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Titre : Histoire et description du Nouvel-Opéra / par M. Charles Nuitter,...

Auteur : Nuitter, Charles (1828-1899). Auteur du texte

Éditeur : E. Plon, Nourrit et Cie (Paris)

Date d'édition : 1883

Contributeur : France. Ministère de l'instruction publique. Éditeur scientifique

Sujet : Théâtres -- France -- Paris (France)

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb342212772

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 48 p. ; gr. in-8

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Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5708010j

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-LK7-23989

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 31/08/2009

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74 INVENTAIRE DES RICHESSES D'ART HE LA FRANCE.

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l'orchestre, puis, par les rampes latérales, â l'étage des premières loges et du foyer.

AUÎ abords de la rampe centrale sont placées, de chaque côté, des figures décoratives supportant des appareils d'éclairage.

Côlé ouest. Figures décoratives. — Groupe. — Galvanoplastie. — H. 2"',60. — Diam.

du socle i 0-,90. — Par M. CARRIER»

BELLEUSE (ALBERT-ERNFST).

Trois figures.

Au centre, une femme demi-nue lient sur la tète, de la main gauche, un lampadaire à six branches, do qualre lum-ères chacune. De la main droile, placée h la hauteur de la hanche, elle lient i'in faisceau de sept lumières. Devant elle, une femme deminue, vue de dos, assise sur le socle, la lè'c tournée adroite, tient de la main droile une coupe d'où sort Un autre faisceau de sept lumières, qui se trouve <\ la même hauteur que le premier; de la main gauche, qui lient iule couronne, elle s'appuie sur le socle. Une draperie, retenue par Une riche, ceinture d'orfèvrerie, couvre la jambe droite, el retombe sur l'onyx du piédestal. Derrière, un enfant nu, courant, le pied droit ù terre, lient de la main gauche un faisceau de sept lumières.

Côté. est. • ■ :' Figures décoratives. — Galvanoplastie,—

.11. â-.ÔO. — Diam.'du socle : 0\fX>.

— Par .M, C»RRIER-BELI.EUSK (ALIIERTERNEST).

(ALIIERTERNEST).

An centre, une femme demi-nue (ien( sur la tète, de la main droite, mi lampadaire i\ six branches, de quatre lumières chacune; de la main gauche, elle (lent un faisceau de sept lumières. Devant elle, mie femih'e nisise, do face, la lèlo tournée i gauche, tient, de la main droile l-vée, un faisceau de sept lumières, qui se trouve û la même li.mteiir que le premier; elle s'appuie de la main gauche siii'un tambour de bisque, posé sur le socle; ht jambe gauche, nue, esl repliée sous la jambe droPe cotiverie d'une draperie qui retombe sur le socle; le pied, lui, rsl pendant. Pal derrière, un enfant nu, dansant, cambré adroite, tient rit lanmiti gauche tin faisceau do sept lumières, et, de la main droite, relève la draperie de la figure centrale.

Lu parle monumentale du palier central, exécutée avec t'es marbres précieux, esl décorée de deux cariatides, qui soutiennent uh fronton uu-dessnS duquel deux enfants, en marbre blanc, s'appuient sur les «rmés de la Ville do Parts

Côlé Qtiesl,

La Tragédie. — Statue. — Marbre et bronze. — IL 2"',(i0. — L. du socle : 0",70. — Par M, THOMAS (JULES).

Le corps es( eu bronze, les draperies sont en marbre. La lêtc esl ceinte d'un diadème doré ; les bras sonl nus ; le bras droit, accoudé sur li basé de l'une", des grandes colonnes do l'escalier, tient une épêe à lame argentée, la pointe appuyée sur le soubassement de la colonne; la main gauche est posée â la hanche, le poing fermé. Un masque tragique esl placé sur le soubassement. La tunique et la robe sonl de marbre vert de Suède; le manteau et la clilamydo, de marbre jaune. La jambe droite, mie depuis le genou, s'appuie a droite sut* le pied flochi. La ceinture et le cothurne sonl dorés.

Côlé est.

La Comédie. — Statue, — Marbre el bronze. —'. II. 2",60. — L. dti socle s Q™tÏO. — Par M. THOMAS (JULES).

Le corps est en bronze, les draperies sont eu marbre. La lêle, dont les. rhereux-sont nattés, est couronnée de lauriers dorés. La 'main droile ouverte reposa sur la hanche. La main gauche relevée lient une harpe dorée, appuyée sur le soubassement de la colonne voisine. La robe et la (unique sonl de marbre jaune; la rhlamyde est de marbre vert de Suède; les sandales soiil dotées.

Les bronzes de ces deux rariatîdcs ont été exéculés par M. CIIIIISTOFLE. La marbrerie,' comme toute celle de l'escalier, a été faile par SIM. DKOI'ET el LoziKn.

Au-dessus du fronton que supportent les deux cariatides que nous venons de décrire s

Fnftints,— Statues. — Marbre, — Hauteur totale avec le. blason aux nIMes de la ville de Parts ; lm,fiO. — Par

M. Timjns (JU.ES).

Ces enfants au nombre de deux soutiennent d'un bras la couronne murale, l'autre bras tient l'ècusson décoré des armes de la ville de Paris.

Au premier élage, (oui autour de la cage de l'escalier, s'élèvent trente colonnes monolithes de marbre Sarrancoliii, aux bases et aux chapiteaux eit marbre blaitédeSaiiit-lîêaî. Dit côté de l'nvani-foycr, res colonnes sonl accouplées par groupe de qualre; sur les autres faces, elles sont accouplées par deux, et nu droit de chaque colonne, sur le mut' correspondant, est placé un pilastre en marbre fleur de pêcher ou en brèche violette. Ces