Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 166 à 166 sur 318

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Les endormeurs : la vérité sur les hypnotisants, les suggestionnistes, les magnétiseurs, les donatistes, les braïdistes, etc / W. de Fonvielle

Auteur : Fonvielle, Wilfrid de (1824-1914). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1887

Sujet : Hypnose

Sujet : Magnétisme

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304485811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 1 vol. (308 p.) : fig. ; In-18

Format : Nombre total de vues : 318

Format : application/epub+zip

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k58140933

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TE14-92

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/02/2010

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97%.


LES ENDORMEURS .159

faire. On pourrait alors applaudir à Léon XIII .d'aussi bonne foi que Voltaire applaudissait à Benoît XIV, quand ce sage pontife lui donnait des marques de tolérance.

Certes le Psalmisteestbeaucoup plus d'accord avec la raison et la philosophie, quand au lieu d'admettre, comme les rédacteurs de la Revue scientifique, que le docteur Richet peut communiquer sa pensée à ses somnambules, il rappelle que Jéhovah réclame pour lui l'intégrité de ce pouvoir surnaturel, et qu'il se fait appeler le «Dieu scrutant, le coeur de l'homme ». Jéhovah est bien inspiré de la même pensée quand il dit de lui-même : « Je suis l'Éternel qui lit dans le coeur de .l'homme et éprouve la force de ses reins, » et quand, dans l'Apocalypse, il répète des paroles analogues à l'apôtre Jean.

En lisant les textes que la Civillà Caitolica invoque pour repousser d'autres prestiges dont nous parlerons plus loin, nous songions malgré nous à quelques souvenirs de notre enfance.

Involontairement, nous nous remettions en mémoire ce que nous disait il y a bien longtemps, un de nos anciens professeurs, déiste passionné, élève enthousiaste de J.-J. Rous-