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Titre : Oeuvres de Barbey d'Aurevilly. 10

Auteur : Barbey d'Aurevilly, Jules (1808-1889). Auteur du texte

Éditeur : A. Lemerre (Paris)

Date d'édition : 1878-1889

Contributeur : Buhot, Félix (1847-1898). Graveur

Contributeur : Rops, Félicien (1833-1898). Graveur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb300544652

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 16 vol. (dont 4 de pl.) ; in-12 et in-8

Format : Nombre total de vues : 486

Format : application/epub+zip 3.0 accessible

Format : Format adaptable de type XML DTBook, 2005-3

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k58067058

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-2232 (5)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 26/04/2010

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de sa mère, elle ne levait ni la tête ni les yeux vers la fenêtre où je l'attendais ! Tels étaient les misérables exercices auxquels elle m'avait condamné ! Certes, je sais bien que les femmes nous font tous plus ou moins valeter, mais dans ces proportions-là !! Le vieux fat qui devrait être mort en moi s'en révolte encore ! Ah ! je ne pensais plus au bonheur de mon uniforme ! Quand j'avais fait le service de la journée, – après l'exercice ou la revue, – je rentrais vite, mais non plus pour lire des piles de mémoires ou de romans, mes seules lectures dans ce temps-là. Je n'allais plus chez Louis de Meung. Je ne touchais plus à mes fleurets. Je n'avais pas la ressource du tabac qui engourdit l'activité quand elle vous dévore, et que vous avez, vous autres jeunes gens qui m'avez suivi dans la vie ! Ou ne fumait pas alors au 27e, si ce n'est entre soldats, au corps de garde, quand on jouait la partie de brisque sur le tambour... Je restais donc oisif de corps, à me ronger... je ne sais pas si c'était le coeur, sur ce canapé qui ne me faisait plus le bon froid que j'aimais dans ces six pieds carrés de chambre, où je m'agitais comme un lionceau dans sa cage, quand il sent la chair fraîche à côté.

« Et si c'était ainsi le jour, c'était aussi de même une grande partie de la nuit. Je me cou¬