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Titre : Des formalités imposées aux psychopathes : essai critique de la loi de 1838 et de sa réforme / Dr Jean Calot,...

Auteur : Calot, Jean. Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1914

Sujet : Équipements de santé mentale

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb319003137

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 1 vol. (77 p.) ; in-8

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Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5707909p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TE66-506

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 31/08/2009

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d'ordinaire dans tous les services d'hôpitaux : par la « consultation ».

L'hôpital dans VAsile, — De nombreux aliénistcs ne veulent pas entendre parler de l'hospitalisation des malades aigus ailleurs qu'à l'Asile ; ils jugent que les établissements d'aliénés, sous le régime actuellement en vigueur sont défectueux, et ils pensent que l'organisation d'un service hospitalier spécial dans le corps même et sous la dépendance de l'asile remédie suffisamment à cet état de de choses. Paul Brousse en IS97, devant 'e conseil gênélai de la Seine, s'instituait le champion de celte idée : <e On aperçoit alors, disait-il dans la masse inorganique de l'asile, les grandes lignes do l'être organisé nouveau, la clinique, l'hôpital, l'hospice, la colonie ; l'outil se modifiant ainsi avec la division du travail, s'appropriant à la besogne diverse, se spécialisant ».

Ce serait peut-être là un progrès ; au cas où, à part les criminels et les protestataires, les malades entreraient, comme lo dit le doclcur Sérieux, « aussi facilement et aussi discrètement qu'on entre à l'hôpital »; maïs, malgré celte garantie, nous croyons une telle réforme insuffisante { do semblables services ne larderaient pas à devenir de simples quartiers d'observation assc2 analogues aux infirmeries que nous voyons aujourd'hui fonctionner péniblement dans les nslles. Quant à la discrétion, nous craignons bien qu'il soit illusoire d'y compter ; d'ailleurs le public ne s'accothodora pas d'une institution aussi vaguement caractérisée ; il continuera, avec quel-