CHRONIQUE
CABOTINAGE
11 a !ipe d°-s choses, en vérité., que
cette guerre aura îemi^L* a Jcui place
exacte.
Je n poavai m'empêcher de '-oùs, iL
cela en livmt, la bcmame aertueit, ks
quelques lignes p-ucinnimu-pm'uit conbi-
crées, dars les journaux, <iu\ toncours <su
Consen itoiic
Cette auneu, ils se sont
supérieur, quasiment en famille L'assis-
tance était clan~°mec C'était à peine-si la
res> émues
Aussi, tout se 8éroul-i-t-'l te m oi»x du
mond» Ii tragédie et la comédie Icmeme-
rent obstinément sut la -scène et le pwbh-f
ne s'ausa point ti» jouoi le iôle ue chœui
antique, dispensateur bruyant dcloge c'
de Manies
Il
tenant poli dont un légitime eanm nu van
bla. pas toujours .tout a fait exclu
Quint au îcbUlHt, il fut pic-clinie au
milieu du sileme le plus pioîond, -at les'
justti, décisions d un jury, dont j ^^nne
ne sufaDecti leqnu lie luient ̃-ouli^iicesj
par aucune- de c^s
qui, k>« aiiti" m5; ollaicnt ùu h mssc
ruent au uigi ^ciiunt et clf« eiJitiiete vcn-j
g re=teb aux nem cl oiseaux les plu sa
nés
Puis, la petite (êitimoiHi. ttimmee èha-
«un s'en fut chez sci, comme dans 3° chan
son. sans importuner les nioflen^us pas-
sants de ses m il< dictions et de ses 1 lci 1
ïmnations, en attendant que le lendemain,
les critiques ratHrina-Aent a pêne de vue,
sur les cm, coi imodo et quando qui nient
que les gestes de Phèdre n" se marièrent-
pas mieux avec ses pai-ole-s, au une facheu-
t>e &\ homj unouvi les. împiecauons de
Camille et que la peite de son petit cha+
ne fut pis ressentie avec plus d émotion
par la tiaditionnelle Agnes de la journée
Cette année, h'on-- le, 1rs concours du
Conseivatoire ne furent pas moins ce qu'ils
auraient toujours du être que ce qu ils
déniaient toujours être dans la\emi
6',est aussi que, ju^qti a. prient, ïiotte
mcoiiiçible snobisme était arrivé à eu faire
-"an évencniciit cousidsiab1^ de la vie peu
̃«iRjine
dans la p-etitc de la rue bamte Cécile
pour écouter un quarteron de jeunes per
•sonnes, exhiber or> toilettes aussi taroageu-
>ses que leurs piote tioiib offlc^elVs, le^ p'e
mices d'un cabotin ige « g d g. constituait
un brevet de pin boul°\ardisme au même
titre que d-e fréquente'):' Tes ballets 'usses,
ou d'être invite aux fete 3im-douics du
Ce rue c'est tout de même que dojs
°oupirait a,-ec ameitimr1 un do nos toons
philoscphes.
Quant aux concruis «xmâtes iiS
n'ont d'ailleurs jamais lien démontre, si-
,non que les eleve-- qui étudient au Conseï
\c +Oir^ .le noble art il" lalua et des Ra,
•chel n v .-apprennent geneia'-en'ent pas
en «cène qui ya, parfois,,
jusqu a montiei un poing mite au juiv
coupable de par+ialite â lam encontie
qurnt a, =avoir mteipreter les textes "las-
«îffues, cest une tout autre question, qui
semble consideiee comnae parfaitement oi-
D'*uboidj n,e serait-il point plaii-ant que
l'Etat qui ne peut fabriquecr de bouses allu-
ïuette® fût capable de former
-bliss comédiens ?
Il serait injuste d'en faire grief, dans
l'un ou l'auir? ra«, à la de ses
ingénieurs pas plus qu'à celle de ses pror
îesseurs c'est le principe même do
l'enseignement officiel qui est mauvais et
qu'il importerait, iwant tout, de chan-
Cette école fosetionnari-
sée, ne peut qu'étouffer le talent vérita-
ble elle ne transformera jamais la médio-
crité en valeur.
C'-est pour cela que du Conservatoire ne
sortent que des cabotins dont quelqu^es-uns,
• enipressons-nous d'e le dire, deviendront
plus tard -des artistes.
Est-ce bfen la peine de faire tant due
bruàt. pour si peu et de Texhi-
̃bition de tous ces jeunes espoirs au rang
FEUILLETON DÉ LA PRESSE
du Iti juillet 1013
–123–
DEUXIÈME -PARTIE
LES TRC1S PHRASES MYSTÉRIEUSES
Le réçit du grand-père
« Et il Ba«»ftça, 4aps un JejP5Ç).orte-isB*aat de
« Elle haussa les épaula et se contenta
fie dire
Prenez garde.!
Alors, ce furent des irapradences, com-
mises par Jui, ay -risqu© & la cpmpro-jiiiet-
« Le premier acte de. b». tragédie allait'
̃̃:̃ ee 3énouer..
« Dans sa folie, MarcS fvordan n'était
plus capable de réfléchir.
épreuve par laquelle nous serons passés,
délivrés to«it a fut d<? ce snobisme exa-
cube, de cet hi-tiioni-oine de Bas-Cmpue
qui avaient pris, dans notM vie sociale,
une place si mpai tinte
T ai peur que noii
La paix signée, le Pansien nui s'est mon-
tré si bine, 1 c<lm<\ si patent, retrou-
\cia m te cette légèreté d'espri't qui est
fond propre de son tonipiioin^nt et que
jalousent nos erniMm eux meaies, malgré
1<îuis injures, et.leurs enatlieirte^
putii'-me deb Weinqnlri et convoi t-<, des
oporcito-xHunoi et, n Uoic que U î»a«l
ne s'en prisse consoler, de toutes
les belnmcs de tous les lUcha xl Stiaa s
mî-'s il est bnn ccitim qut nous ne tai
derons ,guère *i \on les concoutb
Il- Conservatoire, i€s ballets «'a\o uid que"
et le dansts e\on jiks qiii s c lanouissiient
chez nous avant la date mémorable du
cki li conversion complcte du pechem tt
\ojs souhaitons ^outement que, desu'
mais, tout reste enfin sa place exacte et
c,u-e, sans exicrui sw* toutes ces. di tiaetiont,
bimpkïiîiniL joui io queues valent
'Et ce sera de] a. un ininirii0" momies mo
r&\ que nous iurons iccoun^"i qi>3 ddue
comme un vei dans
iiuiateait <onsiiiimeût lc qu il y a- ait de
Le Conseil d'Etat vient les
conditions dans lesquelles aui lieu 1 émis
sion des cent vingt millions de bons muni
cipaux de la Ville do Pans
La décret a et-t. signe le Piesi-
dent de République.
Dans ces 'il est piol^ablo que
la. souscription sera ouvciteau public vois
le 23 juillet
COTOIES MILITAIRES
l_es s»us-seeTétair«s a la guerre
Le Président -de la République, sui le
.rapport 'du ministre de. la gueire, vient,
pai un deciet de dtfpur. iCb attributions
.des sous-secrétaires d'Etat' lia guoire
AI Albert lli^jn xs prend le titre de sous-
secietnK d'Etât de laitillene et des inu
muons En cette qualité au nom et par
délégation peimancnte *du mmistie, il di-
yige les services delaitillene et des tqui-
pages militaires. Il est, en outre, charge
dab^urei la constitution des appi o\ i<ion-
nemein-b de j oudies ei explosiis de toutes
notuies, ai im que des munitions spécialés
poui 1° ^cnie et l'oeioniutiquo
et soumet au ministre- toutes les pioposi
fions relatives âu personnel et aux tioupes
de laitillene ei du train des équipages
militaires qui 1 élèvent de son autorité
Al Joseph Thierry prend le titre de sous-
secietaira d'Etat du levitaiFement et de
1 intendance Il dirig0 les services du ravi-
taillement des armées et des places, des
'ivres, des chaufla-ge, &e
1 éclairage de l'habillement, du campe-
m<ejQt et du -couchage
Aï Jiibtin Godait prend le titre de sous-
secrétaire d'Etat du service de-santé mil-
taiiô et dirige toat et service.
La correspondance aux armées
Le retara qui était impose dans un but
militaire, à la. correspondance provenant
de la zone des armées est supprimé, mais
la durée de transport resta toujours légè-
rement augmentée du fait que les eorres-'
•pcndianees ne peu-vent suùvr© que des iti-
néraires déterminés.
Toutefois, l'autorité militaire se réserve
la
retard, dans telle ou telle partie de la.
ione des armées, lorsque des nécessités mi-
litairs l'exigeront. Ce retard sera toujours
réduit au amnimuin indispensable.
ÇA ET LA
membres de J'Automohile Association
et Motor Union (grande association û'aulomotalib
tes d'AiiSfleterre) comptant plus do 100 000 HiPinbros,
1 aruiec fian-
d'ambulance Cet jrn-
jJOfiant groupement sera jpiésenté à ,'NI, le jjrési-
dent»de la République, le mardi SO jeoui'ant, i. trois-!
heures, dans la grande cour d'honneur des lava-
lides.̃•
« Du reste, il ne) se doutait pas du fiège
qui, leitpnwnt, lui était ten lu 11 îî'ttnt
que coupable d'aimer. Sa-loyauté se fût
i^fu-ée à tmte honteuse con.pi omission
Et malgie tout, c'était un homrn1 qui ^ap-
po-'j-ait ^b'z les.autres la lojauté qui! ici
sentait en lui
« Dés lors, jI devait succomber.
II efa't ccAdamné d'a\aaice
« Voici donc Ie piège qui lui fut tendu
» La deiiiHii'} fois qu il put rejoindre
Emiihenn-p, il sollicita, une ^ntrcvire II
était a bout 0& força, a haut de <o-uffrin
ces. Agité et hê\x-t ax, il ne i oss&aibJait
guère au. robuste garçon plein d espoir «n
l'avenir, qui, quelques mois a peine «upi-
ravant,-était venu pr^îidre poss°-=«.on de
son posta, aux usines Reiter II oolUcit lit
cette entrevue humblement, à oix baisse
Comme implore une aumône un mendiant
à l'agonie, jncurant de faim.
« Elle parut s'apitoyer, ce jour-là.
« Depuis longtemps il ne l'avait yue sou-
rire. depuis longtemps il n'avait vu, sur-
tout, l'exçïiessip-n .d© tendresse voluptueuse
des jolis yeux- bleus, des yeux de vierge.
et ce fut cela .qu'il vit, le sourire et les
yeux 'passionnés.
« Et tout dû suite, il oublia tout, et,ce
fut une folie de jpip..
« Elle avait dit' simplement
Oui. ce soir.
Vous m'aimez toujours?
Nouvelles dkmes
de k Maïïuk
Un discours de l'ancien ministre
Samedi soir, à Ath^neb, chez M Tncou- »
pis, a eu lieu la îeniuuu plénière, du parti
libéral, sous la présidence de M 'v enutiOb.
'Cent'cinquante-huit étaient pie
j^n+s vingt-quatre s'étaient la t reple-
ienter
\i Venï?elos, dans;un discouis vibrant,
a exite"
ricuft et des inethodtà gouvernemeTitiules
compromettant l'œuvac d^ la îtvolui'on ae
,1909 et. en présence delà preuve de con
fiance résultant du voie du 31 mai, il ou-
bliait 1 ameitume q~n le ht =• îetaei de la
politique, et, se cont^rtant de cette'satis-
laction, il repienut 11 dnection du parti
Tibeial 1 ajournement -de :la
Chambî* est iiti-coWitutioiiiïel et 'inutile,
car le parti hbt al ure -fais la Chambie
.convoquée, ttatt pi et a conseil n 1 ce que
la solution, de la crise «,oaveii«iren-fdi« fut
iioumee .jusqu'au compkt ictoblii-er"ie"t
du
En terminant, AI eniz-^os eMnima le
v-œu que du sou-
veiamiiiette hn a eettp situition démente
les bruits qui circulent sur une pi étendue
dis oiutiop de 1a Chambre, bruits. qui
émeuvent la nation, dont 1 «attitude calm-e
est due aux conjorctuies exttneuies et à
son lespect poui la personne durci.
Commentaires des journaux
Athènes, 19 juillet. 'Les journaux veiu-
/ehsteb, commentant leb déclaration lai
ter> hièi, au couib de la leunion des hLe
ra«x, iai "NI \em/olc=, expuipent leur
joie de voir rexenii soi la ^^ene politique
1 Miraient homme d'Etat. Ils declaient que
M Veni/elos obéit, dans les en constances
-actuelles, a-nx mêmes sentiments patnoti-
à abandonner la politique, et qn il reprend
la dn-ection de «on parti pour le salut de
la patrie, qui lui doit d'incomparables ser
vices
la presse trouve msuf
lisantes les déclamations faites par M. Ve-
nizelos qui n'aplanissent pas les difficultés'
qui lui ont tait quitter le :pouvoir et ne dis-
sipent pas
UEmbras dit
« M Y«*mzelos constitue un fact ur îm
portant, dont la. disparition ci eeri.it Un
vide -diftiâila a combler AI A emz^'os pbs-
sède des tifi d'une -valeur indi^cataole,
mais il doit abandonner le méthodes au-
tontaues qui ne peuvent plus être appli-
quées » (Havas.)
Prorogation probable
Athènes f8 juillet -Tout porte a croire
que le décret prorogeant l'ouverture de «a
Dhambre au août sera '-promulgué au-
(Haxas )
Les Complots d'Egypte
Une .proclamation du haut commissaire
ie -Caire, 1S juillet, Le haut commis-
saire a lancé une proclamation disant que.
toute personne qui aurait connaissance de
l'existence d'un complot -quelconque contre
l'ordre' établi, ou qui aurait connaissance
de l'identité d'iune ou de plusieurs person-
nes impliquées dans un complot de ce gan-
se, ou coupables d'un délit quelconque di-
rigé contre le gouvernement établi, devra
^11 informer sans .délai l'autorité châle ou
militaire la plus v.oisine.
I^es contrevenants ,à cette ordonnance
pourront être poursuivis conformément à'
la Ici militaire'. Le même traitement est
'̃ .applicable quiconque
sonnes susvisées ou qu4 le-s a-ident ,se
sou&traire à la justice, (ffavas.)
RENTRE EN HOLLANDE
Rotteixlam, 19 juillet. Le navire hol-
landais <( Bata\ier-V », qui était retenu de-
puis près de trois mois .à .Zeebruge, -est r«iv
tré .samedi matin ït • 'Rotterdam. Le maître
pilote dit que le navire fut amené jusqu'à
Zeebruge par des" marins allemands qui le
'pilotèrent à travers un champ de mines, et
que l'équipage ne fût à aucun moment .au-
torisé à débarquer. Ils n'ont aperçu -ni
sous-marins ni navires de guerre. Un mem-
bre de l'équipage déclara' que le .raid exé-
cuté, la 'semaine dernière, par des ,avia-
teuiïs alliés, avait causé de graves dégâts
au môle et que les Allemands vivaient
dans une .continuelle terrsur des raids
aériens,
L'Etat de M. Affonso Costa
Lisbonne, 18 juillet. Suivant les jour-
naux, -les -méd-ecins ,de M. Affonso Costa
assurent que la- période dangereuse ne dis-
paraîtra pas. avant un mois. L'état.du ma-
lade s'est néanmoins amélioré considéra-,
blonent. {Havas.)
La bataille se
• poursuit .dans la péninsule de Gallipoli; les.
avec son regaid tendre.
Cnez ous ?
Non.
• II y a trop de danger.
J'y suis venu cent fois
On me surveille Jadis on ne soup
çannait rien
Alors, où voulez-vous que j'aille vous
retrouver ?. Partout ou vous direz, j'irai.
j'irai sans ciamte j irai avec bonheua-
dus'-e je, de la, descendre au bagne, à
l'écliafaud, en enfer I
Les levios d'Emilienne se plisiscient en-
une contraction énigmatique.
Au bagne iL l'échafaud! flt-elle A
quoi pensez-vous donc ?
Dites oh dites où dois-je.vous
rejoindre cette. nuit ?
J« descendrai dans }es, bureau?:. de l'u-
sine. Ils sont fermés tous les soirs a:vec
soin, car, comme vous le savez, il /reste
souvent des sommes impo-i-tante-s dans le
coflre-fort, mais j« sais*çp-mm«'nt «!̃& pro-
̃T'QWi'es les nuits, le gardioi} Sctiwartz
couche près due la caisse.
Si depuis quelques jours vous ne .né-
gligiez pas votre service aiuj point d© vous
attirer les reproches deL mon père, vous sau-
riez que Schwartz est malade.
On dû le remplacer..
attaquant v igoumieenieint sur toute la
ligne tnaque -dt-t-iqjs est piecedce ri un bom-
et par les can&ns de^ nav w&> de guerre.
Touieb les attaq iq^ aAiaaiei été effectuées
av«c succès, maiis on ne possède pas encore.
:le poin-ellet, defintives n le dein^eis pro-
grès qud auraient. <.V laits L'ennemi a subi
3^ XMtes très lourdes, causées surtout par
la^iUeiW UdPraite [Foniucis
•"»- Lonjie 19 juillet On annonce que
le 101 d Italie conféré l'ordre de 1 -Vnnon
ciadc au prince de Galles j il. occasion de
son anniversaire. (Havas.)
Roip" IS juillet. au
flicdtic Municipal <l \0-1te une grande réu-
¡¡ion en faveur de la Belgique a eu lieu sou,-5
la de Rattcuc députe. Des
discours c it ttu prof once 1 ar M. Rattone et
par MM. Lor-and, Destrée et -Vandervelde,
dt! utt belles loue (7u*ifrc ont cte accla-
n notamment M. '\<mdeiv-dde <?ont les
r ib1nt; fJ tes 01 provoque l'enthousiasme
de la M Cimpolon^m membre Je la
presse. a etisui'o présenté ,un -ordre du jour
e^Jtuit la guerre du dioit rt la prochaine
de la Be^iriu* Ot oi>die du
jour été adopte a li^nT îpiti,
»< Melbourne IS vuilkt La. -campagne
î>a rien entai le ion le iieciutc nent dans
1 tiu es se rant earôle»- -u co-ui^ de,
la (ii7Uf/ai ic L.es autontes r«gio' aies con-
tu lent la caiioaarne -d ni la l-ed*ia
m-c'rn* "-tu terrain
dao e ei ci-ces milUdiicss {Haia )
LA FAST<LL.Ê DU Dr LOWIS
TOE L.JI SOIF
Les lOOpasllUes 1 25 ou fa. 1 35 à DAVID. Colombe
La Wïe Sportive
Cette course, que la SociftL fies Courses avait
inscrite pour .hier a son piogiinu.it de incirni
tiou irahtai"C constituait une intéressante 1 ino
uu n En voici, les 1 évnltat
1. Marccl Lorand (1.), eu 1 la. Tn 41 s Mar
cellin (TAil <t 3 loTigueul-s Charles Alcvti (1
a 1 lon^ucui t, Hubeit Lam>n (h C P ) tn 1 h
W in Iiipia (( ni à long o Lucien
Costes (L), à 1 1;° long.; 7. Emile Guérin (I.), h.
'P il i s S. M uiice Torliet (\CP) 1 li w m
s.; Erne t 4.icloud (IS C P ) i 1 J 1 nt
Cliarles Lacqueliay (1.'), une roue, etc.
Dimanche prochain la 'Société des Courses orga
n v»n son annuel 'Brevet des 100 iilomctit^ sur
Saint-Germain-CliauHour et retour
IU RICI~\U CLLB DE Flïi\CE
Ch Uenge d atnle i<;me 100 m 1 Ma^ cr t cr )
Coulon (1 jO 3. BlaniiV (9). 2<0 ni. 1 Blin
che '2. Pemd "Uavei (--ci ) ). -.Saut- -en
liaitpui 1. Coulon, 1 in 0 J Blmcnc et Pé-
lard 1 iù 40 Poicl 1. 1 ei iïd 8 m. G0
"Viager 8 m aO Le tlinc r n 20 Cla^e
'ment: :et Majei BlanUic Pûifl»
,scolaire,- 1 M Diutt 9 m iS
Hier/belle .journée de poil au Stade Iianvai
En voici le-- résultats:'
Prix Charles Simon. 100 ni. hand. interclubs.
1. blatign-v c CA d Ei "liien Chcroii
HoniUe \C i Heinmu ni. 50), SF.
clubs, l milmgeville (Houilles VC J "U<rlt
(CPM) Botet (C vSC)
Pmx -d-u Gomite --réservé -au -stade.
1. Vétillard GUltt (5), 3. Lageix ( ) T
Prix de la RepubhQue 680 m scratch 1
Contbiei (PS CluOo) Audmet (CASG) 3 Iron
délie (CASG), 4. Berretrot (CASG), 5. Lazardeux
(C-VSG) 6 Tessier (CAS&^ 1 m 6 s. o
Prix des Daines, m. liand., réserve au Staçte.
1. Jacques Dandelot (110), Odero fscr.), 3. Lan-
tttr (J0) m 37 s. Gagne de là m
CRITERIUMS DE L'V.S.F.S.A.
Intéressant snort, dimancl1e, aux Bains Xlcligrij-
100 m. débutante. l. Bernoin (USELM), 2. pin-
nier (CSP), Grisot (Ind.).
Critérium 100 m. dos. 1. Paul Vasseur fSCMF),
en 1 m. 52 s. 2. Jaure (Libellule), 3, Harnovve
(Libellule), etc.
.100 ni. handicap. t. Katcherez (Libellule),
1 -m. :t3 s. 2. Mottheau (US Lagny),. 3. Carrier
(USPLMi, 4. Kerty.
Critérium °00 m. brasse. –.1. AlottUeau (CS La-'
gny), 2. Jaure (Libellule), 3. Roberty (Libellule).
,Critérium de plongeons. 1. Welisch (Libellule),
2. Bourgeois (CSP), 3. Dauibier (CSP Minime).
Officiels MAI. Bronstein, starter Glarher, juge
arbitre Thionnaiic, chronométreur -Foulon, juge
à l'arrivée Itichemond, juge à la corde.
ItESCLT.lTS DE
Club des Nageurs de Pans \V F.N Résul-
.fats ̃ 50 m. nage Ubre, pupilles i. Bpyle, 50 -s 2.
-Dutiileux, 3 Pollet, i 'Birtovitz, 5. E liogaertb
m nage lipro, _2' catégorie 1. iiiossi, -4' s.;
ChauHour. 3. Chauvin, Vallet et W.einachter dead-
liead Concouib de plongerons • i dulectry, 37 p
2 Jeunet, Ty p 3 Ji an 11-ircovici, lï p.
Les 'Mouettes J3on eniraineiucnt du club fé-
mimn -I.ps iccons de pei-u-eiioimement i>nt ete le
but de la journée-. Les plongeons ont obtenu un
franc succès, nuis prnuipMfineuf !t^ plongeons
-GardtHi", E. Gardelle,' i Mme WurtZj j Mlle
Marceline :\Yurtz.
̃ ̃̃ -SPORTlviG- AMICAL -FRANÇAIS
•Réunion d'entraînement. Résultats
100 m. 1. Picuoliot, 12 s.; 2. Maxime, S. Bou-
lard. 400 m. 1. Maxime, en 59 s.; 2.. Pieitchot,
3. Bo.ulard. l.f>00 m. 1. Maxime et lioul^r.çl,
en 4 ïn. 42 s.; 3. Reboux. Longueur sans élan
1. Pieuchot, 2 ni. GO Maxime, S m. 3. Ke-
boux, 2 il). Longueur avec élan 1. Pieu-
4 m. G0. -Poids 1. Boulard. 8 m. -51 2. Pieu-
chot, 8 m. 3. Pa«melo, 8 m. Hauteur
sans élan 1. 1. Pieuchot, 1 m. 20 •>. Pasfjucio,
'1 ]Il. 15 3. Maxime et Reboux, 1 m. 10. Hau-
teur avec élan 1: Pieuchot, 1 m. 2 Robous
et Boulard, 1 ni. 4. Maxime et P.asj£uielp,
1 m. Offlcicl, II., Kougarçt.
meçrologïe
OBSEQUES nE OURLES SIMON'
IlLer jiiatin; en ]'église en
présence d'une .affluence été célébré un
service solennel" it la mémoire de notre regretté
ami 'Charles Simon, président du Comité, français
inierïédéral est secrétaire général de la Fédération
gymnastiqire et sportive des patronages de France,
tué au.champ d'honneur*- • •'•
Tous les groupes, régionaux de la et
tous les de Parte et des environs avaient
tenu envoyer des délégués à la triste cérémonie,
afin de rendre un ultime hommage à celiri ijui,
durant de longues années, se consacra corps! et
âme à l'éducation, physiquo de. la jeunesse'de
France et qui vient de donner sa vie"iidur la dé-
-Xense-du paySi
nuit, les Jumeaux sont de^rts ComprP'aez-
.vous?'
• Oh Emilienne, fit-il d'une voix étouf-
de son îcgiid -tendre
Alors, a ce-soir.?
Qui, vers onze heures, ]e ^otai la pr-e-
mière au rendez-vous. Tacliuz de vous
procurer une petite lanterne, car il fau-
dia que nous soyons prudents. Il ji^s-t
pas raie que 'des ouvriers attardes rodent
dans la Cour' de la-
C'est entendu Comment connaîtrai je
votre.présence ?
à l'une des fenêtres du bureau de mon pè-
« Il .Lui tendit les' bras. Elle ne refusa
point son baiser, Elle se jouait de cet hom-
me et il -était nécessaire à son plan qu'elle
le trompât jusqu'au bout. »
Le vieillard' s'arrêta dians son ré-çit et
releva, sur Elise un regard froid.
Vous intéressez-vous à cette histoire ?
• t^ Oui, mais je me demande pourquoi
.vous mêla. racontez? ?:; ̃
.-T^-jBarÊè qûélc'ést la vôtre ̃'̃
•™- f'ai affa.irerà ;un fou. à Tin foû dan-
gereux se dit-elle tout haut.
s Vous niez ? i
J© BÈ mêniç pajs cette peine.
WLdI\€>S
"VALEUR ET SVVOIIt
La Faculté de foulo is« Ment de recevoir
a la piPinieie \>aiW du baccalauréat (sec
tion latm gi«c; un candidat aaçniiel il fallut
accorder une dispensa d'âge de plus de
quinze mois C est, sans contredit; le plus
jeune bachelier de Fiance
Cet elc\o précoce se nomme Léonce de
Cafctelnau C'est le propre fil du central
dont toute notre armée raconte le^ signales'
services et s'en enoi'çu^illit
.Famille bien française, décidément. Il
n'y a qu'a s mclinei tie^ bas, sans plus
LES EFFETS ET LES CAUSES
Hier, c:était dimaiiLl'c Le temps fut"clé-
ment, et le soleil noya les ensembles dn.ns
un bain d'or a fu^ôn tem tr°c ( est I tt
mosphèie de choix poui 1 athiland tge des
bou'e^aidt- Ils ne manquèrent pas d'être
parcourus avec assiduité, des minois e\
qui et charmeurs se crmvint avDc d#i fa-
ces martialus et des !iont>- ye'a-cs de soac s
Les tables des mai-chauds de boissons se
trouvèrent tnquenvnent occuii>l-.s On }
afflua a l'heuie dt, l'avant dînei Les con-
sommations nou a'ppdiurent <oniipe fort,
peu dissemblab'cs de <.»lîcb d^s jours pre
ce^tents niais les ronsoinmateuT0 ha.tnt icls
que 1 œil retient, avaient v aie d ^^iicc' I 'on
n'y notait pus de et oMiueTs Uo-p flam-
bants neuf, bombant du to'-c, poui vous
aveugler d ordres multiples et eti inqes
avec d«s tenut du dciriei modèle et des
bottes immaculées que les routes des ba-
tu'Je n'ont gu^ie eculi os
Toutes i. s peibonnil'U-a étaient rentrées'
dans leurs vêtements de civils et avaient
repris lalime de petits bnuiçcb s satii,
ïans *e vtvie et d«jsneu\ de ne pas se faire
trop de mousse ( lut un des effets les
plus évidents de la «ou^eile î^stuc lion sur
les liqueurs autorisées pour rxli^orptinn
Mais les gens que cela touche. (lui', leuis
intérêts ne sont pas fort, contents, 'et ils
e\pnmcnt niai giacieu <n«nl Imji fureur,
A location Ils ont fa.it pl^is ifinme t on,
ils ont voulu remontci lustpiaux causes de
la mesure dont ils soutient Depuis lors,
nous dit quelqu'un ils nui tous contracte
une cuiicu maladie, Ils ont tous le
P0l5.be dans le ne?
Il ] ai iH que ceux qui lificnt le feuilles
doivent comprendre CheKliez
LiAeque de Biimm/nuii, emporté par
a dt claie que
le théâtre, loin d'avoir a ledoivoi ~c^ fo\i-
aie% lui .apparaissait comme aussi essenr
tiel a la vie cou^autp que bs église^
Nos canliei'es londoniens, bien inspirés,
âemandent au^^itot qu^l ;sera le dneLteur
de théâtre qui, k pienuer aura la r>om-
toisja de.se lever et de prononcer quelques
pjiolcs umibes a lcndioit des egh^s
Ties eo-neet, enefiet
APTtl GUERRE..
Un giandnombie dp gers qui epiouvent
le besoin de ,& cieei des préoccupations
ikOU'dia'ont bien déterminer, avant l'heure,
ce ,que' devicndia oeciou cola, Ils hostilités
c-f>ssantob Nous croyons devuiei en tout
cet echaf Laid âge de prédictions, un de-sa
inconscient et latent de g-uidei le mouve
ment, aloib qu il est bien plus simple de
laisser se deteunmei la poussée qui nous
viendia de 110& joiibatlams-, les seuls qui
auront le dioit i© donne' le la.
Enfin nos excédents confrères MM Guil-
lo't de :Saix et Bernard I^ecache ont tenté
,de connaît!), quel sera- le théâtre de l'ave-
nir. Commo en toutes ces enquêter un peu
fallacieuses, l'on ne produit que Les opi-
nions des gens réputés. Ils ont tous vu les
.possibilités futures que sous les angles du
.passé, Cela nous -a fourni des préférences
et non pas des. orientations neuves.
Pour notre part, nous souhaitons ou
théâtre de redevenir simplement françaî"
et de se dégager d'un tas de dis-solvants qui
l'avaient réduit quelque chose d'assez
agaçant, sans langage ni idées. Qu'il pren-
ne avant tout sa source- dans, des idées
puis, spirituel ou épique, qu'il sepre un peu
de près lo dessin et qu'il nous campe,
nouveau, des types et des caractères cons-
tuiits'solidementj dans une- forme élégante
et savoureuse. La société actuelle permet
des études. Le passage de- l'ancienne à
celle qui va surgir fournira des thèmes
nombreux, audacieux, sentimentaux, hé-
roïques ou ironiques suivant les tendance-
d'esprit. Au travail Il n'y va pas de plus.
Elle nous vient de Ly^n, seconde ville
de. France.
Une commission parfaitement compétente
a résolu d'établir dans la grande cité une
foire d'échantillons destinée concurren-
cer ia foire de! Leipzig.
Il seirait à souhaiter que tous- les, milieux
industriels et comnierçiaux se- décidassent
à des résolutions de ce genre avec la. vo-
iosnt.é de les faire aboutir par l'action éner-
gique et rapide. Nous souhaitons même,
pour en avoir constaté les effets essentiels,
qu'aux colonies et à l'étranger, quelques
hardis pionniers des intérêts français s6n-
gent, à édifier avec' un goût- "plus affirmé,'
en face des lourds caravansérails alle-
mands -si .productifs-, de halls 'd'échantil-
Ions aussi, ou les pays ainsi pourvus puis-
à- 'ses besoins et passer des commandes,
ensuite, objets choisis, à nos maisons de
France. ̃ ̃•
.Un peu d'allaiit, veiitrebleu
LE' VRAI BARBE-BLEUE.
Il ne serait venu à personne l'idée d'aller
le: rechercher aux Indes- Pourtant le rajah
de Baria,quii vient de. oomàatire en. France,
treesnotre prince .de contes de fées. Re-
continuez donc, monsieur, je vous prie.
Je vous obéis. Le temps de recharger
Ce qu'il fit, îrethiKUquennent, sans parai-
tio auti"»n^nt se préoccuper (l'elle,Et e'était
un spectacle étrange que c-e'wi de ce vieil-
lanl et de .cette/jeûne fille, vaguement edai~
rés par la lueur dune bougie, en cette
ruines;où teJa
ves perdant qu'au d^sus- de leur téte,
dans l'ancienne pièce du moulin où se trou-
vait la turbine, trottinaient des légions de
rat1- de ce vieiHard qui avait condamné à
mort wtte jeune fiHe ojui lui lisait son
airr'êt-de mort. et de cette fille qui se savait
corJamnne mais dont l'oigneil superbe et
l'indomptable énergie tendaient à un seul
but lui échapper encore
Après deux ou trois bouffées, la pipe ti-
rant bien, il reprit
« La nuit favorisa les deux amants. La
pluie qui tombait éloignait toute envie de
se promenier, de s'attarder, de telle sorte
que la solitude était complète' autour de
l'usine- Kordan put s'a.pprdc.héï' des buy
reaux, sans être vui, se cacha contre la mar-
geljfe d'un puits pour se protéger- contre les
averses, incessantes, et attendit le signal
d'Emilienne, les yeux fixés sur les fenêtres,
du cabinet de Reiter. Les Jjureaux focr
montant a Prithi Raj, un de sés ancêtre^
célètire dans L'histoire pour sa défense hé»?
roïque, quoique inutile, de -!a forteresse d^
Cbampaner contre ^Moliamed Begara, l«t
conquérant musulman, le rajah ,d.e Bari
affirme quelles écoliers orientaux ie^on^
naissaient en Motomed Begara, à la foisr
1 authentique Barbe-Bleue et ca pimce dai
Cambay, dont 'a nourriture ooutunaer®
était de ciapauds et de basilics, comme ih
est certifié dans « Budibras l
Nous démons d>es renseignements précis
à L'Intermédiaire des chercheurs et de.
RECOMMANDÉ AU RECRliTEMENT ANGLAIS.
htaues sise à Najncy eit qui, pour faone
dans le ci vit, opère aussi dans le militaire*
et fait i'&logie
rvs si prisés des troupes britann1 j'ies
Il les en gabdTdiine, en bl< u hori-J
zon ,611 kaki, voàïéj en vert .loffira (couitenoin
p~p.&\A iee sans nul doute) Il les fait tAe-
gajite lntlo.^e•Ĩsables par la pluiej
le giieni] les vents o-u les* orages
Or, cette maison est la niaa&on Arillt.pi&dL.
vh faut I îcn "MX
hommes R-toPtc, l'on en fait un» oimee.
Avis s auN ©̃'îiocib poun enoouiagea lemoli&i
Mofisti.v chasse est t. (l^iKl^iicnt la jn te il la»
mode. Tous nos permissionnaires du iront pronieir&j
d'e lcui séjour à Paris pont' \enir la Ri 11 » --anus
applaudir la pilcl d^opilaflif de Geoigo I\,jdeau,
'(lui fait chaque soir salle comble.
Aux Ambassadeurs. Le spectacle le plus at-;
trayant, et le, ulus c iriplct la Revuc noinellèj
de Quine! et Morgan et le Cinéma (Vues in>u\Llles
des n.tuil K Ul li tiirtrc} Ustis lni jour-», initmée
Aux Folies-Bergère
saison.
"larigny Alusie Hall
'ious le -ij cette semaine, En. raniaiatl
gv.aod ballet et nombreuses attraction».
IIS, rue recquevill* 112, PartB
CHEMINS OE FEU D'ORLÉANS
B(He( spéciaux d'aller et reloni collectifs pouf
famines di millta'rv tmtri </aie Jt.s il (.aux
de lOiltatU, Ut ILLal, du Midi xt du P L Mi
En vue de permettre aux familles d u impa-
gner u {l'aller visiter dos militaires en congé de
conval"5 fjj(,e ou hospitalises ou nus ni reforma
à la suite de blessures, .infirmités ou maladies con,
sera délivré aux dites familles 311 ija 11 sep-
tembre 19)5 inclus. des billets eoHeetil spéciaux
enue los des réseaux de J Orlean de l'Etat;,
du Midi et du P.-Lr-M. et les gares d'un. seul de.
ces réseaux.
Ces billets seront Qélivrés .aux familles d'au
moins deux personnes, sous condition d'effectuer,
soit sur un seul, soiti sur plusieurs de ces ré-
eaux un parcours d'au moins kilometus (al-
1er et retour compris) ou de payer pour cette
distance. Ils seront valables jusqu'au novembre,
inclus, .quelle que soit l'époguc de la délivrance.
Ils comporteront des réductions plus importantes
que celles des billets collectifs actuellement exis-
tants, leur prix s'obtenant en ajoutant au prix
de deux billets simples ordinaires au tarif plein,
pour la première personne, le prix d'un de ces
billets pour la deuxième personne et la moitié'
de ce prix pour la troisième et chacune des sui-
vantes.
La demande des billets devra être faite dans;
les délais fixés par Je tarif. Ils ne seront délivrés'
que sur présentation d'une pièce justificative cer-
tifiant que les familles remplissent. bien les cliver-.
ses conditions indiquées ci-dessus.
Tous renseignements complémentaires sur ces»
billets seront fournis .par les .gares.
Notre service « LES VINS NATURELS »j
livre un vin rouge Hérault supérieur ai
80 francs la pièce logé.
SPECTACLES DE CE SOIR'
Galté, 8 Il, Xj2- Pnrand et Durand.
Renaissance, 8 h. Monsieur chasse
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tuite. Faut. 1, '3. 4 fer. Matinées jeudis, di-
manches et fêtas.
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des italiens). T. 1. jours, de 2 a il heures
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jours, matinée à 2 n., soirée à 8 h. La revue de
Quinel et Moreau et le Cinéma.. Fauteuil 1 fiv
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soirs de S h. 1/2 à 18 li.3/4 et climanc. isat.â 2 h.1/2.
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Iliisic-Hall Bruel, Géo Aldy, Anovïdroi>s, Lisa
Zitanita et MoMgongo.
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chefs, matinée à 2 h. iji.
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jours, matinée à 2 Il. 112 soirée à S h.
Les -iiims ào guerre. Actualités du Pathé-Journal,,
Films de guerre. PatUé-Jouriial^
Âthë-paLACE (32, bd des Italiens). -r 1-tepr&
seatatioa .ininterrompue de 2 b. h. du. soir,,
IMPRIMERIE DE LA PRESSE FRANÇAISB
Ltom co'jeaQT, i«, rue Mootmaxtrs. 1
niaient un pavillon relié au cliàteaui païf
une sfirre d'hiver, et c'était par la serre que
In jeune fille- comptait entrer; sans quitte».
1 intérieur et s'exposer à recevoir une on-
dée violente. ̃
« Marcel n'attendit pas longtemps. Emî-
lienne tint, ce soir-là,1 à être exacte. Un die»
battants d'une persienne s'agita faible-
ment, -s'entr'quvrit ùaie seconde.
« La avait esca-
lade ta fenêtre et se -troasvait près d-e sa maX-
tresse.
«Fenêtre et 'persienne restèrent ouver-
tes et telle était la fièvre de sa joie que I«
jeune homme n'y prit podnt garde. Or,,
Emilienne devait partag'-er cette même joie,
être en proie à la même fièvre, car elle,;
qui avait recommandé tant de prudence,
laissa les choses en état, sans sé soucier
que, du dehors, l'attention pouvait être-
éveillée, l'alarme d:onéée.. et qu'un danger
pouvait les; surprendre..
« IL s'était muni d'une lanterme souand«.
« If la fit jouer. •̃
«.Un pu* de lumière lui montra EmiK
Henné', p&Le, avec des yeux qu'il ne coa-
naissait pas.
«; II lui prit la. main et il lui parut qu'il
̃-étréignaiit' un mo-rceau, de glace,
Qiras-tiT, chère Emilienne ?
Ne fa4g yas attention. j'ai peuir
(A suivx£jf-