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Titre : Annales du Service des antiquités de l'Égypte

Auteur : Egypte. Service des antiquités. Auteur du texte

Auteur : Egypte. Organisation des antiquités. Auteur du texte

Éditeur : Institut français d'archéologie orientale (Le Caire)

Éditeur : Organisation des antiquités égyptiennesOrganisation des antiquités égyptiennes (Le Caire)

Date d'édition : 1913

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344630070

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344630070/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : multilingue

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Description : 1913

Description : 1913 (T13,FASC1)-1914.

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k57257340

Source : Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2009-69677

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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ANALYSES DES PARFUMS ÉGYPTIENS

PAR M. LE D* L. REUTTER

PROFESSEUR AGRÉGÉ* À L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE.

Ces parfums nous furent remis par le célèbre égyptologue M. Maspero, à qui nous nous permettons de présenter ici nos sincères remerciements pour la confiance qu'il a bien voulu nous témoigner. Il ne nous est malheureusement pas possible, avec d'aussi petites quantités, d'en entreprendre les analyses quantitatives, si utiles pour déceler quels sont les acides résineux ou résinoliques contenus dans ces masses, ni quelles en sont les résènes, de sorte que nous devons nous contenter de l'analyse qualitative, parfois très positive quant au styrax, au galbanum, à l'ase fétide, etc., mais négative quant à la détermination des différentes variétés de térébenthine. Nous espérons, toutefois, que ces quelques résultats d'analyses élémentaires pourront être de quelque utilité pour les recherches égyptoiogiques.

Ces parfums, contenus dans de petits sacs en papier, différemment numérotés , provenaient d'amphores ou de vases découverts dans les laboratoires d'un temple où, comme nous l'avons énoncé lors d'une conférence'1', les prêtres avaient l'habitude de les préparer, en tenant secret leur mode de fabrication non seulement aux laïques, mais même à leurs aides.

Nous les classerons donc selon le numéro d'ordre qu'ils portaient, en faisant toutefois remarquer que l'autoxydation a pu leur faire subir des désagrégations, des oxydations ou des modifications, soit en les oxydant partiellement, soit en décomposant en partie leurs principes chimiques.

( 1) D' L. REOTTER, Bulletin de la Société française d'Histoire de la Médecine, «Des parfums égyptiens n, Paris, i g 13.

Annales du Service, 1913. L