Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 4 sur 4

Nombre de pages: 4

Notice complète:

Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1910-02-20

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 20 février 1910

Description : 1910/02/20 (Numéro 6456).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k596303w

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 28/08/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 58%.


Assassinal ~'u~ ~~ficier Fra~is au ~ar~c Lc D~~l d'~ujourd'bui

D E R. N ï Ê R. E H E U R.E

aEL~ ,BB<B«y <Bt~tt.Jt. ~e .EL Js&-«y J& '~L ~&~v JSbaNL J~ ~t~' J& -S-~

sN omem FRM~is a3$as:S!9)é au Maroc

Ee ~ë/i~'a! MotH.tef ~'apprête a cPm~t~r !es cûupetbZes. Co?n,?n.en< e~t mort te Heufen.an't Meaux

Le bruit courait, ce matin, qu'un officier français avait été tué d'une ba,IJe au front sur l€s connna. de la, Cha.ouia. Ce bruit était malheureusement fondé. Il est, cet après-midi, officiellement eonHrmé par les dépêches suivantes Tanger, 19 février. On confirme t'assassinât, dans ta Chaou:a, d'un offiote)français au cours d'une enquête qu'il effectuait sur te meurtre d'andigënes. En arrivant dans un douar eu s'Étaient réfugiés tes coupables, t'ofticier fut accuei! à coups de fusit et tué sur te coup. Avant d'agir te générât Moinier attend des renseignements complémentaires sur cette grave affaire.

On peut être certain que tes auteurs de cet attentat seront chattes sévèrement. .fVOUVEAUX DETAILS

Tanger, 19 février. C'est te lieutenant Meaux, qui a été tué à ta frontière de !a Chaouia, au cours d'une opération ds policé. L'officier recherchait un indigène qui s'était évadé de ta prison du camp Bouthaut.

L'attentai s'est produit dans un douar do ta tri&u des Zaer t'en supposait que t'indigsne avait dû se réfugier.

Le lieutenant Meaux et ses goumiers y furent aoeueiHis par une fusittade qui cou. cha t'officier à terre.

Sur tes ordres du générât Moinier, tes coupables vont recevoir un châtiment exemplaire.

.4P2?E5 LES 7~02VD/!r70~S

Les Soldats du Génie QB.ja~"B'EMT'P'A.!ma

Si le public veut être rassuré sur les conséquences probables du mauvais temps que nous subissons encore, il n'a qu'à se rendre a, 'la caserne de ta. Cité où i~ pourra. se rendre compte que les craintes éprouvées ne som pas partagées par les pcuvoirs publics.

En effet, la, cour de la caserne de la Cité qui, depuis le début de La crue, présenjtait l'aspect d'une garnison, a, m.amtena.n.t re- pris son. aspect normal.

Depuis ce matin, en effet, les troupes du gé'–e ont évacué les lieux les fourragères eMes-mêmes ont regagné tes ~casernements 'et ce départ a donné~ieù à différences petites scènes'qui ne mamquaien pas d'émo.tion. En effet, tes officiera et l'es soldats qui, pendant de longs jours, étaient demeurés à !.a, disposition du préfet de police, ne sont pas partis sans regrets. Us s'étaient habitués a cette vie mouvementée et pleine de dangers..

Les officiers sont allés &aluer. M. Laurent, secrétaire général de la préfecture de police, qui, en te.nnes émus, les a rem&rciés de leur inlassable dévouement pendant les jours tragiques vécus par les Parisiens. Apres cette cérémonie, les officiers ont pas&é l'inspection du matériel pui~ petit à petit, les four-rageres s'en s~ont allées, une à une, pendant que M. Guillaume, officier de paix des brigades de .réserve, remerciait à. son tour les ofBcfers de l'a-ide précieuse qu'ils avaient apportée aux gardi&ns de la paix.

A trois heures de l'après-midi, il na restait plu's, dans la cour de la. caserne de la Cité, qu'une cinquantaine de canots Berton qui, pendant quelques jours, resteront encore à la disposition du préfet pour pa.rer à toute éventu.aji.ité.

'Des le début de_la cru'e, il y avait, dans c'ette même cou.r, plus de-deux~ cents cai ots qui ont rendu, on le sait, les plus grands services.

A l'heure actuelle, le' détachement des marins de Lorient reste seul à la caserne de la Cité. Son départ est proche m.ajs nos braves matelots, en quittant avec regret la capital-e, auront aussi !a douleur de penser a leur second-maître La Pahic, 'disparu si mystérieusement.

Tous quittent Paris et regagnent leurs casernements après, de dures fatigues. Leur 'séjour'dans notre.viHe si éprouvée a. fait l'admiration, de la population. Espé-"rons que l'on s'en .~souviendra et que les .projets que l'on avait formés ne resteront pas lettre'morte.– L. D.

~€!de~t à u~ Torpa!!e~ Chûrboun'g, 19 février. Pendant l'es essais trimestriels, le torpilleur « 321 ))' a éprouvé des avaTMs dan.s ses appa.re.Ua de 'ven.tila.tMm.

'Uine teanpête sévit sur les côtes. La na" "vi-ga.tMn est dirSciIe. Le sous-marm « Messidor )), parti de Calais poud.' Cherbourg hier après-midi, a du -i

r.elâche)r.

La Tempête sur les Cotes Mcmbfeux navires en péril

Bpest, 19 féwi.er. Une tempête d'une

)6xtreme violern.oo règne ajotuellëment sur

'Les c&tes brotonaies;. suspendiant la 'navi-

g)a'tJ.on.

Le va.penr angJ~is « Lyna. )), a.tt'end'u ce Baiajtin. de Plymouth, n'est pas ein.eo.re ajTivé '&.n.rM heure. Lia. goétette « V~omtaire H, tJIant à Lisbonne, a je?âché pour répa,r&r i<ea aya/rMS ~a'e lu~a causas ta tempêta

Le vapeur norvégien Thor )) ne peut 1 partir et attend une accalmie, pour prendt~.Iamer.

L'aviso « BougainviIIe )), portant les élè~s de l'EcolB -navale, appareUle .néanmoins pour se livrer à des évolutions dans la pade dont toutes tes digues sont couy&i'Ms par tes embruns.

Cherbourg, 19 février. Une violente tempête du sud-est sévit sur toutes les côtes de la Manche.

Depuis-hier, plus' de trente bâtiments de commerce ont dû faire relâche et se mettre à ]'abri de la rade.

Les sous-marins « Messidor x et « Ludion )), qui devaient arriver à Cherbourg, ont dû se réfugier dans un port du littoraL

A MW~RW tMWT~R ~t ?

LA KMuKM iijL~i~!iAL&

AU RE1CHSTAQ

Une séance mouvementée. Desiarations ~1 duchatteetier

.Berlin, 19 février. La discussion de. l'interpellation des socialistes sur les déclarations de M. de' 'Bethmann-Hollweg à la Chambre des députés'de Prusse au sujet du suffrage du Rëichstag a attiré beaucoup de monde.

Le chancelier de l'Empire, plusieurs ministres sont à leur banc.

L'hémicycle lufi-même. montre peu de

vides.

Le député socialiste de Mannheim, le docteur Frank, fait l'exposé des motifs de l'interpellation.

<' Apres l'incident Oldenburg, il eût été 1 bon, déclare l'orateur, que le chancelier trouvât le moyen de manifester publiquement son respect devant le Reichstag. « II en a été autrement. Le chancelier a. même critiqué le suffrage en usage pour les élections au Rëichstag, au risque de froisser de nombreux Etats confédérés qui ont introduit pour les élections de leur Chambre ce mode de suffrage.

« Le Rëichstag a le droit de lui demander le sens véritable de ses paroles et de savoir si éventuellement le chancelier ne songerait pas à les modiBer. ))

Le chancelier de l'Empire prend la pa-

role.

Il se refuE-e d'abord à discuter devamt le Rëichstag, -comme ceEa: a.- toujours ëté l'usage, des questions appartenant au domaine constitutiomnel .d'un Etat conté-.déré.

'< Les interpellatemrs désirent savoir &i le suffrage du Rëichstag est en. danger. Or, qu'.ai-je'dit qui rut de natua'e à rabaisser le suffrage du Reiehstag ?

"Certes, j'ai commis le sacrilège de ne pas cr.oN'.e que, seule la puissance du suffrage universel direct et secret rend bienheureux tous I&s Etats et ce dans toutes -le.s.curcQsstanees.

« Parce que je ne crois pas à ce dogme, je suis à vos yeux un dogmatique réac-

..ti.oïlna'ire.' e.

<c Suis-j e 'VT.a.mKtnt. ] e premierëxpr.imar l'avis frue le d.éve'lo.ppem&nt démocratique étargit !.a ba~e, mais {.end à dim~neu.rle.niveau?

C'est là. cependant. u:n. principe qu3 démontre, l'histoire de tous '[es'peutple.s et à toutes les Époques, o

Le chamc'e,Iier_te:Emme au m.ilteu des.a.ppla.udissefmein.ts. de !a droite un déclarant qu'il cro.i't. dans la victoi.re des force.s idéales d'u peupJe alEemand.

Le débat s'engage sur rinterpe'llati'cm.

-r~

SOUSLA~OUPOLE C!n~TOijFss~s Eesu!M `

Aux Sciences moratss, on remet à une da!e uttérieure rëiection du successeur t!e M. Georges Picot.

L'Académie des. Sc.i:emc.es moM.!e.s et politjqu.e.e a. tenu sa séance heMoma.daM'e cet

a.près-ialAdj..

La séance est présidée .pa.r M. Boutroux, assisté de 'M. Chuquet, vice-prési<~ent, et pair M. de Foville, secrétaire" perpétuel. -Le prësMLent fait pafrt à la Compagnie du décès 'de M. Adolphe~EmiIe Lair, coirespond.'ant de l'Académie, à Angers. On procède ensuite au scrutin relatif à l'élection dirn membre titulaire en remplacement de M. Georges Picot, dans ]a section, d'histoire, générale et philosophique.

Les ca.ndd.adts pft'.ésentés son.i en. première ligne M. Emile Bou.rg'&ois en seconde ligne, ex-œquo MAL Funck Brentatï.o et Làcour G.ayet en .troisiëme ligne M.rabbéFe'rût.'

Le résulta.t du scr-utin donne les ch.in'res vants:

Votants: 34.–Majorité: 18

Aul~tou.i':

MM. Bo'UTgeois 15 voix Funck Brenta;no 7–

Lacour 'Gayet P~ 12 Au 2e tour:-

MM. Bourgeois 17 voix Funck Brentano 3

LàcourGayët 14

Le 3~ tour donne les mêmes résultats. Au tour, M. Bourgeois obtient 17 voix. 'M. Fuïick Brentano en perd une qui se reporte-sur M. LàcourGayët. Le '5~ .tour donné. 16 voix à -M. Bourgeois, 3 voix à M. Funck Brentano et 15 voix à M'.Lacou.rGa.ye.t.

Aucun résultat n~ayant été obtenu,, l'électmn. est T.envoyée à une date ultérieure. M. Emeat Soilliëre lit .aloTS une communication ,gu'r un gr&nd mbratliste oublié, le jésuite espagnol Balthasar Gracian; M.. le secrétaire perpétuel donne lecture d'une lettre .de M.: Bodiey annonçant que les a.sso-eiés étra'n~e.rs et.les correspondants .anglais de l'I.nstitut de France ont décidé d'envoyer I~ur obole pour les vdcti'mes de

rin'on.datiQQt

SUR I~E PRE Un !ndustrie! et un Diplomate

ontc~s~ F eraujourd'hu!

Une heure et demie (te combat. Quatorze reprisea

Toute I& matinée le bruit courait dans les milieux dits. «très parisiens)) qu'un duel devait avoir lieu entre un industriel très connu et un étranger notoire. Ge duel a eu lieu ce matin au Parc-desPrinces. Il était motivé par un incident d'ordre privé.

Les adversaires étaient M. Payer et le marquis de Campobello,. attaché militaire d'Espagne, à'Londres.

Le'duel a été particulièrement vif et a nécessité 14.repriser commencé à 10 h.' 30 il n'a-pris fin que vers midi.

M. le marquis de Campobello, à la dernière reprise, fut att.ei.nt d'une blessure pénétrante au braH, qu.i, de l'avis des médecins, le plaçait en état d'infériorité évidente.

Le combat ayant pris Hn, les adversaires ne. se sont pas réconciliés.

L'ABBAYE~SË' HVRY On conm.a.ît l'abbaye de Livry, de laquelle Mme de Sévigné écrivit de si bettes lettres a sa fille et où les pères de 'l'As- somption .avaient établi leur noviciat. Cette abbaye, qui a u.ne superficie totale de 20 hectares 26 .ares et 48 centiares, était mise en vante cet après-midi pour 75.000 trames, aTa.udien.ce des criées du tribunal civil, par. M~Brunet, avoué.

Elle a'été adjugée poufr 220.000 fvamcs à. Collin, avoué, .agissant pour le compte de M. Ménai'd, remtier, qui, espêrons-te. ne morcellera pas la « jOfîie so.Mt.ude )) de Mmede Sévigmé.. Reprise des nosiiHtësàGrauihei Castres-sur-l'Agout, 19 février. En présence de l'insuccès que l'es proposi-tions du délégué du ministre du travail ont rencontré auprès des out'rieTS grévistes, I&s patrons de G-raulhet ont tenu ce matim une réunion générale à laquelle soix.a.nte-trols d'entre eux assistaient..

Un vote .a,u scrutin..secret a eu H.e.u soixante-trois voix ont décidé la rupture des pou'rp.arlet's.ayec les ouvriers..

I~'OTjt'ea.'u." 1~'a~T.~ag'e

A L'ENTHËE BE LA G!RGMDE La Rochelle, 19 février. Le na.uf.rage du navire Bpe?'~K a l'entrée de la Gironde a été connu par la découverte du cadavre du capitaine Calvet et d'un cahot brisé sur la côte de Marennes.

Le bateau était chargé d'avoine h venait de Pont-Aven et allait à-Bordeaux. Il était monté par le capitaine Calvet,: Jean Sellin, .matelot Jea.n Thiec, mousse,! tous l'es trois de Concarneau, et Louis Cds-' tiou, matelot,. de Quimper.

,i.@S ~M'~MEse~ ~S ~B'C&e~OM

Le sou.s-s.ecrétaire d'Eta,t à la marine = vi.e;nt de décider .l'o.rgaN.is~t.io.n-'dans les diverses écoles de la marine d'u.n'enseignement méthodique de l'hygiène. En par'ticujier, en <'e qui con'ce.m'e l'Ecole navale, I-'InstrucuQ.n porte!i'a nc.n. seulement sù.r l'hygie'ii.e, mais aussi sur l.es notions é)ém..e.n.ta.i.res de médecHie q..u,e l'officier a = besoin, d'e cojina.it.re Ic.rsq.u'il se trouve s.Utr un bâtiment pou.r lequ-el, en'ra.ison du faiMe effectif de réquipago (so'us-m.a.rins et torpiH.aurs), H ne peut. être prévu de me-

dec~)..

Cet ense.ignement aura une part d'mfluenc.e dans les examens. M. Chéron. a. approuve êgaJ.&ment u.n p.roj.e.t .d'instruction, (établi p.a.r la com- mission supérieure d'hygiène navale), sufr .Les règtes. à suivre po.u.r :]es installations hospitalières à bord des bâtiments de combat.

€~M JOU1~'

~~=&=~

TBUGSBLECTOE.AUX

Apres bientôt quarante ans de République, l&s gouvernanits reconnaissent' euxmèmea que les dés du suffrage universel sont pipés comme ceux dcm't Calcha.s se servait da-n.s la Be!!e Hë~ane, puisqu'ils ont jugé utile de hâter le vote d'un projet xle loi sur la. Inerte, et le secret du vote. Les trucs électora.ux so'n't' innombrables et' ij] n'y a, guère que rart de fr.a.u.der à la douanB et à rocti'oi qui soi't p!u:s. fécond qu;ë l'à.rtde fraùdea.' da.nsles sorutins. Seu~lament., qua~nd les doua-niers et les gELbelous découvrent u'n procédé nouveau, le système est brûlé et il faut trouver autre chose. En matière de vote, au con'traire, les vieux .trucs somt restés les n~eiileurs et iJ_ n'est pas n€cessta,ire de risquer ia. ménmg~te poutr tr.ava'i!!er dams cette pa'i'tie. La comlitio'n nécessa.ire' et suMsa.ntë pour réussir c'est d'être bien avec le gouvernement aJors tout est permis, la fin sainct.iËa.nt les moyens et détournant les foudres de la, correotimmelle, tandis que si vous êtes .ma.l pensaint, c'est-à-dire si vous faites partie de l'opposition, une magistratuTe :a;ttantive ouvrira. l'cei) et la bonne &t vou.~ livrera, à la vindicte des lois.

Nous n'avons donc qu'une confiance très relative dans l'application de la loi régla.nt le vote sous enveloppe. Si ce projet avait dû empêcher quelque chose, on peut être assuré que la majorité he t'aurait pas voté. On modJiËera les pratiques, mais ~a moralité publique 'n'y g.agn'era nen,

Du reste, M. Briànd qui, pour une fois, s'est .montré pince-sa'ns-rire, a-t-il fait a, la tribune du.. Sénat l'amusante déclaration que voici « Si .j'avais ta. naïveté de vous répondre comme chef du gouvernement que'la pression o'f&cieH)e .n'existe pas, je vous dirais la, vérité, mais je suis convamcu que vous ne me orôd'riez pas Enectivemenit, le vrai peuit quelquefois n'être pas vraisemblaMe ~et l'ironde de M. le président du Canseiti n'eat qu'une aimable toTthuIe de rhétorique pour avouer une chose, en ayant l'air de la démentir. Quoiqu'il arrive, ce n'est pas encore demain que .nous vivrons s.ous « ce prince ennemi de ia, fraude o que célébrait Molière dans « Tartufe x. Il n'y a plus de prince, mais la fraude mous est restée. ALCESTE.

~M~~MM~~IX

~L&. &. JS-a? ~ft A.'St .&')&. <&J~ Poursuites contre das )re:igieux

'Devant la neuvième chambre du tribunal de police correctionnelle, ppésidée par M. Pacton, se sont terminés cet a.près-.midi les déba-.ta des poursuites intentées par le parquet, pour reconstitution de congrégation, à neuf anciens ca.pucina.

Au début de l'audience, Couprie a présenté la défense de M. l'abbé Renvoisé, en reMgi'on père Agathange, dont il a réctamé l'aequittement, a.ucun fait délict~ux ne pouvant être relevé à sa cha.rge. Puis, M" Julien Condy a plaidé en faveur .de M. l'abbé Boussa.rd, en religion père

.l'&aïe..

Avec beaucoup d'habileté et de talent, l'avocat a démontré que M. l'abbé Boussa.rd s'était toujours renfxnm.é, depuis la dissolution de la congrégation, des capucins, dans l'exercice de son ministère d'aumônier et de prêtre et que cela. t.e peut cor.st~.uer une infraction à la lod 1' juillet ]901, sur les associations. Julien Comdy ajoute que l'on. ne peut repir&cher davantage à M. l'abbé BouAsa~rd de faM'e paTtie du Cercle des études f'rauciscames et .de l'A.saociatio'n fra'neMca.Ni.e. Ces deux's'ociétés ont été constituées en eoïuformi'té avec la loi de 1901.

M~ Julien Condy demande l'acquittement pur et simple de M. l'abbé'Bougsàrd. Enfin César Caire plaide le dernier en faveur de M. l'abbé Potée, en religion père Césaire, procureur des missions fran-

ciscaines..

Le conseiller municipal du quartier de l'Europe établit que son client n'est resté à Paris que pouT E~rvir d'intermédiM;re entre l'e ministère des anair'es étrangères et les missions d'Orient.. Il montre que, suivant le mot de M. substitut'Pêan!, La'l'oi contre tes Congrégations; n'est pas un atrtic.Ie d'exportation, que La France continuefavorise. à4'é-.

ranger, Hes œu.v.nss dias capu~nR il

a.j.o'ute même que c'est'un capucin qui est actuellement l'aunnôn,:e!r de l'ambassade de

France à Constnantimop~e.~

Après avoir fait l'éloge de nos missionna.ires, l'avocat denlande l'acquittement de son .cliente

Le tribunal se p.l'ononce'ra à huitaine. L.a «Mono ;) de M. Sacha Guitsy On se ràppe'H.ë que M. Po~rel, directeur dn Vaudeville, fut condamne l'an dernier à payer à M. Sacha Guitry la .somme de 4.000. francs, montant du dédit pour une pièce intit'ulé.e « Nono )),.qui n'avait, pas &té jouée dans les délais inscrits au con-

.trat.

Sur a.ppe.l, de M.:Porel, la quatrième cha~nbrè vient de confimneir le jugemsat

.antécédent.

A ta Chànt&re des A voues

La Compagnie des avoués près le tribunal d& première instance'de la Seine vient. de procéde'r à des élections complémentaire.s pour la nomination .de d&ux membres de sa chambre de discipline en remplacement de Chain aîné, démissionnaire, et M~ Demis, décédé il y a quelques jours à la suite d'un accident d'automobile. Ms-Depa'ux-Dumesnil et Ancelot ont été élus, dès le p~emieT tpuT de scrutin.

Les Sentes F~n~is en Russ!e Sain~-Pétersbo~rg, 19 février. Les partem~ntaires eut visité M .m'at.m ta cathédiralë des aajmts Pierre et Paul, où se trouvent I.es tomb&aux d~es tsars, et, rëgMse qui a. até .co.natruite à remd.T'oi.t où fut aasassm'é AlexandiM 11. Us s.e son~t Te.n.d'u.s .ensurte a.u musée n.at-i'o.na.I Alexandre III. Saint-Pe.tarsbou.rg, 19 février. Les etudiam~ de L'Université d'e Sam!t-Pé.te!i'sbourg Bt les élèves d'es autres éootes s'u.pêrieuti.'es. fpintt signer Uine adresee qu''um~e déiég.a.t.io'n scolaire' rûmettra soLemne.IJemen.t aux partemen.tadres. Des miUiers de' signatures ont été reoUfeiUl'es.

Le .tsa)t'- do.ift rece.v.pm' cet' après-midi, dans aon.'palais: de Tsa.rkoïe-Selo, La d-.élégat.i.o'n de .députés frrançais.

~3@ Sa~s~a~&e B~F~è~e En AiSemagHe Mom~ e~ses vieiimes Berlin, 19 février. !7?te 'Mo!en~e e.p~o~tOH. ~e <~)'MOM rte~t de se p~'odMM'e a Bochum o'M.! rt?H.po?'<a)!.te e.Ep!otta<<OM ap/'c!ee Ha)nnbat cette mme appen'tte?tt a ta T~aMon K)'upp ~'E~~e?t, ph~ de ~Maratife OM.t!7*te)'S ~0?lt 7M?' Mn </?'S7~d 'itOm~)'C &!es~e~

QBMS ~mELLES',SPMT!VES Le pesage de deux boxeurs

.Comme nous l'a.nnonç.an.s d'au.tre pa.rt, c'est ce soir que va se disputer le Champi.&n.nat d)i Monde de boxe, poids moyens, en'tj'e les d'eux Ame.ricams Harry Lewis et \A~iIli'e Lewis. Le .pesage ofac.M et publie a, eu.. lieu cet, aprës-mM~ dans le bail du Matin Ha.nr-y n.'a.tt~i.nt p.as le po.ids. nx)ë par le règlement, c'est-à-d.H'e 66'Idl. 677, aloil's que Willife se trou.vejusteàIa'lH'nite.

Cette c-eram'onie a.vait attmré une foule noinbreM.se parm.1 lesquels des apopt.smo.n MM. Th. Vienne et Victor Breyea.oa:'ga;n.isateufrs n!0s co.nfTe:res Rab~~t Gûterin, Henri Marquas, Geo Lefevre, Fammx, Mathiau, Leto~udaJ, e<t.c. Jim Pratt, La.wrenae, Dan Ma.c Kœtm.&he, etc. Les deux .b&.aeMfr& ont ettié YLvement a~clam.ss.

? ~Pf8~i~Q~P. f!~ V~f~

L~~ ~3C~ts~~M U~ V <tM~M~fU

Qu'est devenue Mme Pa,ra)t ? C'est la~ question que se posent, ce matin, ]es voisins du phar-ma.cien Parât. Est-elle ou n'est-elle pas renia-êe au domiciLe cenjuga,! ? C'est ce qu'il est absolument im.possa.bl.e de savoir.

Nous no'us sommes rendu de nouveau a,u~ 225 de ta rue de Vaugirard.

Dans le jardinet.sur lequel donnent les fenêtres de r.a.ppa.rtement des époux Parât, des enfants jouent. Ce sont le fils et la fille aînée du pharmacien, Georges et Andrée, nous dit-on.

Les interroger serait cruel et d'ailLeurs impossible. La consigne est plus rigoureuse 'en effet que La ve~Ue, et l'on ne peut pénétrer à l'int.érieu.r de l'immeuble. La concierge ne sait plus rien du tout de l'affaire et se montre d'un mutisme absolu. Mme Parât. est-elle rentrée, deman-

dons-MO'ùs?

Je ne sais pa.s, nous répond-elle toute rougissante. Il est venu des lettres pour elle. J'ai remis le courrier à M. Schmitz. Et comme nous nous dirigeons vers la porte de l'appartement, La, concierge ajoute

Inutile de vous prëse-nter, !.a porte est « condamnée )), il faut passer par la boutique.

Dans l'officine, les clients vont et viennent. M. Schmitz, fidèle représenta.nt de' M. Parât, est à son poste, exécutant les ordonnances qui lui sont apportées. Mme 'Parât est-elle visiMe ce ma,tm, et po'uN'ion's-nous lui. d'emaiMler quelques minu' tes d'ûntretKJi ?

Mais, Mme Pa.ra.t n'est pas rentrée, nous repoind M. Schmij~. Je -ne puis donc faiTe p&sser votre carte où est-elle. ? je serais fo~'t emfba.'n.'assé die vous le djre.

Cepen.dant, objectons-no'u.s, Mme Paratne p.E!ut. se désuntéresser dûs affaifres commerciales d& la maisoLn., et elle a bien vejur voir ce qui se passait ?

En a.ueune façon j'ai la garde et la responsabilité de la pnarm.aci.e, et la présence de Mme PâLt'at est inmtil&

Mais les cTients. ou Les curieux ne cessent d'e veniir. Nous laissons i'étudia.nt M. .sesoccupatMms..

De nombMux ouvriers, qui connaissaient bien le pharmacien Pa.rat, vi-enjient à l'heure du déjeuner, prendre l'apéri:.)!' à la boutique voisine de cel.I.e du ph.a.rma-

ci'e.n..

lia s'antretiennente-n riant de l'histoire M drolatique ".disent-ils, de Mme Pa.ra,t. Il s'an tirera biem 1~ phan'maeian, .allez E. a d.es am.is puissants dans sa manche. On prouvera qu'il ctait -malade, ma'nia.que. Il en &era quitte pouj veNdr.e sa pharmacM

P-e~r !es.'Pei:ts Comm-erçants Chez te préfet de Ba Seine

Ce matin, s'est rendue chez le préfet de la 'Semé une délégation du groupe repu-.Mica/m 'municipal de la défense du petit

commerce..

M..BêIlan, président, avait a ses côtes MM. Maurice Qutsn.tin, Galli, Adrien Oudin, Emile 'Massard, Le Menuet, Achille, Girou et: Virot. M. Bellan a présente au préfet les revendications suivantes, formulées la veille par l'a. Fédération des détai.LLanfs, -présidée-par j~L MaùsA~fto.risation aux commerçants .&M&tpe.s de ï~d remettre ct.es i'auilles.de 'die~rëvement complet d!e. taxes municipales' ces. degrevem.en.ts.n'b'd'evan't, btan entendu, être ac.cord'és qu'après enquête justifica.tive

Arrêt des r.ecouv'n&men'ts eseTC'es par la, Tég'.M .&t l'octrm', oon!ti)6 j;e.s commëccants sinM-

h'e's w

'3° I.nEift'uction'sd'onmer a.u'x .mu.niei.p.aMés ût .aux commissions de l'e'partMMn. dés s.e.cours, po~.M' assurer da-ns le p'Ius bMf d&la.i la repa.rtiii&n'd.es prêts, pc~T les.q.u.ets cent miUians oi~t étë votés par le Pademem et, €~ attendant la nn de l'.en.quëte, T'emi.se dans les vmgtquat~'e tMur.as, auix comim~.r~ants qui en feront la de'mande, d'UTie sommée à valoir sur ces prêt's.'pour faire fa'ce. aux exige.nc.S6 mian.ediates

Entente av.sc'l'es con'ceasM.nnaB.'es du gaz .e't de l'efI~atTicite, pour que soient d'.iffe.rees les prese-tTta'.tions 'de quiittane.es, conc~.r'nan.t les fra!is accessoires à recouvrer, €.t dfman~'e au préfet de recl~reheT, d'accord avec ces compagt~i.es contce8sionn!aires, las moyens d~.e l'esdre a,u pl'us tôt la lumiëK, pâti' des câbles ae.T~e.nB pomr l'électricité et des canaHsaitiotns pT-ovitsom'espoù'rlûgaz.

M. de Selves ~'est borné à répondre 'qu'.oit pouvait compter sur « sa mesmre et. son tact )t..

M. Girou 'et plusmurs conseillers ont dema'n'dé ce qu'il fàHait entendTe par cette

phrase..

M. de Se!lv~s n'A pas voulu donner d'autres précdaMm.s. Lcis petits commerçants .sinistrés .doivent donc se contenter des-.ùonnés,. mais values, paroles du préf&t de, a Seine, car personne, .absolument personne, n'aura Tien-fait'pour eux.- Chez 6e président du Co~sei!

M. Briand a reçu, ce matin, une délégation des députés de la Seine qui venait appeler son attention sur la situation des petits commerçants victimes des inondations et sufr la nécessité d'interpréter dans la plus large mesure possible les. conditions dans lesquelles s'effectuera, à leur égard, la répartition des crédits votés pa.r le Parlement.

M. Briand a assuré la délégation que le gouvernement s'était d~jâ préoccupé de .cette situation'et il a rappelé que la circulaire qu'il avait adressée, il y a quelques jours, au préfet de la Seine était conforme au désir qui lui était exprimé par les représentants de la Vi!le de Paris et du département de la'Seine.. !.La~f'estBO~de.Tfa~5p06'ts Un avis de !a préfecture de !s Se!ne La, préfecture de .la. -Seine communique l'ayis'suivant: GQn.fo.î-mément a. un~ déH.bér.atidn du .Conseil municipal cLe la. ViU'e de P.a!ris, an

et .s'établir .aajteurs,' âpres utn p.etlt stage dans une maison de santé.. Et à ses spécia'lit&s ndmbr-euses, II pourra en. join<bre d'aut-Ms encore. Son maillot t~e chasteté est appelé à faire fortune.

-Et chacuji de rire de bon cœu.r.

On évoque Le souvenir du pharmacien ajux" aJlures d'artiste, aux gilets blancs, aux larges cravates moires, et c'est avec une indifférence parfaite que chacun passe devant La boutique désormais célèbre. La pharmacie de M. Parât

Le bruit s'est répandu que FEcoIe <ie .pha-rmacie et J~e Syndicat des pharmaciens de La' Seine aj~aient .mettre M. Par.at.en dameure de vendre sa pha)nn,acic. C'esft; également ce que l'un. prétendait cet aprës-mUdi, rua de Vaugirard. où. les curieux se fonit d~ plus en .plus rares, m.ais les baya.rds de plus .en. plus nombreux.

Il tl'en sera rien, du mo-ins j'usqu'à nouv'ei ordre.'

C'est ce qui ressort des explica.tMBS.qui nous ont été données paA' les 'n'ombre~ux confrères .de M, P.ara.t, auxquels nous nous sommes .adressé

Notre si.t.u~ti.01), nous a dM l'um d'eux n'est n.unsmentt. oompa.'raMû à ûelle d)e.s ncta!j.re.s, des avo'mes ou des hu.issiers. Lorsque l'un de.s m&mhi-es. de ces coifporat]ons se l'e.nd-oo.Uipa.M.e d'un acte g'ra.ve ema.obanft l'htmm.eM'r, La-Ohàntbme de la oanpotpa.tîon a laquell& t! appartMint se rëuni, pojur d'sc.rd&r s'il y a lic.u. de le niM.t,r& en dcmiour.e de. vendre sonétude.

11. en. est à p&u. près de mÉnm, onie sa,it. pour un avocat, que le ConseN. de l'CMtre he!U.t .rayer du-baj'r.ea.u. MB.i6.un m.eidecdn, commue un pibarma.e.ie.n, ne peuvent ëtr.e nMs dans la mëm~ obliga~Min. Dans le cas dte n~otne c.c.H!Erer.e, il ne s'ag-it d'abonné mautvai~ spécutlat.i.on. eniramuht un.e fajil~te.. Il .s'agit encore mo-ins d"'un'e fau~e pro.fessi:onMl1e.

M. PaT~test souBle cbutp d'u.n'e ac.c.u.sation q'uii n'e p~arte aMe.inte qu'à sa <jmgn,it~ morale. Pas plus l'Ecole &uip&]'Mure <).e pha~m'ac!~ que le Syndicat d~e.s ptila.'rm'a.ci.entS n'ont à int.arv.enfm'. On ne pe'uft. que dépJoreT ae t.Tiistë inr cad~mt.. Si notre co.niTar-e..ast ren~u a, ''a'Hb.erté, i!l .ren.trera, s'il le ju~ con.venable, da~s

son o,fncine.

.S'il est re<;ont0.u.~ou)p.aMe ~.t. condamn. il d'e\T'a, aux {armées de' la lo9'e)[r-e anipnlee dans sa phaTm~cie, non. par. ëon pMm.~e.r olcvë, mais b~n p.ar un~.Mmpla.eant.)), n'i.um!! du diipiome de p.had'macjen df pa-emMm. c.lass.e A;pres cpu,o.i, la faut.e expiée, il M sera. loi.siMe die reprondM la d~'e~tion de sa m.aison.. -Notre interlocuteur, toutefois, conclut en nous faisant renTarquer, qu-e la. situation de M. Parât, dans son quartier, serait des plus délicates et qu'il serait plus convenable qu'il s€ choisît un successeur.– F. D.-V.

*'f'<DC-W-W-W-TBr- -<

date du 15 février 1910, il .est.ouv.ert u~ concouTs pour !a concession d&s omnibus et la rétrocession des tramways munici-

pa.'j~;

_Les demandes, avec pièces à I'.a,ppuJ, devront Mrs déposées à La.. pi-é.f.ect.u~e .a.vant samedi 26 févrI.&T-1910, six heures-dû

soir.

Pour tous renseignements, ceux au.i' vouttrai.emt pa-rticiper à. ce 'coneou.rs pourront se présenter tous les jours, de 9 heures du. matin, a.6 beui-es du-soir, .a'u burea.u du Domaine de la ViHc, 2, ru.e Lobau, ou H teur a.e.ra, .donné communication du cahie.r des charges et de la.-c.ony.entibn rêl.at!fs a.uv tramways mun.icip.aux, ~t du traité .des omnibus, ainsi qu.e l'indication de.s pièces a. prodij.ire pouf prendre paa-t .au concours:

.n~ r,e-.J-

'.Defn!ères Nouve~eg LA REFORME JUD:G!AtRE

La commisst&ii de reforme de La pro'éduo-e oriminell.e s'est réunie a.u.jouid'hui en .assemblée généra. sous fa présidence de

M. Ribôt.

_EHea, approuvé ies avant-projets préparés par les sous-comm.LSsiotns et relatifs aux potes d'audience, aux exception de procédure et à !a comstitution de I.a, pprH" civile, i- La commission s'est .ajournée a.u 2.i courajit pour. examiner .l.'a.va.'nt-pl'ojet re.~tti.i

a l'in.strDction contradictoire.

AUX ASSiSES EU t.O!HETaHER Blo.ls, 19 février. Aux prochaines, assises, du Loir-et-Cher, qui s'onvriront lundi à Bois, vomt comparaître Le K.ah-ez et. Le Pahun,.a.uteurs du crune de Cha.mpigriy~

en-Beauoe.

A oeftte session viendra auESi l'affaire d'avortement Petit.

LES ÀMBtTfOMS DE LA GHYME Londres, 19 février. On télëg'raphie de Calcutta- au « Daily MaH !) qu.e, depuis quelque te~mps, le çhiffii'e des..troupes chiD.o.ises statTonneES au .Thibec ..augm~n~ co.n.sidéraMcimG.nt.

On. craint que. ce.tie;.cu'c.onst,a.nce 'ne crée urne situation mH~a-iTe grave &u.r hi irontière orieu.tal'e, et. qu'il ,n,e faiIJe ren.foTcer co'nsidérab'~m.ent ies tronp-?.s britanniques. ,Lûs joutii.aux q-ui paraissent aux Ind~ co.n.rifrmeilit qu.e !.a Ch;me a des ambitiona auft' le Thibet, dont &U,e vou.drait faire uiis. provmce pur&m.e.nt chinoise.

L'EXPLORATEUR PEARY

N'ew-York, 19 février. Les dbmoc.r~tes du CoQgi'ës.s'opposent à toute ma.Kjfestàticm en fav.eu.r du comin.a.n.dant. P.ea.ry et dtamaa~den.t la publi.oa.t.ion des preuves dëmoïl.t.ra.nt que ]'.exptora.t.&U)r a effcetivem&nt atteint ~pôLe Nord.

FA!TS PARtS

HepsoUage. Des mariniûrs ont retira Au ca-na.] Sàint-Ma.rtin, qua,i Jemmapes, en face du numéro 13.6, ]e cadavre de M. 'Eu. gène Chéroï), âgé de 50 ans, demeurant 45, rue decla Mare/qui, depuis'une ?emain:e, a.v.ait di'spa'ru de son dctmieitc. On cyuit qu~ cem.a.Iheu.reuxs'cstguici.d~.


Oa~sbte

ta~r~Ss~ë

i.ea totes ~'at4ct!rd'hu<

D'a~pr~s les dépêches reçues oe maAiti au Service hydrot-nétrique Mi peut considérer ia. crue de ia, Seine coirnue termines, be mivea.u de ses affluents a. baisse d'urne manière sen.slble et gemer.a.Le. Le Grattid Momn a monté subitsme.mt, il. &st vrai, ce maim, à sis. heu.r&s, de 32 ce.Bhtmièt)'es, Rmds

cette crue B.'mauenee'ra, que très f.ilih'LË-

~ment la. baisse-de la. Ma.r.n.e et sera. nnilie pour la. SeiM.

Voici les cotes reLevées et comniuniquëes ~<u.' !e service de la, 'nia.vig.a.tiùn

Au Po'nt de la. ToumetLIe

Vendredi matin, à 7 'h. HO. 5 m. 40 Samedi majtin, à 7 h..30. & m- ~0 AuPontd'Auste~Utz:

.VemiTedi, à 8 h. du ma.ti.n. 5m. 37 ~atmadi, à 8 h. du ma;ti!i. 5 m. 38 à. 11 h. du mtaMn:tt 5 m. 3o Au PoM-Royal

.Vendredi, à 8. h. du m.atm. 8 m. 47 .SamedJ, à 8 h. du maim. 6 jn. 30.

A Bray (Haute-Seine) m Semé a Musse Ne 6 centimètres Mer 2 m. 83, aujourd'hui, Sm.77.. Ba.isFeëgalemenftà:

~<Mmitev~u, hie.T, ,3 m. ,37. aujourd'hui,

Sm. 33 Corbeil, hiite.T.Sm. 35, a.ujou'rd'hm S'm. 25 Malun, hier 4 m. M, auj.ou.rd'~ui 4 m. 01.

L<ï Mat'nc. Iia.-Sa.ulx, a'fnu.eiït de ta M&rufe, à VMry.est.en-baisse. :H).~r.& m.'58, &ajout'd'hui2:m.50.

Si ta. Marne,-à GbM&n~sur-Matrne, a

baissé de 0 m. 07 (2.m;84), par. cantate, elle \a. mtmté de -0 m. :SO à .Satin~-Dizi&r.i Cette 'hatusse -est sans .im.psrta.nca car ujte -baisae; très sensible a été.enregistrée à Chalifert Mer3m.83,a!ujouTd'hM,i3m.S5.

L'Yo7t?M. L'Armam;on, petit afau'ent -aa l'Yonne, a baissé'de Om..04 à'-Essy.. ~Yonae a baissé à'Sens hier 1m. ?, au-; ~nrd'hui 1 m. 78.~Bai&se à Cla.mecy égaAeamen't:hi~0m.68,eematui0m.5î. i Le Lom~ a baissé à Bléaeau. Hier.O m.72, tM matin 0 m. 70 à Toucy U a, repris son mve'au n~rm'al, 0 m.-65. j~'AM-e, 'afnu&nt de l'AisM, à Vrainc&uft,! baissé de Om. 10. L'0!xe a montÉ à Coudram. Hie'T l'm. ?, .ce matm 1 m. 61, mai's a ba.isae à Verette,~ M6r4m..M,a.u'}Oua.'d'huB.'4m.l9. 'Une hausse de 32 centimehras, du G.m.nd! Morm, a Été enF&gi&'trëé ce maitin è, PomU ,!B&use.

!je. miMTistre des ttra~vaux pu.bliCiS.co.mmu-

~aiiquië La note.s'ui.wa.iMte

«.Tous !tes af~usnits.dte ta. Sem&, de;. ,'Ê'y~(m)ne et de Ita M'a-mB sonjt ein. baisse motabLe. La. déor.ue va a.Mer eu .s'a~ccentua'n't et on prévoit UTL& hais&e de 30 eé.n.tun&tres id'iei 24 heures, et d-e 70 .oeintimètras d'i<H.~ houres. « Plus de 400 abonnés au téléphone à, Pa- 9ns et 76 diaXis tab.atii,H:eui& omt été rëtabLis; i&a~QS la jOlU~nnée d'hMa*. x Les récompenses aux sauveteurs j M. Briand a coT]jferé ce mati'n. avec M. ajépine, préfet de police, au sujet des réti&mp'&Tises à décerner a.ux pûrsonnea qui se sont. distinguées au cours des inonda.

tMms.

La. liste de ces récompen&ss va être in. $easarmment arrêtée.

Oana !e9 rues de Paria Cette nuit la Seine a baissé de iy oenti-,hêtres. Les eaux, rue Félicioi-Bavid, sui~an't le niveau de la Seine.. La. rue Nat'oissa-Dia,z et J~e qua-i d'Auteuil ~ont toujours inondés. CJmquante-huit concrav-entions cmt été cessées cette nuit pour déversement de~ yidainges dans la Seine.

Au service hydrométr!ttu<

jUa crue die l'a. Seifne a. î'a.it bien des dé.g&ts, mais il e&t certaines H victimes x igu.ireste.ranjtignoire.es. Mous vouIomB parier des- employés du aervi'ce hydto.métrique ~[Uti, sans awo'ir été a.tteint.s pa,r l'in.onda.~Eom (leur buTC!a,u est situé a;u étage de la rue Perronnat) otni donné, pendant cette pâFMde mouvementée, mn coup de coUier ~arnu'dia.ble.

Depuis un mois, H leufr a EaUu un z&le et un dévouememt uninterrompus pour «UjX, ni fét'es, ni dima.nches, et, chaque jomr, avec une inilafssa.ble patience, ils ont <MMueii]tH a.vec une parfaite oorrec.tion les .imnombEaMes jouphaliates qui venaient a.ux ~ranaeignements.. H semble que les eimployés de ce aeTyioe .aient drojft à une men.tian spéc.ia;le. La situation en Mantieue

l<a. situation tend à s'aiméMorer..La ba-isBa des eaux commence à. se.fa.iiie santir. La 'Ma~me, noitamment, a baissé de vingt cen-1 'Hmètres depuis hiier. Mais combien sont .élevés les dég&ts A Bry tout le quartier à niveau de la. ibea'g'e est runié. La ptfup.art des sinistrés, ~petits empieyés et ouvriers qui avaiemi 'a.che)té à crédit tes paviLIons qu'Us habitaient sont ruinés. Trois cents maisons qui. ~briitaient 2.000 personnes ont être ~abandonnées.

A Nogen.t, le nombre des sinistrés s'élève ,'& 500 à Joi.nviUe-te-P.ont, M y a 2.000 .paraotMies sans abri et 400 immeubles ont !éh6 abandonnés. Les chiffres sornt à peu :près les mêmes à C'reteiL

A Saint-Maurice, 200 maisons sont d.e~vemues inhabitables et 700 persaimes sont Bame abri.

A Sa.int-Ma.u.r, ttl y a 5.000 si;nistrés 1.600 -pavillons ont été inondes. Les dégâts s'élèjvemt à 3 milM&ns.

A ViHeneTjve-Sai.nt-Georg.es, à Vigneux; à Suiviay, à VilIen.euve-Tria.ge, la situation

)eat la. même.

Dans toutes l'es localités en aval de P~aris, la situation a peu ch.an.gê.

Néanmoins, à l'île Saint-D.anis, les ~a.ux

FEUILLETON DE LA PRESSE diuZOfëyrA.arMM

~ORTE ViVANTE

TE VI E

''MR

WJLKIE CO.LLJ2V.S

-IV.

La tentation

(Suite)

Urne n&uvaHe vie passée, dama laqueUe itomt Le m.omde pourra.it chercher, regarder, sans rien trouver q.uil Lun. fi.t baisser Les .yaux.

Som visage s'amuna,, $es yeuix brilL&resit eN'e n'avait jamais ~téa-ussi u'ré&Lati~Leim<Kn!i,baH)e~ 1

C'eat qme l'espérance ray'annajtt au l&m, e!He e~iit toute i'Hfumm.ée de ce rayo-D sa.u-

S~mr.

Cependamt to'ute oette t.mnièpe s'étt&ig'n.tt. Som. vjisa~e/redevmtt sombre.

C''aat q'u''e]!Ie ~iviBageâiM. soua ,un auftipe

~~OMft de vue a&n a'uda'citeux projet. 0~1 ~g~ y. a.vajit-iil. faire c&!a. ? o

commenicemt se reCiT~r. Un gra.'nd nombre d'haM)t)MY'îs r6h'tit.e.gi'en.t. leurs maisons. A. AsTHères, & Cc~ombea, a. GeHtne~iH.iera, à ÀrgemheoM. t'ea,u n'a ppeaque pas baisse. t~s secaMrs aux sintstrÉa

A Bois-Co~mbss, i'Œuvre d~ la. prot~ctîo'n de l'en!ta!n.ce, d'accord avec !a mumicjpaj!ité, ira. chercher, demain dimanche, à deux heures de t'apres-midi, à AUortviH.e, cmqufa.nte ~nfamits de STjnisLfés, âgés de six à douze StDS, qu'eHe hospitahscra., nourri' r.ae.t soig-nera jusqu'à Pâques ~7 ma~s). M. Edoua-rd de Ne~iviUe, de .FratBcfot't., a fait rcm&t.t.re au consuAat gcu.éra.I de France à Francfort,, urne somme de cm~ miHe f'pa.ncs pour les victimes des inondation.s et non de cinq cents francs, comme cm. l'a amjMmcé paT erreur.

~Tvr~~ ~a~yc~~s Le presîdec.t' du. Co)iseH s'est en~retetitU pe tna-tm, au ministère cte t'ïctérieur, a,v&c tes minist.res des Finances, des Ana.ires Etpa.ngèMsetdûsTravàuxPuMics:

-0-

BriHànt. vei~.ss~ge. cet eepf&9-t!iM.'i, a'u. C'efcle des Phma.tëMstea. 30, rue. de GmmnMmt, de l'cxpoaM.ion, d.es. aq)ua.rallie8 du~ pelure Derie'ux an'r les i'rMn.da.'t'ums de Paa"is.

Cette. ex'p.ositMn. co'm'pfe.nd Tm'e ~.mq'uamta.itie de! vues des pomt's de PaMS ftMii ont le plus sMïffeft p€m.(tan,t la crue..

Om noM9 <a)n'nmiae ta ppocitaim. m.a'rta.g'e d'e Maa Lfmtpe Gt~vy, fHite d'u, g~t)i&ra.l Paul Gtpëvy, a~v-ac M. Louis Lafsbvm. SfMjs-chiSf d!e bureau à la tMreat.to'n gs'nâfSLje dtas Fmiaitmee die'l'iMl'o-

-.CMmfe..

M. Gusta-M jfanMot, dj~eeteur&ela. CtMeMe de Ffa~M. e~t mort. hi~r

.ï! était n,ë & Limoges, en 1830. Etitré a'seize ans à <La Gaxe~e (:e FM!MC, il oe t'avait jaOMus quittée, tour à .tcmr~ secrëtaire de la réd&cticm, rédacteur en chef, directeur et pro pri&tatr& du floyen des iourn&ux.

–s~

€ûnse!ts aux Lectrices de ia Pfesse* Les f.o&e.< M!on.!aM<M se metM&f.~ê~ &te?t !e so~, t! XM~tt de {e.< c~pm?' MK pc.M ë~e~<tK.tM, a/tn ~M'ctfe~ H'atettt ptM {'aspect die Mox 7'obes (te t)<He. ye/!)o?/aM t'<tM<~ soir, d MTte jeMHe fe~T~e, cette t~ttette mopifa~tR ~Mee~:t jfoyt ~oHe comme UOTM pon-~ez le ~M~ef p~' f.<t t~escï'pKon ~!<e je vous e~, ~atx. C"étc)'< MTte fo&e (<e ca~he??nfe de sote rose <?'M p~fe, -uottee d'MMe <M~?M~Me er) 'uoMe (te $o:e 97'~ actCt', ~e coMa~e de de'i.(ëHe d'Of cta~d'OMt'të de mpM~e/tfM TO.!e pdte et ?e!)o~ë de mou~ett~e ~ftse ac~, pettt BTHptecemcnt <t c!f, M.?~ co~-Mt &c ~Otm( M~a?t ~efmMtat!< c&<t<)'Me mawe?!< OH. peMt pa~a~e?)~e~, en s'tnspn'~n.f ds cette ro&e, e)t cP~n~er ta .nMo~ce s: e!t? MC pt~f peu o): pretMtfatt dM ~ert véronique, dtt MEMX; &!en au !:CM dM ro~e p<«e, !a robe ~a:t fOMf aM~M ch.<ïf?KaK<e, et pettt ë~ateme?).t se ~otter de ~fts acM)', ~e .M[che??Mfe de soie ettt'OT! ~st ~6[!«K, ~Ot'c de même KMcmcc OM de ?tCtr. RrrA.

Petites Exposions S.a Soe:etë mod&rne

-La- Société moderrte vèent d'ouvirr sa deaxi.emté'exposition annu'eUe en la. galerie Duranid-RueI. Cet intéressant groupement (réu!tU!t, quelques artistes qui. ne s'embarrassent n'i d'&a M'eux commums ni d'as formulas d'écoles et 'n'ont que te souci'd'exprimer le.ur personnaMté.

Toutes tes œuvres de cette 'exposition aomt à cebenir. Les trois peinbT-es invités pour la. présente année, Aman-Jaan, Albert Besnard et Raffaëlli ~e montrent ici à la. h.a,ut&ur de leur réputation. Je tt~s à signaler urne étude (coin de parc), de Besn.ard qui est d'uai g.rMiida.rtd&be.

M. Maures Eliot est un 'excellent technicien e.t un déHcisux poèbe. Une vigouireuse étude de rocher, un corps de femme, dans un ]a,rdT)n, baigné de tra<UiSpa<renoe,s violettes, urne femme couchée, au dessin voiuptuamx, constituent ses .envoie qui sont parmi les meTfH'eufs.

M. Henri Lebasque saAt trouver la, note qui convient à ses improvisa.tions riches et channamtes, colorée.s et henreu&ea. Ses tableaux qui dénotent un sentiment profond de la, vie sont d'un vrai maître.

M..AMd.e te Bea.u a une mconstesta-ble o.rigima.Lité. Il a, le sens décoratif et apporte .toujours beaucoup de conscience dans le choix de ses sujeta.

M. Hen<ri Ottma.im, dont je signalais dernièMan'ent te succès à ta ga-terne I~eva~nbez, oooupe dta.ns le saJion de lia. Société m.odame, urne place de premi-sr ordre. Son t&temt s'affirme de plus en plus il gagne en aoMiité et en profo~d.eu;r. Je mote dans ces sept tableaux df3 Ifa gatarie DurajidRuel un effort inteHigetn.t et opiniâtre pour aaTifver à l'muté de la realisa.tion. artistique. I~a dfélica.te et.be'ndfre p.&rsomna.liié de M. Ottmamfn se Keitfrouvie, En effet, lia. même dams ses portraits, ses initknitéa et ses pay- aag'es. Om doit a!ten.'d)re..beaMaou.p;de oette

beti.le niatuffie d'.a)ptdsi)e.

M. Hanri Morisact se souvie.Htt fort à pmo.pos de RenMi'. 1]! compose se~ tableaux avec soin, et son, réaH.smits est séc&uisant. M. N<amza'na-~Pissarm nous .ohamne une fois encore avec ses contes d'O.rifent. c'est te triom'phe de' la fantaisie, de ta grâce lum.ime'us.e.fajmiabte et enjouée.

Notoins, eaifim, les apiritutets dessins de M. Francis Jourdain, qui d)0inne, en traits easemtieJ.s., l'a synthèse des choses et des vivants les tableaux riches de ton, mais um peu lourds, de M. 'Georges d'Espagn.at un' brèa fin parbriait de femme de Mlle DUif&u les t.a.bltea,u.x de M. Désiré Lucas,

fetrvetnts et méJiamooliqui&s, oonMne ia te'rre

d'Armer qu'il chante. EDMOND EpARDAUD.

fAIT~ 131~-EF~ BffUé vif. Un enfant de quinze ans, Henri Armemo.ux, demeLM'ant 31, rue Pr.adder, a penvarsé ce m:a.tin., à sept heures et demie, une lampe à pétifûLe sù;r ses vêtemej~s et a été iras grièvement brûlé sur divarses pa.rtie.s du. cOtrps.

Marcy. Écouta, sa. conscience qui l'ud

pa.rtajtt. écoUit,a .sa" C.OllOC ie-n Cieqi:ui lruti l

DûGrax~d'a-bo~'d!

Majs ofn ne sa.ura.it fal're de mal à urne morte? ?..

Elle ne nuiTa-'it doaic pa:s a, Gra.ce elle ne numiait pas dava.ntàge à ses par.emts ses pta.ran'ts éta.ie'nt mofr'ts comme 'elle. MaaaLadyJ.anet? `t

Eh bi~'n, sd Mercy ser~~t fKleI.eme'nt sa c~u~Re ma,îtress-e, ai eMe se <'onduiaa.ijt tM(D)or.abl€.m.&ntt t!!a;n!S sa. nomven~ pfx.~itio'ii, si .aHe se mon.trà.it tou.j<o-u)rs prompte à .obéir, rec&mtad&sajn~e pour tes bontés qu'on a.U!M.it en'vera -e-Me. &i eUe était tou- joua-a M qu'elle devait être .et œ 'qu'etle voulait être ~ams la. paix céleste.et ia. sécurité de sa mau'velte existence. qu'ej maJ fcm.it-.aUe à La/ly J.a.t-uat ? 2

Elle pouTratt, 'eU.s voaia.it donner sujet à Lady Ja.ne't de bÈnir te jour où elle sarait embrée da;ns ea m.ac.aon.. EHs saisit .a.videmment la lattr~ du colo- nel Roseberry at .la. rea-nit &vec les autres pa-piars da,Tis le portef~uill'e.

.L'oooa.sioji; s'offrait à f'He toutes las chances 6ta.ie.n;t en sa. fa-veur sa can,scietnoe me lui disait riaTt' c&Bitrû t'essa.1 d.e ce proj'et inferna. –J'drai'dit-eHe.

Quettque chose pourtant ch&qn.ait encoTe J.a. délicatesse :u'Miée )de ses aemtMnenits, ] ,gHe!.qge chos~fro~&a.it encore te aMMUeur «

JEoX~~s ~wt Sa Majesté Edouard VII travaUile & *4r ses mémoires. Le roi a vu bea.uco.up de choses et H est (pro.baMe qu'il les dira toutes ou presque t'eûtes. M&is oet ouvrage dont 1'a.ppafitiofo- somièvetrait,' en, Furope, une iégiti.me cunosj.te, n'est, .pas précisément sur le point de pa~aitre.

EdtO'uaTd VII se refuser fermement à le i~isecir publier a,vafn;t s;a '~iort. H a pris toutes ses diispositions pou'.r que cette vbImm~ royale soîit. obé~o. Le roi considèTe que les memoi.r.es Ba doi~eint être ri urne fBuv.M <? combat, m une œuvre de ha.in)e. Il vûu.t q'ue r.a.u:t'eur y juge tes Événie'mes.ts, les faits et les gens avec urne. ser.eim.e éq.udttê. Et, c'est pour cette r'a-ison, po'u'r leur garder leur caractère d'impartiate philosophie qu'il t)ro,u.'ve nécessaire de ne tes puMi'ar qu'apTes la. disparition: de leuT au.te~ur.

Les -mémoires d'Edom.M'd VII, seipont, souhaitoms-le, emcore longf'emps attemtdMs.

~t~V~t

0 La, vitle de DuLIm, en Irla.n;de, pos~W sède la plus beMe sa~.Le .de bal du monde. Elle se trouve dama le parais d'un des pius riches magmats irlan'da.is, lord Iv&agh..

Elle mesure 70 mètres de longueur et 40 de largeur. Ses .mu!rs, entiereme.mt recouverts d'albâtre, sent 'otnés de lourdes soieriesroses 'et de velours foncé.

II y a en haut de la saMe u~e ga.lerd.e, dont !a ~a.nipe est ea. atluminium, pouï le public et les musicie.ns.

Pour t'instaMa'tioin de cette salle, il fallut dépenser 800.000 framcs.

Heureusem&nt, tord Iveagh a les moyens de s'offrir ce genTe de fantaisie. C'est le chef de La dynastie des brasseurs qui tire'mt leur richesse de la, fabrication du stout.

'M/M~~

L'Hippodrome de Londres, à son "t~ tour, fait quelque peu parlai' de lui. ïl y a quelques semaines, on annonçait, au Coliseum, les prochains débuts de Mme Sarah-Bernhardt. Maintenant, un journat anglais nous fait connaitre l'engagement de Mme Réjane à l'Hippodrome. La célèbre artiste y paraîtrait une demi-heure dans l'après-midi, en matinée, et une demiheure le soir et, chaque fois, elle interprèterait une scène ou deux choisies parmi ses plus grands succès. Pour cette exhibition, Mme Réjane toucherait chaque semaine 20.000 francs.

Le Coliseum annonçant Mme Sarah Bernhardt, il est normal que l'Hippodrome annonce Mme Réjane. La concurrence, paraît-il, commande ces sortes de réclames.

,~) M. H&n.ry Chéron, sous-secrétaire' '~B~ d'Etat à la, Marine, est un homme très ennuyé. L'histoire que )ui font les membres du syndicat d'es arm.ateu~rsj sous prétexte de discipline, de respect des règlements, l'enmui'e considéra.b!ement. M. Hen.ry Chéron aime à être populaire. Lu goût immodéré de la, popularité dont il témoigne en toute circoinstance est &on péché mignon.. Pour le satisfaire, t) s'aorin~rait tout, toMt. surbout maintenant que l'épo-

que des élections a.ppro'ch'e. M. Chiéron, très

logiquement, a.vait déjà, sacrifié les armateurs pour conquérir les marins de la marine marchande. Mais les annatéus's se rebiffent 'Ils quittent, en faisant claquer .les portes, toutes les commiissions. M. Henry Chéron ~st attrape par tout le monde et le maihea'reux gémit

Ces histoires-là n'arrivent qu'à Ei,oi H n

M~M/t

tt II est d'une avarice sordide. I] n'~st pas de moyen qu'il n'emploie peut faire des économies.

Dernièrement, il soutenait cette opinion. Pour y voir très clair dans une pièce, il suffit d'y allumer deux bougies. Lors, quelqu'un, fort au courant de ses habitudes, s'étonna

Mais, chaque fois que j'ai été chez vous, je n'en ai jamais vu qu'une. C'est vrai. mais vous n'avez pas remarqué qu'elle était toujours placée devant une glace où elle se réflétait. C'est absolument comme si j'en allumais deux. L'avarice a d<e ces traits ingénieux.

~M/M~

et Comment 'commencent les grosses' ~? fortunes.

Samuel Fox, petit ouvrier londonien, qui remplaça les baleines de parapluie par rarma,ture en acier, gagna six millions.. L'inventeur du petit cn-cri de tôle gondolée, qui faisait fureur il y a dix ans, partagea avec son lanceur du boulevard Richard-Lenoir près de deux millions. La semeIJe en métal et le bout de fer renforçant les souliers des enfants valurent à leur inventeur un bénéfice net de cinq millions.

Le porte-crayon muni, à l'autre bout, du rond de gomme à effacer fit gagner 500.00Q francs à un camelot.

Le créateur du patin à roulettes se retira avec 4 millions.

Qui ne se souvient dea récents démêlés suscités pa,r la rénovation du diabolo, démêlés ro-ulant sur 3 millions de bénéfice ? Et pourtant, le diabolo Sorissait déjà sous le Directoire 1

Et la toupie ronflante ? Et le téléphone enfantin à peau d'âne ?.Qui s'en souvient encore ? Les richissimes héritiers de leurs inventeurs, comme le HIs du créat&ur du tube à colle, ont hôtel en ville et châteaux à la campagne.

<w<

Les prédécesseurs' de Cha.n,{ec!et'. ~y En 1896,à Vi'enne.M. Zieh."er composa urne opérette dont l'action se passait dans le monde des oisea'ux. Les acteurs devaient t pa.raitre sous leur .aspect. Le rôle du Co'r car U y .avait un rôle de Coq ét'ait destiné a.u célèbre .acteur Girardfî. Hans Buchholz, journa.Mste berlinois, était l'auteur du livret.

Cette opérette fut reçue pa.r M. Feder-

coté de sa, nature, tandis qu'elle glissait le portefeuille dams ta. poche de sa, r&be.. Sa conscience!

Etait-elle sûre d'avoir bien interpogé sa conscience?

Elle songeait à remettre le portefeuiiHe s~r.la table, àatt.endre:.que.so!n émotion &e fût calmée.

Si alors aUe anvisa.geait de sang-froid le plan qu'eMe venait de former eif. si, daji's cet exa.men, elletn'y tpouy.aj.t àucum ma. c'est qu'il seTait juste. °

AMons, Mercy, rénechissez encore. Ma'iië, en ce moment, le sourd piétinement de fantassans' 'en ma,rchs ''et ies sabots des chevaux ébr.anlai.ënt la rue du village et rempMasa~en.t. la nuit.

Les Prussiens s'avan:ca.ieat.

Quelques mmutes encore .et ils a.H'a,ient enftre.T' dans !.a cha.um.iere ils forcera.ien't Mercy de domner des renseùgnements sur eUe-môme, ils lui demanderaient ses papiers.

Pa.auniinst.a.ntà.pe'L'dre.

Sous quels .traits allait-elle se présenter aux Allemands?.

Sous ceux de Grâce Roseberry,a. jeune uUe puTe, ou de' Mercy Mepriek, l'~L. CMnne.

Elle regarda, le 'lit pour.la dernière fois. L'a. carriÈre de'Gra-ce était bien.tierni~née ra.vemr de Grâce ëiait à Mersy &4

.<eM€QS!ut..

manu, directeuï du Théâtre F.rédéric-Guilla.ujne. avant même d'être achevée. .Lorsqu'eH.e fut terminée, le théâtre était depuis quelques jours en fa~HIite. Présentée à deux autres directe~u's, l'opérette fut refusée. Et l'auteuf, pouf ne po-int perdre son trava,U, utilisa. &a musiqu.e da.ns d'au' très ouvrages et aba~flanna. le livret. Cet a.ncètr.e de CheMtteMer me fut pas très hsuTeux.

La Mouche t!u Cosh&

~EË~~e~~ 8umÊ!'e UNMEET!MC DE PROTESTATtOM c07tt?'e tes t'eh'aMes OMurzere~

La Gonfédénation généra-le du travail qui, on le sait, a entrepris une ardsnte cam.pagne conftrû Le projet de M sur les retraites ouvrières, projet qui pourrait être a-dopté pa.r le Sénat, .orgàirnse pour demain matin, à neuf heures, un gra.nd meeting de protestation qui se tiendra, rue de la Douane, au Tivoli-Vaux-HaJI. 1

Tous les leaders de la C.G.T. prendront la parole à cette réunion en vue de Laquelle ta. Maison des Fedër.a.tions vient de '.ancer un appel illustré d'une gravure, montrant d'une part des hauts fonctionnaires mangeant grassement, tandis que sons la table des ouvriers, ployés sous le faix des a.ns et amaigris, attendent les bs qu'on veut bien Leur octroyer.

En marge de ce placard sont inscrits les taux des retraites des trésoriars-payeurs géniér.a-ux, amir.a.ux, gënéra.ux, .a.mba.ssadeurs, mimistres plénipotentiaires, amployés de toutes les a.dministra,tions, sergents de ville, etc.

LES EMPLOYÉ DE L'ÉPICERIE /uomt de MOMt'e~M maK~e~te)'

Da.na Le but d'obtenir Le repos hebdomadaire et dominioa.1 les commis épiciers reprennent dem,ain ta série de leurs tu'rbu.lentes ma.nifeatEbtions.

Des rendez-vous ont été fixés dès aujourd'hui a,ux manifestants qui, dans le quartier choisi pour cette nouvelle ma.nifesta.tion, tenteTOnt de no'uv&a~t de briser des deva.ntunies, les vitres et fait'.e Les dégâts les plus im.parta.nts danjs les.êpiceries-pestées -ouvertes. Des mesures d'ordre ont été prises pour demain, mais Les quelques commis qui premrhent pan't à ces ma.nifestajtion)S, espèrent, comme par le passé, .trompûr la vigilatn.ce des agents.

~s~c~

Rt

E/e< otMctpe de !a co?}~éte tes grands c?'Mt~Mes <ïM XM'' ressMsctten! M?~e

henTe dM!'an,<.

M. Jul'ës Lemaîtm q'ui va ta.m'e jo'uer le Ma~e de Te~e?~6~~Me ne vaut riem. nous a.ppran.'dire de .Muvea'u smr le'Tetë7Ha~Me,~e peme'ion. H éta.it Mïtainament dfifnciiLe d'e fa;n~ au.t.rerB.Ë.n't- M. Jules Ijemaît-ne trouve, donc apTes tajit d'sutr.as gu.'ep'h.'rafS'ê.olo'gi'e y ~est molle et H€.u.ri'e, la volupté laten.te 'et 11'u.to'pLe (poli-tique valaMn~tiit touichante. Ce que M. Jules .barn'aître ajouiM de. p.ejisanin'e'l à son. ana,ly&e, c'est unL vcpbe.ùelioa.'t souven-t. m.aJ.Mî.eux, toujours h.eu~eUiX, jama.is .poncif.

La salle 'Cha.m'a.s ou la marquise de B~bœut &t d~s débuts fâch'e.ux danis la. pantomime no'us donne aujourd'hui d.e .forts mtéressantës cbn.~e'Mnc€.s. Le ca'dfpe ~est .joli il s'y nteut des laquais à- culothes- courtes on n'y voit pas d'pu.v.re'uses i!L n'y nTafn.que que' des auditions de jo.Iji~s co'medi'emn'es 'po'U!i' parfair.e vot~~ biem.-êtr.e. Nous vim'esdénier les .fantômes bien disants <i'es cmtiqTjes ~rafma.tiqmes du XIX°. Ra.n-plamj-~plan, le comfér.an.cMt' 'les en'umèpe g'aitla.rdtem.emt et avec .Mprit. Fin du XVIII~. La Harp.e o'ufMre 'la se'N.e <I'&s vrais critiques. Calui-~à fait .montrû d'un atyle patent et m'ultipiM les ~Kt et les ~ne. XIX°, voic-i J'ules Ja'n.i.n, le pTitnce <le IX ciitiqu.e d'alors, enco'pe qu'ol ne sut laisser ni urne page lisiMe, ni mne pensée .pro!Îonid6. Jaoïln dem&u'M à ia'mais oe.lebre! par sa <liê&ii])tion du Homard, qu.'a. oata.logTh& de cardimal des meTB n'ayant jamais Mticontre d!e crustacés aiHieurs q'ue sur sa table '6t. d'ans un lit de persil frissote voici Thoop'h.il& GautteT. critique obie'ctM, alojs qu.& Pilanche, son aine, semblait subjectif. Voici Banville, .encore Ga'uti~' .et déjà M.an.diës. Vitu, .la p.robitë même, .P .de SainitVictor. ecl'a.tamt st.yli&te Barbey d'Aurevilly .h.au'taul brutal, mais esclave de si beaux prm~ cipes do~as. Voici l'o)tc:e, oamohemar de cette pauvM Yvette GuHbe.pt, qui vient de &u~ir sa opération. J'en pa~âse et j& veux oublier parce que je n'ai plus de place, 'les commenLfatras légers, juatinës, .déHmtMs do'nt le confejencier fleufit ces omibres jjïu.strés. Au fait vous ai-je dit le nom d.e o& c.on'ferencieT Mais non. C'est M. Camille Le Semne.' Ce tut une 'heure fort agrea'M.e e.t instruetive €.t douc.em;6nt .philosophique. De cas heures du passe, momta le .par-rum un -peu moisa., si tendre pourtant, fatt de pouasiN~s jadis odoran-

~tes, de fieurrs 'j~d~is framies, l~e p:arf~um tve

ts, de ne.uiis .faads fTaïcjies, .le p:a.~u.m <!e

vie]l ivoM-e qui éman~, sur las quais, des boî~es à bouqurns le paipf.um que le bonhamme

~Sylvestne Bannard a~enifi~e, Ah l.'le,GamiPo,

~~é~~ ~P~ MAURIŒ VERNt.

L'Atbum de ta Reine de Grèce La. reine de Girëc.& possède um tires cumnemx s aH).um,d.ans. lequel praaque tous les son-v.e- .rams d'Em-ope. o.nt écrit, amr sa. demande, des i nepansas a cartaMMs qu'estons qui leur étaient

posé~s.

A son époux, te 'ro'i Georges., eNe a\~a.it d~ rmajM])é, pa.r exempte <. Qu.eJJe idée vous faj)ta&-vou.s dM, bontMUfr 7 i. Le ro'J. re.RÉûhjft p..end!amt .quelques 'n.stan'ts, puis 'eorj.vtt « Poas~ defr to'ufjo~mrs Tme d!0.u!bla oo'ucMm~e (m'onTiaie auitricMeime) sanjs &vo.tr .Lm~e couiro.im.a. Peu.t-etT'e oe bcm,lMU(r ~st-il' réserve, da.tM un i tamips pm.cai.ain, au rai des H~Men.es, dont le p'euipiie s'agite beaAM'.CHjJp ~n oe niomi&iit.. Le roi de Suè'le, imvtte à dM'e commeDft il M tiefpmse.nftait le m.aJJieu.r, répondii.t .d.'une fa- çom. atmusanle. c Le mia]il'heu!r, c'est d'a,voir a tin pi.ed .ttn&p gros, ~faigé <i)'un. ooT, dams un i sauiLier triap étro!it. o j Au Toi Ed'oum'd., on p~'Ésenta la qussUoTi Q'u~& hommes te~ez-vo.us pouT tes n~s d'esa.gneabl.es 7 x L'arbitre co.LM'omi.e dte la. mo'die et du. bon J ton tmesjta pas à mjamfesteT son a'ntipa'uhie 'i L'êtTe le .pl.us dësagméâbLe du. m.on.d!e, ëûpivit~ ( m.d'une nia.in. aasLa'&e, da~nE L'a.Ibum,, fst, à i m'en sens, rhoimme qui dÉsi.gne sams oe&sc i qualqu~um. av.ee son p~iatplu'ia, en, criant < c'est l'ul

Sa, .nature résolue, forcée à faire un. choix cm. ufn instairut, choisit l'.a.lterna.tive la. plus hardie.

Ella s'affermit dams sa. determ.i.n.atijon de prendre la pisuce et .le Niom de la< morte. 'Les pas 'des fa-massins. prussiens .ajpprocha.iRn.t.

La voix des officiers deven.a.tt dis.tinct& et l'on ent&ndait les comma;ii!deme]its. Mercy, assise devamt la ta,ble, &tte]ida,it Se's yeux tombèl'emt sur le vêtement qu'elle portait encore.

A son bras droit, la. croix rouge.

En une seconde eUe fut fra.ppêe de l'idée que ce costume pourrait la jeter dans daa daing.efi's Mutiles .il la. m'sbtait d.afns une position publique il pourrait condudr.e plus tard à des recherches, et ces recherches pourraien't ia. tra.hir.

Elle reg.a.rda toui), a,mtour d'eUe.

La, robe grise dans laquelle elle avait enveloppé Gra.ce .aAtdra. !so.n attention. Elle la prit et s'en ha.biH.a..

Le nouv.ea-u vëtemenit était à peine noué &utour ds sa 'tail&e, qu'etle entendit ouvrir la. première porte estérieure des armas rë&o-mna.ien.t dans la. chambre voisine. Attendrait-eUe qu'au, la découvrit ou bûe'n aU.a,it-e!Ie.s'e m.ofnftFer.a.ux so]da,ts ? v 1 -II était.. plus .aisé à up tempê'rame.njt tel

qu-e le sien d'aller au~dev.a.nt du péril que

duy ,le. sien d'~aller au~d'evant du ~~sril qué,

del'aitte.'ndr'e. ..t &M€ s'avança. vars~emsiBie.

La ~Prc.M~ ef?eT7?~fye

Soi~e p~i;ie!)!j$

Foties Dramatiques. Un spestacte extraor ttinaire.– Jeanne Bloch hypnotise Cyrano. Le plus gms succès de la: saison est au-x FoNes-Oramatiquies. Fait jm'OMï dans les an. n'allés d-u. t.bë.a.tro L'Homme de Glacû à la 90" représentation~ a pJius d9 vo.g'u.e M d'en ~'n'ousiastes 5pt6ct3.tea.Mrs qu'à son appam.tioui. .C'~est, l.a dest.i.nt&e des pièces gaies. d'ë''T. plus goûtées en vieUli.ssan.t. Le rire. dcn'hin'e toLU. trMntphe de to~t.. Et c.et « Hojnroie~e Clao& qu)i n'~at. q.u'nm long colaft. de rire, de gadt& sau~e.. de famittaisl'e desapithaMte', c nn~en'c-c h être apprE'C)ie. Q'ual est le tméâtre qui. purssc se vanter avec CM-gUie~ d'être le refuge du' rM'K gau'io'i.s ? Sa.ns cantDedm.oe. somt, les Fol'-Dra.a~'

Ce'Me coq'Ut&tt&' &alla, si l}.t3au'.ë'us6. si co.nd'q~t.u

Mfe!, avec ses 1,'<9U plaoes g.ajim'e.s de vA~BÈs s 60!U.riarnts et joyemx, se d~e.cte deva;ni leq!OËtî.&s, les jeux de scène uJiti-a.-comiques~Ce ~e c.e.t.t& fomnida~le vsdie.tte du rire, de l'.ujtiq'UÈ e Jcanme Bittcù, la oa'rto.man'cii'efm&e mofu:b'liatijle d& l' <; Homimte de Glac.e '). Sa scène. d'e.voM.- tMn. et, plue. emeore oetUe die l'.ex'tar.iQniaatdc.ii.. de l'esprit de l'Ameri'c.am pouo:' afiliTner.ie m.a.unaqujn. emehanté, aomi). d'mn. iinr'esistjl)t)e effet. La salle se tord ~n woy.amit Dnaq'um, taisMMtt aJtlar.ses artioulaMocs eft .é&h,appar a;u commissa.i!re qmi., de m.ëme <jma tous les atit~eLLr&. y compris Bloeh elle-mem&, an re.&t&nt. e.pate.s. Et il y a de q!UO<i. Tomt est MsiM.e, et tout oomeo.uTt .au'rire, dans l'Homme de Crla.ce ') le ds.je.ucer pa~r perau.atS.itOm, l'a cour de &ea.u. .b'o'ulon,, l'a.ppaffiti.ofn dte l'Aànëfn'oa.mte qui v~nit ~'ufn majri, quel qu'a. so.]ft), l'a.mr.ivce ij)Mm~sUt' <l6 l'aeroplan.e md'igcrat, la scène des A.p~eh-c6; et de la Pendule ma,rohauae. Le l&veir de. :Blam)Ohe Da!;ba, en&are &ous le c.ham~ de' la nUtit 'd'anj.o.u.r trop vite inter.rom.pue, etc. .Aussi, qusl succès, q~el tritomphe pfou~.l'a.uteiUm, L. deVa~&ui)!, po!.m'l.QS.ex(<elléi').tS€!t~m!e)r-; vetU~uef: afrtjjstes Dmaquiïit Leriche, Laure. Dailba, Flo G.romiar, Loritania., Lisette Berger. Ducaste.1. S.tiiv-H.alI, etc. Un bon canseiil avant que "La Cou'scrtte ') ne:pj'en.nie l'aïnche, a.llez passer une soi~ëe :in~ubli'abl& de. franc riir.e aux Fo.r-Dn'am'. VoMS regp&tteT-iez den'a-.

voir. vu e.e)t!te pièce m~inar.RaMe d'esprit et de.

aaît&. Dem~aim, dmMmehe, matinée à 3 h. 1/2. I g1aîté. GEO PLOCh..

6(~Fpi6f(te$ S~tad~ Oesoir:

Au Pe~t-TMât.ne! f35, srue Fonta~&). à 8 h.1/3, ptremiare repMsenttatJian die ['O~e~sëe, pie.e'e; en 4 actes, de M. Etttan'ne Gran~ar (Mmes Marie M'afrcitMy, Ellen Baryl, Mady Berry, atc. MM. Du~ec, PeNiand. Liease, .ettc..). On commje.'nioara par Cha-CMH. soK to~r, un acta, de M. Rente Fabca.

Au Théâtre du Château-d'Eau (Cl. rue du Ctiâte.au-dj'Eau,), à S h. 3/4, p.reo'Mie.pe repa'eaentation de !a PeM<e Maftëe, op<ere.t,be en tnois actes, 'd'e MM. Lete~Ttar et Vanloo, m'u&ique deM. Charles Leoocq~

Au Moulin-Rouge (508-63) la Rc~Me. amoureuse, 32 lab.. Lina Roby, Espace. Saidrëa.u.etc. Aux Folies-Bea-gere (teil. 102-59), MJss Campton, Claudius, jC,a BesMe des FoMe~-Bs~eT'e, 31 tableaux, d~e MM. P.-L. Fiera et Eug. Héros. Ma'urel, Beatie a.nd.Babs, Che'vaïMtr, Pougaud et Jeanne Ma.nMM;.

A l'Olympia (344-68) MUe Polaire da.ns :e yt~tteM?- (crëati<Mi), M. Ba.ud., MUe Dinami, LéoncTa dansfs~eAë; Ludmiiilâ ScnonaT et KiakscM. Dix -aMinactiOtas.

A Parisiama )me opérette cha.nKan.te. l'Brn. pereu)' ~'antM~e. de MM. Joujiot et M~vji~t.avee Frey~Ma.ry-Hott.JaaMOryan. Au Nouveau-Cirque Attractions diveraeg. La Chaise aM Cer/, gramde paintotnune èque& tM et nautique

A l'Eldorado, OTtë CaroM~e revue a gTandspe):taele, en deux actes et huit tablea.ux, de MM. Celvat et Cha~ley (MM. Sulbao, Mojitet, Bach, Georgel Mmes Lucy M~ger, &aveU.i. G. Lange).

A la Scala (diir. Fuirsy) (tédoph. 435-86) La Reuue Morton, Edme~ Favari,. AliM de Tendeir, PaMito Morly. Mafry Perret, C.afpemtMr, Robert CtL&a, 'ïugént.o, Riv~fS.

'M~

A la. C<Hnedte-F.ançaiae

M. Félix Huguenot, co.mplëtamfent Mmiis, îa.M ce soir sa irenti~ée dans D~nis Roulette de SM'(;, mne des b&H.'es crÈations de l'exoall&nt art.iste.

Samedi, pour le 108" amnIveTSaiire de la maissamce de Victor Hugo, on donnera les BM7's'rafe~. ,Le oélëbre drame de Victor Hugo sera suivi de la oareinonie du Couromtame.nt..

A 1'Opéra-ConN.qu.e.

La rapTesentaftita]. populaire à pïdx Ted~Uiits (avec -location) de lundi procha.i.n se composera die M</?'{~ (M!Be NeJly Martyl, M. Léon Beyi.e, Mlle Juramd) et la FzHe <!M jRë~M~en~ (Mile Tiiph.a'i.nte, MM. de Poumayrac, VieuiH&).

'M~

A l'OcBe'on

Des matinées d'~Kta?', avec roro'he&t.r.e Ed. Colojuie, seTont domnées les jeudi 3 mars (MiCa'r6me) et samedi. 5 rma-ES.

Demain., on donfnera en matinée, à 2 heu'pes Lazare !e Pa~e, et, le soir, à 8 II. 3/4, ~nteH', avec Torchestfre Colon!ne, sou,s la directAon.dfeM. GalH-ielPiemië.

<~t

M. Ailbact Ca.TTé est souffra.'nt &'t S g)aif)de la oha.mbre'. En son ahaenoe, M. Po'roL, vice-p.reaidtent, a presidfé Mer ta aôanfoe temu& au VaudternBe paT l'Aasociatiofn. des d'ur.e.cte.m'a.BtaM~n~ pTes&n'ts MtM. Gemier, F~anc)!, 'Fo.n'taT)~s, Henfri Moliaud', M~Mhoe Be.Ttn~'hardt., Mp.B'jae.ntant Mme SaipaJi BeT'nJTaTdt., He.rttZ, D.Bvat, R~ dh'amomdi, Max Ma'Mpey, RcJJt&, Dupiay.. L'aasam.b'X&e a diaoutë la qu'.esti.on diu pergoTmd des t'heatMS, des salaifpes ût du syndicat d~s ma.ohiMstea, en mafiison d!es j'éc.enta i'QjOii'dsnftis dte la Reinaaasance.

Mais to'ut s'est borné à mn échange d)e vu.QS l'.aaaembL&e' n'a. pas vouthj pm&ndre de décision an. l'absetnioe de M. AlibeTt Caire.

t~~

Au. TMâ~e SaraihrBe.rniha.rdt

La (nëpetition génaraJfe et. la p'reimie.re ds ta Be/a, anntoncé'es [.our le 28 Pevri&r et le isr mo;ps, aoron~t- retiamd~es d'un j'amr et aimpont lieu .in'T&vocablamsnft iiO mMdii 1er et le metrcr.'ediij 2 'm'ars.

'M~

Au Théâtre. Anta)im!e M. Gémier .retient les soLpeeN d)U 38 fëvFDer et du 1~ mars pour la répétition générale -et la première de '/s~, pièce en ve~s tan. 4 act&s de M. Gabriel Nigomd.

'~M.

'L'aEaemMee 4esa.ct&om'natMs de'l'a Boîte à Fu)r.sy. rëufEbie, Mer, .au siège social, 58. ;ru.8 P~g'an!a, a. décide la. diLstm'b'ution, pomr l'eiXiea.ee'ce 190S-19M), dfmn di\'i!L}'endi& d!e cent fr.inc.s sc-.iKanfhe-quinze paT a.ot'ifon et ,de:, tre'D.te~roiE fra'nfC.s 'q'ti.afttre-vingfif.einq par pa;nf .'b&mënoi.aitra. C~a dtit imieux. qLM touft'a..prospérité c.onfStamiie die la Boîte à Fujsy..

Mais Le' rideau de toHe au même utstant ae sou.[ev.a et 'trois hommes se trouvera. ~m fa~ce .d'eJfLe dans r'emibrasm'e d~ la. .porte.

V

Le chirurgien prussien

.Le plus jeutae des t'roja ôtra.ngers, a Gn juger pa.r ses trajits, sa, constitu~o.a et &es ma.nières, était uai Ang'J.ais.

II portait une cajaquette et d&s bottes .miIdtaires, m~îs le reste de l'ajustement etaLt bourge&is.

fres de Lui se tena.ttmi 'officier en umfarme pi'.Uisgiefn. près de ro.ffic.ier, te troisième et le plus âgé des perso.l'ma.ges du groupe. Ce dernier portait: a.uasi un uniforme mais so'n: extërieuT étaJft.bien.tOMi d'avoir ~aspect mititatre.

H boitait d'!tjft pied, il se tenait courbe, presque ployé en deux, et, au !ieu d'un sabre, ii avaot u'ne ca-mne & .ta. m.a.m. Après avoir regardé vivement .avec .une grosse torgnë'tte d'écaHIe d'abord Mercy, ensuite te lit, puis -ta chajnbre, il se retourna .a,vec uine brutale tranquillité de manières vers l'ofncier.

Une femme malade dans le lit une autre femme qui la soigné, rien de plus dans la chambre. Aucune nécessite, majora de poser ici une sentinelle.

Aucune~ répondit !e majof.

AlibedeTandar:

Petiba couleuvre gracile,

Elite se'fauifi'ie..docile,

Dans lesoea.'ce'a~ux, qu'Euge.nîo, De .s-es bra.s arrondis, simule,

Et forme un sujet de pe.ud!ule,

Digrue d'orfÈyres géniaux ).

Ou hi.etn, lançant s.es jambes ïiu~s,

Elle danse, affrontait les n'uses,

Sembla.ni djeuar l~s oiseaux,

..Et .ta Scala lui ..pTend ses ailes,

Pour voler aussi d'un beau zèle

V.c.rs les maximu.m.s l~s plu~ 'hauts.

<~M.

A Luc!a.-Pa.rk

On sau coittbi.en le skating rink d'à Ltma. Pa;rk a déjà verse à i'A.ssista,nce publique. A!tssi les dames de Neuilly et .des quartie.K r~ctMS de Paris accourent .en foule da.'ns ce s.alec.t .ét'anlissem-ant qu.i do~n.ne t'a~t aux p~u. yres. C'est un moy.en comme un autt~e de join. dreia. charte au plaisir dans ce merv.emeu~ coutre d.e réunion .d'où 1~ plus jolies f-em.HMQ iancent la.rn.ode.

~Vt

AlaCig-ale:

Parmi ~,s nombreux .sng'as'eMi.ent.s sp&oia'ux taiM p:n.r M. H. Flat.eau ~jou.r la gTande revue de MM. Jacques Bousquet et Georges 'U'nould q'ui °ora jcuee à la ~eouverturp de la. Cigale, eu mars. ttous disions l'au.tM juuf qu.e lun d'eux e-ta'lt absolument sensatMn'tx~ 11 s'ag-.tt, .en enet, de M. de Max, l'illustre tragadian., qui m.t~rpMt.era, au cours de cotte revue tliMB. rôles très impoi'tà:ats<ln.ns lesqu~~ it 'le.ra .a.ppla.m'hr toutes les me'rveB~eu&e~ r<*ssources 'de son immense tarent.

'M~

A Bpirr.astoTd'~ Alb.a.m~rn.

La piqLum-t.te'revUtette de MM. P.-L. Fleirs-et Eug'. He'ros, inte.rp't'etee par ~Im'e MarvUte obtient le plus vif et.le plus légitime succès .Cet. te Mvuet.t.e, suite de couplets spi.rituellemcmt tournés et Hnememt détailles est pour la M'-aOteu.s.e aTt.iste l'occasion d'.a.înrmer son pres.t.is'&ux.TfU!e.nt.de..diseuse.

Un num~o dB v~ntriloqme fort remajrqua.Me est.cehu <je Ctia.rtie.r. Ses majm~q~ins somt d.une.a.m~san'te rM]ite et désopilants A'JiM.de S~ris ob:ie.nt'toujours un ~ros ~Utc-

'~v\'

Ala.P.spunfie.re:

Ce soil- aa.m'&di, progra.mme etnIiN-emotit nouveau Georges Roger, chant, dans&sexc.entrjques Emma. Siebel, ~:is.euse à voix l'a.mu,sa<nt'e Gavroc.hmctte, MaTius Re.vbae Gabv ~elly. Ljse Jaulx, Kaly e't une attra.c.t~oa d.es plu.s i.n.tel'essai~te.s Tonys .et. Tonysette. iimtaL.ews. Première de la. C'~an.ce d'~M~K.~c comedi.e 'eu .3 acte.s .d.e MM. H. CoutUM.t et Léo Lehevre, jou.ee par toute la trouve A parttT de ce so.ir, l'e&taira~'seT-a assuipe pat le eecteu.r. Demam, ma.tifn.e.e, à 3 heures.

<~t.

Cha.nitecteT .a un c.ri sutbiime

0~ cacher l'a-rc-en-ciel -s~a. était .an dan-

g,em- 7 »

M. Ruez :aun<~ réponse plus .exh'sordina.ire

ealconé

A Pa.i-isiana ou"d..a.n,s le.cna'toiament des costum-es. dans l'or qui rutile, da.ns le luxe im'splendMe mise en scène. Pa~a~f~ ~-H P~

se paraî:tne, pâlirait!

'wt,

A Buaiitar-N.ou.voa'u 'La gran.de fête d'emu.it d'e ce soir.pi-om~ detre exta~ordinairem.emt brillante. Bullier~ouv.ea.u eat .en enet' le balt'on vient po.uj .meT-veilleuse, l'orchestre t t.outes_les fejnn~s y sont j.o.Lies. C.e.st le temple de la gaitë j -co. demain, grand bal. Tous les jours le ma~Près-midi et le soir, le Roller Ska~

Rilllc..

t~t.

Comme n.o.uve'lle. at~mot.iOtT., le. Ska.tin.g Pa..lace, rue d'Am-aterfta.m, orgamse po-ufr ce soiaum grand -matah de hockey entre Sbide C~n~ Pa.risian\me.ri~H~y Clu.b. i\ut do.ute que ce seraUB.s.peota.c!'e ~oimants. Gr.a.nd oa.fe e.t~uHat.

Baa· a~Tikrlcai.m.

'w%

G<rand concon,rs in'ierna.ti.anaJ de iam.bas ce sou-, au Bal Tabarin, ngu.raro.nt nos plus ..jol'tes P.a.nsi~n.n.es. A mm~iit et demi dénié des oomcum'.entes grand cortège le char cosmopolite .des mollets, le charges lauréattes et l'~poth.eoM dte )a jambe formeront mi~ se.mM.e d,es plus suggestifs.

Wt

Au B.a. de I'Etysee-M.on)t.m.a.r"a'e

C'est .au ba,l d.e l'Elysee-Montmartre, l'eta.M!.ssement le plu.s gai et. te plus élégant de la Butte, 'que se donnent rendez-vous tous l.es joyeux viveurs, car ils sont toujours sûrs d'y retrouver <nos plus jolies d.emi-maiMiajnes montmartroises.

Ce soir samedd, à 9 heures grande fête dansante et de patinage.

A il heures « Business Dance < le dernier succès du jou,r du maestro A. Leducq Demain dimanche, à 3 h.ëure.s matin.ée de 5 h. 1/2 à 7 h. 1/2, apéritif-bal à gram.<i orchestre. Entrée libre.

A 8 heures et demie grande soire-e dan-

sante.

Palin.age, bowling, attractions diverses.

K.!ETe.m:a. Gal)-Ka, 37, Bd de<s ItaJ'ians. .Kinsma, q.ue chacun doit connaître à son tou-r, In.stT.'u~t en amiu&anit telle est la loi dtu jomr.. 'N'est-ce pa.s. a'la &cien.c.e', une épine f.avie ? :'Et.pnn.'suit6, aplanir lecheminde la vie? ..M(~t!tM)d'e..q.ui p&rmèt à chaoun de s'instruire. Au HMëisa, &a.b-Ka, ~.llez a.ppre'nd're et rire.

.M/t

.A Mo.nt.m.a~trë. Les sofirÉss dansantes, au 'j'oy6ux bal d'u MonJM-) de la.. Galette;-sont toujouirs. d'&s mieux ft'equ.entees, j'ustin'am't: ams! leufr mtivpTse.Ue réputation,.

Ce sonr same'di, à 8 h. 1/3, gramdfe soupes dansfmtte demain dimanolie, m'atime'e à 2 h a.pânijM.-f-bal d.e 5 h. l/S à 7 h., et soirée à 8 h. 1/2. H. Mab.N.l& et son imeomparable orchestre. Georges Beudin,

ARRIVÉE DE COURBER M~rseiUe, 19 février. Le paquebot anglais « Mooltan )', courrier de Sydney, de ''Colombo et Maite, est arrive ce matin avec 223 pa.ssa.gers, parmi lesquels le généra,! French, qui termina. la guerre du T.ranë.vaal, les généraux WiHer, IIaden, Henderson. et plusieurs autres ofûci'ers. Ma.rseiUe, 19 février. M, Caillaux, ajici'en. lYl'inistr.e dés Finances, est arrivé ce maim, vendant d'Egypte, par le steamer (; Herefordshir.e )'

II tourna, sur ses talons et rentra dans la cuisine.

Le chirurgien prussien, au contraire, s'avança dans la direction du Ut, poussé par son instinct professionneL

Le jeune Anglais, dont les yeux semblaient rivés sur Mercy, tira le rideau de toile de la porte, et s'adressa respectucu. sèment en français à la jeune femme Me.permettrez-vous de vous deman. der si vous êtes Française ? dit-il. Je suis Àngfaise, répondit Mercy. Le chirurgien entendit. la réponse. S'arrêtant tout court et montrant t<. corps étendu sur le Ht, -il dit à M.ercy en bon anglais, mais avec un fort accent allema.nd –Puis-je être bon à quelque chose ? Ses manières avaient une courtoisie moqueuse, sa voix rude était d'une monoto.mie sa.rdomque.. Mercy se p'rit d'une a.Ye.rsMn ittStamitaj~ée pour ce vilain vieiDard boiteux, qui ta regardait si brutalement avec-sa grande

lorgnette.

VoTJS h€ pouvez être bon à rien- ici, monsieur, dit-elle vivement. Cette .dame a été tuée quand vos troupes ont canonaé cette chaumière.

L'Anglais tié9saillit et regarda le lit

'L'Anglais tress&illit et regarda le Ht

avec compassion,

-SM~


~X~' ~L X JE 'S F <~ X~ ~S~ X "V ~1

LaJaurneedeDemiB AthMHsme

6 h., V~lortrom~ Bun.aJLo (J\euNly). Gtiand Ctm~Njmg' cfpg-aMsë au pnoJlt (les vioMmes de l'EMaftatian pair l'Uniom. AtM&ti-q'uB de Paris. Tous tas mûtNt&uirs ath~tes ajnateurs ~,t pt'ofetssKHNMts Baro!n<'t :mx prises.

Oross-country

Nh., Claim'air't. –.Prix-dés D-ebmtants.' S h. 30, Maisons-Lafntte. Sixiënaf. Cha.m. ptûtmaft <? Pa.nsce l'U.S.F.S.A.

Cyctisme

9-h. '30, Ohoisy-l'e'.R&i. Troisième épTeave du. GTiamid Pa-ix d''0'mvar't.mpe de l.a F.C.A.F. 9 h. 98, BT.M-C&mft.e-'RabarL ElNTni'mt<n."e du Ptramiar Pa.s, orgamise par Ji6 Ctufb Spo<raf'Pa.msmu.

.Ih., Piat.e Muin.tcjpat&. –'PMmie.re re'unMrL ~n. Ctpo'mp~ment d~es Sooi;et.'ës Ml~LtuIrteis Spor-

tu'es.

S .h. 90, Vél(jdTO,m;e .d'H-ifv~r. S&oonde rÉuaolon d'u. Prix. d'.Ou.v~artmre.

Divers

8 h. 30, H&tefL MMianme. Gd'ajjtde fêle or~asatiaee'pair.l'Ujimn: 'V<10fcJ)p~djiqu'& du: Louvre. Escrime

h. 30. Lycée Cacn.ot.. .M.mnifm mensuielle ae la Saci~é d'Esamme à l'Epèë 4e Pa.rts. Fmtat)i&(i)u.D'roit.

"9 th. 30, Ecode Sainte-Marie. EUmitniatcmras ~u jCoMcoutrs de'Sauire!t'i'nftM'S!oalaJre&. Footbatt association

9th.A.rom8i.L Union Sportive de la Sama- <a)Mme (1) -c&Bitpe Ctmb.SparMî d)& Pyg.mali<m

(11. 'c ,,¡

2.h., An*cu<a[I. Oarcte du. Rosajire~ (1) contne J.A. <teMontt).'du.ge.(l).

S tt., Courbevoite. Etoile <le lia. BMUifa.tsa.nce {1) Mm~ePatrGiMbg.eGater (1).

2 h. 30, .La. Ch~paUie.. Etoile tijes Beufx-Ijacs ;!) oomtre Aiasoci.a.t:)0fn. Sportive ;FDainfcaM& (1).. -8 h.-30, SaImt-Cto.ud '(Parc d'e la Fai&ande<tTe). –Stad~. Français (1) c~tt'&.R.afCing-ûLutr dePr!a.nce(l).

B-, Sa.imt-D<mts.– tMorn SpûTt~ve Mûiny– eîetuxe (1) contre ÛM) des Na.geua's <? Patris

(1) h., Pal~an,gis. Spartin~g-Clrnb Fnançaùs (1)

3 h., P&La.D.gis. –'Spartm'g-GIntb Francats (1)

cao))me CaMte A'tMet.Mp~e. de 'VLtry ~1). 3 h., AfUix VaJtMa& –C.hj~.SparM Ga.rûn.MMS (1) comt.r& Association .SpN'tiv~r Pa.risiiea-

tMd). Footbatl rugbY

Footbat! rugby

2 h. 30, VéIOftr&me du Parc des Princes. Etade Fï-ajiçais (1) Mmtre Racing Club de f famée (1). –(Voir rubrique spéciale). 3 heures, Issy-les-Moulineaux. Cercle Ami- cal (1) contM Spo~ing Club Universita.ire de Fï'a<tM:e(l).

3 heures. VersaiIles-Glatigny. Sporting Club de Vafu,giBa.r<l (1) contre Stade Veraait1iMS(l):

Bomtea~ix. Sport Athletitque Bordelais (1) contre Bordeaux Etudiants Club (1).

''Bordeaux. Stad'e Bordelais Université Ctob (1) co~ntre'Army Rugby Union {!). ChMoc-auj'-SaOn.e. Racing-dub ChaJiOnjnais (1) contre .Sarvette Football-Club de GeBÔve.

CogmatC; Stade Rochalais (1) oontre Union Sportive Cognaça.ige (1).

Lyon. F.ootball-Glub de Lyon (J) contre !5ta<de TouJ.&usa.in -(1).

Le Mams. –-Union Sportive du Mans (1) co;ntreVë.toSportChart:'am(l).

Natites. Sta~d'e -Nam.taitS fH contre Stade Poi.te.vtnd).

Matatfon

8 Ït. 30.' Piscine Hébert. Rënnion du ~wiimming Club d'e ParM.

9 heures. Piscine Ledru-R~Ilin. Reunion 0a Rudge Whitworth Sporting Club.

10 heures. Piscine Hébert. Réunion d'à CM) des Na~eucs du XVIÏ<

HO M PEUGEOT Uaimes de Valentigney

&RARtS,CEST

ei 65, av. de ta Bourdonmais, 63 et 6S Téléphone 725-15

~~<M~OM~ ~jFF~M Le gâta tte demain après midi

Trois cent sept couireurs, trois oeTit sepc atMètes rapras~nta.nt la, F. S. A. P. F., la F. G. S.-P. F., l'U. S. F. S. A., la. F. C. A. F. -et l'U. S. S. I. se sont engagés à ~partiteipar à la.magîunqu.e réunion dega.ia' gué i'.UnMm Athlétique de Paru .organise

I~Mirse ~a ï~a~is DU 19 FEVRIER 1910 "1

W~URS ~VALEURSJ~

¡,. ClGtur° cours 1 (clbtur°'COUrs

SS ? 87 iGU 80 iuo 60

.G. os 82 98 Argent.1900 Î~tj go 100 60

0-ef® 4-~pp Argent.1900 ,ip:yâ. 402 ç0

B-deFranc~ t;~ Auh.ic.'4% .~?~ 'O

Bn-deParis °~ But~t- <tn~ S- °0

~Parls 8lk ï: tstû Hulgar.190ï 99 9~ bU'7a

C~~S ëni~i's~ 9. ~7o

~Foncier .8~ p.g.uniCëe t~~

Cr Fonciar tiv6 iaYi Fg. Unit~ée ° 98 9a 25

C.Lyomi~s ~-° Hongr.4:%

Boc-GénÉr Eaux 0 .Ou

BnionPahs ~j Vichy:

y48, d;2 Edison. iJcU 136D ~y

e.yon. Edison. ~"0

Mot~ GazCentral Ccieans Boiéo 8

9IIé4ropolit. v569 ~tiB Escambrer bn° ~.bb8.

Me~ônoUt~ Escombrer' MS M8..

OmniÉns.. 0 Krivot-Rog 9~0 ?0

Ame~bus _;9~ 2g5 brivol-Rog

far-Etectr

SfciinMs ~5S ENBM<QDB

Woitares. à148 5116 <or, a 9i t5

Snez. -'M6 5Hh Argent.4% 9'tt5 !Ttomson;. 844. 8M BrësitS )ûU45 -Bt<Mt5%. 9'°~' 1 4%. '~25 9~20 Extérieure. 96 a' 9d Mextq.5 !{,. 43 90 [taiien33/4 i0t0~ lOii. Lots Turcs 2f?75 ~7 .tapon4%. 9!'45 Batia. 4'iD.. 4.!S 5%. tOn t0 tU6 Car'Goppe' ig3 tSU Bottug. 3% M5 9-~ 66 '5 Cbartered.. 47 23 43 ')j Bass.cons. 95 ?0 95 6~ DeBeersor 486 ..486 –3%'896 ?9 ~0 79 30 EastRand. 134 m –5-%i906 19485 t05 Ferreira. ~77 ;i?!i –4i/2i909 99 50 99 (i0 6oM<iei[)s.. i5;j m Serbe 4%. 86 ? S6 7~ Harpener.. j~f ~40 J; TarcOBiSë 96 12 M M Huanehaça 25 73 Bq- ttexiq. i:?~ U:s Kertch.

Bq'0ttom. 7~0 7i6 Hartmann, ~~g 5~

WontEEpag 368 368.. MS.. 50Z

!aragMee. ~4.23 2~7 5~ .H7

!rhmsk. ~9 ~9'! Kobmson.. o.- o_. Mo--E~ Th~s. 5U iOaMWW i5iS .1525 yHiage. {~

OBUCATtONSA LOTS I

V:t&TM865 Comm.~79 49!5G 49S50

<S69 C'nq-1879 Mx 75 102 ?5 i87t~625/t05. FoDciér!879!J..aO'.).. ~m~} t06.)L.Mb. Comm.t8S03t2..5t3.. '<f.PtnBiS75 ~"Sa FonciériSgS 4S7?5 4S8.. i876 M': ,'& 557 Cinq"" jS8a tOi 5o lut 50 ?92 3~6 Comm. iS9~ 40-. ? 404 '.0 Caaft6t892 9975 t00.. j892 47525)476..

~.Paris<896 3~ 3?6., Foncier}8')54~7t0!48875-

C"artsi<!a6 9S50 99.. Comm.t899 4805ui48u50 V-Paris<8!)8 M~ ~475 Fonciér.!903 50.!a0,50~

Ouartsl888 "4.. iH~OGomm.tSOS :.U930'5t)8..

?~.Pahzi899 420 42(, Foncièri909 27t.: 27) <!nartsi699 H950 i')9CO,Boas.i8S7 ~t\: 7i50 &Parisi804 ''5& 459.50,' Jb'SS 7075 7(~75

!Cinq-"i8M 94T5-i<5M,LptsPaDàm 139.. 13~

tf.Pansi9{)5 402.. 402.. Lots CoDgo 102 7i) ?2..

.Paris1~ 9 15 1 S~ET5,a, o.l U~5 ..16la

Rna)-tsM(~ 97:75 .JSuM&J u'5 t;t5

Manche ptus résistant

Les couTs ne; se, laissent plus a.u9sl aiaéCM'ne entamer et certaines v.a.ieurs manifestent u'n'e tendance à se raffermir. Mais les aKai-res restent très ca.lm.es.

Meilleure tendance de la Rente Française & 98.87. Les Fonds Russes sont indécis. Progrès du Portugais. L'Extérieure est ferme, aAnai qu~e le Tu.TC. Lourdeur du Serbe et du BrésiL

PajTm les banques, le Crédit Lyonnais s~st tggèrament r&le.vé. HésitatMn de la. Bajiquerde Paris. La Banque Ottomane a aéchi. On retrouve la Banque Russo-Chinoise à &es cours antérieurs. Des assemblée's généra.t~s de !a Banoue Russo-Chmoise et de la. Banque du Kord se réumiront, dit~on, dans te-courant, du mois de mars, pour statuer sur le projet de .fusion entre tes deux établissaments. Lourdeur des Chemins de fer français. Les Chemins espagnols se maintiennent. Progrès des Wagons-Lits.

_Tas9Mn.ent des Omnibus.

En v~rbu des décisions priaBs pa.r le 'Eonseitjmunicipa!, le préfet de la SeiM

au pront des m&ndês, pour demain, -aprèsmidi au.-vélodrome Bnnalo.

Pmrmi oes tTois oeait.aept br.a.ves ga.rçons nous trouvons les plus réputés chajnpiMliS le comdté. d'organisation ..a. fait une sélection, U a résarvé les cent vingt meilleurs, c'est dire que nous aurons l'occa.sion unique d'applaudir de m&rveiM'eu&M~ et sincèpes luttes.

Le progr.afinme de os gaJa. a~Métiquie a. été dénn.iitive'meait arrêté comme su,i't 2 h. 30. –Séritas du 250 mètres sc.ra,tch. 2 h. 45. P.re.nN.er 5 kilomètres scra.tch. 3 h. 15. Fin.a.le du 250 mètres Ncra,tch. 3 h. 30. 10 kilomètres acr.a.tch.

4 h. 15. 1,000 mètres scri.tch..

4 h. 30. Deuxième 5 kil. sct'a.tch. 5 heures. --3,000 mètres \'el.f).i)S.

Les sportsme'n pa-risitem-s sauront recom' naître qu'ils ont là. une séri.e d'épreuveH pa.rticuMèremeMt interessa.n.tes ils sa. )r<HT.t égajieme.nft se souvenir qu'il y a "n ce moment des mil Mers et des miUi)e'rs de sinistrés qui .souffrent et comme la réumon. de denna.in est orga.niisée a.u profit de ces maJ'hemreux, tous les sportsmen se fe.ront un 'devoir de venir au vélodrome Buffalo. MEMO.

BOWLÏNT~ÛEMÏ t.A PLUS tUXUBCù'E

INSTAHATM~ DE P-)RM

Deux p!8tea de match de 25 mètres Oeux pistes d'entra!nemen< de *20 m. 50 LEÇONS GRATUITES

Tous tes après.mtd:, de deux à3<x heures 26 bis, rue de Samt-Péterabo'urg

Z~t (~Me~t<Mt C?M ~So:/C?t La gM&rre est <Mc<afee

La C~am6)'e ~Kd'tca!e de~ com~tt'Mc~eMt's d'6[M<omo&t!e& a <enM M!te ~MMto~ Me)' aprés-mtdt ses rep~ë~e~ta?~~ OK,t s?g'ne dë/'t?n(treme?tt {'o?'?'a)t;yemeH~. tn-terce~M atjec {~ C~ambfe ~ca!e de~ tKdMst?~ex aét'o~a~KqMes, pfé~dëe par te t!e'uoMé M. JEsTHtMM-PeHet'te. D'aMtfe pc[T{, $07t p?'ë~ de~t, M. ArMCtttd PeMg'eot, 'uze~f d'ecWï'e M?T.e ~eM~'e à M. ~eaK DMpM; m/MH~-e commerce, 01 rëpo~se a cet!e (!e M. de Dto?t, daMS taqMeHe tt expose c~reme?!~ ta ~tttt<tt!o~ actMeHe.

M. yeaK DMpMt/ est MTt homp~e tfop ~M coMra?t< des choses tm<e?'e~?!.( ?to{?-e corn, merce pOMf Me pas a<!op(Rr -!a Hyme de' eoK~Mtte ~Mt !M?' sem&!era !s pttM yuste et en.Tcrppo't NDec !ex c!?'co~s!a?!.cex. D. C.

SA~CONMEm:RES

Le 31 janvier, sarBfptan HEMRY FARMAM.i dteux nouveaux élevés. Van den Born at Ea- moa, ont tous d'eux battu le .RECORO DU -MOMDE avec passager, par des vols .de près de DEUX HEURES. Ateli.&rs Camp de Chalons. Bureaux 82. Av. de la Grande-Année.

®`l ~'i

L.a seconde réMnion aura !ieu demain ,1 Ij'a,ct.ive dJMctioli du nouveau. Vélodr&me t d'hiver, co-nvie pour dama-m d'ima.nehe, à~ deux heures de l'après-midi, tous Les fer- 'i vemits de bon sp&rt cyciste. Le pTogramme de'c'ette second)e réumion est, d'm.Ueurs,! bien fait pour aa-tisfaLre Les exigences~ d'ea

spotrtamen. -1

Course die. vitesse, co'u.r&e de d'emi-fond; etc., rien.jTfe ma-nque. Les de.mi-fin,a,les du Gra-nd Prix d'Ouverture .nous p~romett-ent de spJt&ndMes I.u!ttes. EI.Les .soin;), composées concune suit

1' deini-f.ifn.a,Ie. Ettegaa.rd,Pouchois, le r&peché demi-fi'naLe. Dupré, Dupuy, P. Didier 3<= demi-fmale. Schilling, M.a.yer, Cornes.

Le programme a été fixé comme suit Couase de primes, Graind Prix d'Ouverture; Repêchage, demi-finaies et finfa-te, Prix des Vieux et le Prix Elbes, course derrière '.imo'tos, avec Nat Butler, Huybrecths et

Sérès. E. D.

I,Sérès. E. D.

.ouvre un nouveau concours pour la concession des omnibus et des tramways municipa.ux. Les demandeurs devront avoir rempli les formalités wëcessa.ires avant le 26 février. Le Métropolitain reste hésitant, de .même que le Nord-Sud. Reprise do la Thomson. Le Rio-TLnto s'est effrité. On retrouve Je Ca.pe Copper et la Tharsts à leurs cours M'MtKnieurs. -Le Platine se relève.

Fe.rnteté de la. B'ria'nsk.

D'ajprès ~a. staftistique ofSci.&lle du comité minier de Kh.ar.kov, il a. été expédié, en 1909, du basNm du.Doaetz, 236.800.0!)0 pouds de minerai de fer, soit 5 0/0 de plus qu'en 1908.

La Sosnovice s'~st relevée.

Le dividende d~-l'exe'T.'cice j9&8-1909 de c'ette société aurait été fixé à M) fr. payaHLe le 25 février. Il avait été distiribu.é 55 n'. pour 'rexercice précédent.

Les Mines de diamant ont Man dëfamdu leurs, positi&na. 11 en '~t de même des Mine.s d''o.r.

eoURSE~Ë~.ONDRES

VALEURS VALEURS

féviie~ févrie févrie= fevrie~

Consol.2i/28tt5/!o Sï./iChartered.. t3/4 )3/4 Eg.Uninëe. t02 )/2 t02~/2! East Raad. 5 9/3ï 5 f/t Russe4%89 94; 9t:/ïFerreira. t4H/3 14~/4 Rio-Tinto.. K)/2 76t/~Goidiietds.. Ci/32!6i/.H

Anaconda.. t0~/is! iOi/S'Modf)erfontt2t5/t6~ït:t(i

Tharsis. 6)/4~ ëi/~RandMines 93/8,'9ii/.C! DeBeeN. 19 t/8,t9 t/8 j Robinson.. t9 tO

SE'mE~ECME~BEP~~i

.Q-, Ctôhu-e Clôture Clôture Clôture la février precÉd. du jour préced; du jour SEIGLES r AVOINE3

Co.tn-a.nt. 1675 1675 1940 1925 M&rs. tT' 'T.. t9M ,50 t925Ma,r&-AvrU. 1715 1685 [950 M 20 4d.eMa.rs. 1750 17 M t940 t9M .4 de Mai. t7-15 1715 t9M i925 t- '-J"" MJ6S · · FARINES-FLEUR

.CoMt'a.h.t. 24 M '24 M 3325 3335 Mars. 2485 '2480 33 t5'- 33"20 =

Afa.rs 4i rl1 25 24 95 33 i5 33 05

Ma,ps-Avfil. 25. 24 M 33 j5 3305

4deMa,rs.25i5 M 15 33.15 33.. 4,ae*Mai. 2525' 2525' M 35 3320 UN COLZA

CouTamt. M 50 7675 M 25 M 25 Mars. 7550 76.. M KO ?50 Mars-Avril. 7625 76.. 6075 M 75 4 de Mai. 76.. 7b50 M.. 6175 ALCOOLS SttCRES

Courant. 49 M 49.. 37 M 3787 Mars. 4975 4950 33~ Maj-s-AyrU. 50.. 4975 '4dé'Majs. 3S25 3825 4 de Mai. 51. 5050 3S50 3862 4de.mj.6rs. 45: '4475 !4d'oet.oltr€ M 73 '.M7K

Avoines. CM.'c.mIa.t.mn.: 5,750 qx. FaiMe. 1 Blés. Cu'cuilMon, 3.500 qx. Sou!tienu. 'Eà.ri.n'6s.–Ci.re).if),at.ion.850qx.Snu~m')t. Alo&ots. Sfàck, 36,~5 pipe& ;c.])rau'laMon, 900 pipes. En. baisse.

Hu.iJ.es de H!n. Stock, 1G.MO <pc c.Lrc'uJation, 1,150 qx. ~.errne.

Hu.ilea de colza. St.oc.!{, 40,100 qx cn"c.T.~a.ti.o'n, 300 qx. ho-ute~u.

S-u.c.res. SM~, l,b49,799 sacs circuLation, .6,500 sacs. Ferms..

Sucres roux, 34, .Ea.f&Ms, C8 50.

POUR ZE CHAMPIONNAT DU MONDE Hitrry LmietVtHie Lewis Combattront, ceso:r, à 10 h. 20

AMCM'gMed6P07'tS

Paris n'a, jamiais été le théât.re d'un verita.-

ble ch&mpion.B~t du monde de boxe. Ce

sera. chose faite tout à l'heure. boxe. Ce

C'est, en effet, &e soir, qu;e Les deux extra.OTddmaires pugilistes Ha/cry et WiJjIie Lewis, vomt, se préseruter sur le ring de la. coquette sa.lle du Cirque de Paris, pour s'y disputer te titr.e d)e chajnpion du monde des welter-weigM.

Deux rudes gai!ta)rd3

Voici à titre docum.ent.a,ire, i'éta.t civil et Les mensurations des deux merveilleux athlètes que nous verrons comba.ttre tout à l'heure

Har?'~ Lewis

Hafrry Lewis (a.Iias Henrv Besterma-n) d'origine i&raéHte, est né à' New-York ~e 16 septembre 1886 il 'est mané et sans enfant. Ses débuts comme professionnel remontent à 1904.

AETR no~

~o~ &UCH1.3 J./&

POMS (enviran.) 66kil J.1,

:Taabe .im.66

Tselle .1 m. 66

ËnveirgruTe. lm.76 Poitrine (auMpas). 95 cent. C<MMtu,T-e T9oejit.

'Bioeps alla-n.ge. 30 cent

!A -J'cp~e. 36e&Tt.t: Avant-bras. 28 cent. -~Cu.isse 49,5 &ant. ;MoUet, 36 cent.

W~HeLeu):~

WiNi.e Lewis est né à New-York le. 21 mai 1884 il est marié et père d'u.n garçom. Ses débuts comme prof€ssmm.e!t remonten.t à 1900..

A~

g5 ans 3/4 :Ta.Mle lm.68 Lnve.rg-nM 1m. 77 Poitrine a'u repos. ge cent Oe.mture 76 cent: Biceps aMonge. 29 5 cent .sp'Ltë. 35'cenft. :A.v~bra.s. 29œn)t. '.Cufisse .50 omit. 'MoHet. 35c<mt.

1 Records incompara&tes

La. P)'e.Me a été la première à publier

les recorda des deux champions nous

les records des deux pions nous

avons signale la particularité de celui d'Harry Lewis qui, sur 123 .matches qu'il a. disputés, n'a ~o'pn.aM e~ë MM. &Koc/c-OM<. Depuis le début de sa carrière, Harry n'a été battu que cinq fois aux points, en tout et pour tout.

Willie Lewis a disputé 109 matches, il a été battu 8 fois 5 par knock-out (Turner, Tipman, Langford et Mellody). Depuis que les Parisiens le connaissent, Willie R'a, jamais trouvé son maître.

Avant ce grand combat nous assisterons à d'autres matchs du plus haut intérêt. Voici d'ailleurs

Le programma de ta soirëe

t. Match &n dix roumds :de 3 mm-utes Jacl: Lewis (An.g'ïais) -60 kilos contre Jamais (Français) 59 ki~ 500.

Match en dix rounds de 3 minfUihes Jach Foy (Anglais) 56 tulos contre d.& Ponthieu (Français) 56 kil: 500

Entr'acte.

3°G<r!and match pouir le ChsmpLon.nat du Mcm~e (welt.&r weig'hts) en 25 roMnds de 3 minutes Hatry Lewis contre WrMi.e Lewis. Leque! de deux sera champion ? Harry Lewis nous arrive avec une réputation d'imbattable c'est le boxeur scientifique, brutal et vite c'est de plus un courageux et un audacieux. Il 'est venu à Paris dans l'unique but d'infliger une écrasante défaite à son vieil adversaire Willie, et vous pouvez être persuadé qu'il fera, ce soir, l'impossible pour s'en débarrasser dès le début du combat.

Mais le malheur pour Harry, c'est que Willie Lewis est inspiré des mêmes intentions il veut à tout prix triompher pour conserver la réputation d'invincible que

LES VtHSMURELS

M~gré la, haus&e consjdérable, nous

avons obtenu des prppriéta.ires adheceajts, de coiTjtinue): !es prix actuels pendamt quetqu.e t'empa.

Le ~0 mar~ p?'o~at?i ~otre TtOMTEaM ~s?'~ ~n<?'e?'a e??, m</MeMr.

Nous eng-ageons donc' nos a-mis à s'app-rovisionnar. s'u.rtou:t. en vins vieux, dont le stock, à la propriété, commence à s'épuîs-er.

V!MSROUCES la, pièce

Hefaut!,n."°recoHe. 65 Fr. Héraut!, côt€s,n"rec.. Tl Minervois, vieux 80 Pcuzoifes, 85 Corbiëres, 90 Corbiëres, su.?.. 95–Bo~deaux-Patus 100 Beaujo!ais. >. 105 Fronsac.~eux. 110 Beaujota's, vieux. 1SO V!NS BLANCS

p:cpou! 85 Fr. Ctaves. 100 Vou~ray. 110 Bordeaux. 135

La pièce de 225 litres environ, franco à domicile Paris, Logement compris. En demi-pièce, moitié des prix, ptus 3 francs.

Pour la banMieue, 1 fr. 50 de Suppïëmenit d)e camionmag'e et les droits de commune.

Les fûts vides seront repris à G fr. la pièce et 5 fr. La. demi-pièce à une prochaine, comma.nde.

Les comma-ndes sont payables comptant-où à ta livraison et devmnt, poufévt6er toute erreuf, ctre adressées: à-M. :PIPET, 144, rue Montma.rt.re~où les ech'aat.'tj.ll&ns sont a. la dispjdsition d'ea.cli.ents. Pouir en recevoir.: franco' à domiGile, adresser 0 fr. 65 en timbres poste.

Pnx courant de toutes les quatt'e~ adresse suf demande.

BUREAU AU JOURNAL

I BOURSE DU HAVRE. <9 FÉVRIER

ÉPOQUES ,COTONS CAFES LAINES POIVRE3 Janvier. 77 M 18350 M' F.É!vrLQr. 9t37 48.. t87.. 50 Mars. 9t50 48.. '!8750 M Avril. 91.. 4775 188.~ 50' `,, .Ma.i. M 75 4775 )88.. 50 Ju.m. 90 M 47 M 188. 50 MItet; 90.. 4725 25 )88 -50 Août. 89 i2 47 M ]88. 50 Septembre.. 88 R2 47 M 18750 M Octets. et 37. 4675 t8650 50 Novembre. 78 62 45 75 t85 50 50 DecembM. 78.. 46 M 18450 M Ten.da.noe. Souten. Ca~me Sotitan. Cadm~ I y~at& 200 ~OOn i25 i.

Pans lui a faite. Willie est le boxeur scientifique par excellence précis, adroit et puissant t'te~ ne ~o.tt rart'ëtef. Deux hommes d'une telle valeur doivent nous fournir le plus beau et impressionnant combat qu'il soit possible de voir. C'est une fortune et c''est leur avenir à chacun qui sont en jeu vous pouvez être persuadés qu'ils sauront les défendre de toutes leurs, forces.

Tous les deux ont suivi un entraînement sévère, et c'est en pleine forme qu'ils vont se présenter dans le ring. Les colonies anglaise et américaine ont.fait de Harry leur favori, alors que'les sportsmen parisiens espèrent que leur idole

WttHe Lewis `

sortira, victorieux de cette compétition mondiale. Nous n'émettrons point de pronostic, nous souhaitons simplement que la bataille soit régulière et que le méilleu triomphe. ZD

Quetques notes à retenir

L'organisation assurée par la Société de Propagation à la Boxe Anglaise et te Wonderland Français sera, comme toujours, irréprochable. Les sportsmen feront bien de prendre bonne note de la communication suivante 1° La soirée commencera, à 8 h. 45 très~ précises

2° Le programme sera mené de façon à ce que le grand match ait lieu très exactement à 10 h. 20 3° En raison de ce qui précède, la séance~ finira au ptus tard quelques minutes avant minuit. SWMO.

ECOLE DE CHAUFFEURS PermM srat-a'MtM poM?- toutes uo~Mf~ Leçons par!<ou)ieres à forfait e! à t'heure LOCATIONS DE VOITURES

POUR EXAMENS ET EXCURSIONS

ECOLE DE L'ETO:LE. Ca.stamé, 15, avenue de la Grande-Armée. Têt. 651-19.

~ë~z-

~S~CMyF~W

F OS.p.p. contre US.F.S.A.

C'est, dfemam après-midi, sur le t&m'a.in de 1A.S.F., 84, avenue de.Pa.ris, à la ChapeMe, que se jouera, le grand match interied&r.al, organisé au profit .des sinistrés de l'm.o.ndati.on). Les équipes pt'enuères de l'Associ.a.tion Sportive Française (U. S. F. S. A.) .et de l'Etoile des Deux-Lacs (F.G.S.P.F.), se trouveront en présence. Cette rencomjtre s'&ra excessivem.ent intéressante, car- les 'deux onze sont actuieHemen)t en tête d~es cha.mpionmats de leurs Fédérations respectives..

A. T.

I

CMM-€VMy 1

'Le Champtormat de Paris

Dans I.e Parc de Maiso.ns-La,f6tte'se dé-~ roulera d~ma.in après-midi une magninque lutte entre les meiMeurs champion~' amateurs d-e l'U. S. F. S.. A. L'oa'ga.nisabon de cette épreuve du Championn.aft Je P.~ris a été assurée par la commission de course à pied .et tous les clubs ont engagé leurs champions.

La victoire se discutera vrai&embla.blùme.nt entre !e S. C. de Vaugirard et le Mêtropoilitaim ce d~rniar doit l'emporter de peu.

Le départ sera donné à 2 h. 30.

SI VOUS DESIREZ DES

CMMSSEms LEGUES, sauSES et d'un PRiX RA!SOM~AELE

Adressez-vous chez

PH!L!PPON et C' 7 et 9, rue de Sabton. vUle. à NemUy-Porte MaiUat.

R U '«SEf ts a ~Ëas''sa~3s9 S!6Hsa~<aaëS TS) f /U RiohetHeu;i)7,P.afnis.

MOTES O'U~ ~~PE~T J Go!)ec4ionTh!ÉS:aut

Voici trois œuvres intéressantes. Elles va.t'ent la peine qu'on. parle de chacune d'elles. M-a.is je m'ete.ndrai plus l&n~ement sufr celle qui re.pt'Ësente le portrait d'Eraam.e, executton dams la manière (le Hans.Hotbein.. Cette toile nous don.ne ta. saisissante image de l'auteur de l' « Eloge de la Folie de celui qu'on a. si tustemient dénomme le Vo.ltaire

-latin". n:

Encapuchonnée. du légendaire béret qui don.ne à la physionomie spirituelle un surcroît d'expression humoristique et môme sarca.stique. ta. têf.e finement dessinée em'&rg'e' d'.une houppalande d'un g'ris un peu.tenre. Ce peu d'éclat da.ns le vêteMient est-il un défaut da l'ëcole allemande cfu XVI° siècle, à laquelle cftte peinture semJjte se rattacher ?.. ou bien, est-ce tout simplement une a-flres&e d') peintre, un moyen cherche p&ur faire ressortir uniquement la physionomie qui, seule, rinteressait? 7

N. ae.ra.it téméraire <jB se ptTO'no.n'c.e! Mais si l'f'.n M som'i.ant qu,e tes meNteuTS

pein~r&s ane.m.a.n.ds de r'.etit& c,poqu.e avalant

un~ra.n.risou.mfle~&aJ.iam'eet'or&I.er.aiûnttla f-na.nMhise a. ta. f)a.MerLe, M eat bten plu)s simple d''i)ma~in.eir qu~'l~e. ST'aiud t-oliem~ que fut Erasme a été pei.n!t talque la nature l'avait mo<le].ë et. tal qu'il lui plaisaiit d'être ha.b:iU,e. Pan'ima les nombreux a.m.i's qu.'uin'e exist.eace €.)''i'a.nit)e précédée de l'a t'ëputation d'u sa.voir <!? l'ori~inaJ'Mê d'&spn'.M n'a pas mamquë de lufi prnmi'rej'. Braam.e comptait dans le peint~e Hntb~in le jeunB un véritable ja.nJssaN-e. Ne t.'a.vait-i] p.as.c.h.a.I~.uQ'eusam.enft iTecommanuo au onan.cetlie! anglais ThomaB M'ore ? 9 Aussi HoJ.bein le consM.M'a,M-il e&nmie un p-ro~.cteuT. 11 l'a r'ein't un peu de toutes les fa.co.ns. Quatre {ois, d'ieenft oarta.ins critiquas. Ma~s d'auita'es cr'itiqu)6s n~e lifmM.e.nt n'as oe .n'&mbrR de. l'ois et ij&ut-êu'e ces de.rnie'rs ontils raison.

.Quoi qu'il en soM, qu'il s'agisse d'Erta.sn'M!. a~fpuye sun' 1& <iie.u Te~me, d'Brasm.e éc.Tj.vaht .ou <Iu simple bu;s-te d'ET'a.sm.e, e'&st bi'en-tour jouFS la même 'noubli.aMe pby&iORomi.e que .le peintre offre à la.'po&te.ru.É. La physionomie du-tableau, dépendant de 1& coHection Thiêbaut, est admirable'.d'expïtission et de vérité. Ma.i&, .je. Je répète, ,les .accessoires sont sans éclat. Est-ce vouJ'u ? A une physiononue anguJeuse et sèche le peintre a-til délibérément rëserve la sécheresse d-e son pinceau?.

X

Avec le second tableau, nous voici tra.nsportésdansuncabaTet.

Quel que soit son auteur, on p.eut dire qu'il exceUe a, composer des scën.es amunees et à leur donner le piquant et la fraîcheur de la réalité o. On songe, .aussjtô.t. aux vieux maîtres hol'Iandais qui mettaient dans leur pein.t.tire tant d;a philonophie souriante, de bonhomie et tant de-justesse dans leB physm-. nomies et tes attitudes. Enan, voici trois paysages, dont un.sous bois Ils se recommandent par leur style 'vigourèuxetplem d'effet.

Ces toiles seront exposées à. l'Hùt~l Drouot une date procha-me que j'indiquerai. LuaENKLOTZ.

N.-B. –J'!?!orme !e~ !ec<eMrs de !<: Presse qMe ~'o?'g'a?t!~e cha<jrMe moM, d t'Hâte! D?'oMo(, f~es ~eK<e~ d'objets d'aî't, etc. E.cper<Me o?'œtut(e pou)' !es !ecteMf~ de ~t Presse. M'ëcrtre au ~ourK~

LES GROS EVJENTS DU BALLON OVALE Ci)) sera MMM ?!)?? Le Stade Français ou )e Racing ? Le plus beau match du calendrier pariSM& de footbatl-rugby se disputera, demain après-midi sur l'immense pelouse du Vélodrome du Parc des Princes, à Auteuil, entre les deux célèbres équipes du Stade Français .et du Racing 'Club de France. L'intérêt de cette passionnante rencontre ne fut jamais aussi grand; dans tous tes clubs, dans tous les centres sportifs, on a, discuté les chances des deux clubs, et rarement les pronostics f'urent aussi partagés. Cela se comprend, car c'est la première fois que les deux quinze fameux se sont préparés avec autant de soins, et l'on peut ajouter qu'ils ont su faire les sacrifices nécessaires pour s'assurer le team champion.

D'ailleurs, par les tableaux suivants, on verra que, des deux côtés, on a fait appel aux mein&urs joueurs-

~acH~-Ctu& (!c f~'cmce

A~nèM:de-War'deMi'.

Trois-quarts a.ile gauche, 'F.a.illio't. centre gauche, Burgun centre dji'&it., 'WaMe ailé (.traite, La ne f~ca.p.).

Demrs.: à la. m~êlëe, Cocfper a. l'ouveftufre, Decamp..

Ava'ruts 1~ ligme, de MaUhmn, Ga~eirmem, Lagrande 3< H.gce, TMicot. BeUang-er -3"-l.i-

gm.e, P~n'e.ns, HousneM, Cruillûmin.'

Remplaçant :Foindèqu.e.

S<a;~e FranpatS

Arrière :J. Combe. 1~'ra72ç~.is

"rrm.s-cnmrts E. LesieuT; Ch.'VaTaiilles, G.

Cha.rpetntte'r.

Ciin.q-h'm.ti&mes R. Du.va!, F. Mofuronval.

Dem~ B. Galichon.. Wm!ger:J..J,iedet.

Ava.nts 5agot, M. Legram (3° ligiM), Ch. Beaujm (c.ap.), R. Paolt, M. Commu~ea.u (~ ]4gne),:N. Re.del&pe.rger, S. Arche. (1~ ligne).. Voilà certes trente athlètes de ppemier~ ordre, et il serait difficile de dire queL est! de ces deux teams celui qui a le plus de, chances à la victoire. Au Ra.cing, on a confiance/et toutes !es unités sont décidées à faire l'impossible' pour battre les stadistes. Ces derniers ont fait de gros, très gros progrès ils nous ont montré, Fautre jour, contre les Gallois, qu'ils avaient acquis l'homogénéité qui, jadis, leur faisait défaut.

La ba.taille sera donc au plus haut degré intéressante, et si aucune défection ne se produit au

S~ade F~'aKMM,

nous croyons que les porteurs des couleurs bleu et rouge ne laisseront pas échapper I.e titre de champion de Paris.

-Le coup d'envoi sera donné à 2 h. 30 .précises.

,7- LHERMIT.

OFnCE~~V!AT!0~ 3, avenue de l'Opéra, 3

Seute maison pouvant monter ttes AËR(~PLANËS EN STOCK. Voisin-Parman.Btériot

'tous types et tous miotëura

Hangars a Juvisy, à Issy, à Mourmaton Concession exc!usive Wotsetey Conce~sto~t excht~ue Odtey-Venddme Accessoires, Asaurainoes, Réparationa, etc. ~tt~t~ ~t~~ ~tO~e~~

Union Vétocipëdique du LcHv~e

Comme noua l'avoms déjà annoncé. rUnion VÉtc-cipédique du Loutre donnera dem.adin soir d~m.anchte, dans les salons de l'Hôtel M~d&r.n.e sa 7° grande fête a.n.nueUe d'hiver..

Les actifs difrig'ea.nts de cette importante société ont temu une fois de. plus &.s-e. si.gn.alet- e.n compo&a'nt un programme des plus .i.n.t.eressan.ts.

Parmi tes' airtistes qui collabore.ront. au succès de cette intéressante soia-ee, nous reIevonB Iss imms.de ]\JHe Laureaoe D.&s. cha.mps, I)a fin.e diseuse du Petit-Ca.sino, et de Mme Robert, de MM. René de

W ,~jj Souiscre,ptions ~rauramA~i~ au cau;ns

t. ~l~~£~a~

J&T?

~t.M

Maition A. BuumCAU!

ZM~ 2i J~e~~i et jours suivants

EXPOSITION SPÉCIALE DE

T~TPTJTTIPTT Y T?'C

JLFil.i~ IjhijJLJbb

(Voir à notre 4'°" page).

T~MT'~ 'Ue Usine à vap'- da.ns

ti'jii~a.iMii'jMvi.Ue Jit.toral Me.{IM<'rranëe j'Mlierche comanand. 25.000 fr. Aff. 5Û.OOO. Val. tmm.euMe et muii'Émel 100.000. Pla.cemt tt Mp.os. Re&omm. Union industries, 82, r.Ha.'u.tervTMe. Afiaire d'o 1"' o~dre. Ou!est. tndjustrie facile orsp-e N11875 t)~ justes, à t'mda.'e Bannie, nets ~uUv pour prix matériel 32,OSO f.Se .r&tire âge .et fortune. Domn;. (xmaaits. B"KÏ!MMt.MaSTMAEm~ Voir à la 4" page l'annonce des GRANDS'MAGASINS DU

-LIVRE

PARIS

~rè~e~mm ~~s

t~~ S

DENTELLE S, F LEURS

ZM j&e//e~ //M%a~o~ B <? P~M FMM M <c~ce/!t~ B

~ar~'v~~s~TE' g

18, Soulevarci <ios Italiens, 18 t<eepe)'te*Novetty"

-là -m>êm'e or nt que

'f:i:J'!1:Jf'ri'i;Jti"?,é;3;:i-¿">)"}", ~le Parle éta

Buxeuil, te poète chansonnier bien connu- Souchon, de l'Opëra-Comique, et Ha.rry Zelbo, dies comcertB de Pairis.

Nul doute qu'-a-vec un tel programme et l'en'tra.i'n que nos a-mifs savent apporter, qu'e ce ne soit un gros succès.

La. soirée début'ara pair un banquet qui au.r.a lieu à sept heufres trës exa.ctemen.t. Le concert au.r.a. lieu à dix heures et uo)e sauterie terminera, la tête.

_s.

S!ZA!RË"iT~UD!M ACENCE DiREOTE DE L'UStME

S12 ter, boulevard Pereire (Porte-MatHotl Tëléphone 589-01..

~~A~ C~iF~~y UtM fameuse bata~ie

L'Ey.sée-Montmartre est devenu l'mn des centres les plus recherchés pour. les bea.ux combats de boxe. Hier encore le publie qui avait répondu à t'a.pp~l de MM. Charles Baur et Hild a. été enchanté de son deplaceme'rbt car nou.3 avons eu de beaux ma.'tches.e.t un combat de.s plus ter'riblûs entre Blinc Mac Clowsk.sy et le nègre Bob Sca.nlon.

Ces deux combattants hors Ugne furent extra;ord].n,a,ire, ma.'heureu.sem.pnt dans 'l'ardeur de la. bataIHe ils oublièrent les .plus ëlementa.n'es règlementB et en vinrent à se porter une série de dan~er~ux eoup~ défendus. Clowskey en fut d'ailleurs victime, et .an dut l'emporter évanoui et trè~ sérieusement blesse. .Voici Les résultats d.e 'la soirée

Rigot (58 lui. 500) bat Pigot (52 kilos) Grégoire (62 ki)) bat Lalaurie '62 kil. 500) Perroud (68 kil.) bat L. Treatsit fG8 kU.~ 'qui abandonne .a.u round.

Bob Scajilon contre Blinck Mac Clowskey, arrête a.u -septième round.

Bob parte involontajr&ment Ln coup de genou dans les parties sexuées de son adversaire qui ronle à terre. L'arbitre ne pron.once aucune décision.

Cha.TletSHitte présent lance un défi Bob.

Swmc.

z~

~DaDs sa d'er.n.Mre scatuoe, ~e com.i)M de I'A.ëro~

Cluib .a fixe a'u 4 ma.rs l'assemMÉe genarale a~

SMse,35,'musl~ra,nço!is-l"

x

Auge, SangnEe'r, Rabel et G.a'uvm oa-~t. gag~e les p.oiuil.'as.d'e ti:' de la (]!E!rnie.re réunion du

'OeTCMi&VoJ.imy.

N'ouMiez pas que c'ast {Kmain qua ~'ûUB trouverez, d.an's I'-4t'ton., t~~as les a.u~tians d;u. jouT M'Ére&sa~t.t'a.e'r.onaMt.iqu.e.

'x:

C'est le 16 ~vri.1. à B'rig'hton, qu'aura iMni le matoh dte foo.tbaJ'I-dsso.siat.Mn France contm

An~leteTre (.F.I.-F.A.L.).

Les oroaam'en 'du, FMg-e Wh)~fà\\orth, qui ooumro.nt ? ChampMMmatt de Paris, d!&vront se tro~var demain., à une hempe, à St-Lazare.

x

M;.Sa)ivau:t, so'ns-aecrôta&ned'E~a.t à la Guert'Et, p.reatdB.ra le i.an.qu~t qu.e l'A.J.S. donnera.

'le 10 mars proolM.'im. X

i!Je 10 mal1S 'pQ'()oba;ia1J. x

..M. Em'Ne.L&u&et }-m-esi.dN-'a., ce sojr, la Hnam..de îêt'e de~a R'N. A., qui a:U!ra lieu à 8 h 45 preciees, à l'a So'rbon'ije.

31 cyoliste.s pa.rUMiparo.nt, damam', ~a.u Gramt Prix d'Ou.v.ea'tur.e ae la F.C.A.F. (~ ûpre'uve.), 50 kil. aur routta, a. ~oiisy

>:

G'-aat ce soir, à 9 'heures, da-ms las salles d)u-

Pafla.is dOrleans, aven'us ~u. Marne, o.uf.a.ura.

]~eu. la fête de l'E.S. du. XIV°. A l'Ecole des m&ncpla.n.s Ha'n.Mo't, a Re.imE.

l6S.-e]eve&.<Hit j:-e.pri:s_tsu)]-_ e'n-tDa.mtenM'.nt. Plu.-

sie'mrs votls on-t été reussiis Mer

X

On dansera d'emam. à J'Hotel Modemp L U:n.i.on ~~lo<;ipediq~]:e. domieM. sa gpam'de fête amimeHe banquet, concert et bal

X:

DeMxmpo'rt.ai~es réunions ce soir a 9 heures 1, rue Samt-Am.broi.se, à l'U A P /9 rue die MeniJm'onjtant, au C.A.P. 7'OtM ?e~ ren~et~Ttemenu concemant « Ea Vie SpO!'«M ). dosent ~<}-e ad~e~j (i tfM. Dame! CoM~tH et Afmand Ma«<M'<L

''Les

MobUi.ars complets

simples, bo,ûcgects

lu.su.e!ux

Les ohj.at.s d'art, les ta-Oinzes

Les marbres

Lesta.Mea.ux

(Le.Maîtres

sont v~Tm'us à moN.ijé de la vale.ur

aux

MaEAStNS GÊNEM~ Sa!S!es de la Rive gauclie Wat-fant'j ~05, <07, t09, n e

BouSe~'ard 8ain4-Germain Tous l~s jo.uTs, nos salles de vente

sont ou.vert.es

de91i.'à6h.

.Nota. Aucune comrelation, aucun liein avec Qert.aM-L&s Maisons de la rive droite annonçant' des Warrants imagjn.a.iMS.

'~?î!~ MA~~T~ P~e local, can-U~!JA jM&aôU.MndeDamvilIe (Bure.). f MAtSpM .canst" briq. et bois, suparf. 6,5CO~ .em)v.; c~s., la.v.erie. aloôve, oh. à. c., buiamd.erte, g'pen..au~dess., co'ur). éc. p. 8 bêtes av. gr.en. au-dessua cv. avec 2 g~mi. a.u~d;esau)S. remise, pu~ts av. po.m!pe, girange, harLg'Qfr, l'ommil. &d }a.r.di:n. enclos attenant. Prix 4,OCO fr. 2° MAtSOM comst~ briq., aupsTf. 14 a. env.; cuis., ch. à c., s. à m., gren.. a.~dess., comr, ba.ng. et. diverses p.tes depantd~; cv., couT, puiits. Jardm a~v. a~l'hpes ftputr,. (Louée 100 tf. jusqu'en -!9~.) Prix. 1,500 .fr. (2994)

S t~f~B 'e Rochec~ouài't, 3

L. LL~tJ~A 3, PARSS. 3

J'Il" PA81S,

MA?~~i~ vendre, pte local. (Eure), à iMAanvH p.r.oxim,. Ev~'eux su'perf; 37 a.. 20 c. emv.; co.nst°° anc. bl'i.cf. et pLen-es comp~ cv., r.-d~-cli., g.~e p. serv. d& cfuJs. et da s. à m., ch. à c., bûcheT, basse-ooMr, eta'bl& à porcs, w.-c., puits et p:ompe. Gd jardin pot. et fruit. Le t'' clos de rmjms et de ha.ies. (3995) PRiX 5,000 francs.

Cours d''eau a.u bou!t. d:u: ja.rdm.

B ?ÏPf!f~Mt 3, rue Rochechcuas't, 3

L. L~HJ~A -PARtS.

Ont te même po!da


MA ~~Y ~~B~ A*~ M i~ j~ &~ ~S'~ ~@'

j~L~A ~L~ ~j~ ~Sa~ ~i~ <fjS~Ja~ ~aN~ ~sEL~EE~ ~sS~ ~SB~ .cE~ ~SsS~ '~&J~g~ ~a~ ~aB~~e& e~M'

Corses à A~te~i!

'DIMANCHE 20 FEVRIER 1910, A DEUX HEURES

MUX ROUBLE. Steeple-cha&e. A v&n dre aiux e<nchë.Ms. 3.000 fr. S.5CO m.

'tTj

Eroprietaires j 1 Cheva.nx ) Origines I Entraîneurs I MoBtes W. Humst. & Mta.tao'u.yé 79 F!LapéaJ 'et MBLe de Lj.mietrjn. PrQpmetaJre Putrides

PBzefr .CA~texaadfrme ?7 C~ajnpœhb~.etM:ayPo~J.Cam.pMl DefGycr

De' Puahesse.. u ajoudy 72 Bafrw'itg' et <J).ou~be'rry' E. Ma.yer Wi~iams

Hu!chwrsse. il C~audy 72 L7au~wva ert Cloud~L~rza~y IL. lila.yar lVmiams

D< VNTajnfe.jOir 5 BiMatz 70 Boudoir et BTihotsa. Dmttton Bour.dia.Is 0. Sm.ets. 4 Rata&a. H. 66 Zmga.TO et F.riot'et'a. L. Robert Haw~H~s

Mataonyé et Alexandrins sont bten charges et Alexandrins ne battajt jeudi que Ludivine. Clondy a. nMN.trë à Pau une exceJlente ferme datis des epr~u,ve.s a.-nhJogues. BiMatz n'a rien fa.it depuis Jo~gt&mps, .mais ses premières

PRtX DU CHËME-CAP!TA!ME. Course die h.a.MS. 4.000 fr. 3.100 mëh'es envir.

G. <M Toufry. 5 Geargût 70 C!hattiiN.(m eft J'u.d;eM~ Lawrence Bertea.ux E Ssrbru.yns. & Auscita.rn. 70 M~uiMnms et l'AIbmque. TJtuau Th'ua.u J. Hen-n.'easy. 6 Comipape in. 66~ .BarMëe et Com'ptfm Mies. G. BatcJi~lor E. Pt-aft R. JuMdamy. 5 CiMampH. U.. 64 Le 8a)manftain. ~t OŒrm'the. CommaJ X. I'. Graissai.5Spg,ré .64 Ijauzttm.ettSë'es. Pjop.riet.aJM SaSf-non .Ci. P.poouMruTS Fjat 64 &0)&potda.T et Fig-utramte. T. StomT A.-V. Chaptn'an.

t&.VsBl-Pica.rd.SBa.N'a.m II.64 Raconteur et Gamme. W. Da,vi.s MacGough-

J! .Rmg'on.at. 5 eayug'a 64 DNti:nfOi.s n at Co.Ionia. Immé ..A. Be'n&on M LMm.a!!Mi.5IMi)CO H.€4 NeversHI et lipM~n~e. E.FIa,tma!n. H.Holt

.MM s'~&t mon. comfptofrte. comtne GiMTaiom'tadjie I[t, pmëc.edan.t Km'g's PjMte, W~sky and. 'So.dia, etc. BaïT&m. n a agu'r~ à. plu'SMu.rs ne". .'pT'Lses an. société ffL'uis r€le~&e. Compère NI et

PR)X DE BttLLAMCOURT. Ste.eple-cha.se. 15.000 fr. 4.200 mètres environ

De Chertsey. a Arainon. 72 Samt .Fru.sqmi)m et AquitaHte L. Robert Hawkl'ns H de .Mmmfm. 6 Eaetma'n. 7(~ 'Ohesterra'eM et M. aH. W. Prop.riëtaJre Gaz~bMilite ''A. V<!tl-PMaTd4 Sea King.69 CMomia'n.at Ssa Cthain~e! W. Da.vi.s G. Pa.rfrem~nt .,P GJJJ'ou. 6 Hcrk]'me)r €7 ItM.n.ots n et Verome.a. E. Duffoua'c A. BenE<m H. (te MMtKhm. 4 ButJ. Amms. 66 Ga~azzo et. H~mipole. E..D'u!ffourc Lo~uf!h L. Dumont. 4 Fou d.e Bamg 66 .Ga.rdtefeu et Ro&e de Bengale Barbier Ba~Mer G.-Dreyîus .4 Sap~ntla. 64~ Sa~nt D.a)mîe:n. et Sagesse. Lawir,e'nce R. Saturât <th. Brossette. 6 Dt.mmajtMm M Saint Da)m6e'n. et Dam~e Jatue E. Du.a'o~rc A.-V. Cthapma~ S.-H. PliUfm. 4 R~tnmer 63 St AB)°ieio et Kiss me QuficJ{. L. Robet-t Hawlmts G. de Ganay.. 4)Mareasaite n 61 WmknaLd's Pf. €)t M.atrttia. n E. D.u.ffoua'c L. Pbti~'fpDe

Aran'Mn et Maroaasite H v.Mamerht de tomtbec'. Ehstman n'a pas mal e~uru. à Ntce, m~ie ~1 ne semNe pas, to-ut~faijs, d'e m&m.6 qufe Rut-t:mid A!iTns, t&na.r a a majiDLeuye forme. Kimm~<r et Feu die Ban'gaJie so'nt. <le TMoan'is vaniqu'eucr's, 'ma.i's on n!e peut J~ apposar à Sea. KMtg', Sa.ip~eMMa .et Domma.tiom,, q~a. pa~raïasent les v'éTitaMes protag'o.nigt.es <j)e oet.t'e apreutve. Sea 'King îa~t sa rentrée ses deux demiares co.urees &onit 'eeaceUfe.nt.es., pua.aq.u.e, dans 'te Pfiax MaïU~omigu-eft., U iijMssa.it to~t pras de Sati-

PRtX KÉRY.M. Comrae de bades. 15.000 fiâmes. 3.800 mètres env.

D€ uh.eTDse.y. 4 i.in!p~u)r 73 La'uzun et Ivresse. L. Robert Hawhins

J. H~jiTiassy. 4 EalimMurt €6 Son O'Mine et BeiHe EtodJe. G. Batchelor E. RraAt C.h.ampM'n. 4 SaijHt Potin. 6~~ Ftta,con et Ijad!y Hum@'ai'ford.. M. P.antaïl R. Sauvai A. Veil-P.MM'd'4 Loris H. 64~'Raclais ~atLiame. W. Da.vi.s G. Pafrfremen~

JR. {ta Riv.a~d. 4 .N'~JbouTTi~ 64~ Lau~um. et MitrabeM'e; Oh. Baillai' La~rbey

~oël Go.b. 4 L'~ Sm].p]..e.tte 63 Samt Dainiien. ût La, SeTin)&. PrOtpMétal.re X A. V&iI-Picard4 Etmcûta.'n.te 60 'IjatUjBun et Bm~rajUd'e. W. Da.vi.s .Mac GomaTi G. Broas&tte. 4 Maurienne ..J60 Le Varet Maun-icette. E. D.u.ffo.urc A.-V. Chapm.an

Bmfputr s'ast ol'assé, Fam dernier, pa,Tm4 les

mc:MJ.e:utL's apêcialie~es de sa. g'éJMia.'at.ifo.n, <t il

'vian~, po'ua' sa. MMiMe, (le pendM f.a.etJ~m'eint

'd'Ux !)Dv.t-es à Kumamoto'. BaH.ncou.rt. & battu,, à 1 Nice, K~mv~jial et Po.fM&'e.'Saint Potin a'en- il,.

!iée, Ku~"we:llia:I:et po,d:oa!Ùe.' Saint Potina 'e;n-

'le\"e l.res Oa~i~emMmt, BMU'dtL, ? Prix de. Pa,asy BUT Rem~~ Ménage, qu& a gagne depuis, GajM

PR)X DE COLOMBELLES. Stûep]c-cha.se. Ham.dic&p. 5.000 fr. 3.800 m..

Laste]!ba..)ac.5Bf.'na.re.?2 GanMeu€tBoyMWatm\Ch.Bam]l.ar Laa-bey

R. (le Mva.uxt.j5 Ro'U!Ziers 70 Lutitn et Rânoume. ReynoMs s La.faM'e

P. GiUou. 6 P'et~<jm'e)r <m IMfmods TI et V~TODAca. E. Duîfouil'c A.-V. Œmpma'n

-A I.eec.h. a Gland Mât. Hors d'Œuvreet CMC. MaM L. de Romajiet Dsteyer ~A.Veil-PMatr~S~uaaHiio~o .ea Otia'iet et BéMngerû. W. Darvis G..Paa'f;r.e)mem't 'Lou'baMaae.à H:ilario.nLn.64~P.aaimi6te et FMdjeg&Bids. Boucher R.. Sauvai

APRÈS.DEMAIN' A PRÈS.DEMA lN

..L.UND~I.. "NDI

2 -Fevrier, 2 1 Février. e~MM~ss~~fs ~S~~E WP~ 'F~~ @~ssM~s;.

lm li'I'iIm

p LUMESP~ PAR-FUMERIE, BROSSER-IE, R IJ 8 S ÉVERITA.ILSO V 0 T T ES ET F 0 "IT[IRES. POI-~ER [1-5- 0E

QMWfî!~ M TC ~~R

of&ui&uL~~ Mm

Opéra, S h. La Vafl.kyirie.

Comédie Française, 8 h. 1/2. Sire.

Opéra-Comique, 8 h. La. Remiie Fiaimstte. Odéon, 8 h. 1/2. Antar.'

Gymnase, 9 h. La Rampe.

Caite-Lyrique, 7 h. 3/4. –L'AdMoa.iM'.

Vaudeviite, 9 h. La Barricade.

nouveautés, 3 h. 3/4. Noblesse oblige, Variétés, 8 h. 1~. Le Ruticon, Petites Femme.s.. Renaissaiice, 8 h. 3/4. La. Petite Cbooola.ti&ra. Théâtre Sarah Bernhardt, 8 h. 1/2. La Dame aux Camélias.

Porte-Saint-Martin, S h. 1/2. Chanftecler. Théâtre Antoine, 8 h. 1/3. L'Ange GardiMi. Le Monsieur au Camélia.

Châtelet, 8 h. 1/2. L'Hojmne a. Deux Têtes~ Athénée, 8 h. 1/2.. Le Danseur in&onn.u, La BoniM Ecole.

Théâtre Réjaner8 8 h. 1/2. Raffles.

Bouffes-Parisiens; 8 h. 3/4.~Gaby,Son Auteur.

ambigu, s h. 1/2. Nick Carter.

~atais-Royat, 8 h. 3/4. L'EpTouvette."

fThëâtre Apotto, 8 h. 3/4. La. Veu.ve ~yeuae.

Maison Aristide BOUCICALJT. PAR.I& PARIS

EXPOSITION SPECIALE 'DE n ,P!eur8, Piumès, .Rubans,.TuH~ soie < .e~cep~b~/?e//e$ 'J~ -Che nuses,

tentatives étaient satisi'aisamtes. Rataila 11 n'a pas mia~ co~uTU jeudi derrière WhHc Hart, Constambi'ne III et P.astia.

Je désirerai

Ratafia U~tCioudy. Il

.Oh.amfpnëufry II 'n.'ont pas mal eouT.u. en Bn de 'saison., en boDD.e soci.été. Ausctt∈a. su.ccaifn- bé, en stMple, contre SetritEMEe.

Je. dtesig'nerai CompÈre Hi et Bairam )t.

meMa et d€ Di.a.'d'oq~&, 'd~vMit PrinmuT Ut!, E&stim~am., .etc..Dams le Priix G'eorg.es-Brmq'uaYit, Sa.pi'e'n;t])a. l'avait, il eet. vma,i, ba.t.tu 6'[i en. recevant quatorze Jdvt'es. Mardi, Saptemt.ia a pfoMwe sa boim& torme. en. c.n~&va.ift le Pnnx B<M]@'M sur S'ati.niett'te, Stokee, La M.etrvediihe, <fi)o. Domfm~tion a. t)iB!T: co.ua'u. en. baMe, puis en steefpt~, à Pau, .som p&Ms est trës Ia.vora-

M~.

.Te. diesigtiemi

Sapientia et Domination.

Comba, Lorjs 11. M~Hbourne et Mauri'anne o'nt m'outre sensiM~fm.'einit la, même fofrm.e, dej-rieTe Roiteil&t IV, m'ajs ATeiH)om'n:e a l'avantage d avojfr (ï~jà bien. cour~ a. Au.teuM. En rësutn~ la lu.tto davraM. se passer entpe Impuf &t Saif[i,t PaM-n,. Je! dteaigTiej'ai

Saint Potin e!C tmpur.

Fûties-Dramatiques, 8 M. l/S. Un Homma de Glace, Le Truc de NjicoJa.s.. Trianott-t.yfique, 8'h. 1/2., La. FUJe de Mfme Angot.

ChSteàu-d'Eau (nouveau thea.tre), 61, rue du Cha.team-d'Ea.'u, t&L. 439-05.– La Petite Mariée (Lucien. Noël).

Théâtre Ctuny, 8 h. 1/3. Un. Mariage Gourdes, Joseph et Joséphine.

Théâtre Mondain. Le Bais&r Neu, L'Homme aux tr&jze cachets. Les Visions de Salammbô, avec Mlle Isis, La Revue Libertjne.

Thëatt-e du Grand Cuigno! (Tél. 22S 34), 9 h. Horrible Expérience, L'Ami des Deux, Le Hangar de la rue Vicq-d'Azir, La Halte, Ma. dajne Au.relie.

Ba.Ta-Ctan. ChaNt.eclai'r, pièce Mroï-comti.q. à graind speot. Jean RhiDe, ClaLre B., Dûfort, Ramba-ult, etc.

Théâtre des Arts, 8 h. 1/4. L'Aiglon.' Dëjazet, s h. 1/2. Le Papa du Régiment. Un joli Cadeau.

Petit-Th~âire, 8 h. 3/4. L'On~nsee, Chacun &on to.ur.

Theâtfe Moitere, 8 h. 1/2. La Fe'mme otTë Masque. –Quamdrajno'UT voyage. Cojiséq~Lence.

Théâltre Poputaire (8, ru.e de Be]J;e.viJle), 8 h. 1/2. Les Truands.

~Théâtre MontiTtaft''e,_S h. 1/4. La. Légion étrangère.

Theâtfe Monoey, 8 h. 1/4: La Tour de. Neslee.

~~F~M- A ~F~F jCM~

Tropi'i~ires I Chevsss Origines I EntraiBeurs MoRtes

~-H. Ptu)m,5!K-!m!nM.T .M StAn.s'.e.I'oûtKJssin.e.Qu&ck.L.Rc'beft tHawKms

G L.e Go.m~&c.,4 PrNn&ur HJ.. 64 C!a!m!aTt <'t Bon.n.e No'u.ve.Ufe. J. M'o~a'nd A.'Be'n~soïl

E. Thiëba.ux.. G F Mi0.ue.he M '63 CMM'w]c]< &t Fa.ir Qu€'e.n. P. Wood~and F. H.airdy Plizer Alexa.ud'rm.e )63 Ohamp.au~M. et May Pôle. J.'C'ampb'ell tL&œv.elier

Bon&re aM'ait Men .a.u mTomBn.t d'e sa, c[hMt-e, da~s le Grand Prjx d!e Pau, gag.n.ë pMT .RcmzieT's suf KiTum~r cifte a battu., e~n fin d'& aatiso'.n., Au)i'eaJ&, Sauv~ua', HiJ&'rion H, Her'kJmeff. Hi!o)Mom II M.n.eftcie de tMx-n~uj' livres sur cisMe dte'rn.iere j~en'c'on.ta'e 'e't vi'e.'nt de très bion.

PRtX RESRUtT- Course de hâtes. Handican. 5.000 fr. 3.100 met.res env.

E. ThMbauK.. 5)M. Mon.c,siy.rj67A Ett.&u&~d nj etGrey Da\v!i H P. Woodiaiid F. Ha.t'dy

CTtatmnioT) 5 La 'M'e.rveil4s 37 VinM'ruB et 1-a. MOiU'c'he. M. Pa.ntaU R. Saiuva'1

<ï]. B~o'sset.t~. 4 P,f.!Ht!eMes ë~'St Damien et Bc:n.ne &i. B~ti'lû E.D'utK<]'u.rc A'V. C.ha~ma.Ti

A Veil-Picard.tIoris II.6MRabalais&t Liane. W. Davis G.Pa'T'frem~Tit Mme Ri.co!tt.i:. 5 Mlle A.min.te. 62 !L.a'uzu'n ot Msts Toi Là. E. Du~Ho.urc A. Bamso'n

'A. Veil-PicaTd. 5 Eau'a.ui 1.1. 61 Racon)t,em' et G.Htmmta. W. Davis Mac Gough

De la Po.rt~ a Gibic.h.un~6{)?,PoiImis~e.s.tW~a.T.'e. Ed. Haës Dafer~ar CJi. Lie'naT!t.)6 A'Uog.ro IL. 60 Sa.in.t Damien et A~utU'i.eit~ R Ru'ddock A. CaT-ter

Mofnsi-erufr Moneatyr fait &a 'ne.nt.rée. La. M&r-

\ied!It'!)e a b~ejt &g'm'ë, d~ns Pmx E&ugJ'e, co!n-

't)M Sapi~nMa, Sa.t.me.tte et Stokes., d'avamt Baït'aQi n et Bo'n.neM.es. Loris II 't~mnanait M~n. ~eN'iie.re Saint Po.tm, Remus M'etiage et CaiN

MnM~'nr~ HP PRF~~F `

rnUKUMSt~o ME LH rnt.u'jï.

Le~cchey (sélection de Vi~JanU i

Pmx-d'u..C)h.ën'e.-Ca.pMa.Dne. Batfa'm.IJ', FMt.

Pm'x.d~ BiHa.ncouft't. Ss~tCt~ta, Do?)MMMOK.

Prix KM'ym'. /?H.ptt?', Sat~ PoHK. P!nx d)e Co!OtYit)!Edit!e!S. Pt'tmeu)' H7, Quast-

motto. <.

Pm.x R~TTJlt-II. Gt!)tChMHS', Ma(:e}HOtSe~e ~.??HH!e.

Spécial~mmt a AUTEU)L, le jouimal CHAM-.TtLLY-MAtSONS- a domn'é TOUS LES CACMAMTS. En vsntte partofut 0.20 e. )e Mumero. L. FOr~ME:

Les en.traîtieu!i*s et jockeys qui pQ.ra.iesèltt tenir leur meilleure forme sont, pour les pfemiers Lawrence et M. Pantait pour l.e.s seconds R. Sauva! et eefeyer. DEMAtM DtMAMOHE

d~ans tous les Kio&q.u!es, LiLiraMies, Mds de journ.au.x, demi'a~d.&z

ma %olytsll) râla LE JOURNAL DES GROSSES COTES Le p~is po.p'ula.ire et le plus sérieux dies jo'ui'na'u'x de D€!rnMT'& Hecjrêt, et le s~ul qua. .ait fait oibtemir, l'an!n..ee tiemiaret,

U~ RMpfcp~ 8Mf

MS! MG!i~!KMC Me B 6,G~-t

ein jouant .untquem.emt ses pronostics en pl'emT:e!t', c'est-àdi~e un seu) cheva! par course. Je'u.dii d'armief, c'étai~nit emjcore

ALEXANOR!ME 1~, 20 fr.; PiLLARD 1", 34 f.; GRAND MAT 73 fr.; REMUE MENACE 1",26ff.

To'us les di'man<:ti.es, en ven~e pactout, 25 ee'nt. En semaine, sejrvMe desabOMnes s&ulement Abonnement, un. an, 80 fr., payables 50 fr. à ta sousofiption et 30 fr. 3 m.o.is a.pre.s. On s'abonne bUTeaM. du joMji'na.l '!8, r. PigaHe.

S8NSERTS ET SPECTACLES OVERS POLfES-BERQERE (Tel. 102-59).– Mis~. Camp. a' ton, CJau.di.us. <' La Revue de.s Folies-Bergére D, 31 tableaux, de MM. P.-L. Fiers et Eug. Héros, Maurel, Beatic and !3abs, Chevaliûr, 'Pouga.ud at, Jane Marnac.

ttARRASFORO'S ALHAMERA (Tél. 900-10~, M 8 h. l/'2: MaTviMû, dans le Bu.re&u :iulm. ..Revue Express-de_ MM..P.-L. Fiers et Eu.g'&ji'e Héros. R&pro'dM.otjon's d'œuvres d'aï-t. de Mme He'n.riefte. de Serris, LaIIa Scibl.m, ChariK~r, etc., .etc.

OCALA, 13, boul. do Strasbourg .Direction tjFursy. Te~435-S8). La Revue (Moi-ton. Edmée Favani~lice de T~Ndeir, Panle Morly, Ma.ry Perret, Carpentier, Robert Casa, Eu.géMio, Ri.vers).

t-VM~A (Téit. 24~68). Mlle Po!aire, dans U .< Le Visiteur ;)', pièce nouvelle, avec M. Baud, Mlle Dina~rd. Léonora, dans '< l'Enlëvem.ent de Psyché s, 3 taM., 60 danseuses. Ludwila, SchoD.ar et Georg-es KJahscht. Croum: nAn'sTAKA (Teir:~56~0). Dutard. L'Em. B peMur s'amuse opérette Ferna'n.d Frey. Mary-H.etf, Jajie Orvan, La Vampa, Gaby Montai, Lerie, la belle Zerka.

MOUHN.ROUSE 'Tel. 503-63). La .< Revua iM AnT)Oureuae ;), 32 ta.M'-3aux. Lma Ruby. Esmée, Saidrûau, Dutard, Ferreal, Nerval.' LEbRRQO~f'Tcl. -H24~ Ô'lMr~"Ca'ro~ & li'ne a,' r&vu!e, 3 a., 8 lab. Sulbac Montel, Bach,' Georg'e.1, Mmes Lucy Murger,' Sav&Ili. G. Lange. Da.nses par LiMy M.ui-get': PartM de .concert Fauvette, d'Aulnay..

stMBU~s'i~sxESBaB's~ssE~f~Bsa.jiiMaatMt.s~~

coM'Js' eat~'e GM'Td. Mat et. Quasimo~o. lUm.injei' <;<. AJ.&xa~t1irinc om. r&nipoa'M d~ au.cc.ës sami's gTam~ sig'niHc.a.tio.n. Pi'~m~ur HI n'a pas maJ. eo~a'u, ieu.dJ., et p&ut pu.r!iit,rs uji psu décMss.'eo. Je d~sl~neriai

P~imeMi" !i! et Hii~ion )).

Gamba. Gibictumg- et Ma.demo'r&EMe Ammte OT)jt très Mejiûgure, jeudi, eot'ht.reR.ern u~&M'ei~ag'e. La part.i.e s'annonce tr&s ssrrea €in~Te La, M'erveiMie, Ma.demMse~e Amjm'tie ût GiMch'ung'. Je désig'nemi Cibichung et Mt!e Aminte.

tNCROYAELE, MA!S VER)S!QUE Jouer tes gagnants!

E!!tti'Kef!es perdants!

l' OM.e.njre'n.2a.ne,àmi.seég'aled&.50& UnBpnpf~p'~ntH! dp 3~

~f!t ~i'CttCttUu tUms uu ~J~~tt

prouve d'une façon, absolue' la' vMa.li)té. de la.

Mnthn~n ~t~ïTDT~

MëtM~ M

qm procuM à. tous.le moyen d'EUMtMER t-ES PERDANTS, sur n'impopt'e quei jeu'aux courses, même &u<r les Pr.ono&tics des jou'rnafu'x de sport ou politiques, en ne jouant QU'UN SEUL GHEVAL PAR COURSE.

U)t &ea;M t)o!.Mme de 200 pa~e~. P~a; MO /?'. S~AM~ÊE .DE SUCCÈS Mardi i5'f.è~tr~e~pour sun débutt

CLA)REFOMTA!NE 1~, 59 fr. TROYEM 1~, 23 fr.; SAPtEMTtA T', M fr; SA)MT POT!M ~53f. MeTC.rsdiie~e'v.riea'iâV.imeen.Ms:

H)DDEN TEARS 0 fr.; FUR)E 1~ 32 fr.; CUTTEAZ 8ARKHA fr.

Jeu)d!i. 17 févrj.efr, à Auteudi

GRAND MAT 1~, 73 îr. (1 perdu). Pour p!!us amples déiaUs, demajider f'ascic'uJs, coiTtenaDt l'es extraits de la mé'ttM<t& et les rés'ult.ata drailles d~ l'amnee de.ntietpe.' Eii'voi gratis. Librairie Centrafe, 17, rue Sa~ntMarc, Paris.

~E.J'O~R

M. C. Forcmal a. été mie à l'.a.me.n~e de 250 trames, et les jockeys Libert et Dufcut', à ramtemie de 100 francs, pour désobé.iss.amce aux o.rdrss d~ sta.rt.er dams le prixLéda.. Je dtem,. associé a.v. 300 & Mst. cci m.. Je gar. 10 fr. p. jaur. Eor. TaL~b.. d.e po.gt!& 12.1, bur. 90. Ouy Bill et Pouilly ont quitté l'étaMis.se-~ ment de Scocoard pour a.Her en A]!ema.gn-e.

!~KB6~ËBa<SSS~S~!3BES~S!XSEa!B3.i~BC~c='t~*c-~

BO!TE A FURSV, 5S, rue Pigalle (Tél. 235-10). ? 9 h. 1/2. Fursy, J. Moy, Mëvisto ainjé, Rog'ar FcrreoI, Jeanne Aylac, E. WoM, Tournayre. Revue.: Dermmy. Magdy. Dupeyro.n, Detre.THM!. g&E'c SHAMTE (T&L S25-67);159, rue ËJ Mon'tma.r'f.re. Charles FaUot, dia. Mlle G.

Delmares, M. SteUv. H. Routchme, MM. Milo

de Mev'eT, Bastia, G. S'ec-petan, ~V. Tairault, MD..s CÉcile Gilbert, etc. R'avTie.

~UAT'Z-ARTS (62, bouletdeClictiy. 547-39). Hyspa, ?.Iontoya. Julio.. Luca.s, Dom-mus, De Bercv, Man.e.seau, HeJiot.Qu.el g'énM Fhryne, La. Marche à l'Etoile. La Chaîne d'Am.&u.r, Clair (le Lune dans l'Oa.sis. BES~'TGST't~~SU'Css"~?, ru.e ChamiMilM~, '6J Quarti~Latm'. Tûlëph. 8x9-~3), 9 h. Eug.eme Buffet, Luey DerëymoM, Maj-c&I L'eg~,y, Jean Battaille, M&rall, M&:n.i'ni. Lucyo, Ru,ol.–« pBl'i.s-Noctamb'u~es nouvelle ravu~ de Battaille. et DeyTmo'n.

SE'~ARÏrt.'0'M~307'T3d BomM-Nouvelle, T.s.1. ËJ 281-50), 9 h. –'Les chansonniers Xavier Privas, Victor Tou,i'ta], Joseph Lei'oux, Jean Meudrot, Raoul Dorval. A. d.ix heiUKR trois quarts Les Pati.ns de PaTis revue 'nouvelle de Vittor Tourtal et Jose.ph Lero.ux, i'n~.i'pretëe par MUes Nina. Myra.I et Eza Berre, par MM. Léon Berton, D~phin,et les deux .a'ute~.rs. A .11 h. 1/3, « las C.M''illon's Gn'Is' D~t. et fêtes, à '2 h. 1/'2, m.Mi~ee'.avec le. mëime spectacle. ? À CIGALE (40%CO~. Relâche pour tra.~au~' 9j Procliai'i.enic'n.t re&u.ve.rture. B){)B!MO, 30, rue de la Gaîte. Tous ]GS soirs, i? I~ucetie à la Casarne')', deux actes, et quatre tableaux de Daniel Hiche et M. MarcU. ~E!~EE!SSSSSS~EaESaST~~n'=tSE~SEa'~e!BSEa!

V-INGENNES

Les sportarMn, bien ~ruift'a.înés. gra.'ce'au~ m'eetinn~ d~hivër. sont 'emuse~tccme'nombMUK, et oe~t.e r'e'ain;Mn de tro.t.ting a obtenu un bon succès. Le ternes était mo'i.ns ag'MaMe que c~s ~eirnis~s jo~ua's <'t n~uë avons eu. quelques averses. Le 'tefrram. 'estait' lou'rd..

RESULTATS

PRIX MICHE~ET

(AU TROT MO'nË)

2,0&0 francs. Distance 3,400 mëtMS. 1. Glanetir, a. M. E. LeplâtiMe (Braus). 2. Ga.rde'n'i~ (D&scha.m.ps), 3. Gcg.ma G-og

(Se~!tLET').

!\o,n pl~cos La GhartMu.se (VîMt), Garnis; (P.aKi), GmLta.ne M~iivi&r'), Ga.z~Me IJ (Caa'ueM,

(jazeli~s (Mayc'r') (Ë.e.iv.e~), Hasa&na (Ne!V'c~UK),

Gab.i-ie~e (Beltsmo~), GaS~no.. (.Ri)be):'t), G'.dëc

Blaac.he.fM. de Wazieres), Gaz~le (Bu'i'rn)

(A. D.a.'vid).

PRIX MAMBRINO

(AU TROT AirSLË)

2,OM fra.ncs. Distance 2,800 mètres. 1. Favori, à M. P. BuHard (Pajm). 2. Fleur de Mai (P. Daul)i.clM!n). 3. Fa-ëna. (J. Mé(juig'n.offi). Nofn pla.œs Femùia (La.b&t.ut), Fra.ncesca (Po'ey), Gentiane (L. Le'conJs.e), Fétiche (S~ monard), Fmance (L. J.oMet). Géinët'0 (M. L. 'Forc'mal), -Flèche (Ca.iTé),FeMTe. (Mast). PRIX LEDA

(AU TROT MONTE)

3,000 franeg. Distance 2,800 m<M)rës. 1. GeTmItrmL.à M. Th. LaHouet (L. PoUier).–2. V~ndMta (Bouffard). 3. F~uitMe dte iM~re (E. Pioaind!)..

Non! places Fredaine (LibeeTt), Gyps!\a (Ed'. James), FTMdï'and (Lesa!u~nM<r), Moj.sqT.mtaire (Neveux), Fal'ot (M. C. de Wazi&re&), Foret. Auwad (P. DaubialMn), &aMt& (L. Duj'ou)r), Gâta (M. C. FoiKcmia,]i), Fée d<6 Bruyer'es

(Paarn), Fontema.y G (J. DelamaM) T.routha.dcul'

~Denis), ponte,lnay G (J. >

(Detlis)..

PRIX DE MAYENNE

(AU TROT ATTELE)

3,000 ira~cs. Dista.n.&e 8,500 mettras. 1. GtraM~a., à M.. Vaf'eux (Viftet). 2. Gavotft.e (A. James). 3. ~amin. (M. L. Hemar.d). Non; p0ia.ces GaKe (Ed. Ja]-Me&), G&i'Mn. (tM'l&'nd)~ Gladiateur (J. Méquigncm), G'Ia.n'viMe

(Pa.m).

PRIX DE MAISONS-LAFFITTE

(AU TROT MONTE)

5,0&0 tranc.s. Distance 2,800 mètres. '1. Fd'&ur ~e Sûi'polet, à M.me' veu.ve A. Forc.ihal (LauTeint). 3.' Fort.Utni'o (G. Jam!es).

3. Fûmic'ae (Pica.rd.).'

Non placés: FNbom'g (Ed). James), Fra&cati (Me):ivii&r), FJ~nr .d'Epme (P. Daui)ic'JMn). PRIX DU PLATEAU

(AU TROT ATTELE.)

4,000 francs. Distance 2,800 mebMS. T.. FI.OTëmcia, à M. W.-A. Och'hOT~.t (M. Ockihoirs.t): 2. Etaurdï'. (Cajire). '3. 'Fa.uv~Ma

-(Bemi~rd).

.Nom piDaoe.s DaFi'ue'tal (Viiet), Andaises (Riibert), Entraînante (Simonard), Ei.yE'ë'e (EDgënte), Etan~daj'.d (M. I. H'ëmajrA)..

PRIX DE LA VARENNE 1

(AU TROT' ATTELÉ)

3,000 francs. DtstaMC~ 3,000 mètres.. .Partanis Estry (Ch. Bass~gny), FaJnicuth (M. DefOinta.i.n.e), Eaux Fuyant (L. Leconte), EctM-(M. Ockliorst), Flacon (J. Mequignon.), Fo'ugere Royale (Latron), Fabien (Ed. James), Faufville (A.Lemoane).

ftAtTË ROCHESHOUART (Tal. 40653). La ) U revue de l'A. R. 0. Chcchouart, de MM. Valentm Tarrault et Ch. Abadio. Matinées ditnanches et fête's..

QËP'NiÈRE (Tél.-807-87). Partie-Conc.e~-t t Geoo.'ges Roger, Gavroch.in'ette, Emma Siehel. Marrus R~ybas, Tonys et Tonys&tte; imita.ta'jK's. La Chance e!Auguste comedj'e e.n 2 .act~s.

E/ U 3 S A a !.TMUSS'S HALL-CONCERT, '7, avemia

15 de 'ClicKy. (PI&ce CUchy), S 1/3. Speatâ. c!e varie. De 4 h.jt.4 à 6 h. 1/4. AperSî-Goncart 1MCUVEAU-C'RQUE,"8"~ri/2. Attractions t~ diver&es. A 10. h: t/2, « La Chasse au Cerf grande pantomime équestre et nautique. Mercredis., jeudis, dunanehes et fêtes, mntme&s à S h. 1/2.

MAL TAEAR~M (Tél. 267-92). Tous les sours ? « Thé Ei~ht Beauties célèbres da.'n.seu.ses anglaises. QuadriHes excent'riqu<'&. Bowling. Tous les. jours, a.pariti.f-co~ic.ë~rt de 5 à 7 heures.

~i.YSEE-MGHTMARTRS. Ba!. p&t)a3.g~ Ot

ij Bowlmg, l~s mardis, jeudis, samedis. Di- ¡. mAneites et fë'.es à 9 ~matinée de 5 h. 1/3 7 h. 1/2 Ap&rltu-~aJ à grand orchsstrs. entrée libre à 8 u. 1/2. ~r&nde fête dan.&sLa.to. MOUL!M DE LA GALETTE. –'BAL ma.rdi. iM j6).].<li, Samedi et Diman'che. MaUnéos d~ ma-uches et fëte&, à 2 h. Tous l&s'dimaj'iches, de 5 h. ]/2 à 7 h. 1' Apéritif-Bal. H. Mabille. chef d'orchestre.

5 UKA-PARK (Porte'MaiRot). Skating Rinh. jL 3 séances tous les jours. De 10 h. 1/2 à midi, i de 2 h: .1/2 à 6 h. 1/2 et de S h. 1/2 à m.HHit!. i Brillant orchestre. Entrée _1 îranc. ;Ë~I~Sf~SS~~H~TKS-~sa'S33N!~J?~2~ES~

RésmtàtsdaPartMùtue!

'j-git. !pes.)P.el.

Co~tTSeS) NOMS BES CHEVAUX des Unité )Untt&

NOMS DES CHEVAUX chcy.!Mfr.)5fr. Gla.n)eur.Ga~fi. 350 .125

lr.c. P!&M. 47 50 27..

13 pa.r.t. Ga.Td.eMa, P]a.eé. ifi 50 9 50

Gc~ mia.Go.g.)Ptace.!tC050 M 50

Favori. &a.m. 33..)i950L

2°c. PLacc. i450 8.. .11 part. Fleur do Mia:t. Place. 53 M 3G5& Fa &ria.PlaM. 16_50J8_5&

Gc-rmuMit. G.am.~ 38.. 1-4..

3"c. f Fla<-e. t850 7.. 14 part. VamIoM.a. r-laM. ?.. t25Û _FGU!~fe de LM~TO. PJ!ic6. 23, t350

G~aMa. Ga,?n. "'34 B. t5~

4°c. .Place. t5.. '9~

7 part. GavoM.e. Place. <9.. t7.. 7 PIa,ee.

FJ.. ~a Set-polet (ec Gag-ii. *22 10 50

Fd: >L~e Sen~poLei (c~u,Gah i:) 22 I 10 50

5°c. .Place. i750 8.. 6 p&Tt.Fofrtunio.Ptâr~. 2850 1450 PIaee,

Floir'aucia. Gam. M.. 43 M

8 part.Eto'm'd.i-LaM. ]550 8..

8 part Et.o~urdi I`lacé. 15 50 8

Pa.'pivëtte. Place. 6 M

Faimo~h: Ga~N. :!t5U 1.45)

7''c, pl~M. )5.. 7.

8 part. FabienJ. placé. tS 50 .9 Ëairy. place. M 50 12..

tO'aj:MA.~a.

'%?' BtABB~~E MtJEUX

em~a.~ S -16. M Po:ssonniëre,:16

Mêmp maison 2, faubours~o'ssonh!ere. FmTism'M SMMNN etTrc~!ngSpcr~réMR!S est en vente chaque jour de courses, dans tes KiosquËsetLihMSries.

Adnmidai)t'atî!0'n 94, Bd des-Ba~gnottee, Paris. E<Mfîe par orfh'e a!p/K:&ë!tq'MC f!es chefaH.? <!e deti. ans ~Mt <!e6Mteron< ceMe anKëe. Lettre A.

Dimanche cternAar, LE TROTTtMG .Miq'uajt Fi'ascat!t''r~ -t26tr..)) n

~ve:6'1" SSfr.SO

GarirSo~l~ 98ft'.50

M ~m~. m~s~ ~im

REGNER, 4, RUE DES CAPUONES 'paye cher Bijoux, Diamants, Pertes, Automot)its9, recoLn.na.LSsanoes du. M<mt-d~Pi~t&.100 0/0 et plus, las dégage sans trais, mëiHé Chez des tiers. TÉMphonû ?0-35. Embrea&I. C~@.~d~j@~ ~es.Ceupse~ FEVRIER- Dimanche 20. Au- Jeudi. M. Auteuil. teuU: Pau (Trot- Cannes.

ting-Club). Vend~redi 25. Vm' Lundi 21. Vmc.en. cemiesttrot). nés (mixt~.s). Dimancha 27. Au- ~tereredj 23. ViN" t<.HiI. Caimes. Mnn.es (trot). Lundi 28.. Vmc~nMe .(mixtes).. La PRES5E"a~<in.ce ja?HaM .heM?'e de ~o?t t!~c[~e aux' dspems de ~cs m/'ofma~MtM.

a.f'L~ ':Y~°'ii~='

C;KAT:HS PALACE, 66-70, rue d'Amsterdam. i~,

t3 3 séances par jour 10 n. 30'matm, 3 h. et' 8~ h. 30 soi.r. Entrée matin, 3 ï. M sou', If. 50. mULLJEH.KGUVEAU. –-Jeudi,' sam~i'et'diM manche sou'. Bal. Skatmg Ri~ik, le matifn~ l'après-'m.idi et le soir, s~ul' les.soirs de bal.

"GRANDS MSi'&~E')f'CONCERT ET"~

MAGA&~S M à' &h CtNEMATO&RAPH& to~l5J.. jours, de 2 h.30 à 6 h.,sauj' le dMBiajiche. ~tNEMA-THEATRE CAB-Ka, 27, bouJevard ft des Ita-Uens. Le ?lu,s amusant et le plua. mtÉTûssaMt spectacle du monde. Tous les). ]ou.TS, matinée et soirée. Entrée.: t et 2 irancs. f)ÂS!'Kë {3E"PA3!S, 16, rue de CUchy (Téleph~. tj ZGa-ES). Attractio.n.s sensatio.Mi~Ues. Patinage de 10 h. 1/2 matin à 6 h. soir, et da 8 h. 1/2 n mimut. ÎÀ"M A'S S Q MELEOTRtQUE, 24. boulûva-rA' L Poissonnière. Incroyable et me'rvei.U.eu~ service ëieetrique d'une maison moderne. Salle à manger et cha.mtM'es a coucher eléctrt~ que&.Cuisin es. oînce.buandefrie électriques. PIu.s. de domestiqu.es. De 2 à 11 h.du soir. Entrée 2 t. pAm ''S~'BE"~SLÂOE (Chamo'&-Ely&ë-es, Tel. ji 659-2S). Patinage &u.i' vraie glace. Tons 1~ .jours, de 2 h. à, 7 h. et (le 9. h.. à mjm.ut. j Muses Gfëvin. Le Palais des'Mirages, nc-uvelle et merveil.le'use illusi.o'n. L'actuali.té pa.t' te emems. Jarciin d'Acc!ima!at:on. –Ouvert tous 199 jours. Concei't. jeudis,, dima.nches et fêbes~-

'~==~caB==B~~je!=tt,NS~tt~t.t~iMa<~tt~.=- -&-

_s :7erG?t! LEON COUCHO'T Couciiot, imprimeuT. 144.rue M&ntma.rtre.Pa.rt~

ES-<S~i.~<tM9~nm)<H<!)Ksa~9~MS~~