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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1915-07-20

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 20 juillet 1915

Description : 1915/07/20 (Numéro 8378).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k598273j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 31/01/2011

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CHRONIQUE

CABOTINAGE

11 a !ipe d°-s choses, en vérité., que

cette guerre aura îemi^L* a Jcui place

exacte.

Je n poavai m'empêcher de '-oùs, iL

cela en livmt, la bcmame aertueit, ks

quelques lignes p-ucinnimu-pm'uit conbi-

crées, dars les journaux, <iu\ toncours <su

Consen itoiic

Cette auneu, ils se sont

supérieur, quasiment en famille L'assis-

tance était clan~°mec C'était à peine-si la

res> émues

Aussi, tout se 8éroul-i-t-'l te m oi»x du

mond» Ii tragédie et la comédie Icmeme-

rent obstinément sut la -scène et le pwbh-f

ne s'ausa point ti» jouoi le iôle ue chœui

antique, dispensateur bruyant dcloge c'

de Manies

Il

tenant poli dont un légitime eanm nu van

bla. pas toujours .tout a fait exclu

Quint au îcbUlHt, il fut pic-clinie au

milieu du sileme le plus pioîond, -at les'

justti, décisions d un jury, dont j ^^nne

ne sufaDecti leqnu lie luient ̃-ouli^iicesj

par aucune- de c^s

qui, k>« aiiti" m5; ollaicnt ùu h mssc

ruent au uigi ^ciiunt et clf« eiJitiiete vcn-j

g re=teb aux nem cl oiseaux les plu sa

nés

Puis, la petite (êitimoiHi. ttimmee èha-

«un s'en fut chez sci, comme dans 3° chan

son. sans importuner les nioflen^us pas-

sants de ses m il< dictions et de ses 1 lci 1

ïmnations, en attendant que le lendemain,

les critiques ratHrina-Aent a pêne de vue,

sur les cm, coi imodo et quando qui nient

que les gestes de Phèdre n" se marièrent-

pas mieux avec ses pai-ole-s, au une facheu-

t>e &\ homj unouvi les. împiecauons de

Camille et que la peite de son petit cha+

ne fut pis ressentie avec plus d émotion

par la tiaditionnelle Agnes de la journée

Cette année, h'on-- le, 1rs concours du

Conseivatoire ne furent pas moins ce qu'ils

auraient toujours du être que ce qu ils

déniaient toujours être dans la\emi

6',est aussi que, ju^qti a. prient, ïiotte

mcoiiiçible snobisme était arrivé à eu faire

-"an évencniciit cousidsiab1^ de la vie peu

̃«iRjine

dans la p-etitc de la rue bamte Cécile

pour écouter un quarteron de jeunes per

•sonnes, exhiber or> toilettes aussi taroageu-

>ses que leurs piote tioiib offlc^elVs, le^ p'e

mices d'un cabotin ige « g d g. constituait

un brevet de pin boul°\ardisme au même

titre que d-e fréquente'):' Tes ballets 'usses,

ou d'être invite aux fete 3im-douics du

Ce rue c'est tout de même que dojs

°oupirait a,-ec ameitimr1 un do nos toons

philoscphes.

Quant aux concruis «xmâtes iiS

n'ont d'ailleurs jamais lien démontre, si-

,non que les eleve-- qui étudient au Conseï

\c +Oir^ .le noble art il" lalua et des Ra,

•chel n v .-apprennent geneia'-en'ent pas

en «cène qui ya, parfois,,

jusqu a montiei un poing mite au juiv

coupable de par+ialite â lam encontie

qurnt a, =avoir mteipreter les textes "las-

«îffues, cest une tout autre question, qui

semble consideiee comnae parfaitement oi-

D'*uboidj n,e serait-il point plaii-ant que

l'Etat qui ne peut fabriquecr de bouses allu-

ïuette® fût capable de former

-bliss comédiens ?

Il serait injuste d'en faire grief, dans

l'un ou l'auir? ra«, à la de ses

ingénieurs pas plus qu'à celle de ses pror

îesseurs c'est le principe même do

l'enseignement officiel qui est mauvais et

qu'il importerait, iwant tout, de chan-

Cette école fosetionnari-

sée, ne peut qu'étouffer le talent vérita-

ble elle ne transformera jamais la médio-

crité en valeur.

C'-est pour cela que du Conservatoire ne

sortent que des cabotins dont quelqu^es-uns,

• enipressons-nous d'e le dire, deviendront

plus tard -des artistes.

Est-ce bfen la peine de faire tant due

bruàt. pour si peu et de Texhi-

̃bition de tous ces jeunes espoirs au rang

FEUILLETON DÉ LA PRESSE

du Iti juillet 1013

–123–

DEUXIÈME -PARTIE

LES TRC1S PHRASES MYSTÉRIEUSES

Le réçit du grand-père

« Et il Ba«»ftça, 4aps un JejP5Ç).orte-isB*aat de

« Elle haussa les épaula et se contenta

fie dire

Prenez garde.!

Alors, ce furent des irapradences, com-

mises par Jui, ay -risqu© & la cpmpro-jiiiet-

« Le premier acte de. b». tragédie allait'

̃̃:̃ ee 3énouer..

« Dans sa folie, MarcS fvordan n'était

plus capable de réfléchir.

épreuve par laquelle nous serons passés,

délivrés to«it a fut d<? ce snobisme exa-

cube, de cet hi-tiioni-oine de Bas-Cmpue

qui avaient pris, dans notM vie sociale,

une place si mpai tinte

T ai peur que noii

La paix signée, le Pansien nui s'est mon-

tré si bine, 1 c<lm<\ si patent, retrou-

\cia m te cette légèreté d'espri't qui est

fond propre de son tonipiioin^nt et que

jalousent nos erniMm eux meaies, malgré

1<îuis injures, et.leurs enatlieirte^

putii'-me deb Weinqnlri et convoi t-<, des

oporcito-xHunoi et, n Uoic que U î»a«l

ne s'en prisse consoler, de toutes

les belnmcs de tous les lUcha xl Stiaa s

mî-'s il est bnn ccitim qut nous ne tai

derons ,guère *i \on les concoutb

Il- Conservatoire, i€s ballets «'a\o uid que"

et le dansts e\on jiks qiii s c lanouissiient

chez nous avant la date mémorable du

cki li conversion complcte du pechem tt

\ojs souhaitons ^outement que, desu'

mais, tout reste enfin sa place exacte et

c,u-e, sans exicrui sw* toutes ces. di tiaetiont,

bimpkïiîiniL joui io queues valent

'Et ce sera de] a. un ininirii0" momies mo

r&\ que nous iurons iccoun^"i qi>3 ddue

comme un vei dans

iiuiateait <onsiiiimeût lc qu il y a- ait de

Le Conseil d'Etat vient les

conditions dans lesquelles aui lieu 1 émis

sion des cent vingt millions de bons muni

cipaux de la Ville do Pans

La décret a et-t. signe le Piesi-

dent de République.

Dans ces 'il est piol^ablo que

la. souscription sera ouvciteau public vois

le 23 juillet

COTOIES MILITAIRES

l_es s»us-seeTétair«s a la guerre

Le Président -de la République, sui le

.rapport 'du ministre de. la gueire, vient,

pai un deciet de dtfpur. iCb attributions

.des sous-secrétaires d'Etat' lia guoire

AI Albert lli^jn xs prend le titre de sous-

secietnK d'Etât de laitillene et des inu

muons En cette qualité au nom et par

délégation peimancnte *du mmistie, il di-

yige les services delaitillene et des tqui-

pages militaires. Il est, en outre, charge

dab^urei la constitution des appi o\ i<ion-

nemein-b de j oudies ei explosiis de toutes

notuies, ai im que des munitions spécialés

poui 1° ^cnie et l'oeioniutiquo

et soumet au ministre- toutes les pioposi

fions relatives âu personnel et aux tioupes

de laitillene ei du train des équipages

militaires qui 1 élèvent de son autorité

Al Joseph Thierry prend le titre de sous-

secietaira d'Etat du levitaiFement et de

1 intendance Il dirig0 les services du ravi-

taillement des armées et des places, des

'ivres, des chaufla-ge, &e

1 éclairage de l'habillement, du campe-

m<ejQt et du -couchage

Aï Jiibtin Godait prend le titre de sous-

secrétaire d'Etat du service de-santé mil-

taiiô et dirige toat et service.

La correspondance aux armées

Le retara qui était impose dans un but

militaire, à la. correspondance provenant

de la zone des armées est supprimé, mais

la durée de transport resta toujours légè-

rement augmentée du fait que les eorres-'

•pcndianees ne peu-vent suùvr© que des iti-

néraires déterminés.

Toutefois, l'autorité militaire se réserve

la

retard, dans telle ou telle partie de la.

ione des armées, lorsque des nécessités mi-

litairs l'exigeront. Ce retard sera toujours

réduit au amnimuin indispensable.

ÇA ET LA

membres de J'Automohile Association

et Motor Union (grande association û'aulomotalib

tes d'AiiSfleterre) comptant plus do 100 000 HiPinbros,

1 aruiec fian-

d'ambulance Cet jrn-

jJOfiant groupement sera jpiésenté à ,'NI, le jjrési-

dent»de la République, le mardi SO jeoui'ant, i. trois-!

heures, dans la grande cour d'honneur des lava-

lides.̃•

« Du reste, il ne) se doutait pas du fiège

qui, leitpnwnt, lui était ten lu 11 îî'ttnt

que coupable d'aimer. Sa-loyauté se fût

i^fu-ée à tmte honteuse con.pi omission

Et malgie tout, c'était un homrn1 qui ^ap-

po-'j-ait ^b'z les.autres la lojauté qui! ici

sentait en lui

« Dés lors, jI devait succomber.

II efa't ccAdamné d'a\aaice

« Voici donc Ie piège qui lui fut tendu

» La deiiiHii'} fois qu il put rejoindre

Emiihenn-p, il sollicita, une ^ntrcvire II

était a bout 0& força, a haut de <o-uffrin

ces. Agité et hê\x-t ax, il ne i oss&aibJait

guère au. robuste garçon plein d espoir «n

l'avenir, qui, quelques mois a peine «upi-

ravant,-était venu pr^îidre poss°-=«.on de

son posta, aux usines Reiter II oolUcit lit

cette entrevue humblement, à oix baisse

Comme implore une aumône un mendiant

à l'agonie, jncurant de faim.

« Elle parut s'apitoyer, ce jour-là.

« Depuis longtemps il ne l'avait yue sou-

rire. depuis longtemps il n'avait vu, sur-

tout, l'exçïiessip-n .d© tendresse voluptueuse

des jolis yeux- bleus, des yeux de vierge.

et ce fut cela .qu'il vit, le sourire et les

yeux 'passionnés.

« Et tout dû suite, il oublia tout, et,ce

fut une folie de jpip..

« Elle avait dit' simplement

Oui. ce soir.

Vous m'aimez toujours?

Nouvelles dkmes

de k Maïïuk

Un discours de l'ancien ministre

Samedi soir, à Ath^neb, chez M Tncou- »

pis, a eu lieu la îeniuuu plénière, du parti

libéral, sous la présidence de M 'v enutiOb.

'Cent'cinquante-huit étaient pie

j^n+s vingt-quatre s'étaient la t reple-

ienter

\i Venï?elos, dans;un discouis vibrant,

a exite"

ricuft et des inethodtà gouvernemeTitiules

compromettant l'œuvac d^ la îtvolui'on ae

,1909 et. en présence delà preuve de con

fiance résultant du voie du 31 mai, il ou-

bliait 1 ameitume q~n le ht =• îetaei de la

politique, et, se cont^rtant de cette'satis-

laction, il repienut 11 dnection du parti

Tibeial 1 ajournement -de :la

Chambî* est iiti-coWitutioiiiïel et 'inutile,

car le parti hbt al ure -fais la Chambie

.convoquée, ttatt pi et a conseil n 1 ce que

la solution, de la crise «,oaveii«iren-fdi« fut

iioumee .jusqu'au compkt ictoblii-er"ie"t

du

En terminant, AI eniz-^os eMnima le

v-œu que du sou-

veiamiiiette hn a eettp situition démente

les bruits qui circulent sur une pi étendue

dis oiutiop de 1a Chambre, bruits. qui

émeuvent la nation, dont 1 «attitude calm-e

est due aux conjorctuies exttneuies et à

son lespect poui la personne durci.

Commentaires des journaux

Athènes, 19 juillet. 'Les journaux veiu-

/ehsteb, commentant leb déclaration lai

ter> hièi, au couib de la leunion des hLe

ra«x, iai "NI \em/olc=, expuipent leur

joie de voir rexenii soi la ^^ene politique

1 Miraient homme d'Etat. Ils declaient que

M Veni/elos obéit, dans les en constances

-actuelles, a-nx mêmes sentiments patnoti-

à abandonner la politique, et qn il reprend

la dn-ection de «on parti pour le salut de

la patrie, qui lui doit d'incomparables ser

vices

la presse trouve msuf

lisantes les déclamations faites par M. Ve-

nizelos qui n'aplanissent pas les difficultés'

qui lui ont tait quitter le :pouvoir et ne dis-

sipent pas

UEmbras dit

« M Y«*mzelos constitue un fact ur îm

portant, dont la. disparition ci eeri.it Un

vide -diftiâila a combler AI A emz^'os pbs-

sède des tifi d'une -valeur indi^cataole,

mais il doit abandonner le méthodes au-

tontaues qui ne peuvent plus être appli-

quées » (Havas.)

Prorogation probable

Athènes f8 juillet -Tout porte a croire

que le décret prorogeant l'ouverture de «a

Dhambre au août sera '-promulgué au-

(Haxas )

Les Complots d'Egypte

Une .proclamation du haut commissaire

ie -Caire, 1S juillet, Le haut commis-

saire a lancé une proclamation disant que.

toute personne qui aurait connaissance de

l'existence d'un complot -quelconque contre

l'ordre' établi, ou qui aurait connaissance

de l'identité d'iune ou de plusieurs person-

nes impliquées dans un complot de ce gan-

se, ou coupables d'un délit quelconque di-

rigé contre le gouvernement établi, devra

^11 informer sans .délai l'autorité châle ou

militaire la plus v.oisine.

I^es contrevenants ,à cette ordonnance

pourront être poursuivis conformément à'

la Ici militaire'. Le même traitement est

'̃ .applicable quiconque

sonnes susvisées ou qu4 le-s a-ident ,se

sou&traire à la justice, (ffavas.)

RENTRE EN HOLLANDE

Rotteixlam, 19 juillet. Le navire hol-

landais <( Bata\ier-V », qui était retenu de-

puis près de trois mois .à .Zeebruge, -est r«iv

tré .samedi matin ït • 'Rotterdam. Le maître

pilote dit que le navire fut amené jusqu'à

Zeebruge par des" marins allemands qui le

'pilotèrent à travers un champ de mines, et

que l'équipage ne fût à aucun moment .au-

torisé à débarquer. Ils n'ont aperçu -ni

sous-marins ni navires de guerre. Un mem-

bre de l'équipage déclara' que le .raid exé-

cuté, la 'semaine dernière, par des ,avia-

teuiïs alliés, avait causé de graves dégâts

au môle et que les Allemands vivaient

dans une .continuelle terrsur des raids

aériens,

L'Etat de M. Affonso Costa

Lisbonne, 18 juillet. Suivant les jour-

naux, -les -méd-ecins ,de M. Affonso Costa

assurent que la- période dangereuse ne dis-

paraîtra pas. avant un mois. L'état.du ma-

lade s'est néanmoins amélioré considéra-,

blonent. {Havas.)

La bataille se

• poursuit .dans la péninsule de Gallipoli; les.

avec son regaid tendre.

Cnez ous ?

Non.

• II y a trop de danger.

J'y suis venu cent fois

On me surveille Jadis on ne soup

çannait rien

Alors, où voulez-vous que j'aille vous

retrouver ?. Partout ou vous direz, j'irai.

j'irai sans ciamte j irai avec bonheua-

dus'-e je, de la, descendre au bagne, à

l'écliafaud, en enfer I

Les levios d'Emilienne se plisiscient en-

une contraction énigmatique.

Au bagne iL l'échafaud! flt-elle A

quoi pensez-vous donc ?

Dites oh dites où dois-je.vous

rejoindre cette. nuit ?

J« descendrai dans }es, bureau?:. de l'u-

sine. Ils sont fermés tous les soirs a:vec

soin, car, comme vous le savez, il /reste

souvent des sommes impo-i-tante-s dans le

coflre-fort, mais j« sais*çp-mm«'nt «!̃& pro-

̃T'QWi'es les nuits, le gardioi} Sctiwartz

couche près due la caisse.

Si depuis quelques jours vous ne .né-

gligiez pas votre service aiuj point d© vous

attirer les reproches deL mon père, vous sau-

riez que Schwartz est malade.

On dû le remplacer..

attaquant v igoumieenieint sur toute la

ligne tnaque -dt-t-iqjs est piecedce ri un bom-

et par les can&ns de^ nav w&> de guerre.

Touieb les attaq iq^ aAiaaiei été effectuées

av«c succès, maiis on ne possède pas encore.

:le poin-ellet, defintives n le dein^eis pro-

grès qud auraient. <.V laits L'ennemi a subi

3^ XMtes très lourdes, causées surtout par

la^iUeiW UdPraite [Foniucis

•"»- Lonjie 19 juillet On annonce que

le 101 d Italie conféré l'ordre de 1 -Vnnon

ciadc au prince de Galles j il. occasion de

son anniversaire. (Havas.)

Roip" IS juillet. au

flicdtic Municipal <l \0-1te une grande réu-

¡¡ion en faveur de la Belgique a eu lieu sou,-5

la de Rattcuc députe. Des

discours c it ttu prof once 1 ar M. Rattone et

par MM. Lor-and, Destrée et -Vandervelde,

dt! utt belles loue (7u*ifrc ont cte accla-

n notamment M. '\<mdeiv-dde <?ont les

r ib1nt; fJ tes 01 provoque l'enthousiasme

de la M Cimpolon^m membre Je la

presse. a etisui'o présenté ,un -ordre du jour

e^Jtuit la guerre du dioit rt la prochaine

de la Be^iriu* Ot oi>die du

jour été adopte a li^nT îpiti,

»< Melbourne IS vuilkt La. -campagne

î>a rien entai le ion le iieciutc nent dans

1 tiu es se rant earôle»- -u co-ui^ de,

la (ii7Uf/ai ic L.es autontes r«gio' aies con-

tu lent la caiioaarne -d ni la l-ed*ia

m-c'rn* "-tu terrain

dao e ei ci-ces milUdiicss {Haia )

LA FAST<LL.Ê DU Dr LOWIS

TOE L.JI SOIF

Les lOOpasllUes 1 25 ou fa. 1 35 à DAVID. Colombe

La Wïe Sportive

Cette course, que la SociftL fies Courses avait

inscrite pour .hier a son piogiinu.it de incirni

tiou irahtai"C constituait une intéressante 1 ino

uu n En voici, les 1 évnltat

1. Marccl Lorand (1.), eu 1 la. Tn 41 s Mar

cellin (TAil <t 3 loTigueul-s Charles Alcvti (1

a 1 lon^ucui t, Hubeit Lam>n (h C P ) tn 1 h

W in Iiipia (( ni à long o Lucien

Costes (L), à 1 1;° long.; 7. Emile Guérin (I.), h.

'P il i s S. M uiice Torliet (\CP) 1 li w m

s.; Erne t 4.icloud (IS C P ) i 1 J 1 nt

Cliarles Lacqueliay (1.'), une roue, etc.

Dimanche prochain la 'Société des Courses orga

n v»n son annuel 'Brevet des 100 iilomctit^ sur

Saint-Germain-CliauHour et retour

IU RICI~\U CLLB DE Flïi\CE

Ch Uenge d atnle i<;me 100 m 1 Ma^ cr t cr )

Coulon (1 jO 3. BlaniiV (9). 2<0 ni. 1 Blin

che '2. Pemd "Uavei (--ci ) ). -.Saut- -en

liaitpui 1. Coulon, 1 in 0 J Blmcnc et Pé-

lard 1 iù 40 Poicl 1. 1 ei iïd 8 m. G0

"Viager 8 m aO Le tlinc r n 20 Cla^e

'ment: :et Majei BlanUic Pûifl»

,scolaire,- 1 M Diutt 9 m iS

Hier/belle .journée de poil au Stade Iianvai

En voici le-- résultats:'

Prix Charles Simon. 100 ni. hand. interclubs.

1. blatign-v c CA d Ei "liien Chcroii

HoniUe \C i Heinmu ni. 50), SF.

clubs, l milmgeville (Houilles VC J "U<rlt

(CPM) Botet (C vSC)

Pmx -d-u Gomite --réservé -au -stade.

1. Vétillard GUltt (5), 3. Lageix ( ) T

Prix de la RepubhQue 680 m scratch 1

Contbiei (PS CluOo) Audmet (CASG) 3 Iron

délie (CASG), 4. Berretrot (CASG), 5. Lazardeux

(C-VSG) 6 Tessier (CAS&^ 1 m 6 s. o

Prix des Daines, m. liand., réserve au Staçte.

1. Jacques Dandelot (110), Odero fscr.), 3. Lan-

tttr (J0) m 37 s. Gagne de là m

CRITERIUMS DE L'V.S.F.S.A.

Intéressant snort, dimancl1e, aux Bains Xlcligrij-

100 m. débutante. l. Bernoin (USELM), 2. pin-

nier (CSP), Grisot (Ind.).

Critérium 100 m. dos. 1. Paul Vasseur fSCMF),

en 1 m. 52 s. 2. Jaure (Libellule), 3, Harnovve

(Libellule), etc.

.100 ni. handicap. t. Katcherez (Libellule),

1 -m. :t3 s. 2. Mottheau (US Lagny),. 3. Carrier

(USPLMi, 4. Kerty.

Critérium °00 m. brasse. –.1. AlottUeau (CS La-'

gny), 2. Jaure (Libellule), 3. Roberty (Libellule).

,Critérium de plongeons. 1. Welisch (Libellule),

2. Bourgeois (CSP), 3. Dauibier (CSP Minime).

Officiels MAI. Bronstein, starter Glarher, juge

arbitre Thionnaiic, chronométreur -Foulon, juge

à l'arrivée Itichemond, juge à la corde.

ItESCLT.lTS DE

Club des Nageurs de Pans \V F.N Résul-

.fats ̃ 50 m. nage Ubre, pupilles i. Bpyle, 50 -s 2.

-Dutiileux, 3 Pollet, i 'Birtovitz, 5. E liogaertb

m nage lipro, _2' catégorie 1. iiiossi, -4' s.;

ChauHour. 3. Chauvin, Vallet et W.einachter dead-

liead Concouib de plongerons • i dulectry, 37 p

2 Jeunet, Ty p 3 Ji an 11-ircovici, lï p.

Les 'Mouettes J3on eniraineiucnt du club fé-

mimn -I.ps iccons de pei-u-eiioimement i>nt ete le

but de la journée-. Les plongeons ont obtenu un

franc succès, nuis prnuipMfineuf !t^ plongeons

-GardtHi", E. Gardelle,' i Mme WurtZj j Mlle

Marceline :\Yurtz.

̃ ̃̃ -SPORTlviG- AMICAL -FRANÇAIS

•Réunion d'entraînement. Résultats

100 m. 1. Picuoliot, 12 s.; 2. Maxime, S. Bou-

lard. 400 m. 1. Maxime, en 59 s.; 2.. Pieitchot,

3. Bo.ulard. l.f>00 m. 1. Maxime et lioul^r.çl,

en 4 ïn. 42 s.; 3. Reboux. Longueur sans élan

1. Pieuchot, 2 ni. GO Maxime, S m. 3. Ke-

boux, 2 il). Longueur avec élan 1. Pieu-

4 m. G0. -Poids 1. Boulard. 8 m. -51 2. Pieu-

chot, 8 m. 3. Pa«melo, 8 m. Hauteur

sans élan 1. 1. Pieuchot, 1 m. 20 •>. Pasfjucio,

'1 ]Il. 15 3. Maxime et Reboux, 1 m. 10. Hau-

teur avec élan 1: Pieuchot, 1 m. 2 Robous

et Boulard, 1 ni. 4. Maxime et P.asj£uielp,

1 m. Offlcicl, II., Kougarçt.

meçrologïe

OBSEQUES nE OURLES SIMON'

IlLer jiiatin; en ]'église en

présence d'une .affluence été célébré un

service solennel" it la mémoire de notre regretté

ami 'Charles Simon, président du Comité, français

inierïédéral est secrétaire général de la Fédération

gymnastiqire et sportive des patronages de France,

tué au.champ d'honneur*- • •'•

Tous les groupes, régionaux de la et

tous les de Parte et des environs avaient

tenu envoyer des délégués à la triste cérémonie,

afin de rendre un ultime hommage à celiri ijui,

durant de longues années, se consacra corps! et

âme à l'éducation, physiquo de. la jeunesse'de

France et qui vient de donner sa vie"iidur la dé-

-Xense-du paySi

nuit, les Jumeaux sont de^rts ComprP'aez-

.vous?'

• Oh Emilienne, fit-il d'une voix étouf-

de son îcgiid -tendre

Alors, a ce-soir.?

Qui, vers onze heures, ]e ^otai la pr-e-

mière au rendez-vous. Tacliuz de vous

procurer une petite lanterne, car il fau-

dia que nous soyons prudents. Il ji^s-t

pas raie que 'des ouvriers attardes rodent

dans la Cour' de la-

C'est entendu Comment connaîtrai je

votre.présence ?

à l'une des fenêtres du bureau de mon pè-

« Il .Lui tendit les' bras. Elle ne refusa

point son baiser, Elle se jouait de cet hom-

me et il -était nécessaire à son plan qu'elle

le trompât jusqu'au bout. »

Le vieillard' s'arrêta dians son ré-çit et

releva, sur Elise un regard froid.

Vous intéressez-vous à cette histoire ?

• t^ Oui, mais je me demande pourquoi

.vous mêla. racontez? ?:; ̃

.-T^-jBarÊè qûélc'ést la vôtre ̃'̃

•™- f'ai affa.irerà ;un fou. à Tin foû dan-

gereux se dit-elle tout haut.

s Vous niez ? i

J© BÈ mêniç pajs cette peine.

WLdI\€>S

"VALEUR ET SVVOIIt

La Faculté de foulo is« Ment de recevoir

a la piPinieie \>aiW du baccalauréat (sec

tion latm gi«c; un candidat aaçniiel il fallut

accorder une dispensa d'âge de plus de

quinze mois C est, sans contredit; le plus

jeune bachelier de Fiance

Cet elc\o précoce se nomme Léonce de

Cafctelnau C'est le propre fil du central

dont toute notre armée raconte le^ signales'

services et s'en enoi'çu^illit

.Famille bien française, décidément. Il

n'y a qu'a s mclinei tie^ bas, sans plus

LES EFFETS ET LES CAUSES

Hier, c:était dimaiiLl'c Le temps fut"clé-

ment, et le soleil noya les ensembles dn.ns

un bain d'or a fu^ôn tem tr°c ( est I tt

mosphèie de choix poui 1 athiland tge des

bou'e^aidt- Ils ne manquèrent pas d'être

parcourus avec assiduité, des minois e\

qui et charmeurs se crmvint avDc d#i fa-

ces martialus et des !iont>- ye'a-cs de soac s

Les tables des mai-chauds de boissons se

trouvèrent tnquenvnent occuii>l-.s On }

afflua a l'heuie dt, l'avant dînei Les con-

sommations nou a'ppdiurent <oniipe fort,

peu dissemblab'cs de <.»lîcb d^s jours pre

ce^tents niais les ronsoinmateuT0 ha.tnt icls

que 1 œil retient, avaient v aie d ^^iicc' I 'on

n'y notait pus de et oMiueTs Uo-p flam-

bants neuf, bombant du to'-c, poui vous

aveugler d ordres multiples et eti inqes

avec d«s tenut du dciriei modèle et des

bottes immaculées que les routes des ba-

tu'Je n'ont gu^ie eculi os

Toutes i. s peibonnil'U-a étaient rentrées'

dans leurs vêtements de civils et avaient

repris lalime de petits bnuiçcb s satii,

ïans *e vtvie et d«jsneu\ de ne pas se faire

trop de mousse ( lut un des effets les

plus évidents de la «ou^eile î^stuc lion sur

les liqueurs autorisées pour rxli^orptinn

Mais les gens que cela touche. (lui', leuis

intérêts ne sont pas fort, contents, 'et ils

e\pnmcnt niai giacieu <n«nl Imji fureur,

A location Ils ont fa.it pl^is ifinme t on,

ils ont voulu remontci lustpiaux causes de

la mesure dont ils soutient Depuis lors,

nous dit quelqu'un ils nui tous contracte

une cuiicu maladie, Ils ont tous le

P0l5.be dans le ne?

Il ] ai iH que ceux qui lificnt le feuilles

doivent comprendre CheKliez

LiAeque de Biimm/nuii, emporté par

a dt claie que

le théâtre, loin d'avoir a ledoivoi ~c^ fo\i-

aie% lui .apparaissait comme aussi essenr

tiel a la vie cou^autp que bs église^

Nos canliei'es londoniens, bien inspirés,

âemandent au^^itot qu^l ;sera le dneLteur

de théâtre qui, k pienuer aura la r>om-

toisja de.se lever et de prononcer quelques

pjiolcs umibes a lcndioit des egh^s

Ties eo-neet, enefiet

APTtl GUERRE..

Un giandnombie dp gers qui epiouvent

le besoin de ,& cieei des préoccupations

ikOU'dia'ont bien déterminer, avant l'heure,

ce ,que' devicndia oeciou cola, Ils hostilités

c-f>ssantob Nous croyons devuiei en tout

cet echaf Laid âge de prédictions, un de-sa

inconscient et latent de g-uidei le mouve

ment, aloib qu il est bien plus simple de

laisser se deteunmei la poussée qui nous

viendia de 110& joiibatlams-, les seuls qui

auront le dioit i© donne' le la.

Enfin nos excédents confrères MM Guil-

lo't de :Saix et Bernard I^ecache ont tenté

,de connaît!), quel sera- le théâtre de l'ave-

nir. Commo en toutes ces enquêter un peu

fallacieuses, l'on ne produit que Les opi-

nions des gens réputés. Ils ont tous vu les

.possibilités futures que sous les angles du

.passé, Cela nous -a fourni des préférences

et non pas des. orientations neuves.

Pour notre part, nous souhaitons ou

théâtre de redevenir simplement françaî"

et de se dégager d'un tas de dis-solvants qui

l'avaient réduit quelque chose d'assez

agaçant, sans langage ni idées. Qu'il pren-

ne avant tout sa source- dans, des idées

puis, spirituel ou épique, qu'il sepre un peu

de près lo dessin et qu'il nous campe,

nouveau, des types et des caractères cons-

tuiits'solidementj dans une- forme élégante

et savoureuse. La société actuelle permet

des études. Le passage de- l'ancienne à

celle qui va surgir fournira des thèmes

nombreux, audacieux, sentimentaux, hé-

roïques ou ironiques suivant les tendance-

d'esprit. Au travail Il n'y va pas de plus.

Elle nous vient de Ly^n, seconde ville

de. France.

Une commission parfaitement compétente

a résolu d'établir dans la grande cité une

foire d'échantillons destinée concurren-

cer ia foire de! Leipzig.

Il seirait à souhaiter que tous- les, milieux

industriels et comnierçiaux se- décidassent

à des résolutions de ce genre avec la. vo-

iosnt.é de les faire aboutir par l'action éner-

gique et rapide. Nous souhaitons même,

pour en avoir constaté les effets essentiels,

qu'aux colonies et à l'étranger, quelques

hardis pionniers des intérêts français s6n-

gent, à édifier avec' un goût- "plus affirmé,'

en face des lourds caravansérails alle-

mands -si .productifs-, de halls 'd'échantil-

Ions aussi, ou les pays ainsi pourvus puis-

à- 'ses besoins et passer des commandes,

ensuite, objets choisis, à nos maisons de

France. ̃ ̃•

.Un peu d'allaiit, veiitrebleu

LE' VRAI BARBE-BLEUE.

Il ne serait venu à personne l'idée d'aller

le: rechercher aux Indes- Pourtant le rajah

de Baria,quii vient de. oomàatire en. France,

treesnotre prince .de contes de fées. Re-

continuez donc, monsieur, je vous prie.

Je vous obéis. Le temps de recharger

Ce qu'il fit, îrethiKUquennent, sans parai-

tio auti"»n^nt se préoccuper (l'elle,Et e'était

un spectacle étrange que c-e'wi de ce vieil-

lanl et de .cette/jeûne fille, vaguement edai~

rés par la lueur dune bougie, en cette

ruines;où teJa

ves perdant qu'au d^sus- de leur téte,

dans l'ancienne pièce du moulin où se trou-

vait la turbine, trottinaient des légions de

rat1- de ce vieiHard qui avait condamné à

mort wtte jeune fiHe ojui lui lisait son

airr'êt-de mort. et de cette fille qui se savait

corJamnne mais dont l'oigneil superbe et

l'indomptable énergie tendaient à un seul

but lui échapper encore

Après deux ou trois bouffées, la pipe ti-

rant bien, il reprit

« La nuit favorisa les deux amants. La

pluie qui tombait éloignait toute envie de

se promenier, de s'attarder, de telle sorte

que la solitude était complète' autour de

l'usine- Kordan put s'a.pprdc.héï' des buy

reaux, sans être vui, se cacha contre la mar-

geljfe d'un puits pour se protéger- contre les

averses, incessantes, et attendit le signal

d'Emilienne, les yeux fixés sur les fenêtres,

du cabinet de Reiter. Les Jjureaux focr

montant a Prithi Raj, un de sés ancêtre^

célètire dans L'histoire pour sa défense hé»?

roïque, quoique inutile, de -!a forteresse d^

Cbampaner contre ^Moliamed Begara, l«t

conquérant musulman, le rajah ,d.e Bari

affirme quelles écoliers orientaux ie^on^

naissaient en Motomed Begara, à la foisr

1 authentique Barbe-Bleue et ca pimce dai

Cambay, dont 'a nourriture ooutunaer®

était de ciapauds et de basilics, comme ih

est certifié dans « Budibras l

Nous démons d>es renseignements précis

à L'Intermédiaire des chercheurs et de.

RECOMMANDÉ AU RECRliTEMENT ANGLAIS.

htaues sise à Najncy eit qui, pour faone

dans le ci vit, opère aussi dans le militaire*

et fait i'&logie

rvs si prisés des troupes britann1 j'ies

Il les en gabdTdiine, en bl< u hori-J

zon ,611 kaki, voàïéj en vert .loffira (couitenoin

p~p.&\A iee sans nul doute) Il les fait tAe-

gajite lntlo.^e•Ĩsables par la pluiej

le giieni] les vents o-u les* orages

Or, cette maison est la niaa&on Arillt.pi&dL.

vh faut I îcn "MX

hommes R-toPtc, l'on en fait un» oimee.

Avis s auN ©̃'îiocib poun enoouiagea lemoli&i

Mofisti.v chasse est t. (l^iKl^iicnt la jn te il la»

mode. Tous nos permissionnaires du iront pronieir&j

d'e lcui séjour à Paris pont' \enir la Ri 11 » --anus

applaudir la pilcl d^opilaflif de Geoigo I\,jdeau,

'(lui fait chaque soir salle comble.

Aux Ambassadeurs. Le spectacle le plus at-;

trayant, et le, ulus c iriplct la Revuc noinellèj

de Quine! et Morgan et le Cinéma (Vues in>u\Llles

des n.tuil K Ul li tiirtrc} Ustis lni jour-», initmée

Aux Folies-Bergère

saison.

"larigny Alusie Hall

'ious le -ij cette semaine, En. raniaiatl

gv.aod ballet et nombreuses attraction».

IIS, rue recquevill* 112, PartB

CHEMINS OE FEU D'ORLÉANS

B(He( spéciaux d'aller et reloni collectifs pouf

famines di millta'rv tmtri </aie Jt.s il (.aux

de lOiltatU, Ut ILLal, du Midi xt du P L Mi

En vue de permettre aux familles d u impa-

gner u {l'aller visiter dos militaires en congé de

conval"5 fjj(,e ou hospitalises ou nus ni reforma

à la suite de blessures, .infirmités ou maladies con,

sera délivré aux dites familles 311 ija 11 sep-

tembre 19)5 inclus. des billets eoHeetil spéciaux

enue los des réseaux de J Orlean de l'Etat;,

du Midi et du P.-Lr-M. et les gares d'un. seul de.

ces réseaux.

Ces billets seront Qélivrés .aux familles d'au

moins deux personnes, sous condition d'effectuer,

soit sur un seul, soiti sur plusieurs de ces ré-

eaux un parcours d'au moins kilometus (al-

1er et retour compris) ou de payer pour cette

distance. Ils seront valables jusqu'au novembre,

inclus, .quelle que soit l'époguc de la délivrance.

Ils comporteront des réductions plus importantes

que celles des billets collectifs actuellement exis-

tants, leur prix s'obtenant en ajoutant au prix

de deux billets simples ordinaires au tarif plein,

pour la première personne, le prix d'un de ces

billets pour la deuxième personne et la moitié'

de ce prix pour la troisième et chacune des sui-

vantes.

La demande des billets devra être faite dans;

les délais fixés par Je tarif. Ils ne seront délivrés'

que sur présentation d'une pièce justificative cer-

tifiant que les familles remplissent. bien les cliver-.

ses conditions indiquées ci-dessus.

Tous renseignements complémentaires sur ces»

billets seront fournis .par les .gares.

Notre service « LES VINS NATURELS »j

livre un vin rouge Hérault supérieur ai

80 francs la pièce logé.

SPECTACLES DE CE SOIR'

Galté, 8 Il, Xj2- Pnrand et Durand.

Renaissance, 8 h. Monsieur chasse

teau.

FOLIES-BERGERE (Tél. Gut. 02.5D). Le grand'

succès de la Revue Sous les Drapeaux, avec:

Hilda May, Jane Dyt,.Paule Delys, Suz. Darville..

Mâx-IUy Géo-Ghoot, Muriot, Léopol, etc. Ldc. gra-i

tuite. Faut. 1, '3. 4 fer. Matinées jeudis, di-

manches et fêtas.

AtKAWSRA- Clôture annueUe. Réouverture

le 1" septembre.

CINEMA DES. NOUVEAUTÉS Au&ert-Palace (24, bd

des italiens). T. 1. jours, de 2 a il heures

Actualités. Prograni' varié et iatéres'. Orch. sympli.

AMBASSADEURS (Cliamps-Klysées). Tous les-

jours, matinée à 2 n., soirée à 8 h. La revue de

Quinel et Moreau et le Cinéma.. Fauteuil 1 fiv

avec coiisonimation.. ̃ ̃ ̃

R9ARIGHY-F^US!C-HALL. Faut. 3, 2 fr. Ts iC«

soirs de S h. 1/2 à 18 li.3/4 et climanc. isat.â 2 h.1/2.

LUHA-PARK Aumont-Palace. Mat. et' soirée,.

Iliisic-Hall Bruel, Géo Aldy, Anovïdroi>s, Lisa

Zitanita et MoMgongo.

GAUHONT-PALASE. Jeudis, ;.jeudis samedi»

chefs, matinée à 2 h. iji.

C" fRQUE D'HIVER CINEMA PATHÊ. TOUS le*

jours, matinée à 2 Il. 112 soirée à S h.

Les -iiims ào guerre. Actualités du Pathé-Journal,,

Films de guerre. PatUé-Jouriial^

Âthë-paLACE (32, bd des Italiens). -r 1-tepr&

seatatioa .ininterrompue de 2 b. h. du. soir,,

IMPRIMERIE DE LA PRESSE FRANÇAISB

Ltom co'jeaQT, i«, rue Mootmaxtrs. 1

niaient un pavillon relié au cliàteaui païf

une sfirre d'hiver, et c'était par la serre que

In jeune fille- comptait entrer; sans quitte».

1 intérieur et s'exposer à recevoir une on-

dée violente. ̃

« Marcel n'attendit pas longtemps. Emî-

lienne tint, ce soir-là,1 à être exacte. Un die»

battants d'une persienne s'agita faible-

ment, -s'entr'quvrit ùaie seconde.

« La avait esca-

lade ta fenêtre et se -troasvait près d-e sa maX-

tresse.

«Fenêtre et 'persienne restèrent ouver-

tes et telle était la fièvre de sa joie que I«

jeune homme n'y prit podnt garde. Or,,

Emilienne devait partag'-er cette même joie,

être en proie à la même fièvre, car elle,;

qui avait recommandé tant de prudence,

laissa les choses en état, sans sé soucier

que, du dehors, l'attention pouvait être-

éveillée, l'alarme d:onéée.. et qu'un danger

pouvait les; surprendre..

« IL s'était muni d'une lanterme souand«.

« If la fit jouer. •̃

«.Un pu* de lumière lui montra EmiK

Henné', p&Le, avec des yeux qu'il ne coa-

naissait pas.

«; II lui prit la. main et il lui parut qu'il

̃-étréignaiit' un mo-rceau, de glace,

Qiras-tiT, chère Emilienne ?

Ne fa4g yas attention. j'ai peuir

(A suivx£jf-