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Titre : Oeuvres de Barbey d'Aurevilly. 10

Auteur : Barbey d'Aurevilly, Jules (1808-1889). Auteur du texte

Éditeur : A. Lemerre (Paris)

Date d'édition : 1878-1889

Contributeur : Buhot, Félix (1847-1898). Graveur

Contributeur : Rops, Félicien (1833-1898). Graveur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb300544652

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 16 vol. (dont 4 de pl.) ; in-12 et in-8

Format : Nombre total de vues : 486

Format : application/epub+zip 3.0 accessible

Format : Format adaptable de type XML DTBook, 2005-3

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k58067058

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-2232 (5)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 26/04/2010

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trique, qu'il fit presque mal aux yeux comme un éclair.

« – Eh ! eh ! qu'est-ce qui brille ? – dit, d'une voix flûtée, le chevalier de Tharsis, qui avait la voix de ses jambes.

« – Et, qui est-ce qui tousse ? – dit simultanément le marquis de Saint-Albans, tiré par une toux horriblement mate de sa préoccupation de joueur, en se retournant vers Herminie, qui brodait une collerette à sa mère.

« – C'est mon diamant et c'est ma fille, – fit la comtesse du Tremblay avec un sourire de ses lèvres minces, en répond ant à tous les deux.

« – Mon Dieu ! comme il est beau, votre diamant, madame ! – reprit le chevalier. – Jamais je ne l'avais vu étinceler comme ce soir ; il forcerait les plus myopes à le remarquer.

« On était arrivé, en disant cela, à la fin de la partie, et le chevalier de Tharsis prit la main de la comtesse : – Voulez-vous permettre ?… – ajouta-t-il.

« La comtesse ôta languissamment sa bague, et la jeta au chevalier sur la table de jeu.

« Le vieil émigré l'examina en la tournant devant son oeil comme un kaléidoscope. Mais la lumière a ses hasards et ses caprices. En roulant sur les facettes de la pierre, elle n'en détacha pas un second jet de lumière nuancée,