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Titre : Traité de la séduction considérée dans l'ordre judiciaire . Par M. Fournel,...

Auteur : Fournel, Jean-François (1745-1820). Auteur du texte

Éditeur : Demonville (Paris)

Date d'édition : 1781

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304547229

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : XVI-462-[2] p. ; in-12

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Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k57626268

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, F-25396

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/03/2010

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DE ÌÁ SÉDUCTION". 40$

xle louer leurs maisons à des femmes de mauvaise vie, sous peine de confiscation de la maison.

Mais commé des Edits ne corrigent point les moeurs* les efforts de Justinien de de ses prédécesseurs furent inutiles contre le goût de la prostitution, qui se maintint malgré la sévérité des Ordon« nances,

Les Francs, lorsqu'ils s'emparèrent des Gaules, y trouvèrent donc établi l'usager de la prostitution publique, de l'on conçoit bien que ce fut le dernier de tous Aes abus que des' guerriers songèrent à •réprimer. Aúflî cette pratique ne recutélîe aucune atteinte sous la première race» Mais Charlemagne , qui vouloit joindre la gloire d'un Législateur à celle d'un «Conquérant $ se flatta de parvenir à détruire les femmes de mauvaise vie, . •■ • ?

Pour cet effet ì, cet Empereur rèrîou* vella 1, par une Ordonnance de l'an Sooy les dispositions de l'Edit dé Théodose, qui pronònçoit la peine du fouet de du ijannkement contre les femmes prostw tuées, & iiy ajouta une disposition de son invention i ce fut que les propriétaires qui lòueroient leurs maisons à cette espèce ;de femmes, seroient tenus de lés porter* fur U cou: jusqu'au 'lieu de l'exécu-