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Titre : De Saint-Louis à Sierra-Leone. Huit ans de navigation dans les rivières du Sud, par le capitaine J. Bouteiller,... Précédé d'une lettre-préface de M. l'amiral Vallon,...

Auteur : Bouteiller, J.. Auteur du texte

Éditeur : A. Challamel (Paris)

Date d'édition : 1891

Contributeur : Vallon, Aristide (1826-1897). Préfacier

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301493789

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : In-18, VIII-332 p. et pl.

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Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Afrique de l'Ouest

Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k57208853

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-O3-814

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/11/2009

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banc oriental forme une queue. N'oubliez pas non plus que les courants vous portent dessus : rangez bien les pelotons 1 et 0.

J'ai passé plus de trente fois avec le Dakar en me conformant aux données ci-dessus, et je m'en suis toujours très bien trouvé. Depuis 1884 que je connais la barre de Sangomar, je n'y ai remarqué aucun changement; seul, le grand banc occidental s'est rapproché, je crois, de 10 à 15 mètres vers le Sud. Je crois également que la partie de ce banc qui découvre est remontée vers le Nord; peut-être n'a-t-elle pas bougé et est-ce l'effet du déplacement de la queue du banc vers le Sud qui m'a fait faire cette remarque.

La pointe Sangomar proprement dite a été rognée de 25 à 30 mètres depuis 1886 ; de là un léger déplacement des pelotons 0 et 1. Je joins à cette instruction un croquis, fait à main levée, qui permettra de se rendre compte de la situation des bancs et de la barre du Saloum, mais qui ne peut pas servir pour faire des relevants. Les petits carrés avec un point au milieu figurés sur le croquis marquent les endroits où se trouvaient, en 1888 et au commencement de 1889, des petites bouées qui étaient d'une grande uti-