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Titre : Homoeopathie domestique, ou Guide médical des familles précédé de considérations sur les maladies de l'enfance, par le Dr Bigel,...

Auteur : Bigel, J. (1769-18..). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1837

Sujet : Homéopathie

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301044745

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : In-8° , VIII-415 p.

Format : Nombre total de vues : 326

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Description : Ouvrages de référence

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5810042j

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TE134-13

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/02/2010

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CONSIDÉRATIONS

du sommeil et des forces. Ce bien-être fut de peu de durée. Bientôt les quatre extrémités furent saisies de douleurs déchirantes qui ne laissaient aucun repos à la malade. Elles finirent pourtant par se calmer, mais pour se convertir en une paralysie des quatre membres. Alors puis de "douleurs, mais immobilité complète des parties affectées. C'est pour remédier à cet état désespéré qu'on vint dans ma personne implorer l'homoeopathie. Après avoir entendu tout ce que je viens d'exposer, ma première question à la malade fut relative à la psore; sur sa réponse affirmative, qu'elle avait été atteinte deux fois de la gale, la première fois à l'âge de dix-huit ans, la seconde à l'âge de vingt-quatre, je ne doutai plus de l'existence de la psore, comme cause et effet tout à la fois de cette redoutable maladie. Mais cette fois, au lieu de recourir au traitement interneparle soufre, je jugeai plus convenable de l'administrer extérieurement. Toutes les fonctions intérieures étaient normales , je ne voulus pas y toucher. La maladie, fixée dans les membres, aux frontières de l'organisme, me parut devoir céder plus facilement aux remèdes extérieurs avec lesquels j'allais la mettre en contact immédiat. La malade partit de : suite pour aller prendre les eaux de Toeplitz. Il lui fut ordonné de les prendre à leur plus haute température, qui est de 36 degrés de Réaumur. Après le quinzième bain, les membres commencèrent à ressentir un léger fourmillement, précurseur , de la résurrection de la sensibilité. Bientôt reparurent sur la poitrine de grosses pustules accompagnées d'une vive démangeaison qu'on