349 LA MORT DE PUILA.
mmtm'Lm^i.m L.*i.èjAmmm,^iumiMmmmmmmtmmmml^m^mmmm\fmmMmimmm0mm^mlm^mmm0Kmmtim . i. i "^
péniblement sur ce lac artificiel, — que soutient commo en l'air uno maçonnerie anglaise, invisible au lointain, mais devinée et révoltante; lac sacrilège, pourrait-on dire, puisqu'il ense* velit dans ses eaux troubles des ruines sans prix : temples des dieux de l'Egypte, églises des premiers siècles chrétiens, stèles, inscriptions et emblèmes. C'est au-dessus de ces choses que nous passons, fouettés au visage par des embruns, par l'écume de mille petites lames méchantes.
Nous approchons de co qui fut l'Ile sainte. Par places, des palmiers, dont la longue tige est aujourd'hui sous l'eau et qui vont mourir, montrent encore leur tête, leurs plumets mouillés, donnant des aspects d'inondation, presque de cataclysme.
Avant d'aborder au sanctuaire d'Isis, nous touchons à ce kiosque de Philse, reproduit par les images de tous les temps, célèbre à l'égal du Sphinx ou des Pyramides. Il s'élevait jadis sur un piédestal de hauts rochers, et les dattiers balançaient alentour leurs bouquets do palmes aériennes. Aujourd'hui, il n'a plus de base, ses.