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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1908-06-13

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 13 juin 1908

Description : 1908/06/13 (Numéro 5848).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k595690h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 27/08/2008

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Ulllno clé~radé Les 4lncidents de Toulon

LE C~ll~ ~E lp y >l a L'INST~~CIION' UN fLANDNE

LE CRIME DE LA RUE Bfi LA PEP1SÏEM ÏM MYSTÈRE va-ft^il s'éclaircir ?

ON-tE CROIT AU PALAIS DANS L'ENTOURACE DE M. ALBANEL, JUGE D'INSTRUÇTiON

M. le juge d'instruction Albanel ne désespère pas d'arriver à arrêter le ou les assassins de M. Auguste Rémy, le malhéu;reux septuagénaire tué dans la nuit de samedi à dimanche dernier. A l'heure actuelle, il semble qu'au cours de ses recherches, il ait acquis, à défaut de la preuve matérielle, au moins la conviction morale que le •crime n'a pu être commis sans la complicité de quelqu'un habitant l'hôtel, ou l'ayant longtemps habité et ayant gardé des relations très- suivies avec l'un1 des domestiques qui s'y trouvent actuellement.. Aussi a-t-il occupé sa journée à interroger Les principaux domestiques de M. Auguste Rémy, ceci dans le but de leur faire préciser leurs précédentes dépositions, et afin de consigner- par écrit les déclarations orales qu'ils lui avaient, faites,- tant'. dans l'hôtel de La rue de la Pépinière, qu'au service de la sûreté..

8Î. Thomassin

'Arrivé à huit heures et quart du matin à son cabinet,. M. Albanel interrogea tout d'abord Thomassin, le jeune valet de chambre die M. Georges Rémy, le fils de l'assassdiué.

M. Thomiassin a expliqué que samedi soir, vers dix heures, il avait quitté la irue delà Pépinière, son maître lui ayamt accordé la permission de ne rentrer se coucher qu'au milieu de la nuit.

̃ II avait un rendez-vous avec une de ses amies et il passa la nuit avec elle dans un hôtel, ne rentrant au domicile de M. Rémy qu'à six heures et demie du matin. On sait que M. Albanfil et M. Hamard, chef "de la sûreté, ont fait vérifier cet alibi qui fut.iJjeconnu exact aussi le magistrat s'est-il borné à. faire écrire par son greffier la déposition du jeune "Thomassin, que celui-ci signa après, lecture, et le valet de chambre s'éloigna/ tranquillement il était anviron dix heures et demie.

M. Elie Courtois

Aussitôt après lui, -M-. Albanel entendit Je jeune Elie Courtois, le valet de chambre de M. Auguste Rémy, un jeune homme de dix-huit ans environ.

Elie Courtois :a expliqué au magistrat que, vetrs dix heuires, après que M. -Rémy eut laissé les personnes de sa famille qu'il avait invitées à dîner avec son fils, son maître avait regagné sa chambre et l'aviait "sonné pour l'aider à se déshabiller et à -faire s>a "toilette de nuit.

Cette opération dura environ vingt minutes, .après quoi Elie ^Courtois s'éloigna pour aller chercher un verre d'eau que le septuagénaire lui avait demandé.

Enfin il était à peine dix heures et demie Elie Courtois quitta. M. Rémy en tirant la porte sans. la fermera à clef, comme il'en avait coutume.

1 Le jeune domestique avait alors regagné sa chambre, située au quatrième étage de Xhôtel, et s'était endormi presque immédiatement. Il ajouta qu'il avait dormi toute la nuit, sans rien. entendre de suspect. Cette déposition .dura jusqu'à midi et quart.

JJHëXLre^ûvL Déjeuner"

'Aussi M. Albanel, qui avait fait venir également à son cabinatrpouT les interroger, Renard," maître d'hôtel, Bourdet et sa femme, concierges, les a-t-il renvoyés, re- mettant leur déposition à cet aprésrniidi. Mais, tandis' que Renard regagnait l'hô- tel de la rue de la Pépinière pour y déjeûner, le brigadier de la Sûreté Calcas priait M. et Mme BourideA de. le suivre. Où ? On ne sait. Très probablement à la Sûreté j pour y prendre leur repas. | Reprise des Interrogatoires "A son tour, vers une heure, M. Albanel descendit au buffet du Palais afin de se restaurer.

Une heure après, il remontait à son cabinet et recommençait son information en recevant ,1a déposition de Renard, le maître d'hôtel,

M. Renard

'Jjb maître d'hôtel Renard a expliqué à -M. /Albanel qu'il était .venu, dimanche ma•tin, vers huit -heures et demie, apporter le 4 diéjeune.r à son.naaître. 11 frappa à la porte, puis voulut entrer en la", poussant. Mais il sentit une résistance, il" crut que. le septua:génaire était derrière et, après s'être éxçiu- se de l'avoir heurté, il .demanda r Puis-jë entrer ? monsieur.. "Ne recevant pas de réponse, il répéta sa- -jquésiûon, puis poussa doucement .la porte.' Il s'apërçu-t alors qu'un fauteuil était placé qui tba'rrait Tëntrée de la chambre. Il l'écarta et pénétra dans la pièce. Gomme il faisait, nuit, il. ouvrit les perëiennes donnant sur la cour intérieure de -l'immeiuble, dont l'entrée est 106, boulevard Haù-ss-

;mânn.

S'étant retourné à ce moment, il aperçut .le corps de son maître sur la descente de. lit et poussa un tel cri que les autres domestiques accoururent.

'A trois heures et demie, M. Blot, souschef de la Sûreté, accompagné du brigadier .de la Sûreté Calcas, pénétrait chez M. Albanel. M. BIot en ressortait, quelques mĩ .nûtes après, mais tout seul: :.). lia' deposition-dù .témo'iii Renard contiiiue.' '-r ̃_ -V ̃ .̃̃ ̃' Rué de la Pépinière

II, était, intéressant; pendant que le jugé procède aux interrogatoires, dont nous parl^.çius.liaut, de connaître les" impres-

sions des \tfisins immédiats de l'hôtei de M. Rémy. ̃. '̃_ Nous avons été reçu, cet après-midi, chez un certain nombre de commerçants. Tous nous ont fait invariablement la même ré-; ponae ̃ .̃.̃̃̃ •- ̃ r '}''̃' ̃ Il est inadmissible que la .police ne trouve pas le ou les coupables. A quoi servent toutes ces allées et venues, ces promenades du personnel., domestique de. l'hôtel à la Sûreté. et vice-versa î ̃ Les magistrats, depuis bientôt huit jours, doivent cependant être à peu près fixés et' ce n'est pas sans' raison que, depuis lundi, l'hôtel est gardé par les policiers et que les domestiques sont, en somme, surveillés très

étroitement.

H est un fait aue Tjerscmne.n'a cité et qui s'est passé hier 'matin, quelques heures à peine avant l'enterrement. ̃̃

L'usage est, en effet, quelles domestiques suivent' ?e corps pendant les obsèques. Hier, les domestiques de M. Rémy avaient donc à se conformer à cet usage. Or, cette permission n'a été accordée qu'après de longs conciliabules. Et le pubdic qui assistait aux obsèques de M. Rémy put voir les trois domestiques suivre le corbillard immédiatement derrière les religieuses.

Aujourd'hui, ajoute l'un de nos interlocuteurs, tout le personnel mâle, plus la concierge Mme Bourdet, sont retournés au Parquet. Les uns sont rentrés, les autres sont restés. Pourquoi ? P

MM. Renard et Albert Thomassin sont revenus prendre leur service à l'hôtel de M. Rémy vers urne heuire.. et, la. loge reste gardée par l'un des domestiques d'écurie qui habitent en face, au numéro 18. La Conviction du Juge

Du Temps: ̃

Nous dirons seulement que la conviction du magistrat inatrufeteur paraît à peu près établie et qu'une solution ̃ est prochaine. Mais des précisions/partant sur des détails essentiels, sont nécessaires encore. M. Hamard s'efforce de les rechercher et de les établir.. » "•" l

^•l*_

Le Gf jme deVaugararci liy, le M ie GWDre, -1 1 interviewé par la «Presse» n

N'allez pas croire que le drame de Vaugirard n'intéresse plus les Parisiens qui peuvent disposer de quelques heures de loisir En effet, les" curieux qui se rendent impasse Ronsin et s'arrêtent quelques mstants devant la maison du crime, sont encore nombreux.

II n'y a cependant plus qu'un seul agent, au lieu "de deux, "qui surveillé la villa de M. Steinheil. Nous sonnons à la grille et Rémy, le valet de chambre dont on a tant parlé, vient lui-même nous ouvrir, flanqué d'une autre personne.

Eh bien lui disons-nous, vous paraissez moins abattu, allez-vous accompagner demain Mme Steinheil dans sa villa de Bellevue? Rémy ouvre alors la porte d'entrée, et nous-yoilà dans le jardin.

Aih monsieur, nous répqnd-U,'3e-r.eprènds un "peu "courage; mais francïieihénï, que ne m'a-t-on cas fait dire On est presque allé jusqu'à me désigner, comme -étant l'assassin c'est tout juste si on ne l'a pas écrit. On- prétend même aue la nuit du crime j'ai entendu -quelque choss et que je n'ai pas osé remuer. Allons donc on m/attaqu© de.- divers ̃côtés', mais, on devrait bien faire attention, car je saurai défendre. ̃ On a enlevé ce matin, disons-nous, diveTS objets, pbuvëz-vous nous dire vers quelle destination ils ont été dirigés. ? ̃ Je ne saurais vous répo-ndr-fi, car je n étais pas la d'affleùrs nous avons des instructions pour ne donner aucun renseignement Et, désignant la verdure et l'ombrage du jardin, notre interlocuteur ajoute Tout ce qui se passe ici depuis quelque temps est bien fâcheux, nous étions si bien Alors, vous resterez impasse Ronsin ? 1 Pour le moment tout au moins, car on ne nous a rien tait savoir et nous ignorions même que -Mme Steinheil dut partir demain pour Bellevue.

ysysAA»

Tragédie Conjugaîe Bue de Flandre

AFFOLE DE JALOUSIE, UN OUVRIER MENUI- SIER TIRE DEUX COUPS DE REVOLVER SUR SA FEMME, ET TENTE ENSUITE DE SE SUICIDER. NOTRE

̃ r enquête Xa rue de Flandre, si populeuse, vient ̃d'être le théâtre d'un terrible drame de la "jalousie. Vers jnidi et demi, en effet, au moment où les ouvriers et ̃ les ouvrières quittent leurs- ateliers, pour àlier déjeuner, "trois^ coups de revolver furent tirés, mettant" ert émoi les nombreux passants.- Ceux-ci se précipitèrent aussitôt vers l'endroit d'où provenaient les coups de feu et virent, étendus sur le trottoir, en fiace le numéro 122 de la rue de Flandre, les corps d'un homme et d.'une femme, baignant dans- une mare de sang. Des ouvriers se hâtèrent de secourir les deux blessés, et les transportèrent dans une, pharmacie voisine, 'où ils reçurent les premiers" soins.

Que s'était-il passé?

De l'enquête à laquelle nous É.ous sommes .-livré, cet après-midi, il résulte qu'on se trouve en face d'un drame de la jalousie. '̃•

Au n°" 49 de la i^ue de Villiers-de-il'IsleAdaim, vivaient, depuis quelque temps M. Gusta/ve Heugez, ouvrier menuisier, âgé de vingt-sept -ans, e,t. sa .femme, -Al Sandrine, âgée de vingt et un ans,- cartonnière. La' femme étant coquette,, et le mfiri' jaloux, de .fréquentes querelles éclataient dans le jeune ménagé* ;̃̃̃•

Ç*tte jalousie de l'époux éta^t a'aiUeuxs

ùsti-fiée, si nous en croyons lés récits des Vioiski'S, car, à la suite d'une scène plus yiolenité que les ̃autres, Mme Alexandrine Heuigez quitta, il y a quinze jours, le domicile conjugal, pour aller vivre chez un sieur L. son amant, demeurant, 1, passagie de Flandre. ̃̃̃•. Désespéré de cet abandon, te maLhieureux mari essaya à plusieurs reprises de décider sa femme à reprendre la vie commune mais ses supplications demeurèrent vaines.

Toutefois, ne désespérant pas encore, Bougez tenta, aujourd'hui, une nouvelle démarche. Il attendit sa- femme .au sortir de son travail, alors qu'elle regagnait le domicile de son amant.

Les prières du mari ne furent pas écoutées, et une. scène violente éclata entre les deux époux. A un moment donné, Gustave, Heugez enjoignit à sa femme de reprendre" la vie comniuné. C'est alors que, sur son refus obstiné, il sortit un revolver de sa poche et, par deux fois, fit feu sur l'infi-

dèle.

La malheureuse s'écroula sur le trottoir en pousean^ un cri déchirant 1

Affolé par l'acte qu'il venait de commettre,: Heugez tourna son arme contre lui et se tira une balle dans l'oreille. A son tour, il tomba, râlant, aux côtés do sa victime. Devant la gr-atvité de leur état/ deux ambulances furent aussitôt mandées, et les deux vàctimes de cette ."tragédie.- furent transportées à l'hôpital Saint-Louis, où leur état a été jugé 'des plus graves.

Les docteurs qui ont examiné^: en .effet, les blessures de la femme, atteinte à la tête et à la joue droite, espèrent cependant la sauver. Il -n'en est pas de même du> mari; et, d'un instant à l'autre, on- s'attend au dénouement fatal.

LE: Fil] RUE BEIOTOEUIL Un grave incendie s'est déclaré, cet après-midi, au 61 de la rue de Man-

treui].

Le feu a pris naissance chez un brocanteur, M. Jean, qui a été retiré des flammes à moitié asphyxié et n'a pu être rappelé à la vie qu'après des soins empressés qîii lui furent donnés dans une pharmacie voisine.

L'incendie se propagea avec une grande rapidité, .et bientôt les niagasins..de M." Casseta, vernisseur, furent la proie des flammes.

Le dianger était grave, car la maison incendiée est attenante, d'un côté, aux entrepôts de M. Guichaird, marchand de bois, et, de l'autre, à*jx_ magasins de M; Peletti, fabricant de meubles.

Grâce à ia prompte arrivée des pompiers, le sinistre pût être circonscrit.

Il ne reste plus rien de la maison incen-

diée.

'Bulletin du Jour

APEBS LES TOASTS DE BEVEL. Les vaisseaux ang'lais viennent de dispanaître de l'horizon de Revel et les souveir-aâis, ayant quitté les costumes de gaia et les uniformes variés doait le Protocole leur ̃avait commamdése revêtir, pour déjeuner et dinar ensem-ble, vont maiaitoniant •s'occuper de choses sérieuses.

Les toasts échangés, comme tout -toa)B,t qui se res|>ecte, ne sàgnifient pas ginand'chose'et il faut lire 'antre les liguées pour rechercher. la pensée qui se reflète dans ces paroles" revues, corrigées et soignéiiseimsnt expurgées, "dont le but est de ne rien dire, tout en ayant l'air de dire beaucoup. Le langage du tsar est plus réservé que celui du roi d'Angleterre et ne sort pas de la banalité traditionnelle. Edouard VII va plus loin et demeure y convaincu que la convention qui vient d'être signée ne tendra pas seulement à rapprocher plus étroitement les deux pays, mais encore qu'elle aidera très gnaindeittent au maintieoi général de la paix du monde ». Quand un diplomate avisé parle du maintien de la paix, cela doit s'entendre dans ce sems qu'on a les moyems de faire la g.u«rcce et de se défendire, Or, si Ttaccord amglo-russe doit aider à la paix du monde, c'est que cet accord peut peser dans la balaince le cas échéant, c'est-à-dire dans le cas d'un conflit armé. N'est-ce pas indiqueff inidirèci&mœit "(ju'en face de la Triplice qui, eîile aussi, prétend aider au niaintten de la paix-ise dresse maintemaHit un awtîse .consortium susceptible dé faire oon-, treipoids à l'union. g>ermiaiio:aufitro-ita^lienine ? "'̃•• Après Le .voyage de,fc£ -Fiailière.is. à, Lbn-; dre.s et les déclàiratioihs qui" oint été faites^ ̃ ce. laŒigage, obiscuir en apparence, s'éclaire, siRgïiiièremient et devient compréhensible pour les esprits les plus simplistes. Il eét vrai qu'un génénaS. anglais procla-^ -inait, il. y a quelques jours, que l'airméë de son pays, malgré le bluff d'Une prétendue réorganisation, était tout aussi peu existeunte' qu'au début "de la guerre du Tnansvaal. L'Angleterre ne nous apporterait donc aucun appui sur terre, et M reste à savoir si les troupes russes sont suffisamment remises de la secousse de la Mandcho.urie et des troubles révolutionnaires pour constituer une force susceptible d'iamener une «utile diversion suit les frontières est de PAilema-gne et de l' AutricheHongirie.

C'est' donc avec- une certaine anxiété que ̃ nous pôûvpins nous' demander- si ces aaiamâlecs dînatoires- de Revel,nous n'étions, pas conviés, n'auront pas une'répeircussibii" sur notd'e sort et si nous aurons 'autre chose faire çu'à .payàr l'addittom,

•- ̃ ̃ h' < Môeste.- >

LE PARLEMENT.

^sjrv*Vr

AU PALAIS-BOURBON La. séance est ouverte à deux heures, sous la présidence de M.- Brisson. C'est sa;na doute un effet du temps chaud :1a salle est presque vide. La voix lugubre de M. Brisâon résonne dans un

désert. •. •'

On n'ien commence pas moins,;

Les -Bah.qiietteà. qui votent M. Viviani demande une séance spéciale pour jeudi à l'effet de discuter le projet de loi relatif à la nouvelle .réglementation du trav.ail. -•̃-̃̃̃ Cette proposition n'est pas fravorablemetnt accueillie des rares députés en séainoe. Des protestations s'élèvent quand le président met aux voix la proposition de M. Viviaini. ̃ ̃ ,-̃ M. Rousseau. II est scandaleux que les 25 députés présents votent pour six cents. M. de RosanïjO. ^Vous pouvez,, en effet, vous vanter de votre sollicitude pour les ouvriers. Vous les faites massacrer à Draveil! ̃ M. Vivïani. Allez-y donc à Draveil M., de Rosar:t)0. Si j'étais ministre, j'y serais. -.̃̃ ̃ On voté/au scrutin publicV Les urnes circulent 'parani les "banquettes^ vides, 'ce qui n'eniipêche pas que les absents votent en

̃masse. •̃"

La séance. 'de jeudi matin est adoptée e par 467 votants contre. 69. ̃ Une explosion de rires salue la, proclama-, tion de cet étrange scrutin. Le Droit de Grâce.

M. Georges Berry demande à interp-eiEer le garde- des' sceaux sur l'application du droit de grâce.

M. Briamd répond qu'il est impossible de discuter les décisions de la commission des grâces, mais qu'il est piêt à discuter le projet de toi sur la suppression de la peine de mort, dont la Chambre est saisie. •M. Georges Berry insiste et dit que cette question, tenue en suspens depuis deux ans, inquiète l'opinion. Les assassinats se multiplient il est temps d'en finir et de rassurer le public alarmé par la recrudescence des crimes. La peine de mort, qui est enoare inscrite dans nos codes, est abrogée en fait. Cette situation bizarre. ne peut subsister.

L'orateur rappelle les pétitions des divers jurys pour que la peine capitale soit appliquée. Il prend acte des promesses faites par le garde, des sceaux et il espère que le 'projet viendra à une prochaine séance.

M. Louis Marin dépose une demande de secours pour les populations éprouvées par ies orages récents.

La Liberté du Vote

On aborde la-discussion de la loi adoptée par la Chambre et modifiée par le Sénat, tendant à .assurer la liberté et la sécurité ̃du vote.

M. Chairlés 'B'ejaoist, président de la com:mission-, se plaiamt que les radicaux, cherchent, par 'des chicanes, à fadre. obstacle. à une loi à laquelle le pays attache une "grande importance. -̃;

L'arMcle 1 est adopté, ̃ ainsi que l'article 2," régiant le droit des- candidats de se faire rep.nesente.r- au bureau. Adoptés aussi l'article 3, rétablissant l'isaLoir, et les^rtides 4 à 7. Une discussion assez agitée et cependant oiseuse, s'élève à propos de l'art. 8, relatif iâu nomhre d'enveloppes.- MM. Paul Constans, Reinaob., Cazeneuve, Lasies, Mulac y pj^nneat part. Finalement l'article est adopté.

On expédie sans débats les articles 9 à 16. M. Girod demande seulement, à l'article 11, que l-es-fisaudeurs soient toujours punis de. prison et non d'amende.

M. Empereur vient déclarer qu'il ne votera pas ia loi, parce qu'il suppose que la Chambre actuelle est faite d'éloctâoms entachées de fraudes. Il s'attire les huées d'une bonne partie de la Chambre. L'ensemble de la loi est adoptée par 485 voix contre 74. La séance est levée à quatre heures et

demie.

LIMSÉSniïïllïâl

M MëM~ ~MM4 RM ~M~

La séance de set après-midi au |.uxsm- feôurg. M. Ûaillaux soutiesiî ïe projet de loi

M. Antonin Dub.os.t ouvre la séfiaoe ai ateux heùires quaraïité-ciinq et l'on .fa;)r,end ie débat sur le racliat.de l'Ouest.

M^Gâi'llâux, ministre des finances, monte à la tribune. Il vient, dit-il, étudier lia ̃ question au point de vue financier. '.Il divine ainsi son discouirsEtude de la politique et de la législation en matière, de traraspoTts -Démonstration de la possihjili4é de 1'exploitaiion par l'Etat danis les mêmes conditions que celles de l'exploitation privéeExamian'des chiffres (approximatifs, bien entsndn) qui concernant •l'achat et l'exploitaticn du. réseau 4° Enfin aparçu des conditions dtans lesquelles le rachat a été proposé par le gouvermeniant et voté par la Chamla*e.

Le ministne, se propose, dams ses développements, de. suivre autant que possible M. Charles Preve-t, auquel il a répondu.' M. Prevet a dit que, plutôt quede racheter, il valait mieux attendre l'expiration des concessions/

Il est" certain, reoonnaît le ministre, que, avec où- sajis .radiait, l'amortissement des dettes de la Gomrps^nie est assuré, sott.'gue les -emprunts de l'Ouest soient amortis à; expiration' de. concession; -soit que, -l'Etat expjjoi|ant dès niaiîï-tenant, ..leâ périodes

d'amortissement puissent être également prévues. •• ̃̃̃̃'•: -•̃ .••̃̃

A vrai dire, toute la questionne résume donc à ceci faut-il laisser aller les concessions à expiration ou l'État doit-il rep rendre tout de suite l'exploitation du réseau ? Je soutiens, dit M. Caillaux, que nous devons devancer le terme de l'expiration de coricèssion. Ceci, en vertu d'une évolution historique qui pousse de plus en plus l'Etat à ne pas. s'effacer et même à intervenir dans les exploitations purement commerciales., ̃•

'•-̃En. '-passant, le ministre fait l'éloge du réseau de l'Etait et de ,son organisation, que M. P,r&vet a chargé de toutes les fautes et de tous les crimes.

L'orateur explique ensuite comment l'Etait peut administrer et exploiter aussi bien qu'une 'compagnie privée, tant au point de vue financier qu'au point de vue technique. Le ministre étamt fatigué, la séance est suspendue.

–s~

~~JT~Uit ®U ~ARLE~ENT M. Goûtant, député' d'Ivry, vient de déposer sur le Bureau- de la Chaimibre une proposition de loi tendant à modifier la loi de deux ans, en oe qui concerne les ennplois réservés aux sous-o>f liciers è* soldats rengagés.

Peralère yJH'eure' LA CREVE DE DRAVEIL-VICNEUX

M. Ribault, secrétaire du- syndicat des terrassiers de Vignéux, a rendu coimpte' de son entrevue avec le préfet.

II fait part à ses camarades des concessions secondaires consenties par les patrons. Il ajoute que, lui-même, dans un but d'entente, a réduit l'augmentation des salaires deman-

:–v\y\/N*" ̃

LA J

I

BU TRAITRE L'IMPRESSIONNANTE CEREMONIE A EU LIEU CE MATIN A TOULON. NOS TECEGFÎABîHeS

Toulon, 12. juin. La cérémonie de la dégradation d'Ullmo devait avoir lieu à huit heuires.

Une foule énorme, formée non seulement par une grande partie de la population touionnaise, mais aussi par de nombreux voyagë-usTS, venus dès hier et cette nuit des villes voisines, a envahi rapidement, et dès l'aube, la place Saimt-Roeh.

Lorsque les troupes fournies par. la garnison de terre et de mer arrivent pour s'emparer de la: place et former le carré réglementaires, des -bousculades se produisent. Des femmes et des énifants sont «jetés à terre, des coups" de sifflet sont poussés. ̃Lès troupes sont; débordées. =

Le cap-itaine de vaisseau DuMieil .de la Rochère, qui à le icommandement militaire de la cérémonie, estkne que les trou-; pes prévues par le règlement sont insuffisantes. Il en avise l'amiral Marquis, préfet maritime, et des ordres sont donnés pour qu'on envoie des troupes de renfort. iLes colonels Quiquandon et Louvel, le commandant. Dutheil de la Rochère et le lieutenant do vaisseau Vindry, aide de camp du préîeit maritime, voulant éviter des incidents, ont, sur le terrain même de la cérémonie, une conférence pour examiner 'la possibilité de remettre à un autre jour la dég,radation du condamné. Des officiers sont envoyés à la préfecture maritime pour savoir la décision à prendre.

L'amiral Marquis répond que la dégradation doit avoir lieu le jour môme. Des renforts de troupes sont demandés a.u IIIe de ligne, à la gendaaTn'arie et à l'artillerie. De nombreux détachements arrivent, ainsi -que des gendarmes à cheval, et. l'effectif habituellement, prévu pour la dégradation, se trouve ainsi triplé. Mais la foule -énorme va-augunentant côntinueillement.' La place Saint^Roçh est noir-e de monde. Des ge-ns se sont hissés sur les platanes. Les murs de la.prison. maritime sont. ̃ tapissés' de grappes "humainea Les rem-,parts qui, au sud de la place, la dominent, sont également' ewalhis."

Par ce beau ciel lumineux, c'est un des plus gros ̃ mouvements de foiile qu'on' puisse contempler et le service d'ordre continue à être débordé.. II est neuf heures moins dix, on va accomplir le triste cérémonial, retardé depuis déjà près d'une heure. ̃• Bagarres et arrestations

Les cœurs sont angoissés", bien qu'aucun cri de pitié ne s'élève en faveur du traître, et que le sentiment unanime soit que nul châtiment n'expiera la faute commise par l'officier félon. A mesure que l'heure avance, la foule devient de plus ̃ en -plus houleuse. Un immense brouhaha emplit la place. On se pousse, on se presse, on cherche à atteindre le premier rang pour rien perdre du spectacle émouvant, ".quF'tput à rheuréCva se 'dérouler. Des arrestiations, la plupart de jôuries- ̃génSi'.sont opérées. Deux femmes. :blessées sont portées à ThôpitAl ̃

dée par les. grévistes, do vingt centimes à dix cemiiues. il au aussi, qu li a signait; au prélat, commis owjiuiuoiis-expi-fcÈ&e.s ue la remise Uu travail V lé. suppression du iravail à la -tatinereconnaissance oi'ficleliô du syndicatcontrai coMet-iii' passe par les pairons et les ouvriers avec conuiiions nouvelles 'du travail et du salaire.

Angers, 12 juin. Des affiches annoncent qu'un meeting de protestation contre Sts tragiques incidents de Draveil aura lieu demain soir samedi, à la Bourse du travail. LA JOURNEE DES DRAGS

C'est aujourd'hui qu'a eu lieu la réunion des Dragis, à Auteuil.

Vers une. heure, huit mail-coaches inpeccablememt attelés, étaient venus se ranger place de la Concorde, en face du Cercle cto la ruo Royale, attendant les invités de marque. L& départ a eu lieu à une heure un quart le coach du comté d'Yanville, président de la Société des Guides, prend la tête et, par l'avenue des Champs-iElysé&s, se dirige vers le champ de courses d'Auteuil.

L'arrivée a eu lieu à deux heures.

Après le dénié des mails aura lieu une grande soirée de gala à laquelle sont conviés tous les membres de la Société des Guides ainsi que de nombreuses personnalités app,artenant aux principaux cercles de Paris. ULLMO A L'ILE DU DIABLE

"Toulon, Î2 juin. Le correspondant de 1' Agence. Fournier », à Toulon, croit savoir que Me Aubin, avocat d'Ullmo, a écrit dernièrement à celui-ci pour lui faire savoir qu'il serait déporté à l'île du Diable.

La belle Lison Welsch se trouve depuis hier à Toulon elle n'a pas assisté à la dégradation ç'è-son amant.

EDOUARD VII A Kl EL.

̃- Berlin, 12 juin. Le roi d'Angleterre sera satwi A son arrivée au cariai de Kiel aujourd'hui (js!, prince Henri, au nom de l'empereur, a.1 *.c le même cérémonial qu'à son premier passage. ̃ ̃̃ -• '•̃'̃-

CHAPEAUX T.U.nF.RS

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21, rue Daûnou 88, Ch.-Elysées

Voir en Troisième Page NOSPRIMES

A neuf heuires moins sept, une bouscui lade s'étant reproduite, le comma-ndjani Dutheil de la Rochère fait quadrupler U coaxion qui garde le côté. Est.de la place* lès Troupes s'apprêtent

Les troupes rangées sur la place forment un vaste rectangle, dont le côté ouest et les deux tiers du côté nord sont occupés par trois compagnies fournies par le Po-< thuau, la première flottille de torpilleurs, les bâtiments du port, et le 5° dépôt. L'autre tiers, du côté nord est occupé par un peloton du 17° bataillon d'artillerie de forteresse.. :• Sur la face est, se rangent une compagnie du 111° d'infanterie et un demi-peloton du .3° d'artillerie coloniale.

Enfin, sur la face sud, se tient l'autre demi:peloton, une compagnie du colonial et un peloton du 8°.

Lorsqu'arrivent les délégations des officiers, anciens camarades- du traître, une> manifestation de sympathie, se produit parmi la foule, et des cris de « Vive l'armée [ A bas les "traîtres » se font entendre. Ces délégations sont composées,' au premier rang, d'un capitaine de ^aisseau deux capitaines de frégate dix lieutenants de vaisseau dix-sept enseignes un mécanicien en chef cinq mécaniciens principaux de lro classe et cinq de 2° un ingénieur en chef un ingénieur de lre cl. et un de 2e un commissaire en chef un commissaire de lr° classe et un de 2e un médecin en chef un médecin, de lra classe et un de 2e un adjudant principal de 1™ classe et un de 5°.

Au deuxième rang, de M. le colonel Quiquandon, du 111° d'infanterie un lieuteaiant-coloneldu 8° colonial un chef d'escadron du 3." d'artillerie colondaile trois chefs de bataillon des IIIe, 4° et 8e un capitaine du 17° bataillon d'artillerie deux du IIIe un du 3° d'artillerie coloniale deux du et un du 8° seize lieutenants et sous-lieutenants de ces divers corps quatre officiers d'administration (génie," artillerie, métropole et colonie) ayant grade de lieutenant un médecin-major et un aide-major; Tous ces préparatifs sont vraiment.émouvante; foule, est haletante L'heure approche où bientôt le traître va sortir de sa prison. Son expiation va commencer 1 Qu'on amène le Traître! î c

̃ Enfin le' commandant Dutheil de la Rochère ordonne qu'on amène le condamné. Ullmo n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était habillé dès six heures de cette tenue d'officier qu'il devait porter pour la diernière fois, pour subir la déchéance publique depuis près de deux hernies, il atten{Llre la suite en- deuxième page.)

AGENDA DU PARISIEN Ce soir, à rOPÉRA,-Co'MiûUE, reprise de Pelléai. et Mélïsande.

Demam samedi, fête à souhaiter saint Bac- sile..

Températura annonoée chaud©, pluie pow .sible.

Demain, à trois heures, lire daas la Patrie* .jlarticl&^HENHî RocHEFORTi ̃


âait, tristement muet, dans sa ̃ cellule, qu'on vienne le: chercher pour la parade d'exécution..Le gardien de la prison maritime dit qu'au fur et à mesure que le temps s'écoulait, Ulkno faisait des gestes réprimés d'impatience. ̃ ̃ Tout à coup, la porte de la prison mariUnie -;s'buVrë! U-Hmo paraît, il est entouré d.e quatre matelots, baïonnette au p.ànon, dirigés pa,r un second-maître, décoré de la médaille militaire. On commande :• « Garde à vous » Toutes les troupes mettent baïonnette au ession. Les. clairons et les tambours de via ligne .ouvrent le ban.Tous les a-egards des milliers de spectateurs se fixent- sur le traître. Il voudrait bien garder son impassibilité, il a un mouvement pour se redresser et pour garder une attitude militaire sous cet uniforme qu'il porte pour la dernière fois, mais tous ces regards fixés sur lui l'intimident il baisse les yeux, et une pâleur livide envahit son visage quand la foule l'accueille par une bordée de sifflets.

C'est au mdlieu d'un formidable cri de « A bas le traître A bas l'espion » qu'il s'avance à présent presque défaillant. Les femmes surtout se montrent acharnées et invectivent le traître, à. outrance. La •colère, l'indignation ont peine à se calhier,. .tandis qu'Ullmo, tremblant,. lamentable5 est ̃conduit au centre de la place.; r: la Dégradation

M. Ottavy, greffier-chef du parquet maritime, s'aproche et donne lecture au. condamné dii jugement .qui le frappe. ̃ UUnao. -écoute sans broncher., mais.: lorsque le capitaine de vaisseau Dutheàlde la 'Rochère s'avance et dit «. UJJmo, "vous êtes indigne de. porter; les .armes. De par la loi, nous vous -dégradons » il a un-.p.etit mouvement -en arrière. Alors, ses yeux se baissent, -ses' joues ïou-gissent, un tremblement convulsif secoue <>tout, son corps. '̃̃ -:•• ̃Puis,' le premi-eivmaître. Morin s'app.ro-' -che d'tlllmo, et d'un geste- qui révèle une grande nervosité, celui qui fut le sousordre de.. l'ex-enseigne; .arrache les galons de la casquette et ceux, de la tunique. Il saisit ensuite l'épée et' la brise, •̃ Cette minute.- est, vraiment tragique. Le traître tremble. Ùoi sanglot, convulsif le .secoue ce n'est plus, dans cet instant, qu'une, loque- humaine. •̃-̃̃'̃ .•̃

̃ Malgré cette attitude, la. foule, demeure sans pitié et dévient de "plus en plus fib-u"leuse.: Elle manifeste ..même si bruyamment sés'seritiïnenits hostiles, que des troupes supplémentaires .sont demandées au •111°; dejigne. On craint, en effet, que le .^service d'ordre ne soit insuffisant/ car à chaque instant les cordons de troupe sont débordés. "• ̃ ̃̃̃̃-̃- Aussitôt la dégradation, terminée, le traître est repris par le piquet d:'a.rmes et défile devant le front des -troupes. ̃' 'Ulbrio est ̃.miakitenaait pitoyable sous- sa tunique sans galons. Il semble que lé- misérable ne pourra jamais- achever le -parcours irnposé ses Jambes, en effet,, se dérobent sous, lui, on _dirait qu'à chaque pas dl va s'effondrer. Et les huées retentissent toujours, de plus en plus ardentes jusqu'à- ce que ce soit fini. ..Dé nouveaux coups de sifflet. retentisseE.t :ainsi. que- des cris « A- mort » XJJlrao ̃ in-arche au milieu du-pe-tit détachement. 11 •pleure de plus en plus. Il devait. tenir sa casquette en main, mais il l'oublie,, et ce £ est qu'à lajm du. défilé qu'il se. met tête .nue.

̃• Alors, sans perdre -un instaint,. on le reconduit à la prison -maritime, au- lieu de le diriger, selon l'usage, sur la maison d'aiv

ret.

L'exaltation du public a dieté^ cette précaution.. ̃

'-La foule s'éooule très péniblement. De nouvelles tentatives de manifestations bruyantes, recommencent. La police-localeprocède à quelques arrestations.

̃ A dix heures seulement, la place SaintRoch commence à être évacuée.

C'est la première fois, depuis 1791, que Ion dégrade à Toulon, sur la place SaintRoch, mais notre ville gardera longtemps le douloureux souvenir de l'exécution de ;e matin.

Lison était-elle présente?

̃ Toulon, 12 juin. Les troupes formaient un rectangle ayant cent pas dé. long et soixante de: large elles rèpréserifî«ient chacun dès corps de garnison comptant pour moitié. de recrues ayant moins de trois mois de service.

̃ Un rapport sommaire à été adressé au ̃gouverneur de la place sur la cérémonie qui vient de se terminer. ̃

̃ Ce rapport- constate la grosse impression ̃produite par1 la dégradation sur les nouvelles recrues. ••̃̃-•̃̃ ̃̃̃̃

Le rapport dit aussi. que malgré la hé-cessité qu'il y- eut- d'amener des 'renforts militaires sur le terrain,, il n'y -eut finale-ment aucun -conflit avec la population ci-vile. ̃̃ .̃̃•'̃̃

..«Des manifestations me se sont pas pro-duites dans.la ville. ̃

̃ Un, -bruit -a circulé suivant lequel Lison Welsch serait à. Toulon et aurait assisté à ̃là dégradation, -mais "ce bruit n'est pas

-confirmé. -̃• ̃ .•̃

? te Transfert d'UHmd

Toulon,. 12 i.uin A midi treize, Ullmo ̃a été extraitla: prison nraritime. Une voiture, l'attendait à la -porte qui donne sur -la place Saintë-Rocfr. Il était acconipagmé :de trois gendarmes maritimes.

Ullmo, avait quitté son uniforme d'officier;dégradé et s'était habHlé d'un costume -.de dr,ap bleu marin, déjà un peu usé, et coiffé d'un chapeau de feu-tre mou, marïoh, plié au milieu.'

II avait. les -yeux trèsjrougis par les pleurs qu'il n'a cessé de verser depuis neuf heu-res. Son visage était redevenu pâle, la face •était émaciée.

̃ Ullmo est descendu avec peime de la voilure qui s'est arrêtée -devant la porte priñcipale du- tribunal et 'non' devant rentrée habitueille: des prisonniers. Il a été aussitôt écroué.

La foule, qui ignorait ce transfert, n'a pu ̃ se livrer à aucune mainif estation.

FEUILLETON DE LA PRESSE « •: :dul3jùtol903:

La fille de l'Ogresse G~iO'âD '~L®$Pè1 l'.OT~IEB'1` '̃̃ ̃̃̃• P4H ̃ ̃̃: MARCEL BREADE

Le monstre et l'enfant

(Suite)

Mais ses yeux rencontrèrent ceux &e l'O"gresse qui, par hasard, s'étaient levés il, eut'un geste d'horreur ̃ Qu'on remmène cria4-iî, qu'on l'femmène Je ne veux-plus la voir.

Jamais! clama Jacqueline en-- se -plaçant devant la porte Je neveux pas qu'elle se sauve Je veux qu'on l'arrête, qu'on la ..punis&e Qu'on lui coupe. te.- cou ̃ Et, les yeux hors de la fête, le visage. tout convulsé de haine," elle barrait le passage. Georges; revenu à- une-plu& sain^'appréciation des choses,, ordonna i

:e~rodusti>rr~:etlzad~cttetl°tr~adité~:

APBÈS LE VOTE DE LA ÇHAMBBE <

La FèlérdUim litt BâUffléot

L3 rB~iauuu uu

prècti, ia Grév. Généra s

Chez les syndicalistes. La situation est grave. La réunion de ce soir

Le vote émis, hier, par la Chambre à l'issue du débat sur les événements tragiques de Draveil, a produit, ainsi que nous le faisions prévoir, le plus vif mécontentement dai*e les milieux révolutionnaires et syndicalistes.

Tous les secrétaires de syndicats, délégués de sections, membres de conseils syndicaux, ont été Invités à assister à une réu- nion de^la commission executive de "la Fédération du bâtiment, qui aura lieu ce soir, à neuf heures, à la C. G. T., rue Grangeaux-Bel.l«s. ̃̃ r. L'ordre du jour porte Compte rendu des réunions de mercredi et de jeudi. On sait, en effet, qu'au cours de ces réunions, les syndicalistes ont été consultés sur l'opportunité de la grève générale. A ce sujet, un membre de la C.G.T. nous fait paJtt:-de son sentiment en ces termes ̃: Lés "sanctions, .que le gouyerneiment compte prendre contre les auteurs responsables de la mort de nos camarades de Vigneux sont insuffisantes. Dans ces conditions., nous estimons que la grève générale s'impose pour répondre à l'attitude du cabinet. Ce soir, la fédération du bâtiment sera. appelée à prendre .une. décision définitive. Si la. grève générale jçst déclarée, tous les corps de métier du bâtiment y prendront part ainsi qu'un grand nom-:bre d'autres organisations ouvrières, comme, par exemple, le syndicat' des industries' électriques du bâtiment. '"• ̃ D'autre part, M. Nicolet, secrétaire de la fédération du' bâtiment,: exprimé ainsi son opinion dans la « Voix du Peuple » d'au- vjourd'hui :;̃̃-̃.

.Quelle superbe- manifestation.' ce serait, _écrit-il,.si, en réplique à un crime comme c-elui de.. Dray-eil-Vigneux, les journaux quotidiens, privés, de leurs linotypistes, rotativis-, tes, etc., ne paraissaient pas un jour. si les omnibus et tramways s'ai'rêtaieht. si la ville manquait d'éclairage. Nulle manifestation d'indignation et de solidarité n '-aurait une -plus grande efficacité 1 ̃ Or, l'hypothèse que nous envisageons n'a

rien d'irréalisa.blé.

.Ce qui s'est fait en. Italie peut .également se faire en France. Il suffit de le vouloir I Qn le voit, la situation est des- plus gra- ves, et la grève générale peut éclater d'un ̃inisiant'à l'autre^ .v Trois mille terrassiers en grève

Les ou-vriérs terrassiers de la Seine, oc- cupés chez les gravatiers (fouilles du bâti- ment)" viennent de se mettre en grève au nombre de .trois.mille.

De -môme que les terrassiers de Vigneux, ils réclament une augmentation de salaires. '>

Une assemblée générale des grévistes a I~I, eu, ce matin., à la. Bourse du travail. Des discours ont été prononcés par MM. Le Du, secrétaire du syndicat des terrassiers; Maucolin et Mathieu, conseiller prud'homme.

Ees grévistes, tiendront une nouvelle réu-

nion ce -soirv une nouvelle

Les garçons de lavoir

r- Les. garçons de lavoir poursuivent sans relâche la «ampagne, qu'ils ont entreprise en faveur de la diminution "des heures d,e travail: ̃ ̃'̃̃ ̃" Dès manifestations 'ont au lieu. ce matin devant divers établissements" du 17e arrondissémenti où les ouvriers- sont employés après huit heures du soir. Ils se sorat livrés à des tentatives de débauchage sur le personnel. Des mesures d'ordre avaient été prises par, la Préfecture de Police. A Draveil-Vigneux

Villeneuve-Saint-Georôes,` 12:, juin. (Par téléphone). Une entrevue a eu lieu ce matin, à dix heures, à la mairie. de Vigneux, entre MM. Autrand, préfet de Seineet-Oise Emery, sous-préfet de Cofbeil, et quinze membres du comité de grève, parmi lesquels étaient MM. Ribault, secrétaire dela 32° sectiom Petit et Bréjàux.. La réunion a duré jusqu'à midi un quart. A l'issue de cette longue séance, nous avons pu- aborder M. Autrand, au moment' où il sortait avec M. Hibau-lt ° –.L'entrevue, nous dit-il, a été des plus cordiales et ce n'est pas M. Ribauit qui me démentira. Nous" avons examiné les dix-neuf articles gu-i -constituent les revendications des ouvriers, et j'ai fait part "aux délégués des concessions que font les patrons et qui m'ont été soumises au cours de l'entrevue de mardi dernier.- II y a accord sur quatre ou cinq articles il est. vrai que ce sont les moins importants. TJn e.chan.ge de vues a eu lieu sur les autres qui serviront de base pour l'entente -avec les seize .patrons que je convoque dès cet après-midi par télégramme, en leur demandant une réponse rapide, afin de- permettre là reprise du travail pour lundi ou mardi.

M. Ribàùlt a ajouté que la voie était bonne et que nous arriverons à une entente

facile. ̃̃ ̃

M. Aijtrand est reparti pour Paris cet après-midi. A Vigneux. tout est calme. On commente'beauicoup l'intèirpefflaition d'hier. •L'es patrouilles circulent toujours On compte sur un- mouvement à- Paris, A "VflleneuverSaintrGeorges, tout est cal̃ine.. ̃•. :• ̃̃

SPeti-fces Nouvelles Sous préjiden-ce de M. Cruppi, ministre du commercé, la Société française de- sauvetage donnera sa fête annuelle et distribution des réc-oinip&nses, dimanche 21 juin, à d-eux heures précises, à la Sorbonne.

Brillante soirée, hier, chez Mlle Renée du ̃ Minil, la jolie sociétaire, du Tiiéafere-Francais, l'oocasàcn l'audition de quelques-uns de ses élèves.

Citons, parmi les mèiUeûTS Mlle Suzanne Goury, Mlle Jenny de Valle-Flor, Mlle Jurliette Goury, Mlles- Suzanne et Margueritte Dupont-Duruy, Mlle Blay de Malherbe, Mlle Elisabeth Gay, Mlle J. Brillet, Maie Paula Calisc-h, M. Baume, M. Alfred Sabatiei-, tout à fait remarquable.

Qu'on aille chercher la police.

Toute tremblante, Anne Ritter s'étâït jetée •à genoux.

Me' couper; tête ? La police ? 3vTais -vous neme eroyezdonc pas ? suppliait-elle; '.vous n^ voyez donc pas que je' suis aussi ̃malheureuse que vous ? madaime Par pi"tié Je. m'adresse à votre bon cœur !'Je l'ai 4ant aimiée.tànt soignée, votre petite Pier-

rette -̃̃;̃̃ ̃̃•

Ah !-ne prononcez pas ce nom 1 s'écria la mère de- la petite martyre ;.si ces gens ne-vous avaient pas: défendue, c'est moi qui vous aurais étranglée de mes mains.' Mais puisqu'on m'a pas laissé la triste joie de -.vengea-, moi-même mon enfant, je veux du moins vous livrer aU1 bourreau et voir couler votre sang, misérable gueuse Pitié Pitié'. JJe .v-ous.j.ure que je suis innocente le vous le jure sur ma propre enfant.; ̃

1 Des voisiiies avaient fait asseoir Mme. Vemeret, et essayaient d'apaiser sa douleur.: ̃- .:• L^xaltation dans laquelle il voyait sa femme -redoublait la toirturé morale de Georges, qui allait comme un fou de lai morte à la vivante et les embrassait toutes les deux.

'P-our mettre fin à cette scène qui dupait depuis plus' dhme heure; un habitant- de '.maisbn: s'était décidé à se' rendre au coia-

-vù~r~ de po~i~ J

Mlle Louise Grandjean, de l'Opéra, accompagnée, par. Mme Vizentini, a bien voulu charmer;" l'auditoire en chantant,, avec- -.beaucoup, de sentiment,- deux melodi-es de Schumann. On à fait à l'excellente artiste une véritable ovation. ̃ r~

-<>-

Les architectes dont les noms suivent, après avoir subi les examens spéciaux lés 6, 9, 10 et 11 juin, viennent d'être nommés architectes diplômés par le gouvernement.

MM. Parenty, Fiquef, Dubost, Planehe, W'arcollier, Werner, Deville, B-erty, Pfeiffer, Huet, Moore, Brayer, Boiuiemaison, Brot, Braive, Houssin, Durandeau, Huguenin, Mohler, Dancry, Bertoiini, Aabrée, Debrouwer, Lalanne, Peabody, Mugard, Bignaud, Le Guen, Nouveau, Djuimarius, Lecocq, Jaoquelin,, Ricther, Béraud, Iniand, Niedea-man, Tulasne, Boitel, Schneider.

HPIGLKS DE PHP

D'plit~

LA MAISON DES AUTEURS Le gala d'hier soir à l'Opéra fut un specla- cle inoubliable.

Aussi, grâce à la recette qui a atteint, dit- on, près de Ï50.Ô00 francs, les auteurs' voiit pouvoir, à leur tour, avoir leur Maison 'de de retraite. II paraît, d'ailleurs, que le scénario, si j'ose dire, de cette Maison- est déjà "arrêté dans ses grandes lignes. -Naturellement, il a été décidé que cette somp-. tueuse habitation s'érigerait entre cour et jar-

(iin.

On évitera tout ce qui. pourrait-rappeler aux. auteurs mallieureux leurs déboires. C'est ainsi qu'à la cuisine, il n'y aura pas de four, -on proscrira soigneusement les trognons de choux et autres légumes variés, ainsi que les pom- mes cuites. •̃ .Le. service sera fait par des ouvreuses ai- niables," qui n'auront pas droit au pourboire. En outre, le vestiaire sera gratuit, mais pas obligatoire.

Toutes les pièces, même les plus réduites, seront à succès, 'et oh n'y laissera pas traîner le moindre petit banc. Enfin, les pensionnaires pourront autoriser les .danies qui viendront les voir et les féliciter à conserver leurs chapeaux. .•

Cependant, toute mise négligée sera rigousement refusée au contrôle. Enfin, on n'accordera les places de pensionnaires qu'au talent méconnu, et il n'y aura pas d'entrée de faveur.

1 ..3- ̃ Armand massaro.

Garçon, nnS'-RAPHAEL.QUl^QUlNÂ

Xes Conseils de Magda

aux Lectrices de la "Presse" C'était aujourd'hui, aux courses,1 le jour le plus hëaUi'leplus. élégant de Vannée. Les toilettes les plus riches, les' plus jolis chapeaux, les. -fouillis les --plus adorables, les chiffons, nos chers chiffons, ravissaient tous les yeux. ̃ Robes moulantes en liber ty, folies de guipure, tailleurs de soie, plus coûteux que n'importe quelle toilette de bal. tout ce qui .est chic, tout -ce qui est ruineux et qui vous fait sourire jme's lectrices amies.tout ce qui vous rend plus belles était là, représentant combien "de millions

Il faut- -vraiment que les Parisiennes soient très riches, pour pouvoir revêtir ces toilettes luxtteuses qu'elles ne porteront que quelques fois', le Grand Prix terminant la saison élégante après quoi Von se rend à la mer.

Ce qui triomphait, c'étaient les fleurs. Elles sont' charmantes, sur Une paille d'Ilalie, .avec une robe de. lingerie ou de dentelle. Magda.

La « Journée des Drags » ne pouvait manquer d'avoir, comme toutes les grandes solennités sportives, soin complément le soir; au Jardin de Paris. Aussi, tous les sportsmen .et les jolies habituées du Pesage apprendront avec plaisir que M. Oller organise ce soir vendredi, à l'occasion de la belle journée d'Auteuil/uioe soirée de gala dont un des attraits sera de voir, reproduits par' le Cinéma-Eclipse, le défilé des Mails, l'aspect ultra élégant du Pesage et la course du Prix des Dïiags. 1.

Obliques de Gas#oa ~oisxie~ La cérémonie à Saint-Cermain-des-Prés. Les honneurs militaires

Les obsèques de. M. Gaston Boissier, secrétaire perpétué! de l'Académie française, grand officier de la Légion d'honneur, ont eu lieu, à. midi et demi, en l'égalise SaintGermain-des-Prés.

La délégation de l'Institut était composée de MM. de Munj Thureau-Datugin, Henry •Houssaye,- Maurice Barrés, Picot, Perrot, Roujon, Ribot,. Lamy, d.e Vogué, Jules Claretie, d'Hatissonville.

En outre, la plupart des membres de l'Académie française et de l'Institut étaient présents. Le générai Florentin grand chancelier de la Légion. d'honneur, était représenté pair' 'M, ÉïiejiiiSy son officier d'ordonhanice. -• "'̃-̃ -•̃

Les honneurs militaires ont été rendus par un bataillon du 89e d'infanterie, avec le colonel, le drapeau et la musique, et par un escadron du 1er cuirassiers.

Une foule de personnalités du moade artistique et littéraire de Paris assistaient à la cérémonie.

M.- Douniergue, ministre de 'l'instruction publique, assistait aux obsèques.

Le président de la République s'était fait représenter par le commandant de Kéraudren, de sa maison militaire. Après la cérémonie religieuse, le cortège s'est rendu au Père-tLachaise, où a eu lieu l'iniiumation.

LA PRESSE ne paraît Jamais sans Les Résultais Complets dés Courses $g ̃••~ LES

8g VEKJilÉZES NOUVELLES des CHTIMBUES ET LES DERNIÈRES DEPECHES

Au iiécit de ce qui se passait, on alla prévenir le commissaire, qui se rendit précipitamment rue. des Poissonniers.

Quand il entra dans la pièce, on s'écarta pour lui livrer passage. ̃ ..•

XI alla s'incliner devant Jacqueline qui, à sa vue,- eut une moUyelle crise

–.Monsieur le commissaire, C'est elle, celte misérable, qui a assassiné mon enfant, ma fille chérie, ma petite Pierrette que je. ne verrai plus sourire, qui ne m'appeillera: plus K inaman » 1 Ah 1 c'est horrible C'est horrible

Et, en. prononçant ces -dernières syllabes dont l'écho roula lugubrement, elle se laissa retoimbe,r de tout son haut.

On s'empressa. C

Elle .était évanouie.

Tiandis qu'ion essayait de la ranimer, le magistrat procédait, aux premières consta-

tations.

L'Ogresse s'avança vëTS lui i

̃< Monsieur, le commissaire, on m'accusë à tort cominença-inelle je vous jure que.

Mais II la regarda fixement

E4ie baissa les yeux.

Taisez-vous fit-il durement. vous, répondrez quand on -ous interrogera J Puis il appela deux agents

Goiàduisez cette femme dans une pièce. Voisine, et gardez-la à ma dispositionv

e* Bi«P* njongi$iii: .je &^çmsmfc&i J

LE THEATRE

LETHgTRE

Un événement. A propos de la crise que vien-t.de traverser le grand théâtre auquel nous faisions allusion ïiier, nous pouvons an. noncer que les éventualités espérées se sont produites et que la crise redoutée a pu ainsi être évité*.

Tous les amis dont nous sommes de ce théâtre et de sa direction- s'en réjouissent..

i

Les fêtes d'Orange. On parle déjà des représentations qui seront organisées cet été, au Théâtre Antique -d'Orange, par Tactil e-t talentueux ïélibre Paul Mariéton.

On dit que l'illustre tragédien MounetTSully doit y créer l'Œdipe à CoLone, du poète Georges Rivollet.

M est possible, en effet, que l'illustre tragédien fasse, cet été, à Orange, cette création. Dans ce cas, il jouerait avec, pour partenaires son frère- Paul et Albert Lambert fils.. Mlles Boyy et Lifraud, de la Comédie-Française, interpréteraient les deux filles d'Œdipe. Si Œdipe à Colone n'est -pas joué, il est probable que Paul- Mariéto-n remontera Alkestis, du même poète Georges Rivollet.. On jouerait aussi une pièce inédite de notre excellent, confrère P.aùl SoUchon.

De toute façon les -fêtes d'Orange promettent d'être exceptionnellement brillantes.

--̃̃• ̃ :̃̃ -:v:r\ r^ :/v''

Mme Rosé Caron dans « Salammbô ». C'est demain vendredi que Mme Rosé Caron reparaîtra, àTOpëra, dans; «-Salammbô "»; Elle chantera ayant à .ses côtés," MM. Delinas, Alvarez Feodorovo et Gilly.

Si tous les admirateurs de .-grande canta- trice se donnent rendez-vous demain soir à l'Opéra, la salle de,, notre Académie nationale "de musique sera trop petite.. On peut sans crainte, prédire à Mme Rosé Caron une soirée triomphale. ̃

Jules Râteau.

GotiFFÏeF des SBeetaeles

Une première au Carillon

Le cabaret du Carillon, le sélect établissement du" 30, boulevard .Bonne-NcmveMe, donnait, mardi soir, la première de sa revue estivale Carillonnades La soirée n'a été qu'un» long éclat de rire, et certains couplets ont été bissés et même trissés. Iil y a de tout dans ce petit acte du charme, de la grâce, de l'esprit, de la rosserie, et surtout beaucoup de gaieté. Ah certes, l'auteur Heyob nous a prouvé une fois de plus qu'il n'est point nécessaire d'être grossier pour amuser le public et que la pornographie ne suppléera jamais à l'esprit. ̃' ̃ '• Trois artistes seulement interprètent ce bijou. Mais quels artistes C'est d'abord la jolie Suzanne Roselley, qui tient le rôle de la commère avec une aisance, et une grâce sans pareilles fine ^diseuse et. délicieuse ebjaiiteuse, -elle a'su conquérir d'emblée la sympathie du public, qui" l'a longuement acclamée. Georges Linval, le '-compère, est la gaieté personnifiée ̃; ce joyeux bouste en train' dériderait les. p-lus "moroses, et-'le public^ ne lui a pas non plus ménagé ses applaudissements. Quant à Delphin, il a été ce qu'il est- toujours, c'est-à-dire -in-cQmparable. Il a incarné deux- persann âges Rochette et Faust.. Mais, quelle maîtrise dans la composition, quelle force et quelle justesse dans -l'allure, et dans la diction Delphin est décidément un véritable artiste Aviant là, revue, on avait entendu les chansomniers d.ans leurs œuvres nouvelles Legay, T'en souvient-il ? Hyspa, Fallièrcs au Concours d'animaux gras Lemercier, Obésité présidentielle Montoya, La Veillée de V amant Tourtal, L'Homme descend-il du singe ? Deyrmon, Les Mannequins de Longchamv Biquard, Impressions d'Angleterre Anne.de Bercy, Myria, etc., etc. _̃̃•̃

On .annonce pour samedi soir la rentrée du prince des chansonniers '.Xavier Périmas qui, en compagnie de Franciine Loi*ée, revient d'une tournée triomphale à tpave'rs l'Algérie.

.&

La direction des Folies-Bergère

"La nouvelle est aujourd'hui officielle et recevra, dans le monde des théâtres-, le plus favorable accueil notre excellent confrère et ami Clément Banaiel, qui fut, durant de longues années, le dévoué collaborateur de MM. Isola, aux Folies-Bergère, prend, avec M". Dumien, là direction de cet établissement.?'

Hoiiinie de théâtre avds.é, M. Clément Banaiel a fait preuve des plus solides qualités d'adiffiinistrate-ur, et il a su se concilier,, par son ̃obli-geaince et sa cordialité, d'unanimes sympathies. Sa future direction ne peut manquer, d'être heureuse et nous avons "plaisir^ à lui adresser, avec' nos félicitations, :Bos/ souhaits sincères .d'éclatante réussite.

̃-̃ '̃"•" .'̃

A l'Opéira- •' C'est ce soir que Mme Rose Caron reparaît dans Salammbô. M. Alvarez chante- Mat-ho-, M. Delmas, Narr-Havas les autres. interprètes sont M^I. Gautier, Boulogne, GUly, Deipouget,

•Nùcèlly.

D-emain samedi,. Mlle Mary Garden chantera pour la première fois le rôle de Marguerite dans Faust, avec M. Mur-atbre (Faust), Mîles Martyl et Gouiancourt, MM. A. Gresse, Gilly et Lequien.

On vient de commencer les répétitions du Crépuscule des Dieiix. Le rôle d-e BrunhiMe., primitivement confié à Mlle Grandjean, sur le désir îorâie-HÊment exprimé par Mme Wap^ner, est attribué décidéinen't à Mme Litvinne. Celui de Gutrune sera interprété par Mlle Hatto les «Filles du Rhin D seront MUes Gall, Fiaït et Lapogrette. Le grand chanteur wagnérien, Ernest Van Dycli, interprétera le rôle de Siegfried, et M. Deîmas, celui de Hagen.

wv

A la Coinédie-Ftrançalse

Mme Bartet, de retour de Londres, où elle vient de doner un série de représentations de ̃son répertoire, fera sa rentrée ce soir dans l'Autre Danger, de M. Maurice Donnay, et jouera demain les Deux Hommes, de M, Alfred Capus.•

C'est le 22 Juin guô Mlle Berthe Cerny fera

Anne Ritter se laissa emmener par les

agents.

Le magistrat àlTa à Georges

Monsieur, je vous demande pardon de troubler ainsi votre douleur .Cependant, j'ai un grave devoir à remplir et je vous- demande de faire un effort sur' vous-même pour m' aider dansTaccoinplissement.de ma mission. ̃"̃̃̃̃ je suis à vos ordres, monsieur. Veuillez, dans ce cas, m'accompagner hors de cette chambre^ afin que je puisse recueillir votre déposition, sans augmenter les' terribles émotions de votre pauvre femme; '̃̃'

Je vous suis, monsieur, et je vous irè>^mercie de votre délicatesse.

Les deux hor.tsaes se rendirent dans le salon, accompagnés du secrétaire que le; commissaire avait amené avec lui. Là, le père infortuné dut répondre à d'in-.terminables questions sur la découverte du crime. ̃

Chaque détail qu'on lui demandait équivalait à un coup de poignard dams 'sa chair. A' tout iniStant, le magistrat était obligé de s'in.ter.rompre pour lui laisser le temps de sécher ses larmes et d'arrêter ses san-

glots. y. '̃̃̃̃

'"Ce fut pis encore quand il lui dit ? ̃: II "s'agit' évidiemmeM, monsie,ur,' d'uni crime inconicevable, pour r.instruction du-

gmel.%iHôtk.e ya être pbligée (Je s'a,ftiyiyejc

ses débuts dans le répertoire classique, par le i rôle de Célimene du Misanthrope M. Leitner jouera Alceste M. Trufflef, Qronte Mlle Géniat, Eliante M. Mayer,- pour la première fois, Philinte.

Le méin© soir sera donnée la première représentation de l'Ecran brisé, de M. Henry Bordeaux, avec Mme Bartët et M. Fenoux.

"• ̃ .-̃̃ <vw ̃

A l'Opéra-Comiqus

Ce soir, reprise .de Pellêas et Mêlisande, avec Mlle ̃ Maggie Teyte, MM. Jean Pcrier, DuJramie.'et.Vieuille.

Lundi, à 8 h. 1/4, représentation populaire à prix réduits (avec location), Mignon (Mlle B. Lomare, Mine Guionie, MM. France! Vieuiile).

A ̃ •' :w»

A l'Odéon .•̃

Pendant la fermeture, différents travaux intérieurs et extérieurs vont être exécutés. C'est ainsi que, actuellement, on refait entièrement tout le côté droit du bâtiment où sont situés les bureaux de l'administration. Les frais de ces travaux sont supportés par l'Etat.

MM. Maurice Hennequin et Pierre Vêbei- viennent remettre à M. Henri Micïieau le roanuscirit de leur nouvelle pièce qui passera aux Nouveautés la saison prochaine. Titre Une grosse affaire.

m

Ce soir, à la Boîte à Fùrsy, Foyer par-ci J Fouaillez par-là revue (Lyne B-erty, Yvonne Maelec, Casa). Me-

Les chansonniers- Fursy, Jules Moy, M,ê-

"visto-aîné, Defrànçë. r «

-'̃' Wi ̃•'̃̃"

Ce soir, à l'Alcazar, débuts de Dranem dans, son ré-pert-oire. Grâce à une entente passée entre les Ambassadeurs et l'Alcazar, l'excellent comique continuera à jouer dans la

Revue des. Ambassadeurs.

̃ vvv;

La re/p^ésentation du fou rire. Tel est le nom que l'on peut donner à l'extraordinaire soirée -de gala que nous annonce l'Alcazar pour le dimanche 14 juin, jour du Grand Prix Au programme Polin, Dranem, Jules Moy. Les trois princes de la gaieté, pour la première, fois, se. trouveront réunis sur la même affiche.

̃̃ Tous les' Parisiens voudront assister à cette sensationnelle- soirée qui nous réserve d'autres surprises.

:'M~<

A M-ai'igny

Tommy Burns, champion du monde, et Patt O'Keef, champion de l'Irlande, feront assaut de boxé sur la scène de Marigny, au gala du Grand Prix, .après-demain dimanche. Voilà un event sportif qui n'est pas banal et qui ne peut manquer de nous passionner.

A ce spectacle de" îa- force', du courage et de rehdurançe, se -joindra celui de là beauté et de la fantaisie personnifiées par la Tortajada cette enfant brune de l'Espagne, et par Emma Francis, l'excentrique Américaine:, engagées toutes deux à Marigny; spécialement pour le gala du Grand Prix.

̃ ̃ ̃ .Wfc

Au ̃Kméma-Théâtre ̃G'-est -aujourd'hui, comme tous les vendredis sélects, renouv.elleim.ent complet du to-ogranïme dans ce coquet établissement p"arisien, toujours de plus en plus intéressant et de plus en plus amusant, en un mot, le plus beau spectacle du monde.'

Ventilation modérée, salle toujours très

fr-aîcne..

Allez au Kinêmia-Tliéâtre ..du 27, boulevard des Italiens." En anatinée ou soirée, vous vous amuserez •toujours bien.. ` ̃-̃

-•̃̃- ̃ wv ;.•̃ ••'•"•

Bâtez-vous <V-efitendre la « Pie

Qui atlante^», car lundi matin

Elle partira, c'est certain,

Loin, dans la campagne fleurie. -=

Dimanche soir, dernière de la saison. Ré-ouvei-ture en septembre.- Charles Fallût et Ratil Marmi-er, direoteurs.

vi*

Jardin d'Acclimatation

Programme du concert qui sera donné dimanche prochain, au Jardin d'Acclimatation, à trois heures, en plein air, au kiosque de la musique Neufchâteau (Stand.), Bernard 2° Amour et Printemps, valse, ,Waldte.ufel 3° La Dame Blanche, ouverture L. Mayeur, Boieldieu v*°" La Voix des Cloches, rêverie, Luiigini 5° Le Freyscliultz, sélection, L. Mayeur, Webei"Sonne-z' Grelots, marche, Billaut-DaLbret 7° Les Diamants de la Couronne, ouverture L. Chic, Auber. 8° Gracieuse (solo de piston par M. Lachanaud, de l'Opéra), E. Kock- 9° Carmen, sélection, L. Mayeur, Bizet 10* Wisky-Soda, galop, A. Chauwin

Georges Beudin.

LES TBIBUNAUX 1 Voïs dans un cimetière

Jules Paras, pris en flagrant délit, au moment il descellait, au cimetière Montparnasse, des patères soutenant des couronnes, a été condamné à deux mois de

prison.

Un comptable infidèle

iLa cour d'assises a condamné à deux ans de" prison Louis Nicot, comptable chez un constructeur de Clischy, pour des détournements dont, la somme s'élève à 73.846 francs. Nicot était défendu par Me Oscar Franck.

La Mort d'Angélique Comte -La mort.de 'la petite Angélique Comte* survenue au domicile de son père, 20, rue des Jaridiri!S-Saint-Pai\iiI,. a provoqué dans tou/t le quartier une vive émotion. Au commissaTiat du quartier Saint-Geirv.ais, on nous déclare que, étant données les circonstances mystérieuses de ce décès, un-5 enquête est ouverte.

Louis- Comte, le père de la petite Angélique, s'est montré très ému au cours de son interrogatoire, et plusieurs conteadictions aiui'aiemt été relevées dans ses réponses.

Le médecin de l'état-ciyil chargé de eoms̃tater le décès aviâit i*elevé sur le corps de la fillette des traces suspectes mais l'autopsie faite ce matin pour le médecin légiste, M. le docteur Balthiaz&T, a révélé que la. mort avait été causée par suite d'uiue méïhdsngite tuberculeuse. FAITS -DIVgRS Chute mortelle. Un ravaleur, M. Victor Ducheareit, âgé de quarante-huit ans, est tombé d'un échafaudage, installé au sixième étage, 30, passage de Tlernceii» Le malheureux .s'est tué. sur le coup..

sur la sciesice nous nous trouvons enjm-ésence d'un cas exceptionnel, d'un monstre- qui relève 'sans doute plus du cabanon que de l'échafauçl aussi, la plus grande partde la besogne va échoir aux médecins légistes. Je- vous dis eeJa pour vous préparer à une. chose pénible.

Quoi donc, encore ? Mon Dieu !r Il faudra ̃ que vous ayez du courage, •madame Verneret et vous, car on sera; obligé de vonis prendre le corps de votre- enfant. -r Dans quel but ? demanda le pauvre Georges en pâlissant.

Pour faire l'autopsie.

Oh non Oh non Jamais nous ne nous prêterons à cette profanation-, monsieur le commissaire Songez donc notre- pauvre enfant si douce, si jolie, si délicate,, qui semble dormir dans ses draps blancs Vous voudriez que. nous la livrions à cette, boucherie inîâme ? Non cela, jamais D'afoo-rdj, il s'agit, non d'une boucherie,; niais de constatations qui n'ont ri&n de sacrilège. Ensuite,- monsieur, la loi -est -la loi et je crois, qu'en, la circonstance, votre intérêt, votre devoir même a l'égard de celle que vous pleurez, est d'aider la justice dans recherche de la yéritéj

 la Sfûi'gué' ï Ma p-ierr'ette.ù la Morgue Mi :{ votre justice est plus cruelle pour lés victimes que pour les coupables, l. «* le yaw. ai dit tout. ceSa» yeprit la.

ie B3Ki ôs l'flÉUiie M

Surveillons les canards. Sages conseHa de.. M. M.ithouar-d

Le conseiller municipal du quartier l'Ecole-M-ilitaire était intervenu, il y a deux ou trois ans, à la tribune 'du Conseil municipal, pour faire adopter une piro-p osilion tendant à remplacer les inspecteurs de police par des vétérinaires' sanitaires dans! l'inspection. -de la volaille' et des canards en particulier ;'so_n avis sur ;les': incidents 'âctuels était bon à recueillir.

Notre confrère « La Patrie h ropaiodu»* ainsi ses déclarations

Comme toutes les denrées qui peuvent pjréssnter quelque danger pour la consommation, nous a-t-il dit, le canard dit « à la rouennaise », doit être examiné de très près, surtout en été où le développement des toxines est rapide, presque instantané même. En effet, tout le monde sait comment se prépare le canard à la rouennaise. Elevé dans des conditions très spéciales, le canard n'esB pas saigné, mais étouffé. Le sang reste donc dans l'organisme. Ce procédé a pour .but da donner à la chair cette nuance particulière que l'on connait. Au inoment-il est vendu pour être consommé,© canard peut très bien ne pas. ëtrô dangereux. Mais, c'est de^ ce moment que la questjon.devient délicate. Sbus: l'action, la- t-emipéràt-uj-e, les toxines peuvent brusquement se révéler et, lorsque la cuisinière prépare la sauce spéciale avec le foie à peine cuit, sans s'en douter, elle verse aux convives un véritable bouillon de microbes. Le foie n'esWl pas l'organe qui véhicule toutes les impuretés ab'Sorbées par ïanmial:. vivant- 1 -̃̃̃ Je né voudrais pas porter atteinte à un commerce-qui représenté annuellement un mouverâ-ent de'plus'de dieux millions de francs puisque, sur 1.700.000, canards vendus, il y en a un cinquième de préparés, à la rouennaise et valant de six à sept francs la pièce. Mais ce que je demande, c'est une surveillance dés. plus" strictes, des plus sévères, de cette denirée. Par ce moyen, on arriverait peutêtre à éviter les graves accidents qui. peuvent se produire, particulièriement en été. C'est pourquoi- -j'estime qu'il -serait indispensable que la visite des animaux fut faite par "des vétérinaires du -service .sanitaire de- la VD1« comme pour les viandes de boucherie. C'est une: question -fort Lntéressanite, eri effet, que. celle que soulève M. Mitliouard et qui vaut d'être examinée sérieusement.

.?

LÉS OBSÊQJsTFi. TÂI^FIER C'est ce .mâtin qu'ont été célébrées, en l'égïisè de Saint-Cloud, les obsèques de notre excellent confrère et ami Charles Tampier, décédé à la suite du banquet. dont nous avons parlé ici. ̃̃ "<̃̃ Une foule énorme d'amis du défunt était venue' apporter à la famille du pauvre disparu, le réconfort de leur présence. Remarqué dans l'assistance MM. Henri Brasier, le synipatiiique constructeur qui avaitenvoyé une superbe couronne comte -de la Valette, représentant de l'Automobile Club de France Maurice Sarraut, Pierre Laffltte, H. Desgrange", Georges. Prade, Michelin, Gqddet, Paul Faure', Paul Meyaii, Frantz Reichel,; Rousseau, René Oahen, lieutenant -Lucien Faure, Brouazin, Saspoiias, Paul Sencier, Mirai, Demanest, 'Armand Massard, G. Berg,Louis Minart, Gallet, Lecœur, Achard,- Gustave de Lafreté, Bertrand, Maurice et Paul Méry, ̃Claude Terrasse, Hocme'lle,Chauvelot, Schàyé, Mortane, Gaston Sencier, Beau, Dûreste, Paul Rivière, Longuèm'are, Graudichaïd, Wackenl- sein, Collot, Vinet, Wi-mille, Drigny, Conhieiv May, Vrignon/ Didier, Emile' Mors, Riguelle,- Valton, Mainm-, Royer, Richebois, etc., etc.. Le char funèbre. et le char porté couronnes,- disparaissaient- sous les fleurs.

Citons parmi les plus belles couronnes, celles du « Syndicat de la Presse sportive dès journaux politiques », .de la Société des « Automobiles "Brasier », P. Laîfitte et Cie, de la. « Chambre syndicale de la Publicité v-, de la. etc. « Dépêche de Toulouse »j de l' r «.Auto », etc.

etc..

Après la cérémonie funèirre, le corps a étô. dirigé au cimetière de Saint-Cloud.

Près du cercueil, MM. le comte de la Valette, au nom de l'A.€.F. et notre confrère: Frantz Reichel,, au nom du Syndicat de la Presse sportive des journaux politiques, ont dit un dernier adieu à notre pauvre ami. A la Morgue

Le corps de M. Tampier a été transporté cet après-midi à la Morgue. L'autopsie qui aura- lieu demain matin sera pratiquée nar le docteur Socquet. COUSIN.,

` Daniel Cousin.,

–W/N>V

OïïijtD. Boir-py «MQirTsa sa noms ?; Beaucoup de gens ont l'habitude de remonter leur montre à' un moment quelconque de la journée et sans prêter d'attention à l'actequ'ils accomplissent.

Cependant, l'exactitude et la durée d'une montre dépendent beaucoup du moment ou son propriétaire la remonte, et cette importante question a été discutée et résolue par la corporation des horlogers, en Angleterre.

Plusieurs membres prétendaient que l'opéra-

tion devait être exécutée la nuit. Ils considéraient qu'au matin, le grand ressort était plus froid et moins souple qu'après, avoir été porté dans la poche pendant toute la journée. Mais le, président a: fait valoir qu'il y avait avantage a. remonter une montre le matin, car, pendant le jour, la montre est soumise à "des mouvements et à. des- déplacements irréguliers et anormaux^ qu'elle supporte plus facilement quand elle est remontée à fond. Et c'est .cette opinion, qui a été adoptée.

LE WEgggROD ALLEMAND Les préoccupations de la politique n'empSchent nullement Guillaume II d'être toujours un enragé chasseur. La direction des chasses du palais vient, en effet, d'établir une statistique d'où il résulte que, pendant l'année 1907 ̃seulement; le kaiser a abattu 150 sangliers, 800 chevreuils, 400 cerfs, 3.000 perdrix, 3.000 cailles, 1.000 faisans, 500 lièvres, 500 canards sauvages, etc.

Cette quantité énorme de gibier a été expédiée, comme toujours, dans les grandes villes allemandes et vendue sur les .marche' Pour rendre la vente plus facile,, les marchands ont bien soin de mettre l'étiquette suivante sur les pièces « Tué par Sa Majesté l'Empereur ». ̃

Comme on le voit, Guillaume II ne "se contente pas de fabriquer et de vendre de la porcelaine, il débite aussi du gibier, et il augmente ainsi sa liste civile, qu'il trouve insuffisante. N'oublions pas qu'en France, les pièces tuées dans les chasses officielles sont distribuées aux hôpitaux.

commissaire, afin de. vous préparer à l'hy-< pothèse que nous venons d'envisager en- semble. Maintenant, je vais, me retirer je reviendrai demain matin à la première heure, en compagnie du che-f de la Sûreté ̃et du .juge d'instruction. En attendarit,f-des agents vont garder à vue celle que voua accusez, afin qu'on/puisse l'interrogea' ici-» -mêitte dans quelques heures.

̃ Georges .n'entendait plus ce que lui dl* sait son interlocuteurv

Une seule pensée r-obsédait sa fillette, si belle, et si mignonne, allait être taansportée.à la Morgue et livrée au scalpel l'autopsie <̃̃̃ D'avance, il frémissait d'horreur.

Il lui semblait qu'oa la lui tuait deux fois

Avant de partir, le magistrat, très étaut au fond, lui sen-a longuement la main Allons, .monsieur, -ne vous laissez pa'S! abattre 1 Vous -êtes un homme Pensez à- la mère qu'il va falloir- consoler Vous allez, avoir besoin d'une somme d'émergie' considérable t .-̃

Merci monsieur le., commissaire,, bai-. butiale père éploré je. n'oublierai jamais votre sympathie Le représentant de. la loi sortit.

Quand il fut dans la rue, il essuya; u'riS larme, furtivemsnt; ix>m que sûnr&e&rétaiiïa. ̃ne yH.i>as sa laibleisse. -• ̃

~i~~


WATATIOM

Four les Jeoj fliymplqueg

Les représentants de l'Angleterre sont choisis, les nôtres seront désignés le 21 juin. Quelle sera notre équipe nationale de water-polo ? ?.

G'est aujourd'hui que seront clos, à Londres, les "srïgagemeints'' pour les 'prochains Jeux olympiques. ̃ 't Angleterre, a fait:. disputer ses éliminatoires samedi dernier 'dans "-la piscine du Stade. Nous en avons donné le compte

rendu.

-Voici maiaitenaht: la liste officielle des Wageuirs choisis par l'Amateur Swimhring Club pour représenter les couleurs anglaises.. ̃' 1Ô0. mètres. –VL. Derbyshire (Manbliester), S!" Docknell (Dublin), P. Raamilovie (Cardit)-, Â. T-yildesley:.i(Tyl<iesley), C. Edwards (Chester), J. Innocent (Lond-res).

400 mètres. -H. Taylor -•̃(•ChaddertonJ, P-. Radimilovie' (Cardil), W, Fo.ster (Bacup), S. Blatlierwich ̃ (Shei-ffleïd), S. Battersby (Wi- gan), A..Unwin (Slieffield), H, Hayhes (BdinbQurg),3'i.Sharp. (Lojidres). ̃ 1.500 mètres. H. Taylor (Chaddërto'm), P. .Radniilov.ie..(Cair<:lii))..S-. Eattersby (Wiganl, W. FOstêr; '(Bacûp), ï. Jarvis (̃Leicester), $. Blathei-wk-n. '(saielfteld)* L.; Moist (BiraTiingnam), B.-H.. H assel (Londres). ̃̃.̃ 200 mètres -la Tirasse. W. Robinsoiî- -"(Liverpool)," F.- Holm'an (Exfiter), .P. Courlman

dytincliester), H. Naylor (Londres), S. Gôoday

(IiOnidres), A. DaVies (Lbridres)'. v v .'̃̃ 100 mètres. sur le dos: A, Unwin (Sheffield), R. Taylor (Rotherham), N.- Haresnd'pe (Liverpool), S. Rçirvin (Londres), S. Willis (Mai ethesteri, .Ç. 'Lewis (Oliëlteiidiâïri), E. Seawàrd (Hastings): ̃ ̃

Course par équipes (200 mètres par êqui..piers), 1. W.. Foster (Bac-.up),- 2. P.. Raduii-

1-pvîc (Cardil), 3. J. Derby &h;ré (Manchester),

4 H. Taÿdor (Ghad~dertun~ ` (M~ ~hesteT,)'

4'.1 H.: T-aylor (Ghadderton). ̃ ̃

Waler-polo. –But S. Smith (Mancliester), capitaine arrières G.t;TNëyi.nson (Salford), G. Cornet (Ecosse) demi :T: TliouM (Welston super Mare) avants G. Wilkinson ̃ (Hyde), P. Radinilovie (Carclif), Forsyth, ̃̃̃̃̃̃ Plongeons. H. Smyrk (Londres), H. Ciraiiok (Boltôn), Erringtôn;(LôndïJis), E. Pott (Londres), H.. Clark (Londres), 0. floare (Lon, drés), A. Cro&s (Lon-dres),- A. Beckett -(Londres), B. Taylor (Londres), J. Bull (Londres), E. Webb (Londres), M. Aldous (Londres), H. Goodwdrth- (Londres),; F.- Cane llioadres):, I. Collins-(Torquay). ̃-̃ ̃̃•̃ •• Nos, représentants sont engagés

Les :éliminiatoires françaises ne; sont pas encore disputées elles auront -lieru le dimianche'21' juin prochain; à la piseinè de la gare,-de midi a deùx-héures; ̃ Les éaïg-agemeirits sont pourtant ,dé"jà parv tis et voici l'a lMè' officielle dès" nageurs français engagés. 100 mètres.' Vasseur (Libellule); Meister (L.), André- (L.), André (L.-), ̃ Gentilly (C.A. Melunais)', Guybet '(F.C.A.F.)..• -400- mètres.– Roux: (S.C.U.F.), Renou- (L.), Rigal (L..)i Decoin (Ll), Landais" (E.C.A:F.j. 1.5Q0rvïètres. Theiw'iet (S.C.U.F.), Drigny (S.C.U:F.'),-Vass"eur (L.), Renoa. fL.), ïouault (L.), Beaubiat (S.C. Choisy-le-Rdi), Taubé (A. S.F.), L. Maréchal- (F.C.A.F.), Duriez (F.-C- 'Plongeons. Yiglietti..(S.€.C), Briard (S.C:C.'),Ren.pu (L.), Feret (L.), Meister (L;), Landais IF.C..A.F.J: Gomme on le voit,, les. engagés sont peu aambreux ils cemprerffletLt ineanïBoins les -noms de presque- -tous* nos- meilleurs na-"geurs parisiens. Léâ pr-ffvinciaus: -ont fait. la sourde oreille-. ïlegrettôns-le car la préi sence de 'xn-ageurs- de valeur comme Mer;

Anémie profonde^

Çfl^isoïi rapide Encore un succès pour les pilules Pink Mlle Marie Beaumard, de Cliolet, a fait i'étonnement de ten-tes les personnes de son^entouxage. "Profondément anémique il y a -quelques se maiaes.encoire,. faible à ne olus pouvoir, tenir s.ur. ses jambes, elle se ̃montre, maintenant 'avec, une mine réjouie, »ll-e va, vient, travaille- sans fatigue et est m parfaite santé..̃ ri.

( Mlle Marie -Beaumard

s< Les pilules Pink. ont e\Tun effet. merr veilleux, écrit-ell-e, et je leur dois.de me l>ien: porter actuellement- après avoir été très malade. Depuis longtemps, j'étais anémique, et malgré de bons soins, je ne parvenais pas h me rétablir. Je ne tenais plus sur" mes jambes, je ne pouvais plus faire même "un petit ouvrage de ménage et je passais toutes mes journées assise. J'étais très pâle et j'avais toujours froid. Il fallait nue mes parents se fâchent pour me faire manger. Je maigrissais et il semblait que ma peau aux oreilles et aux mains était devenue transparente. Je ne dormais presque plus enfin et l'insomnie avait achevé mon épuisement. On m'a tant conseillé les pilules Pink et j'avais été- si ..désappoinitée. »ar les autres traitements, .que j'ai voulu faire une tentative avec ces pilules dont :tout le monde dit tant de bien. Elles ont eu, je suis lieureuse de le dire, un effet surprenah,t, puisque après les avoir prises pendant cinq semainë-s, tout' le ̃ monde ine disait que f avais déjà beaucoup changé. Mes couleurs: sont,, en effet, -revenues très 'vite meslèvres sont, .devenues roùges^'la pâleur du visage a disparu. Je me suis gentî de ra,pp©tit, j'ai bien mangé; j'ai re'trouvé mes forces, et: je -.me suis mise" a engraisser. Je travaillé maintenant, car je fié me sëne plus aucune fatigue. » Mlle Marie Beaumard habite .chez ses parents, à Cholet (Maine-et-Loire), boulevard •Guichouteau. Pauvres anémiques, pauvres jeunes filles au' teint pâle, à la démarche languissante, .:»iou-s pouvons vous guérir et vous redonner cette bonne mine de vos camarades bien "portantes que vous enviez tant. Nous met-,tons sous vos yeux le cas de Mlle Beaumard et nous vous disons Si les pilules Pink lui. "ont redonné la santé, il n'y a pas de raison /pour' qu'elles ne vous la rendent pas aussi. Les pilules Pink ont -guéri d'innombrables cas d'anémie:, .chlorose, faiblesse générale, maux d'estomac, migraines, név,r.a,l̃gies," sciatique, i*h.umatismes,- neurasthénie. Elles sont aussi bonnes pour les hommes que pour les femmes. On les trouve. dans toutes les pharmacies -et au dépôt, -Phaj-niaç.ie..QabJin,' :23^ rue' Ballu, -PaTll^

3'5Ô la boîtet 17 M 50 lea:Sdtes,

fjt&aç% ̃ '̃̃̃-̃ ̃' ̃ ̃ ̃

"SSSSB' ~BES!S BNB- C~ESB 'ftBBMW~Bt' ''i<ŒU BSN~MHftrûtii' f~MMWsn!!) gu~M~m'mth M~yj~tMMum) 'M~aMjt ~Ma fBpt~ M~N~St

^li^:r;?;j^S;S-O^|X'?ir-g-

:aBSaa«a,~Ert~Bt. ,<a~ ,t~ .)B8MMda. ,~s~ tËaB~so~ ~h <& Bah '~sb 's~ <~EE~

chez, Àrtusio, Vidàjine, etc., aurait certes -décuplé .illin ter et..de ces .intéressantes élijninatoires.• r. Notre .équipe de water-polo

Pour la formation de notre équipe nationale de water-polo, la commission centrale de ru.S.F.S.A. a certes employé le meilleur moyen le mà.tch de sélection. Deux équipes composées des meilleurs joueurs: français se. ̃rencontreront lors de e la fête de Choisy, le 28 juin prochaiinJ Notre team national setca formé à l'issue de cette partie. ̃ m 'Voici quelle sera la composition des équipes.. •̃ ̃. ;̃• -'̃ '̃̃ •̃ Equipe probable. But Verlet (C.A.P.) arrières Chalaye (L.) Landry -(C.A.P.) demi Vasseur (L.)-; ayante Decoin (L.) Merchez (Lille) Rigal (L.-). Equipe possible. But André (L.) arrières G. Bilot"(C.A.P.) C. Bilot (-C.A-.P.) •; demi: Peùtat (L.) avants Beau (C.A.P.),' Andrieux (G:a.P.), Martin (C.P.A.). Remplaçants. But. Denançç (S'.CU.F.) arrières Bàlthazard (L.), Lauffrày (L.) demi Theuriet (S.C.U.F.) avants Rehou (L.), Meister (L.), Bonhomme (U.S.Clicny). L'équipé "vainqueur de cette belle rencontre sëa-a certainamentiCiapaBle de mettre en échec les fneillauirs; teams étrangers et- par. conséquent .dei. faire, triompher. les

couleurs tnamçaisçs. ̃ '"V

̃̃̃• '̃̃> '"<¥̃ ^Cri V DBIGNf» h

Tous les renseignenients concernant « LA Vie Sportive » doivent éfrq adressés à MM. Daniel Cousin et Armand Massard: LA :MOTO€YÇLETTE [ Le premier championnat de France

L'Autocycle Qub- de France organise; pour le 23 juillet prochain, sur, la piste du Vélo- drome du.Parc-des-Princes,, le premier, championnat France, de-la motocyolette, sur une distance de 100 kilomètres.

Pour -participer à cette épreuve, les motocyclettes devront être du- type commercial, c'est-à-dire munies des deux freins réglementaires, de' garde-boue- à l'avant et 4. l'arrière, de pneus démontables et de pédales embrayant- le moteur et pouvant le mettre en marche, ̃ .̃̃̃̃-• :̃'

Les extrémités du garde-boue arrière et 1-' extrémité arriè're du. garde-boue avant, ne. pourront être.: placées, au-dessus du centre de la roue. 1;

La. largeur des garde-boue deyra.pas être mf-érieuire à 50O m/m.

-Ge. çliamipionnat-sé courra" par. Séries, demiflnales-et finale. En aucun cas, le nombre de coureurs ne pçurra excéder six .par série. Dans lès séries, demi-finales et finale' le. départ s-era donné- simultanément à; -tous les

concurrents. ̃

Les. deux premier"? de-- chaque série partici- peront aux demi-finales," et les deux: premiers de chaque demi-finale- seront -qualifiés pour'la finale,' dont le -vainqueur sera, déclaré-, Champion de. France pour, -J9Ô8.. -r

Les engagements, lîmftës à trois par mai-,son,ser<3nt:_reçus aur siège social d-é-l'AX.F. 23 et 25,-rue ^ean-Jacquee-Roûssëaù, jusqu'au 30 juin, accompagnés.d'ûn.- droit de. --25 francs (20 francs j>our lès membres 'du club), ce droit :sêrâ renïbo'drse au .préfflièp- de-" ëna-que- sëriev.: î î La coupe des petites motos Dimanche procîiain, sur un parcours' de -120. kilomètres,' le. Mot-o-.plub de Marseille fera" ̃disputer,, pour la deuxième fois, cette intéres-

vSàçit© èpreSive. qui a réuni-. neuf- engagements.;

-Grand choix- de voitures d'occasion' LORRA1NE-DIETRÎGH, garanties revues aux usines de Lunéville, force 12 60 HP.- PEBICNON & ROUCiER 13, rue Descombes, 13 (17« arr.].; Tél. 519-Î9.

M A BBS' à M~ BB ?M'E'

CHÂBiMTES PRIMES

h. NOS LECTEURS Dans le but d'être agréables à nos" lecteurs, au moment du départ pour la cam-pagne,'oùl'bn a besoin d'objets de goût et à bon marché, pour l'ornementation des maisons, nous leur offrons les véritables occasions que voici T

PREMIERE PRIMÉ. Un thermomètre bronze, unvase en porcelaine décor Pompadour et une glacé- à main: avec garniture métal Wanc valeur réelle 25 francs livrés-- pour 5 francs les trbis pièèès. DEUXIEME PRIME. 2 vases fleurs genre grès flammés valeur réelle 30 fr. livrés pour S francs les deii& piètes. Les deux vases peuvent être remplacés par deux porte-bouquets genre grès 'flammés. Le nombre de ces primes étant limité, il importe de se hâter^si i 'on veut en bénéficier. -̃̃̃ ? Elles sont livrables tous les jours, de 9 heures du matin à 6 heures du soir sans frais, dans nos bureaux, 4M, rue Montmartre, Paris {%>). Pour les recevoir par colis postal et avec emballage dans une caisse, ajouter en susdu prix de 5 francs pour la première prime, en gare.Fr. 2 30 à ̃domicile. i. 2 55" Pour la deuxième prime,

en gare 3 25 à domicile. 3 50 Ces diverses •primes peuvent être réclamées en remettant dix des bons ci-joints qu'il suffira de, découper* ̃

BON DE LA «PRESSE» donnant droit avec le paiement dci.fr. AUX PRIMES INDIQUÉES

̃u muni ;8npa m mas La Chambre syndicale des hôteliers avait voulu associer à' sa' fête annuelle les conseillers municipaux anticollectivistes de Paris et les avait invités à prendre- part au Banquet amical qui couronnait, hier soir, une '.charmante excursion dans la forêt de Sénart. Autour du ^sympathique président, M. Verny, de Mm& et de Mlle Verny, de tous les membres de la Chambre syndicale, avaient pris place, à la table d'honneur, un, grand nombre de conseillers municipaux. 'Citons MM.- DuvalArnould, Joseph ..Ménard, Galli,.Dausset; :Dënais, Grébauval, Levée, Achille, Pànnelier, Le Menuet, -Miniot,- Gaston. Mery, Peuch, Le Corbeiller, Girou, Emile Massard.

Presque tous ont pris la parole pour remercier. M. Verny et de l'hospitalité de-. la Chambre syndicale et de la charmante aUp.cution que, le premier, il prononça à l'heure dès toasts. Presque tous les orateurs aussi, et notamment MM, Joseph Ménard,, Miniot; -Joseph Déliais, Pànnelier, affirmèrent .l'union de tous les élus de Paris, sans distinction d'opinions politiques, pour .la défense des -iiiitérêts économiques et professionnels. II était près de minuit lorsque se termina, de' la manière la plus cordiale, cette charmante réception. ̃:̃ r.

LES RAPATRIÉS DU MAROC Le comité central de secours aux Rapatriés du Maroc, présidé" par Mlle' Louise Abbema, a donné, jeudi, dans.laMaison.de convalescence des coloniaux, à Sèvres, une grande -fête champêtre qui a obtenu un grand succès.

1 -Une nombreuse- -affluence a assisté aux diverses parties du programme,7 soit dans la. sa] je -de concert,' soit' dans le parc,' au -théâtre- i: verdure-; -les fëlicïtatifl'ïls et les

^bplf'^digsejneîjts n'ont" pas été. >inéïi<agés

LUTTE'

PETERSEN CONTRE TOUS

Une nouvelle sensationnelle nous est parvenue hier le lutteur danois Pétersen, champion du monde ,1902, vient de lancer un défi, avec enjeu de 25.000 francs, à tous les lutteurs du monde entier.

C'est à la suite de la grande victoire qu'il a remportée, à Païenne, sur le fameux. Paul Pons, que le valeureux Pétersen s'est décidé à provoquer tous les r-oi.S. du.: tapis. Ce crâne, défi sera-t-il relevé ? Verronsnous contre Pétea-sen le: cosaque. Padoubny que quelques-uns, -considèrent' comme le meilleur chanipion ? Assisterons-nous à la rencontre du danois avec Kock qui vient égalehient de tomber Padoulxnj- à Chemnitz (Allemagne) ? AJloai-s-^n-ous revoir 'Zbysko qui ne fit qu'une bouchée de Lurick, champion .du monde 1906 ? Et Hakemschmidt, qu'en pense-t-id ?.̃.

En un -mot, 'tous- les, champions sont provoques," souhaitons qu'ils viennent défendre leur chance, nous assisterons ainsi au véritable championnat/du monde.. Nous. aurons là, une' occasion unique qui nous' permettra de voir tous les meilleurs lutteurs aux' prises.. Alors que tous les "ans, nous ayons deux ou trois -championnats, nous aurons, si le défi- est. relevé, une série de combats dont .sortira vainqueur un seul hôinme q,uî' méritera' i^êëllement le. titré:

̃«<, iC.h'aiiipïon des Chaiïïpions >}̃ ̃

l En; pj.ejnj air, ̃en plein" Paris1- >'

Pour un tournoi de "cette: importance, il fallait trouver un cadre.'qui permette.1 à tous de. suivre les plus petits détails des batailles que' nous vaudra le défi de Pétersen. Aussi le danois a-t-il. demandé: à. la direction de l'Âlcazar d'Eté

de vouloir bien lui- prêter sa magnifique salle,: où, à partir du 1er juillet, il attendra, ses adversaires. ̃' II est bien entendu que celui qui tombera Pétersen- touchera 25.000 francs. Mais, afin" de vrécompanser ceux qui auront le mieux résisté, un comité de sportsmèn' a offertuhe somme-, de/20.000 francs qui sera réparti entre" les plus oouirageux. C'est donc, au total, une somme de 45.000 francs q'iii.sera aittriibuée au plus, passionnant tournoi du monde.

LA MARQUE A LA MODE

Lès amateurs de. voitures Renault frères, de toutes forces,' neuves ou d'occasion, doivent s'adresser- à ̃

MM. C. POCNON & C»« -SI, avenue des Ternes,- 91, et "rue WaldeckRousseau, 9. (Téléph. 52S-M.)

l l'AUTOMOEÏlE .,̃ Les voitures de tourisme à Londres .Londres, 11 juin" (de notre correspondant spécial). C'est auj-ourd'hui qu'a comimen- ce" la grande épreuve -internationale des 2.000- milles,- organisée par l'Automobile Clûb.de (iranide-Bretagné.- ̃

̃ Ta*ente-neuf concurrents ont pris le dé- part, donné à neuf heur es, -pour i' étape .Londres-Nottùigham", soit 207 kilomètres. iM>L. Réné/de Knyff, ..de TAutomçbïle Club 'de France," Loiseï, etc. étaient présents. ̃ .Demain, les, voitures quitteront Nottinjgham ̃ pour gagnea1 New.ciisile, 258 kilomè- 'très. z- I. de M." "̃/ ̃'̃ .̃- La; voiture â: six roués.

Notre confrère « La France' automobile.' »̃ vieiit -de réunir: -et de.pubilier en brochure une étude tr.ès -intéressante -et- très documentée sur les^ voitures à 6 roues, qui avait. '.déjà, paru-dans', ses colonnes.

aux excellents. artiste's qui se sont. fait entendre.. ̃ .Citons Mlle Isabelle Forère, Mlle, Mily^Meyer, Mme Paùle- Marsa, Mlle Valentine Ver lain, Mlle Gladys Maxhancé, Mlle B:eer, Mlle Berland, le b'arde Botrel et Mme Bo1trel, M. Duard et Mlle Jane Faber dans urne' parade" désopilante, M. Clément Nig-ri, M. Paul Pecque-ry, M. Georges Voisin, M. Rochevillë, M. Leiber; etc.

Le docteur. Méphisto, un prestidigitateur de grand talent a charmé; son tour, l'auditoire pair une série de tours excessivement curieux et bien exécutés. MM. G. Dubois et Pal ont fa.it un combat de gladiateurs, rétiaire et' mirmiUon, qui a remporté un succès- considérable. Un Malgache, Rainandriamparany, a joué du;« vally », etc. etc. -• 'M. Hurteaux était régisseur et M. Belleville' tenait le piâiio d'accbinpiagnement. En résumé, belle fête, et concert remarquable "la~ tombola sera tirée ultérieurement, les lots continuant à arriver de jour en joun-

Un dîner champêtre a retenu, à" Sèvres, un grand nombre de convives, et ce n'est que vers 11 heures que les .assistants se sont 'retirés, enchantés, après .avoir encore enjtendu" quelques-unfi des .artistes qui avaient; bien voulu rester, a cette soirée

improvisée.

~o~~s, cc~~Gg~c~s so~EU~i~~s

'r CE SOIR

Conservatoire des Arts-et-Méiiers.' A huit heures, M; L. MabiMeau.: Assurance. et prévoyance socisies. -M. A: Verneuil Chimie appliquée aux industries des chaux et ciments, céramique et verrerie'. M. J. Imbès Filature et tissage. A neuf heures un quart, M. E. Levasseux Economie politique et législation industrielle. M. E. Fleurent Chimie in-

dustrielle.•"̃̃.

Société philanthropique « L'a Picardie ». Tous les Picards résidant, à Paris et dans la banlieue, se réuniront a huit heures et .demie, café de; la Gaîté.' 1, rue'Papin (square des Arts-et-Métiers). •.? -̃̃

"'̃̃ ̃ DEMAIN

Muséum d'histoire naturelle. M. Edmond Perrier fera son cours à deux" heures, dans l'amphithéâtre des nouvelles galeries. M. Verneau fera son cours à trois heures dans le même ainiphithéâtre.

.-Mme Madeleine Eemàire fera son cours d'étu-de des plantes à la même.héure. M. ^Stanislas. Meunier fera son cours a cinq heures dans ramphithéât-re de la galerie de

minéralogie.- ̃

̃: Eéuaiea Hippique Militaire .Le grarid1 ral-lye -.anhiiel'la" Réunion, .hippique. militaire^ tracé dans lès -hauts de. Meudon de' façon ~tr es pittoresque par' le lieutenant ©aïrier, du-- J8e dragons, ga-'gnant de 1907, aura été couru- lundi dernier sans résultats par: suite' d'un'"acci<ient survenu vers la fin" de la course. A" 1.500 mètres environ du poteau d'arrivée, un oayalier de la tête roulait terre,, une êfcrivière, s' étant rompue, et ses camarades revenaient-sur leurs pas, croyant, fort heureusement à -tort, une chute très" grave. L'officier qui m,eniait. le 'train ayant proposé 'spontanément au commandant. Saffroy, président la Société, de reporter l'épreuve,- tous se sont -rangés. à. cet avis et les prix du président dé la -République et des ministres seront disputés: au. rallye- traditionmel d'automne. Mais, d'ici là, nos officiers des' réserves ne resteront pas_inactifs.-oar, dans quel-,quffs semaines, soit .le' dimanche 5 juiitlet, ils se retrouveront dans la région sud de Paris pour y effectuer un raid-reconnaissahee à roccasicHi duquel un prix spéciale, .été .accordé par .le ministre, de Ja guerre, président d'honneur de.Ift Réuikigait h$Çji>i-

̃quô i nàiiitairek.; v-- ̃

On sait combien ice dispositif nouveau de châssis à 3 essieux a trouvé de partisans dès son. apparitiorf, entre" antres la Société LorrainerDiétrich qui en a acquis les brevets. Le volume est en vente au prix de. un franc; chez notre confrère, 68, avenue delà Grande-Armée.,

Le Grand Prix Cycliste N^près-demafri à Vincennes

Encore, quarante-huit lie lires, et la foule des. spoirtsmen parisiens envahira la coquette enceinte de la piste du bois de Vin-' cen-nes,commencera le premier. acte du grandiose meeting municipail. Nous avons -dût ici tout le bien que nous pensions de cette manifestation unique, au cours' de 'laquelle" se dérouleront les plus sincères batailles cyclistes. Nous avons dit combien "méritait d'être encouragée cette fête sportive dont les. bénéfices seront employés à soulager- les pauvres de Paris. Nous avons dit tout l'intérêt que pirésenfait les épreuve?, que nous vaudra, le pr,o^gramme de cette, belle première journée. Aujourd'hui, nous avons pu constater « ide viisu » que !tout était complètement, préparé pour recevoir la foule sportive qui 'i •viendra-' applaudir nos champions. A toutes les places, le public sera parfaiterneait installé pour, suivre les coursés de plus, des veîums, très ingénieusement disposés, mettront les spectateurs ..à i'abri du soleil ou' -de la pluie.-

La Fêle de la ̃« Libellule" Angleterre contre France. Deux passionnants matches de water-polo. Tous nos Ghampioris amateurs en ligne La grande fête internationale organisée, 'demain, à huit heures trente du soir, à la Piscine de la Gare, par hiOita'e -grand club amateur, .<( La Libellule », s'annonce com-.me devant être un des grands" events nautiques de la saison.

Le clou de cette soirée sera, "sans contredit, le beau match de water-polo francoanglais qui. mettra aux prises la Libellule, champion de France, et le Swimming Club d'Hastings, champion du Sud de l'Angle-

terre.

Qui gagnera ?

Un pronostic est- difficile à.- établir, l'équipe anglaise est- en .merveilleuse condition elle vient de triompher,- facilement d'un des meilleurs clubs londoniens, le Cygfrus Swiniming Club' ;'̃' d'autre part, les joueurs parisiens se sont consciencieusement entraînés en vue de cette manche et escomptent fermement la victoire. Tout fait donc prévoir un" match acharné ;et une victoire chaudement disputée. "Le programmé, outre ce" grand match, comporté deux courses, un 50 met. scratch et un 100 mètres handicap, qui ont réuni de très nombreux engagements.

Tous nos grands clubs amateurs seront représentés et nos. champions Meister, Rënon, Theurieil, André, etc., auront pour adversaires les meilleurs nageurs. d'Hastings. "Un grand concours' de plongeons verra en ligne tous nos meilleurs spécialistes, le champion de France amateur Renon 'en

:têb&

Cette soirée débutera par un, second match de water-polo qui sera aussi des plus disputés l'équipe première du Sporting Club "Universitaire sera opposée à l'excellente équipe seconde de la Libellule. Comnie on le "voit, cette belle fête s'annonce sous les meilleures; auspices et nous promet toute une 'série de luttes acharnées.

̃– .g.d."> -•-

eëURSE DE PARIS DU )2 JUIN

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̃V.Parisl865 540., Cotnm. 1879 472.. 47150 -1869 488 486 25 Cinq– 1879 «0.. 99.. 1871 408 -407 FoncièrlS79 501.. MO. Quarts 1871 106 50 100 5& :Comm. 1880 50! 502,. V.ParislS75 537 539 75~ Foncièrl885 455 25 456 1876 53?.. 53s.. Cinq-' 1885 93 50 99 75 ̃ ÎS92 365 50 365 50 Comm. 1891 395 395 Quarts 1892 99 25 89. '1892. 452 50 4.54.. V.Parisl89ô 204 50 3o5 Poncièr!895 461 463 Quarts 1896 97.. 97 25 Comm. 1899 450.. 450.. V.Parisl898 419.7 418 Fonciérl903 497. Quarts 1898 109 50 108 50 Gomni. 1906 493,. -495.. V.Parisl899 405 405 Bons.1887 71 71 Quarts 1899 104 50 105.. 1888 .71. 70 25 V.Parisl904 439. Harseille77 408.. 408. Cinq™" 1904 89 50 89 50 LotsPanam «17.. 108.. V.Parisl905' 387 75 38S 50 Lots Congo 80 5Q ..81. Quarts 1905 94 25 94 25 Suez5%584 50 583 25

Le marché se recueille

̃La Bourse manifeste une lassitude géné-;ïale. Elle a bien mérité, du reste, de faire une pause, après les étapes de hausse qu'elle a parcourues depuis quelques se-; •maines.•'••̃ La Rente Française remonte à 95 30.. Les journaux financiers attirent l'aitteniion,- ces jours-ci, sur le recul accentué du çommeiice extérieu.r de la '̃Gra'nde-B.refcagne. En mai damier, les importations anglaisea®ont tombées à 44.271.217 livres;- en: diminution de 8.3-W.000 livres sur celles dela même période de 3 907, et'Tes' exportations.- n'ont jeté que de 37.500.000 livres, en moinsvalue; de 5.855.000 livres.- L'Angleterre,, 'pasi- plus que- les autres pays, n'éçihappé au ralentissement général de l'activité économique qui a suivi la crise financière de l'automne, mais" il ne faut pas prendire, dans toute leur rigueur,, les -chiffres ci-dessus,; pas plus que toutes statistiques analogues. ;N'oublions pas que, depuis un an,- les prix: des marchandises ont sensiblement baissé,; ̃de sorte que les échanges, fussent-ils Restés les ,mêmes en quantités, ils n'en auraient pas- xioins diminué en valeur.. Les Fonds Russes s'alourdissent encore, ainsi que l'Extérieure. Le Portugais est en reprisa. Faibie-sse du Turc Unifié. Le Brésil 1889 se relève. ":̃

Les actions de banques sont très résistantes. Le. Crédit Lyonnais est soutenu à 1.173. On retro-u-ve nos gratnds chemins de fer a'u'xenYirOfns de Jeurs anciens oburs.Le di-

vidende des actions Chemins de la Camar-

gue, pour 1907, a été fixé à -23 î?aiiçs. Les Giie;iwil-s.'E^agn<)-ls: mollissent.

Lès grandes Compagnies espagnoles &&

chemir~s de fer projettént 8e s'mter~r a

chemins -de fer,' projettent "de s'intéresser à

ji'ex^ioitation^ ûes; nouvelles lignes entre

:h ̃̃CY€LiSME-;}'S-i.

Poulain bat Frîol et le nègre

Favoniëée pai1 le "beau temps, la deuxième réunion nocturne organisée au Vélo- •drome Buffalo a obtenu un gros succès. Poulain, confirmant ses récentes victoi-

res, a enlevé brillamment le match à trois

et le handicap où il partait scratch. Voici les résultats

Course amateur (3.;000 mètres). 1. AvarilIon, 2. Paul Texier 3. M. Texier. Temps i m. 59 s. 200 mètres en 13 s. 1/5.

Prix d'Encouragement (3.000 mètres). 1. Tournàdour, 2. Goven, 3. Defege.Temps 4 m.; 200 mètres en 13 s. 3/5.

Handicap (800 mètres). 1. Poulain (scratch), 2. Martin à 6 longueurs, 3. Quessaxd, 4. Berthet." Temps 1 m.. 21 s. 200 mètres en 12 s.

Match à trois.– 1™ mamehe (900 mètres) 1. Friol, 2, Poulain à un quart de roue, 3. Majoa- Taylor. Temps. 1. m. 33 s. 4/5 200 mètres en 12 s. 1/5..

2e manche (800 -mètres) ':̃ 1. Poulain, 2. Fjiql à une demi-longueur, 3. Major Taylor à une longueur. Temps. 1 m.' 39 s. 2/5 200 mètres 'en 12 s. 2/5.

3e manche (500 mètres) l.; Major Taylor, 2. Poulain à un quart de roue, 3; Friol, Temps 39 s. 200 mètres en- 12 s. 3/5. 'Classement Poulain, 5 points FrioS, 6 points Major Tay lof, 7. points. °

Course de demi-fond (30 kilomètres, deavrière; motocyclettes). -1., Colliris,.en 24 m. 51 s.; 2. Sérès, à 2- toura, 3. Léonard,, à 3 tours-. .•̃̃ .,̃<: Match de m otoey dettes (3 kilomètres).-?- lr0 manche 1. Barries, en. 2 in, 16 s.; -2. OMeslagers (arrêté). •* ̃" manche 1. Bain.es, en 2 in..10, s.; 2.. Oiiesiagers (arrêté). Et maintenant à Yinicennes.

Le Grand Prix de CliçHy

C'est après-demain, sur le parcours Versailles-Rambouillet et retour, soit 62 kilomètres, que l'Union Vélocipédique de Clichy fera disputer son, sixième Grand Prix annuel dont voici le palmarès

1903. Paulnier (U.S.O.), challenge gagné par U.V. de Clichy 1904. Lecuyea: (A.V.A.), challenge gagné par U.V. de l'Ouest 1905. G. Passerieû (V.C.L.), challenge gagné par Vélo Club, de Levallois 19.06. \1aEoton (V. C.L.), challenge gag-né par S.À. Montrouge; 1907. Vadloton (V.C.L.), challenge gagné par S.A. Montrouge. L'itinéraire et les prix

Le parcours est connu de tous, il comporte l'itinéraire suivant ̃: Vea-sailles-Rambouillet. retour par Gernay-la-Villé, Dampierre Voisins-le-Bretonneaux, arrivée en haut de la côte de L'a' Minière (62 Ml.- environ).; ̃̃

Le dépaai,. sera donné à 8 heures et'demie précises, en face' du tir (grille.de l'Orangerie, Versailles). En conséquence le contrôle sera ouvert, à 7 heures et demie et la distribuition. des. dossards cessera à 8 heures ÏK '̃̃̃ ̃•-̃

L'Union Vélocipédique de Clichy a. fait t~ les choses. gTandemenit et, en dehors d'un-,

superbe ̃

̃̃ •̃̃'̃̃' ,ÇhaHehge ̃•.̃ V- ̃' ̃

magnifique objet d'art; l'Agriculture », de: Ruchat, qui deviendr-a la propriété du. Club comptant le plus d'arrivante. dans le .déïair de 2. h.. 3/4. Ce temps permet à tous les Clubs si petits soientiï-s, .de lutter avec avantage^ contre les grands. '.De nombreux prix seront répartis entre les.; mieux classés- dans '-l'ordre ci-après ̃ ••̃ Au premier une .bicyclette- de course avec boyaux: •' au second une paire de roues montées avec boyaux axi. troisième

Madrid.- et les principaux ports de la péninsule dont le gouvernement envisage la construction, lignes qui pourraient leuir créer une sérieuse cçuncurrence.

L'Electricité de Paris sort de sa somnolence et esquisse quelques pas en avant. Tassement des Omnibus. Le Métropolitain est bien tenu ainsi que la Thornson. Les cours du cuivré tendent à se dérober et le Rio-Tinto se replie. Penaiïroya gagne" du terrain;

Indécision de la Sosnovice. La Briamsk se maintient il serait faux que cette Société ait rtotention de fermer son usine de Biejitaa.

Les .actionnaires des Cirages' Français ont voté, pour 1907, un dividenide de 30 fr., dont le solde de 17 fr. 50 sera mis eh paiement le 6 juillet.

En banque, la Tharsis et le Gape Copp&r j-ouen,t. à La bascule la première monte,- tandis que le second descend. LaHuanchaea va s' effritant. Les Mines et Alluvions de Serbie restent sur leurs positions. Les 5 0/0 Chemin de fer de Bu&noâ-Ayxes Midland ont. un marché suivi à 462. Bonnes demandes en obh'gations 5 0/0 Eclairage, Chauffage et Force de Rio-.deJattéiro, entre -41Q et..412.

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juin juin juin juin.

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BOURSE DE BRUXELLES

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VALEUR $D'{ j«n VALEURSJ

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Saragosse (408 410.. Ch-Par.vue 100 '0 100 18

V.-Mpntag. 822 50 830 Esc"bqMi. 2.1/ï S 7/16

BOURSE DU OOfflmERCE DE PARIS

T Clôtura Clôtura Clôtura Clôtura

1S Juin précéd. duipur- prôoéa. dujoar

«EI8LBS ÀVOIKB3

Cnûrârtt, ..17. 17..1D: le 10 t8 13 Juillet 17 17 15 18 05- 18 05 Juillet-Août. 16 80 10 90 17 95 17 80 4 derniers 16 S0 16 90 17 40 17 45 BLÉ9 PAHINE9-FI.BUB

Courant. 'Î2- 2180 2895 2845

Juillet.. t 2190 216c- 23 75 28 65 Juillet-Août 2175 2170 ;8 ?0 Î8 09

4 derniers. 22.. 2185 29 03 28 95

LIH COhZ\

Courant ..54 50 1 54 55 83.. 82..

Juillet, 54 1S U IQ 83.. 82 55 Juillet-Août. 54 W,: -.ïï-50.- 83 50- ̃' 82 25

Juillet-Août. 54. M), 't. ,50, 33 50' ;2 2ft

4 derniers. ̃ 54.7= ..54 50.. _83.82,2» 4 premiers. ̃" 54 50 -54-25 81 25 8(1-59,

alcoois socass

Courant i7 25 47.. 31 12 3087 Juillet 47 75 47 50 al Î5 31.. Juillet-Août 48 47 75 31 Î7 3i 4 derniers iO 25 «0.25 •• 4d'.o,ctol>ra. ,:••• .29.7» .29 62 4 premiers 4W5 4,8 ̃»•

0Hs?FVàtîon8 Sur marché

ï Seigles. Stocb, 2.000 qumtaux.: Circulation

r 250 quintaux, ̃ -•̃ l Soateniir

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Le service médical

L'organisation, sera en' tous- points par- faite. C'est ainsi que le service médical est! d'ores et déjà assuré, au départ et à raril-i vée, par M. Ouvrier, des ambulances, -de/ Paris, et sur tout le parcours par les secou-i ristes de la section! de Clichy, membres de1.' l'U.V. de Clichy. ̃ Coureurs engagez-vous v Les engagements (2 fr.) sont reçus àûH siège de ru.V.F., 6, boulevard des Italiens^ (Paris). Prière de désigner le de la li-| cence ainsi que les. couleurs du Club. 3-

Pour apprendre à conduire une Voiturette' LION, adressez-vous à- l'agence pour Paris et!1 Seine, des Fils de Peugeot frères. En deux out1 teois leçons, .gratuites pour les acheteurs, vous? pourrez vous passer de tout aide. Lesna & Kuhling, 200, boulev. Pereire; Paria,' CROQUET

r- ̃ i i.^

Les championnats do France ..i,,

Rappelons qu.e c'est ce soir, à minuit, qua' .seront- clos, chez M. Deneubour.g, 22, boule-;•vard du Nord, à iNanterre, les "engagements pour le Championnat de France, double, qui- doit se disputer, dimanche prochain, sur. le, terrain du Stade Français. '̃• T

'• ̃ ÇA '"ET 'Ijê: :̃:['

."̃̃-̃ Les palmes acabémiques .̃>

',̃: M. Clemenceau aime les sportsmen. Âui'. cours de sa visite à Rennes, il décore Mo-; rin, rex-champion cycliste; Pelote basque

Par 60 points à 57,. l'équipe Arrué, Enri-j que, Hégui bat Pépé, Zabarte, Nino, liier,.i au Fronton Bineau. •̃-̃

Delagrange au repos forcé

A Milan, chute l'aéroplane Delagran-i .ge. Résultats: les vols seront suspendus: pendant quelques jours.•̃

Grand Prix d'été aéronautique

Douze ballons, représentant les Aéro-; Clubs de France et du Sud-Ouest, se sont! élevés de Saint-Cloud, hier. Au Bois-de-Boulogne

Au tir aux pigeons, le Prix des Marron! niera" est gagné par M. D.-W. Bishop 9/9,/ 2. Lemonnier^ Les Zélandais battus

A.Timaru (NouveUe-Zélande) une équipfe anglaise de rugby ^bat la South Canterbua-y;! Union par 12 points, à 6.. Remise en signe de deuil

Fixée au 14 juin,, la .grande réunion, d'esv? çrimie scolaire est- remise au 21, par suite de la mort d'un- escrimeur.. ''̃̃ Encore .une belle réunion '̃̃

A la Croix-CateJan-, le 21 juin, après-miclf/ "sè disputeront les Grands Prix annuelsdr

Racing-Çlub de France.; ̃

Au k Ramuiîtcho »

-Les séries du championnat de pelote bas»; que de l'Union ':« Ramuntcho » comanenee.-?j ront dimanche, Sâint-J âmes. w Pour les cyclistes batignollais

Sur. 50 kilomètres (Corbeil-Melun-Réain et retour), sera couru, dimanche prochain^) le Championnat deg-'Batignolles.- LACOSTE ET BATTMANN

Les voiturettes-Lacoâte et Battmann, ,'deh 6 chevaux 1/2, 6 chevaux et 9 che'vaux,:Sohti| les mieux établies, les 'plus solides, les plus; rapides et le meilleur marché. ̃

Avoines. Stock, 27.000 quintaux. Circulai tion, 8.750 quintaux..

Soutenu. `

Blés et farines. Stock blés, 41.250 (juin-- taux. Circulation,' 11.000 quintaux. ̃ Faible. ̃••

Stock farines, 29.700 quintaux. Circu.latiûi)! Stock farines, 7upmbeac¥eambeacvarubaeevai 2.100 quintaux.

Faible.

Alcools. Stock, 37.000 pipes. Circulation* i 4.725 pipes. `

Faible..

Huile de lin. Stock, ,12.350 quintaux. Cir-' culation, 1;350 quintaux.. r

Calme.

Huile de colza. –.Stock, 4.90O.quintaux. Ciiy,1 cuation, 3.600 quintaux. Faible.̃

Sucres. Stock; 1.059.72.0: sacs. Gijtulatioiv.' 44.200 sacs.

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Sucres roux,-27.875. Sucres raffinés, 63. Non compris la taxede 2 fr. (loi du 31 ian;«> vier-1907) -,•

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BOURSE DU HAVRE, 12 JUIN Cafés. Calme. Ventes, 2.000. Juin 41, juillet 41, août 40 50, septemb. 40.75J1 -New-York ^.Ventes, àlOOQ. Juin 595, juillet 595, août 595, septembre 595.-1 Cotons. Calme. Ventes 1.200. Juin. 74 25, -juillet.. 73, août 7175, septem-i t bre 70. A New-York. Juin 1.013/ juillet 1.012, août; 991, septembre 963.

Laines. Calme. Ventes 150. ̃

Juin 137 50^ juillet. 138, août 139, 'sèpteins?1, bre 139 50 .̃;

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LES FAILLITES LIQUIDATION -JÛblGIAÏRE

Vu 11 juin 1908.

̃Droubin (Jean-Joseph), -'ayant tenu établisse- ment de bams'ra"Paxis, boulevard du Temple! 13, demeurant actuellement .même .ville..M«j Faucon, liquidateur. V- ̃ '̃' -̃' FAILLITE

̃̃ '.̃̃•' ̃ DM 10 juin ï908j

Màmer (Pierre),- ébéniste; -Paris, rug, ÏÏ8J vMoritreuil, 3?- bis. &L ̃ Moria,. sya4Jfi«


I: :0QUrS£S:'à:' LOfigehaflip SAMEDI 13 JUIN 1908, A DEUX HEURES

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:Cîi.Bartholom|3 Bury 54Â Ravensbu'ry et BaToness. Ch. Bariller Speais

~Ch i3l B ury 5 4!, R-a~,ensbu!ry et Ba-roness. Ch. Bariller spea~s

ide^Fontaroe. {3 Rosé 54| Moulât et Rhodésia;1 Lawxencb Ryan

Pernod s'est placé, à Chiantilly, derrière :Chaimpfleuri at Flamingo, de<vant Bona;fous, Guirlande, Keïla, Kasta, Bury, etc. ^Constance, .après avoir enlevé un handicap, .a succombé à :deux -reprises, suir des distances un peu longues pour ses aptitudes. (Parmi les;trois anè; JackdaWi LongoKamps,

PRIX DE FERRIERES. 4.CO0 fr. 2.200 mètres environ (M. P.).. ,• 1.

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.<<"d€Be'rtcux3 Quartz .M. Upa.s et Kildonan. ChCunniDgton Halsey

too'de Berteux 3 Quartz 56. Upas et Kildonan Gh CunniBgton Halsey

iCte Buohaiv. 3 Quolibet 56 Gard#feu ©t.- Moulin Rodgè.. Lavis X. 'Mlm. Blanc: 3 DifMati 56- Saxon et La Malmaison Denman ̃ G Stern 'J. Hennessy.. SiJcker 56 ôaint Damimi et- Bensiv® îac<ni«nfiln Non partant' ̃A.- d'Ai^nberg 3 Quamoolit. 56. Upas et Rosa May C. Cuimington M. Henry m. Dutillèui. 3 Napoléon I«. 56 Aaron et Slax Propriétaire X. i-d-e Fontarce. 3 Be" Sweet. 56- Gardef-eu et Bérengère.̃. Lawrence Ryan Caan. Blanc. 3 Beauîort 56 Reiz et La Renommée W.Cunnington Beaumé il,O.-Rœderer 3 Frelon 56 Lauzun et Mag. W. Carter J. Childs O.-Roederer 3 Figaro 56 Fourirs et Marion Fisher W. Carter Non. pariant C. Vagliano. -3 Red Bluff 56 Saint Angelo et -Rosette. F. Carter F. Hardy ^Champion 3 Roche d'Or. 54-J Flacon et Lady Hungerford.. M. Pantail J. Lans .'AoJ.Lo Héron 3 Wago>nn*° II 54» Le Nieham II et Winifed C.Bartholomew Spears

«F-relon, Sébasiieoi et BuAter Bail finisIsaient jeudi assez près les uns des autres, 'deffxière -M. Monestyr, Sisriaonette et Petit ^Parisien, devant Run Over, Quolibet, Jojo> jeté. ©te. Vista Alègre a bien couru conitire Indiaaio, ppé«édant Lucrèce, II, Scarboirough, Run Over. Joker vient de se placetr

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:E. Bensamon 3 Junon 54 Paimiste et Héro. ̃ Lawrence Ryan

.F. ChaTron. 3 Quintessence 54 Gold et Ninon. Bi-ethès G. Stem îA- v;-Eicârd.. 3 Vixen 54 Lutin et Valencia. ̃ W. Flatman Non partant |A-. Pelle rin. 3 Maroussia 54 Lutin et Mor.to.: ̃• ElLCunningt. Davis fH. Deiamârre 3| Cocasse 54 Miguel et Coco-te. Propriétaire Gh. Childs fAch. Fould. 3 Combraille 54 Jacobite et Clochette G. Cuwaiïigt. sr Haisey X. Balli 3 Fourche 54 Trident et Mistress Freesnan F. Pratt M. Henry ST., Piat. 3 Cabane 54 Saint Damtea et Cypria A. Watktns Hobbs de'Nexon.3 L. Douglas. 54 Lutin et LMy Jaoobite G:Ba.riholàiQew G.BartholomeW !j.-C. Boulier' 3 "Extase 54 Miguel et Excuse. M. Pan tali X.

I Revanche vientde succomber contre Cyriïios ét-Sign-or ses autres courses sont bon;-i>es et sa chance' reste appréciable dans ce jlet. La plupart des trois ans ont une ou s plusieurs victoires à leur actif.: Tessie, Mãroussia, Cocasse, Gabane et Extase patuis,spnt. les plus qualifiées. Catoane a battu, à

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| Mortier a enlevé, le prix Edigard GiUois ipar une tête sur Brasero, qui aura six lil?vres pour prendre sa revanche. Depuis, IMortiev.tput en figurant-bien, n'a pas été '.placé dans la prix de Dangu, Elysée n'a pas mal couru dans la troisième manche du j,prix La Rochette, où il précédait Mont Mé-

PRIX DE MEUDOH. 6.000 fr. 2.400 mètres environ (P.P.).

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ÎH. Ternynclc. 3 Jojo 54 Palmiste et Lavinia EH. Cunningt Non partant J. Lieux 3 Flotan 54 Flacon et Mlle La Fontaine. Martin Ch. Cbiîds

&ae Decaz«s.. 3 François II.: 54 Tibère et Mile de Fligny. G.Barttroloméw tien parlant

A. d'Arenberg- 3 Quatrain 54 Le. Samaritain et Hysteria. Ch. Cunningtoï M. Henry

de Fontarce. 3 -Rienzi 54 Alîiambra III et Régane Lawrence Ryan

3e Fontaree 3 Rienin o~r AIWra ITI et Regarie Lawrence Ryan

•i', M^l-er. 3 Signor 54 Whittier et Servlcdora Propriétaire G. Ciôut 3. Hennessy.. 3 Bastanae 54 Ivoir© et BathJMe JacquemÈa Ranscli

ft. V^ïWieirbiH âiRaleigii 5-i EUsmere et Reinette lï\ .Duke J, Childs

:& Henriguet. 3f Professeur 54 Trident et Profiterolle. F. Carter J Horaa

f ECTiciiyr ci m

Opéra, 8- 11. Salammbô. ̃̃̃• j Comédie-Fraiiçat8e, 8 h. 30. L'Autre Danger. Opéra-Comique, ,8 h..15. Pelléas et M&Lsande. Théâtre Sarah-Bernhardt, 8 h. 30. Le Che• 'mineau; ̃ ̃ ̃̃ -• ThéfttrârAnioine, 8: h. 30. V. Sherlock Holmes, -i Ambigu, 8 h. 30. Les Mystères de Paris. ÎBhâteîet. Séances "de: cinématographe à 3 h. et à 8 h. 45. ̃ ♦louwautéa, 8 h. 3a Occupe-toi d'Axnélta Variétés. 8 h. 45. Le Rot. Palais-Royal, 8 h. 45. Nuit de noces, ïe Coup du gendarme. ©éjazet, 8 h. 30. 'Ttre au Banc 1– Le Sar-

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dèrrière Ruche à Miel et Libertine, devant Bouton. d'Or, Aberdeen, etc. il terminait avec Beaufort dans le prix de Gourteuil, derrière Litoun, Cachou, Frelon et Bitok. Diffldati a disputé, sans succès le prix Jui-

gné.

Frelon et Vista Alègfe.

Chantilly, Pour la Patine, uoeaase, xessie, .PMlomène. Extase' a battu Sinaï" et Vista ̃Alègre, puis La Bombe, ̃ Jacinitbe, Tessie, Lady. Douglas elle, a bien figuré, derrière Mafia II et Pi-incess Margaret. Cocasse reste" sur une victoire devant Simonette. Gafcane et Cocasse.

nale, Dihor. et Messager. Arga reste sur plusieurs victoires il n'a pas fait ses preuves de tenue, mais son poids est favorable et peut l'amener en bonne place à l'arrivée. La Sibérienne s'est montrée assez irréguîière.

Arga et Brasero.

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lan et Cani Comba devant Burano, Flc-tam, | Quatrefeu la ligne de Weber II ne le met j pas au-dessus die Signar. Rienzi a battu, •dans un match, Raieig, qui lui rendait six livres et .qui devrait prendre sa revanche. Je désignerai:

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çue lui. Sulçice, en bonne humeur de s'employer, serait, dangereux. Boghari a coUiru la forme de" Scabieuse derrière --Do-mination, dans le prix .Aliçainte. Blagueur et Libertine semiblent préférables au reste du lot. Je désignerai '̃'̃̃ ̃ Free Drink et Boghafi..

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Les fêtes sportiveis s-ont devenues extrêmement rares, et depuis la disparition de la Croix de Reroy et de l'hippodrome de la Marche, où la Société Sportive 'avait •orgianisé une sd jolie réunion, la journée des Orags reste, pour ainsi dire, l'unique ocoasion offerte sans restriction au ToutParis mondain et élégant.

Aussi, lorsque, comme aujourd'hui, le beau temps se met de la partie, le pesage d'Auteuil présente un coup d'œil merveilleux. A,vanrt; F arrivée des coaches, les tribunes étaient déjà envahies et les toilettes les plus fraîches, les chapeaux les plus coquets trouvaient un cadre bien fleuri. Le brillant contingent amené par les mails n'a pas manqué d'apporter une animation de bon ton, et" l'après-midi, s'est passé de La manière la plus gaie. L'exceUenite musique du 5" de ligne jouait pendant les entr'actes ses meilleurs morceaux..

Au point de vue sportif, les prix des D-rags et Soliman, qui sont en quelque sorte la contre-partie du Grand Steeple et de la Grande Cours© de Haies, ont donné lieu. à d«s courses iniéressanites. On ,a beaucoup applaudi les. genilenien--riders qui se. sont •mis en sefle dans .le prix Artus-Talon. Le terraiâi était- un peu ferme.. ̃ Prix du Bendez-Vons;. Toute Bonne II a mené devant Frise II; Benjamin et Nourrice; Au passage devaat les tribunes, Toute Bonne II précédait Benjamin, -Nourrice et :Etoiie Filante III. Rossignol' II se r&ppnõ ch ait dans les tournants, attaquait Toute Bonne II à la dernière haie et la battait' nettement. Benjamin troisième devant Nour.rice.

Prix du Défilé: Cette épreuve s'est réduite à un walk over où Bigourdane a accompli assez carrectement le parcours. Prix des Drags. Salomon, Journaliste et Royal Visiteur ont eu le commaind-emeiat à tour de rôle jusqu'à la rivière des tribunes. Royal Visiteur passait en tête après l' obstacle devant Journaliste, Gil d'Or, Salomon et PimJico. Au huit, Taxamètre, qui1 avait fait des fautes,était seud hattu.Dains le tournant, Journaliste attaquait Royal Visiteur, qu'il réglait après le bu-l-rineh. Pimlico tentait un bon effort sur le plat, mais Journaliste gardait facilement l'avantage. Royal Visiteur troisième devatnt Salomon. Les quatre premiers, qui avaient disputié le Gnand Steeple, ont fini dans l'ordre que leur assignait le résultat de la grande épreuve..

Prix Soliman.– Henri IV a mené devant Frigorifia, Jasmin III et Mlle BonMace. En face, dans l'allée des fortificatipns.Henri IV et Jasmin III se détachaient devant Frdgo-

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rific et Mlle Boniface. Frigorifie était battu dans le tournant de Passy. Jasmin III prenait alors le commandement devant Henri IV, Evohé III et Mlle Boniface. Entre les deux derniers obstacles, Eyohé- III faisait une faute sur le plat. Jasmin III réglait Henri IV après la haie finale et Saint Léonard, -amené de loin, ne pouvait l'inquiéter. Henri IV, bon troisième, précédait de peu Evohé III. Sancho ne terminait pas. Prix Artus-Talori. Zig a mené jusqu'à la rivière des tribunes où il faisait- une grosse, faute. Au huit, il était cependant ipe-venû avec Arminius et Houlette II. Dans le tournant, Arcninius précédait Zig, Ruy Blas III et Houlette II. Dams la ligne droite Golo venait un instant, mais il fléchissait sur le plat, laissant Ruy Blas III l'emporter facilement sur; Arminius et Houlette II. Pris Jdarc'AVrtony. Manne a. mené devant Fleur d'Avril et A-ramon. Un instant reprise, Manne revenait em tête dans la ligne droite et résistait à- l'attaque de Benihassam. ̃ ̃

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Non placés-: Nourrie© (Piggott), Etoile Filante KPCHoHobône), Frise II (A. Carter). Trois longueurs, une longueur.

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25.000 ternes. Distance 4.200 mètres. 1. Journaliste, à M. E. FisohnoJE (Parfrement). 2. Pimlico (G. Sauvai).. 3. Royal Visiteur (R. Sauvai).

Non placés Salomon (Piggott), Gil d'Or (Defeyer), Taxamètre (A. Carter).

Cinq longueurs, deux longueurs et demie. PRIX SOLIMAN

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25.000 francs. Distance 3.500 mètres. 1. Jasmin III, au comte de M.-Huitfeldt (I. Ghapman). 2. Saint Léonard (A. Carter). 3. Henri IV (R. Sauvai).

Non placés.' Evohé III (G. Sauvai), Frigorifie (F. Taytor), Sancho (P. Woodland) arrêté, MHe Boniface (Part rement)

Une longueur et demie, encolure.

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5.000 francs. Distance 3.500 mètres. 1. Ruy Blas III, à M. R. Fenwick (M. Feawickl. 2. Arminius (Marquis de Saint-Sauveur). 3. Houlette II (M. L. de Sarret), Non placés Colo (M. E. Balsan), Zig (M. Missonne).

Deux longueurs et demie, encotore. PRIX MARC ANTONY

(COURSE DE HAIES HANDICAP)

4.000 francs. Distance 3.100 mètres. 1 Manne, à M. E.Thiébaux ( Parfrement). 3. B-anihassam (G. Sauvai). 3. Fleur d'Avril (P. Pantall).

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.'•̃••' Journaliste. Gagnt 22 50 12

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..̃̃ Placé

Jasmin III Gagnt 63 50 3150 <

•4' c Placé. 3550 17 50 <

4- le .1"~Placé. 3550, t~50

7 part. Saint Léonard Placé. 26 50 12 50

Placé

Ruy Blas III (éc.). Gegnt 32 50 18 5- c Placé. 59 21 5 part. Arminius Placé. 34 50 16 50

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Placé.

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AU .ilOURJLE JOUR Avant la première course, onze mailcoaches précédés de piqueurs sont venus se ranger sur la pelouse, face au pesage. Voici les noms da leurs propriétaires 1~ 1

MM. le comte Henri d'Yanville, baron' La Caze, Le Roux de Villers; baron "de Zuylen, E. de Anchorena, baron Corosdy d'Orosd, Marchi della Costa, comte Nodier, G. Pauwels, Pastré. M. le président de la République a reçu hier, à 6 heures, M. Papin, président de la Société Sportive d'Encouragement, et MM. de Rollepot, le marquis de Nieuil, commissaires, venus pour le prier d'honorer de sa présence la réunion du dimanche 12 juillet, à Maisons-Lafntte, où sera couru le prix du Président de la République. M. Falîiàres a accepté. ̃ Un beau vol. in-8° de 200 pages. Prix 100 fi-. En venté Librairie Centrale, 17, rue Saint-Maro -Travail inédit permettant à tous d'éliminer des Perdants sur n'importe quel jeu aux courses, même sur- les pronostics d'un journal quelconque, en jouant un seul cheval par course. ̃ ̃ ̃. Résultats du jeu préconisé par « Securitas » Mars, Bénéfice à Mise égale (50 fr. 3.245 fr. AvTil, Bénéfice à Mise égale (50 fr. 2.626 fr.

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Ces vins sont cotés

Pomerol 200 fr. la pièce Château de Lestrilles 150 fr. Noms rappelons que toutes les qualités de- nos vins ne somit pas indiquées sur- le journal et que nous en tenons la liste complète à la disposition de nos clients qui en feront la demande. VINS ROUGES

Hérault .i.« SI fr. logé Hérault (côtes). 63 « Minervois 70 Corbiàres 80 Limoux 80 m Bordeaux-Palus 90 –i Beaujolais 100 > Côtes de Bourg. 100 m VINS BLANCS

Entre-Deux-Mers 7S fr. logé Graves 80 t–. Saumur 10D La pièce de 225 litres environ, franco à domicile Paris, logement compris. En demi-piècey 3 fr. de supplément. Pour la banlieue, 1 fr. 50 de supplément de camionnage et 1&3 droits de commune.

Les fûts vides seront repris à. 6 fr. la pièce et 5 fr. la demi-pièce à une prochaine commande.

Les commandes sont payaMes comptant ou à la livraison et devront, pour éviter toute erreur, être adressées à M. PIPET, 144, rue Monémaa*tre, où les échantillons sont à ta disposition des clieaaita..pour en reeevoir franco à domicile, adxesser-0 fo65 en timbres poste.

Sur la demande d'un certain nombre de nos lecteurs, nous avons B!wert| un bureau spécial d'assu«j rances où ih fe-puverontsfi tous les Jours, 4e trois àl cinq heures, les renseigne-lâénts. qui leur seront utiles» CHEMINS DE FER DE L'OUEST

Dimanche 14 juin 1808

GRANDE* EAUX A SAfNT-GLOUD Billets d'aller et retour De Paris-SaintLazare à Saint-Cloud lIe classe, 1 fr. 50 classe, 1 fr.

De Paris-Montparnasse à Bellevue 1" classe, 1 fr. 40 classe, 0 fr. 90.

De Paris-Invalides au Pont de Saint-Cloud 1** classe, 1 fr. 70 2a classe, 1 fr.

Derniers départs De St-Cloud (ligne d* Versailles, r. d.), minuit 11.

Du Pont de St-Cloud vers PariSrSt-Lazare,- minuit 1: (Ligne de Paris-Invalides) vers Pa>ris-Invalides, 11 h. 40 du soir.

De Bellevue, minuit 3.

Trains supplémentaires selon les besoins Bu service.

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Cerises 3 k.3 fr.; 5 k. 4.50 haric verts 3 k.4.50; 5 k. 7 i Arlhac, prûneurs,Vallabrègues(Gard)

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