10» INTRODUCTION.
théories, tour à tpur dominantes et renversées , qui n'ont signalé que le passage d'une erreur à une autre; juste châtiment de l'orgueil, jaloux djs pénétrer le secret de la création !
Bien p^us humaine est l'homoeopathie, dans sa recherche des lois qui président à la guérison de nos maux, §ans douje, elle a dû mettre l'humanité à Contribution pour parvenir à leur découverte ; mais ce n'est point à l'humanité souffrante qu'elle s'adresse; elle demande à la santé les secrets de la, maladie. De légères douleurs, causées par les médicamens en épreuve, les lui ont dévoilés, et les signalent encore chaque jour, sans jamais faire de victimesMJelle est la source oùielle puise, d'une manière sûre y un remède à tptis nos maux ; et cette source est intarissable, Fussent-ils' plus: nombreux encore, le remède ne peut lui manquer. N'en trouve-t-èlle pas un gagé certain dansle nombreimmense des corps qui composent les trois règnes dé là nature y dont î'ëxpériënéë peut faire, et fera indubitablement', autant de médicaW
Tel doit être désormais le but constant des travaux de I*àrt de guérir : plus d'nyjiothësé, plus dé systèriiè. L'esprit a^nvëntîbn doit céder sa place à l'esprit d'observatîori.L*mvehterir est celui qui Créa l'homnié et lé mondé qu il habite. En vain nous avons voulu lui dérober son secret; il le garde, le gardera toujours, et né nous laissera que les phénomènes dont il abonde à observer. Ils doivent suffire à notre direction, dans l'état de santé comme dans celui de maladie. Penser qu'il