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. jîji bien, monsieur Brizard. demandait la maman Pallel, comment
l'avez-vous trouvé, noire père Yvette?
Fidèle à s» promesse, alléché par le baiser de la veille, Brizard, à la nuit, était revenu chez sa connaissance.
Tout à fait réussi, répondit-il; il est à croquer avec son grand col
qui lui monte jusqu'aux oreilles et sa veslo du temps de Napoléon V\
— Si vous ie voyiez ù. la danse, comme il se Lréinoussc! ■— A son âge?
— Ça ne le prend pas souvent, mais quand il y est, c'est pour des heures, pour toute la■■nuiti
Brizard prenait, bonne note:de.ces:précieux rjenseiguenïents.
— Malheureuse ment, je dois rentrer pour l'âppèLQiiand sèrai-je libre? ajonta-til, avec: un regard à l'adressé d'Eugénie qui'fabriquait de la dentelle, à sa place accoutumée..
Le Parigot mentait. 11 avaitj dans sa pocïiejônlesait^ la permission de la nuit. ,
— Tout de même, dit la mère Pallet, c'est un brave homme, le père Yvette; travnilleur; économe.., La Rose me confiaitl'autre jour, qu'ils!..'.. allaient céder leur auberge.;, ils sont trop vieux.
— Leur fortune est faite, alors.
— On ne peut pas dire que ce soit une fortune, mais ils ont certainement le boursiftot bien ffainL Ils vivront dei leurs netitSi revenus, ouiida.^' ils l'ont bien mérité.
— Tant mieux donc, approuva Brizard, c'est mon idée, à moi : me retirer avec un millier de renie.
À neuf heures moins un quart, Brizard se leva :•
— .Te rentre, dit-il : l'on np. barffnîmVA Tins, flans le méfifiv. rinrr mimifoo
de retard, quatre jours de clou. Ce qu?il est crampon, l'adjudant-major de semaine!
— Monsieur Doux, au moins? n
— Juste, vous le connaissez ?
Par d'autres soldats qui ne l'aiment guère, non plus. j / ;
ol elle le connaissait ! Tl avait rôrlé iniwtrimns. rmanrl rin ,1'nrmolait la . __ „ .— .„— 0——r_r ^ „_ . «^j,^.^,, 1%.