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Titre : Revue musicale de Lyon : paraissant le mardi de chaque semaine, du 20 octobre au 20 avril / Léon Vallas, directeur-rédacteur en chef

Éditeur : Léon Vallas (Lyon)

Date d'édition : 1906-12-16

Contributeur : Vallas, Léon (1879-1956). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32860864q

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32860864q/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 9525

Description : 16 décembre 1906

Description : 1906/12/16 (A4,N10).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Rhône-Alpes

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5751346d

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-V-6095

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/01/2011

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4e Année PSio

16 Décembre 1906

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1/j.on(SUITE FIN)

En dépit des sourdines que la presse avait niises à ses critiques, il faut croire que le succès" de cette reprise d'il Barbiere fut des plus modérés, car il n'y en eut que deux représentations, et les Italiens jouèrent le 27 mai Lucre^ia Borgia, qu'ils redonnèrent encore quatre autres fois. Cet opéra, qui fut écrit en 1833, bien avant La Favorite, Lucie et Don Pasquah, et qui est loin d'être un des meilleurs de Donizetti, nous avait été révélé, on se le rappelle, parla troupe Negri en 1841, et notre Grand-Théâtre, sous la direction Carpier, l'avait monté en français au mois de janvier 1862. Néanmoins, comme il avait disparu, depuis onze ans, du répertoire de notre scène lyrique, il restait ignoré de la majorité du public, et peut-être, s'il eût été bien interprété, eût-il bénéficié d'un certain regain de faveur.L'exécution, si nous nousen rapportons aux comptes rendus des journaux, en fut, au contraire, assez inégale, et le résultat n'en dépassa pas les limites d'un succès d'estime. On en jugera par les lignes suivantes, empruntées au Courrier de Lyon du 30 mai,, dont l'opinion, du reste, fut complètement partagée par ses confrères du Journal de Lyon et Au Salut public. .-■....•.„•

Dans Lucrcqià Borgia nous avons entendu deux actrices qui n'avaient pas encore paru sur notre scèrie,; Mlles Carracciolo et Montesini. Leur talent permet des éloges et rie laisse place qu'à peu de critiques... si, sacrifiant la vérité vraie à l'extrême bienveillance, qu'en province on