SUR LES iftALÀDIÉS DÉ L'ENFANCE. 7S
faible, je là réitérai, donnant cette fois la dîx-inilliohiemë fraction. Lé paroxysme ëû fut notablement aggravé, même résiàtànce, la fièVrë continua. C'est alors seulement queTidéë d'une ëônlpiicàltîbh se présenta à mon esprit.
: Un nouvel ëxànïén des antécédèns du malade hYapprlt qu'il avait eu, pendant de longues années, des dartres que, quelques mois avant d'être atteint de la fièvre, il avait fait disparaîtra à l'aiclè dé lotions pratiquées avec dû sâvoh trèS-âcre. C'ohséqûëiûmént à cette découverte, je ne balançai pas Un instant à lui donner le soufre, qui enleva la fièfre cbtoÏBè par enchantement. Le moyen dé douter qûë là psore né fût la continuation de là fièvre, lorsque sa cessation fut suivie d'une éruption dârtrëûse aux" mêmes lieux Où ce vice avait siégé prëcédeïùïnèrit ? De temps immémorial ou a professé cet axiëme: Toutes et quântès fois une maladie est rebellé uù traitement riïiiàÏÏnel qui en triomphe Cbmnxmmmënt, on doit y soupçofther 'quelque cause sêcr'étéq'ui'en dèterminéVinCUrabiîité. N'èst-Çë pas avoir fait la moitié dû chemin quëd'adopter cette maxime. Mais quelle est cette cause cachée ? Çi'èst ici que s'Ouvre le domaine dé l'imagination, dont OH sait que l'étendue n'a point de bornes. Il a été, depuis l'a plue haute antiquité, parcouru dans toutes Ses régions, Sans que notre science, -tout en s'ènrichissant de brillantes théories, soit devenue plus heureuse. Avant Hahhemanri, on savait que là ]SS0rô répercutée peut engendrer lés maladies lés plus gravés ; mais, avant lui, personne n'avait pensé que èë huasme pouvait se trouver ïnêlë à la plu-