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Titre : L'Ouest-Éclair

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1924-07-12

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41193663x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb41193663x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94436

Description : 12 juillet 1924

Description : 1924/07/12 (Numéro 8306).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Pays de la Loire

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5845645

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 04/06/2008

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La crise mortelle du fascisme

Le mal dont ou souffre fait bien vite oublier celui dont on souffrait la veille. Le fascisme est en train de devenir aussi odieux à l'Italie que l'était, il y a trois ans, le socialisme révolutionnaire et pour les mêmes raisons. Les Italiens cherchent en ce moment comment ils pourraient se débarrasser du fascisme sans tomber sous la tvrannte du communisme. Sera-ce M. Mussolini lui-même qui sr chargera de cette difficile opération ? Ou, au contraire, se fera-t-elle malgré lui et contre lui ? Cruelle énigme Quelle que soit la solution, on n'aperçoit que difficultés et sanglantes représailles.

L'introuvable cadavre du maiheincux Matteotti continue à empoisonner l'Italie. L'affaire Matteotti n'a été que la goutte de sang qui fait déborder le vase elle est liée à tout le système fasciste. Le gouvernement de l'Italie par un parti organisé et armé voilà l'essence du fascisme, de même que l'essence du bolchevismc est le gouvernement de la Russie par le parti communiste, organisé, fermé et armé. Nos radicaux n'en sont pas encore tout à fait la. m.ii= ei on 1rs laisse faire, ils y viendront.

Chaque pays a ses mœurs en Italie, aussi loin qu'on remonte dans le passé, on aperçoit dans les villes et les villages, la tradition de la vendetta parti contre parti, famille contre famille, on se tue de père en fils Guelfes et Gibelins, Montaigus et Capulets. L'Italie est le pays des bravi, des condotticoi et de la Mafia. N'oublions pas que la Démocratie italienne est encore très jeune le suffrage universel date de 1913 le Sénat est entièrement choisi par le Roi et le Premier ministre. La jeune démocratie italienne s'est ruée dans la politique avec autant d'inexpériencc que le passion, et, de tontes parts, les luttes locales ont recommencé. Il s'est trouvé, dans chaque parti, des profiteurs malins qui ont tiré bénéfice rtrw surcè'; vnlitimir«: de leur faction.

Personne ne conteste les services que M. Mussolini a rendus à l'Italie il lui a donné l'impression quelle était gouvernée par une main ferme et elle s'est remise au travail «•lie était prête à payer le bienfait de l'ordre nu prix même de ce que l'on est convenn d'appeler ses « literies politiques ». Mais voilà qu'elle n'a même pas l'ordre, et alors elle réclame ses libertés. Ni. Mussolini n'a comme on le dit souvent, aux grèves communistes elles étaient déjà terminées lorsque les fascistes ont exécuté la marche sur Rome mais il a fait cesser cette lamentable insurrection des fonctionnaires contre l'Etat dont périssent infailliblement les démocraties qui la tolèrent. Il a obligé les cheminots à travailler et les trains sont arrivés à l'heurc. Il n'est pas contestable que le fascisme et surtout M. Mussolini ont amené une rénovation du prestige politique national de l'Italie et un regain d'activité économique.

Mais l'opération la plus difficile, pour un parti qui arrive au pouvoir par un coup d'Etat, c'est de couper sa queue. Les cllemises noires qui avaient porté NI. Mussolini au Capitole entendaient bien profiter de la victoire de leur duce. Celui-ci me disait en mai lî>23 « Je n'ai vraiment de difficultés qu'avec mes amis mais, malgré son intelligence et son énergie, il n'arrivait pas à' empêcher ce qu'il appelait « les inégalités individuelles Dans son très proche entourage, dans i'état-major fasciste, il se trouvait nombre de gens peu scrupuleux qui non seulement profitaient du pouvoir pour tripoter et se tailler de beaux bénéfices dans les affaires en cours, mais qui n'hésitaient pas à supprimer les adversaires ou les gêneurs. Ce Dumini qui parait être l'un des exécuteurs de l'assassinant de Matteotti avait déjà douze assassinats politiques sur la conscience il ne parait pas avoir agi de son chef, il n'a été qu'un instrument, un assassin à gages comme le Miihelelto de César Borgia. Les maitres du ministère de l'Intérieur, MM. Finzi et Acerbo, avaient mis l'Italie en coupe réglée et s'enrichissaient aussi vite qu'ils pouvaient. Et il ne manque pas de gens pour dire que Mussolini avait sa part de leurs bénéfices ni.-iis on accahle toujours les pouvoirs qui tombent. T>ans les villes et les villages, loin de l'autorité centrale, c'est pire un petit groupe d'individus armés, appuyer; sur la milice fasciste, sans souci des lois et des gendarmes, brime, opprime. nillc, assassine impunément. A quoi servirait-il d'avoir l'autorité si ce n'était pas pour en jouir et pour se donner la ioie d'opprimer les adversaires ? Seulement les fascistes ont abusé et ils lassent tout le monde, même leurs chefs fut leurs ami. Les industriels, ies banquiers ont subventionné les fascistes peur être garantis contre un retour au pouvoir des communistes, mais les fascistes les mrlicnt en coupe réglée, exigent .¡'eux sans mesure et sans besoin de grosses sonrmcs c'est le chantage orralisé J'ai un ami qci pc-sède ,lans liome un yatazzo historique, une bande- de révolutionnaires s'était installée au rez-de-chaussée et dans les .,ous-sols et gênait rurt le propriétaire; un joui un cnef fasciste dl1 district vint lui offrir dL ic délivrer rie cette promiscuité moyennant honnête grattlicition. Ce qui fut dit fut fait. Mm* es fascistes, une fois les révolutionnaires chassés, oublièrent de rn aller, ils étaient d ailleurs mieux élevés et plus accommr.rlant» que Ieur- prédécesseurs, et tout marcha bien pi n^ant qitcinue temps: acluellemeni mor ami commence à les t'ouver encombrants i! a .iiinlié >es indésirables d'hier Tout* l'Halte ect comme lui. Les. Italiens paisibles ne demandaient qu'à •. oler pour les candidats de la liste fasciste, ils ont été exaspérés -de se voir conduits atiT -irnes omme des esclaves et sui veillés comme (les

suspects. Ils en veulent mal de mort à M. Mussolini.

De l'affaire Matteotti, M. Mussulini n'-esi certainement pas complice. et il semble même que le crime a éte organisé pour compromettre le duce et l'e»ipêe;ier de prendre lies mesures énergiques de désinfection contre les éléments pourris dp son entourage. De fait, il n'a pas ose donner le grand coup de balai qui eût soulagé les consciences et apaisé les esprits et qui l'eùt consolidé au pouvoir. Le remaniement du mu istère est peu important et n'en change p;.s le caractère On dit que NI Mussolini n'est pas libre, que ses amis s'il les abandonnait ci. îurnient 'trop long raconter.

En attendant, l'opposition partemcntaire a fait une brillante et courageuse réapparition avec le discours du sénateur Albertini, directeur du CorDer.; delta Sera,- tout en rendant justice aux servi; es rendus pnr Ni. llussolini, Il a débridé, en présence du duce, toutes les plaies du fascisme. Le' régime serait peut-être déjà jeté bas si tous les partis n'avaient peur des effrovablcs représailles qui ne manqueraient pas de suivre la disparition subite du pouvoir fr.scste; le mieux parait être de laisser fi M. Mussolini lui-même, qui a de grandes qualités d'homme d'Etat ft un sincère patriotisme. le crin de diriger l'évolntion qui doit faire rentrer le fascisme et for milices sous l'autoiité (les lois. Mnis l'o- pération n'est pas aisée. J'.ii éf.rit nu 1cndemain du succès du coup d'Etat fasciste que le plus grand service que M. Mussolini pourrait rendre à son pays ce serait de le débarrasser du fascisme. Y réussira-t-j] ? Ou hien le fascisme enfrainera-t-il dans sa rui*ne l'Homme qui lVi créé, et qui s'est fnit en- suite portf-r par lui au r.ouvoir ? 1 En tout c ns. tl v* a là, pour bien des gens, en Italie et nilleurs. matière de très r.lilOR « réflexions sur la violence. >,

René PINON-

Pour Je rétablissement

des billets de bains de mer Pari^, 11 juillet. La Chambre a voté aujourd'hui uu projet de résolution invitant le Gouvernement à insister nrès des Compagnies de chemins fer. pour obtenir le rétablissement des billets de bains de mer à l'usage des familles nombreuses.

UN NOUVEAU DELAI

POUR LE PAIEMENT DES IMPOTS EN RETARD

Pakis. 11 juillet. La Chambro a adopté le projet étendant ju^iu'uu 19 juiilel. 'le cïOlai de paiement s.ms pénalité des impôts en rc~ail i)U'il avait été préaJabli-nirpt décidé, de lixcr cette date au l juillet. I.-os cuiiiribuai>U's on[ donc 3 jours (le « rabiot •• pour 6c mettre en règle avec le liée.

Des bandits détroussaient

les cadavres des soldats du front Il juilllet. Depuis un un les Minnuiés ^eutunjirc, àfro de 31 ans, Uiguux, àjré de il ans et Giron âgé de 3J an<, ( uvriers au service des exhumations de Péronn'1, détroussaient l<>s cadavres des militaires, enlevant les bijoux, le.- montres et les dentiers en or et en caoutchouc. Tout ciait acheté par un bijoutier nornmé Dubois, installé à Péronne depuis peu.

Les détrousseurs avaient choisi un autre acheteur parisien auquel la femme Sce-utena ire et les filles Il''(,:11',1 nl (les lés. On rci'licrclic ce marchand. Ouant aux rlétriitisscurs ri. ]curs complices, ils ont été éc.roué5 ù POronnc.

Près de Valognes une jeune fille tue son pere

d'un coup de couteau Valog.nes, 11 juillet. (De notre correspondant particulier.) Yvonne Amiot, jeuue fille de 17 ans, avait quitté Néhou-Saint-acques, près de Valognes, voici trois ans. Attirée par la grande ville, elle s'était rendue au Havre or, depuis son escapade, elle menait une vie déréglée au grand désespoir de sa famille. Celle-ci, comme on le pense, ne cessait de la supplier de rentrer au bercail, mais pendant trois longues années, la jeune Yvonne ne voulut pas entendre raison. Enfln, il y a quelques jours, le remord ou le besoin poussa l'enfant prodigue à revenir à la maison paternelle. Mais le caractère violent et l'esprit de révolte de -la jeune fille n'avaient pas dit l°ur dernier mot.

Son père voulait bien lui pardonner et la reprendre au foyer, mais il croyait à juste titre pouvoir lui dire ce qu'il pensait de sa conduite. C'est alors que la jeune fille saisit un couteau et, se précipitant sur son père, lui porta un coup terrible à l'abdomen. Le malheureux s'affaissa et, quelques instants après, il succombait.

Yvonne Amiot a été arrêtée. Le Parquet de alognes s'est rendu sur les lieux. Cet ltorri!le parricide a soulevé une énorme émotion dans la région.

DE I/U.N.C. A NANTES

l-Vi veux des Alsaciens-Lorrains tause.) Ainsi que l'Ouest-Eclair l'a rapporles de l'U.N.C. rûun! eu aLPinnnssions d'études, ont poursuivi leurs travaux toute la journée. de jeudi. Signalons quc la commission d'AIsaoc-Lorraine, présidée par NI. Giazmann, vice-président du Croupe d'Alsace, a .plusieurs vieux affcronls aux prortu-ces recouvrées. Il est un de ces desiderata qui vise l'application cn Alsace-Lorraine- des lois françaises en ce qui intércsse les anciens combattants. Un autre :v.'l;uin! rùliiuinaiLion dan? les divers organisnies administratifs, de nombreux sujets" allemands qui s'y trouvent encore. Dans cet ordre u idées,, Ja -Commission demande éealcmtut que la naturalisation de certains Allemands employé» dans ces administrations dor.nf lieu il des enquêtes de \T5Mfical5oh1."

Enfin, tos délégués alsaciens-lorrainii demandant aussi que le bénéfice de la !c"-i-!ation française régissant les victimes de la guerre soit étendu à leurs deux province9. Le Congrès et lammstic

Le Congrès, formé en séance plénière. a. la fin de l'après-midi, a fait eonnaîtiv run mm, liment sur J'amnistie dont lieu aclu.Mlcmeiit d'après et bruyantes diseussions parlementaires. Il a ndonté il l'unanimité l'ordre du jour suivant:

I/ouverlurc du 5· CongTè.» (k l'U.X.C. conpnrdac-t avec la discussion il la Chambre des députés du projet de loi sur l'amn'stic. Ir Congrès croit de son devoir de rappeler h Charlc-s Bertrand, r.résidrnl de l'U.N.O." r\ l'Ul,; de la fi^inr, l'unanimité avec laquelle je Comité tir lVinVnie des groupements nationaus dp combattants et victimes de la guerre a adopté le principe d'une amnistie s'appiiquant aux infraction.* militaires commises par rKs anciens combattants, exception hile nés ras do Iraîiison. o--pionna£ro. in-numi^sion. inavec l'ennemi et désertion, j, revoyant, toutefois !r bénéfice ijo la srràco rmnistiante pour certains cas de désertion. Il l'approuve de refuser aux non-cunb-iltant.* or>upnihlo»s, combinés par la Hauterour nn nuire-: juridictions pour ou correspondance avec l'ennemi ou forfai- turf', une amnistie qui sor::il une fatre irrôparalilp aussi bien qu'une in,jurr a la mcmoire îles d!x-sppf. cent i»ille morts au cli-mn d'honneur, à leurs familles et aux anciens combattants, Il le félicite de son attitude ot lui donne de faire connaître lo sentiment du Congrès au Gouvernement de la République et au Parlement.

Voir i:n 2c page

Le débat sur l'amnistie Ii la Chambre.

L'arrivée de la filiale du 200 mitres yaynée par Scliutï 1

LA SITUATION

UN ACCORD DE FAÇADE ENTRE MM. HERRIOT ET MAC DONALD

La note franco-anglaise, par le seul fait qu'efle a été nécessaire, accuse le désaccord moral qui s'était produit à Chequers entre MM. Mac Donald et Herriot. On a essayé à Paris de transformer ce désaccor,l en accord; on est arrivé à donner au public le sentiment d'une bonne volonté d'accord. Seulement, si quelques points ont été, non pas précisés, mais indiqués, comme celui des dettes interalliées, beaucoup de questions sont. mises à l'étude. Or, la conférence s'ouvre le 16. Qui peut croire que la France et l'Angleterre y arriveront avec un plan commun. M. Herriot croit que parce qu'il se dit démocrate, la démocratie anglaise va abandonner ses points de vue pour les ajuster aux Mens. Il y a là une erreur singulière chez un homme qui se vante d'avoir beaucoup voyagé à l'étranger.

M. le Dr Doleris, président 'de l'Académie de Médecine, et qui fut, au cours de la derInièro législature, un député de gauche, a été convoqué à une assemblée scientifique qui se tenait à Londres. Il a interrogé les Anglais nu moment du voyage de M. Herriot, et voie. à peu près, ses impressions Le moindre boy a seulement retenu que M. Herriot a fumé la pipe avec M. Mac Donald et que les deux hommes d'Etat ont déambulé faniilière.aent dans les allées du beau clomaino de Che^iiors. Cela a rnpprlô au publie la visite de M. Briand et la partie de golf de '.NI. Lloyd George. Des mots échanéés, personne ne s'occupe.

Au congre; auquel il assistait. M. le Dr Dolcris a. interrogé quelques ravriit. Pour bute il il n'a obtenu que cette question « Croyez-vor.s que le ministôre de M. Herriot va durer ? Et combien de temps ? » Et M. Mae Donald ?

Oh lui, il a ét>é déjà battu six fois, rjuund nous le voudrions, il s'en ira. En fait, conclut if. le Dr Doleris, la cituston e-t la même de l'un et de l'autre coté de la Manche. Des deux côtés, la majorité est des plus incertaine. Le malheur serait que d" part ci d'autre, an -pût -croire que -ÎViltpiitp dépende d,t maintien au p"uvoir de M. Mac Donald ou de M. Herriot. En Angleterre, on demeure sceptique parce que "le cabinet français est incertain du lendemain. P.O. Dolbeet

Après Dinard et Périme!, Roscoff se fait une de posséder un vétéran de la mei ►+♦»– •̃

La Bretagne fut de tout temps le pnys <• marins et, il ne viendrait à personne 1 Wé« de contester que la plupart des héros de la tacr, naquirent sur cette vieille terre d'Armor. battue de tout côté par les flo's. Le choix que vient de fi'irc le Comité des Fêtes de la Mer qui organisa, le 15 août rochain à Calais, de grandioses manitoîiatiuru en l'honneur des vieux loups de mer, n-«.t la Bretagne a l'honneur.

cette fête. les marins anf;);!is, Ih-Iew» ei frar.çiis. enverront leur vétéran. C'ost un Breton qui va représenter la I'raii'f. Jérôme Kerros. marin il Kériove!. en L-unpsiiU Plouar/el. t.ameau d'ur-e petit" «.••.•lu.iiune situt' à l'cxtrCme pointe du FirMs;Va. .Ie'nic Kcrro- nous l'avons dit da;H \.n prudent t niPéro. est né le 17 n tv\»!;>brj lits: @ n-aiitiim- il réunit ;ictt!çHi'iin-nl ans û'&ze et plus des années ae navl. i::«tion

VOncst-llciuir a d'ailleurs signalé qu:î ce recordman de la navigation est battu ne quelques longueurs par un autre Breton, da Dinnrd, celui-là, qui compte près de 70 an. Or, la Bretagne compte un autre as de la mer. ainsi qu'en fait foi la lettre suivante que nous écrit un lecteur de Roscoff « le viens de lire dans votre journal, que les fêtes qui auront lieu a Calais. le 15 eoùt, sont données en l'honneur des vieux loupa de mer. Or. j'ai remarqué que le candidat du Comité des Fêtes de J-i Mer. n'a pas un état de service aussi charge que celui de notre vieux loup de mer de RoscofT, le plus ancien des vétérans du littnral et de France, notre brave compatriote Roignant Charles. Ce dernier est à;é de i9 ans. Ch^valior de 'a Lêt-'i'ui d'honneur, il fut. poiiiTiTni ans pilote et compte plus de 60 ans de navigation,

Ain-ion second du de sauvPtage, Charles Hoignant a ait péril de sa vie, il plus de sauvetages. Je vous écris au nom de tous les marins de Roscoff, qui rendent hommage à son âge ainsi qu'à sa vnillan •̃̃• et qui seraient heureux que votr». tournai dise un mot de ce brave marin qui, mater'' >on grand âge, navigue toujours. « Recevez, etc.

Certes. Charles Poignant n'égale pas le record d' Alfred Ronxel. mais ses états de services n'en sont pas moins respectables. Désigné. Jérôme Kerros ira Calais, imis nous sommes convaincus qu'un regret troublera sa ioie le regret de n'avoir pas à ses côtés. Alfred Rouxel. le vétéran et Charles Roignan*. '̃; vieux loup de mer de Boscoff.

Au Sénat M. Herriot expose la politique qu'il soutiendra à la Conférence de Londres *o • ♦> • o»

Ls Haute-Assemblée comptant qu'il poursuivra rexécu£ion du traite de Versailles et assurera à la France les réparations et la sécurité lui accorde sa confiance

P,m: Jfl juillet. Il n'y avait pas au t-ourii lu biuit qu'il n'imiterait lias M. i'oincaré et qu'il ne parlerait qu'une heure. Mai) ses conseillers n'oi^ d<:iis (Joute pas eu insister pour lui faire comprendre nuit fallait une réponse aux questions de M. PoincarO, d'ailleuis attentif il son fauiL'iiil, prit foi:et:- et qui ne s'en est tmo fait faute. A vrai dire et en toute impartialité, M. 11errio', dont t'imprécision était désespérante, n'était applaudi quo sur la quatrième des travées du Sénat, celle d'extrème-gauche et, chose qui n'est pas dans les habitudes de M. Poincaré, celui-ci n'a applaudi qu'une seule fois son -successeur.

11 y a peu de monde eu séance. M. Dauiisot monte il la tribune pour faire un discours nuancier. Il expose la nécessité' devant laquelle se sont trouves les exneits i!e calcul'r de nouveau la capacité de paiement do l'Allemagne, les calculs antérieure étant faux. L'état des paiements de 10,'t n'aurait pu être exécuté qu'en plus' d'un siècle et à ••ondition encore que l'Allemagne exportât rhaquc#année pour miHiants de markis-or. Malgré les apparences le rapport Dawcs nous donne des satisfactions pltrs essentielles que l'état de paiements de et que toutes les fixation:, successives de la dette allemande, cela parce qu'il fixe des annuités certaines pour le paiement de cette dette pendant une période d'une quarantaine d'années.

Mais encore faut-il que le jeu des rouages prévus par le rapport Dawes pour les paie- ments allemands ne se heurte A aucun obstacle. M. le Président du Conseil devra oh-'server il cet égard une attitude très ferme. qu'il s'agisse des prestations en nature ou des paiements en espèces.

Après une interruption de M. de Lubersae, M. Dansset termine ses observations a r> h. iô et M. Herriot monte a la tribune.

Le discours de M. Herriot

M. Herriot que M Poincaré surveille de l'oeil et va harcelci de questions que le Président du Conseil ne pourra pas éluder corjmciicC' par .,e demander s'il était bien utile d'ouvrir une discussion aussi poussée, et ea

présence d'un discours dort il admire la.'valeur dialectique. Il laisse entendre qu'il n'est pas bon de charger de chaînes celui qui va soutenir le poids de *es négociations. M. Herriot affame encore qu'il n'y avait pas de raisons de suspecter son patriotisme et se plaint « de ce qu'on a cherché ces derniers temps a agiter l'opinion publique par des récits inexact. ou exagérés.

Parlant de la conversation de Chéquers il dit, qu'elle devait res'er confidentielle, et il ajoute aver un peu d'amertume

« On a prétendu que j'avais joué le rôle d'un idéaliste inexpérimenté. Mais est-ce que l'idéal n'a pas joué ji. rôîe dans la rtprnière guerre Les considérations morales né în'a-t-on pas demande de ies invoquer pour le règlement des dettes interalliées ? Les éléments moraux des problèmes n'est-ce pas la faute de l'AHemag-ie de les avoir toujours méconnus et <le les m^-onnnitre encore ? L'élog? de M. Mac Donald

M. llcniot se plaint encore de ce qu'on a dit qu'il avait subi un échec.

M. Hkbriot. A Chéquers, M. Mac Donald et moi, nous nous sommes dit qu'il fallait rapprocher et réconcilier nos deux pay s. ce résultat ? Je vous ai lu ici-même, il y a quelques jours, la déclaration: aucun de ses termes ne faisait concevoir des espoirs exagérés.

M. Herriot affirme la bonne foi du Foreijn Office à l'o-'casion de l'incident qu'on connaît.

M. Herriot. Si vous comparez le protocole, anglais et la noie franco-anglaise, vous verrez tout l'effort de confiance, de conciliation, dont a fait preuve M. Mac Donald et je tiens il l'en remercier, après les jours de dur labeur et de rude angoisse que nous avons passés ensemble. ijiinrlic).

A l'accord franco-belge il fcut substituée un accord interallié

M. Herriot, a plusieurs reprises, répète son admiration pour l'Angleterre et pour Donald, puis il parle du rapport Oawcâ.-lito»^

£aât .beaucoup de réserres sur ce rapport, d;saai ijue, sous peine d'être inefficace, il exige ut conccrt des gouvernements intéressés. M. HatfKOT. si" nous oe nous mettons ]<m 4'*ccor<i mu le platr Dawes fajjdra-t-il ci< revo-'ii au ijouchi^e de la Ruhr, aux ex]>uîà:mu eu masse ̃? Non Le gouveroemeiU tançais dun s.' *i4i«-< il-- Mtliot imer un ac- tort) in«er»liié a l'action de la France et de la Belgique. Il y a plus. 'est un autre as)<eet du problème :iegiigé jusqu'ici l'Alle- magne roprecvd en janvier prochain, la liçais importants, surtout ceux (le l'Alsaceno jpror.t-ils pas compromis 1 Donc, il fallait i jùi*er promptes» eut l'entente entre les Al;:as au tujet de l'exécution du plan Dawes. M. Hernot déclare que le rapport Dawes '̃'̃S**tpm*t le problème des réparations du fV.-fail neUement appel à :a coopération entre les AJliés et l'Allemagne.

'Si. PotNCAHt. La phrase à laquelle vous f ai les aJlusioa Uiste entière la liberté poliii^ue des gouvernements.

-M- Herriot riposte qu'à Bruxelles on a dé<.f£xé que l'unité économique de l'Alieuiagnc \?mit réleblie une tois que la C. D. B. aura façonna que le plai des experts a été mis à xccution

-Nous n'a voué dont. dit-ii. aucunement sacrifié les droits d« la C. U. R. L'Angleterre a ^'ailleurs formellement accepté qu il en fùt M. Hcnvtï. C'est dans le rapport Dawes. :;yglaiè n'était pas rédigé dans le même sens. M. Bbangjck. Et le discours d'hier de M. Mac Donald ?

NI. H£RR1ot. J'y viendrai, mai jo fais mniédiatement observer que je nr le coun;:is us encore dan6 son texi'e officicl.

Le transfert des versements allemand* M. Herriot parle ensuite de la question du jnsfcrt des versements en espèces faits par Hliemaçne. question dont il dit toute la M. Hebriot. Le plan Daw-es considère «lip l'Allemagne est libérée lorsqu'elle a versé a l'agent général des paiements le montant <-n marks-or lies sommes perçues par elle oufurméroent au plan sur ses contribuables. 'lais encore faut-il que les fonds iransformés en or, puissent être transférés à l'étranger. Sur ce point, les experts ont déclara {d'une solution était extrêmement difficile à trouver celle qu'ils ont préconisé a un caijnctère moyen et elle appelle de: compléments. Pour moi. je ne puis résoudre dès wvsfnt tout le problème et jr me borne a sur lui l'attention de tous nos alliés de leurs experte.

Une ente au point de M. Pmmoaé "M. Herriot préconise la création d'un office r'erallié des transferts, puis il parle des ̃~£ citations en nature.

M. HtSRieT. Beaucoup Ae précautions «̃M tl prendre pour l'avenir à cet égaTd et 'Iniques leçon* à tirer du pasfé. En wjuï n'avons pas reçu toutes les prestation mi nature que nous pouvions recevoir. ,£M. PomcARC. Arrusez-en les cirronstano»- et l'AllLinagnc -M. Herriot. Un peu plus {Applaudismenu a gauche.)

'.M. Poincaré, piqué au vif par l'insinuation, 'mande la parole.

'NI. HERRIOT. Je mets en cause aussi ia iwi'hode binvio «in a été improvisée. '-H.PoinCjÔR£. Je demande !a parole. NI. Poincarô. applaudi par le Sénat, fait tviiuirquer qu'en J9Î1. en effet' y avait des difficultés fia/çc que nos industriels, lésés .iay leurs «fiftrèts, s'opposaient aux paieinnrts en nntnre et surtout iL cause des tarifs iZ*portaiious des Allemands. L'Allemagne 'iSâsTr01"" le., prestations tn nature des prix ̃ ^M4>ortutioii si élevés que les sinistrés franaiS n'avaienl, en aucun cas, aucun avan:i?c -s'ddresser à elle. Il en fut ainsi no.rin'iniini |iour les peaux que nous prétenli*m vdiieiiir ïu titre des réparations et au .liffùe MKMiienV les particuliers français recel'aient de l'Allemagne toutcs les peaux qu'ils J'arc qu'ils les payaient en ffyy. Ce qu'il faudra donc obtenir demain, cJ*tt que les prix d'exportation fixés ar l'Allernagne pour tes prestations en nature ne. (kpassent pas les prix pratiqués A l'ir-iéricur dii territeirc aliemarid et que l'AUerr.agne lie spécule pas à nouveau Sur les besoins et la misère du nos régions dévastées. {Trts bien Vifs applaudissements.)

Les pouvoirs 'de la C.D.R.

•Mt' Pointiare, 'réiiératit ses observations d'hier, se fait confirmer par M. Herrtot que la -C.f).R. ne. sera pas dessaisie, bien que, déilare M. Herriot. cc soil i l'unanimité quila C.D.R.. d'aprè» le traité. doit se prononcer sur les question* d'interprétation. Il suffit donc d'une dissidence pour que la décision Interprétative ne puisse intervenir et c'est même une des raisons pour lesquelles le fowetiormement de la C.D.R. rencontré de sérieuses difficultés.

M. PoiNCABE. J'ai toujours repoussé les propositions du gouvernement anglais tendant' à modifier la procédure de la Coir.niissien à cet égard, en instituant un arbitra^1. "M." Hkkriot. En tout cas, les difficultés que. j'ai signalées subsistent.

t,.Lm fixation de la dette allemande M.' Herriot qui déclare vouloir répondre syr Tous les points aux questions de NI. Poin- care, parle. de fixation de la dette alle- mande. •'̃"̃ «My'

M. Hebriot. La France doit avnir sa part de la prospérité allemande.. a dit hier M. Poincare. Cela nous devons Il' ;ier à tous nos alliés, nous devons leur dire qu'il n'est pris admissible que le matérialisme industriel aDemand écrase la précieuse mais déltcate cwilisatlon française. Ou l'Allemagne est fateft forte:et il «t A ̃craindre qu;elle ne veuille pas payer. Voila le terrible dllemne dont Il dfcus faut sortir.

C'est pourquoi les eAp*r«> oui prévu la QTj&VflP d'un indice de la proscrite allemWde en vue de l'accroissement éventuel d# i'annuité à payer par l'Allemagne et en cette matière ils ont prévn l'arbitrafe de la épetinn financière de la S. D. N. dans un esprit d'apaisement et de concorde. tas de révision du traité de Vermilles M- Herriot affirme son respect pour le traité de VeTS^Iles.

M. Hehriui. Le truilé de Versailles dont a parlé hier JW. Poincaré porte ig signature de l'Angleterre, tte la France, de l'Italie- vu doit le respecter ainsi que sa fille la C.D.R. S£ on toucJiail u un détail de non urcMte<fure, tout t'ïdificc tomberait et si un voûtai' ensuite le reconstruire, on verrait se heurttr tant de passions contraires, tant d'intérêts tihérét, ijiie cette horreur qu'est la <juerr\ sortirait inéluctablement. (N/s applaudissements sur de numbicu.r. bancs).

Le Premier anglais m'a dit « Etes-vous sûr que la C.D.R. constitue pour vous, pour toujours une garantie satisfaisante Savezvous de qui sera composée la C.D.R. de l'aveuir T » Pour moi, j'ni défendu et je conti- nuerai défendre, et la et le traité de (Très bien). refusé toutbitrage en dehors de la CDU.

J'ai accepté l'adjonction d'un délégué américain Mais n'este pas là le traité de Versailles.. î

Voix a DROITE. L'Amérique ne l'a pas acM. Herkiot. Quelle serait notre joie cependant, si l'Amérique s'associait à l'exécution du trafic dc Versailles. Car. u'ctubiions pas que tiens ne ^nuirons pas appliquer nous seuls le plan dos experts. Nous avons besoin des Alliés et ne devons-nous pas vouloir agir eu plerii accord avec eux

Fn cas de manquement de l'Allemagne Mais, (iira-t-ou, les manquements une fois constates, que se passera-t-il A uet égard l'acceptation donnée par le gouvernement précédent au rapport Dawes, acceptation que je ne critique d'ailleurs aucunement, limitait ma uuiiie.

M. Poincaré a critiqué les tenues de notre fr.rmulc d'accord, niais nous éliuus prfssés par le temps En tout cas, si l'entente mc<; nus alliés nc pouvait se réaliser, une fois te vianqucmettt allemand constaté, nou: <vhscrverions notrc liberté.

« Mais pourquoi douterions-nous de la pn> messe faite par écrit par nos amis anglais à M. Poincaré lui-même, de se tenir à nos rOtés cn cas de manquement allemand dûment constaté ? »

M. Poincmu:. Vous contenons t'Il tous cas notre liberté d'action, j'en prends acte trcs volontiers.

Le plen Bonar Law

et les préférences' de M. Herriot .Ni. Herriot répète les réserves clu'il a déjà faites sur le rapport Dawes.

M. Herriot. On a parlé du plan Bouar Law. le le considère comme supérieur pour nous au plan Dawes t'est l'opinion des experts du ministère des affaires étrangères. -NI. Poincark. Alors ce ne sont pas les mêmes que de mon temps, car. unanimement, ils cl nient d'un avis contraire. Les dettes interalliées

M. HERRIOT. A Chequers et à Paris, j'ai présenté à -Ni. Mac Donald la question des '.Icties interalliées avec tout le feu et toute la conviction dont je suis capable, mais je n'avais pas d'autre arme que mon raisonnetnent. Je n'ai sans doute pas oublié la lettre écrite par NI. Mac Donald à Ni. Poincaré au sujet des dettes interalliées malheureusement, il nly a pas de lien juridique entre le plan Dawes et la question des dettes interalliées, et j'ai dû mt borner à faire appel à l'esprit d'équité de mon interlocuteur à la confraternité danmes de la France et de 1 Angleterre.

Hier, à la Chambre des Communes. M. Mac Donald a témoigné de mes efforts mais il a déclare ne pas pouvoir accepter de iier aujourd'hui la question des dettes et (elles du rapport Dawes, mais il a pensé que des experts des Trésoreries pourraient traiter séparément la question et chercher une solution équitable.

Et notre sécurité ?

M. Herriot parle enfin .2e la question de sécurité.

.NI. HtRitiuT. Elle est bien plus grava que la question des réparations, avant de savoir si on vivra riche ou pauvre, il faut savoir si on vivra. Mais M. Poincaré a reconnu lui-même qu'il ne fallait pas encombrer la Conférence de Londres de la question des .'actes. En attendant, Chequers, je n'ai aucunement négligé le problème de la sécurité de nos troupes d'occupation. En ce qui concernc l'évacuation de 'a rive gauche du Rhin je confirme les déclarations du Gouvernement précédent. Pour le désarmemcnt, la présence du général Xollet dans mon Cabinet indique mon sentiment

M. Herriot. II n,e reste a dire un mot de l'invitation de l'AV-'imgnc à la Contérence de Londres. M. Mac Donald a dit hier que c'était une question de détail. J'ai moi- même indiqué qu'il ne fallait pas faire l'Allemagne une situation privilégiée, mais il ne dépend pas de moi de décider si ]'Ailemagnè doit ou non signer ie rapport des ex- Enfin M. Herriot conclut.

M. HERRIOT. La conclusion sera simole, c'est-à-dire que je place bien au-dessus de mon intérêt ministériel mon devoir de Fra^- rais. La meilleure solution, Dour la France du problème des réparations ne peut être que la moins mauvaise. Deux méthodes s'offrent pour obtenir ceti-e solution. La premiè- re consiste <i vouloir agir éternellemènt s'ul; ce fut celle du Premier Empire après Austerlitz et Iéna.

-Si nous adoptons cette méthode, c'est le retour a, la sévérité vis-à-vis de l'Allemagne et nous verrons la peau de chagrin des répartitions se rétrécir. Ou bien ce sera l'accord ;le la France avec l'Angleterre, accord par lequel l'Allemagne est obligée de cherener sa voie dans une évolution pacitlque. Si l'.»-igleterre et la France ce séparent, c'est l'Allemagne livrée aux- hommes- de violence c'est la revanche, c'est la guerre. Le rftn'rochement franco-anciai6 ne doit rien enlever à la France de ses droits légitimes. Ma conscience me dit que le n'al rien nfgltgc pour arrive* à ce résultat. »

Lei ordres du jour

La Gauche démocratique préscnte l'ordre du jour suivant

rt Le Sénat, affirmant une fois dr. plus que lu France est profondément attachée la cause de la. paix exprimant sa confiance dans le. Gouvernement pour poursuivre en necord avec tes Alliés l'cxénillon du traité de assurant à la France les réparalient et la sécurité, passe à l'ordre du jour. M. H. Chéron. président de l'Union RépuDlii-aine. explique pourquoi son groupé va voter pour le Cabinet qui vient de déclarer qu'il n'abandonnerait aucune des garanties i>visr»W»s par le pays.

M. JenouvTïer déclare ne pas pouvoir voter pour M. Herrtot.

L'ordre du jour est mis aux voix et accepté par S46 voix contre 18 sur votants.

'LE DEBAT SUR L'AMNISTIE DONNE UEU A DES SCENES SCANDALEUSES

J'AURAI LEUR PEAU. JE LES TUERAI, HURLE M. MARTY. LE POING TENDU VERS SES ADVERSAIRES

Paris. 11 juillet. Dans sa séance du matin, la Chambre adopte sias débat un projet autorisant l'émission d'un timbre'postal spécial iL l'occasion du i' centenaire de la naissance de Ronsard.

Le projet de loi relatif aux comptes spéciaux de la Marine marchande est adopté également sans débat.

La Chambre revirent ensuite au projet d'amolstie et s'occupe du contre-projet communiste. Ce projet revient à amnistier tous les crimes et délits militaires ou politiques et les crimes de droit commun ayant un mobile politique. Les condamnés libérés recevraient à leur libération un pécule. Pour les uns et les autres, le temps de détention compterait comme temps de service militaire.

M. Uhry socialiste, déclare qu'il ne votera pas ce projet. Et comme il cite un discours de Jaurès disant que. quand il s'agit de la Défense nationale. tout citoyen doit r*pondre à l'appel de la Patrie

Tu y as répondu, toi interroge M. Renaud Jean.

M. Uhhy. Je ne veux pas répondre ^our ne pas aggraver les divisions. fRires.) Le rapporteur demande à la Chambre de se pononcer sur le contre-projet. On. demande la clôture

M. Balanant fait observer que seuls les socialistes ont pris la parole et demande a la Chambre de ne pas prononcer la clôture. La Chambre, consultée, décide de renvoyer à 3 heures la suite de la discussion.

M. Balanant tient tête

aux cominunistes

Au début de la séance de l'après-midi, NI. Halanant explique les raisons pour lesquelles ses amis et lui ne peuvent et ne veulent pas voter le contre-projet communiste. D'abord, ils ne peuvent admettre qu'on amnistie les déserteurs à l'ennemi, globalement du moins, puisque la grâce amnistiante pertnettra au gouvernement d'examiner les cas particuliers. l'ne autre raison pour laquelle le projet communiste ne peut être voté, c'est qu'il comprend les insoumis entre lesquels .NI. Balanant établit des distinctions nécess-'i.T's, alors que l'article 4 lu projet n'en établit aucune. La troisième raison, c'est que contre-projet Marty comprend les auteurs d'avortement.

Le discours de Ni. Balanant est, à plusieurs reprises, interrompu par des communistes, auxquels des socialistes, comme M. Renaudel, prêtent leur concours. Ces interventions calculées sont autant de tentatives de diversion ta Chambre ne veut pa ep être dupe. L'offcns-ivc de 1917

et M. Painlevé

C'est ainsi qu'à propos des déserteurs, M. R*naud Jean pose une question qui n'a aucun rapport avec le sujet en discussion.. NI. Renaud Jean. Que pensez-vous de l'Etat-M.aior français qui, en avril 19r', sachant que le plan d'attaque était connu des Allemands, a pourtant donné l'ordre d'attaquer et fait tuer ainsi tant de soldats

M. Magikot. Vous voulez toujours assimiler les généraux aux 'déserteurs Je ne vous suivrai pas sur ce terrain. {Applaudissements an centre).

M. Renavu JEAN. Le fait que j'ai cité estil exact, oui ou non ?

M. Maginot. Il y a quelqu'un qui pourrait vous répondre. Or, il ne le peut pas, c'est celui qui est actuellement la présidence de cette Chambre.

M. Renaud JEAN. Les généraux sont plus coupables que les déserteurs 1

NI. Paim.eve. Vous n'avez pas le droit de comparer des faits qui, au point de vue moral, ne sont pas comparables et, en le faisant* vous soulevez l'indignation de presque toute cette assemblée

A cette leçon. M. Ralanant, en ajoute une outre que M. Renaudel. qui vient de lancer une interruption, reçoit la tête basse, sans rien dire.

M. Balanavt. Si vous savez la vérité, M. Renaudel. c'est que pendant la guerre, vous Pliez beaucoup niioux placé que moi pour la connattre. < Applaudissements au centre). Vous étiez à La Chambre et mot, j'étals aux tranchées.

Cela dûnnp une idée de l'allure d'unr discussion en trnvers de laquelle tnterviennpnt les auteurs d'une obstruotion systématique. OÙ étiez-vous

pendant la guerre t

M. Rouveri et après lui, M. Ferdin|>id Foure, réclament en faveur des déserteurs. Le dernier se livre à des provocations qui Unissent par lasser la patience de la Chambre. Celle-ci met fin à sa diatribe en posant à cet i#ra«gc orateur, une question sans doute embarrassante

Où étiez-vous pendant la guerre i lui crie à plusieurs reprises la droite. Cela suffit pour conduire brusquement le député commntitste, vers la fin de son Ilscours.

M. Bertliou. communiste s'en prend, lui. aux socialistes en la présence de M. Renau(tel auquel il demande s'il entend être fidèle ft ce qu'il a. promis à ses électeurs en votant l'amnistie intégrale, au lieu de donner son appui nu ¡projet d'amnistie réduite que défend le gouvernement.

L'heure du coup de poing M. Renaudel répond pour justifier son refus de vo<e d'amnistie intégrale; il pose à M. Berthon une question qui déchatne l'incident quotidien

Si vous avez devant vous un trattre avéré ayant pour do l'argent livré son pays. Une Voix A Droite. Mnrty 1

M. Renaudel ne peut continuer, car déji\ un communiste a quitté son banc et s'est pré' clplté vers le centre d'où est parti le nom de Marty.

-Qui a dit cela 1 s'écrie-t-il en s'avançant d'un air menaçant.

C'est moi, déclare très nettement M. Le Mire (dr l'Eure).

4mmér'l*:ement; toute l'extrême gauche est debout, hurlant, s'agitnnt comme de coutume. Mais les communlstes.'MM.'Cachin, Ba- ranton, Gnrchery, sont déjà près des bancs du centre que gardent les huissiers. Marty escalade quelques travées, menaçant du poing ceux qui s'opposent .;on passftge. MM. Maginot, Poitou-Duplessy, Le Trocquer protègent M,. Le -Mire gui,4rès crtoemenV

répète devant les communistes exaspérés « C'est moi •.

On croit que ceux-là vont fondre sur lut. Mais non. on discute et dans la discussion, la fièvre s'apaise. Quelques poings se lèvent bien encore, mais on dirait que c'est pour la galerie, car M. Painlevé s'étant couvert et ayant quitté son fauteuil, la mêlée prend finLes tribunes sont évacuées et la séance suspendue. Il est cinq heures comme tous les jours

A la reprise, M. Le Mire est à son banc. Le Président déclare que M. Lc Mire ayant prononcé de» paroles qui ne sauraient 'être tolérées dans une enceinte parlementaire, il est dans l'obligation de consulter la Chambre sur l'application de la censure. Use Voix Communiste. Nous ne demandons pas la censure.

Mais, auparavant, M. Le Mire a la parole pour s'expliquer. Il rappelle qu'il y a deux ans. le Ministre de la Marine disait qu'un condamné a droit au silence

Je reconnais, dit-il, que j'aurai: dû nie rappeler que mes paroles s'adressaient a un condamné et l'aurais dû garder !e uci'ce. Mais M. Rail;erti ajoutait K Voilà noimjuo: je nie refusais à ouvrir le dossier de M:.iiy. Aujourd'hui, je le fais. Je lis, dans Ir ••virr interrogatoire de celui-ci, qu'il e:i!ii lissait avoir voulu vendre son bâtiment rux t lchcvistes.

(»*est en me souvenant de ces phrases que. quand j'al entendu M. Renaudel dire qu'on ne pouvait amnistier l'homme qui a voulu vendre son pav?. j'at pensé à Varty qui tr voutu vendre sot> bâtiment. »

l.es communistes poussent des olam -tir:, forcenées et NI. Cac-hin désignant ses camarades. M. I.e Mfre et ses amis T-otamment M. Balanant NI .Marty se lève et «'écrie à plusieurs reprises

« J'aurai leur pcau, je les tuerai. » Le Président feint comme tonjours, de nn p:is entendre. I,a droite et le centre > rappellent l'ordre et lui crient Démission I Démission

Et c'est M. Le Mire

qu'on censure

1.a censure est mise titw vutx par »=?is rt levés. Il v a doute, mais NI. Painlevé ne veut pas le reconnaître et malgré de ouvelles protestations de l'opposition, il prononcc la censure contre Ai. Le Mire.

Sur ce déni de .Justice fln^rant. l'Iucldent est clos et NI Berthon peut reprendre son dialogue dépourvu de toute aménité, avec M. Renaude]. Plusieurs ballcs échangées sans résultat entre des frères que sépare t:n ma,lentendu passager Après quoi, la clôture de la discussion est prononcée et Ir conrreprojet Marty est mis aux voix. Il est icpoussé par Y25 voix contre 33.

Sur l'article" 1*, après quelques.. cxplu-ations.. d& M. Férinard, un amendement de M. Berthon fixant au 0 juillet 19îi la date d'application de l'amnistie est adopté par voix contre

Pas d'amnistie

pour les propagandistes de la dénatalité

On discuta un ù un tous les cas auxquels va s'applique;- l'amnistie pleine et entière ;i partir du 9 juillet La propagande de presse contre la natalité est comprise par la commission dans la catégorie des faits amnistiés. M. Pornot, soutenu par le garde des sceaux, demande qu'elle en svit exclue M. Lefas intervient pour justilier par un exemple typique la proposition de scm colléguo. L'amendement de MM. Lofas et Pernut est adopté.

Les faits de propagande antimilitariste sf.nt compris dans "le vole Il(% l'article 2, qui est adopté par ÎUO voix contre 23fi.

La suite du débat est alora remise il demain matin.

Henry Coûtant.

A JERSEY

LUNDI PROCHAIN

De nombreuses adhésions nous font parvenues hier. A ces voyageurs en retard, nous ne pourrons envoyeur les billets et les passeporte, et c'est seulement lundi matin, ayant l'embarquement, au liuro.'iu des vedettes hlanches que nous les leur raneUrons. Mais leurs places sont réservées. Ils peuvent être à ce sujet sans inquiétude.

Accusés de réception

Nous accusuns réception de leur mandat MM. t: à il Fougères, i places. C. il Paranié, 1 place; .Swan, il la Vieonité-sur-Rance, places; Leblanc, it le Chatellier, 1 place; llannier, il Snint-Pierre-sur-Divos. places: Trévily, à Paramé. G places; X. SaintMars-sur-Ballon, 3 places; Thimothée, h Domfront. 1 place; Chaumier, Saint-Servan. 1 plaça; X. Dol, 5 places; Le HÔ, Dol, 2 places; Hiard, à Saint-Méloir-des-Ondes, 2 plaies; Delafosse, à Avranches, 1 place; Rocfkjor, à Saint-Malo, 1 place.

Au départ de Rennes

Nous avons le plaisir d'informer les excursionnistes partant do Rennes que grâce il la complaisance de l'administration des chetnlns de fer de l'Etat représentée pour la région par M. l'ingénieur principal Guillurd ils pourront utiliser lundi matin le train express partant à 5 heures 5 minutes. Il leur suffira de présenter nux guichets leur ticket d'excursijfiniste et il leur sera remis le Uillet qu'ils 20 ou le Au retour Saint-Malo

De mème pour le retour de Saint-Malo vers Rennes et les au-delà les mêms excursionnistes seront autorisés à emprunter le train quittant Saint-Malo a 22 h. 52 du soir, sans Lire obligés de prendre des billets d'une classe différente do celle qu'ils auront prise le matin.

Bien que ces autorisations « exceptionnelles soient prévues par les règlements, nous n'en remercions pas moins très vivement l'administration, des chemins., de fer de l'Etat,

LA GRANDE SEMAINE MARITIME DE U BASSE-LOIRE

COMMENCE CE MATIN Sai.nt-Xazaire. 11 juillet. De ix.trc- correspondant particulier). Vendredi nu tin. ver» dix heures trente, l'escadre \enant à Saint-Nazaire à l'occasion de la granJe Semaine Maritime, est arrivée m 'ue de Saint-Nazaire. Le transport Mcvrc, commandé ipar le lieutenant de vaisseau Adnui, est entré le premier au port et s'est amarré au quai Jégou.

Vers midi, les autres bâtiments annoncés étaient réunis sur traient il leur tour au port.

Le contre-amiral Docteur, est arrivé midi par le contre-torpilleur Enseigne-Houx et ̃' s'est fendu à bord du transport Kièvre, ou l'on a hissé aussitôt son pavillon; c'est là.. qu'a 2 heures, il a reçu M. Cloaret, i omn.issaire général de la L.M.C.K. et M. Ciment Dupon. président de la section Nazairienne, ainsi que les personnalités de j-aint-Nazairo. Demain matin, à 9 h., s'ouvre !a Guindé Semaine maritime, qui attirera dans cette région industrielle de la Basse-Loire une foule considérable de touristes. La Ligue Maritime Française, chargée de l'organisation, a dressé un programme des plus intéressants, comprenant notamment des excursions en met- pour les membres de la Ligue. Les fêtes se termineront dans le port de tantes, où se tient actuellement l'Exposition Nationale. On voit tout l'intérêt do cette Semaine très chargée et quelle répercussion elle devrait avoir.

Après la Semaine du Poisson de Boulogne, en septe.mbre WS après la Semaine mari- time de Saint-Malo où eut lieu le Congrès des Hospitalieis-S,.uvetcurs Bretons et l'exposition des engins de sauvetage après la Quinzaine de Lorient, la Basse-Loire devait, a sun tour, donner à la France le spectacle de ses richesses considérables.

Le Contres des manutentionnaires de port doit mettre en valeur notre outillage réginns] et nos chantiers de construction auront également une belle occasion de se mettre cil valeur.

Tout cela est fort beau Mais il y aura des discours, il y aura des vins d'honneur, il y aura des banquets

Des paroles vibrantes seront prononcées, nous les transcriront fidèlement, eu souhaitant que les orateurs comprennent enfin la crise aiguë que traverse actuellement notre marine, passent sans trop tarder aux réalisations et qu'ils entreprennent la besogne de rénovation qui s'impose d'urgence.

.Alors nous applaudirons des deux mains aux fastes d'une Grande. Semaine Maritime qui aura démontré une fois de plus la nécessité d'une forte marine sans laquelle une grande nation ne peut prétendre il coiibciver son rang dans le monde.

L'AFFAIRE DES FONDERIES

ET ATELIERS DE L'OUEST

Une lettre de M. Leherpeur

Fin réponse à l'article dans lequel nous le mettions en cause, mercredi, à propos de l'af- faire des « Fondpi-ies et Ateliers de l'Ouest · i ,M. Leherpeur, banquier, nous adresse la let- tre suivante: « Monsieur.

Je suis profondément contrarié de la pu- blicitc que vous donnez Il l'affaire des. Fonderies et Ateliers de l'Ouest ••, Vitré. « Qui dit prévenu, Il') dit pas coupable. c'est entendu.

> Mais, pourquoi ne pas attendre le résultat des poursuites engagées avant de publier (tes faits qui portent, atteinte à la considération et au crédit des personnes que vous désignez, alors que ces faits sont inipréi is et ne résument qu'une opinion que les debats sont susceptibles de modifier. PiitionniPiit, car, contrairement aux conclusions dn l'instruction, je soutiens, d'ai-cord mec mes Conseils, que le certificat délivré par notre Banque est sincère et conforme la loi. « Co point de la poursuite ne relève pas d'une appréciation de fait mais constitue une question de droit fort intéressante dont nul ne peut préjuger dès maintenant. Je vous serai reconnaissant de bien vouloir insérer la présente dans le prochain numéro de voire journal et au même endroit qun l'article visé, afin de préciser la situation de l'affaire.

« Veuillez agréer, etc.

« LEHcnreun.

M. Lelieipeur est contrarie que nous avons parlé de l'affaire des Fonderies et Ateliers de l'Ouest. En saisissant nos Vcteurs de celle, question, nous n'avons pourtant fait que remplir notre rôle d'informateur.

Car ce rôle ne consiste pas seulement, comme semble le croire M. Le-hcrpeur, enregistrer des décisions de tribunaux. Ces décisions ne sont généralement que le point final mis à une information judiciaire. Le rôle lt journaliste commence, en réalité, de l'instant où une instruction est ouverte. A ce sujet, nous ferons même remarquer. à M. Le. herpeur qu'en ce qui touche cette affaire des Fonderies et Ateliers de l'Ouest.. nous avons agi avec encore plus de réserve que d'habitude c'est seulement quand les conclusions du juge instructe ur ont été connues que nous nous sommes décidés a en parler. M. Leherpeur afflrme que le juge en question se trompe, du moins en ce qui le concerne. Nous ne demandons qu'a en -roire M. Leherpeur et nous nous empresserot» d en informer le public aussitôt que cette erreur aura été démontrée.

L'EPILOGUE DU SCANDALE

DU PARC DE VERSAILLES

Les coupables sont arrêtés et seront poursuivis

.Versailles. Il juillet. Les opérateurs de. cinéma autrichiens qui avaient tourne un.' film de propagande dans le parc de Versait.les, devront attendre quoique temps avant de reprendre leur vilain métier. Ils sont sous tes verrous. Le metteur en scène. Otto Kessl«r, né le 2 novembre Ü Vienne, a été, -tv effet, arrêté hier aprés-miiti iL Mulhouse, par les soins du commissaire spécial, ainei que cinq de ses compagnons, tous étrangers comme lui. Ce sont

rEuRène Neusfeld, né le 10 spteinbre ^f>S^i a Golin?; Jacob Fleck, né le 8 novembre a Cernowitz: Marie Mullner. née le 8 décem- bre à Linn; Aloïsa fV'ck. née le l" août 18<3. Vienne, et Marguerite Schmidl. née le 7 mai 1887, à Vienne

Des plaques photographiques, représentant quelques-unes des scènes incriminées ont été trouvées en leur possession et saisies. Transférés au Parquet de Versailles et mit u la disposition de M. Foujrery, Juge d'ins-. truction. ils seront vraisemblablement écroués sous l'iuculpation d'outrage publM à la pudeur et de complicité.

M. HERRIOT SERA-T-IL

ASSEZ FERME POUR DEFENDRE NOS DROITS

A LA CONFERENCE DE LONDRES? ̃-♦•:••»

PARIS, 11 juillet. Plus on coule M. Un'lot, plus l'on se sci.t envahi par un si;ili.nent d'estime compatissante. accompagne ,l'un sentiment dt. vive ;ippréJieiision. Quelle bonne volonté 1 anime, quelle peine se «lonne Comme il vent sincèrement le bien 'If la France et le bi.miour Je l'humanité Supposez un Jean-Jacques Hjiiasc-au nonnete et généreux et vous aurez M. Kdouaid Herriot. Le fond même de sa pensée n'est certes pas blâmable il veut faire une oli- i ît] ne d'arrangements internationaux qui sau- vegarde nos droits: est une bonne formule .u-surémeni. Mais quelle confusion dans cet esprit, i;ucl- 'e incertitude dans l'exainrii et dans le choix des moyens, quelle fête vacillante, quelle faiblesse On a l'impression que, devant l'ctranger, cet homme doit faire naître une cermine sympathie, mais pas la moindre <rain'c d'une fermeté lucide.

6011 discours de ce soir, nous ne saurions le cacher a redoublé nos inquiétudes. Il nous. a. plus que jamais, montre que ni. Herriot esi tout en tendances, tout en •lésirs; ii ne sait pas. il ne peut pas éclairci, coordonner, systématisai consolider, prévoir. f' 'icsite, il crdoute, il avance et recule; il aflinne, puis il perd pied; c'est une recherche constante du moindre mil; il semble que M. Herriot n'ai! jamats rencontré une vériune réalité concrète p laquelle s'attacher. Nous pourrions reprendre ici tous les chaitres de soi; expose, ?t établir comment le "résident du Conseil, cinq jours de la ConieiTiicc (le Londres n a de programme põ̃itivpmcnt fixé ni sur les dettes interalliécs, vi sur le problème <k la sécurité, m sur tes r ovins pratiques d'apnlication du plan '•̃wps. Cette étude dép-ssernit <is beaucoup limites dr temps de place que les cirm stances non* imposent. Bornous-nous à î::i seul exemple

'-i l'Allemagne comme) un manquement à s .ibligations. la C. U. R. devra s'adjoindre, :>uur en juger, un Américain. N'cst-ee pas un -:acés ? dit M. Herriot. N'est-ce pas une apHk-ation stricte ciu traité de Versailles, que j'ai J'intention de maintenir intangible ?. simple apparence, hélas M. "Mac Donald s'est pas fait faute d'expliquer à la Chamro de* Communes que cet Américain ne se1 lit point un simple membre de plus à la L. R., mais un arbitre, un surarbitre. De qu'en cas de dissentiment dans la D. R.. ce ne serait plus le président un !-iançai6, qui aurait voix prépondérante re -fiait l'Américain qui, chaque fois qu'il n'y .Mirait pas unanimité, trancherait sans appel le différend. cilà ce que toutes les forces anglo-saxonnes vont se liguer pour imposer 'e Ifi juillet. Or, que dit M. Herriot ? Qu'il c 'iMsidère cette adjonction de l'Américain ru'iiinc un succès pour la France et comme mi progrès sur l'état actuel des choses. Et l'un veut que nous avions confiance en nn négociateur ?

Au reste, ses expressions même le coni':iinncnt. Xoii«= avons relevé, cet après-midi. ̃pt ou huit formules qui, à la veille d'une ̃ oliférenre comme celle oui va s'ouvrir, sont MMinifiit déconcertantes. Les voici ̃ Je n'ai d'autre ressource que de faire appel à I' •' ̃"•'• île l'Angleterre.

'.• règlement le meilleur sera le moins mv.ivjis. J'ai fait ce que j'ai pu. je contl:mi: rîii :'i me défendre à Londres et j'espère <jue les Anglais nous comprendront. Je ferai pour le mieux, sentant bien qu'après le plan Dawes, il n'y a plus rien

Que dire d'un Ici langage ? l.'appellerezvous réaliste, parce qu'il sue l'impuissance et l'abandon ?. Comparez-le avec l'exposé Il''1, ferme, impérieux de M. Mac Donald aux «uiiiiiiinics et dites si parler de la sorte est habile, opportun, digne de la France ? M. Herriot professe des théories qui peuvent avoir leur intérêt relativement à la prédominance des problèmes économiques sur les questions politiques il <. ses idées Mir la substitution de l'action internationale à une prise de gages réels par une ou deux puissances il fait. confiance à la S.D.N. touchant le désarmement. 'toutes ces doctrines peuvent ,>e soutenir mais il faut .précisément se montrer d'autant plus ferme dans le langage, d'autant plu. intransigeant sur ]cs droits fondamentaux d'un pays. que l'on se propose d'engager ce pays dans une action internationale. C'est exactement l'attitude du gouvernement britannique. C'est l'attitude contraire que vient d'adopter M. Herriot. Redisons donc que. si nous pouvions faire confiance il une partie de son programme, contresignée du reste par M. Poincarê. noi's ne pouvons à aucun degré faire confiance à sa personne.

L.-A. PAGES.

{l'épiches ayani puru a ans reos dernières éditions d'hier.)

Un vapeur français est pillé par des pirates américains

Halifax (Nouvelle-Ecosse). Le vapeur Mtilhou. ». appartenant ̃ des armateurs français, son rendu .i Halifax, pour déposer une plainte. Le a peur avait été accosté Je 2! juin par une embarcation automobile de New-York. Puis :in<> trentaine de pirates étaient montés il Ixird et avaient pris pour un demi-million. Les pirates s'étaient emparés de caisses d'eau-de-vie, de whisky, de Champagne, de vins français. qu'ils avaient dose endiis abord de huit goélettes, dont cinq appirtmaifiit à l'Inscription Maritime de la Nouvrlle-lvuss.' et trois autres à une Inscription Maritime qu'on ncconnait JSVntrpprenps 'atnals un voyage quelconque. eolI<r!if ou rangée on k r<Hran?er t^r. cVmanrtpr 4.<f renseignements >u dos VoyarM pour tout l'Ouê$lEclair.

QUELQUES DÉCISIONS DU CONSEIL SUPÉRIEUR DES CHEMINS DE FER L'une d'elles intéresse Nantes

PARIS, 11 juillet. Le Conseil supérieur des chemins de fer a adopté un projet de rcglement, pour le nettoyage et la désinfection du matériel affecté aux voyageurs et pour les conditions d'établissement et d'entretien des locaux réservés au public et au personnel. Il a ensuite procédé à la revision de pluni'curs tarifs concernant le transport des marchandises, notamment ceux visant le transport des dûpouilles d'animaux et produits accessoires, les bois de construction, etc. Il a approuvé l'inscription d'un certain nombre de relations nouvelle» à la liste des parcours sur lesquels peuvent être d0livrées des cartes d'abonnement de travail et il a adopté un tarif d'abonnements ordinaires applicables à la banlieue de certaines grandes %Iles: Paris. Strasbourg. Mulhouse, Metz, Colmar, Nancy, Rouen, Le Havre, Bordeaux, Xtinfcs, Toulouse. Lille, Marseille, Lyon, SaintICMcnnc.

Il a également admis que les tarifs non encure révisés seraient prorogés jusqu'à la date d'application des nouveaux tarifs correspondants.

Le Théâtre de la Passion à Nancy on annonce, pour le 13 juillet, l'arrivéc d'un groupe considérable, ayant à sa ti'to de. Sénateurs et Députés. Le 20. la Fédération des Gymnastes assistera il la séance donnée pour l'Œuvre Nationale de Dormans, et présidée par Mgr l'Evêque de Châlons. Les Evèques cde Verdun et de Luxembourg, et Mgr Rolland tîosselin, auxiliaire de Paris, présideront la séance du il, pour le monunent de Douaumont.

LE GRAND PRIX DE ROME DE GRAVURE

il juillet. L'Académie des Beaux\.ls a jugé cet après-midi le concours pour prix de Romc de gravure en taille douce. l\!ie a décerné le grande prix à M. Montanier; le premier second grand prix à M. Caini le ùc-iixiêinc second prix :\1. Troussnrd.

DEMAIN DIMANCHE nous commencerons

notre nouveau feuilleton

PRÉCOCE AVRIL par Yvonne SCHULTZ

Le toar du monde aérien

̃

if: aviateurs AMERICAINS SONT ARRIVÉS EN EUROPE

COSSTANTINOPI.E, 11 juillet. Les aviateurs américains qui font le tour du monde sont arrivés hier, à li h. 30, à l'aérodrome de San Stcfano, près de Constantiuopte, venant d'Alep.

Ils repartiront demain pour Ruearest et comptent arriver Paris à temps pour participer à la revue du M Juillet.

Turpin -Monopole GRAND VIN BLANC DE EORDEAUX TURPIN Frères 4 KIOL'T S"A– auC.pital de 4.0X.MKI K" INFORMATIONS

MEDAILLES D'HONNEUR DEC C. 70MNIERS La miMiJillc d'honneur est (Jêccruc ̃ .iw chefs- caiiloiinurs de la voirie dcpai'.cmciiulc et co.nniunale désignés ci-après

lllc-et-iittii,ic. liauiHin. M:irnille. ;i Eln-llc. Krillc-I..1 Keiluii; Muret, a Vi<u\Unisiii-, ;i Kciinrs; l.ouvfl. ,i iriiiilniurg: (imiti<T. l( Janzo; Tosior. :i Humii .̃: (Jiu-d«, a Saint-Cn-Riiirc; Drusuet.">'l..1 Corinillr: Moricc. a M-iiitrnrt; (iantirr, :< Kpniiac: lioulny. La «ucrcMc; Vcrlirnsslic a lU'iino.

MorhilHW. Vaiino; l.eimul. ;i SaiiK-lipriinil: I.i ;;l.niiicc, radcii: Lp Niimir, a I.i'iiiMil. a l.iïnol; limluiiai^. i loifliar; llainiiiipt, a Radpnar; Lestrat. n Lorlcnl: (incgaii an l'.rlais. riitrr-tlu-.Xunl. MM. Martin, v I'Iclauff: Ollivicr, a (rliuiipl: luiitc. a Gour»y: l.rcir •11. a lloiirliriac; (iniiri:.iif. a pianroût: Marn.' n a Mrrclripnac: U-ray. a l>luubala\: I.c-floi h, a Louilrac.

I Inishre. MM. Le Vuurrli. à Saint-Servais; >:azca>. a Taule: l.rsîrl. a Lniiinciir; (JuiKUiiipr, a Saiiit-.Marlin-<lcs-('liaiii| Kriquin. a l.uciiuirci Vendre. MM. Fort. à roppi'liagniiTP.s; Krcnpaii, a MortaRiic -.̃.iir-SrviPM ( .ui< licle.iu. aux Herliirr. Tiiiisrriin, a Poirp-sur-ViP; Thiliaudiau, au à l!c:niv>>ir-siir Mer; Sauz<viii, a Aprcniont: (iiraud, a lirusbrrull; Ciiiituripr, a TlKipIgny: Mainsuy. à HarliatrP: Girard, a M'iu/.piiil: <;pav yiniiir-rl-l.-iiie. MM.. IVisnp, a ('uiiiijriu* rharra id ,miSnrtliP; Mii'lii-iiPiiu. a Tisnp: Manhand. à Uaii'îi-; lllipiiin. à TiiiitlrnifiiMjp: Mcnard. a Murs; CMirini, a SaMil-l'anl-ilii Unis; fliardcm. Tierce: LpiiipsIp. ;i Soiicp.IIps: < il i 1 1 1 t c-.m à ("onibrpp; (Jupry, à tionnord: Scrhpr. a Miintrpiiil-ilii-PpIl.iy: (luptny, il A\Ii-p: l'auvcrl, a Chaudron: (}ups«ion, à Moornn; S'inlard, a f'halonnps-sur-t.fiirp; Soyp, a Chcviré-

ADMISSIONS A L'INSTITUT AGRONOMIQUE a.IiuLi en ivïl c-ojibiip ôlOvc-s à rinslitut .Valional .V^roliunilqnc

l'iofrpr, Ki^tmIpis. Hlai-, IiriKhort, Mlle Kruuiu, Ici. liaîlc. J^iiRcviii, (i»u\ de Srtva. Duliouot Je V.ii-i( rp. l'rançois. Munjaiizc, Landirin, llusquln. Ma-id, Lafoirst, t>pdclianir>s, Saboiireau. Amnzp, '.iiirVii?, du l'.irv, îliiiiy, Baquiast, Mollp, Tisserand, i i::rau!|. i:,iiiiii'<, IlonnisaPl, Oiicst. dénient, Ro?er, |i;i:i-.M'. dr M"ntPbrllo. An Iré Maxi. HulTet. Chc• ̃̃̃• Kourny. Hipau'it, MonfUlUon. furand Paul, Sailonave, TcnipBer, Mer, Drouliaiilt, Briot, G:lbert.

nouiily, Me:nil, Hazan, Gratte' Beyit, de LaoiieLiscrif, de PerUiub. Kranrini, dament. Cuziu, de Lavcfnpttp, Le Gtuiunnci-, .Niu, OhiniinaJo, Nazat, i^iy, Juusîot, IlenauJpt. l'eitfl. Blai(rn;«i, ThiPiiot, .Lambert, <le Bcllecoiir, Kaaitar. L>p:iiiî1/ A'Ia'.IOrpi (irawitz, Aurini, l.wuinti'. lluriez Hpnr:, Braïu.loin, (Ilrau: Op calheii, Martin .Maiiri-c. EMix, Krpji'an, Dncasjsc, Ucurzcî, de la Hixhcruut'iulil, ASSOCIATIONS DECLAREES. Patronase SaintJosepli. éducation populaire, lleaulieii-s'ir-Layon (Maine-et-Loire).

TUES! HEIÎiIES GENERALES. Ilau> l;i liste gtinérale 'iaptilu Je des einployés de géMér.ilcs et. de recettes des finances ilru-sês pour un emploi de percepteur. Année l'j-i [:çr:ircni Perceptiiuis de classe. échelon M. lîcii.y. en luisAm\ a la Trésorerie (çênéKile des I)a\-St;vrcs; I.egoder. oonunis principal de lre flnsse, Morbi ban- Malrvet, cmnniis principal de •' classe, i ls llccctte d'Orloron

l'erceiitions de 2* classe échelon, M. Map lin. commis principal de 1re classe. Finistère. l'exceptions de J" classe Tl. Hordimneau. cou» nus principal de j- classe. aux Sables d'OInnup. DANS LES LYCEES. Mlles ('artigny, du Lycée de Ueniies et Verharnc. du Lycée de Nantps. sont inscrite!) 4>mir l'amnéc 19-2-i-lihTi Mir la liste d'apti tiidc ;aux .onctions d'economo dans fes Lycées de jeunes fllies.

MKDAILI.E DIIOXNEt R La médaille d'honneur rominuiiaJe est décernée Maine-et-Loire. MM. Maupoint, a Savennièce. Crouzel, à Cholet.

Manrlic. MM. Blouet, à Avranclies; Desplan<jues, l'icauville.

Marthe. M. Chïrtelain. Saint-Maixent. llte-et-Vilaine. NI.%]. l'.érard, il Rennes; l'eltier, La (ouyére; Muzereau. a rhartres-de-Hreta;ne. Lolrc-lntcrieure. MM. Lefort. à Saint-Nazaire; Marchand, il !vantes.

Vendie. M. i:alipeau, aux Herbiers.

DERNIERES NOUVELLES SPORTIVES

WATEII-rOLO

DEMANDE DE MATCHES

Le Dinar Amical SportinK-Club (section de nalatiiin' ileinaiule maUii d'entraînement avec 'luipe risiiiuale ;l" ou • série) pour le lundi J> juillct, a la dit l'ort-Blanc, soit sur terrain adverse, le matin ou l'après-midi.

Téléphojier conditions M. Paul, secrétaire, 31, Dinard, ou à M. Pa-yé, trésorier, Î.Oi.

CÏCL1SMK

LA SOIRÉE DE JEUDI DERNIER A VANNES Favorisée par un temps idéal, la suirée cycliste iiopulau» oigaiH>ée jeu'.ii dernier par le. Veloce V;:nnet:<i.s L'niuu Sportive, a obtenu le plein succès qu'elle méritait.

Les mille et quelques personnes qui avaient repondu a i :i Pipe des organisateurs curent l'orra,:sion d'assister des épreuves très intéressantes. Les deux triomphateurs de la soirée lurent en- roj-o Louis Le illilian et son co-equipier Thibaut. Le populaire Robert Asse, 'Picard, N'avenncc et Mcillmir se partagèrent avec eux les applaudisi^ment* nourris du ;public et. chose qui n'est suri' pis a dédaigner, la majeure partie des prix .• lits par le Comité du V. V. lé. S.

Dans l'amcricaine, Le Bihan -Thibaut prirent un peu plus d'un tour à leurs adversaires, mais non sans une belle défense des tandems Asse-1'icard et Navennec -Meillour qui assurèrent un train vif et soutenu et, par leurs fréquents démarrages, furent les principaux animateurs de l'ôpreuve. Monot-Le Lève furcnt également bons et méritaient miew. icurb courageux efforts s'étant vus mal récompenses.

\'uiri les résultats des épreuves, qui débutèrent à M il. Vj

Itégiuiiiilc vitesse. (li partants. 1 séries, 1 repêchage des ^e.oniis;.

Première ïerie 1er Le isilia.ii; 2. Le Levé; 3' Suliier i.lomlit5 alurs qu'il be préparait à p.isspr La Levé); 4c Koperli (dernier tour en Ai :)). • l)eu.x:cnic série l'r Thibaut; -jo Le Meillour; :.Io:n.t; Je Tanguy ¡dernier tour en

Troisième série icr il'icard, -y V. llilian, Gri niaiid. 1' Roger (dernier tour en 4/5). Rcuiêrhagc des semuds le Le Levé, ••̃<: Munot, 3' v. Itihan (dernier tour en ai" .1/5).

Finale I" Le Hihan, -r Tliibaut. à une demilongueur; 3a -l'iraril; !• Le Levé. Picard attaiiu» dur dans le dernier virage et menace fortement, mai. Lc l'.ir.an lais^c la corde à Thibaut qui pur Meni a finir second.

\nciicituic il' une demi-heure. Six équipes prenucnt le dopart l<r Navenneu-Muilloiir; ̃•' Le llili.in-I liibaut: J' Le Levé-Monot; 4' llerrou-V. lilhall; Rngcr-Rolienli; Picard-Asse.

lies le début, Meillour et Asse mènent il,, Irain vif. Navennc:- relaie son co-cipiipjer et l'allure s'active encore. L'équipe Herrou-V. Uihan e.-t immedtatemeht làchée et perri une vingtainc rle mètres Les routiers sont au commandement et l'allure est toujours soutenue. Roger-Ruperh .perdent :vo nietrps, mais reiollenl ensuite après une cliasse de plusieurs tours.

*u li' tout-. Louis Le Bihan démarre violemment et prend de suite, une trentaine de mètres. La ohassi' s'or/raiiisc. niais sans résultai HilirinTlnhHut se relaient et portent leur avança a 2no n.ptres. Au io- tnur. Herrou-v. Itihan sont doublés par les leaders, et peu après par le reste du peloton. Au -iv tour. Thibaut double tout le lot dans mi style superbe. Au tour. Meilloiir-Navonnec Asse-Picard font de fréquents démarrages Dans les dix dernières niinutps, les concurrents bataillent "̃"tnn Wr le, et, troisicmp p|arp et A<-se l:<-iri. ainsi fille Navennec -Meillour. sont forte meut cmoiira-jés par le pultljc. Robert \ss« n0ti-.niment .semble aujourd'hui, mieux à son aise sur pisiP. Enfin la pioche annonce le sprint fins- U le rlassement s établit comme suit après l'u-ard mit coiffé de ,.pu Le sur le >e'teaii 1" ,.e Bihan-Thibaut (Lorienf ayant coti^vert tours en :;o minutes, soit l'i kil •>> un loir et dix mètres. Asse-Picard (Vannes)' ,i: l.ê Mriliour.Na venue. à une demi-roue des second»- Moii-.i-Lp Levé, à dix mètres; lit ̃un; CI' l,i.»pr-H-i|iprli, ces deux dernières équipes ̃v r°»"'l"tio> rr Le Lptp Lorient)- ••̃•"<• Mo>.an»: Le Meillour (L»nvaudan): n" LA R6JNION DE DEMAIN A LORIENT !.̃̃ iiisk-.Ii dHTièiï' p-ro- moins qui sr défnul"ra .'lemaiii apn--mi1i. sur le vélodrome du l'aiv des sports de l.orip.nl, promet d'être lnléreésaiit au plus haut dp.jrrp.

Le peur sprauitl -o;r ré!rulir<rcini'iit it r,v;re lxKiiip nirurp à côu! di>3 deux ?ptVia;i>:es «fiai lu' sont <>i>|>osé-.

Bpriaud. an-né liU-r de Paris an;i- .un pnlralnpur lwvaux, a iwhi à Contact avc>; la piste. Sur une t'iiurlaim- du toiins l'ITectué- par le sla,\vr bi-eto-n. jamai- In rlirotm n'a de-sppii:lii aii-.ip.-soiis (le t|iiel<pies touis on! été enregistrés par nous ia". i-e qui nipiOse'iHP. du 67 kilomMrc-s à l'heurn. L'exccUent lipi'aux nous a dVvlaré qup son poulain pourrait très bleu atteindre le domain. HPTtaïKl s'annonce donc grand favori..Mais Il rai ici ra qu'il pompio avec le brin de Rloiwleau qui. lire par Je coureur niotopynlistp F>blp.-ker, lui tiendra la drapée Uaute et aver le rouraire à toute ('11'1'1'1111' Il!' Sipranr1! qui, aidé par sa petite taille et dprrièrp l"( niralni-ur qui l'a déjà eo-mluit à la Weio're dan< le RT.ind prix de liulnirainp, saura profiter de la inol'iwlre défaillance de sps adversaires pour :r pjasspr honorablenipuit.

P-n toiMeis fanon-, les trois inanohe* de cr J«I1 mai»* n«u< proniettpiu d« hpi-los et émouvantes biuil><. (tui «nrom Airwlréw par de5 *pr<>uvp5 ryrilstM qui r' -liront Affalement au publie lorlon-

UWPlSVp

COURSES DE DOL-DE-BRETAGNE

Sur riiippudrpme de Mon-Daisir auront lieu le dimanche A) juillet a 2 heures Jes courses de chevaux de Col, dont voici le programn1e le course. Prix d'Ouverture. heures au trot monte. 2.9900 mètres.

Prix iV), M. ÎO.

2' course. Prix d<" la Société d'Encouragement 2 h. 30 hors série n' 3. 2.000 mètres environ.

Pris 600, 300,

l.'iiga.reinpnts jusqu'au mardi 8 juillet, avant 2 heures de l'après-midi, au swretariat de la Société d'Encouragement, rue Sribe, 'a Paris (O1).

course Prix du Département. a heures Au trot monte. 2.SU0 mètres.

Prix :• 4:,0. :00. et

Engagements jusqu'au mercredi 16 juillet, avant s heures du soir, chez M. Altiert Juguin, secrétaire des Courses iL Dol.

course. Prix du Gouvernement de la République. 3 h. 30 au trot monte, I.'XO mètres.

Prix 1.100. 35ft. "50, 10H francs.

Engagements jusqu'au mercredi ifi juillet, avant Il heures du soir, chez M. Albert Jaguin, secrétaire des courses à Dol.

course. Prix du Pari-mutuel. heures Course au trot attelé. mètres.

Prix fi00.

Engagements jusqu'au mercredi 16 juillet, avant S heures du soir chez M. Albert Juguiu, secrétaire des courses à Dol.

6i course. Prix de la Société des Steeple-Chases de France. h..T<> Steep!e-rhase militaire. série. 30D0 mètres environ.

Prix et

Knsrasrements jusfpiau mercredi t6 jttillet, avant H ihMires du 5oir. chez Albert Juguin, scrrétaire des Courses à DoL

TIRAGES FINANCIERS du vendredi 11 juillet 1924

FOXOIERES ntti. Lp numéro est remlioiirsablp par iro.ooo francs

Le numéro 5-2S.7-.1:! est remboursable par :i0.con fr. Les R numéros suivants sont remboursables par 5.IXX1 francs lM.(Vi6. 289.308. iU5.7;fe, 42SOST.. '̃6'i.G.lt. 'iO-iS/ .I5.88.

numéros sont remboursables par francs. •COMMUNALES 192-î. Le numéro TJj.OJS est remboursable. par ?."O.O0o francs.

f.p numéro i76.619 est remboursable par 1W 003 Les deux numéros suivants sont remboursables chacun par francs tCO numéros sont remboursables chacun par francs

DEPECHES COpERCJAlES HALLES CENTRALES

Paris, juillet I9-21.

Teudijnic Baisse de O.AI sur marchands Normandie et Bretagne.

Pour les lieurres en mottes on cote le kilo en marchands français Norman .lie, 8.RM-2; Bretagne S.&i-ll.iO; en centrifuges Normandie, lO.UM3.">o' Bretagne, 10.50-1J;

Arrivages du jour 38.4M kilos ŒUFS. Tendance Baisse de 10 francs sur Normandie et Bretagne, choix.

On cote par colis de l.Ourt œufs les entras de les gris, jno-iwt- les gros de Uretagne, 35:i-i()0; les ordinaires. rxyAoo. Arrivages du jour x>X>o kilo:.

FKOMAGL\S. Camembrrts Normandie 70-ïfO- divers, iO-llO; l'ont-l'Evéque, 7O-3U0; arrivages pâte molle, 5t.?.« kilos; pâte sèche. 5.m kilos POISSONS. Barbues. 71J; bars, lP/-îo; hmiiani* vivants. langoustes vivantes. maquereaux frais, gros, à la ligne. raies ojo-2- sardines salées Bretagne, 10-30; fraîches l.Vï>- VOLAILLES MORTES. Prix moyens. Canir.-ls I.oiicnnais. pièce. nantais. do ferm.> le kilo, 10: oies nouvelles, le kilo,0.i">; pigeons petits pièce, moyens. -ros. nantais 1<Î7.V "al (mais. 1H.7- Bres«3, congelés, poules 'Bretagne, îv'.j:,

BOURSE DU COMMERCE

SCaiKS. Paru. juillet. Ouverture rour.i'it, iW,0: août, 26J; septembre, rneote; 3 d'octdin-e, ii>8: :i de imvembre, 20:

Tous payés. To.rwian'ce plutôt fvrcnc.

Clôture nrarnlxi a terme courant. 'Wiiiiaoût. 26i.3O: septembre, ?5i; 3 d'octobre, 3 de imvembi-p,

Tous payé.5. Te.ndanco A pemp soutenue. Coto orilc.irttlc de3 courticre a*sermp'iitê5 • 2-711 :,o 27l.5ti. CAFES. Le Havre. 1 juillet. Tendance 3-.>8.r,<); ma-i-s. 3îfi.25: aoûl. 3-JI. ̃ mai, juin, iiK-ulr; juillet ï.|.2.-i; août, septembre, 3ir,; o:tol)i-e, M'Jj; nov(«in.bre, déce>nibre, 33'J. C'ITO.NS. Le Havre, Juillet. Clôture iemliiwe calme. Ventes :00 baHeâ. Janvier, Roi); février. mars. avril, ,601; mal, 601; Juin, juillet, 6S1I; août, septembre, octobre, novembre, 6i.ï; déciiinbrP, 611. I.ivpnpool, Il juil'let. Cotons américains. Clôture juillet. 16.19; août, 15.:)!l; s<>.ptcmbre, 1f.s:i; of-iobre, 1 i.27; novembre. défend): 13.'»."i; janvier. 13. SS: février, 13. Si; mars, 13.7S; avril. 13.i2: mai, juin,

Snkcllaridi? Clôture juillet. a'.i: 20. S3; septembre, 50.1-S: ix-.liibre. 19. OS; novembre, 1S.1S; déce.inbre, IS.3S; janvier, 1S.JS; Kvrv.'r. ninr-. 1S.2-J: avril, mai. juin, inrnlcVi. New-York. jurllPt. l>i-poiuble. juilh!. août, A">.95: septembre. niMolu-i-, novembre. dPCPiHbrr. janrn:i, 2:î.sri: juin, incoië. /IULE': I»E I.I.N. JliiillPt, .Nominal; août, ̃1L>O .Nominal.

MITILKS 1>K (XM.ZA. Jiihllot, ioo Nominal; août, iOO Nnni'"iai.

i;\ui;Ti:iliU( s. Juillet, à :i: août, 9 a !2O: «pplPiiibre. n Vlipfiir: 3 d'ortoJirp, !).(."•; imvpmbri-, !iii Viliflrnr; de janiier, a révrlp-r, n.T.'t a io.t?n; 3 d'avril, à lo.:)O; mai. Arnclciir.

MARCHE DE LA VILLET1B VEAUX

Paris. Il juillet. Vente câline.

Arrivages

Anii'tiL'S 142. Vendus 104

1"> (|iuilitt' net.. 11 Il 3» cjualiti: net. 1r= i|ti;ilitij vif. 6 60.3» «iiiHlitô vif. 4 25 -•̃' <|ii;ilité net. 10 50 l'.xtrèmps net 11 90 1* i|ii;iliti> vif. 5 Extrêmes vif 7 14 Voatix maniTiiiix 5.25

LE CONCOURS DU PLUS BEL ÉPI DE BLÉ La prp-se agricole de Uur.lc.iux organise en t'J-i, sun ~J> coin ours du Plus BpI Epi tW lilc de Fran- cullure et du ( omnierce.

dlioniiLur de SI. le Préfet de la Uiromle, a l'hon- neur d'inviter tous les producteurs de blé de France et il' l'Afrique du Nord à lui envoyer, des 1.1 moisson, -une touffu dune vingtaine des plus beaux *i 1s de r!'ai|iic variéHi de blé Xillivée par eux avec la paille de p>férencc et seiertionnés on neiii champ, avant rccii'ltè. pour concourir en vue de rccnerrlier. après une épreuve expériinen talp. à deux ilpyrcs, le plus bel épi. c'est-à-dire l'épi ayant le double caractère prolifique de grains et productif de bonnes farines panifiables. De nombreux prix et médailles seront distribilés,

Adresser les envois, Palais de la Bourse, salle Nii-olas-Heaujon, i. Bordeaux.

MARCHÉS DE LA RÉGION OHATEAL'BfflANT. 9 Juillet. Froment, rou'se, 88; sarrasin, 9b à. 100; avoine. 78 eo; orge.

SB foin, 1es kilos, à .paille, bœuf, œul». la douzaine, i, ̃ ituiilcls. la couple.- il; 26; cidre, la barrique. i SO. porc de lait. €0 lapin, 3 à la pièce: canard, Wi pièce; pU geons, la couple, francs.

LA MONTA-ONE. 9 juillet. lieurre, la livre.. 6; œufs, la iliniZiriue. 5; poulets, la pièce, 12 a lô; lapins, la .pièce. 8 a 13: plies de Loin-, la livre, i; sardines, la douzaine, 3; merlu, la livre, o.»; ïjoîs- j son blanc, la livre. X»; haricots, le kilo. 0.7i; ar« tichauts, la tète, cerises, la livre, 1 LANN1ON, 10 juillet. Farine, les kilos, M9: fiomcnt, OB; sarrasin. :io-, avoine. 7i-, orge. H1.: set- -le. son, foin. le mille, 1<K): paille. Ou. Hoeuf, sur pied, le kilo, a 4.10; vache, 3,'JO; veau, mouton. 4.G0 porc, Beurre, la. livre, la à 1.75; œufs, a douzaine; •>jO à pommes de Icrrc. les 50 kilos, ÎT^i^Ws Uuins domestiques, la couple, -J0 à canards,' a li; poulets moyens, gros. 2i â pigi-oto, «hiibans, les kilos Cardiff. flambant, t"; boulets, il; forge, charbon de bois, 2Xi; bots d»'| ihauffage. la cor<lc, '.»>; fagots, le cent, V' lait, "lé litre, r Légume* choiiv. la piète. à 0, iC; oignons, le paquet. 0,15; êrlialottcs, 0,15; carottes, le ynniêt, tue et (risée, la pièce, 0.10; raisin, la livre.13:. poirei*. I.5; abricots. [niches, tomates. mûr' lon, articjiauts. haricots verts, i.j: ha0.0: poireaux, choux pommes, fouir» gers. 0,50"

la douzaine. 2. -Y. confie, la livre, ?.); plies,- 3i liens, 1.50; bars, '•/); innlels. ;i..v.i: et mer-bigorneaux, 0,65; palourdes, la douzaine. 0, iO; co- dorades, 1,75; l.vi. moules, la mp<urc,j ('iO; coipiille la pièce. (>»i: M^le.j la livre. 4.jC; lurliots. 6; la pièce,' 1.5-) :'̃. 2.50; cidre, la barriiiue, 180. SrONTFORT-SrR-MEl-. 11 juillet. Bcnrrp T»i hiln, cn gros, 9 œufs, la don/ V'Urj lets. la couple, nj à •> lapins daniestiquc?, la! pièce, 9 à 12: piprons, la couple, à Cours stationnaires par ailleurs.

LES POMMES DE TERRE

portant paniers. Prix moyeu li i 15 francs? les kilos Contrairement anx bruits répandu* Ir marché' nu v pommes de terre restera ouvert toute la se. main prochaine et nouvel avis.

PUMpoi.. Il juillet. Lcs pommes de terre non-, vellcs ont été cotées de i fr. les kilos.

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A l'occasion dos Kètes du 14 juillet, pourquoi les communes n'or^nitisi'rairnt-ellrs pas 'lÀ concours d'illumination ?

Reaux feux tricolores sur 1rs petites plactMl illajenises, cordons lumineux tendus au tcavers des rues. Mais le vainqueur serait bt^a. certainement, celui qui saurait taire un jU^lH cieux emploi des Lampes MAZDA, watt,

iigique désespoir d'un boulanger à Caen

C*i«. Il juillet. (De notre correspondlint ttticulier.) Les époux Guertault, boulants a la Uélivrandc. avaient des discussions régnent». Le mari, âgé de 32 ans. se livra 'tomes fois â des [;les regrettables sur la TTSonne de sa compagnie qu'il accusait, sans j:6oti. d'entretenir des relations coupables. La vie devint bientôt un enfer, et Guertault .-cirait qui voulait l'entendre qu'il se lerait après avoir tué ca femme.

̃Ces jours derniers une scène terrible fêla Lit dans la boutique. Une clien'e, Mme Vve t!bré>. étant entrée au même moment pour -mander fin pain, le boulanger sans lui •jiontfre monta brusquement l'escalier qui •.induisait à sa chambre. Surprise de cette :tiTufï«. Mmo Guertault Compressa de le Il ivre. A peine avait-elle ouvert la porte ni un specracle horrible lui arracha nn cri 'épouvante le boulanger, qui tenait à la -:titi un rasoir ensunplanté avait une plaie rotonde lA ttor. 1p malheureux venait tomber sur le plancher et se traînait vers ̃i ffnttre du logrement. Mme Gnertault s'em̃"sea anprds du blf-ss*. il la repoussa, Elle 'pela, alors sa soeur. Mlle Bazin, en lui rc̃mmaridant de veiller sur son mari pendant '̃'elle irait chercher ni» médecin.

Dans un suprême effort le désespéré réussit Rapprocher du rebord de la fenêtre et se ̃•'̃a dans le vide. Des voisins, qui avaient •=isté à cette scène rraprique, transportèrent boulanger dans le majrnsni où il reçut les ̃ns du docteur Parât

T.a victime, dont l'état pst grave, fut eñ ;te transportée à l'hôpital de Caeii. 1 %s Parisiens ont vu évoluer au-dessus de Capitale et de sa Banlieue, un superbe est regrettable que cette manifestation .:it pas eu lieu quelques jours plus tard, à ̃̃̃.oque où les Délégués Américains au Con•̃"•̃« de la Publicité de Londres, se trouveront ̃lis a Paris, car ils auraient pu. ainsi. se •̃̃̃'ra compte de l'effort pnhlicitaire fait en • !rf par une grosse firrne.

w ̃'ffot. le dirigeable portait en pros carac"o nom du fameux apéritif CINZANO. Université de Rennes

BACCALAUREATS

m:.1 définitivement reçus:

j. Partie. Philosophie

'.ficus admissibles dr tous les centres: y.. Cahienre. Cloarec, Covillc, de Finge, i i-oanier, Portineau, Fresneau, Kcrbellec,

Le Saint. Malgorn, R>cour. Ruello, Soubigou, Ch^»1' Mlle Gérâtes. MM. J«han, aerhervé, Méjean. Mlle Plaire.

2 Partie. Mathématiques

Anciens admissibles de tous les centres MM Izenic, Lehur, Bemardeau, Ernoul, Tuzen, Galé:on, Guénaff, Guy. Kerhoas, Riou,' Briand, Dumallc, Girard, Grincourt, Le Pape, Le Roux, Voisard, Mlle Debacq, Le Barre, Le Maux.

1™ Partie. Latin-Langues vivantes Anciens admissibles :MiM Attimont, Bertrand. Ploch, Labiay, Morvan, M-]le Refçnault. Centre de Brest. Mlle Bataray Bloch, Cerveau Lucien, Cévaër, Mlle Chatron, Centre de Saint-Brieuc. Fichou/ Frotie.r de la Messèlière, Gasse, Kerst. Lamili, Mille Le Sage de la Haye, Nicolas, Mlle Texier. irr Il. Sciences-Langues vivantes Anciens admissibles: MM. Berest E., Branchoux. Laplanche, Le Masson, Lepioûff, de Menndol. Mlle Servaiy, Viallesoubranne. Baudouin, Donval, Guirriec, Jacquier, Le Port, Parc. Piat, Piriou. Seilè. Sléphan:

Série O. Sciences-Langues vivantes Centre de Saint-Brieuc. MM. Bérest Marcel, Bigenwald, Bittoré.

Université de Caen

BACCALAUREATS

Sont reçus définitivement

Partie. Philosophie

MM. Bascou, Blanchît, Bornay, Durney Godefroy, Graine, Guiguet. rlédouin, Le Lailnf, Levillain, Mafray, Piquet.

Partie. Mathématiques

MM. Arkidrigth, Autin, Casaurans Grandpierre, Jégou. Lafflsse, Moneôtier.

1™ Partie. Latin-Qrec

MM. Bourguignon, chevreau, Guillo Lohan. Lenormand. Ruf'1é, schaeffer, Beauduin Cardine

Latin-Langues

Mlle Briùlet. MM Bruneau, de la Calle, Combrv. Davesnc. Garnier, Lerebourg, Massière, Bubert.

FACULTÉ DE DROIT DE RENNES Ont été admis:

Baccalauréat .-Mlle Jouanneau: MM. Maut> Frangeul René. Frangeul Yves, OHivicr, Tliiery, Rurlland, Le Chapelain.

Mention Bien: MM. Leclerc.q, Daiibot, Mouljère.

La session est ciose.

AUJOURD'HUI

>?asition Nationale de heures à i8 heure. [.• d<* Palais et des Sbaifdf. Kctc de nuit. t.'aino. ice-rt.

KRposltion d'Art Ancien au Château de 10 heures I* heures.

hisirifcutKm des prix du Lycée Clemenceau lu .so.

i iiéltrc ApoHo, à M h .30 Pour avoir Adricnnc. :qnc Rancy. a M h. W. place Bretagne. '̃.hioma Palace, à t il. nu ot 20 h. 30.

?JET DE COMBLEMENT

DU BRAS DE LA BOURSE

l'incénieur chef des Ponts-et-Ciiaij:.soes r connaître à la Chambre de Commerce, ,'̃'[( était d'accord avec elle sur i utilité que !'fiente l'audition ,les leprésenratits t'o la .itellerie. Ceux-ci seront appelés à riéfen•r leurs observai ions sur le; lu nouveau chenal projeté ,i l'enlr»1» de l.rIre. Il a ajouté qucn prés-'nce des morves orrnulées par railminisira.ioii i< un:< ip:ilc ans son exposé, l'Administration e j-frieue, n'estimant pas possible .le O.ti !»r fl'\z~ ence le c'>tnb!ernent, avait fli.'irj;é une Lunnissiou spiVialr d'exanu ter la section. La Chambre de Comm.M'.T. c-n auront lôfl'tion M. Marchefr, de sa oomniunicatioti, rst>rimé srs reprets dn retard ainsi appori il l'adription .l'unr solution qu'un danger eut-Mrc iiiiiniiieiu rend extrêmement urente et a émis le v»vii quo la nouvelle étude ott poussée assez rnpidem'Mt pour ou'une êrision intervienne à très Vtof dlai rt qr.u ^s travaux de protection i-v^cnt^s "ijant. l'été de 192t. afin de rassurer l'opiion publique justement émue

.SOCIÉTÉS 'Alssi. AU Uecfs ifKiiViCF. :.E 1. ij La •m-ptio!i 'les cotisations à la Caisse en cas i' iléLès (service de ) l'U.I).), ;iur:i lieu <! manlie nrortiain 1.Î juillet, de 9 ;'1 11 heures, au iége social..{. 'ne Di-sir.Colombe Les personnes qui désireraient ̃> iwtrf de cette Caisse, peuvent Si' fniro inscrire ux lotir et heures indiqués.

KSIOS UtPAniEMr.KT\L£ IIE.1 .SoCIKTLb l.t :;rCOl'R6 Htcw^. La perception des cotisations à l'nlon départementale, aura liru 'e 13 juil'I. de 'J à 11 heures. :m sif'jrr •(̃ni, me icsire-Colombr.

SOCIETE Ut-S ANCItXh UH.OMAt X. illi. i(Mlt5 ulohïanx sont priés d'assisler le juillet à rpvne des troupes de la garnison, Réunion 8 h. lô. |>licr Louis-Wl.

liSCROC. M. Henri Uu Sabla, ans, iicion entrepreneur lie maçonnerie, ï, rue iseph-Calllé; a porté plainte avant-hier, à I. Langlamct. commissaire de ltolico alu ir arrondlsscniont, contre un sieur Josephuguste Lévéquf. ans. snns domicile fixe, ni, disant d'un artifice friiuduleiix, lui a »croqiié l?0'it<'cii'(i fraur'- !iii!rr'>11ii pst on Jite

PLUS Ut i'hLl. <JI I- i>> MAI- Mlle .Æliiisirc, '̃'• ans, £]ui passait avant-hier matin 1 ̃><̃<: du Coiii:neri:e, :i été jetée par terre par ,ir de j.'lace de La flnne Renaud i fiUottc par chauffeur Henri l'aimer. ;*ti Ttift meurtrie nu jjicti gauche, pile '1 pu domicile rue Leon-Jamln.

Deux jours de grandes fêtes à l'Exposition Nationale de Nantes l'o. cciiion de la fôte nationale du il* juillet et des congrès de l'Union Nationale des Combattantes et des Offices Régionaux de Trois fêtes de nuit feu d'artifice, festival musical, fètes nautiques, critérium des cou-.l'aniius ,des garçons de café et des triporteurs.

Courses en sacs et en tonneaux.

PrograinniK sensationnel à toutes les attractions de l'Exposition.

Lundi, jour de la Fête Nationale, le prix d'entrée sera cclui des jours sur semaiue. Toute la publicite (annonces et réclames) des départements de la Loire-Inférieure et dj la Vendée, est exclusivement reçue par l'Agence Havas, 6. Place Royale, à NANTES AU CIRQUE RANCY

I,u Cirque Rancy, un des plus beaux étanlit-seineiits qui voyage il, «i in6tallé depuis mardi soir, place Bretagne. Un a soigneusement garde chez M. Rancy la vieille ti.vlitiou du métier » si nous avons ainsi paril' C'est-à-dire que c orque est resté un cirque parce que Je dressage des animaux y est 1 l'honneur et y atteint un degré de per- tectiun absolument inégalable. Nous n'entreprendrions point ici d'énuméivr les numéros d'un programme qui, U'ui> bout à l'aulre présente un intérêt soutenu et dénote un souci constaut de conserver à l'établissement une réputation qui n'a jamais déçu personne, en quelque coin de France où M. Rancy ait donné son spectacle.

Qu'il nous suffise de «lire que mardi soii, il a recueilli l'unanimité des suffrages ûes Innombrables Nantais, qui se pressaient dans la vaste et très contortable enceinte.. Il n'est auciii! artiste qui n'ait emporté de nhaleureux et sincères applaudissements. Nous r>'en avons donc aucun à citer puisque tous, d'un éjial talent dans leurs exprrtces variés, ont été fêtes Et pourtant.

Pourtant nous avons nos préférences personnelles. Chacun les siennes, n'est-ce i as 1 VA k\s nôtres ce]] 's rie pc-sonne. Tout an plus seiont-ellrs pour notre lecteur de simples références qui l'entraîneront aller juger par lui-mève si' elles sont justes. Si nou: avions a nous prononcer, selon notre goût, sur' les meilleurs numéros d'un programme d'ailleurs, nous l'avons dir, d'-vne parfaite homogénéité .tous en détacherions M. Il. Rancy, qui montA avec une virtuosité sans pareille un pur sar.ç aux nobles actions et qui, par *o science (le la chorégraphie, pourrait briguer. ne vous en dép'wfse, nn emploi de maître a danser les Galènes et leur Benjamin, prodigieux acrobates au trem. plin et il la bascule; les 1)aunton-Schaw qui, a bicyclette, font mlll? choses extrnordlnnltes, dans lesquelles la giftee des femmes rie le cèdent en rien la vig'ieur des hommes; Stassino's, gymnaste ..t équilibriste qui nargue le vertige; Diavolo mil muet et froid en son vêlement noir, accomplit à bicyciztte la périlleuse proup=sr rir tn « RniKle roiir»fte \fais :i!Tèlo".vnou.- i.i « us ̃> sont »ror> de brillants nrttstes qut, 1ans tous les genres, ont enthousiasme avaiit-M«r soir 1es spectateurs tir M. nancy qui, à coup sûr, recevra ia visite de tous 1e6 Nantais.

NANTES

Place du POBUCITt h VmuNOS

AOEKCt !lAVAS, PlaCe Royale"

ANGERS

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aoince hâtas. 6. rue Chaçeronnitre

AU CONSERVATOIRE

Après le concours de piano. et la giRe Effaçons d'abord une Uun>iliantc coquïllc qui a fait 'ire, hier, au dieu de piano perfectionnement, piano d'accompagnement! Ah! 1 le piano, (ici piano tout court), comme il est aimé à tantes. Il en faut de l'amour pour entendre vingt-lieux fois la même sonate sans broncher et c'est une foule qui, n'ayant cessé d'être compacte et aussi de rester à peu de chose près, composée des mêmes éléments, s'est Imposée cette audition précédée, en manière de lever de rideau, d'un concours entre pianistes du sexe fort! Entres en fonctions à 9 heures du matin, les jujre? n'ont été libres que quinze heures après. n'est, en effet, à minuit qu'était donnée la gifle. Après quoi, les juRes (et tout particulièrement celui qui l'avait reçue.) pouvaient considérer leur mission comme terminée.

Le jury a été déconcertant. H a eu de- faiblesses beaucoup plus excusables que certaines de ses séwritds. Il a comment, le matin, par refuser à un élève aveugle, du plus grand mérite, de la pius grande distinction, M. Redurcau, la suprême récompense. Nous ne pouvons nou* déciitfer à rrimirer cette froide sévérité qui traite un parcil concurrent commc un autre concurrent. Il eut falflu qu'on lui rendit ses yeux, à ce malheureux, ne serait-ce que le temps d'affronter l'épreuve de la lecture dit, cruellement vue. pour lui appliquer ainsi, inflexiblement. K loi commune.

En revanche, n'a-l-il pas été nécessaire d'user de quelque in-dusgenec pour décerner ;1 M. Debec un premier prix. Le jeu élégant de ce concu.rrent, sa belle sonorité est fâcheusement arylhnv! et il a bien ma.l déchiffré. Après déjeuner. le jury est revenu /1 la manière sévère. Ni Mile Redoux, ni M»'le-« Braux. Rivet, ni Bro?seau n'ont réussi à obtenir la place que semblaient bien leur mériter leurs concours brWlants. Cette Sth'érité. est encore plus inexplicable, pour MMe Rive.t que pour toutes ses oama.rades, tant cette, élève était en progrès évident «sur l'an passé. Et puisse le mauvais déchiffrage avait une toile Importance que M. Brisset a éprouvé le besoin d'en souligner publiquement l'insuffisance, en expliquant que le refus par le Jury d'accorder aucun pn?mi<T prix tenait précisément la mauvaise qualiM de la 1ecturf', pourquoi Mlle Piron qui, seule, a bien déchiffré. n'a-t-elle rien eu et c'était son premier concours!

Il nous resle dire un mut du concours» enlTe premiers prix. La division représente une cMe bien nrwl taiAlée. Lorsqu'elle a été proclamée, un murmure de rtéeMitlon s'est élevé, mais ca, sentait moins la g!rnfle> que la veille.

f.'est l'évidence que M>He Ric«pdcl aurait dn remporter de haute lutte. Du moment que t'esprit du eniwours était de faire ressortir non plus ««"ii'emeni. tes mérites d'une techiiIcMé nue le travail neut permettre d'acquéNI', mais lA personnalité, le style. le tempérament d'une Alève devenue véritablement Artiste, Mlle Rieordel! devait être choisie eomrne approchant plus que ses camarades de l'idi*al. Mais MMe Rlcorrtel a eu une d-é-f.iillanee de

Le .lury ,i cru être malin en partageant l'or entre Mlle RioordeH et. Mlle Gauthier et, en donnant de l'argent ;t \fnc Thomirc et du bronze à Mlle Gourdon.

Ni cet or. ni cet. argent, ni rf bronze n'ont du rendre heureuses le'! concurrentes et le puhlip n trouvé que In jury en voulant, salisraire tout If mondr. ne noiiA-alt ?>jti?ritre personne.

MATINÉES {7' SOIREES THÉÂTRE APOLLO

Ci! soir, grande rcurcsciitation île ;al:- Il..11,née par VtJnlon Xatinnale. des i Omluttltints au profit de sa caisse de secours, à l'occasion de son congrès national, sous la piésiilpnce d'honneur de M. Doumergue, prér.idxit de la République, et de M. le Prcôident du Conseil. spirituelle comédie en actes de .M. Vempuil. interprétée par M. Clariond, Aime Maryse Richard et leur compagnie.

AU FEU 1 Le feu a presque entièrement consumé, avant-hier. la fin de l'après-midi, rn charginient de foin appartenant à M Mocqu.ir. négociant, en fourrngcs. 61, ru.i de la Ville en-Hois, et stationné place. Molli net. Les pompiers nnt prumptement réduit le sinistre. Les flammes ont complètement détérioré le véhicule qui est hors d'usage. Les dégâts atteignent francs et sont couverts par une assurance.

RATEAUX DE LA hKVRK des Dimanches et Fêtes). Service de Pont-Rousseau à Vertou Départs de Pont-Rousseau 8 heures, 10.30, 13.30. 15.30, 18 h., 19.45. Departs de Vertnu 7 heures, 9.30, 17 h.. l!l h.

Service de Veitou C.liateuu-Tliébaud Départs de Vertou 8.30, h.. 14 h. Départ» de ChAteau-Thébaud 9.30, 12 h., 17.45. SOCIETE DES HORTICULTEURS DE NANTES. MM. les élèves jardiniers sont informés qu'un cours aura Itou dimanche prochain 13 courant, il <j heures, dans l'établissement do M. Sorin, horticulteur boulevard Lelasseur.

Professeur, M. Sorin. Sujet du cours Du palissage des pêchers en espalier, soins iL donner aux arbres pendant l'été.

AU VOLEUR Louise-Germaine C. âgée de f> ans. margeuso en rupture d'atelier et sans gite certain, s'est abandonnée il voter une paire de chaussures et un dessus de table à la demoiselle Fredouillard. débitante de boissons, rue Saint-Clément, 94. On l'a arrêtée et conduite au Parquet.

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Charles Geulot, récidiviste, est condamné à deux mois de prison pour infraction à juterdiction de séjour.

Plusieurs propriétaires de chevaux sont poursuivis pour infraction à la police du recensement des animaux de trait. Le Tribunal met d'abord sa décision en délibéré et, au cours de l'audience, condamne par défaut ou contradictoirement chacun des prévenus francs d'amende.

Marceline Rabu, 30 ai«5, a volé une montre à un monsieur de rencontre qui t'appelait Rolland. Elle veut bien dire que la prévention est juste et le Tribunal la condamne trois mois de prison et seize francs d'amende. Un boucher sur la sellette

M. Donatien Grélier, ans, originaire de Treillères, n'apparaît pas précisément nomme un boucher consciencieux. Il a essaye de faire ingérer à ses contemporains la viande d'une vache, tuberculeuse. M. Grélicr, qui exerce son métier à Sautron, remarqua certain jour qu'une vache, qu'il venait d'abattre dans sa tuerie particulière, ,présentait au dépeçage des lésions d'origine infectieuse. Que pensez-voue que fit NI. le boucher Grélier quand il constata avec désespoir que ses intérêts étaient ainsi menacés ? NI le bouclier Grélier s'efforça de les sauvegarda'. fut-ce au prix de l'intoxication (les gens à qui leur destin offrirait quelque morl'eau de la bête avariée.

Comment s'y prit-il ? !\la tui, de la façon la plus simple du monde. M. le boucher Grélier se mit en devoir, dans le secret de son abattoir particulier, de gratter la plèvre de la vache, d'enlever les poumons et de les faire disparaltre et enfin de retrancher du foie ce qui dénonçait trop tvidemment la tuberculose. Après quoi, NI. le boucher Grélier, satisfait d'un escamotage qui devait préserver sa bourse du moins il le .pensait lâcha de vendre la viande à un boucher-saleur de Oeiiutour, près Vertou. Seulement il eut la malchance de rencontrer NI. Pierre Aubron, vétérinaire il Vertou, lequel reconnut tout de suite que non :-ciili'meut la bête était impropre à la consommation, mais qu'elle avait subi un maquillage 1 ayant pour but de la rendre loyale it t marchande ». D'où le procès actuel daiK lequel NI. le boucher Grélior est défendu par M» Leiat.

M. le boucher Grélier explique que, dans son abattoir, les choses se passent fort correctement et qu'il n'a rien à se reprocher. Il a réponse à tout et aucune question ne l'embarrasse, du moins en apparence. Patelin, insinuant, mielleux, il se représente comme innocent. Peut-être l'est-il. Peut-être ne l'est-il pas. En tous cas, il ressort tics débats 1 que l'inspection des tueries partii-ulièrrs est fort relâchée et que l'administration de l'untroi de tantes a, pour les bouchers qui ne font que traverser Ic territoire de la vmo, des « tolérances ». fâcheuses.

Le Parquet relevé contre le prévenu 1° la mise en vente d'un cadavre d'animal atteint de maladie infectieuse le transport de ce méme cadavre sans l'autorisation du vétérinaire, etc.

Le ministère public conclut à la condamnation sévère du boucher Grélier, dont Ni, Lerat sollicite l'acquittement.

Le Tribunal met son jugement en délibéré. DES NOCTAMBULES CASSENT DES I THES. Quatre individus Henri Dezou docker Marie Vtoreau, Jeanne Le Mari- lM enfin un sieur Armand, unt. par vengc-inc casse des vitres et dégradé la devanture du' débit de vins expioité par M. Eugène I Gallo. boulevard de Chantenay. Les faits se son passés au cours de la nuit de lundi à mardi. Le quatuor sera poursuivi.

DANS LA DEVANTURE. Dans J'aprèsmidi a avant-hier, une automobile-réclame conduit.e par le chauffeur parti Guilhaud ans, et appartenant à la Société des Docks de l'Ouest, s'est jetée, chaussée de la Madeleinp, dans la devanture du magasin portant le no 4o et occupé par M. Coumil, marchand de parapluies. Dégâts sans importance. L'AFFICHAGE DU DEGRE DES VINS \ous avons n-çu l'intéressante lettre suivante

Le .Çcx'Sïù* lic.lii .V Région économique \iont d adopter un vieil, concernant l'aftlenage du degré des vins, que nous ne pouvons laisser passer sans formuler une expresse réserve.

«Il implique l'aiLoplaiiuii du ilcrct du ifl août 1921 dont nous demandons, nous, l'abri)-lion en temps qu'obligation imposée aux seuls débitants de laissons.

̃ C'est la le vœu exprimé dans tous nos Congres qui établissent sans peine l'inutilité (I une nicôtire inquisitoriale et vexaroire ain·i que l'impossibilité, dans la pratique, d'étakrlir, avec l'exactitude exigée, un degré qui comporte le maniement journalier et nieti Comptant sur votre hospitalité coutuiuicre, je vous prie de recevoir, M. le Rédacteur en chef, l'assurance de ma considération la Président de let fédération. Héijionale de l'Ouest i'.ii Commerce en détail que le vapeur « Emile SoUicroup » va commencer mardi prochain, 16 juillet, ses excursions et promenades en mer au départ du Pouliguen, du Croisic et de Sainv.Nazauv Nous ne doutons pas que ces excursions, ni goûtées des habitués de notre presqu'île Guérandaise obtiendront leur succès habituel Des programmes détaillés sont il la disposiflou du public, dans les divers bureaux des Messageries de l'Ouest, ainsi que ilans les bureaux des Syndicats d'Initiative de :Vantes, Saint-Nazaire et Le Pouliguen.

ETAT-CIVIL

du jeudi juillet Iftil.

\aUwancr3. I.eray Jean, lui, de Châteaubriant, i'3; Mouiller Jemmo, ru.; de la (iai-t.rio, i; iMcliaml l'au.1, quai de Versailles, 2t; JK-taycr Jawiiie», place Vianno, 0; Malentfant Denise, cihaiiss<e de la Madc- leine, Oulliet Hcn-rteitte, quai Prairie d'Amont, Oartron Hubert, rue (les Hallo*, Il; Iliaruldnl .Varie! rue MaroionM, 7; Salmt-.Marty Annlrk, rue IipR-naiil •"> · Gllet Pierre, 2. PiMile Itue clo 1a Verrerie- lluri' Robert, rue lekain, 1.

Décè*. Mathieu Jean, 71 an*, retraité de la Marine, rue de Pilieux, 3fl; Cornierais Pierre. 46 ans, débitant de boissons, rue Laanbert, 6; Leroi Julle, veuve Cendrot, 73 ans, brodeuse, place du Martray, 1; B«lac Aidrlenne, *pou?e, Seroy, 37 ans. ménapere, domkMitée. à SaUM-Nazalre, deoédôe 8: rue Saint-Jacques; Whihre Oléiwm. 53 ans, (-(un)'table, rue l* Tour d'AU'vergrne, 15; neinucl Marie, veuve Sorlii, il «ns, s. p., rue îaini-Jaoqn^i, a. Basse.lndre

UN OUVRfER MALHONNETE. Cet ouvrieMà s'appelle Louis Gonstans, 49 ans. Il

logeait chez la dame veuve Guezel, à eût de sun camarade Eugène Bourliis, comme lui( employé aux établissements Paris. Il lui 4 volé cinquante francs et s'est éclipsé en oubliant d'ailleurs de payer la logeuse. On nai sait trop ce qu'il est devenu: niais tmniej on croit qu'il a pris la (le Quinif per, on va essayer d'interrompre so:i voyage^ Ajoutons qu'il n'existe contre lai que c!J3 CONCOURS DE TIR. La section des Combattants d'Indre, organise un concours de tir qui aura lion, les dimanche, lundi, 13. et U juillet, le ilimaii'lie 20 juillet, et <Jans la matinée du dimanche juillet, les dimanches :S et 10 août 1S2.Ï, de J Il. il midi et le soir de M heures à 17 heures. I.e concours, se fera à l'école des garçons cle Basse-Indre* li •̃•̃. ii'111 île M. Mineau. Il sera clos le la noût à 11 heures.

ne nombreux i>ri– et récompenses seront distribués aux lauréats.

t.a fête di! la section es' fi:0e au tlimanelle 1O août.

LA GRANDE SEMAINE MARITIME Le programme de la journée

Programme, d'aujourd'hui 10 h. 45 arriva-du président de. la L.M.C..récopt.iouj foc ture, ù la Chambre de Commerce. A midi, déjeuner inlime.

13 il, ;;n, visite du port et (tes chantiers: à bord d'un remorqueur. A 1T> h. ;î(1. distribution des prix au collège C0 h. H0, retraite aux flambeaux, bals au' biniou.

grand bal a la Compagnie Transatlantique.

La jcuméQ ci'hier

Nous publions fin nouvelles Tannonce de t'arrivuu de l'escadre. Notons parmi les personnalités présentes a la récep- tion du contie-ainiral Drocteur MM. Gourmelon, administrateur de l'Inscription Maritime; M. ringénieur-Clii-f de la Marine; MM.- Guillouêt, ancien président du Tribenal de Commerce; Monnirr. président du Comité du Vieux Saint-Nazaire; Dejoie, conseiller mu- pi'ésident de Hotte. directeur de la Compagnie Transatlantique; I.alty, ingénieur: Dupoti tlls. Daguzan, le.; représentants de la Presse, cic.

En quelques mots bienveillant?, l'amiral oxpi-iiiKi aux visiteurs la sati>Tiction qu'il. éprouve à si' trouver ;ï Snint-Niizaiiv. avait, espéré que le Diderot, pourrait accompagner l'escadre, mais il est malheureusement, impossible de faire vrtiir cp cuirasse avant le !> juillet.

L'amiral ajoute qu'il se met à la disposition

HUILES super. T:ALI»1. r. 1.i'ku ir. NANTES. %i Près PqIqu

SES PHONOS

SES DîFFUSORS SES MEUBLES

DE LUXE

min- nr.i.ML

j, Rue du Calvaire (dans la cour) NANTES

Notre Stand à l'Exposition

3. PI -.ICC

Petito-Hollandc NANTES

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de la Légère et de ta Société des Régates, pour donner aux fêtes de la Semaine Marititne le plus grand éclat possible.

C'est ainsi que, sur la demande de M. de ''arscau du Hccslfi, Il veut bien promettre eux baleinières, buta pour les régates des :3 et 14 juillet.

MM. tioarec et Clément Dupin remercient "amiral de son aimable accueil.

L'amiral a reçu ensuite M. le Maire. M. le ions-Préfet et M. le Président de la Chambre te Commerce.

Toute la journée, les curieux se sont pros•5 sur les quais pour admirer les magntn.des bâtiments de notre flotie.

'"NE AGRESSION. I.e nommé Jean Da!j, 35 ans, chauffeur à Herbignac. de pasrt?e à Saint-Nazaire, s'est plaint (lavoir été iaqué aJor» qu'il était couché dans un wa'n. en gare de la Compagnie des tramways :u Morbihan, par deux rôdeurs inconnus :'ii. après ravoir roue de coups l'ont dé-,">uil!é de son portefeuille- et de son porte- •onnàie qui contenait 7 francs et quelques jus. La police recherche tes agresseurs. •s renseignements qui nous parviennent, la 'te de gymnastique organisée par la F. G. P. F. sera une des manifestations les plus randioses qui se soient jamais déroulées :ms notre ville par le nombre considérable ses participants.

Sans parier des avantages que doit en re.icillir le commerce loca1. cette fête par son -irartftre patriotique laissera dans la mémo de chacun un souvenir inoubliable. Nous invitons tous nos concitoyens à venir ̃lmirer l'ordre et la discipline de nos jeunes ymnnstes et à se rendre compte de l'influenque peut avoir ctlr la jeunesse la pratique ̃"s sports et l'éducation physique lorsqu'elles nI à leur base de solides principes de moNous demandons à tous (le pavoiser et d«?̃rer sur 1w nassage de cette jeunesçp, l'averie la France, et à se rendre en foule au 'arc du Plessis le dimanche 30 juillet. ETAT-CIVIL

\nittttnre$. Spanotdakls Gorpe?. )07 rue d'l •laine: Moyson Jean, boalevari Gimbetta. l>te*- Chéron Marine. épouse Bosque. 4S ans Convois mortuaires

du simeat 12 jn'llrt 19J4

a henres. hôpital Mmn Bosque.

h. I5, Ss.lnt-Gohard il Renand. rue du Grand;meau, 61.

Saint-Joachim

TETES. Le dimanche 13 juillet. à 20 hcu- -s. bal à la salle des fètes rt embrasement i.- l'édifice. Le lundi 14 juillet. à 22 heures, retraite aux fl.tinlipnux, feu d'arfince, embra:%ment. rl<^ la Maire.

'.<* 37 juillet, grande fête locale course • bicyclettes, jeux divers, feu d'artifice et

RIBUNAL CORRECTIONNEL V.ioune affaire n'étant en état,' l'audience -iiueile de lundi dernier n'a pas eu lieu. .i l'issue de l'audience civile du mardi 8 le!, le Tribunal jugeant correctionnelle•£. a prononcé la condamnation suivante ̃: 1er juillet dernier à Mareuil-sur-Lay, sta• • noient plusieurs voitures de nomades, .••̃.s remplacement réservé à. ceuo-ci. Dans nuit, le forain Leluboi6, de Tréhervé, qui osait dans sa roulotte, entendant frapper les parois (le sa demeure, se leva et ̃ lieux imlividns sur le bord de la route; '1 cI'eux, le nommé Van Landier Marcel, • -i Levailois-Perret (Seine) le 3 février- ectiva très grossièrement et avec un morn de bois de dime!isions respectables, il •̃ asséna de nombreux coups sur la tête et • f;ice de Lehsbois.

M» Minot avoué, présente la défense de i Lancker q-io le Tribunal condamne à u mois de pmm:>>\

Ne poss- ••'̃ ̃•= · ,le renseignemeate sur- -nis si;r ;.•• i colporteur Berthélemé ;*rre, ag- .rrêté à Montaigu, le ine d'iii .'ribunal a confirme le •-sndat Co de.

"riîXTATIVL DE SUICIDE. Le sieur Bruj'i Séraphin, âgé de 26 ans, dont les panto habitent rue Marécnal Foch, en notre illc où ils exercent la profession de boũiyr, vivait en mésintelligence depuis quelyies semaines r.va- ses parente.

Uans raprès-nii''i du 8 écoulé, il a e6sayé ie se donner la mort en se pendant dans écurie faisa; »: c au jardin de la maison i'habitation: ><ju ;'ic n'a pu avoir son exénjtion, car l'un dos domestiques arriva à t'fnps pour <-uii|,ei.- la corde.

Ce jeune homme qui est un violent et un ilcoolique avait, la semaine dernière, proféré ies menaces de mort contre sa inerc. Son acte de désespoir serait attribuable à alcoolisme.

LES COUPURES DE LA VENDEE. Nous ipprenons de source officieuse que le6 cou'ures émises par la Chambre de Commerce le La Roche-sur-Yon et de la Vendéf devront •ire pré6entées à sa caisse pour remhoursenont, avant le octobre prochain, demi.: lélai.

LE ROLE DES PROCHAINES ASSISES. :a troisième session des Assises de la Vendée tour l'année 1924 s'ouvrira au Palais de Jusice de La Roche-sur-Yon, mardi prochain j juillet» à midi, 6ous la présidence de M. .ylies, Gonseiller a la Cour ù'.appel de Poi- iers, ayant comme assf<6seurs MM. Meaumc, 'président du Tribunal Civil de La Roche-sur'on et d'un magistrat du siè,-e.

Voici le rôle des affaires qui seront jugées cette session

Mardi 15, h. 30. Attentat à la pueur. menaces do mort sous conditions, port "••ma* prohibée. Gamain François. 49 uns, srrjp.moulin à Fontenav-le-Couite iarrondiseinem de Fontenay-le-Oomte). Ministre pu-lie M. Marchesseau. procureur de la Repu•l'iu^ défenseur. M* Gallet, avocat à La ;.>cn>-«ur-Yon.

•lereredi 16, à 8 h. 30 • Incendie volontaire W> récoltes. Marteau Angèle, femme Fleurisvn, 1U ans, cultivatrice à Saint-Juire-Champillon, arrondissement de Fontenay-le-Comte. linistère public, M. Marchesseau, procureur la République défenseur. M» Lathebauière, avocat il La Roehe-sur-Yon.

Le même jour, è. H heures Attentats à l:i vdeur, Pacheteau Louis. 40 ans, jardinier mx Sables-d'Olonne ministère publia, f eanniot. j:1ge suppléant défenseur. M" Co:nè. svor.at aux S:ibles-<rO!onne.

Jeudi 17. à 18 h. 30 Attentats à la pudeur, lutton Eugène. 3.3 ans. manoeuvre à ChS- •àu-d'Olonne. arrondissement des Sablps'Olonne ministère public. M« Jeanniot, uge suppléant défcnscur, M» Raynarrl, vocat aux Sables-d'Olonne.

FOIRES DE LA SEMAINE. Dimanche 13

'uillet Angles (à la ville d'Angles), ChampSatnt-Père (à N"ouaill€s). Martinet. SalntGermain-le-Princay, Tallud. Ste-Gemme. Lundi Bouin. Fontaines.

Mardi 15 La Roche-sur-Yon (Foire aux chiens).. La Chaize-le-Vlcomte, la Jaudonnière Mouchamps

Mercredi 16 Damvix, Les Essarts, L'Hermenault (jeunes veaux), St-Pierre-du-Chemin (assemblée gagerie): Curzon.

Jeudi La Boissière-de-Montaigu (volaillec). La Chapelle-Achard, Commequiers, Montaigu (bestiaux). Le Poiré-sur-Vie, Pouzanges.

Vendredi 18 Sainte-Hermine (jeunes veaux), Saint-Hilaire-des-Loges.

Samedi 19 Apremont, Champ-Saint-Pèie, La Garnache.

Dimanche 20 Saint-Jean-de-Monts. Sallertaine, Talmont (chevaux). Assemblées-gageries Ardelay, Girouard. Lairoux (à Georgeais). Mâché. Rosnay, Saint-llesmin, SaintI>ieiTc-lP-Vieux tà la Porte).

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Pour coups aux agents et outrages Chauchet Joseph, journalier à Olonne. 6 jours de prison Cliauchct Léon, journalier à Olonne, G jours de prison avec sursis Chauchet. née Duranteau Marie. 56 ans, sans profession à Olonne, 6 jouns de prison avec sursis. Pour vols de récoftes Muzard Pierre, i?, ans, cultivateur à Olonne, 8 jours de prison avec sursis et 25 francs d'amende.

Pour bris de clôture et ivresse Fruchard Jos, ph, 61 ans, marin aux Sable6, un mois de prison et 5 francs d'amende.

Pour coups Charpenteau, née Berthomé Marguerite, 30 ans, sans profession aux Sables, 16 francs ù'amende, ainsi que Mennecé, née Pogu Florentine, 30 ans, sans profession aux Sables.

Coups. Cherier Henri, 27 ans, marin aux Sables, 15 jours de prison.

Blessures par imprudence. Grillard Jof-eph. 29 ans, employé de commerce à SaintGrrvais, 16 franco d'amende.

Outrages publics à la pudeur et ivresse. Renon Henri, 59 ans, journalier aux Sables, 2 mois de prison et 5 francs d'amende. Coups. Bonron Ernestine, femme Brochard, 25 ans, poissonnière aux Sables, 25 fr. d'amende.

Vol de récoltes. Lefort Constant, 59 ans, journalier aux Sables, 1 mois de prison. fvresse et récidive. Guibert Xarln*, 27 :;ns. sans profession aux Sables, 1 »'oie cla prison.

Cnups et outrages publics à la parleur. Xifolaizcau (:harles, 49 ans. toucheur de bestinix, catis domicile fixe, un mois de prison avec sursis.

POLICE DES CAFES. A l'occasion de la f.5t» nationale M. le Préfet de la Vendée autorise les cafetiers, caharetiers et débitants de boissons du département à laisser leur établissement ouvert pendant la nuit du au 15 juillet.

AVIS. Il est absolument interdit de circuler sur la plage soit à cheval ou automobile et en motocyclette sous peine de poursuites sévères.

TAXE DU PAIX Suivant arrêté municipal du 8 juillet le prix du pain a été fixé dans la ville des Sables-d'Olonne, à 1 fr. 25 à partir du 13 juillet 1924

LES COURSES. C'est le dimanche 20 juilloi qu'aura lieu sur l'hippodrome de la Lancle ,la première réunion de courses- de chevaux organisée par notre société. Chaque épreuve ayant vu son prix s'augmenter dans de notables proportions ,de nombreux engagements ont rléjà été reçus et nous font présager une brillante journe? de courses cette année.

•REPRESENTATION CIN'EMATOGÏLVPHIOLIE Popuiraire gratuite au Tïnîâtre municipal le li juillet à 14 h. 30.

LA FOIRE. La foire de juillet qui coïncide cette année avec la Fêle Nationale, est renvoyée au lendemain mardi 15 juillet.

AUJOURD'HUI

13 heures 30, Palais de Justice Audience du Tribunal correctionnel.

1;; heures 30. Institution Saint-Julien •. I>i;,tributiou «les prix.

•M heures 1S, Hôtel de la Mutualité générale de l'Union Angevine.

•-•0 heures Fêtes des quartiers Boreau. Bes- nardière, place Ney, Chalouére. Retraite aux flambeau?:.

•y heures 30 Réunion des Petits Jardiniers de la Doutre. café Autert, rue Saint-I.azare. heures ;i Variétés-Cinéma, Cinéma Palace Le feu aux établissements B!uche Vendredi, à 3 heures du lnatin. un inccndia se déclarait dons les entrepôts de la Maison niuche. situes rue de Létenduaire et avenue v'auban. Le feu a pris naissanco dans un dépôt contenant des huiles et des savons. NI. le lieutenant Sureau, des sapeurs-pompiers, a reçu une forte commotion en touchant un fil électrique.

L'enquête évalue les dégâts a 25.000 frnncs environ. Les dégâts sont couverts par une assurance.

BREVET SUPÉRIEUR

Sont définitivement admis

MM. Alnet. Arsiquaiid, Baron. Derré, Deruitiotz. l>e\aux. Dupont, Goicnori. cîrain(>ififlor, (iucssarl. Panneau, Pigeiuit, Huuger. Vallée.

Mlles mbard, Ronnr-nu. liréireon, Oaufi:i, Jollet. Le Campion, Lcclerr, LeTevre. Mallet. Pailler. Marcelle ^fmorl. Marcuprite Simon, Spludler.

Toute la publicité (annonces et réclames) des départements du Maine-et-Loire et des Deux-Sèvres, est exclusivement reçue par l'Agence Havas, 6. rue Chnperonnière a ANGERS.

CIRCULATION. Pour permottr.î~7lc Trrocéder au montagr ct. au tirage du foi d'artiflce, le jour de la Fête nationale. circulation sera interdit^, sur le l'ont de U Hiulo(-,haine, le .luilirl, il partir de 17 h?ur?*, jusqu'à la fin du dit feu d'artUi.:».

LES SUITES DUNE AGRESSION. La femme Léontine Lebouc. qui dans la nuit de samedi à dimanche, fut attaq uée sur le quai Ligny et précipitée d'une hauteur de 4 mètres sur la cale, est toujours en traitement à ltô-

pilAl. Son état mettre de vives inquiétudes et on craint une lésion de la colonne vertébrale. La femme Lebouc, interrogée par M. le «caimiosaire de police du *•. arrondissement, n'a pu donner le signalement de set agresseurs.

A LA CHAMBRE DES NOTAMES. Ont subi avec succès, les épreuves de l'examen* de premier clerc.

MM. Forestier (Etude de M" Ensuit): Norj;:and (Etude dft-M» Labbé); Bonnean (Etude de M» Collin): Rouaux (Etude de Me Guihal); Thoreau Etude de M» Collln}, Thiénot (Etude de Mt Thiénotl).

CHEMINS DE FER DE L'ANJOU. La Compagnie des Chemins de fer de l'Anjou a l'honneur d'informer le public qu'à dater du mardi 15 juillet 1924 est jusqu'à nouvel ordre, des trains seront mis en marche, tous les jours, pour voyageurs, suivant l'horaire ciaprès

Angers à Beaufort Départ d'Angers 9 h. 50, arrivée à Beaufort à 11 heures: départ de Beaufort à 12 h. 05; arrivée Angers à 13 h. 13.

Beaupréau à Angers départ de Beauprénu à 6 h. 15; arrivée à Angers-St-Laud, 8 h. départ d'Anpers-St-Laud à 18 h. 30; arrivée à Bcaupréau à 20 h. 58.

Plus de CHUTES DE CHEVEUX 1 et la repousse certaine par l'emplci de la véritable LOTION à la PILOCARPINE DES AUGUSTINS DE SAINTE-ANNE SEUL DEPOT

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G. MERCIER, Successeur

17, rue des Poêliere, ANGERS. Tél. 3-fi5.

ETAT-CIVIL

du rendredt il juillet

Xoisaancr'. .Roger .Desbols, rue Delaage, "3. Lontse Remneht. route d'ATrillé, 1ÎS bis; Bernard Roçcr. rue du M«il. 36.

Pécè.i Auiruste Gtrard. époux Quennau. 55 -ns, rue du Mail, fil: Claudine Tripler, célibataire, 6i ans, rue Tourneminr, 3; Mircel Rouju, 13 ans, Cours SatnNDenis, 1: Maria Tazz1ani. célibataire, Fin ans. rue Brsult, 3; enfant Menez. Saint-Bartheiémy; enfant Vallère. chemin des Banrhals, Marie Dirlaouen, ceitbata'.re, 36 ans, place du Jnstices, 5.

Convois mortuaires

du samedi 12 juillet

Saint-Anloine enfant VaHcre. 8 heures. 3lade1rine lGme veuve Berrnet, 10 heures. Don Pasteur Mlle Tripier. li. 30.

Satntr r/iérf." Mme Vlautl, 14 h. 30.

Snlnt-Serf/e M. Bouiii, Il h. 30.

Bon le IL

Brlssac M. Bosré, 17 h. 30.

Armallfé

FETE. La fête annuelle aura lieu le dimanche 20 juillet. Au programme courses de chevaux, courses à pied et réjouissances diverses. Le soir, feu d'artifice.

ETAT-CIVIL. naissances. Denise Convers, J, boutevard d'.Vl&er; Jean Lellèvre, rue Rave-ne-1; Liliane Brtndle, rue des Halles, il.

Publicalions de mariages. Poncet Marc, employé de chemins de fer, à Sierk (MoseJîe) et DÉplace Marie, s. p., 20, rue de l'HOtcl-de-Ville; Robert Lebouvher, couvreur, t5, chemin du Léard et Lerevre Marie, employée de commerce, à Is Brucre; f:arh:»; Manne, serrurier, 5, Grand Degré Saint-Louis, à Blohs rt BriUet Madeleine, couturière IS, ruf Emile Duthllleu], profMsenr au Prytanée Militaire et Simone Wsrjny, a Douai. Sablé

FETE NATIONALE. Dimanche 13 juillet, à 9 heures du soir, grande retraite aux flambeaux par la musique municipale, la com1 goule des sapeurs-pompiers et la société de gytnnastiaue l'Avenir -le Sablé.

Lundi li juillet A 6 heures du matin, tir il la cible par la compagnie des sapeurspompiers.

De 8 à 9 heures, distribution de pain aux indigents.

A 11 heures. vin d'honneur offert à la musique municipale, aux sapeurs-pompiers et aux gymnastes de l'Avenir de Sablé. A 11 h. 30. audition ,le ta Marseillaise sur In place de l'Hôtel de Ville. Dépôt d'une gerbe tricolore au pied du monumen;.

A 15 h. 30. défilé des sociétés et des enfants des écoles communales (rassemblemnt place de la République).

A 26 h., au jardin public, lunch offert par la aux enfants des écoles communales. Concert par la musique municipale. Chœurs par les enfants. Exercices de gymnastique par la société l'Aveni-. Les débitants Saboliens sont autorisés à installer gratuitement des buvettes au jardin public, à charge par eux de remplir les formalités voulues auprès des contributions indirectes. A 19 heures, banquet populaire sous la présidence de NI. Loiseau, Maire de Sablé. Prix du banquet, 10 francs.

A 21 heures, place de l'Hôtel de Ville, balconcert. Embrasement de la place.

A 22 h. 30, bal public sous les halles Prix d'entrée, 1 fr. par personne.

Les habitants sont à à pavoiser et à illuminer la façade de leurs maisons. CONTRIBUTIONS. Le maire a l'honneur d'informer les contribuables que les rôles fonciers et des anciennes contributions et taxes assimilées sont en recouvrement entre les mains de M. le Percepteur.

CIMETIERE. La maire a l'honneur d'informer ies ramilles propriétaires des monuments placés dans le carré n» 5, qui désireraient les enlever ou procéder à des exhumations sont invitées à se pourvoir d'urgence des autorisations nécessaires.

Les monuments pourront être réclamés jusqu'au août 19M, après cette date l'r 'Jministration municipale en disposera à son gré. LE MARCHE DU VENDREDI. Il est défendu les jours de foire et de marchés (le vendre, acheter et marchander des légumes, beurres. volailles, œufs, gibiers, rossons, fruits, etc., sur la voie publique, ailleurs que sur les places destinées à la vente de ces produits.

Le marché du vendredi se tient sur la place Neuve, dite du Petit Marché.

DERITS DE BOISSONS. Les cafés, débits de boissons et bals publics sont autoriSés ;"i rester ouverts toute la nuit du dimanche 13 au lundi 14 iuillet. et la nuit rlu !nndi li au mardi ].'̃ juillet, à l'occasion des fêtes du 1* juillet

RENSEIGNEMENTS MILITAIRES

tiens de ramlll*. etc. Ecrtre RAMUS. à L'Ouett- Eclafr. Joindre 0 !il', so ea Umbrea-po*».

SOCIETE ANTONYME D'HABITATIONS A BON MARCHE. Le Conseil d'administration de la Société s'est réuni mardi soir 8 juillet. à 20 heures, au siège social la Mairie, sous la présidence de M Blot, maire. M. le président annonce que suivant arrêté du 21 avril M. le Ministre du Travail et de l'Hygiène a approuvé les statuts de la Société.

Il rappelle que conformément l'art. 12 des statuts il appartient au Conseil d'administration de pourvoir en remplacement de M. Deroirv décédé, jusqu'à ia prochaine assemblée générale qui procédera l'élection définitive. Le choix unanime du Conseil s'est porté sur M. Leplé, ancien négociant, conseiller municipal.

Le Conseil décide de réaliser l'acte d'acquisition d'un terrain sis route de Laval, appartenant à M. Noury, et examine deux projets de maisons qui lui sont soumis par NI. Martin, architecte. A la suite de cet examen. il est convenu que les fonds destinés à la construction seront employés, à concurence des 3/4, à l'édification de maisons destinées à la location-vente, et à concurence de à l'édification de maisons destinées à la location simple.

M. Rezé. trésorier, donne le compte-rendu de la situation financière qu' est approuvé [ Pour permettre de réaliser l'achat, du terrain et d'entreprendre Is constructions les 2" et quarts de chacune des actions formant ls capital social seront appelés. Le Conseil préviendra les actionnaires de l'époque de ce versement.

Enfin le Conseil décide de' solliciter de l'Etat un .prêt au profit de la Société et .de demander la garantie de la ville afin d'obtenir une avance plus importante.

UNION MUSICALE. Concert sur la promenade du Bout-du-Monde, lundi 14 juillet, à 20 h. 30

1. La Marseillaise, (Rouget de l'Isle). 2. Savrrne, allegro, (Andrieu). 3. Les Kmi(liants, ouverture, (Turine). 4. Lèse Phalènes, air de ballet, G. Peiffer). –5. La Trnriata. fantaisie. (Verdi, de Schepper). 6. Pendant la valse, impromptu, (Lamothe Bisch).

PHARMACIE DE SERVICE. Dimanche 13 iuillet. M. Dhuiteau, rue Thiers. Lundi 14 juillet, M. Noireaux, place du Pilori.

LES PROCHAINES ASSISES Liste des Jurés

Voici les noms des jurés de la session ordinaire de la Cour d'assises du Morbihan qui doit s'ouvrir à Vannes le lundi 29 septembre à midi

Jurés titulaires. MM. Renaud Charles, à Pont-Scorff; Le Pellec, à Baud; Lévèque Jean, à Pleugrisset; Drouhet Jules, à Cléguer; Mahé Français, à Guern; Guymar Joseph, à Guidel; Boleis Joachim, à Plescop; Bouler Jean, à Guidel; Guicquéro Auguste, à Allaire; Couillard Vincent, à Le Faouët; Augereau Adrien, à Lorient, 15, rue des Fontaines: Goulias Bernard, à Lanester; Hamon Charles, à Inzinzac; Morel Henri, à Bubrp; Tanguy Mathurin, à Plumergat: Le Calvé Joseph, à Séglien; Delestre Hippolyte, à Lorient, 39. rue de l'Hôpital; Degré Thomas, à Qupstembert: Josselin Mathurin. Lorient. 19. rue de Monho; Le Bec Michel, à Hennebont; Jan Théophile, à SaintSamson; Rigoine Gporges. à La Trinité-surMer Le Rlainvaue Joseph, à Lorient, rue de Verdun; 7e Duigou Allain, à Guiscriss; Blanchet Aimé, à Arzon; Joubaud Armel, à SaintServant Baudet Tacques. à nI' d'Arz: Recouvreur Auguste Il Questembert: Davirl Edouard Plouhinpr; Camelan Josrnh, a Maljruénac; Le Botmel Joachim. à Nenillac: Gillct Pierre, à Saint-Jean-Brévelav: Mnbé Joachim. à Meuoon: Le Sommer Michel, .i Sarzenu: Glais nmhroisp. à Saint-Gouvry: Le Cloirec Louis. Jurés supriféants. Meuron Anatole, place du Champ-«*e-Foire, Vannes Régent Louis, rue de La Tour d'Auvergne. Vannes: Arradon Eugène, R, rue de Bernus: Guellec Paul, 11. avenue de la Marne, Vannes.

LE CONCOURS HIPPIQUE Samedi prochain 12 juillet, et le lendemain dimanche, sur le coquet hippodrome du J.irdin municipal des Sports, se dérouleront les éprouves du Concours hippique du Morbihan. Présidée pzr le sympathique M. de Goutaine, la Société sait chaque année faire honncur sa trè.s vieille réputation et le concours de ne le cédera en rien à ses devanciers. L'organisation est parfaite; les obstacles agréablement fleuris et décorés sont disposés sur un parcours qui renferme certes quelque difficulté, mais qui suscitera l'intérêt du spectateur comme du gentlemen ou de l'officier chargés de l'accomplir-

Plus de 30 chevaux d'officiers sont engagés dans le prix militaire pour samedi, et environ une dizaine de chevaux pour le prIx cil'il, ce qui est un progrès sur l'an dernier. Les tribunes inrt bien installées seront combles samedi et dimanche et le Concours hippique aura le succès prévu.

BREVET SUPERIEUR

Sont admissibles

Miles Le Bozec, Le Breton, Caradec, Carré, Decrcssac, Guédès. Le Hellec, Hervé, Hougard, Jouan, Kerourdan, Maheux, Marrée, Picllon, Pouzoullic, Pradeau, Simon, Thomas.

MM. Le Biboul, Le Arec, Le Brun, Fr. Celton, René Celton, Collet, Danir, Le Dldu, Gluck. Hanvic, Jaume, Minou, Pelvin, Le Pichon, Simon.

ORDINATION. Mgr Rumeau, évêque d'Angers, ordonnera dimanche prochain, dans la chapelle du Collège Saint-FrançoisXavier ]3 prêtres, 3 diacres, 24 sous-diacres, 15 minorés.

UNE FILLETTE EBOUILLANTEE.- L'autre matin, vers 11 heures, la ftllette des époux Pratalsio, âgée de 18 mois, en jouant trop prés du fourneau, a renversé sur elle un récipient rempli de bouillon bouillant. La pauvre enfant fut conduite en héte ;"i la pharmacie Tourty, où un premier pansement lui fut fait en attendant l'arrivée du docteur Monnier.

FI4NCES. oour le voyaj?e de noces auquel vous songez, adressez-vous A L'Ouest-Eclair, service des yoyages. BeaKlgnemeote par retour du pourrier.

CONSEIL MUNICIPAL Le Conseil mu.. nicipal est convoqué, en séance extraordl- naire, pour le samedi juillet courant, < 16 h. 15. à la mairie.

COMPAGNIE DES SAPEURf^-POMPIERS-–Toute la Compagnie est convoquée le dimanche 13 juillet, à S h. 30 du soir, pour les dernières mesures à prendre avant la revue du lendemain et pour le service (fordre à four-.nir à la retraite aux flambeaux. Présence indispensable. Le présent avis tiendra lieu de convocation personnelle.

AU LYCEE, Voici les résultats obtenus l'écrit par notre vieil et docte établissement. Sont admissibles mathématiques Morvan, Poioneuf et Quelvain; philosophie Desnayes, Noël, Renac crémière Correc, Deguii-, Mercier et Sado a.i total près de soixante pour cent des candidats présentés. Ce résultat fait honneur aux maitres et aux élèves. Nos vœux les suivent à l'oral.

LES ANCIENS DU LYCEE. Sur la des admissibles à l'école Saint-Cyr. nous relovons avec plaisir les noms de quatre ancien.6 élèves il(, notre Ivcée MM. de la Boissière, Goubelle, Piriou' et. Rouvillois. Guémené-sur-Scorff

CHEZ LES ANCIENS ELEVES DU PENSIONNAT SAINT-JEAN. Le dimanche. 6 juillet, s'est tenue à Guémené. la réunion des Anciens Elèves de l'Ecole Saint-Jean. Un très rrancl nomhre d'anciens avaient tenu à répondre à l'invitation qui leur avait été adressée.

Après la messe, célébrée à Il heures, par, un ancien élève de l'école int-Jean, le R. P. Jan de (iuern. supérieur d'une institution à Saint-Pol-dc-Léon, pendant laquelle il adressa di ses condisciples une touchante et délicate allocution, un Libéra fut. chanté pou^ le repos de l'âme des ancien= élèves décédés, et tout particulièrement pour les victimes de la Grande Guerre.

Ensuite se tint à l'école rassemblée générale. Le président, M. J Raucher. souhaita la bienvenue à ses cnmnrailes, puis passa en revue les faits et événements écoutes' depuis l'an dernier, signala les succès remportés par les élèves de l'école Saint-Jean aux examens de l'année.

La plus grande gaieté ne cessa de régner au cours du banquet qui fut servi dans la grande salle de l'école. Le menu fut excellent et les nombreux convives y firent honneur. Au dessert, le président prit la parole, et, rappelant que la réunion des anciens élèves est..par excellence, la fête de l'amiîi.- et du souvenir, il traça à grands traits le rôle et la raison d'être rie l'amicale des anciens élèves iln Pensionnat Saint-Jean

(1 eut un mot délicat et particulier pour le directeur de l'école, le remerciant de son bienveillant accueil, pour ses collaborateurs, tous les amis du pensionnat Saint-Jean présents au banquet, et pour tous ses condisciPies qui assistaient à la réunion.

Des chansonnettes égayèrent ensuite cette fête cle famille. Le barde breton bien connu, Noël En Estour, obtint le plus grand succès et un « ban d'applaudissements fut battu en son honneur.

Cette bell-! journée se termina par une séance récréative, très réussie et très intéressante.

LA FÊTE NATIONALE Samedi A 1 h. 30. Distribution de secours aux indigents. Mairie, salle ties Commissions, rue de la Mairie; NÏerville, au poste de police du cours de la Marne; Kerentrech, au poste de police de la rue Beauvais. Dimanche 13. A 20 heures. Sonneries de cloches.

A 20 h. 30. Retraite en musique avec le concours de l'armée et de la musique municipale. Départ gare, rue Beau v lis, cours Chazelles (arrêt devant la rue Waldeck-Rousseau), place du Morbihan, rues du Morbihan, des Colon:e,, de l'Hôpital, (arrêt devant la mairie), rue Bodélio, place Bisson, rues des Fontaines, de la Patrie, de Liège. Cours de la Bôve. du Port (arrét devant le Cercle Militaire) rue de la Patrie. Passerelle, rues Dupleix, Gambette (arrét devant la Sous-Préfecture), rue BelleFontaine, avenue du Faouedic. place Ploemeur,rue Assemblée Nationale, place Alsace-Lorrai- ne (disloccation).

A 22 heures. Bals, place Ploemeur. place Bisson. Cours de la Bôve. devant le Théâtre.. Lundi Il. A 8, 12 et heures. Sonneries de cloches et s-alves d'artilleric. A 8 h. 30. Revue des troupes des armée* de terre 'i de mer sur le terrain du Polygone! du C.irnel par le contre-amirail Adhémar .de Crausac.

A 9 h. 30. Concert vocal et instrusmenfaT place Alsace-Lorraine, par la musique municipale et l'Union Chorale Lorientaise.

De t à 16 heures. Jeux pnpulaires sur le? cours des Ouais et Il nlace Jules Ferry. De 16 à 17 h. 30. Fute pnpivlaire de jryrâ-' nastique sur place Alsace-Lorraine, avej le concours des « Enfants de Lorient ». La mui.. sique municipale se fera entendre pendant les exercices.

A 22 h. 30. Bal public à jrranil orchestré sur la place Alsace-Lorraine jusqu'à i heur» du mafin. Illuminations du Cours de la Bôve, de la place Bis-son et de la Place Alsace-Lorraine.

TRIBUNAL CORRECTIONNEL Question dc farine. Ln négociant de la* région s'est trompe dans un mélange de sott mis en vente. Si' bonre foi paraît établie, mais néanmoins il y a u6lit 50 !r. d'amende. Le ntercier malhonnête. Etabli mercier rue de l'Hôpital. Gerva-s Ferdinand 23 ans,' représentant de commpr'-t, H, rue de l'As* Kemblée-Nationale. Lorient, a commis Ces abus de eonflane? ui lui -aient quatre tr.ois de prison Da' défaut

Les bons disparus tI s'aRit d'une aftaire assez embrouillée qui amène sur les tancs du Tribunal correctionnel, deux individus ayant déjà eu maille a partir avec les tribunaux Ils sont incu1n#s de vol et recel de bons- <i de la défense nationale. Un A'enx bénéficié j du doute est acquitté l'autre, D. écope de 10 mois de prison

Après un accident. VOnest-EcInir x relaté le grave accident dont fut victime M. Adolphe Lassol. le sympathique capitaine des pompiers d'Auray. dont l'état longtemps grave. I'aiiteur de i' ••Si-'nt, rn jeune cultivateur, Buhé Joseph, -s. gai avait. renversé à bicyclette M. emparait, devant le tribunal pour par tmprudence. Le tribunal 1« condaine a jours) de prison avec pursis et Et) frarti d'amende sans sursis.

Les Jeux Olympiques

ATHLETISM£

i -'i^iemc éliminatoires du iOO mètres plat Les ,>icJi!:ers sont qualifies pour les demi-finales: •' •-minore série l<" Fitch. Etats-Unis. 49"; -2e euuou, Suêue; 3* Christie, Canada; *• Toms, '.iuiide Bretagne.

Deuxième série n Betts. Afrique du Sud. due, vorvège; S* Niberg. Suède; Fery, France. série Butler (Angleterre), 49" i '5; Taylor Etats-Unis); 3t Fritz (France): i' Pitt (Indes); -irewsier (Argentine!; 0" Jansen !Danemark). i* série If l'aulen Hollande en 49"; 2e Liddel Angleterre); 30 Robertson (Etats-Unis); ie Facelli ,ltalie).

série l«. Oldfield (Afrique du Sud), en 49"; Jofenson (Canada); se vilen (Hollande); Je Norman (Australie); ào Arinstronp iFnlande); C Reniwick (Angleterre). (

6' série 1* Imbach (Suisse). iS" (record du nonde batt): s» Fngdahl iSuèiie). Wilson (Etats.l'oisj: te Koto (Japon). j» Aytwin (Canada). G l'oylertien (Suède).

Dans cette dernière série. le suisse Imbach passb Ic Poteau en vainqueur, rcalisant le temps mer'ci lieux de ce qui bat le record du monde ̃l'ie détenait G. D. Reidpach depuis Jcs jeux de Stockholm.

ô.OWt mfitres plat. Finale 1. Nurml, Fin-lande. M1 31" 1/5 (ecord olympique battu); S Ritcia. à mètre; 3. W!'de, Suède; <. R-eming, Klats-Unis; 5. SepaJa. Finlande; 6. Olibon, Angleterre; 7. Dolques, France; 8. Brik;son. Suède; 9. Mascaux, France; Stroders, Amgleterre. Aa départ, \Vide prend la t*te, suivi de Ritola; \rmi est avant-dernier sur douze' partants et Iniques 4«. Consultant son rẽr.nntc à la <« place dfâ le tour, tandis que !» >!quos c>t Il: les quatre hommes ont 6 moires ./avance sur !<̃ re«te du lot; au 3. tour, Nurml ;>.isàe Dolque?. pmmenei par Wirte, Rltola et Nurmi se détachwu du Français. Les trois premiers s'en •.ont alors d'unp bclle allure. Doiques naviguant >pul;en posilio'i. landls que derrière lui Sepala :vwom biev.. lâchant l'Américain Reming et Clibon. Après 2.5O0 incircc. Nurnii prend la tête et accéi.'Tc l'allure.

I:epassé aux 3.000 par Nurmi. le suédois Wiâe «prouve quelques difficultés i suivre et est bientôt lâché: aux 3..VU) mètres, il a mètres de ret.1rd. Ritola est lâché à son tour par Nurmi.mais revient peu après sur le leader. C'est ainsi que le dernier tour est abordé, Nurmi accélère légèc:nent et ritola s'accroche jusqu'à la ligne droi"e. où Xurnii. sans réne conserve la première pla'•«. Sans pousser fond. il bat néanmoins le re"'•rii olympique qui depuis Stockholm c'ait 'le I4'36"S'1O par II. Kolébmainen.

"mit il ta perche. Finale le Barnes (Etats"'̃iisi. n ni S5 après barrage: '20 Gralianis (Etats"tM. ni. M: r Brooker (Etats-Unis), 3 m E0 '"tn h-irra-re: *• Pcttorsen (Danemark. 3 m. '•" "•'kunl r.inan'a). m. S0: 6o Sparow (Etats i i fin de r.-tte .v le classement des •:•̃̃•?.* SY-tiHit enininr- suit le Etats-Unis. 17G • ••*«: ̃> Finlande. i:W il r.randc-nretriîrne. 1R et 'r 'i- V Suéde. ̃ et fV"iii: r.? France. et den:i: ">i'«se. 10: Hongrie. 7 et demi: «• Afrique fin '̃• :̃: n.inemark. XorTège. Nouvelle-Zélande, i; :̃-> Canada, t.

nnrsment dn mari eau. Finale 1. Tootell. '•̃̃ '-T:ni'. r.3.»: ̃?. \Ur (;rnlh. Etats-UTO~. 50. Si; f. Ericksson, Finlan-îe, •' yi, rrançaU, n'arr'.ve qu'à un jet de 36.27.

LUTTE

Poids coqs Haussen (Suède) bat Magyar (Hongrie )iux points; Casnady (Hongrie) bat \'anmarren iHollandei, aux puints; Erschmann (Autriche) bat Cueny (France, 5'

Olsen (Nnrvège; bat Dorick (Belge). 1,' 33"; Ikonen (Finlande) bat Martinsen aux points; Herchmann Autriche), vainqueur de Sucny, en V 56"; Pusep Esthonie), vainqueur de Aîilfors. en 1G1; M-tllierg (Suéde) bat Capron (France), :6'. /'oids Ucnthams Swensean (Suede) bat Egclier.1; (Norvège) aux points; Dadvany (Hongrie) vainqueur de Vali (Esthonie) aux points, par prolongntions l'or (Norvèges), vainqueur Maïcoch (Ja,ponl aux points; Alalberg (Suède) vainqueur de Capron France).

Potds lrgcrs Frimann (Finlande) bat Askihave (Danois) 6'4'J

Keresztes (Iiougrois) bat Eonis (I.ettoniei, aux points; Kratovlllc (Tchécoslvaquic) bat Srenvensfelt (Danois'; Kasnets (Esthonte) bat Matura aux points; Gaupsth (Norvège) bat Seztak (Autriche! aux points.

Poids plume Taivola (Finlande) bat DS'smid (rchécoslovaquie), en °6'; Antilla (Finlande) hat Kipp (Esthonie) aux points; Westerlund (Finlande) bat Precks (Ethonie) aux points.

Poids (Autriche) bat Domas (France) en 6' 30".

•'olds lourds. Rosenquist (Finlande) hat Hansen (Danemark; Deglane (France), vainqueur de Bado iHongrie) après prolongations.

A -Li suite de ce match, Deglane est en tête de cette catégorie avec 5 victoires pour 3 mâches. Poids moyens. Gerbitch (Yougo-Slavie) vainqueur de Oqueliez Kozarin (Pologne) 40". Poids légers. Frimann (Finlande), vainqueur •\ts-kinave (Danemark), par forfait; Westerlund (Finljnde), vainqueur de Kratochvill (Tchécoslovaque) pu forfait; Kutsncts (Esthonie). vainqueur G.iubseth (Norvège )iux points.

vniils plumes. Toivola (Finlande) vainqueur de MaJberg ((Suède) après prolongations; Nord (Norvège) vainqueur de Capron (France), en 5'. Poids coq. Ikonen (Finlande) vainqueur de Onsen (Norvège) après prolongations: Puzet Esthnnie, vainqueur de Magyar (Hongrie), aux points, en :6' après prolongations

ESCRIME

Ce matin, s'est poursuivi, au Stade Annexe de. Colombes, le Tournoi Olympique d'Escrime Epéc individuel.

Deux poules de 12 tireurs se trouvaient en présence pour les demi-finales. Dans chaque poule. les 6 premiers seront qualifiés pour la finale qui sera tirée cet après-midi.

Vuici les résultats des différentes poules 7'0H(e 1. l'r Montegazza (Italie). 9 victoires: ̃T et ex-aeyuo Massard France); Buchard ÎFrance». 7 victoires; 46 Ansnach (Belgique). 6 victoires Rvefeld ;Danemark), 5 victoires. Les 7 maires tireurs ayant chacun 4 victoires disputep/ et après-midi, un match de barrage qui df5iK2* le 6' qualifie.

•> ̃•"•̃ l'r Tom (Belgique). 7 victoires: 2« Co'f-i u (France); Ducret (France;; Delporte (Fîel?ii 1 Comoagna (Italie); Hellsten (Suède), 6 vietOiK.'

YACHTING

MSrcuN, 11 juillet La ™ journée du Tournoi olympique de yachting s'est déroulée, comme hier, dans le bassin de Meulan-les-Mureaux. 17 nations se pre.-entent encore aujourd'hui. A heures, on a tiré au s rt. les séries; la France yacht Dtdtboy, pilote Michelet fait partie de la 2" série.

TOUR DE FRANCE

L'arrivés a Briançon

oicl l'ordre ûcs arrivées l« !tni:iero. «n 12 h. ]̃•'̃; i* Aviilo. 13 Ij. Il.

.MIT": ̃ Il h 16' ;x> Valnzza. 13 Il -2 ''•̃ K!' il* <;uvelier. U II. 2o'î" ̃^ ilii- '1": li' Pratesi. 13 Il. i-'« •'̃"•. Mottint. Englebert. ~r i-a1 Aln\oine. 19* Brrkmnnn ni 1%. rdy. '3 h. ^îj": 31« Stanlaert, r Ferra ra. h 5*39". •Il; :v. S"i» Tnuz.i: I. if.- Arnould, T< Jàner, .C. 50' Oîrro. :o^ Ka-nn. Classement général

l" Bt>Mftchi,i. 151 h. 36" Frantz, h. »' h. 9' 4"; r.« rhy~. 15:; h. T h. 47' 19": S' Bcllancc Vi h. :.̃;• ̃" Mutiler. i:.f h 12' 24"; Cuip•0-J.M :• -y-, 11- A'.anrrum, h. .lO"; i' Jjmii. i..i ii. ̃?̃ 36"; 13, Tiberrhien, h. 3' 3: li- Valazza. 1T.4 h. 34' 1"; 15e Kuj'Sie, "i h. 33' i-.

AU M. V. C. D'ANCERS

A l'occasion de la li-ic. national?. Je M. V. C. A. MLiam donner une uuuvulle de. son ut^ir initier le plus m'atid nuiuljie Uc l)rûlane^ .iu\ .sautes du sport cycliste. le. plus jiopulaii-c j.ircc .;ne te plus organise 1 our iindi li .uillet. heures. au Mon;cM]uieu. ne grande réunion populaire a prix i\e in programme nui satisfera même r- <*iff;<:l«s

Le. portes ouvriront il 12 h. «6 p .')r !:s « • lé :<:res et les possesseurs de places prives a l'a ance.

Les guichets fonctionneront j nai' r de '̃̃̃ lui ."Ci.

La réunion commencera exactement ;t u bcirfs

Le prix des platée est ainsi !̃>.•

Tribunes 4 fr.; promonor <i 1 ri .-je 3 fr.: 1 :ulîires. 2 fr.; militaires rt >̃ ;t rcs t-n iir. fr. aux populaires; 1 fr..10 :u jn.iiKnoir .1 .ir rivé»

Le bureau de lo.jtK-m sera .n;vrt juill.i. il.a heures sars interruption, a:, "i de la r» l'iaotagenet. on y délivrera tous tickets pour !rs ilirerse» enceintes

ne sera vendu aux ;ui-Jiets 'ie il rii<». Il trsqineu Que rt*s ticket «le :iib.iis mini- •• -us su:\ant les places disponihle> avrrs la lic.ilion tn t'iiichet fonrtionncr;i futi" les Mippléments. et un autre ̃ .̃ •: ̃-> ir. H n<>. 'iélivr* de cartes tic sortit n'i'.i !"nlr'.i: I.'n bon conseil a suivre Prenez us ro» tic>"ts en location, vous ruivz le loNir d'Or(' bien ;i!acés.

Le public est prévenu '1er- a présent <iue si in-t- n's te départ donné aux mm nrrcnts 1p mativ.emps venait inlrrrnrrple nu ompecher ronipîé'f- nent la réunion, il n" ·rr • irmboursé rucun ti".et à quelque titre que ce soit.

•

COURSES A SAINT AI.LOUESTRE

A l'octannn de la journée de*, murses organisée par le ( oniné des fêtes de Salnt-AIIouesire. il i-era rouru une grande régionale s*jr le |ar- uours suivant

bourj;. Saint-.Taan. (>uclie!ii'. 'iï Maiçr\. Siiint-Allnuesire. Bi?nan. RprfiHir; !•'?. •oinmu-.loiir. Saini-Allouestre. distance M klluinetres environ.

Prix se. su. 30. 10 et fr.

Oulm w prix il sera dis;ribu« de nombreuses

• •O* .primes consistant en accessoires de cycles offerts par les maisons de iycJes de la région. I-fs engagemenst !2 îr.) seront reçus ru départ

DEUX EPREUVES A PLOUSSCAT

La jeu.? de Plnuejra; ar?3nise deux belles de rr.v.F. de la Té?ioa qui auront à partager 15t) Tr. de pr:x.

La ?i L-un.ie pî! t^inKinale. avec lufl tr. de '.nuT kilninetres >erfh:ï a couvrir pour cette courte et 1S pour la première.

P i;:r tou= rpnïeijrnfments. s'arirns^er à M. le I'rôî'1ent de i'L'.S. Plou^ratin, il P-ouricsl. LES COURSES DE LANDERNEAU

Nous rappelons que c'est lundi prochain li juillet. a 19 Heures, que seront clos les engagement:' pour les grandes courses cyclistes au; auront lieu a l.andcrneau le dimanche 30 juillet sous les ré. glements de ru. F.

<"cs course'. son! ilo:ces de tic l.CCO fr m's de prix et dr priinc~. T.o eiigrigenients sont reçu-, ( liez M. Masson, marchand tailleur, nuai de Léon. à Landerneau.

LE CRITERIUM DE L'OUEST

Le 13 juillet à Leudéac

lA.' Critérium de a a obtenu, il il le nK-r;wa d'iil'.eur. un ^ucef-s d'eiir^grcineiiiâ comp.el.

Tout ce que Ja compte de coureur;; repllentent capables de (li^iuùer leurs diaiKcs sur i'M kilo;n<>lrc.5 <li? course routière erj au déjïart de cctle beTlk: ét'.irfuvr.

Le Luuarn, de l'ion; .Navarr", VrrJisnibaull, de Jîpimes; Ah'iain, de Launion; llen;lr.wJt. Bur, Daioine, .Mor?a]vd, le-, quatre rnpréi-enuiiiti: deo cvcic> • Mciun Lp lluinlier.tpau, nciioi-aid, dequi veuiont per::er; de HeniiP;. *P*iali»"p de* diïtaiwf-s: le> Tour -le l-'rani'c hrivrit et de Vauti.- comploteront ie lui i.'es rcpivinaux lui .-iiirnnt il 1-ilicr avec Doissny.c, de Rennes, qur 110 .-ilima.- oublier, ror.trc deux coureurs bi«vn ron.i qui n;i! »!«-;• 1: lnn?temips a«|uL= les j.vmpr.ljiie- du pubiir français en pénûriil du publie br.o;i en piri'fi'iir r Robert Js.T-f(ui:int. qu'il e~t inirtili: .Ir ;ir.e:i!.T plus nom. car n'a j:im.ii? cmiru e e: l'rvria^er di'U\4c:ne :lu Circuit de. Paris, derrière Van la deu^ ihmc place, derrière Ville. dans le .inalineaLinn-s pour !e i:ham|>ionuat dp Frin^e jirore->ionnpl-.

1 ~pnrt«r.pn de tuuie la 'le voudront p.i> miniiuer une au--i t»:v> r>>ma»jon de voir du beau oiiort. fin Ips \erra nombreux -air Ir parruur?, lîufrnipné, Plouray. Ro-trc- ne-!]. l'iflu.irPi'. pt<•t -us.ij à ('Il se tien- d'rii pr'ia:r.:ninip ri.'1 ?H:-r In irnin -pe:-al pennettra aux vi-il>"iirs de rentrrr. datif la (Il, Saml-Hripiii1. Ou in tin, Yj.i' e\r.\ a.pr:- avoir v:i tiiu|p< le- arriver* des ii. .'iprenv.v pt a--lsl«i a toutes Ip- atlraciion-. Cc ua;n quittera la ?arc r!- -uidéac à 18 h. DJ. 4j LES COURSES DE BECHER7L

Les courses cyclistes de BirCiierel auront lieu. <-oin:ne de coutume, sur la piste cycliste du t :̃ le Foire, le dimanche 13 juillet aprOt>-midi. '.11 |i!'i<irr.iiump, courte lo-ale course cantonale, i'rirs1 ii-'ionale et (irohiblement d'autres ppreuv:-s qui ".p'ont iïpVMpps sur le terrain La piste a ̃:<• te. '̃c en pnrfait état et tes coureurs sont 'de ji^r'! ;»»er z 'Vs très En? je rp"'ts 1 M Jélianin. nnire de lié'lierel. rt rlintaatche la juillet, au moment des éaireu-

LES REGIONAUX A GU INCAMP

Nous avions annoncé la probabilité d'avoir Verbraecken et Le Doaré à Uuingamp les 13 et 14 juillet. C'est maintenant une certitude et la* piste de la Madeleine sera certainement le théâtre de belles luttes qui mettront aux prises le superbe lot de coureurs comprenant Le Bihan, Bertaud, Joncour, Quettelec, Thibaut, Sprauel. Verbraecken Le Doaré, Gautho. Le Breton, Despretz, etc. A côté de ces as nous aurons aussi le plaisir de voir évoluer une quantité de coureurs de 3' et 4* catégories et des débutants. Nous verrons dans ces classes de belles performances et peut-être des révélations.

Les nouveaux prix des places sont les suivants Tribunes. 6 fr.; pourtour. 3 fr.: enfants demiplace militaires au pourtour, S fr.

UNE GRANDE RÉUNION A CORLAY Le vélodrome de Keroger. va ouvrir ses portes, pour la deuxième fois cette année, le dimanche •-•7 juillet prochain.

Le Comité organisateur n'a aps hésité à mettre sur pied pour cette principale fête, un programme de tout premier ordre, si l'on en juge par les prix offerts ci-dessous.

Nous souhaitons d'ores et déjà que cette belle journée en perspective, ne remporte un succès encore plus grand que celui du mardi de Paque qui cependant. fut dans toute la région une vraie révélation.

A 13 h. 30 ('heure légale) défilé des coureurs. le courte. Départementale. tours de piste. 'iO. 30 et 10 francs.

cour.se. Eilminatoire. tours piste. ICI), :.0. 20 et francs.

course. Grand Prix de la Ville de la Yill., de Corlay. Vitesse. 3 tours de piste. 3n0, 70, ro, f0 francs.

̃• ('ourse. Américaine tm tours. 3.V 80. 40, so francs.

En outre, de nombreuses primes seront distribuées chaque course.

Les engagements seront re.'ns qu'au juillet, chez le président de TU. S. C. à Corlay.

GRANDES COURSES A SAINT LO

Ccj courses vélociipédiqucs de motocyclettes et de bicyclettes à moteur organisées par l'AutoVélo-Oluù Saint-Lois, sous la présidence de M. le PriSfet, de )1 le Maire de Saànt-Lô et de M. le Générail commandant le groupe de subdivisions de Saint-LA, avec le concours de la Musique Municipair, auront lieu le dimanche 13 juillet et seront dotées dc francs en espèces et objets d'art. Piste circulaire du Ci!amp-de-vlars 400 mètres. Programme

A fi h. 30, DefKé obligatoire pour tous les couCourse. Locale. mètms, i tours de piste, réservée aux membres de l'A.V.C.S.L., 225 fr. de prix et objets d'art.

Course. Cerceaux (jpotir s-arçonmels et fillettes au-dessous de ans. Prix en objets d'art. Course. Internationale, (Grand Prix de SaintL<1), 2.000 mètrw, 5 tours de piste, réservée aux coureurs hors série, catégorie de la région, 3i0 rr. de prix.

4e Coure. Région.ale. ni.. tours de piste, réservée aux coureurs de 2e catCgorie et débutants de la région, 150 francs de prix et objets d'a,rt.

Course. Onnrse de fond (frand Prix du Vélo-Club). 6.000 mètres, 15 tours de piste. t00 fr. de prix.

6' Course. Consolation, I.eoo mètres, 4 tours de piste, réservée aux coureurs n'ayant pas gagné fr., 100 fr de prix.

7e Course. Course d'honneur, 1.600 mètres, 4 tours de pistp. réservée aux membres de l'A.V.C. SX. e: dotée d'objets d'art offerts par de généreux donateurs.

8' Course. Cou.rse de motocyclettes, 20 tours de piste, 375 fr. de prix.

Course. Course de vélos à moteur, 20 tours de piste. fr. de prix.

Distribucion des prix sur la tribune du Champ de Mars aussitôt après tes courses.

Prix des places. Tribunes, 5 JT.; résarvées, 3 fr.; premières, 2 fr.; deuxièmes, 1 fr.; troisicmes, 0 fr. 50.

Drmi-plaee pour las enfants au-dessous de 12 ans et les mfflitai-res, saut aux troisièmes où Il ne sera pas d6livré de demi-place.

Engagements. Les engagements seront reçus par NI. Challr, secrétaire de l'A.V.C. S. L.. 23, rue Torie-ron. à Saint-L0, Jusqu'ail samedi 12 courant, à 19 heures. 1 GRAND PRIX ESSOR

DES PROVINCES DE L'OUEST

La Pcjj:c antillaise et II maison Essor organisent le Jl aoit prucliain, le Grand Prix Esscr dcs l'n.vinoes de l'Ouest, doté de plus de 2. 000 frde prix dont au t:r, une bicyclette Essor Tour de Fr.iiKe.

L'épreuve se disputera sur le circuit suivant à couvrir deux fois, soit kilomètres

b'.rtiliy. Crrnville. Brchal. Coutances, Pcrcy, Villedieu. La Haye-Pesnel, Avranches, Sartilly. Elle cst ouverte aux licenciés nationaux de :ornianiie. Uretacne, Maine et Anjou. Nul doute q:ie cette épreuve n'obtienne tout le succès désirable. ét2nt donne le nombre des prix et l'abondance des urimcs iiê.;« offertes.

Pour tous renseignements, s'adresser au Secrétaire ('.p. la Pédale Sartillaisc, M. Lucien 1. bas, a Eartilly.

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LE CRITERIUM DES AIGLONS

A CHERBOURG

Les as s'inscrivent

Dans un mois bientôt les Aiglons seront dans nos murs-, et quels Aiglons Ce sera beau, ce ser.i ,ublime nos plus fines pédales du moment Mii*2 iront en ce beau jour de fête sur la place Napoléon, et ce sera sous une formidable tempête de bravos que se déroulera la conclusion de la jirrmière étape. Car ce seront des champions que nos sportifs cherbourgeois applaudiront et pour ne pas faire de vaines promesses, citons au passage les engages.

Nous verrons Ville, classé dans toutes les épreuves de la- maison r.rJ4, qui fut 21 du Tour de France cette année, et abandonna ensuite, épuisé l'rnntz. le actuellement du classement, senéra! du circuit de Desgranges, derrière Botteochla Verniandel. te tameux Belge, vainqueur d'un Tour de Brlgiqiir: Criard Uebacts, vainqueur du Tour dis Flandres- Nntter, rha-mpion de Suisse Standaert. l'actuel leader des 2' catégorie; Beckiiian, ">• du Tour et t" à Brest; Charles Pelissier. le bcnint'iin i> l\ famille, jeune cnureur qui vient; Bc#:ir vininiuciir d'un Paris-Caeiv. Cuve. ( lier Al:» 'our-: ?:ii:rl>rrd. Normand. Renoit. (io- hillnt. ( cillcti, Wvnsdau. Drireille. Lemay, Hardy Bachcl!crie, Flahaut, Guillod, etc.

LE GRAND PRIX ALCYON-FROISSARD AU MANS

A I ociaMon de la Fête Nationale, le Comité fwiiar.eintnt.il de l'U. V. F. de la Sarthe organise demain dim..n. hc 10 juillet. avec le concours de M Frois>ard, agent des t'yi-lca Alcyou. au Mans-. .le l'Jnifin Siiortivf du Mens et de l'Union Auto Cycliste d« la Sarthe, une épreuve cycliste rcser vec a'ix débutants et aux coureurs de i« catétro- rie. licenciés de lu. V. F. du département de :a Sarthe.

l'ette é|iru"ve sera' disputée sur 6o kilomètre: tour. d'un circuit ije kilumètres environ em.pruntant une partie du Circuit permanent de \n Sarthc 'ro.ite de :.aig:nc, route d'Arnage, â Ruau iliu, route de Tours.

Le» on tr"i neurs. suivcurs et soigneurs sont inter dits Lt-s vestiaire» Seront installés au Café Natlo ual..v>. rue UambeUa, au Mans. La distribution des dossards 3ura lieu a 13 heures chez NI Frois bail. r·.e Uambe'ta..

A 13 h. 30. les coureur» se rendront en groupe derrière une voiture officielle, à la place de la Lune de Pontlieue ou après un dernier appel, se ra donné le départ. définitif a U heures. i/arrivfe. sera Jugée route de Tours, à hauteur de la rutile de L^igné, les coureurs se rendront ensuite au Oa'é Lelung. place de la Lune de PontIieur cil seiM instillé le contrôle de >ignature. Les prix ci-après seront attribués aux vain Au l"r, un cadre da bicyclette Alcyon; au 2', tire paire de roues Alcyon; au 3\ deux boyaux Dun-

lop; au 4*. deux boyaux Wolber; au Se, deux boyaux Galidior; au C. un boyau .Bergougnan; au T. an boyau Bergougnan; au deux enveloppe Bergougnan; au un boyau Dunlop; au une enveloppe Dunlop, etc.

Ces prix seront, distribués à 18 heures, au Café National, au cours du vin d'honneur offert aux coureurs et organisateurs, par M. Froissard. Plus.de 50 coureurs sont engagés parmi lesquels en peut citer les Girout. Vandenberghe, Bodereau, Dlin, Houdayer, Grégoire, Guay, Champion, etc. La lutte promet d'être sévère pour la première place.

NATAT10X

COMMISSION SPORTIVE DU 9 JUILLET La Ccimmusijn Sportive homologue le résultat des Championnats de Bretagne de water-polo. Cercle des .Nageurs Rennais (1) bat Association Sportive des Cheminots Rennais, par 5 buts Club Nautique Btestois (2) bat Association Sportive dl'6 Cheminots Rennais, par 5 Le cercle des Nageurs Rennais est champion de Bretagne, 1" série, lr" équipe, pour l'année 192L Calendrier des équipes de série:

20 Juillet Mayenne contre Cadets (Groupe A); Uinat'd contre Retlon (Groupe B).

27 Juillet Cadets contre Mayenne; R-cdon contre Dinard.

10 Août Vainqueur Groupe A contre Groupe B, dans la v:He du vainqueur du grotupe A. 27 Août Vainqueur Groupe B contrc Groupe A, dans la ville du vainqueur du Groupe B. 7 Septembre belle, s'il y a lieu.

Les éliminatoires sont disputées avec le goalavérage.

Les finales sont disputées avec le goal-avérage. Les matches sont joués dans la vnle du premier ctub désigné au cendrer établi.

Les équipes secondes engagées (Cadets et Dinard) joueront les 10 et 21 août, dans vmes à désigner. *"♦

CHAMPIONNAT DE BRETAGNE

La Commission Sportive déoide de faire disputer au Championnat de Bretagne de Natation les critériums Cadets (débutants, juniors et vétc-ran-s). 0 WATER-POLO

LES CHAMPIONS DE BRETAGN'E A REDON Dimanche prochain 13 jui.Uet. le Cercle des vagcurs Ron-nais. qu: vient de s'adjuger le titre de champion de Bretagne de water-polo pour l'aimée se rendra à Redon, pour y rencontrer en îmtr.hes exhibitions îes équipes premières do l'Amical Olub Redonnais et de l'Association Sportive des Cheminots Rennais.

Quelques courses de natation encadreront la réunion et nous sommes persuadés qu'en natation comme en water.polo, le Cercle des Nageurs Rennais voudra prouver la supériorité des spécialistes. Sont convoqués dimanche, 9 -heures, Gare Efat MM. Deisbtn, Mallre, Robert. Guihomat, BoncW'hon, Daudé, Picrron, de Larue, Abbas, Baot, Gaudin. 26

DISTRICT DU MAINE

L'a.-semtWc générale a eu flieu le S juillet, à 1S 30. au Café de l'Epoque, sous la prcsMcnce de M. Barbet G.

Il a été membres du Comité du District pour la saison sporth-e 192i-

Ont été déclarés éOus

M.M. Jouanneaux. secrétaire du DiiStriot; MaiMet, Jeunesse Laïque RépabUioainp, Sarthotee; Hubert, A. S. Sablé; Oguer, U. S. du Mans; Albert, U. S. de Mayenne; Boucher, Barbet E., arbitres officiels; Gonidard, U. S. du Man-s.

Les clubs suivants ont pris part au vote C.A. Evron, Jcune-ssc Laïque R. S. du Mans, U. S. du Mans. U. S. Mayenne, U. S. Ecommoy, IliromlnHe Qhâteau-du-Loir, U. S. S5Hé-Je-Gu*llaumr. \S du Genest, C. A. Mayennais, U. S. de Pré-enPaiJ. Vélo-Sport Fertois, A. S. Sablé, U. S. de Couptrain.

Le Comité du District du Maine s'est ensuite réuni et a procédé à l'élection de ses différentes Commisëions pour i« saison

Commission sport'-ve présWetM, Barbe-t G.; secrétaire, Jotisumeatix; Tnemtores Maillet, AJbert, Boucher, fiondard. Barbet E.

r.ommtesicm des arbitres président. Boucher; membre*. Albert. Barbet E.

Commision des terrains Hubrrt. Oguer. Comniii=sioTi dc sélert'on (îotKlaivl.

n a été ensuite Procédé au classement, des duos dans les diverses férir?. La répartition pour la sai«cn 1924-25 sera la suivante.

(re série C. A. Kvronnai-s, U. S. Mayenne, J.R.L. SartJioiî-, U. S. du Mans.

o« sérii' C. A. Mayenne, Hirondelles de Cha- ti>au-«iu-Lfiir, l'Ernéennc, U. S. Ecommoy, U. £• SHé-lP -Guillaume.

Sôrie tous les autres clubs arniiéf.

\ota. Le Comité adresse un pressarst appel a toutes les nou'velips .-ociétôs sportive ,le la Sarihe. p' dp la Moyenne, pour qu'elles s'amiient à la I'1pration Française de ce qtti leur pennetlra de participer aux champ on nats or?ani-é; par le. Cojnilé du District du Maine. i a coli-ilion à verser annuellement est de rr.. suit fr. pour la 3 F. A. et fr. pour la Liguc de l'Ouest.

I c\s demandes d'aroiiation de\ront être adressées nu Se.-rût3tre du nisi.ri.-t. M. Jouantiraux. i6. rue des MaKlPi?. Le Msn?, qui leur dunnera tous ren,e:S-ncments corr.pl^mentîireî. 1 CONVOCATIONS

GaW<i->pc>rts Tous les membres «lu 1 ̃allia^̃.l.rls pratiquant l'athlétisme sont convnnués n 1 li.'iiro sTir'-fiscs. !<• 13 courant, auville, pour les grands prix d'athléti-mo de la sorrt'tr importante réunion est datec de plus de 30) francs de prix aux ̃» premiers.

4rifX.iT/SA/F

INAUC'JRATSON

DU 3TADE DEPARTEMENTAL

DU CALVADOS

Voici le programme des épreuves nui se drr.w'eront le dimanche -.0 juillet, à l'oci-af-ion 'le l'inau du Calvados Défilé <ie toutes les Sociétés .sportives du de lentement (sections femmes et. sections hommes. Il. Epreuves athlétiques. Rrscrvéps aux Sncii tes lia Ca'v.idos et organisées sous les règlements f Gnnds prix de vitesse. 100 mètres plat. If sarie; 400 mètres plat. séric.

2' Grand prix de demi-fond. I-îOO mètres plat, i"> série.

3° -.on mètres haies. lrt série.

l' Relais Olympiques. wo, -xo, fsérie.

:y mètres plat handicap. 2» série, enga ï»i!icuts iiliniitcs1.

G' i.ik.o mètres tat t handicap. i1 scric..enga ^"inent.s illimité.1-1.

T Saut à la pcrche, partir de m. ̃ II. Athlétisme leminin. r 60 mètres p!at. 'up.iors.

•

LA REUNION DE LANDERNEAU

d'aujourd'hui samedi sont pries de venir au terrain des Sports pour aider a l'aménagement en vue sportive de demain.

Les membres du Comité de La Lanrternéennn pourront retirer leur carte d'entrée, dimanche de Il heures a midi à l'Hôtel Gu-égruen.

Avis aux Clubs engagés

La distribution des dossard et des entes d'entrée oupr es athlétes aura lieu demain dimanche de Il heure s.i midi :'i l'hôtel Guéfruen. Chaque dossard s?ra cons'gné pour la somme de 1 franc rembour* sable lorsqu'on le rendra.

In vestiaire ser.i aménagé au terrain des sports, lr fîéfll éde tous les athlètes aura lieu à 13 h. précise?..

TACBTING .1

LES REGATES DE CAEN

Les grandes régates annuelles, organisées par la Société Nautique de Caen, auront lieu le juillet, il 13 h. au nouveau bassin. De nombreuses équipes y participeront, entr'autres les champions de France en yole. Un chasseur de sous-ma» rin, envoyé à Caen par le Ministre de la Marine,. prêtera son concours. On annonce un grand mat. che de water-polo entre le Stade Malherbe et l'O lyinpique Caennais. A 15 h. 30, il y aura lâcher de pigeons voyageurs par la Société Colombophile de Caen.

Signalons encore des courses de natation, une course au cananl, des jeux nautiques divers. Le droit- d'entrée dans l'enceinte réserver est de 2 francs pour les premières et de 1 franc pour les secondes.

A

LES REGATES DE TROUVILLE-DEAUVILLE Première journée des Régates internationales rie Trouville-Deauville. s'est déroulée par une hrise Pt une mer calme, avec vent 3 à 4 mètres a la se.conde variant du Nord-Ouest au Nord-Est. Première course. Parcours 8 mètres, en temps primé, départ. heures it Xatnoussa. h. 30' 36" i.t» francs et une médaille de vermeil; .4 'le III, 5 h. 30' CO"; y Anttcerpia (beige). 5 h. 33' W1".

2* course. Parcours 6 mètres, départ 1:; nî«res. 1er MJfti (Italien) b h. 40' 03" (1.000 francs); 2* Janick, a n. Si' fl3"

course. 8 m. départ !h. 10 1·r Chardon Bleu, o h. 49' 01" (1.CO1I franc); Rickoms'Ky. a Il. lô": Jack, 5 h. M' Val Guy et Ge?tilt d'Or, relâchés.

i» course. 6 mètres départ ,15 h. 20 f Billtl». 5 h. fr.l; 2n Phoqite, 5 h. Taquin, ô h. 24"; Lucie, 5 h. 47' Just Ont. 5 h. 59' -:n"

5e course. Monotype minima de la Manche i,r Astérie., i h. 52' (300 francs); 2' .Vr/e, 6 h. 10,

COURSES DE COMBRÉE

Le dimannhn 10 août auront Hpu, sur l'hbppodronie de la Miilotière, les courses de Gombrée, avec le programme que voici

Prix des Eleveurs. Au trot monté, 2.S0O mètres. Prix de Ia Société d'Eivcouragement pour l 'amélioration du cheval français de demi-sans. Au trot monté, 2.S00 m.

Prix des Hommeaux. Au sraflop. :on mt-tres. Prix de la VWln. Au trot monté. m. Prix du Conseil Municipal. Course de haies. 3.01K» m.

Les engagements seront .rrçus jusqu'au lundi 4 anùt, avant midi, à la Mairie.

Le Par; .MuîueJ ronctionnera sur l'hippodrome. 1236

COURSES DU TEMPLE-DE-BRETAGNE Les courses du Temple-de-Bretagne auront lieu le dimanche 27 juillet prochaiu, a t-i heures, hippodrome du Bouillonnais. Elles comprendront à épreuves dotées de l.'Oo fr. de prix.

1" course. J00 fr., :prix des Templiers, trot monté, pour chevaux de service, distance 2.SC0 mètres. Prix joo. 60. fr.

course. l.oco fr., prix des Commerçant?, trot attelé 2.S50 mètres, pour chevaux entiers et juments.

course. fr., prix des Alliés, galop, mètres, pour chevaux de ans et au-dessus.

4' course. l.CW fr.. prix du Gouvernement de la République, trot monte. mètres, pour chevaux entiers et juments.

5' course. 1.000 fr., prix des Dames, haies, mètres, pour tous cheva-ux.

Clôture des engagements le dimanche 2o juillet, avant -Jft heures, chez -Ni. Orîave Gergaud, secrétaire des courses au TeinplCKle-Bretagne Il.oire-Infprieure). pour la première course, prix des Templiers, et le m»rdi 15 juillet, avant midi. la même adresse, pour toutes les autres. LES COURSES DE KERLAREC

Elles auront lieu cette année le dimanche août. Elles promettent d'être plus brillantes que jamais.

Cette année, grâce à I'inlas.-alile activité de» membres du comité, qui ont à coeur de voir aller toujours en prospérant cette belle journée sportive, nous pouvons être certain que le dévouement du président, des commissaire: et du secrctaire sera couronné de succès.

Depuis un mois on travaille à l'aménagement de la piste qui ne laisse rien à désirer pour que notre magnifique champ de courses maintienne le bon renom que lui ont créé non teulement les eleveurs mais les jockeys eux-mêmes'.

Il en est de même pour les prix, dnnt le montant est supérieur celui de l'an dernier. Voici le programme des ♦Tfércntes épreuves

1" course, au trot monté. l'rix SW fr. et les entrées au 1": Jiv>, 200 et Ko fr.

̃ course, au galop, pour chevaux de demi-sancr. Prix fm, ico fr., plus 100 fr. a l'éleveur du gagnant.

."• courte. steeple -cliase militaire, série. Prix 1.0x1. non. et KO fr., plus C5 des forfaits au et au

il cours. au galop, hors série n* fi. Tris t.WO fr. et Ics entrées au gagnant: 3-30 et fr., plus \CJO fr. il l'éleveur du sragnant.

course, stcenle-clwse ( rnss-counlry régional. Prix ̃ t.CPO, ico. fr.. plus m0 fr. à l'éleveur du gagnant.

f, course, au trot monté nu attelé. Prix ôTO francs et les entrées. 2SO, i.V) et fr.

course, steeple-chase. Prix i..w>. f"o et fr.

Le Pari mutuel fonctionnera sur l'hippodrome. SOCIETE DES COURSES DE SAINT-MALO Avis à MM. les Seciétaires

Les sCT!é.fcaires et les personn»? dêjirant le devenir. sont prié; d'adresser le marnant d^ la cotisatii'1 1 10 rraivs.) 4 m. I-. de la Vrtlefronioy. t.réso-i~r de la Soriét^. en. rue rrwrrvn, à Saïnr-Malo. I.i' a droit A une carie dr pe>a?r nomme fi de))'; i-artf,- dA p^ncp dam< ou Irois carte; ie Prière d'inliquer en envoyant le maudit la: rjrt<s f'sirée?. Il ne i"ra plus ai-'ppté aucun «o'iétjiro après le jin.Uet. COURSES DE RENNES

Premier jour Dir.ianche 13 juillet

Parmi les plu* intéressantes de nos réunion- brei'innes 5p compte lr nippMng de Rt-nne-, dont i'hippi'1ronr.p o»t un des, -plu-; beaux de notre région, avec une organisation parfaite, des installations Ne?d:ites et birn a?en<-ép-i et des piste. étendues qui donnent aux é>prpuves tout leur relief et leur cachet.

Les enyascmentf nombreux restant définitif âpre-, Il' forfaits, nous assurent des courses très réussies.

Dix chevaux llgurent dans le Prix do la Société du Demi-San?. attelé, donnant ani.-l unp nouvelie preiwe que ces courses ont beaucoup plus de coince de réussir que les courses montées. On peut dire auM qu'en général le pnblic le-* préfère, car e:lcs offrent plus tir coup diril.

1-ce Victis vient de mal courir monté à Morlaii, ses deux course-, sont nulle; mais il est beaucoup meilleur altplé. Urqente i-tait secomlp, à tantes le juln de .N'ora qui lui rendait mètres, devant Togo WilKv-. Ulpion. Révolutionnaire, Sauterelle, ru- qui -aur Togo Wilke- lui rendaient du terrain. A uuingamp. piMp avait battu de loin Urbaine, Quer.rus. Reine, en- En avril, .i Machecoul. plie a battu Tamise qui lui rendait mètres. Voile-£ est un de< meilleur*, sinon le meilleur trois ans de )a région. Il vient dp jrajnipr trois courses consécutive?; à '\ante-. Il a battu, monté. Va^puse IV. Vauban. Vœ VictK pic. OM le gagnant du Prix des Trotteurs, monté, a :'tante- où il bat facilement Val de firarp, Vauban. etc. Huit partants. AMpIc, ;l s élé b-.ttu par Viai-Scr. Tomnty a gagn6 deux manohps rit partie liée à .Vantas, sur 1.6S0 me. tre?, devant l'ranus, Tamt-se. l'nique, Galopln; Tamise lui rendait i.io mètres. Rnmtilus a gagné im he«t en partie liée à Saint-Lô le 22 juin, p&rtani

il J.SpO; parmi la nou uiauàî fruiitfuiUU, l.6*i; UiUUa JUliu I.tiiu .Thethyt a de bonnes courte. '•n <ler«ier, nwi». n'a j>ss dû courir cette! anac«. Les autres u'jni pas Ce perrunr.&ncca mlliôu d'eu* émerge /'leurs, un -.ieux cheval, qui a l'rure mercredi dU Tremblay avec :'7 dans un hMidjca») gagne par Le Superbe Dionyiius ï* AirrolMte 0 etc. A Long-champ. H a lermlui u lonr de Sereska. Il pirtacis et a il i tsrmmt entre Le Revoir et Vesperlil'iion. Sa camarade Mcnim n'a pis couru cette année; ses courses de l'a.n dernier sont quelconque». Zenclde icriiiiniii 3' de Kerian et lstamboul à Saiut-Brlcuc, deva.n« n en Veut, s pariant». /( en veut a gig-nê sur i.joo a Morlaix. mais de Justesse devant iiujil Dutoh. après avoir fait un train trèi vlf. Martyn étajt ChryseU) était non place lundi à P.otte* dans un f.500 m. gag-né par Rigolna. ooodruji, 3. (Juémar. Elle faisait ,a rentrée. Graittmes a une course inexistante a Salnt-Brleuc. derrière Zuk-;ka. linsorc»leuàe et Fur'ineMa: la d'Ensorceleuse, devant noyai Ptc. Pol'jbe a couru non place dans le Prix d'Amiertonvitle. 1.400 m an Bois, le 29 Juin. Il n'a pas mieux fait à Sann-Clbud dans u-n l.MK) mètres gagné î.100 m.. U a •ermiaé 4' de Furlan«tta. laiambardcuse, SolamJre, p&ruu«s. roroni8 était non placée sur i. 000 m. dans le prix du Bol* a Lonrcliitnp le ju;n. Mgr.é par Libellule, eU. Mail à réclamer pour ii.OOfl. <ur i Saint-CloiKl le 31 mari, elle a fiai 3» d« la Rafale 11 et Misaine, 2 Ion?, tête, de-van: nain C'oitl, parlants Vamouste a terminé J«, en réclamer, le 2i mars, à Maisons, sur J.0O0. entre La Saiadaii et Ensorceleuse. S partants. Le 15 mars, a Sauit-Cioud. t vendre, sur î.500 m. rlle a (lui s* entre Ambourr et Chek&ra: Long champ était non placé. Peyrelevade a gagné A Salnt-Brieue. ap.rfa avoir figuré en bonne place. «Me a terminé derrière Jour d'Espoir, Accad et Adélaïde. Istambout, sur 1.600 m., à SamiF.rieuc. était entre Ke-rlan e: Zénaïde. Veinard» «'tait 3* a Amleus, dimanche, sur 3. SCO m., à i i. H et Nrioiiké. Toutes ses courses sont olisturos. Khambardeux", compagne d'écurie de la précédante, était seconde de FrctiUon a Rue. la Captilc, elle unissait derrif-rc Kurlanelia et dcvain Sclamire. Polybe CI Veinarde; ene a gagné sur 1.C00 m. à Lille devant l'rCtillon. Coal Hi-ef, elc. Iii'vcrentlc a couru nulle part dan-s le prix d'ArnienonvilIc à I.ongx-hanip. le SD JU'in: i saintiLO. cille était seconde do ?a camsradf \cri:i. devant Lo-ngrtiamp. IncaIHe était non placé le niai a Saint-Cloud, dans le. prix de Chcvrense. ?a?n<S par Cousine, 2« Roi d'Argot, 3« Caporai; il n'a jamais rien fait. lA prix de Longchamp. handicap, conserve <lix engagements où nous retrouvons une bonne partie de? chevaux de la course précédente, ce 'lui ne facilite jms le choix. Les poids les plus ̃ levés échoient à Ilouge-Ltard et lulcïka, mais 'Malgré leur nuritc leur tache paraît Impossible. La forme de \-Rn\j n'est pas assez indiquée pour uu'on puisse retenir sa chance. Dandine-II n'a eu <;ue de petits succès jusqu'ici. Ittamlioul parnlt ne pouvoir tenir que sur mètres; au même ,nids de kilos on trouve Inralldr. et rolybe 'lui n'ont rien tait dernièrement qui souligne !eurs chances. Cliambardciisr est mieux indiquée voir attribuer il l'-i. i.illu Flovrr vient de Ra.nner pour -a rentrée, mais devant des adversaires médiocres, reiiicnilant avec SI elle devrait bien «ourir. Martini inalpré son poids irvantageux va trouver la distance longue. Grnrcliues a sa chance avec :f.; elle a de bonnes courses cette année, mais file h aus-U contre elle son tempérament 'm peu «"îaiiti. Vammmr qui a deux bonnes Plaes a Ih i i valoir est bien placée dans l'échelle !cs est également bien placée mais elle risque d'être prise de vitesse-, à saintrrieuc, elle tini fort derrière Jour-d'Espoir et \trad: la distance sera sans doute un pe» courte Tuntr-TIta a toujours été battue, maif ses ib kil-js lui donnent des atouts.

T.e steeple-chase jiiiliUire de t" série a reçu •'l>t enpaFements. Réal, tombé dans le prix du ^̃néral-O'Connor. une des grandes épreuves milirres d'Auteuil, venait de gagner deux courses. une au Mans, où sous te poids énorme de 80 .iius, battait de 4 longucurs lama- et Padisrnah; uitre Fontainebleau avec 7S, battant l'rettyVue et sfr JLIr Sa•̃'•. victoire sans portée après avoir été battu par 'tntill1ennè a \jl Roctie sur-Yon. Mimota est un x filent reformer, liipn connu dans notre ré•i'iii: il n pas du courir cette année, folon a ̃nmj)li une performance à Anpers, en finissant ̃nid deux lonpueurs de Pompou-V devant •:ia et Pa'disrhnii. llaflevr a fini à une long, et Mie de Wild rhat. à Montfort. Au Mont, il it entre Qui-11 et Qui-Vive. Itnilteme-ll était ̃i placée derrière H.iflciir au Mont. Donaldo n'a -.< «le courses en 2" série.

'•̃̃iiirr chevaux sont engages dans le stwule-chahnndica-t. Mannlton-ll qui vient de traîner brilrruiiirnt deux steei'lc rhases a Saint-Brieuc se ̃ lit gratifier de- ktlff qui lui font la tâche serve Novnstrry a couru dernièrement sans réntire e<t scvèreinent traitée avec G~ kilos l.'î ̃lsré rexcrllonir forme qu'elle tient, comme le •mive l'ais.Tnrc «I «i virtnire t\ Morlaix devant •••lelnau et R»ln i,in. SurMtov a couru très iî:>rti. ,1 Paris relie .̃iiiiii't. ntir'r-TroItt n'a battu !̃? Child-Harold au cours de cette saison, llurri •c a quelque? bonnes courses, dont une victoire •lent beaucoup de poi-ls. Konnandir-II cagnan « en plat !antes est tombée dans ses Jeux sor- Me d'après sa course d'Elbenf où elle bat Doll̃!Hi> Mur-Rell. Sumlringhnm. etc. Elle avait •^̃né priH-éiieinritent un steenlc-chase hniullcno .1 .îircnin». Giitmnr avec «I est très capable d'pñver l'épreuve Mvtbivrtir vient 'le canner en devrait bien courir sous ce nids lérer. Malgré leur avantage, Chud-Hnrol Huvingne sont bien douteux.

No* préférés

Prix de la Société du Demi-Sang. Vrqrvtr, rthyr.

!-rix de Salnl-I-nurent. Plrnn, l'mrrlrradi: "rix de !.om.'r!i«nip. Vomouiw. (HUy-hloutr. <tppple-chase milit»lrc. H?al, Colon.

îpcple-chase handicap. vaniteuse, nuemnr. HirrtBQVE;.

COURSES A MAISONS-LAFFITTE

si les trains qui devai.ut nous conduire aujournui Maisons n'étaient pas aprtls tout. av.c des e.ard» »ca4ida.leux, la journée rut été parfaite. Im liriï de Ueauvais mixte international «'Uil 'épreuve plus richement dotce de la jourm.. \'otre favori. Kllombo a répondu à notre «onflann; i défaut de notre autre pronostic Sarya, tombé «oiteux <t il a farilrnient réglé HrtiscaiiibWe qui <ul l'a nwnacé sur Ip. lin. Mis en vente après sa ietolre. Ktt'imbo n'a ounrtant pas trouve anliiv-eur.

Prix d'Euiinpjs. '.X0 métrés. le llaupianpian iA. Itibbcj, à M. Jarcel Crémleux; Ar<innaul (F. O'NelHi. i M. r,nclen Robert; 3' la Gavotte Va tard). :> Robert Vigers S. p Btberl 'F. Williams). <ivler l'en 'u. Garnir'. Qucyrac (j.-n. 1x>. Prévost). :</nl'ltircm J Wiukfield], Arocourl Parant). acob if; C.lganti, Colabmirij (F. HarriM. ««Il» Ht. Jochard). Julienne :A. Phlli'.ps'

Prix des Roug.-s-Tcrres. ù.i francs 1.8U0 Il:re». t« Arbousier 'i. Clay;, à M. le baron E. le Rotchsctiild: S» L'Orlçn (Ci. Bartholomi. à M. I. Srhwot); 3* Gracilité (M. Allemand), il M. Mar'el Boimac. N. pl. Vlie-Aterlr (P Ilamel ̃liin.frinre 1!. Brethès). Milnnaif-lil [G Olgant:. 'ilntle !(;h. Hohhs). SnivtMrsmin IJ. LamourP'. laimac. 'H. Sriublatl ttndwh <\Y. Mnuvohi. Albi- Mla iG Kréel).

Prix d» Franconville. A Vendre aux enciieics. r>00) francs 1 <kio mètres. l» Gilles (II. Broliès) à M le prince Charles de Tour-d'Auvcr;ne: f Iritti Jnm O'Nellll. il M. Il. Cottevleil'<•• 3' Mab IF. Keogh.i il M. John Chuhb N. pi.: ÇwenJUou !c. Thomas!. Nont-ranlsu 'G. narthoomi. Afonlronrf io. «amerl. Kiimris R. Ferre'. Tattot (Hi. Hohbst. norHfboro 'A. Sharp?) Prix de Beauvals. Mixte international. ixoi 'rancs. 3 V)0 mèîros. r Kttnmbn 'F. N'olll). M. le vicomte Koyç ?-̃ Bru'rnmbllle F. HerviV i M. MatiTicr Tillement. N. pi. • Primai 'îurner Oirmnurn 'F Wincierl, Surya (G. Va:ard>. Inclut» lA. Rahnc)

Prix de Voisins. T|-iti<1m'i ;<- S.uoo frat:c«. ?*m niè'rfu. Stathftw '<̃. 'uneri. à M. 1:. ^mbattélos: «« nnnntn <V. iî.t- -r-\ Mlle (iulllc̃nnt; yt Vnriirsn 'II. SembV M Hélio UopouInt N. Vluon fii "••' :̃' Kovhnn (R. BrcAè», »̃– iberg '.D'EngLni^i;, Clct-de-Sol (G.

L'ECOLE DES MECANtCIENS DE LORIENT Louib^t, il juillet. Avec le développement croissant de la partie mécanique ;l bord des hatinieuts de l'Elut. La margine a besoin de professionnels compétent* et |tarf;iitemeiit exercés aux ruu;:fies dn la machinerie. C'est pour avoir un personnel à elle et sur lequel elle pourra compter, que la tsarine a créé une «<olc de mécanfrlem d Lorient. E lle y recrute des jeunes gens qui doivent répondre 'pour leur -admission à uuelques conditions fort simples une voici Etre Ige de et '.i mois au moins et de ans au plus au premier jour du mois de l'ad mission. Etre sain, robuste et bien constltué.ATOir une lionne acuité auditive et une acuité visuelle suffisante Mesurer t ni. M. peser kilos; étre muni du certificat d'études primaires élémentaires ou «l'un diplôme équivalent. (candidats de premier leste). A défaut de candidats possédant l'un des diplômes précités peuvent être néanmoins admis à l'Ecole ceux 'fui justifient des connaissances suivantes tire. ,rire -couramment. et calculer (effectuer Iles opérations fondamentales de l'arithmétique avec des chiffres décimaux à l'exception des fractions (candidats A. seconde liste).

In droit de priorité absolu est donné aux candidats titulaires du certificat d'études primaires ou d'un diplôme équivalent. Les apprenties sont choisies en premier lieu iiarini les candidats qui Justifient d'un apprentissage «l'une durée, d'au moins 6 mnis dans l'nne des six professions d'ouvriers en métaux suivants ajusteur, tourneur, foifieron. ehnudrotmier en fer, chaudronnier en cuivre, tondeur-mouleur.

A égalité de titres, bénéficient d'un droit de premier liste). A défaut de candidats possédant diver* personnels de la marine et dt l'armée ou pensionnes pour invalidité.

Quelques pièces lenr sont demandées pour l'admission Extrait d'acte dc naissance, certifiait d'étuiitt primaires, certificat d'aptituAe jn-oiCm sionnelle, certificat de visite médicale, certifient du directeur de l'école (à défaut du certificat d'études), certificat de bonne rfe et mœurs délivré par le maire, certificat de vaccination Etat (le nas échéant) des états de service du père. Ce dospriorité dans l'ordre ci-après le.' orphelins des cription maritime, dv fer nu .il janvier et du 10r an 31 juillet (ce qui est le cas pour la rentrée du octobre prochain).

Au ministère de la marine (l'crsonnol militalre de la flotte, 3' bureau) pour les jeunes gens domiciliés dans le département de la Seine. Au directeur de l'Ecole Pour la Corse et VAlatric.

Au directeur des mouvements du port de Bizerte. pour ceux domiciliés en Tunisie. Les dossiers seronf transmis au plus lard Ic 10 flvMER ET u: AOUT.

Les imprimés spéciaux )'Ecole. nécessaires a la constitution du dossier, sont a demander r» fin décembre ou quinzaine de janvier, en vue de l'admission du 1'r avril et en fin juin on ir* quinlatnt fie juillet pour ccllo du l'r octobre. Dans les demandes d'admission a I Ecole, les parents feront bien d'indiquer leur profession, domicile ainsi que le nombre des enfants, leur age. f.< autres chargeas de famille.

A quoi «'engagent ces jeunes gens

Il., sont suiiinis au régime milit.iire et jwtent la tenue du marin des équipages de ta flott« A seize ans et après avoir <yçpnip,li un sU£e de 3 ptois. les apprentis sont fuis en decontracter un engagement volontaire pour servir dans les équipages de la flotte pendant cinq ans. à compter du jour de leur sortie do l'Ecole. La durée totale du séjour i l'Ecole est fixée à i ans, mais elle peut dire abrégée pour Ici an- prentlt qui font preuve de l'aptitude rt de Vluihlleté voulues. Jusqu'à ce qu'ils aient contracte leur engagement, les élèves peuvent être remis leur f.iniille soit sur la deimnde de celle-i. Vatanl). ValcsUa rA. Rabbe). LO)>iya (J.-H. T.n l»rov.>st>, fernando Of. Uellier). ftintalow ou. Prix Faucheur. G.003 francs. 1(km mitres. le Uusr-Satiji lA. sharep), à M. H. Ternynck; Pent-ù-Col lA. Esling). Ni. l.eon Agopian; 3' SI omit* (J. Winkfield!, à M Jarri^r. N. pl. larb'is !R. Ferré). Monslapha (F. Keogh). Jaek-Tnr 'M. Mjic Gée). I.odi Thomas). Consulat (n nretèsi..Imowrc/rc/.V (M. Allemand)), caidar (Ch HnlJis). therif (E. Haynes). i hrre-Yronne (F. 0' Neiin. War-I.égend IF. Williams), Priori JennlnE«). \font-Slnai (H. Semblât. Terre Sainte (A. Ogoz), Ambcnaij \o. Bartholoméi Trlcksij (J. Faucon). faluaba (J. C.arncr). Fantasia (G. Vatardl, Caïman (fi. Stern). frai, nesle-an-Poleau (R.Vayer, Prix des Pyrénées. Steeple rross-ronntry Gentlemen rlders et jarkeys francs \W nièlrrs. if if Anrtac (D. Kalloy). à M. Il. La %fort' tagne: ̃» Bodlngloirn 'P. Mitchel). :i M. A. T.nv.cnstein. N. pi. Tvrbvlenlil i\j. Rlaffuebel.) Sillailie ;M n. Petit'. M. (le Pibrar).

Pari-mutuel

Pt*. Pel.

P. 9 The irgonauld G. 15 .V> 7 .vt to (iavotle, T{. ,TD .7) îo ,v> ï' c. Arbousier G. 29 is so r. Orignn C,racllitr P. Il. c. Gllcs O. 38 16. P. lfi 5D Irluh .faim P..19 s r»> Mah T>Vi .V) /i1" c. Kilomlio fj. on- il Bruscauibiiie r.7 .\o is D b' e. Statueras G. W> !W V. r! 50 Bcuasa P. Montera P.7 Ne 15 T.0 r nnse-aaiHj G. r.U .VI 1!)0 .Y> 1'. IK. «i Pent-a-coi p. i.m r,i> w Stomtis p, 7" c. Atirlac G. 19 us i-ï o» P. 13 .V) nodiugtoun P. in Ou 11 >j

COURSES A SAINT-CLOUD

Partant» probables

Prix de Keucherrilles. Lansamlct, Mencdére FlusU lioual-lll LassOMlne. Fasclnantc-ll, Swetlne»

Prix du l'cri-ay. Duliadur. l'aillasse. Marotte. Fttuh Houat. hutieuff.

l'rix de Mcreville. Tameiian. Nicol. Alzelle. liolden ( louil, Tuberose, Ronde Champêtre, l'ille Fleur, Orange Flouer, Le Bélier, Moulue, Capricieuse, Crédulité, Utqognc. Comonesa, àuede. Mijaurée, Médavy

Prix de Tartes. Ilécellie, Tika, Phalarlt, Heine des Zlbans. La Ilougeolte, Brûle fer, MarteMarco, L'Hirondelle, Une Pensée.

Prix Saint-Damlen. /loi du Rire. Albaracin. conques!, Pontte. Flamboyante, Pirallhan. Lorely Ulrl. Fecamp. Garde Iloyale, Carabach, Follage, lltiKUrlo.

Prix de Chambly. litgrandes, Einalllcur, Cattilln. Pértrlrs. Sagamore, Double Luck. Satner, Iir.uli itotlt Filante. Carmarlne, Boni) Cidrta. Nos pronostlcr

»• course Ilobert c.ultcnrd. Flttlcuff.

,t course 1 lédulilé. Golden Cloua.

i' course Ilrulc-Fcr. rlctncc.

.*•' couru* Conqueit, Rotario.

r course Pcrtclei, Sagamorc.

soit d'office par mesure disciplinai!» ou |>'jur inaptitude à Miivre l'ensi-igneiiuiit i:e l'Ecol.Ceux reconnus Insuffisants aux examens semestriels sont éliminés do l'Ecole et remis au service générai aie la Flotte en qualité d'Apprentissage (cas extrêmement rare).

Mais on oui w. ils peuvent être éliminés et remis au service général toute époque de l'année pour faute grave, paresse ou Inconduite persistant*.

Ce que leur accorde la Marine

Le séjour à l'Euule gratuit d'aliord. Les élèves reçoivent aussi une solde de o fr. par jour et une prime d'en;s;tgcinent |i.\ee à ••<*> francs, acquise a la lin <!̃• l:i période d'instruction. A leur sortie de les élèves nommes matelots mécaniciens sont destinés au service Béné rai.

Au tout de 6 mois d'embarquement, ils peuvent donner l'examen de quartier-mattrc. S'ils obtiennent la nnte t ou supérieure ils sont admissible au cour.s de second-maître. Les élèves travailleur' et qui ont profilé de l'enseignement donné l'Ecole pendant leur stage d'apprentlt. sont seconds-maîtres très rapidement et. en u*nêral,.peu vont très facilement clic admis au cours supérieur. Il n'est pas rare de voir les travailleurs arriver malirc-mécanleicn avant d'avoir terminé leur pre- mier congé.

L'instruction

Nous avons sous les yeux le programme des ,cours théoriques et pratiques qui leur sont donnés fondant le séjour s l'Ecolo. Ils ne peuvent que donner toute satisfaction aux parents et aux élèves qui pourront plus tard, soit qu'ils demeurent dans la marin, soit qu'ils la quittent pour passer à l'industrie, se faire une situation très dign

Noirs n'insisterons pas sur la constitution de l'Ecole, du point de vue militaire et maritime, sportif, musical d'Ecole a en effet une musique). Au point de vue pratique, .l'exemple au passé l'Erolc est vieille déjà de 24 ans est là. On recherche .partout dans la vie civile les mécaniciens de la Marine.

Mais au point de vue théorique, formation morale par les conférences d'excellents professeurs, on peut bien affirmer que ces jeunes gens, dans les cours supéricurs ou élémentaires, peuvent trouver dans cette école l'instruction et l'éducation exigés dans tout établissement bien tenu. pourvu qu'ils soient studieux et disciplinés.

Nous parlons plus haut des cours. Voyons en dehors de la- partie mécanique et dessin ce qui leur est enseigné grammaire, histoire. géographte, géométrie, mathématiques, .physique, chimie, selon le-- ela.«s"s a un de-jré plus élevé. Les .ipprentis mécaniciens ayant la faculté de sortir le dimanche et jours fériés, peuvent suivre à terre les exercices de leur religion.

Conclusion

Le Ministre de la Marine vient, par des affiches illustrées. cte faire connaître les grands avantages accordes actuellement aux marins selon leur temps de service et leur grade.

Il est certain que les jeunes gens peuvent s'y faire de jolies situations. d'ailleurs bien renumérées (voir tarifs de solde).

A l'Ecole des Mécaniciens de Lorient on peut trouver tous les moyens d'y accéder et déjà des ancien'- de l'Ecole ont pu se faire dans la vie des situation importantes.

est bien administrée, et si nous ne rrnienions pas de froisser la modestie de certain% chefs que nous connaissons bien, nous pourrions les citer. Nous dirnns d'eux seulement que Ipur grande bonté. leur sentiment familial a a'idé souvent ces pnfants à franchir un pas difficile- Qu'ils soient remerciés, et t'est parce que nous savons tout cela, que sans esprit de réclame, que l'on pourrait croire inspire, nous disons que cette Ecole do Lorient est aprclée. rendre dp grands services à la Marine nationale, aux familles et aux jeunes gens qui ..herchent leur voie. A ÎJWIent on air- petit que se féliciter ̃ <1P leur belle tenue en ville et le ministère de la Mariné vient de donner a cette Ecole une belle marque de sympathie et d'encnuràfrement en l'autnrisant a participer A l'exposition des travaux qui sera organisée par l'Association nirlionale pour la Protection de la Jeunesse, à Paris. le 6 décembre prochain. L. G. A LA Rl'/rRAITE. A été. admis à faire valnir ses droits à la retraite pour compter du l.'i août lSh!i M. Ollivicr Henry, commis princ. de cl. des directions de travaux du port de Brest. ARTILLERIE COLONIALE. Ont été promue dans lo corps des officiers d'adminlstration d'artillerie coloniale appartenant a ta marine air grade d'officier d'administration de lro ci. (se. tion des ouvriers d'Etat) MM. B3rdin et Pascal, de l'inspection des fabrications.

rX'OI.K D'APPLII'ATIDN VU U1CNIE MARITIME. Les officiers gnéeraux et supérieurs designés ciapres ont été nommés membres du Comeil ̃!<' perfectionnement de l'Ecole d'application du !enie maritime. le vice-amiral Varney, président du Comité technique, président; l'ingénicuc général de 1« classe du génie maritime Louis; les ingénieurs généraux de classe. ilu génie maritime Tissier et More): l'ingénieur en chef de le cla.«so d'artillerie navale Loblond; l'ingo'ileur en ciller de la classe du génie maritime Thuloup, membres.

DE TKAV.U'X. La dérision ministériel du 1i juin 19M affectant il Toulon M. Baille, commis de .V classe des directions de travaux t Indret est annulée.

M. Bellat, commis de r!' classe des directions de travaux à Jndret. est désigné pour continuer tes services au port de Toulon, délais réglementaires. EN CONVALESCENCr. Ijn congé de convalescence d'un mois à solde entière a été accordé an mécanicien eu chef Drsinas. du port de Lo rient, à compter du ifi juillet

EQUIPAGES DE LA FLOTTE Ont été proaura, d'office dans le corps des équipages Il.. la flotte pour compter du Il juillct lD-i

t" mattres canonnier Le maître can. Courqueux.

1- m. torpilleur Le m. forpill. Rnuile. t" m. fourrier Le m. fourrer Pillon: Maître canonnier Ix sèc-ond-m. c.in. Boivln. M. électricien Le sceonil-nultre. électr. I/Oflorh. a* m. cliauff. I-e quart.-m. chnuff. Iloroi. Ll^S NAVIRES AMERICAINS A CHERBOl'RI i. Le navire r.ivitailleur américain Oriov est arrivé Cherbourg, où il déposo du combustible nécessaire aux navires qui sont attendus.

(•n apprend officiellement que le croiseur américain Italclgh, construit d'après tes dnnntes les plus iiio-loriie<, relâchera t'iierncurs du au ̃ août

RAI'l'EL DE SALAIRE AUX OUVRIERES DE Le Ministre de la Marine, d Monsieur le rtrc-urulrrrl, prtlrt maritime, d Brett. Vous m avez transmis le 7 juin dernier, une réclamation des ouvrières du port dç Ure.st. au sujet de leur salaire.

Les intéressées signalent, qu'a la suite de la déèchc du avril l'j-ïl, leur salaire horaire proprement tiit a éte diminué de Ofr. 12 et leur indemnité de cherté de vie augmentée do 0 fr. 10 seulement, alors que le te.xic de cette U. M. prévoyait l'égalité entre la réduction et la majoration. Le lait est exict et provient d'une erreur de chiffre qui s'est ijibséo dans la rédaction de la dépoche

l.es dispositions prises consistaient il transporter du suaire horaire proprement dit a l'indemnité do cherté de vie. une somme de dix centimes et c'est par suite d'une erreur matérielle que la diminution tlu salaire a été fixée à alors que raumicutation de l'indemnité de cherté de vie ctnlt Indiquer sa valeur de

Li réclamation des ouvrières est donc fondée et il y a lien de leur rappeler la somme de deux centimes par heure sur leur salaire proprement dit qu'elles ont perçu en moins depuis le l'r avril

ce rappel sera fait au titre de chacun des exercices intéressés.

Signé Dl'MESXlL.

AU CONSEIL DE GUERRE DE BREST. BREST. Il juillet. Le Conseil de Guerre maritime permanent se réunira le mercredi la Juillet t l'effet de juger les nomme» a

l' r'avcdii (icor-es et Ciirau-.l Ernest, niaieluls du croiseur Mulhouse prévenus de désertion à tinter:eur en temps de paix.

̃y Bouget ,leanBni>tiste, matelot musicien du v Dépôt, iiV.enu i'e à à l'Jiranger en temps de p.v*.

ETABLISSEMENT D'IXDRET Est nomme au grade d'oltirier de lr* classe (travaux maritimes), .NI. Elle Hervé.

l'our les ouvriers auxiliaires. Le ministre de la Marine vient de faire connaître que les ouvriers auxiliaires ne peuvent rouipttr pour la retraite les services accomplis en qualiic de commis auxiliaires.

A L'ARSENAL DE BlŒST. BR1ST. Il juillet. Mouvements du 1.' le croiseur Jeanne-d'.lrc sera rentré au bassin n' 3 à 9 heures ;io. La canonniére l.etlUiueuse sera rentrée a l'arsenal et amarrée au puste 4.

LE COMMANDANT DU DELIGNY EST RELEVÉ DE SES FONCTIONS

IlHls, 11 juillet. Le rapport de la Commissiun d'enquête sur l'i-clidiiage dans la nuit du au :8 juiu du contre-torpilleur Uelluny à l'entrée de la rade de Quiberou est parvenu au ministde de la marine.

En fait. le contre-torpilleur a pu immédiate- ment après l'accident prendre part aux exercices en cours et rallier par xs propres moyens l'arsenal de Lorient. 11 sera remis en état de naviguer en une semaIne et l'ensemble de ses réparations n'excédera pas six semaines.

NI. Dumesnil a cependant «stimé que Li responsabilité du commandant était engagée et il vient de relever cet officier de son commandement. UN MATELOT TOMBE A LA MER ET SE NOIE

lIIEREs, 1,1 Juillc. Au cours d'exercices de sous-mai in au large entre les lies il Hyères et le cap Side, un matelot du Duprtll-rhouars est tombé à la mer. Le Vupetil-TUouars, lOtnjrnc <t le Fran:oU(,arnicr l'ont vainement recherche. Le vire-amiral Fatoii. commandant la défense des frontières maritime du Sud de la France à Marsoille a été informe pour prévenir la famille du disparu.

FLOTTE

L'aviso Escaut est arriv* Port-Vendres le in. Le cuirassé Uidr'rut et Irs torpilleurs d'escadre Dclage et Pierre-Durand apparei lient de Lorient pour exercice le 10.

Le transport côtier Coctlmjon a ahpareillé de Tonton vers Bizerte le 10 juillet.

L'aviso Algol a appareille de Saigon vers Nagatakl le 9.

Le gardo-pédic Estafette appareille de Dunkerqu- vers Aberdècn le 10 juillet.

L'aviso Qucntin-Roosevcll est arrivé à StavanI ger le il.

l'our les Antilles françaises, l'Amérique Centrale via Bordeaux. îl juillet.

Pour les Antilles anglaises, le Centre Amérique vi* Boulogne, 18 juillet.

Pour les Pays du Sud Pacifique via. La Pallice. 15 juillet.

Pour le Ilrési!, les Paysdn Sud Atlantique via Bordeaux, tti juillet; Cherbourg, 13 et 16 juillet; Marseille. 19 juillet.

Pour Dakar, la «'. O. A., I? Congo via Bordeaux, 'M juillet; Marseille; 16 juillet.'

Pour l'Afrique du Sud via Southampton, lfi juillet.

Pour Djibouti, Madagascar. Réunion via Marseille. ï,l juillet.

Pour les Indes, Indochine, Japon, Chine ̃ via Marseille, lfi, 53 et 2i juillet.

Pour l'Egypte. Syrie.

Po'lr l'Australie, Nouvelle-Calédonie via Toulon, juillet.

Pour la Nouvelle-Zélande viA Snuthampt<>n. t" août.

NOUVELLES DIVERS -S

Après le tremblement de terre de Yokohama Paris, 11 juillet. L'ambassadeur d'Angleterre a reçu ce matin le capitaine J. Cousin, commandant du paquebot Andre-Lebon. qui se trouvant iL Yokohama lors du tremblement de terre donna asile à un grand nombra de réfugiés d.i nationalité britannique.

De plus, les bureaux dn Consulat général de Grande-Bretagne s'étaient installés provisoirement i boni de l'André-Lcbon

Lord Crewe a tenu i. exprimer personnellement ses remerciements nu capitaine et lui a offert, à titre de. sou'.».'nir. une boite à cigares en argent ciselé.

La Grande Semaine de la L.M.C.F.

Parmi les fêtes organisées pour la Grande Se- maine." des sorties do torpilleurs sont prévues L M. C, a St-Nazaire I" 17 rt a Nantes le. 18 juillet.

I"e 17 juillet, grand cortège maritime, remontée de la Loire de Salnt-Nazain» à Nantes.

Un poisson monstre

r;n\iij.K. 10 juillet. I.'un de nos plus sym- puhiqiies pécheurs, M. EiigAnr Lerossois, patron du Klcher. e>t rentré dans notre port avec, le plus qu'on eauv. Oet animal, qui tient à la rois du requin et ment dans les filets des [)écheur= de sardines en Brr-tagiv, a 3 mètre* de long et pèse plus de 300 kilogs. Sa mâchoire e*t ikic chose effrayante a regarder avec, ses deux rangées de dents tailléesen laines de scie. Aussi on j'imagine tenu) qu'ont eu nos pêrtieurs pour s'en emparer et le courage dont ils ont fait preuve en l'occurence. Vais radre-ssn du patron I.rcnssoU n'a d'égale que son bon cœur, car dès qu'il apprit que iMnianche prochain U y avait une. fête de bienfaisance, il offrit aux organisateurs le monstre marin, pour qu'ils puissent l'utiliser au profit de l'œuvre. Urâco Ni>nn<itKl » qui non seulemmil ont bien voulu 5(1 charger,' en le mettant dans leurs locaux, de le conserver en bon état ju*<ju'à l'exhibition, mais encore ont pris toutes les dispositions nécessaires pour qu'il puisse ensuite être distribué auv pauvrr:, le formidable poisson sors euposé dimanche après-midi à la kermesse du Cours Jolnvllln et sera une nouvelle attraction Il ajouter aux autres déjà si nomtoriMnoa.

En félicitant le patron l.oco.sso!s et son équipage Pour leur beau geste de charité, nous sommes pfMiialW d'être l'Inlei'pi'He de tous nos concitoyens.

Le trafic du port de Brest

pendant le deuxième trimestre 1924 /mjiorlatalfoiis. Charbon, 6G.âO9 tonnes contre 69.083 pour le lor trimestre vins, 17.78J tonnes contre W.MO; phosphates, talles contre marchandises diverses, .T.WO tonnes contre 33.TM. Soit, 12G.200 tonnes contre tXi.-MS tonnes pour le trimestre. Moyenne mensuelle ̃ 4?.0».ri tonnes contre ii.468 tonnes pour le l"r trimestre.

Exportations -̃- Cabotage national. 1.1. 19i tonnes contre tonnes pour le 1er trimestre; cabotage, international, t. contre horneurs, 17.5M t. contre ÎD.SOS Soit 31.7Ui tonnes contre 11 9: pour le trimestre. Moyenne mensuelle to**»es contre tonnes pour le 1*' trimestre f.o trafic du port de Brest reste donc stationnalre dans la généralité.

La naufrage de la goélette « Volontaire Bresi. 11 juillet. Le tribunal maritime commercial spécial s'est réuni ce matin il 9 heures, sous la présidence de M, le capitaine de frégate Perrler.

M. le capitaine de corvette Winter occupait le ilège de commissaire du Gouvernement et M. le

:iiiui.- ùv i inscription maritime fiellec. celui iô\ Le n.iufragc de la uoclctte Vul'iiilatrt ast surre* Dit le *U mais U i. dans le c.mnl (le Bristol. LI lateau ét:ift connu in là pir le capitaine de la mi? line marchande Ar/.al Jeiu. inscrit Paimpo! Il'' YJi. La ::oniiiiiss on locale d'enquête estime que li (le 'et accident incombe au capi-r taille Arzul. a a consute que son navire- faisait de plus eu Irlus d'eau, ce capitaine n'aurait pas du prendre la caïKVatlure qui ne po>rf>^ quoi fatiguer le navire, en l'obligeant à tenir la me plus lutlgtemps, et Il aurait du chercher à gagne un port de relacho au'il aurait eu A ce moment. la possibilité d'atteindre. Défenseur %le Remets.. Le capitaine Arzut a ele condamné t ît jours de' retrait de uniin andenient.

La réglementation dû travail

à bord des navires

M. Lcon Meyer. sous-secrétaire d'Etat de la Ma-, rine marchande et M. Alt>ert. Thomas, directeur'' du Uureau International du Travail ont conféra longuement sur les muyens de reprendre les négo^i dations avec les marines étrangères en vue d'a-; ixiiitir une réglementation internationale du* travail a bvrd des navires.

INSCMI'TIdN MARITIME. Le vice-amiral, pré-' [et maii'iinc à Biest, sur la proposition de M 'ai. Directeur de l'Inscription maritime à liuimper.'t décide commissions d'examen «l'aptitude aux emplois de syndic des cens de Mer et dc Garde, maritime qui doivent se réunii i Ilrest le lô Juillet iu.*i. :ou bureau de lins: ription maritime. i-| 9 heures et à ti heures, s'il y a lieu, seront com- posées comme suit ̃>' t' Syrtdic rles Gens de Mer MM. Le Poncia.: adininistrateiir principal, président: !Renis Lagarde, adminiiiratcur de lr classe; Bigi^on, administrateur ne clause. Gardes maritimes MM. Dents L:igarde. ad-| ministrateur de lr- classe, président; Ollivier. Syn-; (tir principal de 2" clause; Bouder, syndic psincl-i pal lie .le classe.

NAVIRES DIVERS

SIGNALES PAR T. S. F. EN COURS DE ROÛTE. Aux postes dé ̃ il. Saint-Paul, Wilfrid. Ribe.auctlte,1. Sl-Ba>ilr, De Lasalle, Sainl-Bnirilac, Gai y, Rt- diiim, Mlch'ujan, Argonne. Edimbourg.

PAQUEBOTS

ET VAPEURS LONGS-COURRIERS AtiruV!«(r. A A Dakar, 9. Europe, ail .dc Malaxil à Bordeaux: Gouverneur Ponly; a Colon. 10. Atississipi, ail. d Vmens à Los AngeJèà; a Barry. P. L. M. iT, de Marsoi'Ke; a Cadix, Guanijn, ail. de à liio de Janeiro; î Las l'aimas, 6, Farta, a.ll. de Duala à MarsoHle; il Biicnos-.Vires, 8, Crylan. d'Anvers; à Cooatr!, 8, Courouxsa. ad. de Mar-euHe a CuUïnon: à Kiibé. 9, Min, d'Anvei. à Yokohama, fil, Porthnn, de Mar<c;Ke; i i-iliraltar. 11, »il. <le DuaU à Marseille; à Mar^i-ille, 1»..lm/>»«c, de Yok"haina; Ville de Miirneilt". de La Réunion; à Bui-nos-Airc- s. /f/rfic. dr- Manseille: à i:r>!oml)". 10. iruntmtistetnu, de Diiukerque il ilaïplioiiï. A Cherbourg, Il, Mlnncdota. do Southampton. PASSES. A Sagre-, S, Lainenlin, de Timts; 9, Anulet. de Mal te Il). Th»rium. ail. de. Suanséa iij Tuni=; à Il. cnpiinine Faure. ail. il- Daire,n au Havre: S. ail. de Marseille à: Cotonou; à lMi'ite-à-l'itri1, s. Prrnu, ail. <lu; MI. iW- RiK-!ii»s-Airii- à llanibuiir;; à Tén<Miff. 7. Dctirade, ail. de Bueno;-Aire= à Hïnihour?. PARTIS. Un Colombo. 10. Chantilly, ail. de Yokohama a Marscik-; (le New-Rork, il. Bragu, 1,. Marseille; Ruina, p. Marseille; de Dakar, 9, Plata. n. Gènes; di» Buenos-Aires. nahome'i, ail. de l'ort-Genïil a de Cardifl. to. Viilealn. p. Malte; i[n il, lana-T'c, ail. de Londres a Dairen; de S.\dne>. SaintJoseph, p. Nouméa; de l'otumm, Baoule pour Duala: de Bilbao, S. hroi.r. ail. de Hanitu-urg à Bi de Sa ni as, S. Mos^llu. ail. de Bordeaux a Bucnos-Aires; de M^r^illp, 10, valdtvia. p. Buenos-Aircs: de la Pallicc. If, I.ieute' nant-dr la-Tour, p. l'Extrême-' 'rient: du Havrp, lt. Amital-Troude. le le Brésil; Pologne, p. bydina; Arkansas. p. Fort-de-France.

VAFEURS CABOTEURS

AUKI\ES. A Ruiien, il. The de Ile Swansea; KUnean. Ilock. de. Gnole: Dunfvrd, de Swansea; < ralg le Burry; /.i.».«, de Port Arthur; Portneux, clé Rotierdam: Sam: 1 yrille, rl'Alïcrie: il Marseille. Çoralcu. de Idilvi: Sidt Urahim. (l'Alger, Il. L. It. i Morlaix, Mariais., lie Cherbourg; au Havre, 11, Seine, de t'hdlrnu Pnhnrr, «19 Rouen, a Casablanca, II, Maréchal Forh. rle fi l'alliée; de Bordeaux; Lnrient. Il, f'r:, de Cardiff.

A Cherbourg, 11, Verdun, du Havre.

l'Ait t'IS. De Rouen. il, p. Tyite; fil. Il. Tyue; lalvaiin. \>. swanVea: Se- ville, p. MumliUs; Snake, ji. Diii^ldn; Shi,lns.Jran. p. Duuston: Slevc-l'Umer. n. l>ar>ton; (haïrai Palnrrr, |i. Burd«viux: ) annule, p. 1, Havre; d« Mai-Mille, in, p. Ilone; replier] p. Tatnatave; Dnc-d'Auniale, p. Al^vr: Eugnic-Pcreire, Il. Bône; IlJérla, il. Ajaccio; P.L.-M. lfi. p. Bor- S' US: Vllle-de. Sautes, II. Londres; du Havre. 1t Chéllff, p. Rouen; Hlromlrllr, p. Caen; Hamac'. Il. Bristol; de Lorient. tt. Arminien p. Caiv diff: Arc:, P. Newport; de Bre>t. V., Tnillefert p. de Cns-iblanca. Il. r.alr>>\ n Dn Cherbourg. il. Cerdena, p. Southampton Kandoo, p. Guernesey.

GRANDE PECHE

ARRIVES. A saint-Pierre-er-Miquel.in, il. rai* Mauritanie avec quintaux.

PECHE HAUTURIERE

ARRIVES. A Lorient. Il. Kcryado StMn kilos- .Varte-Loulsr, 8.<xi kilcs; Blaireau, .I.COO kilos A la Rochelle. Il, Marle-Gilherle. 4.8-iO merlu». ?,10J dorades. 0.6S7 kilos divers.

PETITE PECHE .IL

Le I'm.ms. in juillet. L1 siniiiw ̃ l>aveai« sorlis su, reii|.n''3 .il poisons par batcAii, s.oon il Ki.ihiii: su quart. vemlii ;i ̃ 1 vert, uéa-ni- pour la frituie. le tout; pric du mille, il 110; qurtquesUlli ont PU 11111' llniveimc (le l'O.(HK). I)al4*aux ont du arier vendre leur pêche aill "urs, hs usmie-rs ne prenant plus.

l.n maquereau bal eau sorti ut n-!itré, t pots- soi:s par bateau, l.noo: aux quart, beaui; vendu au ri" délai'l. le miM- |>our la rrilu.re, néant; prix moyen du milk- 3iXI fr.

Le uhrin le thonnlcr Il'' 7 19. de Groiv. p.*t rentre avec ir,o thon-, vendus 380 fr. la douzaine. Saint-Ciiikxhijî, 10 Jiitllei. I«i AarOine liateaiu • ̃•̃ scu-lis et rentré- S; pèche presque nulle. OiK*Iqur»s Vfihlues il raison de fr. le. inH-ie; plusieurs bateaux parlent pour la baie <]<• Loctudy oil la por!ic c;t très bonne, de fi a wnduôs au prix de à fr. le mille- du moule mm.

I.e maquereau bateaux sorlij et rentrés, J(h pol.ioirâ par bateau, néant.

Le <"onqi.'et. Pêche du au !) Juillet. t'entant la période envi-sapée, le tonn>s a été généralement hrau, mais la pèeilie re>t<> au-dessous de la normale des deralè-ris années. Les gratwte s-loops viviers Aline. Egalité, Chevalier rf'.l.v.vn.», Birn-Hoa •• K Eugtne-Ht'Ir-ni' signalent du large des prises dft 300 à 3M kilos de crustacés: leur retour est prévu sous une le sloop Snlre-name de Lourdes est également sur los lieux (le pêche. Le* expéditinns sur les Malles de Rre.st ont été moyennes 1 .r><>il kilo* environ de polsson.3 et crustacés diviw. dont 100 de langouste- 200 de homards. 5(t0 do pols-sons divers; plus 400 environ de poissons fins par barque de ppche au 11 le t environ kWos de muettes par péchrur-i de l'Ile Bénlguet; S00 4 600 maquereaux mo.ve.ns et ptnit*, vendus en ville par bateaux de Douarnenez.

I.M cours sont en moyen-ne les suivants ho- mards, le kHo. 8 il 9; hwif-ouitos, t3 h 15; crabe* et araignées de mer. A t.7 la pièce: congres. 2 à 3 le morceau apprêné; rates. it 2 ;bars, •'̃ 15 à t; le kilo; moules, 10 à li: pHé-s. à 7; sole- S à 0; lieux. 2 7 la pléro: tacht?. 1J50 I: vU'iilhw, 4 4 la pièce; orphies. il 4 le kbln: petits merlan'. 4 à 4. "H): turbots de f'or;poder. 9 K 10. coquillages praire», la domaine, n.60: palourdvs, moule-, la m«*nr<>, o.W; biRomeanx, à 2 W demi-kilo; ci»\vi>*tes rosé», 5.S0 t 6 )e demi-kU<»| maqueireaux, C.70 t 0.90 ̃!• r>l*«^-

̃ DocuntHK, 10 juillet. Raies filets et palanares stx bateaux rentrfs avec des raies. des PosteanXr des marac3es, des congres, des chiens et chats de mer. pour une valeur de 300 a. Jôo francs. De kilos de langoustes vendues raison de 16.50 à 1'7 francs, le kilo et-de 15 i 30 ccrjples <J« crabes-araignées vendus à raison de S.ao a j 3 'a roupie.

Merlant douze nate:mx sont rentres avec une moyenne de a 10u merlans de toutes tailles, venJus à raison de à t6 francs !e cent de petits et U» à 34 francs le cent de ntoyens.

Divers douze canots sont rentrés avec des lieu*, des tarots, des vieilles, des congres, pour une valeur de 50 à 60 francs.

cinq canots pesant la senne, sont rentrés avec des carrelets, des petits lieus, des petits tacots, de? aiguillettes, pour une valaur de 00 à 70 franc

Homards quatre canots sont rentrés avec 12 à 90 Homards qu'Ils ont vendus à raison de 9 francs la kllo (en baisse)

Petits maquereaux vingt canots sont rentrés avec âo a 80 maquereaux â la ligne qu'ils ont vendus à raison de SO à 56 francs le cent. Sardines cinquante bateaux sont rentrés avec jne moyenne de 4.0O0 i 3.000 sardines, moule. 62 à 66 m/m à au ktlo, qu'Us ont vendues à raison de 180 à francs le mille Quelques bateaux ont péché à s.ooo.

CoNCiBNUrj, 10 juillet. Thons bateaux sont rentrés avec thons vendus le tout aux usines, de à 3SU fra.ncs la douzaine.

Rougets 3 bater.nx ont eu des péches de 50 à 6' rougets vendus aux mareyeurs, de 140 à lîfl francs 1P cent.

Tremail deux bateaux ont vendu vieilles, liens, tacot*, le tout aux revendeurs, pour des smiudcs de 60 et 80 francs,

Crabes quatre bateaux ont vendu des crabesaraicnees. le tout pour des sommes de 45 à 80 francs.

Merlans cinq bateaux rentrés avec des pêches de i» a 300 merlans vendes aux revendeurs, de '5 i -2ô francs le luû.

Maquereaux JS bateaux rentrés avec des pèches de «oo 0 maquereaux, vendus une partie aux mareyeurs et le reste à l'usine de à 80 francs le cent. un bateau a eu environ maque- reaux

.Sii'dines 30 bateaux rentrés avec !.0iK> à VK> ^«Ines. moule 68 a 70. vendues à raison de 1CJ 'vncs le iruclques-uns ont eu S à 6.000 livrées une partie aux usines et ie reste aux ma r"yetirs.

UN CHAUFFEUR ECRIT M. A. BEAUDEL, rue Sainl Philibert, il' Rréiigny-sur-Orge, nous a écrit Vous pouez publier ma lettre, car elle est l'expression de la vérité. Après une crise de coliques néphrétiques et une grippe, j'étais resté faible et je souffrais des reins pour travailler ou pour soulever le moindre poids. Ayant pris connaissance des résultats obtenus par les Pilules Foster, je suivis le traitement et fus soulagé et bien rétabli..

A la suite de grippe ou de ma!adie, si les reins sont faibles ou douloureux, la convalescence traîne, l'état général est mauvais, le teint pale, l'essoufflement facile, au moindre travail une sueur abondante fatigue le malade. Il est bon de lutter énergiquement conttJ cétte faiblesse des reins. Les Pilules Foster son, alors extrêmement efficaces pour améliorer vite l'état général. En vente toutes pharmacies, la boite 5 fr. 60. la doubla boite 0 fr. 60. ou franco H. BINAC, Pharmacien, 2j, rue Saint-Ferdinand, PARIS-17e.

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LA SEMAINE SOCIALE DE RENNES Les travaux préparatoires de la Semaine Sociale de Rennes sont achevés. Tout est pré, pour recevoir les nombreux auditeurs qui. déjà, s'annoncent de tous les points de la France. I.a Semaine Sociale trouvera un cadre unique dans la magnifique Ecole St-. Vincent, située dans la partie la plus agréa- ble de la ville. De*, salles de conférences ou plusieurs milliers d'auditeurs pourront prendre place. sont assurées aux conférences du r soir.

Sous l'active impulsion de S. E. le Cardinal Charost, et grâce à l'esprit hospitalier de la population, la Commission locale a pu résoudre la question épineuse des logements. Plus de huit cents lits ont été mis à sa dis- r position par les institutions de la ville et les particuliers. t

Un grand élan se manUeste en Bretagne, pour cette Semaine dont le programme re- pond si bien aux préoccupations des régions agricoles de' l'Ouest. Tous les groupements sociaux ou professionnels s'organisent pom j y déléguer leur élite. Dans les Institut* agri- coles, les Collèges et les Universités, le pro- gramme suscite un fort courant de sympathies.

En même temps, les fervents des Semai- nec Sociales habitant les autres régions ne se laissent pas arrêter par la distance. Organisés par groupes, ils viendront de la Provence, du Lyonnais, du Bordelais, du Limousin, du Poitou, de la Champagne, de la Bour- gofme, de l' Alsace-Lorraine, des Filandres, de Normandie.

Ce courant ne fera que grandir à mesure que s'a,pprochera la date du 28 juillet. On fera donc bien de ne pas attendre pour se renseigner sur les conditions de séjour, et pbur s'assurer la prolongation du billet aller et retour que les grands réseaux accorderont aux auditeurs.

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h. 30. Derniers résultats des Courses. Communjqués Havas et de rrosse. Radto-Chrooi<rue Auto-Aéro Pt Sports.

•2\ heures, Grand concert de. gala. avec le concours de

1. Le Barbier de Sévilie (Air de Figaro) fRO3Sl.nl)- Vax (François Coppée et R. Haton) M. ATudrc Arbcau du Trtanon Lyrique: 2. Air de Benvenuto Cellini (Maz); Si j'étais Dieu (MarRiottI) M. Bruyas, de l'Opéra: 3 La Mort de Didon fll*s Troyens; Cllerlioi). Bagiami. Chanson napolitaine (Tosti) Mil* Andrée GriaOys, de l'Opéra; 4. Bataoula, foxtrott (Tlyron Gsiy). par Mastcr Jak et son diabolic Jazz. compta de Mnster Jak (benjo, vioion, jazz, nflte), F. Gallfw dplan.iste rorn^sitcaTi. Devais (vio]on), Druhot (trompette.d'harmonie). FeccJ (harpe), Cu'-nat Guer.raz (jazz-drumer): 5. Le poète chansonnier Patll Marinier dans ses oeuvres; Le Nil, accampapnciment de piano, violon <x»vlf* Lcronx); Grand air de Jérusalem (Chanles Gounod) Mme 1%1,arme Niwpoulos-Reynard. de l'Olpéra: 7. Grand Air du Bal Masqué, en Italien (Verdi): Le Vaisseau f,mlOme. air du temps passé, pnrrançals (Wapner) NI. Giuaio Perptgrniani. du Tbéftcre San Carlo de \mles- S. Ma Cui .valse hawaïenne (Chartes Qmn«l et R. mon) H. de Beats 0 Marie, chanson écosMlle Primevère, de r.VUwnfcra; 9. Sophui. dbaiiêon de la Griserie (Charles !.évadé): La Rôtisserie de la Reine Pédauque, Chanson du Porche Mlle Remo-Nolsen, de l'Opéra-comique, af°^afr^e, par l'auteur M. Charles Lévadé; 10. Je briserais monverre fBen Tayou»), Ma femme est morte (Le bardP Surg^re^): 11. \ndante de Concerto (MendeaMohti*. Arioso dBacJi) NI. louis W«s. violon!ste virtuos*. saisie des Concerts Lamoureux et HasWiimvns; le. Prrlud» de Messidor (Aarrwi Bri néant: Carillon de l'Artésienne (Bizetl, par -1 orchestre Ratlio-Piris

MEMENTO ADMINISTRATIF,

JUDICIAIRE ET MILITAIRE

Les maladies à évolution lente et la loi sur les maladies professionnelles

La 9' Chambre du Tribunal de Faris, vient de juger un point de droit qui intéresse de nocibreux travailleurs. Il s'agissait de savoir st une ouvrière atteinte de troubles mercuriels antérieurement àla loi du » octobre 19W sur les maladies profesMonnelles. pouvait bénéficier de cette loi pour obtenir la rante prévue sur les maladies professionnelles.

La Compienfe d'Assurances substituée à un patron arguait, par l'organe de Poultier. que la loi du 05 octobre 1910 ne pouvait s'ajipliquer parce qu'antérieure i la loi de l'aveu même de l'ouvrière qui travaillait depuis lape de 16 ans, au hrnssage des peaux. Celle-ci avait été atteinte de .remblemects mercuriels.

M- Jean Lnermitte, pour lonvricre. répondait que si Li loi n'avait pas d'cff?t rétroactif, elle devait prntéger les nmliCies j»>fes?ionnelles i évolution lente, dont les symptômes n'avaient pas avant la mise en vigueur de la loi, entraîne l'incapacité actuellement constatée.

i.e tribunal a adonté cette dernière thèse at:*nJu dit-il que l'inoapacitc permanente qui re>ulte ,en l'espèc?. de la maladie à évolution len >le est seulement née ou aggravée après le K janvier 19'21, dite ,le la mise en vigueur de 1a loi. Le Temps fait Aujourd'hui 11 juillet saint Gualbert 1 Le soleil se lève a 4 h. 32 et se couche h. lune se lève à là h. -il et se couche à 0 in. 38 paris. il juillet. situation générate à 7 heurrs. La dépression du large s'est etendue sur r'Islande. –10 mill.; sur tes Ferroé. -5 niill., et sur l'Ecosse. i. L'antioyilone de France persiste ut s'étend jusqu'au Sud de la Scandinavie, +rt mill. La dépression de Corse s'est, comblée. +fi niill. Minimum en I=landJ, Maximum a Paris. Un mouvement orageux apparaît sur le Nord de la péninsule Ibérique et la Gascogne, Les vents sont faibles, de Sud-Out^t. en Manche: modérés, du Sud-Ouest, en Bretagne faibles ou nuls sur l'Océan et en Méditerranée.

Il va falloir sevrer

ce grand garçon!

Moment délicat 1 Ce changement brusque de

régime détermine souvent des troubles digestifs.

ont faire ?

Il faut associer à son régime des bouillie*

nourrissantes, mais très légères et faciles à

digércr. Vous n'aurez jamais d'ennui avec la

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Les maxima de la veille ont été de à Paris, Itennes, Nantes, Clermont-Ferrrand; 25 à Nancy. Compiègne; 26 à Amiens, Angers. Metz; 27 Lyon, Argentan. Dijon. Strasbourg, Perpignan; 34 à Cette; x> à Marseille; à Brest, Cherbourg: t6 au Havre; 17 à Calais.

Les minima ont été de 13 à Paris, Chartres. Bayonne, Dijon; 14 a Angers. Rordeaux. lletz: 15 à Nancy. Orléans, Tours: t6 à Poitiers: 18 a Perpignan 19 à Antibes; 12 à Rennes; il à Strasbourg. Mulhouse Lyon; 10 à Amiens.

Pluies des 54 heures, à 7 heures néant.

(Heure ancienne)

MATIN

16 0 IL 13 '.llorlaix 11 h. 50 !.orient Vanne,

OBSÈQUES

DINARD. Vous êtes prié d'assister aux convoi, service et inhumation de

Monsieur Martel DELOURME

decede le il juillet dans sa 1S1 annec, muni des Sacrements de l'Eglise. La levee du corps se fera le lundi f juillet, à 9 heures 4Ù. en son domicile, place de :a République.

Priez pour lui.

De la part de llme Delourme. sa mère; M. Joseph Delourme, M. et Mme Tourfais. M. et Mme Vauprot, M. Leblanc. M. et Mme Alos, ses oncles et tantes et de toute la famille.

Le présent avis tient lieu de faire-part. ANTRAIN SUR GOUBSNON- vous êtes prie d'assister a l'inhumation de

Monsieur Paul DELARUE

Ancien Minotier, Officier d'Académie

décode dans sa 84" année. le 11 juillet, muni des Sacrements de l'Eglise. L'inhumation aura lieu le lun<li li juillet à dix heures (heure legale).

ue la parut de Mme Delarue, son epouse, et de toute la famille.

Le présent avis tiendra lieu d'invitation.

QUIMPER- Vous êtes prié d'assister au coa* voi funèbre de Monsieur Lucien HUBER

décodé le Il juillet à à l'âge de 67 ans, à l'Ecolt; Normale d'Institutrices de Quimper.

Le cortège partira de a maison mortuaire, ront de Brest, aujourd'hui i-- Juillet, à 16 teures. L'inhumation se fera au cimetière Siint-Jose De la part de Mme Rujier. son épouse; M. G ton Huber, inspecteur primaire et Mme Gaston Ru ber, directrice de l'Ecole normale d'Institutric ses fils et belle-fille; MM. Jean et René Huber. petits-enfants, de toute la famille et des amis. Le présent avis tiendra lien de faire-part GUILVINEC- Vous êtes prié d'assister a convoi et a la messe d'enterrement de 1

Monsieur BOUTARD

Pharmacien au Guilvinec {Finistère) décédé jeudi, m juillet. en son dnmicile, a GurisJ intv. à l'àge de ans, muni d« sacrements dé léçlisc. qui auront lieu le 12 juillet, à 10 heure» heure légale). on l'église de Guilvinec. ne la part de Mme Boutard. sa veuve et (Mi loutp la famille. VANNES. Vous êtes, 1 prie d'asslsfer an* convoi.- service et inhumation de Madame Rosa GUITET

Néc GUERIS .\j

̃ lùcedoe en son domicile, R. rue de la Garpnn») dans sx ;0' année, munie des. Sacrements 1 Eslisr. nui auront liou samedi t2 juillet, 15 heures ,T0. en l'église Saint-Patern.

De la part de M. Ouitet. son époux de Mlle» Cerm.iine et Magdeleine Guitet. et de la familM Les personnes qui par oubli n'auraient pas refj eu de lettre de faire-part sont prtées de considé^j rcr ]p présent .rvis comme en tenant lien. REMERCIEMENTS

PIRE-SUR-SEICHE. SL Leprétre et ses eivj fants remercient, bien sincèrement les personne» <ini leur ont témnigné leur sympathie à l'oceW ,¡,on du decès de

Madame LEPRÊTRE

DINARD SAINT ENOGAT- Mme Jean n;J vid. M. Pt Mmo François Iiavid. M. et Mme J sept' David et leurs enfants remercient, bien vement les personnes qui leur ont témoigné de le sympathie à l'occasion du décès de

Monsieur Jean DAVID

A NOS CORRESPONDANTS Nous rappelons que les plis HORS-SAC dol-1 vent être affranchis à 0.10 enveloppe non! cachetée et ne renfermer que de la copie al insérer.

Fei' de VOacsl-Lclair

du 12 juillet 33

LA RANÇON DU PASSE Par Jean DE KERLECQ

DEUXIÈME PARTIE

Comme la tombc

XI

TANDIS QlE BOI1AIT LA MORT

Il ne répondit lias. 'f' pn-p-arii !)(' son snipux un breuvage rafraîchissant, et le lui ît rjoirr it petites soirées

Comment vous sentez-vous ?

Mieux. merci.. Rosonn. vous êtes une mainte.

Alors. Elle est heureuse t

Oui..

Sait-elle qu'elle a, quelque part, une :iii'tc qu'elle ne connait pus T

:\on,

Elle aime celle qui la îvmpiacc.

Comme elle vr>u^ fût aimée. de t^ute âme,

Elle: en est aimée ? 7

Avec passion.

Ils demeurèrent pensifs un long moment L'officier sentalt ses forces décliner, sa fiñïé.r de =os ini'iuhres inférieurs s«: refroidir peu à peu.

De nouveaux contingems arrivaient. J, 'hôpila] s'emplissait de cette rumeur particulièrp aux' 'apports grands jour. Des p;ilourds résonnaient dans les corridors Ifs uinr^ hos de IVsrViicr de sapin geniissaieni 6!it& fort que de liio-sf1- Des voix lançaient à ra volée ces ordres brefs

Salle Joffre. Chambre 17. Pour M. le major Geffroy. lit n-- 9.

Ht tout vela dans un grand brouhaha, avec un comptât oubli des pnuvivs gens brusi'.iement arrachés aux bienfaisantes effets ù'un demi-sommeil

La terri! lii'lalii.'iit, ^'éniix-ail. grondait, révoltée par tant d'horreur. Le ciel charriait de gros nuages artificiels, de longues trainé.'s de fumée acre, nocive, et, dans l'air irrespi- rable, montaient suudain des colonnes de feu, tandis qu'autour du l'hôpital, Je gros obus sillonnaient Ja nuit en sifflant.

là-haut, pourtant, la lune < ontiiiutiil de briller les étoiles, indifférentes, assistaient a cette folie de destruction, à ce déhordement de haines collectives, artiticiellement entretenues, et dans l'acharnement de cette lutte de titans, les hommes. jes « bonshommes les tout-petits tombaient stoïquement.

Sur la toute, blanche de givre, retentissait la cadence d'une troupe en marche, d'une colonne qui s'en altait allègrement vers le charnier et toujcurs. dans la four, sous la fenêtre de Il, chambre, qu'occupait Ollcry, ce rire épair de gros garçon que soulignaient de petits cris étouffés.

Rosenn

Mon ami T

Kospfin

Lh hien. je suis la. Que voulez-vous 7 voir, enfants

Il ne parlait plus qu'avec une difficulté extrême Ses yeux vitreux semblaient chercher la silhouette noyée iians l'imaginaire bruine. Anxieuse l'infirmière s'était penchée sur le moribond

Mon enfant. Oh. parlez parlez je vous en supplie. et Dieu vous absoudra comme je vous pardonne 1

Simone,

Simone ?. Votre femme, sans doute ?. Ma fille ?

II ranicn i d'un geste machinal le drap sur sa poitrine, et parut oublier ce qui se passait à l'entour. Roseiiu, affolée, cassa une ampoule d'huile camphrée, fit uae injection. Le lieutenant sous l'influence du réactif, s" ranima, ouvrit de nouveau les yeux sa main chercha la main de l'infirmière II fit un effort pour se soulever

Hosem: 1

Je vous pardonne. mais dites-moi. Simone 7.

Simone. chez.

Au nom du cie! achevez

L"n hoquet lui coupa In parole. 1\ retomba. Rosci'n, frémissante, se jeta sur le corps. Philippe. de grâce Ma fille. où est ma fille Y

Sous la caresse de cette main qui l'absolvait, l'officier n'eut pas un tressaillement. La mort l'enveloppait de ses ailes de ténèbres. Philippe Ollery venait d'entrer en agonie. Rosenn Auroc'h s'effondra au pied du lit. Les lèvres violettes balbutièrent d'inintelligibles paroles, puis ce fut le «lernior hoquet. L" i-oupablp emporta son secret dans la tombe.

Ah soupira l'inflrmière, il n'était pas écrit quu je serais heureuse 1.

Elle ne se révolta pas contre l'injustice du sort; Il lui restait un ultime devoir à accomplir. E'!e mit un baiser sur le front du défunt, ferma les grands yeux ^ombres où s'étaient mirés ses vingt ans insoucieux, puis, prostrée, dans la ferveur extatique de sa foi, le. mains jointe, elle balbutia

« Notre Père qui Mes dans les cieux. Là-bas, de l'autre côté de la ligne de feu, l'aube se levait.

Xll

SUHSUM CORD4

Le lendemain, le lieutenant d'infanterie. Philippe Ullery fut inhume dans le cimetière de St. son infirmière lE suivit jusque là, puis, frissonnante, dans la grisaille de ce matin de novembre, elle rentra à l'hôpital et reprit le cours normal de sa vie de dévouement.

Ues mois s'écoulèrent encore, avec des alternatives d'espéranct H de découragement. Tantôt le flot germain déferlait emportant la digue des poitrines fra-icaises, puis c'était le reflux, la marée reculai, et cela semblait ne devoir jamais fini!. La sensation d'une mutuelle impuissance, d un contlit sans issue, avait tari dans bien (les cœurs la source de l'espérance. Un morne abattement succédait aux enthousiasmes effntés le ressort du courage se détendait. L'humant toute entière, comme blessée à mort, tendait vers le ciel impassible ses bras décharnés. Et, dans l'enfer des hommes, Rosettri Auroc'h maitrisant sa douleur, dépensai sans compte- dans un oubli total de ses propres déchirement».

Un jour qu'au chevet d'un elle iisaitj tout haut, complaisammetit, un inflrmien militaire poussa la porte, puis, s'approchant le calot a la main Mademoiselle, il y a, en bas, quelqu'une qui vous demande. Un soldat ?

Non L'ne dame sn ̃deuil, qu'accompagna une fillettt. >. C'est bien. j'y vais. J Elle ne fut pas autrement surprise. Il arrivait parfois que les parents des blessés qu'elle avait assistés en leurs derniers moments demandaient à la voir. C'était toujours le même et douloureux dialogue, auquel elle se prêtait, d'ailleurs, avec un charitable empressentent Rosenn entra dans le parloir, chercha de jeux. L'inconnue se leva. Elle ne devait pas encore et de visage sympathique.

Mlle Auroc'h, sans doute î Oui. madame. 1 Je suis la femme du lieutenant Philippe L'infirmière eu* un éblouissement. Toute', pâle, elle demeura debout, cramponnée ai dossier d'un fauteuil à portée de sa main. Vous vous souvenez peut-être 1. reprt la veuve au timbre brisé, c'était un. Je me souviens I Mais. Pardon si j abuse. Asseyez-voui»> mademoiselle. Seriez-vous souffrante Non. dit-elle avec effort. un peu fatl«-j guée seulement. Nous sommes peu nom»j|; breuses ici.. Et il y a des arrivages presque tous les jours en ce moment.

BOURSE DE PARIS « PAME. juillet Lrtus tous les groupes ou comUUi des demaii-jes; les Oppositions du marche apparais* ;l tontine ire-, 'avurabics; les valeur, lie sjia pab biuJeiucm 1er mes mais en hausse: eeMe excellente rrienuuon persiste on clôture ou ion termine au Toutes nos reute^ ~uut ea piogrèt, tout particulièrement le i. ?“ iW5 qm gagne un j'oint. L'activite du marclié des fonds russes n'engendre cependant pab uc orogrès; les cours a*m( seulement soute -«us. Bunnt. tenue des Ottomans l-et sucriers bénéficient d'un courani d'affaires suivies .l se retrouvent en propres intéressants Lus valeurs de uivre sont recherchées Tenue très satisfaisante •tti iroupe bancaire, des valeur* il'éleiïikito et ;ie plomb. De Beer-, i agersfon tf-:n et mines «or ferme-. Les pêttoips russes après un tit-but heureux reviennent «sur leurs positions d'hier; autre» pétrolifètvs soutenue». Fn résumé marché en très Donne tetulan<-p surtout à la veille de trois jours de ct.ôm:ige.

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Les Commissaire^ aux Comptes.

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Il est r.)pnrlé qne le dépôt de- titres est absolument obligatoire et (|iie. seuls pourront prendre part à l'A.-s-niblér. les actionnaires ayant effectué ce depot rtnns le délai Indiqué

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Lecture des rapports du Conseil d'administration et des Commissaires aux Comptes. Discussion et approbation des Comptes. Quitus aux Administrateurs.

Nomination d'un ou plusieurs commissaires aux comptes et fixation de leur allocation. Nomination d'Administrateurs.

i* Autorisation, à donner aux Administrateurs conformément à l'article 40 de la loi du 24 juillet 1867.

Pour faire partie de cette Assemblée, MM. les Actionnaires doivent, conformément à l'article X', des statuts, déposer leurs titres ou leurs certificats de dépôt au moins cinq jours avant la date de l'Assemblée, au sièse social.

MM. les Actionnaires qui ne pourraient assister à cette assemblée et qui désireraient s'y faire représenter sont priés de demander au siège social des formules de procuration.

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MM. les Actionuaires de la Société Electrique de I.ouviKiié-du-I)ésert sont coiroqués en A-N?iiiblé:; Ccncralc ordinaire a la Mairie de J.nuviKnédu-L)é;ert, le lundi 9S juillet à Il. du matin. ORDRE DU JOUR

l' Rapport du Conseil d'Administration sur les exercices arrêtés au 31 décembre

•2" Rapport des Commissaires aux Compt.s o* Approbation du bilan et des comptes arrêtés au Si décembre

̃i* Nomination d'un ou plusieurs commissaire au.< comptes

Autorisation donner aux Administrateurs. conformément à l'article 40 d'j la loi du 'i juil- :<-t 1867

fi" Voit sur les résolutions |iru|io»éês

domination d'adminislrateins.

Les Commissaires aux Comptes.

S. Les propriétaires d'actions ou leurs fondés il<- louvoir, i.oivcnt. conformément aux statuts Plus tard chez NI' fil'INEIîAILT. notaire à Loucarte d'entrée à .'as^cmb' _̃.

Il est l'appi'Ié que le flépôt îles liires e^lnmnt obligatoire, et (,ue. seuls, pourront pi-ndre part i l'Assemblée, les actionnaires ayant effectué <̃<> dépfit .ians le délai indique. :>9-l) DE I GUERRE

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