefois aucun accusé nie signe un pourvoi en cassation contre l'arrêt le renvoyant devant le ,jury, hypothèse bien invraisemblable, huit des bandits étant passibles de la peine de mort et ayant, par conséquent, intérêt à « faire » de la procédure, pour prolonger leur vie.

C'est M. Mangin-Bocquet. conseil- ler à la cour, qui a été désigné pr diriger général, assumant la lourde chai,»: d'occuper le siège du ministère public et de répondre à l'avance à vingt-deux plaidoiries qui sèront prononcées ar M" Paul-Boneour, de Moro Giafferi, Henry Torrès, Emile Doublet, Charles Lebrèton, Raphaël Adad, Zévaès, Albertin, Marcel Kahn, Franc-Nohain, Jacques Mourier. Passérieux, J.-Ernest Charles. Deaable. Thorp. Chauvin, Rundenko. Kayser, Voisard, Pommier, de Billy et Baqué de Sariac.

Ultérieurement la cour d'assises de la Seine, sans l'assistance du jury, jugera les cinq accusés en fuite et les condamnera au maximum par contumace.

LE MEURTRIER DE BLETTE" VA COMPARAITRE

DEVAIT LE JURY

L'Espagnol Ramos avait tué son amie volage dans un restaurant de la

rue de Richelieu, à Paris

La cour d'assises de la Seine jugera demain un riche Espagnol, Isidro Ramos, âgé de quarante-trois ans, accusé du meurtre de Mlle Marcelle-Françoise Hudry, âgée de vingt et un ans, plus connue dans lemonde

La haut le meurtrier. En bas sa rtctlm» cinématographique sous le pseudonyme de Lilette.

Tous deux s'étaient connus en 1923, à Madrid, et, l'année suivante, s'étaient établies leurs relations, dénouées au bout de quelques mois, par suite de l'inconstance de la jeune femme.

En février 1926, le quadragénaire et Lilette se réconciliaient, mais les scènes de jalousie reprirent, plus fréquentes et de plus en plus via. lentes.

Le 30 juillet 1926, le coupla déjeultait dans un restaurant,


) ne de Richelieu. Après le café, alors que Ramos attendait l'addition et que la jeune femme regardait dans la rue, l'Espagnol lui appuya sur la tempe droite son revolver et pressa la gâchette a plusieurs reprises.

La mort fut foudroyante, mais •n'émut pas le meurtrier qui, après avoir prié qu'on allât quérir un «cent, posa son arme, en recommantiant qu'on n'y touchât point.

E Puis il régla sa note, versa un S généreux pourboire, et attendit. Lorsque l'agent arriva, Ramas lui dit

Je l'aimais trop. Elle me trompait, ,le l'ai tuée.

C'est oe qu'il a répété à l'instruction. Il sera défendu par CU° Raymond Hubert.

lE SCANDALE DES DECORATIONS Marcel Raottc iaterrofé sur la lettre

«{̃'il écrite, déclare De rien savoir de précis Marcel Ruotte, le sous-chef de bureau du ministère du Commerce, inculpé dans l'affaire du trafic des décorations, a été extrait, ,hier aprés-midi, de la prison de la Santé et conduit au Palais de Justice ,pour étrc interrogé sur la lettre envoyée NI. Bacquart, juge d'instruction, dana laquelle il signal* vingt et un cas irréguliet» » de nominations ou de promotions dans la Légion d'honneur.

Le juge voulait lui demander des précisions sur les vingt et un cas. lfais, sans attendre, Marée! Ruotte a fait machine en arrière et a été obligé de reconnaître qu'il ne savait rien de précis au sujet des personnes qu'll désignait comme injustement décorées.

Dans ces conditions, l'interrogatoire fut relativement très bref, et l'inculpé vegagua sa cellule de la Santé, après s'être longuement entretenu avec son défenseur, dans l'arrière-cahinet du juge. L'instruction est virtuellement close mais. avant de communiquer son dossier au parquet, M. Bacquart attendra quelques jours pour permettre h M" Lagoutte de rédiger une note juridique sur l'affaire.

A entendre l'avocat, son client, qui ne connaissait pas le courtier Dumoulin, ne peut être poursuivi pour ti-atic d'inJlueuce, aucun « pacte préalablc » n'avant existé entre les trois inculpés. Ajoutons que la lettre « accusatrice » "demeure annexée au dossier, mais qu'il ne peut y être donné aucune suite. Pour liquider complètement l'aifaire, .Ni. Bacquart. au cours de l'interrogatoire .l'hier, a donné lecture à Marcel Ruotte il.- lettres anonymes qui le représentent comme un embusqué c de la guerre. Le sous-chef de bureau a répliqué qu'il avait trente mois de front, qu'il avait été gazé, enlisé vivant et qu'il avait obtenus trois citations.

PSEUDO-AVIATEUR, FAUX INGÉNIEUR MAIS ESCROC VÉRITABLE

II pyait des autos avec des chèque.

uu provision et

dupait les ckaof-

fears de taxi

Depuis trois mois,

un individu se présentait dans 1rs garuges de divcrs arrondissements de Parfs. Il se donnait tantat eomme capitaine aviateur et tantôt comme ingénicur d'une grosse firme parisienne.

Apres avoir lon- Henri Soultin guemeut examiné

les autos d'occasion qui étaient vendre, }'i « client » arrêtait son choix sur l'une des voitures. Il en prenait livraison immédiatement et soldait son acquisition au moyen d'un chèque que, dans la suite, le garagiste constatait être sans provision.

Le filou faisait aussi des dupes parmi les chauffeurs de taxi. Se faisant conduire devant un immeuble qu'il savait Nre à double issue, il descendait, très affairé, et, sous uu prétexte quelconque. empruntait 100 ou 150 francs au chauffeur en le priant de l'attendre Naturei ilement, l'escroo ne revenait pas.

Plusieurs chauffeurs de taxis, victimes de l'astucieux personnage, portèrent leurs doléances à leur syndicat, qui déposa une plainte entre les maine de M. Poggi, commissaire du quartier de la Roquette.

Le brigadier Tarlet et l'inspecteur Degrain, munis du signalement précis de l'escroe, l'ont découvert et arrété, liier matin, dans un bar de la rue de Rivoll. C'est un nommé Henri Soultin, ù.fté de vingt-six ans, né à Saint-Flour, mécanicien, domicilié 8, rue du Roi-deSicile. Il a fait des aveux.

Soultin avait, il y a quelque temps, abandonné sa femme et ses deux enfants.

UN CHAUFFEUR DE TAXI

CONDAMNÉ A DEUX MOIS DE PRISON Sa victime, qui a H être amputée d'une jambe, obtient 125,A00 francs de doaaufes-intérett Le 6 septembre dernier, Mme Lalique, une blanchisseuse de vingt-trois ans, sortait de la station du métro place de l'Europe, portant dans ses bras un bébé 4e trois ans et donuant 1a main à son autres fils, âgé de quatre ans.

H Comme elle allait mettre le pied sur la ̃ «haussée, un taxi la renversa et la coinça ̃ -contre !a balustrade extérieure de la stã tion. lfme Lalique eut la jambe droite broyée. On dut l'amputer.

Le chauffeur auteur de l'accident, NI. M- Genêts, a comparu hier devant la trei..dème chambre correctionnelle, présidée par M. Tronche-Macaire, sous l'inculpation de blessures par imprudence. -Après plaidoirie de M" Goubie, il a été condamné à deux mois de prison et ̃100 franc3 d'amende.

Mme Lalique, partie civile par l'organe de M* Louis agisse, a obtenu francs de dommages et intérêts.

26. Feuilleton du Petit Parisien, 12-1-27

ROMAN INEDIT

f XX (suite)

Un amateur d'émotions

Décidément, vous êtes tout à fait comme Renée lianoun, déclara Ahzab sans répondre à la question. Elle aussi m'enrichirait si je consentais à la conduire là-bas. C'est pourquoi il me vient une idée. Savez-vous ce que vous devriez faire, effendi Vous devriez y aifer ensemble et dklivrer Fleuralne effendi.

Le fiancé de Mlle Renée ? s'enqult 11. Carqnelranne.

Oui.

Et comment faudrait-il s'y prendre ?

Au dame. il ne faudrait pas y aller avec une simple canne ou une ombrelle, fit remarquer Ahzab. Il faudrait bien que vous emmeniez quelques gaillards solides.. et discrets.

Et bien armes aussi, sans doute fit négligemment M. Carqueiranne. Cela vaudrait mieux, approuva le fellah,

Un éclair narquois anima un Instant les yeux de M. Carquelranne.

Des armes contre les enchantements d'une sorcière ? Des revolvers cimtre des djinns ? Es-tu dans ton bon sens, mon pauvre garçon 7 dit-Il railleuCopyright üy Henri Jeanne 19i!7. Traduction et reproduction interdites eu tous pays.

LA RENTRÉE DES CHAMBRES LES DISCOURS DES DOYENS D'AGE Les sénateur?, les anciens et. les nouveaux étaient presque tous la pour cette première séance de l'année. Bien peu manquaient.

Les socialistes qui. jusqu'à présent, avaient, .siégé de ci de là, il droite ou it gauche de l'Assemblée, indifféremn:ent, s'étaient hier groupés sur les dernières travée3 de l'extrême gauche, où ils se tiendront désormais. Ce sont les Il montagnards ». Le doyen d'âge, M. Fleury, présidait avec, à ses côtés, comme secrétaires les six plus jeunes sénateurs. Avant dôelaré la wanco ouverte. .-NI. ï'ieury, dans le silence attentif et sympathique de ses collègues, après avoir remercia ses électeurs de l'Orne de lui avoir renouvelé le mandat qu'il tient, depuis trente et' un ans de leur confiance, a salué les nouveaux élus de dimanche « qui apporteront, a-t-il dit. dans cette assemblée, leur expérience, leurs 'lumières et leur concours dévoué à la République et à la patrie ». -.Ils nous permettront, j'en suis sûr. a-t-il dit, de garder un durable souvenir à d'anciens collègues qui laissent parmi nous des regrets et des amitiés sincères, en particulier à celui qui a, depuis plusieurs années, présidé le Sénat avec une autorité et une distinction incontestées, jointes une parfaite amabilité et a une bonne grâce des plus appréciées. {Applaudissements unanimes.) Puis M. Fleury a constaté les heureux résultats obtenus par le gouvernement pour le redressement de notre situation financière.

La confiance à laquelle .le faisais appel de cette place même il y a unn année ne se montrerait-elle pas disposée à revenir depuis que, faisant trêve h leurs dissentiments, des hommes, autrefois divisés, se sont unis pour sauver la France de la catastrophe qui la menaçait et allait causer sa ruine ? Malgr6 les attaques dirigées contre eux, quels que soient les résultats de leurs efforts, ils ont entrepris une lâche qui les honore, en dèplt de leurs détracteurs, seuls à ne pas voir ce qui frappe les yeux de tous les autres. C'est le relèvement du franc, l'aisance donnée à la trésorerie, le budget équilibré enfin voté l'honneur du gouvernement et des deux Chambre!! dans les délais légaux, ce qui permettra, aux dates normalea, la rentrée des Impôts dans les caisses de l'Etat.

N'est-ce pas la preuve que les affaires vont mieux, que s'éloigne le danger et renaissent tous les espoirs ? Si des difficultés et des épreuves demeurent, nous sommes, du moins, semble-t-il, entrés dans li vole à suivre pour en trouver la fin.

Quelques mots sur le règlement de nos dettes de guerre qui devra menttre d'accord le respect des contrats avec le respect de l'équité et de la justice et M. Fleury, très chaleureusement applaudi, a terminé ainsi Je crois, avec une ferme conviction, qu'aussi longtemps que notre situation financière et économique ne sera pas rétablie et assurée, la trêve des partis s'impose, sous peine de nouveaux et redoutables périls. Enfin l'expérience du récent passé doit nous servir de leçon et nous apprendre que si nos anciennes querelles venaient malheureusement à renaitre, ce serait toujours trop tôt et au plus grand dommage de la France et de la République.

Enfin, après le tirage au sort des bureaux qui doivent se réunir pour examiner les dossiers des élections, la prochaine séance a été fixée, à jeudi, 17 heures.

A LA CHAMBRE Dans le discours traditionnel d'ouverture de la ses;ion. ayant adressé ses souhaits à ses collègues. M. Pinard, doyen d'âge de la Chambre, a dit

Je reviens ici, aujourd'hui, plus imprégné d'optimisme.

Son .optimisme s'appuie sur l'espoir, ou mieux encore sur l'assurance du progrès indéfini », sur les événements d'aujourd'hui la consolidation de la paix opposés à ceux d'hier le fléau de la guerre. M. Pinard évoque les terribles souffrances de cinquante mois et l'aboutissement au traité de Versailles, dont il dit

Le traité de Versailles, bien que n'ayant pas été contradictoire, n'est cependant entaché ni d'esprit de vengeance ni d'esprit de conquête de la part des nations victorieuses.

Je considère ce fait comme un immense progrès. Il jalonne, malgré tout, une étape dans la marche en avant de la civilisation I

Mais dans quelles conjonctures nous a-t-il laissée 1 Heureusement, le phare de la paix se dresse maintenant la Société des nations 1 Quels espoirs elle nous donne Que dirais-je de Genève et de Looarno ? Je préfère de beaucoup laisser la parole au doyen du corps diplomatique, Son Excellence Mgr Magl1one.

M. Pinard a cité le discours du nonce, celui de M. Doumergue. celui de M. Herriot à Tarbes lors de l'inauguration de l'Ecole Jean-Dupuy; il a exalté l'oeuvre de laïcité et félicité M. Poincaré pour les heureux résultats obtenus dans l'œuvre du redressement financier. Les paroles du doyen ont été très applaudies. DANS LES GROUPES DU SENAT

Quelques sénateurs nouvellement élus ont fait connaître leur adhésion à divers groupes politiques.

MM. de Wendel, Jourdain, Bignon, Vipllard, Hayaux, Veyssièrn. Lavoinue, Richard, Leredu se sont inscrits il, l'Union républicaine: MM. Raoul Pérct et Boret à l'union démocratique et radicale

sèment. Cela ne nous servira de rien. Pardonnez-moi, effendi, protesta ie fellah avec une certaine vivacité. Je sais ce que je dis. Puisque Hntn-Sou donne à ses défenseurs des formes humaines et leur fait utiliser des armes humaines, li faut blon employer, pour leur riposter, les mêmes procédés. Très juste, approuva M. Carquel·ranne avec gravité. Tu m'as convaincu. Je m'en rapporterai donc à toi pour organiser l'expédition. Car c'en sera une véritable, n'est-ce pas ?

C'en sera une, affirma le fellah. Alors, effendi, vous consentez il ce que la jeune fille nous accompagne ? J'y consens, déclara M. Carquelranne après un instant de réflexion. Sa présence ajoutera, sans doute, quelques occasions d'émotion. De ton côté, tu acceptes de nous servir de guide ? J'accepte, répondit stoïquement Ahzab.

M. Carqueiranne se frotta les mains, puis tira son portefeuille.

Parfait se réjouit-il. SI, cette fois, je ne parviens pas m'émouvoir et même a trembler un peu, c'est que vraiment je suis totalement réfractaire, et il faudra renoncer à me distraire dans ce morne univers. Mais tu n'auras pas affaire à un ingrat. Vois-tu ce bület ? C'est un billet de cent livres anglaises et qui représente une somme assez coquette. Tu es fort capable de la calculer, car je te sais assez terré sur les changes. Eh bien I ce billet sera il. toi si tu réussis à me mettre en présence de la reine Hata-Sou.

Le billet est gagné d'avance, effendl, assura Abzab en avançant la main dans l'intention d'escamoter la vignette.

Mais le nonchalant Carquelrnnne fut plus prompt que lui et la mit hors de portée.

MM. Milliès-Lacroix et Brard, qui Aguraient parmi les non-inscrits, ont l'Intention d entrer dans ce dernier groupe. Enfin, M- Barthou quitterait l'umon républicaine pour l'union démocratique et radicale.

Une interpellation deM.Levasseur sur la question des loyers

M. Arthur Levasseur a présenté hier a. la Chambre une demande d'interpellation « sur les modifications que le gouvernement entend apporter aux lois du lfr avril sur les loyers, et du 30 juin 1926 sur la propriété commerciale, comme suite aux déclarations du garde des Sceaux à la tribune de la Chambre, APRÈSLE SCRUTIN SÉNATORIAL LES ABSTENTIONNISTES DE LA SEINE La préfecture de la Seine a communiqué tuer la liitii des électeurs sénatoriaux de la Seino qui ::le .-sont abstenus dimanche dernier

Premier tour. MM. Cromet, conseiller fféneral Doriot et Famy, députes. Deuxième tour. MM. <:remet et de Fontfnay. conseillers généraux Doriot, Fabry et Plquemal, députés.

Troisième tour. MM. Hrunet, DPjeante, Doriot. Fabry, Héraud et Mollnlé, députés Creniet, caujole, de Fontenay, Deville, Florent-Matter, Lalou, Riotor et Téveneau, conseillera généraux, et les détégués sénatoriaux Bouvla (Chareiiton. Provln (Jolnville). Vifflieur ;.Vsnl*r.Si. et .Unisson (Parlai. Trois maîtres-cambrioleurs arrêtés Leur receleur est également sous les verrous. La bande a déjà avoué une quarantaine de cambriolages l,a poUce judiciaire a arrêté trois « as » du cambriolage et leur receleur, François Chonez. dit « Fredo vingtcinq ans, mécanicien, 13, rue Blondel Hamida Ben Cberich, dit « Nelly vingthuit ans, Arabe, 7;1, rue Froidevaux: Hébert Fraysse, vingt-neuf ans, danseur acrobatc connu sous le pseudonyme de Teddy Tcd t le bijoutier fondeur Edmond Bouzer-eau, vingt-cinq ans, lS9, rue du Temple, qui n'hésitait pas à acheter le butin des trois voleurs.

«Fredo», «Nelly» et «Teddy Ted», qui exploitaient fructueusement leurs talents do cambrioleurs, travaillaient en association dont le chef était le danseur acrobatie. Et l'expression « tomber entre les maina de la police si souvent employée à tort, leur serait particulièrement impropre ils étaient très activement recherchés depuis plus de eix mois 1 La police judiciaire avait remarqué que si le nombre des cambrinlages allait toujours en augmentant depuis la fin de l'été dernier, ces cambriolages se faisaient principalement dans les hôtels particuliers des seizième et dix-septième arrondissements, ou les voleurs ne se chargeaient que des bijoux et de Yargenterie. Ce même mode d'opérer ou, si l'on veut, cc style n, indiquait bien les mêmes auteur. Trois bandes de malfaiteurs furent arrêtées. Les vols se continuaient dans les mêmes conditions et dans les mêmes quartiers, Il y avait donc une quatrième «.firme », qu'il fallait découvrir.

« Teddy Ted », les pollciers avaient uni par en avoir la certitude, était le chef de cette bande. On l'appelait aussi le danseur » un le « Chinois n, ce dernier sobriquet lui venant d'un fétiche un petit Chinois fait avec. des cacahuètes auquel il attribuait le pouvoir mystérieux, et combien apprécié, d'élolgner de sa personne les inspecteurs. « C'en est un. »

Les inspecteurs Carre et Pintureau, à force de « planques diurnes et nocturnes, parvinrent il repérer un des complices du danseur » François CUonez. Or ces jours derniers, une longue filature les amenait, boulevard SaintMartin où, devant le numéro 38, ils virent leur homme n'installer froidement dans une 10 chevaux. Les policiers ee lancèrent plu* vite que le moteur et, après un premier interrogatoire, ils avaient enfin la satisfaction de « présenter au commissaire, leur chef, le voleur d'auto comme « en étaut un ». La loi des séries on a souvent l'or-

(:aSlUlJ utî ic CUU»lul*ri mwi ,«,u, «/.uc^i (tans domaine des policiers. Deux jours après, « Teddy Ted ». en compagnie de son Chinois en miniature, était arrêté par l'inspecteur Carré à Liège, de mystérieuses intuitions lui ayant fait quitter précipitamment Paris après le premier rendez-vous où Chonez n'avait pas paru. Enfin, hier, ce fut le tour de l'Arabe à être cueilli.

Il Le tableau de ces messieurs » Le trio a déjà avoué uno quarantaine de cambriolages commis en six mois, et dont les plus importants sont les suivrints

Le août. il, rue de Chazeiles, chez Mme Poittevin, où, surpris a leur sortie, il© avaient caché leur butin sur un arbre pour venir le chercher une fois l'alerte passée.

En septembre. rue Davioud, chez M. Jacques Tissier; 32, rue de Tocquevillc, chez NI. Lapersonne rue KugèneKlachat, l'hôtel de la. baronne Gabriello de Gueslre. En novembre, 1, square Lamartine. chez M. Jean Router, ingénieur square Lamartine, chez le prince Charles de La Tour d'Auvergne le 13 décembre, rue Cortambert, chez M Duhamel.

Les policiers ont appris que la ba,nde n'avait donné tant de mal k Pire capturée que parce qu'elle rémunérait largement des indicateurs qui, sur leurs terrains de manœuvre, lui annonçaient la venue des inspecteurs.

Excellent acrobatie « Teddy Ted •>. le long des murs, découpait une par Lie de persienne, répétait cette dernière opérat.ion pour la vitre et, tournant l'espagnolette, ouvrait la fenêtre. Ensuite il allait ouvrir la porte à un de ses complices tandis que le troisième fanait le gviPl.

Une perquisition a été faite hier matin chez le receleur Bouzereau,, qui dessertissait les pierres et fondait les bijoux volés avec un chalumeau oxhydrique. Deux grands creusets dans lequel le receleur coulait ses lingots ont été saisis. Arrété également, il a rejoint ses trois' complices au dépôt.

Après < mon émotion », ami Ahzab. seulement après, tléclara-t-il d'une voix calme en rempochant les cent livres.

XXI

Tout braver!

A travers la table sur laquelle se trouvait servi le déjeuner, l'aveugle allongea le bras pour chercher et caresser une des mains de sa fille. Tu ne parles pas, Renée? A quoi songes-tn ?

Il devina le regard triste, le regard de reproche qu'elle lui jetait et soupira

Je devrais dire « A qui ? », n'est-ce pas Ou même m'abstenir de te poser cette question ? Tu ne saurais songer à autre chose. Mais, que veux-tu, c'est plus fort que moi. Ton chagrin me fait tant de peine que je voudrais douter de sa persistance et pouvoir croire qu'il va s'affaiblir. Tu es ma joie et ma seule raison de vivre. Tout ce qui t'atteint m'éprouve et ajoute à l'amertume de mon infirmité. Ce n'est que par toi que je puis rester en contact avec le monde et les ténèbres deviennent plus épaisses autour de mot quand tu t'enfermes dans le silence et que je crois entendre couler tes larmes. Ma petite enfant, je te le demande pour toi et pour moi sois courageuse. Mais je suis bien plus raisonnable que tu ne crois, père, protesta la jeune fille d'une voix presque calme. Je sais bien qu'il ne sert de rien de passer le temps il se désoler et que la terre n'interrompt point sa course parce que nous avons le caenr en deuil.

Elle étouffa un soupir et poarsulvit Les larmes s'arrêtent d'ellesmêmes. Il n'en est point d'éternelles. Pose ta main sur mes yeux. Tu les trouveras secs. Mon silence, qui vient

COMMENT ON PROFESSEUR AVEUGLE M, RAYMOND THIBERGE

INITIE LES PETITS ENFANTS A LA M0S11E m

Les aveuglas connaissent des joies que nous ignorons. Les sons leur apportent, sur une gamme de nuances infinies, des révélations qui nous échappent. Et c'est pourquoi fort rencontre tant. de musiciens aveugles. .Mais cetle aptitude pour la unusiquc demande it être développée pour y arriver, l'Association des amis des artistes aveugles vient de se constituer. Elle a son siège 5i, rue de Prony, chez Mme Lucien JBridou, qui la préside avec un dévouement admirable. L'ouvre qu'elle se propose est urgente et de nombreux bienfaiteurs y participent déjà. Une Américaine, notamment, miss A. Gettv, l'a dote"? d'une rente annuelle do 12.000 francs. Des que les fonds recneillis seront suffisants, une éeole normale sera créée. Et cctte école adoptera la méthode du plus connu des professeurs aveugles, M. Raymond Thiberpe,- actuellement professeur à l'école normale de musique de Paris.

A quatre ans

ilf. Raymond Thiberge m'a reçu, hier, entouré d'une demi-douzaine de bambins ravissants. S'il n'a jamais vu leur clair visage, il l'imagine, il s'en fait une idée à peu près aussi exacte que la nôtre.

Ma méthode, expllqim-t-if. consiste à développer simultanément chw. ces onfunls l'habileté cérébrale et musculaire. TI importe nvent tout do ne provoquer nucun surmenage, mais de capter, k mesure qu'ils s'tîvefllenf, lestftms natuet do les aider il s'anplificr. Voyez plutùt voici Suzanne, quatro ans. Ne sait ni lire. ni écrire. Mais.

:Le professeur frappe les touches d'ivoire, une à une d'abord, puis deux ensemble, puis trois. La petite Suzanne ne se trompe jamais Do, fa, ré, si. sol-ini, la-do, fa-si, si-ré-do, sol-fa-la, do-si-mi, mi-la-do. Ainsi due suite. Tour tour. Claude. Jacqueline, Geneviève subissent avec tul égal succès la terrible épreuve. Puis Geneviève, qui a six ans. attaque résolument SScliumann. Sans omettre une ?eu!e erreur, on l'entendra jouer d'un bout à l'autre Je

M. Thiberge donnant une leçon

Mais voici mieux ces petits déchiffrent. On voit leurs doigts menus un instant hésiter, puis toucher avec assurance le clavier luisant. Derrière eux, le professeur les surveille. « L'infirme aux mains de lumière » contrôle, lui, les efforts de ses élevés au moyen d'une partition notée en relief. Tous deux s'acharnent, laborieux, émouvants autant l'un que l'autre.

Enfin se présenle une jeune tille gracieuse, Marie-Madeleine, dix-sept ans. Jusqu'à l'àgv de quiw.o ans. on prétendait! qu'elle n'avait aucun aptitude pour le piano. On l'avait abandonnée à son sort lorsque M. Thiberge la recueillit. La voici maintenant, très à l'aise devant les touches, qui interprète admirablement et par coeur < la Ballade en la bémol de Chopin.

La preuve est faite l'aveuglc communique aux voyants sa flamme pour la musique lumière secrète qui ne s'éteint jamais 1

Un représentant de commerce

brusquement renvoyé

obtient 500.000 fr, de dommeges-intérê's M. Goelhals, agent général à Bruxelles d'une marque de Champagne, fut. brusquement renvoyé le l01 novembre 192a, bien que la date d'expiration de son contrat fût 19"8.

Le tribunal de commerce de la Seine vient de décider, après plaidoiries de M" Campincfii, .Sauvage, Jardeton et Paul-Emiie J.inson, du barreau de Bruxelles, qu'il y avait là une faute lourde et il a accordé au représentant '̃ 500.000 franca belges titre de dommages et intérêts.

de t'inquiéter, n'était qu'une méditation. Cela m'arrive souvent. Mais ce n'est Dits. ce n'est plus un renoncement désespéré. Je me suis fait une raison, comme tu le souhaites.

Tant mieux, murmura il. Sérignan. Si tu pouvais dire vrai Pourquoi veux-tu que je mente ? Par pitié pour ton vieux papa, peut-être. Mais tu peux aussi te faire illusion. Parfois, nos douleurs s'engourdissent. Le chagrin fait trêve. Ce n'est qu'un assoupissement dû à son excès même. On le suppose parti il va se réveiller, ayant pris une nouvelle force. Je ne te demande pas d'oublier en huit jours un Hancé qui, ayant mérité d'être aimé, est digne de tes regrets et de tes larmes. Je te demande seuiement de ne pas t'anéantir dans ce désespoir, de n'en point faire le but et l'unique préoccupation de ta vie. Pardonne-moi ce cri égoïste songe un peu à moi.

J'y songe, père,, affirma Renée d'une voix qui s'altéra.

Partagée entre deux tendresses. tiraillée entre deux devoirs, elle ne pouvait accomplir l'un sans trembler de négliger l'autre et sans en éprouver du remords. Pour tenter de sauver Maxime. il lui faudrait risquer d'abandonner son père et de le vouer à l'angoisse et au chagrin.

Mais avant que l'ouïe affinée de l'aveugle, si sensible aux moindres nuances des voix, eût saisi ce trouble passager et s'en fût alarmé, Renée surmonta sa défaillance et continua d'un ton presque enjoué

En vérité, tu te tourmentes à tort. D'abord, je n'ai pas, comme tu le supposes, abandonné tout espoir. Je persiste il croire que Maxime est vivant et iiu'il reviendra parmi nous. bientôt. plus tôt que tu ue crois.

Propos de bonne humeur LA FÈVE

j Max Lanteuil se rendait chez sa tante pour y manger, comme de coutume, la galette des Rois. Car c'était un usage devenu sacré dans la famille chaque année réunissait autour de la table de la vieillc dame tous ses neveux, nièces, arrière petits neveux, arrièrepetites-nièces, cousins et cousines à la mode de Bretagne.

Or ce n'était pas précisément d'un coeur léger que Max voyait approcher le moment de ces agapes. Non qu'elles fussent ennuyeuses. la plus franche cordialité y régnait toujours; mais il y avait la fève!

Satanée fève L'heureux mortel à qui elle échéait ne pouvait décemment couronner une autre reine que la maîtresse

de la maison elleméme Et frotter sa joue contre les poils folkts du menton de la vieille dame, alors qu'il y avait autour d= la table tant et tant de visages frais et jeunes, particuliè-l rement celui de la! petite cousine Aline! avouez que c'était déjà un peu rageant Mais cela n'était encore rien en comparaison du cadeau que le roi se trouvait tenu d'envoyer le lendemain à la reine, en souvenir de 1 e u r éphémère royauté. C'était déjà moi

il y a deux ans et launée dcrmère. grommelait et j'en ai été chaque fois de mon cadeau de dix louis Si ce n'est pas malheureux Une tante à héritage qui se fait faire des cadeaux par ses neveux! ses pauvres neveux, qui ont tant de peine à boucler leur budget! Si la guigne s'en méle, ce sera encore moi cette année jamais deux sans trois! Et il faudra encore l'embrasser devant vingt-cinq blagueurs qui se paieront ma tête, et demain lui envoyer des douceurs qui me mettront à sec jusqu'à la fin du mois. Oh! non, non et non. Elle ne m'aura pas cette fois! J'aimerais mieux. j'aimerais mieux. je ne sais pas quoi!

Max était loin de se douter qu'un événement insolite se préparait prise d'une crise de générosité subite et inhabituelle, la bonne tante rôdait autour de la galette avec des airs de conspirateur.

Voyons! murmurait-elle, profitons de ce que nous sommes seule, et glissons à la place de la fève. ce que je destine à celui de mes neveux qui sera élu par le sort Pauvre petit. sera-t-il content Ah! ah! ah! Ils sont loin de s'attendre

Aujourd'hui

La flamme du Souvenir sera ranimée par J'AniicMlB tics urflcifTS il'a'Jministi'atiua des ré'rrv^ du de l'Intendance. Chambre des députés Séance l."> heures (élections de vice-présidents, secrétaires et Institut musulman i; h. 30, réception du ministre de Perse.

Arbre de Noël (les « petits PouUjots », 16 h., Monlln-nmigc. M. Paul Veroia « Au trraiHl large., •>, Il., il. rue du Sommcrard. Gala des Ailes, ̃-»» il. :00. palais du Trocadêru. Réunions d'anciens combattants A. C. des IL 1. et c>u» IL I. T., io h. 17, rue <!il Pont-A'e.iir. U' Burnous, ït h., boulevavd de Strasbourg:. A. C, des 74- et •>7l« n. I. et sa» n. T., 21 28, ljoulevai-d de S;rasbour«r. A. C. du zouaves, 2t h., ̃M. rue Biimey. A. C. du I., 80 h. 30, Il: rue Saint-Lazare.

Banquet Le ttaroc. midi 30, rue Poitiers. Hat de l'Ecole coloniale, 21 h., avenue Hoche.

T. S. F. Radio -concerts des principales sta.tions de France et de l'étranger, (Voir au Courrier des amateurs.

Le Président de la Républfqun a reçu hier après-midi, le général Sîniel de Cordes, ministre des Finances du Portugal.

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Ainsi l'espoir, par lequel elle trompnit son ,'ittente, lui montait malgré elie aux lèvres et se trahissait, avec une force de conviction qui inquiéta M. Sérignan plus qu'elle ne le réjouit. Lui ne croyait pins au retour possible du jeune égyptologue. Et sou expérience le mettait en garde contre l'apaiserment passager que peut nous apporter un espoir trompeur. Il savait de quel surcroît de douleur se paie cet apaisement ù l'heure fatale de la déception. Loin d'encourager Renée, Il aurait donc voulu avoir la force de la mettre en garde contre un optimisme sans fondement.

Sur quoi fondes-tu cette conviction. qui me semble bien chimérique ? demanda-t-il en soupirant.

Renée ne pouvait être découragée. Mais l'heure n'était pas encore venue pour elle de confesser pourquoi. Tout reposait sur Ahzab. dont elle attendait le retour. Il eût été prématuré de parler de la promesse du fellah et de l'expédition qu'elle espérait pouvoir tenter avec son appui.

A cette heure, d'ailleurs, savait-elle ce que valait cet espoir et de quelle façon elle pourrait réaliser son projet? Elle put donc répondre sincèrement Ce n'est encore qu'une Intuition, un pressentiment. Mais il est tellement fort que j'ai confiance.

Prends garde murmura involontairement le père angoissé.

Ah s'il eût connu les projets témémires de sa fille et sur quelle résolution reposait sa conflance, de quelle voix, plus forte et plus déchirante, il eùt jeté son cri d'alarme et combien il eût tremblé pour sa ülle ?

Mais pouvait-il la supplier de ne pas s'engager dans une aventure qu'il ignorait Il eût haussé les épaules si elle lui avait cont6 l'estraordinaire histoire

à cela! J'aimerais bien que ce fût mon petit Max. Il est si gentil!

Mais, dès l'arrivée de ses invités, elle reprit son allure habituelle et ne leur laissa pas deviner sa supercherie. Le dîner fut charmant, mais, pour Max, empoisonné par l'idée de la galette Une sorte de superstition angoissée le persuadait que la fève serait encore pour lui. et il se répétait navré

Jamais deux sans trois! Mais qu'est-ce que je pourrais bien faire?. Lorsque la galette, découpée et distribuée avec le cérémonial d'usage, le jeune homme reçut sa part, il la considéra avec méfiance. Puis, ne lui ayant rien trouvé d'extraordinaire, il se décida S ia porter à sa bouche. Mais, aussitôt, il fit une

affreuse grimace. Dès la première bouchée, ses dents avaient heurté un petit objet rond et dur la fève! Ça y était Encore une fois, il écopait de l'embrassade et du cadeau Ah! non, par exemple Un moment, il roula dans sa bouche la petite boule, qui lui semblait énorme, et, chose étrange, révélait des arêtes vives à l'enquête de sa langue. Puis, résolument, désespérément, il avala la fève! Ouf 1. peusa-t-il. ça a passé.- Ah! quelle veine!

Mais ce fut juste à cet instant que sa tante, s'étant levée, déclara, solennelle Mes chers enfants, jusqu'ici, vous m'avez toujours gâtée à l'occasion des Rois. Aujourd'hui, j'ai pensé que c'était bien mon tour, et, à la place de la fève, j'ai glissé un de mes plus beaux brillants! Celui à qui il échéera se le fera monter en bague ou en épingle de cravate! C'est mon cadeau d'Epiphanie!

Eh bien je ne sais pas si cela vous étonnera, mais jamais, jamais, la galette des Rois ne sembla à Max aussi difficile à digérer que ce soir-là!

Léo D.VRTEY.

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et parlé de la fatale Hata-Sou. Lui qui n'avait pas vu, pouvait-il croire il l'existence de ia mystérieuse habitante du tombeau ? Moins crédule que M. Carqueiraune, il se serait refusé à accorder le moindre crédit aux affirmations d'un fellah ignorant et superstitieux. Et quant au témoignage de sa fille, il l'aurait écarté en affirmant qu'elle avait pris son désir pour une réalité et qn'elle avait cédé à une véritable autosuggestion.

t'rendre garde, pour M. Sérlgnan, c'était simplement ne pas s'abandonner à l'espoir imprudent, ù l'espoir irréalisable.

Mais, pour Renée, ce conseil prenait un autre sens. Et elle se refusait ù l'entendre. Renonçant à poursuivre la con- versatlon, elle retomba dans son mutisme, que, cette fois, son père n'osa plus interrompre.

Le déjeuner, d'ailleurs, touchait à sa fin. La servante venait desservir et apportait le café, après avoir placé les tasses devant ses maîtres distraits. Entre Renée et son père il y avait une chaise vide celle de Maxime Fleuraine, dont elle marquait la place inoccupée. La fiancée l'avait voulu ainsi, pour affirmer aux autres comme ù elle-même qu'elle persistait à attendre l'improbable retour.

Demain, peut-être, Il sera là I pensa- t-el le.

Puis elle baissa la tête, parce qu'une autre pensée s'imposait il elle Ou bien c'est moi qui n'y serai plus. Pauvre père

Elle se leva pour échapper a l'angoisse qu'une telle pensée mettait en elle. Il ne fallait pas laisser entamer son courage. Et, surtout, il fallait, pour avoir la force de partir, continuer & croire fl la possibilité de revenir. Comme tous ceux qui veulent se con-

RHUM SUAMES

commerce vieiiii sous lecta! tropical, le Rhum S*- James a dfsttR#u« dfc» autres rhums par son moelleux, et < onceur naturelle et la délicatesse de son aroma- LA PRODUCTION DE 19 CH&RB0NNA6ES Fi NOVEMBRE 1926

La production de nos charbonnages pour le mois de novembre s'est traduite par une nouvelle et forte augmentation sur Je mois précédent. Elle a atteint, eu effet, i.Giô.i-f? tonnes pour 25 Jours de travail contra 4.S68.697 en octobre pour 26 Jours de travail. Elle s'élevé au total à -47.8iB.903 tonnes pour les onze premiers mois, donnant uu chiffre global annuel d'environ 5J millious 1/2 do tonues au lieu do i8 en lOïr. et 45 en ism.

Quant l'extraction Journalière moyenne, elle ligure pour iSô.805 tonnes contre en Janvier Le décompte de cette production donne H7.Î91 tonnes pour la bassin du Nord et du Pas-de-Calais. 50.S67 tonnes pour le Centre et le Midi et tonnes pour les houillères de Lorraine.

Ennn la production de coke métallurgique se cntftre par ;uo.{8f tonnes, dépassant de plus de tonnes la production mensuelle de 1913.

DU 10 AU 25 JANVIER

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Une visite a leur salle de vente est du plus grand intérêt pour les acheteurs soucieux de trouver des PAPIERS a très bas prix. Le Janvier, lo deuxième dos Grands concerts de gn!a de Monte-Carlo sera dirigé par uu des meilleurs musiciens anglais, sir Landou ttonald, que nous vertrons pour la première fois sur la Cote d'Azur et dont l'organisation (les concerts classiques de Monte-Carlo s'est assuré l'exclusivité. Sir Landon Ronald, qui est directeur du Guildhall Conservatolre de muslque et chef d'orchestre du lloyal Albert Hall de Londres, De montera an pupitre que pour ce seul coneert, dont le programme comprond trois premières auditions Monte-Carlo /rts/t nhapsody n- do Stanford non Juan, poème s.vmnlonique de Itichard Strauss, et la &• Symphnnie. de Tscliaïkowsky.

DES CONFÉRENCES TECHNIQUES DONNÉES PAR LE SYNDICAT DU BATIMENT

Le comité régional des syndicats ouvriers du bâtiment confédéré de la Seine va donner tous les jeudi., il partlr de demain, des conférences techniques, publiques et gr»qui auront lieu a la Bourse du travail.

vaincre de la légitimité de leurs espoirs un du bien-fondé de leurs desseins, elle choisit, pour en apaiser ses craintes, toutes les raisons qu'elle avait de croire au succès.

Si je pars, c'est qu'Ahzab sera revenu, prêt à tenir sa promesse. Avec son appui, ce ne sera pas nne folie de tenter cela.

L'heure de la sieste la libéra de toute contrainte. Ne craignait plus de voir son père deviner son agitation et s'en inquiéter, elle donna libre tours son impatience.

Les vingt-quatre heures sont expirées. Ahzab devrait être là. Aurait-il renoncé 1

Frendue dans le fauteuil de jardin qu'elle avait Installé sous un palmter, elle attendit anxieusement. Près d'elle les branches d'un massif s'écartèrent et le fellah apparut.

Es-tu toujours décidée il braver tous les dangers ? demanda-t-il.

Je braverai tout, répondit énergl- quement la jeune fille.

En ce cas, écoute. J'ai conté ton histoire à un riche roumi qui rêve, lui aussi, de contempler la mystérieuse Hata-Sou. Comme toi, il est prêt iL tout braver pour satisfaire son caprice. Chez lui, ce n'est que de la curiosité. Mais il est heureux pour toi que cette curiosité le pousse il cette folie. Tu en protiteras, car intéressé par tes malheurs, Il s'est engagé à tenter de délivrer ton fiancé et Il consent à ce que tu nous accompagnes. Comme Il ne s'aventurera pas seul dans le, domaine de la sorciere, mais accompagné d'hommes solides et bien armés, dont je guiderai ta marche, nous réussirons peut-être à triompher des embûches que, par sortilège, elle fera sûrement surgir sous nos pas.

(À suivre.) Henri Ji^oc.nc.


LA CRISE CHINOISE CHANGHAI EST MIS EN ÉTAT DE DÉFENSE UNE CENTAINE DE SUSPECTS Y ONT ÉTÉ' ARRÊTÉS

Londres, 11 janv. (dtip. Petit Paris.) A en juger par les» rtéipéchc-s reçues uujourtfhui d'Exte-ême-Orient, 1 intérêt de la situation semble se con- centrer sur Cha,nifjhaï, qui est, pratiquement régime de èa toi martiale. Le conseil munteipal a publié une prociairtation interdisant les rassemblements et démonstrations de toute nature et avertissant tes agitateur» des sanctions auxquelles ils «'exposent.

Prévenus de lu présence dans la cité d'éléments ivvolMt.kmnairea qui s'y eoiit introduits les autorités firent procéder la nuit desm mière, par des groupes de volontaires W- de la réserve de police, assistés par des forces régulières, à de minutieuses p&rctuiâitiptts qui s'étendirent à m cherches, conduites vigueur, aboutirent à l'arrestation d'une cenlaine de suspects dont l'intarroga» foire se poursuit.

En outre, en vue de prévenir la féf>étiti<m des désordres qui se produisirent à Hunkéou, les autorités ont fait' hérisser de fils de fer barbelés toutes les entrées des voneessionia étrangères.

On signale enfin due le conseil munioipal de Changhaï a décidé d'accepîp.r l'aide des forces milrilaires pour détendre la cité contre toute attaque par les troupes cantonaises. Les renseignements ci-dessus sont r.onUrmfis par l'envoyé spécial du 'rimes, qui mande que le corps nonsuivre de Uhanghaï s'est réuni spécialement aujourd'hui et a décidé de défendre Changhaï contre les jfes^iolences et les attaques de la popu,ce et d'y maintenir l'ordre et le Hr^Tespect de la loi.

VERS UN ACCORD

ENTRE LE NORD ET LE SUD (7) Hfftondres' 11 janvier 'dép. Petit Parisien.) On mande de Tokio à l'Exciiange TelegrapU que, dans certains milieux iapouais. on s'attend à ce que le Nord1 et li? Sud de la, C'hine s'entendent, au cours du prochain t.ri-mesfcr»>. sur lee termes d'un oompromis qui mourait fin il rantai-rouitinio actuel.

LE BANDITISME DANS LE CUANTOUNG Londres, 11 janv. {dép. Petit Parisien.) Un message Britistt Uuiled Press de Pékiu signalé que dos bandits ont cerné le village du Ouaug-Cliipao (provinoc de Chantoung), incendié les habitations et massacré la majeure partir; de la population, soit un millier de personnes. M.BALDW1N CONVOQUE D'URGENCE LE CABINET BRITANNIQUE

Londres. 11 jauv. {iUp. Petit Parisien.) M. Baldwin, interrompant d'uno. façon iirtnrêvuç ses vaçauaes. dans le Wltr«esterâhlre, est rentré il tondre» uujourcVYvai et a convoqué une réunion du cabinet, pour demain après-midi. Au cours de cette séance. il laquelle n'assistrront pas M. Churchill, lord Birkenhead.'M. Ampry, sir Sarnufl Hoare et sir Lamina WorUiingioi) Evans, tous hors de Urande-Brelague, sir Austen Chamberlain tera à ses collègues préseuls un exposé de la situation en Chine. Le cabinet discutera en même teinps la politique que commandent les évu'nement=.

̃f AU CONSEIL DES MINISTRES FRANÇAIS M. Brian»}, an cours du conseil tenu hier matin, a mis ses collègues au courant de la situation extérieure et prinoipalement des événements da Chine. AU NICARAGUA

L'ACTION "DËS~lTATS- UNIS Managua, 11 janvier (dép. Havas.}

Les forces navales américaines ont rernuaté la rivière Esconuido jusqu'il une centaine de kilomètres environ, alla «l'étaWJr uno zone neutre à l'intérieur du Nicaragua. Uno autre zone a été préparée à l'embouchure de la rivière \Vawa. suivant des informations parvenues à Managua, les forces libérales se préparaient à attaquer Rama. à un peu plus de i.iO kilomètres do l'embouchure de la rivière Escondido. mais elles ont maintenant renoncé à c9tto attaque.

LA PROTECTION DES ETRANGERS

Phfladelphie, 11 janvier (dép. Hâtas.) Parlant à Philadelphie, hier soir, !̃•; «énat,pur Wlllis, de FBtat d'Ohi», a dit notamment:

<̃ ,ic sais qu'au cours de ces derniers jours, les gouvernements français et italien ont demandé au gouvernement des Etats-Unis do protéger leurs re6sor. ti.-sants au Nicaragua. Si nous disons nus. pays européens que nous ue protégerons pas la vie et les biens de leurs nationaux, 3s le feront eux-mêmes, particulièrement l'Angleterre. ̃>

DES REPRESERTATIONS CHILIENNES (1) Sdutiago-de-Chili, 11 janv. (défi. Ra,dto.) Le député Figueroa vient de déposer sur le bureau de la Chambre des députa chilienne une résolution demaudant que Je gouvernement chilien fasse immédiatement des représentations aux Etats-Unis pour leur intervention au Nicaragua.

TOUT L'ÉPISCOPAT MEXICAIN AURAIT ÉTÉ ARRÊTÉ

Mexico, janvier idép. Hâtas.)

Après cette de l'évêque de Tabasco, la police a procédé il. d'autres arrestations. 1J o a sept archevêques et vingt-troie év&îûes au Mexique. On croit qu'ils sont tous arrêtés.

RENCONTRE SANGLANTE

ENTRE CATHOLIQUES

ET AUTORITES MUNICIPALES

New-York, 11 janvier (dép. Times.)

Une !entative de suppression des 'démonstrations religieuse» par les autorités municipales de Cocula, dans l'Etat do Jalisco (Mexique), s'est terminée par une effusion de sang. On rapporte que 21 personnes ont été tuées et que parmi les victimes se trouvent !e maire et le député local, M. Sostènee Castillo. Il y aurait en outre dix blessés.

Majooc». Peux soldats QuI, en état d'ivresse, s'étalent pris du querelle avec des passants, ont été immédiatement ramenés au corps par la g-end«-MS.ne, punle de prison et iiicarcéréî.

Rabat. Le colonel Huot, commandant la «région de Tjts», aneiemiemwH directeur des affaire5 et du service Oes renaefynements au M»roc, est cIté i l'ordre de 'l'armée.

Bergen (Norvège). Le vapeixr Mistm'. de FredwUstad, tnnsportant une i'*rga»on do cote. » cou':» àKia le fjord 'le Kor>. Huit de» mem&re» de d'éffulpaye ont péri.

LA CRISE ALLEMANDE ON NE CROIT PAS A BERLIN AU SUCCÈS DE M. CURTIUS Berlin, il janv. {dép. Petit Parisien.) Le bureau de la fractian parlernentaire du centre catholique du Rekhstag ». télégraphié à ses membres pour qu'ils viennent au complet prendre, à 16 heures, au Reichstag, •uno décision à' l'égard des négociations menées par le ministre des Affaires économiques, M. Curtius, en vue de la formation d'un cabinet d'Jimpire orienté à droite. C'est do la décision que prendront demain les députés catholiques quo dépendra le succès ou -l'échec de la mission de M. OUrtius.

Cetui.oi s'est entretenu avec les principaux chefs de tous les partis bourgeois, mais sans résultat positif. On sait qu'une coalition de droite sans la collabo-ration des.oatholiqvu's me réunirait pas une majorité. S'il est vrai que l'aile droite du centre, qui représente les intérêts de la grande industrie rhénane, ne serait pas apposée à une alliance awc la droit, il est à peu près certain que la majorité de la fraction repoussera demain une telle collaboration. On notait aujourd'hui dans les milieux catholiques un certain mouvirienl de mauvaise humeur à l'égard de M. Stresemann que l'on s'étonne de voir accepter sans mot dire les tractations destinées iL créer un cabinet de droite.

La Germania, feuille offlci'elle du parti catholique, mais qui en représente phia exactement l'aile gauche, écrit

M. Strese-maiin joue un rôle peu clair n'est-il pas l'ancien «t futur sinistre des Affaires ét.paiijf&res La libération de la Rhénanie n'est-elle pas son but la plus immédiiiat ? Croit-il sérieusement pouvair obtenir plus facilement l'évacuation fiai- les nationalistes On veut nous faire croire que dans la question de la composition du gouvernement* il n'a pas tout le parti populiste derrière lui. Y a-t-il deux hommes en lui ? Ou bien croit-il que des tiers lui enlèveront ta ro»ponsal>ili>t<5 de l'échec d'une Hvolulion à droite encouragée i>ar lui-niômo ? Il es-t plUkS que probable que la combinaison dr, droite échouera demain, on n'en T<>miU'qviera .pas moins qu'elle avait de nombreux partisanes douté.

LES BUTS DU VOYAGE A ROME DU COMTE BETHLEN

Les .journaux de Belgrade publient une information de Budapest, selon laquelle le président du Conseil, le comte Bethleu est parti hier à destination de Rome, où il doit avoir une importante entrevue a v e c .M. Mussolini. On affirme de môme source que le comte Betitlen aurait

entrepris ne voyage pour répondre à une invitation de M. Mussolini, dans le but de conclure avec l'Italie un pacte d'amitié analogue au pacte italo-rouinain.

L'Italie offrirait 11 la Hongrie imi échange dû ce pacte la solution do la question de la royauté en Hongrie l'accession au trône de Hongrie de ¡'archiduc Albrecht une fois que celui-ci aura épous6 la princesse Ileana, fille des souverains roumains la solution de la question d'une zone libre hongroise dans le port de Fiume.

Les milieux politiques de Belgrade .sont vivement émus par cette information et soulignent que les négociations au sujet de la zone libre hongroise ont déjà étr, entaniées, mais qu'elles n'eurent jusqu'ici qu'un caractère technique et non diplomatique^

Les souverains roumains célèbrent le anniversaire de leur union Bucarest, il janvier [dëp. Havas.) La famillo royale a. célébré aujourd'hui, dans l'intimité, le trentecinquième anniversaire du mariage dn roi et de la reine do Roumanie. Le roi de Danemark grippé Copenhague, il janv. (dép. Bavas.) La soirée que devaient donner le roi et la reine vendredi prochain en l'honneur des membres du Riksdag a été ajournée, le roi souffrant d'une légère attaque de grippe.

UNE PETITION POUR L'AMNiSTIE DES FAUSSAIRES HONGROIS Budapest. 11 janvier (dép. Hàvas.) Une pétition en faveur de l'amnist,ie des condamnés dans l'affaire' des faux billets français, portant plus de signature?, été présentée aujourd'hui, par t roi? au LE TRAITÉ DE COMMERCE FRANCO-ALLEMAND

Berlin, il janvier (ddp. Petit Paris.) L'officieuse T^glicht Rundsrhau écrit: •̃ Jl avait été qwtion de repren.îvlative.» un traité <.t« commères définitif entre la France Pt l'AHemagnn. On croyait en effet pouvoir être en possession du nouveau tarif douanier français pour la mi-déocmbfe cette espérance ne s'est pas réalisé* et le tarif ne sera oonMQunkjué au gouvernement allemand que dans li-s prochains jours.

Comme il est nécessaire d'examiner à fond ces tarifs, la date des négociations en question ca se trouver retardée. L'aocord oornmcrciad vient 1l êcManct le 21 février Il »era dono nécessaire de prolonger de quelques semaines l'accord actuel.

L poies liiw u se maRE il mm Madrid', Il janvier <dép. Havas.)

Les journaux annoncent que l'aimbasgswleur d'Es-pagne îi Pans arrivera i Mswlrid samedi prochain. Aprts un entretien avec 1e ministre des Affafe'ee étrangère*, M. Quinones de Leon partira pour Moratalla où aura une conversation avec le roi et le ««aérai Primo m Rivera. L'ambassadeur rentrera immédiatement aprèe, A Paris,

LA SITUATION A SUMATRA REDEVIENT NORMALE

La Haye, Il janvier (dép. Petit Parisien.) Selon des informations émanant de Padansp, on considére la situation comme rétablie il Sumat.ra. L'arrivé de douze brigades de gendanneri« venues de Java, a produit une ercellente impression sur la population qui, paistble dans sa presque totatlté ne demande cju'4 t\st protégle contre les' commuais UJ6.

LA CONFRONTATION ENTRE MARIE-LOUISE FOUQUET; ET LE LIEUTENANT CAIENAVE En procédant, hier, à la confron- tation du lieutenant. Pierre Cazenave avec son ex-amie Marilly de Saint- Yves, redevenue plus simplement Marie Louise Fouquet, le juge d'instruction Roussel a terminé l'instruction de cette affaire dont le dossier va être remis au procureur de la République de Versailles.

La déposition de M. Pierre Cazeuave n'a apporté aucun fait nouveau. Le jeune homme, qui était assisté de 'de Suzanne Blum, secrétaire de M' Paul-Boncour ce dernier étant retenu à la Chambre a con- arme le retrait de sa plainte et sa constitution comme partie civile dans l'unique but de soutenir les int'wrèts moraux de la, famille Gaienave, dont le pèra est, comme on le sait, président de la chambre des notaires d'Orthez.

M. Cazenave n'accuse nullement celle qui faillit devenir sa meurtrière et ne formule aucune objection contre la mise en liberté provisoire demandée par M' Python. Malheureusement, Mlle Fouquet n'a pas de domicile légal. Ses parents, désespéréa de son aventure, ont, par un télégramme laconique, manifesté leur désir de ne plus s'occuper d'elle, Dans ces conditions, Marie-Louise Fouquet, n'ayant d'autre toit que celui de la prison, devra y rester jusqu'à son très prochain jugement. Ce n'est que vers 17 heures que 11(le Fouquet fut introduite dans le cabinet du juge où se trouvait dé,jù son ancien ami. L'entrevue que l'on pensait devoir être pathétique fut glaciale,

Pierre, dit-elle, en tendant la main, tu me pardonnes ?

Le jeune homme la repoussa, doucement mais fermement et dit Je to pardonne, mais, vois-tu, tout est flni. Longtemps j'ai craint le scandalo et le scandale a éclata. Ta violence a «>mpii le charme qui nous liait tous Ies deux.

La jeune femme n'a pas insisté. On lui donna lecture des déclara!.ion:; de l'officier. Elle ne fit que quelques objections de détail. Ensuite elle nia avoir avoué à son ami quelle n'était plus innocente le jour Où elle se donna à lui.

J'ai simplement dit que j'avals eu un ilirt assez prononce, ce qui éfait çtrictament vrai. et ceci, uniefuemoet pour éviter les reproches quo mon ami aurait pu m'adresser en apprenant cette liaison antérieure.

Le juge essaya do savoir d'où provenaient les fonds que dépensaient ensemble les deux amants. M. Pierre Uazenave rappela qu'il y avait employé toute sa solde et le produit de quelques petite emprunts. Do son fréquemment des sommes a?=P7.

importantes dont il n'avait guère recherche la provenance. Toutefois, U affirma avoir vu une lettre de la frnmd niAre de Forges-les-Baux, Mme Tram-art, contenant des sommes variant entre 200 et franc*. Le juge donna lecture d'une lottre reçue d'un onde, M. Camille' TranCar!. lettre iort cruelle dans laquelle on relève cette phrase Tu tes ia honte du notre famille. Que n'as-tu eu lc courage de tc suiclder comme tu en as manifesté l'intention, afin d'échapper l'action de la justice. Cette lettre m parut faine aucune împresskm sur la jeune femme et pour cause

L'oncle, dit-elle, aurait eu bien de la chance si je tn'étaits détruite, car depuis longtemps il vit aux crochets de ma grand mère.

De cette confrontation, il ressort que M- Pierre Cazenave a offert plusieurs fois le mariage à Marie-Louise Fouquet qui refusa, pour conserver, dit-elle son indépendance de caractère, alors qu'en réalité il apparaît qu'elle n'osait pas avouer à son ami son véritable nom, ses origines trop modestes, ainsi que son manque total de fortune.

C'est devant ce refus formel que Ie lieutenant, fortement chapitré -par sa farniHe, prit la décision irrévocable de rompre. Le drame n'a pas L'instruction de l'affaire Barrel est close TouIoc-sur-Mer, 11 janvier (.dép. Hatas.) Le dossier de l'atfaire Josepli Barrel, ancien président du tribunal de coinni+TM àe Toulon, a été envoyé Il la chambre des mises en accusation, près la cour <l';ippc-l d'Aix fins de déci-

Un gala de boxe a été donné au bénéfice des "Gueules cassées" t'ne réunion J'? ln.'xe, donnée ua bénùHce des « Gueules cassées », et présidée par le général Gouraud, gouverneur militaire de Paris, a été donnée hier au Cirque de Paris. Résultats

Championnat de francs des welters.\ Roincrlo, tenant du titre, vainqueur d'Air. Ross, aux points, en quinze rounds. Combats en dix round*. CU. RaynoiiaivJ vainqueur d'Albert Holine?. aux points; Bsnoche vainqueur de HermeJln, aux points; Leca.dre vainqueur de Debéve, aux points. If. programme comportait en outre une exhibition de Orpentier contre Waller et un assaut à l'épée entre Roger Ducret et Cornic, qui furent vigoureusement applaudis.

Un programme «igné par le général Gouraud et le colonel Picot, président des « Gueules eassées u vendu aux enchères, a été adjugé 5.500 francs à un Américain anonyme.

LES EHFIATGS CBISB DE t»GB La. Fédération nationale des eyndicats confédérés d'employés, émue de la crise de chômage, avait demandé au ministre du Travail de suspendre momentanément les dérogations à la journée de huit heures.

Le secrétaire fédéral a reçu, en réponse, une lettre daus laquelle le ministre fait connaître que les InspecLours du travail ont été invités à intervenir après des employeurs pour les amener, en oae de surcroît de travall. à embaucher un personnel supplémentaire au lieu de prolonger la durée normale de travall. Les inspecteurs du travail ont été également priés de signaler aux offices publics de placement toutes les déclarations da dérogations qu'ils recevront des chefs d'établissements, afin que les offices puissent. le cas échéant, mettre à leur die» position les chômeurs nécessaires. Dan* cette lettre, le ministre informe la fédération que plusieurs organisa.tions patronales se sont concertées avec les Inspecteurs du travail pour que, dane Ies circonstances actuelles, leurs adhérents évitent autant que pos- sible les heures supplémentaires.

LES MEURS DU IHMtMT ROSE MUFFER ET SOUTER

FONT AU JUGE LE RÉCIT

DE LEURS NOMBREUX CAMBRIOLAGES Au cours de son interrogatoire, Souter fut, par deux fois, frappé d'une crise épileptiforme

M. Michel Le Bourdelès, juge d'ins- truction ài Compiègne, a interrogé, hier, pour la première fois, les deux cambrioleurs qui, dans la nuit du 11 au 12 octobre, pénétrèrent dans la tour du « Trésor » du château do Chantilly et y dérobèrent entre autres objets de valeur la diamant rose, que l'on devait retrouver le 18 décembre, à Paria, dans un hôtel du,boulevard de Strasbourg où l'un des voleurs avait laissé sa valise. Le chef de l'expédition, LéonEmile Kauffer, âgé de trente ans, originaire de Saverne, a été introduit le premier dans le cabinet du magistrat. MI René Brunet, du barreau de Paris, l'assistait.

Taillé en hercule, blond, au regard clair, presque de physionomie franche et sincère, V inculpé a répondu sans embarras aux nombreuses ques(ions qui lui furent posées.

légion étrangère, il eut, au front français, une très brillante conduite. Il fut du reste quatre fois volontaire pour des missions dangereuses. Il combattit également aux Dardane\les, en Syrie, en Orient, où il contracta les fièvres paludéennes. Lorsqu'il fut démobilisé, en 1919, Kauffer vint s'installer à Muttenhein (Alsace). Là, il exploita un commerce de peaux de lapins angoras et fit l'élevage de porcs. Ses affaires étaient prospères et l'inculpé précisa qu'il gagnait plus de 100,000 fr. par an.

En 1922, Kauffer connut Souter, son cousin, qui devint son employé et aussi, affirme-t-il, son mauvais conseiller. Il eut une amie Mlle Decurtis, sa dactylo. Il posséda une auto luxueuse.

Ses besoins d'argent augmentaient alors que son commerce périclitait. La mauvaise tentation

Je commerçais, dit-il, surtout avec les Allemande. Quand le franc devint en quelque sorte une monnaie dépréciée, le fls de très fructueuses affaires, mais vint la revalorisation de l'arRent français ce fut alors la ruine de mes affaires. Comme il me fallait vivre, faire vivre ma famille et mon amte, malgré mes hésitations, je me suis lassé tenter par les offres de Souter.

Tous deux, de concert, noue mimes a exécution le cambriolage de l'église de Mutzig, en Alsace. Ce fut notre première» expédition qui. du reste. nous rapporta peu.

Puis, nous avons cambriolé la villa du maire de Saint-Max, près de Nancy le château de ChanMly, et enfln la villa d'usi commerçant de Bl&issvUle, située eur la. rorata de Waucy à Lupévlïle.

Pour tous ces « exploits Kauffer déclara avec énergie n'avoir été que le comparse, faisant simplement le guet tandis que Souter « opérait a. Faisant allusion au cambriolage du trésor de la basilique de Cléry, M. Le Bourdelès, juge d'instruction, essaya d'obtenir quelques renseignements, mais en vain. Kauffer nia ônergiquemeçt toute participation à ce vol.

U JMïiue, Souter auquel te jugé prcKîSSajT'yana ̃l'a'tiï'èsmidi, fut assez JiKmy.emeziti:. Le 'complice de Kauffer fui' pris, à deux reprises. de wisi» d'épilcpsia, et le magistrat, dut suspendre son interrogatoiTO. Vers la fin de l'après-midi, Souter fut terrassé par une crise plus grave, est l'on dut le ramener, livide, à la prison. Son défenseur, M* Marathe Huet, a d'ailleurs demandé au jugo que sou client soit soumis à une expertise mentale.

Les transes de Souter

Sauter n'en a pas moins été capable de mrrer dans tous ses détaMs l'expédition de Chantilly telle que les deux malfaiteurs l'avaient déjà racontée aux inspecteurs de la sûreté général*. Il précisa pourtant certains points.

Arrivés à Chantilly à 21 heures, ids durent roder autour du parc jusqu'à minuit, sains pouvoir y pénétrer, par suite de la difficulté d'accès. Ils revinrent à la gare, prireut une échelle et Souter grimpa, comme on l'a dit, jusqu'à la tour du Trésor. Il était à eu moment uue heure du naatin. lorsque les deux bandits quittèrent IL' château. lo jour commençait à poindre. Il éiait donc à peu près SouteT a fait de l**nuit qu'il passa dans la salrlc du Trésor, à Chantilly, un récit pittoresque.

Lorsque ,je forçai le panneau de chêne qui protégeait 'la fenêtre, le bois, en cédant, a fai t un fracas épouvannes que je b lis faisaient un bruit d'enfer. A un ir.omieot, par la lucarne pratiquée dans le chêne, une clarté dUfuse pénétra dans la pièce. J'ai eu très peur. de croyais que les gardiens faisaient une ronde avec lcur lanterne. Citait la lune.

sence des deux défenseurs, ie jugo d'instruction a procédé au bris des scellés d'une valise dont Souter était porteur au moment de son arrestation, On y retrouva une épingle do cravate en or, affectant 'la forme d'un serpent et ayant'appartenu au duc d'Orléans qui l'avait rapportée de Palestine. Cette épingle provient du cambriolage de Chantilly, On trouva également un 'réveille-matin, doux brosses en ivoire, une chemise, qui proviennent du cambriolage de la vii'la de Saint-Max. Enfin. une orange au zeste raocofui, toute ratatLnée par le temps et qui, ouverte aussitôt, no contenait aucune pierre précieuse.

Mardi prochain, M. Le Bourdelès procédera la confrotttation de K«uf- fe.r et de Souter avec leur receleuse, bfune Schil. Ajoutons que, faisant droit à la requête du défenseur de Kauffer, le magistrat a décidé de procéder à une reconstitution sur place du cambriolage du château de Chantilly. L'examen des lois militaires commencera très prochainement devant la Chambre

M. Painlevé, à l'issue du conseil des ministres, interrogé sur l'époque à laquelle la Chambre pourrait aborder l'examen de la nouvelle loi militaire, a déclaré que cette assemblée pourrait, dans un avenir très pro- chain, commencer l'examen du projet de loi sur l'organisation induistrielle de la nation en cas .de guerre, dont M. Paul-Boncour est rapporteur. Ce n'est qu'après la discussion de ce premier projet que pourra venir devant la Chambre de débat sur la réorganisation de l'armée et l'atheminemq^gers le serviçe d'un ait.

LE VOLEUR BIBLIOPHILE UN ROUMAIN AVAIT mE

200.000 francs tarages de luxe

II ett aiiiltunl ta dépôt

On vient de mettre la main snr un voleur d'une es- pèce assez rare, puisqu'il s'ijtaît t spécialisé dans la traflc des livres de luxe, qu'il pratiquait aveo une compétence et une habilatd daignes d' u meilleur r usage.

Au mois de décembre dernier, un maître imprl-

HJBur au quartier

de l'Odéon venait sanûor porter plainte con-

tre inconnu devant M. MollawJ, commissaire de police.

r J'ai imprimé, dit-Il, voici deux ans, deux éditions de luxe il. tirage restreint de Ramuntcho et tfAzyadé pour l'éditeur Carteret. Or cet éditeur a reçu dernièrement la' visite d'un libraire venant lui proposer de racheter un exemplaire de ces deux ouvrageas. En les feuilletant, M. Carteret s'est aperçu que les numéros Justificatifs de ces \olumes avaient' été gratttés et remplacés par des chiffres dactylographiés. 11 est venu m'en parler et je vous signale cette affaire qui cache certainement un vol.

Le libraire, questionné, déclara qu'il avait acheté les deux volumes à un certain docteur Sandor, demeurant à Orléans, rue de la République. Ce nom rappela M. Mollard qu'un homonyme, Mexandre-Çharles Sandor, avait été arrêt*5, en octobre 1925. pour vol de livres dans une librairie du boulevard SaintMiche! et condamné à quinze jours de prison.

Un docteur ambulant

Muni do la photographie de Sandor, que le libraire reconnut être son client, 1 inspecteur Millet, du septième district. fut charge de retrouver l'homme. Il n'était plus à Orléans, où il avait vécu pendant quelque temps en hôtel avec sa temme,

Alexandre-Charles Sandor, né le 22 novembre 189B, il. Oradia (Roumanie), et sa femme, née Hélène Reintiz, avaient ainsi passé dans une dizaine d'h6tels en trois mois. Le sol-disant docteur s'y était fait inscrire eous les divers noms de Sandor, Sander, Sandow, Catona, Keller, Keilermann. Il avait, durant ce temps. lait de nombreuses dupes parmi les libraires parisiens, dont un ingénieux prooédé lui permettait de faire k la fois ses fournisseurs et ses clients.

L'amattur de liertt

Tantôt muni d'un pardessus, dont la poche intérieure s'ouvrait sur un vaste sac, Il dérobait les volumes. Mais ce moyen dangereux lui avait valu d'être a.rrêté. D'autres fois, il procédait plus habilement, faisait chez un libraire un premier, achat, voire un second, qu'il faisait livrer à son adresse. Puis, lorsqu'il était ainsi connu du commerçant, qui le laissait sans défiance compulser les livres de ses rayons, il en subtilisait un, soigneusement choisi, et que son pardessus engloutissait. Sandor en était quitte, alors pour ehanger de nom et d'adresse. 11 allait ensuite revendre il. d'autres libraires les volumes rassambiés chez lui. li eu avait ainsi vendu 400, en quatrc lots, représentant une valeur totale de 200.000 francs. Ouvrages de luxe, parmi lesquels un exemplaire relié des Croix de Bois et de Boule de Gui, avec eauxfortes de Fouoret, tiré à U5 exemplaires pour le cercle Grolicr et valant 8.000 francs, ainsi qu'un exemplaire broché d'une v if-"r de 3.000 francs.

recherches, apprit, enfin samedi, que Sonder avait confié un lot de livres à vendre à un libraire parisien et qu'il avait dtonné' comme adresse un hbtel de 'il rue du Rocher, Lorsque le policier s'y présenta, le couple Sandor avait déjà changé d'hôtel. Mais une surveillance é.bablie aux abordes de la liorairie permit d'arrêter le voleur lorsqu'il se présenta avant-hier.

Sandor ne fit aucune difficulté pour reconnaître ses nombreux larcins. On ne trouva en sa possession qu'une valise mise en consigne à la gare de la Bastille et contenant seulement du linge. Il finit par îaire connaître son domicile ractual, avenue Daumesnil. Mais lorsque les policiers s'y présentèrent, sa femme avait disparu, emportant les livres rares qui pouvaient encore s'y trouver. En attendant qu'Hélène Sandor soit retrouvée, sou mari a été envoy au dépdt hier soir.

UN PLOMBIER. DÉPLOMBAIT

LETOIT DE LA GARE DES BATIGNOLLES Aiiidn 1 ton travail, en trois moii il a commit pour francs de digit

Cn surveillant de :a gare des Batignolles, intrigué, hier, par les allures quelque peu louches d'un ouvrir, inter- j pella •wlui-ci et le pria de le suivre au commissariat spécial de la gare Saint- Lazare. La, l'individu, qui portait dans un sao uns vingtaine de kilos de plomb, flt des aveux.

Maurice Maroandier, trente-neuf ans, plombier-zingueur, habitant Montreuilsous-Bols, depuis trois mois montait chaque jour sur la toiture de la gare des Batignolles et s'emp'arait. après un vrai travail de patience, de plusieurs kSos de plontb qu'il revendait au prix de 2 francs le kilo un brocanteur de SaintOuen, M. Frldman. Il en vendit ainsi plus de 1.500 kilos 1

Le toit de la gare, complètement découpé, devra être entièrement réparé et la compagnie des chemins de fer de l'Etat estime iô.000 francs environ les dégâts qu'elle a subis.

LE DRAME DE JOUARRE Mcaux, Il janvier {dép. Petit Parisien.) Le garde-chasse Bruniaux qui, dans la nuit du 14 au 15 novembre dernier, essuya plusieurs coups de carabine et riposta pn blessant mortellement ïc restaurateur parisien Baillard, qu'il avait surpris en train de braconner en automohUe près de Jouarrc, est, nous l'avons dit, l'objet d'une information pour homicide. Un armurier de Menux, commis comme expert, a déposé son rapport tout récemment; mais le garde vient de demander une contre-expertise, pour laquelle M. Fournier, juge d'instruction, a désigné M. Flobert, armurier à Paris. UN OUVRIER PATISSIER A DISPARU

Marié et père de quatre enfante, M. Albert Risofo, »uvrier pâtissier, hatitant Asmèree, a disparu depuie le 29 décembre et n'a pas été revu chez Son patron, 2i, rue de la République, à Saint-Denis.

Les s recherches entreprises par la sûreté ffénéraie et la préfecture de police n'ont donné lucun résultat.

Blesflé de guerre, NI. Riaoh, qui a encore dans la tête une balle qu'il a

les siens, être frappe soudainement d'am- j ne'sie. M.M. Marcel Arnac et Harry Mass sont ûéboutés, par le tribunal de Klce, du procès en noo.OOO francs Uo dotnmagros-lnterbts qu'Us avalent Intente au compositeur Mau- rlce "Xvsin pour n'avoir pas écrit la musl- .que de Joujou de Parti,

ENCORE DEUX GARES DE BANLIEUE CAMBRIOLÉES NUITAMMENT

A la station des « Coquetieri le coffre-fort a été percé et vidé de fraact Les malfaiteurs inconnus et. insaisissables qui, depuis une quinzaine, cambriolent impunément sur le réseau de la Ceinture, viennent de signaler leur passage en gare des « Coquetiers », aux conllns des communes de Bondy et de Viilemonble, sur la ligne circulaire de Paris-Nord à Paris-Est, par Aulnay-sousBois.

Le? cambrioleurs ont opéré de la même manière que lorsqu'ils s'attaquèrent à là station rio l'Allée-de-la-Tour, sur la 1 même ligne, dans la nuit du 27 décembre.

ils ont pénétré dans la salle d'attente en en forçant la porte. Là, ils démastiquerent, dans une cloison vitrée, un I carreau, et l'un des cambrfoieurs dont la corpulence doit être celle d'un adoîesoent, s'est glissé par cette étroite ouverture et a ouvert ensuite les portes des bureaux à ses complices.

Après avoir fouillé inutilement les tiroirs, les malfaiteurs se sont attaqués aux parois du coffre-fort à l'aide d'un vilebrequin. La mèche dont ils se servaient se brisa, comme dans le eambrioIage de l'Allée-de-Ga-Tour, et Ils durent pratiquer une ouverture dans la partie supérieure.

Le coffre-fort contenait une somme de francs sur laquelle les cambrioleurs ont fait main basse.

Le commissaire de Noisy-le-Seo enquête et les inspecteurs de l'identité judiciaire ayant relevé des empreintes digitales s'efforcent d'en trouver les propriétaires.

A la Plainc-Saint-Denu, les malfaiteurs, dérangé*, «'enfuient mu rien emporter l.es cambrioleurs 11 moins que ce ne soit les mêmes qui opérèrent, au cours de cette même nuit, à la gare de la Plalne-Saint-Denie. furent moins heureux. Aiore qu'après avoir pénétré dans les bureaux de la gare en ouvrant un panneau au vilebrequin dans la porte d'entrée, ils s'occupaient à fouiller les tiroirs, une machine haut le pied passa. Inquiets, les voleur* sans s'attarder à fracturer le coffre-fort, qui d'ailleurs ne contenait qu'une somme insignifiante, prirent la fuite, non sans avoir été aperçus.

Avisé aussitôt par un coup de téléphone, te brigadier Olive, du commissariat de la Plaine-Salnt-Denis, arriva dans la gare aveo huit agents et effectua une battue. Mais les cambrioleurs restèrent introuvables.

UN CHAUFFEUR DE TAXI PAYÉ A COUPS DE POING Ses agresseurs frappent également la agent* En stationnement à la porte de la Villette, le chauffeur Pierre Perrucht, vingt-cinq ans, 33, rue de Lagny, chargeait l'autre nuit, vers Il heures, deux individus qui se ftrent conduire boulevard de Vaugirard. Arrivés à destination, les clients, sans payer le prix de la course, s'engouffrèrent dans un débit. Au bout d'un quart d'heure, las d'attendre, le chauffeur alla tes prévenir que le compteur tournait toujours et voulut se faire payer. Les personnages lui rirent au nez et s'empressèrent de déguerpir.

Cependant M. Perruchot les rejoignit avenue du Maine. Les fuyards se ruèrent alors sur lui, le frappant il coupe de pied et de poing. Les gardiens de la paix Gauthier et Bogros, qui étaient Intervenue, réussirent à maîtriser les deux énergumènes, non sans avoir reçu force horions. Ils les conduisirent au commissariat ctu quartier Montparnasse, Ce 1 /Sont deux garçon bouchers, André

Camille, vingt'-cinq ans, 2i>, rut des SeptArpents, à Pantin, et Jules Merlin, vingthuit ans, 67, rue k;douard-Vaillant, dans la même localité, Ils ont été envoyés au Le chauffeur en est quitte pour de nombreuses contusions sans gravité, mais les deux agents ont dO interrompre leur service.

Dans son lit, un cantonnier est blessé d'une balle à la tête Son agresseur reste nijrtte'rieax

Provins, 11 janvier (dép. Petit Parisien.) Un drame mystérieux s'est déroulé, la nuit dernière,' au hameau de Leuilon. commune de Maison-Rouge-en-Brie. Près de la gare de cette localité, dans une maison isolée sur la route de Lizines, habite M. Marcel Brossard, trente et un ans, cantonnier sur la ligne de l'Est Sa femme, rïgéo de trente-deux ans, nourrit un certain nombre de pensionnaires travaillant dans une briqueterie du voisinage. Vers Il heures du soir, M. Brossard, qui dormait aux Côtés de sa femme, fut soudain réveillé par une douleur violente L la tête. 11 ne tarda pas à se rendre compte par le sang qui lui coulait do la tempe droite qu'il avait été blessé par une balle de pistolet. Quant il son épouse, elle déclara par la suite que, réveillée par le bruit de la détonation, elle entendit dans l'obscurité quelqu'un sortir de la pièce. Bleu que grièvement blessé, le cantonnier a pu être interrogé, cet aprèsmidi, l'hôpital de Provins par le lieutenant de gendarmerie Berthier. Il ne peut expliquer l'agression dont il a été victime que par un acte de vengeance, rien n'ayant été dérangé dans la maison. Mais comment l'agresseur a-t-il pu pénétrer dans la maison sans aucune effraction. Venant du dehors, il lui a fallu traverser la cuisine pour accéder à la chambre à coucher contigu\ Les époux Brossard avaient depuis neuf mois un pensionnaire qui couche il la maison, un nommé Paul Crotté, dixneuf ans, poseur à la compagnie de l'Est. Grotte occupe une chamhre voisine de celle des époux Brossard qu'il était obligé de traverser pour rentrer chez Iui. C'est dire qu'une certaine intimité régnait entre les époux Brossard et teur pensionnaire.

Crotté affirme n'avoir pas entendu le conp de feu. Il prétond avoir été seulement réveillé par l'irruption dans sa chambre de Mme Brossard affolée. En attendant la venue du parquet de Mehia, le lieutenant Berthier a fait garder Crotté à vue dans la chambre de sùreté de la caserne de gendarmerie.

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DEUX PILLARDS DE WAGONS AVAIENT VOLÉ UNE AUTO Des inspecteurs de la Police particulière du réseau de l'Etat découvraient, l'autre soir, dans la gare d'AchèresTriage, deux Individus qui, à leurs appels, tentèrent de prendra la fuite. Un de ceux-ci fut cependant rejoint. Il déclara se nommer Célestin Pauc. employé de commerce, demeurant Paris, 31, rue Durantin. Non loin de la voie ferrée, chemin de la Muette, on retrouva une automobile, tous feux éteints, qui, supposet-on, aurait permis aux malfaiteurs d'emporter leur butin.

L'enquête de la gendarmerie de SaintGermain a permis d'établir que cette auto avait été volée é Paris, derrière l'église do la Trinité, dimanche soir, à M. Burin des Roziers, directeur d'assurances, demeurant 31, boulevard Beauséjour. UNE INFANTICIDE ACQUITTÉE Chartres, if janvier (dép. Petit Parisien.) Devant le jury comparaissait aujourd'hui une jeune domestiqua de ferme. Flore perineau, demeurant à Villier5S«int-Onen, accusée d'avoir étranglé, puis jeté dans une fosse d'aisances, son enfant nouveau-né.

Après une émouvante plaidoirie de M* de Beauchef de Servigny, le jury a rendu un verdict d'acquittement.

FAITS DIVERS Manifeitation de irapatliie

Au cours d'un dîner intime, le personnel du commigsai'jat de Levallois-Pewet a remis un objet d'artt fi 'IL Henneqnln, qui vient d'être nommé dans le quartier du Vsl-deGrice. à Paris.

On repêche le cadavre d'un dispara

A la gare ,j'eau d'AuNïrvtHters, on a repêche le nadavre de l'ouvrlur d'usine Joseph Chauve;, cinquaoîe ans, disparu depuis envtixm six semaines de son domicile, 4, avenue du Président-Wtlson, à saint.Ceci*.

L'enquête a conclu au sutcide.

UR charbonnier blesse son anae

Dans un débit de fil rue de l'AncienneComédle, à Cltcl!y, le cbarbonnler Gaston Guérin, 87, rue Martre, se' prit de querelle avec son amie Marguerite Reynaud. surexcite par l'alcool, Cuerin s'arma d'un couteau et eu frappa sa compagnie d'un coup à la n';que. puis Il prit la fuite.

Ai?«é Deu après, il K été envoyé au rfépflt. L'état da la blessée n'est pas grave,

Deux fois volé, deux fois repris u vdeu Pour la deuxième fols en quinze jours, un certain pantalon de drap, exposé à l'étalage de M. Soignez, marchand de nouveautés, 104, avenue de la République, a Montrouge, a tenté une main indélicate.

Le terrassier Yves Goulet, qui, !:lier. avait voulu s'emparer subrepticement de ce votement, a été, après uue poursuite mouve.mentée, arrêté par le vigilant commerçant Un bleue sam aoa

Une automobile conduite par M. Houssfil, rue de Vlncenneg. s renversé hier, rue de Crétetl, Il Malsons^Aifort. un homme et une femme qui traversaient la Chaussée.

Les deux blessés turent transportés à la Salpêtrière dans un état grave, Seule, la femme Put être interrogée. Elle dit se nommer Yvonne Roger, vingt-six ans, 41. rue fprnet, Il Churenton. Çmant il son compagnon, que l'on ne put entendre, il rut ImPossible d'établir son Identité. Il e6t également inconnu sous 1e nom de Louis Gcorïlo, 30. rue François-Miron, fleurant sur un bulletin de sortie de l'hôpital saint-Louis, et que l'on trouva sur lui, 4t aous la nom de !loger GIrOd, rue de la Madeleine, Il Bourgla-Reine, qui figurait sur la plaque de bicy('lette qu'il tenait k la main. D'autre part, la blessée a déclaré au commissaire M penoix, que bien qu'il soit le père de Son enfant, elle ne connaissait son amt que sous le îtftBi de Georges. Le rnas-istrat s'efforce d'établir l'Identité de ce mystérieux blessé. LtrvaltoU-Perret. Quai Michelet, un cycliste DJamar Amar, vingf.trots ans. 3. route d'Asnlères, à Cllcby, a été renversé par un camion qui lui fractura la jambe en deui endroits. A Beaujon.

Pantin. Blessée à la tête su cours d'une cnuto dans l'nscailcr de la maison qu'elle habitait, rut! de Paris, Mlle Jeanne Guérin, quarante-neuf ans, a succombé Btp matin Il l'hôpital Tenon.

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SALONS ET EXPOSITIONS Une exposition a multi-nationale D. Un ensemble Maurice Denis

Fondée par une la

multinationale,

à la galerie Bern-

Lacu-

nes que l'on

vre dans les

rentes écoles*

réunies: pour 1 a n. ueraln France seule, il man-

que, par exemple, Jean M a r c h a n d, Boussingault, Luc-Alb. Moreau, Lhôte, Charny, Pierre Roy, Lotiron, Segonzac, Demeurisse, Coubine, Yves Alix, du Marboré, AsseGn, Metzinger, André Fraye, Barat-Leviaux, Bergevin, les Verdilhan. et je ne cite là, au hasard, que des colo- ristes qui, tous en pleine production, auraient, selon le but même de cette manifestation, les droits les plus certains à un bout de cimaisç. Par contre, des envois d'une désolante médiocrité de Suisse, d'Allemagne, d'Angleterre, des EtatsUnis, du Mexique, d'Espagne (où un des rares qui vraiment compte aujourd'hui Picasso, manque) encombrent les murs envahis, au centre, par un énorme Jean- Gabriel Domergue, dans la manière artificielle que l'on connait chez cet ancien prix de Rome. Heureusement que, pour sauver l'ensemble de l'incohérence, il y a, d'Henri Matisse, un adorable Portrait de femme sur fond jaune rayé de vert; de Maurice Vlaminck, deux rudes et lyriques paysages, et d'André Derain une Dame dons un fauteuid, petite- toile de grand savoir et dé grand charme. Je signale aussi, en passant, un curieux échantillon de plagiat le bônte gothique, d'Otto Morach, dont le fond ressemble comme deux gouttes d'eau au fameux Saint-Sévcrin, de Robert Delaunay, qui fit scandale aux Indépendants d'il y a quatorze ou quinze ans.

Chez Druet, à côté d'une suite de tableaux, de ..is et eaux-fortes de Pierre Guastalla, et de charmants travaux de Paule Gobillard, on nous présente une cinquantaine d'œuvres signées Maurice Denis. dont on peut répéter peut-être ce que, jadis, je ne sais plus quel critique osa dire assez injustement du reste des nus de François Boucher .Des poupées bourrées de coton. Ces deux artistes ne se ressemblent d'ailleurs aucunement, ni pour la facture, ni pour les jsujets.

En dépit d'une originalité indiscutable, d'une palette personnelle et de grandes qualités techniques, les panneaux de Maurice Denis, probablement à cause d'une formule décorative que, dans une certaine mesure, il applique même en ses essais Ses plus réduits, possèdent un aspect sinon de boursouflure, au moins de disproportion si méthodique qu'ils nous laissent une vague sensation de monotonie, surtout quand on en a plusieurs sous les yeux en même temps. Vanderpyl.

le professeur de chant et sos élève

trouvés morts dans un hôtel de la dame-Colombes avaient été asphyxiés accidentellement

,I,e 3i décentre, nous l'avons dit, on 'découvrait dans une chambre d'hùtel, à 1a Garenne-Cotombrs, les cadavres df Mine ToraiUe, professeur de chant, et de m>u ami et élève, l'ajusteur André Le Bazillec.

-Certaines constatations tendaient à faire croire qu'il s'agissait d'un double suicide par empoisounement. 11 n'en est rien.

Les conclusions de l'autopsie pratiquée par le professeur Balthazard, sont formelles le professeur et «on ami bout morts accidentellement, asphyxiées, pendant leur sommeil, par des émanations d'oxyde de carbone.

L'inauguration du boulevard Haussmann On sait que samedi prochain 15 janvier, 10 heures du matin, le Président de la République, assisté des. membres du gouvernement, du président du conseil muïiidpal et des conseillers municipaux des quartiers lntéressés, procédera il l'inauguration de la partie nouvelle du boulevard Haussmann.

Pour donner à cette cérémonie un caracière plus amical, le comité d'organieation a décidé qu'un grand banquet, suivi de bal, aurait lieu dans le salon -de l'hôtel Commodore, Je même jour, à SU h. 30 du soir. Ce banquet sera présidé par M. Godin, président du conseil municipal, assisté de MM. Paul Escudier, député; Adrien Oudin et Georges Pointel, conseillers municipaux du neuvième. CHRONIQUE JUDICIAIRE LES CAMBRIOLEURS DE L'EGLISE D'EVRECY CONDAMNES A DEUX ANS DE PRISON En novembre 1926, trois malfaiteurs, Sauvage, Petttnls et Etienne, cambriolaient l'église d'Evrecy, dans le Calvados.

C'est Etienne qui avait eu l'idée de l'entreprise et les bandits étaient venus A Evrery dans une automobile que PetiîIJls avait volée.

Ils pénétrèrent dans l'église avec des fausses clefs, fracturèrent les deux portes de la sacristie, mats ne purent voler le trésor et n'emportèrent que quelques vases sacrés. La treizième chambre correctionnelle, pré- sidée par M. Tronclié-Maqualre, a condamné les cambrioleurs deux ans de prison, après plaidoiries de Mc» Henriquet et Louis Chauvin.

LA RESPONSABILITE DES INSTITUTEURS Dans une école de la banlieue partsienne, pendant la récréation, deux enfante tombèrent en Jouant et l'un d'eux se cassa uue jambe.

Le père du jeune blessé intenta un procès en dommages-intéréts au directeur de l'école. Il demandait pour son iris une pension annuelle de quinze cents francs. I.a l1» chambre du trihunal civil, estimant que les enfants n'étaient pas sous la surveillance de leurs maîtres quand l'accident su produisit, a débouté le demandeur. FAILLITES. Herschlikowitz et CI.. négociant eu trousseaux pour hommes et dames, 52, rue des Petites-Ecuries. André Lefrrain, entrepreneur de couverture et plomberie, 1, passade Goix. Edouard Ptnet, entrepreneur de maçonnerie, à Villejuif, 33, avenue des Ecoles. Maurice Gaillard, sellier-maroquinier, à Fontenay-sousBois, 16, villa des Quatre-Rnelles. AlbertAlphonse Lenat, marchand de cuirs, 15, rue Brantôme. Nille Marcelle Derontaine, commerce de lingerie, 86, rue de Miromesnil. Albert Bourguignon, commerce d'alimentation, 63, rue Lecourbe. Mollnarl, fonds de commerce de pelleteries et tourrures, 18, rue de l'Echiquier. Antonln Saudrat, commerce de vins et charbons, 37, rue Gabrielle. Léon Darlin, courtier en boissons et denrées alimentaires, 51, rue de Paradis. Gaston Josse, commerce de pâtisserie en srros, 8, rue du Croissant. Léon Goldenberg, négoctant en fourrures, 8, rue BerT&ôïlet.

LIQUIDATIONS JUDICIAIRES. Mme Pinehart, couturière, 17, boulevard de la Madeleine. Mme Berme Prin, lingerie, à Airgenton, avec succursale il Paris, avenue Gambetta.

CHEZ LES ZONIERS

La Ligue de défense des petits propriéJaires zoniers des forts de Paris vient de former ainsi son bureau fédéral provisoire Président générai M. Laville secrétaire général M. Saulnler vlce-préalden? M. Legr»nd secrétaire général adloint M. Laber trésorier général M. Gallois trésorier ««Joint M. Manière secrétaire M. Mombe.

LA VIE SPORTIVE LA CREATION D'UNE AMICALE

DES AVIATEURS

Sous la présidence du commandant Watteau, une cinquantaine de pilotes se sont réunis dans les bureaux de notre confrère Aérauto, en vue de la conStitution d'une Amicale des aviateurs, qui grouperait tout le personnel navigant pilotes, navigateurs, mécaniciens et radios.

Les premières bases du nouveau groupement ont été jetées. L'assemblée géné| raie constitutive aura !ieu dans la première quinzaine de février.

LE GALA DES AILES BRISEES

Le gala des Ailes brisées sera donné, ce soir mercredi, au palais du Trocadéro, h. 30, au bétféflce de la caisse de secours de l'aéronautique et de la propagande aéronautique, par la Société des conférences populaires.

Le général Pujo, directeur de l'aéronautique militaire, présentera au public les aviateurs les plus connus les oapitainea Pelletier Doisy, Arrachart, Girier, Rignot; les lieutenants Coste, Thoret, Bonnet, recordman du monde de vitesse; les aviateurs Callizo, recordman de la hauteur; Sadi-Lecointe, Bossoutrot, l'ingénieur en chef Hirschauer, etc. L'amiral Froehot présentera également les lieutenants de vaisseau aviateurs Demougeot, Paris, Amaurich.

Mmes Herleroy, Zambelli, M. Aveline, de l'Opéra; Uianco Bachicha et son orchestre argentin, le quatuor vocal Kadroff, la princesse Bederkan, M. Betove prêteront leur concours pour la partie artistique.

Le salut au drapeau du 346 d'aviation sera exécuté par les tambours et clairons de la garde républicaine, dont la musique se fera également entendre au cours de la soirée.

L'aération des galeries du Métro En vue d'aérer le un a entrepris la création d'ouvertures dans la voûte de certaines stadions. Des baies de oc genre, établie* à plat sur le trottoir et fermées par des grilles en ciment armé, existent! notamment à la station Châteaud'Eau. 4,

Dans une IpIHv qoi'ii a adressée lum- au préfet de la Seine, M. Beaud, conseiller municipal, demande qu'avant de généraliser te système, on procède à une nouvelle étude. 11 observe, en effet, que des «suintements d'eau, inondant les quais, se produisent par ces ouvertures qui créent, par surcroit, de dangereux courants d'air.

Chez tes voyageurs de commerce La Familiale des voyageurs, filiale de la Protection mutuelle, -vient de tenir son assemblée générale au siège social, 13, boulevard de Strasbourg-. Société de secours au décès, la Familiale a déjà rendu service a 186 familles de sociétaires disparus. L'ac.cès en est ouvert à tout Français et à toute Française qui désirent assurer un pécule de 1000 francs (Qui se montera à 20D0 francs quand le groupe sera complet), payables aa lendemain du décès, moyennant une cotisa.tion de 4 francs par décès, comportant exonération apifej vingt ans do sociétariat. LES COURSES RIER A V1NCENNES. Les résultat» PRIX DE MONTLUÇON

Au trot monte, 10,000 francs, 2,250 mètres 1. Berceuse II (ReneaudK 38 50 à SI. L. nattl P 14 » 9 b ̃2. Bi'ière (C. de Wazières) la'. 7 M 3. Boitron (A. Forcinal) 16 50 il Ui f. Belle Fille (Landry). Non places BeautKinials (L. Pottier) Belle do Joui- (P. Gitton) Béattrlx (Lintann Bergerette (Auvray) Bayadère (G. Pentecôte) Biscotte (R. Céran- Maillard) Belle Rose ti 'BeitaSrttott). Durées 3' 3Si", 3' 34", a' M" 3' 35" 4/5. Réduction au kilomètre 1' 34" 1/5. Onze partantes.

PRIX DE NEBBOUHO

Au trot attelé. 6,000 rrancs, mètres 1. Bonaventure (M. Capelle) 57D 50 à M. J. Gouliler ,P 83 50 55 50 S. Berlingot Nantais (Dubreuil).P b 3. Badine III CVurrler). P 40 sa DU 4. Bataclan Il (Neveux) Non placés Balk-ys (G. Pentecôte) Broully (P. Paget) Bodiae X (R. Céran-Maillarct) Betle Enfant C (nougreon) Bauris (Essartlal) Bassamo Il (P. Forcînal) Bengali T (Labayle) Blanc et .'Voir (DeJi«nare) Blagaeur (Lebouchcr) BelUTontaine (Dessause) Bluet (Michaux) Bel!» V (Bulhlou) Bellegarde II (Slmonard). Durées 3' 38", 3' 38" 3/5, 3' 39" ifâ, 3' 40". Réduction au kilomètre l' 36" Dix-sept partants.

PRIT DE MAULEON

AU trot monté, francs, mètres 1. Allonue (Guêroult) G 189 à M. G. Derossy p «5 SI 50 2. Astre (Verzèle) P 84 3. Argonne II (A. Oioisselet).P 39 50 4. Ad Gloriam (A. Forcinal). Non placés Atalante VII (Picard) Académie VII (L. Leroy) Agamemnon (Cnudde) Almée IV (E. Picard) Annibal (Reneaud) Abysse (P. Gitton) Atalante IV (Hardy) Aphrodite Il (Limant). Durées 3' 2g" 4/5, 3' 30" 2/5, 3' 3' 34" 1/5. Réduction au kilomètre r 32" Douze partants.

PRIX DE MOULINS

Au trot attelé. ao,ooo francs, mètres 1. Ariette IV (Verzèle) G 322 • 171 50 a Mile E. Malmazet P 52 » 30 50 2. Alésla (Bernardin).P P 24 50 16 50 3. As du Bois (Guêroult) 14 50 9 4. ATgers (Cholsseéet). Non placés Xantine (C. Maison) Amarante V (Gougeon); Amoy (Labayle) Audomarole II (C. Wazières) Aline Harris (Capovllla) Aiglon III (G. Pentecôte) Azalée (H. Picard), Durées 4' 18" 2/5, 4' 18" 1/2, 4' 19", 4' Réduction au kilomètre i' 31" Q/W, Onze partants.

PRIX DAUMESNIL

Au trot monté. 10,000 francs, mètres 1. Vigne (P. Vie!) G 117 30 » il. M. P. Gamare 21 50 2. Verslgny (Guêroult) J? 15 7 50 3. Vauban III (L. Dutrourc) 20 10 50 4. Violette (Landry). Non placés Valmy II (Verzèle) Val d'Eure (Neveux) Vulalnes (A. Forclnal) UvaJdy II (G. Pentecôte) Urbain (L. Pottler) Action (E. Picard) Ulloa (A. Sourroubille) Strumitza (Devoucoux) Saitimbaaque (Bulhlon); Azora (L. Oury). Durées 3' 21", 3' 22" 2/5 3' 23", 3' 23" 4/5. Réduction au Kilomètre 1' 29" 1/3. Quatorze partants.

PRIX DE MONTHEDY

Au trot attelé. 15.000 francs, 2,800 mètres 1. Vauquelln (Capovllla) G 35 50 15 50 à Ni. H. Sain(ag-ne. 34 50 12 » 1. Upathus (TcherkassoO) O il 50 8 S0 à M. G, Tournaire 17 • 50 3. Ucnourron (C. Masson) P 56 50 38 50 4. Tyllane (Butti). Non placés Sauve qui Peut (P. Bakkcrt Sérieuse (Cmidde) Ukore (A. Sourroubille) Tolède (P. Viol) Vicomte B (Bakker) Vallet (de Moussac) Trêves (Souchon) Uva Ursl V (L. Forclnal); TounoreMe ((C. Ocknorst). Durées dead.heat pour la premtère place, 4' 19" 2/5, 4' B0" 1/5. Réduction au kilomètre i' 30" 1/2 (Vauquelin). Il (UpaOlus). Treize partants.

HIER A NICE. Les résultats

PRIX DES IRIS

Steeple-etose, réel. 8,000 fr., 4,000 m. 1. Ecurie A. Plraul>e 50 Dlvagueur (Fïwers) «,? 13 50 2. Kanjar (Nlaudot) 6 50 3. Le Pinard (Rovella).P P 7 50 4 Daily (G. Lester). Non placés Cafilemont (Lesranc) Spectateur (Nervo) Précurseur <F. Romain), tombé !srnen (Lan. perAme), tombé. 4 long., 5 long., loin. Huit partants.

PRIX DU CHEMIN DE FER

Haies. 10.000 francs, 2,800 mètres

1. Le Menteur (F. Hervé) 15 50 a M. Jules Fribourg 8 2. Club Daunou (R. Bagnlard) P 17 » 3. Gabelon (Léger) 42 » 4 Kerjean (Audouard). Non placés Cherry Tree (J. Faucon) Lorrain (R. Dubus) Pétrarque (J. Belmondo) Potfcart (R. Petit) Lo Cambodge (G. Gigantl Harry (G. Lester) Vide Pocbes (C. Herbert) PlaIon (F. Romain). 1/2 tong., 3/4 long., 1 long. Douze partants.

PRIX DE LA CORNICHE D'OR

Steeple-chase. 12,000 francs, 3,400 mètres 1. Petit Frère (Nervo) G 8 E0 A M. Jules Fribourg 7 50 2. Fulgurant (Snannl.P 13 50 3. Bandit! (DelTarguiel) 4. Frimousse (W. Spooner). Non placés: Danopio (F. Romain). tombé Roi des Ribauds (F. Hervé), tombé. 2 long. 5 long., 1 long. 1/2. Six partants.

PRIX DU CONSEIL GENERAL

Hates, handicap. francs, 3,500 mètres 1. Dark Way ( Faucon) -G 50 à >J C. Galsiaun.P 17 » 2. Florlmiïl (A. Gérez) 10 a 3. Caprice 111 (Bedeloup). P 10 » 4. Flip (Escott). Non placés Cherry Jam (R. LangerOme) Avec le Sourire (DelTar. gulel) Labla (M. Contassot) Rublgny (L. Nlaudot) Argua Il (Hervé). 1 Ion»., 1 long., 1 loue. Neuf partants.

COURRIER DES Q r« AMATEURS DE I .O. î\ 12 Janvier.

LES CONCERTS FRANÇAIS. ECOLE SUPERIEURE DES P. T T. (458 m., 0 kw. (il. 8 h.. informations. 9 IL 25, annonce de i'heure. il h., au Collège de France, cours de M. Jean Brunhes Dtscusslons critiques et bibliographiques se rapportant au Canada. 13 h. 45, concert. 14 h. 45, à la Sorbonne. cours de M. Mathlez « La Terreur (31 mal 1T93 9 thertntdor). 15 h. 4. à la Sorbonne, cours de ,NI. Baldensperser « Chateaubriand et ses expériences étrangères ». 16 h. 45, Informations.

18 h. causerie de M. Georges Courteline, de l'Académie Goncourt.

20 b., causeries « Relation de voyage en Amérique du Sud », par M. le professeur Cunéon, professeur 11 la Faculté de médecine de Paris « L'orientation professionnelle à Paris par NI. E. Bocqulllon, directeur d'école à Parts. 20 h. 45, cours de littérature par M. Jean Terral. 21 h., soirée littéraire. Audition des principaux fragments de l'Aventurière, pièce en cinq actes d'Emtle Aug-ier, avec le concours de la com- pagnie dramatique Marcel Roma. Informailons, transmission de l'heure.

Jusqu'il 24 h.. danses transmises du Coltséum de Paris.

TOUR EIFFEL (2,650 m.. 12 kw.). 18 h., M. René Farallcq •. A propos de Georges Rème, quelques évasions célèbres » M. Jules Hayaux La vie agricole • chroniques diverses.

19 h. Prométhee (Beethoven) la laborieuse la Voluptueuse (Couperin) Chants du folklore nnemain la Perle du Bresil (Félicien David) Rêverie (Si huma ,ni Sérénade d fa mansarde (Paul Dupln) l'Hiver (J.-P. coutlsson) Faust (Sctmmann- Torrandell).

RADIO-PARIS (1,750 m., 3 kW). h. 3D, Gaona (Marcuccl) Génie fina (Pedro Seras); CavallerUi Kusticana (Mascagnl) Distrait de naissance (Léojac); Bonjour, c'est moi (Chabran); Lohengrin (Wagner); Eveil des sources (Learsi); Segismond (G. Smet); le-s Millions d'Arlequin (Drlgo); Yas- vuina (G. Smet); Footing (foin Waltham). 16 h. 45, Et Montanes (Pedro Seras); Altlna (G. Smet); Elvira (Genaro Lsposito); l like liait (G. Smet) Monterrey (Pedro Seras) la Parisienne (De Buxeull); Paris (Canaro); Bluer 8till (Waltham); El Capitole (Manuel Pizarro); As-tu vu? (0. Smet).

20 h. 30, cours d'électricité; concert. RADIO L. L. PARIS m.>. 21 h. 30, concert par la Compagnie nationale de radiodiffusion la princesse jaune (SalntSatins); Ballet de Sylvia Ballet de Cappelia (L6o Deltbes) Berceuse (G. Fauré) les En/ant.s; Médltatton de Thaïs (Massenet); I les Cloches de Corncvilte (Planquette); Aria (Bach)|; Chanson de printemps (ilendelasolin).

RADIO-TOULOUSE (389 m., 3 kw.). 10 Il,15, 12 h. 30, 13 h. 45, 17 h., 20 h., informations. h. !0: Laen&ler (Oêdalfe); Mandoline (Fauré); Sonate en mt (Bach) 13 h:, carillon horaire; Nuit d'amour (Marc Delmas) Ariane (Massenet); Musette en rondeau, (Rameau); Canzone (Tartanac); Ma poupée chérie (D. do Séverac) Bacchus (Massenct).

20 h. 30. VAmovr masqud (Sacha Guitry). RADIO-LYON m. 3, 2 kw.). 13 h. 15, Dernière résistance. (X.); Anoncl (Grey); \'11(se, de laprinccsse Dollar (Léo Fall); Idéale (Tdati)i Vit rêve (GiJJej); Mireille (Gounod); Musique pour mirliton (Siècle); Peg in Trefoils (MMTisson). 13 h. 30, 14 h. 14 b. 30. 19 h. 30, Informations.

h. la Grande Vienne (Strauss) la Maison d'or (Fontellle); Canzone Vesuviana (Marcucci) Philtmon et Bauc.is (Gounod) Nou yetit colibri (Moon) Douce caresse (Glllet) Dans les jardins de l'Alhambra (Bénech).

21 h. Ballet de la Korrigane (Widor) Cavatine (HafT) Marie-Magâeleine (Massenet> Tambourin chinois (Krelsler) la Princesse jaune (Salnt-Saëns). .ET ETRANGERS

ANGLETERRE. Londres- (361 m., 3 kw.), 13 h., 15 h., 16 h., concert. 18 h., orgue. 19 h. 15 Prélutïe mach). 19 h. 45 chansons de William Wallace Chansons des

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mardi Janvier Bien que les Transactions ne soient pas Les banques françaises sont mieux dispobeaucoup plus animées la tendance générale bées. Les charbonnages, les chemins de fer est plus satisfaisante. Malgré une nouvello et et les valeurs d'électricité sont irrégulières, légère détente des devises, tes valeurs d'ar- Meilleure tenue des sucres et des valeurs de bitrago bénéficient de rachats, les avis de produits chimiques. Aux phosphatières Cafsa Londres et de New-York ayant été plus demeure ferme. Le Rio regagne fr. favorables. Les valeurs françaises font bonne En coulisse, la De Bjers se relève de 2,179 contenance. a les mines dror et les caoutcnoutlères Au parquet. nos rentes poursuivent leur reprennent leur mouvement de hausse. PétroprotrresMon. Les ronds russes s'améliorent, llfères encore hésitantes.

VALEURS »»«•"»̃ lg^fel VALEURS gg | ff™ PARQUET société mumUIhuo MARCHÉ EN BANQUE A terme et au a» A terme et au comptant CtM MnhWpV.nn Bart Ran4 80.. ?' 94a" BAS ChàtUlon-ûmunentry. 2088 Brtrella» Aciéries Marine GMffietds tS& Fondai» S" Hnanchaca Idd Société Civile. c>rawltt J465.. i463 tma Goldflclds 121 ??•̃ f?5 mo ̃«»«« 814, • lianosotf KÎf 915.. •" 910 Car.Boorg.Fèvre»C». 6W.. Hataoca 508.. 532.. 5!^ 1™ igfnceHava» IWoUflska action». 525 SS-: lSo ̃ '™ • Peut Pu-fcten acUons. Mmàatt ̃M^Himiriii parts.. Heicican Ea«l« 12B 50 Courrières. w. M dorth cauoaslan 60 6d ÏX?' !S ̃ 5j, a lots Padanj 1550.. Société dë'p'mârVi.'y«' 14*7 Est 3% ancien Pékin Syndicats 68 7S Platine. »• !j5; ̃ ijj? • Lyon 3% fus. ano Phosphates Const M5 EÏÏbuSeml'itihlinaiù; »"' 3% ancien Phosphates luni» Ph^SîrSXf^ wm' ]S" Sord 3% ancien 272.. Band Mlnej PÏodfchtolB d'«ïs' 631 »ay Sa'Salt^ordin. 'm' gSïïfî' *• • Sortent- ,S ,g M S:: Banq. Londres, Mexico. ffl 1892 Baios 16Bii.. 170O.. Bajiq. Nation, «exiqne 920.. 930.. 3 'SJ"188» 170., Dtah 287o.. Bauquelmp. Ottomane 1506 JfS 2OS 2t0. ̃ Brajaerie SnlTarseU*. 425.. t25.. Crédit Foncier Egypf. 4005 4O02.. g J89> 200.. 200. Ernay 3700.. Hitrate Railwaya onl Bkaterine 1670.. J»22 ♦• 4«9 t72 âmerican Foreisn OU. 105..

An fomi>H»l }£S "̃" 4M.. ̃̃ *» ̃̃ KoyalBntch 40700.. /18V1> 425-- 424.. •̃ Sumatra 5125.. 5150.. <\|S Colombie 5% 190» ïi }£: %i» 6% février 1923. 480.. 480 50 Of }~J "••• 366.. COUR 6% sept. 193». 470.. Oi J™ ..LV^ S •• 329 New-York. 25 23 437 ™» S»*» *» 325 Belalqoe,lesl00«ncata 350 35t 1923- g "03 a49 Roimiam» ». 13 30 BOUV. 1932 g Sî 12S •' l29 •• S»**» 67375 IS2». 39b. I91' 190.- 191.. Prague 7540

COURRIER DES THEATRES

Français, S Sans lui, le Cœur partagé. 0.-Comique, 8 30, Lakrné, l'invitation à la valse. Odéon, 8 h. 30, l'Arlésienne.

Galté-Lyrique, 8 45, Hans le Joueur ae flûte Trianon-Lyrique, 8 h. 30, le Grand Mogol. Sarah-Bernhardt, 8 h. 30, la Griffe.

Porte-Saiat-Marttn, 8 h. 45, Une Revue. Chatelet, 8 h. 30, Foire aux Bancés (Biscot). Variétés, 8 b. 30, !'Habit vert.

Th. de Paris, 8 h. 45, Potash et Perlmutteir. Renaissance, 9 li.. Poussière de soleils. Madeleine, 8 45, le Plaisir (Marthe Régnler). Gymnase, 9 Il.. Félix.

Antoine, 8 h. 45, le Ruisseau.

Palais-Royal, 8 h. 45, le Monsieur de Clêopatre. Marigay, 8 h. 45, Ciboulette (André Bauge). Mogador, 8 30, No, no, Manette.

Ambigu, 8 à 45, Plein aux as (Tramel). Femina, 8 h. 45, la Prisonnière.

Bouffes Parisiens, 8 h. 30, J'aime.

Edouard-VII, relâche.

Th. Daunou, 9 h., le Coeur ébloui.

Michodlère, 8 b. 45, Ta bouche.

Athénée, 8 h. 45, .Maître Bolbec et son mari. Avenue, 8 h. 45, la Vagabonde.

Nouveautés, 8 h. 45, Un bon garçon (OPérette). Scala, 8 h. 45, Un homme en habit. G.-Guignol,2 45, 8 45,N*utts rouges de la Tchéka. Comédie Ch,-Elysées, 8 n. 30, Au grand large. Studio Champs-Elysées, 8 h. 45, Maya, Arts, 8 h. 45, Jazz.

Michel, relâche.

Comédie Caumartin, relâche.

Mathurlns, 9 li., Tennis.

Capucines, 9 b., parts-Capucines.

Cluny, 8 h. 45, Au premier de ces messieurs. Comœdla, 9 h., Une belle gosse.

Eldorado, 8 Il. 45, Phi-Phi (Dréan). Déjazet, 8 h. 30. rire-au-Plane

Œuvre, 8 h. 45. Galawintrie et Frédégonde. Folles-Dramatiques, 8 h. 30, Spectacle russe. Atelier, 8 h. 45, Comédie du bonheur. Ternes, 8 h. 45, trois jeunes filles. mie·. Nouveau-Théàtre, 8 Il. 30, l'Amour masqué.

pirates, rois de in mer. 2o il, 5 Humour. 20 Il. 30 lecture de poèmes. te b. 45 Chansons (Brahms). 21 h. programme choisi par un comité de l'Institut national pour les aveugles. Daventry (1,000 m., 25 kw.), relais de Londres. 21 h. 30 indépendant means, pièce en quatre actes, par S. lIougthon. 23 Il, musique de dause du Ciro's Club.

BELGIQUE. Bruxelles m. 6, 1 kw. 5). 20 h.. chroniques. 20 D. 30, la Bohème (Pucclni).

ESPAGNE. Barcelone m. 8, 1 kw. 5). 18 h., Souvenir d'une douce nutt (Munaln); Proserpine (Saint-Saëns-Mouton); Chimères, valse (Demaret); Canzonetta no 2 (Valls); Jouy fellows (Suppê). 20 h. 45, opéra donné au Llceo.

ITALIE. Rome (449 m., 3 lrw.). 16 h. 15, concert. 20 h.; Œuvre donnée dans un théâtre. Milan (315 m 8, f kw, 5), 15 h. concert. h. 45, opérette donnée au Théâtre Lyrique.

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SUCRES. Clôture courant, et 50; février, 299 a mars, 304 50 à 305; 3 de février, 305; 3 de mars, 309 à 310; 3 d'avril, 313 50 à 313.

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ALCOOLS. Courant 1,280 Il 1,320 février 1,340 V mars-avril, V mal-juin, V.

BLES. Courant, 170; février, 169 et 168 75; 4 de janvier. 168 ÏD mars-avril, 167 4 de mars, 167 à 167 50.

SEIGLE. N sur toutes époques. FARINES. 238 N sur toutes époques. TIRAGES FINANCIERS CRED1T rONCIER

Foncières 1903. Sont remboursés par 150,000 fr., le n- 573,474; par 30,000 fr., le n- Par fi\, les huit numéros suivants 390,1A8, M8,0t7, Cent trente numéros sont remboursés par f,000 francs.

Communales 1SÎÎ. Sont remboursé* par 250,000 fr., le n- par tr., le ne par 25,000 fr., les deux numéros suivants 1,011,012. Cent trente numéros sont remboursés par francs.

Montrouge, 8 h, 45, la Flambée (Jean Duiac). Moncey, 8 h. 45, Mignon.

Bouffes-du-Nord. 8 h. 30, TOI l't'aural (Auge). Une matinée de la mer, au théâtre de l'Odéon M. Georges Lcygrucs présidera, le 19 Janvier, au théâtre de l'Odéon, à 16 h. 15, une matinée organisée au bénéfice de l'œuvre de la « Famille du marin ». qui s'est donné pour mission de secourir les veuves et les orphelins de la sjande famille des gens de mer.

Au cours de cette manifestation artistique, Mlle Marthe Oultô, dont on se rappelle les croisières en Méditerranée sw les cotres Perlette et Bohtta, racontera comment elle est devenue matin Des artistes de l'Odéon, Nilles Fanny Robianne et Marte Cazaux, MM. Paul Oetly et Marcel Chabrier, présentés par M. Georges G. Toudouze, donneront ensuite des auditions des principales œuvres des grands poètes de la mer.

Pour cette matinée, donnée au bénéfice d'une œuvre philanthropique, les places sont louées au théâtre de l'Odéon el 79, boulevard Saint-Germain.

Aujourd'hui

Au STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES. A 9 heures, dernière répétition de travail de Maya, pièce de NI. Simon Gaatuion. A la RENAISSANCE. A 9 heures, première représentation (il ce théâtre) de Poussière de soleils, pièce en quatre actes et vingt et un tableaux de M. Raymond Rousses musique de scène de M. Marlus-François Gaillard.

Au THEATRE DES MA.THURIKS. A 8 h. 45, reprise de Tenaia, comédie en trois actes de si. Léon Ruth.

o- OPERA. Paillasse reparattra sur l'affiche vendredi soir avec .Mile Laval; MM.

LA FEMME. L'ENFANT. LE FOYER. « C'est l'homme qui Paie-, mou c'ut la femme qui achète 1 LA MODE AU PAYS DES NEIGES SPORTS D HIVER

qui mit Pnris Quelques originales importent bien de Nor- vège leur costume de ski, mais on ne les suit pas. Pour cela comme pour le reste, lex couturiers sont mattres. t Laine et fourrure, fourrure et laine sont les matériaux la

confection de ces oos- tumes, qui doivent être avant tout extrêmement chauds. Les dessous sont en Agnolaine on les a tricotés avant de partir. Le chandail aussi est en Agnolaine ou en Indolaine, rayé de mo- tifs aussi bizarres que possible plus ils sont bizarres, plus le chan- dail a d'allure. Enfin, écharpe ganta, béret, font appel naturellement à l'Alpalaine qui, son nom le dit, est toute désignée pour cet usage, tant par ses nuances vives et chantantes que par sa confortable tiédeur. Comme vous le voyez, les Filatures de la Redoute sont à l'honneur, une fois de plus! Le costume proprement dit est également en laine tricotée, ou bien en kasha. Il se compose, vous le savez, d'une veste mi-longue et d'une jupette à plis qui recouvre une

skieuses fervente? De gauche Il droite Costume de laine blanche, garni de loutre, bas blanc, fauve p£L, c" skieuses jervenies, et noir Costume en bure citron et oppossum, doublé orange chandail jnvoie de ur elles, suppriment re- citron. orange et noir. Veste en peau rubis, fourrure de lapin blanc »♦ Pe»f pour VOUS; Moment toute Jupe, jupe de jersey blanc guêtres blanches. Costume en kasha blanc, brodé fa» peur qu'en rêveet se montrent soit en vert culotte et écharpe écossais blanc, vert et jaune. nant du pays des neipantalon jusqu'aux fies vous ne sachiez

chevilles, soit en culotte et gros bas. Comme teintes, une profusion de blanc, et les couleurs les plus vives du prisme rouge vif, bleu électrique, vert pré, Jaune citron. Qui croirait, à voir ces costumes bigarrés et violents, que nous sommes éprises de la douceur des tons pastel Des souliers imperméables, cloutés et quasi plats. complètent le martial équipement. Francikk.

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G. Thill, Rouard et Cambon. Le spectacle sera complété par la Maladetta, que danseront Mlle Zambelli, M. Aveline et Mue Schwarz.

-o- OPERA-COMIQUE. Mlle Halite Stlles, M. Charles Fontaine, Mlle Madeleine Slbille, MM. Roger Bourdin, Rousseau, Tublana et Mesmaecker seront, vendredi prochain. les Interprètes principaux de la Vie de bohème. C'est Mlle Andrée Cortot qui chantera Paillasse, en même temps que MM. Oger, André Allard et Jysor.

-o- ODEON. Le service de première du Cygne, de M. «ïrancols Molnard, dont la répétition générale aura lieu vendredi prochain en matinée, sera reçu le même Jour en soirée, et le service de seconde le lendemain soir samedi.

o- GAITE-LYRIQUE. tous les soirs Hans le joueur de flûte, de Ganne. Dem. mat. DERNIERES

Ii ON NE JOUERA LA r que

HATEZ.VOUS. Il

-o. GRAND.GUIGNOL. Aujourd'hui, matinée et sotrée les Nuit» rouges de la Tchélia. On refuse du monde.

-o- TH. CÔMOEDIA. Une belle gosse 1 est hilarante, déliceuse, exquise

-o- THEATRE FEMINA. voici les neuf dernières de la Prisonnière, l'o;uvre triomphate de M. Edouard Bourdet, qui vient d'atteindre sa représentation, avec ses merveilleux protagonistes Mlle Alice Dufrène, Jean Worms, Hubert Prélier, Arvel et Mlle Suzanne Dantès. Il convient donc, plus que jamais, de hâter d'aller

a repris, ae8 que inicer se Jau sentir un peu, vous voue pelotonnez dans vos fourrures « Ma chère, o'est affreux Paris devient inhabitable Et vous fuyez. Vers Nice Non pas il est trop tôt. Vous ires à Nice quand fleuriront 'es champs de violettes. Maintenant, crest à Satnt-Moritz nua vaux allez. T,f).. lux

plus marcher sur le macadam de la Croisette sans glisser, ni danser le charleston dans vos escarpins de peau d'or. Je suis sûre que cet accident vous guette.

Mais le xuis sûre aussi, tant vous avez le sens de l'adaptation, que, le lendemain, vous aurez oublié votre rude personnage de la veille, et que vous ne serez plus, sous Vombredle, qu'une Italienne languide, rêvant devant la mer. F.

BABETTE VARIE SES PLAISIRS Venez avec ntet, le vous enlève. Volontiers, Babette. Où allons-nous T Un Floride, et ensuite au p6le Nord. Serons-nous rentrées pour dlner ? Hah l nos maris nous attendront. Jean est un être merveilleux. It sait attendre amts impatience et sans fausse réaignation. Et quand j'entre, il dit simplement « Eh bien que est le prétexte dn jour? ». Comnaent ne pas adorer un mari comme ça ? Oui. en effet. Mais qu'entendez-vou» par la Floride et le pôle A'ord ?

Black bottom et patinage sur glace. afais vous ne résisterez jamais ce régime l

Ma chère, ,1e suis covrme mon propre teint, je réstste a toud vous me verre: tout l'lteure, après trois heures d'exercices violents. J'aurai l'nir de sortir d'une boite. 0 femme bénie des dieux I

Dites plutôt: bénie par Bourjoisl C'est grtee uux délicieux « Fards Pastels et d la divine poudre » Mon Parfum que le défie la canicule et les frimas, la fatigue, l'exervoire la maladie. Et encore je ne parle ptta de « Mon Parfum parce que cela nous entraînerait sur la chapitre des Seereta pour être aimée

Parlons-en,' au contraire, Babette. NETTOYAGE DU CREPE DE CHINE Faites rane bonne eau de savon et nettoyez votre crêpe avec etle aussi rapidement que vous pourrez motns il séjournera, dans le bain mienx il restera après le lavage. Puis, mettez une cuillerée à bouche de gros sel dane une curette d'eau ctaire et rincez-y votre tissu. No le faites pas sécher suspendu, maia enveloppez- le d'un linge se/ Vous l'en sortirez encore humide afin de le repasser.

LES JOLIES NUQUES

Une nuque, pour être jolie sous les cheveux coupés Courts, doit être fine, non aloltrdle par la graisse, et débarrassée de tout ilnvet. Vais comment la rendre blanche et natte Certains épilatoires réussisaent a brûler le poil. frtais ils brûlent aussi l'épiderme et font se boursoufler douloureusement la chair. Alors ?

L'j naeitleur moyen encore connu, c'est fe rasoir. oit dit qu'il irrite la peau, qu'il donne des furoncles peut-être, quand il a été insuffisamrnent nettoyé. Mais un rasoir propre n'occusiunne, croyez-le, aucun accident.

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pieds dans la neige, le rtez dans le soleil, vous rayonnez. Vous n'êtes plus l'oiseau frileux qui n'osait aventurer au dehors pied ni aile; de l'aube à la nuit, vau arpentez la glace, vous patinez, vous t lugez le ski vous charme, le bobsleigh vous enivre. Et vous n'avez plus froid, jamais. Qui eût cru, avant de vous voir, que le 15 de Saint-Moritz était pins chaud que le -4-5 du Boia

Au fait, c'est peut-

être votre costume qui transforme ainsi les lois physiques. n est tellement extraordinaire que je ne serais pas étonnée de son pouvoir. A l'heure du ski, voua êtes un être hybride, mi. matelot, mi-paysan. Par bonheur, des rubans attachent les manches à vos poignets, le pantalon à vos chevilles des rubans, toute la

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est le salut des enfants de tout dge, Composé des étéments les plus artils de Venu de mer, il régularise toutes les fonctions et le développement normal de l'enfant Il le préserve des maladies du jeune âge. Renseignements (irnt.ll.itx #jn_r T.nhnvntmfps /lit

Sallum, à la Baule (Loire-Inférieure).

LES CONVULSIONS DES PETITS Les convulsions ne sont pas rares chez les enfants nerveux, dès le premier âge. Elles presque toujours sans conséquence grave, mais impressionnent terriblement ceux qud y assistent.

Il importe cependant de ne pas perdre la tête, qiuind un enfant est pris de ce mal. Bien soigné, il se remet très vite.

1'out d'abord, il faut appeler le médecin sans retard. En l'attendant, on mettra Veillant dans une pièce chauffée une flambée d'alcool dans un plat suffit, souvent réchauffer l'atmosphère, quand on n'a pas d'autre moyen sa disposition puis on le plongera dana un bain tiède. Au sortir de ce bain, on enveloppera ses jambes de linges sinapixés. Cette méthode eat cette qui est le plus souvent préconisée par tes docteurs. Il en est une autre, plus simple, plus populaire, qui consiste à exposer l'enfant l'air vif du dehors et à Lui faire absorber une cuillerée de sirop d'éther.

L'essentiel est d'amener une réactiori rapide.

Qunnt aux moyens préventifs à utiliser contre les convulsions, il en est principalement deux les bains d'abord, une alimentation très réglée ensuite.

POUR L'ENFANT

Les exigences, tes difficulté» de la vie moderne nous rendent pratiques. Nos jeunes mamans installent dans u» petit coin réservé à Bébé un parc ou barricade dans dequed Cenfant peut, à l'aise, se trémousser. En se retenant aux barreaux de ce parc, le 6ébé essaie sea jeunes lorces petit d petit s'enhardît et apprend ainsi acnt a marcher, Noua conseillons cependant aux mamans qui emploient cette méthode, de ne pas laisser Bébé trop longtemps seul. Il faut lui parler, lui suggérer des jeux et des idées, a/in de tenir en éveil et développer son esprit

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Pour enlever une tache d'encre sur un meuble, il faut la recouvrir de lait puis éponger ce lait, le remplacer par d'autre jusqu'à ce que la tache ait dtsparu.

une éblouissante revue; est-ce désormais au music-hall qu'il faudra demander un peu de poésie et de rève ? Cette revue du Palace ramène à parler de l'art du music-hall. • Quel plus bel éloge pourrait-on faire de ce spectacle, qui réunit les plus grandes vedettes Dranem, Harry Pileer, Jenny Golder, Spudaro. Suzette O'Nil et Gamsakourdta et Demldotr, et l'attraction la plus formidable du siècle, l'Eau qui danse, avec les nala.des de Chicago.

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n'est qu'avec peine que Je pouvais faire mon travail. Mais maintenant que J'al pris ces bonnes Pilules, J'ai retrouvé mes forces et mon endurance. Mes amies m'ont même trouvée si bien n qu'elles ont voulu, elles aussi, prendre des Pilules Pink. Et, comme mol même. elles sont bien satisfaites de cet excellent remède.

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