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Titre : Voyage d'un jeune français en Angleterre et en Écosse pendant l'automne de 1823 par Adolphe Blanqui

Auteur : Blanqui, Adolphe (1798-1854). Auteur du texte

Éditeur : Dondey-Dupré père et fils (Paris)

Date d'édition : 1824

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301125358

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : XIX-396 p. : ill. ; in-8

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Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5698268p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-N-384

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/08/2009

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190 ECOSSE.

athlètes sont aux prises; le second acte commence; mais il finit à la première scène, attendu que l'un des combatlans a reçu dès l'abord uu violent coup de poing dans la poitrine, et s'est évanoui. Les témoins exigent alors une suspension d'armes, afin que la lutte continue avec loyauté.

Au troisième acte, on peut supposer, à cause de la faiblesse du champion renversé, que le dénoûment approche. Mais, soit colère, ou feinte, comme l'illustre frère des Horaccs, soil par uu sentiment d'honneur, comme le pensent les juges du camp, le combattant à demi vaincu s'élance sur son adversaire, la têle basse et porlée en avant, et il l'atteint si rudement à l'extrémité inférieure de la poitrine, que dans touie la foule on crie victoire. Les parieurs déconcertés se regardent , et le peuple-roi attend avec impatience le signal d'une nouvelle attaque, lorsque le malheureux athlète, à peine remis du coup, se précipite rouge de sang et.de colère, enveloppe son rival de ses bras nerveux, et le force à demander grâce. On applaudit à cette superbe péripétie, on frappe des pieds, l'air retentit de cris de joie; on annonce que le vainqueur est né à Salisbury, et la pièce finit au quatrième acte ; les Anglais, comme on sait, n'ayant pas sur l'art dramatique les principes d'Horace et de Boileau.

Une autre fois, c'est l'effroyable tableau d'une