So *'; ANGLETERRE,
sur les murs d'un grand,pavillon, malgré la défense d'y écrire, sous peine de fiifaire de trois shelling'}..'.Plusieurs épigrammcs, souvent'< grossières, adressées aux vieilles dames de Bath (old ladies of Bath), ne nous ont pas paru très-généreuses, cl nous avons éprouvé un sentiment d'orgueil, en songeant qu'en France les femmes qui ont donné des citoyens à la patrie sont honorées à l'égal de celles qui leur en donneront un jour. En sortant des jardins de Sidney, nous avonsrch* contré plusieurs damés dans de petites brouettes traînées par un seul homme. Leur construction est analogue àcellc des charriols d'enfansque l'on voit quelquefois sur nos boulevards, et elles sont, destinées surtout à circuler dans les quartiers les plus élevés de là ville, dont l'accès est très-difficile aux voilures. Les conducteurs dé brouettés se tiennent sur des places qui leur sont désignées, et se louent comme nos fiacres. Les daines n'ont pas beaucoup de grâce dans ces équipages enfantins J mais le léger cahotement qu'elles éprouvent est devenu un* moyen d'exercice très-apprécié dans une ville tout entière Consacrée aux plaisirs. Quelques équipages d'un autre genre nous frappent par leur singularité : plusieurs fois, pendant la journée, nous voyons passer de petites charrettes, armées d'une pompe, dont 'Peau est