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Notice complète:

Titre : Sabre au clair ! : grand roman inédit. Tome 2 / Jules Mary

Auteur : Mary, Jules (1851-1922). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1897

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30900282n

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (1600 p.) : ill. ; gr. in-8

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k56983169

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Y2-2729 (2)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 21/09/2009

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^{^''«loetTP^nB'-PÈREi YVETTE^,-;

. jîji bien, monsieur Brizard. demandait la maman Pallel, comment

l'avez-vous trouvé, noire père Yvette?

Fidèle à promesse, alléché par le baiser de la veille, Brizard, à la nuit, était revenu chez sa connaissance.

Tout à fait réussi, répondit-il; il est à croquer avec son grand col

qui lui monte jusqu'aux oreilles et sa veslo du temps de Napoléon V\

— Si vous ie voyiez ù. la danse, comme il se Lréinoussc! ■— A son âge?

— Ça ne le prend pas souvent, mais quand il y est, c'est pour des heures, pour toute la■■nuiti

Brizard prenait, bonne note:de.ces:précieux rjenseiguenïents.

— Malheureuse ment, je dois rentrer pour l'âppèLQiiand sèrai-je libre? ajonta-til, avec: un regard à l'adressé d'Eugénie qui'fabriquait de la dentelle, à sa place accoutumée..

Le Parigot mentait. 11 avaitj dans sa pocïiejônlesait^ la permission de la nuit. ,

— Tout de même, dit la mère Pallet, c'est un brave homme, le père Yvette; travnilleur; économe.., La Rose me confiaitl'autre jour, qu'ils!..'.. allaient céder leur auberge.;, ils sont trop vieux.

— Leur fortune est faite, alors.

— On ne peut pas dire que ce soit une fortune, mais ils ont certainement le boursiftot bien ffainL Ils vivront dei leurs netitSi revenus, ouiida.^' ils l'ont bien mérité.

— Tant mieux donc, approuva Brizard, c'est mon idée, à moi : me retirer avec un millier de renie.

À neuf heures moins un quart, Brizard se leva :•

— .Te rentre, dit-il : l'on np. barffnîmVA Tins, flans le méfifiv. rinrr mimifoo

de retard, quatre jours de clou. Ce qu?il est crampon, l'adjudant-major de semaine!

— Monsieur Doux, au moins? n

— Juste, vous le connaissez ?

Par d'autres soldats qui ne l'aiment guère, non plus. j / ;

ol elle le connaissait ! Tl avait rôrlé iniwtrimns. rmanrl rin ,1'nrmolait la . __ „ .— .„— 0——r_r ^ „_ . «^j,^.^,, 1%.