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Titre : Voyage d'un jeune français en Angleterre et en Écosse pendant l'automne de 1823 par Adolphe Blanqui

Auteur : Blanqui, Adolphe (1798-1854). Auteur du texte

Éditeur : Dondey-Dupré père et fils (Paris)

Date d'édition : 1824

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301125358

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : XIX-396 p. : ill. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 426

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5698268p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-N-384

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/08/2009

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1/0 ECOSSE.

vers; et les tristes méditations sur le néant des choses de ce monde avaient fait place à des pensées plus consolantes, lorsque nous sommes descendus h l'Hôpital royal (Royal injirmaiy).

Cet hôpital, situé en face delà métropole, devrait plutôt s'appeler un palais; c'est un des plus beaux édifices de Glasgow. Mais l'intérieur ne répond point au luxe d'architecture qu'on admire au-deliors. 11 semble n'avoir été construit que pour les yeux. On traverse une belle pelouse, un beau vestibule; on monte par de beaux escaliers, et l'on s'étonne de ne trouver que des lits malpropres, épars sans ordre dans des salles généralement trop basses; souvent un simple matelas sans paillasse; des draps suspects, et janiaisderidcaux.Rien n'annonce une administration vigilante et régulière. Je ne sais de quelle manière se fait le service intérieur; mais ce que j'ai vu n'en donne pas une idée très-brillante. L'amphithéâtre d'opérations est situé dans la partie la plus élevée de l'hôpital; il est petit, étroit, et parfaitement éclairé. On devrait avoir plus de soin, ce me semble, d'enlever les caillots de sang qui restent sur le parquet ou sur les tables : la vue du sang produit toujours une impression fâcheuse sur l'esprit des malades, et il est dans les devoirs du médecin de dérober aux yeux des malheureux qui souffrent, les objets