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Titre : Homoeopathie domestique, ou Guide médical des familles précédé de considérations sur les maladies de l'enfance, par le Dr Bigel,...

Auteur : Bigel, J. (1769-18..). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1837

Sujet : Homéopathie

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301044745

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : In-8° , VIII-415 p.

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Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Description : Ouvrages de référence

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5810042j

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TE134-13

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/02/2010

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DIETE HOMOEOPATHIQUE. Il5

C'est surtout le règne végétal qui abonde en substances qui ne sont point en harmonie avec le traitement homoeopathique : combien déracines, de feuilles, de semences , sont mêlées à nos alimens, que l'on ne devrait trouver que dans nos pharmacies? lels sont ; l'oseille , le persil, le céleri, le cerfeuil, la rue, les cressons de fontaine et de jardin, la menthe simple, la menthe poivrée , le thym , le serpolet, l'estragon. Sont compris dans la même proscription : la moutarde, le cumin , l'anis, la coriandre , le genièvre, le roseau aromatique , le radis, le raifort, l'asperge, le houblon , l'ail, l'ognon, l'échalotte, le poireau, les truffes, les champignons et les morilles.

La sensualité a introduit dans toutes les Guisînes, sans excepter celle du pauvre, des substances, nommées épices, que l'homoeopathie a frappées d'exclusion, à raison de la puissance dont elles jouissent, non seulement de modifier l'action des médicamens , mais encore d'en neutraliser les effets.

Ce sont : le poivre, le gingembre, la vanille, la cannelle (ces deux dernières, aphrodisiaques à un haut degré), le clou de girofle, le cardamome, la noix et la fleur de muscade, les câpres, le safran, les écorces d'orange et de citron, la feuille de laurier, le chocolat épicé.

Les fruits bien mûrs , doux et sucrés, sont permis, tant dans leur état de crudité, que préparés et cuits sous le nom de confitures, auxquelles on se gardera bien de mêler aucune épice.